#hippocrates au
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Incidentally, where exactly are all the Our Man Bashir AUs that treat the holoprogram's reality as actual reality? Like. Okay. What I'm asking here is:
Where are all the fics where Garak is still an Obsidian Order spy and is fulfilling the narrative function of Honey Bear, Julian is working with Starfleet Intelligence as basically James Bond, and Tain is Hippocrates Noah?
Where are the fics where Julian is strapped to a Cardassian torture device and has to seduce Garak into letting him escape, which Garak 100% would because he canonically (I accept it as canon!!!) spared prisoners all the time during his career and he canonically (we've decided this!!!!) is weak to Bashir's fuckboy charms?
Where are all the fics where Garak (Honey) and Julian (Bond) fall in love as enemy agents on Romulus or Bajor or an obscure secret space station hidden inside a moon while a little LED screen on a giant laser ticks down to 0?
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- Œdipe : La question est complexe.
- Socrate : Je ne sais pas.
- Hippocrate : Tant qu’on a la santé.
- Descartes : Bien, je pense.
- Pascal : Et vous ? Bien je parie.
- Galilée : Ça tourne rond.
- Vivaldi : Ça dépend des saisons.
- Shakespeare : Comme il vous plaira.
- Marat : Ça baigne !
- Casanova : Tout le plaisir est pour moi.
- Sade : Foutrement bien.
- Kant : Question critique.
- Paganini : Allegro ma non troppo.
- Darwin : On s’adapte …
- Nietzsche : Au-delà de bien, merci.
- Proust : Donnons du temps au temps.
- Marie Curie : Je suis radieuse !
- Dracula : J’ai de la veine.
- Picasso : Ça dépend des périodes.
- Freud : Et vous ?
- Camus : La question est absurde.
- Cyrano : A vue de nez, bien.
- Poe : Extraordinairement bien.
- Einstein : Relativement bien.
- Léonard de Vinci, lui, se contente de sourire...
Et vous ?
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Quelques considérations sur le rôle des experts dans nos "démocraties"…
«Tous les experts sont médiatiques-étatiques, et ne sont reconnus experts que par là.
Tout expert sert son maître, car chacune des anciennes possibilités d’indépendance a été à peu près réduite à rien par les conditions d’organisation de la société présente.
L’expert qui sert le mieux, c’est, bien sûr, l’expert qui ment.
Ceux qui ont besoin de l’expert, ce sont, pour des motifs différents, le falsificateur et l’ignorant.
Là où l’individu n’y reconnaît plus rien par lui-même, il sera formellement rassuré par l’expert.
Il était auparavant normal qu’il y ait des experts de l’art des Étrusques ; et ils étaient toujours compétents, car l’art étrusque n’est pas sur le marché.
Mais, par exemple, une époque qui trouve rentable de falsifier chimiquement nombre de vins célèbres, ne pourra les vendre que si elle a formé des experts en vins qui entraîneront les caves à aimer leurs nouveaux parfums, plus reconnaissables. (…).
On sait, par exemple, combien l’expert en météorologie médiatique, qui annonce les températures ou les pluies prévues pour les quarante-huit heures à venir, est tenu à beaucoup de réserves par l’obligation de maintenir des équilibres économiques, touristiques et régionaux, quand tant de gens circulent si souvent sur tant de routes, entre des lieux également désolés ; de sorte qu’il aura plutôt à réussir comme amuseur.» (Guy Debord)
Quand l'anthropologue demande s'il y a des cannibales dans la région, l'indigène répond non, et quand l'anthropologue lui demande comment il peut en être sûr, l'autre sourit en lui disant qu'il a mangé le dernier.
Chaque notion, pour se réaliser, doit se fonder sur le principe antagoniste qui s'en trouve par là même refoulé, le sujet de l'énonciation n'a de cesse de vouloir disparaître derrière son énoncé, comme un agent contrariant ou un témoin gênant qu'il convient d'escamoter, à l'instar du "proton pseudos", le mensonge originel constitutif de l'ordre même du langage, et de toute "réalité" déjà constituée.
Dans l'idée de démocratie, ce qui est refoulé, c'est l'obscénité inhérente au pouvoir politique, et c'est ainsi qu'il faudrait entendre que la démocratie est un système "à venir", non encore atteint, non encore réalisé, et seul le souci constant d'un "toujours plus de démocratie" va dans le sens de la démocratie, en opposition radicale au pouvoir des politiciens "professionnels", au culte médiatique des "personnalités", bref des "experts".
À propos des ex-pères, remarquons avec Lacan que: «le propre des objets de l’expérience, c’est précisément de laisser de quelque côté - comme dirait Monsieur de La Palice - tout ce qui dans l’objet y échappe. C’est pour cela que, contrairement à ce qu’on croit, «l’expérience», la prétendue expérience est à double tranchant. C’est à savoir que quand vous vous fixez sur l’expérience pour résoudre une situation historique par exemple, les chances sont tout aussi grandes d’erreur et de faute grave que du contraire, pour la très simple raison que par définition, si vous vous fixez sur l’expérience, c’est justement par là que vous méconnaissez l’élément nouveau qu’il y a dans la situation»…
Hippocrate l’avait déjà énoncé: «La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile».
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solangelo fic awards - best misc nominations
please see the nominations masterpost for the links to all the other categories as well as the link to vote!
always an angel, never a god by annaaperson
Act Your Part by @pey119
Clotho's Guile by ApollosDodgeball @apolllosdodgeball (crossover with the addams family)
hippocrates holds no authority here (say that again to my face, coward) by flowerrrr (@wowyoulikeflowers)
"it's so hard to hear over the sound of all the honking clown noses" by @buoyantsaturn
nico di angelo's autistic swag by @buoyantsaturn
so go on, love, leave while there's still hope for escape by @buoyantsaturn (locked to ao3 users only!)
the ghost of a broken heart don’t stay six feet down by SoLongAndThanksForAllTheFic (@loveislarryislove)
This Ain't For the Best by the_oncoming_stormageddon (@lordstormageddidnt)
untitled punk/jock au by @theroyalsavage
up to speed by @solisaureus
what couldve been lights by athaleablaire
Wolves Solangelo by Angelyanski
i do my best to find blog urls for all the authors if they have one, but if you know the tumblrs of any authors that I didn’t tag, please tag them or send this to them! if you have any questions, feel free to shoot me an ask! any and all posts relating to this will be tagged with “fic awards 2024"
good luck to all!
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L'homme propose... ou croit le faire
''L'homme propose, et Dieu dispose...''. Cette jolie phrase qui remet soigneusement chaque chose à sa place (et il paraît même que c'est dans ce cadre-là que les vaches seraient le mieux gardées...) est devenue une sorte de proverbe passe-partout. Elle reste d'une actualité brûlante, alors qu'elle date de 600 ans (''Homo proponit, sed Deus disponit'', tirée de L'Imitation de Jésus-Christ (XV ème siècle), bouquin dont très peu de gens savent qu'il est, de nos jours encore, le livre le plus imprimé de tous les temps, après la Bible. Je vais la prendre pour exemple de la distorsion de facto qui existe entre nos désirs et les réalités... qu'est ma situation personnelle à ce jour.
Ceux d'entre vous, chers Amis-lecteurs, qui avez eu la patience de lire jusqu'à la fin l'Addendum chronologique à mon avant-dernier éditorial (Le Trou) n'ont pas pu ne pas être admiratifs devant la précision des détails fournis, relatifs à tout ce qui devait se passer dans les 2 mois qui suivaient, en commençant par une petite visite sur mes terres jurassiennes suivie d'un assez long séjour sous les ciels glorieux de l'île Maurice. En permanence, il jaillissait de mes poches une foultitude de ''QR Codes'' aussi inquiétants que perturbants : on voyait que j'avais tout prévu !
Tu parles ! A peine arrivé dans le Jura, une infection pulmonaire --fille de l'embolie pulmonaire que j'avais si mal soignée au mois de mai dernier-- m'a transformé en chape de plomb. Impossible de faire quoi que ce soit. Abandonnant ma voiture dans mon garage, je suis rentré à Paris en train, dare-dare... avant une hospitalisation de plus d'une semaine à Ambroise Paré --Urgences, pour commencer, et Pneumologie, ensuite.
Adieu lagons verts, cocotiers frémissants, cocktails parfumés et eaux translucides presque tièdes, où la vie foisonnante est si jolie à contempler à travers le masque de plongée... Adieu couchers de soleil sanglants ou petits matins rouges et or... Adieu, projets colorés et sables doux sous les pieds... Adieu, même, la célèbre ''vague'' Manawa, qui étend son rêve pour surfeur sur plus de 7 km : Esculape et Hippocrate semblaient s'être ligués contre moi pour m'assurer un futur proche exclusivement rempli d' IRM et de ponctions pulmonaires --le genre de distractions dont on se prive sans trop de regrets... même si, tout bien mesuré, la vue de ''ma'' Chambre d'hôpital, plongeant du 5 ème étage sur le Bois de Boulogne, avec la Tour Eiffel comme fond de décor, est vraiment belle... ou pourrait l'être, n'était la grisaille uniforme et déprimante qui sert de ''toit'' à la Ville lumière, totalement éteinte par le sectarisme primaire d'une édile délitée...
Tout ce lyrisme, un peu triste tout de même, pour vous dire que tous les items contenus dans mon édito de fin octobre sont nuls et non avenus. Je vais tout faire pour me remettre sur pieds le plus vite possible et reprendre le petit train-train de notre rythme habituel (depuis novembre 2013, on a eu le temps de s'y acclimater, vous en récepteurs et moi en émetteur !), mais ma faiblesse extrême du moment ne me permet aucune promesse qui puisse être sérieusement tenue. Je vais tenter un retour sur vos écrans, mais je vais reprendre la phrase que j'utilisais hier pour vous parler de Trump : ''Que sera, sera..." !
H-Cl
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the spare // chapter sixty-two // death eater ! tom hiddleston oc x plus size ofc - voldemort wins au
story summary:
While on a mission to avenge the death of her best friend, Ilvermorny graduate Melisa Alder finds herself in the middle of the fight to defeat Voldemort. Upon capture after the Dark Lord's triumph, she's being sold at an auction with other muggle borns and blood traitors. Her only hope is also her only bidder - the tall, dark, and handsome Thomus Malfoy, Lucius Malfoy's younger half-brother. Is he just another Death Eater or is he hiding more than just his face beneath the mask? Will she realize her true potential to be one of the resistance's greatest weapons?
*a Voldemort Wins AU with Tom Hiddleston cast as an OC x a plus size protagonist* *takes place in The Auction universe by Lovesbitca8*
words for this chapter: 4k warnings for this chapter: cunnilingus, squirting
CHAPTER MASTERLIST
Chapter Sixty-Two:
“Did it work?”
God, his voice. Rich, deep, smooth baritone.
After the initial shock that left me frozen, my throat tightens and my face flashes with heat as I try to blink away tears. I sniffle, and the fact that I can hear it forces another crack into the dam.
Footsteps barely register as I quickly raise my fingers to my ear and snap.
Sweet, sweet relief spreads from my chest as the sound comes in clear and tears finally cascade down my cheeks, my face crinkling from the emotion.
Someone kneels in front of me. Strong, warm hands clasp mine tightly in my lap.
“Are you alright?” Thomus presses, his lovely voice close now, in front of me. “Does something hurt? Are you feeling ill?”
I work the muscles in the back of my throat, trying to use my voice, but I don’t think that’s working yet. So I just sniffle again and shake my head.
He brings the backs of my fingers to his lips, trailing kisses over my knuckles. “Then why are you crying?”
I pull my hand from his and fingerspell.
“Happy?” he asks hesitantly and I nod. I point to myself, to my ear, and then to him, barely keeping the smile off my face as my fingers touch his chest. He squeezes my hand before I feel him turn. “H.S.?”
More footsteps approach. “Are you hearing any sort of ringing, dear?”
I recognize the voice as belonging to the Healer he brought me to, Hippocrates Smethwyck. There’s a roughness to it I hadn’t noticed when I first met him, like he smokes. I shake my head in response to his question.
“Muffled sound?”
No.
“Are our words slurring?”
No.
“Any sounds dis –“
“What about her other senses, Rakepick?” Thomus demands, interrupting Smethwick.
An unfamiliar voice joins in from farther away, whom I’m assuming is Rakepick. “As I’ve stated before, the curse Lestrange cast on her is one of his own making,” the man bites out, clearly annoyed.
“So you say,” Thomus snaps back.
“So the evidence says,” Rakepick replies. “The evidence you have given me.” The distinct sound of heels upon hardwood begin from the direction where Rakepick’s voice is coming from. He’s pacing. “His blood was absorbed into her skin. There isn’t a simple counter curse for blood magic. You should consider yourself lucky she’s otherwise unharmed.”
��Unharmed?” Thomus hisses. He stands, turning away from me. “Losing vital senses is what you consider to be unharmed?”
The man’s pacing stops. “Absolutely,” Rakepick states. “She is not dead nor is she actively dying.”
“What else can be done?” Smethwyck cuts in, his tone calmest of the three.
Rakepick sighs. “At this point I’ve exhausted all I can think of. If I attempt to restore her sight or voice, she could lose her hearing again. Or worse.”
“Worse?” comes Thomus’ voice. It’s calmer now, almost… fearful?
Thomus? Afraid?
There’s a pause. “Restoring more than one of the senses she’s lost might trigger a failsafe. I’ve seen it happen with tombs in Egypt and Syria. When the first line of defense fails, a secondary measure takes its place to ensure maximum security.”
“What does that mean for a living being?” Smethwyck asks.
“I’m afraid that since we were able to bypass a part of his curse restoring her hearing, if we attempted to restore another…“ Rakepick hesitates again, “the true effects of the curse would be revealed.”
Someone – Thomus, I believe – starts stomping around, his breaths coming in quick and sharp. “So there’s nothing to be done?” he demands.
“Whatever your next attempt, it should be to rid her of the curse entirely.”
The somber finality of his words settles across the room. Heavy. Suffocating.
I close my eyes, focusing on deep breaths. My chest is so tight with anxiety that it’s painful. My dull fingernails dig into my wrist, distracting me from the dizzying emotional pain. It clears my head enough to shove some positivity in its place.
I can’t say for sure which of the senses I’d rather have gotten back. Hearing or seeing both would come with their own set of problems. I’m sure if I could talk I’d just be talking into the void, as per usual embarrassing myself.
Getting my hearing back isn’t so bad. After all, I can hear Thomus’ voice right? I can listen to music. Maybe communicating won’t be so difficult anymore. At least it’s something, and I’m grateful for it.
“I best be off then,” Rakepick announces softly. He begins walking, sounding like he’s going to pass me.
I blindly reach my hand out, grabbing his arm. He stops abruptly, turning towards me. The tips of my fingers come to my lips, and I move my flattened hand slightly downwards in his direction. My mouth moves around the silent words.
“She’s thanking you,” Thomus says quietly.
Rakepick takes the hand on his arm and puts it in his, shaking it. “Good luck.”
“I best be off as well, Thomus,” Smethwyck says.
Rakepick releases my hand and the pair of footsteps retreat from the room. Their voices along with a familiar female one, come from what I assume is the hallway, and then there’s a soft knocking.
“How did it go?” Narcissa’s voice asks, her heels click on the floor as she approaches. Her tone is hesitant, prepped for the news to be good or bad.
I grin and wave in the direction I think she is, before pointing to my ear. I repeat the same simple signs I used with Thomus earlier.
“You can hear me? Oh, that’s just wonderful!” I can sense the smile on her face just from her voice. “It must be such a relief.”
I just smile and nod.
“Aren’t you pleased, Thomus?” she asks, doubt in her voice. There must be something on his face. It makes my own smile falter.
“I’m downright cheerful, can’t you tell?” he replies acidly.
“What did the Curse-Breaker say?”
Thomus starts striding towards me. “Nothing good.” His hand clasps my elbow and he pulls me to my feet. “I’ll discuss it with you later.” My hands go around his arm as he starts guiding me – to the door, I assume.
“You’re leaving?” Narcissa asks, following behind.
“I’m going to take her to the cottage for a few days,” Thomus replies. His tone is biting – still annoyed. “I want to keep her under surveillance, make sure there won’t be any delayed reactions.”
“Alright,” she relents. “Make sure to bring her here if you have to leave for an extended period of time.” My chest warms hearing her concern for me and I don’t know what I did to deserve it.
After a walk down to wherever, he pauses to grab my arm, where I know the tattoo is. We step forward and I feel hot flames lick at my ankles for a moment before it’s gone, the padding under my shoes softer. When I breathe in through my nose, I recognize the familiar scent of the cottage.
Thomus still holds my arm, but I pull it out of his grasp when I turn to him. Stretching up onto my toes, I slip my arms over his shoulders, pulling him tight against me. His arms wrap around my waist, holding me to him just as tightly. A heavy sigh escapes as I relish the comfort and safety of his embrace.
After a long moment, his grip loosens but I hold firm, not wanting it to end. When he realizes that, he refastens his arms. As my cheek presses into his neck, my nose getting tickled by his growing beard, he lets out a soft chuckle.
“Missed me?” he murmurs.
I sigh again and pull back, bringing a hand up so he can see my thumb and forefinger hover centimeters away from each other.
He releases a sharp, amused exhale. “A little?”
I nod and pull him back into my hug, squeezing tighter than before, then release him. Sensing what he’s going to ask me next, I point to myself and fingerspell, feel fine.
“Reading minds now?” he asks.
I shrug and turn towards the rest of the room. With my arms outstretched, I feel the armrest of the couch, the chair with the tv, and then nothing as I slowly make my way across the room. Luckily, there’s no vases for me to knock over here. One hand finds the base of the stair railing, and the other feels for the doorway to the kitchen.
“Are you hungry?” Thomus asks, his voice close behind.
I shake my head, turning it to show him the W I make at my lips.
“Hm, thirsty.” His hands are on my shoulders and he guides me forward until my stomach presses into the island counter. I hear him move around the kitchen, opening a cabinet and the fridge, water pouring into a glass. Then he takes my wrist and places the cup in my hand.
As I’m drinking, a swooshing comes from the back door before familiar meows and loud purring erupt, moving towards me. Soft fur weaves its way around my legs as Caelan greets me with head-butts. I put down the glass and crouch, scooping Caelan’s cat Animagus in my arms. My cheek nuzzles his while I scratch the back of his head.
Over Caelan’s purring, I hear Thomus sigh. “Just when I thought I had you all to myself.”
A soundless chuckle shakes my shoulders and a bit reluctantly, I put Caelan on his feet.
I assume Thomus is looking at me and so I start to sign. Palms up, I move them side to side in front of me and fingerspell symptoms.
“Symptoms of what?” he asks.
I point to him and spell said delayed reactions.
I know this isn’t complete or proper sign language. When I fingerspell I make sure to keep my pace steady and let my hand go limp at the wrist between words. I do it this way because I definitely don’t remember every sign I need, nor does anyone I’m talking to know sign language – especially American sign language.
“Oh, right,” Thomus murmurs. I hear him step closer to where I lean against the counter. “I might’ve fibbed about that.”
My eyebrows come together as I make a face, showing him the letter Y.
His forearm brushes my hand on the counter as he leans on it, his hand sliding along my waist. I wait a long moment for him to respond, and when he doesn’t, I start signing again.
I sign where, point to him, and spell been.
“Where I normally am, tracking,” he easily replies.
Who?
“Who else?” he says, as I should already know the answer. Which I suppose I do.
I feel Caelan still rubbing along legs and try to find the bravery to voice questions I’ve been dying to know. Caelan will just have to wait.
My pointer finger finds Thomus’ chest, then I spell let Rodolphus take, and I point back to myself. My anger and frustration about it come through when I point back at him and emphasize my letters, let.
His hand at my waist rises as he steps closer, rounding the corner separating us. I sign why as his other hand cradles my cheek. He lets out a heavy breath and touches his forehead to mine.
“I thought he wouldn’t try anything with Lucius there,” he murmurs, his tone laced with anguish. “With me there.” He inhales sharply, his chest rising unevenly beneath my hands. “I’m doing everything within my power to make things right.”
One of my hands slides up his chest to his face, my fingers running through the longer length of his beard.
“I’m sorry,” comes his soft admission. Sincere, vulnerable.
I bite my lip, struggling with a sudden tightness in my throat. Even if I had my voice, I’d still be at a loss for words. Who knew a simple apology would make me so emotional?
He shifts his head back and he glides his thumb across the lip between my teeth, making me release it. The next breath I take is shaky too, and turns into a gasp when he leans in to kiss me. It starts out sweet and tender, but gradually heats up when his hands start down a familiar path along my body. Our panting fills my ears, and when I bite his lip he groans, pulling me tighter against him.
Thomus digs his fingers into my hips, his own rolling his hardened length against my stomach. I release a breathy sigh, mimicking his movements, my fingers finding home in his hair. His thigh presses between my legs, right against that spot that really wants more pressure. I tilt my head back as his mouth latches onto my neck, biting down over my pulse. When he sucks at it, my hips grind down against his thigh, the pleasure combo dizzying.
A mildly distracting thought pops up in the back of my mind: I hope Caelan has left, having put two and two together to see I’m not available to talk.
Thomus brings me right back into the moment with his hot breath at my ear.
“Upstairs,” he growls. “I need my mouth on your cunt.”
When I don’t react, my mind blanking at how fucking dirty his words are, he slaps me on the butt and orders, “Now.”
I leap out of his arms, biting my lip in an attempt to keep the giggly grin off my face. I’d absolutely hate to ruin the moment.
With my arms outstretched, it’s a short distance to the doorway, then to the stairs where I leap up them faster than I normally would have. All I can picture is him chasing me up the stairs, right at my heels.
Which, funnily enough, is not far from the truth as I reach the top and my split second indecision on which room to use makes him guide me to the right, to his room.
“Take your clothes off before I rip them off,” he barks from behind me. I stride into the room and stop when I meet the foot of the bed. I turn to face him, my hands on the hem of my shirt, before I decide against that, bending to untie my shoes first. He groans almost painfully, hopefully at the sight of my ass in the air and my cheeky work-around to his demand.
I hear his clothes landing somewhere as I straighten. Hands back at the hem of my shirt, I lift it over my head while toeing at the heels of my shoes to kick them off. I fling the shirt somewhere on the floor and quickly roll my leggings to the floor, kicking them off as well. I think I’m wearing one of the matching lacey sets today.
“Oh, fuck,” he whines when I’m upright, my hands going around to undo my bra. Before I can he shoves me back onto the bed, where I land with a heavy bounce. “That’s good enough.”
His hands slide along my thighs, rounding my knees and pushing them open. I lean back on my elbows and try to imagine his face as he hums in approval. His thumb runs down the very damp crotch of my undies.
“You’re wet, aren’t you?” he says, and I nod. “Show me.”
Shifting onto one elbow, I let my fingers glide down to my pussy, rubbing myself over the material. My fingers find the lacey edge of the panties, slipping beneath it without exposing myself. God, I’m soaked. The slick wet sounds reach my ears as I move my arousal around, circling my clit. My teeth sink into my lip and my eyes close as the pleasure spreads.
“Look at you,” he breaths, his words slow. “Such a tease.”
In addition to my own noises, I can hear his hand pumping his cock, and I marvel at the rush of confidence I feel.
Maybe it’s because I can’t see myself. Maybe it’s because I can only picture what he sees – some glorified, sensual version of myself that’s a stranger to me.
I can’t see him, but I think I enjoy being watched. My body – and what I was doing to it – a magnet for his eyes. All of my flaws don’t exist, because to him they were never flaws in the first place.
I slip a single finger inside my wet warmth, gasping when the pad presses against my g-spot, and that’s when he breaks.
His hands grapple for the waistband at my hips, hooking his fingers in and yanking them down. I hear some threads snap under his eager aggression as the material pulls from under my butt.
I’m not too far from the edge, so when he kneels, his face is right over my cunt. His breaths are hot and heavy before he buries the lower half of his face between my legs.
What would’ve been a moan escapes me in a rush as the rest of my back falls to the bed. His tongue sweeps through my folds, tasting me before lapping at my clit. The noises coming from him feasting on me is utterly obscene. His soft and wiry facial hair rubs at my bear cunt as his jaw works his tongue, adding extra sensitivity to the area.
As he laps repeatedly at my clit, my hips are already rocking, pushing against his face. My fingers clutch the comforter beneath me so hard they ache.
I feel his hand brush over mine as he slides an arm around my leg. My inner thigh presses against the side of his face, cradling his head. His hands destination is my fupa, which he grabs closest to my cunt, and pulls it back. This exposes my clit more and I feel it briefly tingle in the cold air before his lips descend, sucking the sensitive bud into his mouth.
My jaw drops and my hips jerk at the sensation. If I was in my right mind, I’d be embarrassed he’d had to move a shameful part of me, a part of me I hate. However, the way his mouth is enthusiastically devouring me has me delirious and obviously not in my right mind.
Thomus momentarily gives mercy to my clit so his tongue can dip down to my hole, where his other fingers are holding my lips spread wide. His tongue swirls circles over it, building up aching, anticipating pleasure. I flex my muscles down there when his tongue penetrates me and he moans.
His mouth pulls away from me, I’d whine at the loss, but I can tell he’s hovering from his heavy breaths blowing over me. He replaces his tongue with his fingers, first one, then two. I get the sense he’s watching his work, slowly pushing them in, stretching me out. He sinks them deep, up to his knuckles, turning them up so he can press along the top ribbed wall of my cunt as he slides them out. He repeats the motion and this time my walls clench as he pulls them out.
A breathy chuckle escapes him. “Look at you,” he says again, even slower this time, his voice gravelly and hot, melting my insides while sending shivers across my skin. Underneath the cups of my bra, my nipples harden into stiff peaks. “Such a greedy little pussy, begging to be filled. Merlin, you’re so wet.”
He moans again before shifting, mouth returning to my clit. His tongue and fingers work in tandem. My free leg plants its foot on the edge of the bed to push against his face, like what he’s already giving me just isn’t enough.
Without releasing my clit, the hand holding back my fupa lets go to find my clenched hand on the bed. He tugs at my wrist until I let go and he guides my hand to the crest of his head. His fingers press on the back of my hand, encouraging me to grab hold of his hair. I grip his hair and he covers my hand, using it to push his face further into me.
Oh.
With his mouth on my clit, his fingers inside me, pushing just inside my aching desperate hole, and now control over his fucking head, I know I’m this close to losing it. My hand holds his head in place while my hips grind and thrust against him. His tongue flattens and his fingers still, pressing harder against my g-spot while I fuck his face.
My legs are trembling, my back is bowed, and I can hardly breathe. All of my instincts are telling me to release, to let of this overwhelming pressure.
So I do. I let go and I cum so hard I’d have screamed if I had my voice.
My eyes are in the back of my head, my mind so gone I’m barely aware of the sudden rush of wetness flooding my pussy. It flows down over my ass and to the bed where I can feel it soaking. Thomus is moaning, his tongue retreated back to his mouth as he gapes, panting. My hold on his head relaxes, my brain finally registering how fucking wet I sound as Thomus continues to rub my g-spot.
Then his mouth is on me again, sucking my clit so abruptly that I cum again. This time I’m acutely aware of the literal waterfall of liquid coming from me as his fingers move in and out. It’s so fucking hot that it draws out a third wave, less intense, but the orgasm still has my body jerking, helpless to the pleasure.
When I’m finally spent, I manage to pull Thomus away. Though my body feels as though all my bones have melted away, I sit up, bringing Thomus’ mouth to mine. His face is sticky, beard soaked through like he’d spilled water on himself. My hands run over his shoulders, one down his… damp forearm, and the other to his cock.
I expect to find it hard and aching, but when I reach for him, he’s soft. Still sticky and warm, but soft.
The discovery makes my kiss falter, confusion and guilt settling over my face.
Thomus doesn’t let those emotions last because he presses his forehead to mine, a soothing chuckle comes from his chest.
“What can I say?” he murmurs. “I really liked you squirting on my face.”
My eyes widen and he guides my hand to the bed. Down just over the edge, where it’s still wet from me, there’s a separate, globby mess there.
I just sit there in dazed disbelief at the realization that I squirted on his face and he came from it. A full, actual orgasm.
Wow.
He pulls back, sitting on his heels I assume, because his hands glide over my thighs. “Have you ever done that before?” he asks. “Squirted?”
My head feels light as I shake my head. My lips slightly pucker, repeating the word wow.
Wow wow wow.
Lazily, I reach back and finally undo my bra. It slips off my arms and Thomus’ hands immediately cup my breasts. His thumbs roll over my nipples and he leans forward, kissing my shoulder and then my cheek.
“I hope you’re ready to do that again,” he says, hunger still evident in his voice, “except with me inside you.”
I can’t help the smile that breaks out across my face. My face had finally started to cool, but now a new blush heats my skin. I push at his shoulders and shake my head. He pulls back and my hand is up, spelling naptime.
He outright laughs and the sound is music to my ears, filling my chest with… affection. For him.
“I suppose I did wear you out today,” he muses.
I nod, pulling his hand as I scoot further up the bed. He follows, crawling in after me. I settle on my back, utterly exhausted. He drapes himself over me with his head on my shoulder.
Thank god for sleep. It means I can push off analyzing the budding problematic emotions within me for just a little while longer.
bonjour bonjour! y'all are getting this chapter sooner than ao3 today. i realized I never properly announced this, but my posting schedule has changed. i'm now updating every other Monday. if you've made it this far into my fic thank you from the bottom of my heart. as always, let me know what you think! reblogs and comments are much appreciated. enjoy 💕
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for fanfic end of the year asks
16. (you can list them all or give me a count total of the # of stories you wrote this year.)
😈. (My own question). All the ships you wrote this year and the number of times you tagged for each.
Hehehe yaaaay, more questions, thank you! ^_^ (fanfic end of the year asks)
[EDITED on Dec 31, 2023 to account for my insane December writing binge]
16. fic(s) you completed this year
31 fics!!! 7 of those were drabbles (that is, exactly 100 words long, which is what drabble means), 3 of them were written for a challenge that strictly limited the length to 250 words, and the other 21 were one-shots of varying length. I'm grouping them like this because the word count limitations def produces a different style of fic than when I can just write as many words as I need in order to tell the story I want to tell. XD Anyway, I've also included brief notes after each fic title about which fic is which, bc I can never remember my own fic titles so how can I expect you to, lmaooo.
drabbles
wrapped up in books: the mortifying ordeal & hearts on a shelf (Garashir + books)
your move (Garashir + board games)
With a Bow (Garashir + gift giving)
Presence (Garashir pre-slash + The Wire)
waiting in vain (Sloan POV Garashir)
dirty little secret (ITPM Siskarak)
250-word ficlets
intergrown (Kireiko + the trauma of pregnancy)
all the things she said (Kireiko + cheating)
these sordid kinds of things (Kirawinn + power plays)
the rest of my fics
cover your hand with mine (Garashir fake dating to real dating speedrun)
the next thirty (old married Garashir)
on point like a laser (OMB Garashir)
The Inherent Homoeroticism of Citizenship Paperwork (post-canon Garashir + greencard marriage. by me and @sapphosewrites)
Whisper a Dangerous Secret (Garashir + secrets. also by me and sapphose)
home is wherever I'm with you (Garashir + Garak exile angst + Second Skin)
The Chloe Aka Incidents: nothing to hide & only bought this dress so you could take it off (OMB AU feat. holo!Siskarak and Garashir getting together)
save me from the dark (Garashir + mad scientist Julian bringing Garak back to life + The Wire)
the world will never take my heart (Garashir pre-slash + Julian getting beat up by Jem'Hadar + In Purgatory's Shadow/By Inferno's Light)
uninvited (Sloan vs Garak + Garashir)
sleeping with the enemy (Goran'ashir)
a little less alone (Garak/Odo)
conduit (Kirawinn crack fic + sexual religious ceremonies)
nightmare (Sloanshir + noncon somno)
seat of power (one-sided Disko with Dukat wanting desk sex)
physical (Garashir + infirmary sex)
lose the battle, win the war (Sloanshir + Julian letting Sloan fuck him as part of a plan to bring down s31)
don't rain on my parade (Garashir + OMB + airplane sex + so much cum)
the calm after the storm (Garashir getting together + haircuts + post-IPS/BIL)
expectant (Garashir + pregnancy kink + the episode Cardassians)
😈. (My own question). All the ships you wrote this year and the number of times you tagged for each.
Oooh, I love your question 😈 <3 Here's all the ship tags I used on my fics for the year:
Julian Bashir/Elim Garak (21) Elim Garak/Benjamin Sisko (2) Kira Nerys/Keiko O'Brien (2) Julian Bashir/Luther Sloan (2) Kira Nerys/Winn Adami (2) Dukat/Benjamin Sisko (one-sided) (1) Elim Garak/Odo (1) Julian Bashir/Goran'Agar (1) Elim Garak & Luther Sloan (1) Hippocrates Noah/holo!Elim Garak (1) lowkey unrequited sloanshir (1) (this is the only freeform tag I used this year I'm including, and just because it amuses me ^_^)
#ask game#fanfic end of year asks#my fic#i'm trying to finish up at least one more WIP#so i may update this later lol#EDIT: I did update this later! and what an update it is!
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Eros&Thanatos
I will be posting my new fanfic here! It's snily AU where Lily comes back to life to comfort Severus (who lived). Fanfiction takes place after the battle.
here is link to ao3: https://archiveofourown.org/works/48680212/chapters/122796076
Yet she was sad and cold, separated from him as by a veil. Though she had returned to the mortal world, she did not truly belong there and suffered. Finally the second brother, driven mad with hopeless longing, killed himself so as truly to join her.’
The Tale of the Three Brothers, Harry Potter and the Deathly Hallows by J. K. Rowling
Harry Potter passed white corridors of Saint Mungo’s First Floor. The hospital was pretty busy, no wonder. The battle of Hogwarts was quite bloody. Thankfully, he was heading to the least occupied floor – “Dangerous' Dai Llewellyn Ward: Serious Bites” shouldn’t be too crowded. Nagini didn’t manage to bite many people.
Someone tried to stop Harry on the way to the elevator, someone just pointed at him and gasped. He passed them, focused on the purpose of his visit. He was not here to comfort people wounded in battle, he was not here to listen to families weep. He had enough of it at home where everyone still mourned Fred, Remus, Tonks.
He was there to pay off his debts.
Harry told Hippocrates Smethwyck, the Healer-in-Charge, to inform him as soon as Headmaster wakes up. He had to wait for a week. Part of him wished Severus Snape died. That would be a beautiful, peaceful end. Magnificent epilogue of Prince’s tale.
That way Harry would be free of the crushing weight of guilt. But fate decided differently and now he became obsessed with Severus Snape. He was not able to share his fixation with anyone else. Ron, Hermiona, Ginny, Neville – none of them would understand it. He didn’t understand it. What was he supposed to tell them? Snape sacrificed his whole life for me because he loved my mother so much and now I have to make him accept me and forgive me or I will go insane? That didn’t make sense even in his head.
Thankfully he was able to testify in favor of Snape quickly, so that he was not going to be sent to trial. He found documents prepared by Dumbledore that were explaining everything. That way at least Harry was sure Snape was getting the right medical attention he needed and he was not mistreated.
He passed Professor McGonagall in the hall. They exchanged quick glances at each other. The memory of the word “COWARD” screamed at the top of her lungs ringed in Harry’s mind. He felt a sting in his chest. When they were hurting Severus Snape, all seemed so mild. Like they were not harsh enough. Snape killed Dumbledore, he fooled them all. Now that they were both aware of how fast they were to judge him and hate him made them ashamed. They knew their apologies didn’t mean anything to him.
Professor McGonagall didn’t say a word. She just nodded and passed him fast. Harry knew she was shaking. Whatever happened in that room, it was not nice. Harry hesitated. Maybe another day would be better to talk with Snape about this. He stopped.
It had to be done now. He would not be able to fall asleep tonight if he didn’t talk with him.
Harry pushed the doors to a small room with a single bed.
He saw Severus Snape resting in the hospital bed, covered with blankets. Minerva left him a fresh flowers on the bedside table. Lilies. Harry couldn’t breathe for a moment. Did she know about Lily? Or did he just tell her those were his favorite flowers? Harry had no idea.
Black irises moved slowly into his direction. Snape’s neck was bandaged, he could barely turn his face. He never saw him this vulnerable and weak. His face was paler than ever. He lost a lot of blood. It was a miracle that he survived. Truly, a miracle. Harry looked at the man’s pathetic face. It was the middle of May. The day was hot. And Harry could swear he felt a cold shiver.
Severus Snape wished he could scare the brat with his eyes. Make him go away. Push him out. But he was too weak. He couldn’t move. He couldn’t even scream. Nagini bit his neck so deep his voice was not working properly. All he could do was stare.
All he can do is stare, thought Harry and took a step towards him.
“Snape,” he started.
The word sounded so weird. He spoke it so many times with disrespect, malice, arrogance. Speaking it with remorse sounded just… unnatural.
“You know why I came here,” he continued.
When Severus didn’t react, Harry moved towards him. He had a great offer to present. One that shouldn’t be rejected without considering.
“I can give you anything you want. I can arrange a nice peaceful life for you. You can live and die comfortably. I have resources,” the boy said with much confidence.
Severus didn’t move a bit. He just stared. After a moment, he lifted his hand and gestured to Harry. He ordered him to come closer. The boy obeyed. He came closer and closer. The sharp scent of disinfectant and medicine hit his nostrils. But Severus showed him to come even closer. He took Harry’s collar in his hand and clenched his fist so the boy couldn’t back off. Their faces were so close to each other Harry could see the veins on his forehead pulsating and drops of sweat forming on his temples.
“You will never pay me off. You cannot bring her back to life,” he whispered in a raspy voice.
Harry frowned. His blood boiled. He stared into Severus’ dark eyes feeling waves of anger flowing through him. It was unfair.
“That’s why you hate me, right? Because of my mother? Because she died for me?” he asked him.
The man swallowed and his face grimaced with pain. He licked his dried lips and Harry felt his fingers clutched his shirt even harder. Severus wished he had died. He wished he didn’t give the brat his memories. He wished nobody ever knew about Lily.
“You cannot bring her back to life,” Snape said again and let him go.
Harry straightened up. It was not his fault. It was not his fault she died. It was Snape’s fault. He couldn’t lift his guilt onto Harry.
Severus couldn’t bear the accusatory stare Harry was giving him. He had her eyes. And he knew he had her eyes and he knew why it mattered. He turned his face with much effort. He was tired. The hollow in his heart hurt more than the bites on his neck.
“We will see,” Harry muttered and left the room.
Two weeks later.
Lily couldn’t open her eyes. She felt her skin tingling. Her lips were numb. Consciousness crawled into her brain like white blind worms that ate her body when she was in her grave. It was not pleasant at all.
She felt an annoying itching in her chest. She wanted to scratch, but couldn’t lift her hand. She was so weak. It was like the blood in her veins refused to flow. Like her body, not out of any strong drive, just out of old habit, forced the fluids in her flesh to travel through the tissues, providing oxygen to every cell. It felt like she was hyperaware of every process that was going on in her body.
She tried to open her eyes again, but her eyelids seemed to be made with heavy steel. She was seeing sparks and blurred lines through the layers of skin on her irises, so it must have been a day, not night.
Lily fell asleep a moment later. She woke up again, but everything was dark. She noticed she could open her eyes now. She couldn’t move or speak. The itching in her chest was unbearable. She closed her eyes and felt tears running from her face. It was hell. She heard that someone moved near her. She felt a sting of anxiety in her throat. She tried to open her eyes again.
She saw a man she recognized, but didn’t remember his name. She searched through her memory. She didn’t know exactly who she was. She had no idea what was going on and why she was in that state. She wanted to lift her hand to scratch her chest that was both burning and tingling, but she still couldn’t move a bit.
Her vision became clearer. She felt like she was opening her eyes for the first time in her life.
“James?” she whispered under her breath, when she recognized the face that was staring at her.
She closed her eyes and went back to sleep.
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Hippocrate
Hippocrate vit le jour sur l'île grecque de Kos au Ve siècle avant notre ère et devint le médecin le plus célèbre de l'Antiquité. Il créa une école de médecine sur l'île, écrivit de nombreux traités sur des questions médicales et, grâce à son étude systématique et empirique des maladies et des remèdes, est considéré comme le fondateur de la médecine moderne.
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“Au rebours de notre esprit d’entreprise au service de nos désirs, toutes les philosophies antiques sont des thérapeutiques plus ou moins ascétiques de l’existence et de la pensée pour dépasser l’égocentrisme dans une sagesse et un bonheur d’intégration à l’harmonie universelle. De même, la vie chrétienne est une ascèse en vue d’une réintégration au sein du Créateur. Si bien qu’à la limite "philosopher, c’est apprendre à mourir" (Montaigne, I, titre du chapitre 20). La pensée était la mise en œuvre d’idées innées fondamentales dont la Nature ou le Créateur nous a dotés, et la reprise ou tout au plus le développement des dogmes légués par la Bible, les Pères, Aristote, Hippocrate et quelques autres, qui ne pouvaient faire l’objet d’un examen critique ni d’une vérification expérimentale. C’était leur autorité qui garantissait leur véracité. "Il faut maintenir à tout prix ce qui a été cru partout, toujours et par tous", écrivait Vincent de Lérins vers 434. On s’y appliquera au moins jusqu’au XVIe siècle, tout comme à préserver les traditions. L’adjectif nouveau gardera jusque-là un sens généralement négatif, subversif.”
Jean Rohou, Le XVIIe siècle, une révolution de la condition humaine, 2002.
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Xena Warrior Princess / Locked Tomb Au. You know, it wouldn't be all that bad. Xena teaching Gideon more sword shenanigans. Great sparing partners. Xena AND Harrow listening to Gabby, and healing. Harrow sneaking Argo treats. She'd prolly find his company/grooming him therapeutic. Coronabeth drawing Aphrodite's ire or at least Ianthe insulting Aphrodite. "My sister wore it better." Ianthe stabbing Callisto from behind. "Goodbye, old news!" Ares bummed he can't twist Gideon's arm into becoming a war Goddess. He sulks and broods that his good looks and charisma arent having any effect. He gets drunk and starts sobbing into his tankard. "Am I losing my touch?" Joxter gives him a comisserating pat on the shoulder. Artemis breathing heavily, sweating from exertion. "Alecto! She's back!" A number of Gods proceed to look increasingly uncomfortable. Hades looking at John. "You and I need to talk." Thanatos in the background dejectedly kicking a stone. Pal and Cam happily helping Hippocrates. Dulcinea and Cytherea both lounging around in Rhodes.
combine your first real fandom with your current one to create a terrible, terrible au
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L'Histoire de la Médecine et Son Évolution Vers la Chirurgie Esthétique : Une Introduction pour les Débutants
L’histoire de la médecine est l’une des plus anciennes et fascinantes de l’humanité. Depuis les premiers soins apportés aux malades jusqu'aux avancées technologiques de la chirurgie esthétique moderne, elle reflète la quête continue des hommes et des femmes pour comprendre le corps humain, soulager la souffrance et améliorer la qualité de vie. Ce texte présente un aperçu de cette évolution et explique comment la médecine a progressivement intégré la chirurgie esthétique, qui est devenue un domaine en pleine expansion dans le monde d'aujourd'hui.
Les origines de la médecine : des soins primitifs aux premiers médecins
La médecine existe depuis que les êtres humains ont cherché des moyens de soulager la douleur, de guérir les blessures et de traiter les maladies. Dans les sociétés primitives, la guérison était souvent liée à des pratiques magiques ou spirituelles. Les chamans ou guérisseurs utilisaient des plantes, des rituels et des incantations pour traiter les malades.
Au fil du temps, des civilisations comme l’Égypte ancienne, la Grèce et la Chine ont développé des connaissances médicales plus élaborées. Les Égyptiens, par exemple, ont créé des traités médicaux écrits et utilisé des techniques de soins avancées, comme les bandages et les traitements à base de plantes. Dans la Grèce antique, des médecins comme Hippocrate (considéré comme le père de la médecine) ont proposé que les maladies ne soient pas des punitions divines, mais plutôt des déséquilibres naturels à corriger par des soins rationnels.
Le Moyen Âge et la Renaissance : progrès médicaux et premières interventions chirurgicales
Pendant le Moyen Âge, les connaissances médicales ont progressé lentement, souvent entravées par des croyances religieuses et des superstitions. Toutefois, certaines régions comme le monde arabe ont fait des avancées notables. Le médecin arabe Avicenne (Ibn Sina) a compilé des traités médicaux influents, dont Le Canon de la Médecine, qui a été utilisé en Europe pendant des siècles.
La Renaissance (14e au 17e siècle) a marqué un renouveau scientifique, avec une redécouverte des textes grecs et romains et un intérêt croissant pour l’anatomie humaine. Des figures comme André Vésale, qui a réalisé les premières dissections anatomiques systématiques, ont jeté les bases de la médecine moderne. C'est également au cours de cette période que les premières interventions chirurgicales ont vu le jour, souvent dans des conditions rudimentaires et risquées, mais ouvrant la voie à des innovations futures.
Le 19e siècle : la naissance de la chirurgie moderne
Le 19e siècle est une période cruciale dans l’histoire de la médecine, marquée par des avancées majeures. Les découvertes sur les germes par des scientifiques comme Louis Pasteur ont permis de mieux comprendre les infections, menant à des techniques d'asepsie et de désinfection qui ont révolutionné la chirurgie.
C’est également à cette époque que l’anesthésie a été introduite, rendant possible la réalisation d’interventions chirurgicales plus longues et complexes sans que le patient ne souffre. Des chirurgiens comme Joseph Lister ont également développé des techniques pour réduire les infections post-opératoires, posant les fondations de la chirurgie moderne.
La fin du 19e et le début du 20e siècle : l'émergence de la chirurgie esthétique
L'idée de la chirurgie esthétique est née à la fin du 19e siècle, en partie en réponse aux besoins des victimes de blessures de guerre. Les premiers chirurgiens esthétiques ont travaillé à reconstruire les visages et les corps des soldats blessés lors des guerres mondiales. À cette époque, des médecins comme Harold Gillies, un pionnier de la chirurgie reconstructrice, ont posé les bases de la chirurgie plastique moderne.
Le terme "chirurgie esthétique" fait référence à des interventions visant non seulement à reconstruire des parties du corps endommagées, mais aussi à améliorer l'apparence physique des patients en bonne santé. À la fin du 20e siècle, ces techniques se sont popularisées auprès du grand public, qui a commencé à y recourir non seulement pour des raisons médicales, mais aussi pour des raisons esthétiques.
Le 20e siècle : la révolution de la chirurgie esthétique et des soins esthétiques
Le 20e siècle a vu une explosion de la chirurgie esthétique et des soins non invasifs, propulsée par de nouvelles technologies et un changement de mentalité sociale. L'après-guerre a vu une augmentation de la demande pour les procédures cosmétiques, et les progrès en matière d'anesthésie, d'antibiotiques et de techniques chirurgicales ont rendu ces opérations plus sûres et plus accessibles.
Au fil des décennies, des interventions comme la rhinoplastie (correction du nez), la liposuccion (retrait de la graisse), et l’augmentation mammaire sont devenues courantes. À cela se sont ajoutées des techniques non chirurgicales, comme les injections de toxine botulique (Botox) et d’acide hyaluronique, qui offrent des solutions moins invasives pour lutter contre les signes du vieillissement.
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TOURNAGES LONGS METRAGES / SERIES
2024 :
Fils de, lm de Carlos Abascal Peiro (Fair Play Productions) : perche (chef : Laura Chelfi)
Les rêveurs, lm d'Isabelle Carré (Pan Cinema) : renforts (chef : Antoine Mercier)
Hippocrate S3, série de Thomas Lilti (31 Juin Films) : 2nde perche, renforts, perche de post synchro (chef : François Guillaume)
2023 :
Selon Joy, lm de Camille Lugan (Barney Productions) : perche (chef Gaël Eleon)
Les pistolets en plastique, lm de Jean-Christophe Meurisse (Mamma Roman) : renforts (chef : Lucas Héberlé)
L'esprit Coubertin, lm de Jérémie Sein (Avenue B Productions) : renforts (chef : Gaël Eleon)
2022 :
Madame de Sévigné, lm d'Isabelle Brocard (The Film) : perche (chef : Philippe Deschamps)
Tissu, mini-série de Bonnie El-Bokeili, Charly Akakpo et Robin Deriaud : ingé son
Sous le tapis, lm de Camille Japy (Mandarin et Compagnie) : renforts (chef : François Guillaume)
2021 :
Fifi, lm de Jeanne Aslan et Paul Saintillan (Haïku Films) : perche (chef : Philippe Deschamps)
Maigret, lm de Patrice Leconte (Cine@) : 2nde perche (chef : Paul Lainé)
Détox S1, série de Marie Jardillier (Chapka TV) : renforts (chef : Guillaume Valeix)
Le nouveau jouet, lm de James Hut (Eskwad) : renforts (chef : Pierre André)
2020 :
Hippocrate S2, série de Thomas Lilti (31 Juin Films) : 2nde perche (chef : François Guillaume)
The Ambush, lm de Pierre Morel (Old School Productions) : renforts (chef : Amaury de Nexon)
2018 :
Hippocrate S1, série de Thomas Lilti (31 Juin Films) : 2nde perche (chef : François Guillaume)
2017 :
Au bout des doigts, lm de Ludovic Bernard (Récifilms) : 2nde perche (chef : Amaury de Nexon)
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Aujourd'hui, de plus en plus de personnes adoptent une approche plus proactive et responsable de leur bien-être et de leur santé. Ils ne dépendent plus uniquement de médicaments synthétiques ou de visites coûteuses chez le médecin pour traiter leurs maux. Ils recherchent plutôt des solutions naturelles et efficaces qui leur permettent d'équilibrer leur corps et d'atteindre un état de santé exempt de stress, d'anxiété et de maladie. L'une des technologies les plus innovantes dans cette quête du bien-être est la technologie tricore à fréquence TeraHertz, qui a été intégrée dans l'appareil portable iTeraCare. Ce dispositif a été salué comme la première technologie quantique de son genre et a été utilisé par des milliers de personnes satisfaites dans plus de 50 pays. Avantages d'iTeraCare L'appareil iTeraCare offre une série d'avantages pour améliorer la santé et le bien-être : Élimination des cellules malsaines : en appliquant la fréquence TeraHertz, l'appareil aide à éliminer les cellules malsaines de l'organisme, ce qui permet de rétablir un équilibre naturel. . Activation des cellules dormantes : souvent, nos cellules peuvent devenir inactives ou affaiblies en raison du stress, du manque d'exercice ou d'une mauvaise alimentation. iTeraCare active ces cellules dormantes, améliorant ainsi la fonction cellulaire globale. Augmenter la capacité d'auto-guérison du corps : notre corps a une incroyable capacité à se guérir et à se régénérer. L'appareil iTeraCare renforce cette capacité, permettant au corps de guérir et de se réparer plus efficacement. Dégager les méridiens et le système lymphatique : Les méridiens et le système lymphatique sont essentiels à la bonne circulation de l'énergie et au bon fonctionnement du système immunitaire. iTeraCare aide à débloquer et à dégager ces canaux, ce qui permet à l'énergie de circuler librement et au corps de rester protégé contre les maladies. Amélioration de la microcirculation : La microcirculation est essentielle à l'apport d'oxygène et de nutriments à toutes les parties du corps. En stimulant la microcirculation, iTeraCare améliore la santé cardiovasculaire et favorise une meilleure vitalité générale. Régulation des glandes : Nos glandes sont responsables de la production et de la régulation des hormones dans l'organisme. iTeraCare aide à réguler ces glandes, assurant un équilibre hormonal optimal et une santé hormonale globale. Élimination de la rétention d'eau : la rétention d'eau peut être à la fois inconfortable et préjudiciable à la santé. . iTeraCare aide à éliminer cette rétention d'eau, améliorant ainsi la santé du système rénal et circulatoire. Amélioration de la circulation : Une bonne circulation sanguine est essentielle pour un fonctionnement optimal de l'organisme. Avec iTeraCare, vous pouvez bénéficier d'une meilleure circulation, ce qui se traduit par une peau plus éclatante, un soulagement de la douleur et un rétablissement plus rapide en cas de blessure. Comme l'a dit le célèbre philosophe grec Hippocrate : "Si nous pouvons guérir les os, alors toutes les maladies peuvent être traitées". iTeraCare offre un moyen simple et efficace de parvenir à une santé optimale, en s'attaquant aux causes sous-jacentes de la maladie et en agissant comme un catalyseur naturel de la guérison. FAQ - Foire aux questions Nous répondons ci-dessous aux questions les plus fréquemment posées sur iTeraCare : 1) Comment le dispositif iTeraCare est-il utilisé ? L'utilisation du dispositif iTeraCare est simple. Il suffit de prendre quelques minutes par jour pour l'appliquer sur différentes zones du corps. Mettez-le en marche, sélectionnez le réglage approprié à vos besoins et dirigez-le vers la zone que vous souhaitez traiter. L'appareil commence à émettre des ondes de fréquence Terahertz, stimulant ainsi les fonctions cellulaires et favorisant un équilibre naturel dans le corps.
2) Quelles sont les différences entre les modèles iTeraCare disponibles ? Trois modèles d'iTeraCare sont actuellement disponibles : Classic 2.0, Premium et PRO. Chaque modèle diffère en termes de puissance, de durabilité et de caractéristiques supplémentaires. Le modèle Classic 2.0 est plus abordable et convient à un usage domestique, tandis que le modèle Premium est plus robuste et plus silencieux. En revanche, le modèle PRO est conçu pour une utilisation plus continue, en milieu clinique ou dans les familles nombreuses. 3) Le dispositif iTeraCare peut-il être utilisé en toute sécurité ? Oui, le dispositif iTeraCare est sûr et certifié. Il utilise des technologies avancées telles que la fréquence des ondes magnétiques térahertz, la technologie quantique et la technologie du quartz à lumière optique. Ces technologies sont étayées par des recherches scientifiques et ont été utilisées par des milliers de personnes dans le monde entier sans effets secondaires nocifs. Conclusion sur la technologie quantique révolutionnaire pour la santé et le bien-être Dans un monde en constante évolution, il est essentiel que nous soyons responsables de notre santé et de notre bien-être. iTeraCare offre une solution innovante et efficace pour ceux qui cherchent à équilibrer leur corps et à atteindre une santé optimale d'une manière naturelle et holistique. Avec ses avantages pour la santé étayés par des témoignages et des clients satisfaits dans le monde entier, cet appareil portable est devenu une technologie quantique de pointe en son genre. N'attendez plus. Le moment est venu de vous libérer de l'inconfort, de la douleur et du stress. Découvrez ce qui vous convient le mieux et laissez-vous surprendre par la technologie révolutionnaire iTeraCare. Visitez notre site web www.iteracare.life pour plus d'informations et pour commencer votre voyage vers le bien-être total. Votre meilleure santé vous attend ! iTeracare Shop Votre chemin vers le bien-être Notre technologie vous donne la possibilité d'améliorer votre qualité de vie depuis le confort de votre domicile. Avec iTeraCare, vous pouvez bénéficier de thérapies personnalisées et avancées pour un bien-être holistique. Participez à la révolution de la santé N'attendez plus pour découvrir les avantages d'iTeraCare El Salvador. Visitez notre site officiel et rejoindre la révolution sociale de l'île. Transformez votre vie et celle de vos proches grâce à la technologie Terahertz la plus avancée. Votre bien-être est entre vos mains avec iTeraCare ! ITERACARE TÉMOIGNAGES Les dispositifs iTeraCare peuvent être achetés dans la boutique en ligne iTeraCare, qui se trouve à l'adresse www.iteracare.life. Dans cette boutique, les clients peuvent consulter une sélection de produits iTeraCare et faire leurs achats en toute simplicité. Les prix des appareils iTeraCare sont très raisonnables, ce qui fait de la boutique un excellent choix pour ceux qui recherchent un bon rapport qualité-prix et qui peuvent acheter l'appareil dans notre boutique. Adrián Sánchez Contact Acheter l'appareil iTeraCare Boutique iTeracare
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''Le Canard est toujours vivant''...
Je ne suis pas certain que ce soit bien prudent ni très sage de reprendre si vite un semblant d'activité : la Faculté –dans sa pompeuse majesté--, Hippocrate et Esculape (et même moi, tout au fond de mon ''ressenti le plus intime'')... disons et répétons que c'est une folle décision : je suis loin d'avoir récupéré les forces perdues après toutes les tuiles qui me sont tombées dessus il y a bientôt un mois, et qui me laissent encore faible et comme épuisé. Mais l'important semble être que je sois encore vivant, comme le célèbre canard du vieux ''sketch'' de Robert Lamoureux.
D'un autre côté, j'ai vraiment hâte de dire mille fois ''Merci'' à toutes les marques de gentillesse que j'ai reçues, en un torrent de mails presque ininterrompu, illustré de mots qui m'ont comblé d'émotions profondes et auraient pu ''me donner la grosse tête'' s'il n'était pas évident qu'elles étaient dictées par le cœur et pour aucune autre raison. Compte tenu de l'état de grande fatigue dans lequel je me débats, je ne suis pas du tout certain de pouvoir répondre à la totalité des gentils messages qui me sont envoyés. Que tous leurs émetteurs trouvent ici le témoignage de ma reconnaissance émue et de ma sincère gratitude pour ce soutien, dans le fond vital.
Mais il n'y a pas que ''ça'' : malade ou pas, épuisé ou pas, j'entends résonner les cris de révolte qui se multiplient en France, ce pauvre pays si insulté, si mal traité, si calomnié, sur chaque sujet. Pour un peu, j'aurais envie de paraphraser De Gaulle : ''La France outragée, la France brisée, la France martyrisée''... à ceci près que personne ne peut honnêtement et sérieusement oser penser qu'elle puisse être ''libérée'', de près ou de loin : nos gouvernants, défaillants à en être criminels, refusent de voir toute vérité et n'osent même pas prononcer les noms des maux qui menacent notre existence en tant que nation et que peuple, mais aussi en temps que simples individus pris dans un ouragan..
Ai-je le droit d'invoquer une baisse de tension ou une chute de globules pour arrêter de hurler qu'il n'est pas acceptable (en donnant à ce mot sa vraie valeur, à l'inverse de nos politicards) que en France, en 2024, tout parent d'un adolescent ayant entre 11 à 17 ans tremble de peur en le regardant partir vers son lycée ou son collège ? Dans notre ''vieux pays sur un vieux continent'' (comme pouvait encore le dire mon ami Dominique de Villepin en février 2003 à l'ONU) un coup de couteau mortel est une ''aventure'' qui peut arriver à tout instant, n'importe où... pour rien ou pour une soi-disant insulte (NB : si traiter un afghan d'Afghan, c'est grave... c'est grave !).
Nous voici ramenés aux périodes les plus noires de notre histoire, à ceci près qu'il s'agit, là, de vraies périodes noires, pas des mauvaises interprétations de ce qui dérange les idéologues de notre Gauche, décidément tous pourris... Nos enfants ne sont plus en sécurité nulle part dans nos villes, juste parce qu'ils sont un peu plus blancs que d'autres, du même âge, qui s'attribuent le droit de les tuer à coups de couteau de boucherie pour cette seule absence de raison.
Mais que doit-on dire de nos femmes et de nos jeunes filles qui ne peuvent même plus sortir en jupe ou en robe (sauf longues comme un jour sans pain !)... de nos citadins condamnés à la laideur, en bas de chez eux, de campements de ''fortune'' (la seule ''fortune'' est celle que se font les ''dealers'' de drogues infâmes !)... d'où sortent des puanteurs assassines de substances mortelles pour notre jeunesse, déjà contaminée à l'excès... de la violence généralisée que refuse de voir une ''Justice'' (sic !) qui ne mérite plus son nom...
Devant ces troubles qui devraient être inacceptés –mais qui ne sont dits ''inacceptables'' qu'en paroles, dans des discours volontairement creux destinés à noyer le gogo-- nos gouvernants poursuivent des folies qui ne peuvent nous mener qu'à des catastrophes encore plus définitives. Au lieu de lutter, toutes affaires cessantes, contre une invasion de substitution clairement reconnue dans toute la littérature du genre depuis 20 ans, le Pouvoir en place nie toute évidence irréfutable et toute démonstration incontournable, et ne réagit pas lorsque des islamo-gauchistes criminels la soutiennent en mélanchonnisant sans savoir de quoi ils parlent, et sont prêts à tout pour ravager la planète jusqu'à sa mort –et la nôtre... ''quoi qu'il en coûte'' … comme si une phrase aussi stupide pouvait avoir le moindre sens !
C'est pour continuer à me battre contre les moulins à vent marqueurs de notre triste époque que je vais essayer de revenir vous murmurer ma petite sérénade, dans la faible mesure de mon absence de moyens. Peut-être, au début, sera-ce avec un rythme moins régulier, en fonction de mes possibilités physiologiques. Mais au moins aurai-je ainsi l'impression, lorsque mon heure viendra, d'avoir ''donné de moi-même''. Mais ceci est une autre histoire, dont nous reparlerons... le plus tard possible. A très bientôt, et –encore une fois-- un immense ''Merci'' pour votre soutien.
H-Cl.
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La médecine des sorcières : entre peur et remède naturel
Siècles de peur de la magie noire et pourtant, il y a une vérité : derrière la médecine des sorcières, des fois, il se cache un remède de grand-mère contre quelques maladies. Et oui ! On ira à la découverte des plantes médicales, à partir de l’époque de la sorcellerie jusqu’au présent, pour comprendre l’histoire de la médecine primitive et son emploi moderne. En somme, les poisons aussi, peuvent avoir des bénéfices.La mandragore et la médecine des sorcières: la plante de la fertilité Plante de la famille des Solanacées, la mandragore présente des racines bizarres à la forme qui rappelle le corps humain, avec sa tête, ses bras et ses jambes. A cause de cette particularité, on pensait que cette plante naissait du sperme des pendus lors de leur décès. A l’époque des sorcières, la mandragore était connue pour son pouvoir de transformer les hommes en loups garous. Heureusement, en 1700, quelqu’un avait compris les propriétés bénéfiques de ce produit de la terre : le médecin Linné l’appelait Atrope, à cause de sa nature vénéneuse, mais en même temps, il avait découvert que la mandragore présentait les caractéristiques d’un analgésique. Son emploi, donc, devient pendant les siècles, une aide contre la douleur. De même, Hippocrate avait parlé de cette plante qui, selon lui et ses études, montrait des vertus aphrodisiaques. La mandragore était devenue la plante de la fertilité. A lire également : Faites l'expérience de la numérologie La belladone : le poison des sorcières qui guérit (mais attention aux doses !) Dans la médecine des sorcières, la belladone occupe une place très importante : elle était le premier poison, facile à trouver dans les bois, avec de plus, des effets létaux pour la vie. En fait, elle était véritablement connue comme la plante des sorcières. Cependant, on reconnait à présent, beaucoup d’avantages de l’emploi de la belladone. Il faut, comme toujours, qu’elle soit prise avec attention. Cette plante peut être utilisée en toute sécurité comme aide homéopathique: grâce à ses granules, vous pouvez soulager vos douleurs et quelques maladies, comme des inflammations de la peau et les brûlures, la fièvre avec délire, les bouffées de chaleur et des troubles gastro-intestinaux. Petite remarque: si vous prenez de médicaments comme antidépressifs, antihistaminiques, (même chose pour les médicaments contre le Parkinson) c’est interdit de prendre la belladone. La médecine des sorcières : la ciguë La plante qui notamment avait tué Socrate. Le grand philosophe grec, maitre de la philosophie morale, condamné à mort pour avoir, selon ses accusateurs, corrompu la jeunesse et introduit des nouvelles divinités. Son fléau fut la ciguë. Platon, son disciple, nous raconte sa mort, mais il ne nous a pas dit les détails : Socrate était mort entre vomissement, nausée et contractions musculaires. Ce sont ceux-ci les terribles effets de la ciguë, connus par les sorcières. Par ailleurs, cette plante montre des bénéfices aussi : actuellement, elle est employée en tant qu'analgésique contre la douleur. La datura : la fleur du diable On arrive au comble de notre histoire: la datura. Elle appartient à la famille des Solanacées, comme la mandragore, et elle était employée par les sorcières pendant leurs sabbats. Elle a, en fait, des propriétés hallucinogènes, sédatives et narcotiques, essentielles, selon l’avis des sorci��res, pour communiquer avec le diable dans une atmosphère de fureur. La personne qui prenait la datura, avait l’impression de voler, et ça commence par ici la tradition qui voit les sorcières voler dans le ciel. La médecine moderne et la phytothérapie ont revalorisé cette plante qui, à travers les doses indiquées, peut guérir l’asthme bronchique et certains troubles du comportement. Les médecins ont remarqué que la datura peut rétablir les équilibres dans des sujets (adultes et enfants) qui montrent anxiété et agressivité. Je vous conseille, de plus, deux publications très intéressantes où vous pouvez vous informer sur l’histoire de la sorcellerie et sur ses remèdes naturels. Et vous, est-ce que vous connaissez d’autres remèdes de grand-mère aux racines anciennes ? On a hâte de connaitre vos histoires ! Vos réponses, dans les commentaires ! Read the full article
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