#provocation à la haine
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Supercherie du genre : victoire judiciaire du Syndicat de la famille face au lobby LGBT
Le Syndicat de la Famille a gagné son procès pour « provocation publique à la haine envers un groupe de personnes à raison de leur identité de genre », pour avoir contesté la circulaire Blanquer sur la transidentité. Sa présidente, Ludovine de La Rochère, réagit dans le JDD : Défendre le bon sens expose inévitablement à des attaques de la part des militants de la déconstruction et du wokisme.…
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Je vous laisse juge sans commentaires ni interactions svp seulement en pensées
Le vétéran et écrivain américain Noctis Draven « J'ai dit à plusieurs reprises au fil des ans que la Russie est le dernier pays au monde qui fait obstacle à la domination totale de l'Occident. Si la Russie tombe ou échoue, ce sera la fin du monde. Si vous regardez les valeurs de l’Occident, des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de la Suède, de l’Australie, du Canada, etc., vous remarquerez une tendance. Ce sont des pays qui abandonnent de plus en plus leur identité, ce sont des lieux envahis par les migrants, où la culture se dissout et l’histoire s’efface. La population y a été remplacée, tuée, violée et finalement oubliée. Ce Forum économique mondial et l’agenda mondialiste visent à créer un monde sans frontières, sans culture ni identité, une foule massive de personnes sans loyauté envers leur terre ou leur patrimoine et plus facilement contrôlables. N'être rien d'autre qu'une classe de consommateurs sans fierté de bétail suivant les commandes. L’Occident partage une haine commune envers la tradition, la famille, les enfants et les valeurs traditionnelles. Ils veulent des foyers monoparentaux, ou mieux encore, des foyers non parentaux. Ils ne veulent pas d’enfants, contribuent aux craintes climatiques et soutiennent et vénèrent l’idéologie LGBTQ. Un monde d’idéologie « Si vous l’aimez, faites-le », sans respect pour la moralité ni aucune restriction. Chaque nation qui « rejoint » l’Occident finit par le devenir. Parcourez les villes du Sud , du Nord, ou n’importe quel pays européen qui a plié le genou devant les mondialistes. Vous ne trouverez pas de Français à Paris, vous ne trouverez pas d'Anglais en Angleterre, vous ne trouverez pas d'Allemands en Allemagne, etc. Démographiquement méconnaissable, culture détruite, en fait la seule idéologie sur laquelle ils semblent tous d'accord est la LGBTQ. La Russie ne s’est pas abaissée à cela, elle est tout le contraire et constitue une menace pour l’Occident. Non pas parce que la Russie veut conquérir ou changer l’Occident, non pas parce qu’elle cherche la guerre, mais simplement parce que la Russie existe. La Russie est forte et elle ne peut pas la forcer à se soumettre à cette voie. L’existence même d’une puissance qui ne se soumettra pas est offensante et effrayante pour l’Occident. C’est pourquoi ils continuent toujours leurs provocations dans le but de détruire la Russie. Pire encore, la Russie résiste à l’Occident et incite les autres à faire de même, montrant par l’exemple que l’Occident peut être vaincu et qu’il existe une autre voie multipolaire. Une manière dont le monde peut commercer, faire des affaires et exister sans se mettre à genoux ni succomber à l’idéologie satanique des mondialistes occidentaux. L’Occident ne peut pas tolérer cela et cherche donc à détruire la Russie. L’Occident sait que si la Russie tombe, le reste du monde tombera aussi. Nous ne devons JAMAIS laisser tomber la Russie, elle représente le tout dernier bastion de liberté dans le monde. Les gens libres n’ont nulle part où fuir. Nulle part! Nous nous rangerons du côté de la Russie, ou nous vivrons à genoux devant un ordre mondial mondialiste éveillé qui est dangereusement sur le point de tout détruire. »
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Monsieur le Président,
Je vous écris de la prison d’Édimbourg, en Grande-Bretagne, où je suis détenu depuis le 10 novembre dernier. Le 8 juin 2023, la justice écossaise se prononcera sur mon extradition que la France réclame afin de me faire purger une peine de prison à laquelle j’ai été condamné en juin 2015.
Quel délit ai-je commis pour qu’on me pourchasse encore après plus de sept ans ? Ai-je braqué une banque, fraudé le fisc massivement, violé ou tué ? Non, j’ai diffusé sur YouTube une vidéo révisionniste — vous diriez : “négationniste” — dans laquelle je dénonçais l’embrigadement politique de la jeunesse au nom du « devoir de mémoire ». J’exposais plus particulièrement les contre-vérités qui lui étaient enseignées à propos d’Auschwitz. Pour cet exposé de moins d’une heure, la justice française m’a infligé un an de prison ferme. J’ai alors fui en Angleterre.
Le révisionnisme n’étant pas un délit au Royaume-Uni, afin d’obtenir mon extradition, les autorités françaises n’ont pas hésité à mentir : elles ont lancé un mandat d’arrêt européen prétendant que j’avais été condamné pour « racisme/xénophobie », un délit qui rend l’extradition automatique. La justice écossaise flairant la manœuvre, Paris a dû lancer un deuxième mandat d’arrêt, en vertu de trois plaintes déposées contre moi, dont une pour « provocation publique à la haine ».
Dans une vidéo diffusée en 2020, j’aurais prêché l’antijudaïsme. Pour l’alléguer, les autorités judiciaires ont extrait 31 secondes d’un exposé de 45 minutes ! Je répondais à un spectateur selon lequel l’extermination des Juifs serait un « mal nécessaire ». Après avoir souligné qu’un « mal nécessaire » était une contradiction morale, j’expliquais pourquoi exterminer les Juifs ne servirait à rien, ceux-ci ne faisant que révéler des dysfonctionnements dont souffriraient nos sociétés et dont nous étions les premiers responsables. Les 31 secondes extraites résument cette opinion : elles ne sauraient constituer un appel à la haine des Juifs.
Le visionnage de toute la vidéo le confirme. Je note d’ailleurs qu’en trente ans de militantisme, je n’avais jamais été poursuivi en vertu de la loi dite “antiraciste”. Pour une raison très simple : je ne suis pas “raciste” dans le sens donné aujourd’hui à ce mot (un “raciste” prônerait la haine raciale). De plus, je me déclare judéo-indifférent. Autrement dit : je n’éprouve ni sympathie ni antipathie pour ce peuple composé — comme tous les peuples — de gens très différents.
Ces poursuites abusives pour « provocation publique à la haine » sont une nouvelle manœuvre tentée par la France qui se démène pour obtenir mon extradition. L’objectif final est de me jeter en prison et de m’y maintenir le plus longtemps possible afin de me réduire au silence.
Quel aveu, Monsieur le Président ! Je ne pouvais espérer, de la part de vos autorités, une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux. En effet, comparons les forces en présence :
d’un côté, la France dotée de multiples musées mémoriaux : le Mémorial de la Shoah à Paris, le Musée de la Déportation à Lyon, le Mémorial de Caen, le Centre de la Mémoire d’Oradour à Oradour-sur-Glane, sans compter les dizaines de « livres de mémoire » à travers tout le pays, auxquels viennent s’ajoutent les programmes scolaires (la Shoah en primaire, au collège et au lycée), les « voyages pédagogiques » au Struthof, à Oradour ou à Auschwitz, les « passeurs de mémoire », les films, les émissions, les livres, les témoins dans les établissements scolaires, car le « devoir de mémoire » bénéficie de milliers de voix — toutes conformes à l’histoire officielle — et d’un financement qui atteint les millions d’euros.
en face de cela, un homme quasiment seul, qui ne dispose d’aucune subvention, seulement des dons venus de son public restreint (deux ou trois milliers de personnes tout au plus) ; qui, pour vivre, donne des cours particuliers ; il diffuse ses travaux à compte d’auteur et vend ses ouvrages au compte-gouttes, car aucun éditeur n’accepte de publier ses recherches ; qui, chassé de toutes les grandes plateformes de partage, publie ses vidéos dans les catacombes d’Internet — à savoir, une chaîne Gab et un blogue aux États-Unis d’Amérique.
Tels sont donc les éléments en présence, que l’on pourrait dépeindre ainsi : face à une immense chorale qui chante à tue-tête accompagnée d’un orchestre assourdissant, un homme seul, muni d’un cône en papier dérisoire en guise de porte-voix. Toutefois, pour les autorités françaises, c’est encore trop : il faut faire taire cet homme seul en le saisissant à tout prix et en le jetant en prison ! Un premier mandat d’arrêt ne suffisant pas, elles en lancent un deuxième après avoir déposé trois plaintes supplémentaires. Oui, vraiment, je ne pouvais espérer une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux.
Vous alléguerez sans doute, Monsieur le Président, que la répression à mon encontre a une tout autre cause : mes thèses, direz-vous, offensent les victimes et peuvent conduire certains éléments fragiles de la population à perpétrer des actes “racistes”. Je répondrai que c’est faux, pour deux raisons.
Je n’ai jamais nié l’effroyable tragédie vécue par les gens présents à Oradour-sur-Glane le samedi 10 juin 1944. Je n’ai jamais nié le drame que fut la déportation précipitée, en pleine guerre, de millions de gens, parmi lesquels des femmes, des enfants, des vieillards, des affaiblis et des handicapés. Si les fouilles menées depuis vingt-cinq ans dans les camps de Treblinka, Sobibor, Belzec et Chelmno n’ont pas permis de découvrir des chambres à gaz, elles ont en revanche contribué à la mise à jour de nombreuses fosses communes improvisées. Ces fosses, je n’en ai jamais contesté l’existence. Elles contiennent les corps de dizaines de milliers de Juifs morts dans les trains ou euthanasiés à leur arrivée, parce que blessés, malades ou trop affaiblis pour aller plus loin vers l’Est. De nombreux récits corroborent ces constats matériels. Dans plusieurs vidéos, j’en ai cité, sans les contester ni les rejeter. S’y ajoutent les conditions de vie dans les ghettos surpeuplés et parfois mal ravitaillés en Pologne ou à l’Est : elles firent de nombreuses victimes que j’ai également mentionnées. Viennent enfin tous les déportés morts dans les derniers mois de la guerre lorsqu’au sein d’une Allemagne laminée par les bombardements, la situation à l’intérieur des camps se détériora (surpopulation, manque de médicaments, ravitaillement insuffisant). Les photos effroyables prises à la libération de Buchenwald, de Dachau, de Vaihingen ou de Bergen-Belsen, je les ai montrées à de multiples reprises, sans jamais les qualifier de montages. Personne, donc, ne peut prétendre honnêtement que j’offenserais la mémoire des victimes en niant leur mort ou les circonstances terribles de leur décès.
quant à mener certaines personnes à commettre des actes “racistes”, ma réponse sera simple : depuis trente ans que je diffuse mes travaux, aucune agression n’est à déplorer, dont je me serais révélé être l’inspirateur.
Cependant, allons plus loin. Oui, admettons que mes exposés puissent conduire une poignée de personnes fragiles à perpétrer des violences “racistes”. Faut-il pour autant priver toute la population de certaines vérités historiques en sanctionnant leur diffusion publique ? Assurément non !
Toutefois, j’entends déjà votre réplique, Monsieur le Président : « Pays de la liberté de recherche, à France n’interdira jamais la diffusion de vérités scientifiquement établies. Avec les négationnistes toutefois, il n’est pas question de vérités, mais de mensonges réfutés par les témoins fiables et une cohorte d’historiens accrédités. Vous êtes bien présomptueux, Monsieur Reynouard, de prétendre avoir raison contre ces gens. »
En réalité, je ne suis pas plus orgueilleux qu’un enquêteur persuadé d’avoir élucidé une affaire malgré les dénégations des inculpés et de leurs avocats. Pourquoi ? Parce que d’Oradour à Auschwitz, j’ai adopté les méthodes traditionnelles utilisées dans des enquêtes criminelles.
Je me suis rendu sur place afin d’examiner la scène du crime allégué ;
j’ai effectué des constats matériels afin de comprendre ce qui a pu se passer ;
j’ai vérifié les récits recueillis (témoignages et aveux) en les confrontant aux constats matériels et en analysant leur cohérence interne ;
j’ai complété mes recherches avec l’étude de documents utiles. En résumé, j’ai établi la matérialité des faits.
Ai-je tort dans mes conclusions ? Débattons-en loyalement, chaque partie pouvant librement s’exprimer et déposer ses documents sur la table. Cette confrontation à armes égales, j’y suis prêt. Je la réclame même.
Vous m’objecterez qu’on ne débat pas d’Histoire avec une personne dénuée de toute formation d’historien. Dois-je en déduire, Monsieur le Président, qu’un non-historien ne saurait intervenir dans une question d’Histoire ? Voilà trente ans toutefois, en 1993, le CNRS publia un ouvrage intitulé : Les Crématoires d’Auschwitz. La machinerie du meurtre de masse.
La presse l’encensa, affirmant qu’il réfutait définitivement les thèses révisionnistes. Or son auteur, Jean-Claude Pressac, était… pharmacien de profession. Plus révélateur encore : l’homme considéré jusqu’à sa mort comme l’expert numéro un de l’Holocauste, Raul Hilberg, n’était pas, lui non plus, historien de formation. Je pourrais également citer Robert Jan Von Pelt, Jean-Jacques Fouché ou Guy Pauchou (pour Oradour). Preuve que des non-historiens peuvent intervenir dans des questions d’Histoire.
Certains de mes contradicteurs — Gilles Karmasyn par exemple — prétendent me réfuter, mais sans jamais accepter le débat. Ils sont comparables à des boxeurs qui, seuls sur le ring, donneraient des coups de poing dans le vide avant de lever les bras en criant : « J’ai gagné ! Il est KO. » À celui qui s’étonnerait de l’absence de l’adversaire, ils répondent : « Voyons ! On ne boxe pas avec un non-boxeur ». Prétendre qu’on ne débat pas d’Histoire avec un non-historien est une dérobade pitoyable.
Certes, je n’ai aucune formation en la matière, mais à Auschwitz et à Oradour, les SS sont accusés d’avoir massacré des innocents. Il s’agit donc d’affaires criminelles. Le fait que les meurtres allégués auraient été commis dans le passé ne modifie pas la nature de la question, donc ne change en rien les méthodes d’enquête. Or, je le répète, j’applique scrupuleusement ces méthodes.
En voulez-vous la preuve ? Voici : à Birkenau, les SS auraient aménagé des chambres à gaz homicides dans quatre grands crématoires. La plus meurtrière — 400 000 victimes alléguées — se serait trouvée dans le Krema II. Les SS auraient déversé le Zykon B par quatre orifices carrés pratiqués dans le toit. Les granulés mortels seraient tombés le long de quatre colonnes grillagées fixées solidement au sol et au plafond. Bien que le crématoire ait été dynamité, le toit, partiellement effondré, subsiste. L’ayant inspecté du dessus et du dessous, je n’ai vu nulle trace ni d’un quelconque orifice d’introduction ni d’une fixation de colonne grillagée. Rien.
Certes, en 2004, trois chercheurs indépendants (MM. Keren, McCarthy et Mazal) prétendirent avoir localisé trois des quatre trous ; mais les autorités du Musée d’Auschwitz n’ont jamais osé invoquer leur étude. Sept ans plus tard d’ailleurs, le directeur du Musée préfaça un Guide historique d’Auschwitz dans lequel les deux auteurs prévenaient qu’il était vain de rechercher l’emplacement exact de ces orifices fantomatiques. Depuis, rien n’a changé.
En cas de débat avec un historien, je porterais tout d’abord la discussion sur ce sujet. Je proposerais que l’on se rende ensemble sur les lieux, à la recherche des trous allégués ainsi que des traces des colonnes grillagées. Je profiterais de notre présence sur le site pour demander à mon contradicteur s’il peut me montrer des traces bleues sur le mur ou au plafond de la « chambre à gaz ».
Au printemps 1943, en effet (date du début des gazages massifs dans les crématoires d’après la chronologie officielle), la structure venait d’être construite. Par conséquent, les maçonneries étaient alcalines. L’acide cyanhydrique prétendument utilisé par les SS pour gazer en masse aurait pénétré en partie dans les matériaux humides (briques, plâtres, béton). Il s’y serait dissocié pour former un pigment à base de ferrocyanures : le Bleu de Prusse.
Très stable, résistant aux rayons lumineux et aux intempéries, les murs et le plafond de la pièce présentée comme ayant servi de chambre à gaz devraient en contenir encore aujourd’hui. Aussi devrait-on y voir des traces bleues plus ou moins larges. Toutefois, l’historien serait dans l’impossibilité de m’en montrer une seule. Prétendrait-il que ce pigment ne peut se former dans une pièce non chauffée ? Je lui démontrerais le contraire. Sur les plans originaux du crématoire, cette salle est désignée comme une morgue. Tout démontre qu’elle a été utilisée à cette fin, sans jamais avoir été reconvertie en chambre à gaz homicide.
« No Hole No Holocaust » (pas de trou, pas d’Holocauste), répétait le professeur Faurisson depuis 1994. Il avait raison, car sans ces trous, les 400 000 victimes alléguées de cette chambre à gaz sont imaginaires. Tous les témoignages et les aveux n’y changeront rien.
Les antirévisionnistes nous demandent : « si les millions de Juifs n’ont pas été exterminés, alors où étaient-ils passés en 1945 ? » Pardon, mais c’est inverser la charge de la preuve. C’est aux antirévisionnistes de démontrer que les Juifs auraient été exterminés systématiquement, parmi lesquels trois millions auraient péri dans des chambres à gaz.
D’après l’Histoire officielle, Auschwitz-Birkenau aurait été le centre de cette extermination par gaz (près d’un million de victimes). La chambre à gaz du Krema II aurait été la plus meurtrière (40 % des asphyxiés). C’est donc elle qu’il faut examiner en premier. Où sont les orifices d’introduction du Zyklon B ? Historiennes et historiens, montrez-les nous, qu’on en discute. Et où sont les traces bleues ? Il est vrai qu’une formation en chimie est nécessaire pour comprendre l’importance de leur absence. Titulaire d’un diplôme de chimie organique, je suis donc mieux placé qu’un historien pour conclure.
Il en va de même à Oradour. Les Waffen SS sont accusés d’avoir massacré plusieurs centaines de femmes et d’enfants dans l’église du village. Ils auraient tenté de les asphyxier avant de les mitrailler, puis d’incendier le bâtiment. L’incendie généralisé aurait transformé le lieu saint en four crématoire, et de très nombreux corps auraient été réduits en cendres. Dans cette affaire, des notions en diffusion de la chaleur, en rayonnement et en résistance des matériaux se révèlent nécessaires.
Mes études m’ayant conduit à étudier ces matières, j’ai mis mes connaissances à profit pour expertiser l’église. Cette expertise fait l’objet d’un chapitre entier de mon ouvrage paru en décembre 2022 : Oradour, le cri des victimes. J’en conclus que l’histoire officielle est fausse : les femmes et les enfants sont morts dans des explosions qui ont ébranlé tout l’édifice. Comment suis-je parvenu à cette conclusion ? Voici :
La préservation du mobilier en bois (le confessionnal dans la chapelle de la Vierge et l’autel de la chapelle Saint-Joseph) dément la thèse de l’incendie généralisé ;
La fusion partielle des cloches (des parties totalement fondues, d’autres intactes au point de montrer encore les motifs qui y étaient gravés) démontre que l’événement destructeur fut très rapide et très bref, en un mot, une explosion ;
L’observation des coups portés à la fine sphère en laiton sous la croix faîtière confirme que le phénomène destructeur fut accompagné d’un souffle puissant.
S’y ajoute l’état des corps retrouvés dans l’église ou à côté : ils ne sont pas carbonisés, mais déchiquetés, avec les habits intacts, comme après un bombardement.
Viennent enfin les récits racontés par la femme présentée comme l’unique rescapée de l’église, Marguerite Rouffanche. Quelques semaines après le drame, par deux fois en novembre 1944, puis une fois janvier 1953 (au procès des Waffen SS) et une encore une fois en 1969 (pour la télévision), elle témoigna. L’étude comparative des différentes versions fait apparaître des contradictions insurmontables et des impossibilités matérielles manifestes.
Fin juin 1944 ainsi, Madame Rouffanche affirma que le massacre de l’église avait commencé avec une « caisse » apportée par deux Waffen SS. L’engin n’avait pas explosé, il avait uniquement dégagé une épaisse fumée noire.
Quelques mois plus tard toutefois, les voûtes de la nef de l’église s’effondrèrent, attestant que l’édifice avait été ébranlé sévèrement. Pour l’expliquer, il fallait invoquer une explosion : le 16 novembre 1944, Madame Rouffanche opéra donc un virage à 180 degrés et prétendit que la “caisse” avait été le siège d’une « petite détonation ».
Toutefois, c’était insuffisant pour expliquer l’ébranlement de ce bâtiment fortifié. Deux semaines plus tard, « l’unique rescapée » changea encore sa version : elle allégua que l’engin avait explosé fortement. Ce témoignage devint le récit officiel, publié partout, cependant que celui du 16 novembre resterait à l’abri des regards, dans les archives militaires fermées au public.
Aux contradictions s’ajoutent des impossibilités manifestes. En particulier, la fuite de Mme Rouffanche hors de l’église, en se hissant jusqu’à un vitrail puis en sautant de quatre mètres de haut sur un plan fortement incliné sans s’occasionner la moindre blessure, un exploit impossible pour une femme de 46 ans.
Dans l’affaire d’Oradour, tout trahit le mensonge improvisé maladroitement. M’appuyant sur les constats matériels, sur les documents et sur des témoignages ignorés, j’affirme qu’un dépôt clandestin de munitions se trouvait sous les combles de l’église, au-dessus des voûtes.
Dans quelles circonstances a-t-il été mis à feu ? Tant que les archives militaires seront fermées aux chercheurs indépendants, aucune réponse certaine ne pourra être avancée. Toutefois, à supposer que, l’ayant découvert, les Waffen SS l’aient fait sauter pour tuer les femmes et les enfants, dès 1944, le fait aurait été révélé : Oradour-sur-Glane aurait été présenté comme un village héroïque dans sa résistance à l’Occupant, victime d’une vengeance abominable des “nazis”. Voilà pourquoi je reste persuadé que les Waffen SS ne portent aucune responsabilité directe dans le déclenchement de la tragédie de l’église.
Ayant découvert que le bâtiment servait à la Résistance locale (qui y cachait des pilotes alliés tombés en France et pris en charge par le réseau d’évasion « Comet Escape Line »), ma thèse est la suivante.
Le 10 juin 1944, des maquisards s’étaient réfugiés dans l’église, avec leurs munitions. En effet, les Waffen SS ayant cerné le village, il était impossible de fuir. Dénoncés par deux collaborateurs vivant dans le bourg (cf. le témoignage de Mathieu Borie enfin publié dans son intégralité), ils firent exploser le dépôt de munitions afin de couvrir leur fuite par une porte latérale qui donnait sur la sortie de l’agglomération. Ils n’avaient pas prévu que les explosions se propageraient au clocher, provoquant la destruction de la voûte fragilisée par la présence de l’oculus. Les gaz surchauffés se répandirent dans la nef, entraînant des débris qui mutilèrent les gens présents.
À Oradour, comme à Auschwitz, mes constats matériels sont indéniables, mes analyses, méticuleuses, et mes arguments, rationnels. Loin de toute considération idéologique, je reste sur le terrain des faits. D’où cette volonté et cet acharnement à me faire taire, les autres raisons invoquées relevant de prétextes fumeux.
La France parviendra-t-elle à me faire extrader ? Peut-être, mais il est trop tard : j’ai diffusé mes travaux sur Internet et j’ai pu de justesse — avant mon arrestation le 10 novembre 2022 — finir mon ouvrage sur Oradour. Depuis janvier dernier, il est en vente.
Voilà une trentaine d’années, tout jeune révisionniste, j’avais été invité chez les Faurisson. Un matin, je discutais dans la salle de travail ; je soulignais que nos adversaires disposaient de moyens financiers et répressifs. Le professeur Faurisson se lavait dans la salle de bain attenante. À ces mots, il entrebâilla la porte et, passant la tête, il lança : « Oui, mais nous, on dort tranquille. »
C’était vrai à l’époque, ça le reste aujourd’hui : dans ma cellule à Édimbourg, je dors tranquille, car ayant semé des graines de vérités historiques, j’ai accompli mon devoir. Désormais, mon destin personnel n’a plus aucune importance. La France que vous représentez peut s’acharner à me faire extrader pour m’emprisonner. Quand on dresse le bilan des forces en présence, son acharnement apparaît comme un aveu : l’aveu que j’ai raison et que mes travaux sont importants. Oui, vraiment, je dors tranquille, et plus vos sbires s’acharneront, plus je dormirai tranquille.
Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’expression de mes sentiments choisis.
Vincent Reynouard
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Après la pénalisation de l’apologie de terrorisme, les juifs exigent qu’il en soit de même pour le « racisme » et « l’antisémitisme ».
Encore une brillante victoire de la droite après s'être alignée aveuglément sur la Judée.
Encore une fois, l’insondable stupidité de la droite éclate au grand jour.
Plutôt que de soutenir LFI dans sa demande de dépénalisation de « l’apologie du terrorisme » pour faire refluer la logique répressive imposée par le système, l’ensemble de ces crétins serviles a redoublé de férocité dans la justification de la censure. Évidemment pour complaire aux juifs.
La palme revient à l’inverti Tanguy. Desserrer l’étau de la censure serait du « soviétisme » pour cette buse zozotante.
Les juifs, qui eux font de la politique, ont immédiatement saisi l’opportunité de la surenchère répressive. La LICRA, qui l’exige depuis longtemps, est montée au créneau pour étendre le principe aux « propos racistes ».
Le Point :
L’augmentation des signalements des victimes de racisme et d’antisémitisme dans les écoles au cours de la période 2023-2024 donne la mesure du phénomène : + 49 % d’augmentation du nombre de signalements pour racisme et antisémitisme (discrimination, injure, contenu haineux sur Internet, provocation à la haine, diffamation, apologie ou contestation de crimes contre l’humanité) ; + 127 % d’augmentation du nombre de signalements à caractère antisémite ; + 52 % d’augmentation du nombre de signalements à caractère raciste. La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) avait, elle aussi, appelé le gouvernement à s’engager activement dans la lutte contre le racisme sous toutes ses formes lors de la publication de son 34e rapport annuel, qui fait état d’une forte augmentation des actes racistes entre 2022 et 2023 et du niveau record et sans précédent de la hausse des actes antisémites (+ 284 %). Paradoxalement, la réponse judiciaire est disproportionnée par rapport à la réalité de ce fléau, avec seulement 1 600 condamnations annuelles. « Les chiffres du ministère de la Justice se révèlent ainsi particulièrement inquiétants », souligne la CNCDH. « En 2022, 55 % des affaires à caractère raciste étaient classées sans suite, soit bien plus que dans le contentieux général. On note aussi un recul de 17 % du nombre d’affaires à caractère raciste orientées par les parquets, et un recul de 16 % du nombre de personnes mises en cause pour des infractions à caractère raciste. Le faible nombre des condamnations nourrit le sentiment d’impunité des auteurs, la défiance des minorités vis-à-vis des institutions comme leur sentiment d’insécurité », précisent les auteurs du rapport. D’où l’importance, selon Mario Stasi, de corriger le message envoyé aux citoyens. Le président de la Licra appelle de ses vœux une intervention législative visant à sortir ces délits de la loi sur la liberté de la presse pour les intégrer dans le régime général du Code pénal. Entretien.
Mario Stasi, fourrier des juifsLe Point : La réponse pénale semble inadaptée à la gravité de la situation, compte tenu de l’augmentation exponentielle des actes et des propos haineux. Une proposition de loi, adoptée en mars 2024 par l’Assemblée nationale, visait à durcir la répression contre les injures racistes et antisémites. Est-ce dans cette voie qu’il faut s’engager ?Mario Stasi : Ces actes tombent sous le coup de la loi de 1881 sur la liberté de la presse. Cette loi est, à l’origine, une loi de protection des journalistes et de garantie de la liberté d’expression. Avec le temps, cette loi a évolué et renferme désormais un panel d’infractions aggravées notamment par leur caractère raciste ou antisémite. Maintenir les délits racistes et antisémites dans cette loi contribue à répandre l’idée que nous aurions à réprimer une opinion ; or le racisme et l’antisémitisme ne sont pas des opinions mais des délits, et persister à les juger avec les précautions dévolues aux journalistes constitue une impasse et un détournement du but initialement poursuivi.Aujourd’hui, force est de constater que ce véhicule est inadapté à nos combats, aux nouveaux moyens de communication et aux contentieux de masse en ligne, qui ont largement évolué depuis 1881.Il nous semble donc essentiel que le législateur adresse un message clair à l’attention de l’opinion publique, celui que les propos racistes et antisémites méritent une véritable réponse pénale, efficace et rapide. C’est pour cela qu’ils doivent constituer un délit de droit commun, en somme un « vrai » délit, et que les délinquants racistes ou antisémites doivent être enfin considérés comme des délinquants ordinaires.Depuis de nombreuses années, la Licra porte le projet de sortir les délits à caractère raciste et antisémite de la loi du 29 juillet 1881 pour les intégrer dans le régime général du Code pénal, et l’actualité nous réconforte dans la poursuite de ce combat.Le racisme et l’antisémitisme sont bien évidemment des opinions. Qu’elles soient interdites par le régime juif n’y change rien et ce sophiste de Stasi le sait pertinemment.Les lois « antiracistes » et apparentées sont conçues depuis 1972 pour empêcher les autochtones de s’exprimer librement sur la question de la submersion migratoire. Ce sont des lois foncièrement anti-françaises, dictées par les juifs, pour les noyer sans qu’ils puissent se défendre. Leur abolition n’est pas négociable et la question de savoir si ces mesures répressives sont régies par la loi de 1881 ou le code pénal est un détail.Cependant, pour le justiciable goy, les faire passer dans le Code pénal implique de faciliter la répression. Par exemple, en permettant la comparution immédiate, c’est-à-dire un procès expéditif après avoir été arrêté à 6h00 du matin. La loi de 1881, qui n’a bien sûr jamais prévu de peines de prison pour des opinions, l’empêche. Les bataillons d’avocats juifs entendent bien faire régner une terreur accrue par ce moyen contre les Français assiégés et sans défense face à l’invasion.Si vous voulez sortir de la propagande juive au sujet de la question de la censure antiraciste, lisez le livre d’Éric Delcroix : « Le théâtre de Satan, décadence du droit, partialité des juges ».Les droitardés pensaient que les juifs allaient les laisser dire tranquillement du mal des bougnoules. Demandez à ces abrutis de se compter à présent car ils sont au menu de la bête cosmopolite qu’est cette république juive.
Pour ma part, je suis résolument favorable à cette pénalisation à outrance des opinions qu’exigent les juifs.
D’abord pour une question d’ordre pratique. Nous ne démantèlerons pas l’arsenal de terreur antiraciste créé par les juifs grâce à je ne sais quelle conversion subite de politicards démocrates sur le chemin de Damas. C’est par la saturation de l’appareil répressif que nous le détruirons.
Ensuite, les juifs, sous l’effet de leur panique tribale, contraignent stupidement l’appareil d’état à une escalade perpétuelle contre la masse de la population. Plus il y a d’options légales pour que les différents groupes raciaux et religieux se poursuivent mutuellement devant les tribunaux, plus le climat de guerre raciale progresse, précipitant la balkanisation de la société. Cette balkanisation entraînera l’implosion de la Cinquième putain aussi sûr que deux et deux font quatre.
Plus il y aura de répression idéologique exigée par les juifs, mieux ce sera. Cela dressera un nombre croissant de gens contre eux, mais aussi contre l’État, ce qui pave la voie à l’évaporation de sa légitimité. Tôt ou tard le bras séculier s’épuisera sous le nombre, comme en 1789. À ce moment-là, les juifs se trouveront face à une immense masse hostile, décidée à régler ses comptes avec eux. Pour eux, l’aéroport ne sera pas assez proche ce jour-là.
La LICRA fait notre jeu au delà de nos espérances.
Démocratie Participative
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Mort de Thomas à Crépol : neuf internautes condamnés pour provocation à la haine - Valeurs actuelles
Dix personnes étaient jugées ce jeudi 31 octobre pour provocation à la haine en lien avec la mort de Thomas en novembre 2023. Neuf prévenus ont écopé de peines allant de 500 euros d’amende à quatre mois de prison avec sursis. — À lire sur www.valeursactuelles.com/societe/mort-de-thomas-a-crepol-neuf-internautes-condamnes-pour-provocation-a-la-haine
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Charlie Hebdo encore une fois au cœur de la polémique religieuse
À Paris, deux associations catholiques, « Marie de Nazareth » et « La petite Voie », ont déposé une plainte retentissante ce mardi 27 août contre l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo. Elles accusent le journal d’incitation et provocation à la haine religieuse après la publication, le 16 août dernier, d’une caricature outrageante de la Vierge Marie. Ce dessin, publié le lendemain de la fête de…
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RELLEMENT LIBRE !
"Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres." Jean 8:36
Un homme détenu en prison décrivait la liberté comme une remise de dette...
Une dette envers la société, une dette envers Dieu : "Un créancier avait deux débiteurs l’un devait cinq cents deniers, et l'autre cinquante. Comme ils n'avaient pas de quoi payer, il leur remit à tous deux leur dette. Lequel I‘aimera le plus ?" Luc 7:41-47
D'un air ferme et provocant, le détenu s'avança vers la porte de sortie. Il avait purgé sa peine. "J'ai payé ma dette à la société" déclara-t-il en sortant. Il avait fait son temps et il partait en jetant un regard de haine vers les autorités. Il était quitte, mais il n'était pas réellement libre de toute dette.
Cet homme ne faisait pas le rapport entre le paiement de ses crimes en direction de la société et la dette insolvable qu'il avait devant Dieu. C’est pourquoi, il était encore plein de haine et dépourvu d'amour dans son cœur.
Un autre détenu était convoqué dans le bureau du directeur. On lui annonça qu'il devait faire une année supplémentaire. Il n'avait pas encore entièrement payé sa dette… L'homme fut attristé et passablement bouleversé. Mais il redressa la tête et donna un bel exemple de courage, malgré les douze mois supplémentaires de détention qui l'attendaient.
La différence entre les deux détenus est la suivante : le second reconnaissait ses péchés et ses crimes. Il comprenait qu'aucun effort ne pourrait jamais payer sa dette. Mais il savait que Dieu avait pardonné sa dette parce que le Christ l’avait payé de sa propre vie pour le pardon de tous ses péchés.
Il s’était rendu compte qu'on lui avait beaucoup pardonné. Il savait que Dieu l'aimait, et en réponse à cet amour, il aima Dieu d’un cœur sincère...
"Lorsqu'un détenu se sait libre de toute dette envers Dieu, il se sent capable d'affronter les désagréments de la détention…" paroles d’un prisonnier !
Être affranchit : renvoi à l’idée d’être libéré de sa dette, libéré de l’esclavage du péché et libéré de la malédiction.
Jésus nous a sauvé de la malédiction du péché : « Nous étions morts par nos offenses et par nos péchés dans lesquels nous marchions autrefois, selon le train de ce monde, … et nous étions par nature des enfants de colère, ... » (Éphésiens 2: 1-3,7). Mais Dieu nous a sauvé par l’extraordinaire richesse de sa grâce qu’il a manifestée pour nous en Jésus-Christ !
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À propos des trolls
« Le web et les médias numériques ont permis de connecter les gens de partout dans le monde et ce, instantanément. Cette situation peut donner l’impression qu’elle est fantastique et ça l’est, mais l’arrivée de l’anonymat à ruiner cette situation.
En effet, le fait de pouvoir entrer en contact avec d’autres personnes sur une quantité infinie de sujets permet aussi une certaine liberté d’expression et alors que les gens ont tendance à retenir leurs commentaires négatifs en face, leurs homonymes anonymes en ligne n’ont pas ce filtre. Certains individus vont même jusqu’à créer de multiples comptes sur divers réseaux afin d’attaquer d’autres personnes à l’aide du clavardage.
C’est là que le terme “Troll” apparaît. Bien différent des textes de sources nordiques, les trolls en ligne cherchent à poster des messages faussement provocants, ironiques, absurdes – voire insultants afin de faire réagir les autres usagers et ce, de façon négative.
Selon le podcast Zoom Zoom Zen de RadioFrance, on doit quand même comprendre que ces gens, les “Trolls” d’Internet ne sont pas dangereux, si on ne les nourrit pas. Ils veulent causer des réactions fortes, mais rien de plus, loin du cyber-harcèlement. Ils trouvent drôle de faire réagir les autres, s’attaquent au commentaires de vidéos ou de Tweets de gens connus de façon anonyme mais ne s'attaquent pas directement à une personne.
En conclusion, je crois que l’arrivée du Web et des discussions par forums ou réseaux sociaux, derrière un écran, ont créé une nouvelle culture sans filtre qui a des impacts négatifs sur les échanges en ligne. Les “Trolls”, bien que mauvais par nature, ne sont pas un danger, à la différence des cyber-harceleurs et de la haine en ligne. Ils ne font que s’amuser et si nous ne faisons que les ignorer, ils arrêteront. »
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Séance 13 - De la mythologie Nordique à l’ère du Web, les “Trolls”
L’arrivée du numérique et ses utilités quasi universelles se sont rapidement enracinés dans plusieurs sphères de la société. La sociopolitique n’est pas épargnée.
Par ou commencer? Le web et les médias numériques ont permis de connecter les gens de partout dans le monde et ce, instantanément. Cette situation peut donner l’impression qu’elle est fantastique et ça l’est, mais l’arrivée de l’anonymat à ruiner cette situation.
En effet, le fait de pouvoir entrer en contact avec d’autres personnes sur une quantité infinie de sujets permet aussi une certaine liberté d’expression et alors que les gens ont tendance à retenir leurs commentaires négatifs en face, leurs homonymes anonymes en ligne n’ont pas ce filtre. Certains individus vont même jusqu’à créer de multiples comptes sur divers réseaux afin d’attaquer d’autres personnes à l’aide du clavardage.
C’est là que le terme “Troll” apparaît. Bien différent des textes de sources nordiques, les trolls en ligne cherchent à poster des messages faussement provocants, ironiques, absurdes – voire insultants afin de faire réagir les autres usagers et ce, de façon négative.
Selon le podcast Zoom Zoom Zen de RadioFrance, on doit quand même comprendre que ces gens, les “Trolls” d’Internet ne sont pas dangereux, si on ne les nourrit pas. Ils veulent causer des réactions fortes, mais rien de plus, loin du cyber-harcèlement. Ils trouvent drôle de faire réagir les autres, s’attaquent au commentaires de vidéos ou de Tweets de gens connus de façon anonyme mais ne s'attaquent pas directement à une personne.
En conclusion, je crois que l’arrivée du Web et des discussions par forums ou réseaux sociaux, derrière un écran, ont créé une nouvelle culture sans filtre qui a des impacts négatifs sur les échanges en ligne. Les “Trolls”, bien que mauvais par nature, ne sont pas un danger, à la différence des cyber-harceleurs et de la haine en ligne. Ils ne font que s’amuser et si nous ne faisons que les ignorer, ils arrêteront.
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Incidents OM-OL : prison ferme et interdiction de stade requises contre les supporters lyonnais pour "provocation à la haine raciale" France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Chapitre 80 : L'interrogatoire de Raines
Raines lança un regard vindicatif à Mulder, ses yeux perçant le jeune homme comme s’il cherchait à sonder ses moindres failles. D'une voix glaciale, il répondit :
D'après vous ? Je vais être direct. Je ne vous dirai rien.
Scully, sentant la tension monter, prit la parole à son tour, sa voix calme mais ferme :
À votre place, je réfléchirais à deux fois avant de dire cela.
Raines répliqua avec mépris, son regard défiant :
Vous n'avez rien contre moi !
Je n'en suis pas si sûr. Répondit Mulder, la voix chargée de détermination.
À vrai dire, nous avons quelques éléments qui pourraient très vite renverser la situation. Croyez-moi, vous n'êtes pas sorti d'affaire.
Un sourire médisant se dessina sur les lèvres de Raines, comme s’il trouvait la situation amusante.
Monsieur Parker disait vrai sur vous. Vous êtes d'une telle arrogance ! C'est insupportable ! J'ai du mal à croire que Parker puisse travailler avec quelqu'un comme vous ! En tout cas, vous ne me faites pas peur, agent Mulder. Pas plus que votre charmante collègue.
Mulder sentit une vague de colère monter en lui, ses poings se serrant instinctivement sous la table. Il lutta pour garder son calme, sachant que perdre son sang-froid ne ferait qu’alimenter l’ego de Raines. Il répondit d’une voix maîtrisée, mais chargée de sous-entendus :
Nous pourrions dire la même chose vous concernant. Je n'ai pas peur de vous, et encore moins après ce qu'il s'est passé. Je vais vous dire pourquoi. Nous possédons un corps qui vous ressemble trait pour trait grâce à votre intervention, ce qui représente une preuve matérielle parfaite contre vous. Sans parler des enregistrements téléphoniques entre vous et Parker. Je trouve que c'est déjà un bon début, vous ne trouvez pas ?
Le visage de Raines se durcit, ses yeux noirs fixant Mulder avec une intensité inquiétante. Le silence qui suivit était lourd, chargé d'une tension palpable.
Qu'attendez-vous de moi ? Cracha-t-il, un rictus mauvais déformant ses traits.
Scully prit le relais, sa voix plus froide que jamais :
Que vous coopériez. Nous ne sommes pas stupides. Nous savons que votre présence ici n'est pas une simple coïncidence. Je me trompe ?
La rage bouillonnait dans les yeux de Raines, chaque mot de Scully l’enfonçant un peu plus dans son ressentiment. Il se redressa brusquement, le visage tordu par la fureur :
Je ne négocierai pas avec vous ! Pour qui me prenez-vous ? Allez pourrir en enfer ! S'écria-t-il, sa voix débordant de haine.
Dans un mouvement soudain et violent, Raines pulvérisa le verre qui se trouvait à côté de lui. Les éclats volèrent dans la pièce, mais à la stupéfaction de Mulder et Scully, aucune trace de sang n’apparut sur sa main. Raines semblait insensible à la douleur, son regard défiant toujours fixé sur eux.
Mulder, bien que secoué par la démonstration, laissa paraître un intérêt quasi clinique, dissimulant son trouble derrière un masque de curiosité professionnelle :
C'est une belle démonstration que vous nous offrez là. Vous n'avez pas l'air de craindre la douleur. Aucune trace de sang. C'est fascinant. Dit-il en étudiant Raines comme un spécimen rare.
Raines, sentant son humanité réduite à une simple curiosité scientifique, explosa :
Je ne suis pas une bête de foire ! Alors cessez de me regarder ainsi ! Aboya-t-il, sa voix remplie de dégoût.
L'agent Parker venait d'arriver sur les lieux. Skinner était présent, observant derrière la vitre sans tain prêt à intervenir en cas de besoin.
Désolée pour ce retard. Alors ? Comment ça se passe ? Demanda Parker, son ton neutre, bien qu’un soupçon d’inquiétude trahissait son apparence froide.
Skinner, encore troublé par ce qu’il venait de voir, répondit avec une légère hésitation :
Je crois que vous avez manqué le meilleur passage.
Mulder reprit ses esprits, se tournant à nouveau vers Raines avec une lueur de provocation dans les yeux :
Allons, que craignez-vous, docteur Raines ? De faire partie des prochains sujets d’expériences ? Imaginez ce que vous pourriez apporter à la science. Quelle ironie du sort, n'est-ce pas ?
Les paroles de Mulder, soigneusement calculées, ne manquèrent pas de raviver la colère de Raines. Son visage se crispa, ses poings se serrant avec une telle force que ses jointures blanchirent. Skinner, percevant l’imminence du danger, décida d’intervenir avant que la situation n'échappe à tout contrôle.
Ça suffit ! Stoppez-moi ça ! Je vais prendre le relais. C'est un ordre ! Déclara-t-il d'un ton ferme et autoritaire.
Mulder et Scully échangèrent un regard, mais n’osèrent pas contredire leur supérieur. Ils se levèrent en silence et quittèrent la pièce, laissant Skinner seul face à Raines. Une fois la porte refermée derrière eux, Skinner fixa Mulder droit dans les yeux, son expression sévère.
Vous êtes allé trop loin, Mulder. Je vous avais pourtant prévenu ! Dit-il, sa voix teintée d'une colère contenue.
Mulder ne baissa pas les yeux, soutenant le regard de Skinner avec une détermination inébranlable :
Nous ne pouvons pas négocier avec ce type ! C'est un tyran qui possède des capacités hors du commun ! Répondit-il avec ferveur.
Je sais ce qu'il est ! Répliqua Skinner, sa voix se faisant plus grave.
C'est bien pour cela qu'il faut nous montrer prudents face à ce qu'il pourrait faire ! Nous allons le transférer en cellule capitonnée dans une institution spécialisée afin de le surveiller. Sachant qu'il vous a agressé, j'ai pu obtenir l'autorisation pour le faire.
Parker, qui écoutait en silence jusque-là, intervint avec une pointe de reproche dans la voix :
Quoi, c'est tout ce que vous avez trouvé ?
Skinner, sentant la frustration dans le ton de Parker, répondit avec gravité :
Qu'est-ce que vous suggérez, Parker ? Notre priorité est de le mettre hors d'atteinte pour le moment. Je vous promets qu'il paiera pour ce qu'il a fait.
Parker ne se laissa pas convaincre si facilement. Ses pensées tournaient autour de l’étrange absence de preuves tangibles liées aux meurtres en série. Elle fixa Skinner, ses yeux brillants de détermination :
Comment se fait-il que vous n'ayez rien trouvé sur les corps des victimes concernant ces meurtres en série ? Demanda-t-elle, ses soupçons de plus en plus affirmés.
Skinner resta silencieux un moment, son regard se perdant dans un point invisible. Il finit par répondre simplement, mais honnêtement :
Je n'ai pas de réponses à vous donner pour l'instant, Parker.
Scully, intriguée par l'insistance de Parker, intervint à son tour :
Que voulez-vous dire par là, Andréa ? Vous le suspectez aussi pour ces meurtres ?
Mulder, sentant que Parker touchait à quelque chose de crucial, appuya son hypothèse :
C'est une possibilité qu'il ne faut pas écarter, en effet. J'ai également pensé à cette théorie.
Parker lança un regard à Mulder, partagée entre l’agacement et l’étrange sentiment de camaraderie qu’elle ressentait envers lui. Elle répondit avec un sarcasme à peine voilé :
Sérieusement ? Décidément, nous sommes en phase, vous et moi. C’en est presque déstabilisant.
Le ton acerbe de Parker irrita Mulder, mais il choisit de ne pas répondre, se concentrant sur l’urgence de la situation. Il pouvait sentir la tension croissante entre eux, un mélange de compétition et d’une étrange complicité qu’il ne s’expliquait pas encore.
Skinner, percevant l'électricité dans l'air, les interrompit sèchement :
Inutile de jacasser plus longtemps, vous trois. Nous avons encore pas mal de travail.
Les trois agents s’exécutèrent, le poids de leur mission pesant lourdement sur leurs épaules. Chacun d’eux, à sa manière, espérait trouver des réponses, mais aussi une forme de rédemption personnelle dans cette quête de vérité.
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Le t-shirt qui fait trembler la république.
C'est probablement pire que l'holocauste.
Les équipes de secours ont sauvé un bébé des décombres d’un immeuble résidentiel de Beit Lahia, qui a été rasé la nuit dernière par des avions de guerre israéliens.
Les juifs sont les véritables victimes.
Ils continuent de beaucoup souffrir à coups de t-shirts.
Le Figaro :
En pleine rame de métro parisien, il exhibait une inscription ouvertement antisémite. Un homme a été photographié sur la ligne 13 portant un maillot floqué des mots «anti juifs», alors que le train marquait un arrêt à la station Saint-François-Xavier (7e arrondissement de Paris) et que de nombreux voyageurs en sortaient. Le cliché a été pris lundi, entre 17h15 et 17h30, et relayé sur les réseaux sociaux par la directrice de la rédaction de la Radio de la communauté juive (RCJ) Sandrine Sebbane et le «Collectif des vigilants», organisation luttant contre l’antisémitisme.
Il s’agit d’une organisation fondamentaliste juive comme il en existe toute une série au sein du CRIF.
Devenue virale, la publication a suscité la réaction de la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, qui a assuré que l’«antisémitisme n’a pas sa place dans notre pays». «Nous procédons actuellement avec les équipes de (la RATP) aux vérifications et à l’identification de cet individu et pour donner lieu aux poursuites pénales qui s’imposent.»
«Une plainte sera déposée», a de son côté annoncé sur X la régie des transports parisiens, qui «condamne avec la plus grande fermeté le racisme et l’antisémitisme et se met à la disposition des forces de l’ordre pour permettre d’identifier et interpeller toute personne responsable de ce type d’acte».
lol
Sur ce même réseau social, le préfet de police Laurent Nuñez a indiqué avoir saisi le parquet de Paris qui a «ouvert une enquête pour provocation à la haine raciale», infraction faisant encourir un an d’emprisonnement.
Vous pouvez toujours attendre avant que cet Espagnol rouge ne se soucie du sort des véritables Français dans les transports en commun, saturés d’allogènes.
En tout cas, cette énième non-affaire démontre à quel point la race juive est déifiée par cette république finissante. Un seul mot de travers et c’est tout le régime qui se met en branle.
Le reste de l’année, les Français innocents se font agressés, volés, plantés, violés sans aucune réaction de toute cette crapulerie politique.
Juiverie et république sont synonymes. La première est le ciment de la seconde.
Démocratie Participative
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Refuser de se taire !
N’aie pas peur, mais continue à parler, ne te tais pas, car Je suis avec toi.” Ac 18. 9-10
Alors que nous sommes encore en démocratie, que nos leaders prônent sans cesse la liberté chère à notre devise nationale, nous observons aussi qu’il y a des censures de plus en plus évidentes, lesquelles entraînent des autocensures, par prudence ou par lâcheté. Il y a des sujets devenus tabous, des valeurs désormais obsolètes, des principes minés… Si vous vous aventurez à les défendre, à simplement les évoquer, vous êtes taxés de ringards, de rétrogrades ou de dangereux démodés. Il y a ainsi aujourd’hui des mots confisqués, des expressions politiquement incorrectes, des propos perçus comme des provocations, des idées qui, si elles sont encore exposées, suscitent indignations, haines et vétos. Des orthographes sont jugées suspectes, transportant dans leurs règles anciennes des concepts devenus indésirables. Dans ce climat, il arrive qu’on ne sache plus ce qu’il est encore possible de dire sans provoquer l’indignation, la moquerie voire le procès. C’est ce qui peut vous arriver en essayant de partager l’Évangile et ses valeurs. Il n’est pas de bon ton de vouloir faire connaître son opinion religieuse, moins encore une conviction qui doit pourtant être annoncée au plus grand nombre et jusqu’aux extrémités de la terre. Dans bien des pays de notre monde civilisé, il est strictement interdit de parler du Dieu de la Bible, de Jésus Sauveur. Même posséder une Bible peut entrainer l’emprisonnement quand ce n’est pas la mort. Dès lors, que faut-il faire ? Entrer en clandestinité ou se cacher pour lire la Bible comme au temps des Camisards ? Dans le livre des Actes, les disciples et les premiers chrétiens se sont vu interdire de parler du Christ mort et ressuscité ; leur réponse a été précise : “Nous ne pouvons pas ne pas parler de ce que nous avons vu et entendu !” (Ac 4. 20). Au cœur de son ministère, Paul eut une vision et reçut une parole : “N’aie pas peur, continue à parler, ne te tais pas car Je suis avec toi.”
Favorite Publié le septembre 28, 2023 Catégorisé comme SPPA
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Exemplaire du Coran brûlé. La semaine dernière, un exemplaire du Coran a été brûlé dans une ville du nord de la France, suscitant une vague d'indignation parmi les communautés musulmanes et non-musulmanes. Cet acte de vandalisme intolérable a été condamné par de nombreux responsables politiques, religieux et associatifs. Exemplaire du Coran brûlé : "un acte de vandalisme intolérable" Exemplaire du Coran brûlé un acte de vandalisme intolérable 2 Le brûlage du Coran est un acte de provocation et de haine envers une communauté religieuse. Cela ne peut être justifié en aucune circonstance, car cela va à l'encontre des valeurs fondamentales de tolérance et de respect mutuel. "Comment l'incident du Coran brûlé met en lumière la nécessité du dialogue interreligieux" Les communautés religieuses ont rapidement réagi à cet incident en exprimant leur indignation et leur condamnation. Les leaders musulmans ont appelé à une enquête approfondie pour identifier les auteurs de cet acte, tout en soulignant l'importance du respect mutuel et de la coexistence pacifique entre les différentes religions. "Le brûlage du Coran : un acte de provocation et de haine" Cet incident souligne la nécessité urgente du dialogue interreligieux et de la promotion de la tolérance et du respect mutuel. Il est crucial de créer des espaces de dialogue où les gens de différentes religions peuvent se rencontrer, échanger des idées et apprendre les uns des autres. Cela peut aider à prévenir les incidents de ce genre à l'avenir. Le gouvernement réagit après l'incident "un exemplaire du Coran brûlé" Exemplaire-du-Coran-brule-un-acte-de-vandalisme-intolerable Le Premier ministre suédois a déploré dimanche un « acte profondément irrespectueux » au lendemain de l’autodafé d’un Coran lors d’une manifestation à Stockholm, en exprimant sa « sympathie » aux croyants après plusieurs protestations dans le monde musulman. « La liberté d’expression est une part fondamentale de la démocratie. Mais ce qui est légal n’est pas nécessairement approprié », a déclaré le dirigeant conservateur Ulf Kristersson sur Twitter dans un message publié dans la nuit. « Brûler des livres qui sont saints pour beaucoup est un acte profondément irrespectueux. Je veux exprimer ma sympathie à tous les musulmans qui ont été offensés par ce qui s’est passé à Stockholm » samedi, a affirmé le chef du gouvernement. →A lire aussi La communauté mouride de Saint-Louis (Sénégal) célèbre les deux rakaas par des prières et récitals du coran Samedi après-midi, dans le cadre d’une manifestation autorisée par la police suédoise à proximité de l’ambassade de Turquie, l’extrémiste de droite suédo-danois Rasmus Paludan a brûlé un exemplaire du Coran, dans un acte visant à dénoncer les négociations suédoises avec Ankara sur l’Otan. La police suédoise avait estimé vendredi que la Constitution et les libertés de manifestation et d’expression en Suède ne justifiaient pas l’interdiction de cette manifestation au nom de l’ordre public. L’autorisation donnée à la manifestation anti-islam a suscité un incident diplomatique avec la Turquie, qui a dénoncé un « crime de haine manifeste » et annulé la visite d’un ministre suédois prévue la semaine prochaine, compliquant encore plus les discussions autour de l’adhésion suédoise à l’Otan, bloquée par Ankara. De nombreux autres pays musulmans ont exprimé leur indignation. Fête du Travail « l’histoire et l’importance du 1er mai » Le Maroc a exprimé dimanche son étonnement que les autorités suédoises aient permis cet acte « inacceptable » et « odieux », « qui s’est déroulé devant les forces de l’ordre suédoises ». L’Indonésie, l’Arabie saoudite, les Emirats Arabes Unis ont également exprimé leur condamnation, tout comme le Conseil de coopération du Golfe (CCG) et l’Organisation de la coopération islamique (OCI). « La liberté d’expression doit être exercée de façon responsable », a demandé Jakarta. Guy Marius Sagna avertit Macky Sall 1
En Turquie, plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées samedi en fin de journée devant le consulat de Suède à Istanbul en signe de protestation. Elles ont brûlé un drapeau suédois et appelé Ankara à rompre tout lien diplomatique avec Stockholm. D’autres ont manifesté près de l’ambassade de Suède à Ankara. Samedi, le chef de la diplomatie suédoise Tobias Billström avait déjà condamné « une provocation islamophobe épouvantable » et souligné que l’autorisation de la manifestation ne voulait pas dire qu’elle était soutenue par l’exécutif. "La réaction des communautés religieuses après le brûlage du Coran" Exemplaire du Coran brûlé un acte de vandalisme intolérable En conclusion, le brûlage de l'exemplaire du Coran est un acte de vandalisme intolérable qui ne peut être justifié. Les communautés religieuses ont condamné cet incident et ont appelé à la tolérance et au respect mutuel. Il est temps de promouvoir le dialogue interreligieux pour renforcer la coexistence pacifique et prévenir de tels incidents à l'avenir.
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Exemplaire du Coran brûlé. La semaine dernière, un exemplaire du Coran a été brûlé dans une ville du nord de la France, suscitant une vague d'indignation parmi les communautés musulmanes et non-musulmanes. Cet acte de vandalisme intolérable a été condamné par de nombreux responsables politiques, religieux et associatifs. Exemplaire du Coran brûlé : "un acte de vandalisme intolérable" Exemplaire du Coran brûlé un acte de vandalisme intolérable 2 Le brûlage du Coran est un acte de provocation et de haine envers une communauté religieuse. Cela ne peut être justifié en aucune circonstance, car cela va à l'encontre des valeurs fondamentales de tolérance et de respect mutuel. "Comment l'incident du Coran brûlé met en lumière la nécessité du dialogue interreligieux" Les communautés religieuses ont rapidement réagi à cet incident en exprimant leur indignation et leur condamnation. Les leaders musulmans ont appelé à une enquête approfondie pour identifier les auteurs de cet acte, tout en soulignant l'importance du respect mutuel et de la coexistence pacifique entre les différentes religions. "Le brûlage du Coran : un acte de provocation et de haine" Cet incident souligne la nécessité urgente du dialogue interreligieux et de la promotion de la tolérance et du respect mutuel. Il est crucial de créer des espaces de dialogue où les gens de différentes religions peuvent se rencontrer, échanger des idées et apprendre les uns des autres. Cela peut aider à prévenir les incidents de ce genre à l'avenir. Le gouvernement réagit après l'incident "un exemplaire du Coran brûlé" Exemplaire-du-Coran-brule-un-acte-de-vandalisme-intolerable Le Premier ministre suédois a déploré dimanche un « acte profondément irrespectueux » au lendemain de l’autodafé d’un Coran lors d’une manifestation à Stockholm, en exprimant sa « sympathie » aux croyants après plusieurs protestations dans le monde musulman. « La liberté d’expression est une part fondamentale de la démocratie. Mais ce qui est légal n’est pas nécessairement approprié », a déclaré le dirigeant conservateur Ulf Kristersson sur Twitter dans un message publié dans la nuit. « Brûler des livres qui sont saints pour beaucoup est un acte profondément irrespectueux. Je veux exprimer ma sympathie à tous les musulmans qui ont été offensés par ce qui s’est passé à Stockholm » samedi, a affirmé le chef du gouvernement. →A lire aussi La communauté mouride de Saint-Louis (Sénégal) célèbre les deux rakaas par des prières et récitals du coran Samedi après-midi, dans le cadre d’une manifestation autorisée par la police suédoise à proximité de l’ambassade de Turquie, l’extrémiste de droite suédo-danois Rasmus Paludan a brûlé un exemplaire du Coran, dans un acte visant à dénoncer les négociations suédoises avec Ankara sur l’Otan. La police suédoise avait estimé vendredi que la Constitution et les libertés de manifestation et d’expression en Suède ne justifiaient pas l’interdiction de cette manifestation au nom de l’ordre public. L’autorisation donnée à la manifestation anti-islam a suscité un incident diplomatique avec la Turquie, qui a dénoncé un « crime de haine manifeste » et annulé la visite d’un ministre suédois prévue la semaine prochaine, compliquant encore plus les discussions autour de l’adhésion suédoise à l’Otan, bloquée par Ankara. De nombreux autres pays musulmans ont exprimé leur indignation. Fête du Travail « l’histoire et l’importance du 1er mai » Le Maroc a exprimé dimanche son étonnement que les autorités suédoises aient permis cet acte « inacceptable » et « odieux », « qui s’est déroulé devant les forces de l’ordre suédoises ». L’Indonésie, l’Arabie saoudite, les Emirats Arabes Unis ont également exprimé leur condamnation, tout comme le Conseil de coopération du Golfe (CCG) et l’Organisation de la coopération islamique (OCI). « La liberté d’expression doit être exercée de façon responsable », a demandé Jakarta. Guy Marius Sagna avertit Macky Sall 1
En Turquie, plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées samedi en fin de journée devant le consulat de Suède à Istanbul en signe de protestation. Elles ont brûlé un drapeau suédois et appelé Ankara à rompre tout lien diplomatique avec Stockholm. D’autres ont manifesté près de l’ambassade de Suède à Ankara. Samedi, le chef de la diplomatie suédoise Tobias Billström avait déjà condamné « une provocation islamophobe épouvantable » et souligné que l’autorisation de la manifestation ne voulait pas dire qu’elle était soutenue par l’exécutif. "La réaction des communautés religieuses après le brûlage du Coran" Exemplaire du Coran brûlé un acte de vandalisme intolérable En conclusion, le brûlage de l'exemplaire du Coran est un acte de vandalisme intolérable qui ne peut être justifié. Les communautés religieuses ont condamné cet incident et ont appelé à la tolérance et au respect mutuel. Il est temps de promouvoir le dialogue interreligieux pour renforcer la coexistence pacifique et prévenir de tels incidents à l'avenir.
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