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#haine anti-chrétienne
aurevoirmonty · 10 months
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"Si la mythologie chrétienne attribue la Chute de l'Homme et la Rébellion des Anges à la liberté de la volonté, alors cela revient à peu près à la même signification. Cela concerne l'effrayant potentiel qui demeure en l'homme, d'utiliser la liberté pour détruire spirituellement et pour bannir tout ce qui pourrait lui assurer une valeur supra-naturelle. C'est une décision métaphysique: le fleuve qui traverse l'histoire sous les formes les plus variées de la haine anti-Tradition, de l'esprit révolutionnaire, individualiste, et humaniste, ou pour résumer, l'esprit «moderne». Cette décision est la seule cause positive et décisive dans le secret de la dégénérescence, la destruction de la Tradition."
Julius Evola, Deutsches Volkstum, Nr. 11 (1938)
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basilepesso · 6 years
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"Située le long des quais de Bordeaux, près de la gare Saint-Jean, l’église Sainte-Croix est régulièrement victime de dégradations, dans ce quartier à forte composante immigrée.
Mais ce mercredi 7 novembre, c’est un véritable acte de vandalisme qui a touché ce lieu de culte construit à la fin du XIème siècle. (…) Très peu de responsables politiques ont réagi à cette profanation. (…) Le silence est assourdissant du côté de la mairie de Bordeaux, des autorités publiques, et des associations dites « anti-racistes ». Un silence dénoncé par de nombreux internautes qui dénoncent un deux poids deux mesures. Un tel acte envers une synagogue ou une mosquée aurait en effet provoqué un tourbillon médiatique !" (Aussi sur mon Fb, 11/11/18) Article d’Info Bordeaux : “Bordeaux : L’église Sainte-Croix touchée par des actes de vandalisme”
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claudehenrion · 2 years
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''Ils n'auront pas ma haine...''
 L’autre jour, devant la Cour d'assises spéciale sur la tuerie du Bataclan, Jesse Hughes, le chanteur du groupe de rock ''Eagles of Death Metal'', a déclaré : ''Je leur pardonne''. Il ne m'en voudra pas si je choisis de ne pas croire qu’il pense ce qu’il raconte.  Car s'il le pense, c'est soit un saint, soit un idiot, soit un maso, soit... les deux derniers (j'exclus le premier, je ne sais pas pourquoi !) : à force de vaccins à la vraie ''défaitine'' et à la fausse ''moraline'', nos ''maîtres à penser de traviole'' ont réussi à acculer de braves gens à douter même de leur désespoir, d'où ce faux ''Ils n'auront pas ma haine'', soi-disant dans le ton. Mais on fait dire aux gens qu'ils excusent même l’inexpiable, par système, et pour avoir l'air ‘’intelligent’’ (sic !)...
Bien entendu, personne n'est dupe : les victimes ne disent pas ce qu'ils/elles pensent, car quoi de pire que de perdre son enfant, assassiné ? Qu'il soit possible de leur faire éructer un tel blasphème démontre le degré d'abjection où est tombé notre société, où seuls ont pignon sur rue de faux sentiments frelatés, de mauvais critères de jugement et des idées qui ne peuvent ''tenir la route'' ! Mais en réalité, personne n'est dupe, mais tout le monde se croit obligé de réciter ces conneries contre nature ! (NDLR : je tiens à préciser haut et fort que, le cas échéant --ce qu'à Dieu ne plaise !--, ''ils auront ma haine, toute ma haine, rien que ma haine'', je suis fier de l'annoncer, contre l'avis de ceux que Flaubert appelait ''les pisse-froid''. 
Evidemment, je mets dans la même benne à ordures tous les faux bons sentiments qui nous sont ''emboqués'' en torrents de mensonges répétés ad nauseam : leur liste est si longue, si insupportable et si débordante de laideurs concentrées que je vais me contenter de citer quelques déjections, libre à chacun d'ajouter ses propres souvenirs... En gros, il suffit de puiser dans n'importe lequel des programmes se prétendant ''de Gauche'' pour trouver cette bêtise habillée de grands mots qui ramène à rien toute valeur et  tout bon sens dont ils ont volontairement égaré le mode d'emploi. Les soi-disant idées dont se gargarise la Gauche actuelle sont, en gros, une décharge publique de ''comment ?''... dont on a perdu le ''pourquoi ?''.
Au moment où notre ex-belle France devenue ''proie à saisir'' court un risque certain de basculer définitivement dans l'absurde, le non-sens intégral et une folie perverse (NDLR- on rappelle que ''pervers'' vient du latin ''pervertor = retourner contre soi-même''. C'est exactement ''ça'' ! ''Le monde actuel, disait GK. Chesterton, est rempli d'anciennes vertus chrétiennes devenues folles'' !), les idéologues, les suppôts  et les promoteurs de notre décadence --même sans majorité absolue au Parlement-- pèsent lourd sur toutes les décisions. Et comptez sur la couardise et le gaucho-conformisme inhérents au macronisme pour ne pas opposer la moindre résistance aux appels du Mal absolu : plus une idée est absurde, mauvaise pour la France, insupportable pour les français... et plus les quelques % du corps électoral qu'ils représentent seront brandis comme reflétant ''la volonté du peuple français'' dont ils sont donc à peine épsilon  %, dans le meilleur des cas (pour eux. Le pire, pour les ''hommes de bonne volonté''). Mais l'honneur n'a jamais étouffé un gaucho, comme nous le vérifions chaque jour. Ne mériteraient-ils pas un peu de haine, aussi ? 
 Pour ceux qui, comme le Philippulus de ‘’Tintin’’, cherchent encore leur voie et doutent des anti-vertus perverses du macronisme (il en reste. De moins en moins, mais encore beaucoup trop !), je mets dans le plateau de cette horrible balance un amendement à la loi prétendue Bioéthique, voté en catimini entre le 31 juillet et le 1er août 2021, qui rend possible les avortements d’enfants pendant le 9 ème mois de grossesse. Cet infanticide requalifié (imaginez la scie qui découpe, encore vivant, un bébé prêt à naître !) a honteusement été ''défendu''  par les assassins administratifs et des ''fact-checkers'', en invoquant un jeu de lettres entre ''IVG'' et ''IMG'' ! Mais qu'importe le flacon et le type d'ivresse, pourvu qu'on détruise le monde... En fin de compte (je repose ma question) : tellement nuire ne mériterait-il pas, aussi, une part de haine ? Et ne serait-ce pas pour l'éviter qu'ils essaient de pourrir le corps social en y répandant des pensées mortifères et mortigènes ?
H-Cl.
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lounesdarbois · 4 years
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Le racisme blanc dans les très rares cas où il est avéré est un racisme défensif. Il se défend d'un racisme offensif, du sémitisme d'abord, mais aussi de tous les dominions et supplétifs du sémitisme, sicaires casernés comme jadis leurs maîtres dans le Ghetto. S'installer aux frais de l'habitant, squatter, profiter, abuser, toujours au nom d’un “dieu de la vengeance”, d'un "juste retour des choses", posture doublement criminelle puisque mensongère, tactique du bluffeur en face du naïf. L'accusation de suprémacisme blanc cache le suprématisme anti-Blanc de toutes les races fanatisés par les sorts de la synagogue: faux récits historiques, pornographie, activisme anti-Blanc, etc. 
En des temps de raisonnement ultra-critiques découpeurs de cheveux en quatre, en des temps de culte voué aux seules certitudes rationnelles voici que les plus grossiers aberrants bluffs de poker-menteur passaient comme une lettre à la poste: "vous nous avez colonisés", "vous nous devez", "vous nous opprimez"... Ces masque de sorciers colons baffreurs sur le sol français passaient d'autant plus mal qu'ils crevaient les yeux, et que l'aveuglement des honnêtes gens devant l’escroquerie ne pouvait que renvoyer au Deutéronome chapitre 28 verset 28.
 Il y avait l'obscénité de lois pour des mémoires imaginaires pendant qu'agonisaient des Blancs qui criaient vers le ciel l'injustice absolue, la monstruosité d'une extermination véritable, très observable, très mesurable, très quantifiable, dont une seule journée de faits divers suffit à détailler le mode opératoire. Le seul racisme qui tue est le racisme anti-Blanc. Les Blancs sont la seule race qui diminue en nombre. Les Blancs sont la seule race à qui est déniée la qualité de race. L'antiracisme est le mode d'expression du racisme anti-Blanc. Et en définitive, le mot "racisme" lui-même, terme inconnu du Littré père de tous les francophones, n'est-il pas une pure escroquerie? La formation tardive de ces concepts spécieux pour professeurs d'université ne s'explique-t-elle pas par le besoin de ces derniers de se fabriquer un capital fictif pour vivre sur sur des rentes réelles? Le besoin d'embrouiller les choses, de recourir à Jacob "le boîteux" pour justifier des raisonnements tortueux, pour inhiber les traçeurs de lignes droites par la célébration forcenée de Bergson, de Sartre et d'Althuser en spéculant sur la crainte des foules pour tout ce qu'elle ne comprend pas, cette morgue faisandée du "penseur profond des potentialités complexes", toutefois penseur salarié d'Etat, qui disserte sur les stoïciens au lieu de vivre le stoïcisme, tout cela ne devrait-il pas alerter un fruste et sage bon sens? Lacan lui-même n'avouait-il pas à mots couverts dans son galimatias qu'il était effectivement un charlatan, qu'il dominait les foules crédules et qu'il les méprisait? 
Mettons donc qu'il n'y ait pas de racisme anti-Blanc. Il reste alors que les Blancs sont colonisés par d'anciens hôtes accueillis avec hospitalité, devenus au fil des années et des guerres des colons, que ces colons ont fait immigrer d'autres colons par millions chez des Blancs maintenus dans la peur et la division par leviers juridiques et fiscaux qui ont fait de nos sociétés de véritables enfers où désormais même les plus petites modalités de la "vie normale" sont devenues quasi-impossibles: travailler, épargner, se marier, élever une famille, acquérir un logement... tous ces droits minimums d’un homme élevé sur la terre de ses pères, voici qu'ils devenaient une sorte de récompense atteignable par à peine 1 Français sur 10 et après quelles conjonctions fabuleuses de chances! Mais les 9 sur 10 restants, très loin de penser à la révolte, trouvaient ces conditions parfaitement bienséantes: quelques petits malins leur avaient fait entrer dans la tête qu’il n’est pas beau de réclamer des droits, qu’ils avaient joué et perdu, qu’ils auraient peut-être plus de chance la prochaine fois, enfin n’importe quoi pour inhiber la révolte. A la vérité, chaque Français élevé dans le "tous contre tous" rumine très tôt l'amertume et le ressentiment envers d'aussi dures conditions et quelque part s'il en souffre pour lui-même il jubile un peu que son semblable doive en souffrir autant, et c'est cela qui nous tue, c'est cette concurrence absurde entre camarades de combat. Une fois la haine insinuée entre deux frères, la distance qui les éloigne va bientôt appeler dans l'espace vacant un travailleur étranger et alors commencera la société du Blanc colonisé. C'est peut-être pourquoi quelqu'un a dit un jour que la charité qu'il prescrivait à ses disciples n'était pas une décoration mais un commandement et une obligation s'ils voulaient vivre.
La religion chrétienne est la seule dont le nombre d'adepte diminue. Paradoxe: le martyr preuve de l'élection selon la hiérarchie chrétienne, est l'inscription en creux de la persécution, injonction et preuve si elle réussit, de l'élection des non-chrétiens, selon leurs hiérarchies respectives.
Tout au bout de ce cauchemar on se rendra compte que le mot "racisme", absent du Littré, n'existe pas, et que l'on se sera battu comme jadis au temps des idéologies, pour quelque chose qui n'existe pas. A force d'asséner ce mot, de l'invoquer, de lui souffler dessus depuis des camps opposés (prétendus racistes contre prétendus antiracistes) il avait pris apparence de vie mais on omettait l'essentiel: qu'il ne recouvrait rien, que son acception changeante à chaque décennie, et à effet rétroactif sur la décennie précédente, cachait sa nature d'origine diabolique car cette manière de traverser l'histoire par des sas refermés derrière soi et de prendre un nouveau masque était le propre du diable (et l'un des principes de la maçonnerie sous le masque du devenir perpétuel). 
L'avertissement de Dostoïevski tient dès lors de la prophétie pure: "On écrira encore beaucoup de livres, et on omettra l'essentiel : l'Occident a perdu le Christ, et c'est pourquoi il décline, uniquement à cause de cela". 
Regardons encore une fois les événements des derniers mois à la lumière du Deutéronome 28:28 et versets suivants, tout est là, du plus frivole au plus sérieux. Depuis l'invasion des perruches africaines en forêt de Sceaux, au +400% de consommation de cannabis entre 1996 et 2010, à la "hagra sur les babtous", au dossier ricanant du Monde sur "le sentiment de déclin des Blancs", au plug de la place Vendôme, aux fêtes du 14 Juillet de Macron, à l'incendie criminel de Notre-Dame, aux appels au meurtre d'un rap de sicaires fanatisés etc... L'euthanasie, l'avortement et la stérilité... Tout cela a un sens que si peu comprennent à l'heure de l'effondrement du sens. Même l'effondrement du sens a un sens disait Soral. Pensons que Soljenitsyne lui-même après tant de lecture, et de temps pour les méditer au goulag, malgré toute son érudition et sa capacité de raisonnement savant s'avouait forcé de reconnaître que « Si l'on me demandait de dire clairement quelle est la plus grande menace de tout le vingtième siècle, là encore, je ne trouverais rien d'autre à dire que : l'homme a oublié Dieu ».  
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gauchedecombat · 6 years
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  Ne manquant jamais de suivre quand je le peux l’évolution des affaires  de pédophilie (l’un des crimes les plus monstrueux à mes yeux)  dans l’Eglise, surtout française, j ‘ai été comme beaucoup je pense satisfait de l’annonce de la condamnation du cardinal Barbarin,  dont beaucoup de victimes et d’associations, comme “la Parole Libérée“, dénonçaient depuis longtemps le coupable silence…
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Cette fois, enfin, la justice reconnait la lourde responsabilité du prélat, pourtant incontestable, mais couvert par tant et trop de catholiques, dont des responsables de premier plan, ce qui a fortement contribué à l’impunité si étrangement et trop longuement durable de ce crime  :
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Il semblerait que le (si peu) saint homme aille remettre sa démission à celui que l’on nomme le saint père dans cette fable là. L’acceptera-t-il, comme on sait qu’il l’a si honteusement refusée auparavant ? Qu’importe. En fait, je m’en fous, même s’il m’apparait plutôt souhaitable pour les cathos qu’il le fasse effectivement, et lui propose une place qui l’empêche de continuer à se taire sur des crimes si évidents…. perpétuant ainsi leur faute (je reprends leur terminologie) collective.
Mais ce qui m’amène à m’exprimer ici, en restant fidèle à la vocation et à la ligne éditoriale de ce blog, c’est qu’il se trouve que, malgré l’évidence, et tout ce que l’on sait de cette histoire, j’ai surpris sur twitter un individu médiatique de premier plan (qui n’est pas un inconnu vu son pedigree), soutenir publiquement le prélat coupable :
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C’est vraiment touchant, cette foi et cette charité chrétienne chevillée au corps, Yves Marie Denis André Audren de Kerdrel. Comme on aimerait qu’elle s’illustre davantage à propos de valeurs un peu plus nobles que le silence de l’Eglise sur les crimes commis sur des enfants et des adolescents… Et comme on respecterait davantage cette religion si elle s’ incarnait un tantinet davantage chez vous par l’amour de son prochain, ce qui ne m’est pas apparu très clairement dans un certain hebdomadaire que vous avez dirigé..
Un hebdomadaire plusieurs fois condamné pour provocation à la haine raciale et religieuse… comme pour seul exemple ici :
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… et un torchon raciste qui a profondément choqué l’antifasciste que je me revendique d’être par la couverture médiatique qu’il a pu avoir du procès Méric. Une honte absolue.  Mais cela ne nous étonnera pas quand cela vient de quelqu’un qui nous a tant habitués à une ligne de conduite, sinon éditoriale, marquée par un positionnement si extrêmement droitier, qu’on trouve décidément un peu trop souvent chez les catholiques… Mais… Pas d’amalgame, n’est-ce pas ? 😉
  On informera simplement nos lecteurs.trices sur le fait que la fiche wiki de Valeurs Actuelles, dont il a été jusqu’en 2018 directeur de publication, nous dit que “L’hebdomadaire aux valeurs nauséabondes” (titre de l’Huma)  “suit une ligne éditoriale libérale-conservatrice, qui se radicalise en 2012 avec l’arrivée d’Yves de Kerdrel” (source) Je confirme. Rarement vu un titre de presse si souvent condamné pour ces unes racistes et xénophobes… hormis Minute, peut-être (qui n’existe plus, ou si peu…) ?
Je découvre qu’il  (de Kerdrel) officie également sur Sud radio. (Et dire que moi, je galère pour trouver un job digne, qui me permette de vivre simplement décemment…).  Mais comme je ne suis pas étonné : le même fond de commerce les lie : celui de la haine raciste. Une industrie florissante, aujourd’hui… Ils propagent le même registre de fake news, de propos anti-migrants et xénophobes, et de complotisme, le même anti-gauchisme primaire, avec aussi peu de préoccupations déontologiques. Jusqu’à mettre en danger, pour Valeurs Actuelles,   la vie même d’au moins un informateur dans une affaire de terrorisme, à la manière d’un Jean Poney...  Rien ne les arrête pour satisfaire leur idéologie raciste. Et les intérêts sonnants et trébuchants de leur petite entreprise aux murs repeints en brun.
Et dire que ces gens là se sont prévalu, sur un autre registre, des intérêts supérieurs de l’enfant… Que la honte les étouffe, au jour de leur jugement dernier auquel je ne crois pas, étant fort heureusement athée, quant à moi, ce que je n’ai pas toujours été… Je sais de quoi je parle, pour avoir été confronté aussi dans ma jeunesse à cet univers catholique de l’intérieur… Et je sais fort bien ce qui caractérise en général ce milieu là (il y a des exceptions, bien sûr… Gardons nous du danger de l’essentialisation propre au racisme) : le non-dit et l’hypocrisie. Christianophobie (encore un mot inventé par l’extrême-droite, un marqueur…) chez moi ? NON. Pas plus que d’islamophobie ou d’antisémitisme. Bien qu’athée, je tolère toutes les religions bien qu’elles soient à mes yeux de simples légendes dont les effets m’apparaissent si éminemment toxiques dans les actes…  et si peu respectueuses pour la plupart des droits des femmes, notamment, comme l’est indéniablement l’église catholique. Qui persiste à renier aux femmes le droit de disposer de leur corps alors que sa hiérarchie est exclusivement composée d’hommes… Cherchez l’erreur. Qui, comme les autres religions d’ailleurs,  fait de la sexualité au mieux un tabou, au pire, un terrain de chasse à courre et sa seule propriété sur lequel elle a droit de critique et de cuissage absolu… Comme l’histoire est si clairement et cruellement en train de le démontrer en ce moment… Mais chacun.e croit bien ce qu’il veut. Par contre, la liberté des un.es s’arrêtant où commencent les droits des autres, ce que je ne tolère pas, par contre, c’est la pédophilie, le sexisme, la domination masculine, le racisme, les LGBTQ phobies (belle hypocrisie, quand on sait ce que l’on sait..), la xénophobie, l’islamophobie (si présente dans les tenants de cette religion, comme autrefois l’antisémitisme, d’ailleurs… Normal : une religion concurrentielle, que voulez-vous…), le mépris et/ou la condescendance envers les pauvres, l’anti-gauchisme (très) primaire… etc etc etc. Tout ce que je combats ici, quoi. Qu’il soit présent là ou ailleurs. N’en déplaise à Monsieur de Kerdrel et à ses semblables.
  Rubrique “c’est à vomir” : Où @ydekerdrel de @Valeurs et @SudRadio soutient #Barbarin (dans l’intérêt supérieur de l’enfant ?) #pedophilie Ne manquant jamais de suivre quand je le peux l'évolution des affaires  de pédophilie (l'un des crimes les plus monstrueux à mes yeux)  dans… 973 more words
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yes-bernie-stuff · 5 years
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Le ministère de l’Intérieur a recensé en 2019 pas moins de 1 054 actes anti-chrétiens, faisant de notre religion celle qui est la plus attaquée de notre pays.
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 jésus     volume   22             relu février 2020
        2000 ans perdus, 2000 ans d’oubli de la réincarnation de par l’expansion du christianisme fou  
         jésus ?    /    jésus,   2000 ans perdus, 2000 ans d’oubli de la réincarnation de par l’expansion du judéo-christianisme fou
le vrai jésus, celui que peut-être tu adores…, sais-tu vraiment qui tu adores ?  (si tu le sais : tant mieux pour toi, car, personne d’autre ne le sait…)
  alors voici  une série de réflexions
née à la suite de la lecture de    « le dictionnaire amoureux de jésus  » écrit par un fou de la secte dite judéo-chrétienne (dite judéo-chrétienne, tu dois toujours parler des judéo-chrétiens comme cela, car il n’y a pas de christ, il n’y a pas de messie, authentifiés par les instances judaïques, or ces concepts sont nés dans la tradition judaïque, et les dits judéo-chrétiens se considèrent comme de cette tradition), et qu’il m’a, par « imposition », aussitôt, fallu voir comme soudainement :  « le livre en trop »,    l’exemple de  livre, prévenons les dits judéo-chrétiens !, à ne plus lire (& non lu complétement par moi, à ce jour), à ne plus écrire en 2017 sauf à démolir l’ensemble de ce qu’il promeut (tant de galéjades) encore et encore…  /
cette petite mais attentive recherche en tenant compte (enfin) notamment du point de vue (lequel aura été explosif pour tant de gens encore dans une critique constructive un peu trop lâche, par rapport au dit judéo-christianisme, un doute qui profitait aux menteurs), du point de vue de michel onfray, et bien sûr, après l’étude des révélations des chercheurs enfin réunis, confrontés  par les inattendus  documentaristes prieur et mordillat  (« corpus christi » et ses suites), une confrontation transparente qui a pu enfin apparaitre !,
enfin pouvant se faire, loin des inquisiteurs tout puissants d’hier, & laquelle aura conduit au livre  « jésus contre jésus » de prieur et mordillat, en 1999…, the right book at the right time, un séisme anti-christique, lequel donc efface 2000 ans de superstition, & qui est… passé inaperçu ! & cela aussi reste assez inattendu! (ainsi… les consciences auront donc été violées sur le long terme…)
cette recherche en méditant aussi jour après jour sur jésus, en, d’une part, oubliant, tout ce qui a été écrit, dit, officiellement, sur lui, les fables…,
avec cette question : pourquoi, comment cette continuation extra longue de cette religion ?, par diabolisme ?,
quoiqu’il en soit : une religion dangereuse, qui conduit en fait ses fidèles à l’angoisse, à la croyance au néant après la mort,
cette religion continue à occulter la seule religion cohérente possible : celle de la réincarnation, celle de la continuation spirituelle, &, là, croire n’est plus, heureusement, seulement une fabrique si infinie de désespoir…     mon commentaire     (work in progress)    propose des éléments de réflexion   (de toutes façons personne n’est d’accord et sur rien en cette histoire)
        dieu tel qu’on le représente n’existe pas mais ses inventeurs existent…
résumé
suite à l’occupation romaine, les sectes juives messianistes pullulent,  voient dieu abandonnant son peuple, le voici à nouveau asservi, or à chaque asservissement, un roi-prophète se dégage, un pré-sauveur (à l’image déjà du Sauveur), et les instances judaïque officielles au Temps de jésus, au Temps de l’invasion romain, ne semble pas prête de « donner » un tel prophète au peuple, et une secte messianiste va trouver ce prophète
et ces juifs trop pressés qui se disent divinement inspirés (toujours tu auras des gens dans une religion qui vont se dire : + religieux que les autres, et les baptistes en question : carrément rebaptisent les juifs comme si ils ne l’étaient déjà pas !) décident de proposer leur prophète, et ils n’ont pas eu cette inspiration par hasard, c’est une secte messianiste…
et… en principe, le prophète, c’est celui qui crée cette communauté, ce nouveau courant du judaïsme, tout semble designer jean le baptiste comme le messie attendu, et sans doute commence son culte après sa mort tragique (ou bien ce tragique a été inventé ensuite, pour hausser le personnage, hérode l’aurait enlevé et finalement occis dans son palais)
mais, quelque chose d’autre se serait passé, cette fois, la mort du prêcheur baptiste jésus ! à jerusalem !!!!, et quelqu’un de cette communauté baptiste déjà dissidente aurait eu tel jour un déclic et aurait dit : « on tient notre personnage fédérateur et c’est jésus, oui, notre jésus qui vient d’être crucifié, c’est lui notre prophète », ou bien cela va, à tel moment, devenir évident pour tous, cette évidence va s’imposer à tous
mais, bon, on a l’histoire de la conversion de paul, alors cela pourrait être du véridique (quoique, bien sûr, arrangé), tout aurait pu commencer avec un nouveau converti au baptisme :il  aurait vu, lui cette évidence et ce personnage qui décide de s’intéresser particulièrement à jésus pourrait être paul, ou celui qui devient le personnage de paul…, mais cela peut être un autre, et même plusieurs dont paul, lesquels auraient décidé de la même démarche : mettre un coup de projecteur sur le crucifié spectaculaire jésus
les prêcheurs baptistes : sont comme tous les prêcheurs, ils leur faut raconter des histoires édifiantes, et le prêcheur, jésus était devenu le personnage baptiste le ¨+ édifiant, & ce personnage  a été de + en + phantasmé par les prêcheurs, puisque les foules en redemandaient…, et de prêches en prêches, jésus s’est retrouvé le baptiste numéro1, et puis… : le prophète baptiste, et donc : le prophète à proposer à tous les juifs : cette fois jésus prenait tellement d’importance que le baptisme était en train de se transformer en jésusisme, en culte de jésus !
oui, car la crucifixion de jésus avait changé la donne : à présent la + grande vedette du baptisme  était devenu jésus, ici et là, on constate : les gens se remémorent ce jésus , un si étonnant personnage, et un culte mortuaire avait aussitôt commencé autour de ce jésus, or jean le baptiste, lui de son vivant avait semblé peu pressé de se faire dire : prophète (cela aussi transparait dans les textes, et serait du vrai)
il y aurait eu une 1er étape : ce jésus crucifié  devenait le héros morbide des baptistes, cette crucifixion de jésus : une terrible exaction romaine contre le judaïsme, qui + est, les juifs de jerusalem avaient-ils demandé cette mort, cela augmentait la haine contre eux / dans la communauté juive baptiste, et même au-delà, car le judéo-baptisme avait des sympathisants, partout, « ça ne passait pas »
les romains et leurs collabos n’auraient pas dû s’en prendre au prêcheur juif baptiste jésus, « un juste », quelqu’un qui possiblement électrisait les foules !! partout où il passait, quelqu’un qui, lui, réussissait donc à enseigner le baptisme, cette dissidence, jusqu’à jerusalem, sur le parvis du Temple !, qui osait cela !, et personne n’arrivait à l’en empêcher, tant les foules étaient à l’écoute,  et qui devint vite : « l’homme à abattre » pour les sadducéens notamment
à noter, possible  : les baptistes à ce moment-là, avaient réussi déjà une belle percée, et ne se contentaient plus d’enseigner dans les confins, possiblement, le judéo baptisme était devenu un courant religieux, passant de dissidence complète à une implantation quasi officielle de par le nombre de leurs adeptes et sympathisants
mais il y avait donc eux : ce coup de poignard sur l’avancée baptiste, en tuant ce prêcheur ! qui était allé trop loin, et jésus n’allait cesser de continuer à vivre dans le cœur des foules, on le voit avec Johnny, il n’est pas vraiment mort, une chanson de lui su un juke box, et Johnny est vivant, bien vivant !, car indispensable, irremplaçable, et oui, au tout début, une sorte de culte mortuaire faisait de jésus : le héros baptiste, mettant même en retrait le souvenir de jean le baptiste, le leader des baptistes, qui lui-même avait été occis, à l’évidence les baptistes étaient dans la ligne de mire des autorités…
(cependant cette élection de jésus dans le baptisme n’était pas forcément le choix de toute la communauté…, c’est pourquoi on retrouverait toujours des baptistes pour qui le leader resterait jean le baptiste, pour eux, le prophète c’était lui…/ et longtemps on aura des sectes qui prospèrent sous le signe d’un culte de jean le baptiste)
   jésus était donc un prêcheur juif baptiste
mais un baptiste un peu dissident lui-même dans la dissidence baptiste ?, sans doute était-il devenu un prêcheur baptiste qui volait à jean baptiste : le leadership, et lui aussi jésus était-il un théologien, avec des concepts religieux bien à lui ?, quel personnage ce jésus qui, lui sortait des zones désertiques pour aller enseigner !, ce qui en faisait vite un personnage + connu que jean le baptiste
mais terrible destin, mais jésus n’était pas forcément le seul prêcheur dissident qui finalement a été stoppé, certains autres auraient été lapidés etc., jésus, lui + connu, aurait eu droit à un procès, car, lui, les romains se seraient occupé de son cas pour on ne sait quelle raison, il aurait eu droit à un procès, possiblement mené par pilate, puisque pilate était un juge aussi, partout où il passait
lui, une nouveauté ? : jésus aurait été condamné à une humiliante crucifixion (comme s’il était le dernier des bandits, or ce jésus était un « religieux », donc un homme digne même si s’opposant aux romains) car les romains se sont mêlés de cette affaire, cela seraient, eux, complétement qui ont décidé de mettre à mort ce curieux jésus qui faisait du scandale, et qui a eu le tort d’être un juif baptiste virulent à jerusalem, là où il ne fallait quand même pas trop pousser le bouchon quand on était un juif baptiste
cette fabrication d’un nouveau prophète se fait doucement, comme une telle fabrication se fait dans n’importe quel groupe, et au départ, se fabrique déjà un petit culte à un défunt, et puis cela s’élargit, s’élargit, et on fantasme de + en + le défunt, et bientôt jésus est dans les prêches, pris en exemple
puis, puis, on lui imagine un enseignement propre (en fait : c’est le baptisme, en version affinée, tout en inventant jésus on affine l’enseignement baptiste puisqu’on va mettre l’enseignement baptiste dans la bouche de jésus, on va de + en + compléter cet enseignement, cette fois de moins en moins dissident car il faut toucher le + de juifs possibles, et les prêcheurs dans leurs discours généralistes (avec de multiples propositions, et qui évoquent de multiples personnalités de ceux qu’ils considèrent comme régénérant le judaïsme, ex : tel de nos prêcheurs a fait ci et ça, tel autre… telle merveille…,  ne pas oublier ces prêcheurs baptistes sont des fous de dieu, dans une période agitée, où bientôt cela va être une sorte de fin du monde pour tous les juifs, baptistes ou pas, la répression va s’abattre, un génocide ), ces prêcheurs voient : le personnage de jésus accroche…et petit à petit, jésus devient une figure principale, certains ne prêchent que jésus et son enseignement supposé
et cette « fin du monde » en cours : on peut imaginer sans se tromper : elle a donc changé complétement le paysage religieux, les sectes messianiques en sortent renforcées, les baptistes avaient bien raison, qui annonçaient le pire à venir…, c’est dans ce contexte que la proposition de jésus le prophète baptiste est bien accueilli, au moins il y a une proposition, ça bouge, ça réagit…, on a hélas besoin des fous de dieu en de telles périodes, ce sont les extrémistes qui se font entendre à leur tour, et quand cette fin du monde arrive : les baptistes sont donc prêts ! fin prêts pour proposer leur enseignement de substitution, puis dieu, psalmodié par les sadducéens et autres, s’est caché derrière un gros nuage, et laisse le pire arriver à son peuple
 et bientôt, on prononce le mot : « prophète »… « c’est lui le nouveau prophète »… , et là, certains s’y rallient avec enthousiasme, et même ils attendaient une telle proposition pour s’enthousiasmer à nouveau, pour retrouver l’espoir, le judéo baptisme c’est tout nouveau, alors pourquoi ne pas tenter cela, eux ont l’air d’être des winners, ils font de + en + d’adeptes
mais la plupart de juifs ne comptent pas du tout pour autant se rallier au baptisme, et encore moins en le jésuso-baptisme, ils ne veulent pas reconnaitre jésus comme un prophète, il n’est pour eux qu’une chimère inventée par les prêcheurs juifs, ces juifs anti-jésus continuent à être bien encadrés par les courants existants, pharisiens etc. Ils  combattent de toute leur force cette proposition baptiste, cette proposition que les baptistes essaient de faire passer comme concernant tous les juifs !, ces juifs baptistes, dans leur enthousiasme, et avec leur jésus, réussiraient presque à faire oublier qu’ils sont une super dissidence, qu’ils sont presque partout considérés comme interdit de prêches dans les synagogues
mais certains juifs pharisiens s’y rallient spectaculairement à ce baptisme, en ces temps troublés ? (paul ?, alors, arrivant un peu avant la divinisation de jésus, cela serait lui qui la fait, la théorise ?)   (en tout cas, ce haussement c’est comme quand un homme politique émerge d’une fa çon un peu inédite / prenons le cas de michel rocard, il est le leader d’une petite formation socialiste mais dissidente, or cela lui donne la possibilité d’exister en tant que leader, petit leader mais leader, et très visible :  p s u / puis au fil du temps : car le parti officiel est en mal de héros : voici le petit dissident qui prend le pouvoir dans la grande formation p s  (car finalement le p s a bien compris que ce type était incontournable et c’était sa dissidence qui avait plutôt raison, et le gars finalement devient premier ministre socialiste, puis un premier ministre qui gouverne tous les français ! / avec jésus : cela pouvait se présenter pareillement : jésus le leader (mort) baptiste pouvant devenir le leader (mort) de tous les juifs, car devenu incontournable, et parce qu’il n’y avait pas d’autres propositions de prophètes, + fortes)
   cette fabrication de leader
 (et en religion, cela se passe après la mort du keum) est une sorte de libre fabrication, elle est de l’ordre de la proposition, toujours, les différentes sectes proposent des idées, en fait pour prendre le pouvoir (c’est l’objectif, l’expansion de la secte) /
le judaïsme est alors très divers, mais il s’agit là donc de la fabrication d’un prophète par les baptistes, et les baptistes : sont la petite secte juive qui fait de + en + d’adeptes juifs : bientôt : les instances dirigeantes religieuses sont amenées à donner leur avis sur cette proposition de jésus le crucifié  prophète nouveau, disons : prétendant prophète, il faut commencer  à homologuer (ou non) le nouveau (et assez curieux !, non conventionnel)  prophète jésus / car si ces instances n’interviennent pas : le prophète va continuer à s’imposer par la bande
or ces instances représentatives des grands courants juifs décident de sortir de leur indifférence à cette proposition fantaisiste (ils pensaient que cette proposition était si incongrue qu’elle ne tiendrait pas longtemps, et même ??? qu’elle ridiculisait les baptistes, ce qui n’était pas une mauvaise chose !!!)
et ils jettent l’anathème sur cette petite communauté et son prophète imposteur, et prient tous les juifs qui s’étaient ralliés au baptisme, à jésus, de revenir au bercail : les baptistes et leur jésus sont maintenant déclarés : des hérétiques, confirmés : hors synagogues, ils ne sont plus des juifs, ce qui bien sûr en effet fait revenir de nombreux juifs au bercail
5alors, bien sûr, déjà la fabrication de ce prophète baptiste n’était pas chose aisée !!!!, mais cela devient maintenant quelque chose de délicat : les baptistes, les jésusistes savent maintenant : jésus ne pourra pas être le prophète de tous les juifs…, or jésus était un juif et le baptisme qu’il a rejoint : c’est le judaïsme, le pur judaïsme…, adapté à l’air du Temps
mais : le Temps présent c’est aussi… : l’aristocratie religieuse, les décideurs d’alors sont affaiblis, par la collaboration (obligée) avec les envahisseurs romains, alors : la communauté baptiste (elle, devenant légitime, de ce point de vue, de ce point de vue seulement) qui propose jésus NE Tient PAS COMPTE DU REFUS, ce qui est pas complétement étonnant : déjà elle était dissidente, gravement dissidente, alors cela ne la change pas trop la décision des instances juives !, depuis la création du courant sectaire juif baptiste : les baptistes se fichent bien des juifs de jerusalem
pour la 1ere fois ?, il y a la continuation de la fabrication d’un prophète pourtant jugé : imposteur par les décideurs religieux de l’ensemble de la communauté juive (et à l’évidence donc, car les décideurs juifs sont devenus inopérants, ils ne peuvent plus demander la lapidation des jésusistes, ils sont devenus des tigres de papier, car sans doute tout cela se fait : quand le Temple a été détruit, puis quand les juifs sont jetés de palestine alors : tout le monde s’exile, et a la faiblesse de l’exilé, tous les courants juifs sont dans cette position de faiblesse, les baptiste deviennent aussi forts que les sadducéens, les pharisiens…, on peut supposer : avec la différence que les baptistes eux, ont maintenant une longueur d’avance : ils se sont en quelque sorte préparé à cet exil, à cette austérité de l’exil)
donc : on continue à avoir : des juifs qui se rapprochent, convertis, de la proposition jésus (mais moins qu’avant), laquelle continue être prêchée et possiblement c’est à ce moment que l’on écrit la vie de jésus et son enseignement, et cela conduit à une situation inédite : une grande religion qui se scinde en deux courants, car « l’avancée jésus » devient vite irrésistible, jésus incarne l’espoir juif, les baptistes ont proposé leur prophète au bon moment, au parfait moment !, il faut dire : il y a un savoir-faire, là, toujours un prophète se dresse au bon moment (un prophète d’une fabrication toujours nouvelle, mais il y a quand même un savoir-faire qui ne change pas, un artisanat prêt à cette invention)
(un prophète : « il est venu » (il vient du passé…, il a fait des merveilles…, dans le passé…), mais il éclaire le présent, au présent il est présenté comme : allant faire des merveilles aussi dans le futur, « il reviendra »   /    un prophète c’est un être du passé, du présent, du futur, c’est une chimère, un être de prêche, de papyrus / les juifs ont une grande tradition de création de telles chimères, mais bien sûr il y a toujours quand même une surprise : à quoi va ressembler cette chimère, à partir de qui va-t-on décider de faire cette chimère     /   tout est ambigu : « il va nous ouvrir le royaume de dieu », = ce prophète va nous sauver de l’emprise romaine /
le futur : c’est par un prophète qu’on va arriver à cela : au nom de jésus maintenant : les romains vont pouvoir être chassés de palestine : au nom de jésus qui a , lui, déjà vaincu personnellement les romains : ils ont cru qu’ils l’avaient mis à mort, tu parles… : « jésus a ressuscité, il a bien eu les romains ! » / mais bon, là ça se passe comme cela, mais pour chaque prophète précédent avait sa fabrication et son mode d’emploi / « et cette fois la surprise » font comprendre les baptistes : « c’est que ce prophète c’est nous qui le proposons, nous, une secte juive dissidente ! alors, comprenez le, tous les juifs, acceptez notre proposition, même si elle parait un peu saugrenue, et d’ailleurs, regardez, déjà tant de juifs croient en notre jésus ! » )
… mais le judaïsme orthodoxe lui aussi se renforce, non par obtention d’adeptes mais en renforçant sa spécificité : en se repliant sur lui-même / il s’était assez ouvert, il y avait eu cette tentation : cela va devenir le contraire (aux jésusistes de s’ouvrir s’ils le veulent !, mais ne les appelez plus des juifs)
bien sûr, cette prophétie jésusiste, à la fois fulgurante et empêchée !!!!, circule dans tout le monde juif (partout où il y a des juifs), et se parallélise quand même au monde juif officiel  et fulgurance puisque ce curieux prophète est vu comme pouvant aussi être accepté par des non juifs, surtout ! par des non juifs !!!!  / et cette tendance va s’accentuer à mesure que le judéo-christianisme s’éloigne (bien obligé) du judaïsme tout en gardant le socle hébraïque, n’ayant pas peur de cette folie, de cette contradiction qui ne peut que s’affirmer elle aussi…
 le Temps du  doute
quand l’illusion collective, la religion judaïque est mal en point, « quand ce dieu qu’on avait identifié comme notre dieu, ne nous protège plus » (je parle pour le juifs), alors, c’est presque la fin du monde, alors, bien sûr, on abandonne ce dieu, alors il faut en faire un autre…, mais lequel, c’est compliqué de faire un dieu !, c’était si commode d’avoir un dieu existant, qu’il suffisait d’entretenir…
 le Temps du sursaut
alors on va expliquer : tout ce malheur est encore le dessein de dieu, d’ailleurs cela va être mieux explicité par l’envoi d’un prophète…
les théologiens baptistes s’y sont collé à cela, inventent un nouveau prophète ad hoc
« oui, oui !, il est venu !, c’était…. Jésus » !!!!!!!!
« non ! », « si !, mais si ! » (emprunté à raymond devos), « et laissez-nous le temps de vous raconter tout cela » (le temps de l’invention)
 le Temps de la modernité
Temps nouveaux, prophète nouveau, trop nouveau… et pas assez nouveau, camouflé en fait en « messie », toutes les contradictions vont tenter de se faire oublier en créant un messie, on fait ainsi oublier : « prophète, les juifs n’en voulurent pas… »   (c’est ma théorie)
Temps sans doute complétement fous, et prophète  asymétrique
c’est en quelque sorte un prophète ultime car les Temps sont devenus ultimes, et cette « ultimité » passe par un prophète correspondant au « profil bas » que doit faire toute la communauté israélite  (et en même temps en tant que messie, il va être celui qui est + fort que tout, et puis comme cela se passe sur le plan spirituel : c’est facile, on dit aux foules : « oubliez les Romains, nous on a notre messie…., enfin !, nous… notre Royaume est ailleurs…, et là les romains sont des tigres de papier », cela va permettre, ce message ambigu de passer, aux yeux des romains, pour des pacifistes, et non pour des anti romains / les romains, super !, vont se retrouver avec des collabos (les juifs sadducéens) et des juifs baptistes pacifistes et c’est autant de zélotes, de terroristes anti-romains en moins)
on attendait un héros, on va proposer un anti-héros, quelqu’un qui n’a pas été un sauveur politique (le sauvetage politique c’est maintenant une donnée impossible, même si tous les juifs continuent à y croire), quelqu’un qui abandonne un certain nombre d’aberrations de la religion en cours (puisque cette religion n’a pas empêché le désastre, c’est donc qu’elle partait sur de mauvaises voies), possiblement ce sont des jeunes gens qui ont voulu un prophète qui abandonnerait un certain nombre de lois juives jugées obsolètes (et comme elles n’ont pas empêché le désastre…, cette fois on est sûr qu’elles l’étaient, non utiles, voire délétères)
on fait perdre david /  
goliath gagne, les Romains gagnent,
mais en fait
c’est quand même david qui gagne, enfin… pas tout à fait, car à un moment, la modernité s’est faite folle, david est à la fois resté david & en même temps est devenu un autre !, la continuité judaïque se divise en 2 courants…, et il faut choisir l’un ou l’autre…, c’est la division, la confusion, c’est encore pire que l’envahissement romain, c’est une défaite de l’intérieur
« prenez donc notre jésus,  au moins il ouvre une porte de sortie », ok mais la sortie va devenir une vraie sortie : le judaïsme par son hérétisme (le judéo-christianisme) va exploser, le judaïsme orthodoxe va végéter, et le dit judéo-christianisme va devenir la religion frelatée que l’on sait
eux les juifs orthodoxes : ils se soumettent aux romains, ils n’inventent pas un prophète anti-romains, ils préfèrent courber l’échine et collaborer aussi (certains), et vivoter, on peut voir aussi cela comme : le temps de s’organiser pour une nouvelle révolte, elle aura lieu et les juifs vont tout perdre dans cette révolte
  il y avait 1 illusion collective, en voici : 2….
et…. c’est un désastre !, pour… tous, ceux de la 1ére, et bien sûr à commencer par ceux de la seconde
en quelque sorte, dieu devait être régénéré, et voici : dieu est mort, l’évidence dieu est morte   (car dieu doit être une évidence, sinon il n’est pas dieu,  et là : se dessinent 2 dieux différents, celui des juifs, et celui des juifs qui se disent chrétiens, qui disent avoir identifié : le messie juif)
mais dieu est mort : car il n’est plus 1, il est : 2 / il n’y a plus d’évidence divine : tu comprends cela ?
 nouveauté
en fait j’apprends, je crois entendre : les juifs considèrent les événements bibliques comme « imagés », depuis philon d’alexandrie, un penseur juif
sont-ce tous les juifs ? , et comment dieu dans tout cela survit ? pour eux ?, est ce nouveau ? cette appréciation ?
 la grande difficulté des scribes
les scribes jésusistes se demandent : « faut-il voir jésus (inventé par eux) comme se disant le messie, de son vivant, ou du moins vers la fin de sa vie ?, d’ailleurs son coming out spirituel pouvant être la cause de son arrestation comme blasphémateur
il y a ce mot, ce concept : la « manifestation »  le messie, le messie manifesté / les théologiens juifs imaginent  un peu ? ce qui se passerait quand le messie arriverait ?, le reconnaitrai-t-on tout de suite en tant que messie ?, lui-même le saurait-il qu’il était le messie ? les scribes jésusistes qui inventent jésus messie, ont dû se poser ce genre de questions, ont dû essayer de se conformer avec ce que les théologiens ont écrit à ce propos ?  
les scribes font avancer l’affaire doucement, ainsi, si je comprends en écoutant les chercheurs : tel compagnon de jésus, quand jésus leur demandait ce que les gens pensaient qu’il était ….,  aurait répondu  (tout cela inventé par les scribes jésusistes) : « certains pensent : tu es la réincarnation d’elie…, d’autres tu serais la résurrection de Jean-Baptiste » (à noter : il s’agirait plutôt là d’une réincarnation) »,  ainsi les scribes montrent que la barre est mise très haut !!!!!!!!, et jésus ne dit pas, je crois, qui il est !
,qu’importe, mais en tout cas cela annonce le rang de messie que jésus va bientôt avoir,  on passe (relativement) facilement de « prophète » à « messie » (et on fera passer le messie, car cela ne suffit pas, à fils de dieu, et à dieu lui-même, après on ne peut pas aller + loin…)
alors quand même, il faut un personnage qui voit clair aussitôt, et c’est pierre : on lui fait dire je crois  : genre : « alors… tu es le messie, hein ! », et jésus aurait, acculé, dit : « oui » !!!!!!!!! (à vérifier : où cela est écrit ainsi)
se poser la question : « jésus s’est-il considéré comme le messie, s’est-il dit messie ?, a-t-il été vu comme le messie ? », est une autre question vertigineuse, car on entre là dans le piège à cons, dans l’invention jésus, il a fallu aux scribes essayer donc de comprendre : comment cela se passe quand le messie débarque !!!!, & c’était pas facile à mettre au point, mais ceux qui ont écrit tout cela était des théologiens, très forts ! et qui savaient comment tous les prophète précédents avaient été inventé, et finalement un messie c’est juste un… super prophète  
 reprenons
les Temps sont apocalyptiques, presque apocalyptiques…, c’est pas non plus le feu envoyé depuis le ciel, mais quand même c’est la destruction du Temple, c’est l’invasion romaine qui devient insupportable, c’est le grand remplacement à jerusalem, spirituellement parlant : c’est la fin du monde juif en cours
pour de tels Temps sont prévus : la carte secrète du peuple juif : le messie, à la fois, chef de guerre, chef spirituel, et tant qu’à faire, celui qui va faire passer du (monde du mal) à (l’Age d’or) en quelque sorte (cela implique aussi : on lui demande tant (& on comprend bien qu’on aura en fait : rien) que l’on n’attend pas avant longtemps un tel messie, on trouve alors normal qu’il ne vienne pas, et pour cause, c’est un messie de papier, qui n’existera jamais, mais cette figure de futur fait rêver, fait espérer, et fait se continuer la religion juive, cette illusion collective utile, qui a été si patiemment élaborée, devenue si incontournable, un second socle, après le socle Terre)
alors, sans nul doute, arrivent régulièrement : des candidats au messianisme, ceux qui pensent qu’n messie peut exister !!!!, et qui pensent qu’ils sont celui-là !!!!!!!, alors donc : des fous de dieu, mais aussitôt lapidés, ou s’ils sont des chefs de guerre : vite occis par l’envahisseur   (mais longtemps après : possibilité de hausser tel fou de dieu en : prophète)
alors…, + sereinement.. : certains illuminés désespérés décident-ils de faire : un messie !? de papier, car eux ils sont des théologiens et ils savent : un personnage divin cela se fait « au passé », on dit : « il est venu », car au présent : un messie, un prophète (un vrai prophète) c’est pas possible, personne ne peut faire des merveilles attendues d’un prophète
décision de faire un messie ?, les baptistes étaient une secte messianique, = qui attendait un messie, donc ils auraient inventé directement ce messie
moi je penche plutôt pour l’hypothèse : on fait de jésus le crucifié un héros baptiste puis un prophète baptiste puis enfin : on dit c’est le messie, lorsque le Temple est détruit etc.., et que les Temps sont devenus apocalyptiques
 je pense que les baptistes sont déjà essayé de faire de jésus (leur prêcheur martyrisé) : « le meilleur d’entre eux », leur héros du moment, puis au fur et à mesure que les Temps devenaient de + en + sombres, les prêcheurs l’ont présenté comme le prophète attendu / les prêcheurs baptistes auraient constaté combien le personnage de jésus crucifié marquait  ceux à qui ils apportaient la bonne nouvelle baptiste
jésus le crucifié est aussitôt  devenu le personnage numéro1 du baptisme (de son vivant, déjà ce prêcheur était identifié possiblement comme le prêcheur numéro1 ?, très possible : il aurait de ce fait pris des risques, il serait allé prêcher à jerusalem là où les baptistes étaient considéré comme des dissidents à abattre)
puis à partir de cela : il a fallu passer à : « non, il était bien plus qu’un héros baptiste, jésus de galilée, il était un… prophète !, », dans ce cas, un prophète : c’est un prophète donné à tous les juifs…, et commence donc pour les juifs baptistes : la croisade pour imposer jésus à tous les juifs, et les baptistes (avec ce programme) seraient devenus : des juifs jésusistes, identifiés alors vite comme ayant seulement en bouche : « jésus est le nouveau prophète juif »   (on peut penser : les baptistes n’étaient pas forcément une secte messianique : elle l’est devenue après coup, on verra cette secte : messianique puisque finalement elle a imposé un messie, mais elle a pu commencer par seulement imposer : un prophète)
puis cela sera   (quand les juif jésusistes comprennent : les juifs ne veulent pas de jésus, et même les jésusistes sont considérés comme ne pouvant plus se présenter comme juifs) « jésus était le messie…. », et donc le fils de dieu,     et donc dieu lui-même
quand on est passé à l’option prophète, là cela se compliquait  : il fallait l’homologation (donnée par les instances juives représentatives, à un moment il faut officialiser ce qui était, ce qui ne pouvait être dans  ce qui était dans un 1er temps : une proposition, la proposition : « jésus prophète » et donc prophète de tous les juifs) , et jésus ne l’a pas eu
alors les jésusistes (alors, considérés comme des parias, et pouvant agir en tant que tels !) seraient passé à l’option : « jésus messie »…, et cela devient donc du n’importe quoi, mais la chance des jésusistes c’est que là : on passe en terrain inconnu, on ne peut même pas dire qu’il faut une homologation, puisque le messie est un personnage super virtuel, à conjuguer au futur, personnage qui jamais n’existera « au passé » (comme on le faisait avec les prophètes / les théologiens juifs savent : jamais un messie ne sera considéré comme arrivé, au présent ou au passé / on est là à la fine pointe du théologique : le messie c’est juste un espoir, un fantastique espoir mais ne restant pour l’éternité qu’un espoir, comme dieu d’ailleurs…) alors c’est dire qu’aucun théologiens ne s’est penché sur la question de : comment un messie pourrait devenir officiel !!!!!!
c’est tout simplement pas possible : un messie, alors, oui, cela s’est fait lorsque les juifs jésusistes fous n’avaient plus rien à voir avec les juifs (qui les avaient : discrédités, et depuis le début la secte baptiste avait été déclarée : hors synagogue)
 un des personnages juifs charismatiques du récent passé :  jésus, ah zut…, un baptiste…
celui-là il a été aussi occis par les romains, en en + par crucifixion, l’ultime punition, l’ultime blasphème, l’ultime salissure pour un juif, et bien justement, on va dire : « justement, oui, c’était lui !, et c’est même par cette ultime infamante mort que ce prêcheur juif baptiste était le prophète que tous les juifs attendent »  !!!!!, à Temps paradoxaux : prophète paradoxal…, celui-là a été tué par les envahisseurs, mais après tout, on avait bien josias…, qui se faisait dire : « messie », et lui il a été tué par un pharaon…
on va conceptualiser un prophète qui ressemble aussi à un anti prophète, puisque le prophète normal (puissant, victorieux) ne peut pas venir !, ainsi celui-là est un pacifiste ! (c’est pierre richard, dans un certain film…, qui refuse le combat), un type pas trop orthodoxe s’agissant de la loi juive : les baptistes veulent revenir à une certaine austérité, ils veulent revenir « au désert », loin des corruptions du Temple, et loin de la collaboration des juifs de jerusalem avec l’envahisseur  
et possiblement : un prophète baptiste :  donc cette fois très ouvert sur les non juifs (possible, cela, dès le début, c’est une des caractéristique du baptisme, mais le judaïsme alors était relativement « ouvert », et les baptistes eux, auraient été + loin, là)
 le prophète jésus crucifié proposé à tous les juifs
mais le medium est le message, c’est une mini communauté dissidente déjà existante avant jésus, petite mais qui fait beaucoup parler d’elle, les baptistes ( voyons  comment par exemple : le courant écologiste un jour est apparu et a prospéré, devenant vite : « in » et le restant), ou bien, se créant avec jésus, en effet, les supporters de jésus, ceux qui l’ont connu de son vivant, or parmi eux : des théologiens, ou un, des scribes, un ou des… , en tout cas, génial, géniaux, inspirés !, capables d’inventer en effet un prophète !!!!!, et en effet le prophète nouveau prend vie, mais il est plus raisonnable de penser : tout cela se fait dans le sein du baptisme / mais le baptisme : de fait : par la force du prophète qui commence à prendre vie indépendante : le baptisme serait donc devenu le jésusisme, et bientôt les juifs jésusistes seraient devenus carrément les juifs chrétiens : les juifs avec les christ, les juifs avec le messie, les juifs avec le type, jésus, qui n’a pas été oint !, mais qui est dit quand même « oint » !!!!, car c’est bien cela qui va se passer et … réussir)
ce curieux (mais en fait complétement adapté à l’époque, et donc tirant légitimité de cela) prophète prend forme !!!  
et quel gâchis : la communauté juive « officielle », en tant qu’entité dit : « NON, c’est pas lui… notre nouveau prophète »  
or, avant ce « niet », en ces Temps déjà de grande communications, ce prophète a déjà fédéré pas mal de gens !!!! /  ces malpolis d’inventeurs juifs jésusistes n’ont pas trop attendu le « ok » de l’aristocratie religieuse à jérusalem….pour présenter  partout où il le pouvait leur prophète jésus 
   jésus crucifié
devenu prophète refusé et pourtant quand même prophète des juifs qui l’ont inventé prophète et prophète de ceux qui suivent de + en + ce prophète qui pour eux vient de surgir divinement (l’invention est bien sûr ! : tue)  (mais les jeunes juifs et autres séduits par le baptisme en général et le prophète baptiste sont maintenant vite priés par ceux qui les encadrent (synagogue, etc.) de ne pas rejoindre l’imposteur, et beaucoup de juifs qui s’étaient fait avoir par les juifs baptistes jésusistes reviennent au bercail) = jésus devient un personnage… inédit, donc : à la fois prophète lancé et pourtant sa non homologation se renforce de + en + puisque : + le temps passe et + les juifs confirment aussi la non homologation de ce prophète hérétique
alors, tant qu’à faire, ses inventeurs, puisque libérés de la hiérarchie juive (laquelle les étiquette donc d’hérétiques), et comme leur invention de prophète a bien marché peuvent mettre la barre + haut (ils sont une hérésie juive, le seront toujours, alors en tant qu’hérétiques ils peuvent faire ce qu’ils veulent, c’est l’avantage d’être hérétique)
ainsi de prophète on passe à… ?  christ, à messie, et cela aurait bien sûr encore + séparé juifs et juifs baptistes
jésus ce n’est qu’un « dit prophète » par les siens, puis « dit messie », « dit christ », tout cela dit par les siens et seulement par les siens…, qui passent de jésusistes à :  « dits chrétiens » = de juifs avec le christ, quand il s’agira d’être un peu plus précis sur ce qu’ils sont on peut dire : voilà des judéo-chrétiens, mais : des judéo-chrétiens affichés, mais en fait : le fait judaïque : les a déclaré et cela n’a jamais varié : il n’y a pas eu de christ, de messie : alors il ne peut y avoir de « juifs avec le christ » comme se définissent de fait les chrétiens ou les judéo-chrétiens
oui, puisque, tant qu’à faire : jésus est un faux prophète bizarroïde, alors on va dire ? : « ah, oui, il est bizarre, mais justement, car il est bien + qu’un prophète conventionnel, il est bizarre car il est bien +, et avec un emploi nouveau et donc forcément bizarre : c’est une messie !, eh, oui, un messie on ne savait pas trop à quoi cela pouvait ressembler…, et bien voilà c’est jésus », ah ah ah !!!
ah ah ah ! oui, mais ça marche…, et au nom de ce messie, des millions de juifs et de non croyants en ce dit messie, vivront dans l’effroi,  seront torturés, massacrés
dans l’évangile de jean ?, jésus, directement dit : « le messie » ?, il faudrait aller regarder dans cet écrit, faire un effort, aller lire ça
 peut-on écrire ?
jésus, un messie (après coup, bien après sa mort, et après qu’il ait été déjà mis au grade de prophète) fait sur mesure, en ceci : il faut qu’il ne dérange pas trop les Romains, décidément trop puissants, dieu lui-même semble ne pouvoir rien faire contre eux
alors on a donc créé un messie symbolique qui botte en touche : genre « moi les romains ils me sont indifférents ! » ou bien pire : « rendons à césar… »,   je suppose qu’une telle parole aurait été dite ! en grand secret, car de son vivant sur une place publique, jésus n’aurait pas duré 10 secondes de +… en tant qu’un tel collabo
et on se mondialise, le messie concerne aussi les non juifs, tout le monde !, c’est la manière de vaincre les Romains, on dit : « ils nous envahissent ?, mais c’est pas un problème, nous nous coiffons avec notre religion judéo dite chrétienne : toute l’humanité »
avec le messie : les juifs chrétiens peuvent penser «  NOTRE DIEU EST le + FORT (universel) même si nous sommes envahis, NON LES ROMAINS ne nous tuent pas (ce qui a été pourtant le cas, le génocide, lors de la grande catastrophe qui va arriver, mais il ne s’agit pas d’une mort spirituelle et en quelque sorte ce sont les instances juives officielles qui sont ainsi atteintes) NE TUENT PAS NOTRE DIEU, ils sont des tigres de papier même si nous devons quitter notre terre promise (ce qui sera le cas pour beaucoup, après la répression romaine) »
« nous les judéo chrétiens, on est au-delà de la confrontation (juifs contre romains), nous on est dans la confrontation générale : bien contre le mal, dieu contre diable, alors vous voyez : notre messie jésus il vaut bien le gigantesque (mais local ?) messie victorieux juif annoncé dans les écrits juifs » !!!!!
mais, en cela, en effet ! les dits juifs chrétiens gagnent, leur dit messie ultra conceptuel, leur dit messie juif ultra inventé (comment en serait-il autrement ?), leur messie de papier et controversé devient  celui qui en quelques siècles va absorber l’envahisseur romain, à la gandhi !
 vertigineux
en écoutant les chercheurs de « corpus christi », par exemple quand il s’agit des chercheurs juifs chrétiens parlant de jésus comme…  + ou moins reconnu comme « le messie » de son vivant !
on se rend compte : les biblistes de « corpus c. »  en fait peuvent être bien sûr séparés en 2 groupes : les fous furieux (et bienheureux), les juifs chrétiens, qui doivent être plutôt enfermés,
et les chercheurs sains d’esprit qui comprennent : « tout, là n’est qu’invention de scribes », & déjà, eux les chercheurs laïcs (quand ils font des hypothèses sur ces textes) sont déjà un peu dans le camp de la folie…, ils la cautionnent un peu en l’étudiant (comme si tout cela pouvait quand même être vrai !, qu’il y avait une chance…)lui donnant de l’importance  (de tels textes depuis longtemps devraient être tombés en désuétude, heureusement, c’est quand même le cas pour la + grande partie de la population)
c’est cela la problématique de « corpus christi », on mélange les deux, alors : il faut être assez fort pour s’y retrouver (regarder ou écouter la série de nombreuses fois, tant cela brasse…, sans donner de synthèses régulières, alors donc que quasi chaque intervention devrait être éclairée : genre : « pourquoi à tel moment de l’épisode, on a fait dire cela au keum », « là c’est amusant qu’il dise cela », « là, il ne tient pas du tout compte de..& c’est assez insincère » , etc.,  etc., oui, si tu te contentes de regarder cela 1 petite fois, tu risques de te retrouver comme si tu avais regardé un doc rapide sur la guerre des balkans)
 vertigineux
la question lancinante, cruciale (car elle débouche bien sûr sur l’irréalité de toute cette histoire) : « jésus était-il considéré comme le messie de son vivant ? »
en quelque sorte il n’y a pas de question
la problématique c’est : jésus aurait fait des miracles (ah ah ah !) : alors dans ce cas il était forcément considéré comme le messie, c’est clair    (pour qui aurait-il été pris autrement ? : pour le roi des gitans ?)
si il n’a pas fait de miracles, alors il n’a été pris pour rien du tout   / mais en fait rien n’a existé comme cela a été dit, peut-être juste a existé un prêcheur baptiste jésus, qui s’est fait remarquer par une prétendue illumination ? (mais tous les prêcheurs baptistes étaient des fous de dieu) et une exécution humiliante, trop humiliante, par les romains /  puis ce jésus devenu martyr a été haussé en un prophète, connaissant là  un détournement de qui il était, de multiples détournements, quelquefois contradictoires, car pour faire un prophète il y a un cahier des charges, mais pour compliquer ce cahier des charges : il s’agissait de faire passer un prophète inventé par une communauté dissidente, les juifs baptistes, pour le prophète de tous les juifs, et lesquels ne le voulurent pas ce prophète, et pourtant ceux qui l’inventèrent et continuèrent l’invention : durent l’imposer, purent l’imposer, ainsi forcément frelatant cette création de prophète, alors qu’en principe un prophète nait d’une évidence complète (c’est ce qu’on appelle : la manifestation du prophète, son homologation, et les écrits racontant ce prophète qui viennent s’ajouter aux écrits dits saints existant)
ce qui fait que, non l’évidence mais :  la confusion est le maitre de mot de son soi-disant enseignement / ne pas oublier : ce qu’est cet enseignement qui a progressivement trouvé sa forme
et… de la période où il cherchait sa forme : nous ne savons rien, alors cela signifie : on a caché ce qui aurait pu desservir ce prophète et son enseignement
or : les prêtres juifs judéo chrétiens aujourd’hui ne voient pas comme crédibles ces histoires de miracles, tout cela n’est plus d’actualité…   (seuls quelques-uns, comme l’historien illuminé christian petit fils osent dire : « les miracles j’y crois », il semblerait pas très bien dans sa tête le mec…, certains dans sa famille essaient-ils de lui dire ?)
 l’invention de jésus
jésus, un prêcheur juif baptiste illuminé, existe
décision d’en faire la figure du nouveau prophète attendu (mais attendu officiellement, car officieusement, sans le dire aux foules : en fait les décideurs religieux préfèrent l’attendre patiemment (= il n’est pas question d’inventer un prophète de dire alors : un prophète s’est levé, c’était un tel / les instances juives officielles ne voient pas de personnage ayant existé qui pourrait être dit prophète, pour le moment l’actu qui prédomine tout : c’est les romains, et leur volonté de voir une religion juive qui fait profil bas et bientôt les romains vont se fâcher vraiment d’ailleurs…, et en effet aucun prophète n’aura empêché cela…, et certainement pas ce prophète baptiste jésus (dans le cas où cette proposition de prophète aurait été faite avant la destruction du temple puis des événement suivants)
le nouveau prophète cela pourrait être un résistant armé aux romains, un de ceux qui guerroient ici et là, mais ils n’ont pas le temps de faire un semblant de parcours mythique, ils sont aussitôt tués par la soldatesque romaine, faire un prophète d’un de ceux-là après sa mort, bien sûr c’est impossible, le temps est à la collaboration, mais on ne sait rien sur la fabrication de prophètes juifs (je suppose : cela est top secret, il n’y a pas d’histoire de cela)    
cependant toujours il faut bien en inventer un : un nouveau prophète, et alors que d’ennuis !, que de soucis, il ne faut pas se tromper, heureusement ce ne sont souvent que des batailles de scribes, de théologiens puis les grands prêtres confirment, annoncent aux foules la confirmation, c’est l’homologation)
or une proposition de prophète a lieu (une parmi d’autres je suppose, chaque secte fait sa proposition : on sait bien aujourd’hui : la secte essénienne qu’on arrive cependant à pas trop placer dans le temps, a fabriqué un personnage messianique : le maitre de justice!!!!)  : le prêcheur mort jésus est proposé par ce courant dissident juif baptiste qui veut ainsi prend le pouvoir spirituel et c’est en marche !, mais c’était pas trop difficile : le courant majoritaire était si discrédité par sa collaboration avec les envahisseurs…
et en effet cela va être beaucoup d’ennuis cette invention donc du « prophète jésus »… , du fait donc qu’il est proposé par des juifs dissidents, qui n’ont pas l’autorisation de faire un prophète et qui est refusé par des juifs qui n’ont plus à présent la légitimité de quoi que ce soit, et donc n’ont plus notamment la légitimité de dire : « non, celui-là n’est pas notre nouveau prophète », on se retrouve dans une zone de non droits spirituelle !!!!!, et... les baptistes vont gagner à l’arraché, ils vont réussir à imposer « leur prophète interdit », et là c’est…. à un point de vue théologique : un tremblement de terre (j’e l’explique ici et là dans le blog) et bien sûr : nous les jeunes juifs chrétiens, nous qui étions baptisés juifs chrétiens (par des prêtres de l’hérésie juive chrétienne) nous n’étions bien sûr pas mis au courant de ce tremblement de terre qui était le fondement de la croyance que l’on nous imposait), qui aujourd’hui, a conscience de ce qu’a été ce tremblement de terre théologique ?????, à part quelques universitaires, quelques théologiens de tous bords bien sûr, et quelques curieux  comme moi, qui s’intéressent de près au sujet (et moi voulant le faire savoir)
 les juifs vont devenir :  ceux  qui n’en veulent pas, de jésus prophète et qui vont quand même l’avoir (puisque ce jésus reste rattaché au socle judaïque !)
donc : le besoin de prophète s’est fait + important que prévu, et le prophète proposé par les juifs baptistes dissidents commence à être pris pour le prophète officiel par de nombreux juifs, et surtout, peut-on imaginer, cela se faisant hors de Palestine
et cela va être beaucoup d’ennuis aussi pour les dissidents qui ont réussi à faire émerger leur proposition de prophète, devenu prophète frelaté, controversé par ceux-là même à qui il était destiné en priorité…, les juifs
on se retrouve dans une situation sans doute jamais vue (il faudrait savoir : est-ce que, dans l’histoire judaïque c’est la 1ère fois qu’un groupe dissident prend ainsi le pouvoir ?, il faudrait demander bien sûr tout cela à des biblistes, cela n’a pas, à ma connaissance été développé dans les séries « corpus », dans ces séries malheureusement a été oublié le principal : comment les prophètes juifs avant jésus ont été inventé ?, mais précisément : on fait croire qu’un prophète apparait dans le monde de la réalité, alors que le prophète n’est qu’un prophète de prêches puis de « papier » or, c’est précisément cela qu’on cache bien / l’invention du prophète : c’est tabou !, il faut surtout pas que le foules sachent cela… bien sûr)
    du côté jésusiste
on continue à prêcher la venue de ce nouveau prophète tout neuf (on n’a donc  pas attendu la confirmation des grands prêtres, on est encore dans le cadre d’une proposition), et quand commence les écritures ? / quand est mis par écrit : « jésus prophète » ?, puis « jésus messie » ? , est-ce déjà alors que cette idée était encore tolérée par les responsables juifs ou bien après qu’ils aient édicté l’interdiction ?
on continue à prêcher le nouveau prophète, ce qui a été (une invention de ce prophète) est complétement oublié, cela est effacé, reste juste : le problème de ceux qui ont dit « non » (et qui maintienne l’idée : jésus = un imposteur = une imposture, une invention abracadabrante heureusement bien identifiée, baptiste), mais ils deviennent minoritaires, et c’est une surprise incroyable de l’histoire des religions ? : c’est une contre homologation qui se passe : les jésusistes proclament (sont en mesure de proclamer, et le font) en une sorte d’officialité :  les pharisiens, les juifs orthodoxes, les non «  jésusistes »  : deviennent « des parias, des gens qui sont avec le diable » !!!!!, et la logique qui s’impose: « il faut les éliminer, on va les éliminer » /
les jésusistes étaient en attente de l’homologation des responsables orthodoxes ? voilà maintenant que les jésusistes ont la capacité de se faire homologateurs à leur tour, et c’est pour dire aux juifs : « nous homologuons votre destruction », et cela dure déjà depuis 2000 ans
tout cela du fait de l’hérétisme juif chrétien, du fait que la religion juive a secrété, généré : ses propres destructeurs : des juifs chrétiens (qui se retrouveraient dans la position logique (pour eux bien sûr) d’avoir à tuer leurs frères ) / la religion juive s’est autodétruite voilà 2000 ans
c’est assez effroyable, et surtout si tu es du côté juif, tu as été martyrisé par les tiens, mais aussi si tu es du côté des dits juifs chrétiens : car toi dit juif chrétien : tu es un bourreau et sur les tiens
  colonies
enfants, ados, mine de rien, nous n’avions aucune chance de comprendre : la religion dite judéo chrétienne était curieuse, on nous faisait croire des trucs qui ne tenaient pas debout
à l’école, le sujet n’était pas abordé, c’était considéré comme tabou, alors cela nous encourageait à croire : personne ne s’attaquait à nos croyances, alors elles étaient bonnes
pendant les vacances, on n’échappait pas au totalitarisme dit judéo chrétien, les parents choisissaient bien sûr des colonies de vacances dites judéo chrétiennes, où nous retrouvions tous les aspects de notre croyance : c’était un pan organisationnel de cette religion, très très au point, très important, il ne fallait surtout pas perdre les enfants avant leur communion solennelle, après… cela serait + difficile d’avoir une emprise sur des jeunes hommes et femmes (en cette époque grandement évolutionnaire qu’était à présent là nôtre)
oui, c’était un totalitarisme, on ne pouvait pas y échapper
on ne comprenait pas, on ne voyait pas assez : nous étions ultra encadrés, par volonté des adultes, ils veillaient (beaucoup + que cela nous apparaissait) à ce que nous restions dans cette folle croyance, cela demandait tous leurs efforts, une grande attention, c’était très au point tout cela, nous ne voyions pas cette consciencieuse organisation et ses buts, et ne nous apparaissait pas : c’était unilatéral, l’on ne nous demandait jamais notre avis !!!!!
nous n’avions qu’un but, nous : la communion solennelle = les gros cadeaux… , cette belle fête familiale qui surtout nous faisait sortir de l’état encore de grands enfants
cette croyance était si folle, il n��y a que par obligation, par grand masochisme spirituel passant de générations en générations, que cette folie pouvait persévérer, et ces histoires de cadeaux !, précieux, surtout quand on en avait pas autrement, tous les ados ne pouvaient pas se payer eux-mêmes le transistor dernier cri par exemple…, et là à la communion : on l’avait !
heureusement, nous étions à l’aube de l’an 2000, et nous allions entendre de + en + souvent : cette croyance s’amenuise, les  gens boudent les églises, etc. / nous étions ceux qui vivaient les derniers feux de cette religion, et les parents faisaient comme si pour nous, dans nos familles, cette décroissance spirituelle n’aurait pas d’effets
très naturellement aussi nous revenions à la lumière…, avec délices, nous nous voyions doucement échappant à ce totalitarisme-là, juste restaient quelques bribes d’enfermement, car cet enfermement participait de l’attachement à nos parents, on était amenés à ne pas trop vite considérer : toute cette croyance avait été une folie… (pour moi c’était un peu différent, car j’étais utile à la communauté, et traité en v i p par elle, j’étais organiste liturgique, depuis déjà presque 10 années !)
heureusement donc, une croyance que nous n’avions faite nôtre que par obligation, nous n’avions pas à considérer : « putain !, on s’est trompé, on a cru à un truc complétement con, on s’est mis dans une secte ! »
non, non, on était obligés ! /dire à ses parent s : « non je ne veux pas participer à toutes ces histoires de secte dite judéo chrétienne !», et la famille se serait vue comme ayant un hérétique en son sein, un coucou !
 (ne pas oublier, on voyait aussi, dans le lointain… /   la carte maitresse de cette religion : tu pouvais te marier en quelque sorte seulement si tu passais par le curé, je veux dire : si tu voulais juste passer devant le maire, tu pouvais te retrouver avec la fille que tu aimais ou et sa famille qui te disait : « niet !, on passe par le curé, ou notre fille n’est plus pour toi », déjà si tu contestais un peu cela, le mariage en blanc, tu pouvais être considéré comme un barbare, et c’était mauvais pour toi)
  résurrection
je lis dans un dico larousse sur les religions datant de 1970 à l’entrée : « Résurrection » (avec une majuscule) saint paul écrivit : « si le christ n’est pas ressuscité, notre prédication est vaine et vaine est notre foi »
c’est vraiment très curieux !!!!!, qu’est-ce que cela signifie ?, il faudrait avoir le contexte : c’est parler là comme si il n’était pas celui qui a été « contacté », par le christ ressuscité (et dieu) lors de son chemin de damas !!!,
c’est comme s’il disait là : « la résurrection a été inventée par nous, si on retirait cet épisode là de notre invention, plus rien ne tiendrait debout »
mais c’est comme souvent : la modernité du jésusisme : montrer : le doute possible, et montrer qu’on sera + fort que le doute, je suppose, oui, cela était très nouveau cette incorporation du doute dans la croyance
c’était montrer de la sincérité, de l’honnêteté, et il fallait cela à ce moment   (mais c’était là encore du volontarisme, du pur volontarisme, et le volontarisme, c’est pas terrible… en matière spirituelle !!!)
 « corpus christi »
on comprend enfin à partir de cette série documentaire (et la suite) : tout ce qui est le fondement de cette religion ne tient pas debout, ce qui est grave déjà…, non ?
et comme si cela ne suffisait pas, mais comment il pourrait en être autrement ? : la mise en pratique en quelque sorte de cet enseignement (non enseignement puisque confus) n’a pas cessé d’être (tous azimuts) interprété différemment, confusément
2000 ans de flou à partir du flou de départ
  le messie
si j’ai bien compris, le messie, c’est un vieux concept, et qui est re-étudiéde temps à autre,
c’est un concept disponible, la dernière carte d’espoir, mais qui doit toujours rester au futur, donc,
mais certains sont pressés, et veulent l’activer en leur Temps…, ou au besoin tel roi (Josias ?) veut faire croire : « le messie c’est moi », ou comme les jésusistes, donc décident : « notre communauté a  le messie, c’est jésus », et font croire qu’ils sont les juifs chrétiens, ceux qui ont le christ, croient au christ
un messie est attendu, annoncé pour que les prochaines générations soient libérées (par ce messie) de ce monde imparfait, c’est un être qui va déclencher la fin du monde ancien et corrompu, et va inaugurer le nouveau, c’est à cela qu’on le reconnaitra, ah ah ah !
(les scribes juifs officiels d’alors n’en faisaient pas trop, tentaient juste de faire continuer fluidement l’illusion collective qu’était leur religion)
ainsi, une communauté dissidente juive, les baptistes, décide de faire un messie (à partir d’un personnage charismatique ayant existé assez pour avoir fait parler de lui, et ayant existé de façon assez minime et floue pour ne pas gêner le personnage très fictionné qu’on va faire de lui)
les jésusistes trouvent la parade :        comme le messie  est donc reconnu par son déclanchement de la fin du monde :    ces      petit rigolos   décident :    «  non,      il vient en 2 fois,      la 1ere fois il annonce cette fin, car il faut préparer les justes   à cette fin du monde, ils faut qu’ils se renforcent dans leur justesse,   et   eux        vont pouvoir vivre la transition ancien monde     et        le nouveau »      (c’est pas bête !)
alors jésus était donc ce messie, et il a prévenu tout le monde, et pour qu’il soit pris au sérieux : il a fait des guérisons, et il a fait d’autres miracles,      et puis il s’est laissé emprisonner et juger pour le buzz encore, et il s’est laissé crucifier, une mort spectaculaire pour mieux ressusciter : pour pouvoir montrer ainsi comment les justes :   vont pouvoir     comme lui,       à la fin du monde : passer de l’état de mort à l’état de vie éternelle       ( « ceux qui n’auront pas suivi cela seront tous damnés »)
les théologiens, les scribes juifs : comprennent la manœuvre : les jésusistes font le pire blasphème, le pire sacrilège  : une création de messie  et cette création (en sa folie) quand même « crédible », très bien écrite, très bien imaginée, leur messie tient la route (si on n’est pas trop regardant, si on le propose dans des circonstance favorables à cette création : et c’est le cas : symptômes de fin du monde juif)
heureusement eux, donc, les scribes, les théologiens officiels, les responsables religieux juifs ont quand même un pouvoir  : l’homologation : la confirmation de toute nouveauté théologique : en principe d’ailleurs déjà émanant de ses rangs : dans ses rangs : il y a de nombreuses, régulières propositions (certes pas de messie…)
 à eux leur reste leur force, leur légitimité de faire taire les orgueilleux  :  les théologiens illuminés qui déclarent avoir fait une découverte théologique
et là : c’est à la fois + simple et moins simple : il s’agit d’une proposition baptiste, et comme les baptistes sont des dissidents c’est plutôt : une imposition (c’est là que c’est moins simple)
en tout cas : la proposition baptiste est dite officiellement : « une IMPOSTURE », « un messie c’est pas ça, jésus n’était, n’est , ne sera  pas le messie »
 mais… quand cette défense arrive, ils sont affaiblis, et le pire arrive : du fait de cet affaiblissement (Temple détruit, et la suite..)  les juifs baptistes en train de devenir jésusistes (en axant tout leur enseignement maintenant sur jésus), et devenant des juifs chrétiens, des juifs avec jésus   (mais n’oublions jamais : tout cela selon eux) ont toute latitude pour faire croire : « ce sont les juifs orthodoxes qui sont les hérétiques, qui sont ceux qui ne sont pas dans la bonne voie judaïque » : ainsi nait le dit judéo-christianisme   (je n’évoque pas là le judéo-christianisme qui veut dire autre chose, le courant de jacques), devenant avancée irrésistible : donc car ils ont réussi à s’emparer du concept fabuleux de messie (donc en le travestissant frauduleusement…, mais n’oublions pas on est dans le cadre d’une religion, d’une illusion collective, dans l’invention, et quelque part… prime est à l’invention…, quand certains décident, ce qui a été inventé auparavant mérite maintenant d’être réinventé)
 comme ce messie n’est pas cautionné par l’ensemble de la communauté juive : il peut devenir un  messie sur mesure pour ceux qui le créent (ceux qui l’ont créé peuvent se permettre de dire n’importe quoi,  ils sont séparés des décideurs juifs officiels, ils n’ont plus à faire un messie qui plairait aux instances officielles)
aussi : comme jésus ne peut pas être celui qui libère les juifs de leurs envahisseurs (et on vient de voir : les jésusistes ont prévu ce constat)   : on en fait un super prophète, quelque chose de jamais vu !, celui qui vient avec la fin du monde   (en fait : les illuminés baptistes jésusistes croient dur comme fer à cette fin du monde !, il croient vraiment en leur messie !!!????, même si ce n’est pas le cas des premiers inventeurs de cette proposition de messie / bon mais là cela devient compliqué : car en fait tout cela se serait fait progressivement : et donc de façon fluide : l’illusion collective autour de jésus : aurait fait que ces illuminés se sont encouragés les uns les autres à croire en ce personnage charismatique (facile), puis à un prophète (encore assez facile), puis messie (+ difficile, mais on était sur une lancée, l’illusion collective était déjà bien avancée, et marchait toute seule, et sans doute alors que les Temps devenaient de + en + obscurs : les gens croyaient de + en + à la fin du monde juif arrivant, et donc ils ont cru de + en + à leur héros qui devait les sauver de cette fin du monde)
ainsi jésus messie :  héros et anti-héros aussi, soit disant par sa volonté (c’était bien trouvé : on ne pouvait pas sortir un héros autrement qu’en anti héros dans ces Temps où les seuls héros plausibles étaient les envahisseurs romains)
un messie, de + en + qui échappe au «  refus » des instances officielles juives puisqu’il devient de moins en moins juif (donc : l’idée d’homologation par les responsables religieux juifs est bien loin), car fédérant des juifs et des non juifs autour de l’idée : « la fin du monde est proche pour tout le monde, le messie jésus l’avait d’ailleurs annoncée ! »
(évidemment on pouvait faire dire ce qu’on voulait à ce jésus mort, à ce jésus du passé, à ce messie du passé…, « il a fait des miracles ! », « oui, des miracles de messie ! »)
(mais, possible, le jésus primitif réunissait des foules autour de cette annonce de fin du monde!, mais  il n’était pas le seul : les autres prêcheurs baptistes annonçaient cela) « et il reviendra » (là, cela n’engage que ceux qui le croient…, personne ne peut vraiment contrer une pareille prédiction…, les prêcheur peuvent mettre jésus à n’importe quelle sauce future…, il faut juste se détourner de ceux qui pourraient rétorquer : « je voudrais bien voir ça ! »)
 (d’ailleurs : 2 propositions qui étaient, de façon populiste, faciles à annoncer : la 1ère : « jésus a dit ceci et cela », et cela ne pouvait plus être vérifié ou contesté devant lui…, il était mort, dans un contexte religieux : on est + susceptible d’accepter les propos d’un leader mort, et qui + est, proposé à l’adoration dans le cadre d’une illusion collective, qui + est, laquelle commence / la seconde : (la fin du monde et la revenue de jésus) c’était annoncé toujours pour demain
alors c’était pratique, il n’y avait pas de preuves à demander sur le moment, le jour de la Révélation était toujours pour demain, les preuves toujours pour demain…, en cela les dissidents juifs (les baptistes) qui avaient inventé jésus se rapprochaient de la conception messianique juive officielle, tout arrive demain…, et on réinvente ce qui a eu lieu hier, car c’est loin.., là encore on a les coudées franches, on a les coudées franches à la fois s’agissant du passé et du futur)  
 un des biblistes de « corpus » dit
« il n’aimait pas que ces disciples lui disent : « tu es le messie »….. »,
ce chercheur dit cela, comme si tout cela n’avait pas été inventé…
moi je pense : comme salomon dit : « le messie sera choisi par son peuple » : les scribes baptistes font alors bien attention d’inventer un jésus qui ne s’impose pas de lui-même…, car il serait dit alors : imposteur
  à noter : (que le messie soit désigné comme messie, une fois mort) apparait comme encore mieux ! : cela n’est vraiment pas lui-même qui se désigne !
(à noter encore : les scribes officiels qui inventent les paroles de salomon : savent : ce sont eux les scribes officiels qui auraient à inventer un messie, les futurs scribes, ils savent : il s’agirait encore d’un messie de papier, ils savent : il serait choisi, c’est-à-dire : il serait écrit, mais bien vite les théologiens juifs vont comprendre : notre messie, il sera toujours mis au futur, au seul futur, malheureusement, il n’existera jamais au présent, et le faire « au passé », s’agissant d’un tel personnage cela ne passerait pas… (eh si…, ça a passé, les baptistes ont fait passer…)
 revenons sur le docétisme
(= jésus n’a pas été crucifié, c’est simon, celui qui l’a aidé à porter sa croix qui a été crucifié à sa place…)
on peut comprendre comme cela : les scribes juifs baptistes inventent donc (« jésus le messie ») !!!!, et ça marche, mais le conscient collectif est complétement perturbé par cette invention qui est crue pure vérité  (crue + que de raison car l’invention de jésus répondait à un vrai besoin collectif en ces Temps de fin du monde juif effective)
alors : certains (perturbés en leur intelligence un peu quand même !) se mettent (non à remettre en question cette invention qui a l’aire de fonctionner et apporte de l’espoir, transforme la désespérance en une quand même utile continuation spirituelle), mais chipotent sur certaines situations (d’ailleurs cela serait sans doute dangereux déjà de contester +) : alors une faille est trouvée : certains se mettent à contester cette crucifixion infamante de jésus, voient cela comme quelque chose qui ne tient pas debout…
possible : ce judéo christianisme naissant étant divers, fait naitre des sectes qui doivent trouver une façon originale d’exister, de prospérer
et certains proposent une solution pour que ce messie tienne mieux debout :
ils se mettent donc à dire : « non, c’est simon de syrène, celui qui l’a aidé à porter sa croix, qui a finalement été crucifié à la place de jésus »
bien sûr c’est complétement con, car : ce n’est pas un détail de cette histoire mais toute l’histoire de jésus qui est fantaisiste et  qui devrait faire douter !
en tout cas  pour les juifs chrétiens qui ont réussi à imposer leur histoire de jésus : c’est déjà là une invention (certes les inventeurs ne sont plus en vie ?, et on va vite perdre leur trace), « et si on laisse une rumeur se greffer sur ce qui est déjà complétement fictionné et débile, alors où va-t-on ?? » et les docétistes vont petit à petit être effacés, éradiqués
je suppose : ceux, les scribes baptistes, qui, alors, savent bien : (toute l’histoire de jésus a été inventée), doivent bien se marrer : de voir donc que l’histoire complète est acceptée, et que seuls des détails finalement sont contestés (quoique, s’attaquer à la crucifixion est un peu gênant, d’autant que cette rumeur va devenir une idée irrésistible, qui devra être longtemps et difficilement combattue / cela montre combien les gens d’alors étaient en mesure de croire n’importe quoi, comment ils ont pu croire déjà à cette histoire de dit christ… / mais bien sûr pour qu’une telle invention soit crue : il faut bien la circonscrire, il ne faut pas que l’invention déborde, or les gnostiques, peuvent être définis comme : n’en finissant plus de compléter l’invention)
 dans « corpus christi »  (dans le blog : le nom de la 1ère série pour toutes les séries de prieur et mordillat) : un chercheur juif chrétien lit un passage de la Passion, et il met « le ton », façon pleureuse ou presque
il ne sait pas…, il est incorporé dans la + grande entreprise de démolition qu’aura connue le dit judéo christianisme (et après plus rien ne pourra jamais être pareil), et il essaie de faire survivre sa croyance par ce ton, hélas ton ici donc complétement inapproprié, cette tentative fait de lui symboliquement le dernier croyant, le pauvre dernier croyant, le pauvre représentant de tant de croyants abusés en 2000 ans de totalitarisme dit judéo chrétien
pas de chance : cela est tombé sur lui…, il n’ a pas compris, tous les chercheurs réunis là, établissent l’histoire de jésus comme complétement fictionnée et on a fait croire si longtemps à une histoire vraie : et lui, ce chercheur est montré comme un de ceux qui veulent encore continuer continuer continuer cela…  
 « corpus christi »
Personnellement (car je m’intéressais au sujet seulement de temps en temps), dans un long premier temps, quinze ans, je suppose, il a fallu décrypter, imprimer ce qui était dit dans « corpus christi » (car c’est quand même un grand mélange avec des chercheurs qui en fait ne sont d’accord sur rien = précisément c’est déjà là ce que tu dois comprendre en 1er)
et puis j’ai compris un jour, et je suis passé à une étude + constante : c’était là la confirmation de nos doutes : bien sûr depuis longtemps, personnellement je ne croyais plus à ce dieu dit judéo chrétien et à jésus,
mais quand même je restais aussi dans cette culture (le socle de mon enfance, même territorial, avec ses églises, ses cimetières, ses calvaires etc., tous ces lieux dits judéo christianisés d’une manière ou d’une autre…), j’étais encore fondé sur cette croyance, et je me demandais surtout depuis l’âge de 18 ans, comment on pouvait croire à tout cela ?, c’était de l’ordre du mystère cette imposition de cette croyance folle et donc durant trois décennies je continuais à me poser des questions, à m’intéresser
et puis donc… arrive enfin … « corpus christi »…, alors là cela va quand même passer par un 1er coup de tonnerre, et à partir de quelque chose d’assez simple : la question : qui a écrit les évangiles ?
on ne sait pas…, des gens donc qui ont écrit cela anonymement, se sont cachés, qui n’ont pas voulu laisser de traces, donc des inventeurs…
voilà, c’était simple comme bonjour, mais pour arriver à se poser la bonne question…, il en a fallu du temps et de la recherche
on part d’une invention
donc, forcément tout ce qui est de l’ordre de l’invention a été détruit, caché, nous pouvons juste tenter de voir l’invention dans ce qui est présenté comme une non invention
durant tant d’années
les prêcheurs qui se disaient judéo chrétiens auront manipulé les foules, en fait certains, la plupart, sans se rendre compte qu’ils étaient juste des continuateurs des inventeurs du dit judéo christianisme ?
on peut se douter que : les inventeurs baptistes de tout cela étaient très malins (disons : ils ont intelligemment inventé leur prophète, leur intelligence était aussi forte que leur orgueil, certes les circonstances favorables étaient avec eux
et je l’ai souvent écrit ici : les scribes d’alors savaient écrire et savaient aussi s’effacer, brouiller les pistes jusqu’à ce que l’on croit comme non inventé ce qu’ils venaient d’inventer, c’était un savoir-faire, aussi vieux que le monde / ça faisait partie aussi du cahier des charges : l’invention primait sur les inventeurs
  ce jésus maso, collabo ?
on l’a vu, impossible d’imaginer un messie triomphant, puisque pour longtemps les envahisseurs (romains, là) sont dans la place
bien sûr : les scribes baptistes ont bien expliqué : « non !, jésus est au contraire un triomphateur, il faut oublier sa mort infamante : au contraire sa Résurrection, son triomphe devait passer par là »
eux, les décideurs religieux juifs ne veulent pas faire émerger un prophète nouveau, et en tout cas ils ne veulent  pas de cette invention de prophète crucifié
(en + ! : qu’eux auraient éliminé vite de son vivant ? (en tant que petit prêcheur baptiste fulminateur), soi-disant sans le reconnaitre alors comme (non en tant que « seulement » prophète !) « le messie ».., (mais là en posant cela par exemple : on entre dans le vertigineux, comme à chaque fois qu’on essaie de réfléchir à partir de données qui sont des réécritures de réécritures, dont on ne sait rien / nous sommes les otages des différents scribes juifs baptistes)
Si à la limite une proposition de prophète pouvait se faire à partir d’un prêcheur martyrisé, crucifié : faire d’un crucifié : « le messie » !!!!, c’est tout à fait une folie / de toutes façons : ce qu’on ne savait pas quand nous étions enfants et ados : un « messie », ça ne peut pas apparaitre (ça ne peut pas être inventé) !!!, les décideurs religieux savent bien : un type ne peut pas arriver et tout à coup faire des merveilles.., par contre on pourra toujours dire  «  un messie arrivera et fera des merveilles »,  et il faut toujours être donc dans l’attente d’un messie, c’est bon pour le moral.. / en quelque sorte : une religion tient car elle a ses piliers dans le passé, mais aussi dans le futur
Je me souviens : on était étonnés, enfants, ados : quand on nous disait (qui nous disait cela, je ne sais plus, en tout cas pas les prêtres), : « les juifs continuent à attendre le messie », genre bien sûr : « ils ne prennent pas notre messie au sérieux ».., et on trouvait cela parfaitement stupide…, mais quand même…. cela s’inscrivait dans notre conscient / il allait falloir plusieurs décennies pour arriver à entendre : en substance dans la bouche d’un chercheur juif (dans « corpus ») : « ah mais, un messie…, c’est pour le futur, toujours pour le futur », eh oui, si un type arrive et dit : « je suis le messie », c’est un usurpateur, et même si on te dit : « il est venu, c’était le messie », c’est tout autant une usurpation, les juifs se condamnent (très raisonnablement) à attendre le messie, mais cela, les décideurs juifs le savent de tous Temps, mais le juif de base est-il briefer là-dessus ? (je suppose : non)
Eh, oui, ados, nous les petits dits judéo-chrétiens d’une campagne lorraine, on souriait de cette attente des juifs, on était cons, mais il y a encore tant de cons qui se savent pas ce qu’est un messie au futur…, eh oui, il a fallu attendre « corpus » pour qu’un chercheur…, poussé dans ses retranchements, explique… / avec cette explication : cette seule explication : tout le dit judéo-christianisme tombe (je te précise : cette petite phrase est noyée dans un épisode des séries, bon, prieur et mordillât ne l’ont pas loupée, mais il faut quand même sérieusement étudier la série pour en voir toute l’importance de cette précision)
Le messie apparu
Au moins… il faudrait qu’il soit le chef de guerre qui soudain réussit à libérer la palestine de ses envahisseurs, du grand remplacement
Mais pour les juifs un peu censés et qui ne se font pas avoir par les prêcheurs juifs baptistes : on passe difficilement de l’idée d’un chef de guerre triomphant attendu : à un anti-héros comme jésus qui s’offre à la crucifixion (mais là encore : tout cela est cousu de fil blanc / le messie qui perd ses pouvoirs de faire des miracles, et se donne à l’emprise romaine, à pilate, aux coups de fouet.. / « oui tout cela est voulu » !!! prévu, écrit !, eh oui ! en effet c’était écrit, c’est bien ça !, c’est ce que les scribes écriront inventeront, maniganceront, une théologie bien affinée, simple, une belle invention)
, donc, non, il faut pas pousser…, eh encore, donc, je suppose qu’au départ i ne s’agissait que du lancement d’un « jésus prophète » (et pas encore décrété messie !)
se disent les décideurs juifs (qui n’ont rien à voir avec l’invention baptiste de jésus), « non, le prophète juif qui est à inventer doit être quand même tout autre » et de toutes façons, ce n’est pas des dissidents juifs qui peuvent se permettre d’élever un prophète !!!
(ils se disent les décideurs juifs : « on écrira, on fera écrire l’élévation d’un prophète lorsqu’il y aura quelque chose à écrire, quand l’histoire nous sera à nouveau favorable, alors on pourra inventer un leader spirituel bien orthodoxe, dont on sera bien fier, pour représenter cette nouvelle portion de notre histoire politico-religieuse judaïque »)
 le jésus historique ?
jésus aurait été un prêcheur baptiste leader et déjà considéré, dans son périple de prêcheur, comme inoffensif par les Romains
si on s’en réfère aux Evangiles : pilate n’a pas entendu parler de lui auparavant !, donc il ne serait pas un rebelle suivi à la trace
mais il faut plutôt imaginer :  au contraire : jésus a été tué par les romains, car vu comme un agitateur, cela seraient les jésusistes qui, une fois la non homologation de jésus prophète par les décideurs religieux officiels, qui ont imaginé une dénonciation faite par ceux-ci
(alors que cela ne tient pas trop debout, les juifs orthodoxes, dans un tel cas de figure, auraient vite lapidé un jeune prêcheur baptiste vitupérant se risquant à venir prêcher à Jérusalem : on peut imaginer les romains dirent : « tout ce qui est religieux : on s’en fiche, on s’en cogne, débrouillez-vous avec vos salades », et pour eux : des batailles entre juifs c’est pain béni)
mais jésus ne serait ni pro romains ni contre les romains, cela aurait été gardé : possible qu’il ait enseigné une sorte d’humanisme au-dessus de tout,  les baptistes ne sont pas des résistants armés contre les romains, étaient-ils cependant considérés comme des séditieux ? oui, car ils fuyaient les romains, ils fuyaient les territoires tenus par les romains
les baptistes : pour eux, les romains, sont le symptôme : le vrai mal tombe sur terre : c’est la colère de dieu : alors il faut se convertir, les baptistes considèrent les romains comme des méchantes marionnettes, il faut surtout s’éloigner des grands prêtres qui sont la décadence spirituelle, laquelle est encore plus scandaleuse que l’invasion romaine, et d’ailleurs rien de surprenant que romains et grands prêtres du Temple, pactisent  / ne pas oublier : les baptistes sont des fous de dieu, et c’est en tant que tels  qu’ils ont la folie d’élever un prophète en la personne de jésus le crucifié (mais attention : cela ne se fait pas : cette décision baptiste en un jour)
 proposition de prophète
quand j’évoque « la proposition de prophète », que font les baptistes avec jésus : je ne veux pas dire par là : une délégation baptiste va à jerusalem (ou ailleurs, car bientôt c’est l’exil pour beaucoup de juifs) pour rencontrer les officiels juifs : « voilà, on propose jésus comme le prophète de tous les juifs »
non : les juifs baptistes, par leurs prêcheurs, partout où il y a des juifs imposent leur prophète jésus, font croire à leur prophète jésus, dans un premier temps : les baptistes, en dissidents, savent bien que les responsables juifs officiels voient cela comme une folie, mais que peuvent-ils faire ?, ces responsables…, déjà les juifs baptistes sont considérés comme des dissidents, à ce titre : ils n’ont pas le droit d’entrer dans une synagogue
ainsi se répand : cette croyance en jésus prophète, beaucoup de juifs ont rejoint d’une façon ou d’une autre le baptisme, à présent, ils rejoignent les baptistes nantis de leur prophète jésus, et petit à petit : jésus devient le prophète potentiel de tous les juifs, car du fait des circonstances, cette « arrivée » d’un prophète est considérée comme bienvenue, et même crucialement bienvenue
mais proposition de prophète = je dis cela toujours car : il s’agit d’une invention d’un prophète
et c’est comme tel : que les responsables religieux juifs (non baptistes) voient cette histoire de jésus : ils voient là : les juifs baptistes se sont inventé leur prophète et ils essaient de faire croire qu’il s’agit du prophète de tous les juifs !
pour les religieux officiels : en soi une proposition de prophète, une invention de prophète n’est pas scandaleuse : un prophète s’invente, est proposé, mais : là il s’agit d’une invention, d’une proposition faite par des évolutionnaires fous, des dissidents : des baptistes, et là c’est scandaleux, et une telle élévation d’un  tel prophète ne peut être que combattue, et bien sûr on est loin de l’homologation : tous les courants religieux se rejoignant pour confirmer un prophète (une proposition interne de prophète), à un moment ce moment magique : « un tel est le nouveau prophète juif », une sorte de confirmation se fait il y a eu évidence, qu’importe comme se prophète a été inventé, comme il s’est élevé, comment un tel a été mis au rang de prophète après sa mort)
 jésus
un baptiste, quelqu’un qui prêche la venue d’un messie, et on a fait de lui : le messie 
 on apprend dans « corpus christi »
c’est seulement dans l’Evangile de jean qu’on lit : jésus meurt au moment crucial de la pâque juive
/les précédents scribes (Evangiles précédents) n’auraient donc pas été au courant de cette incroyable coïncidence !!!!!!
alors que rappelons-le, on est soi-disant dans l’événement le + important de l’histoire humaine (ah ah ah !)
les foules n’auraient pas retenu cela dans leur mémoire collective !!!!!!
ainsi jean (selon jean ?)  (celui qu’on nomme jean, cette fois : un 2 Evangile écrit par un scribe qui se nomme ?   et non pas    : l’Evangile écrit selon le témoignage de jean, témoignage directement collecté par les scribes,  ou non directement (témoignage rapporté encore par d’autres personnes ?, ou bien évangile selon jean tel qu’on le connait, se serait inspiré d’un autre écrit : personne ne sait, ne pourra plus savoir, et bien sûr c’est de ce côté-là qu’était l’invention de jésus
en tout cas dans cet Evangile tardif ? ou selon certains : le 1er !, considéré comme « une œuvre littéraire » même par les biblistes juifs chrétiens) est inventé ce procès à… pâques alors, si on se permet d’inventer un tel truc, alors cela signifie : « je peux bien inventer cela, tout le reste est déjà inventé »…
 oui
nos yeux ont été éclairés définitivement quand nous avons compris : l’Apocalypse n’a pas été écrite par jean l’apôtre…
là cela a été le bouquet final : pour moi, X années après l’enseignement religieux qu’on m’avait imposé, tous ces mensonges
car, A LA LIMITE, cette « Apocalypse soi-disant selon jean (l’apôtre) », nous apparaissait comme hautement curieuse, « mais cela se justifiait », pensions-nous, adolescents, par le fait : jean l’apôtre avait bien sûr été complétement ébloui, rehaussé, par son compagnonnage avec jésus !, et lequel jésus lui avait donné le don d’écriture, de prophétie ! / en quelque sorte aussi : en côtoyant un messie, tu ne peux, que te retrouver toi-même en super-illuminé !!!, et tu peux écrire un tel livre de visions, oui, cela nous semblait « crédible » (mais à un âge où cet enseignement nous était imposé, et ressortait de nous aussitôt caté et messes finies/ donc un apôtre de jésus était frappé de divinité, et cette divinité se traduisait ensuite par ce livre utile et forcément complétement allumé puisqu’il décrivait la fin des Temps…. qui en effet pouvait être bien ce qui était raconté là…, on était vraiment prêts à croire n’importe quoi, et les prêtres en profitaient !
or non, c’est écrit par un type qui s’est pris pour un génial prophète, un autre fou de dieu volontariste, qui décide de se parer d’autorité  (prophète cette fois au sens qu’on connait bien : voyant le futur, en l’occurrence, il décrit le futur que jésus voit, envoyé par dieu) et un fous de dieu qui en fait a déliré complétement, en plein volontarisme imaginatif, mais qui a senti l’utilité d’écrire cela  (ce qu’on ne savait pas : rien de nouveau là !, d’autres apocalypses avaient été écrites : on manquait de cette information : savamment tues par les prêtres donc…, à moins que eux n’aient pas été au courant ?, non, je pense qu’au grand séminaire on leur disait cela…)
c’était dans l’air du Temps de décrire mieux la fin des Temps (ne pas oublier : c’était les 1ers moments de ce qui était la fin du monde juif, la destruction du Temple etc.), et lui aussi s’y est collé : il faudrait une étude sur les différences entre les apo précédentes (juives) et celle-ci  aurait pu être jésusisée pensent certains, je l’ai déjà évoqué dans ce blog
(voir : ailleurs dans le blog : des éléments nouveaux qui en disent un peu + sur l’affaire « apocalypse » dite juive chrétienne
 + subtil :
« l’Apocalypse écrite par l’apôtre jean » ?
alors OK se disait-on : « ce jean avait écrit le fameux Evangile !!!!, et logique : tant qu’à faire d’être frappé par l’esprit saint, il avait écrit l’Apocalypse »
en quelque sorte c‘était la suite logique s’agissant de jésus / on se disait : l’apôtre a témoigné de la vie de jésus qu’il a partagé, et bien sûr cette vision du futur, elle était communiqué par jésus à un de ses proches, le message serait bien noté…
jésus une fois mort, on se disait : jean l’apôtre forcément est celui qui est capable, puisqu’il a été un de ceux si près de jésus, de nous en dire + sur la suite des opérations !!!, on se disait : « c’est normal que dieu ai choisi encore un apôtre pour être celui qui allait écrire les détails de ce qui allait se passer à la fin du monde » : en quelque sorte jean avait connu le présent divin (jésus), alors il était à même de connaitre le futur divin (qu’est-ce qu’on était cons !!!!!!! de croire un pareil truc, mais voilà…, on était complétement manipulés par le logiciel chrétien)
or c’est donc un soi-disant grand visionnaire qui aurait écrit l’Apocalypse, et ON NE SAIT PAS QUI EST-CE VISIONNAIRE qui devrait être un des scribes au nom incroyablement connu !!!!!!!, on sait juste : cela serait un : jean de patmos, dont toutes les traces ont été effacées
on ne sait pas qui est cet inventeur : alors qui s’est bien caché ou qu’on a bien caché, alors pourquoi ???  (bien sûr : cet effacement s’explique : quand on décide de dire : c’est jean l’apôtre qui a écrit cela) donc arnaque bien sûr, et on ne devrait même pas à avoir à mentionner cela tant cela est évident, tant jamais on n’aurait dû croire à tout cela..  
 la vérité
la vérité pour les créateurs et les continuateurs d’une religion : c’est leur volonté de créer ou de continuer une religion
cette religion existe : c’est leur vérité / tout ce qui s’oppose à cette création et continuation de religion n’est pas la vérité
aussi : tout ce qui est dans leurs livres est dit : « la vérité », puisque c’est là-dessus que se fonde ou se continue cette religion
la vérité n’est pas forcément ce qui a soi-disant fondé cette religion tout au départ, ce « départ » est à oublier (possible : une invention, une escroquerie, ou tout simplement du volontarisme : un fou de dieu qui veut faire partager sa folie, et que les circonstances vont favoriser), ce qui est important c’est ce qui en a été fait : cette religion, mais pas de problèmes : quand cette religion qui s’impose : impose le bien, seulement le bien…
 arrivisme spirituel
c’est le + bel, utile arrivisme, il s’agit d’emmener les autres + près de dieu, car soit même l’on se voit près de dieu
une religion se crée par cette arrivisme, et est continuée par ceux dont l’arrivisme spirituel peut consister en la prolongation de cette religion créé par arrivisme (tout le monde n’est pas génial au point de créer une religion, une nouvelle coloration de dieu)
et cela peut durer très longtemps, jusqu’à ce que un autre arrivisme spirituel apparaisse comme + légitime
notamment gnostiques
80 hérésies chrétiennes vers 380 après j c   / mais tout cela va être progressivement anéanti par l’officialisation du courant juif chrétien prédominant
mais le délire, l’hystérie semble consubstantiel à cette religion : voilà que on va s’interroger (cette fois à l’intérieur du courant officiel, si j’ai bien compris) sur la vraie nature du dit christ… , et cela va être une longue, incroyable folie et cette fois, c’est assez connu
précisément : nous, enfants, ados, déjà nous étions informés (par la bande) de cette folie : mais cela masquait le gnosticisme / si en + nous avions été informés de ce courant gnostique, cela nous aurait ouvert les yeux
 dioclétien
il faut s’intéresser à cet empereur romain : en orient : lui, il persécute les juifs chrétiens, alors que constantin se les met dans la poche, s’en fait des alliés
 les cathares
1000 ans après les gnostiques (les cath sont aussi des gnostiques) ils rament !!!!, pour eux le spirituel pour être célébré doit l’être par la + grande austérité, alors il est facile d’édicter cela
on garde jésus : il est considéré comme donnant la bonne parole (bien sûr mise à la sauce cath.)
par contre : il faut se séparer de l’Ancien testament… (pourtant jésus c’est…encore l’Ancien testament), alors ils font un tri là-dedans, ils comprennent qu’ils ne sont pas assez forts (comme l’ont tenté les premiers gnostiques) pour faire une nouvelle « explication du monde »
alors dans l’invention hébraïque, si affinée (réussissant, textes sacrés après textes sacrés à faire croire qu’elle expliquait le monde…, or c’est pur bullshit) ils prennent ci et retranchent ça…
 constantin
d’après paul veyne, 5% de juifs chrétiens dans l’empire romain alors, et jusqu’alors persécutés (pour résumer, par l’empereur dioclétien)
il est intrigué par cette nouvelle religion, il l’a trouvée intéressante, et il tente sa chance avec jésus !, cette protection demandée ira jusqu’à se faire baptiser (tardivement :  lors de ces derniers moments (si cela est vrai, et pas inventé par les juifs chrétiens car ils sont des sacrés inventeurs !)
bien sûr, le judéo-christianisme est intéressant !, et constantin d’ailleurs va essayer de faire évoluer cette religion…, c’est donc une (sous) religion (une hérésie juive) qui existe depuis longtemps et qui, selon paul veyne est d’avant-garde : elle est celle qui fait parler, même si on n’est pas judéo-chrétien
et paul veyne dit : « constantin a pris le risque de se fâcher avec les 95 % autre des autres religions », cependant : les autres religions peuvent continuer sous son règne / sans doute : on exagère son coup de projecteur sur le judéo-christianisme, son choix  est spectaculaire mais constantin n’en continue pas moins à demander protection aux autres religions
à ce propos paul veyne dans la série « Apocalypse » de prieur et mordillât tenait à lire une déclaration judéo chrétienne de constantin (sa parfaite dévotion), qui sent les scribes chrétiens à plein nez et tardifs (mais le chercheur ne semble pas prendre cette piste là !)
 une illusion qui va tenir debout
c’est sous constantin (à vérifier) qu’on commence à documenter jésus, qu’on essaie de trouver en palestine ses traces
il y a donc l’invention jésus, une illusion     + la constitution de ses traces, une autre illusion
mais 1 + 1 = une illusion maintenant solide, une espèce de vérité
qui va pouvoir durer 2000 ans !
une mise en dépendance (il y a cette expression pour comprendre : par exemple les scribes se servent du personnage de pilate, pour faire leur histoire de procès de jésus
on dit donc : il y a mise en dépendance du personnage de pilate dans cette fiction)
 jésus    
il vaut mieux qu’il ait pas trop existé…, il vaut mieux que jésus soit une chimère créée par les scribes (venant après les prêcheurs fous), il vaut mieux que les scribes (pour réussir un beau personnage) se soient servi de la vie de plusieurs prêcheurs baptistes
oui, car, faire d’un seul homme, d’un humain existant (même si c’est après sa mort) : un messie !!!! : cela serait une sorte de crime de diffamation, de mensonge, cela serait aussi mettre la malédiction sur soi et sa lignée d’ainsi trahir un homme qui a existé fût-il un prêcheur
 « fils de zeus »
tout comme Alexandre dit : « je suis le fils de Zeus », ou bien ce sont ses scribes qui inventent cela ensuite
paul   (ou bien ceux qui écrivent pour lui) : « dieu m’a dispensé la grâce », dieu lui accorde la connaissance du mystère divin…
il y a la possibilité de dire cela, de prétendre cela, ou de mettre cela sur le dos d’un leader spirituel, et tu peux commencer une religion comme cela, et proposer aux autres ce début de « prêt à adorer », les foules ont besoin de ce prêt à adorer /     l’oiseleur attrape les oiseaux, l’oiselier les vend, l’oisif les achète
 carcassonne
un théologien cathare à Carcassonne en 1326 : « moise et jésus des hommes importants, mais pour faire des lois, mais non aptes à créer des religions »
les cathares recommencent le baptisme ! : ne veulent plus de cette riche eglise, de ses prêtres, il faut tout recommencer dans la pauvreté, 1OOO ans après
pour eux la Bible hébraïque comporte du faux, à ne surtout pas suivre, il font un tri là-dedans…
et le Nouveau testament, ok mais ça ne suffit pas, alors ils prennent en compte des textes apocryphes juifs chrétiens… (inventions folles après l’invention déjà pas mal allumée)
pour eux aussi il est très difficile de créer une religion !!!, ils ont vite les adeptes de cette religion, alors même qu’ils ne réussissent pas à établir le socle définitif de ce que pourrait être cette religion cathare…, pas facile de créer une religion, mais donc : les adeptes sont vite là : là encore : des circonstances particulières font qu’il y a quelque chose d’irrésistible (de divin) qui se passe avec le catharisme : comme ce qui s’est passé avec le judéo baptisme, il y soudain une formidable demande de catharisme, là  
 le catharisme
c’est donc le retour du baptisme : cette fois un baptisme… prenant à la gorge le judéo-christianisme !!! (qui a débuté en tant que baptisme !) alors repu de 1000 ans de triomphe / les cathares eux aussi veulent un retour au désert, à l’austérité, laquelle seule fait approcher du spirituel, du supérieur
les juifs baptistes avaient été persécutés par les juif : leur prêcheur jésus mis à mort, et surtout : leurs prêcheurs et convertis  mis hors synagogues, alors : il avait fallu trouver un enseignement à la fois sur le socle judaïque (car les baptistes avaient déjà assez inventé comme cela, avec cette invention de jésus, ils ne se sentaient pas capables d’inventer un jésus non juif ?, un enseignement tout neuf, si c’est possible), et tout autant il fallait quand même tenir compte de la séparation imposée, d’ailleurs il fallait obligatoirement un peu se singulariser (mais pas facile non plus, simplement ça)/
les gnostiques très tôt tentèrent de faire du jésusisme, du dit judéo-christianisme : une religion + séparée du judaïsme, mais furent éradiqués, il ne réussirent pas à être crédibles, ne s’imposèrent pas assez, ne le purent / partout où ils se trouvaient : persécutés, par les judéo chrétiens et les autres religions  
et voici après l’an 1000 : le catharisme persécuté par les dits judéo chrétiens…, puis éradiqué, et cette fois la dissidence n’a pas eu raison de la maison mère, mais les cathares (et ceux qui les ont précédés) tentèrent d’inventer A NOUVEAU !!!, décidément !, un christianisme + débarrassé de l’invention judaïque / les judéo-chrétiens ne leur laissèrent pas le temps d’inventer ce nouveau « christianisme », cette nouvelle religion que tout appelait
 dans « corpus »
un chercheur (juif !) évoque « jésus  n’intéressait pas l’aristocratie, il s’adressait aux classes populaires »
déjà ce juif croit en la réalité historique de jésus !
le voit-il comme le messie ?, un prétendant messie ?, il faudrait bien lui demander (en tout cas je sors cela de son contexte bien sûr)
mais : jésus n’intéressant pas l’aristocratie judéenne, ainsi le messie, l’envoyé de dieu, le type le + important depuis la création du monde n’est pas trop pris au sérieux par l’aristocratie juive, mais la populace est à l’écoute ah ah ah
un messie c’est donc seulement ça ? un type qui n’arrive même pas à être crédible pour tous !! ah ah ah
 en résumant
le dieu juif (par comparaison avec la suite) = un dieu méchant
les juifs chrétiens le font + bienveillants (c’est le même)
et puis vient le dieu « gnostique » : cette fois : une donnée nouvelle : (les juifs chrétiens ont commencé à toucher à dieu, alors c’est un déclic pour les « gnostiques chrétiens », gnostiques croyant en jésus mais beaucoup moins en la Bible hébraïque) : et c’est… : 2 dieux : l’un satanique qui a créé la Terre, le monde physique (et c’est donc… le dieu juif et juif chrétien) et l’autre : le dieu bon qui a créé le royaume spirituel
  juifs chrétiens  
de fait : tu es juif chrétien si tu as été baptisé…, tu es relié (selon ceux qui t’ont baptisé) à la tradition judaïque, tu es mis dans la suite de la Bible judaïque (certes, son interprétation diffère de celle des juifs)
 les hérétiques chrétiens : les bogomiles
jésus christ sur Terre, ils savent pas trop expliquer cela, mais une seule chose est sûre : « sa mort sur la croix, absurde, une défaite face à satan, un scandale »
à l’évidence : ils ne sembleraient pas s’encombrer de tous les histoires : « c’était pour sauver les hommes » et tout ça….
Ils contestent ainsi : le dogme numéro1 du dit judéo christianisme, en torpillant ce pilier (cousu de fil blanc) du judéo cr.
    volume 22+        relu février 2020
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aigrefinmedia · 6 years
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La France hait d’instinct tout ce qui l’empêche de se livrer aux nègres. Elle les désire, elle les veut. Grand bien lui fasse ! qu’elle se donne ! par le Juif et le métis toute son histoire n’est au fond qu’une course vers Haïti. Quel ignoble chemin parcouru des Celtes à Zazou ! de Vercingétorix à Gunga Diouf. Tout y est ! Tout est là ! Le reste n’est que farce et discours. La France brûle de finir nègre, je la trouve fort à point, pourrie, croulante de métis. L’on me fait bien rigoler lorsque l’on m’annonce 5 ou 800 000 juifs en France ! La bonne plaisanterie ! Rien que Saint Louis, le bien nommé, en fit baptiser 800 000 d’un seul coup dans la Narbonnaise ! Pensez s’ils ont fait des petits ! Encore 50 ans, plus un seul Français qui ne soit métis de quelque chose en «ide», araboïde, arménoïde, bicoïde, polonoïde… Et «français» bien entendu cent mille fois plus que vous et moi. […] Si la guerre civile avait duré ce serait d’ailleurs déjà fait. Nous aurions deux millions de morts, aryens, remplacés immédiatement (dixit Mandel) par deux millions d’asiates et nègres, le grand programme juif. […] Tous les métis, les allogènes, les Maurras etc. sont animés d’une haine sourde, animale, irréductible pour tous les Celtes et les Germains. […] La France actuelle si métissée ne peut être qu’anti-aryenne, sa population ressemble de plus en plus à celle des États-Unis d’Amérique. Même vœux, même politique profonde. Ahuris de partout rassemblés sous commandement juif, plus quelques débris d’indigènes nordiques et celtes à la traîne, fondants d’ailleurs, en voie de disparition (là-bas des peaux-rouges). Voyez nos équipes nationales sportives, bariolages grotesques, hâtifs racolages de n’importe qui, pêchés n’importe où, d’Afrique en Finlande ! Le coup de grâce, sans conteste, nous fut porté par la guerre 14-18 : deux millions de morts, plus cinq millions de blessés et d’abrutis par les combats et l’alcool, soit toute la population masculine vaillante, (en majorité aryenne bien entendu) lessivée, anéantie. Et parmi ceux-ci certainement tous nos cadres réels, tous nos chefs aryens. La question des chefs ! La masse ne compte pas. Elle est plastique, quelconque, elle fait viande, poids de viande, c’est tout. La guerre, la vie le prouvent. La masse, la troupe ne vaut que par ses cadres, ses chefs. La troupe la mieux encadrée gagne la guerre. C’est le secret, c’est le seul. Nos chefs, nos cadres sont morts pendant la guerre super criminelle 14-18. Ils ont été immédiatement remplacés au pied levé par l’afflux des arménoïdes, araboïdes, italoïdes, polonoïdes etc. tous énormément avides, bercés depuis toujours au rêve, dans leurs bleds infects, de venir jouer ici les chefs, de nous asservir, nous conquérir, (sans aucun risque). Une magnifique affaire ! Nos héros 14-18, leur cédèrent sans barguigner leurs places toutes chaudes. Elles furent comblées immédiatement. 4 millions de polichinelles anti-français de corps et d’âmes, français de jactance seulement, on a bien vu ce que valaient les cadres Boncourt, les naturalisés Mandel pendant la guerre 39-40 ! Les femmes se marient avec ce qu’elles trouvent ! Certes ! Nouvelle floraison de métis ! Quelle comédie ! Quel lupanar ! Ainsi soit-il ! «Ils viennent jusque dans nos bras ! Égorger etc.» Ce ne sont pas du tout les «féroces soldats» qui ravagent et détruisent la France mais bien les renforts négroïdes de notre propre armée. Pour être juste, ils n’égorgent rien du tout, ils saillent. Et c’est l’imprévu de la «Marseillaise» ! Rouget n’avait rien compris, la conquête, la vraie de vraie, nous vient d’Orient et d’Afrique, la conquête intime celle dont on ne parle jamais, celle des lits. Un empire de 100 millions d’habitants dont 70 millions de cafés au lait, sous commandement juif est un empire en train de devenir haïtien, tout naturellement. Sommes-nous complètement abrutis ? C’est un fait, par l’alcool et le métissage, et puis pour bien d’autres raisons… (Voir les Beaux Draps, interdits…) Anesthésiés, insensibles au péril racial ? Nous le sommes, c’est l’évidence. 50 000 étoiles jaunes n’y changeront rien. La France entière pour un peu, plus dreyfusarde que jamais, par sympathie si chrétienne, arborerait avec fierté le signe judaïque. Légion d’honneur nouvelle, zazou, beaucoup plus justifiée que l’autre. Et tout pour Blum et pour de Gaulle ! Mûrs pour être colonisés ? Nous le sommes ! Par n’importe qui ! Parler de racisme aux français, c’est parler de sang pur aux bicots, mêmes réactions. Vous ne faites plaisir à personne. Vichy s’occupe paraît-il du racisme, à sa façon, comme il s’occupe de mes livres, il a doté M. Carrel, fakir Lyonno-New-Yorkais, de 50 millions de crédits (Bouthillier-Reynaud) pour s’occuper de la chose. Allez un petit peu demander à ce Claude Bernard ce qu’il pense du problème juif !… Vous serez servis. À peu près ce qu’en pensent, j’imagine, Mr Spinasse et le général Mac Arthur ! «Pensez racontent ses assistants que si Mr Bergson était encore là, les Allemands lui feraient porter l’étoile jaune !» Autant par les crosses ! Alors beau chose, dites-nous vous-même, un petit peu, ce que vous préconisez ? Ah ! que c’est plus délicat… malcommode… ardu… cruel… Que Dieu me garde du pouvoir ! des lourdes confiances populaires ! Je les mettrais toutes en bouillie ! Je découperais d’abord la France en deux morceaux. Pour la commodité des choses, la tranquillité des parties. Le slogan «Une, Indivisible» m’a toujours semblé un truc de «maçons». Au point où nous sommes arrivés dans la décadence, nous serons forcément têtards dans l’«Indivisible» nous les gens du Nord, puisque c’est le sud qui commande, c’est-à-dire le juif. Les Romains trop métissés se sont donné deux capitales, j’en ferais tout autant. Marseille et Paris. L’une pour la France méridionale, latine si l’on veut, byzantine, «Suralgérique», tout aux métis, tout aux zazous, où l’on aurait tout le loisir, toute la liberté d’héberger, chérir à fond tous les plus beaux youtrons du monde, de les élire tous députés, commissaires du peuple, archevêques, druides, génies, de se faire endaufer par eux, à l’infini, en attendant de tous passer nègres, l’affaire de trente ou cinquante ans, au train où poulopent les choses, d’atteindre enfin le but suprême, l’idéal des Démocraties. L’autre pour la France «nord de la Loire» la France travailleuse et raciste, sans Blum, sans Bader, si possible, sans Frot non plus, c’est à tenter. Je crois qu’il est peut-être temps que s’opèrent quelques grandes réformes… La France idéal St-Domingue ne m’intéresse vraiment pas. Peut se la farcir qui se présente, je m’en fous très énormément. Je regrette tout simplement d’avoir laissé tant de ma viande (75 pour 100) pour défendre cette saloperie qui ne rêve que de Lecache. Une si grande guerre, tant de misère, pour aller de Rothschild à Worms ! Il faudra vraiment du nouveau pour me faire devenir patriote. Je crois que ce sera pour une autre fois, pour un autre monde peut-être, celui des morts si je comprends bien, la vraie patrie des entêtés.
Louis-Ferdinand Céline, Lettre à Henri Poulain - 15/06/1942
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claudehenrion · 4 years
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Après l’échec inévitable du progressisme… il restera quoi ?
  Même si nombre d'entre nous refusent cette perspective, les jours heureux sont derrière nous.. ''Aveugles-par-construction'', nous sommes les témoins de la fin de l'ère d'une démocratie “apaisée”. Dans le “soft-goulag” (un de nos futurs les plus probables, l’autre étant une islamisation ''bessif'',) qui est déjà notre présent à cause du covid, il est interdit de dire que “c'était mieux, avant’‘ : les chiens de garde de la ’'pensée correcte” ont la morsure rapide, la haine virulente et des dialectiques mensongères à foison, et ils vous ostracisent ''complotiste'' tout en violant à chaque seconde leurs soi-disant principes --ces ''vertus chrétiennes devenues folles'' dont parlait Chesterton--  au nom de leur nouveau dieu : une tyrannie hygiéniste primaire qui ne peut mener à rien de favorable. Nous sommes ‘’en Marche’’ vers le pire...
 J'ai souvent l'impression d'assister à la fin d'un monde, un monde que j'ai aimé, où le bonheur était une possibilité, plus beau que tous ceux qui l'avaient précédé, et que ceux qui pourraient lui succéder, tels qu'on les imaginait ou tels qu'on les redoute. Je me sens devenu prisonnier d'un système où la vérité est pourchassée, où la nostalgie est criminalisée, où la pensée clonée est si fort enfoncée dans l'inconscient collectif qu'il n'est plus possible de penser hors d'elle : le curseur est bloqué et la censure veille, refusant que puisse exister toute interprétation autre que ce qui est réputé ''correct'' (donc mensonger) sur tout ce qui concerne les hommes, les cultures, les religions, les civilisations, l'histoire, les rapports hommes/femmes, les races et le racisme, le CO², la vie sexuelle, les critères de filiation, la famille, la température dans les appartements, le nombre de fruits et légumes quotidiens, les modes de procréation, les conséquences de votre douche quotidienne sur le climat, ou encore les masques, les tests, les lits d'hôpital ou les vaccins ! Aujourd’hui, c'est l'âme elle-même de chacun d'entre nous qui est menacée dans son socle vital, l'âme de la Cité comme celle de chacun de ses composants. Il ne reste plus, à ceux qui se souviennent du monde d'avant, que de regarder s'éloigner à regrets le vieux rivage où je suis né, disait Chateaubriand.
  Des gens que je croyais “pensants” et qui ne sont que “roseaux”, me disent : “Tu ne peux pas dire ça...”, ou “On ne peut pas penser ça, en 2021...”, comme si la date modifiait, par sa seule présence, la définition du mot “penser”, ou comme si “pour penser” on avait besoin d'une permission, comme on nous l'impose désormais pour vivre (survivre ?), respirer, bouger, aller ou venir (cette invention satanique se nomme, en patois ''novlangue'', une ''autorisation dérogatoire'', nécessaire pour arracher 135 € aux griffes de nos tortionnaires)... Marqueur de notre temps, la prétention orgueilleuse à ne croire que ce qu'on nous intime de voir, “hic et nunc”, prétend balayer toute l'expérience de l'humanité, tout ce qui nous a précédés, tout ce qui, avant nous, a pensé, réfléchi, cru, imaginé, découvert, pratiqué, aimé avec raison --ou même sans… Cette erreur grossière s'explique facilement : le monde a été privé d'âme, et le lien qui a toujours existé entre la Cité ou la Nation et les gens a été rompu, sans alternative et sans le moindre espoir, pour le moment. Car tous les ''progrès'' qui nous sont tombés dessus depuis 50 ans ont-ils rendu l'humanité plus heureuse ? La réponse est ''non'', collectivement et individuellement. Et ce n'est pas une bonne nouvelle.                                                                                                                                    Des leaders (?) inconséquents ont concocté la fiction d'un monde qu'ils rêvent “ouvert”, sans différences, sans frontières, sans identité et sans cultures, un monde qui méprise le passé et le besoin d'enracinement qui sont ''de définition'' en tout être humain : on voudrait faire croire que puisque tout se vaut, rien ne vaut... Les humains (ou ce qu'il en reste) seraient donc, contre toute évidence, égaux au point d’être vus comme interchangeables, hommes et femmes, transgenres et bi-sexes (?), noirs, jaunes ou blancs… Et même les animaux se joignent à ce bal de la décadence. Tous, d'ailleurs, seront peu à peu remplacés par des cyborgs dits “trans-humains”, bardés de capteurs, nés d'un utérus artificiel, sans Père, bien sûr (et bientôt sans mère… car c'est inévitable, à terme --mais on ne l'a pas encore dit aux féministes enragées qui se rêvent victorieuses, les sottes !), condamnés à vivre cent, deux cents ans ou plus une vie d'insecte social, sélectionnés sur catalogue (ce qui est point très important les  progressistes qui tiennent à la “PMA pour tous”). Et pour préparer cette catastrophe, nous sommes entrés dans le temps du “n'importe quoi, mais obligatoire pour tous” qui est un des marqueurs de la pensée de Gauche, collectiviste par système. C'est un cauchemar... mais tant pis pour l'humanité, qui aurait pu continuer à être heureuse (au moins un peu plus !).
  Vous avez dit “progressisme’' ? Le sinistre (ce qui veut dire : ’'à gauche”!) Aurélien Taché, ce prototype de lui-même (donc de rien), répète cette définition du macronisme rétro-progressiste : “les conservateurs sont nos ennemis”… phrase idiote qui le condamne à subir à son tour le “du passé, faisons table rase…” qui a assuré l'échec de l'hydre communiste, ce qui n'est une surprise que pour ceux qui tiennent à garder les yeux grand-fermés. Finalement, on peut sérieusement se demander si c'est l'Islam qui constitue la pire menace pour l'humanité, ou si lui aussi ne devra pas s'effacer devant la “nécessité sacrée” (?) de suivre docilement un mouvement qui nous mène… là où il était vital que l'humanité ne mette jamais les pieds. Le choix n'est ni facile ni enthousiasmant, entre devenir une victime non-consentante de l'inhumaine charia'a... ou un robot “in-mourable” de moins en moins pensant ! Il risque pourtant d’être très bientôt le seul possible… 
  Mais l'humanité ne peut pas reposer indéfiniment que sur des mensonges, et nos faux gourous ont donc dû inventer une solution encore bien pire que le cauchemar : “changer l'Homme”, ou plutôt fabriquer une humanité sans êtres humains. Ils rêvent de nous faire gober qu'il suffirait que quelque chose soit techniquement possible pour être, ipso facto, humainement et socialement désirable, ce qui est un mensonge de plus. Sont-ils des cons, des salauds, des criminels, ou les trois à la fois ? Un monde sans frontières et sans interdits (donc sans sagesse) ne peut être qu'un monde d'anxiété et de peur, propice à l'éclosion de mille névroses... dont toutes celles de nos dirigeants indignes..
Mais quand on peut poser une bombe, insulter les femmes, voler des ‘’vieilles’’, “se payer” un pompier, “casser du flic’' en hurlant ''à la brutalité policière'', tuer des ''n'importe qui'', dans la rue, briser des vitrines, violer des églises, foutre le feu aux bagnoles ou piller pour piller sans rien risquer, simplement parce qu'on glapit  ’'Allahou Akbar” (ce que ne fait pas le pauvre bougre qui pique une pointe de vitesse ‘’assassine’’ à 136 km/h : pour lui, pas de pitié !)... qui peut douter que les bornes de l'intolérable ont été franchies ? Liberté chérie, fraternité sans gestes anti-sociaux, respect de ''l'autre'', terrasses de café bondées, remonte-pentes qui remontent, bref arrêt de l'irruption tous azimuts de l'Etat dans nos vies qu'il ne sait que rendre invivables... quand retrouverons-nous enfin le droit de vivre et de mourir en paix ?. En français contemporain, on dirait quelque chose comme ''Lâchez-nous les baskets !'', et en bon français pompidolien, qui reste mon dialecte préféré de loin : ''Mais arrêtez donc d'emmerder les français !''.
H-Cl.
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claudehenrion · 4 years
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Croyances mortelles et folie du monde : qui a engendré l'autre ?
  Pendant que, en France, le milieu universitaire s’écharpe autour d’un ‘’islamo-gauchisme'' nié par ses promoteurs, on découvre qu'une étudiante de la belle université canadienne McGill a porté plainte contre un professeur de littérature québecoise, sous prétexte qu’elle n'avait pas été prévenue qu’un roman qui était ''à étudier'' contenait un terme ''offensant'' . Cet échec de l'intelligence résume la dérive de ces universités qui oublient les principes par trouille de risquer de choquer quelques élèves qui sont ''pré-choqués'' par système ! Le mal frappe partout...
  Huit romans résument l’histoire littéraire de la Nouvelle-France. L'un d'eux est le monument de la littérature canadienne, ''Forestiers et Voyageurs'' de Joseph-Charles Taché, que j'ai tant aimé dans ma jeunesse. Ce recueil de nouvelles raconte les mœurs des trappeurs français, vers 1863. Mais patatrac ! Page 99, il est écrit ''travailler comme des nègres'', et une élève de couleur, ''offensée'' (sic !), s'est plainte. Le professeur n'a pas réussi à lui faire comprendre que ce qui peut paraître choquant de nos jours ne l’était pas au XIXe siècle, et que ça s'appelle ''la contextualisation'', le contraire de l'anachronisme : ce qui est  important, dans nos pauvres universités trop ‘’bien-pensantes’’, ce n'est plus ni la vérité ni l'intelligence !
  Cette anecdote résume le mélange de pathologies, toutes mortelles, qui frappe aujourd'hui le système universitaire occidental (et lui seul). C'est un cocktail de néo-antiracisme, de LGTB-tisme, de faux féminisme, d'islamo-gauchisme, des folies des lobbies gay, ‘’cisgenre’’ (?) et ‘’transgenre’’, du décolonialisme et de l'indigénisme, et de quelques autres folies, tout aussi ravageuses. Le plus grave est que nos ''responsables-sic'' ferment les yeux, tétanisés à l'idée de paraître ''pas dans le coup'' sur un ''modus operandi'' fait des mêmes mots, des mêmes outrances, des mêmes bobards, des mêmes glissements sémantiques, des mêmes accusations staliniennes et du même vocabulaire corrompu qui encourage toutes les déformations, toutes les distorsions et tous les  ''gauchissements'' de la vérité).
  Cette ‘’complicité entre le terrorisme et les idéologies dites indigéniste, racialiste et décoloniale'' ne rêve que de détruire le système universitaire occidental et son fonctionnement quotidien, à travers une ''police de la pensée'' et une ''chasse aux sorcières'' dont ils accusent, à contre-rôle, leur ministre --rituellement sommé de démissionner. Du coup, des faibles se mettent à hurler avec les loups : tel ministre ''aurait tenu des propos qui pouvaient être interprétés comme....'' (et que ce soit faux ne gêne personne) : la plus petite atteinte à la semi-anarchie qui règne dans plusieurs universités est dite inacceptable par une poignée d'universitaires ''dans le coup'' qui se placent dans la posture avantageuse de résistance à un supposé ''pouvoir autoritaire qui cherche à camoufler les injustices et les inégalités''.
  L'islamo-gauchisme est la rencontre de l'islam politique radicalisé avec le pire du socialisme occidental, sur fond de rancœur post-coloniale et de lutte antiraciste exacerbée (qui est une haine raciale et raciste, et rien d'autre). A l'origine, c'était un calcul électoral mitterrandien qui depuis 30 ans, a fait de  la gauche l'idiote-utile des islamistes... ''Quand on veut déjeuner avec le diable, disait un proverbe, on prend une longue cuiller...'' . Le socialisme est mort d'avoir confondu ''lutte des classes'' avec ''lutte des races’’, comme en mourront aussi, chacun à son tour, le mélenchonisme délirant et le macronisme irresponsable. Mais la France aussi, hélas, si la réaction n'est pas à la hauteur, et rapide, en plus.
  Pour Max Weber, l’éthique de la conviction est la caractéristique du ''savant'', surtout lorsque, comme dans le cas présent, des théories ne tiennent pas la route deux minutes (d'où, sans doute, le besoin d'entre-soi et le rejet de tout contradicteur de ces ayatollahs) : c’est en n'y souscrivant jamais et en démontrant qu'elles sont fausses et absurdes qu’on les fera reculer... Encore faudrait-il que des ''collabos'', pour se faire croire qu’ils sont dans le coup, n'interdisent pas toute critique !  
  Car l'apparente symétrie n'est qu'un piège : il ne s’agit pas de l’affrontement de deux idéologies opposées, comme le furent le marxisme et le libéralisme, ou le  keynésianisme et le monétarisme, mais d'une seule théorie, qui n'admet pas la moindre contestation, et qui s'impose et se répand, comme une hégémonie culturelle à quoi rien ne doit pouvoir être opposé : les idéaux issus de la philosophie des lumières et la foi dans la force émancipatrice de l’enseignement de masse sont en pleine déroute, ainsi que la foi chrétienne, pourtant support majeur de notre civilisation et seul et dernier rempart possible contre cette effroyable pandémie...
  Ces théories mortifères n'ont qu'une seule idée, obsessionnelle : la mort de la famille patriarcale traditionnelle et du Père en particulier. Présentées comme un ensemble cohérent, tous les  ''politiquement correct'', ''woke'' ou ''cancel culture'' et ''doxa diversitaire, différencialiste ou victimaire''... ne sont que des idéologies de destruction massive. En ce moment focalisées sur l’enseignement supérieur, elles pourrissent l’ensemble du corps social, à travers une anti-élite paradoxalement aussi inculte que sur-diplômée, par ''entrisme'' dans les syndicats, les associations, les ONG, les partis politiques, les clubs de sport, les administrations, et même des entreprises et, bien sûr, la quasi-totalité du corps enseignant et la Justice. Elles rongent les manuels scolaires, et les médias, tellement ouverts à tout ce qui est pervers... Comme le marxisme jusqu’aux années '80, cette idéologie formate et déforme la pensée, impose son vocabulaire et ses comportements (par exemple, l’écriture inclusive, cette aberration qui est une négation de l’intelligence).  
  Max Weber (encore lui !) préconisait la ''neutralité axiologique'' : ''le prophète et le démagogue n'ont pas leur place dans une chaire universitaire'', et il est, bien sûr, ''inexcusable que le maître profite de sa situation pour essayer de marquer ses élèves de ses propres conceptions politiques''. Ce grand économiste et sociologue n'avait pas prévu une décadence où les élèves se mettraient à  terroriser les professeurs et leur imposeraient les pires mensonges, et pourtant le matraquage politiquement correct bat son plein, et les médias, intoxiqués, pratiquent un véritable lavage de cerveau pour faire croire aux naïfs que l'immigration, y compris clandestine, serait soit une invention soit une impression (sic !) des méchants blancs... A les en croire, il n'y a jamais assez de ‘’migrants’’, d'où leurs clameurs d'indignation outrancière à chaque mouvement des forces de l’ordre, qu'ils ramènent au niveau d’une bande de voyous comme une autre --en plus brutal !
  Il faut aussi parler des "avancées" sociétales. Toute idée insoutenable (même si, derrière elle, existent quelques situations individuelles douloureuses) mérite des éloges dithyrambiques, à la radio et dans les journaux (on pense à ce documentaire militant sur Arte, sur la "transidentité", applaudissant au changement de sexe d'un enfant de huit ans... ou à la diffusion sur des chaînes de télévision d'un programme de "rééducation" en seize épisodes, censé déconstruire les ''préjugés sexistes des enfants'', clairement inspiré par la théorie du genre et conçu avec l'association féministe Les Chiennes de garde)... La liste est  interminable, de toutes ces horreurs conceptuelles qui circulent comme s'il s'agissait de choses normales...
  Et n'oublions pas l'actuelle ''crise sanitaire'' : non contents de relayer servilement le discours du gouvernement depuis des mois, les médias bien-pensants censurent carrément ceux qui ne partagent pas le point de vue officiel et ses idées liberticides (NDLR - le controversé patron de BFM TV, Marc-Olivier Fogiel, ne s'en cache pas : "Dès qu'on a entendu ce que racontaient les rassuristes (?), on a fait en sorte de ne jamais plus les inviter", officialisant le fait que nous vivons dans un régime dictatorial... pour le moment encore un peu ''soft''). Mais censure et interdictions façonnent peu à peu l'opinion publique. Un espoir ? De plus en plus de gens de bonne volonté commencent à se rendre compte que l'heure est grave... 
H-Cl.
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claudehenrion · 4 years
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Camelia Jordana
  Comme une suite naturelle au ''billet'' d'hier, j'ai eu une étrange envie soudaine de vous parler de Melle Camelia Jordana. Ne me demandez surtout pas d'où me vient cette idée saugrenue, que rien, dans mon ''parcours'' intellectuel, social et autre, ne permet d'expliquer, si ce n’est : ''pourquoi serais-je le seul à ne pas parler d'elle ?''. Le fait que je n'aie rien à dire de pertinent et de sensé sur cette personne, reflet de ce que l’époque a de pire, me met à égalité d’incompétence avec tous les pseudo-intelligents auto-proclamés qui se gargarisent de ce nom qui est porteur de... rien.
  Comme toute personne qui s'oblige à parler d'un truc pour lequel il n'éprouve pas la moindre sympathie ni n'a la plus petite appétence, j'ai été visiter quelques sites du ''web'' pour éclairer ma lanterne, et j'ai trouvé ce qui ferait de moi un ''expert-du-20-heures'', si j'étais un plumitif de gauche. Camélia Jordana Aliouane est née le 15 septembre 1992 à Toulon. dans une famille aisée. Son grand-père, un ex-référent local du Front de Libération nationale (FLN), donc indépendantiste et ennemi juré de la France, était venu vivre dans ce pays (je n'ai pas trouvé la logique de cette migration... ou plutôt, je crains de trop bien la comprendre !). Fillette multi-douée, elle n'a rien trouvé d'autre, pour atteindre une célébrité désirée, que de cracher dans la soupe. ''Cuique suum'', disaient les romains : chacun fait comme il peut !
  Bien qu'ayant une voix plutôt plus agréable que la majorité des hurleurs/-euses grinçants que nous imposent les chaînes du ''Sévice public'', elle se lance, en novembre 2018, à 16 ans à peine, dans une suite d'anti-faits d'armes qui montrent un racisme anti-blancs illimité : ''Ma génération ne se reconnaît pas dans la société française, dirigée par des vieux blancs riches'' (Macron, sans doute, ou Benalla ?). Elle n'en meurt pas de ridicule, elle persiste même, et en mai 2020, elle prétend parler au nom ''des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau, c’est un fait''. Oubliant que ce sont des bandes de soi-disant ''jeunes'' comme elle qui font ces ''massacres'' , elle précise même sa non-pensée : ''Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en fais partie. Quand j’ai les cheveux frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France''.
  Même si entendre de telles énormités en ''défrise'' plus d'un, la gauche bobo-progressouillarde  (Manon Aubry, Manuel Bompard, Rokhaya Diallo, Aurélien Taché) ne se sent plus de joie, et SOS Racisme lui apporte son soutien, tout comme la très sulfureuse Assa Traoré, ce qui équivaut à une condamnation devant toutes les règles morales ! Mais le 15 janvier 2021, re-belote : elle déclare à l'Obs, toujours ouvert à ce qui est fermé :  ''si j’étais un homme, je demanderais pardon, (...) Car les hommes blancs sont, dans l’inconscient collectif, responsables de tous les maux de la terre''. Il est difficile d'être plus mesuré, plus rigoureux, plus objectif, plus crédible, plus militant pour la paix et la concorde sur Terre ! Je vais donc arrêter là : je pourrais lui nuire, en continuant à recopier ses énormes âneries.
  On est souvent surpris par le déroulement des choses : de là où je pensais n'avoir rien à dire, je me trouve soudain devant des océans de détails qui envahissent mon clavier, car, en tant qu'homme et que blanc (et, pire encore, ''homme-blanc'', avec un trait d'union, l'abomination de la désolation), je me sens dans le collimateur de la déferlante de haine qui est en train de ravager mon pays --cette France que j'aimais tellement, avant qu'elle ne se ratatine et se dénature en ''macronie''-- et avec elle toute l'Europe et sa civilisation judéo-chrétienne à laquelle rien, dans toute l'histoire du monde, n'a jamais pu se comparer : jamais aucune des civilisations qui ont précédé la nôtre (qui risque fort d'être la dernière, à en juger par le mouvement des planètes actuel et par la généralisation en cours de folies irrattrapables) n'a offert à l'humanité autant de succès, de confort, de santé (malgré ce que nos politicards ont fait de la pandémie du covid), de richesse, de loisirs, et même de paix (relative, mais plus grande tout de même qu'à n'importe quel autre moment de  l'Histoire).
  Les idées courtes et les amis troubles de madame Jordana, pour un instant réunis autour du bobard gigantesque d'une invraisemblable théorie dite ''décoloniale'' (en fait, un discours de haine), semblent séduire certaines personnes mal dans leur peau. Dans leur aveuglement haineux, tout ce petit monde ne tend qu'à remplacer la liberté résiduelle dont nous profitons encore --et eux avec nous-- par une soumission à l'islam (c'est un lieu commun, à la suite de Michel Houellebecq, de rappeler que ''Soumission'' est le seul sens du mot ''islam''), que des prêcheurs en eaux troubles leur ont mensongèrement présenté comme un futur doré où ils pourraient exercer sans ‘’brutalités policières-sic’’ tous les odieux trafics qui constituent la majeure partie de leurs revenus (auxquels s'ajoutent tous les dons, subventions, allocations, prestations et aides en tout genre dont nos gouvernants, ''plus cons que nature'' comme dit ma concierge, les abreuvent jusqu'à plus soif)...
  Si nous vivions en des temps où l'intelligence avait encore droit de cité, nous aurions été tentés d'opposer à ce mouvement sans fond la célèbre apostrophe de Talleyrand : ''Tout ce qui est excessif est insignifiant''. Mais hélas, trente ou quarante années pendant lesquelles nous avons lâchement et stupidement laissé la Gauche régner en maîtresse (d'école) sur ce qui fut autrefois notre Education dite nationale --elle n'est plus ni l'une, ni l'autre-- ont fait que d'un côté, le ridicule ne tue plus, et que, de l'autre, plus personne ne sait qui est ou fut Talleyrand. Si ''le racisme n'est pas une opinion, mais un délit'', cette affirmation n'est valable, pour ceux qui l'utilisent, que si elle va du plus clair vers le plus foncé. Jamais dans l'autre sens.
  Devant l'étalage de nullité ravageuse qui est en passe de devenir le seul destin envisageable pour les générations à venir, une idée s'impose, avec une urgence croissante : par quel vocable ou quel néologisme allons-nous remplacer feu l'ancienne ''intelligentzia'', cette caste qui furent ''honnêtes hommes'' au XVII ème siècle, ''philosophes'' au XVIII ème, ''bourgeois éclairés'' au XIX ème, ''hommes de progrès'' au XXème, et qui est ''bobo lèche-cul du discours officiel'' au XXI ème (on me dit que le mot ''lèche-bottes'' serait plus souhaitable. Dont acte !) ? Comme je n'ai pas trouvé d'antonyme à ''intelligentzia'', il faut en fabriquer un, et le plus vite sera le mieux.  ''Crétinisme'' étant déjà pris ailleurs, on peut se rabattre sur ''abrutistzia'' ou ''ineptitzia'', mais le plus simple semble être ''inintelligentzia'' et le plus proche de la vérité, ''conneristzia'' ! Affaire à suivre ! Comme quoi, même une Camélia Jordana peut entraîner, par ses débordements incontrôlés, une réaction pas aussi stupide que les idées qu'elle voudrait promouvoir... Dans ma jeunesse, on appelait ça ''la justice immanente''. Certains (dont je suis) y croient encore.
H-Cl.
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claudehenrion · 4 years
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Calendriers... (A mon ami Guy Girard, in memoriam)
  C'est un peu comme une malédiction qui frapperait le monde depuis quelque 500 ans : la date exacte de la naissance du Christ étant certaine... à quelques années près (en fait, on rencontre le plus souvent un décalage compris entre 5 et 10 ans avec la date qui avait été retenue par les jésuites de Salamanque, responsables initiaux de nos calendriers), tout l'édifice de notre système de datation est un peu faux depuis le 15 octobre 1582. Oh ! Pas beaucoup, à l'échelle de la galaxie, et moins encore à celle de l'univers. Mais assez tout de même pour que quelques calculs fins (le ''fine tuning'' des chercheurs) nous empêche de connaître, bien souvent, la joie enfantine de tomber sur des dates toutes pleines de zéros...
  C'est presque devenu un lieu commun d'entendre dire que le XX ème siècle a commencé en 1914 ou en 1918, ou que son prédécesseur était né en juin 1815, après Waterloo, ou, pour d'autres, en 1789... Le siècle-millénaire actuel, notre n° XXI, si déroutant jusqu'ici, a donné lieu à tant de divagations bi-millénaristes que personne ne s'est sérieusement demandé si on était encore ''hier'', ou si ''demain'' était déjà parmi nous. On a parfois dit que la chute du mur de Berlin ou celle de l'URSS marquaient davantage une fin (celle du XX ème siècle) qu'un début, mais celui du XXI ème siècle n'a jamais été un vrai sujet, même s'il semble bien qu'il n'ait pas dérogé à la tradition. Et même si tout le monde s'en fout et si personne n'a proposé cette hypothèse de travail, je me demande, seul au monde à m'en soucier, si le XXI ème siècle ne vient pas tout juste de commencer, avec ce satané covid.
  Car s'il existe une chose qui ne fait de doute pour personne, c'est que la crise engendrée par le coronavirus constitue un virage majeur, qui a fait entrer la Terre dans quelque chose de radicalement différent de tout ce qui existait encore fin 2019. Le monde entier a été saisi de stupeur en se trouvant soudain stoppé dans son mouvement qui était ininterrompu depuis les origines de l'humanité. En un clin d’œil, les villes se sont vidées, les magasins ont fermé, les usines se sont arrêtées, les avions ont été cloués au sol, toutes les frontières se sont refermées de façon hermétique, et l'illusion d'un monde toujours plus prospère a sèchement pris fin, dans des chocs psychologiques, moraux … et sanitaires tous injustifiés et sans exemple dans l'Histoire… mais sans pour autant qu'aucune tendance géopolitique structurelle ne surgisse de ce néant. Nous vivons un exemple parfait de ce que peut être un ''changement pour le changement'', sans que le plus petit ''progrès'' puisse sortir de cet immense capharnaüm... Et il s’en faut même de beaucoup....
  Les ''ceux qui croient savoir'', qui inondent (et polluent) nos écrans ont aussitôt incriminé la mondialisation, le multilatéralisme, l'écart entre la réalité et leurs croyances politiquement correctes, la globalisation, les limites de la gestion collective (et catastrophique) des affaires du monde ou que sais-je encore ! Les (mauvaises) idées fusaient dans tous les sens, sans que la moindre étincelle d'intelligence ne soit visible... D'autres acteurs, ceux qui ne savent pas et cherchent --mais dans les limites insupportables de leur ''doxa'' mortifère, qui nous a menés dans cette impasse-- ont commencé à accuser des responsables extérieurs, et ils en ont trouvé des palanquées entières, chacun selon ses propres dadas (pas toujours si propres que ça !) : les chinois, Trump, les populistes, Trump, les conservateurs, Trump, les populistes, Trump, les chinois... mais aussi l'Europe (par son absence, qui a atteint des sommets), et des pangolins et des chauve-souris...
  Au delà de toutes ces bêtises (NDLR -et encore... je passe sous silence les dérapages incontrôlés de nos hommes politiques et ceux, encore plus ridicules si c'est possible, de ces scientifiques qui émargent au dangereux ''canal officiel'' -- les autres étant priés de se taire et interdits de télé et de radio --sauf sur les ondes ''non officielles'', merci à elles ! Mais on leur fait toutes les misères possibles pour les faire taire !), un seul regard jeté sur n'importe quelle ville de n'importe quel pays suffit à démontrer par l'absurde que ''plus rien n'est comme avant'' ! Ces foules raréfiées, masquées sans raison (on rappelle qu'il n'existe pas une seule étude scientifique qui démontre l'utilité du masque –des filtres à 300 μ étant bien sûr congénitalement incapables d'enquiquiner des bestioles de 15 μ de diamètre), se fuyant les uns les autres, se tournant le dos dans un silence à peine meublé de borborygmes incompréhensibles, ces nuits sans noctambules, ces jours sans joie, ces matches de foot dans des stades vides, ces concerts dans le désert, ces mariages sinistres et ces enterrements volés à celui qui nous quitte, tout seul...
  Mais quelle ''planète'' est-ce là ? On nous a volé tout ce que nous aimions, et leur inepte ''vivre ensemble'' est devenu un ''vivre l'un contre l'autre et contre les autres'' –avec '’contre'' dans le sens de ''anti'', pas de ''avec'', c'est évident. La délation est à l'ordre du jour, puisque ''l'autre'' est mon ennemi si le masque qu'il porte n'est pas mis ''comme il faut'' ou n'est pas au format ''EU 1234'' ou ''NF 6789'' ! Hier, dans le métro, une grande blonde avec de jolis yeux (le reste, bien sûr, est caché à la vue, comme dans toute république islamique) avait inscrit sur son masque-hijab : ''masque = mensonge''. C'est pas franchement méchant, hein ? Il faut voir les regards de haine qui convergeaient sur elle… avec un bémol, tout de même : les vieux, ces ''les plus vulnérables d'entre nous'' qui étaient dans le wagon lui souriaient, la remerciaient et la félicitaient de son courage (''On en a marre, de tout ça !''). En revanche, ceux qui appartenaient sans doute à sa tranche d'âge la fusillaient du regard : elle était en train de les assassiner. (NDLR - comme quoi, le grand projet de notre Education nationale revue et corrigée par la doxa de Gauche semble avoir réussi : les plus jeunes générations sont devenues incapables de tout sens critique (je sens que je vais m'attirer des regards noirs et des noms d'oiseaux)
  La conclusion de ces paragraphes me semble aller de soi : nous avons changé de siècle, et celui qui commence n'a pas grand chose qui puisse rassurer ni donner envie à ceux qui ont connu d'autres époques de trop connaître celle-là. L'immense bobard que des dirigeants totalement impréparés à faire face à une vraie crise autre que économique ou financière ont fabriqué de toutes pièces autour de cette pantomime dite du covid (eux disent ''de la covid'' ! Je me refuse à ajouter mon ridicule à leur cuistrerie !) n'a pas suscité le rejet qu'il ou elle méritait. Il fallait tout refuser en bloc, depuis le premier jour : l'arrivée programmée d'un virus ayant muté dans un labo chinois construit dans ce seul but était une vraie menace : ce machin pouvait être vraiment dangereux. Par chance, il a muté (Muter semble être la seule joie de vivre de ces choses-là !), et est devenu tout, sauf ce qu'on a fait de lui : ce n'est pas le plus grand tueur de l'Histoire. A peine un amateur, et encore !
   A partir de là, tout pouvait se dérouler ''normalement''. Mais les gouvernements, mus pas on ne sait encore quel pouvoir maléfique (on saura, un jour... Trop tard, comme pour Fourniret), ont décidé de prendre le sujet en main... et leur nullité intrinsèque a fait le reste : une épidémie parmi les moins graves de l'Histoire est devenue le marqueur et le géniteur d'un monde nouveau, plus rempli de catastrophes que de joies à partager entre humains, dans des tsunamis de mensonges, de fausses solutions, et d'évidences qui n'en sont pas… le tout ne pouvant déboucher que sur une série de catastrophes encore inévaluables : des générations d'autistes et une hostilité chronique entre tous les hommes, pour commencer. Les 20 siècles antérieurs ont tous été, quoi que prétendent ceux qui croient possible de réécrire l'Histoire, sous l'influence chrétienne du ''Aimez-vous les uns les autres'' (même si on a souvent été loin du but... ça restait un objectif, malgré les échecs). Le siècle qui commence en ce moment semble plutôt nous proposer du rejet, de l'hostilité, de la délation, voire, un peu plus tard, une vague haine généralisée. Je vois bien le changement. Je n'ai pas réussi à voir le moindre bout de progrès. Que de regrets il faut avoir, devant ce début de siècle si raté !
H-Cl.
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claudehenrion · 4 years
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Le sens des mots… le non-sens des hommes…
  Il ne se passe pas de jour sans que des média ou “politiques” se privent de se donner un air “à la mode”. Ce n'est pas difficile,et ça ne coûte pas cher, à court terme : il suffit de se montrer compatissant, complaisant, et con tout court, avec le mouvement américain dit “Black Lives Matter”… comme si qui que ce soit, à part une poignée de crétins complets, pensait autre chose ! L’idéologie “BLM” est instrumentalisée chez nous, contre toute raison, par des gens qui cherchent à profiter d'un “foutage de gueule” total pour briller sous les feux de mensonges médiatiques toujours prêts à être unis contre nature pour… tout dénaturer ;  comme l'improbable union de la carpe et du lapin entre le Comité Adama Traoré et les faux écolos mais vrais fondamentalistes de Alternatiba, pour tenter de faire nombre.
  Et pourtant, un minimum de recherche et de réflexion suffit pour être convaincu que ce “Black Lives Matter” est une supercherie illimitée… A l'opposé absolu de tout ce que l'on trouve dans une Presse décidément de plus en plus engagée et encore plus mal pensante, ce mal nommé “Black Lives Matter” (BLM) n'est  rien d'autre qu'un mouvement révolutionnaire marxiste qui se donne pour objectif de faire des États-Unis une dystopie communiste, en commençant par les Universités déjà si gravement gangrenées par l'affreux virus du “politiquement correct” -qui est une porte grande ouverte à la pandémie des idées de gauche… Et les médias, dans leur anti-trumpisme obsessionnel, entretiennent le confusion entre une idée (se révolter contre la brutalité de certains policiers) et le mouvement politique issu de cette révolte : dire “black lives matter” revient à dire  “toutes les autres races ne valent rien… ou nettement moins”. On ne voit pas où peut-être un progrès quelconque pour l'humanité dans cette généralisation de l'habitude enfantine du “c'est çui qui l'a dit qui l'est” ! On peut par ailleurs regretter que le mouvement contraire, le controversé “All Lives Matter” (= “toute vie compte”), porte un nom qui revint à affirmer que le ciel est bleu, ce qui est à la fois trop et pas assez.
   Quoi qu'il en soit, les Blancs sont aujourd'hui réellement “paumés”, en Amérique : c'est contre eux seuls qu'un racisme systémique s'exerce aujourd'hui, c'est eux qui sont déclarés responsables de tous les maux du monde, et eux aussi qui se sentent culpabilisés au point qu'un récent sondage du  très sérieux Pew Research Center a révélé que plus des deux tiers des Américains disent en ce moment soutenir plus ou moins l'idéologie de Black Lives Matter (BLM). Ce degré élevé de sympathie oblige de fait à s'interroger sur ce qu'est exactement ce “BLM” devant lequel les plus imbéciles de nos ministres et de nos intellectuels mettent genou à terre…
  En apparence, BLM se présente comme un mouvement de citoyens qui lutte contre le racisme et les brutalités policières. Un examen plus attentif montre que c'est un mouvement révolutionnaire marxiste visant à transformer les États-Unis -et le monde entier ou presque- en une dystopie communiste : les fondateurs de BLM reconnaissent ouvertement être marxistes. Parmi les “inspirateurs” avoués figurent d'anciens membres du Weather Underground, un groupe terroriste radical se proclamant “de gauche” qui, dans les années 1960 et 1970, avait rêvé susciter une révolution communiste aux États-Unis. Le BLM se reconnaît idéologiquement proche du dictateur Nicolas Maduro dont le socialisme a entraîné l'effondrement économique du Venezuela et la misère indescriptible de millions de personnes.
  BLM se déclare officiellement pour l'abolition de la famille dite “nucléaire”, de la police, des prisons, de “l'hétéro-normativité” et du capitalisme, entre autres dystopies. Avec les groupes qui lui sont associés ils demandent un moratoire sur le paiement des loyers et le remboursement des hypothèques, la gratuité des services publics et le versement de réparations concernant une longue liste de griefs dont l'occurrence remonte à plusieurs siècles…. sous le menace de “mettre le feu au système” si leurs revendications n'étaient pas satisfaites. Il faut savoir que,s ur le modèle du Black Panther Party des années 1960, ils entraînent également des milices surarmées et manifestent pour l'interdiction des armes chez leurs ennemis.
  BLM n'a pas le statut juridique d'une association à but non lucratif, ce qui lui permet d'encaisser des dons dont le montant atteint les dizaines de millions de dollars, qui sont gérés de manière particulièrement opaque. Les dons sont collectés par ActBlue, une plate forme de collecte en ligne qui est, de manière peu surprenante, liée au Parti démocrate et aux causes qui lui sont associées, ce qui pourrait s'expliquer par le fait que les dirigeants de BLM ne cachent pas que leur objectif immédiat est de démettre le président Donald Trump de ses fonctions.
  Une des bases de la doctrine de BLM est que les États-Unis seraient “en guerre” avec ou contre les Afro-Américains– ce qui devrait se passer de tout commentaire. Sauf exception condamnable, les Blancs (américains ou pas) n'ont rien contre les Noirs, et d'ailleurs, cinquante et quelques années après la signature de la loi de 1964 sur les droits civils, plus de trois Américains sur quatre, blancs et noirs mélangés, reconnaissent que de réels progrès ont été accomplis en matière de lutte contre la discrimination raciale… et l'incapacité des dirigeants de BLM à produire des preuves solides du racisme systémique qui sévirait aux Etats Unis les pousse à élargir l'acte d'accusation à l'ensemble de l'ordre social et politique américain, difficulté à laquelle se heurte, évidemment, le mouvement qui voudrait établir un parallèle entre la situation américaine et ce qui se passe en France ou dans d'autres pays. Plutôt que d'épiloguer, référons-nous aux seuls textes.
  Patrisse Cullors  et Alicia Garza, cofondatrices de BLM (et militantes “Queer”) écrivaient, dès juillet 2015 : “Nous avons une profonde connaissance des théories idéologiques et nous sommes marxistes”. Plus récemment, la même Patrisse Cullors affirmait dans le Hollywood Reporter du2 juin 2020 : “Nous sommes anticapitalistes. Nous savons (sic !) que les Noirs ne pourront jamais être libres dans le système capitaliste racialisé actuel”. Dix jours plus tard, elle expliquait sur Twitter : ’‘Des centaines d'années d'oppression générationnelle, de traumatismes et de racisme structurel ont affecté notre organisme, et notre corps a été rendu plus vulnérable à quelque chose comme le COVID-19’’ (re-sic !). Hank Newsome, fondateur de la branche new-yorkaise de BLM, précisait, le 20 juin 2020 : “Si ce pays ne nous donne pas ce que nous voulons, nous mettrons le feu au système et nous le remplacerons. C'est compris ? Nous voulons la souveraineté noire, par tous les moyens et nous nous battons pour mettre fin (sic, encore !) à la police et aux prisons en tant que système. Notre lutte nécessite de combattre le capitalisme suprémaciste blanc hétéro-patriarcal impérialiste”... Et Shaun King, leader du Movement For Black Lives (M4BL), lié à BLM, résumait, le 22 juin 2020 : “Il faut aussi déboulonner les statues de cet Européen blanc qu'ils appellent Jésus. Elles sont depuis toujours un signe de la suprématie blanche. Dans la Bible, quand la famille de Jésus a voulu se cacher, devinez où ils sont allés ? En Egypte ! Pas au Danemark. A bas les statues de Jésus”. Les limites de la folie sont atteintes !
  Dans la ligne de ces imbécillités, comment, de ce côté-ci de l'Atlantique, ne pas s'étonner que  l’unanimité dans les hommages qui ont suivi l’incendie dramatique de la cathédrale de Nantes ait été brisée par un message publié sur les réseaux sociaux par la Ligue de défense noire africaine (LDNA) : “Feu sur la cathédrale de Nantes, la cathédrale payée par les négriers nantais par l’argent de la traite-esclavage ? Qu’a fait l’église catholique ‪pour empêcher la déshumanisation de nos ancêtres ? Pas un sermon ni une bulle du pape François pour les nègres, alors que vos curés, en Louisiane, achetaient et revendaient nos ancêtres déshumanisés ! Pétris de votre négrophobie patristique, vous avez non seulement gardé le silence, mais participé à notre déshumanisation ! La seule voie honorable : le christianisme tout entier se dissolve de lui-même… ”. On les plaindrait presque !
  On a beau être habitués à l'incontinence verbale et comportementale de ces meneurs (vers le néant) ivres de logorrhées insensées, une telle exagération confirme que le vrai combat de LDNA / BLM est contre l’Occident, contre ceux qui le composent (les Blancs), contre ce qu’il représente (son histoire, sa culture) et contre ses valeurs spirituelles (la religion chrétienne)…. Pas un seul de ces “maîtres à penser de traviole” n'a réfléchi au fait que en 1434, lorsque la construction de la cathédrale de Nantes a commencé, rien ne permettait de prévoir qu'elle trônerait un jour dans l'un des nœuds du commerce dit triangulaire après 1674, et rien ne permet d'évoquer la préméditation. Quand on a la prétention d’être objecteur de conscience et de réécrire l’Histoire, le minimum devrait être de ne pas raconter n’importe quoi et de replacer les faits dans leur contexte historique.  
  Pour notre grand malheur, notre Président actuel, dans sa nullité culturelle désespérante, ne sait plus que faire pour encourager à la fois notre repentance et la haine des anciens “colonisés”. On pense à la mission “Benjamin Stora” lancée la semaine dernière ou au lamentable Djamel Debbouze qui, du haut de sa bêtise insondable, nous promet “une  révolution d'immigrés énervés” et “de jeunes qui vont gagner leur liberté” -sic !). Ces deux stars (?) du Prêt-à-penser n'étaient pas nés au moment des événements en cause, et au lieu d’une opinion motivée, ils en sont réduits à répéter ce que le modèle “bien-pensant” leur a distillé jusqu'à les rendre parfaitement conditionnés à la logorrhée “correcte”. A quoi correspond ce besoin irrépressible de “jeter de l'huile sur le feu’' ? Je suis bien obligé de revenir à ma phrase favorite : ’'La folie est sortie des asiles”. Nous finirons par en mourir, c'est prévisible. Ce n'était pas inévitable. Et même, on pouvait, on devait l’éviter… 
H-Cl.
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claudehenrion · 4 years
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14 juillet 2020 : une anti-fête si peu nationale…
  Sinistre… J'ai beau chercher, je ne trouve pas un seul autre mot pour décrire la succession de spectacles qui n'en sont pas qui nous ont été proposés, ou plutôt imposés, par nos “leaders” qui sont aussi sinistres que leurs œuvres. Nous venons de ne pas vivre un non-anniversaire, repeint en triste avec de drôles de coloris pas drôles : toutes les nuances de gris plutôt que de notre habituel “bleu-blanc-rouge”…
  “Notre 14 Juillet”, si cher au cœur des français de toute couleur (politique, bien évidemment : surtout “Pas d'amalgame” !), est le symbole d'une date et d'un drapeau que nous aimons, même si c'est un peu déraisonnable… C'est un des rares jours de l'année qui parlent de notre Histoire nationale, si belle et tellement cabossée à la fois, sans la travestir sous les oripeaux affreux de l'anti-“tout ce que nous avons été’'’ à la mode. C'est la commémoration ’‘tout en un” des inutiles horreurs liées à la prise de la Bastille, de l'émotion naïve de la Fête dite ‘’de la Fédération’’, et du remplacement de l'héritage de nos Rois (qui dépasse tellement le prix qu'il a fallu parfois payer pour le mériter…) par les atrocités commises par les Septembriseurs et la Terreur, ces années les plus sombres de notre Histoire.
  Depuis ma jeunesse, si fort traumatisée par la Guerre de 1939/1945, j'ai appris à prononcer ce mot, “LA FRANCE” avec piété, émotion et amour, comme celui d'une volonté têtue de surmonter fièrement ses blessures et de vouloir croire en l’avenir…Et je suis certain que, dans ces temps, troublés comme rarement, nous aurions besoin de nous replonger dans des images d’Epinal, d'être heureux d'être français, malgré les errements actuels qui nous font douter de notre propre futur en tant que “ce que nous sommes” et ce que nous voudrions tellement être ou redevenir, au lieu d'être condamnés à nous retrouver dans une douloureuse et laide parodie de Marseillaise mal chantée par une femme sans voix, tellement peu ‘‘Marianne’’ et qui n'a ostensiblement rien à foutre de la France et des français non-bi nationaux…
  Un ersatz de défilé a donc eu lieu. Sans public, sans Champs-Elysées, sans ferveur (même si une émotion vraie a été palpable, en deux occasions) et surtout sans la moindre joie. Le “concert de Paris”, minable, s'est tenu, devant un Champ de Mars déserté. Un feu d'artifice a été tiré, comme en plein Sahara : pas âme qui vive ! Mais on voudrait nous faire croire, contre toute logique, à la possibilité de l'occurrence d'une “deuxième vague”, qui n'est que la conséquence statistique de la multiplication du nombre de tests : plus on en effectue, plus on trouve de gens plus ou moins “atteints”. Ce nombre ne peut qu'augmenter, c'est une loi incontournable.     On peut se cacher derrière cette “épidémie” et prôner la prudence sanitaire, mais les faits sont têtus : ce que nous ont montré nos écrans, c'est ‘’une France sans le peuple de France’’ ! Le divorce entre les dirigeants et les dirigés est consommé. Pourtant, le peuple ne demande qu’à exister avec la force, l’endurance et l’honnête simplicité qui ont été en lui pendant tant de siècles et pendant l'inutile et coûteuse “congélation” récente, forcée, bien trop longue, bien trop violente…
  Les instructions officielles invitaient les français à “faire la fête devant leur télé”. On reste dans la logique illogique du confinement : restez chez vous, Big Brother s'occupe du reste ! Ce triste programme est à l'image de nos dirigeants actuels… qui seraient bienvenus de fêter notre beau pays autrement. Par exemple, en dénonçant officiellement la sinistrose culpabilisante dans laquelle des médiocres incultes et des cuistres masochistes tiennent à nous enfermer. Autre suggestion (in petto, pour ne pas faire froncer les sourcils susceptibles de M. Erdogan, le satrape que rien n'arrêtera jusqu'à sa chute) : on pourrait se souvenir d’un autre 14 juillet, vieux de de 3 siècles, le 14 juillet 1683, quand débuta le siège de Vienne qui allait s’achever par la reconquête triomphante de l’Europe chrétienne contre l’armée ottomane. O tempora, o mores ! Sic transit gloria mundi (en gros : ‘’c'était mieux, avant’’ !). Quel beau programme serait de nous laisser gagner par par la fierté qui devrait nous submerger à l’évocation du formidable héritage reçu et à transmettre, au lieu de courber l'échine sous la honte de n'avoir pas bougé un petit doigt devant la profanation de Sainte Sophie… Jusqu’où allons-nous accepter de descendre ?
  Dans l'interminable “satisfecit” que s'est auto-décerné notre Président (qui accepte “de tout changer, et lui le tout premier”, à la seule condition que, les 360° de la révolution accomplis, il se retrouve exactement tel qu'en lui-même !) il n'a même pas effleuré les vrais problèmes que sont l'immigration, la délinquance, la drogue, les “quartiers perdus de la République” en feu et en sang, le séparatisme en voie de généralisation, les dégradations de statues et les mensonges qui vont avec, tellement répétés que ceux qui les colportent finissent par les croire vrais, les profanations d'églises et ''sa'' funeste PMA, les exigences de plus en plus folles d'un islam qui se croit tellement fort (ou qui nous voit tellement faibles !) qu'il n'avance même plus caché… pas plus que sur les bobards qui fondent le mythe honteux de la famille Traoré qui égalera bientôt en notoriété les Curie, les Bach ou les Dumas.
  Et pas un mot, non plus, pour contrer la faute de Gilles Bouleau citant cette vieillerie de Toubon, reconnue approximative depuis, selon laquelle “les profils de "jeune homme perçu comme noir ou arabe” auraient une probabilité 20 fois plus élevée que les autres d’être contrôlés"… à ceci près que les chiffres justifient l'attitude de la Police : il y a bien plus de 20 fois plus de violences civiles, d'insultes, de comportements inacceptables, de haine et de rébellion de la part de ces “profils”. On pourrait dire que, avec “+ 20 % seulement”, ce sont “les autres” qui devraient s'estimer discriminés… On aurait aussi espéré du Président des mots sentis sur l'assassinat de la jeune gendarme Mélanie Lemée, et sur la dénonciation du racisme anti-blanc qui gangrène le pays. Mais “faut pas rêver’’ : il ne sait pas !
  Dieu, que ça peut être triste, de vivre en France en ce moment, quand le pseudo antiracisme invoqué sans cesse et partout est en vérité le pire des racismes, qui se dit humanisme en sous-entendant que tout Blanc est mauvais, et que tout noir serait une victime (ce qui est très humiliant, pour eux !). Tout ça est très inquiétant : comment voulez-vous que de telles attitudes se terminent autrement que très mal ? Le nouveau premier ministre, disent certains, va nous sauver de ces menaces, oubliant qu'il est constitutionnellement aux ordres de la Présidence… qui l'a, sans pudeur, flanqué de deux chiens de garde, contrôleurs vigilants de son obéissance à la doctrine… Il est bien plus ligoté que son prédécesseur qui, moins ’'grande gueule”, avait pourtant obtenu que cette  grosse humiliation lui soit évitée… 
H-Cl.
PS – Le seul sujet sur lequel Emmanuel Macron a été indiscutablement clair, dans son discours du 14 Juillet, c'est “qu'il n'y aura aucune hausse d'impôts”. Depuis, toutes les “Unes” de la Presse nationale tournent autour de la question : “les français échapperont-ils aux hausses d'impôt ?”. C'est dire la confiance qu'il y a dans la parole présidentielle ! A propos… c'est aujourd'hui la fête de la “libération fiscale des français’' : jusqu'à ce jour avons travaillé pour, exclusivement pour, le fisc…Le pire est qu'il n'y a, a calculé l'IEM-Institut Economique Molinari, aucune adéquation entre les dépenses de l'Etat et la qualité du service public, ni un surplus de bien-être. Pauvre France. Et pauvres de nous… dit-on ‘’avé l’accin’’ dans le Midi
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claudehenrion · 4 years
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Racisme ou racismes ? ( I ) : un concept flou devenu fou...
 La fin mégotée et mesquine du confinement très excessif auquel nous avons été condamnés sans jugement a été, en plus, gâchée par la triste “farce-attrape” qu'est l'amalgame honteux qui est fait entre un assassinat par un policier américain et un accident dans une gendarmerie française…  Ces deux manières de vivre le racisme sont insupportables ! Mais une seule est employée par la grande majorité des commentateurs, en majorité passablement décérébrés…  ‘’Racisme’’ est un mot extrêmement dangereux à manier, et pourtant, chacun le dégaine à tout propos, notre époque semblant avoir une vraie fascination pour les transgressions et une réelle attirance pour les concepts mal définis et les vocables privés de leur sens.
 En français, ce mot désigne un concept idéologique foireux qui présuppose l’existence de races humaines, ce qui est indéniable (la preuve ? Hollande le condamnait ! C'est tout dire !), mais qui prétend établir entre elles des gradations dans la supériorité et l’infériorité, ce qui est faux. ”Etre raciste” ne devrait donc avoir qu'un seul et unique sens : “souscrire à cette vision hiérarchisée du monde”. Ceux de nos compatriotes qui adhèrent à ce choix philosophique (?) douteux doivent se compter un petit 0,1 ‰  de la population, et si les ”racistes” sont plus nombreux dans des sondages, c’est à cause des énormes déformations sémantiques qui affectent et esquintent ce mot  -ce qui est une des caractéristiques de notre temps.
 En ”novlangue”, en revanche, la définition est… absente, par définition ! C'est ce qui explique pourquoi les cuistres adorent brandir ce mot à tout va : la seule force de leur jargon informe consiste à priver les mots de tout sens précis… ce qui ouvre grand la porte à n’importe quelles dérives conceptuelles. ”Etre raciste” peut alors signifier : ”se retrouver mis dans une case floue où quelqu’un avait besoin de vous faire entrer, pour démontrer que vous êtes pervers, méchant, indigne, fou, criminel, blanc de peau, etc… ou que vous n'êtes pas “politiquement correct”. Que tout cela soit affirmé sans preuves et soit souvent faux, ne suffit pas à rétablir la vérité : leur nouvelle vérité n'est que mensonges, et c’est une autre des constantes de notre temps ! Souvenez-vous de Humpty-Dumpty, ce personnage de ’‘Alice au pays des merveilles”, qui affirmait avec mépris à Alice : “Quand j'utilise un mot, il signifie exactement ce que j'ai décidé qu'il signifie, ni plus, ni moins, car je suis le maître !”.  Ce gros œuf prétentieux, premier personnage “politiquement correct” de l'histoire, préfigurait la cohorte de nos politiciens et la pseudo-intelligentzia de Gauche qui changent le sens de chaque mot employé à chaque utilisation, sans sens, si j’ose !
 Que cache ce Racisme qui court les rues en ces jours si tristes pour ceux qui admirent l'intelligence ? Ce mot galvaudé camoufle mal les mésaventures d’un concept vide que chacun définit donc comme il lui convient à l'instant où il l'emploie ! Une première remarque porte sur la permanence de l’idée d’un ordre du monde reposant sur des ”races” (mot si mal défini, nous l'avons dit, que les idiots rêvent de l’interdire !) : il paraît logique d’imaginer que les premières micro-peuplades qui se croisaient dans les temps préhistoriques ne pensaient pas en premier lieu à se serrer gentiment la main en demandant des nouvelles du petit dernier et de la belle-mère ! Et nous portons encore en nous les conséquences génétiques des luttes entre nos ancêtres Cro-Magnon et les Néandertaliens, ces perdants de l’histoire : sans doute le premier génocide remonte-t-il à ces temps peu connus, au point de se retrouver dans la Bible (le meurtre d'Abel par son frère Caïn, qui en est une parabole explicite).. Et la première préfiguration de “races” remonte, dans à peu près toutes les civilisations, à un récit de “partage” entre Sem, Cham, et Japhet, les trois fils de Noé, au lendemain du déluge. Cette histoire, alors partagée par tous les peuples, mériterait d’être au patrimoine de l’humanité !
  Nos ancêtres très lointains étaient-ils tous racistes, déjà, sans le savoir ? En fait, il faudra attendre le XIXè et le XXè siècles pour prendre la mesure de ce que peut représenter le concept, beaucoup plus récent, de ”supériorité raciale”,  par rapport à la multi-séculaire “différence entre races” (qui est aussi de nature culturelle et religieuse… ce qui explique la taille des “gaps” qui séparent les hommes !). Hannah Arendt avait, la première, fait remonter l’apparition de l’anti-sémitisme, (à distinguer de l’anti-judaïsme, plus ancien -nous en parlions il y a peu) au début du XIXè siècle (dans son ‘’Origines du totalitarisme’’ - 1951, le Seuil)..
 La véritable rupture conceptuelle allait venir de ce ”darwinisme social’’ (que Darwin a renié) qui a ouvert la porte à l'horrible “lutte des classes”, devenue ”lutte des races” : tout, sur terre, ne serait que combat contre l'autre, rejet de l’altérité, et confrontations entre les divers groupes humains. ”Etre raciste” veut alors dire : ”ne pas partager ce que tu dis/crois/penses/fais/ressens”… En un mot : ''n’être pas comme toi''. Pour étayer leurs croyances, les tenants de ce cauchemar réfutent le concept de ”race”… qui est pourtant la colonne vertébrale de leur pensée ! Allez comprendre ! Car c’est de cette addition d'erreurs que vient le nouveau ”vrai-racisme” qui nous empoisonne la vie aujourd'hui. Ce nouvel anti-concept repose sur une inégalité à géométrie variable et sur une différenciation culturelle qui ne tolère que “la mort de l'autre”. Au lieu de ‘’déduire’’ toute différence réelle ou mesurable, on ‘’l’induit’’ de la seule existence de l’autre en tant que ”autre”…
  Ce non-concept est à la base des actuelles manifestations de vrai racisme, telles les épurations ethno-religieuses qui salissent notre siècle : Kosovo, Syrie, Irak, Liban, Darfour, Soudan, Nigéria, Turquie et Zimbabwe où Mugabe, dans son racisme ”pur” (et surtout dingo !), chassait les blancs, parce que blancs, de ce pays si beau et si riche avant lui… quitte à le réduire en cendres. Mais l'homme nouveau, pour les racistes de la mouvance “anti-raciste” ne peut, ne doit se résumer qu'à sa seule couleur de peau. Un cauchemar qui a été jusqu'à perturber la manifestation des “soignants” de ce 16 juin, polluée et salie par des tee-shirts “Adama Traoré” !
 Le très sérieux  ”Rapport Pew sur la liberté religieuse” confirme qu’il existe bien, aujourd’hui, nombre d’authentiques manifestations de racisme, et qu'elles sont, dans leur immense majorité, spécifiquement anti-occidentales et anti-chrétiennes, à cause d’un parachronisme qui assimile cette religion à la ”race blanche”, contre toute évidence (la vaste majorité des chrétiens n’est pas “des blancs”. Les pauvres victimes de cette vindicte étant réputées ”coupables au carré” (d'être blanches, d'abord, et de n'être pas noires, ensuite !), elles doivent être punies au carré, aussi.
  En France, malgré un black-out officiel (la chrétienté n’est pas bien vue du tout, en Socialie macronienne !), nos écrans sous influence n'arrivent plus à cacher un déploiement de haine, pour le malheur du monde. J’ai honte pour eux de leur aveuglement ! Mais le Pouvoir, fidèle à sa filiation gaucho-bobo et soumis à une énorme manipulation idéologique, campe sur l'autre rive, pendant que l'effrayant racisme des anti-racistes nouvelle vague, qui s'inscrit dans l'effondrement symbolique de la Nation, qui n’a pas engendré le citoyen du monde auquel rêvaient les imbéciles, mais des sous-tribus agressives (par intoxication au mensonge) qui réduisent à néant les conditions de feu-l'universalisme que fantasment tous les coupables de notre effondrement actuel… (à suivre…)
H-Cl.
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claudehenrion · 5 years
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Le Génocide des Chrétiens ? Chut !
  Parlons plutôt, disent les médias, de l'islamophobie (qui est une chimère inventée de toutes pièces)… Et pendant que les intellectuels d'Occident détournent leur regard et prennent l'air de “celui qui n'a rien vu” (car c'est dérangeant, la vérité !), le 10 janvier dernier, un communiqué triomphant des fous sanguinaires de Boko-haram a revendiqué l'assassinat par égorgement d'un “troupeau” de chrétiennes. Quelques lettrés chrétiens et intellectuels de droite (il en reste. Il se dit même qu'ils seraient de plus en plus nombreux, ce qui est une source d'espoir dans ce monde de brutes) tentent d'attirer l'attention sur cette généralisation de la terreur….
 Tout d'abord, un mot d'explication sur le nom de cette horde qui se voit en “cavaliers d'Allah” mais qui n'est que l'ultime avatar des cavaliers de l'Apocalypse annonciateurs de la fin du monde (NDLR - Il est bien connu, ce midrash aggada homilétique du prophète Zacharie qui symbolise la Mort, la Famine, la Guerre et la Conquête, ce qui est d'une actualité qui fait mal, dans notre quotidien ! ).                     Le vocable Boko Haram est un mélange improbable d'arabe et d'anglais-à-la-façon-“petit-nègre” (comme on dit en bon français) : “Haram” signifie “interdit” dans le sens très fort de “maudit”, et “Boko” est une déformation du mot anglais “book”, le sens final étant donc “tout ce qui vient de l'Occident (par les livres) est un péché”.
 Ce mouvement insurrectionnel et terroriste, d'inspiration salafiste, est originaire du nord-est du Nigeria. Son objectif est d'instaurer le “khalifat’‘ et d'appliquer la ’‘charia'a”. On estime à 7 000 le nombre des djihadistes de ce jama'a wal jihad (groupe pour la guerre sainte), qui ont commis des centaines d'attaques et d'attentats et qui auraient sur la conscience (s'ils en avaient une), plusieurs dizaines de milliers d'assassinats -le plus souvent souvent des chrétiens, et dans des mises en scène qui font froid dans le dos). Leur “anti-fait d'armes” le plus odieux reste l'enlèvement en 2014, à fins de viol et de mise en esclavage, de 276 jeunes chrétiennes dans une école de Chibok, au Nigéria. Mais il n'y a pas que cette horreur, il s'en faut de beaucoup : A ce jour, Boko Haram a détruit au moins 900 églises au nord du Nigéria et, depuis 2015, 16 000 chrétiens ont été assassinés. Combien d'autres chrétiens assassinés faudra-t-il avant que l'Occident voie enfin qu'il s'agit bel et bien d'un génocide et se dresse (enfin, aussi !) pour y mettre fin ?
 Mais rien ne semble arrêter ces dingos dans leur chevauchée maudite. Une fois encore, ils viennent de démontrer l'étendue de leur haine pour tout ce qui n'est pas “eux’' : le 26 décembre dernier, dans un silence honteux de l'Occident (seuls Boris Johnson et le Pape François –mais lui, du bout des lèvres !– ont réagi !), un groupe de 11 chrétiennes (qui se rendaient au mariage de l'une d'elles) ont été décapitées au couteau, et la vidéo de cette intolérable barbarie a été largement diffusée sur les réseaux de la honte, ces images remettant en mémoire celles de ces autres chrétiens libyens en combinaison orange, à genoux sur le sable et égorgés dans une mise en scène inhumaine avant d'être jetés dans une fosse commune.
 Et nous, l'Occident, soi-disant grande conscience de l'humanité en marche vers le progressisme, que faisons-nous ? De quoi parlons-nous dans nos agapes de ’'fêtes de fin d'année’'  ou dans nos maudits ’'smart-phones” aveugles et sourds à la vraie misère du monde ? Vous rendez-vous compte que, au lendemain de la décapitation des 11 chrétiens du Nigeria, le pape François a ‘’grondé’’ la société occidentale, mais n'a pas eu un mot, pas un seul mot, pour les chrétiens décapités ? Pas un mot dit sur l’horrible destin de ses frères et sœurs chrétiens alors que, juste avant, il avait érigé une croix entourée d'un gilet de sauvetage à la mémoire des migrants noyés en Méditerranée et que lors de l'inauguration d'un monument sur la place Saint-Pierre à la mémoire des migrants, il n'avait pas fait mention de tous les chrétiens jetés à la mer par des extrémistes musulmans…
 Le cardinal Robert Sarah, l'un des rares dirigeants catholiques qui ne ferme pas les yeux sur les persécutions islamiques, a twitté : “Au Nigeria, le meurtre de 11 chrétiens par des islamistes fous est un brûlant rappel de la situation faite à nos frères africains qui vivent leur foi dans le Christ au risque de leur propre vie”. Mais le Vatican n'est pas le seul à demeurer silencieux : aucun gouvernement occidental n'a pris la peine d'exprimer son horreur et son indignation face à cette décapitation de masse de Noël. “Où est l'horreur morale face à cette tragédie ?” a demandé l'évêque nigérian Matthew Kukah, ajoutant : “Ces crimes font partie d'un drame beaucoup plus large avec lequel nous devons vivre, chaque jour que Dieu fait”.
 Seul le Premier ministre britannique Boris Johnson, à l'occasion de son premier message de Noël à la nation, a déclaré : “Aujourd'hui plus que jamais, je veux que nous nous souvenions de ces chrétiens qui un peu partout dans le monde sont victimes de persécutions. Pour eux, le jour de Noël sera un jour de deuil, donnera lieu à une cérémonie secrète, ou aura lieu, peut-être, dans une cellule de prison”. Mais la chancelière allemande Angela Merkel, qui a déclaré que sa priorité était de lutter contre le changement climatique, n'a pas eu un mot pour les chrétiens persécutés. Quant au président français Emmanuel Macron, il n'a pas jugé bon de prononcer les mots (islamophobes, sans doute, à ses yeux !) de “Joyeux Noël”.
 Imaginez les tombereaux d'indignation qui nous auraient submergés si des terroristes chrétiens avaient arrêté un bus, trié les passagers selon leur foi, et ordonné aux musulmans de se convertir au christianisme, avant d'assassiner 11 d'entre eux, comme l'inverse vient de se produire au Kenya ? Partout dans les pays de l'Islam, “cette religion de paix et d'amour” dont nous rebattent les oreilles ceux pour qui le mensonge et la lâcheté sont sacrés, des têtes de chrétiens roulent dans la poussière, sans indigner un Occident dont la sieste n'est perturbée que par des “Allahu Akbar”, des coups de feu et des bombes… et des digressions sur une “islamophobie” inventée de toutes pièces… Les livres d'histoire du futur ne seront pas tendres face à cette trahison – encore que tout dépende de qui va les écrire. Mais d'ici-là, l'Église d’Orient n'aura plus un seul représentant vivant dans le berceau qui a vu naître cette civilisation chrétienne qui mérite tant d’être protégée..
 L'Occident, lui, dort d'un sommeil trypanosomique qui le précipite vers la mort. L’économiste canadienne Nathalie Elgrably-Lévy constate que  ’'L'Occident a ouvert ses frontières aux réfugiés musulmans qui disaient fuir la guerre, dans une solidarité apparente qui a toutes les apparences de la vertu mais qui est sélective et discriminatoire : les chrétiens persécutés ont été abandonnés par  les opinions publiques et les gouvernements occidentaux’’. Vous avez été “Charlie’' ? Moi, pas. Mais si vous saviez comme je me sens chrétien d'Orient ou nigérian, ce soir…
H-Cl.
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