#il était une fois... les explorateurs
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LE PIMENT D'ESPELETTE
🌶 Origine du Piment d'Espelette
Pour trouver des traces de ce Piment, il faut partir direction le Mexique. Les explorateurs ont certainement ramené le Piment dans leurs cales mais on ne sait pas comment il est ensuite arrivé à Espelette.
Il apparaît sur nos terres à partir de 1650.
À l’origine, il était cultivé pour remplacer le Poivre devenu très cher à l’époque. Il était d��jà utilisé comme assaisonnement et pour conserver les viandes et jambons.
🌶 Une Culture Ancestrale
Autrefois, ils étaient plantés à partir du mois de Mai et peut être récoltés d'Août à Décembre.
À la fin de l’Été, les Piments étaient alors enfilés sur une corde et mis à sécher contre les façades des maisons. Une fois secs, les Piments étaient placés dans le four à pain pour les rendre bien craquants.
Ils étaient ensuite pilonnés pour les transformer en poudre.
Ce savoir-faire a traversé les années de génération en génération et n’a pas changé.
🌶 En Corde, en Poudre ou Frais
Une fois récolté, le Piment d'Espelette se présente de trois façons
• Entier et frais de couleur bien rouge. Il mesure entre 7 et 14 cm hors pédoncules. Il est plutôt destiné aux professionnels afin d'être ensuite séché et mis en poudre.
Le Piment peut être transformé en poudre ou en produits dérivés, confiture, purée, gelée...
Il n’est pas destiné à tous les professionnels.
Les transformateurs et/ou re-conditionneurs doivent être sur la zone de l’appellation.
Il y a peu de Producteurs qui effectuent eux-mêmes les transformations.
• En corde de minimum 20 piments et maximum 100.
Elle apporte toujours une touche déco dans votre cuisine mais peut être utilisée dans la cuisine.
• En poudre utilisé pour relever tous vos plats comme on peut utiliser du Poivre.
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《L’anxiété technocratique en France : les romans du Fleuve Noir « Anticipation », 1951-1960》 par Bradford Lyau Traduction de Simon Bréan
Peter RANDA
《La solution de Vandel n’est pas la plus radicale des solutions aux problèmes de la technocratie. Cet honneur revient à Peter Randa, sous le nom duquel soixante-dix-neuf titres d’« Anticipation » ont été signés par André Duquesne. Les trois romans qui se situent dans les limites chronologiques de mon étude sont tous sortis en 1960 et forment une trilogie : Survie, Baroud, et Les Frelons d’or. À chaque fois, Randa exalte, d’une manière plutôt dramatisée, les vertus d’une forme extrême d’individualisme. Le point de départ SF de la trilogie a à voir avec la modification chirurgicale de certains humains, destinée à leur permettre de vivre sur Vénus (sans retour possible sur Terre). Alors qu’ils explorent leur nouvel environnement, ces colons rencontrent une race humanoïde modifiée de la même manière, en provenance de Saturne. Ces groupes vont chacun de leur côté. Mais deux d’entre eux, un ancien Saturnien et un ancien Terrien, suivent une voie à eux. Unis par l’idée qu’ils sont tous deux des individus sans planète, ils décident d’explorer l’univers ensemble. À la fin de "Baroud", leurs voyages les ont conduits à une nouvelle forme de conscience cosmique, que Randa cerne dans ces termes :
"Il existera une mentalité de l’espace qui ne ressemblera en rien aux mentalités planétaires. (…)
"Sur chaque planète, l’évolution s’est poursuivie avec une tendance de plus en plus marquée vers la ressemblance. Dans l’espace, le contraire se produira. (…)
"Finie l’ère des collectivités où la personnalité est contrainte de s’effacer. L’espace ne peut appartenir qu’aux individualités. Le danger constant va remettre tout en haut de la hiérarchie les chefs indispensables. Périmée sur Terre, cette notion reprendra ses droits dans les étoiles où les nécessités quotidiennes ne permettront plus les longues discussions stériles. (…)
"L’hégémonie prendra une nouvelle forme. Ce ne sera plus une nation ou même une planète qui dominera, mais une race intermédiaire (…)
"Une race qui ne sera de nulle part, donc de partout." (p. 180-181)
Certaines idées ici pourraient s’entendre comme venant de Stapledon. Mais il s’avère que ce n’est pas le cas. Randa est complètement opposé à toute sorte de « collectivité », qui serait de toute façon hostile à l’individualisme qu’il revendique. S’il faut en chercher une, il a plutôt une affinité avec le libertarianisme à la Heinlein. De fait, beaucoup d’aspects de "Baroud" peuvent nous rappeler plus spécifiquement le "Between Planets" de Heinlein (1951), dont le protagoniste en vient à cette révélation : « il ne resterait pas sur Terre… Pas plus que Vénus – ou sur Mars. Il connaissait maintenant sa place – dans l’espace… L’espace était son foyer » (p. 216). Que Randa, quand il mentionne une « nouvelle forme » « d’hégémonie » ne soit pas en train de penser à une forme spécifique d’organisation sociale devient évident au cours des "Frelons d’or". Cette œuvre montre la première rencontre extraterrestre que l’ex-Terrien et l’ex-Saturnien aient faite depuis qu’ils s’étaient lancés ensemble dans l’espace. Ils tombent sur une planète où une espèce de frelons intelligents contrôle mentalement une race humanoïde (une simple piqûre suffit à placer un individu sous la coupe des frelons). Les frelons ont quant à eux un esprit ruche et suivent les instructions d’un pouvoir central. Les explorateurs finissent par découvrir le centre de commandement pour le détruire. Mais ils se refusent à rester pour aider les humanoïdes. Leur logique, comme le dit l’un d’entre eux, est que ces créatures « des hommes, après tout… ils repartent à zéro, mais ils ont leur intelligence et de nouveau un instinct de la conservation humaine. » (p. 188) De par cette posture, les personnages de Randa se distinguent clairement des Chevaliers de Vandel, du Corps Stellaire de Steiner, et de leurs équivalents. Les premiers sont prêts à se battre pour la liberté des gens, mais pas à intervenir dans leurs vies de toute autre manière. De plus, les deux voyageurs eux-mêmes demeurent des esprits indépendants, des individus sans attache – ni lien contraignant – avec aucun ordre social particulier ; et cela correspond bien à l’emphase anarchiste de Randa, l’importance qu’il accorde (comme dans Les Frelons d’or) à la destruction d’un système social oppressif. De ce fait, même s’il ne fournit pas de représentation négative de la technocratie en tant que telle (le monde des frelons est au mieux un exemple marginal), on ne peut douter que Randa partage les inquiétudes d’un Vandel ou d’un Guieu en ce qui concerne les conséquences d’une telle société pour la liberté humaine.
#Peter Randa #Anticipation
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Le petit lutin charmant s'en est allé…
La nouvelle est tombée jeudi, sèche, glaciale comme seule peut et sait l'être une “brève” d'Agence : “Marcel Amont, chanteur et comédien, est mort à 93 ans”. Voilà. Un point, c'est tout : Il est mort. Pourquoi s'étaler, n'est-ce pas ? Ceux qui croient utile de verser une petite larme en parlant d'une chose aussi triste que “nous ne verrons plus jamais ce vrai jeune homme qui semblait éternel, ce gentil clown qui bondissait et rebondissait, si sympathique”… peuvent le faire, bien sûr. Mais ce n'est pas notre boulot : une Agence, c'est là pour énoncer un truc aussi routinier que tous les autres : “Marcel Amont, chanteur et comédien, est mort à 93 ans”.
C'est étrange, cette manière qu'a le ciel de se vider brutalement : rien n'a changé, mais tout est différent. Ce Jeudi soir, venant juste de l'apprendre, je traversais Paris sur ma moto sous une pluie battante, zigzaguant dans les embouteillages, mouillé comme un explorateur des chutes de Niagara… et je pensais à Marcel Amont, en souriant sous la flotte : c'est lui que le ciel pleurait… NDLR - Comme je vous en ai parlé, un petit ‘’suivi’’, parce que “la vie continue” : j'allais à la Librairie Eyrolles pour la première d'une longue série de “signatures” de “Les Apprentis sorciers”, sujet de mon ‘’édito’’ il y a 48 heures, et qui bat tous les records de vente : jamais, dit Albin Michel, un livre scientifique n'a “fait” une telle explosion, qui met en furie ceux qui tirent à 350 ex … Et les vomissures a-scientifiques du pauvre Alain Fischer (je le cite, car il le mérite : ce soi-disant scientifique, qui se débine de toute confrontation –comme tous ceux qui font passer leur image avant les enjeux de cette bataille planétaire du Bien contre leur Mal– a osé écrire : “Je vous dirai pas qui, mais un ami m'a dit qu’elle…”) donnent envie de l'acheter : les français, maltraités, ulcérés, ont compris que le clan des “périmés” –ce qu'il est– ne peut, à jamais, plus rien leur proposer de bon. En plus, tout ce qu'il en dit prouve qu'il n’a même pas lu ce livre, comme Laurent Alexandre, un autre ’‘has been’’ . Passons : ce n'est pas le sujet.
Le ciel, donc, pleurait. Pour lui ? Sans doute pas, car il n'y croyait pas trop, à tout ça, le ciel, ses occupants, des trucs compliqués : je n'ai pas réussi à le convaincre ! Il était juste un peu ironique, par fidélité filiale : il ne savait pas être méchant. Et à part ce dernier point, peut-être, rien, dans nos deux existences, n'aurait dû nous rapprocher, ni nos carrières, ni notre monde de référence, ni nos histoires telles qu'elles se sont déroulées, la sienne sans moi, bien sûr, la mienne “sans lui, quoi que…”. Son histoire ? Les médias vont vous la raconter, cent fois. Moi, j'ai envie d'effleurer pudiquement celle de notre amitié. Car le destin se moque de la logique des hommes et de leurs mauvaises “bonnes raisons” de ceci ou de ne pas cela…
Arrivé à Paris tout début octobre 1955, sortant de mon “bled” natal, je n'étais même pas un de ces lourds provinciaux dont les impairs faisaient les délices des habitués des “Rallyes”, qui se croyaient délurés et n’étaient qu’un peu plus blasés que les gens normaux : j'étais à l'étage inférieur, celui des Ploucs chroniques… et des noms comme “Marcel Amont” ne risquaient pas d'avoir une place dans mon petit panthéon personnel –alors assez “plein de vide”, je dois l'avouer. Un ami, étudiant à “Sup de Co”, m'a entraîné dans un petit boui-boui pas très loin de la place de la République où sa Promo’ fêtait quelque chose… Et là, j'ai eu un choc, devant un inconnu qui venait d'arriver de son Bordeaux natal, et qui, en plus, ne connaissait pas le seul bordelais que moi je connaissais : mon camarade de promo’ Philippe Joyaux, qui allait bientôt connaître une gloire littéraire méritée puis la faute politique (il fut un chantre ardent du “maoïsme mondain” des années 65-70) sous le nom de Philippe Sollers, avec son superbe roman “Une curieuse solitude” : son univers, à lui aussi, était à des lieues de celui de Marcel Amont… On s’est dit ‘’Au revoir’’....
Puis le temps a passé, trop vite et si lentement comme toujours. Lui m'avait tout naturellement oublié et moi je me souvenais de cette bombe de talent, de finesse et de drôlerie vraie. Je “suivais” sa carrière dans la presse, et je travaillais (guitare, piano et chant, comme toujours) chacun de ses succès… qui font toujours partie de mes “morceaux de bravoure”. Nos chemins se sont brièvement croisés deux ans plus tard, lorsque j'ai eu l'occasion de remplacer, pour quelques mois, “Schubert” (mais oui… Manque de pot, ce n'était pas Franz. Le “mien”, pianiste, n'était pas très connu mais s'était cassé le poignet : à moi de jouer !) comme accompagnateur de Jean-Claude Darnal, un chanteur “rive gauche”, ami de Marcel Amont. Rien à dire sur ces non-retrouvailles : il était devenu “Monsieur” Amont… et moi, j'étais resté un étudiant qui “se faisait” un peu d'argent de poche en pianotant à travers le Quartier Latin… Il y a des âges où 5 ans d'écart pèsent lourd et créent une vraie différence.
Il a fallu un demi-siècle et l'aube des années 2000 pour que, par un hasard trop grand pour être dû… au hasard, ma Maman et Mme Laborde –la Maman de son adorable épouse Marlène– se cassent le même jour le col du fémur (chacune le sien, évidemment !), et aillent se faire rééduquer à la clinique “de la Porte Verte”, à Versailles… où nous nous sommes vus, revus, découverts, appréciés, trouvés… C'est là que j'ai découvert les mille et une richesses de cet archétype de “mec talentueux”. Je me suis mis à faire partie des habitués de sa belle maison de St Cloud, et je suis devenu un des utilisateurs patentés (et très tentés, en même temps) de son piano noir… où nous faisions des “quizz’’ : ’'Et celle-là, tu la connais ?” – un jour, il était arrivé tout content d'avoir “découvert” Connaissez-vous la Touraine, de Francis Linel. Manque de bol, je la connaissais, il en était tout déçu !).
Souvenirs : leur panique à tous deux (Marcel et Marlène) lorsque leur ravissante fille Romélie –comme sa grand-mère !– en vacances à Phuket, a été frappée par le tsunami du 26 décembre 2004, laissant ses pauvres parents sans aucune nouvelle pendant plusieurs jour alors que circulaient des images d'horreurs et de morts. Elle fut sauvée, ainsi que Alain Chabat, mais ils ont mis très longtemps à reprendre leur souffle… Ou encore, leur joie lorsque leur fils Mathias Miramont a “intégré” la même grande Ecole que moi –ce dont lui se foutait totalement, sa vocation était ailleurs.
Et le temps passait, apparemment sans laisser de traces sur le corps sec et souple de cet ancien ‘’prof de gym’’ qui, à 90 ans bien sonnés, refaisait son “gag-exploit” consistant à marcher… se trouver arrêté par une chaise, continuer à marcher en montant d'abord sur l'assise, puis sur le dossier… La chaise se renversait sous son poids… et lui continuait sa ‘’marche’’, sans le moindre changement de rythme ou d'allure… Je n'ai jamais osé essayer… et je mourrai en l'enviant d'avoir su faire ça !
Au revoir, cher “Mexicain basané”. Ou plutôt… A Dieu. Tu es dans ce ciel que tu voyais “Bleu, Blanc, Blond”, et tu sais, maintenant, s'il est occupé ou désertique…
Ton ami Claude, qui te pleure…
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[JOUR J] Jean Malaurie, le dernier roi du Pôle
Spécialiste du monde arctique, l’explorateur Jean Malaurie fête aujourd’hui jeudi 22 décembre 2022 ses 100 ans. L’homme qui parle aux pierres a vécu mille vies en une. Tout un siècle d’observations et de réflexion est résumé selon le quotidien Paris-Normandie dans son dernier ouvrage : « De la pierre à l’âme ».
QUI EST-IL ?
Jean Malaurie Né le 22 décembre 1922
Explorateur spécialiste des régions arctiques et anthropo-géographe (comme il aime à se définir), Jean Malaurie a d'abord étudié la géomorphologie avant de se joindre en 1948 au Groenland à une expédition conduite par Paul-Émile Victor. Le Grand Nord et ses habitants vont dès lors devenir son domaine d'étude.
Directeur de recherche émérite au CNRS, Jean Malaurie va ensuite diriger le Centre d'Études Arctiques à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales. La première chaire de géographie polaire est créée pour lui en 1957 par le grand historien Fernand Braudel. Parallèlement, il fonde et dirige la célèbre collection Terre Humaine chez Plon éditions.
Scientifique engagé et écrivain de renom, Jean Malaurie va publier de nombreux ouvrages, dont des best-sellers comme Les Derniers rois de Thulé (1955), traduit en 23 langues, Ultima Thulé (1990), L'Appel du Nord (2001) ou encore Hummocks (2003-2005), tous consacrés (comme ses 9 films) au Groenland et à ses eskimos. Président d’honneur à vie de l'Académie Polaire à Saint-Pétersbourg, docteur Honoris Causa de l'Université d'État de Saint-Pétersbourg Ambassadeur de Bonne Volonté pour les régions polaires arctiques à l’Unesco, Jean Malaurie accumule les prix et les distinctions en France comme à l’étranger.
CITATION
«Voyageant seul, j'ai vécu plusieurs mois avec les Inuit - et comme les Inuit. On allait à la chasse, à la pêche ensemble. On partageait la soupe au sang. Peu à peu, ils ont cessé de se méfier et m'ont adopté. Ils pressentaient que leur société ancestrale était menacée et ont compris que je pourrais devenir en quelque sorte leur secrétaire, leur témoin irréfutable, leur avocat. Le plus dur fut de les amener à s'intéresser à eux-mêmes »
Jean Malaurie, L’Art du grand Nord, 2001
REVUE DE PRESSE
TÉLÉRAMA
Jean Malaurie a 100 ans… toute une vie d’aventures à explorer dans ses Mémoires
https://www.telerama.fr/livre/jean-malaurie-a-100-ans-toute-une-vie-d-aventures-a-explorer-dans-ses-memoires-7013576.php
L’explorateur Jean Malaurie : “Je ne considère pas la fin du monde comme une certitude absolue”
https://www.telerama.fr/idees/lexplorateur-jean-malaurie-je-ne-considere-pas-la-fin-du-monde-comme-une-certitude-absolue-6671495.php
LE JDD
Jean Malaurie, l’anthropogéographe qui a osé résister
https://www.lejdd.fr/Culture/jean-malaurie-lanthropogeographe-qui-a-ose-resister-4146191
LA VIE
Jean Malaurie : “Il faut aimer l’autre pour commencer à le comprendre”
https://www.lavie.fr/idees/debats/jean-malaurie-il-faut-aimer-lautre-pour-commencer-a-le-comprendre-6523.php
LA CROIX
Jean Malaurie, voyageur du monde
https://www.la-croix.com/France/Jean-Malaurie-voyageur-monde-2019-06-09-1201027742
SON
Jean Malaurie a 100 ans. Écoutez-le parler de l'Arctique 💙
https://youtu.be/Ld0y8jINVbE
PODCAST
FRANCE CULTURE
Les nuits polaires peintes par Jean Malaurie
Diffusion sur France Culture le mercredi 23 novembre 2022
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/affaire-en-cours/les-nuits-polaires-peintes-par-jean-malaurie-9772155
« Ces pays où l'on n'arrive jamais »
Épisode 2/4 : Ultima Thulé
Diffusion sur France Culture Jeudi 18 août 2022
Le deuxième volet de la série de quatre émissions sur les “Pays où l’on n’arrive jamais” porte sur Thulé, non loin du pôle Nord. C’est par la voix si envoûtante de Jean Malaurie que l’on cheminera jusqu’à cette destination à la fois mythologique et pourtant bien réelle.
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-nuits-de-france-culture/ultima-thule-6857093
RFI
Jean Malaurie, une vie parmi les Inuits
Émission “Si loin, si proche » diffusée le 9/08/2019
https://www.rfi.fr/fr/emission/20190811-jean-malaurie-ethnogeologue-francais-vie-inuits
BD
Malaurie, l'appel de Thulé
https://www.editions-delcourt.fr/bd/series/serie-malaurie-l-appel-de-thule/album-malaurie-l-appel-de-thule
Héros contemporain, scientifique et aventurier, Jean Malaurie étudie l'Arctique et sa population depuis plus de 70 ans. Découvrez l'intensité de cette expérience humaine hors du commun et l'urgence de son enseignement... Fin des années 40, la géomorphologie entraîne Jean Malaurie du désert saharien aux terres arctiques. De sarencontre avec les Inuit naît un profond respect pour leur culture et leur approche de la spiritualité. Avec cette biographie dessinée, Makyo, Frédéric Bihel et lui-même, expriment avec force son plaidoyer pour la sauvegarde d'un peuple dont la disparition pourrait préfigurer la nôtre...
Scénaristes : Makyo, Jean Malaurie Illustrateur : Frédéric Bihel Coloriste : Frédéric Bihel
AVIS
« Jean Malaurie, ce géant !
C’est une immense figure mondiale de la science et de l’exploration qui fête aujourd’hui ses cent ans. Né le 22 décembre 1922 et en pleine forme ! Le froid extrême, la glace et l’activité intellectuelle conservent et font les grands hommes…Bon anniversaire, cher Jean Malaurie !
Vous qui, le premier, par vos nombreuses expéditions polaires au Groenland, avez compris et traduit l’esprit Inuit, le peuple le plus septentrional de la Terre ! Vous qui, dans la filiation de Jean-Baptiste Charcot et Paul-Emile Victor avez attiré l’attention internationale dès les années 50 sur les mondes arctiques et leur extrême fragilité ! Vous qui avez créé la mythique collection « Terre Humaine » aux éditions Plon, en y publiant vos « Derniers rois de Thulé » ou « Tristes Tropiques » de Claude Lévi-Strauss ! Chapeau bas, Monsieur Malaurie! »
Olivier Poivre d’Arvor
ARCHIVES
Jean Malaurie : Ultima Thulé
23 janvier 1993 Olivier BARROT présente le livre de Jean MALAURIE, "Ultima Thulé", histoire personnelle de la conquête du pôle Nord. Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel
https://youtu.be/JXe57rTTIsA
BIBLIOGRAPHIE
L’Allée des Baleines (Mille et Une Nuits, 2003, 1ère édition ; 2ème édition revue et augmentée, 2008.
Terre Humaine : Une anthologie (Pocket, 2005 - avec Pierre Chalmin)
Du Nouveau-Québec au Nunavik : 1964-2004, une fragile autonomie (Economica, 2005)
Les Archipels d’une pensée (Apogée, 2004)
Anthropogéographie (Economica, 2002)
Ultima Thulé (Le Chêne, 2001)
L’Art du Grand Nord (Citadelle & Mazenod, 2001)
Fécamp, 1900-2000 : un siècle de vie (Editions Franciscaines, 2000)
Hummocks - Relief de mémoire (tome 2) : Arctique Central canadien (Omnibus, 1998)
Hummocks - Relief de mémoire (tome 1) : Nord Groëland (Omnibus, 1998)
Aventure arctique : ma vie dans les glaces du Nord (Cths - Comité des Travaux, 1998)
Les Derniers Rois de Thulé (Omnibus, 1996)
Le peuple esquimau aujourd’hui et demain (Editions de l’EHESS, 1973)
Photo une : Jean Malaurie au Groenland en 1951 © Terre humaine/Plon
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William Dampier
William Dampier (1651-1715) était un explorateur, navigateur et naturaliste anglais, qui fut le premier à faire trois fois le tour du monde. Il fut également l'un des premiers Anglais à fouler le sol australien lorsqu'il aborda le détroit de King (près de l'actuelle Broome, en Australie occidentale) à bord du Cygnet en 1688.
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ANYIGBA NYUI
Jeudi, 24 octobre 2024
"Mais vous ne voulûtes point y monter, et vous fûtes rebelles à l'ordre de l'Éternel, votre Dieu."
Deutéronome 1, 26 (LSG)
La peur, cette source de désobéissance
Parmi les facteurs qui conduisent les croyants à la désobéissance, la peur occupe une place de choix. La peur de mourir, la peur de perdre ses avantages, la peur de l'autre, la peur du qu'en-dira-t-on, ... nous pousse des fois à poser des actes carrément aux antipodes des commandements de Dieu. Beaucoup de personnes ont échoué seulement à cause de la peur. Mais d'où vient la peur ?
Eh bien, la peur vient d'abord de l'incrédulité. Dans notre commentaire hier, nous avons pu constater comment les Israélites enfin arrivés aux abords de la terre promise ont refusé d'en prendre possession malgré l'avis favorable de Dieu. En lieu et place, ils ont demandé à Moïse d'envoyer des espions pour explorer le pays. La racine du mal était là, dans le manque de confiance envers l'Éternel. Le Dieu qui les a conduits de façon extraordinaire de l'Égypte les abandonnerait-Il aussi près du but ? Cependant, la peur de l'inconnu les a poussés à explorer le territoire avant d'y entrer.
Bien-aimé(e), dans le passage du jour, nous constatons que le retour des espions a plutôt renforcé leur peur. En effet, si les douze explorateurs ont trouvé un pays où coule le lait et le miel, en dehors de Caleb et Josué, les autres n'ont pas trouvé judicieux d'y entrer à cause de ses habitants qui sont horriblement grands et puissants (lire Nombres 13). Ainsi les enfants d'Israël à cause de la peur refusèrent de prendre la terre en possession et se rebellèrent contre l'ordre de Dieu. Ils murmuraient dans leurs tentes, et disaient : "C'est parce que l'Éternel nous hait, qu'il nous a fait sortir du pays d'Égypte, afin de nous livrer entre les mains des Amoréens et de nous détruire".
Cher(e) ami(e), pour avoir désobéi à l'ordre de l'Éternel, toute cette génération d'Israélites est tombée dans le désert, à l'exception de Josué et de Caleb. Cette histoire doit nous servir d'exemple : Ne laissons rien, ni la peur nous faire douter de la Parole de Dieu "Car ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse" (2 Timothée 1, 7) . La Bible dit : "...Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, N'endurcissez pas vos coeurs" (Hébreux 4, 7).
Amen !
Exhortation : Obéis aux commandements de l'Eternel
Texte du jour : Deutéronome 1, 26-33
Edoh Nicolas
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La mission des explorateurs et la nôtre
Utilisons l’histoire des explorateurs pour nous interroger :
“ Ils furent de retour de l'exploration du pays au bout de quarante jours. A leur arrivée, ils se rendirent auprès de Moïse et d'Aaron, et de toute l'assemblée des enfants d'Israël, à Kadès dans le désert de Paran. Ils leur firent un rapport, ainsi qu'à toute l'assemblée, et ils leur montrèrent les fruits du pays. Voici ce qu'ils racontèrent à Moïse : Nous sommes allés dans le pays où tu nous as envoyés. A la vérité, c'est un pays où coulent le lait et le miel, et en voici les fruits. MAIS le peuple qui habite ce pays est puissant, les villes sont fortifiées, très grandes ; Nous y avons vu des enfants d'Anak. Les Amalécites habitent la contrée du midi; les Héthiens, les Jébusiens et les Amoréens habitent la montagne ; et les Cananéens habitent près de la mer et le long du Jourdain. Caleb fit taire le peuple, qui murmurait contre Moïse. Il dit : Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs ! MAIS les hommes qui y étaient allés avec lui dirent : Nous ne pouvons pas monter contre ce peuple, car il est plus fort que nous. Et ils décrièrent devant les enfants d'Israël le pays qu'ils avaient exploré. Ils dirent : Le pays que nous avons parcouru, pour l'explorer, est un pays qui dévore ses habitants ; tous ceux que nous y avons vus sont des hommes d'une haute taille ; Et nous y avons vu les géants, enfants d'Anak, de la race des géants : Nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles. “ (Nombres 13:25-33)
A leur retour, les explorateurs ont fait un rapport pessimiste, voire défaitiste apeurant et décourageant le peuple qui devait conquérir le pays entraînant une grave crise.
” Toute l'assemblée éleva la voix et poussa des cris, et le peuple pleura pendant la nuit. Tous les enfants d'Israël murmurèrent contre Moïse et Aaron, et toute l'assemblée leur dit : Que ne sommes-nous morts dans le pays d’Égypte, ou que ne sommes-nous morts dans ce désert ! Pourquoi l’Éternel nous fait-il aller dans ce pays, où nous tomberons par l'épée, où nos femmes et nos petits enfants deviendront une proie ? Ne vaut-il pas mieux pour nous retourner en Égypte ? Et ils se dirent l'un à l'autre : Nommons un chef, et retournons en Égypte.” (Nombres 14:1-4)
Ils n’ont pas eu la bonne conception de la mission les empêchant de manifester leur foi envers les promesses de Dieu.
Chacun des explorateurs sélectionné était un Prince de chaque tribu (Nombres 13:2) et à eux 12, ils représentaient l’ensemble du peuple, telle une délégation qui se déplace.
Leur mission avait donc un caractère institutionnel, politique, diplomatique dans la reconnaissance stratégique et militaire (étude de la topographie pour mieux attaquer), mais aussi sur la grande fécondité de la terre.
Or, ne se fiant qu’à ce que leurs yeux ont vu (géants, fortifications, peuple puissant), ils ont oublié que la force et la puissance d’une nation ne saurait la sauver de la défaite et de la destruction car c’est Dieu qui donne le pouvoir d’aider et de faire tomber.
“ car Dieu a le pouvoir d'aider et de faire tomber. “ (2 Chroniques 25:8b)
Ils ont exploré selon les aspirations de leur cœur et de leurs yeux en considérant quelles étaient les meilleures places pour les revendiquer ensuite et n’ont retenu que la menace que représentaient les géants.
Oubliant qu’ils sont serviteurs de Dieu, ils ont :
abandonné leur foi,
voulu nommer un nouveau chef à la place de Moïse qui avait été choisi par Dieu,
manifesté l’envie de retourner en Égypte et aux idoles.
Au moment de réaliser leur destin, ils succombent à la tentation du découragement et s’opposent à Moïse porteur du projet messianique.
Tout ne sera qu'une énième répétition à notre époque :
" Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. " (Ecclésiaste 1:9)
La justice de Dieu fut à la mesure de leur culpabilité et renoncement : la mort.
C’est la même chose pour l’observance de la Torah dont l’objectif par sa mise en pratique est de nous faire accéder à un niveau spirituel plus élevé. Si on ne progresse pas et que l’on vit sur des acquis - qui plus est s’ils sont erronés, on est comme les explorateurs, on ne croit pas aux promesses que Dieu nous a faites.
Ce que l’on attend, c’est qu’Il nous donne ce que notre cœur désire, ce que l’on veut voir se réaliser dans notre vie, sans obéir à Sa Parole alors Dieu exercera la même justice pour nous que celle qu’il a eu pour les explorateurs qui ont perdu les portes de la Terre d’Israël (qui devait être le nouveau Jardin d’Éden sur terre).
Avant de s’engager, on a besoin de calculer, de faire une projection mentale sur le résultat à obtenir et surtout estimer la part qui nous revient. On décide avec l’intellect ce qui va être induit par le cœur et les yeux.
“ Garde ton cœur plus que tout autre chose, Car de lui viennent les sources de la vie.” (Proverbes 4:23)
Le cœur est le siège de l’âme (volonté, émotions, pensées).
Raison pour laquelle Dieu va demander aux israélites d’observer une nouvelle règle : le tsitsit, ou frange au bord du vêtement sur laquelle est mis un cordon bleu qui est un moyen éducatif et pédagogique pour rappeler à l’homme d’obéir et de mettre en pratique tous ses commandements.
Déjà en Éden, ce sont les yeux et le cœur (envie et convoitise) qui ont fait chuter Adam et Eve.
“ La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea. Les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures. ” (Genèse 3:6-7)
Nus, ils se cachent car ils ont honte (sentiment qui manifeste la conscience, la voix divine dans l’homme - avoir honte est un cadeau de la part de Dieu car cela nous permet de réaliser l’importance de certains actes).
Avant de les chasser d’Éden, Dieu leur donne un vêtement de peau qui est un rappel de la vocation de l’homme qui ne peut se réduire à être seulement celui qui suit de manière charnelle les aspirations de son cœur, ce que ses yeux voient pour assouvir ses désirs.
Dieu a donné un vêtement de peau au 1er homme sur terre puis le tsitsit au peuple d’Israël.
Si nous ramenons à notre époque, voici ce que Satan va DONNER à l’Antéchrist / l’Impie :
« Le dragon lui donna SA PUISSANCE, et SON TRÔNE, et UNE GRANDE AUTORITÉ. » (Apocalypse 13:2)
« Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné L’AUTORITÉ A LA BÊTE ; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? » (Apocalypse 13:4)
« Et il lui fut donné UNE BOUCHE qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné LE POUVOIR D’AGIR pendant quarante-deux mois. » (Apocalypse 13:5)
« Et il lui fut donné DE FAIRE LA GUERRE AUX SAINTS, et de LES VAINCRE. Et il lui fut donné AUTORITÉ SUR TOUTE TRIBU, TOUT PEUPLE, TOUTE LANGUE, et TOUTE NATION. » (Apocalypse 13:7)
Les Écritures insistent sur l’autorité (V2, V4, V7) de l’Impie qui s’étendra sur toute la terre.
Le diable se montrera très généreux envers ceux qui seront prêts à l’adorer comme il voulu l’être avec Yahshua / Jésus dans le désert quand il lui a proposé un marché :
“ Le diable, l'ayant élevé, lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et lui dit : Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes ; Car elle m'a été donnée, et je la donne à qui je veux. Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à toi. Jésus lui répondit : Il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. “ (Luc 4:5-7)
Ce que Yahshua / Jésus a refusé, l’Impie l’acceptera volontiers, c’est-à-dire qu’il se placera sous l’autorité du diable, le prendre pour Maître et l’adorer afin de tout recevoir de lui à l’échelle mondiale.
Gloire, adoration, autorité universelle, comme les chanteurs, acteurs ou autre catégorie de personnes connues qui ont fini par avouer s’être livrés à Satan et avoir établi un pacte avec le diable et dépendre du monde occulte.
Le diable n’a jamais changé les termes de son contrat.
Durant son ministère terrestre, Yahshua / Jésus dépendait totalement de Dieu son Père et recevait tout de Lui.
“ Vous savez comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus le nazaréen, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous la domination du diable, car Dieu était avec lui.” (Actes 10:38)
Réflexion partagée :
Est-ce que comme les explorateurs, on ne serait pas tenté de faire un rapport du monde actuel qui correspond à la réalité, mais qui manque de foi quant à la finalité oubliant les promesses de Dieu et sa protection singulière envers son peuple qui lèvera et aplanira les obstacles tant sur le terrain physique que sur le plan des esprits tentés par le doute et la renonciation ?
Est-ce que nous ne serions pas tentés nous aussi de trouver que l’adversaire est plus fort que Celui qui nous a rachetés et vouloir retourner dans notre “égypte” et auprès de nos anciennes idoles ?
Est-ce que nous n’allons pas trouver le temps long comme les vierges folles qui se sont endormies ou accablés par les soucis de la vie, est-ce que le chagrin des épreuves et des pertes à venir aurait le dessus de notre foi ?
Est-ce que nous n’aurions pas envie comme le peuple à l’époque de murmurer, pousser des cris et pleurer pour que Dieu nous donne ce que notre coeur désire parce que nous avons l’habitude de faire des compromis et de contourner certaines situations ?
Alors voici ce que Dieu le Père a donné à Yahshua / Jésus, notre Roi, afin d’entretenir notre foi et notre zèle :
“ Car, comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d'avoir LA VIE en lui-même. “ (Jean 5:26)
“ Et il lui a donné LE POUVOIR DE JUGER, parce qu'il est Fils de l'homme. “ (Jean 5:27)
“ Moi, j'ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les œuvres que le Père m'a donné d'accomplir, CES OEUVRES mêmes que je fais, témoignent de moi que c'est le Père qui m'a envoyé.” (Jean 5:36)
“ Je ne parlerai plus guère avec vous ; car le prince du monde vient. Il n'a rien en moi ; mais afin que le monde sache que j'aime le Père, et que j'agis selon LES DIRECTIVES (Commandements) que le Père m'a donné, levez-vous, partons d'ici.” (Jean 14:30-31)
“ Après avoir ainsi parlé, Jésus leva les yeux au ciel, et dit : Père, l'heure est venue ! Glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie, selon que tu lui as donné POUVOIR SUR TOUTE CHAIR, afin qu'il accorde LA VIE ÉTERNELLE à tous ceux que tu lui as donnés. ” (Jean 17:1-2)
” Car je leur ai donné LES PAROLES (enseignements) que tu m'as données ; et ils les ont reçues, et ils ont vraiment connu que je suis sorti de toi, et ils ont cru que tu m'as envoyé. ” (Jean 17:8)
“ Je leur ai donné LA GLOIRE que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme nous sommes un… ” (Jean 17:22)
“ Maintenant ils ont connu que TOUT ce que tu m'as donné vient de toi.” (Jean 17:7)
Yahshua / Jésus résume toute cette réalité divine en Sa Personne ainsi que le Plan de Dieu à travers Lui quand juste avant son ascension, il proclame :
“ TOUT POUVOIR m’a été donné dans le ciel et sur la terre. ” (Matthieu 28:18)
Les apôtres ont été saisis par cette révélation de Yahshua / Jésus et de sa plénitude divine.
“ Il est la tête du corps de l’Église ; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être EN TOUT le premier. Car Dieu a voulu que TOUTE plénitude habitât en lui ; Il a voulu par lui réconcilier TOUT avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. “ (Colossiens 1:18-20)
�� Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; Et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.” (Jean 1:14)
Qu’en est-il de nous ?
“ Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères. Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés ; Et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés ; Et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés. Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? “ (Romains 8:29-31)
Nous devrions donc dépendre entièrement de Dieu par Yahshua / Jésus et ne jamais puiser quelques forces ou ressources en nous-mêmes.
C’est le secret d’une vie spirituelle épanouie, triomphante et fructueuse :
- obéir à la Torah (Commandements et lois) - dépendre de Dieu au travers de Yahshua / Jésus.
Comme le sarment dépend du cep.
“ Vous avez TOUT pleinement en lui, qui est le chef de TOUTE domination et de TOUTE autorité. “ (Colossiens 2:10)
Merveilleuse promesse et glorieuse réalité pour chacun d’entre nous.
Aussi, recevons de Dieu par son Fils Yahshua / Jésus :
la PUISSANCE du Ruah Ha Kodesh pour faire la volonté de Dieu
“ Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. “ (Actes 1:8)
la capacité d’accomplir les OEUVRES de Dieu
“ En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père “ (Jean 14:12)
“ Cette assurance-là, nous l'avons par Christ auprès de Dieu. Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. “ (2 Corinthiens 3:4-5)
les DIRECTIVES pour notre vie et la capacité de marcher toujours dans le plan de Dieu
“ Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. “ (Jean 8:12)
les ENSEIGNEMENTS à dispenser
“ Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné. “ (1 Corinthiens 11:23) " C'est pourquoi exhortez-vous l'un l'autre et édifiez-vous l'un l'autre, chacun en particulier, comme aussi vous le faites. Or nous vous prions, frères, de connaître ceux qui travaillent parmi vous, et alors, encouragez-vous les uns les autres et construisez la communauté comme vous le faites déjà. Ayez pour eux beaucoup d'affection, à cause de leur oeuvre. Soyez en paix entre vous. " (1 Thessaloniciens 5:11-13)
le TÉMOIGNAGE à proclamer même dans les heures les plus sombres d’opposition et de persécution
“ Mais, quand on vous livrera, ne vous inquiétez ni de la manière dont vous parlerez ni de ce que vous direz : Ce que vous aurez à dire vous sera donné à l'heure même ; car ce n'est pas vous qui parlerez, c'est l'Esprit de votre Père qui parlera en vous. “ (Matthieu 10:19-20)
la LOUANGE et l’action de grâce à adresser à Dieu
“ Mais nul ne dit : Où est Dieu, mon créateur, Qui inspire des chants d'allégresse pendant la nuit “ (Job 35:10)
Notre croissance spirituelle ne se fait pas par addition, mais par nutrition, par absorption régulière de nourriture solide (enseignements) et par sa mise en pratique.
“ Qu'est-ce donc qu'Apollos, et qu'est-ce que Paul ? Des serviteurs, par le moyen desquels vous avez cru, selon que le Seigneur l'a donné à chacun. J'ai planté, Apollos a arrosé, mais Dieu a fait croître, en sorte que ce n'est pas celui qui plante qui est quelque chose, ni celui qui arrose, mais Dieu qui fait croître. Celui qui plante et celui qui arrose sont égaux, et chacun recevra sa propre récompense selon son propre travail. “ (1 Corinthiens 3:5-8)
Notre maturité dépend de notre obéissance, fidélité, persévérance, à respecter les commandements, shabbat, fêtes, méditation,
Alors cessons de nous plaindre et de nous montrer négligents et ingrats car nous avons été choisis par l’Éternel pour nous tenir à son service devant Lui, être ses serviteurs et servantes et pour lui être agréables (selon 2 Chroniques 29:11).
C’est notre responsabilité d’étudier, de mettre en pratique, d’obéir et alors Dieu bénit et arrose pour que nous nous développions.
La porte est toutefois étroite, les épreuves douloureuses et difficilement tenables par moment. Nous fantasmons beaucoup et nous nous illusionnons sur notre état spirituel. Quand les tribulations sont là, rappelons-nous que nous n'avons pas à nous mêler des calculs divins que ce soit pour nous-mêmes ou pour les autres.
Ce cheminement nous permet de nous rapprocher de notre Créateur au travers de son Fils Yahshua / Jésus, de grandir et de nous élever, nous sommes comme un arbre mais inversé, nos racines étant au ciel.
Que Dieu nous aide et nous fortifie au nom de Yahshua / Jésus.
Source : Juda & Ephraïm
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Defender 130 de Land Rover
Le 7 mars 2024
Il y a de ces voitures que l’on n’oubliera jamais. Il y a aussi de ces marques qui, malgré leurs défauts, attirent toujours les amateurs de voitures. Par exemple, pour moi, les Cobra, les Jeep, les Lincoln et, pourquoi pas, les Rolls Royce m’ont toujours interpellées. J’oubliais! Ajoutez Land Rover à la liste!
Pourquoi Land Rover? Je ne sais pas. En fait, il faudrait que je sois plus précis : les Land Rover Series I-II ou Defender. Dans le passé, quand la marque était indépendante, j’avais la possibilité d’emprunter des Land et des Range Rover en plus de participer à plusieurs des évènements de la faction canadienne de la compagnie. J’ai donc fait plusieurs excursions hors-route avec des Land Rover, surtout des Defender et, malgré leur conception un peu trop robuste (style tracteur de ferme) avec des toitures en toile qui laissaient passer l’eau et ainsi de suite, les Land Rover m’attiraient quand même!
C’est pourquoi, quand il y a un Land Rover dans les parcs des voitures de constructeurs, j’essaie de l’obtenir, ne serait-ce que pour quelques jours. C’est ce qui m’a amené à demander le tout récent modèle 130 P400 SE au constructeur afin de l’évaluer pendant une semaine. Je n’ai pas besoin de vous dire que je me suis régalé! Malheureusement, les conditions météorologiques ne m’ont pas permis de faire du hors-route avec le véhicule. Dommage car c’est là qu’il excelle! J’aimerais tellement faire le sentier du Rubicon (que j’ai fait trois fois dans ma vie!) pour vraiment le mettre à l’épreuve.
La toute dernière version du Land Rover Defender a une gueule reconnaissable. (Photo Éric Descarries)
Néanmoins, j’ai pu comprendre, avec mon essai hivernal à Montréal, pourquoi tant de gens qui ne semblent avoir aucun attrait ni tendance off-road se procurent des Defender que pour leurs déplacements locaux…en veston et cravate pou en tailleur! Car les nouveaux Defender à quatre portes se classent désormais parmi les véhicules de luxe! Et quand il s’agit d’un Defender 130, c’est vraiment le luxe qui prime!
De l’arrière, j’aurais mieux aimé un dessin moins rudimentaire des feux d’arrêt. Mais le coffre extérieur suspendu a beaucoup fait jaser! (Photo Éric Descarries)
Le Defender a été abandonné quelques années en 2016 afin de donner le temps à Land Rover de le refaire au complet. Il nous est revenu autour de 2020 mais dans un format tellement plus moderne et élaboré qu’il soit passé de Tracteur à Véhicule de luxe. Dans le cas de celui que vous voyez, il s’agit de la plus récente version dite 130 avec arrière allongé (l’empattement est le même que celui du 110 (119 pouces) mais la carrosserie en est 13 pouces plus longue.
Toute une évolution depuis le Defender (rouge) 1995 de mon ami Marcel ! (Photo Éric Descarries)
Malheureusement, le 130 dont il est question ici n’est pas à huit passagers (une option possible avec le 130) mais il demeure un véritable camion tout-terrain avec toutes les habiletés qu’on lui connaît. Notez que celui qui m’a été prêté avait les accessoires Explorateurs avec une valise verrouillable sur le côté de droite, un support sur le toit (d’une capacité de charge de 300 kilos) et une échelle escamotable sur le côté de gauche. La version Outbound se distingue par des panneaux latéraux tout à l’arrière pour cacher ce qui se trouve dans le coffre. Celui-ci s’atteint en ouvrant la portière arrière (ce n’est pas un hayon) de gauche à droite. Enfin, ce grand VUS avait une peinture noire (Santorini Black) plutôt matte qui faisait ressortir ce Defender des autres véhicules l’entourant. Pour apprécier le style, je laisse cela à votre discrétion.
Le design du tableau de bord n’a pas été surfait. (Photo Éric Descarries)
L’intérieur est, on s’en doute, superbe. On est loin des intérieurs presque sans finition des Defender des années quatre-vingt dix. Cette fois, il s’agit bien d’un véhicule des plus luxueux. Toutefois, pour rappeler les origines du Defender, son constructeur, Land Rover, y a laissé des écrous bien évidents (mais stylisés) pour l’assemblage de plusieurs composants. Le tableau de bord est simple mais bien stylisé incluant des barres de rétention pour les passagers. L’instrumentation de style vidéo est bien placée devant le conducteur qui jouit d’une visibilité inégalée grâce aux grandes glaces. Mais pour les autres informations, il faut faire un peu de recherche dans l’ordinateur. Le volant fait plutôt robuste mais il n’est pas trop encombré de commandes redondantes. Et l’écran principal, quand même de bonnes dimensions, est idéalement placé au centre de la planche de bord. Il inclut le système d’infodivertissement pivi qui illustre aussi comment la puissance est passée aux deux ponts.
La console, toujours aussi grosses et un peu encombrante n’a pas les multiples touches que l’on voyait sur les plus luxueuses Range Rover. En effet, au lieu des bras mécaniques et les réglages manuels que l’on utilisait autrefois, aujourd’hui, ce sont des commandes tactiles que l’on doit utiliser sur l’écran. Je sens que bien des irréductibles de l’ancienne technologie vont grincer des dents ici!...Moi aussi… Évidemment, les sièges avec leur superbe sellerie sont très confortables alors que les occupants peuvent les régler selon leur bon vouloir (et ce ne sont pas les réglages électriques qui manquent…). Mentionnons que l’intérieur de ce tout-terrain est facilement atteignable avec des seuils de portières plutôt bas (la suspension pneumatique peut abaisser le véhicule pour cette fonction).
Les places arrière sont à la fois luxueuses et invitantes. (Photo Éric Descarries)
Les places arrière sont également invitantes surtout que les passagers peuvent profiter de commandes agréables comme le chauffage. Le véhicule qui m’a été confié n’avait pas de banquette tout à l’arrière (l’espace sous le plancher étant réservé aux batteries du système hybride-électrique) mais un grand coffre avec un panneau de rangement sous le plancher pour quelques outils.
Le coffre est vaste mais il faut savoir que sous le plancher, il y a les batteries du système hybride électrique de 48 volts. (Photo Éric Descarries)
Une mécanique originale
Quoiqu’il y ait un quatre cylindres turbocompressé en équipement de base sur les plus petits Lande Rover, ce modèle 130 P400 avait, sous le capot, le plus récent moteur du groupe Ingénium de Jaguar Land Rover, un six cylindres en ligne turbocompressé et suralimenté de 395 chevaux et 406 li.-pi. de couple qui est également combiné à un moteur électrique de 48 volts tenant place d’alternateur et qui relance le moteur alors qu’il est neutralisé à l’arrêt. La seule boîte de vitesses disponible est une automatique à huit rapports. Évidemment, la motricité se fait en permanence aux quatre roues grâce à un boîtier de transfert à deux vitesses (à commande électronique) et un différentiel central Thorsen LSD (Limited Slip Differential) à glissement limité. Le pont arrière est aussi disponible avec un tel différentiel. La suspension de mon véhicule d’essai était pneumatique, je le répète. Elle est indépendante à l’avant et à bras tirés à l’arrière mais avec des ressorts hélicoïdaux tout le tour. Incidemment, le nouveau Defender n’a pas de châssis cadre rigide comme les anciennes versions alors que la caisse est désormais autoporteuse. Enfin, les pneus d’origine étaient des Goodyear Wrangler Territory Duratrac (un peu bruyant mais très efficaces comme ils ont pu le prouver dans le passé). La capacité de remorquage est de 3000 kilos.
L’échelle amovible sur le flanc de gauche du Defender permet à l’utilisateur de la version Explorateur de grimper sur le toit pour atteindre le support. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Oui, sur la route parce que je n’ai pas eu la possibilité de jouer avec le Defender sur mon terrain d’essai préféré. Vous comprendrez qu’il est actuellement un champ de boue et que les chances de m’y embourber étaient très élevées. Il aurait certes fallu un vrai tracteur de ferme pour m’en sortir.
J’ai donc roulé en Defender comme tout bon citadin (banlieusard, devrai-je dire). Au départ, à moins que je ne me trompe, c’était la première fois que j’essayais le moteur Ingenium à six cylindres. Malgré sa grande puissance, il lui faut quand même entre sept et huit secondes pour atteindre les 100 km/h (ce qui est, malgré tout, pas si mal pour un véhicule de près de 6000 livres!). Bien entendu, grâce cette fois à la même boîte automatique, les reprises peuvent être étonnantes.
Mon ami et maître mécanicien d’expérience Giovanni était très intéressé par le moteur à six cylindres dont nous avons dû retirer le couvercle de plastique pour (essayer d’y) comprendre ce dont il était question. (Photo Éric Descarries)
Quant au comportement routier du Defender, au départ, le conducteur peut profiter de la direction à crémaillère qui est plus précise que celle de certaines concurrentes comme, surtout, la Jeep Wrangler. La suspension pneumatique qui équipait mon véhicule d’essai était ajustable donc, on pouvait y choisir le niveau du confort. Elle n’était surtout pas trop ferme. Quant à la visibilité, on le répète, elle est très bonne.
Ce qui est dommage, c’est qu’il n’a pas neigé durant cette période d’essai. Donc, il me fut impossible d’analyser ses capacités de traction et de stabilité. Cela veut dire qu’il me faudra redemander ce véhicule au cours des prochains mois pour en vérifier les autres capacités. Mais y a-t-il vraiment beaucoup de propriétaires de Defender qui se risqueraient d’attaquer des sentiers rudes et d’égratigner la peinture d’un véhicule aussi coûteux?
Mon Defender d’essai était chaussé de pneus tout terrain homologués Goodyear Wrangler Duratrac qui ont fait leur preuve. (Photo Éric Descarries)
Parlant de coût de mon Defender d’essai, le prix de cette version P400 avec la motorisation dite hybride légère était de 93 000 $. Parmi les 5120 $ d’options, on retrouvait les phares avant Black Eyes de 250 $, l’ensemble de remorquage de 700 $, la finition Black Pack de 750 $, l’ensemble Cold Climate de 1550 $ pour nos hivers (plus ou moins) froids, l’ensemble plus robuste de 1360 $, l’ensemble élaboré de conduite hors-route de 850 $, les écrous de roue argentés de 210 $ et quelques autres accessoires. Sur la même facture, ajoutez le transport et la préparation de 1950 $ et on en arrive à un montant final de quelque 110 070 $ (plus la taxe de 100 $ pour la climatisation, les taxes provinciales et fédérales et la surtaxe de luxe…). Du côté de la consommation, j’ai obtenu une moyenne de 16,06 l/100 km lors de ma semaine d’essai. Il faut dire que la majorité de ma conduite s’est faite en condition urbaine et que le véhicule pèse environ 6000 livres, il ne faut pas l’oublier…
En vérité, le Defender n’a pas beaucoup de concurrence. La Jeep Wrangler est peut-être aussi agile mais elle n’est certes pas aussi luxueuse. Il y a la nouvelle Lexus 550 qui se pointe mais ses preuves restent à faire…Le Defender aura toujours une grande attraction et pas que sur moi…Il ne reste que la fiabilité à discuter. Elle n’a pas toujours été des plus glorieuses. Toutefois, tout indique qu’elle soit en nette amélioration. Ça augure quand même bien…
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Bougainville Louis-Antoine de - Voyage autour du monde
Bougainville Louis-Antoine de - Voyage autour du monde : Louis-Antoine de Bougainville était un explorateur et navigateur, premier français à avoir réalisé un tour du monde. Voyage autour du monde est le récit de cette expédition réalisée de 1766 à 1769. Un voyage riche en découvertes géographiques et ethniques mais aussi scientifiques, de Bougainville étant accompagné de quelques scientifiques de qualité. Entre le départ de Brest et le retour à Saint-Malo, de Bougainville est notamment passé par le rio de la Plata en Argentine, le Brésil, les îles Malouines où il participera l’installation d’une première colonie, le détroit de Magellan et la terre de Feu, une étape particulièrement instructive à Tahiti avant de rejoindre Batavia aux mains des Hollandais, puis retour via le cap de Bonne Espérance. Un récit à la fois instructif et passionnant qui nous aide a bien comprendre ce que pouvait être une expédition de navigateurs au 18e siècle. Les risques et difficultés sont très nombreux, nécessitant beaucoup de compétences, de courage et de détermination pour arriver à ses fins, et éviter les pires déboires : techniques de navigation rudimentaires, cartes marines incomplètes et contenant des erreurs, les aléas de la météo, la casse et les bateaux à réparer, l’isolement, les difficultés d’approvisionnement, de stockage et de conservation des aliments, ce qui a pour effet de provoquer carences et maladies comme le scorbut, les rencontres parfois hostiles. Aussi de Bougainville, en plus d’être un explorateur et un navigateur très compétent, est un écrivain talentueux. Très respectueux bien que marqué de son époque et de ses termes, il nous permet ainsi de vivre des moments passionnants dans la peau d’un explorateur du 18e siècle. "J'ai répondu, et je réponds ici une fois pour toutes, que je n’ai point choisi : l’insulaire venu en France avec moi s’est embarqué sur mon vaisseau de sa propre volonté, je dirai presque contre la mienne. Assurément j’aurais regardé comme un crime d’enlever un homme à sa patrie, à ses pénates, à tout ce qui faisait son existence, quand bien même j’aurais imaginé que la France adopterait et qu’il n’y resterait pas à ma charge. Il y est resté onze mois, pendant lesquels il n’a témoigné aucun ennui. L’empressement pour le voir a été vif, curiosité stérile qui n’a servi presque qu’à donner des idées fausses à des hommes persifleurs par état, qui ne sont jamais sortis de la capitale, qui n’approfondissent rien, et qui, livrés à des erreurs de toute espèce, ne voient que d’après leurs préjugés et décident cependant avec sévérité et sans appel. Cependant, quoique Aotourou estropiât à peine quelques mots de notre langue, tous les jours il sortait seul, il parcourait la ville, et jamais il ne s’est égaré. Souvent il faisait des emplettes, et presque jamais il n’a payé les choses au-delà de leur valeur. Le seul de nos spectacles qui lui plût était l’opéra, car il aimait passionnément la danse. Il connaissait parfaitement les jours de ce spectacle ; il y allait seul, payait à la porte comme tout le monde, et sa place favorite était dans les corridors. Parmi le grand nombre de personnes qui ont désiré le voir, il a toujours remarqué ceux qui lui ont fait du bien, et son cœur reconnaissant ne les oubliait pas.» Téléchargements : ePUB - PDF - PDF (Petits Écrans) - Kindle-MOBI - HTML - DOC/ODT Read the full article
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Discussion scientifique
En juillet 1085 l'observatoire céleste lance une mission sur quatre ans qui doit faire atterir un homme sur Titan le 25 juillet 1085 l'observatoire lance une invitation à chacun des pays ayant participé à l'exploration du ciel pour aller dans l'espace une délégation de l'observatoire céleste annonce de ce fait que Titan est une lune et qu'il serait possible de faire atterir un homme comme sur le continent de Forhost qui est la mission d'alunissage ayant réussie malgré les risques en juillet 1085 l'empire kami la scalburgie l'archipel sont invités à envoyer leur scientifique pour la majorité ayant vécu l'exploration céleste de 1031 ces trois pays répondent de manière favorable à lancer une mission nouvelle pour explorer l'espace et lancer 50 ans après des hommes dans le ciel les technologies ont stagné et de ce fait la fin de l'exploration du ciel et son apothéose avec la sortie extrastellaire qui n'était pas prévue dans le plan de vol des vaisseaux Maple V Masukudan I Seiboun I et Monoko I et qui à montré l'espace sur les téléviseurs de la planète terre avait nourrit l'espoir d'aller plus haut que le ciel et de faire un orbite terrestre voir atterir au delà de la terre
Huit pays unis
C'est signé le 8 août 1085 les quatres pays explorateurs du ciel lance la mission Titan qui doit faire atterir l'homme sur Titan tout est repris de l'exploration céleste les calculs de trajectoire sont repris et les anciens vaisseaux sont tous modernisé mais un rapport flagrant vient alarmer sur le fait que les vaisseaux ne sont pas conçu pour aller dans l'espace leur coque ne pourrait pas résister à la chute de pression et risque d'exploser il faut donc des vaisseaux moderne et revoir chacun des vaisseaux
Base spatiale planétaire de Hongaria
Base spatiale planétaire de Masukudan
Mission d'alunissage
Décollage
Orbite terrestre
Voyage lunaire
Orbite lunaire
L'allunissage
Le premier pas sur Titan
Exploration de Titan et résultat
[IMG=CVN]
L'homme sur Titan
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Conséquence de la mission
L'atterissage sur Titan était voué à l'échec la mission de reconnaissance de la sonde Masukudan II s'est soldé par le crash de cette sonde sur la surface de la lune la base spatiale planétaire de Hongaria avait des doutes de la faisabilité de faire atterir un homme sur Titan et ce en moins de deux mois entre le premier voyage et l'atterrissage sur terre qui était encore non calculé malgré les calculs innombrables environs quatre fois plus de théorème et de calculs de masse de trajectoire de poussée et d'inertie la mission d'alunissage avait de grande chances d'échouer du fait de la gravité de Olympia qui pouvait avaler le vaisseau et le désorbiter de Titan comme pour la sonde lunaire le 4 septembre un rapport de l'armée aérienne céleste de la base de l'archipel indique que le décollage depuis l'archipel entre l'empire céleste et les kami à une chance sur quatre de réussir et que atteindre l'orbite de la terre à environ une chance sur deux se lancer sur Titan requiert une courte période de quatre jours pour atterir sur Titan en deux mois l'homme se pose sur Titan
[IMG=IZC]
La dernière lune
Calculs de la dernière planète
En décembre 1088 les calculs de l'observatoire spatial planétaire de Masukudan trouve une dernière planète c'est la huitième planète du système solaire et sa découverte est un choc pour la base spatiale planétaire de Hongaria l'euphorie des orbites de cinques des huit planètes qui avait depassé l'espoir des scientifiques vient pousser au delà des limites tout ce que l'homme sait de l'univers des pourparler entre quinze pays avait prévu de lancer une sonde capable de filmer l'espace et de ce fait découvrir ce qui était plus loin que les planètes dont celle ci était nommée Raftela la planète lointaine qui avait une orbite si lointaine que même Mez 4 ne pouvait la détecter depuis la cinquième planète en juillet 1089 Mez 4 est envoyé sur cette planète
L'observatoire spatial planétaire observe
Mission de la sonde Mez 4
En juillet 1089 Mez 4 quitte l'orbite de la cinquième planète et se lance sur la dernière planète la caméra qui diffuse dans l'observatoire spatial montre l'espace et la dernière planète est enfin atteinte en mai 1091
Décollage
Orbite terrestre
Observation des planète
Orbite de la planète
Découverte d'une lune
Alunissage sur la lune
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Lueur artificielle
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Incident du 5 octobre 1091
Le 5 octobre 1091 l'humanité toute entière avait leur espoir rivé sur une sonde stellaire Mez 4 était envoyé en ultra vitesse à la dernière planète du système solaire celle ci était dans l'ordre primordial une planète de gaz bleue la deuxième planète massive derrière Olympia elle se cachait aux confins de l'espace loin de la terre le voyage jusqu'à cette planète avait pris quatre ans durant lesquelle la base spatiale de Hongaria et de Masukudan se relayer pour piloter la sonde et voir depuis sa caméra très haute définition la dernière planète on décida de nommer cette planète Pierre et sa lune Apollon en août 1091 la sonde Mez 4 quitte l'orbite de Orion et se lance sur Pierre la mission est un orbite de la planète Pierre et de sa lune puis un retour sur terre pourtant l'histoire allait faire date
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Les Guerriers Vikings, entre Mythe et Réalité
Lorsque nous évoquons les Vikings, les images qui nous viennent généralement à l'esprit sont celles de barbares impitoyables, de guerriers sanguinaires naviguant sur les mers pour piller et détruire. Si cette représentation a une part de vérité, elle est loin de donner un portrait complet des Vikings. Ces hommes et ces femmes du Nord étaient bien plus que des pillards. Ils étaient d'habiles artisans, des explorateurs audacieux, des commerçants avisés, et surtout, des guerriers exceptionnels dont l'histoire mérite d'être connue.
1. L'Origine des Guerriers Vikings: De l'âge des Vikings à nos Jours
1.1 Les Vikings : Qui étaient-ils ?
Originaires des pays nordiques (actuelle Scandinavie), les Vikings étaient un peuple de marins, de commerçants et de guerriers. Durant l'âge des Vikings, approximativement de 793 à 1066 après J.C., ils ont joué un rôle majeur en Europe, menant des raids, établissant des colonies et influençant les cultures qu'ils ont touchées.
1.2 De l'Ere Viking à l'ère moderne : L'héritage des guerriers
Malgré la fin de l'âge des Vikings, leur héritage perdure jusqu'à aujourd'hui. Les sagas, les mythes et les légendes des Vikings continuent de captiver notre imagination, et l'influence de leurs guerriers est particulièrement notable. Ils sont souvent représentés dans la culture moderne, que ce soit dans les films, les jeux vidéo, ou la littérature.
2. L'Armement et l'Equipement des Vikings : Plus qu'une simple Hache
2.1 Les Armes de Prédilection des Vikings
Contrairement à la croyance populaire, les guerriers vikings n'utilisaient pas seulement la hache viking. Ils étaient aussi équipés d'épées, de lances, de couteaux et de arcs. Les armes étaient souvent richement décorées et considérées comme des symboles de statut social.
2.2 L'Armure Viking : Entre Protection et Mobilité
Les guerriers vikings privilégiaient la mobilité sur le champ de bataille. Leur armure était donc généralement légère, consistant en un bouclier en bois, une cotte de mailles pour les plus riches, et un casque en fer ou en cuir. Les casques à cornes, souvent associés aux Vikings, sont en réalité un mythe.
3. Les Tactiques de Combat des Vikings : Une Stratégie Efficace et Brutale
3.1 La Stratégie Viking : Mobilité et Surprise
Les Vikings étaient connus pour leur stratégie de combat unique, basée sur la rapidité et la surprise. Ils lançaient souvent des raids rapides et inattendus, utilisant leurs navires pour attaquer et se retirer avant que l'ennemi ne puisse réagir.
3.2 Les Navires Vikings : Le Secret de leur Réussite
Les navires vikings, connus sous le nom de drakkars, étaient parmi les meilleurs de leur époque. Ces navires à la fois rapides et résistants étaient capables de naviguer aussi bien en mer qu'en rivière, permettant aux Vikings de frapper là où on les attendait le moins.
4. Les Berserkers : Les Guerriers d'Elite des Vikings
4.1 Le Mythe des Berserkers : Fureur et Rage au Combat
Parmi les guerriers vikings, un groupe se distinguait par sa fureur au combat : les berserkers. Ces guerriers étaient dit capables d'entrer dans une rage de combat surnaturelle, leur donnant une force et une résistance surhumaines.
4.2 Les Berserkers dans la Société Viking : Crainte et Respect
Dans la société viking, les berserkers étaient à la fois craints et respectés. Associés à la divinité Odin, ils étaient souvent mis à l'écart en raison de leur comportement imprévisible, mais étaient également considérés comme des guerriers d'élite.
5. L'Héritage des Guerriers Vikings : Au-delà des Siècles
5.1 L'Influence des Guerriers Vikings dans la Culture Moderne
L'image des guerriers vikings continue d'influencer notre culture moderne. Dans les films et les séries télévisées, ils sont souvent présentés comme des guerriers féroces et courageux. Dans les jeux vidéo, leurs armes et tactiques sont fréquemment reprises. Même dans la littérature, l'image du guerrier viking est couramment utilisée pour évoquer des personnages forts et résolus.
5.2 Les Guerriers Vikings et leur Impact sur l'Histoire
L'impact historique des guerriers vikings est également significatif. Ils ont joué un rôle crucial dans l'histoire de l'Europe du Nord, influençant les cultures avec lesquelles ils sont entrés en contact. Ils ont également aidé à façonner l'histoire en établissant des routes commerciales, en fondant de nouvelles colonies et en introduisant de nouvelles technologies.
Conclusion: Les Guerriers Vikings, Une Légende Immortelle
Les guerriers vikings, bien plus que de simples barbares, étaient des combattants habiles, des navigateurs compétents et des tacticiens brillants. Leur héritage est indéniable et continue d'influencer notre culture moderne. Les guerriers vikings étaient, et restent, une force à ne pas sous-estimer. L'image que nous avons aujourd'hui de ces guerriers du Nord est le fruit de siècles de mythes et de légendes, mais aussi de vérités historiques. Derrière le stéréotype du guerrier barbare se cache une histoire riche et complexe qui mérite d'être contée.
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"Les explorateurs égarés et les lutins du Père Noël" Il était une fois trois amis, Scott, Pierre et Gregou, qui adoraient passer leur temps libre à explorer les forêts et les champs autour de chez eux. Aujourd’hui, ils avaient décidé d’explorer une vieille cabane abandonnée que d’autres enfants avaient construite il y a de nombreuses années. Tout en ramassant des fleurs et en cherchant […] #HistoireEnPyjama #LectureEnFamille #HistoiresPourEnfants #MomentLecture #RituelDuSoir #Éducation #LireAuxEnfants #Parentalité #Imagination #LittératureJeunesse #HistoiresCourtes #HistoiresGratuites #ÉveilLecture #ComplicitéParentEnfant #5minutesdhistoires #LectureduSoir #Histoiresquotidiennes #Lectureenligne #TempsdeQualité
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Érase una vez... los exploradores (en francés: Il était une fois... les Explorateurs) fue una serie de televisión animada francesa de 26 episodios con una duración de unos 25 minutos. Fue creada por Albert Barillé en los estudios Procidis y difundida por la cadena France 3 a partir del 9 de octubre de 1996. Aparece el fascinante mundo de los exploradores explicado por sus protagonistas desde Alejandro Magno, hasta el Capitán Cook o el propio Armstrong....
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After Il était une fois... la Vie
After the enormous success of Once upon a time… Life, Albert Barillé went on with new versions of Il était une fois… His next instalment, purely French, was Il était une fois… les Amérique (Once upon a time… Americas), aired between 1991 and 1992.
This show was supposed to be a complement of Once upon a time… Man, because Il était une fois… l’Homme was very European-centric and only mentionned the history and development of other continents like Africa, Asia and America. So this show wanted to correct this flaw by being only about the history of the American continent. In 26 episodes we talk about the Native Indians, the Mesoamerican civilizations, Christopher Colombus, Cortés and the conquistadors, the Thirteen colonies, The Revolutionary War, slavery and the Gold Rush. We still have the same animators, the same cast, again music by Michel Legrand. While it was mainly a French production, other European countries helped in the making: Germany, Spain, Italy, Canada, Belgium, Switzerland and Finland.
However, Il était une fois… les Amériques wasn’t a huge success. It wasn’t a bad show, it had a good rating and was popular in France and other countries. But it just wasn’t as huge as the first three shows. It was a fairly normal and good show, but couldn’t reach the cult level of the first shows. Associating that with the change of generations, hence a change in audience, and the new big shows that appeared in the 90s, the Il était une fois… mania slowly started to fade out. While the original series stayed, loved and cherished, the new products started to be neglected and forgotten. An example is that, after Il était une fois… les Amériques, the number of other countries involved in the making of the shows slowly diminished.
In 1994 was launched “Il était une fois… les Découvreurs” (Once upon a time… The Discoverers), about the great discoveries of History, and it goes from the Chinese and Archimedes to Einstein and Armstrong, passing by Pasteur, Edison, Lavoisier, Galileo, Da Vinci and other well-known people.
In 1997, there was “Il était une fois… les Explorateurs » (Once upon a time… the explorers), about the great geographical discoveries. In 26 episodes you discover the stories of Alexander the Great, Erik the Red, Magellan, Vespucci, Vasco de Gama and other ones whose names marked History. Interestingly, the last episodes of this show are reviewing all of the previous shows “Il était une fois…”, so this series was probably planned to be the last one of the franchise.
[ TV Tropes mentions another series, aired in 2008, called “Il était une fois… la Musique”, that was only aired in Spain. Now… I don’t know what were TV Tropes’ sources, but that seems really shady. Why would a series created in France and with a French name, be aired in Spain and not in France? Because “Il était une fois… la Musique” doesn’t exist in France. Or rather, there is one existing, but it is not a TV show by Albert Barillé, but rather a series of book-CDs for really small children, completely unrelated to the other Il était une fois… Now, I’m not saying this show doesn’t exist. I just want to say that all the shows were made by French studios under the direction of Albert Barillé, using designs of French illustrators. As a result, it seems weird to have a series only in Spain… But anyway, let’s move on.]
However, there was one more. It’s “Il était une fois… Notre Terre” (Once upon a time… Our Earth ; but translated in English as Once upon a time… Planet Earth), a show about ecology and sustainable development. As a result, the show here takes a more political and ideological turn, with strong messages on how to fight pollution and save our planet. It was the last show of Albert Barillé, who died in 2009 (the show aired in 2008), and while it was still produced by the French Procidis, the animation was rather done by the Chinese studio Colorland Animation. This ended in the animation being heavily updated, all of the original models being changed to more “realistic” and “modern ones”. And I can tell you, these changes were not welcomed upon the release of the series. They were considered “not needed” and “clumsy”.
Now we still have 26 episodes, where we follow “les héritiers de la planète” (the The heirs of the planet), a group of militant high schoolers creating a newspaper to talk about the state of the planet and how to fight current problems. They are guided in their quests, searches and redaction of articles by Maestro, who explains to them the causes of the current troubles, possible solutions, and give them a way to travel through different countries and continents to see the effect of pollution and climate change through their own eyes. The team is made up of the usual good guys: Pierrot, Psi, Pierrette, Petit Gros (here renamed “Jambo” a play on “Jambon”, Ham in French, and Jumbo), but one interesting addition is that the typical bad guys, Le Teigneux and Le Nabot (renamed here Grumeau, Lump), are here good guys, part of the team and engaged for saving the planet. They stay a bit nasty, they easily mock other people, and stay also prompt to anger and brutal, but here they have a strong conscience and a desire to do good.
In 26 episodes the show talk about the issues of the lack of energy, of limited water supplies, of pollution, deforestation, excessive agriculture, fishing and urbanization… There are also some episodes that are different from the usual “environmental” topic and explores other troubles of our modern world, like the condition of women or the effects of new technologies.
#il était une fois... les amériques#once upon a time... the americans#il était une fois... les découvreurs#once upon a time... the discoverers#il était une fois... les explorateurs#once upon a time... the explorers#il était une fois... notre planète#once upon a time... planet earth#french animation#dessin animé#albert barillé#tv tropes is a bit shady#il était une fois... la musique
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Francis Drake
Sir Francis Drake (1540-1596) était un marin, corsaire et explorateur anglais qui, en 1588, aida à vaincre l'Invincible Armada espagnole de Philippe II d'Espagne (r. de 1556 à 1598) qui tentait d'envahir le royaume d'Élisabeth Ire d'Angleterre (r. de 1558 à 1603). Parcourant l'Atlantique et les Caraïbes pour capturer leurs navires à trésors, les Espagnols appelaient Drake "El Draque" ("le dragon"). Combinant volontiers l'exploration et la piraterie, Drake fit le tour du monde à bord de son navire, le Golden Hind, entre 1577 et 1580. L'un des marins les plus célèbres d'Angleterre et idolâtré de son vivant, Drake était spirituel mais rusé, généreux mais cruel, à la fois audacieux et téméraire, farouchement patriote et presque toujours chanceux - en bref, l'archétype du héros élisabéthain. Il mourut de dysenterie en 1596, lors d'une expédition visant à attaquer une dernière fois la Principauté d'Espagne.
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