#fachosphère
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Bobosphère vs Fachosphère?!.
Bobosphère vs Fachosphère?!. Dis-moi qui tu détestes et je saurai ce que tu diras, écriras... Quand, sur tous sujets politiques et/ou sociétaux, les débats riches d’opinions différentes, opposées sont dans les médias, sur les plateaux des chaines en continu remplacés par des discussions (type café du commerce) menées par des intervenants qualifiés d’experts ressassant, émission après émission et article après article, les mêmes clichés et raccourcis simplistes assortis de sous-entendus insultants, dégradants envers ceux qui, rarement représentés au sein de ces réunions entre gens de même « bonne compagnie », sont décrits soit, s’il s’agit des citoyens, d’idiots complotistes surfant sur les réseaux sociaux ou soit, pour des politiciens nationaux ou internationaux, de dirigeant(e) ou d’élu(e) populiste voire extrémiste!. Dans ce monde de la communication qui, grâce à tous les outils mis à la disposition de tous/toutes et non plus réservé à un entre soi dominant le pouvoir politico-médiatique, on aurait pu espérer assister à des débats multiples sur quantité de sujets sans interdits, hormis le respect des lois et celui de chacun des intervenants. A l’évidence, force est de constater que des « élites » qui, jusqu’à l’essor des réseaux sociaux, ont été les seules détentrices des médias et qui ont su, via tous les plateaux de chaines tv, mettre en scène une armada d’individus présentés comme « experts » qui ne transmettent que les messages du pouvoir politique ou scientifique…en place, sont arrivées à la conclusion que décidément, tout comme pour les très rares référendums (dont les dirigeants ne respectent les réponses que si celles-ci leur conviennent), laisser la parole libre au « peuple », lui laisser l’opportunité via internet de douter de leurs vérités soi-disant incontestables, de rappeler leurs écrits et affirmations, leurs discours et promesses (vidéos à l’appui), combien ces vérités d’hier sont devenues les mensonges d’aujourd’hui, risquait à court terme de faire perdre à ces « élites » ce cher pouvoir dont, à force de le détenir depuis si (trop) longtemps, elles ont fini par s’en croire les seules propriétaires!. Suite de cet article écrit et publié sur L'INFOTOX/Wordpress
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Séance #13 - Twitter : la parole à tous et même aux imbéciles
Les réseaux sociaux sont des outils de communication et d’information puissants et facilement accessibles. Aujourd’hui présents dans les usages personnels des internautes, ils n’échappent pas aux activités malveillantes. C’est le cas notamment de X, anciennement Twitter.
Crée en 2006, X est un réseau social de microblogage, permettant aux utilisateurs inscrits d’écrire des tweets. C’est un réseau social où l’actualité fait l’objet de discussions, de confrontations, et de commentaires, le transformant en un lieu de débat public. En effet, X est réputé comme un réseau social où il est possible de dire « tout » ce que l’on veut. Contrairement aux autres réseaux, c’est un lieu où le débat est de plus en plus difficile. X est notoire pour la diffusion de discours haineux, de désinformation, ainsi que de contenus violents. Comme la plupart des réseaux sociaux, le but est de faire le « buzz ».
Prenons l’exemple du célèbre rappeur Kanye West. Ce dernier a vu son compte suspendu pour « incitation à la violence » après avoir publié une image représentant une croix gammée entrelacée avec une étoile de David. Il avait fait son retour sur le réseau social en novembre, après que son compte a été restreint pour avoir publié des propos jugés antisémites (L’Éclaireur Fnac, 2022). On comprend bien que les sanctions sont faibles, voire inexistantes, encourageant d’autres internautes à propager de la haine. Mais pour certains, je ne pense pas que ce soit du buzz, mais juste de la débilité. Après l’attentat contre Charlie Hebdo en 2015, de nombreux messages de haine ont circulé sur les réseaux sociaux.
Source : https://www.ladepeche.fr/article/2015/01/08/2024980-bien-fait-pour-eux-ces-tweets-haineux-qui-font-polemique.html
D’après Davis Chavalarias, directeur de recherche au CNRS, “X est devenu le réseau de la fachosphère, des trolls, des complotistes, etc. C'est la fin de Twitter en tant qu'espace d'échange […]” (Brut, 2023). En effet, le débat est de plus en plus compliqué. Il m'arrive souvent d'être sur X et de voir des tweets de personnes partageant simplement leur vie, mais malheureusement, ces individus font face à des vagues de haine, parfois même jusqu'au harcèlement.
Je trouve que cela est assez préoccupant, de ne plus pouvoir tweeter en toute tranquillité. De plus, cette normalisation de la haine sur X s'accroît. Certaines personnes justifient la présence de discours haineux en affirmant que « C’est normal on est sur Twitter et pas sur Instagram ».
Malheureusement, avec l’arrivée d’Elon Musk, cela ne risque pas de s’arranger.
Bibliographie
Brut. (28 novembre 2023). Pourquoi les gens quittent Twitter/X ? Brut. https://www.brut.media/fr/news/pourquoi-les-gens-quittent-twitter-x--d04a1f08-5d37-4516-80fb-4a990a995366#:~:text=Sur%20cette%20plateforme%2Dlà%2C%20les,les%20personnes%20les%20plus%20toxiques
Diallo, K. (5 décembre 2022). Twitter : une forte hausse des contenus problématiques depuis le rachat par Elon Musk. L’Éclaireur France. https://leclaireur.fnac.com/article/206651-twitter-une-forte-hausse-des-contenus-problematiques-depuis-le-rachat-par-elon-musk/
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À l'affiche du film "Avant que les flammes ne s'éteignent", notamment inspiré de l'affaire Adama Traoré, Camélia Jordana a expliqué sur Instagram être la cible d'une vague de harcèlement en ligne de la part de la "fachosphère". Les notes du film ont également été torpillées sur le site spécialisé Allociné.
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S'il y a bien un film qui me choque et me fascine encore je mettrai celui-ci en tête d'affiche !
Requiem pour un Massacre avec les 2 lettres S tendancieuses. Et je n'ai pas connaissance qu'il soit passé a la télévision à l'époque ou tard très très tard dans la nuit.
Je me souviens de quelqu'un de la fachosphère de mon entourage (!) m'avoir fourni un exemplaire pour pouvoir en avoir une copie pirate. J'avais la chance d'avoir 2 magnetoscopes et tout le monde le faisait.
On ne devait pas éteindre ou changer de chaine pendant tout le processus d'enregistrement. En général tu fais autre chose dans la pièce à côté en attendant. Mais là impossible ! Tu es littéralement happé et ou hypnotisé.
Elem Klimov a aussi réalisé le film Agony que j'ai ramené de Moscou.
#elemklimov #requiempourunmassacre #agony
instagram
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Regardez "Omar Sy boit les larmes de la fachosphère 😂" sur YouTube
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Bonsoir N, Tintin à Paris tout au long du mois juillet. Pour te donner une idée de l’ambiance à Paris
1/Mise en place par Jean Messiha, figure de la « fachosphère », d’une cagnotte qui a dépassé 1 million d’euros. Elle est vue par certains comme une forme de « revanche » dans une compétition victimaire entre deux « camps » irréconciliables. « Les services de réanimation vont être saturés par un afflux de gauchos en PLS [position latérale de sécurité] ! Bravo à tous et vive la France ! » Sur Twitter, son médium de prédilection, Jean Messiha jubile. Qu’importe la gravité du sujet, le polémiste d’extrême droite, ancien cadre du mouvement Reconquête ! d’Eric Zemmour, ne se prive pas de fustiger les « gauchos », qui n’ont pas obtenu la fermeture de la cagnotte qu’il a lancée à destination de la famille du policier, mis en examen après un tir mortel sur Nahel M., 17 ans, dont la mort a servi de point de départ aux cinq jours d’émeutes qui ont frappé la France. Une cagnotte dont le succès est indéniable. A la mi-journée, lundi 3 juillet, elle a franchi le million d’euros de dons. Quatre fois plus que la cagnotte anonyme lancée en soutien de la mère de Nahel M., qui n’a pas dépassé les 250 000 euros. De quoi ulcérer une partie de l’opinion, qui réclame, depuis plusieurs jours, la fermeture de cette cagnotte. Des dizaines d’appels, y compris de responsables politiques de gauche, comme le socialiste Olivier Faure, ont été lancés à GoFundMe, l’entreprise américaine qui gère la cagnotte, pour obtenir sa fermeture.
Sans succès : contactée, la société explique que « pour l’instant, cette cagnotte respecte les termes de notre service, puisqu’elle précise que les fonds sont destinés à supporter la famille. Ils ont été ajoutés comme bénéficiaires donc l’argent leur reviendra directement ». L’histoire rappelle un précédent : en 2019, une cagnotte avait été ouverte pour soutenir le « gilet jaune » et ancien boxeur professionnel Christophe Dettinger, filmé en train de se battre avec les forces de l’ordre à coups de poing. Un proche du boxeur avait ouvert une cagnotte Leetchi pour le soutenir, qui avait atteint plus de 145 000 euros, avant que la plate-forme décide, le mardi 8 janvier de la même année, de la fermer face aux vives critiques de plusieurs personnalités politiques, dont des membres du gouvernement, et des syndicats de police. Une figure de la fachosphère, M. Messiha avait lancé une première cagnotte sur Leetchi le 29 juin. Mais la plate-forme – sur laquelle figure une autre cagnotte, émanant des collègues du policier, et qui a récolté 61 000 euros – demandait, selon lui, plusieurs documents pour justifier la récolte de fonds (acte de mariage du policier, etc.). Il a donc changé pour GoFundMe, avec un succès certain. Selon les données récoltées par Le Monde, en moins de trois heures, lundi 3 juillet, la cagnotte a récolté plus de 143 000 euros, soit en moyenne près de 25 euros par donateur. Ce montant traduit une accélération des dons depuis l’ouverture de la cagnotte, qui a encaissé en quatre jours plus de 1 million d’euros de dons pour 54 000 contributeurs. Parmi eux, au moins 79 ont donné un montant supérieur à 200 euros, jusqu’à 3 000 euros pour le don le plus important enregistré jusqu’ici, qui est resté anonyme. D’autres choisissent d’ajouter un pseudonyme souvent explicite : « pour le respect de la police », « Ines Cusable », voire grossier « Jean culas Melanchon ». L’identité du créateur de la cagnotte n’est pas pour rien dans sa viralité. Jean Messiha, écarté du Rassemblement national en 2020, a pris ses distances avec Eric Zemmour après l’échec de sa campagne présidentielle. Il n’en reste pas moins une figure populaire de la « fachosphère », régulièrement invitée pour des « clashs » sur CNews, avant cela chez Cyril Hanouna, sur C8. Son initiative a connu un écho immédiat grâce à ses plus de 300 000 abonnés sur les réseaux sociaux. Le lien vers la cagnotte a également été très relayé par les canaux traditionnels d’extrême droite, du site Fdesouche aux pages Facebook nationalistes, mais surtout sur les réseaux déjà constitués de militants, notamment ceux du parti Reconquête ! d’Eric Zemmour. Elle a également été mise en avant dans plusieurs groupes Facebook de policiers. L’énergie déployée par les détracteurs de cette cagnotte a peut-être, paradoxalement, joué un rôle moteur dans sa propagation, en la rendant d’autant plus visible ; ce qu’on appelle sur Internet « l’effet Streisand ». On peut aussi y voir un certain esprit de revanche : sur certains groupes Facebook, le succès de la cagnotte en faveur de la famille de Florian M. est explicitement mise en regard avec celle, lancée par une anonyme, pour aider celle de la victime, Nahel M. Comme si se jouait, derrière ces deux collectes, non plus le soutien financier à des foyers en difficulté mais l’affrontement de deux camps irréconciliables.« Dans chaque affaire, on voit la façon dont la société française est polarisée et comment chaque île de l’archipel choisit ses martyrs ou ses héros, analyse Jérôme Fourquet, dont l’essai L’Archipel français. Naissance d’une nation multiple et divisée (Seuil, 2019) décrivait une société fragmentée. Ce ne sont pas les mêmes secteurs de l’opinion qui se sont mobilisés en faveur de Nahel ou de la petite Lola (tuée en octobre 2022). De manière très frontale, chacun choisit son camp, voire sa tribu. »
Le chercheur y voit « la pointe émergée d’un iceberg » soutenant les forces de l’ordre, mais relativise l’ampleur de ce soutien : « Entre le corporatisme de certains policiers et la fachosphère, vous atteignez rapidement 50 000 personnes. » Et de rappeler qu’avant l’ère numérique, les souscriptions étaient également un moyen de prendre position sur des sujets de division, à commencer par l’affaire Dreyfus. A l’époque, rappelle Jérôme Fourquet, l’antisémite Edouard Drumont avait, dans son journal, La Libre Parole, lancé une souscription en faveur de la veuve du colonel Henry, le militaire ayant produit des faux documents visant à accuser le capitaine Alfred Dreyfus.
2/Micros ouverts comme éteints, les représentants du RN se refusent à tout triomphalisme sur les conséquences politiques de la crise et tendent plutôt à se lamenter des destructions de biens, y compris dans leurs circonscriptions. « On ne veut pas faire de la récupération sur une horreur pareille », jure le député RN de l’Aude Christophe Barthès, avant de prévoir d’autres explosions de colère : « Le constat, tout le monde le fait, il suffit de regarder la télévision ou les réseaux sociaux. C’est terrible de voir notre pays comme ça, en flammes. »De peur de s’y brûler les ailes, Marine Le Pen observe le brasier à distance et attend les premiers sondages. « Elle a un boulevard devant elle, prédit déjà Luc Rouban. La demande de retour à l’ordre passera par le RN. La question, compte tenu de la succession de crises et de l’accélération du temps politique, est plutôt : comment attendre jusqu’en 2027 pour de nouvelles élections ? »
3/Depuis la place Beauvau, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a compris que l’opinion se retournait, que le risque d’un procès en incompétence – pire à ses yeux : en laxisme – excédait désormais celui, pourtant bien réel, d’une nouvelle bavure. Politiquement, il a aussi estimé avoir les coudées franches. Contrairement à un Nicolas Sarkozy empêtré dans ses mensonges après la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré, deux adolescents électrocutés après une course-poursuite avec des policiers, en octobre 2005, n’a-t-il pas jugé « extrêmement choquantes » les images du contrôle routier mortel de Nanterre, filmées par une passante et devenues virales ?
« Démonstration de force »
Le ton et la méthode changent. « Des instructions d’intervention systématiques ont été données aux forces de l’ordre », tweete-t-il le jeudi 29 juin. Le matin même, dans le cadre du dispositif Coordination opérationnelle renforcée dans les agglomérations et les territoires, une première décision a autorisé les pelotons de sécurité et d’intervention de la gendarmerie à agir en zone police. Puis est venue celle d’engager sur le terrain les unités d’élite de la police et de la gendarmerie. Pour une « démonstration de force totalement assumée et revendiquée, affirme l’entourage du ministre, avec un double objectif opérationnel et psychologique ». Il s’agit de reprendre l’initiative en bousculant les émeutiers, loin de la stratégie habituelle du maintien de l’ordre, qui consiste théoriquement à tenir les manifestants à distance. Les blindés du RAID et de la BRI sont engagés au plus près des affrontements. A la demande des pouvoirs publics, trois véhicules supplémentaires ont même été prêtés en urgence par le constructeur, la société Arquus, sans que celle-ci ait eu le temps de repeindre leur livrée couleur sable, qui évoque plutôt les opérations militaires au Sahel que le dédale urbain des cités de la région parisienne. De son côté, la gendarmerie aligne ses 4 × 4 Centaure flambant neufs, mastodontes de 7,4 mètres de long et 14,5 tonnes, et donne à ses hélicoptères l’instruction de décoller dès 19 heures, avant la tombée de la nuit, pour survoler les zones sensibles et renseigner.
Der Krieg den Palästen ist heute Nacht ausgeblieben, gestern waren die Champs Élysée komplett abgesperrt, da zur Nacht der Plünderung im Netz aufgerufen wurde. Das Nike Flagstore Rue de Rivoli ist Freitag Nacht geplündert worden. Die Bourgeoisie fürchtet um das Eigentum, Madame LePen ist kurz vor dem Ziel…
Je te salue, Friede den Hütten et Vive la République
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les noir.e.s et migrant.e.s en tunisie restent chez eux pour éviter les attaques et discours haineux, zemmour applaudie ses propos et toute la fachosphère est aux anges,.... cool. tout va bien
Fucking grim man.
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l'extrême-droite brandit son trophée macroniste : Darmanin
l’extrême-droite brandit son trophée macroniste : Darmanin
La preuve, c’est écrit dessus, comme ces porcs dont on n’attend point de salut savent si bien nous l’afficher, sur leur principale vitrine, avec leurs habituelles Unes vomitives aux valeurs terriblement inactuelles : racisme et discriminations… Ce cancrelat y est tellement à sa place : Il fallait donc bien, vous en conviendrez avec moi, que je garde une trace de cet immondice idéologique là,…
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STREETPRESS : LE MÉDIA DONT LES FACHOS VEULENT LA PEAU
STREETPRESS : LE MÉDIA DONT LES FACHOS VEULENT LA PEAU
▶ STREETPRESS : LE MÉDIA DONT LES FACHOS VEULENT LA PEAU 🆔 #Blast # Vidéo #Actualités #Décryptage #Politique #AuPoste #StreetPress #Média 👥 Ils multiplient les révélations sur la police (racisme, violences), les scoops sur les fachos et les regards pointus sur la rue. Ils sont la fine fleur de l’indépendance journalistique : l’équipe de StreetPress. Solide et farouchement indépendant, le…
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#action sociale#Actualités#Alternatives#Avenir#Écologie#Égalité#Équité#Blast#Citoyens#communication#contre-pouvoir#crise sociale#Culture#décryptage#Démocratie#Documentaire#Enquête#fachos#fachosphère#Famille#Français#France#Fraternité#indépendance#indépendant#Infos#Journalisme#Made in France#média#média indépendant
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« Islamo-gauchisme » : une manœuvre pour bâillonner la sociologie intersectionnelle
L’Humanité, 13 mars 2021 Derrière le procès en « islamo-gauchisme », censé « gangrener » l’université, et l’accusation de quasi-complaisance avec le terrorisme, ce sont bien les sciences critiques – ressources mais aussi sources de débat à gauche – qui sont attaquées. Frédérique Vidal aura réussi son coup. Depuis que la ministre de l’Enseignement supérieur a déclaré, le 14 février, que…
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Les juifs il y en a trop à Paris
Il est 22h, je suis vers Gare d'Austerlitz avec mon colocataire (juif comme moi). Quatre mecs assez imposants, visiblement bourrés, s'approchent en riant et demandent "vous êtes des gauchistes?". Je réponds oui en avançant plus vite. Ils nous suivent, en criant "Bleu blanc rouge, la France aux Français !", et soudain "Allez à Dachau !". Je me retourne et dit "Quoi ?". Ils répondent "les juifs il y en a trop à Paris". Je réponds "barukh hachem, et shavoua Tov." Il crient alors "Ouais Shabbat Shalom dans les camps, un aller retour a Buchenwald ça vous calmera" je m'en vais en les insultant de loin, très choquée.
L.
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#Lapin taquin#fachosphère#gauchisme#déni de réalité#réel#féminisme#amalgame#République#LREM#renouveau#moralisation de la vie publique#Bayrou#Ferrand#BFMTV#Macron#Le Pen#Mélenchon#FN#LFI#démocratie#Français#Française#racaille#Trump#bobo#vegan#moraline#écologie#uber#nature
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2020 dictionary additions
Adulescence: keeping the behaviour of a teen as an adult
Alphabète: who can read and write (from Burundi and Switzerland)
Antispécisme: rejection of the notion of hierarchy between different animal species and of the superiority of the human specie
Apatridie: absence of legal nationality
Bigorexie: unhealthy exercise addiction
Bioplastique: biodegradable plastic
Bore-out: burnout caused by boring jobs/daily tasks/lack of work
Charge mentale: situation where someone, usually a woman, is expected to supervise everything regarding the house and children, generating physical and psychological exhaustion
Cryptomonnaie: virtual payment method that uses cryptography to stay safe and avoids being regulated and controlled by banks
Cyberdjihadisme: using the internet to promote jihadism
Dagobert: sandwich (from Belgium)
Darknet: anonymous network that can only be accessed using special software, configuration, or authorization
Datacratie: political weight of digital data
Dédiésélisation: process of trying to reduce the number of Diesel vehicles
Divulgâcher: to spoil (from Québec)
Emportiérage: action of unintentionally injuring a cyclist by opening a car door without looking (from Québec)
Fachosphère: whole of fascist/far-right political parties
Inclusif/ve, adj: integration a person or group to end their exclusion
Iridescent-e: iridescent
Hackaton: working marathon where a group of people work constantly for 24-48h to find new ideas, usually in digital innovation jobs
Locavorisme: eating only local/seasonal fruits+vegs to protect the planet
Nounoune: a bit naive, stupid (from Québec)
Raguiller: to put back on track (from Switzerland)
Sentience: possession of consciousness or sensory awareness
Slasheur: person, usually young, who works several jobs
Smicardisation: increase of the number of employees paid minimum wage on the long-term (SMIC in French)
Sorteur: party animal (from Belgium)
Suprémacisme: supremacism
Survivalisme: lifestyle of a person or group of people who get ready for a catastrophy on a local or world scale
Taxieur: cab driver (from Algery)
Traceur: satellite geo-locating tracker
Ubériser: making an existing business model obsolete, usually by using a virtual platform
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Marie-lyne Bezille 19 septembre, 09:23 ·
Dans le monde parallèle de Zemmour . « On a enlevé le christianisme, c’est pour ça qu’on a l’islam, c’est une religion dans le remplacement. » Zemmour « Face à l’info », CNews, 14 mai 2021. Au début des années 1950, plus de 90 % des Français se disent catholiques. Aujourd’hui, d’après l’Enquête européenne sur les valeurs (2018), ils ne sont plus que 32 %. Ceux qui se définissent comme « sans religion » sont devenus largement majoritaires (58 %). Ce sont en fait eux qui ont « remplacé » les catholiques. Alors que seuls 6 % des Français se déclarent musulmans, devant les protestants (3 %). « Vouloir la remigration, ce n’est pas être raciste, c’est considérer qu’il y a trop d’immigrés en France, que ça pose un vrai problème d’équilibre démographique et identitaire, que l’identité de la France est en danger. C’est dire : voilà, on va renvoyer les immigrés qui ne s’assimilent pas. C’est ce qu’a fait la France pendant un siècle. […] Dans les années 1930, on renvoie des immigrés italiens et polonais car ils sont au chômage et qu’ils ne s’assimilent pas. C’est la gauche qui fait ça. Ils ne sont pas racistes. C’est Léon Blum. » propos de Zemmour « Face à l’info », CNews, 27 janvier 2021. « Dire que la France “pendant un siècle” aurait “renvoyé les immigrés qui ne s’assimilent pas” n’a aucun sens parce qu’il y a un siècle, nous étions dans les années 1920 et, au cours de cette décennie, la France a fait venir plusieurs millions d’immigrants pour reconstruire son économie, explique l’historien spécialiste de l’immigration Gérard Noiriel.En 1930, le taux d’immigration de la France était supérieur à celui des Etats-Unis [2 890 000 étrangers en France, soit 5,9 % de la population totale, NDLR].La crise des années 1930 a provoqué un arrêt de l’immigration et le retour au pays de plusieurs centaines de milliers d’entre eux. Les uns sont rentrés spontanément, les autres ont été renvoyés parce que le gouvernement français n’a pas renouvelé leur carte de séjour. Mais accuser la gauche et Léon Blum d’être les principaux responsables de cette politique xénophobe est faux. C’est au début des années 1930, quand la droite était au pouvoir, que ces expulsions ont été les plus massives ; alors que la gauche (dont beaucoup de dirigeants militaient à la Ligue des Droits de l’Homme) les condamnait.Non seulement ce n’est pas Léon Blum qui a “fait” cette politique d’expulsion, mais, à l’inverse, le Front populaire a pris des mesures pour limiter le renvoi des immigrés et combattre les expulsions arbitraires. La gauche a permis aussi à des dizaines de milliers de réfugiés fuyant le nazisme d’être accueillis en France. »En 1939, fuyant la répression franquiste, 500 000 républicains espagnols ont passé la frontière et ont été installés dans les camps de Gurs, du Vernet et d’Argelès-sur-Mer. Le renvoi des étrangers se fait essentiellement dans la première moitié des années 1930. La loi n’est pas modifiée, mais une pression s’exerce sur les entreprises, les agents du contrôle des étrangers et les immigrés. A partir de 1931, la France participe au financement du voyage de retour des étrangers qui veulent partir et encourage les grandes entreprises à licencier en priorité les travailleurs étrangers et à assurer leur rapatriement, comme ce sera le cas de milliers de travailleurs polonais employés par les charbonnages du nord de la France.Mais, écrit l’historien Philippe Rygiel dans « les Etrangers au temps de l’exposition coloniale » (Gallimard/CNHI), « il est particulièrement difficile de distinguer les départs contraints des départs volontaires d’immigrants que la dégradation de la situation économique conduit à quitter la France, l’effet de la nécessité économique et celui de l’étranglement administratif. De même les décisions administratives (refoulements et expulsions) ne se traduisent pas toujours par une sortie du territoire à bref délai. Concluons alors que l’action de l’état a accompagné et amplifié, sans que nous puissions établir dans quelles proportions, une vague de départs qui fut massive, 93 000 sorties du territoire sont enregistrées en
1931 et 108 000 en 1932 ». Le monde parallèle d’Eric Zemmour .. " Le mouvement fasciste, il naît à gauche, il naît en Italie. Mussolini est un socialiste. […] Le nom du parti nazi, qu’est-ce que c’est ? C’est national-socialiste ! Socialiste ! Ce sont des gens de gauche ! " propos de E . Zemmour " Face à l’info ", CNews, 22 juin 2021. Propos mensongers repris par toute la fachosphère et répéter par des gogos . Ce sinistre personnage , tel un Trump , un Steve Banon , transforme l'Histoire et nous balance des énormes fakes , passe son temps à transformer l'Histoire , et , y mettant à chaque fois le " c'est un fait " . Il serait bon que les admirateurs de cet homoncule et , de sa supposée grande culture se rendent compte , qu'en fait , il aligne surtout des énormes mensonges .. Non , le mouvement fasciste n'est pas né à gauche ! En Italie, Mussolini – parvenu au pouvoir en 1922 et à la tête d’une dictature fasciste jusqu’en 1943 (puis de la république de Salo, Etat fantoche tenu par les nazis, de 1943 à 1945) – milite effectivement au Parti socialiste italien (PSI) dans sa jeunesse. Mais la Première Guerre mondiale marque une rupture avec ses camarades socialistes pacifistes, et il est exclu du PSI à 31 ans. Fervent nationaliste, il soutient l’entrée de son pays dans le conflit et se rapproche des milieux d’affaires favorables à l’intervention. Dans une Italie d’après-guerre meurtrie et en proie à de virulentes grèves, Mussolini met au service des propriétaires fonciers ses Faisceaux de combat (fasci di combattimento), créés en 1919, qui, armés de gourdins et motorisées, mettent à sac les organisations de gauche dans la vallée du Pô et brutalisent voire assassinent leurs membres. Ses troupes seront également responsables de l’assassinat du député socialiste Giacomo Matteotti en juin 1924. Mussolini se rapprochera du régime nazi dès 1935. En Allemagne, lorsque Hitler entre dans le Parti ouvrier allemand (DAP) en 1919, il est déjà ultranationaliste et profondément antisémite. Cette structure politique appartient aux mouvements « völkisch », d’orientation pangermaniste et antimarxiste. Le futur führer, redoutable manipulateur, prend les rênes du DAP qu’il transforme en NSDAP (Parti national-socialiste des travailleurs allemands) en 1920. Le terme « socialiste » n’est destiné qu’à grappiller le soutien des prolétaires agités par la révolution bolchevique de 1917 en Russie, mais l’ouvriérisme ne reste qu’au stade du discours. Les combats de gauche ne sont absolument pas repris par le NSDAP. Dans le « programme en 25 points » du parti, en février 1920, les objectifs à long terme concernent essentiellement la protection de la « race germanique ». L’immigration doit être immédiatement stoppée et la dialectique antijuive était déjà omniprésente. Au point 4, on lit par exemple qu’« aucun Juif ne peut être citoyen » allemand. « La seule réalité qui soit, c’est la nation, une nation définie en des termes biologiques qui exclut tout ce que la gauche représente : l’universalisme et l’humanisme », détaille l’historien spécialiste du nazisme Johann Chapoutot à l’AFP.
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Ils se sont retrouvés avec une cible collée dans le dos, désignés «complices de l’islam radical». Pourquoi ? Avoir signé une simple pétition appelant à la démission de Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur qui avait déclaré mi-février que «l’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble et l’université n’est pas imperméable». «Islamo-gauchisme» : le mot était lâché, déclenchant une série de polémiques et livrant les partisans présumés de cette notion aussi éthérée que fantasmée à la vindicte. Et notamment à celle de l’extrême droite.
Lancée, dans la foulée des déclarations de Vidal, par des membres du personnel de l’enseignement supérieur et de la recherche, la pétition a très vite recueilli des milliers de soutiens et en comptait 23 000 lors de sa remise à Matignon, le 25 mars. Tous dénoncent «l’intention dévastatrice» de leur ministre accusée de «diffamer une profession et, au-delà, toute une communauté». Mais l’affaire dépasse vite le champ des idées avec la (re) publication, le 21 février sur un blog, de la «liste des 600 gauchistes complices de l’islam radicale (sic) qui pourrissent l’université et la France». Si ce site obscur n’est pas particulièrement politisé, le texte qui accompagne la fameuse «liste», toujours en ligne, comporte tous les stigmates de l’extrême droite. «Cette liste contient les noms des personnes, toutes payées par l’Etat donc par l’impôt des Français, souvent fonctionnaires, pour effectuer d’hypothétiques recherches qui n’intéressent qu’eux-mêmes et la sphère gauchiste plus ou moins radicale, s’épanche l’auteur. Ces recherches […] servent à développer les théories qui ont pour unique but de faire avancer l’islam et par conséquent le radicalisme islamique à l’université en particulier et en France en général.» L’homme, qui a visiblement agi sous son vrai nom, a également pris soin de mettre des liens comportant CV et contacts de certains signataires.
«Fausses informations»
L’affaire a été immédiatement prise «très au sérieux» par le CNRS, qui a saisi le procureur de la République. Contacté par Libé, il indique n’avoir pas eu de remontées de menaces supplémentaires à ce stade. Des universités, comme celle de Toulouse, se sont décidées à offrir la protection fonctionnelle aux chercheurs visés et à porter plainte. «L’extrême droite utilise les réseaux sociaux, Internet, pour faire circuler des fausses informations, accoler à des personnes bien réelles des opinions qui ne sont pas les leurs et, in fine, en faire des gens supposément dangereux qu’il faudrait presque attaquer…» dénonce Christophe Voilliot, cosecrétaire général du Snesup-FSU, contacté par Libé. Le syndicaliste regrette que Frédérique Vidal n’ait pas soutenu les chercheurs en question plus vigoureusement.
Le sociologue Eric Fassin, également signataire de la pétition, a pour sa part dénoncé une «chasse aux sorcières» lancée par la ministre Vidal et «relayée par la fachosphère». Le chercheur a lui-même été menacé de mort récemment par Didier Magnien, une ancienne figure de la mouvance néonazie, comme l’a révélé Mediapart. «Je vous ai mis sur ma liste des connards à décapiter le jour où ça pétera», avait lancé Magnien sur Twitter en réponse à un billet de blog publié par le sociologue dans la foulée de l’assassinat de Samuel Paty, où il expliquait notamment que «si les terroristes cherchent à provoquer un «conflit des civilisations», nous devons à tout prix éviter de tomber dans leur piège». Magnien a été condamné en décembre à quatre mois de prison avec sursis et 1 000 euros d’amende pour «menace de mort».
Mécanique bien huilée
Le schéma est simple, et presque toujours le même : une prise de position en lien de près ou de loin (parfois même de très loin) avec l’islam, les musulmans ou l’immigration dont la fachosphère s’empare et c’est la shitstorm («tempête de merde») dans le langage fleuri du Web. Grâce à des milliers de messages véhéments diffusés par des bataillons de militants ou des faux comptes, la fachosphère se joue des algorithmes et pousse ses sujets en tête des tendances, ce qui en démultiplie la portée. Et la violence pour les victimes de ce harcèlement.
Mais les réseaux radicaux s’en servent aussi pour gonfler ou créer de toutes pièces des polémiques par lesquelles ils parviennent à jouer sur l’agenda médiatique, ou politique. Outre le monde de la recherche, des personnalités comme Mennel, l’ancienne candidate de The Voice, l’animateur Yassine Belattar, les rappeurs Black M et Médine, la syndicaliste étudiante de l’Unef Maryam Pougetoux, attaquée pour s’être présentée voilée à une commission parlementaire de l’assemblée, et tant d’autres ont été ciblées par la fachosphère. Et les plateaux télé d’enchaîner les débats sur l’immigration, les études de genre, les questions identitaires, le «racisme anti-blancs» théorisé par Jean-Marie Le Pen, ou plus récemment la «non-mixité» des réunions syndicales à l’Unef.
Tempête d’insultes… puis de menaces
L’extrême droite en ligne maîtrise parfaitement la recette : relayer, s’indigner, faire réagir. Elle a encore fait preuve de ses capacités à agiter les réseaux sociaux et à décupler l’écho médiatique de certaines polémiques lors de la récente affaire liée à l’affichage − condamné par tous les acteurs − du nom de deux enseignants qualifiés de «fascistes» et taxés d’islamophobie, fin février à Sciences-Po Grenoble. Le monde politique a réagi, ainsi que la ministre Frédérique Vidal pour fustiger la mise en cause publique de ces deux enseignants placés sous protection policière. Face au tollé national, difficile d’entendre que l’un d’entre eux, Klaus Kinzler, avait auparavant rudement mis en cause le travail d’une enseignante. Sa «faute», selon lui ? Diriger un groupe de travail contre les discriminations employant le terme «islamophobie», terme qui serait une «arme idéologique [de la] guerre mondiale menée par des “fous de Dieu”», selon des échanges révélés par Mediapart. Kinzler s’était d’ailleurs fait recadrer par la direction de Pacte, le labo de recherche en sciences sociales CNRS /Sciences-Po Grenoble /UGA, comme l’a écrit Libé. L’affaire rebondit, mi-mars, lorsque l’animateur de CNews Pascal Praud, goguenard, donne à l’antenne le nom de la directrice du labo Pacte, coupable selon lui d’avoir défendu en interne sa collègue prise pour cible par Kinzler. Conséquence immédiate de l’outing de CNews : une tempête d’insultes et de menaces contre cette femme, qui doit désormais elle aussi vivre sous protection policière.
Cette intervention d’un leader d’opinion influent à la droite de la droite est un autre élément crucial de la mécanique fanatique de la fachosphère. Ce sont aussi les Eric Zemmour, Jean Messiha, Damien Rieu mais aussi le site Fdesouche, le «média de mobilisation» Damoclès, fondé par un collaborateur parlementaire LR, ou encore les néonazis anonymes du site interdit (mais qui reste accessible et a même un forum très fréquenté) «Démocratie participative» : une intervention de ces influenceurs, qu’elle soit sibylline ou carrément ordurière, peut transformer un épiphénomène en tempête.
Le phénomène ne concerne bien sûr pas que les chercheurs. Militants, journalistes, ou même anonymes en ont fait les frais ces dernières années. Si de plus en plus d’affaires finissent devant les tribunaux, la majorité reste impunie. Les raids numériques coordonnés et les tweets injurieux sont plus sévèrement réprimés depuis une loi de 2018. Et si un amendement a été inséré dans le projet de loi «confortant les principes de la République», pour contraindre (un peu) les réseaux sociaux à améliorer leur modération, la majorité compte surtout sur l’échelon européen. Le «Digital Services Act» devrait ainsi mettre fin à l’irresponsabilité juridique des géants du numérique. Il pourrait être adopté, au mieux, d’ici 2022.
#upthebaguette#whatthefrance#french#en français#france#bee tries to talk#cw: racism#cw: islamophobia#cw: nazism#bon ben c'est chouette tout ça hein... on est bien dans ce monde de tarés hein#article posté en entier car réservé aux abonnés
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Un coup dans l’eau pour Valeurs actuelles. La pseudo-fiction illustrée dépeignant Danièle Obono en esclave dans l’Afrique du 18e siècle a suscité un tollé. Parmi de nombreuses réactions, le président de la République et le premier ministre ont assuré la députée de la France insoumise de leur soutien. L’expression de cette indignation était nécessaire, car contrairement à ce que pense l’historien Pierre Nora, la radicalité aujourd’hui n’est pas à gauche, mais à droite. Entre émergence d’un terrorisme suprémaciste blanc, infiltration des services de police par l’extrême-droite, contamination de la gauche républicaine par le racisme islamophobe, radicalisation des chaînes d’info, c’est bien du côté d’une pensée de l’affrontement des civilisations que se joue aujourd’hui la recomposition des forces politiques. Dans ce paysage, la partition assurée par le magazine consiste à multiplier les ballons d’essais et à banaliser les idées qui s’élaborent dans les coulisses de la fachosphère.
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