#genre c'est super bête mais
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Imagine dire que t'as pas besoin de l'approbation de ton père puis chialer en réalisant que peut importe ce que t'as fais dans la vie il a jamais une seul fois dit être fière de toi
#genre c'est super bête mais#quand j'ai eu mon brevet puis mon bac les deux avec mention#quand j'ai eu mes première offre d'emploi#mon premier boulot#mon premier appart que je finance moi meme sans aucune aide avec l'argent de mon travail et le boulot fait par moi et mon colloc#il m'a critiqué tant de fois sur tellement de point#mais il m'a jamais fait un seul compliment#et ça me rend si mal de le réaliser mais d'une maniere si pathétique#daddy issues yeah oh ✨#kenshi's life
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
#dyslexic#dys en tout genre#dysorthographic#forum rpg#rpg#rpg francophone#Bisounours time#jé fé dé fote mé c pa grav
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Du coup, j'ai plus de téléphone, genre plus du tout. J'ai mon ordi en guise de connexion et pour échanger avec certaines personnes de manière brève. C'est bête parce que ça fait même pas trois jours que je n'ai plus de téléphone mais j'ai l'impression que je n'avais pas autant réfléchit depuis des années. J'avais lu un super article sur le "google effect" qui en gros met en lumière le fait qu'on fait tellement aucun effort pour absolument tout qu'on a tendance à oublier certaines choses et perdre certaines aptitudes. Exemple tout bête: google maps. On l'utilise tellement souvent que le jour où on ne l'a pas c'est un vrai dédale même lorsqu'il s'agit de notre ville. On est vite désorienté car on a perdu notre capacité à l'être. Mais ça marche aussi pour les dates, ou le savoir, avoir accès à l'information nous donne le sentiment qu'on peut l'oublier car elle est stockée dans un endroit facile, accessible, et stable. Je n'en prends pas conscience aujourd'hui, je suis pas débile non plus, seulement c'est vrai que je me rends compte que c'est dur sans téléphone de faire des choses triviales. Et ça me donne un autre degré de compréhension vis à vis des personnes âgées, ça doit être pénible d'être dans un monde auquel on n'est plus adapté ni à la page. Je pense même qu'il peut y avoir une réelle souffrance car plus rien n'est fait pour les personnes désireuses de ne pas avoir de matériels électroniques ou pour les personnes dont ce n'est pas l'époque. Mais je dois dire que ça fait du bien de pas regarder des vidéos creuses, de ne pas être exposée à des contenus et des vies de merde, ni à l'injonction de discuter avec n'importe qui. C'est reposant en quelque sorte mais je sais que ça ne pourrait pas être durable.
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Jai bu 3 verres de vin blanc hier soir, compteur remis à zéro. Voilà, c'est comme ça mais je le prends assez bien, franchement, c'est pas la mort car sur le côté, j'ai dépassé les 12 semaines de sobriété coke, je fais du yoga tous les jours depuis des semaines et cette semaine, je suis allé courir (moi, courir ... c'est un exploi), pas une, pas deux mais TROIS fois !!!!! Et surtout, jsuis restée 17 jours sans boire donc bravo
[En plus, cela m'a permis de passer un petit moment avec mon papa et ça m'a fait du bien. C'était plus arrivé depuis je ne sais pas combien d'années..]
et tant d'autres trucs encore qui font que OUI je me sors carrément les doigts du cul. Je ne veux plus souffrir. J'ai envie d'être bien, d'avoir un système nerveux bien bien détendu et bien comme il faut quoi. J'ai envie de rire, de me sourire, de savoir bien respirer, de ne pas me retenir de faire des gros fucks si on me manque de respect, de m'exprimer librement, sans peur sans honte sans retenue. M'voyez
Aussi, mon nouveau kiné est troooooop cool. En fait, c'est mon barman lol. Barman le soir et kiné la journée. Le mec a 28 ans, TROIS gosses, il est super kiki et il a de beaux et longs cheveux o.O (genre dans ma tête, c'est inconciliable qu'il puisse être et faire toutes ces choses en même temps). (C'est aussi le frère d'un gars avec qui j'ai fricoté vite fait l'année dernière, pfff cette bête ville à la 642 dans laquelle il y a trop de destins croisés là). J'avais trop envie de me marrer quand il avait sa main dans ma bouche et qu'il me demandait de lui mordre doucement les doigts (kiné maxilo-faciale si non c'est pas drôle^^) mais bon xD ça m'a fait tellllllllement du bien, c'est ouf
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2022 ambiance cheloue
cette année j'ai eu mes premiers partiels en présentiel et c'était aussi les derniers (j'ai tout niqué), j'ai bu trop de tequila alors que j'aime pas la tequila, fumé trop de shit comme si j'avais de nouveau 16 ans et ça m'a pas trop réussi souvent, j'ai un peu trop vomi car je veux jamais m'arrêter et que je dois plus boire de ni de tequila ni de bières immondes à 9 degrés, j'ai embrassé énormément de mecs et pas assez de filles, j'ai mis mes doigts dans beaucoup de nez sans aucune raison, eu des techniques d'approches beaucoup trop nazes qui ont toutes beaucoup trop bien marché, j'ai fait des bêtises en vendée, en normandie mais jamais autant qu'à bordeaux, d'ailleurs je suis tombée amoureuse de cette ville j'y pense tout le temps j'exagère trop, on m'a tej et j'ai eu le seum mais j'ai aussi tej et j'avais moins le seum, j'ai passé beaucoup beaucoup de temps à attendre quelque chose mais quoi ? j'ai beaucoup baisé mdr et ça n'a jamais été aussi cool, je me suis souvent affamée parce que j'avais pas la force de manger, j'ai fait beaucoup de choses "pour l'expérience" ou variante "parce que c'est drôle" et c'était souvent effectivement drôle sur le moment mais regrettable en y repensant
j'ai vu plein de concerts super cool genre the cure !!!!? odezenne et la femme, j'ai cru que j'allais mourir dans des pogos mais c'était marrant, je suis allée dans des festivals paumés trop nice, j'ai accepté des choses que j'aurais pas du accepter, j'ai cru que j'allais pas finir l'année, j'ai enfin vu no', j'ai pleuré au cinéma, j'ai pleuré en boule dans mon lit, j'ai pleuré dans les rues de bordeaux, j'ai pleuré dans des parcs sous mes lunettes de soleil comme une drama queen et sur la tombe de papy pour la première fois, j'ai vraiment cru que j'étais enceinte, donc j'ai dit que je ferai plus de conneries mais j'en ai refais, j'ai eu des discussions sérieuses alors que j'étais trop bourrée, j'ai essayé de communiquer mais ça a pas toujours bien marché, mon dos a encore fait des siennes mais on m'a confirmé qu'au moins j'ai pas le gène maudit de la famille, j'ai vu des CSP+ danser sur bella ciao et ça m'a fait rire, j'ai acheté plein de trucs grenouilles à ma soeur, j'ai vu grandir bébé tokyo et vieillir ma vieille falia, on a fait des gâteaux d'anniversaire moches, j'ai volé quelques tee-shirts trop grands pour moi et un body que je rendrai jamais à sa propriétaire
j'ai eu ma licence avec mention très bien mais j'ai pas eu la force et la confiance de postuler à des masters et je regrette lol, j'ai vu mes copines se mettre dans des états pas possible pour des mecs et après je me suis rendue compte que j'étais mal placée pour penser ça, j'ai survécu à mes vacances dans le sud, et aux mezzanines sous 40 degrés, on m'a fait du mal mais bien, j'ai dit que je ferai des trucs et je les ai pas fait, on a déchiré des draps et taché d'autres, on m'a pris très fort dans ses bras et j'ai eu l'impression qu'on me réparait un peu, j'ai fait tomber un mec dans les pommes et j'ai eu très peur, j'ai aussi fait beaucoup de siestes au lieu de bosser quand j'étais dans le rush ou que j'étais trop dans le mal comme si ça allait tout régler, j'ai eu envie de manger des riches et puis j'ai eu envie d'être riche, j'ai souvent rêvé d'un accident bête et mortel car rien ne m'intéresse vraiment, on a découvert qu'on avait hérité d'un inconnu et j'ai visité sa maison il avait l'air trop cool dommage que tu sois mort mec, j'ai cru que j'étais amoureuse et en fait non, j'ai joué à pou et j'ai fait des colliers de perles aux gens que j'aime parce que j'ai 4 ans
j'ai été énervée que les gens soient cons et de droite, j'ai vu plein d'expos trop cool qui ont nourri mes pupilles, on m'a dit que j'étais paumée et malsaine mais on m'a dit je suis fier de toi, je suis tombée amoureuse un soir d'un bel anglais qui m'appelait belle mathilde mais il était en couple, j'ai fait une raclette alors que j'aime pas le fromage et c'était cool en fait my bad, j'ai pleuré la mort de gaspard ulliel beaucoup trop premier degré, je me suis pissée dessus de rire plusieurs fois, j'ai été trop gentille, j'ai pas assez osé puis j'ai trop osé, j'ai failli ken dans des buissons (ça c'était trop osé), j'ai récupéré une guitare qui prend la poussière chez moi parce que je sais pas comment en jouer et que j'ai tej celui qui aurait pu m'apprendre, j'ai écrit des lettres mignonnes et j'en ai reçu d'autres, on m'a oppressé et ça m'a cassé les couilles, on m'a beaucoup appelé sans que je réponde alors que j'avais vu, j'ai appris des choses terrifiantes sur ma famille en parlant avec ma cousine et d'autres super tristes en lisant les mémoires de mon arrière grand-mère, j'ai préféré le monde dans ma tête
j'ai souvent dit que je cherchais du taff sans en chercher, on m'a pris pour une conne et j'ai fait comme si je savais pas et j'ai pris des gens pour des cons comme si de rien n'était, j'ai été heureuse de plus remettre les pieds à la fac puis j'ai été un peu nostalgique car mon cerveau aime trop me faire croire que de mauvais moments sont de bons souvenirs, je me suis rendue compte que j'étais myope et que la mangue c'était super bon, on m'a dit "je me sens super bien avec toi" et on m'a demandé trop de fois à mon goût "et tu fais quoi alors cette année ?", j'ai passé beaucoup de temps à fixer mon plafond en me sentant vide, j'ai vu la vénus de botticelli en vrai, j'ai eu tellement mal aux tripes d'avoir à ce point envie de mourir tout en sachant que j'étais là pour rester, j'en ai voulu à mon cerveau d'être aussi ravagé, on m'a envoyé beaucoup d'animaux mignons en me disant "us" et ça fait toujours autant fondre mon cœur, j'ai attrapé une souris à main nue alors que je voyais tout flou, j'ai perdu le k-way de mon grand-père et ça m'énerve, on m'a volé des lunettes trop cool et ça m'énerve encore plus, j'ai fait des choses d'adulte et j'ai trouvé ça bizarre
je me suis pas sentie à ma place puis je me suis souvenue que je me sentais jamais à ma place donc ça m'a rassuré un peu finalement, j'ai pas pleuré le jour de mon anniversaire et c'était pas arrivé depuis longtemps, on a écrit des poèmes à mes fesses, j'ai pensé beaucoup de choses très fort sans oser les dire, j'ai pris des rdv chez des psy que j'ai toujours annulé, j'ai ramassé des objets insolites par terre car la rue c'est le meilleur des magasins, je me suis souvent trouvée dégueulasse et des fois trouvé trop belle pour ce monde, j'ai beaucoup joué et rigolé avec mes amis et j'ai rencontré quelques nouvelles personnes que je veux connaitre plus, je me suis sentie utilisée et c'était cool, je me suis sentie utilisée et c'était pas cool, on m'a fait découvrir de belles musiques, j'ai trouvé un taff et j'ai un peu été payée à rien foutre ce mois-ci c'est super, j'ai eu des envies d'HOMME-icides à intervalles réguliers, j'ai essayé de me remettre vraiment à lire sans énormément de succès, j'ai menti dans mon propre intérêt, et on m'a demandé plein de conseils alors que je suis incapable de bien gérer ma vie
en vrai j'ai rien compris à cette année, il s'est passé plein de choses très vite, mais d'autres semblaient ne jamais vouloir s'arrêter, j'ai été intensément triste mais j'ai vécu quelques pics de vie très drôle et qui m'ont fait du bien au cœur, le stress m'a pourri la vie comme d'hab que dire j'ai peur de tout des gens des premières fois de l'inconnu de l'administration du futur et de mon futur du jugement des autres qui est en fait surtout celui que je me porte, mes rencontres ont été autant positives que négatives, je me suis éloignée de certaines personnes que j'aime mais je me sens bien entourée de mes meilleurs cops sinon j'angoisse déjà de l'année prochaine car comme l'année dernière je suis pas plus avancée sur ce que je veux faire de ma vie et sur ce que je vais faire pour continuer mes études je pense à tous les dossiers que je vais devoir remplir je sens que je vais pleurer beaucoup de larmes de rage et de larmes tout court car je fais nimp de ma vie et que je respecte jamais mes limites mais bon j'imagine qu'il y aura aussi des trucs sympa j'ai déjà plein de concerts prévus, des week-end avec mes cops, je gagne des thunes donc je vais pouvoir m'acheter de nouvelles dr martens, je vais me relancer dans la couture j'ai plein d'idées et puis j'ai des relations à approfondir, des choses à accomplir et surtout je vais continuer de passer mon temps à râler sur tumblr et ça c'est cool (pour moi pas pour vous désolée si vous avez lu jusque là fallait pas, de toute façon vous n'existez pas)
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Séance du Mercredi 2024-01-17
On aurait pu tomber sur un truc problématique mais en fait ça va
Un homme heureux (2023) - Canal+ - 1h38 - 🇫🇷🧔🍻
Fabrice Luchini est le vieux maire de droite d'une petite ville du Nord de la France, il s'apprête à se représenter à son propre poste quand sa femme lui annonce qu'en réalité elle se sent depuis toujours homme et qu'elle souhaite initier sa transition.
Tous les ingrédients du film français problématique était présent au départ et je vous avoue que si ça n'avait pas été dans l'avion j'aurais évité cette "comédie". Le film est en réalité assez touchant puisque l'on suit un personnage qui est clairement dépassé par son époque. On n'évite pas les classiques du genre (le groupe de parole, la gêne...) mais au global on est ému par la performance toute en nuance de Catherine Frot. N'en attendez pas un pamphlet mais juste un film à enjeux (comme les américains aimaient en faire dans les années 90).
6/10
Apiculteur? C'est une bonne situation ça?
The Beekeeper (2024) - Cinéma (au Vietnam) - 1h45 - 🇺🇸🐝👊
Jason (il a un nom dans le film mais on s'en fiche) vit chez une petite dame où il élève des abeilles. Un jour cette petite vieille se fait arnaquer par téléphone et elle perd tout l'argent de l'association qu'elle gère, la pauvre se suicide. Jason n'est pas content et donc il va se venger.
Sous un léger verni le film de revanche des petits contre les gros se met en place. Jason casse des bouches et c'est jouissif. Je m'en voudrais de ne pas citer le fait que le film est rempli d'idéologie un peu Trumpiste (la présidente est une blonde qui n'est pas sans rappeler quelqu'un qui n'a pas été présidente mais bon) ce qui laisse un petit arrière goût désagréable dans la bouche. Si on coupe son cerveau, le divertissement est assez magique, qu'il est fort ce Jason.
7/10
oulala les riches ils sont un peu bêtes nan?
Saltburn (2023) - Amazon Prime Video - 2h11 - 🇺🇸🇬🇧💸🥂
La réalisatrice du prometteur (huhu) mais incomplet Promising Young Woman a été récupéré (en France) par Amazon studios pour réaliser son nouveau film. Oliver un geek a grosses lunettes et raie sur le côté arrive à Oxford pour la rentrée et a un peu de mal à se faire des amis. Mais un jour il attire l'attention de Félix, qui est beau et super riche. Il finit par l'inviter à passé l'été dans le château familial (le Saltburn du titre) où il risque de se passer des choses.
Comme souvent avec les films de plateforme on sent qu'il manque un producteur, 2h11 pour ce film c'est beaucoup trop long. Les 40 dernières minutes sont une lente agonie et le "twist" final n'arrive pas à rattraper tout ça. Le film est beau, étrange et bien filmé. Mais ça ne fait pas tout, surtout que le scénario n'est pas du tout aussi malin que ce qu'il pense.
6/10
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Je suis allée à la salle de sport pour me renseigner sur les activités les tarifs etc.. déjà ça m'a demandé beaucoup de courage pour rentrer dans le lieu j'avais super peur, ensuite ça a très mal commencé parce que la dame voulait qu'on s'asseoit pour discuter sur des manges-debout mais les fauteuils étaient super haut et super étroit (fallait faire un 36 pour s'asseoir dans ces trucs) du coup j'ai essayé de grimpé sur les sièges sans succès mdr donc au final on s'est rapatrié sur un canapé (c'était bien mieu). Ensuite elle m'explique les cours blabla et elle me fait faire le tour des salles, sauf qu'il y avait des gens en train de faire leur sport et ils m'ont tous regardé !! Et je déteste qu'on me regarde bahhh ! Et ils étaient tous super sportif et sportive je me suis sentie comme une merde donc je me tenais bien droite bien la tête haute pour faire bonne figure mais j'étais vraiment mal à l'aise. On est passé à côté de la piscine et il y avait un cours d'aquabike l'ambiance avait l'air OK mais c'était que l'échauffement, mais il y avait des dames âgés donc ça m'a un peu rassuré. Ensuite on retourne au canapé, et la dame m'explique les formules les abonnements machin et c'est si cher ! Genre tu t'abonne mais tu as un dépôt de garantie + tu payes 2 mois d'avance, bref juste l'inscription j'en aurais pour 200 balles. Et je suis trop bête j'ai oublié de demandé si c'était possible de faire une séance d'essai, parce que je suis même pas sur que ça me plaise en fait. En plus la dame a fait aucune allusion à l'inclusivité, genre est-ce que ils ont des programmes spéciaux selon les différents corps etc... et ça j'avoue que c'est pas super cool. Donc voilà je suis dans l'indécision totale, est-ce que je vais aller à la salle ou pas ?!
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J'y pense... J'y pense..
Guenièvre et son chien qui est vraiment une bête immense et super poilu genre st-bernard, ce genre de bête quoi... Elle l'a reçu en cadeau d'un émissaire et au début il était tout petit et tout mimi, sauf qu'il est vite devenu immense et monte dans le lit et prends la place d'Arthur qui se retrouve à dormir par terre... d'ailleurs le chien adore Arthur, mais c'est pas vraiment réciproque
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8, 19, 25, 32
8: Want any tattoos?
Ouii ! Le soleil dans Raiponce, à la cheville, et très discret. J'ai beaucoup hésité mais chaque fois que je revois ce film je me dis que je dois le faire! Surtout qu'on ne voit pas explicitement que ça vient d'un Disney donc plus tard si j'en ai marre je pourrai toujours dire que c'est un bête soleil. Je n'ai juste pas encore trouvé le/la tatoueur/se.
19: A fact about your personality
Je cerne très facilement les gens et j'ai rarement tort! Pour l'anecdote, lorsque j'ai rencontré celle qui allait devenir ma meilleure amie actuelle, j'ai tout de suite su qu'on s'entendrait bien, alors qu'elle ne m'aimait pas et qu'elle était complètement inaccessible au début. Nous n'étions jamais dans les mêmes classes, on ne se parlait quasi jamais mais on avait un groupe de potes communs. C'est après le lycée qu'on s'est finalement rapprochées, comme je l'avais deviné héhé. C'est comme si je sentais les auras ou quelque chose du genre?
25: My idea of a perfect date
J'avoue que les dates ça m'angoisse tellement! Ça fait si officiel et sérieux!! Du coup j'pense que ce serait une sortie dans un parc d'attraction ou toute autre activité où on est actifs et pas juste assis dans un resto super cher et romantique.
32: What words upset me the most
J'ai pas de mots précis mais je pense que ce sont les critiques qui me déçoivent le plus. Ça me fait toujours un coup au coeur qu'on puisse critiquer gratuitement quelqu'un. Fais attention à ce qui se passe dans TA propre vie mais t'as pas le droit de juger les autres en fait??
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6 Persos Challenge
( @mysterious-corvidae | @challenge-corvidae )
Abrams Guerreira, ft. Joaquin Phoenix
Je n'ai pas joué Abrams très longtemps, seulement l'histoire de quelques rps qui se comptent sur les doigts d'une main. C'est un personnage auquel je suis pourtant très attachée mais qui m'est difficile de jouer pour plein de raison, dont une en particulière : ce n'est pas quelqu'un de loquace. Pour résumé grossièrement, c'est une brute simplet. Il a été construit autour du rôle d'un garde du corps de mafieux loin des idées qu'on s'en fait habituellement. Ce n'est pas une armoire à glace parfaitement musclée mais juste un grand bonhomme assez costaud pour mettre un client récalcitrant à la porte. Il ne pose pas question et obéit sans réfléchir, sûrement parce qu'il n'est pas très doué à ça. Aby frappe, aussi fort qu'on lui demande, alors qu'il serait plus tôt du genre à vouloir tenir un chaton entre ses bras. "Simplet" est sûrement un terme réducteur mais c'est le seul mot qui me vient à l'esprit pour décrire son comportement sans le comparer à Hodor. Je n'ose pas non plus évoquer le spectre de l'autisme parce que je ne m'y connais pas et que, même en faisant des recherches, je ne me sentirais pas légitime d'en parler. Alors l'idée c'est que chacun se fasse son propre avis. Il est peut-être tout simplement juste timide selon certain, bête pour d'autre ou juste spécial. Chacun le voit comme il veut et c'est ce que je préfère. Abrams lui, se voit juste comme un gentil gars et c'est pour ça qu'il ne préfère pas parler, voir d'en parler. Mon problème, c'est que j'ai que des personnages bavards. J'adore ça. Des persos rieurs, railleurs, ça créer une dynamique INRP qui me met à l'aise (sûrement parce qu'ils sont plus proches de moi) et qui me permet de trouver des bonnes relances pour mes partenaires. Mais un laconique, comment on fait ? Peut-être que je projette trop Abrams de façon cinématographique (tout est dans son comportement minimaliste) et qu'il est tout simplement pas adapté pour le format rpg. Tant pis, je l'aime toujours. A défaut, il pourra sûrement faire un super PNJ.
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Beasts - 4/8
Arashi : Mh-mh-mmmh…♪
… hmm? Oh! Qui est le petit farceur qui touche mon épaule?
Je le savais! Salut Anzu-chan! Tes mains bougent avant ta bouche, comme toujours. Mais ce n'est pas bien d'être si tactile!
Enfin ça ne me dérange pas si c'est toi…
Hehehe, mais on se croise souvent dans le magasin, non?
Nous sommes toutes les deux des clientes régulières~ après tout, cette boutique reçoit les meilleurs produits des environs, après tout~♪
Tu fais du shopping toi aussi ? C'est vrai! Tu es une fille!
Regardons la nouvelle collection de printemps ensemble! Je me demande ce qui est populaire cette année…
Regarde, ça t'irais tellement bien! Ou est-ce que c'est un peu trop enfantin ?
Ce n'est pas bon… nous avons le même âge, mais c'est comme si tu étais ma petite sœur!
Hehe, quand tu vas commencer ta 3e année, tu seras la seule senior de la branche des producteurs~!
Peut être que tu devrais tenter un look plus adulte? Pour que les juniors ne te sous-estiment pas!
Hey~ tu devrais peut-être tenter de porter des fausses lunettes ou quelque chose comme ça! Elles te feront grandir comme ça~♪
Les lunettes sont siiii mignooones récemment!
J'ai toujours eu une bonne vue, donc je ne m'en suis pas rendu compte.
Ouip! J'ai une super bonne vue! Tellement bonne qu'Adonis-chan m'a dit que je pourrais faire une bonne chasseuse, car en plus de ça, je suis une bonne coureuse.
… c'était un compliment ? Bah, cet enfant n'insulte jamais personne, pas vrai?
Hmm, Anzu-chan...ne me tire pas, d'accord?
Qu'est-ce qu'il y'a? Tu avais quelque chose à me dire?
Aah! J'ai totalement oublié Tetora-kun! J'ai été absorbée par mon shopping!!
J'ai totalement foiré! Ça fait déjà une heure?
Hmm… il était inquiet pour moi?
Tu as entendu la situation quand tu es venue ici et tu m'as cherchée dans le magasin?
Je suis désolée! J'étais bien trop excitée de parler avec le manager!!
Ils m'ont envoyé voir des vêtements qui n'étaient pas exposés!
Tu sais où est Tetora-kun maintenant?
Huh? Il est dans une cabine d'essayage?
Il était trop embarrassé de se balader avec des vêtements mignons dans le magasin ?
(Oh, non.. il a docilement fait ce que je lui ai demandé… n'est-ce pas?)
(Je sais qu'il avait juste quelques problèmes de puberté, pas des troubles d'identité du genre (dysphorie de genre) comme moi…)
(Il a juste dit qu'il voulait devenir plus "viril" avec le motif d'un enfant…)
(Je pensais que si je lui donnais des réponses ridicules, il allait se mettre en colère et partir…)
(La gravité de nos problèmes est bien trop différente… et pourtant, il est juste allé de l'avant et a touché un nouveau nerf (?).)
(J'étais en colère donc j'ai joué avec lui par pure vengeance)
(... mais il m'a docilement cru?)
(... aggh! Qui est le plus enfantin maintenant, espèce d'idiote ?!)
Ahh, désolée… Anzu-chan, pourrais tu me montrer dans quelle cabine il est?
Ah, celle là ?
Tetora-kuuuun! Désolée, je t'ai laissé en plan et j'ai totalement oublié!! Je m'excuse! Si tu me pardonnes, je serais plus sérieuse à partir de maintenant…
Tetora : Ah, Narukami-senpai?
Arashi : Ouais! Uh, je ne peux pas te voir, mais… comment ça avance ? Ça te dérange si j'ouvre le rideau?
Tetora : O-ossu! C'est bon! Allez y!
Arashi : Tu es quelque peu réticent… Uhh, d'accord alors, j'arrive…
Tetora : Ossu! C'est le meilleur que je puisse faire, Narukami-senpai!
Arashi : …..
Tetora : D-donc c'est si mauvais que ça?
Je ne pouvais pas vraiment dire ce qui m'allait, alors j'ai demandé à Anego des conseils!
Arashi : … c'est vrai Anzu-chan?
Tetora : Ossu! Mais elle était tellement excitée que j'ai cru devenir sa poupée d'essayage…
Les femmes sont flippantes parfois! C'est la même chose pour les fans des fois…
Arashi : Ahaha. Après tout, dans le monde des bêtes et insectes, ce sont les femmes qui sont les cruels prédateurs… peut-être que c'est la même chose pour les humains?
Ouais… mais tu es mieux que ce à quoi je m'attendais!
Bien joué… même si Anzu-chan t'as aidé, les garçons ont souvent l'air plus ridicules quand ils portent des vêtements féminins.
Hehe. J'aurais bien voulu que tu sortes dehors habillé comme ça en prenant mes affaires.. et que ça te blesse. Depuis que tu m'as blessé en me parlant.
Mais c'était une mauvaise chose à faire.. j'étais une idiote. Si mon cœur commence à devenir hideux, c'est la fin du voyage pour moi.
Je regrette ce que j'ai fait. Je suis désolée Tetora-kun. Ça suffit, donc va te changer…
Tetora : O-ossu! Tout ce que je dois faire, c'est sortir habillé comme ça, hein?
Arashi : … Huh?
Tetora : Compris! Tetora Nagumo va faire de son mieux pour remplir sa tâche! Les flammes noires sont la preuve de l'effort…!
Arashi : Huh? Huuh…?
Tetora : J'pars dehors! Désolé, je vais vous donner mon porte monnaie donc utilisez mon argent pour payer les vêtements s'il vous plait!
OoOooOooOoHHhhHh! Je réfléchis toujours trop pour n'importe quoi alors cette fois ci, je fonce sans aucune pensées!!
Et c'est parti, à moi la virilité!
Arashi : Atte- Tetora-kun, arrête toi et écoute moi..!
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🎬 Episode 1 : Die Hard - Piège de cristal 💥
POP-CORN #1
Barbara - janv 2020
La pop culture est par essence le divertissement facile, qui est appréciée par le plus grand nombre. Elle est parfois abordée avec dédain, presque avec mépris. Mais ce n'est pas parce qu'une oeuvre est facilement accessible qu'elle perd de sa valeur.
👉 Je vous présente donc POP-CORN, la newsletter qui redonne ses lettres de noblesse à la culture populaire. Parce qu’il n’y a pas que Télérama dans la vie, y’a la bière et le pop-corn aussi.
Et ça, ça fait plaisir.
🍿Aujourd'hui nous parlerons des films d'action et plus précisément du premier Die Hard. Je m'en tiendrai à la trilogie originale qui comporte :
➡️ Piège de cristal (Die Hard), sorti en 1988.
➡️ 58 min pour vivre en 1990 (Die Hard 2 : Die Harder)
➡️ Une journée en Enfer (Die Hard with a Vengeance) en 1995.
💡 POURQUOI ÇA FONCTIONNE ?
En 1988, le monde découvre John McLane (incarné par l'acteur Bruce Willis). Lieutenant de police new-yorkais aux méthodes atypiques, il est beau, intelligent, fort et plein d'humour. Bref McLane c'est vous, mais en beaucoup mieux.
C'est une des plus grandes forces de la pop culture des années 80. Nos héros sont comme nous. Ils ont juste un léger twist : plus d'audace, de charisme et une vie bien plus compliquée.
Nous sommes le soda, ils sont la dose de whisky 🥃.
En 88, les films de super-héros ne sont pas encore à la mode.
On peut compter sur les doigts d’une main le nombre de blockbusters à ce sujet entre 1980 et 1990, quand l’année 2017 à elle seule en compte plus de 10.
Parce qu’à cette époque, la priorité est au héros ordinaire et non aux supers pouvoirs.
Si vous n’avez pas vu le film et que vous souhaitez un résumé plus que complet, je vous renvoie vers cet article.
👎 Vous pouvez d’ailleurs lire dans la section Accueil “ Piège de cristal reçoit à sa sortie un accueil mitigé de la presse française. [...] Positif, Télérama, Les Échos et L'Événement du jeudi retiennent d'abord son côté « primaire » sinon « bête », en l'affublant tous d'un timide 2/5.”
Télérama.
🗣 Malgré l’avis de la presse française à sa sortie, il est indéniable que Piège de cristal est une réussite. La réalisation est bonne, les scènes d'action sont efficaces et Bruce Willis incarne à la perfection son personnage. Cerise sur le gâteau, preuve incontestable d’un grand succès commercial : le "Yippee Ki Yay, motherfucker". LA réplique culte du plus célèbre flic de New-York rentre dans le langage courant.
30 ans après, elle reste indémodable.
Ou pas. Il faudrait que je vérifie auprès de mon neveu.
Bien qu’à la réalisation se trouve le maître du genre : John McTiernan, qui venait juste de terminer Predator, Die Hard n’était pas pressenti pour être un succès.
💡 LE CASTING.
Le casting par exemple était un pari risqué. Il n’y avait aucun acteur connu du public, ou du moins bankable pour un film d’action.
Le plus célèbre est bien Bruce Willis, mais à l’époque il n’apparaissait que dans des séries comme Clair de Lune ou dans la comédie romantique Boires et Déboires. Autant vous dire que Die Hard est pour lui l’opportunité de toute une vie.
💪 Le scénario a bien été proposé au grands noms du film d’action, comme Mel Gibson, déjà maître de la comédie policière grâce à l’Arme Fatale. Mais lui, comme les autres, refuse. La faute au script qu’ils ne trouvent pas très engageant.
🎭 Alan Rickman quant à lui, faisait partie de la troupe de la Royal Shakespeare Company. Nous sommes bien loin de Hollywood. Lorsqu’il est casté pour le rôle de Hans Gruber il a déjà plus de 40 ans. Il envisage d’abord de refuser, n’étant pas emballé par l’idée de jouer dans un film d’action. Il décide finalement d’accepter la proposition uniquement s’il peut apporter sa touche au personnage.
Avec la permission du producteur Joel Silver, le personnage de Gruber est totalement réinventé. Rickman ne veut pas être l’archétype du méchant des années 80, il veut porter un costume. Hans est atypique, il est méticuleux, soigné et tout en retenue. Hans devient un des meilleurs méchants de blockbusters 🦹♂️.
Pourtant il en faut plus pour entrer au Panthéon des blockbusters.
✒️ C’est là que le scénariste Steven E. de Souza entre en jeu. Il faut de l’humour pour que la sauce prenne alors De Souza nous délivre un héros avec de l’autodérision, des situations rocambolesques, que ce soit pour McLane ou pour Gruber. Le personnage de Bruce Willis devient un mélange réussi de Rambo et Peter Sellers dans les films de la Panthère Rose. Musclé, figure d’autorité mais maladroit et poissard.
Parce qu’il est imparfait, John McLane s'adresse à l'Amérique toute entière.
💡 LA MINUTE "CRIMINALITÉ À NEW-YORK.
🇺🇸 Enfin Die Hard s’inscrit dans une politique et une économie particulière. En 88, New-York a le taux de criminalité le plus haut des Etats-Unis et ce depuis les années 70. La politique de la Big Apple, jusqu'au milieu des années 80, fut de réduire la police de proximité pour concentrer son budget sur la lutte contre le grand banditisme.
Comme les résultats sont désastreux, en 1985, la ville changea son fusil d'épaule et s'attaqua aux petits poissons comme aux grands. Le mot d'ordre : plus de police de quartier, plus de sécurité dans les rues !
Die Hard est un excellent film d'action. John McLane n'est pas juste un personnage de fiction, il est le flic que l'on attend, dont on a besoin.
C'est aussi le film d'une époque qui répond à un problème systémique : la criminalité aux USA.
Pensez-y la prochaine fois que vous bouderez un film d’action. Je le répète pour les inattentifs : Y’a pas que Télérama dans la vie, y’a la bière et le pop-corn aussi 🍿 !
Barbara
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Durant son voyage, il a rencontré sur sa route, non pas la vieille idylle mais l'idole des jeunes qui au fil du temps et au fil du Nil est devenue la reine de toute, l'Amour, qui se, lit dit le coeur avec un grand A où sur la carte de son corps il en a fait sa capitale. Une vie en majuscule, mais pas en pointillé, dans un nid douillet mais sans David, où chaque intention s'affiche en attention, parce que l'Amour oui se vit et non sévit sur la compagnie love Airlines en classe affaires pour en corps s'envoyer en l'air avec le coeur à faire coucher les étoiles. Voilà pour l'intro mais dans le détail c'est encore plus beau. Elle est apparue de ses plus beaux apparats, qui de ses parements sans pareils font ressortir sa vraie mine naturelle sans les faux traits de Sabine Paturelle, Elle s'avança jusqu'à lui comme une petite bombe en grandes pompes. Elle est à la croisée de destins, entre Lisa Minelli et Alyssa Milano, une escale milanaise à la scala de milan une gitane mais pas gitano, symbole d'un Benvenuti a la felicita, un chant d'amour au son de la dolce vita et du dolce gusto, porté à son coeur de Bohème que les mots aiment mais que sa bouche ne connait ni des lèvres ni des dents. A la recherche de sa bonne heure, elle voit une vie en prose, à l'eau de vie de roses, ne se saoulant pas de sûres crises mais de surprises. Ces destins ne sont pas les siens alors elle s'accroche à ses desseins. La fée est aux aguets, à quai, elle attend sa clochette, la Belle espérant son beau, pas son clochard, pas un belitre mais son bellâtre. Elle rêve d'une relation exclusive sans exclusion, un amour passionnel, pas rationnel, de l'émulsion faut que ça fuse, de la combustion faut que ca pulse, se touche sans effusions ni contusions. Elle ne veut plus de ces cons venus, qui en parvenu sont parvenus en convaincus inconvenants, sur un concerto déconcertant à finir de concert en cons vaincus sur une déconvenue. Car à s'adonner au bourreau des moeurs, qui cultive son coeur et laboure la belle finit abonnée au bureau des pleurs elle ne veut plus de ces paroles de marivaudage qui finissent en actes de mari volage. Meme si les années ont sur son coeur, défait l'effet de ses traits elles sécrètent sur son corps suranné les faits d'un nouveau bonheur, car si elle se ride ou qu'il s'érode c'est la même eau qui coule, celle du temps. Dans la course à l'intimité ce qu'elle veut, c'est le grand prix. Lui, des jours de tonnerre, des nuits de coup de foudre sans éclairs, en clair le championnat du monde des pilotes mais pas des cons-scruteurs. Elle est carossée comme une F1, son chassis se délivre à la manière d'un livre , où les yeux se consument à chaque page comme une histoire sans fin. Au sein de son écurie, elle s'affiche en égérie du dernier modèle sorti, entré comme la première de sa génération. C'est une hybride, qui se débride pour enflammer de son corps électrique les sens du bonheur carburant au super. Il sait que ce genre là, ça ne se domine pas car elle est nerveuse et dynamique, ça s'apprivoise. Il a fallu être sans détour au poste, des tours de piste, des tours d'essai, des essais libres, des arrêts au stand en stand by stop mais à vouloir trop vite courir le circuit le court-circuit n'est jamais très loin. Viser la pôle position est une ambition mais étant le seul à concourir sans concurrent, le rang n'est pas une obligation. Mais si contrairement à lui, elle ne perd jamais la tête et les pédales, la belle s'emploie toujours sur la bête, et finit sur un rale. Sur l'asphalte amoureux, il s'affale, elle s'affole car la piste n'est jamais rectiligne et à ses magnifiques courbes il s'aligne mais courant, à contre - courant, de sens en contre - sens, du point génial au point final, le drapeau finit toujours par damer le pion à sa dame car de ses phares chics à ses pares-chocs, de ses délits chics, en des lots chocs, Sous ses seins cirés se repose le Saint sireoù ses reins à mirer son Saint siège, assassine le sain d'esprit. Un corset au corps sain, de ses dessous, sans dessus, est le cri juste de ses reins elle le laisse, avec sa robe rutilée comme une jeune première, mutilé comme un jeune dernier. Oui, l’Amour est un parcours, un tour du monde qui s’écrit aux mains d’argent et finit sur un livre d’or. Derniers conseils à venir, pour tenir en éveil : Avant que dans cette course pour la vie, le souffle s’essouffle et dans cette course contre la fin avec la mort aux trousses, profitez de chaque jour comme si c’est le premier. Embrasez les jours avant que la nuit vous embrase, baisez la vie avant que la mort ne vous baise. Car c’est là, où l’Amour se terre, dans leurs yeux que se contemple, et qu’on comprend dans ce temple qu’on appelle dictionnaire, qu’au mot Amour, on ne pourrait trouver mieux. Carpe diem ! ©
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Coucou ! Alors je suis en pleine réorientation et je me demandais ce qui t’as attirée dans tes études de droit ? Merci !
Million dollars question!
En fait j'ai commencé par faire une licence d'anglais. J'avais toujours envisagé de faire du droit, mais j'avais très peur de la charge de travail, de ne pas travailler régulièrement et d'échouer. Donc j'ai fait une licence d'anglais avec une spé qui contenait du droit. Et en fait j'étais super malheureuse de faire ça, autant j'adore l'anglais, la culture, autant en faire mon métier c'était non. Donc j'ai pris une année off, j'ai taffé et je me suis demandé ce que j'aimerais faire de ma vie, ce qui ferait que je me lèverai le matin sans avoir à faire d'effort. Et le droit s'est imposé. En fait j'ai toujours été le genre de nana à prendre le partie des plus faibles, à choisir l'opinion la moins défendue et j'ai toujours voulu être "utile", faire une différence dans la vie des gens. Le droit m'a eu l'air de coller à tout ça. Donc j'ai repris la fac pour une L1 droit sans savoir trop quoi faire. En L2 j'ai eu un cours de droit pénal qui a changé ma vie. J'ai pu étudier le rôle du procureur et j'ai eu comme une illumination, j'me suis dit que c'était ÇA qu'il fallait que je fasse. Je suis hargneuse et j'avais envie d'aider les gens, je voulais que les victimes sachent qu'un magistrat est là pour elles. C'est assez utopiste, et j'ai eu mon lot de désillusion, mais ce goal n'est jamais parti. Coûte que coûte je veux me battre pour les victimes d'infractions pénales, mener l'enquête, proposer des peines.
Après en fac de droit j'ai appris beaucoup sur moi même, la rigueur que cela demande peut s'acquerir avec le temps, j'aime apprendre, je suis curieuse et quand tu aimes ce que tu étudies les efforts ne paraissent plus être des efforts, tout devient plus facile. En bref je dirais que c'est une histoire de vocation. C'est bête mais il faut travailler en fac de droit, si tu ne sais pas vraiment pourquoi t'es là ça ne sera pas facile. Mais elle rend bien les sacrifices. Aussi les sujets de droit sont très vastes y'en a pour tous les goûts et ça sert à tout le monde au quotidien de connaître le droit. Je ne sais pas si j'ai répondu vraiment ou si j'ai juste raconté ma vie lol. Mais si ça t'attire il faut le tenter, tu n'es pas à l'abri d'une révélation.
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Message pour le Turfu VII
Vendredi 7 juin 2019
Je haïs mon père depuis mon adolescence. Je me souviens même du jour où je l’ai officiellement décrété : le jour où il a détruit les cabanes dans lesquelles je jouais enfant, pour pouvoir y installer ses bêtes.
Le profit avant le loisir, ça a été son mantra toute sa vie, ça a un peu été ma première ZAD.
Je haïs mon père depuis mon adolescence et mon sentiment là-dessus n'a pas tellement évolué en 10 ans, j'ai juste posé des mots dessus entre temps. J'ai peur de lui, peur de ses coups de sang. J'ai toujours ressenti un intense malaise en sa compagnie. J'ai toujours ri à ses blagues graveleuses ou médiocres par peur de le vexer. Je l'ai écouté sans broncher insulter avec virulence ma tante, mon grand-père, ma mère, ma belle-sœur, mon frère, moi, parce que j'avais peur de lui.
Je le haïs parce que depuis l'enfance, il m'a fait comprendre que je ne valais rien : parce que je n'étais pas porté sur l'agriculture, parce que je n'aimais pas me salir, parce que je préférais dessiner en intérieur que sortir jouer ou travailler dehors, disons-le clairement, parce que je n'étais pas un vrai homme, un homme comme lui (encore une démonstration des dangers du patriarcat et des stéréotypes de genre).
En l’écrivant, je mesure la gravité de ce que j’ai vécu, je n’ai pas une crise d’adolescence qui s’éternise. Cet homme était malade, cet homme était dangereux et ce n’était pas normal.
Lorsqu’il est tombé malade, j'ai commencé à recevoir régulièrement des messages de ma famille me parlant de son état et me demandant de l'appeler. J'ai très sincèrement eu envie de le laisser mourir seul. Le problème, comme souvent, c'est les autres. Ma famille a commencé à faire pression sur moi pour que je les appelle (moi, le phobique du téléphone). Ça m’a vraiment mis dans un état épouvantable, pas parce que mon père allait mourir, mais parce que ce que j’allais faire dans les prochains jours déterminerait ce que le reste de ma famille allait dire de moi lorsque je quitterais les prochains repas. Mes neveux et nièces n'auraient jamais vraiment compris pourquoi, mais j’aurais été l'oncle bizarre, le "mauvais fils", à jamais. C’est pourquoi, cédant sous la pression, j’ai fini par y aller.
Enfant, beaucoup voient leur père comme un super-héros, je n’ai pas ce souvenir. En revanche, je me souviens en avoir fait mon ennemi juré. Je l’ai détesté dès l’adolescence et il a fallu qu’il meure pour que je le voie enfin comme tel. C’est en posant une serviette humide sur son dos immense, rendu brûlant par la maladie ; c’est quand j’ai posé mes mains sur son corps, le summum de la tendresse qu’il nous ait été donné de partager depuis mes 11 ans ; c’est en déposant un gant de toilette frais devant lui et en le voyant le mettre sur son front que je l’ai vu, enfilant son masque, un super-héros.
Le super-héros dont j’étais l’ennemi juré.
Il m’a créé, comme tout bon super-héros, et tout nous oppose. Il est le riche patron, l’homme fort à la carrure de bœuf, cachant ses sentiments (preuve de sa virilité) derrière son regard bleu acier. Je suis l’artiste frêle, peureux, bizarre, presque efféminé face à lui. Il défend le système en place, je veux le détruire. Tout nous oppose, pourtant nous sommes pareil. J’ai construit ma personne en opposition à la sienne. Je voulais surtout ne pas avoir ses défauts. Et au final, la génétique nous rattrape. Mes cheveux sont tombés et mon esprit a valsé. Je suis, comme lui, dépressif chronique, comme lui, je fais souffrir ma famille. Lui c’était par sa paranoïa, la colère. Moi c’est par le rejet, le silence.
Il invoquait l’argent, moi la politique. Les motivations sont différentes, le résultat est le même. Il aura fallu qu’il meure pour que j’en prenne conscience.
Il m’a humilié tant de fois, m’a fait tellement peur. Aujourd’hui, étendu sur son lit d’hôpital, la peur s’estompe, la haine aussi. L’envie de vider mon sac s’efface au profit de la pitié. Celle qu’on a face à un être humain qui sens sa mort arrivée. Celle qu’on aimerait recevoir si nous étions à sa place. Mon père est mort et je vais bien. En route pour l’enterrement, j’ai senti comme une ombre, qui m’étreignait depuis 25 ans, s’envoler. Je me sens libéré d’un poids, je me sens libre.
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Histoire de Noël 2/2
Inutile de reculer, je lui envoie un SMS. Je grimace un peu... Je ne sais pas trop quoi lui dire pour attirer son attention en restant dans le mystère... Je me décide pour un message tout simple, ça fera l'affaire. Comme ça si elle a envie de me voir elle peut venir sans pression. Et si elle ne peut pas, ça sera partie remise. Mon portable vibre et je me réjouis en pensant qu'elle me répond bien vite mais il s'agit de ma sœur qui m'envoie des photos de la veille. Avec un petit mot...
"'J'espère que tu passes un bon moment... Joyeux Noël frérot! ;)"
J'ai bien envie de lui répondre que je suis seul mais ça va lui faire de la peine d'autant qu'elle a pris la précaution de ne pas me parler des parents. Elle sait que je n'ai pas envie d'en entendre parler.
La porte de la salle de pause s'ouvre et... Su' passe la tête pour jeter un œil. Elle me voit et sourit timidement. Mince, la voir me rend bien plus content que je ne le pensais, c'est de la faute à Ambre si je le remarque de façon aussi flagrante. Je vais devoir faire attention à ce que je dis.
-Nath, joyeux Noël!
Je lui souris en retour et je sens que je vais devoir la taquiner pour cacher mes réelles émotions. Elle m'avoue avoir passé de super moments en famille et que ses parents viennent de partir.
-Hum... Tu veux qu'on aille faire un tour dehors? Tu me raconteras ton Noël.
-Si tu veux... Mais il n'y a pas grand chose à raconter.
Elle hausse légèrement les épaules et m’entraîne dehors. On se met à tourner dans le campus tranquillement.
-Tu as vu ta sœur?
-Oui nous avons dîné ensemble. Et toi tu as bien profité de ta famille?
Elle rigole.
-Oui c'était assez dingue vu que ma tante a beaucoup géré nos activités.
C'est vrai que sa tante est un sacré phénomène. Su' me pince le bras.
-Hey j'y peux rien si elle se prend pour une fée!
-J'ai rien dit!
-J'ai vu ton petit sourire en coin!
- Oui mais je la trouve super, tu le sais je te l'avais déjà dit quand...
Quand on était ensemble. Et même si sa tante est dans son petit monde elle n'en reste pas moins géniale. Elle adore Su'. J'imagine que quelque part ça ne m'aurait pas dérangé d'avoir une tante comme elle.
-Tiens voilà notre photo pour le concours du pull le plus laid!
Sa tante a en effet fait les choses en grand. Les tenues portées par la famille sont très originales. Su reste charmante et le nœud représenté sur son pull me donnerait bien envie de l'avoir elle comme cadeau. Mais je m'abstiens de lui dire.
-Ma sœur aurait refusé de porter ces tenues.
-C'était drôle quand même. Enfin j'imagine que dans quelques années on en rira encore!
Le silence s'installe entre nous. Elle me regarde comme pour me sonder.
- Je ne pensais pas en tout cas qu'on se verrait pour Noël. Ça me fait plaisir... Je pensais rester dans ma chambre à être nostalgique des jours passés avec ma famille et du coup je suis contente de te voir.
Je ne vais pas ignorer le fait que ses mots me font plaisir bien plus que de raison. Au fond c'est à moi que je fais surtout plaisir... j'avais envie de la voir.
-Ça m'a fait du bien de passer un moment avec toi, oui. D'ailleurs... Si je t'ai fait venir c'était aussi pour te donner ça.
Je lui tends le cadeau que j'ai choisi pour elle et elle ouvre de grands yeux surpris. Ses joues se tintent de rose. Elle a toujours été du genre à rougir rapidement.
-Je ne m'y attendais pas...
-Encore Joyeux Noël!
Elle ouvre le paquet et en sort l'écharpe. Elle la sert contre elle.
- Elle est trop belle et si douce! J'adore!
Elle la passe autour de son cou et me fait un énorme sourire. Comme si elle avait reçu un cadeau incroyable.
- Je suis tombé dessus par hasard. Et comme tu as toujours tendance à te promener partout, qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il vente... Je me suis dit que ça pourrait te servir.
Elle acquiesce vigoureusement, son sourire toujours radieux.
-C'est vraiment adorable, merci Nath...
Elle se pince les lèvres et semble hésiter... elle se colle rapidement contre moi et m'embrasse sur les 2 joues. Je ne m'y attendais pas et je sens mes joues se réchauffer. Ses lèvres sur ma peau réveillent d'autres souvenirs. C'est sûrement grave, je suis complètement sous le charme. Je dois faire vite pour ne pas passer pour un idiot.
-Euh je vais y aller moi...
Au moment où j'allais m'éloigner, sa main me retient et je la vois rougir de plus belle.
-Attends... Euh... le truc c'est que...
Elle marmonne, son visage à moitié caché par son écharpe.
-Su', je ne comprends pas ce que tu marmonnes.
-Tu ne te moqueras pas de moi?
Je hausse un sourcil, interrogateur.
-A quel sujet?
Elle soupire et fouille dans son sac. Elle en ressort un petit paquet rectangulaire qu'elle me tend. Elle m'a acheté un cadeau de Noël?
-Joyeux Noël Nath!
Je me contente de la fixer, surpris, et elle lève les yeux au ciel.
-C'est pas grand chose c'est juste que... Je l'ai vu et j'ai pensé à toi.
-C'est un livre policier?
-Non...
Pourtant ça ressemble à un livre. Je finis par prendre le paquet de ses mains et je commence à retirer l'emballage. L'image d'un chat blanc apparaît, me soutirant un sourire un peu bête.
-Le langage des chats?
- Oui bon je sais que ça ne doit pas être dans tes lectures habituelles mais... le chat sur la couverture...
-On dirait Blanche.
La ressemblance est frappante. Il s'agit d'un sacré de Birmanie sans aucun doute.
Et puis y a des anecdotes sympas et... Enfin voilà quoi je l'ai vu et j'ai pensé à toi.
Et ça me rend presque euphorique. Su' affiche un petit air gêné.
- Je te laisse...
Je ne lui laisse cependant pas le temps de partir et je l'attire à moi pour déposer un baiser au coin de ses lèvres. Pourquoi aurais-je laisser passer cette occasion? Elle se laisse faire. Je murmure à quelques millimètres de sa peau...
-Merci Su'.
Je la relâche doucement et elle me lance un dernier regard que j'aimerais prolonger. Mais... j'ai déjà été gâté aujourd'hui donc je préfère ne pas abuser. Je la regarde s'éloigner et je me mets en route vers chez moi.
Je réalise alors que je me sens bien. J'étais déjà bien content d'avoir vu ma sœur heureuse hier et je n'attendais pas grand chose de cette journée mais ce moment avec Su'...
Je suis stupide. Je me laisse chambouler par des sentiments qui ne devraient plus être là. Et pourtant... nous voilà dans une relation un peu étrange et je ne sais pas où ça nous mènera même si au fond je sais que je devrais m'éloigner d'elle. Mais je n'y arrive pas. Je n'y suis jamais arrivé.
J'arrive chez moi et je me laisse tomber sur mon lit alors que Blanche dort un peu plus loin. Elle lève la tête et s'approche de moi pour quelques caresses. Je sors le livre que Su' m'a offert et le lui montre, comme si elle allait comprendre ce que je lui dis.
- Tu vois, on dirait que c'est toi!
Elle renifle le livre et descend de mon lit en direction du salon. Je suis sûr qu'Ambre m'appellera ce soir pour me demander comment ça s'est passé aujourd'hui. J'espère juste qu'elle ne se fera pas de faux espoirs.
Je feuillette le livre et une photo coincée a l'intérieur attire mon attention. Des souvenirs d'il y a 4 ans me reviennent immédiatement. Sur ce cliché Su' me fait un grand sourire et Blanche, dans la même pose que le chat de la couverture du livre, se trouve sur ses genoux. Su' avait passé la journée chez moi et j'avais pris la photo, voyant que Blanche était de bonne humeur et assez tranquille pour se faire photographier.
Mon téléphone vibre, me tirant de ma nostalgie. Su' m'a envoyé un message.
Su' - 25/12/2018 - 18h08: "Tu as le droit de te débarrasser de la photo ou de ne garder que la partie avec Blanche! Au fait j'ai envoyé une photo de moi avec ma belle écharpe à ma tante et elle trouve que c'est la plus belle photo du monde entier. Grâce à toi je vais éblouir tout le monde haha!"
J'hésite un peu mais je finis par lui répondre.
"Je ne me débarrasserai pas de la photo que tu m'as donnée et je veux bien aussi voir la photo que envoyée à ta tante pour juger par moi-même."
Sa réponse arriva rapidement.
Su' - 25/12/2018 - 18h15: "Tu ne constitues pas un dossier de photos étranges de moi hein?
Allez c'est Noël alors voilà..."
A la suite du message se trouve une photo d'elle avec ce sourire que je connais si bien, l'écharpe autour du cou et un air heureux et sincère.
En comparant avec la photo que j'ai prise il y a quelques années, il est difficile de ne pas remarquer qu'elle a toujours le même sourire. Ses traits se sont affinés et elle a perdu son visage d'ado pour laisser place à celui d'une femme superbe. Son côté innocent est toujours bien là. Ai-je encore ma place à côté d'elle? J'en doute depuis son retour mais à ce moment précis je crois que je m'en moque. Nous avons tous les deux changé mais ce que nous ressentons semble toujours là, mis en valeur ce jour par la magie de Noël.
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