#hâpi
Explore tagged Tumblr posts
vyragosa · 2 years ago
Text
ok boys let’s check zone of the enders now let’s see what kojima was cooking there maybe it’s going to be releva-
“Nephtis derives its name from Nephthys, the Egyptian Goddess formally paired with her sister Isis in funeral rites. Interestingly, Isis is another non-mass produced Orbital Frame that can be piloted solely by its A.I. Nepththys is also regarded in Egyptian mythology as the mother of Anubis. 
 the protective goddess of the dead by watching over the sarcophagus, funerary goddess alongside Hâpi, with whom she is associated to protect the canopic vase containing the lungs of the deceased. “
Tumblr media Tumblr media
4 notes · View notes
selidren · 2 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Eté 1903 - Champs-les-Sims
4/6
Notre travail à Al-Simhara était loin d’être de tout repos. Les excavations que dirigeaient Monsieur Hautbourg visaient à sortir du sable les restes d’une annexe d’un temple consacré à Hâpi. Selon son hypothèse, on y pratiquait des embaumements et il espérait y trouver des textes relatant les rites sur le parois, et si nous étions chanceux, des ostraca ou des outils servant au rituel funéraire. Si nous n’avons pas été si chanceux (le temps ayant bien fait son oeuvre), certaines formules étaient encore lisibles sur les murs. J’ai pu m’exercer comme il me le promettait. C’était un travail extrêmement compliqué, mais très stimulant, qui m’a fait suer sang et eau. 
L’annexe étant plus étendue que prévu, nous sommes mêmes tombés sur ce qui semblait être une cour intérieure ou des repas étaient préparés comme en attestent les fragments d’os et de poterie carbonisés. Cela nous prouve que ce temple était très étendu et assurait une fonction importante dans la région, même si il n’en reste presque rien aujourd’hui. Selon Monsieur Hautbourg, le lieu a servi de carrière de pierre aux locaux pendant des siècles, comme presque tous les édifices antiques du pays. Lui était aux anges bien sur.
Transcription : 
Constantin : Je n’ai pas encore fini de retranscrire mes notes Monsieur. Vous les aurez demain.
Martial : Ce n’est pas pour cela que je vous ai fait venir.
Constantin : C’est bien ce qui me semblais. Ce n’est pas dans vos habitudes de me laisser aussi peu de temps pour travailler.  Vous savez parfaitement que j’aime être rigoureux. 
Martial : Exactement, et c’est en partie pour cela que je vous apprécie. En vérité, vous m’inquiétez mon garçon.
Martial : N’avez-vous pas chaud ?
Constantin : Nous sommes au milieu de l’après-midi en plein désert. Si bien sur, un petit peu.
Martial : Ne me mentez pas. Le boy qui apporte nos collations m’a rapporté que vous aviez tourné de l’oeil pas plus tard qu’hier.
Constantin : Je n’avais pas assez bu. J’ai retenu la leçon.
Martial : J’espère bien. Mais ce n’est pas suffisant, il va falloir corriger votre attitude jeune homme.
Martial : Je vous l’ai déjà dit : le désert ne pardonne pas. Il faut perdre certaines de ses habitudes de français si on veut supporter le climat égyptien. 
Constantin : Je le supporte Monsieur.
Martial : Laissez moi reformuler de façon claire. Je voulais dire le supporter tout en restant en bonne santé. Toute cette eau qui vous ingurgitez ne servira à rien si vous la perdez en transpirant aussi abondamment. Je ne tiens pas à affronter personnellement votre grand-mère si jamais il devait vous arriver quelque chose pour une considération aussi stupide. 
Martial : J’ai fait venir d’Elephantine des vêtements plus légers, plus adaptés à notre travail, et espérons le, assez grands pour vous aller. Et vous me ferez le plaisir de porter un chapeau dès que vous quitterez l’ombre.
Constantin : Sans façons Monsieur. Ne prenez pas cette peine pour moi.
Martial : C’est trop tard. En outre, je vous avais demandé de venir bien équipé. Cette dépense sera retenue sur votre solde mensuelle.
Constantin : Mais puisque je vous dit que ce n’est pas nécessaire !
Martial : C’est de la pure inconscience Le Bris ! Cela suffit, crachez le morceau ! Pourquoi cet acharnement ?
6 notes · View notes
Text
Apis, ou Hâpi, dieu vénéré sous la forme d’un taureau sacré par les anciens Égyptiens. Initialement connu comme divinité de la Fécondité, Apis se retrouve associé au cours de l’histoire au culte du dieu Ptah dont il serait l’incarnation, l’« âme ». Jouissant d’une extrême popularité, le dieu s’incarne sous la forme d’un taureau sacré et une enceinte lui est spécialement consacrée à proximité du temple de Ptah à Memphis. Après avoir été rapprochée de celle de Ptah, la figure d’Apis se confond avec celle d’Osiris et il devient à ce titre une divinité liée au royaume des morts. Pour la légende elle raconte qu’Apis est né sous la forme d’un taureau noir d’une génisse vierge qu’il a fécondée, sous la forme d’un feu magique. Ce taureau mystique, reconnaissable entre tous, porte un triangle blanc au front, la forme d’un vautour sur le dos, un croissant de lune sur le flanc et un scarabée sur la langue. Nourri dans le temple de Memphis, Apis est considéré comme un visionnaire. À la mort de l’animal, d’importantes processions accompagnent sa dépouille vers son tombeau, le Serapeum, dans la nécropole de Saqqarah. Une fois les funérailles achevées, la tâche incombe aux prêtres de trouver le successeur de l’animal sacré qui doit posséder ses signes distinctifs. Des fêtes fastueuses célèbrent ensuite l’intronisation du nouvel Apis
Tumblr media
7 notes · View notes
robynn-art · 5 years ago
Photo
Tumblr media
New commission ! Hâpi, this character belongs to Nevenoa. INSTAGRAM FACEBOOK TWITTER YOUTUBE
11 notes · View notes
opetvoyage · 3 years ago
Text
TEMPLE DE LOUXOR
TEMPLE DE LOUXOR
   INTRODUCTION
L’histoire de ce site remonte à l’époque de la reine Hatchepsout, 1500 avant J.C, avec la construction d’une triple chapelle dédiée à la Triade thébaine, Amon, Mout et Khonsou.
Vers 1.350 avant J.C, Le pharaon Amenhotep III a fait construire le temple de Louxor consacré au dieu Amon sous ses deux aspects d’Amon-Rê et d’Amon-Min.
Il s’agissait d’un temple complet avec, en enfilade, naos, sanctuaire de la barque, salle des offrandes et antichambre. Le tout était précédé d’une salle hypostyle ouverte sur une grande cour carrée, la “cour solaire”, bordée sur trois côtés d’une double rangée de soixante-quatre colonnes.
L’ensemble était complété par une colonnade haute de plus de vingt mètres, formant un kiosque monumental qui marquait l’entrée du temple. Ramsès II y a rajouté une cour à ciel ouvert ainsi qu’un pylône précédé par deux obélisques.
Depuis le règne des pharaons jusqu’aux époques chrétienne et islamique, il a servi de lieu de culte de plusieurs religions.
A l’époque romaine, ce temple a été partiellement transformé en camp militaire. A cette occasion, les prêtres enfouirent pieusement une série d’images divines et royales dans la grande cour solaire d’Amenhotep III. Ces statues, découvertes en 1989, sont actuellement exposées au musée de Louxor.
PLAN DU TEMPLE
   LA FAÇADE
La façade du temple de Louxor se compose de deux grandes tours ornées par les scènes de guerre de Ramsès II contre le Hittites et la présentation de sa victoire dans la bataille de Qadesh.
Le pylône (les deux tours) est précédé par une rangée de statues représentant Ramsès II, 4 colosses debout et deux qui le présent assis sur le trône de la Haute et la Basse Égypte.
Un obélisque monolithe en granite de 26 mètres de haut est resté sur place alors que son jumeau est aujourd’hui sur la place de la Concorde à Paris.
  COUR DE RAMSES II
Cette cour est entourée de portiques comprenant une double rangée de 74 colonnes à chapiteaux papyriformes fermés.
 La chapelle-reposoir en granit construite par la reine Hatshepsout, puis Thoutmosis III, située contre le pylône, à droite en entrant dans la cour, possède des colonnes fasciculées de la XVIIIème dynastie. La chapelle, construite pour la triade thébaine, a été restaurée par Ramsès II.
Sur une partie de cette cour une mosquée datant du XIIème siècle a été construite en l’honneur du Sheikh Abou Elhaggag et porte toujours son nom.
Les scènes sur les murs représentent un défilé des fils de Ramsès II lors de la célèbre fête Opet. Sur les parois du deuxième pylône une scène unique pour la façade du temple ou on peut admirer les oriflammes ornant la façade d’un temple égyptien.
Cette cour a été ensablée avec le temps avant d’être dégagée par le service des antiquités égyptienne. Les statues de cette cour appartiennent à Ramsès II, il y en a deux qui rappellent les deux qui se trouvent à l’entrée du temple. Chacune représente Ramsès II assis sur le trône, en présence de sa femme Néfertari, et portant la double couronne. Sur les côtes le dieu du Nil Hâpi assure le règne du pharaon sur les deux terres et liant les symboles de Lotus et Papyrus.
LA COLONNADE
Œuvre d’Aménophis III, cette superbe colonnade qui comporte 14 colonnes papyriformes d’une hauteur de 16 mètres, autrefois surmontées par des architraves, formait une allée de procession pour la barque solaire d’Amon.
A droite et à gauche de l’entrée, deux paires de statues représentant Amon et sa parèdre Mout, sont sculptées dans du calcaire cristallin (art de l’époque de Toutankhamon). Les reliefs des parois latérales, qui remontent à Toutankhamon et à Horemheb représentent la fête officielle d’Opet sous le Nouvel Empire. Cette fête avait lieu durant le second mois de la saison de l’Inondation et durait onze jours.
Lors cette fête les prêtres portaient les barques sacrées de la triade thébaine, Amon, son épouse Mout et leur fils Khonsou, depuis le temple de Karnak jusqu’à sa maison du sud (Le temple de Louxor). Les barques sacrées portent les effigies de chacune des divinités
Les scènes représentent harmonieusement des soldats, des musiciens, des danseurs et des danseuses asinesque les offrandes et les sacrifices offertes aux dieux de la triade thébaine.
Une scène d’Aménophis III brûlant de l’encens et offre des libations et des bouquets de fleurs à Amon.
Crée par OPET VOYAGE
Voyage en Égypte
Guide Égypte
Guide Francophone Égypte
Guide Francophone Louxor
Guide Égyptologue Francophone
Croisière Sur Le Nil
Montgolfière Louxor
Excursions Louxor
Excursions Assouan
0 notes