#histoire marseillaise
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Portrait of a Communard (1) : Arthur Arnould (1833-1895)
During the Second Empire, Arthur Arnould was a journalist at the Revue nationale, a newspaper opposed to Napoleon III. In 1870, he joined La Marseillaise.
After the proclamation of the Third Republic, he became assistant librarian of the city of Paris.
On March 26, 1871, he was elected to the Council of the Commune, as a representative of the 4th arrondissement. He was first a member of the Commission of External Relations, whose delegate was Pascal Grousset. In April, he joined the Commission of Labor and Exchange, whose delegates were Augustin Avrial, Léo Frankel, Benoît Malon, and Albert Theisz. He then joined the Commission of Subsistence, under the responsibility of Auguste Viard. Finally, we find him at the Commission de l’Enseingement, under the responsibility of Edouard Vaillant.
During the Commune, Arthur Arnould worked for Le Rappel, La Nouvelle République, and L’ Affranchi. On May 1, alongside Auguste Vermorel, he became an editor at the Journal officiel. When the Committee of Public Safety was created, he was one of the nineteen internationalists of the anti-authoritarian minority, alongside Andrieu, Avrial, Babick, Beslay, Chalain, Clémence, Cluseret, Frankel, Girardin, Langevin, Lefrançais, Longuet, Malon, Pindy, Serraillier, Rheiz, Vaillant, Varlin. As a reminder, the Committee of Public Safety, following the proposal of Jules Miot, was established on May 1, 1871, by 45 votes to 22. The five members were Antoine Arnaud, Gabriel Ranvier, Léo Meillet, Félix Pyat, and Charles Gérardin. The anti-authoritarians saw their power confiscated by the Committee of Public Safety; they were ousted from the delegations. On May 15, Arthur Arnoult signed the declaration of the internationalist minority, which publicly denounced the "dictatorship" of the Committee of Public Safety, "The Paris Commune has abdicated its power into the hands of a dictatorship to which it has given the name of Public Safety."
In November 1872, Arthur Arnould was sentenced in absentia to deportation. He therefore took refuge in Switzerland with his wife Jeanne Matthey (Jenny). In Geneva, among the proscribed, he was active in the Socialist Revolutionary Propaganda and Action Section. In 1873, he was sent to Lugano to attend the congress of the International League for Peace and Freedom. A year after the Saint-Imier Congress, he became close to Bakunin.
In 1874, he left for Argentina with Jenny.
In 1876, Bakunin died. Arthur Arnould was one of the people responsible for managing his manuscripts, which he then passed on to James Guillaume. In Geneva, he contributed to the Bulletin de la Fédération jurassienne, La Commune, and Le Travailleur. He published L’État et la Révolution (in 1877), and his Histoire populaire et parlementaire de la Commune de Paris (in 1878). With Gustave Lefrançais, he wrote Souvenirs de deux communards réfugiés à Genève, 1871-1873.
He also wrote novels under the pseudonym A.Matthey.
In the 1880s, when he returned to France, we can say that the character changed, and not in a good way, for a former communard and anarchist ! In 1881, he joined the Republican Socialist Alliance, a reformist socialist party of which Clemenceau was a member... A few years later, he had to deal with Jenny's death... The worst thing about his evolution was that he would have accepted to be decorated with the Order of Isabella the Catholic ! Then he joined an esoteric sect, the Theosophical Society.
Nevertheless, I would not say that he had completely erased his past as a communard and anarchist, since he still wrote an article about Bakunin in the Nouvelle Revue in 1891.
He died in 1895.
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Allonzenfants de la Patri-i-i-eu…
Cet “édito” date un peu. J'ai commencé à l'écrire il y a 15 jours, sous le coup d'une forte “déceplère” –mélange de déception et de colère que notre Président semble vouloir susciter à longueur d'année, comme s’il voyait vraiment les français-de-base avec un béret vissé sur la tête et une baguette sous le bras… alors qu’au contraire, ce sont en majorité des braves types, plus qu'il ne le croit : même si une immense majorité, déçue, dit ne plus rien attendre du personnel politique, ils sont tout de même quelque 10 millions à revenir, à chaque allocution… pour entendre le bout de Marseillaise tronquée qui décrit bien notre époque, et qui est suivi par… le néant !
Même Hollande, à la fois nul et malfaisant, est battu ! Le gouffre se creuse comme jamais, entre les français et leur président (NDLR - Un lieu commun veut que l'on dise “et les élites”, mais c'est faux… tant est grande l'impression de vide sidéral qu'émettent l'Elysée et ses petits marquis sans noblesse. D'un autre côté, la nullité ahurissante des “touttcellzéceu” qu'il choisit pour l'entourer est telle qu'on comprend qu'il ait envie de gouverner seul !). Il est convenu de parler de mépris, de hauteur, d'arrogance… et il y a un peu de tout ça, c'est certain. Mais “pas que’’, et c'est là que tout déraille : il croit savoir, lui, ce que personne d'autre qui lui n'aurait compris et il pontifie donc depuis des sommets auxquels nous n'avons pas accès. Un vieux proverbe dit que “on peut avoir raison contre beaucoup… mais pas contre tout le monde”, mais pas lui. Il est une démonstration, voire la preuve consternante de ses propres limites : plus les français, exaspérés, lui hurlent (ou “casserolisent”) leur “ras-le-bol”, plus il assure qu'il les a compris et qu'il a changé ou va le faire… moins ils trouvent qu'il comprend et qu'il change. Est-ce que ça se soigne, Docteur?
En fait, son erreur remonte à loin ! Lorsqu'il a annoncé, puis répété et commenté, ès-fonctions, qu'il n'y avait pas de culture française mais des valeurs empruntées ici et là (qu'il s'est toujours bien gardé de “lister”, et pour cause : ce n'est qu’un agrégat d'idées chrétiennes mal comprises et “devenues folles”, pour parler comme le ferait Chesterton. Autant elles avaient un sens dans leur contexte, autant, étant récitées comme un mantra, elles ne veulent rien dire : on ne peut que “être d'accord” avec cette enfilade de truismes, de lieux communs et d'affirmations gratuites ! Tous les français qui écoutent ses péroraisons pensent, abasourdis, que ce sont des effets de manche, des galéjades d'estrade. Mais pas du tout : sa méconnaissance de ce que sont la France et les français est telle qu'il croit aux poncifs, clichés et contre-vérités qu'il éructe… Ce qui est grave, c’est que… culture, histoire, colonisation, fausse extrême droite et vraie extrême gauche, envies, rêves, rejet de ses faux “progrès”, mais rejet aussi du changement, besoin de stabilité... il a tout faux !
Mais en réalité, le fatras de pensées imparfaites qu'il croit pouvoir servir de re-fondement à la permanence et à la sauvegarde de notre civilisation (à laquelle aucune autre ne peut être comparée puisqu'elle a apporté à l'humanité un degré de bien-être réel, de bonheur potentiel et de réalisations dans tous les domaines, tels qu'aucune autre, jamais, n'avait même osé envisager…) remonte à bien plus loin : le mal qui ronge nos sociétés trouve sa source dans l’idée (fausse) d’un progrès cantonné aux domaines de la science, de la technologie, de l’économie et de l’organisation sociale, qui seraient l’alpha et l’oméga des besoins nécessaires à l'amélioration de la condition humaine –redéfinie pour l'occasion : “le Progrès” des progressistes n'en est pas un, et pourtant, en France, tout l'espace estampillé “Progrès” a été occupé par un radicalisme fait d'anticléricalisme par système, d'humanisme vidé de tout sens, et d'un républicanisme de bazar… d'où que les discours de nos dirigeants soient interchangeables, décourageants, et mortifères.
Une pensée est dite ‘’progressiste’’ lorsqu'elle voit dans tout “présent” un progrès par rapport à toute époque passée, réputée primaire, ignorante et néfaste, alors que, paradoxalement, elle ne fait pas nécessairement un progrès du présent, qu'elle elle peut au contraire dénigrer au nom de la recherche d'une amélioration plus radicale, en prônant des valeurs dites “modernes” –qui ne sont, en réalité, que différentes. D'où la dérive intellectuelle qui a fait du progressisme une volonté d'imposer tout changement réputé social (?), même obtenu par la violence (par là même justifiée !). Au terme d'une évolution contrainte –mais globalement peu favorable à l'humanité et aux vraies aspirations des hommes– la dérive actuelle a débouché sur une croyance très largement répandue (bien que rien, jamais, nulle part, n'ait pu la justifier, et pour cause : les prémisses sont fausses !) : “gouverner, ce ne serait plus conserver, protéger et améliorer : c'est trans-for-mer”.
Macron tient à cette fausse croyance : dans chacun de ses gestes, de manière presque “sectaire”, il est prêt à tout –il le prouve chaque jour, hélas !) pour que personne ne puisse croire qu'une pensée “autre” soit possible : il y a le bon (lui) et les autres, tous mauvais ! Rien, dans son inculture, ne vient lui souffler qu'avant de tout chambouler (ce qui veut dire : détruire l'existant, par définition), il faut essayer de “faire marcher, améliorer, perfectionner, etc… ” La seule chose qui compte, dans le système de mal-penser d'un progressiste, c'est qu'il faut et qu'il suffit de tout changer y compris l'Homme –et même en commençant là : “Du passé, faisons table rase”, chante l'Internationale. Tout est dit : l'échec est prévisible.
L'un après l'autre, ses discours tournent en rond autour les mêmes mauvaises idées : “il suffit que ce soit ’‘autre” pour que ça soit mieux’’. Alors il promet, d'ici au 14 juillet, “un monde du travail pacifié, des hôpitaux sauvés de la ruine (ou son impéritie les a plantés), des changements ’'perceptibles” à l'école’’ (traduction en français : on va continuer à laisser couler le niveau des élèves, mais Pap N'Diaye va mettre la puissance et l'endettement de notre Etat moribond au service d'une néfaste “inclusion”, d'une “mixité” perverse, des l'idéologies mortifères d'un égalitarisme-par-le-bas et d'un “endégueulassement” pour pervertir gravement notre jeunesse : rien ne doit freiner la mort de la race blanche !). Merci, Macron.
Pour “réamorcer la pompe” après ces quelques jours de repos, on se doit de demander combien ont coûté à notre Etat-mendiant le déploiement ridicule de 4500 gardes (3000 + 1500) pour surveiller un ballon rond dans un stade… où il ne s'est rien (vraiment : RIEN) passé. Cette terreur omni-présente qui transforme Paris en caserne, atteint des sommets… dans sa profondeur ! Et ce n'est pas le moindre des maux dont nous souffrons : à force de nous soumettre à un syndrome de confinement, de silence et de soumission, le pouvoir récolte la tempête : notre ex- ‘’Ville Lumière’’, n’est plus qu’une horreur, hâvre pour black-boks et ultra-gauche.
Au début de cet “édito”, je vous parlais de ma “déceplère”, ma “déception-colère”, qui est un état d'esprit amer et même triste qui m'est –normalement– étranger, et je m’en veux de donner l'impression que je ressasse : c'est vrai, pour une fois. Mais à qui la faute ? Et comment faire, devant ces champs de ruines ?
H-Cl.
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Aujourd'hui chez Art et Vie.
Exposition "La République, c'est nous", présentée à la mairie de Carpentras, met en lumière le travail des enfants autour des symboles de la République française. À travers des créations artistiques et éducatives, les jeunes participants explorent des thèmes comme la liberté, l'égalité, la fraternité, ainsi que des emblèmes nationaux tels que le drapeau tricolore, Marianne, la Marseillaise et l'Arbre de la République.
Points forts de l'exposition :
1. Travaux des enfants : dessins, peintures, collages et autres œuvres créatives inspirées par les valeurs républicaines.
2. Focus sur les symboles nationaux : une réflexion pédagogique sur leur signification et leur importance dans notre société.
3. Lecture publique : "L'Arbre de la République" : un moment de partage où un texte dédié à cet emblème est présenté, célébrant son rôle comme symbole de démocratie, de solidarité et d'enracinement des valeurs républicaines.
Cet événement offre une belle opportunité de transmettre les valeurs républicaines aux nouvelles générations tout en sensibilisant le public à leur signification et à leur histoire. Gratuit et ouvert à tous, il invite à une réflexion collective sur ce qui nous unit en tant que citoyens.
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Top 4 meilleurs marqueurs de l’histoire de l'Olympique de Marseille
Qui sont les meilleurs buteurs de l'histoire de l'OM ? L'Olympique de Marseille, l'un des clubs les plus emblématiques du football français, a vu naître des légendes au fil des décennies. De Jean-Pierre Papin à Josip Skoblar, en passant par Gunnar Andersson et Mamadou Niang, ces attaquants ont marqué l'histoire du club par leur talent et leurs exploits mémorables. Gunnar Andersson , aka Le viking suédois Entre 1950 et 1958, Gunnar Andersson, le "Viking suédois", a également marqué l’histoire de l’OM. Avec 194 buts en seulement 220 matchs, il a établi un record qui fait encore rêver de nombreux attaquants. Sa capacité à marquer dans des situations décisives et son sang-froid devant le but ont fait de lui une véritable icône à Marseille. Gunnar Andersson était reconnu pour sa technique et son efficacité, ce qui lui a permis d’évoluer au plus haut niveau durant ses années à l’OM. Ses performances ont contribué à asseoir la réputation du club sur la scène française et européenne. Les supporters se rappellent de ses dribbles et de ses buts spectaculaires, ce qui fait de lui une figure légendaire du club phocéen. Lire aussi : Elye Wahi pose ses valises à l’Olympique de Marseille, c'est officiel Jean-Pierre Papin, l'icône marseillaise Jean-Pierre Papin, plus communément appelé "JPP", est sans conteste l’un des plus grands noms de l’Olympique de Marseille (OM). Arrivé au club en 1986, il a su rapidement se forger une légende grâce à son incroyable talent et son efficacité redoutable. Au cours de sa carrière marseillaise, Jean-Pierre Papin a inscrit pas moins de 182 buts en 275 matchs, ce qui fait de lui l’un des buteurs les plus prolifiques de l’histoire du club. Sa technique et sa précision, alliées à un sens du placement exceptionnel, lui ont permis de marquer des "Papinades", un terme devenu synonyme de ses frappes puissantes et précises. Son style de jeu a fait de lui un modèle pour de nombreux jeunes attaquants. En 1991, il a été récompensé par le Ballon d’Or, devenant ainsi le premier joueur de l’OM à recevoir ce prestigieux trophée. Ce titre a non seulement honoré sa carrière, mais également mis en lumière le rôle prépondérant qu’il a joué dans l’ascension du club sur la scène nationale et internationale. Josip Skoblar, alias L’aigle dalmate L’histoire de l’OM ne serait pas complète sans évoquer Josip Skoblar, surnommé "l’Aigle Dalmate". Ce joueur emblématique a rejoint l’équipe en 1966 et a laissé une empreinte indélébile au sein du club. Avec 176 buts en 276 apparitions, il est considéré comme l’un des plus grands buteurs marseillais. Sa saison 1970-1971 restera gravée dans les annales du club, car il a établi un record incroyable de 44 buts en une seule saison, un exploit que peu de joueurs ont réussi à égaler depuis. Josip Skoblar se distinguait par son jeu de tête exceptionnel et sa capacité à se trouver au bon endroit au bon moment. Son placement et sa vision du jeu en ont fait une menace constante pour les défenses adverses. Les supporters se souviennent encore de sa manière de jouer, alliant puissance et finesse, et son nom reste synonyme d’excellence à Marseille. Mamadou Niang : L’histoire moderne Dans l’histoire plus récente de l’OM, Mamadou Niang a su marquer les esprits entre 2005 et 2010. Avec 100 buts en 227 apparitions, il a joué un rôle important dans le succès du club, notamment lors de la conquête du titre de champion de France en 2010. Reconnu pour sa vitesse et son sens du but, Mamadou Niang était capable de faire la différence à tout moment. Son style de jeu, combinant dribble, rapidité et puissance, lui a permis de devenir un véritable cauchemar pour les défenseurs adverses. Les fans de l’OM se souviennent de ses courses sur l’aile et de sa capacité à se créer des occasions de but, faisant de lui un joueur incontournable pendant son passage au club. Une riche histoire de buteurs L’Olympique de Marseille possède une riche histoire de buteurs légendaires, chacun ayant laissé sa marque sur le club. Que ce soit Jean-Pierre Papin, Josip Skoblar, Gunnar Andersson ou Mamadou Niang, ces attaquants ont tous porté les couleurs de l’OM avec fierté, ce qui a contribué à forger l’identité du club. Chaque génération a vu émerger ses héros, qui ont apporté leur style et leur personnalité au jeu de l’OM. Ces joueurs emblématiques sont bien plus que des statistiques ; ils incarnent des souvenirs, des émotions et des moments de gloire pour les supporters marseillais. Leur héritage continue d’inspirer les nouvelles générations de footballeurs, et leur nom reste gravé dans la mémoire collective du club. Voir également : Derek Cornelius quitte Malmö pour l'OM L’Olympique de Marseille ne meurt jamais L’histoire de l’OM ne s’arrête pas aux joueurs du passé. Avec l’émergence de nouveaux talents et l’espoir de futures légendes, le club phocéen continue de rêver. La quête de nouveaux buteurs pour écrire les prochaines pages de l’histoire marseillaise est en marche. Les jeunes attaquants, inspirés par les légendes qui les ont précédés, sont prêts à prendre le flambeau. Ensemble, ils porteront les valeurs et la passion qui font de l’OM un club unique, célébré non seulement en France mais aussi à l’international. L’espoir demeure que, dans les années à venir, d’autres joueurs rejoindront le panthéon des légendes marseillaises, continuant ainsi à enrichir la riche histoire de l’Olympique de Marseille. Read the full article
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Déménager à Marseille : Un Nouveau Chapitre en Bord de Méditerranée
Déménager à Marseille, la cité phocéenne, c'est choisir une ville où il fait bon vivre, entre mer, soleil et culture. Que ce soit pour des raisons professionnelles, familiales ou simplement pour changer de cadre de vie, Marseille offre de nombreuses opportunités. Mais comment bien préparer ce grand changement ? Voici quelques conseils pour réussir votre déménagement dans cette belle ville du sud.
1. Une ville riche en histoire et en diversité
Marseille est l'une des plus anciennes villes de France, avec une histoire qui remonte à plus de 2 600 ans. Déménager ici, c'est plonger dans une ville qui allie modernité et patrimoine historique. Entre le Vieux-Port, la Basilique Notre-Dame de la Garde ou encore le quartier du Panier, il y a tant à découvrir. La ville est aussi connue pour sa diversité culturelle, offrant une atmosphère cosmopolite qui enrichit le quotidien.
2. Trouver un logement à Marseille
Marseille est une ville vaste, avec des quartiers très différents les uns des autres. Si vous cherchez la tranquillité, les quartiers comme Endoume, Roucas-Blanc ou les Goudes peuvent vous séduire avec leurs vues imprenables sur la mer. Pour ceux qui préfèrent une ambiance plus urbaine, le centre-ville ou le quartier de la Joliette sont des options intéressantes. Il est essentiel de bien réfléchir à votre style de vie avant de choisir votre futur quartier.
3. Organiser son déménagement
Le climat méditerranéen de Marseille est un atout pour planifier votre déménagement sans craindre les intempéries. Néanmoins, il est important de bien s'organiser. Pensez à contacter une entreprise de déménagement plusieurs semaines à l'avance, surtout si vous déménagez en été, une période souvent très demandée. Préparez également un kit de survie pour les premiers jours : vêtements légers, protection solaire et évidemment, une carte des meilleurs spots pour déguster une bouillabaisse !
4. Se familiariser avec les transports
Marseille dispose d'un réseau de transports en commun relativement bien développé, avec métro, tramway et bus. Cependant, la ville est également connue pour ses embouteillages fréquents. Si vous prévoyez d'utiliser une voiture, choisissez soigneusement votre lieu de résidence pour éviter les zones trop congestionnées. Sinon, le vélo ou la marche sont des alternatives idéales, surtout si vous habitez près du centre ou des plages.
5. Profiter de la douceur de vivre marseillaise
Déménager à Marseille, c'est aussi adopter un rythme de vie plus détendu. Le climat, les paysages et la proximité de la mer invitent à la détente. Les week-ends peuvent être rythmés par des balades dans les calanques, des baignades ou des sorties en bateau. Sans oublier la richesse gastronomique de la région, entre poissons frais, spécialités provençales et vins locaux.
Conclusion
S'installer à Marseille est une aventure pleine de promesses. Avec sa richesse culturelle, son cadre de vie agréable et ses nombreuses activités, la ville séduit de plus en plus de nouveaux habitants. Alors, prêt à franchir le pas et à commencer une nouvelle vie au bord de la Méditerranée ?
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15 MAI 2024
Programme de grâce.
Échauffement en 5 minutes : Un haïku sur le thème imposé « la gourmandise ».
Manger par plaisir, Savourer tous les arômes Sans être malade. Au fond des cuisines, On se lèche les babines. On se sent coupable… Si la gourmandise Était un péché véniel, Moi, je m’abstiendrais.
1°) Mots en vrac (5-10 minutes) : Jeu de construction. Voici une dizaine de mots dont vous ferez ce que vous voudrez. « dissiper, samedi, appétit, cintré, spécial, armoire, grâce, dépouillement, benjamin, ingérable. » Contrainte : tous les utiliser !
Un atelier d’écriture, le samedi, c’est ingérable. Déjà le mercredi c’est difficile, mais le week-end certains participants apportent des gâteaux, des boissons fortes, et l’appétit gêne la concentration nécessaire pour choisir ses mots. Il y en a toujours un pour dissiper ses voisins, grâce à quoi on traîne. Le benjamin du groupe est très spécial : en fin de semaine il se ramène avec des costards cintrés tirés de l’armoire de ses grands-parents, et il fait l’intéressant avec ses tenues. Finalement, on termine à peine un exercice sur deux, et en tant qu’animateur je ressens un tel dépouillement de toutes mes capacités à gérer un groupe, que je me mets à écrire et dire des bêtises comme les autres.
2°) Fragmenter (10-15 minutes) : Souvenirs en miettes. On fera semblant de retrouver le lieu d’un événement exceptionnel, d’un moment privilégié, pour élaborer de fausses bribes d’histoires issues du passé. Un lieu est imposé, dans lequel vous insérerez la fiction de votre choix : l’autocar scolaire. La forme narrative pourra être éclatée, fractionnée, comme si vous reconstituiez avec difficulté des éléments parfois flous au milieu d’autres très précis et frappants.
C’était un voyage sous l’autorité d’une vieille prof d’histoire-géographie. Il fallait assister à une séance du Parlement Européen. Des classes de Première, ou Terminale, des scientifiques qui se fichaient pas mal de l’Europe. Les plus rigolards avaient investi les places du fond et quelques rangées supplémentaires. Par moments il neigeait, on espérait être coincés sur l’autoroute. Des élèves avaient demandé à la prof de faire passer leurs cassettes de rock et de disco au chauffeur mais elle ne voulait pas écouter cette musique. Moi j’étais accompagnateur. J’avais été obligé de m’asseoir devant. J’allais de temps en temps vers le fond, histoire de faire semblant de discipliner les cris, et les élèves me demandaient d’intervenir, ils voulaient pouvoir écouter leurs groupes favoris. Je négociais avec la cheffe… À un moment, on s’est arrêtés sur une aire de service : des garçons gueulaient qu’ils voulaient pisser. On a vidé le car, difficilement, dans une allée encombrée de jambes et de sacs, et je suis descendu aussi. Tous les garçons sont allés tout au fond du parking, près du grillage, et ont joué à qui pissait le plus loin : dans la neige ce serait facile à mesurer. Et après ils ont fait semblant de se retourner tous d’un seul coup, en appelant les filles pour qu’elles viennent vérifier et mesurer leurs performances. Elles ont crié et menacé d'appeler la prof d'histoire... C'était du chiqué... Heureusement celle-ci était restée dans l’autocar. On a fini par chanter, la Marseillaise et l’Internationale, pour l’obliger à demander au chauffeur qu’il mette une cassette. Au retour, le chauffage est tombé en panne. On a tous mis les parkas. C’était une belle sortie.
3°) Expérimental long : Textée. L’animateur dicte très précisément le mode d’emploi d’un texte préexistant (inconnu des participants), charge à ceux-ci de faire de leur mieux pour respecter les consignes. On comparera finalement les textes écrits par les participants avec le texte original. Donnez un titre en reliant deux noms féminins précédés de leur article, qui seront les personnages d’une histoire. Dans la phrase n° 1, exposez au passé simple l’embarras du personnage n° 1, entre deux propositions circonstancielles de temps. Dans la phrase n° 2, sans verbe, exprimez l’absence totale de la plus minime vie animale, pour illustrer l’embarras susdit. Dans la phrase n° 3, narrative et au passé simple, mettez les deux personnages dans une relation de proximité et de requête consécutive au contenu des deux premières phrases, avec une visée prospective de moyenne échéance. Dans la phrase n° 4, à la première personne et au futur, faites exprimer au personnage n° 1 son engagement ferme avec un vocabulaire spécifique de la situation. Dans la phrase n° 5, en deux membres, faites une sorte de portrait moral ironique du personnage n° 2. Dans la phrase n° 6, en deux membres, faites poser une question au personnage n° 2. Dans la phrase n° 7, faites répondre le personnage n° 1, au passé, sous la forme d’une justification. Dans la phrase n° 8, en deux membres, faites répondre le personnage n° 2 de façon catégorique, en reprenant ironiquement l’avant-dernier verbe utilisé dans la phrase précédente, et terminez avec une exclamation orale suivie d’un impératif.
La belle et la bête. Avant d’aller se coucher, la belle hésitait entre un pyjama soyeux ou une nuisette transparente, en ce moment où elle recevait son chéri dans l’intimité. Pas une puce, dans sa lingerie ! La belle demanda tout de même à sa bête de la gratter dans le dos, là, et là, et un peu plus bas, ça la soulagerait d’une terrible démangeaison qui l’empêchait de dormir. « Je te ferai des chatouilles en retour, c’est promis, juré, mon chéri ! » La bête aime les chatouilles, mais elle aime aussi se faire prier. « Veux-tu vraiment que je te grattouille, et jusqu’où je voudrai ? » « J’ai toujours aimé la façon dont tu sais t’arrêter juste à temps quand tu me touches… » « M’arrêter, maintenant ? Jamais ! Baisons tout de suite ! »
(Le texte texté était La Cigale et la Fourmi, de La Fontaine.)
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260324 Maybachufermarkt:
"Ich bestell' auch ein Chicken Mal nochmal neu"
und
"Das war doch nicht gut einkalkuliert, Jakob."
+ J'apprends à m'énerver.
290324 deux bouts de temps, deux aiguilles entre les doigts, serrer les applatit, la matière monte au dessus de la pulpe et des ongles, un pic plat.
+ Croire est plus rapide que ne pas croire, ou en tout cas plus glissant.
300324 "J'ai une partie de ma maison qui est consacrée à ce que je mets dans mon sac." Moi, répété par Manon, ce qui rend la phrase drôle.
310324 un son
Entre les dents
Tu cours
Sur un tapis blanc
Devant un escalier mouillé
Que tu prends
On ne sait
Pas à pas
Si tu montes
Ou tu descends
Laquelle est le reflet
Et les nuages
Cachent ton cœur âgé
Qui continue de marcher
Eux
Va-et-vient
Ont une fin
Hors-champ
Où tu réapparais
010424 Rien n'est fini, ni le mot, ni son sens, ni la chose.
020424 "... Car si vous répondez à toutes les longueurs d'ondes, vous gaspillez de l'énergie pour fabriquer du nectar pour quelqu'un qui n'en boira jamais." (Le génie caché des plantes, Arte)
+ Le fantôme dans la pièce
S'endort sur tes genoux
C'est doux et il s'y enfonce
C'est si bon! Mais tu tousses
Le bond qu'il fait
Maintenant il est
Le fantôme
dans la pièce au dessus.
+ Armature ôtée, j'ai mal et je vis, je sens tout ce que tu me fais. Tu m'as eu à défaut, avec défauts, et tu me tues dans la vie amoureuse.
+ Ventre vide, ventre mou
+ Si tu ne me donnes pas de mots, je comprends tout à la fois et le flou n'est pas adversaire.
030424 à l'heure de marcher je reste et je regarde le mur. Une araignée bouge et m'oblige de la suivre. Ensemble arrivées à la fenêtre, nous faisons demi-tour, Elle dans ma main, moi dans la forêt. Perdues, nous grimpons. En haut, debout, campées et balancées, nous observons le monde. J'ai ma clé dans ma poche, je ne sais pas comment j'ai fait ça.
040424 Manette m'a dit des poèmes.
+ Gide dit de Poussin, qui n'a jamais été l'éleve de personne ni n'a jamais eu d'élève, que "son défaut même de virtuosité et la lenteur de sa main persévèrent sa secrète valeur."
+ Le géant s'est foulé la cheville sur une montagne et s'est noyé dans l'océan.
+ Le noir dans l'ombre des montagnes vu depuis l'avion me rappelle les cieux noirs de mes histoires de jeunesse. Les personnages et les objets n'avaient pas besoin de lumières artificielles dans ces mondes-là.
050424 Des lumières de la corniche on voyait la mer noire.
+ Le musée d'art trop moderne
+ Du train, duo côté fenêtre, un album de '97 dans les oreilles, je savoure les coquelicots en ligne mélangées de ces autres fleurs qui sont jaunes, elles vont toutes à Marseille, je vais à Montpellier, on se croise, on se séduit de l'oeillet dans les champs entre mer et mer.
+ Et deux refrains différents dans la même chanson ? (Byrne, Daddy go down: semi-refrains)
+ Maintenant des fleurs blanches dans les rangs également, et les arbres, et les maisons, et les montagnes, tout ça se précipite à Marseille! Seul le ciel vient avec moi.
080424 Katja a dit: "Il faut chercher les trous avec les yeux."
+ Cezanne, ouvre-toi
Korma Police
(Fred)
Il vaut mieux une catho à l'escalade qu'une scato à l'écalade. (Pao)
+ La parole est au greffier fatigué d'être.
+ Sophrote et la linguistchique
110424 Se poser et voir le monde, Jean-François Billetter: j'ai l'intuition qu'on peut entendre le résultat, qu'importe qui on est, mais que la description du chemin de Bonnard ou d'un autre esprit brouille la recherche du chemin propre, qui peut être très très très différent.
+ Luc: "La résine est une hérésie" (en parlant de chaux, évidemment)
"J'ai même pas senti le poulet, j'ai senti que les champignons! On dirait des chips!" (Blablabus Montpellier Marseille)
+ Décrire la bête marseillaise (Gérald)
220424 Bah, ces coquilles valent bien les hippocampes séchés de mon enfance, que ma mère a jetés. Tout aussi passionnantes, elles ne sont pas cadavres. Cela leur enlève un sombre attrait dont je me passe volontiers.
+ Collectionneur des restes de ma vie, aujourd'hui je mets tout à donner. Presque tout, n'oubliant pas la demi-mesure fraîchement apprise. Homme de peu de passé, avance mieux. Je libère ainsi mes yeux intérieurs, c'est bien là que la douleur siège.
+ Tant de belles choses non notées, mais j'avais trop mal. Je m'efforce maintenant de ne plus exagérer.
+ Je suis un vent dans une forme molle qui était liquide. (Paul Valéry: "[...] tout solide actuel a passé par la phase liquide, fonte ou solution." L'homme et la coquille, folio sagesses p. 72)
... Dans l'aqueux je n'eûs pu entrer ! Suis-je né vent du mouvement de la construction de cet être de chair? Petit à petit, soufflant de plus en plus, ou s'y préparant, à mesure que l'embryon se formait et se creusait d'organes ? Y étais-je enfermé jusqu'à la sortie à l'air libre? Ou suis en fait le premier flot d'air libre entré dans ce corps qui s'est ouvert à moi? Un bout transparent, fluide et volant du monde, de l'univers, peut-être, venu de loin et mené jusqu'à cette bouche qui m'accueillis?
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2017 _
LE OU LA DUB ?
C’est sans aucun ménagement que je mets les pieds dans le plat. Personne ne sera épargné : de l’aficionado-collant-au-consensus à l’inculte -commettant- l’impardonnable en passant par ceux qui ne savent pas trop où ils se situent.
Par « LE ou LA » je n’évoque bien sur pas « réglisse », ni « silicone », encore moins « wifi » et surtout pas « MDMA ». Dub sera au centre de ce dossier qui vient ici clarifier certains points, mais aussi instruire, distraire ou détruire. Pour n’inciter personne dans cet article, je parlerai de ‘Dub’ comme d’un ‘Homme’ avec un grand ‘H’. Dub peut être le nom de votre meilleur pote ou de votre petite amie. Dub à une histoire, une origine, un esprit et une philosophie. Mais, à l’heure où l’on admet que des hommes naissent dans des corps de femmes et vice versa, Dub à t’il/elle un genre bien défini ?
I – L'HISTOIRE DU DUB
Dub voit le jour aux alentours de 1967 en Jamaïque, il est vraisemblablement le fruit d’un accident … Rudy Redwood du sound-system ‘Supreme Ruler of Sound’, diffusa dans un dance-hall une version sans vocal d’un titre des Paragons, parus sur le label ‘Treasure Island’. Le responsable de cette galette piégée n’est autre que King Tubby. L’engouement étant au rendez-vous, dès 1971 on se met à presser sur les face B, des versions instrumentales agrémentées de beaucoup d’effets, orientant l’attention des auditeurs sur l’inséparable couple batterie/basse. À l’aube des années 80, Dub et Reggae inondent le paysage audio mondial. En bon franchouillard, je ne peux m’empêcher de rappeler la reprise polémique de la marseillaise par Serge Gainsbourg en reggae, dubbée par la suite. Mais revenons à nos moutons et à leur dreadlocks. C’est quoi Dub
II – AGENT DUB
Les origines du termes dub restent floues. Celle que je retiens de mes recherches, qui fait selon moi le plus sens, est celle de la contraction de « double ». C’est la version qui vient après la version originelle. D’autres explications sont énoncées par Wikipedia et autre, autour des termes « dubbing », procédé consistant à transférer un format d’un support sur un autre, ou encore « dubplate », disque acétate produit avant le pressage final en vinyle. J’imagine que définir l’origine de Dub revient à devoir décider qui, de l’œuf ou la poule, était là le premier…
III – « LE » ? Maintenant que les bases sont posées, que tout le monde est bien installé, on peut mettre les mains dans le cambouis. Premièrement allons voir du côté des « autorités compétentes en matière de savoir ».
Wikipedia : -Ave, Wikipedia, sage parmi les sages, qu’as tu à m’apprendre sur Dub ? -La même chose que tu a dis quelques lignes plus haut. -Oui mais LE ou LA ? -LE ! Très bien, mais mes professeurs m’ont toujours conseiller de me méfier de Wikipedia ! Voyons voir du côté des dictionnaires francophones en ligne…
Larousse : nom masculin (anglais to dub, doubler un film) | « Style de reggae entièrement basé sur les truquages électroniques et les effets de chambre d’écho. » Attend …. t’as dit que Dub c’est un trucage ? Mais pour qui tu te prend Larousse ! Jamais je ne donnerais de crédit à quelqu’un qui se permet de fustiger de la sorte ce genre si cher à mes oreilles, suivant !
L’internaute : dub , nom masculin | » Le dub est proche du reggae. Il reprend les mêmes rythmes et mélodies, mais utilise des effets de chambre d’écho et des truquages électroniques. Exemple : Son adolescent n’écoute que du dub. Ouais alors toi, t’as tout copié sur ton petit copain en rajoutant des mots, tu seras privé de récré. Et son ado, il écoute ce qui lui plaît, fous lui la paix et estime toi heureux, il pourrait écouter Jul en méditant sur la profondeur de ses textes et en t’expliquant à quel point c’est un artiste subversif !
Le Robert : PAYANT ? Payer pour un service de qualité ? Et puis quoi encore, on est en 2017 coco !
Le dictionnaire.com : Pas de définition. Quoi ? t’as peur ? Pas très concluant ce premier tour d’horizon, et étonnant même qu’un terme qui à environ 40ans d’existence n’ait toujours pas sa place dans le dico. Disons 3-0 pour le « LE » (et je suis bon joueur). Juste par curiosité je vais aller voir du côté des traducteurs anglais/français.
Reverso : Je vous la fait courte, Reverso ne définit à aucun moment Dub comme un nom mais comme un verbe transitif : « To dub something ». Dois-je comprendre que même pour une plateforme anglophile, Dub n’est pas définit ? Ça ne m’arrange pas tout ça…
Larousse Traduction : Mince alors, même combat. Verbe transitif et aucune définition qui parle d’écho et de trucages. Dirigeons nous vers des dictionnaires anglophones histoire de creuser encore un peu plus loin.
Fine Dictionnary : Saperlipopette, je tombe nez à nez avec une ribambelle de définitions du mot Dub, tirées de plein de dictionnaires anglais différents, noms ou verbes. Ça y est je vais enfin être fixé … Génial ça veut aussi dire adouber, et ça veut dire flaque aussi et … Pas de dub en temps que genre musical. Oh stupeur ! Là non plus pas de définition. Tant pis. Mais qu’est ce que je pensais trouver ? J’avais évidement omis que l’anglais, de par sa conception, ne prend pas en compte le genre. Oui, mais si l’anglais n’as pas de genre, Dub n’a pas de genre ? Mais alors je fait comment pour placer Dub dans une phrase en français ? Les sites et communautés Dub présentes sur internet utilisent toutes LE, ça devient angoissant… Une seule solution ! Se tourner vers la seule autorité à même de décider du genre d’un mot dans la langue de Molière, je veut bien entendu parler de L’Académie Française !
Voici le tournant de cette recherche, le mot n’est pas référencé dans la base de donnée de l’académie française. Cela dit je vois assez mal un académicien balancer une galette dub lors d’une de leur réunion et dire « très cher confrères, féminin ou masculin ? », mais je divague. Après ces recherches, force est de constater que Dub n’est donc pas un mot appartenant au vaste univers de la sacro-sainte langue française.
IIV – « LA » ?
Je suis tiraillé, je ne peux pas laisser notre bon vieux Dub dans cet état. J’en suis au stade de ma recherche où je constate avec effroi que Dub n’a pas de genre. J’aimerais dire « LE » et rentrer dans le troupeau des chiens de garde, qui disent « c’est pas LA c’est LE » au type qui participe à sa première soirée Dub et qui déclare, avec un enthousiasme exacerbé par la basse : « J’adore la dub ! ». La tentation est grande mais comme j’aime bien la philo (masturbation intellectuelle), je préfère poursuivre mon raisonnement. Le dub c’est tout un tas de chose : la fraternité me viendrait en premier, la transmission de la Dub culture, la danse aussi mais je crois qu’il y a aussi la dissidence, vrai ? N’entend-t-on pas à longueur de morceaux des messages comme « Burn Down Babylon » ou « Free Your Mind » ? Je me positionne donc en « Dub-dissident ». Qui a décidé et imposé que ce serait LE dub ? Suis-je le seul à préférer le voir avec le genre féminin ? Cette Dub qui m’enveloppe par ses basses, et qui, à peine je ferme les yeux, me transporte bien loin de ma condition, celle-la même qui, par ses échos et « trucages » ouvre mon esprit et me catapulte dans un état de trance méditative ; plutôt que ce dub qui perce mes tympans, ce steppa qui par sa violence me ramène presque au stade animal, à m’agripper au stack afin de pouvoir secouer ma tête encore plus fort. À ce stade on pourrait presque dire que le genre de Dub dépend du morceau en train de tourner sur le sound system. Bien sur on peut ramener ça à tous les genres musicaux récents (et oui je pense directement à toi « dubstep ») mais pourquoi pas ? Remettre en question l’ordre établi c’est exister idéologiquement.
V – DUB CONCLUSION
La conclusion à cette tribulation verbale futile au sein de la langue française ne fera pas avancer le schmilblick, certes, mais elle est la pour titiller les partisans du LE dans leurs certitudes et soutenir les partisans du LA, rebelles devant la pression sociale. Ici pas de gagnants ni de perdants, on aime tous ce style et c’est sans doute pour ça que vous êtes là, devant votre écran à lire cet article fumeux sur un sujet sans importance. Plus généralement, ne laissez personne vous dicter ce que vous devez dire, faire, penser, consommer. Soyez dissidents et pensez à remettre systématiquement en cause les choses qui vous paraissent illégitimes. Dub c’est bien plus qu’un « genre musical » ou un style de « reggae ». Alors la prochaine fois que vous parlerez dub, ce sera LE ou LA ?
BONUS : LE OU LA MDMA ? Méthylènedioxy-méthamphétamine : c’est le nom complet. Et c’est une amphétamine, donc c’est féminin. Ne vous droguez pas, ça fait des trous dans la tête.
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Le président Macron a parlé. Fermez le ban !
Par Olivier Perceval Pour ceux qui s’attendaient à des mesures fortes, ils doivent être satisfaits : Uniforme à l’école, éducation civique,Histoire de France, apprentissage de la marseillaise dès le primaire, dix opérations anti-drogue par semaine, réduction de la pression administrative… Bon, rien sur l’immigration, si ce n’est l’augmentation (illusoire) de la lutte contre l’immigration…
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Ravis de la réussite de ces journées marseillaises, Pierre Letessier, Sylvie Chalaye et Raphaël Imbert ont clôturé les rencontres en mimant la thématique 2024.... histoire de faire deviner le thème par un contrepoint musical :
Echec et jazz !
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Sur les Traces du Christianisme Primitif à Marseille
Aujourd'hui, Marseille est davantage connue pour son histoire moderne - la Seconde Guerre mondiale, l'immigration nord-africaine et, bien sûr, les chœurs entraînants de l'hymne national français, La Marseillaise. Pourtant, c'est aussi l'une des villes les plus anciennes de France, riche en traces du passé pré-moderne - pour ceux et celles qui osent partir à la découverte de cette magnifique ville .
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Laulibijoux, créatrices marseillaises de bijoux très sud
Focus sur la marque de bijoux du mois! Laulibijoux est à l’honneur! Vous souhaitez en savoir plus à propos de cette entreprise familiale? Vous voici quasiment immergés dans l’univers de 3 filles, dans leur atelier à Marseille! Quelle est l’origine de Laulibijoux? Quels types de bijoux sont créés? Quel est mon avis à propos de cette marque slowjewelry? Laulibijoux, une histoire de famille Qui se…
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Naël fronce les sourcils devant son miroir. Il s’exerce à avoir un regard méchant, comme les autres garçons de la cour. A cette heure-ci, le soleil traverse en biais les carreaux et barre son visage comme un maquillage de super-héros. Ça lui fait les yeux noisette clair, il y a même des coins orangés. Sous cette lumière, sa peau réverbère une couleur caramel. Il porte ses racines dans ses pigments éclairés : les confins de l’Algérie, les portes du nord du Sahara. Ah ! si les filles le voyaient comme ça, peut-être les intéresserait-il. Au lieu de ça, il marche jusqu’aux confins de Gonesse pour aller en cours. Le Val-d’Oise, les portes nord de la capitale. Le trottoir est à l’ombre de l’activité économique du territoire.
Dans la salle 109, histoire-géo de 8h55 à 9h50, la lumière n’est pas flatteuse. Dans sa salle de bain, il est Super-Touareg. Ici, il est Naël, le plus petit garçon de 3ème C. Dans le fond de la classe, trois garçons chuchotent d’abord doucement, puis de plus en plus fort, puis rient bruyamment et se font rappeler à l’ordre par Mme Pougnec :
-Herrero et vos p’tits amis, on calme ses hormones !
-Pardon, Madame.
-Bon.
Après, un bref silence, ils se remettent à chuchoter. C’est un cycle. Naël n’entend que des bribes. C’est un groupe de garçons un peu laids, mais sûrs d’eux et aux regards franchement méchants. Sacha donne ses astuces pour toucher des culs :
-C’est dans les casiers aux interclasses, c’est super serré.
-Ouais, net.
-Mon gars, dis-toi, tu te mets là et tu touches des culs, des culs, des culs. Plein plein de culs. Elles sauront jamais qui c’est. Dis-toi, gars, la dernière fois j’en ai touché je sais pas, au moins dix. Tac tac tac.
-Et de qui ?
-Je sais pas.
-De meufs de la classe ?
Naël n’entend pas la suite. Sur le cycle suivant, il comprend qu’Aylan a déjà couché avec une fille. Et sans capote, sinon il sent rien. Il repart de ce cours avec trois idées : les gars qui touchent des culs le dégoûtent un peu et il ne veut pas leur ressembler ; pour exister, il faudra toucher des culs, il faudra y passer ; on peut dire de l’Espagne qu’elle est bicéphale, ses pôles économiques et démographiques se trouvant à la fois dans les régions de Barcelone et de Madrid, là où la France est un pays centralisé sur une seule région dynamique économiquement.
A la pause, Naël retrouve ses potes : trois filles et un autre mec, Liam. C’est assez rare les groupes de potes mixtes à cet âge. Naël ne sait pas si c’est un signe de maturité, ou au contraire un reliquat de l’enfance. Les 3ème ont le droit de sortir entre 9h50 at 10h05, alors iels vont au Bon Marché prendre un paquet de gâteaux. Cinq jours dans la semaine, cinq personnes dans le groupe, chacune paye un paquet pour la pause du matin (au début de l’année, iels disaient “la récré”, comme des bébés, maintenant, c’est “l’interclasse”, ou “la pause”). Quand c’est son tour, Naël prend des tartelettes parce que ça coûte 96 centimes le paquet de huit tartelettes, et personne ne s’en plaint. Mais aujourd’hui, c’est à Aya. En général, elle prend les cookies avec le drapeau américain sur le paquet. C’est à 2,08€ le paquet, et il y en a douze. On lisse les inégalités sur la semaine. C’est une sorte de dispositif de redistribution. Elle passe en premier à la caisse. Non, y a pas à dire, Aya est très jolie, c’est pas la question, mais Naël ne se sent pas de lui mettre une main au cul là comme ça. Liam finit de raconter une histoire :
-…du coup, je la guidais dans les rayons, elle voyait rien la pauvre !
Il dit "pauvre" avec un o ouvert, à la marseillaise, alors que le Val-d’Oise est à huit-cents kilomètres de La Castellane. Fatou le coupe en tendant son paquet de biscuits d'apéritif - elle l’avait entamé discrètement en cours :
-Bon, qui en veut, là ??
-Moi, je suis chaud.
-Bah tiens, vas-y finis !
Naël finit le paquet de biscuits Belin (ceux avec du fromage gratiné). Il retourne méthodiquement le sachet dans sa bouche pour manger toutes les miettes. Fatou s’est penchée derrière Louna. Elles regardent fixement Naël terminer le paquet. En finissant sa bouchée :
-Hé les meufs, vu d’ici on dirait trop vous êtes bicéphales, là.
Louna fait :
-Quoi ? Bicéphale ?
Fatou fait à Louna :
-J’t’explique : bicéphale, c’est un truc qu’a deux têtes, elle a dit la prof tout à l’heure.
Fatou à Naël :
-Eh mais comment t’es chaud en cours, toi !
Louna :
-Mais grave, on va trop réviser avec toi pour le brevet.
Liam :
-On avait pas dit avec moi, wesh ?
Fatou :
-Azy vous battez pas, je vous ai dit, on va réviser ensemble au resto de mon daron, y a personne après les cours, on peut se faire des cafés et tout, c’est posé et tout.
-Azy chaud.
-Chaud.
Louane a déjà payé et ouvert le paquet :
-Bon, on bouge, ou quoi ?
Le groupe sort et se met en route pour être à l’heure en physique-chimie.
-Salut les jeunes !
M. Jeyamoorthy, gérant du Bon Marché depuis 2009, reçoit rarement une réponse, mais les jeunes ne le volent jamais.
Dans la rue, le groupe nage, vole. La marche est rapide, les passants et passantes ne sont qu’environnement. Les vieilles à caddie, les sans-abris et les poussettes se contournent comme les échaffaudages, les parcmètres ou les poubelles.
La nécessité de toucher des culs est complètement sortie de la tête de Naël depuis qu’il a mangé les biscuits Belin, et maintenant les cookies américains. Il se dit que c’est depuis la 3ème qu’il mange des cookies sans le verre de lait qui va avec, comme ça, on ouvre le paquet sur le chemin et une fois au collège, on le jette. Ce paquet, il vient pas d’un placard, il vient direct du magasin. Et il le mange avec ses potes. Le paquet de gâteau n’est pas contrôlé par ses parents. Il se sent super adulte. Et il fait comme si c’était normal, autrement ce serait un peu gamin de s’émerveiller d’être adulte. Il croise un chien et tente le regard méchant, il ne sait pas dire si ça a marché. Pendant ce temps, Aylan, Sacha et Issa ont touché pas mal de culs.
Comme souvent, la salle 202-B pue. Ça doit être dû à la respiration des classes précédentes, combinée au soleil qui tape sur les vitres grasses et pleines de condensation. La classe met du temps à s’installer, remuant les poussières en suspension. La rumeur des conversations, d’habitude morne et résignée, a une autre couleur. Elle est pleine de passion et de surprise : une information croustillante circule. Il entend derrière lui :
-C’est quoi ? C’est quoi ? Il a fait quoi ?
-C’est Thaïs, askip elle l’a sucé contre le DM de maths.
-Sérieux ? Poh poh poh !!
Naël a senti le mal s’installer dans sa poitrine. Hier, ça allait, et là il y a un mal. Il allait aider son groupe de potes à réviser le brevet, comme ça, gratuitement ? S’il continuait à ne pas vouloir toucher des culs et à ne pas se faire sucer, il allait finir par être en retard.
18h25, Naël est dans sa chambre, il n’a pas envie de lancer son jeu vidéo. La fin de journée avait un goût rance. L’odeur des salles a contaminé son haleine, et a donné le goût de son après-midi. Il se pose sur son pouf, au pied de son poster, et lance sa balle de tennis en l’air. Le plus haut possible, sans toucher le plafond. Il n’a pas retiré son casque, il a toujours la musique qui l’accompagnait sur le trajet - un morceau de rap qui raconte le temps qui passe. Et le mal est toujours là. Il se demande : et si c’était faux ? S’il avait fait fuiter une information juste pour se la raconter ? Impossible d’évoquer cette hypothèse au collège. Le simple fait d’en douter, de trouver ça peu probable, le ferait passer pour un gamin. Et il faudrait grandir.
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Marius - Marcel Pagnol Marius au théâtre Marcel Pagnol achève Marius en 1928 alors que sa seconde pièce en « solo », Topaze, vient d'être acceptée au théâtre des Variétés. Il porte tout d'abord son manuscrit à Franck, le directeur de l'Alcazar de Marseille, qui le refuse au motif que ce serait « un crime » de ne pas la créer à Paris[1]. Il le recommande pour ce faire à Raimu, un « comique troupier » d'origine toulonnaise qui connait un certain succès dans les revues de Léon Volterra, directeur entre autres du Casino de Paris et du théâtre de Paris. Raimu, qui joue alors une revue au théâtre Marigny, est tout de suite séduit par le projet, bien qu'il n'ait encore jamais interprété de véritable rôle au théâtre (à l'exception d'un rôle mineur dans L'École des cocottes de Gerbidon et Armont), et convainc Volterra – par l'intermédiaire de la femme de ce dernier, Simone Volterra, véritable décisionnaire – de monter la pièce. Le directeur propose à Pagnol les vedettes de l'époque Victor Francenet Gaby Morlay, mais Pagnol objecte que la pièce comportant du provençal marseillais, elle nécessite des comédiens méridionaux. Il obtient donc, outre Raimu, l'engagement d'Orane Demazis (qui avait créé la première pièce de Pagnol Jazz en 1926 et pour laquelle il a écrit le rôle de Fanny), Maupi du Concert Mayol et de comédiens de l'Alcazar dont Alida Rouffe, Paul Dullac et Édouard Delmont. Il débauche également Fernand Charpin de la troupe de l'Odéon mais celui-ci accepte sous réserve de tenir le rôle principal de Panisse que Pagnol destine à Raimu. Alors que Pagnol hésite sur la façon de présenter la chose à Raimu, celui-ci lui indique qu'il a décidé de jouer César - rôle pourtant secondaire dans la version d'origine - car sa notoriété justifie que « la pièce se passe chez [lui]. Ce n'est pas monsieur Raimu qui doit se déranger pour aller rendre visite à monsieur Charpin. C'est monsieur Charpin qui doit venir s'expliquer chez monsieur Raimu[1] ». À charge pour Pagnol d'ajouter quelques scènes pour développer le personnage. Quant à Marius, Pierre Blanchar, initialement prévu, doit décliner l'offre car trop accaparé par le cinéma et le théâtre. Après de nombreux refus de la part de Volterra, Pagnol arrête finalement son choix sur Pierre Fresnay au grand dam de Raimu qui estime « une folie » d'engager « un Alsacien protestant de la Comédie-Française » pour un rôle à accent aussi long. Or, c'est avec un accent marseillais quasi parfait que Fresnay se présente à la première répétition, ayant passé les quinze jours précédents à jouer les garçons dans un petit bar du Vieux-Port. La pièce est créée au théâtre de Paris le 9 mars 1929 et rencontre immédiatement un vif succès, jouant à guichets fermés de nombreux mois. L'une des scènes les plus appréciées est la « partie de cartes », que Pagnol avait coupée en répétitions jugeant qu'elle détonait trop avec le ton général de la pièce et que Raimu avait néanmoins réussi à imposer. Marius ne s'interrompt que deux ans plus tard (en raison d'engagements antérieurs pris par Volterra), totalisant 800 représentations, alors que Pagnol réfléchit déjà à une suite. Marius au cinéma Marius (film, 1931). L'arrivée du cinéma parlant incite Pagnol à se tourner vers ce nouveau média dont il est un des premiers à sentir les possibilités pour un dramaturge. Il se rend ainsi spécialement au printemps 1930 au Palladium de Londres pour assister à la projection du premier film musical, The Broadway Melody[4]. Mais malgré son enthousiasme, les studios français - sceptiques quant à cette nouvelle technique - lui restent fermés. Son plaidoyer publié dans Le Journal le 17 mai 1930 sous le titre « Le film parlant offre à l'écrivain des ressources nouvelles », lui vaut même la réprobation de la Société des Auteurs. En 1931, il fait la connaissance de Robert T. Kane, producteur à la Paramount Pictures, qui vient de créer une filiale à Paris et ouvert des studiosafin de mieux pénétrer le marché français. Cette rencontre permet à Pagnol de se familiariser avec tous les rouages d'une production cinématographique et d'acquérir une expérience qui lui permettra quelques années plus tard de créer sa propre compagnie (comprenant studios et laboratoire à Marseille et agences de casting à Paris, Lyon et Alger)[4]. L'intérêt pour le cinéma parlant du public retombant - une fois la surprise passée - en raison de la pauvreté des scénarios, Kane propose à Pagnol de lui acheter les droits de Marius pour en faire une adaptation cinématographique. Saisissant l'occasion, Pagnol refuse la somme considérable de cinq cent mille francs contre le contrôle total - ce qui constitue une révolution pour l'époque - sur l'adaptation et la distribution, plus un pourcentage sur les recettes au titre des droits d'auteur. Ainsi, alors que la production envisage les vedettes de l'écran Jean Murat, Henry Garat et Meg Lemonnier, il parvient à faire engager sa distribution d'origine dont la quasi-totalité n'a pourtant jamais fait de cinéma[6]. Il abandonne en revanche tout droit de regard sur les versions allemandes et suédoises tournées simultanément. Parallèlement, Pagnol convainc Kane de mettre en place un comité littéraire constitué d'auteurs reconnus et chargé de choisir des ouvrages dignes d'intéresser le public français. Il réunit ainsi Édouard Bourdet, Tristan Bernard, Alfred Savoir, Sacha Guitry, Pierre Benoit, Yves Mirande, Saint-Granier, Albert Willemetz et Léopold Marchand, Jean Giraudoux ayant décliné l'offre. Mais l'expérience tourne court lorsque les membres dudit comité se rendent compte qu'ils ne sont que des arguments publicitaires et que leurs recommandations ne sont absolument pas suivies. Le tournage, dont la réalisation est assurée par le metteur en scène britannique Alexander Korda en parfaite collaboration avec Pagnol, a lieu en cinq semaines pendant l'été 1931 à Marseille pour les extérieurs puis aux studios de Joinville. Des versions allemandes et suédoises sont tournées simultanément. Alors que ces adaptations standardisées selon les critères des studios sont des « fours », la version française - malgré sa longueur exceptionnelle de 2 heures - est un véritable triomphe, engrangeant un million de francs par semaine (557 980 € actuels) lors de ses deux premiers mois d'exploitation.
#trilogie marseillaise#marcel pagnol#Marius#histoire marseillaise#Marseille#pièce de théâtre#film#noir et blanc#1930s
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Marcelino retrouve un nouveau club après son départ de l'OM !
Après un passage tumultueux à la tête de l'Olympique de Marseille, l'entraîneur espagnol Marcelino s'apprête à reprendre du service, un vent de renouveau souffle sur sa carrière, puisque les rumeurs le placent de retour sur le banc de Villarreal, un club qu'il connaît bien pour y avoir déjà officié par le passé. Marcelino et Villarreal, une histoire qui se répète L'histoire entre Marcelino et Villarreal est sur le point de connaître un nouveau chapitre. Selon les dernières informations relayées par le média Relief, l'annonce de son retour comme entraîneur est imminente. Ayant déjà marqué le club de son empreinte entre 2013 et 2016, Marcelino est un visage familier pour les fans du "Sous-marin jaune". Cette nouvelle intervient comme un signe de continuité et de confiance mutuelle entre l'entraîneur et la direction du club espagnol. Voir aussi : - Vente de l'OM : Les contours du projet et un mercato XXL ! Retour sur la fin de l'aventure marseillaise de Marcelino Nommé à la tête de l'Olympique de Marseille cet été, succédant à Igor Tudor, Marcelino a connu un parcours pour le moins agité. Sa démission, survenue en septembre après une réunion houleuse avec la direction et les supporters, a été le point d'orgue de son court passage. Pablo Longoria, a même reçu des menaces, le conduisant à se mettre en retrait. Marcelino, quant à lui, a exprimé son sentiment d'impuissance quant à la réalisation du projet sportif du club phocéen. Nouveau club de Marcelino : Un projet sportif à reconstruire En revenant à Villarreal, Marcelino se voit offrir une chance de redorer son blason et de relever un nouveau défi. Sa connaissance approfondie du club et son expérience précédente seront des atouts indéniables pour mener à bien un projet sportif ambitieux. La direction de Villarreal semble convaincue que l'entraîneur espagnol est l'homme de la situation pour insuffler une nouvelle dynamique à l'équipe. Lire ensuite : - L'OM échappe aux sanctions de la LFP, l'OL riposte aussitôt ! Marcelino à Villareal : Un retour sous le signe du renouveau pour le club L'avenir de Marcelino à Villarreal est sujet à spéculation, mais une chose est sûre : son expérience et son talent seront des atouts précieux dans la quête de succès du club. Les supporters attendent avec impatience de voir comment il va façonner l'équipe et quels seront les résultats de ce nouveau mariage entre le technicien espagnol et le club de la Liga. Seul le temps dira si ce retour est le prélude à une épopée glorieuse pour Villarreal et Marcelino. ________ Pour retrouver toute l'actu foot, rendez-vous sur notre page Facebook ou sur notre page Twitter ! Read the full article
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Un aperçu fascinant de la grande cathédrale de Marseille, qui s’appelle Notre-Dame-de-la-Garde.
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