#histoire marseillaise
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sensitiveuser · 1 month ago
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Portrait of a Communard (1) : Arthur Arnould (1833-1895)
During the Second Empire, Arthur Arnould was a journalist at the Revue nationale, a newspaper opposed to Napoleon III. In 1870, he joined La Marseillaise.
After the proclamation of the Third Republic, he became assistant librarian of the city of Paris.
On March 26, 1871, he was elected to the Council of the Commune, as a representative of the 4th arrondissement. He was first a member of the Commission of External Relations, whose delegate was Pascal Grousset. In April, he joined the Commission of Labor and Exchange, whose delegates were Augustin Avrial, LĂ©o Frankel, BenoĂźt Malon, and Albert Theisz. He then joined the Commission of Subsistence, under the responsibility of Auguste Viard. Finally, we find him at the Commission de l’Enseingement, under the responsibility of Edouard Vaillant.
During the Commune, Arthur Arnould worked for Le Rappel, La Nouvelle RĂ©publique, and L’ Affranchi. On May 1, alongside Auguste Vermorel, he became an editor at the Journal officiel. When the Committee of Public Safety was created, he was one of the nineteen internationalists of the anti-authoritarian minority, alongside Andrieu, Avrial, Babick, Beslay, Chalain, ClĂ©mence, Cluseret, Frankel, Girardin, Langevin, Lefrançais, Longuet, Malon, Pindy, Serraillier, Rheiz, Vaillant, Varlin. As a reminder, the Committee of Public Safety, following the proposal of Jules Miot, was established on May 1, 1871, by 45 votes to 22. The five members were Antoine Arnaud, Gabriel Ranvier, LĂ©o Meillet, FĂ©lix Pyat, and Charles GĂ©rardin. The anti-authoritarians saw their power confiscated by the Committee of Public Safety; they were ousted from the delegations. On May 15, Arthur Arnoult signed the declaration of the internationalist minority, which publicly denounced the "dictatorship" of the Committee of Public Safety, "The Paris Commune has abdicated its power into the hands of a dictatorship to which it has given the name of Public Safety."
In November 1872, Arthur Arnould was sentenced in absentia to deportation. He therefore took refuge in Switzerland with his wife Jeanne Matthey (Jenny). In Geneva, among the proscribed, he was active in the Socialist Revolutionary Propaganda and Action Section. In 1873, he was sent to Lugano to attend the congress of the International League for Peace and Freedom. A year after the Saint-Imier Congress, he became close to Bakunin.
In 1874, he left for Argentina with Jenny.
In 1876, Bakunin died. Arthur Arnould was one of the people responsible for managing his manuscripts, which he then passed on to James Guillaume. In Geneva, he contributed to the Bulletin de la FĂ©dĂ©ration jurassienne, La Commune, and Le Travailleur. He published L’État et la RĂ©volution (in 1877), and his Histoire populaire et parlementaire de la Commune de Paris (in 1878). With Gustave Lefrançais, he wrote Souvenirs de deux communards rĂ©fugiĂ©s Ă  GenĂšve, 1871-1873.
He also wrote novels under the pseudonym A.Matthey.
In the 1880s, when he returned to France, we can say that the character changed, and not in a good way, for a former communard and anarchist ! In 1881, he joined the Republican Socialist Alliance, a reformist socialist party of which Clemenceau was a member... A few years later, he had to deal with Jenny's death... The worst thing about his evolution was that he would have accepted to be decorated with the Order of Isabella the Catholic ! Then he joined an esoteric sect, the Theosophical Society.
Nevertheless, I would not say that he had completely erased his past as a communard and anarchist, since he still wrote an article about Bakunin in the Nouvelle Revue in 1891.
He died in 1895.
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claudehenrion · 2 years ago
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Allonzenfants de la Patri-i-i-eu

 Cet â€œĂ©dito” date un peu. J'ai commencĂ© Ă  l'Ă©crire il y a 15 jours, sous le coup d'une forte “dĂ©ceplĂšre” –mĂ©lange de dĂ©ception et de colĂšre que notre PrĂ©sident semble vouloir susciter Ă  longueur d'annĂ©e, comme s’il voyait vraiment les français-de-base avec un bĂ©ret vissĂ© sur la tĂȘte et une baguette sous le bras
 alors qu’au contraire, ce sont en majoritĂ© des braves types, plus qu'il ne le croit : mĂȘme si une immense majoritĂ©, déçue, dit ne plus rien attendre du personnel politique, ils sont tout de mĂȘme quelque 10 millions Ă  revenir, Ă  chaque allocution
 pour entendre le bout de Marseillaise tronquĂ©e qui dĂ©crit bien notre Ă©poque, et qui est suivi par
 le nĂ©ant !
MĂȘme Hollande, Ă  la fois nul et malfaisant, est battu ! Le gouffre se creuse comme jamais, entre les français et leur prĂ©sident (NDLR - Un lieu commun veut que l'on dise “et les Ă©lites”, mais c'est faux
 tant est grande l'impression de vide sidĂ©ral qu'Ă©mettent l'ElysĂ©e et ses petits marquis sans noblesse. D'un autre cĂŽtĂ©, la nullitĂ© ahurissante des “touttcellzĂ©ceu” qu'il choisit pour l'entourer est telle qu'on comprend qu'il ait envie de gouverner seul !). Il est convenu de parler de mĂ©pris, de hauteur, d'arrogance
 et il y a un peu de tout ça, c'est certain. Mais “pas que’’, et c'est lĂ  que tout dĂ©raille : il croit savoir, lui, ce que personne d'autre qui lui n'aurait compris et il pontifie donc depuis des sommets auxquels nous n'avons pas accĂšs. Un vieux proverbe dit que “on peut avoir raison contre beaucoup
 mais pas contre tout le monde”, mais pas lui. Il est une dĂ©monstration, voire la preuve consternante de ses propres limites : plus les français, exaspĂ©rĂ©s, lui hurlent (ou “casserolisent”) leur “ras-le-bol”, plus il assure qu'il les a compris et qu'il a changĂ© ou va le faire
 moins ils trouvent qu'il comprend et qu'il change. Est-ce que ça se soigne, Docteur?
En fait, son erreur remonte Ă  loin ! Lorsqu'il a annoncĂ©, puis rĂ©pĂ©tĂ© et commentĂ©, Ăšs-fonctions, qu'il n'y avait pas de culture française mais des valeurs empruntĂ©es ici et lĂ  (qu'il s'est toujours bien gardĂ© de “lister”, et pour cause : ce n'est qu’un agrĂ©gat d'idĂ©es chrĂ©tiennes mal comprises et “devenues folles”, pour parler comme le ferait Chesterton. Autant elles avaient un sens dans leur contexte, autant, Ă©tant rĂ©citĂ©es comme un mantra, elles ne veulent rien dire : on ne peut que “ĂȘtre d'accord” avec cette enfilade de truismes, de lieux communs et d'affirmations gratuites ! Tous les français qui Ă©coutent  ses pĂ©roraisons pensent, abasourdis, que ce sont des effets de manche, des galĂ©jades d'estrade. Mais pas du tout : sa mĂ©connaissance de ce que sont la France et  les français est telle qu'il croit aux poncifs, clichĂ©s et contre-vĂ©ritĂ©s qu'il Ă©ructe
 Ce qui est grave, c’est que
 culture, histoire, colonisation, fausse extrĂȘme droite et vraie extrĂȘme gauche, envies, rĂȘves, rejet de ses faux “progrĂšs”, mais rejet aussi du changement, besoin de stabilitĂ©... il a tout faux !
Mais en rĂ©alitĂ©, le fatras de pensĂ©es imparfaites qu'il croit pouvoir servir de re-fondement Ă  la  permanence et Ă  la sauvegarde de notre civilisation (Ă  laquelle aucune autre ne peut ĂȘtre comparĂ©e  puisqu'elle a apportĂ© Ă  l'humanitĂ© un degrĂ© de bien-ĂȘtre rĂ©el, de bonheur potentiel et de rĂ©alisations dans tous les domaines, tels qu'aucune autre, jamais, n'avait mĂȘme osĂ© envisager
) remonte Ă  bien plus loin : le mal qui ronge nos sociĂ©tĂ©s trouve sa source dans l’idĂ©e (fausse) d’un progrĂšs cantonnĂ© aux domaines de la science, de la technologie, de l’économie et de l’organisation sociale, qui seraient l’alpha et l’omĂ©ga des besoins nĂ©cessaires Ă  l'amĂ©lioration de la condition humaine –redĂ©finie pour l'occasion : “le ProgrĂšs” des progressistes n'en est pas un, et pourtant, en France, tout l'espace estampillĂ© “ProgrĂšs” a Ă©tĂ© occupĂ© par un radicalisme fait d'anticlĂ©ricalisme par systĂšme, d'humanisme vidĂ© de tout sens, et d'un rĂ©publicanisme de bazar
 d'oĂč que les discours de nos dirigeants soient interchangeables, dĂ©courageants, et mortifĂšres.
Une pensĂ©e est dite ‘’progressiste’’ lorsqu'elle voit dans tout “prĂ©sent” un  progrĂšs par rapport Ă  toute Ă©poque passĂ©e, rĂ©putĂ©e primaire, ignorante et nĂ©faste, alors que, paradoxalement, elle ne fait pas nĂ©cessairement un progrĂšs du prĂ©sent, qu'elle elle peut au contraire dĂ©nigrer au nom de la recherche d'une amĂ©lioration plus radicale, en prĂŽnant des valeurs dites “modernes” –qui ne sont, en rĂ©alitĂ©, que diffĂ©rentes. D'oĂč la dĂ©rive intellectuelle qui a fait du progressisme une volontĂ© d'imposer tout changement rĂ©putĂ© social (?), mĂȘme obtenu par la violence (par lĂ  mĂȘme justifiĂ©e !). Au terme d'une Ă©volution contrainte –mais globalement peu favorable Ă  l'humanitĂ© et aux vraies aspirations des hommes– la dĂ©rive actuelle a dĂ©bouchĂ© sur une croyance trĂšs largement rĂ©pandue (bien que rien, jamais, nulle part, n'ait pu la justifier, et pour cause : les prĂ©misses sont fausses !) : “gouverner, ce ne serait plus conserver, protĂ©ger et amĂ©liorer : c'est trans-for-mer”.  
Macron tient Ă  cette fausse croyance : dans chacun de ses gestes, de maniĂšre presque “sectaire”, il est prĂȘt Ă  tout –il le prouve chaque jour, hĂ©las !) pour que personne ne puisse croire qu'une pensĂ©e “autre” soit possible : il y a le bon (lui) et les autres, tous mauvais ! Rien, dans son inculture, ne vient lui souffler qu'avant de tout chambouler (ce qui veut dire : dĂ©truire l'existant, par dĂ©finition), il faut essayer de “faire marcher, amĂ©liorer, perfectionner, etc
 ” La seule chose qui compte, dans le systĂšme de mal-penser d'un progressiste, c'est qu'il faut et qu'il suffit de tout changer y compris l'Homme –et mĂȘme en commençant lĂ  : “Du passĂ©, faisons table rase”, chante l'Internationale. Tout est dit : l'Ă©chec est prĂ©visible.
L'un aprĂšs l'autre, ses discours tournent en rond autour les mĂȘmes mauvaises idĂ©es : “il suffit que ce soit ’‘autre” pour que ça soit mieux’’. Alors il promet, d'ici au 14 juillet, “un monde du travail pacifiĂ©, des hĂŽpitaux sauvĂ©s de la ruine (ou son impĂ©ritie les a plantĂ©s), des changements ’'perceptibles” Ă  l'Ă©cole’’ (traduction en français : on va continuer Ă  laisser couler le niveau des Ă©lĂšves, mais Pap N'Diaye va mettre la puissance et l'endettement de notre Etat moribond au service d'une nĂ©faste “inclusion”, d'une “mixitĂ©â€ perverse, des l'idĂ©ologies mortifĂšres d'un Ă©galitarisme-par-le-bas et d'un “endĂ©gueulassement” pour pervertir gravement notre jeunesse : rien ne doit freiner la mort de la race blanche !). Merci, Macron.
Pour “rĂ©amorcer la pompe” aprĂšs ces quelques jours de repos, on se doit de demander combien ont coĂ»tĂ© Ă  notre Etat-mendiant le dĂ©ploiement ridicule de 4500 gardes (3000 + 1500) pour surveiller un ballon rond dans un stade
 oĂč il ne s'est rien (vraiment : RIEN) passĂ©. Cette terreur omni-prĂ©sente qui transforme Paris en caserne, atteint des sommets
 dans sa profondeur ! Et ce n'est pas le moindre des maux dont nous souffrons : Ă  force de nous soumettre Ă  un syndrome de confinement, de silence et de soumission, le pouvoir rĂ©colte la tempĂȘte : notre ex- ‘’Ville LumiĂšre’’, n’est plus qu’une horreur, hĂąvre pour black-boks et ultra-gauche.
Au dĂ©but de cet â€œĂ©dito”, je vous parlais de ma “dĂ©ceplĂšre”, ma “dĂ©ception-colĂšre”, qui est un Ă©tat d'esprit amer et mĂȘme triste qui m'est –normalement– Ă©tranger, et je m’en veux de donner l'impression que je ressasse : c'est vrai, pour une fois. Mais Ă  qui la faute ? Et comment faire, devant ces champs de ruines ?
H-Cl.
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freelance-informatique · 1 month ago
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Top 4 meilleurs marqueurs de l’histoire de l'Olympique de Marseille
Qui sont les meilleurs buteurs de l'histoire de l'OM ? L'Olympique de Marseille, l'un des clubs les plus emblĂ©matiques du football français, a vu naĂźtre des lĂ©gendes au fil des dĂ©cennies. De Jean-Pierre Papin Ă  Josip Skoblar, en passant par Gunnar Andersson et Mamadou Niang, ces attaquants ont marquĂ© l'histoire du club par leur talent et leurs exploits mĂ©morables. Gunnar Andersson , aka Le viking suĂ©dois Entre 1950 et 1958, Gunnar Andersson, le "Viking suĂ©dois", a Ă©galement marquĂ© l’histoire de l’OM. Avec 194 buts en seulement 220 matchs, il a Ă©tabli un record qui fait encore rĂȘver de nombreux attaquants. Sa capacitĂ© Ă  marquer dans des situations dĂ©cisives et son sang-froid devant le but ont fait de lui une vĂ©ritable icĂŽne Ă  Marseille. Gunnar Andersson Ă©tait reconnu pour sa technique et son efficacitĂ©, ce qui lui a permis d’évoluer au plus haut niveau durant ses annĂ©es Ă  l’OM. Ses performances ont contribuĂ© Ă  asseoir la rĂ©putation du club sur la scĂšne française et europĂ©enne. Les supporters se rappellent de ses dribbles et de ses buts spectaculaires, ce qui fait de lui une figure lĂ©gendaire du club phocĂ©en. Lire aussi : Elye Wahi pose ses valises Ă  l’Olympique de Marseille, c'est officiel Jean-Pierre Papin, l'icĂŽne marseillaise Jean-Pierre Papin, plus communĂ©ment appelĂ© "JPP", est sans conteste l’un des plus grands noms de l’Olympique de Marseille (OM). ArrivĂ© au club en 1986, il a su rapidement se forger une lĂ©gende grĂące Ă  son incroyable talent et son efficacitĂ© redoutable. Au cours de sa carriĂšre marseillaise, Jean-Pierre Papin a inscrit pas moins de 182 buts en 275 matchs, ce qui fait de lui l’un des buteurs les plus prolifiques de l’histoire du club. Sa technique et sa prĂ©cision, alliĂ©es Ă  un sens du placement exceptionnel, lui ont permis de marquer des "Papinades", un terme devenu synonyme de ses frappes puissantes et prĂ©cises. Son style de jeu a fait de lui un modĂšle pour de nombreux jeunes attaquants. En 1991, il a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ© par le Ballon d’Or, devenant ainsi le premier joueur de l’OM Ă  recevoir ce prestigieux trophĂ©e. Ce titre a non seulement honorĂ© sa carriĂšre, mais Ă©galement mis en lumiĂšre le rĂŽle prĂ©pondĂ©rant qu’il a jouĂ© dans l’ascension du club sur la scĂšne nationale et internationale. Josip Skoblar, alias L’aigle dalmate L’histoire de l’OM ne serait pas complĂšte sans Ă©voquer Josip Skoblar, surnommĂ© "l’Aigle Dalmate". Ce joueur emblĂ©matique a rejoint l’équipe en 1966 et a laissĂ© une empreinte indĂ©lĂ©bile au sein du club. Avec 176 buts en 276 apparitions, il est considĂ©rĂ© comme l’un des plus grands buteurs marseillais. Sa saison 1970-1971 restera gravĂ©e dans les annales du club, car il a Ă©tabli un record incroyable de 44 buts en une seule saison, un exploit que peu de joueurs ont rĂ©ussi Ă  Ă©galer depuis. Josip Skoblar se distinguait par son jeu de tĂȘte exceptionnel et sa capacitĂ© Ă  se trouver au bon endroit au bon moment. Son placement et sa vision du jeu en ont fait une menace constante pour les dĂ©fenses adverses. Les supporters se souviennent encore de sa maniĂšre de jouer, alliant puissance et finesse, et son nom reste synonyme d’excellence Ă  Marseille. Mamadou Niang : L’histoire moderne Dans l’histoire plus rĂ©cente de l’OM, Mamadou Niang a su marquer les esprits entre 2005 et 2010. Avec 100 buts en 227 apparitions, il a jouĂ© un rĂŽle important dans le succĂšs du club, notamment lors de la conquĂȘte du titre de champion de France en 2010. Reconnu pour sa vitesse et son sens du but, Mamadou Niang Ă©tait capable de faire la diffĂ©rence Ă  tout moment. Son style de jeu, combinant dribble, rapiditĂ© et puissance, lui a permis de devenir un vĂ©ritable cauchemar pour les dĂ©fenseurs adverses. Les fans de l’OM se souviennent de ses courses sur l’aile et de sa capacitĂ© Ă  se crĂ©er des occasions de but, faisant de lui un joueur incontournable pendant son passage au club. Une riche histoire de buteurs L’Olympique de Marseille possĂšde une riche histoire de buteurs lĂ©gendaires, chacun ayant laissĂ© sa marque sur le club. Que ce soit Jean-Pierre Papin, Josip Skoblar, Gunnar Andersson ou Mamadou Niang, ces attaquants ont tous portĂ© les couleurs de l’OM avec fiertĂ©, ce qui a contribuĂ© Ă  forger l’identitĂ© du club. Chaque gĂ©nĂ©ration a vu Ă©merger ses hĂ©ros, qui ont apportĂ© leur style et leur personnalitĂ© au jeu de l’OM. Ces joueurs emblĂ©matiques sont bien plus que des statistiques ; ils incarnent des souvenirs, des Ă©motions et des moments de gloire pour les supporters marseillais. Leur hĂ©ritage continue d’inspirer les nouvelles gĂ©nĂ©rations de footballeurs, et leur nom reste gravĂ© dans la mĂ©moire collective du club. Voir Ă©galement : Derek Cornelius quitte Malmö pour l'OM L’Olympique de Marseille ne meurt jamais L’histoire de l’OM ne s’arrĂȘte pas aux joueurs du passĂ©. Avec l’émergence de nouveaux talents et l’espoir de futures lĂ©gendes, le club phocĂ©en continue de rĂȘver. La quĂȘte de nouveaux buteurs pour Ă©crire les prochaines pages de l’histoire marseillaise est en marche. Les jeunes attaquants, inspirĂ©s par les lĂ©gendes qui les ont prĂ©cĂ©dĂ©s, sont prĂȘts Ă  prendre le flambeau. Ensemble, ils porteront les valeurs et la passion qui font de l’OM un club unique, cĂ©lĂ©brĂ© non seulement en France mais aussi Ă  l’international. L’espoir demeure que, dans les annĂ©es Ă  venir, d’autres joueurs rejoindront le panthĂ©on des lĂ©gendes marseillaises, continuant ainsi Ă  enrichir la riche histoire de l’Olympique de Marseille. Read the full article
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demenegmenten · 2 months ago
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Déménager à Marseille : Un Nouveau Chapitre en Bord de Méditerranée
DĂ©mĂ©nager Ă  Marseille, la citĂ© phocĂ©enne, c'est choisir une ville oĂč il fait bon vivre, entre mer, soleil et culture. Que ce soit pour des raisons professionnelles, familiales ou simplement pour changer de cadre de vie, Marseille offre de nombreuses opportunitĂ©s. Mais comment bien prĂ©parer ce grand changement ? Voici quelques conseils pour rĂ©ussir votre dĂ©mĂ©nagement dans cette belle ville du sud.
1. Une ville riche en histoire et en diversité
Marseille est l'une des plus anciennes villes de France, avec une histoire qui remonte à plus de 2 600 ans. Déménager ici, c'est plonger dans une ville qui allie modernité et patrimoine historique. Entre le Vieux-Port, la Basilique Notre-Dame de la Garde ou encore le quartier du Panier, il y a tant à découvrir. La ville est aussi connue pour sa diversité culturelle, offrant une atmosphÚre cosmopolite qui enrichit le quotidien.
2. Trouver un logement Ă  Marseille
Marseille est une ville vaste, avec des quartiers trÚs différents les uns des autres. Si vous cherchez la tranquillité, les quartiers comme Endoume, Roucas-Blanc ou les Goudes peuvent vous séduire avec leurs vues imprenables sur la mer. Pour ceux qui préfÚrent une ambiance plus urbaine, le centre-ville ou le quartier de la Joliette sont des options intéressantes. Il est essentiel de bien réfléchir à votre style de vie avant de choisir votre futur quartier.
3. Organiser son déménagement
Le climat mĂ©diterranĂ©en de Marseille est un atout pour planifier votre dĂ©mĂ©nagement sans craindre les intempĂ©ries. NĂ©anmoins, il est important de bien s'organiser. Pensez Ă  contacter une entreprise de dĂ©mĂ©nagement plusieurs semaines Ă  l'avance, surtout si vous dĂ©mĂ©nagez en Ă©tĂ©, une pĂ©riode souvent trĂšs demandĂ©e. PrĂ©parez Ă©galement un kit de survie pour les premiers jours : vĂȘtements lĂ©gers, protection solaire et Ă©videmment, une carte des meilleurs spots pour dĂ©guster une bouillabaisse !
4. Se familiariser avec les transports
Marseille dispose d'un réseau de transports en commun relativement bien développé, avec métro, tramway et bus. Cependant, la ville est également connue pour ses embouteillages fréquents. Si vous prévoyez d'utiliser une voiture, choisissez soigneusement votre lieu de résidence pour éviter les zones trop congestionnées. Sinon, le vélo ou la marche sont des alternatives idéales, surtout si vous habitez prÚs du centre ou des plages.
5. Profiter de la douceur de vivre marseillaise
DĂ©mĂ©nager Ă  Marseille, c'est aussi adopter un rythme de vie plus dĂ©tendu. Le climat, les paysages et la proximitĂ© de la mer invitent Ă  la dĂ©tente. Les week-ends peuvent ĂȘtre rythmĂ©s par des balades dans les calanques, des baignades ou des sorties en bateau. Sans oublier la richesse gastronomique de la rĂ©gion, entre poissons frais, spĂ©cialitĂ©s provençales et vins locaux.
Conclusion
S'installer Ă  Marseille est une aventure pleine de promesses. Avec sa richesse culturelle, son cadre de vie agrĂ©able et ses nombreuses activitĂ©s, la ville sĂ©duit de plus en plus de nouveaux habitants. Alors, prĂȘt Ă  franchir le pas et Ă  commencer une nouvelle vie au bord de la MĂ©diterranĂ©e ?
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darkpalmor · 6 months ago
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15 MAI 2024
Programme de grĂące.
Échauffement en 5 minutes : Un haĂŻku sur le thĂšme imposĂ© « la gourmandise ».
Manger par plaisir, Savourer tous les arĂŽmes Sans ĂȘtre malade. Au fond des cuisines, On se lĂšche les babines. On se sent coupable
 Si la gourmandise Était un pĂ©chĂ© vĂ©niel, Moi, je m’abstiendrais.
1°) Mots en vrac (5-10 minutes) : Jeu de construction. Voici une dizaine de mots dont vous ferez ce que vous voudrez. « dissiper, samedi, appétit, cintré, spécial, armoire, grùce, dépouillement, benjamin, ingérable. » Contrainte : tous les utiliser !
Un atelier d’écriture, le samedi, c’est ingĂ©rable. DĂ©jĂ  le mercredi c’est difficile, mais le week-end certains participants apportent des gĂąteaux, des boissons fortes, et l’appĂ©tit gĂȘne la concentration nĂ©cessaire pour choisir ses mots. Il y en a toujours un pour dissiper ses voisins, grĂące Ă  quoi on traĂźne. Le benjamin du groupe est trĂšs spĂ©cial : en fin de semaine il se ramĂšne avec des costards cintrĂ©s tirĂ©s de l’armoire de ses grands-parents, et il fait l’intĂ©ressant avec ses tenues. Finalement, on termine Ă  peine un exercice sur deux, et en tant qu’animateur je ressens un tel dĂ©pouillement de toutes mes capacitĂ©s Ă  gĂ©rer un groupe, que je me mets Ă  Ă©crire et dire des bĂȘtises comme les autres.
2°) Fragmenter (10-15 minutes) : Souvenirs en miettes. On fera semblant de retrouver le lieu d’un Ă©vĂ©nement exceptionnel, d’un moment privilĂ©giĂ©, pour Ă©laborer de fausses bribes d’histoires issues du passĂ©. Un lieu est imposĂ©, dans lequel vous insĂ©rerez la fiction de votre choix : l’autocar scolaire. La forme narrative pourra ĂȘtre Ă©clatĂ©e, fractionnĂ©e, comme si vous reconstituiez avec difficultĂ© des Ă©lĂ©ments parfois flous au milieu d’autres trĂšs prĂ©cis et frappants.
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C’était un voyage sous l’autoritĂ© d’une vieille prof d’histoire-gĂ©ographie. Il fallait assister Ă  une sĂ©ance du Parlement EuropĂ©en. Des classes de PremiĂšre, ou Terminale, des scientifiques qui se fichaient pas mal de l’Europe. Les plus rigolards avaient investi les places du fond et quelques rangĂ©es supplĂ©mentaires. Par moments il neigeait, on espĂ©rait ĂȘtre coincĂ©s sur l’autoroute. Des Ă©lĂšves avaient demandĂ© Ă  la prof de faire passer leurs cassettes de rock et de disco au chauffeur mais elle ne voulait pas Ă©couter cette musique. Moi j’étais accompagnateur. J’avais Ă©tĂ© obligĂ© de m’asseoir devant. J’allais de temps en temps vers le fond, histoire de faire semblant de discipliner les cris, et les Ă©lĂšves me demandaient d’intervenir, ils voulaient pouvoir Ă©couter leurs groupes favoris. Je nĂ©gociais avec la cheffe
 À un moment, on s’est arrĂȘtĂ©s sur une aire de service : des garçons gueulaient qu’ils voulaient pisser. On a vidĂ© le car, difficilement, dans une allĂ©e encombrĂ©e de jambes et de sacs, et je suis descendu aussi. Tous les garçons sont allĂ©s tout au fond du parking, prĂšs du grillage, et ont jouĂ© Ă  qui pissait le plus loin : dans la neige ce serait facile Ă  mesurer. Et aprĂšs ils ont fait semblant de se retourner tous d’un seul coup, en appelant les filles pour qu’elles viennent vĂ©rifier et mesurer leurs performances. Elles ont criĂ© et menacĂ© d'appeler la prof d'histoire... C'Ă©tait du chiquĂ©... Heureusement celle-ci Ă©tait restĂ©e dans l’autocar. On a fini par chanter, la Marseillaise et l’Internationale, pour l’obliger Ă  demander au chauffeur qu’il mette une cassette. Au retour, le chauffage est tombĂ© en panne. On a tous mis les parkas. C’était une belle sortie.
3°) ExpĂ©rimental long : TextĂ©e. L’animateur dicte trĂšs prĂ©cisĂ©ment le mode d’emploi d’un texte prĂ©existant (inconnu des participants), charge Ă  ceux-ci de faire de leur mieux pour respecter les consignes. On comparera finalement les textes Ă©crits par les participants avec le texte original. Donnez un titre en reliant deux noms fĂ©minins prĂ©cĂ©dĂ©s de leur article, qui seront les personnages d’une histoire. Dans la phrase n° 1, exposez au passĂ© simple l’embarras du personnage n° 1, entre deux propositions circonstancielles de temps. Dans la phrase n° 2, sans verbe, exprimez l’absence totale de la plus minime vie animale, pour illustrer l’embarras susdit. Dans la phrase n° 3, narrative et au passĂ© simple, mettez les deux personnages dans une relation de proximitĂ© et de requĂȘte consĂ©cutive au contenu des deux premiĂšres phrases, avec une visĂ©e prospective de moyenne Ă©chĂ©ance. Dans la phrase n° 4, Ă  la premiĂšre personne et au futur, faites exprimer au personnage n° 1 son engagement ferme avec un vocabulaire spĂ©cifique de la situation. Dans la phrase n° 5, en deux membres, faites une sorte de portrait moral ironique du personnage n° 2. Dans la phrase n° 6, en deux membres, faites poser une question au personnage n° 2. Dans la phrase n° 7, faites rĂ©pondre le personnage n° 1, au passĂ©, sous la forme d’une justification. Dans la phrase n° 8, en deux membres, faites rĂ©pondre le personnage n° 2 de façon catĂ©gorique, en reprenant ironiquement l’avant-dernier verbe utilisĂ© dans la phrase prĂ©cĂ©dente, et terminez avec une exclamation orale suivie d’un impĂ©ratif.
La belle et la bĂȘte. Avant d’aller se coucher, la belle hĂ©sitait entre un pyjama soyeux ou une nuisette transparente, en ce moment oĂč elle recevait son chĂ©ri dans l’intimitĂ©. Pas une puce, dans sa lingerie ! La belle demanda tout de mĂȘme Ă  sa bĂȘte de la gratter dans le dos, lĂ , et lĂ , et un peu plus bas, ça la soulagerait d’une terrible dĂ©mangeaison qui l’empĂȘchait de dormir. « Je te ferai des chatouilles en retour, c’est promis, jurĂ©, mon chĂ©ri ! » La bĂȘte aime les chatouilles, mais elle aime aussi se faire prier. « Veux-tu vraiment que je te grattouille, et jusqu’oĂč je voudrai ? » « J’ai toujours aimĂ© la façon dont tu sais t’arrĂȘter juste Ă  temps quand tu me touches  » « M’arrĂȘter, maintenant ? Jamais ! Baisons tout de suite ! »
(Le texte texté était La Cigale et la Fourmi, de La Fontaine.)
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gedjub · 7 months ago
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260324 Maybachufermarkt:
"Ich bestell' auch ein Chicken Mal nochmal neu"
und
"Das war doch nicht gut einkalkuliert, Jakob."
+ J'apprends Ă  m'Ă©nerver.
290324 deux bouts de temps, deux aiguilles entre les doigts, serrer les applatit, la matiĂšre monte au dessus de la pulpe et des ongles, un pic plat.
+ Croire est plus rapide que ne pas croire, ou en tout cas plus glissant.
300324 "J'ai une partie de ma maison qui est consacrée à ce que je mets dans mon sac." Moi, répété par Manon, ce qui rend la phrase drÎle.
310324 un son
Entre les dents
Tu cours
Sur un tapis blanc
Devant un escalier mouillé
Que tu prends
On ne sait
Pas Ă  pas
Si tu montes
Ou tu descends
Laquelle est le reflet
Et les nuages
Cachent ton cƓur ĂągĂ©
Qui continue de marcher
Eux
Va-et-vient
Ont une fin
Hors-champ
OĂč tu rĂ©apparais
010424 Rien n'est fini, ni le mot, ni son sens, ni la chose.
020424 "... Car si vous répondez à toutes les longueurs d'ondes, vous gaspillez de l'énergie pour fabriquer du nectar pour quelqu'un qui n'en boira jamais." (Le génie caché des plantes, Arte)
+ Le fantĂŽme dans la piĂšce
S'endort sur tes genoux
C'est doux et il s'y enfonce
C'est si bon! Mais tu tousses
Le bond qu'il fait
Maintenant il est
Le fantĂŽme
dans la piĂšce au dessus.
+ Armature Îtée, j'ai mal et je vis, je sens tout ce que tu me fais. Tu m'as eu à défaut, avec défauts, et tu me tues dans la vie amoureuse.
+ Ventre vide, ventre mou
+ Si tu ne me donnes pas de mots, je comprends tout Ă  la fois et le flou n'est pas adversaire.
030424 Ă  l'heure de marcher je reste et je regarde le mur. Une araignĂ©e bouge et m'oblige de la suivre. Ensemble arrivĂ©es Ă  la fenĂȘtre, nous faisons demi-tour, Elle dans ma main, moi dans la forĂȘt. Perdues, nous grimpons. En haut, debout, campĂ©es et balancĂ©es, nous observons le monde. J'ai ma clĂ© dans ma poche, je ne sais pas comment j'ai fait ça.
040424 Manette m'a dit des poĂšmes.
+ Gide dit de Poussin, qui n'a jamais Ă©tĂ© l'Ă©leve de personne ni n'a jamais eu d'Ă©lĂšve, que "son dĂ©faut mĂȘme de virtuositĂ© et la lenteur de sa main persĂ©vĂšrent sa secrĂšte valeur."
+ Le géant s'est foulé la cheville sur une montagne et s'est noyé dans l'océan.
+ Le noir dans l'ombre des montagnes vu depuis l'avion me rappelle les cieux noirs de mes histoires de jeunesse. Les personnages et les objets n'avaient pas besoin de lumiĂšres artificielles dans ces mondes-lĂ .
050424 Des lumiĂšres de la corniche on voyait la mer noire.
+ Le musée d'art trop moderne
+ Du train, duo cĂŽtĂ© fenĂȘtre, un album de '97 dans les oreilles, je savoure les coquelicots en ligne mĂ©langĂ©es de ces autres fleurs qui sont jaunes, elles vont toutes Ă  Marseille, je vais Ă  Montpellier, on se croise, on se sĂ©duit de l'oeillet dans les champs entre mer et mer.
+ Et deux refrains diffĂ©rents dans la mĂȘme chanson ? (Byrne, Daddy go down: semi-refrains)
+ Maintenant des fleurs blanches dans les rangs également, et les arbres, et les maisons, et les montagnes, tout ça se précipite à Marseille! Seul le ciel vient avec moi.
080424 Katja a dit: "Il faut chercher les trous avec les yeux."
+ Cezanne, ouvre-toi
Korma Police
(Fred)
Il vaut mieux une catho Ă  l'escalade qu'une scato Ă  l'Ă©calade. (Pao)
+ La parole est au greffier fatiguĂ© d'ĂȘtre.
+ Sophrote et la linguistchique
110424 Se poser et voir le monde, Jean-François Billetter: j'ai l'intuition qu'on peut entendre le rĂ©sultat, qu'importe qui on est, mais que la description du chemin de Bonnard ou d'un autre esprit brouille la recherche du chemin propre, qui peut ĂȘtre trĂšs trĂšs trĂšs diffĂ©rent.
+ Luc: "La résine est une hérésie" (en parlant de chaux, évidemment)
"J'ai mĂȘme pas senti le poulet, j'ai senti que les champignons! On dirait des chips!" (Blablabus Montpellier Marseille)
+ DĂ©crire la bĂȘte marseillaise (GĂ©rald)
220424 Bah, ces coquilles valent bien les hippocampes séchés de mon enfance, que ma mÚre a jetés. Tout aussi passionnantes, elles ne sont pas cadavres. Cela leur enlÚve un sombre attrait dont je me passe volontiers.
+ Collectionneur des restes de ma vie, aujourd'hui je mets tout à donner. Presque tout, n'oubliant pas la demi-mesure fraßchement apprise. Homme de peu de passé, avance mieux. Je libÚre ainsi mes yeux intérieurs, c'est bien là que la douleur siÚge.
+ Tant de belles choses non notées, mais j'avais trop mal. Je m'efforce maintenant de ne plus exagérer.
+ Je suis un vent dans une forme molle qui était liquide. (Paul Valéry: "[...] tout solide actuel a passé par la phase liquide, fonte ou solution." L'homme et la coquille, folio sagesses p. 72)
... Dans l'aqueux je n'eĂ»s pu entrer ! Suis-je nĂ© vent du mouvement de la construction de cet ĂȘtre de chair? Petit Ă  petit, soufflant de plus en plus, ou s'y prĂ©parant, Ă  mesure que l'embryon se formait et se creusait d'organes ? Y Ă©tais-je enfermĂ© jusqu'Ă  la sortie Ă  l'air libre? Ou suis en fait le premier flot d'air libre entrĂ© dans ce corps qui s'est ouvert Ă  moi? Un bout transparent, fluide et volant du monde, de l'univers, peut-ĂȘtre, venu de loin et menĂ© jusqu'Ă  cette bouche qui m'accueillis?
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azaleassgc · 8 months ago
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2017 _
LE OU LA DUB ?
C’est sans aucun mĂ©nagement que je mets les pieds dans le plat. Personne ne sera Ă©pargnĂ© : de l’aficionado-collant-au-consensus Ă  l’inculte -commettant- l’impardonnable en passant par ceux qui ne savent pas trop oĂč ils se situent.
Par « LE ou LA » je n’évoque bien sur pas « rĂ©glisse », ni « silicone », encore moins « wifi » et surtout pas « MDMA ». Dub sera au centre de ce dossier qui vient ici clarifier certains points, mais aussi instruire, distraire ou dĂ©truire. Pour n’inciter personne dans cet article, je parlerai de ‘Dub’ comme d’un ‘Homme’ avec un grand ‘H’. Dub peut ĂȘtre le nom de votre meilleur pote ou de votre petite amie. Dub Ă  une histoire, une origine, un esprit et une philosophie. Mais, Ă  l’heure oĂč l’on admet que des hommes naissent dans des corps de femmes et vice versa, Dub Ă  t’il/elle un genre bien dĂ©fini ?
I – L'HISTOIRE DU DUB
Dub voit le jour aux alentours de 1967 en JamaĂŻque, il est vraisemblablement le fruit d’un accident 
 Rudy Redwood du sound-system ‘Supreme Ruler of Sound’, diffusa dans un dance-hall une version sans vocal d’un titre des Paragons, parus sur le label ‘Treasure Island’. Le responsable de cette galette piĂ©gĂ©e n’est autre que King Tubby. L’engouement Ă©tant au rendez-vous, dĂšs 1971 on se met Ă  presser sur les face B, des versions instrumentales agrĂ©mentĂ©es de beaucoup d’effets, orientant l’attention des auditeurs sur l’insĂ©parable couple batterie/basse. À l’aube des annĂ©es 80, Dub et Reggae inondent le paysage audio mondial. En bon franchouillard, je ne peux m’empĂȘcher de rappeler la reprise polĂ©mique de la marseillaise par Serge Gainsbourg en reggae, dubbĂ©e par la suite. Mais revenons Ă  nos moutons et Ă  leur dreadlocks. C’est quoi Dub
II – AGENT DUB
Les origines du termes dub restent floues. Celle que je retiens de mes recherches, qui fait selon moi le plus sens, est celle de la contraction de « double ». C’est la version qui vient aprĂšs la version originelle. D’autres explications sont Ă©noncĂ©es par Wikipedia et autre, autour des termes « dubbing », procĂ©dĂ© consistant Ă  transfĂ©rer un format d’un support sur un autre, ou encore « dubplate », disque acĂ©tate produit avant le pressage final en vinyle. J’imagine que dĂ©finir l’origine de Dub revient Ă  devoir dĂ©cider qui, de l’Ɠuf ou la poule, Ă©tait lĂ  le premier

III – « LE » ? Maintenant que les bases sont posĂ©es, que tout le monde est bien installĂ©, on peut mettre les mains dans le cambouis. PremiĂšrement allons voir du cĂŽtĂ© des « autoritĂ©s compĂ©tentes en matiĂšre de savoir ».
Wikipedia : -Ave, Wikipedia, sage parmi les sages, qu’as tu Ă  m’apprendre sur Dub ? -La mĂȘme chose que tu a dis quelques lignes plus haut. -Oui mais LE ou LA ? -LE ! TrĂšs bien, mais mes professeurs m’ont toujours conseiller de me mĂ©fier de Wikipedia ! Voyons voir du cĂŽtĂ© des dictionnaires francophones en ligne

Larousse : nom masculin (anglais to dub, doubler un film) | « Style de reggae entiĂšrement basĂ© sur les truquages Ă©lectroniques et les effets de chambre d’écho. » Attend 
. t’as dit que Dub c’est un trucage ? Mais pour qui tu te prend Larousse ! Jamais je ne donnerais de crĂ©dit Ă  quelqu’un qui se permet de fustiger de la sorte ce genre si cher Ă  mes oreilles, suivant !
L’internaute : dub , nom masculin | » Le dub est proche du reggae. Il reprend les mĂȘmes rythmes et mĂ©lodies, mais utilise des effets de chambre d’écho et des truquages Ă©lectroniques. Exemple : Son adolescent n’écoute que du dub. Ouais alors toi, t’as tout copiĂ© sur ton petit copain en rajoutant des mots, tu seras privĂ© de rĂ©crĂ©. Et son ado, il Ă©coute ce qui lui plaĂźt, fous lui la paix et estime toi heureux, il pourrait Ă©couter Jul en mĂ©ditant sur la profondeur de ses textes et en t’expliquant Ă  quel point c’est un artiste subversif !
Le Robert : PAYANT ? Payer pour un service de qualité ? Et puis quoi encore, on est en 2017 coco !
Le dictionnaire.com : Pas de dĂ©finition. Quoi ? t’as peur ? Pas trĂšs concluant ce premier tour d’horizon, et Ă©tonnant mĂȘme qu’un terme qui Ă  environ 40ans d’existence n’ait toujours pas sa place dans le dico. Disons 3-0 pour le « LE » (et je suis bon joueur). Juste par curiositĂ© je vais aller voir du cĂŽtĂ© des traducteurs anglais/français.
Reverso : Je vous la fait courte, Reverso ne dĂ©finit Ă  aucun moment Dub comme un nom mais comme un verbe transitif : « To dub something ». Dois-je comprendre que mĂȘme pour une plateforme anglophile, Dub n’est pas dĂ©finit ? Ça ne m’arrange pas tout ça

Larousse Traduction : Mince alors, mĂȘme combat. Verbe transitif et aucune dĂ©finition qui parle d’écho et de trucages. Dirigeons nous vers des dictionnaires anglophones histoire de creuser encore un peu plus loin.
Fine Dictionnary : Saperlipopette, je tombe nez Ă  nez avec une ribambelle de dĂ©finitions du mot Dub, tirĂ©es de plein de dictionnaires anglais diffĂ©rents, noms ou verbes. Ça y est je vais enfin ĂȘtre fixĂ© 
 GĂ©nial ça veut aussi dire adouber, et ça veut dire flaque aussi et 
 Pas de dub en temps que genre musical. Oh stupeur ! LĂ  non plus pas de dĂ©finition. Tant pis. Mais qu’est ce que je pensais trouver ? J’avais Ă©videment omis que l’anglais, de par sa conception, ne prend pas en compte le genre. Oui, mais si l’anglais n’as pas de genre, Dub n’a pas de genre ? Mais alors je fait comment pour placer Dub dans une phrase en français ? Les sites et communautĂ©s Dub prĂ©sentes sur internet utilisent toutes LE, ça devient angoissant
 Une seule solution ! Se tourner vers la seule autoritĂ© Ă  mĂȘme de dĂ©cider du genre d’un mot dans la langue de MoliĂšre, je veut bien entendu parler de L’AcadĂ©mie Française !
Voici le tournant de cette recherche, le mot n’est pas rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base de donnĂ©e de l’acadĂ©mie française. Cela dit je vois assez mal un acadĂ©micien balancer une galette dub lors d’une de leur rĂ©union et dire « trĂšs cher confrĂšres, fĂ©minin ou masculin ? », mais je divague. AprĂšs ces recherches, force est de constater que Dub n’est donc pas un mot appartenant au vaste univers de la sacro-sainte langue française.
IIV – « LA » ?
Je suis tiraillĂ©, je ne peux pas laisser notre bon vieux Dub dans cet Ă©tat. J’en suis au stade de ma recherche oĂč je constate avec effroi que Dub n’a pas de genre. J’aimerais dire « LE » et rentrer dans le troupeau des chiens de garde, qui disent « c’est pas LA c’est LE » au type qui participe Ă  sa premiĂšre soirĂ©e Dub et qui dĂ©clare, avec un enthousiasme exacerbĂ© par la basse : « J’adore la dub ! ». La tentation est grande mais comme j’aime bien la philo (masturbation intellectuelle), je prĂ©fĂšre poursuivre mon raisonnement. Le dub c’est tout un tas de chose : la fraternitĂ© me viendrait en premier, la transmission de la Dub culture, la danse aussi mais je crois qu’il y a aussi la dissidence, vrai ? N’entend-t-on pas Ă  longueur de morceaux des messages comme « Burn Down Babylon » ou « Free Your Mind » ? Je me positionne donc en « Dub-dissident ». Qui a dĂ©cidĂ© et imposĂ© que ce serait LE dub ? Suis-je le seul Ă  prĂ©fĂ©rer le voir avec le genre fĂ©minin ? Cette Dub qui m’enveloppe par ses basses, et qui, Ă  peine je ferme les yeux, me transporte bien loin de ma condition, celle-la mĂȘme qui, par ses Ă©chos et « trucages » ouvre mon esprit et me catapulte dans un Ă©tat de trance mĂ©ditative ; plutĂŽt que ce dub qui perce mes tympans, ce steppa qui par sa violence me ramĂšne presque au stade animal, Ă  m’agripper au stack afin de pouvoir secouer ma tĂȘte encore plus fort. À ce stade on pourrait presque dire que le genre de Dub dĂ©pend du morceau en train de tourner sur le sound system. Bien sur on peut ramener ça Ă  tous les genres musicaux rĂ©cents (et oui je pense directement Ă  toi « dubstep ») mais pourquoi pas ? Remettre en question l’ordre Ă©tabli c’est exister idĂ©ologiquement.
V – DUB CONCLUSION
La conclusion Ă  cette tribulation verbale futile au sein de la langue française ne fera pas avancer le schmilblick, certes, mais elle est la pour titiller les partisans du LE dans leurs certitudes et soutenir les partisans du LA, rebelles devant la pression sociale. Ici pas de gagnants ni de perdants, on aime tous ce style et c’est sans doute pour ça que vous ĂȘtes lĂ , devant votre Ă©cran Ă  lire cet article fumeux sur un sujet sans importance. Plus gĂ©nĂ©ralement, ne laissez personne vous dicter ce que vous devez dire, faire, penser, consommer. Soyez dissidents et pensez Ă  remettre systĂ©matiquement en cause les choses qui vous paraissent illĂ©gitimes. Dub c’est bien plus qu’un « genre musical » ou un style de « reggae ». Alors la prochaine fois que vous parlerez dub, ce sera LE ou LA ?
BONUS : LE OU LA MDMA ? MĂ©thylĂšnedioxy-mĂ©thamphĂ©tamine : c’est le nom complet. Et c’est une amphĂ©tamine, donc c’est fĂ©minin. Ne vous droguez pas, ça fait des trous dans la tĂȘte.
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yespat49 · 10 months ago
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Le président Macron a parlé. Fermez le ban !
Par Olivier Perceval ​Pour ceux qui s’attendaient Ă  des mesures fortes, ils doivent ĂȘtre satisfaits : Uniforme Ă  l’école, Ă©ducation civique,Histoire de France, apprentissage de la marseillaise dĂšs le primaire, dix opĂ©rations anti-drogue par semaine, rĂ©duction de la pression administrative
 Bon, rien sur l’immigration, si ce n’est l’augmentation (illusoire) de la lutte contre l’immigration

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esthetiquesjazz · 10 months ago
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Ravis de la réussite de ces journées marseillaises, Pierre Letessier, Sylvie Chalaye et Raphaël Imbert ont clÎturé les rencontres en mimant la thématique 2024.... histoire de faire deviner le thÚme par un contrepoint musical :
Echec et jazz !
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whencyclopedfr · 1 year ago
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Sur les Traces du Christianisme Primitif Ă  Marseille
Aujourd'hui, Marseille est davantage connue pour son histoire moderne - la Seconde Guerre mondiale, l'immigration nord-africaine et, bien sĂ»r, les chƓurs entraĂźnants de l'hymne national français, La Marseillaise. Pourtant, c'est aussi l'une des villes les plus anciennes de France, riche en traces du passĂ© prĂ©-moderne - pour ceux et celles qui osent partir Ă  la dĂ©couverte de cette magnifique ville .
Lire la suite...
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paillettesengoguette · 2 years ago
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Laulibijoux, créatrices marseillaises de bijoux trÚs sud
Focus sur la marque de bijoux du mois! Laulibijoux est Ă  l’honneur! Vous souhaitez en savoir plus Ă  propos de cette entreprise familiale? Vous voici quasiment immergĂ©s dans l’univers de 3 filles, dans leur atelier Ă  Marseille! Quelle est l’origine de Laulibijoux? Quels types de bijoux sont crĂ©Ă©s? Quel est mon avis Ă  propos de cette marque slowjewelry? Laulibijoux, une histoire de famille Qui se

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lalignedujour · 2 years ago
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NaĂ«l fronce les sourcils devant son miroir. Il s’exerce Ă  avoir un regard mĂ©chant, comme les autres garçons de la cour. A cette heure-ci, le soleil traverse en biais les carreaux et barre son visage comme un maquillage de super-hĂ©ros. Ça lui fait les yeux noisette clair, il y a mĂȘme des coins orangĂ©s. Sous cette lumiĂšre, sa peau rĂ©verbĂšre une couleur caramel. Il porte ses racines dans ses pigments Ă©clairĂ©s : les confins de l’AlgĂ©rie, les portes du nord du Sahara. Ah ! si les filles le voyaient comme ça, peut-ĂȘtre les intĂ©resserait-il. Au lieu de ça, il marche jusqu’aux confins de Gonesse pour aller en cours. Le Val-d’Oise, les portes nord de la capitale. Le trottoir est Ă  l’ombre de l’activitĂ© Ă©conomique du territoire.
Dans la salle 109, histoire-gĂ©o de 8h55 Ă  9h50, la lumiĂšre n’est pas flatteuse. Dans sa salle de bain, il est Super-Touareg. Ici, il est NaĂ«l, le plus petit garçon de 3Ăšme C. Dans le fond de la classe, trois garçons chuchotent d’abord doucement, puis de plus en plus fort, puis rient bruyamment et se font rappeler Ă  l’ordre par Mme Pougnec :
-Herrero et vos p’tits amis, on calme ses hormones !
-Pardon, Madame.
-Bon.
AprĂšs, un bref silence, ils se remettent Ă  chuchoter. C’est un cycle. NaĂ«l n’entend que des bribes. C’est un groupe de garçons un peu laids, mais sĂ»rs d’eux et aux regards franchement mĂ©chants. Sacha donne ses astuces pour toucher des culs :
-C’est dans les casiers aux interclasses, c’est super serrĂ©.
-Ouais, net.
-Mon gars, dis-toi, tu te mets lĂ  et tu touches des culs, des culs, des culs. Plein plein de culs. Elles sauront jamais qui c’est. Dis-toi, gars, la derniĂšre fois j’en ai touchĂ© je sais pas, au moins dix. Tac tac tac.
-Et de qui ?
-Je sais pas.
-De meufs de la classe ?
NaĂ«l n’entend pas la suite. Sur le cycle suivant, il comprend qu’Aylan a dĂ©jĂ  couchĂ© avec une fille. Et sans capote, sinon il sent rien. Il repart de ce cours avec trois idĂ©es : les gars qui touchent des culs le dĂ©goĂ»tent un peu et il ne veut pas leur ressembler ; pour exister, il faudra toucher des culs, il faudra y passer ; on peut dire de l’Espagne qu’elle est bicĂ©phale, ses pĂŽles Ă©conomiques et dĂ©mographiques se trouvant Ă  la fois dans les rĂ©gions de Barcelone et de Madrid, lĂ  oĂč la France est un pays centralisĂ© sur une seule rĂ©gion dynamique Ă©conomiquement.
A la pause, NaĂ«l retrouve ses potes : trois filles et un autre mec, Liam. C’est assez rare les groupes de potes mixtes Ă  cet Ăąge. NaĂ«l ne sait pas si c’est un signe de maturitĂ©, ou au contraire un reliquat de l’enfance. Les 3Ăšme ont le droit de sortir entre 9h50 at 10h05, alors iels vont au Bon MarchĂ© prendre un paquet de gĂąteaux. Cinq jours dans la semaine, cinq personnes dans le groupe, chacune paye un paquet pour la pause du matin (au dĂ©but de l’annĂ©e, iels disaient “la rĂ©crĂ©â€, comme des bĂ©bĂ©s, maintenant, c’est “l’interclasse”, ou “la pause”). Quand c’est son tour, NaĂ«l prend des tartelettes parce que ça coĂ»te 96 centimes le paquet de huit tartelettes, et personne ne s’en plaint. Mais aujourd’hui, c’est Ă  Aya. En gĂ©nĂ©ral, elle prend les cookies avec le drapeau amĂ©ricain sur le paquet. C’est Ă  2,08€ le paquet, et il y en a douze. On lisse les inĂ©galitĂ©s sur la semaine. C’est une sorte de dispositif de redistribution. Elle passe en premier Ă  la caisse. Non, y a pas Ă  dire, Aya est trĂšs jolie, c’est pas la question, mais NaĂ«l ne se sent pas de lui mettre une main au cul lĂ  comme ça. Liam finit de raconter une histoire :
-
du coup, je la guidais dans les rayons, elle voyait rien la pauvre !
Il dit "pauvre" avec un o ouvert, Ă  la marseillaise, alors que le Val-d’Oise est Ă  huit-cents kilomĂštres de La Castellane. Fatou le coupe en tendant son paquet de biscuits d'apĂ©ritif - elle l’avait entamĂ© discrĂštement en cours :
-Bon, qui en veut, lĂ  ??
-Moi, je suis chaud.
-Bah tiens, vas-y finis !
NaĂ«l finit le paquet de biscuits Belin (ceux avec du fromage gratinĂ©). Il retourne mĂ©thodiquement le sachet dans sa bouche pour manger toutes les miettes. Fatou s’est penchĂ©e derriĂšre Louna. Elles regardent fixement NaĂ«l terminer le paquet. En finissant sa bouchĂ©e :
-HĂ© les meufs, vu d’ici on dirait trop vous ĂȘtes bicĂ©phales, lĂ .
Louna fait :
-Quoi ? Bicéphale ?
Fatou fait Ă  Louna :
-J’t’explique : bicĂ©phale, c’est un truc qu’a deux tĂȘtes, elle a dit la prof tout Ă  l’heure.
Fatou à Naël :
-Eh mais comment t’es chaud en cours, toi !
Louna :
-Mais grave, on va trop réviser avec toi pour le brevet.
Liam :
-On avait pas dit avec moi, wesh ?
Fatou :
-Azy vous battez pas, je vous ai dit, on va rĂ©viser ensemble au resto de mon daron, y a personne aprĂšs les cours, on peut se faire des cafĂ©s et tout, c’est posĂ© et tout.
-Azy chaud.
-Chaud.
Louane a déjà payé et ouvert le paquet :
-Bon, on bouge, ou quoi ?
Le groupe sort et se met en route pour ĂȘtre Ă  l’heure en physique-chimie.
-Salut les jeunes !
M. Jeyamoorthy, gérant du Bon Marché depuis 2009, reçoit rarement une réponse, mais les jeunes ne le volent jamais.
Dans la rue, le groupe nage, vole. La marche est rapide, les passants et passantes ne sont qu’environnement. Les vieilles Ă  caddie, les sans-abris et les poussettes se contournent comme les Ă©chaffaudages, les parcmĂštres ou les poubelles.
La nĂ©cessitĂ© de toucher des culs est complĂštement sortie de la tĂȘte de NaĂ«l depuis qu’il a mangĂ© les biscuits Belin, et maintenant les cookies amĂ©ricains.  Il se dit que c’est depuis la 3Ăšme qu’il mange des cookies sans le verre de lait qui va avec, comme ça, on ouvre le paquet sur le chemin et une fois au collĂšge, on le jette. Ce paquet, il vient pas d’un placard, il vient direct du magasin. Et il le mange avec ses potes. Le paquet de gĂąteau n’est pas contrĂŽlĂ© par ses parents. Il se sent super adulte. Et il fait comme si c’était normal, autrement ce serait un peu gamin de s’émerveiller d’ĂȘtre adulte. Il croise un chien et tente le regard mĂ©chant, il ne sait pas dire si ça a marchĂ©. Pendant ce temps, Aylan, Sacha et Issa ont touchĂ© pas mal de culs.
Comme souvent, la salle 202-B pue. Ça doit ĂȘtre dĂ» Ă  la respiration des classes prĂ©cĂ©dentes, combinĂ©e au soleil qui tape sur les vitres grasses et pleines de condensation. La classe met du temps Ă  s’installer, remuant les poussiĂšres en suspension. La rumeur des conversations, d’habitude morne et rĂ©signĂ©e, a une autre couleur. Elle est pleine de passion et de surprise : une information croustillante circule. Il entend derriĂšre lui :
-C’est quoi ? C’est quoi ? Il a fait quoi ?
-C’est ThaĂŻs, askip elle l’a sucĂ© contre le DM de maths.
-Sérieux ? Poh poh poh !!
NaĂ«l a senti le mal s’installer dans sa poitrine. Hier, ça allait, et lĂ  il y a un mal. Il allait aider son groupe de potes Ă  rĂ©viser le brevet, comme ça, gratuitement ? S’il continuait Ă  ne pas vouloir toucher des culs et Ă  ne pas se faire sucer, il allait finir par ĂȘtre en retard.
18h25, NaĂ«l est dans sa chambre, il n’a pas envie de lancer son jeu vidĂ©o. La fin de journĂ©e avait un goĂ»t rance. L’odeur des salles a contaminĂ© son haleine, et a donnĂ© le goĂ»t de son aprĂšs-midi. Il se pose sur son pouf, au pied de son poster, et lance sa balle de tennis en l’air. Le plus haut possible, sans toucher le plafond. Il n’a pas retirĂ© son casque, il a toujours la musique qui l’accompagnait sur le trajet - un morceau de rap qui raconte le temps qui passe. Et le mal est toujours lĂ . Il se demande : et si c’était faux ? S’il avait fait fuiter une information juste pour se la raconter ? Impossible d’évoquer cette hypothĂšse au collĂšge. Le simple fait d’en douter, de trouver ça peu probable, le ferait passer pour un gamin. Et il faudrait grandir.
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beatlesonline-blog · 2 years ago
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freelance-informatique · 1 year ago
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Marcelino retrouve un nouveau club aprÚs son départ de l'OM !
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AprĂšs un passage tumultueux Ă  la tĂȘte de l'Olympique de Marseille, l'entraĂźneur espagnol Marcelino s'apprĂȘte Ă  reprendre du service, un vent de renouveau souffle sur sa carriĂšre, puisque les rumeurs le placent de retour sur le banc de Villarreal, un club qu'il connaĂźt bien pour y avoir dĂ©jĂ  officiĂ© par le passĂ©. Marcelino et Villarreal, une histoire qui se rĂ©pĂšte L'histoire entre Marcelino et Villarreal est sur le point de connaĂźtre un nouveau chapitre. Selon les derniĂšres informations relayïżœïżœes par le mĂ©dia Relief, l'annonce de son retour comme entraĂźneur est imminente. Ayant dĂ©jĂ  marquĂ© le club de son empreinte entre 2013 et 2016, Marcelino est un visage familier pour les fans du "Sous-marin jaune". Cette nouvelle intervient comme un signe de continuitĂ© et de confiance mutuelle entre l'entraĂźneur et la direction du club espagnol. Voir aussi : - Vente de l'OM : Les contours du projet et un mercato XXL ! Retour sur la fin de l'aventure marseillaise de Marcelino NommĂ© Ă  la tĂȘte de l'Olympique de Marseille cet Ă©tĂ©, succĂ©dant Ă  Igor Tudor, Marcelino a connu un parcours pour le moins agitĂ©. Sa dĂ©mission, survenue en septembre aprĂšs une rĂ©union houleuse avec la direction et les supporters, a Ă©tĂ© le point d'orgue de son court passage. Pablo Longoria, a mĂȘme reçu des menaces, le conduisant Ă  se mettre en retrait. Marcelino, quant Ă  lui, a exprimĂ© son sentiment d'impuissance quant Ă  la rĂ©alisation du projet sportif du club phocĂ©en. Nouveau club de Marcelino : Un projet sportif Ă  reconstruire En revenant Ă  Villarreal, Marcelino se voit offrir une chance de redorer son blason et de relever un nouveau dĂ©fi. Sa connaissance approfondie du club et son expĂ©rience prĂ©cĂ©dente seront des atouts indĂ©niables pour mener Ă  bien un projet sportif ambitieux. La direction de Villarreal semble convaincue que l'entraĂźneur espagnol est l'homme de la situation pour insuffler une nouvelle dynamique Ă  l'Ă©quipe. Lire ensuite : - L'OM Ă©chappe aux sanctions de la LFP, l'OL riposte aussitĂŽt ! Marcelino Ă  Villareal : Un retour sous le signe du renouveau pour le club L'avenir de Marcelino Ă  Villarreal est sujet Ă  spĂ©culation, mais une chose est sĂ»re : son expĂ©rience et son talent seront des atouts prĂ©cieux dans la quĂȘte de succĂšs du club. Les supporters attendent avec impatience de voir comment il va façonner l'Ă©quipe et quels seront les rĂ©sultats de ce nouveau mariage entre le technicien espagnol et le club de la Liga. Seul le temps dira si ce retour est le prĂ©lude Ă  une Ă©popĂ©e glorieuse pour Villarreal et Marcelino. ________ Pour retrouver toute l'actu foot, rendez-vous sur notre page Facebook ou sur notre page Twitter ! Read the full article
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antropire · 2 years ago
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Joe le Tatou
 
Joe le Tatou est maintenant sur les starting-block en aluminium ! ShootĂ© aux coccinelles bien dodues, Joe le Tatou prĂ©pare son deuxiĂšme confinement. La petite rĂ©serve de cafards sous la patte, il part rouler sa bosse et son groin Ă  la recherche d'un humus frais oĂč laper deux trois chenilles bien plissĂ©es. 
Joe le Tatou passe furtivement. C'est un petit terrible qui vibre à l'appel de l'oiseau. Mais à un moment, paf ! Joe le Tatou sabote son histoire : il soliloque comme un troufion, ratiocine à vau-l'eau, puis se pose sur sa coquille en chantant la Marseillaise. 
Vive la France, Vive la RĂ©publique.
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randonneesenprovence · 7 years ago
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Marius - Marcel Pagnol Marius au thĂ©Ăątre Marcel Pagnol achĂšve Marius en 1928 alors que sa seconde piĂšce en « solo », Topaze, vient d'ĂȘtre acceptĂ©e au thĂ©Ăątre des VariĂ©tĂ©s. Il porte tout d'abord son manuscrit Ă  Franck, le directeur de l'Alcazar de Marseille, qui le refuse au motif que ce serait « un crime » de ne pas la crĂ©er Ă  Paris[1]. Il le recommande pour ce faire à Raimu, un « comique troupier » d'origine toulonnaise qui connait un certain succĂšs dans les revues de LĂ©on Volterra, directeur entre autres du Casino de Paris et du thĂ©Ăątre de Paris. Raimu, qui joue alors une revue au thĂ©Ăątre Marigny, est tout de suite sĂ©duit par le projet, bien qu'il n'ait encore jamais interprĂ©tĂ© de vĂ©ritable rĂŽle au thĂ©Ăątre (Ă  l'exception d'un rĂŽle mineur dans L'École des cocottes de Gerbidon et Armont), et convainc Volterra – par l'intermĂ©diaire de la femme de ce dernier, Simone Volterra, vĂ©ritable dĂ©cisionnaire – de monter la piĂšce. Le directeur propose Ă  Pagnol les vedettes de l'Ă©poque Victor Francenet Gaby Morlay, mais Pagnol objecte que la piĂšce comportant du provençal marseillais, elle nĂ©cessite des comĂ©diens mĂ©ridionaux. Il obtient donc, outre Raimu, l'engagement d'Orane Demazis (qui avait crĂ©Ă© la premiĂšre piĂšce de Pagnol Jazz en 1926 et pour laquelle il a Ă©crit le rĂŽle de Fanny), Maupi du Concert Mayol et de comĂ©diens de l'Alcazar dont Alida Rouffe, Paul Dullac et Édouard Delmont. Il dĂ©bauche Ă©galement Fernand Charpin de la troupe de l'OdĂ©on mais celui-ci accepte sous rĂ©serve de tenir le rĂŽle principal de Panisse que Pagnol destine Ă  Raimu. Alors que Pagnol hĂ©site sur la façon de prĂ©senter la chose Ă  Raimu, celui-ci lui indique qu'il a dĂ©cidĂ© de jouer CĂ©sar - rĂŽle pourtant secondaire dans la version d'origine - car sa notoriĂ©tĂ© justifie que « la piĂšce se passe chez [lui]. Ce n'est pas monsieur Raimu qui doit se dĂ©ranger pour aller rendre visite Ă  monsieur Charpin. C'est monsieur Charpin qui doit venir s'expliquer chez monsieur Raimu[1] ». À charge pour Pagnol d'ajouter quelques scĂšnes pour dĂ©velopper le personnage. Quant Ă  Marius, Pierre Blanchar, initialement prĂ©vu, doit dĂ©cliner l'offre car trop accaparĂ© par le cinĂ©ma et le thĂ©Ăątre. AprĂšs de nombreux refus de la part de Volterra, Pagnol arrĂȘte finalement son choix sur Pierre Fresnay au grand dam de Raimu qui estime « une folie » d'engager « un Alsacien protestant de la ComĂ©die-Française » pour un rĂŽle Ă  accent aussi long. Or, c'est avec un accent marseillais quasi parfait que Fresnay se prĂ©sente Ă  la premiĂšre rĂ©pĂ©tition, ayant passĂ© les quinze jours prĂ©cĂ©dents Ă  jouer les garçons dans un petit bar du Vieux-Port. La piĂšce est crĂ©Ă©e au thĂ©Ăątre de Paris le 9 mars 1929 et rencontre immĂ©diatement un vif succĂšs, jouant Ă  guichets fermĂ©s de nombreux mois. L'une des scĂšnes les plus apprĂ©ciĂ©es est la « partie de cartes », que Pagnol avait coupĂ©e en rĂ©pĂ©titions jugeant qu'elle dĂ©tonait trop avec le ton gĂ©nĂ©ral de la piĂšce et que Raimu avait nĂ©anmoins rĂ©ussi Ă  imposer.  Marius ne s'interrompt que deux ans plus tard (en raison d'engagements antĂ©rieurs pris par Volterra), totalisant 800 reprĂ©sentations, alors que Pagnol rĂ©flĂ©chit dĂ©jĂ  Ă  une suite. Marius au cinĂ©ma Marius (film, 1931). L'arrivĂ©e du cinĂ©ma parlant incite Pagnol Ă  se tourner vers ce nouveau mĂ©dia dont il est un des premiers Ă  sentir les possibilitĂ©s pour un dramaturge. Il se rend ainsi spĂ©cialement au printemps 1930 au Palladium de Londres pour assister Ă  la projection du premier film musical, The Broadway Melody[4]. Mais malgrĂ© son enthousiasme, les studios français - sceptiques quant Ă  cette nouvelle technique - lui restent fermĂ©s. Son plaidoyer publiĂ© dans Le Journal le 17 mai 1930 sous le titre « Le film parlant offre Ă  l'Ă©crivain des ressources nouvelles », lui vaut mĂȘme la rĂ©probation de la SociĂ©tĂ© des Auteurs. En 1931, il fait la connaissance de Robert T. Kane, producteur Ă  la Paramount Pictures, qui vient de crĂ©er une filiale Ă  Paris et ouvert des studiosafin de mieux pĂ©nĂ©trer le marchĂ© français. Cette rencontre permet Ă  Pagnol de se familiariser avec tous les rouages d'une production cinĂ©matographique et d'acquĂ©rir une expĂ©rience qui lui permettra quelques annĂ©es plus tard de crĂ©er sa propre compagnie (comprenant studios et laboratoire Ă  Marseille et agences de casting à Paris, Lyon et Alger)[4]. L'intĂ©rĂȘt pour le cinĂ©ma parlant du public retombant - une fois la surprise passĂ©e - en raison de la pauvretĂ© des scĂ©narios, Kane propose Ă  Pagnol de lui acheter les droits de Marius pour en faire une adaptation cinĂ©matographique. Saisissant l'occasion, Pagnol refuse la somme considĂ©rable de cinq cent mille francs contre le contrĂŽle total - ce qui constitue une rĂ©volution pour l'Ă©poque - sur l'adaptation et la distribution, plus un pourcentage sur les recettes au titre des droits d'auteur. Ainsi, alors que la production envisage les vedettes de l'Ă©cran Jean Murat, Henry Garat et Meg Lemonnier, il parvient Ă  faire engager sa distribution d'origine dont la quasi-totalitĂ© n'a pourtant jamais fait de cinĂ©ma[6]. Il abandonne en revanche tout droit de regard sur les versions allemandes et suĂ©doises tournĂ©es simultanĂ©ment. ParallĂšlement, Pagnol convainc Kane de mettre en place un comitĂ© littĂ©raire constituĂ© d'auteurs reconnus et chargĂ© de choisir des ouvrages dignes d'intĂ©resser le public français. Il rĂ©unit ainsi Édouard Bourdet, Tristan Bernard, Alfred Savoir, Sacha Guitry, Pierre Benoit, Yves Mirande, Saint-Granier, Albert Willemetz et LĂ©opold Marchand, Jean Giraudoux ayant dĂ©clinĂ© l'offre. Mais l'expĂ©rience tourne court lorsque les membres dudit comitĂ© se rendent compte qu'ils ne sont que des arguments publicitaires et que leurs recommandations ne sont absolument pas suivies. Le tournage, dont la rĂ©alisation est assurĂ©e par le metteur en scĂšne britannique Alexander Korda en parfaite collaboration avec Pagnol, a lieu en cinq semaines pendant l'Ă©tĂ© 1931 Ă  Marseille pour les extĂ©rieurs puis aux studios de Joinville. Des versions allemandes et suĂ©doises sont tournĂ©es simultanĂ©ment. Alors que ces adaptations standardisĂ©es selon les critĂšres des studios sont des « fours », la version française - malgrĂ© sa longueur exceptionnelle de 2 heures - est un vĂ©ritable triomphe, engrangeant un million de francs par semaine (557 980 € actuels) lors de ses deux premiers mois d'exploitation.
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