#hellénistique
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Un Rhyton en argent datant de L'Empire Achéménide (-559 à -330 avant Jésus-Christ.). Vase en terre cuite ou en métal mesurant environ 25 centimètres de hauteur qui se présente sous la forme d'une corne à une anse et dont l'extrémité se termine par une tête animale ou humaine. Trois civilisations l'utiliserons dans l'optique d'un contenant pour boire un liquide. Les civilisations sont les Thraces, les Romains et les Perses au cours du 6e siècle jusqu'au 5e siècle avant Jésus-Christ. Il se répandra par la suite dans l'espace hellénistique (grec) qui lui donnera le sens, sa renommée, ainsi qu'une culture autour de lui et une symbolique. La poterie athénienne classique à typiquement des thèmes de la mythologie peint sur eux, telles les vases à figures rouges. Un des thèmes standards est une satyre qui symbolise la débauche avec notamment des Rhyton et du vins à foison. Il est généralement en forme de corne, tandis que les thèmes sexuels et humoristiques, pouvant représenter des organes génitaux masculins semblent être un développement tardif des thèmes apportés. Les Rhytons sont généralement richement ornées et précieusement gravées pour se moquer et apporter ainsi une dimension satyrique de grandes civilisations. Un lien est établi entre les Satyres, le vin et le Rhyton dans l’épopée de Dionysiaca de Nonnus (ou aussi Les Dionysiaques) ayant été écrit entre 450 et 470 après Jésus-Christ. Il y est décrit le processus de fabrication du vin par les Satyres qui piétine le vin et récolte le liquide avec des cornes de bœufs, lorsque cela fut inventé par le Dieu Grec, Dionysos. Les Rhytons étaient utilisés dans la plupart des cas pour contenir des liquides tels que le vin, la bière ou bien l’huile, tandis que certains pouvaient être utilisés dans les rituels de sacrifices d’animaux. Dans le cas d’une utilisation dans un rituel de sacrifice, le sang peut être dilué avec du vin. Ils étaient généralement modelés d’après l’animal qui sera destiné au sacrifice, bien que ce ne soit pas systématiquement le cas. Les Rhytons semblent être apparues d'abord en Anatolie au début du 2e millénaire, à l'époque des comptoirs assyriens et avec les premiers vases zoomorphes (ayant une forme d'animaux) ayant été fabriqués dans cette région. Ce n'est toutefois, qu'à partir du 5e siècle avant notre ère que ce type connaît un succès assez grand et commence à se répandre en Assyrie avec des preuves de sa popularité telle que les reliefs du Dur'Sharrukin, palais de Sargon à Khorsabad. Il est aussi possible d'en trouver dans différents lieux de cultes en Crète, datant de la période Propalatiales (-2000 à -1700) et Minoenne (-6 000 à vers -2600), jusqu'en Corée à l'époque des Trois Royaumes (5e et 6e siècles) en passant par le Moyen-Orient et les Steppes Anciennes.
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Sanctuaire de la Fortuna Primigenia à Palestrina
Le sanctuaire de la Fortuna Primigenia à Palestrina (anciennement Praeneste) en Italie fut construit au IIe siècle avant notre ère pour honorer la déesse Isis et la déesse Fortuna. Cet immense site s'étend sur le flanc d'une montagne, construit avec du ciment romain à base de pozzolana (pouzzolane), et reste un rare exemple de complexe de temple païen intact. Sa conception reflète des influences hellénistiques et égyptiennes et c'est là que se trouve la mosaïque du Nil de Palestrina, une représentation de la vie sur le fleuve Nil datant du Ier siècle avant notre ère. Sous la République romaine, on lisait l'avenir en tirant au sort des bouts de bois, et Cicéron (106-43 av. J.-C.) rapporte que les Romains ne considéraient pas de lieu plus favorable que le sanctuaire de Fortuna. Tite-Live (59 av. J.-C. - 17 de notre ère) décrit l'importance de Praeneste et indique que les commandants romains souhaitaient consulter Fortuna avant de lancer leurs campagnes lors de la première guerre punique (264-241 av. J.-C.). Au début de l'ère chrétienne, Saint Agapit (Agapito en italien) fut martyrisé à Praeneste. Une grande partie du temple d'origine fut mise au jour lors de fouilles effectuées après la Seconde Guerre mondiale (1939-1945). Depuis 1954, le site est ouvert au public en tant que musée archéologique national de Palestrina, où l'on trouve des reliques provenant de tombes de l'âge du fer et de l'âge du bronze.
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L'Antiquité en Chine : la période des sept royaumes combattants
Du début du Vème siècle av. J.-C. à la fin du IIIème siècle av. J.-C., la Chine est divisée en sept royaumes au moins lesquels s'affrontent au cours de guerres continuelles.
Cette période - qui correspond à la période classique et au début de la période hellénistique de l'Histoire de la Grèce ancienne - se termine par le triomphe de l'Etat de Qin qui parvient en 221 av. J.-C. à unifier un vaste territoire auquel il donne son nom.
Au même moment, Hannibal s'apprête à déclencher une guerre éclair qui doit permettre à Carthage de se venger de Rome.
Le territoire de Zhou ici ne compte pas. Zhou était l'ancienne dynastie qui contrôlait la Chine, mais ses vassaux se sont progressivement reforcés et agrandis jusqu'à ce qu'il n'en reste que sept, puis un (Qin). Le Zhou sur la carte est le petit domaine royal presque sans pouvoir.
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Champs-les-Sims - Eté 1908
3/10
Malheureusement, Albertine a détesté toutes mes idées, et sans que je comprenne à l'instant où se situait le problème. Je devine que vous l'avez pressenti immédiatement, mais c'est une forme d'intelligence que je ne possède pas. Alors comme il convient toujours pour moi de le faire en ce genre de cas, j'ai demandé conseil à Adelphe.
Il a quitté la maison juste avant la naissance des enfants, pour nous faire de la place essentiellement, et je regrette ce départ. Mis à part mes années d'internat, nous n'avions jamais été séparés de cette façon et ce fut complexe au début. Heureusement, il revient au domaine quotidiennement pour gérer les affaires. Il a d'ailleurs eu un troisième enfant depuis. Dire qu'en une seule fois, j'en ai eu davantage de lui en dix ans.
Bref, il m'a donc bien expliqué en quoi mes choix de prénoms étaient peu pertinents dans la conjoncture actuelle, et parmi d'autres conseils, m'a suggéré de me reposer davantage sur l'avis d'Albertine. Elle bien sûr souhaitait des prénoms plus traditionnels, voir des hommages à des ancêtres disparus, alors que j'avais une vision diamétralement opposée. Nous avons fini, après de nombreuses heures de discussion, à dégager un compromis basé sur deux piliers fondamentaux : elle voulait quelque chose de relativement ancré dans notre culture actuelle (tout du moins en terme de sonorités), et moi je voulais un rapport avec la culture égyptienne. Notre solution s'est trouvée dans la dynastie lagide qui, bien que fondamentalement macédonienne, était un excellent terrain d'entente pour notre compromis. Ainsi, les prénoms de nos enfants sont certes originaux, mais pas au point de les taxer de bizarres ou de s'attirer les foudres de l'état civil (lequel, après réflexion, n'aurait sans doute admis un prénom comme Khâemouaset). Nous en avons retenu une dizaine, ne sachant pas exactement combien d'enfants viendraient au monde.
Je suis donc à la fois fier et ému de vous annoncer la naissance de mes quatre enfants : Arsinoé, Cléopâtre, Sélène et Marc-Antoine.
(Je les ai bien sûr mentionné dans l'ordre chronologique de leur naissance, ce qui fait d'Arsinoé mon héritière. Marc-Antoine est bien entendu un nom romain, mais il était si piqué de culture hellénistique que j'ai consenti à l'ajouter dans ma liste quand Albertine m'a dit qu'il lui plaisait.)
Transcription :
Constantin : Vraiment ? Lesquels ?
Adelphe : Pour commencer, il se pourrait que parmi tous ces enfants, le premier à naître soit une fille. Tu aurais donc une héritière.
Constantin : Très juste. Il me suffira de la nommer Nebetaoui, "Dame des Deux Terres".
Adelphe : Constantin... Nous sommes des français du second millénaire après Jésus-Christ, pas des égyptiens du second millénaire avant Jésus-Christ. Le problème de ces prénoms n'est pas leur signification, qui prouvent ton investissement et ton envie de bien faire, mais ce sont bien les prénoms en eux mêmes. Ils ne sonnent pas bien chez nous. Donne moi donc le nom complet de ces enfants.
Constantin : Nebetaoui Le Bris... oh... je crois que je comprends.
Adelphe : Il va falloir faire des compromis Tintin.
Constantin : Je ne sais pas si j'en suis capable.
Adelphe : Alors laisse faire Albertine, elle sera certainement capable de trouver un point de jonction entre tes idées et les tiennes. Peut-être des variantes hellénistiques...
Constantin : Très bien, je comprends. Mais au-delà de ces questions au demeurant triviales, comment dois-je faire pour élever mes enfants ? Tu en as deux, et ils ont l'air relativement heureux, comment fais-tu ?
Adelphe : Et bien... il n'y a pas de façon miracle je présume, j'essaie simplement de faire au mieux.
Constantin : Je t'en supplie, fais un effort et explique moi ! Quand je te vois faire, tout semble si facile !
Adelphe : Très bien, mais cela ne va pas te plaire... Si j'observe mon expérience, je devrai résumer la paternité à une compromission permanente entre faire ce que tu juge être bon pour l'enfant et ce que veux l'enfant. Il ne faut jamais oublier que tu l'éduque pour lui-même, non pour toi.
Constantin : Mais comment sait-on ce que veux l'enfant ? Et pire, comment suis-je censé savoir ce qui est bon pour lui ? Tu vois bien que je suis parfaitement incompétent !
Adelphe : Et rappelle toi que tu n'es pas seul, Albertine est là aussi. Et si j'en juge par ce que tu me dis d'elle, elle a déjà à coeur ce qui est bon pour vos enfants.
Constantin : Oooh ! Tu fais référence à son opinion sur mes idées de prénom ! D'accord, cela ne me semble pas compliqué. Et comment savoir ce que veut l'enfant ?
Adelphe : Demande lui ! Enfin, apprends lui à parler d'abord, ce sera plus simple par la suite...
Constantin : Cela me semble simple en effet. Cependant, je ne crois pas que Père m'ait déjà demandé ce que je souhaitais.
Adelphe : Maximilien Le Bris était un homme compliqué. Très compétent en certains domaines, bien moins dans d'autres. Fais ce que je te conseille et tu seras un bon père Tintin.
Constantin : Merci Adelphe. Si tu savais comme tu me rassures... Qu'est-ce que je pourrai bien faire sans toi ?
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Constantin Le Bris#Jules Le Bris#Adelphe Barbois#Eugénie Le Bris#Albertine Maigret#Arsinoé Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Marc-Antoine Le Bris
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"C'est l'attitude des Juifs, plus ou moins ostensiblement barbouillés d'hellénisme, qui du 4ème siècle avant Jésus-Christ jusqu'à la conquête arabe du 7ème siècle après lui, formaient une proportion toujours plus influente de la population d'Alexandrie, ainsi que de toutes les capitales du monde hellénistique, puis romain. C'est l'attitude des Juifs de nos jours, -- celle, précisément, qui fait d'eux un peuple pas comme les autres, et un peuple dangereux: le «ferment de décomposition» des autres peuples."
Savitri Devi, Souvenirs et réflexions d'une Aryenne (1976)
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Ramsès
La passion des français pour l'ancienne Egypte, ses Pharaons, et sa civilisation, complexe à en être compliquée et souvent incompréhensible, est un phénomène étonnant. (NB : En admettant que d'autres nations partagent cet engouement, cela ne changerait rien à l'intensité de celui qui nous anime). Penser que Bonaparte, en plein chaos révolutionnaire, est parti aussi loin de ses ''sources normales'' d'intérêt, emmenant une escouade de savants est à peine croyable... Et ça a l'air de durer...
En 1797, lorsque le futur Empereur a pris cette décision étrange –aujourd'hui vue comme un fantastique coup de génie de cet homme qui en a pourtant eu tellement-- on ne connaissait l'Egypte des Pharaons qu’à travers les récits des historiens et voyageurs grecs de l’Antiquité. Sous la férule ottomane, ses monuments étaient à l’abandon, enfouis dans le sable... d'où ils allaient surgir soudain, par la vertu d’une expédition française, à la fois militaire et scientifique, où le nombre de ''savants'' était une grande première : 169 ‘’cerveaux’’ dont Monge, Saint-Hilaire ou Berthollet, tous placés sous l’autorité de Vivant Denon, dessinateur et graveur talentueux, dans un ‘’Institut d'Égypte’’ d'où allait naître une science nouvelle, l’Egyptologie.
En 1802, Vivant Denon publia 300 dessins et croquis dans un livre ''Voyage en basse et Haute-Égypte'' qui répandit aussitôt la passion de l'égyptologie dans les cercles cultivés et les ''Sociétés Savantes'' et valut à son auteur d'être nommé directeur général du Musée central des Arts (futur musée Napoléon, puis musée royal, aujourd'hui musée du Louvre). Les résultats complets parurent en 1809 sous le titre peu avenant de ''Description de l'Égypte ou Recueil des observations et des recherches qui ont été faites en Égypte pendant l'expédition de l'Armée française''.
Le 15 juillet 1799, le lieutenant français Bouchard découvrit à Rosette, dans le delta du Nil, une pierre en basalte noir d'un mètre de longueur, sur laquelle était gravé un décret de Ptolémée V, pharaon de l'époque hellénistique, rédigé en trois versions : en hiéroglyphes, (l'écriture sacrée des premiers pharaons), en démotique (une écriture égyptienne tardive datant du 1er millénaire av. J.-C.), et en grec ancien. (NB. Par ''époque hellénistique'', on désigne le temps qui va de la mort d'Alexandre le Grand à la défaite de Cléopâtre VII-Ptolémée à la bataille d'Actium, début de la domination romaine sur le monde grec, c’est-à-dire de –323 à -- 31, avant JC, ).
Une copie de cette pierre de Rosette arriva, en 1808, entre les mains de Jean-François Champollion qui entreprit de déchiffrer les hiéroglyphes, ces si jolis idéogrammes aux formes stylisées d'animaux, d'humains ou d'objets, conçus au IVe millénaire, et qui étaient alors une énigme absolue. C'est de cet enchaînement de hasards heureux que provient sans doute la ''passion égyptienne'' du peuple français (1,6 millions de visiteurs pour ''Tout-Hank-Amon'', en 2019, record jamais égalé... le précédent record étant détenu par... ''Tout-Hank-Amon 1967'', avec 1,24 million de visiteurs. Parions que Ramsès fera mieux, d’ici le 6 septembre...
Même si Howard Carter fut un british à 100%, il serait vain de nier le lien réel entre ''nous'' et ''eux''. (Petite incise sans intérêt, avant de revenir sur notre vieille amitié avec la momie de Ramsès II : nos bons maîtres savaient nous faire partager leurs enthousiasmes et les richesses programmatiques de MM. Mallet & Isaac, et je dois avouer une égyptomanie chronique qui me tient depuis la classe de 6 ème , et a mis ce pays juste derrière mon cher Maroc et la Grèce, qui est ma troisième patrie culturelle et… touristique (NDLR : Je vous parle d'un temps que les moins de ''tant'' d'ans ne peuvent pas connaître, avant les hordes qui piétinent sans les voir des beautés éternelles … dont ils ne garderont qu'un selfie raté où on aperçoit un bout de monument, mais caché par le chapeau criard de bobonne... Quel intérêt ?).
Si nous parlons aujourd'hui,de l'Egypte, c'est à cause, bien sûr, de l'arrivée à Paris, le 7 avril, de Ramsès II, ''en visite officielle''. Cet immense Roi trouve naturellement sa place ici, après notre réflexion récente sur les grands empires et leur fin : la civilisation égyptienne, impériale s'il en fut, a perduré plus de 3000 ans (''naissance'' vers l'an –3150, et fin officielle en l'an --30, quand Rome en fait une province de l'Imperium romanum). L'historiographie retient cinq siècles de prospérité (dits : le Nouvel Empire) et sept siècles de périodes plus troublées. La réalité est plus subtile et moins tranchée, ne serait-ce que parce qu’il s’agit de trois millénaires, durée unique dans l'Histoire ! Depuis leur origine –qui se confond avec les tout débuts de l’histoire écrite-- jusqu'à leur fin –résultat du triomphe du christianisme-- les grands principes de la culture égyptienne se sont maintenus, et le mode de vie au bord du Nil a très peu évolué, toujours rythmé par les crues, les dieux et les impôts (déjà !).
Pour Hérodote, ''l'Égypte est un don du Nil'', ce qui est exact, même si l'Egypte pharaonique se limitait à une mince bande de ''terre noire'' le long du Fleuve Sacré : quelque 30 000 km² (= 3 départements français) portant entre 0,5 et 4 millions d'habitants. Le régime des crues ''lissait'' les aléas météorologiques, même si les poteries les plus anciennes montrent un climat bien moins aride qu'aujourd'hui, comparable aux actuelles savanes kényanes, ce dont on pourrait déduire, en étant aussi cons que nos climato-dingos, que les cultures le long u Nil et les transports à dos d'âne ont produit de sacrés amas de leurs ‘’ gaz à effet de désert’’’ ! Passons...
Mais au moment où tant de français vont s'extasier sur les merveilles artistiques, sur les réalisations et sur les faits d'armes d'un Roi (de son vrai nom Ousirmaâtrê Setepenrê, Ramessou Meryamon, ce qui veut dire, m'assure-t-on, ''Puissant par l'harmonie de Rê, par Rê, issu de Rê, aimé d'Amon'', ce qui est un joli nom, facile à porter et pratique pour parapher des textes. Je pense que E. Macron devrait s'en inspirer : son règne laisserait peut être un souvenir moins négatif, devant l'Histoire !), il est bon de rappeler que, ayant régné pendant 66 ans, il se trouve à la 12 ou 15 ème place seulement parmi les Rois ayant eu les règnes les plus longs...assez loin derrière ''notre'' Louis XIV (72 ans), et le recordman Bernard VII de Lippe (1428-1511) et ses 81 années de règne sur un royaume confidentiel, en des époques où l'espérance de vie tangentait les 25 ans. En conclusion, je pense que personne ne va aller chercher les détails énoncés dans cet ''édito'' : ils sont tout-à-fait inutiles !
Un dernier point : on rappelle que le calcul de l'espérance de vie à la naissance est gratuitement fourni en appliquant –tout simplement-- cette formule, bien connue : L(x) = l(x+1)*1 + d(x)*0.5, --ce qui est, simplement aussi, la somme de ’’ i ‘’ à l'infini des L(i), et e(x) = T(x) / l(x).. (NDLR : on peut se demander si Elisabeth II –70 ans de règne), ou K'inkch Janaal Pakel 1er, le très célèbre roi de Palenque, au Mexique (68 ans) –par exemple-- auraient pris le risque d'un règne aussi long s'ils avaient connu cette formule. Mais ceci appartient à une autre lecture de notre Histoire...)
H-Cl.
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La longue mémoire, numéro 3 : La civilisation grec de François Chamoux :
Un classique, servi par une connaissance à la fois savante et intime du monde grec. A lire dans la même collection : La civilisation hellénistique (du même auteur, 1993), La civilisation de l’Occident médiéval (Jacques Le Goff, 1977, rééd. poche 2008), La civilisation de la Renaissance (Jean Delumeau, 1993), La civilisation de l’Europe classique et La civilisation des Lumières (Pierre Chaunu, 1993).
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Découverte de la tête ptolémaïque à Taposiris Magna à Alexandrie
La mission archéologique française, dirigée par le Dr Joachim Le Bomin de l'Université de Lyon et de l'Institut français d'archéologie orientale du Caire, a fait une découverte incroyable à Taposiris Magna, à environ 45 km à l'ouest d'Alexandrie. Ils ont découvert une tête de statue en marbre d'un homme âgé, qui daterait de la période ptolémaïque. Ce site, riche en histoire, est un incontournable pour quiconque explore Circuits en Égypte et offre des aperçus uniques sur l'importance ancienne de la région.
Le ministre égyptien du Tourisme et des Antiquités, M. Sherif Fathy, a annoncé la découverte. Le Dr Mohamed Ismail Khaled, Secrétaire général du Conseil suprême des antiquités, a révélé que la tête mesure 38 cm de hauteur, ce qui la rend plus grande qu'une tête humaine naturelle. Cela suggère qu'il faisait partie d'une statue monumentale située dans une structure publique importante, peut-être un temple, ajoutant une couche enrichissante à Circuits classiques en Egypte, qui se concentre sur l'histoire ancienne.
Le professeur Mohamed Abdel-Badie, responsable du secteur des antiquités égyptiennes, a expliqué que la tête présente un artisanat exceptionnel, reflétant le style artistique réaliste qui a prospéré pendant la période hellénistique tardive. Les traits détaillés dépeignent un homme âgé, chauve, avec des rides, une expression sévère et des signes de maladie. Cette découverte renforce l'attrait des Excursions d'une journée en Égypte, en particulier pour ceux qui s'intéressent à l'archéologie.
Les études indiquent que l'individu représenté était une figure publique éminente, plutôt que de la royauté, soulignant l'importance de Taposiris Magna en tant que site politique et religieux clé sous le règne de Ptolémée IV. Cette importance en fait un ajout essentiel à tout forfait de visites en Égypte.
Le Dr Joachim Le Bomin a déclaré que la mission enquête activement sur la raison pour laquelle la tête de statue a été trouvée dans une maison construite environ 700 ans après la création de la tête. Les efforts en cours incluent l'étude de l'artefact pour identifier son propriétaire et effectuer les restaurations nécessaires. Les visiteurs des Egypt Day Tours from Cairo peuvent admirer l'histoire stratifiée du site et profiter de son mélange intrigant d'influences grecques, romaines et byzantines.
Le site de Taposiris Magna est l'un des arrêts les plus importants des Circuits de Pâques en Egypte, surtout en raison de son importance religieuse dans le monde ancien. Le site comprend le grand Temple d'Osiris, qui a donné son nom à la ville, dérivé du terme égyptien ancien "Per Wsir," signifiant "Maison d'Osiris." La région abrite également le phare d'Abu Sir, qui ressemble à l'ancien phare d'Alexandrie, ainsi que les structures environnantes comme l'église byzantine, les zones résidentielles et les marchés commerciaux près du lac Mariout.
La mission française fouille Taposiris Magna depuis 1998, en se concentrant sur des zones telles que le bain ptolémaïque, un bain public unique et bien préservé qui est un arrêt fascinant sur Excursions à terre en Égypte. Ils restaurent également les Tombeaux de Platine et explorent les zones sud du site, qui comprennent un port commercial et des marchés byzantins, offrant aux voyageurs une chance de découvrir les mystères de cet endroit extraordinaire.
Pour ceux qui recherchent une expérience authentique de l'Égypte ancienne, Taposiris Magna est une destination incontournable. Il complète parfaitement une variété de circuits en Égypte, des explorations historiques aux forfaits sur mesure qui donnent vie à l'incroyable passé du pays.
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Marseille, début janvier, avec la visite de Philippe. Ici l'Abbaye de Saint-Victor.
Nous voici dans les cryptes. Pour mieux comprendre, il y avait d'abord les carrières d'époque hellénistique de Massalia, puis une nécropole paléochrétienne, devenue église. Puis cette église a été enterrée par une église romane, d'où les cryptes.
Ici, dans l'ordre : 1-2-3-1-2-3-1-2 :
Sarcophage des Saints Chrysanthe et Darie (IVe s.). Sur un des arbres s'enroule un serpent ; sur un autre, rampe un escargot.
Sarcophage "des compagnes de Sainte Ursule", avec 2 cerfs buvant à une fontaine surmontée de l'Agneau pascal......
Sarcophage de Sainte Eusebia (VIe s.)
#marseille#saint-victor#abbaye saint-victor#hellénistique#galloromain#art roman#paléochrétien#massilia#massalia#crypte#chapelle#sarcophage#saint chrysanthe#serpent#saint darie#sainte eusebia#escargot#sainte ursule#cerf#agneau pascal
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L’astrologie syncrétique propose une vision globale et unifiée, intégrant des formes d’origines diverses (traditionnelle, chinoise, indienne, occidentale, égyptienne, hellénistique, et maya) mais aussi des techniques plus récentes (thème draconique, thèmes harmoniques, astrologie uranienne), voire complètement nouvelles (fragments régressifs). Elle est fondée sur l’idée que la lumière des étoiles mettant un certain temps à nous atteindre (distance en années-lumière), elles sont non seulement les messagères de l’outremonde mais aussi les vestiges d’un passé karmique personnel ou de la lignée du natif, activant les mythes des constellations qui influencent l’individu par leurs archétypes.Ce système fusionne le zodiaque tropical (cercle intérieur) avec des cercles extérieurs sidéraux de nakshatras indiennes et de xiùs chinoises, tout en intégrant une astrologie galactique orientée vers l’espace profond et les objets mystérieux tels l’Attracteur Shapley ou encore les superamas de galaxies. Elle permet aussi d’étudier les stages d’entre-deux vies grâce au zodiaque sidéral à treize constellations inégales.Cette astrologie dont le fondement est la géométrie sacrée dans la nature et le cosmos et qui est avant tout un outil de réflexion sur notre identité, souhaite que l’étudiant de niveau intermédiaire soit doté d’une boîte à outils complète et qu’il sache quand recourir aux techniques qu’elle contient.
#astrologie#astrologie syncrétique#astrologie karmique#astrologie holistique#astrologie humaniste#astrologie traditionnelle
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Les royautés hellénistiques [2/3], avec Gerbert-Sylvestre Bouyssou et Pierre-Olivier Hochard
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Égypte Ptolémaïque
L'Égypte ptolémaïque exista entre 323 et 30 avant notre ère, lorsque l'Égypte était gouvernée par la dynastie des Lagides (alias dynastie ptolémaïque ou des Ptolémées). Au cours de la période ptolémaïque, la société égyptienne se transforma car les immigrants grecs introduisirent une nouvelle langue, un nouveau panthéon religieux et un nouveau mode de vie en Égypte. Alexandrie, la capitale des Ptolémées, devint la première ville du monde hellénistique, connue pour sa Grande Bibliothèque et le phare de Pharos.
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POUTINE C'EST LE MONDE PERDU
Richard Malka
Avocat
Et la liberté d'expression
Par rapport à Cnews/RSF
Interdire revient toujours
En boomerang
Mieux vaut donc démasquer
Et laisser agir des virus de beauté
Le nazisme dans son essence
A ainsi été éradiqué
Richard Malka
Juif Séfarade
Donc historiquement
Accueilli par l'empire Ottoman
Puis par l'empire français
Retour à la case départ
Empire romain catholique
Mai désormais il respire
Esprit hellénistique
Commerce de gauche dans la Méditerranée
Mardi 12 mars 2024
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Visitez Hegra, Arabie Saoudite : découverte de l'ancienne ville nabatéenne
Nichée dans les vastes déserts d’Arabie Saoudite se trouve une ville ancienne que le temps a presque oubliée. Hegra, également connue sous le nom d'Al-Hijr ou Madā'in Ṣāliḥ, est un site archéologique à couper le souffle qui offre un aperçu de la riche histoire et de la culture du royaume nabatéen. Autrefois ville prospère le long des routes commerciales de l'encens, elle témoigne aujourd'hui du génie architectural et des prouesses artistiques de ses anciens habitants. Cet article vous invite à un voyage à la découverte des merveilles d'Hegra, un joyau caché dans le paysage majestueux de l'Arabie Saoudite.
Un aperçu historique Hegra a été fondée au 1er siècle avant notre ère et est devenue la colonie la plus méridionale du royaume nabatéen, dont la capitale était Petra, dans l'actuelle Jordanie. Les Nabatéens étaient connus pour leur capacité à contrôler l’approvisionnement en eau dans le désert aride, leur permettant ainsi de prospérer dans cet environnement hostile. Hégra était stratégiquement située sur la route de l'encens, servant de plaque tournante pour les caravanes commerciales voyageant entre la péninsule arabique, le Levant et au-delà. Cette prospérité s'est poursuivie jusqu'au IIe siècle de notre ère, lorsque l'Empire romain a annexé le royaume nabatéen, entraînant le déclin progressif d'Hégra.
Merveilles architecturales et tombeaux Les caractéristiques les plus frappantes d'Hegra sont ses tombeaux monumentaux, creusés directement dans les parois rocheuses de grès qui entourent le site. Il y a plus de tombeaux, chacun avec des façades uniques qui présentent un mélange de styles artistiques hellénistiques et nabatéens. Le plus grand et le plus célèbre d'entre eux est le tombeau de Lihyan, fils de Kuza, connu sous le nom de Qasr al-Farid, qui se traduit par « le château solitaire ». Malgré son nom, il ne s'agit pas d'un château mais d'un tombeau inachevé, solitaire dans le désert, captivant les visiteurs par sa beauté majestueuse et ses détails complexes.
Explorer Hegra aujourd’hui Les visiteurs peuvent désormais explorer ce site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, se promener dans les rues anciennes, s'émerveiller devant les tombeaux et découvrir le mode de vie des Nabatéens grâce à des visites guidées et des expositions interactives. L'expérience est encore renforcée par le magnifique paysage désertique qui entoure Hegra, offrant des vues à couper le souffle et un sentiment de tranquillité difficile à trouver ailleurs.
L'importance culturelle Hegra n'est pas seulement un trésor archéologique mais aussi un monument culturel qui offre un aperçu de la civilisation nabatéenne. Les inscriptions trouvées sur de nombreuses tombes fournissent des informations précieuses sur les habitants, leurs structures sociales et leurs pratiques religieuses. Ces inscriptions sont écrites en écriture nabatéenne, qui a contribué au développement de l’écriture arabe. Le site souligne également l’importance du commerce dans les temps anciens et l’interconnexion des civilisations à travers les continents.
Préserver l'héritage d'Hegra La préservation d’Hegra est d’une importance primordiale, tant pour la recherche historique que pour le patrimoine culturel. Le gouvernement saoudien, en collaboration avec des organisations internationales, a entrepris d'importants efforts pour protéger et conserver le site. Cela comprend la réglementation de l'accès, la conduite de recherches scientifiques et la mise en œuvre de pratiques de tourisme durable pour garantir que Hegra puisse être apprécié par les générations futures.
Planifier votre visite Visiter Hegra est une expérience inoubliable qui nécessite une certaine planification. La ville la plus proche est Al-Ula, qui sert de porte d'entrée au site. Les visiteurs peuvent atterrir à l'aéroport national Prince Abdul Majeed bin Abdulaziz d'Al-Ula ou conduire depuis les grandes villes comme Riyad ou Djeddah. Il est conseillé de réserver des visites auprès d'opérateurs agréés pour obtenir un aperçu complet de l'histoire et de l'importance d'Hegra. La meilleure période pour visiter se situe entre octobre et avril, lorsque la météo est plus favorable à l’exploration du désert.
Pour plus d'informations:-
visiter hegra arabie saoudite
terre d'aventure arabie saoudite
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"À l'époque chrétienne, les manifestations sportives du monde hellénistique ont progressivement disparu parce que le christianisme offrait un tout autre modèle de culture et d'unité humaine. Tout y est sérieux et l'autorité ultime est l'Église universelle elle-même, dans laquelle les peuples et les nations sont unis. C'est elle qui porte la paix et la plus grande distance possible, celle qui sépare la terre du ciel, l'homme de Dieu. Face à la mission universelle du Sauveur, les différences entre les peuples (« Juifs et Hellènes ») passaient à l'arrière-plan. Le sport (tout comme le théâtre) a donc probablement perdu de son importance."
Alexandre Douguine, Geopolitika.ru (2024)
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"Aphrodite Accroupie" de la Grèce Hellénistique ou Rome en cristal de roche (Ier-IVe siècles) présentée à l'exposition “Voyage dans le Cristal” au Musée de Cluny, décembre 2023.
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