#grand espoir
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Et, refleurir
En choisissant de romancer la vie de sa grand-mère pour son premier roman, Kiyémis nous raconte le destin d’une femme camerounaise du village de Nyokon en 1954 jusqu’à Paris aujourd’hui. L’occasion d’étudier le statut de la femme dans les deux pays.
En deux mots Andoun va quitter son village de Nyokon pour habiter Douala où elle pourra aller à l’école. Mais elle va se heurter à l’incompréhension de sa famille, surtout quand elle devient fille-mère sans pour autant vouloir renier son désir d’émancipation. Elle va réussir à partir pour Paris avec sa fille et devenir Anne-Marie. Mais là encore, le fossé entre ses aspirations et la réalité va se…
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#agriculture#Amour#émancipation#études#Cameroun#Communauté#Douala#Entreprise#espoir#exil#Famille#Féminisme#grand-mère#grossesse#Indépendance#Paris#patriarcat#poésie#préjugés#quête#racisme#résistance#rêve#relation mère-fille#sexisme#témérité#vie de couple
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#Actualités#Sport#2e tour Roland-Garros#élimination Walton#espoir tennis français#exploit Rinderknech#tournoi Grand Chelem
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Le grand sens de Satprem
Ce « message à la jeunesse » fut à l’origine écrit en français pour la télévision italienne. L’auteur de L’Aventure de la Conscience (Buchet-Chastel, Paris, 1964) s’adresse aux étudiants, à ceux qui veulent faire la révolution de l’avenir par les moyens de l’avenir. Si nous souhaitons construire le monde nouveau, ce n’est pas par les moyens du passé que nous y parviendrons — ni par la violence ni…
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#Auroville#Blog#construire un monde#espoir#grand sens#Inde#jeunesse#non-violence#nouvelles#Satprem#Sens#spiritualité
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Grand Kasaï : En tournée politique, l'inter-fédéral de Congo Espoir lance la campagne d'adhésion massive
Grand Kasaï : En tournée politique, l’inter-fédéral de Congo Espoir lance la campagne d’adhésion massive
Le coordonnateur du parti politique Congo Espoir inter-fédération du grand Kasaï, Maître Hilaire Ntendayi Tshibanda a entamé au début de semaine, une tournée politique dans cette région. C’est dans ce cadre qu’il a rencontré ce vendredi 23 décembre 2022 avec les cadres du parti, au Motel Rivière Moyo communément appelé Monde Arabe 1 dans la province du Kasaï Central. Après le mot de bienvenue…
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Heart Eyes
On ne va pas se voiler la face, actuellement (en ce dernier dimanche de février '24) on est perdu dans le désert "Tinhat", avec juste nos souvenirs et nos espoirs pour nous permettre d'avancer sur le petit sentier ensablé.
Sans surprise, il y en a qui flanchent, qui sont sur le point d'abandonner leur chapeau d'alu sur le bord du chemin, ou qui simplement sont déjà montés dans un autre wagon en route pour un pays plus verdoyant.
On est peut-être plus que quelques uns à garder la foi, à voir au-delà de ce qu'on veut nous faire croire, et à croire que la pluie reviendra bientôt pour nous inonder des sourires de J2 ENSEMBLE.
En attendant ce grand jour, voilà de quoi redonner confiance en l'avenir :
Then or now... 2005 ou 2024, l'affection qui s'envole de l'un à l'autre est toujours la même ❤️💕😍
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Mon amour,
Je me surprends encore à t’appeler ainsi, alors que je sais bien que ce mot, dans ta bouche, n’a jamais résonné de la même façon. Pourtant, il est devenu mon refuge, mon espoir et mon tourment. Ton absence pèse sur moi comme une ombre qui me suit partout, silencieuse mais persistante, me rappelant chaque jour ce qui pourrait être mais qui ne sera jamais.
Je ne cesse de penser à tout ce que j’aurais aimé partager avec toi, à tout ce que j’aurais voulu t’offrir. Chaque geste que je fais semble chercher ta présence, comme si le monde était devenu trop grand sans toi à mes côtés. Il y a des soirs où l’air me manque, où même les étoiles semblent briller moins fort, comme pour compatir à ce manque que je porte en moi.
Je me demande si tu réalises à quel point tu occupes chaque coin de mes pensées, à quel point chaque mot que je prononce est, d'une certaine façon, une manière de te dire ce que je ressens, même si tu ne l’entends pas. Peut-être même n’as-tu jamais voulu l’entendre. Je comprends cela et pourtant, je n’arrive pas à me détacher de cette attente, de cet espoir que tu puisses, un jour, me regarder autrement.
Je sais que ton cœur appartient à une autre. Et je n’ai jamais voulu que mes sentiments soient un poids. Mais même si je t’écris ces mots, avec cette vulnérabilité qui me coûte tant, je sais qu’ils resteront sans réponse. Je ne te demande rien, si ce n'est de me pardonner si, parfois, mes mots portent un poids que tu n’as pas demandé à porter.
Je continuerai à t'aimer de cette manière silencieuse, discrète, comme un feu doux qui ne s’éteint jamais mais qui ne cherche pas non plus à t’embraser. Et même si le destin a fait de moi une étrangère à ton cœur, je veux que tu saches que, malgré la douleur, je ne regretterai jamais de t'avoir aimé.
Dans ce silence que je garderai, je reste là, espérant simplement que mon affection, même invisible, puisse un jour te toucher.
À toi, qui demeures mon rêve inachevé.
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Il existe encore quelques Français qui sont français comme il ne faudrait déjà plus l’être. À ces êtres en souffrance pour qui la France n’est plus qu’une sorte de Thoiry mental, je dis “courage” ! Face à eux, cachés derrière la grande digue du nombre, les progressistes, les gauchistes, la bourgeoisie rentière, les barons du capital, les écolos, les wokistes et toute l’engeance produite par la pourriture révolutionnaire, prospère plus et mieux que jamais. Comme l’exigeaient Rousseau et Robespierre, ils ont fait fi du legs de leurs aïeux, ils se sont imaginés en hommes nouveaux : nouveau peuple, nouvel ordre, nouveaux bourreaux. Leur descendance, les lointains arrières petits enfants de ces crapules arrivistes et de ces cocus braillards, militent sans conviction, cultivent l’ignorance, demeurent volontairement aveugle et odieusement complice des crimes infinis de ce qui est finalement devenu un marxisme global.
Leur armée se compose de millions de fantassins débarqués de chaloupes incertaines, à l’assaut d’un monde sans foi seulement guidé par le profit et la jouissance. Ils ont un coran dans la poche gauche, un schlass dans la droite, et une carte téléphonique dans leur famélique portefeuille. Ils sont comme des spermatozoïdes en route par le Grand Ovule, au mépris des marigots acides et des douchettes cataclysmiques. Ils tortillent de la flagelle frénétiquement, sont prêts à tout pour gagner leur journée et souvent, livrent leur repas caricatural aux indigènes crétins. Les plus naïfs parmi ces derniers leur lâchent un billet de 5 en pourliche, joignent les mains et baissent la tête en signe de déférence, de confraternité ou de pure soumission – c’est selon. Ainsi ces tristes sires sont-ils contents et soulagés à la fois. Leur conscience est propre comme l’entrecuisse d’une communiante d’antan.
Français qui souffrez, dans votre chair et votre esprit, du spectacle de ce suicide non seulement consenti, mais savamment organisé, méticuleusement planifié et brillamment réalisé, abandonnez tout espoir de révolte collective et solidaire. Aucun de vos contemporains, ceux que vous croisez sur votre palier, dans votre rue, sur le quai de la gare, celui du métro ou l’escalator d’un aérogare, au bureau, chez le boulanger, au supermarché, à la station-service... aucun d’entre eux ne souhaite se sacrifier pour faire cesser tout cela. Votre sort, qui est aussi le leur, les indiffère. C’est ainsi, il suffit de les observer pour le constater. Ce peuple est prêt à disparaître en tant que tel. Ne subsisteront que les vrais résistants, ceux que la conviction d’être des héritiers maintiendra en alerte haute et permanente, ceux qui éduqueront leurs enfants, ceux qui prendront soin de la terre qui les nourrira, au propre comme au figuré. Inutile de verser dans la caricature du crâne rasé et du regard bleu... quelle que soit l’allure de votre gueule, ce qui compte, c’est votre détermination à survivre, coûte que coûte. Et il vous en coûtera, soyez-en convaincus.
J.-M. M.
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Face à la nature. Adieu les hauts et les bas, les bons et les mauvais moments de la semaine précédente. Il est temps d’aborder cette semaine avec espoir et une grande envie de réussir ! sans oublier la bonne tasse de café matinale
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J’ai voulut goûter les prunes juste à cause de Macaque. _c’est plus gris que ce que j’imaginais_ Déçu un peu. J’avais de trop grands espoirs pour ce fruit, vu comment il est apprécié par Macaque dans les fanfictions. J’ai trop fait confiance. Mais bon. Ce n’est pas si mauvais non plus. Mais un seul est plus que suffisant pour me rassasier.
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"Dans une histoire d'amour, on n'est jamais deux face à face, jamais isolés dans un imaginaire libre et généreux. On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous. Une longue chaîne de forçats menaçants qui nous tirent en arrière et nous lestent de leurs vieux conflits, leurs vieilles fripes, leurs masques grimaçants, leurs cœurs dévastés, impuissants. Nos mères et nos pères, nos grand-mères et nos grands-pères, nos arrière-grand-mères et nos arrière-grands-pères Ainsi de suite...
On porte, sans le savoir, leurs peurs et leurs angoisses, leurs rancœurs et leurs haines, leurs élans brisés et leurs blessures ouvertes, leurs espoirs déçus et cette scie meurtrière: on ne m'y reprendra jamais plus, jamais plus, jamais plus. Comme si l'amour n'était qu'une guerre en plus, un règlement de comptes impitoyable, une histoire de succession jamais fermée. Tous ceux qui murmurent à nos oreilles sans qu'on les entende: "J'étais là avant" nous bousculent, s'installent dans nos vies, y déroulent leurs histoires et nous bouchent nos plus beaux horizons."
Je termine ce soir la lecture de "J'étais là avant" de Katherine Pancol. J'avais déjà essayé de la lire, dans "Les yeux jaunes (ou verts ?) des crocodiles", et dans un autre livre au titre aussi tarabiscoté et je n'avais pas accroché. Babelio a dit "Oh j'avais bien aimé les yeux verts (ou bleus ? 'fin bref) des crocodiles et là j'ai été déçu".
Du coup j'ai foncé.
Le résumé parle ici d'une femme qui aligne les hommes sans lendemain et se sauve dès qu'ils montrent des signes d'amour, puis elle tombe sur un homme qui lui aussi, s'ébroue dans des relations problématiques, et justement celui-ci est digne d'intérêt et là comme ça on dirait un navet romantique à lire en vitesse le dimanche après-midi avec la F1 en fond sonore, mais pas du tout. Car les personnages sont complexes, on se retrouve à arpenter le passé de l'un puis de l'autre et comprendre d'où viennent leurs fonctionnements, leurs blessures, et c'est finalement une grosse réflexion (ou peut-être que je réfléchis trop et je devrais me contenter de lire ?) sur les fantômes du passé, sur les blessures qu'on hérite de nos parents et plus particulièrement de nos mères, sur les moyens de se détacher de "ce grand ennemi" et une conclusion superbe sur ce qu'est l'amour.
Je l'ai démarré en ayant envie d'un bouquin un peu chill et du coup au début j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire qui n'était pas ce que j'attendais, arrête de me parler de sa mère et parle-moi de son coupleuuh. Mais j'ai été assez vite touchée par ce récit de vie finalement, et j'ai trouvé l'analyse et la réflexion intéressantes.
⭐⭐⭐⭐
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Dernier post sur Mélenchon et après j'arrête avec lui mais je voulais juste dire que ce qui me frustre le plus, c'est que je le trouve impeccable sur les questions de la transidentité, clair (il me semble, les personnes concernées me corrigeront) sur l'islamophobie, excellent en débat, bon orateur, courageux face à certaines saloperies, quand Zemmour s'est foutu de sa gueule en disant qu'il était sourd et qu'il a répondu du tac au tac "je suis sourd de naissance. Vous avez un problème avec les handicapés ?", incroyable ! Et en plus, il aime la littérature ! Et il défend la Palestine ! Et il nous a tous donné espoir en 2012 ! Et si j'avais pu voter en 2012, j'aurais voté pour lui (mais j'avais 17 ans).
Son défaut, comme beaucoup d'hommes, et en particulier des hommes blancs âgés ET EN PARTICULIER (je parle d'expérience) des hommes blancs âgés lettrés, c'est qu'il est têtu et qu'il a trop d'égo et qu'il n'admet pas qu'il ait pu merder. Et je ne pense même pas qu'il soit antisémite, je ne pense même pas que ce soit une stratégie électorale, je pense juste à mon grand-père, qui s'appelle aussi Jean-Luc, un vieux militant communiste, qui n'a jamais admis qu'il pouvait avoir tort, qu'il pouvait s'être trompé au moins une fois dans sa vie et je pense qu'ils ont plus qu'un prénom comme point commun.
#papi tu n'as aucune chance d'aller sur tumblr mais je pense à toi#french politics#bref j'arrête avec méluche maintenant c'est trop
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Une maman parfaite
Marie-Fleur Albecker raconte dans son nouveau roman le combat d'un couple trentenaire pour avoir un enfant. L'occasion d'explorer les notions de famille, de procréation médicalement assistée, de maternité et de période post-partum avec acuité et humour.
En deux mots Anne et Matthias n’arrivent pas à avoir d’enfant. Ils vont alors avoir recours à la PMA pour conjurer le sort. Finalement, l’enfant paraît. Mais le combat du jeune couple n’en est pas terminé pour autant. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique Lorsque l’enfant paraît (après un long parcours) Marie-Fleur Albecker raconte dans son nouveau roman le combat d’un couple trentenaire pour…
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#amies#Amour#Avortement#Enfant#espoir#Famille#féministe#grand-mère#grossesse#gynécologue#hôpital#horloge interne#injonction#ironie#Maternité#Mère#Parents#PMA#trentenaire#vie de couple
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I'd literally just transcribed Hesperia's intro when @azuriteartist asked for the translation, what perfect timing. I am also pretty obessed with it haha
Gabriel: My name is Gabriel. I used to be a man like the others, but fate made me the only one who can fight the forces of evil. I am now... Miraculous Hesperia! Miraculous, brave hero! Alone against the world, to feed hope! Miraculous, let's break our cages, love carries us towards the Great Day! Miraculous... Miraculous!
Here's also the French version, since the song format is a bit odd to translate; I suspect the "Grand Soir" (translated to "great day", even if literally it would be "big evening"), is a reference to a revolution rather than a random thing to rhyme with "espoir" (hope): Je m'appelle Gabriel. J'étais un homme comme les autres. Mais le destin a fait de moi le seul à pouvoir lutter contre les forces du mal... Désormais je suis... Miraculous Hesperia! Miraculous! Héros courage! Seul contre tous, nourrit l'espoir! Miraculous, brisons nos cages, l'amour nous porte vers le grand soir! Miraculous... Miraculous!
#miraculous ladybug#miraculous spoilers#miraculous paris special#paris special#paris special spoilers#hesperia#gabriel agreste#miraculous translations
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J’ai peur d’être l’âme qui ère, celle dont on ne sait que faire. Cette âme perdue qui d’avoir trouver son âme sœur en était convaincue. J’ai peur d’être celle qui reste. Celle qu’on blesse. Ou qu’on ne blesse plus, qu’on ne peut plus atteindre, perdue dans les limbes. J’ai peur d’être une cause perdue, une reine déchue, une fleur déçue. Une mèche dans un bout de tissus. Un pauvre souvenirs donc on ne se rappelle même plus. J’ai peur d’être la seule affectée par cet espoir fantasmé. T’es plus le même et pourtant t’as pas changé. Ces yeux brillants, ce cœur battant, cette connexion passionnée, et cette grande habitude de m’abandonner.
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10« N'essaie pas de me réparer. Je ne suis pas brisé. » Agatha x reader pls
Avec grand plaisir!
Agatha se tenait là, au bord de la route, son regard perdu dans le vide. Les rayons du soleil filtraient à travers les branches des arbres, créant un jeu d'ombres et de lumières sur son visage marqué par les épreuves. Une légère brise agitait les feuilles, mais elle ne semblait pas en sentir l'effet. Son expression était celle d'une profonde mélancolie, une tristesse palpable qui enveloppait son être. Reader, bien que distante, pouvait presque ressentir la lourdeur de son chagrin.
Son manteau, qui flottait autour d'elle, semblait plus sombre que d'habitude, comme si les couleurs du monde s'étaient estompées en ce jour particulier. Reader savait que cette journée marquait l'anniversaire de la mort de Nicki, le petit garçon qu'Agatha avait perdu trop tôt.
Les souvenirs affluaient dans l'esprit de Reader, des images d'Agatha riant aux éclats, de sa voix chantante qui résonnait dans l'air frais de Salem. Mais aujourd'hui, il n'y avait que silence et tristesse. Agatha avait toujours été forte, mais aujourd'hui, elle semblait brisée, comme un vase en mille morceaux. Reader l'observait, le cœur lourd, consciente de la profondeur de la douleur qui habitait son amie. Les souvenirs de Nicki, bien que doux, étaient également une source de douleur, et Reader savait que le poids de cette perte était insupportable.
La route, habituellement animée, semblait s'être figée autour d'Agatha. Les rires et les conversations des passants se mêlaient à l'air, mais pour elle, tout cela paraissait lointain, presque irréel. Reader pouvait voir les larmes aux coins des yeux d'Agatha, des perles de tristesse qui menaçaient de couler à tout moment. Elle se tenait là, immobile, comme si le temps s'était arrêté, perdue dans un océan de souvenirs et de regrets.
Au coin du feu, la chaleur des flammes dansait, projetant des ombres vacillantes sur les visages de Jen, Lilia, Alice et Billy, qui étaient assis en cercle, absorbés par la lueur réconfortante. Les crépitements du bois se mêlaient à l'air frais de la nuit, créant une atmosphère à la fois intime et chaleureuse.
Reader, consciente du besoin d'Agatha, se leva lentement, son cœur battant à l'unisson avec l'intensité de l'instant. Elle s'approcha d'Agatha, qui était à l'écart, perdue dans ses pensées. Reader avançait avec précaution, comme si chaque pas pouvait briser le fragile équilibre de l'atmosphère.
Quand Reader posa sa main sur le dos d'Agatha, un frisson parcourut le corps de cette dernière. Elle savait que c'était Reader, comme elle l'avait toujours su. Il y avait une connexion entre elles, un lien indéfectible qui transcendait les mots. Agatha se retourna lentement, ses yeux cherchant ceux de Reader. Dans ce moment suspendu, leurs regards se croisèrent, et une compréhension silencieuse s'installa entre elles.
Reader pouvait voir la profondeur de l'émotion dans les yeux d'Agatha, une mer de sentiments tumultueux, mêlant tristesse et espoir. Le monde extérieur s'estompa, laissant place à cette bulle intime où seules elles existaient. Reader, avec douceur, savait qu'elle devait être là pour Agatha, prête à écouter et à soutenir, sans jamais rien forcer.
Agatha plonge son regard dans celui de Reader, ses yeux reflétant une intensité mêlée de défi et de vulnérabilité. Elle rompt le silence, sa voix ferme mais douce :
« N'essaie pas de me réparer. Je ne suis pas brisé. » Ses mots flottent dans l'air, chargés de sens.
Reader, surprise par la déclaration, laisse échapper un fin rire ironique, un son qui trahit sa compréhension profonde de la situation.
« Tu sais que c’est un mensonge, » répond Reader, son ton léger mais empreint de compassion.
Elle sait que derrière cette façade de force, Agatha cache des blessures invisibles.Reader s'approche alors, son cœur battant un peu plus vite. Elle prend Agatha dans ses bras, enveloppant celle-ci d'une chaleur réconfortante. Reader passe délicatement sa main dans les cheveux d'Agatha, un geste tendre qui exprime tout ce qu'elle ne peut pas dire.
Agatha se laisse aller un instant, fermant les yeux, profitant de cette étreinte. Elle sait que Reader est là, non pas pour changer quoi que ce soit, mais pour l'accepter telle qu'elle est, avec ses cicatrices et ses failles. Dans ce moment partagé, un silence apaisant s'installe, où les mots ne sont plus nécessaires.
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Some of my poems (in french and english)
Also, reblogs and any form of interactions always appreciated
Not all of my poems are there but ye
Eng: I always write free verse poems by the way. I let my pen guide me when I write.
FR: Je fait tout le temps des poème en vers libres by the way. Je laisse mon stylo me guider quand j'écris.
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Court poème sans nom/ short poem without a name
Prairie des montagnes, fleurs de moneuil.
Les oiseaux chantent dans un son aigu l'arrivée du printemps
Ainsi que la saison des amours.
Les petits renardeaux attendent le retour de leur mère
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Les facettes
Douce expression de soi sans effroi.
Un savoir si grand et sage, malgré son jeune age
Jolie voix, Grand cœur froid
Une surface parfaite, ce n'est qu'une facette.
Les oiseaux chanteron ils encore demain ?
Il paraît heureux, mais c'est bien plus brumeux.
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fin de bataille
Rosée du matin, feuilles de Bambou. La fin de la guerre, le Samourai à terre. Les enfants ne courent plus. Il n'y a désormait que la melancholie du chant des oiseaux.
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Brises d'Hiver
Un hiver froid, les joues Rouges La neige et les arbres sans feuilles, les animaux hibernent, les bois sont calmes Le vent froid, les écharpes. L'Hiver s'annonce rude mais quelque peut réconfortant.
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Longer love poem
Ils étaient là, dans le lit. Lumière tamisée, ambiance romantique et Relaxée.
Une intimitée semi présente. Intimitée entre deux corps encore trop jeunes pour fusioner mais pourtant. Ils étaient là. Stressés et amoureux sous la faible lumière des leds accrochées au plafond.
Le silence, le bruit de leur coeur qui battent à la chamade. Ces deux corps relaxés dans un baiser. Enfin, après échange de salive, Ils se détendent dans un monde de rêves anjoleurs au de lendemain.
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Ce cœur.
Ce cœur qui hais
Ce cœur qui trahis
Il a pendu ses amis
ceux avec qui il a rit
Ils sont maintenant partis; tout est fini.
Ca coeur qui trahis, lui qui a tand aimé, mais il a aimé. Il deteste aimer. Il se sent blessé, car il a perdu tout ce qu'il avait de plus cher.
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Douce voix de Soprano
Cette douce voix de soprano qui transperce les cristaux de mon cœur Cette voix Si douce, comme une rangée de Jonquilles qui se faufile dans le creux des fissures de mon âme.
Cette voix de Soprano qui mue, un changement désespérant. On ne fait pas de miracles.
Il faut Chanter malgré les changements, Chanter malgré le désarroi, Chanter avec espoir
Le changement est normal, jeune Soprano. Alors continue de faire chavirer mon coeur avec ta voix et ton cœur pur.
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Fr:Poème dédié à Carlo du Jeux Lies of P
Eng:poem dedicated to Carlo from lop
Des yeux marrons
des yeux marrons, un sourire malicieux un rêve dangereux mais ambitieux
des yeux marrons, un sourire perdu
Si seulement il lui avait fait ne serait-ce qu'un câlin
Des yeux marrons, un cœur brisé
Tout ce qu'il voulait était sa reconnaissance mais il n'est même pas venu pour la remise des diplômes
Des yeux marrons, un cœur perdu
Seulement la haine pour lui reste, l'amour n'est plus.
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Poem dedicated to Roméo de Lies of P
(Celui ci n'a pas de titre, ça m'arrive souvent)
(This one doesn't have a title, I often do that)
Des cheveux blonds aussi beau que l'or des rois aussi clairs que les reflets du soleil
Un cœur courageux coeur de poète, cœur théatrale
délicat comme de la soie, sensible comme une fleur de lys
Beau en scène comme à la ville
Beau comme la vie, grand comme un chêne.
fidèle comme une ombre
Une sensation de chaleur dans ces yeux bleus teintés de marron
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FR: Poème dédié à mon OC, Ayezl.
Eng: Poem dedicated to my OC Ayezl.
The goddess of ice and her bottled up emotions.
She gets mad at every little thing because her heart is in pain. She does ballet to help her go through strong emotions.
She dances to make the pain go away.
A dance so graceful, and yet, it aches.
She tries not to think about it too much like.
But, it always ends up like an explosion of feelings with tears burning her cheeks like acid.
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FR: Poème dédié à mon petit ami (enfin, l'un d'eux.. oui je suis poly tu va faire quoi?? XD)
Eng:Poem dedicated to my boyfriend (well, one of them.. yes I'm poly what you gonna do?? XD)
My sweet dove, as sweet as love
My Sunshine in the sky
a light in my heart who became a part of my mind and Soul
This scary experience named unconditional love.
Love is for us to share
No matter how strong the emotions
No matter what, our love will remain.
For as long as it can, wishing it could be forever.
This feels like a fever dream.
Is it really happening? Or is it just an addicting hallucination..?
I can only imagine the day we meet for now and dream about it.
My dearest, my tulip, my darling, my love. But your prettiest name is [his name]
FR: (Oui je ne dit pas son nom, because confidentialitée mon ami 🥸)
Eng: (Yes I won't say his name, because confidentiality my friend 🥸)
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