#garage à bite
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Garage à Bites
Même si c'est une de mes spécialités, voici un petit tour dans la psyché du néo-collabo, de façon encore plus détaillée que l'autre jour. Que croit-il, dans quelle réalité délirante vit-il, s'agit-il de psychose clinique ? 1. Aussi hallucinatoire que cela puisse paraître, IL N'A SOUVENT AUCUNE CONSCIENCE de la barbarie anti-blancs en France. Malgré, notamment, ceci, qui n'est que ce que l'on a le droit de dire et qui n'est pas le "jihad du quotidien" et sa variante noire non musulmane. Je discute très peu su'l web. Mais j'aime commenter sur le Fb de rares amis. L'une d'elle, superbe femme, est entourée de types la pine à la main qui font assaut de "verve" pour tenter de la monter.
Y a trois semaines environ je suis tombé, sur ce Fb, sur un collabo majuscule que nous appellerons "Garage à Bites". En quelques instants il décréta que cette liste d'attentats islamistes était fausse car "venant de Wikipédia". Au bout de quelques heures, soudain cette liste, de fausse, passa à "sans aucuns sens". Ces gens vont bien au-delà de toute ignominie envisageable. Points suivants dans de prochains textes. BP.
#basile pesso#garage à bites#je viens d'avoir vent de mon surnom “hitler staline”. vous inquiétez pas ça vient pour vous aussi.
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miles away 🛫
pairing: charles leclerc/fem!reader
type: instagram imagine, social media au
notes: believe it or not this is another unattended draft i decided to give some attention so, lmk what u guys think!
about: you and charles are in a long-distance relationship, but not for long!
yourusername
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yourusername supporting the red team even from miles away, even if i have to wake up at 3 am most of the time ❤️
charles_leclerc I have saved you so many paddock passes...
yourusername à bientôt mon amour :) Will see you soon, my love
lecslove queen of destroyed sleeping schedule 🤭
yourusername that's exactly what i am!
scuderiaferrari We thank you for your support even when you're far from the team, Y/N 🙏
arthurleclerc Charles keeps glancing at the garage like you're there please just fly out here
yourusername
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yourusername copped some new ferrari and cl16 merch in spirit of race week! wishing you the best from here, charles_leclerc 😘
charles_leclerc J'aimerais que tu sois là, mon supporter numéro un ❤️ Wish you were here, my number one supporter
landonorris Your reunion when????
cl1655cs y/n outdoing it in the ferrari and gf department im afraid
luvermilton the day y/n and charles finally get together in person then the world will achieve peace
tayspop they've been together before! i think they've gotten together twice but for short periods of time cause y/n's work requires her to be in another country so they're in long distance!
hamilecs CUTEST COUPLE
charles_leclerc
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charles_leclerc More than a year since we last saw each other in person - I miss you more than ever and I love our little traditions that keep me sane 🤍
lestappensz FAVE COUPLE
landonorris Please get together again you guys are actually my parents
sainzchamps i'm just gonna say what everyone's thinking: we need a charles and y/n reunion
yourusername you're just saying this cause the next race is at 2 am here
charles_leclerc I know you'll be watching, you love me too much yourusername afraid so 😣
yourusername
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yourusername charles' facetime sagas: pick your fighter 📱 i have so many of these because we never let a day pass by without a call, even if it's only last less than a minute. missing him a little more today.
lecsferrari THE 3RD PIC THANK U QUEEN
landonorris Parents...
charles_leclerc Booking a flight right now ✈️
yourusername not if i beat you to it
carlossainz55 So that's why he went back inside the yacht
charles_leclerc
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charles_leclerc Biggest susprise and blessing of today yet: I never have to be away for so long from the love of my life. Glad to have you back, my love ❤️
yourusername still can't believe you didn't believe lando when he said i was waiting at the airport
charles_leclerc He's pranked me about seven times I was just being real 🤷
landonorris MY SECOND PARENTS TOGETHER AGAIN?
yourusername i'm literally just a year older than you
lestappenraces LOVE IS ACTUALLY REAL
livelovelecs wait omg y/n is staying?
charles_leclerc Yeah, not letting her go anytime soon 😊
yourusername
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yourusername hardcore cl16 fan finally watching her favorite driver ever race on track in person 🏎️
charles_leclerc Excited to finally have you here, baby
yourusername catch me at the garage then 😘
arthurleclerc Finally! Weepy Charles no more
pierregasly Make sure to drop by the Alpine garage too, Y/N!
yourusername
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yourusername from being miles away to having you next to me, biggest upgrade so far 🤍
carlossainz55 The ants are biting all of us...
landonandos what a view (i'm so jealous)
charles_leclerc Do you have a crush on me, I'm already taken
yourusername yeah i heard your girlfriend is really pretty 🤭
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notes: aaaa its been some time since i posted something but yeah my classes start in less than 2 weeks so im trying my best to go through all the requests and drafts i have hehe lmk what u guys think!
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saga: Soumission & Domination 372
Noël 2015-2, l'annexe 1
24 au soir.
Nous sommes tous invités chez Emma. Pablo (frère d'Ernesto et son cuisinier) a demandé l'aide de Nathan. Comme ce dernier a commencé sa journée chez Julien afin d'honorer toutes les commandes de la boutique, il est un peu fatigué quand nous arrivons vers les 18h.
Pour faire plaisir à Emma nous sommes tous " habillés " c'est-à-dire costume cravate. Pour nos trois invités, j'ai tapé dans les placards de mes escorts pour trouver leurs tailles adéquates.
Duke est un peu troublé, pour lui c'est la première fois qu'il porte ce type de vêtement, plus habitué au style décontracté de la côte Ouest. Quand il s'aperçoit qu'il peut quand même bouger et que le tissu suit ses mouvements, ça va mieux.
Emma est ravie de parler Anglais. Mes amis s'étaient fait une tout autre idée de ma " mère " même si je leur avais dit qu'elle faisait encore très jeune !!
Diner délicieux bien sûr, Pablo et Nathan s'étant surpassés comme toujours. Nous aidons tous au service afin qu'ils ne passent pas tout leur temps en cuisine mais puissent être avec nous tous.
Au moment de partir, je reste avec Ernesto, PH et Ludovic sur place. Nathan rentre au Blockhaus fêter Noël avec ses deux amis
Nous passons les 3 heures qui suivent à faire l'amour à Emma. L'intensité est d'autant plus forte que notre séparation a été longue (je compte par notre passage rapide de mi-novembre). Nous investissons sa chambre avant de faire de même avec son corps. Elle est bouillante ! Nous n'avons pas fini de la déshabiller que ses tétons sont durs comme de la pierre. Le premier je pose ma main sur son sexe et je sens son clitoris dans le même état. J'arrache sa culotte en dentelle et plonge ma tête sous sa jupe. Mes trois comparses se charge de lui faire garder l'équilibre que l'aspiration dans ma bouche de ce petit appendice compromet.
Le sol se jonche de nos différents vêtements jusqu'à ce que, nus, nous nous pressions contre elle. Sa bouche, sa chatte et son oignon reçoivent la visite de nos sexes turgescents. Bien que glissant avec facilité dans ses trois trous, nos bites se trouvent bien serrées par ses muscles internes hypertoniques. Aux doubles pipes s'enchainent les prises de chatte par deux queues tout comme les doubles sodo. L'optimum est atteint alors que je la sodomise avec Ernesto (tous les deux couchés sur le dos, elle nous chevauche en se couchant dos sur mon torse pour dégager sa chatte. PH s'agenouille au-dessus du nombril d'Ernesto pour enfiler le vagin Emma. Il ne reste plus à Ludovic devenir se faire pomper pour que chacun trouve sa place.
Les mains sur les haches d'Emma je donne le tempo de cet enchevêtrement de corps. Ses cris de plaisir doivent traverser les murs. Les nôtres ne sont pas moins retenus. Heureusement que Pablo loge au-dessus des garages sinon il n'aurait pu tenir de nous entendre baiser pareillement.
Je suis le premier à venir. J'englue le gland d'Ernesto mais bientôt ses spermatozoïdes rejoignent les miens. Puis c'ets au tour d'Emma de partir en vrille. PH jouit de se faire serrer la queue par ses muscles vaginaux alors que Ludovic, à nous entendre tous, part à l'autre extrémité du corps supplicié de plaisir.
Désemboitage lent, nos queues encore excitées ne débandent pas rapidement. Sur le dos, deux de ses hommes de chaque côté, Emma nous remercie. C'est à ce moment-là que je remarque un nouvel aménagement : le plafond tapissé de glaces, réfléchissant son corps alanguis.
C'est Ernesto qui lui demande si esthétiquement notre dernière position sortait du lot des positions " classiques ". Réponse : " je n'ai pas vu grand-chose avec Ludovic qui me tenais la tête pour me défoncer la gorge ". Excuses de ce dernier, vite acceptées.
25 décembre :
Réveil difficile quelques heures plus tard. Douche glacée pour achever de retrouver nos esprits, petit déjeuner léger en prévision du repas de Noël au Blockhaus. On dévalise ma garde-robe locale puisque le dresscode est " casual ".
On arrive à la maison en même temps que Côme avec ses parents. C'est la première fois qu'ils viennent. Ils sont impressionnés par l'extérieur. Cette façade aveugle, juste percée d'étroites " meurtrières " verticales explique le surnom de la maison. Le fait qu'à droite mon acquisition reprenne le même type d'ouverture ainsi que le bâtiment de notre voisin de gauche (ce que je n'apprécie pas particulièrement même si elles sont disposées horizontalement !), renforce encore l'effet.
Nous entrons. J'explique l'usage des différents niveaux sans épiloguer sur celui de ma société. Ce n'est qu'en ouvrant la porte du monte-charge à l'étage de vie que je pense aux projections des " déjeuner sur l'herbe " joués par mes amis. Trop tard !
Alors qu'Enguerrand embrasse ses parents, je m'avance et m'aperçois que quelqu'un y avait pensé aussi et le mur ne reflète qu'une vue du golden gate de San Francisco depuis Télégraph Hill.
Il ne reste pas moins les deux cariatides aux hanches pudiquement recouvert de serviettes très étroites pour une fois. Heureusement la lumière en provenance de la piscine surplombant la cuisine attire leurs premiers regards.
Comme je m'étonne de ne pas voir de grande table, Samir exceptionnellement vêtus pour l'occasion (tout comme Ammed) m'explique que tout est installé sur la terrasse. Nous restons donc à ce niveau le temps que les derniers invités arrivent. Ils font connaissance avec les autres habitants de la maison. Côme leur avait déjà expliqué qu'ils n'y auraient qu'Emma et la mère de Max comme éléments féminin en sus de sa mère et, j'ai su plus tard, qu'il leur avait aussi demandé de ne pas trop poser de question sur qui était avec qui, ce qui leur éviterait de se faire des idées déplacées !
Les parents de Max arrivent enfin. Leur fils va les accueillir au rez-de-chaussée. Le père, qui était déjà venu pour suivre ma convalescence s'était chargé d'avertir sa femme. Malgré ça, je l'ai vue tourner la tête dans tous les sens dès sa sortie du monte-charge.
Les bouchons de champagne sautent et les verres se remplissent comme les petits fours arrivent. Les jeunes aident mes Hommes de service le tout dans une ambiance assez bruyante.
Pour les cadeaux nous sommes priés d'accéder à la terrasse, enfin !!
Pas de sapin décoré, ils m'ont bien eu ! Par contre je découvre que le mur mitoyen avec notre nouveau voisin a été abattu et que l'espace des deux cours a été redistribué. Le grand tatami et les agrès de gymnastique ont migré de l'autre côté, laissant de nouveau un espace plus conséquent à la végétation.
Là, mes amours (Marc, PH, Ludovic et même Ernesto) me souhaitent un joyeux Noël et m'expliquent qu'ils avaient fait l'acquisition du bâtiment voisin pour y installer un parking + au premier étage une salle d'art martial plus conséquente que le petit espace du Blockhaus et au second un appartement communautaire destiné à remplacer la colocation que je louais et permettre à plus de mes escorts d'y loger.
Les fous !!
Emma sort du sac qu'elle avait amené avec elle, 13 boites étroites recouverte d'un papier glacé noir. Pablo fait la distribution. Les américains sont ravis mais un peu gênés d'avoir le leur. On ouvre pour y trouver une grosse montre Suisse. Le même modèle pour tous juste gravé d'un " 2015 ". Elles rejoignent toutes les poignets et chacun d'admirer l'effet qu'elle fait sur le sien.
Moi je distribue aux deux couples (parents de Max et ceux de la fratrie) des enveloppes. Dedans j'ai mis un bon pour un séjour à San Francisco voyage compris évidement. Pour les autres, mes amours un nouveau jonc en or, gris cette fois qui rejoignent aussitôt ceux précédemment offerts à leur bras droit. Mes deux escorts de maison (Joao et Romain) reçoivent un I-phone 6 tout comme Pablo. Pour les invités d'outre atlantique, j'avais demandé à PH d'aller chercher chez mon joailler de Paris trois anneaux en or, plats gravé du 25-12-15. En plus pour Duke qui avait dit à la triplette combien il kiffait trop le fait que j'ose porter des bracelets en plus des différents anneaux, chevalière et pendant d'oreille, un beau saphir à accrocher à son percing d'oreille. Dane me dit que j'ai fait une folie et que son garnement de frère ne valait pas ça. Quand je le lui accroche, sa couleur rehausse celle de ses yeux. Il me saute au cou et me dit qu'il y avait pensé mais n'avait pas osé faire le pas.
Mes trois " petits frères " sont ravis de sa surprise vu qu'ils étaient à l'origine de ce cadeau. Ils l'entourent et Côme doit aller leur dire de mettre un peu de discrétion à leurs effusions rapports aux parents. Leurs bisous avec la langue ça finirait par choquer.
Emma reçois de ma part des boucles d'oreilles de chez Tiffany.
Je reçois des parents de Max et des 3 frères une caisse de 6 bouteilles de Romanée-Conti. Une folie pour eux ! Je les engueule gentiment.
Je prends un peu de temps avec eux, heureusement qu'Emma les avait " coachés " à leurs arrivées. Après m'avoir remercié une nouvelle fois, surtout quand je leur ai dit qu'à San Francisco ils auraient un véhicule pour se promener, ils admirent ce que nous avons fait de cet ensemble d'entrepôts industriels. Pour les sculptures d'Alban, ils sont moins fans mais trouvent amusant que j'ai repris l'utilisation de cariatides pour le soutien de la piscine à l'étage en dessous.
Le déjeuner est merveilleux et je suspecte Pablo d'y avoir mis son grain de sel. C'est confirmé par l'intéressé quelques minutes plus tard.
Dès le café avalé, avant la visite de mon " voisin ", j'ai juste le temps de sodomiser Enguerrand venu me retrouver alors que je faisais mes ablutions de sortie de table.
Ce petit obsédé m'avait collé aux basques et alors que je me lavais les mains, il m'a descendu pantalon et slip avant d'emboucher ma bite qui déjà se remplissait de sang. Raide en moins d'une minute, je le retourne et l'enfile coincé contre le lavabo. Il tend sa tête en arrière pour qu'on se roule un patin pendant l'action. Mes vas et vient sont rapide mais profond et il ne peut retenir, à chacun de mes coups de rein, un gémissement significatif. On va se faire griller si nous restons trop longtemps absents. J'accélère le rythme, ses gémissements suivent jusqu'à ne plus être entrecoupés de silence. Quand il jute dans le lavabo, sa rondelle me bloque et me fait éjaculer. Trop bon ce petit coup en douce !! Je pilonne encore deux trois fois son cul pour bien propulser mon sperme tout au fond et je ressors brutalement. Ça tire un dernier gémissement d'Enguerrand qui me dit que ça lui fait tout d'un coup froid. On se nettoie un brin, se réajuste l'un l'autre pour effacer les traces de nos turpitudes puis on rejoint le monde.
Je me fais direct grillé par PH et Ludovic qui voient dans mes yeux comme un reflet de satiété !! Tout bas ils me traitent d'obsédés et quand Enguerrand nous rejoint, ils savent qui en a bénéficié.
La nouvelle Annexe 2:
L'entrepôt fait 30m de façade sur 15 de profondeur. Le rez-de-chaussée est organisé en parking. Ici aussi le monte-charge existant a été rénové mais pas transformé en ascenseur comme au Blockhaus.
Le premier étage : un sas d'entrée pour isoler la salle de sport. Un seul plateau organisé en trois grands tatamis et au fond contre le mur mitoyen les sanitaires séparés de la grande salle par une paroi en verre juste sablée au niveau des hanches. On voit quand même 2 portes pleines cachant des WC et une série de douches (pommes zénithales) sans séparation couvrant le reste du mur soit pas loin de 11m avec devant un lavabo circulaire à 4 robinets.
Le mur côté rue est recouvert de glaces et celui de la cour est percé de grandes fenêtres du plafond à 50cm du sol, la partie basse servant de banc. Quelques barres d'assouplissement, sont réunies en faisceau à chacun des trois tatamis.
Le 2ème étage : on sort du monte-charge sur un palier occupé de grands placards pour mettre manteaux et chaussures. On entre directement dans un grand séjour avec cuisine ouverte sur la gauche. Toute équipée avec 3 blocs de cuisson et 4 frigos américains. La salle doit faire dans les 200m². Elle est séparées en plusieurs coins salon/détente avec chacun leur grand écran plat (avec chacun 4 séries d'écouteurs) et une énorme table haute du côté de la cuisine pouvant accueillir une 15aine de convives.
Un sas contenant 4 WC sépare le côté jour du côté nuit. Puis viennent 8 chambres d'environ 25m² et au fond une salle d'eau commune sur le modèle de l'étage inférieur.
L'installation est encore vide, mes amours me laissant le choix des futurs " locataires/bénéficiaires ".
Alors que la triplette se verrait bien être les premiers occupants, levée de bouclier chez les parents. Déjà que quand ils sont chez eux (semaine chez Max et WE chez Enguerrand) ils se plaignent de ne pas les voir beaucoup, ici ils ne les verraient plus du tout.
Partie remise pour les jeunes !!
La cour, qui est couverte comme la nôtre, a récupérée toute la partie Gymnastique et les postes de musculations.
La soirée s'avance et c'est avec impatience que certains attendent le départ des invités (Emma et les parents).
Jardinier
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Folie à Deux - Part 4
For @psychocatnerd
Rating: Explicit
Part 1 Part 2 Part 3 AO3
Robin was completely stumped, which wasn’t exactly what Eddie wanted to hear but he supposed they were no worse off than they had been before.
They talked about contacting the kids, all away at college but as they argued back and forth about it they decided to let it play out until tomorrow.
After all, they had woken up switched so maybe they’d wake up tomorrow… switched back?
There was a not 0% chance that they would change back, after all and it would take the kids half a day if not longer to get back to Hawkins so they’d figured they’d be better off waiting.
Eddie didn’t know what Robin and Steve had spoken about in the garage, but when did he ever know what they had been talking about? He wouldn’t be surprised if they hadn’t spoken at all and just communicated through some kind of mind meld, staring at each other like freaky little aliens.
And Robin had called him the pod person.
She hadn’t interrogated him nearly as hard as he had expected, given how she’d held a knife to his throat only a few hours previously. She was remarkably cool about the whole thing, just asking when he’d noticed the difference which he was simultaneously not wanting to divulge and also delighted to disgust her with.
She had this funny little curl to her upper lip when he told her how he had originally thought his piercing had fallen out and it was only then that he had realised that something was off.
Though she had been extremely unsurprised to hear that he had his dick pierced, which left Eddie spiralling ever so slightly because there was only one person she could have heard from about that particular piece of jewellery so like…
Had Steve touched his dick?
Please god, he hoped so.
Not to be, like, creepy about it.
But please god, he hoped so.
The only vague theory Robin was able to put forward was that it could be linked to the matching bat bites the two of them were sporting, the joint venom and trauma and general Upside Down fuckery that they still barely understood.
But it was only a theory and they were still completely in the dark.
So they waited.
Robin and Steve did what they had planned to do that day anyway, hang out and gossip in front of the TV, only now, Eddie was involved.
He had momentarily forgotten himself and said that he’d head home to give them their space.
But he couldn’t head home, he was reminded.
He was in Steve’s body.
And Steve’s body couldn’t just turn up to the trailer without explanation and hang out in Eddie’s room when he wasn’t around.
Wayne wouldn’t really have had an issue with it, he adored Steve but it would definitely be… strange.
It hurt to think of, and hit him with a momentary panic. Would he have to go the rest of his life with his relationship with Wayne altered?
Would he eventually be able to tell him?
What if it never got fixed, would he still be able to treat Wayne as his uncle?
Eddie couldn’t lose Wayne, he couldn’t.
Steve and Robin had taken a hand each and talked him down, told him that they’d never let that happen. They’d fix it. No matter what.
He was pulled down onto the couch to sit in between the two of them, which was a telltale sign in and of itself of how much he had probably been freaking out because those two were always joined at the hip, so for him to be stuck in the middle…
It was big.
It meant everything.
Eddie took the excuse though, felt Steve cuddling up to him on one side, Eddie’s own hair getting stuck in his mouth but he didn’t mind. Having Robin nestled into his other side was just as nice, too. He couldn’t deny it. Eddie was a touchy guy. He liked to be touched and hugged and cuddled and held. And being squeezed on both sides was everything.
They made their way through a truly obscene amount of movies and tv shows Steve had practically stolen from work.
Friday the 13th and Heathers, along with the Golden Girls, the biggest hit between the three of them.
It was well past midnight by the time they all trudged up to bed. Eddie had insisted they stay up to see if they switched back like some kind of Cinderella story, but unfortunately he was not wreathed in a swirl of sparkles and then popped back into his own body, so all there was to do for it was to sleep.
He ducked into the usual guest room he frequented, though it had been getting rarer and rarer he stayed there. While Eddie’s trailer was small, it had a complete lack of guest rooms and unless Steve wanted to be sleeping out in the living room with his Uncle, Steve often stayed in his bed with him.
Here in the Harrington home, they had no such excuses to sleep in the same bed, though that hadn’t stopped them on the few occasions they claimed to be too drunk or too high to have good judgement about these things.
But Robin also had dibsed the bed so, the crafty lesbian got the bed, damn her.
Eddie was surprised he managed to get a full night’s sleep after what had to be the weirdest dream in existence.
Like, really?
Ending up in Steve’s body?
Fucking hell, his horny brain was really going to extremes.
Like what had possessed his mind to come up with something like that?
Nothing sexy had even happened.
He didn’t know how to explain it, but when he came to consciousness, he just knew without even having to open his eyes, that he was in his own body.
Like, of course he was in his own body.
It had all been some kind of fucked up dream, right?
Except something else was off.
As he slowly woke up more and more, his brain coming back online, he realised there was a body pressed up against his.
A small, lithe body with unmistakable boobies pressed into his arm.
What the fuck, had he gone out last night or something? Had he brought some girl back with him? When was the last time he had woken up next to a girl in his bed?
A long fucking time.
Eddie blinked his eyes open.
Oh, it was just Robin.
And oh. He was in Steve’s room.
Robin was plastered to his side, curled around him like a vine. But one of those pretty green ones, sprouting ivy or wisteria, not some freaky Upside Down vine sprouting slime and horror.
“Jesus H. Christ.” He muttered out, trying not to wake her.
So all of that had happened.
He’d been in Steve’s body all of yesterday. He was back in his own body today. He was simultaneously relieved and… a little disappointed.
It all felt very anticlimactic. All that build up, and for what?
He tilted his head down to look at her, his own arm curled tight around her back, keeping her close to him.
“You two really are inseparable, aren’t you?”
“Don’t say that to me while your boner is digging into my leg.” Robin responded, muttered and sleepy, not moving an inch, still clutched on tight, stopping Eddie from jumping out of his skin.
Eddie huffed. “Well let me go then, and I’ll move.”
“No.” Robin squeezed him so tight the air was pushed from his lungs. “I’m comfy.”
“Then stop complaining about my boner.”
“No. I’m gonna complain about your boner as much as I want. Besides, Steve’s gonna come in in a minute, so maybe try your best to will it away. I’m not getting stuck in between whatever dance the two of you have got going on.”
Eddie rolled his eyes and was just about to open his mouth to ask just how she knew Steve was about to come in when the door swung open.
Steve stepped inside looking like a kicked puppy, looking like a little boy who’d just woken up alone after his mother had sworn to stay with him.
He trudged over to Robin’s side of the bed and fell in next to her.
She immediately abandoned Eddie, swivelling on the spot to cuddle into Steve’s side. Eddie sighed dramatically to himself and threw his arms over his eyes, humming out a pitiful few bars of All By Myself, giving his voice a performative wobble that was cut off by a hiss when Robin kicked him.
“Coffee.”
“This abuse of your elders, Buckley. Are you not even going to say ‘welcome back to your own body, Eddie? Oh, it’s so great to see you feeling like yourself again, Eddie?”
“No. Coffee.”
Eddie grumbled, rolling himself out of bed and nearly collapsed to the floor when his legs and stomach flared up with… he wouldn’t quite call it pain, but it wasn’t pleasant. It was like a deep ache right in his muscles.
“Ow, fuck.” He flopped back down onto the mattress, sending the other two bouncing.
“Eddie?” Steve asked, lifting his head from his pillow and eyeing him with some concern. “You okay?”
“Yeah,” He nodded. “Yeah I’m… I’m fine, I guess. Just a little achy.”
“That would probably be the squats.” Robin’s voice came out at half volume, buried where it was in between Steve and the pillow.
“Oh, well, that’s just fantastic, isn’t it?” Eddie huffed, standing again with a groan and stretching his muscles out, raising his hands over his head and shaking out his legs. “I get left with the consequences of Steve’s bad decisions yesterday.”
“Hey!” Steve pouted, his cheeks pink and his eyes hurriedly flipping up from Eddie’s hips, caught red handed. “Exercise isn’t a bad decision.”
Eddie put his hands on his hips, pushing his pelvis forward, just to hopefully drive Steve even more insane. “Well apparently I didn’t even need it, I’ve heard I can squat, like, 300.”
Steve fixed him with a deadpan glare.“You can do 160.”
“Same thing.”
Steve hoisted himself up onto his elbow. “It is not-!”
Robin let out a groan of frustration, throwing a pillow over her head and nearly elbowing Steve in the nose.
“Coffee!” She screamed, her outburst reduced by the pillow and the way she was kicking her legs like a toddler in a tantrum.
So, everything was back to normal now, right?
Eddie went home to Wayne, hoping that he hadn’t noticed anything extremely off. Thankfully he hadn’t.
Steve spent the rest of the day with Robin, probably mind melding again or choreographing another dance or whatever it was those two did in their spare time.
Eddie tried to take his mind off everything by burning the skin off himself with a hot shower, hoping it would help to loosen his sore muscles out, but no luck.
It also did next to nothing to clear his brain.
Because how normal could things be now, after this had happened?
Steve knew he had his dick pierced.
That was going to be something that lived in his brain forever now.
That Steve knew.
And Eddie knew that Steve had his vest secreted away in the back of his closet.
He kind of wished he’d never found it, because once Eddie had something like that to fixate on, it would never leave him.
It was gonna consume his every waking thought.
But he had managed to last most of the rest of the day before he’d grabbed his keys and headed back to the Harrington home.
He had to know.
He had to ask Steve about it.
Eddie sat in his van and waited.
Steve wasn’t home yet. He’d probably driven Robin back to the bus station and it only left Eddie more time to stew, to panic, to think that this was a fucking terrible idea, what was he going to do?
Just attack Steve with information he wasn’t supposed to have about something that was probably super sensitive?
That would be a terrible way of doing things.
A knock on the window made him jump so hard he honked the horn.
Steve was outside because of course Steve was outside, his hand still raised where he’s two knuckle tapped on the glass in some kind of hot guy move that he probably didn’t even know he was doing but every fucking move Steve made was a hot guy move.
He was looking at Eddie with a strange mix of amusement and concern.
Eddie stared at him, trying to get his brain and mouth to cooperate, trying to stop his mouth from blurting out the question he’d come here for, in a complete lack of impulse control.
He really did try his best.
Steve pulled the driver's side door open.
“You okay, Ed-”
“I found the vest.”
Eddie watched as the small smile across Steve’s face slipped away along with his hand on the door handle, his elbows curling into his body and his eyes breaking away from Eddie’s to look anywhere else.
“Oh.”
Shit. Shit.
God damn his stupid fucking brain why did he have to do it like that?
“Steve, I-”
“Can I explain first?” Steve had stuffed his clenched fists into the front pockets of his jeans, his shoulders curled in on himself and his eyes still firmly on the side of the van.
Eddie could only nod and Steve gave his own stiff nod back, gesturing to the house with his head and turning on his heel without looking back, leaving Eddie to scramble after him.
They entered silently, Eddie mentally tearing his hair out and Steve… Steve was stiff yet still somehow keeping himself small. He was angling his body to the side, like he was trying to keep Eddie in his peripherals.
Like he was worried Eddie was going to swing at him.
Or run.
Which hurt, he couldn’t lie to himself about that but he supposed he understood.
Steve pulled his fist out of his jean pocket and gestured Eddie towards the couch without looking at him, still not saying a word.
When Eddie sat silently, Steve hovered above him, seemingly unsure about whether he should sit too or stand a few paces away.
Eddie took a deep breath.
“I’m not mad.”
It came out much quieter than he had intended.
Even though Steve had been standing still, hesitating about what to do, Eddie could still tell his muscles locked at his words, frozen up like he was taken off guard.
Silence settled around them again, like a thick blanket and Steve finally looked at him.
“Why?”
Eddie shrugged. It was his turn to look away now, tugging at a rip in his jeans, unable to answer until he heard a telltale rip of the tear getting a little bigger.
“I dunno.” He muttered, shrugging again. “Why do you think I should be mad?”
Steve stared at him, mouth agape, a confused furrow in his brow.
“Because… w- because I stole your… your… like your signature thing?” Steve shook his head like he couldn’t believe he was having to explain this. “That vest is like… it’s you. It’s yours and you clearly put a lot of work into it and Robin told me that vests like that are… important and I just… took it-”
“Why did you take it?” Eddie asked, needing that question answered more than anything.
Steve opened and closed his mouth again before his shoulders sagged and he finally sat down, across from Eddie, on the coffee table, elbows on his knees and head bowed.
It was a long moment before Eddie heard him almost whisper out;
“You were dead.”
Eddie swallowed. “It didn’t take.” He said, attempting a lighthearted tone, but it came out more of a nervous giggle.
“It nearly did.” Steve breathed. “You died. On the operating table. Twice. And then you were in the ICU for days, they didn’t know if you’d make it, if you’d just… go.”
Eddie could only nod. He knew all of this, he’d been told, afterwards. Wayne had been straight backed and strong shouldered as he’d said it, but his eyes had been shining and he’d been holding Eddie’s hand in a death grip.
“I couldn’t…” Steve hesitated, head in his hands. “It was a way to feel… close. I took it from where it had been left in the Winnebago and I was going to-” He sighed, long and heavy, like he was trying to breathe through drowning, “-I was going to take it home and clean it up and give it back to you but… then you were hanging on by a thread and even when you’d gotten more stable you still weren’t waking up and they didn’t know if you’d even be the same when you woke up. If there’d been too much blood loss for too long or if you’d gone too long without oxygen to your brain or if you would even wake up full stop-”
Steve’s voice was getting high and thready and Eddie wanted to do nothing more than reach out, but he knew if he did, Steve would spook, like a cornered animal.
“It was selfish, but I needed something. And it sounds stupid but something in the back of my mind told me that if I let it go, I’d be letting you go and then you would actually… go.” He shook his head, hands in his hair tilting back and forth with the movement. “For a while… I thought it would be all I had left of you.” He whispered, his voice catching.
“Then,” Steve sighed again, an extra slump to his shoulders. He raised his head a little, but still didn’t look at Eddie. “Then once you were healing and getting better, I kept meaning to give it back, I really did. I brought it with me in my car on so many occasions but I just… couldn’t let it go. Eventually too much time had passed and it felt so weird that I still had it, I weirded myself out with it and I was… ashamed. That I’d kept it. This part of you. Away from you. So I… I hid it.”
Eddie nodded again, though Steve still wasn’t looking at him, turning things around and over in his brain.
He meant what he said, he wasn’t mad about Steve keeping it. He’d known from the moment he’d thrown it at Steve’s face that it was going to end up permanently stained with Upside-Down goop and Steve’s own blood. He liked seeing Steve in it too, and even more so, liked that Steve had kept it as his own little secret thing, even if he was ashamed by it.
Which he didn’t need to be.
Eddie was pretty sure he would have done the same thing had the roles been reversed.
“I’m not mad.” Eddie repeated, watching Steve as he shook his head again. He looked like he was relieved to have the information out, even if it hurt him to do so, like pulling a thorn. Eddie finally gave into the urge to reach out, scooting forward until his knees were just barely in Steve’s space, in between.
He reached out with a gentle hand, fingers tipping Steve’s chin up so he could finally look him in the eye again.
Steve stared at him wide eyed, taking in Eddie’s expression, while Eddie dipped his own gaze, tracking it all around Steve’s face, taking in his moles, his strong nose, the soft pink bow of his upper lip, the gentle swell of his bottom lip before he slowly moved his gaze back up to those sad, if slightly startled, downturned eyes.
Eddie knew what he wanted it all to mean; Steve keeping the vest. Same as he had yesterday, he knew what he hoped and hearing Steve’s reasons… it certainly felt like his hope wasn’t unfounded.
He leaned forward some more, fingers still on Steve’s chin.
“I’m not mad.” He repeated for a third time, whispering it into Steve’s mouth before he finally left no space between them, kissing him softly and as sweetly as he could, more gentle than he could ever remember being.
There was barely half a second of Steve’s frozen shock before there were hands in his hair, pulling him closer still and lips moving against his own, so tender and slow it made his stomach explode with butterflies.
Shit this was actually happening.
Steve was kissing him back.
Fuck yeah!
Steve pulled away, just a tiny bit, to mutter “How long?” Into his mouth, sealing the two of them back together again before Eddie could answer.
His brain was slow and syrupy, he was being kissed like he was the most special thing in the world, excuse him for taking a little longer than most might have to comprehend what was being asked of him.
Not that he could.
“What?” He asked, barely separating. It was almost incomprehensible, given that he refused to be away from Steve’s mouth for any longer than he needed to be.
“How long- have you- felt-” Steve kissed him in between the words, “-however you feel- about- me.”
“Shit, man.” Eddie kissed him back, feeling a creeping ache in his spine from where he was almost bent over to reach Steve but he also could not give a singular fuck right at this moment. “I don’t know, like-”
Steve cut him off with another kiss.
“My junior year?”
Steve stopped kissing him completely, but only pulled back enough to be able to speak unimpeded.
“What?”
“Well- I-” Eddie stumbled around his words, futilely tugging on Steve’s shirt to get back to the kissing. “You were getting picked regularly for the basketball games and you were in those shorts and you were on the swim team and those speedos should be fucking illegal by the way. Like who the fuck decided it would be okay for Steve Harrington to be walking around all wet looking like that. I was nothing but a poor hormonal queer teenager, Stevie!”
Steve blinked at him and Eddie was stuck a little cross eyed trying to catch his expression.
“You can’t have liked me for that long.”
“Uh, I can. And I did. I do.”
Steve closed his eyes, pressing his forehead against Eddie’s and just… breathed.
“Uh, Stevie?” Eddie grasped the back of his neck. “Everything okay?”
Steve muttered something that Eddie didn’t catch, somehow too quiet, drowned out by the sound of his own thundering heart. It was almost like Steve had only mouthed the words, not actually said them.
“What?”
Steve tilted his head away and with a firm hand on Eddie’s shoulder, pushed him back into the couch, climbing onto his lap and wrapping his arms around his shoulders, burning his face into Eddie’s neck.
“I said, we could have been doing this the whole time.” Steve answered him and again, Eddie had trouble connecting the dots.
He shook his head in confusion.
“I’ve liked you since the first time you stood up on a fucking lunch table, you freak.” He punctuated the statement with a little nip to Eddie’s neck, a move that had Eddie tilting his head to the side with a little sigh, heat starting to build in his body.
Steve hummed into his skin, almost amused and started kissing up and down the column of his throat, occasionally dragging his teeth.
Eddie could feel Steve grin whenever a new sound was worked out of him and he shoved his hands into Steve’s back pockets, dragging him closer.
Part 1 Part 2 Part 3 AO3
As always, my biggest thanks and much love to @hbyrde36 for the beta work with this and to the @strangerthingswritersguild for their motivation!
Divider by @firefly-graphics
@r-a-t-p-a-t-t-o-o-t-i-e
#steddie#stranger things#eddie munson#steve harrington#steve x eddie#eddie x steve#penny00dreadful#steddie fanfic#steddie fic#fanfic#body swap#steddie summer exchange 2024
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Ma place est à genoux au pieds des hommes toujours prête à les sucer et à leur offrir mon corps pour qu’ils puissent se soulager et se vider en moi
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Fox Mulder, Closet Romantic Ch. 2: Casual Friday the 13th
Previous Chapter - AO3 Link - MSR, rated E
He gives himself a pep talk on the way to work the next morning. It feels ridiculous.
Just ask her out, he thinks. Be casual. Invite her to grab a drink, act like you’re going whether she joins you or not. It’s just Scully.
That’s some bullshit; she’s not just anything to him. She’s everything.
Also he doesn’t go to bars much, and never alone, so he’s not sure how subtle this will be.
He pushes the thoughts out of his head until they’re leaving the office at the end of the day, gathering their things and donning winter layers.
“Buy you a drink, Agent Scully?” he tosses out casually, taking her coat from the rack.
“Hm, what’s the occasion?” she asks.
“Friday the thirteenth; I’m testing my luck,” he replies, holding her coat open for her.
She slips her arms into the sleeves. “I guess one wouldn’t hurt,” she decides.
Huh. That was surprisingly easy.
He chalks it up to beginner’s luck and ushers her out the door with a hand on her back.
They end up at Casey’s Bar because it’s close to the Hoover Building, and neither of them had wanted to walk too far through the cold February night. Mulder’s a little nervous, but not enough to let it show. At the risk of being overconfident, he thinks it’s actually going pretty well. This outing is markedly different from every first date he’s had in the past. There’s no need for small talk with Scully, no pressure to act more gregarious or charming than he naturally is. Scully herself is a refreshing presence, like a crisp spring breeze. Cool without being austere, gentle and yet invigorating.
Also she doesn’t know it’s a date, so there’s that.
They perch at the far end of the counter and shoot the shit, talk about work. She orders a draught beer, and seeing the large glass in her little hand makes his stomach flutter nonsensically. He orders one too, just to keep pace with her, though he suspects she could drink him under the table if the occasion ever arose. The thought is strangely erotic.
Mulder watches her full pink lips press against the edge of her glass and he clears his throat awkwardly. Down, boy. He scrambles for a diversion.
“Any special plans for tomorrow night?” he asks, taking a foamy swallow of beer.
“What’s- oh.” Scully sets down her glass. “No, not this year,” she says softly.
He suddenly feels like a prick.
“You?” she asks, because she’s a polite human being.
Diffuse the moment, buddy. “I’ve got a pretty hot date, actually.”
Her shoulders stiffen momentarily. Interesting. “Oh?” she says lightly.
“Yeah, the boys invited me over to pick apart some found footage they stumbled upon. Frohike’s making chili.”
Scully’s face breaks into a smile, and he feels a wash of relief. She shakes her head. “You know, for about two seconds I thought you might actually have a life. It was a surreal experience.”
“I have a life, Scully,” he insists. It’s you. Aliens, conspiracy, and you.
“Mhm,” she hums, licking a bit of stray foam off her upper lip, causing a twinge south of his belt buckle. “Mulder, can I ask you a highly personal question?”
He coughs awkwardly. “No guarantees that I’ll answer, but sure. Hit me.”
She suddenly seems nervous. “Well… we’ve known each other for five years now, and we spend a lot of time together. I’ve met your mother, your friends. And in all that time, I’ve not known you to go on a single date.”
Besides this one, he thinks. “And?” he prompts.
She absently wipes her finger through the condensation on her glass. “Well, I can’t figure out why not. Your - preferences - are quite evident, and I’m sure finding a willing partner would be fairly easy for you, at least for… casual encounters.”
I don’t want casual encounters, he thinks. I want to burn pancakes for you on Sunday mornings.
He huffs out a breath of laughter. “I have it on good authority that I’m not the best company, Scully. What makes you think it’d be easy?”
She takes a long pull of her beer. “Because you’re very attractive.”
His heart stops momentarily, then starts back up at twice the speed. He scrambles for some composure. “Oh, so you think I’m attractive,” he teases lightly. He hopes she doesn’t notice the sudden tremble in his fingers.
Scully nods, as though she hadn’t just dropped a bomb on him. “Yes, I do. A lot of people do, Mulder,” she adds quickly. The lighting in the bar is dim, so he assumes he’s imagining the flush on her cheeks. Or it’s the beer. “The women’s restroom at the Bureau is a cesspool of gossip.”
“Well I’m not the only hot piece of ass in the X-Files division,” he says, glancing at her over the rim of his glass.
“Don’t let Skinner hear you say that,” she quips. “He’s shy.”
Mulder grins, amused by her deflection. “People talk about you too, Scully. I’ve had to fend off suitors for you more than once.” Now it’s her turn to squirm, he thinks.
She blinks rapidly. “You’re joking.”
Mulder chuckles. “Swear. Every once in a while a guy will ask me something about you. I tell ‘em to ask you themselves, and I assume they usually chicken out.”
“What kind of things do they want to know?”
Mulder shakes his head. “Let’s just say they’re not asking me your favorite color,” he says simply, lifting his glass to his mouth once more. “You can imagine the rest.”
Scully presses her lips together. “I don’t have to, unfortunately,” she sighs. “Thanks for having my back,” she adds.
He shrugs. “I’m your partner,” he says. “I’ll always have your back.”
He suddenly remembers a conversation he had a little over a year ago, a month or so before Scully’s birthday. It seems like a fitting time to tell her.
“There’s only been one guy that I thought was alright,” he says. “I, uh, never told you this, Scully, because it was confidential, but seeing as the subject in question is now deceased…”
Scully turns to him on her stool. “Mulder, what?”
“Pendrell. He liked you.”
She knits her brows together in that adorable way she has. “I liked him too.”
“I mean, he really liked you,” Mulder emphasizes. “He asked me once if you were seeing anyone.”
“Oh,” she says. "What did you tell him?”
“I told him ‘Agent Scully’s personal life is her business, and any questions regarding it should be posed to her directly’.”
“Very formal,” she muses. “I should print that on my business cards for you to hand out.”
“The thought’s crossed my mind. Are you currently accepting applications for the position of ‘boyfriend’?” Mulder asks. “I’d be happy to field candidates.”
“Oh, I bet you’d love that,” Scully says with an eye roll. “Admit it, you like interrogating suspects. Especially when you think they’re mutants of some kind.”
“I promise that any potential boyfriends will be firmly terrestrial and completely unremarkable.”
The sentence hangs in the air for a long moment. “I don’t know that I want that after all,” Scully finally says quietly. “The husband with a nine-to-five, the picket fence, the priest over for lunch after Sunday mass. I’ve seen too much, done too much, to really fit into that picture anymore.”
Mulder feels a pang in his chest, the old familiar guilt creeping in. “This is a lonely path,” he admits. “Working nonstop to find evidence, only to have it be discounted offhand.”
“No closure, no arrests, no satisfying conclusions to leave you feeling a little bit safer knowing you did your job,” Scully adds.
Mulder rubs his hand over his mouth, nodding. “Just weird substances that nobody can explain and accounts of phenomena that nobody believes. Spooky shit.”
Scully raises her drink with a sudden levity. “To spooky shit,” she toasts.
Their glasses clink, and the contact chimes in Mulder’s ears. A kiss of half-empty pints.
Mulder bites his lip absently, gathering his next words. “So… what do you want?” he asks carefully, leaning in a fraction.
Scully shakes her head, sighing softly. “That’s the big question, isn’t it? I can’t even think about long term at this point. My life is so different from what I’d planned, and I’m still adapting.”
“Alright, forget long term for the moment,” Mulder prompts. “What’s something that you want that you can acquire within, say, the next month or so?”
“You granting wishes now, Mulder?” she asks coyly, taking a sip of beer.
“Depends on what you ask for,” he replies, voice low.
It feels as though they’re circling the truth, caught in each other’s orbit, traveling an ellipse of the unspoken. He wonders if she feels it too. The beer has him weightless, spinning out into the unexplored reaches of space between them. He wants to grab her hand on the worn bar counter, anchor himself to her sun-warmed earth.
“As strange as it sounds,” she says after a moment, “I’m… oddly contented. If I spent more time on it I’m sure I could give you a whole list of things I feel I’m lacking, but at this moment none of them really matter.”
His heart accelerates. “Must be some beer,” he jokes.
She smiles at him, a soft closed-lip turn of her mouth that warms him better than any liquor. “Company’s not half bad either. Despite whatever good authority has told you otherwise.”
He drops a hand onto hers then, gives it a brief squeeze before returning it to his glass and finishing his beer.
They walk back to the FBI parking garage, arms bumping each other as they brace themselves against the winter chill. Mulder escorts Scully to her car because he’s a gentleman and squeezing out every last second he can with her.
Scully ducks her head, seeming almost shy. “Thanks for inviting me. I haven’t been out in a while,” she says simply. “This was nice.”
Mulder shrugs, suddenly unsure how to orient his limbs. He wants to hug her, but he knows this isn’t the right time. “Don’t mention it,” he replies, shoving his hands into his coat pockets.
“Enjoy your ménage à quatre with the Gunmen,” she says with a cheeky grin.
“I’ll save some kisses from Frohike for you,” he replies with a wink.
They face each other, suddenly quiet. It feels as though they waded too far into the ocean and drifted down shore, losing sight of their picnic spot. They float in the silence, buoyed by their exchange, but uncertain as to where they stand.
“Goodnight,” Mulder says finally, because he can’t think of what else to say beyond that and ‘I love you’. Or ‘come home with me’.
“‘Night,” she replies, unlocking her car door and slipping inside.
He wanders aimlessly over to his car and bundles into the driver’s seat, heaving a deep, half-contented sigh. He considers the evening a tentative success, despite a somewhat unsatisfactory conclusion.
He jerks off when he gets home, holding Scully’s sweet face in his mind’s eye as he comes shamefully into his own lonely hand.
#my fic#msr#xfiles#txf fic#fox mulder closet romantic#fmcr#I am CRANKIN this shit out okay bear with me#Molz writes too much
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saga: Soumission & Domination 380
Dernier trimestre à Berkeley -Marines/1
Quand Robert (un pote d'art martial) m'a dit que Donovan son Navy-Seal de frère souhaitait me revoir une dernière fois avant mon départ, j'ai bien évidemment accepté l'invitation !
Quand j'arrive avec Robert à la propriété de leurs parents, je suis surpris de voir que Don n'est pas seul. Une masse de même nature est à ses côtés. À peine descendu de voiture, il me serre dans ses bras à m'écraser avant de me présenter son pote.
J'avais bien deviné c'est un de ses collègues, de ceux que mes deux " espions " avaient côtoyé.
Robert me laisse avec eux, ayant un plan avec ses potes.
Désolé on ne se saute pas dessus direct !!
Je fais connaissance avec l'autre invité du WE. Chad sait déjà que je suis l'employeur officiel des deux petits Français qu'ils avaient eu en formation l'an passé et juste que je sais me battre intelligemment d'après Don.
On papote situation internationale, il me demande ce que deviennent ses deux connaissances. Sans dévoiler les détails que je n'ai d'ailleurs pas, je lui explique l'exfiltration qu'ils venaient d'opérer sur le terrain Syrien. Quand il apprend le sacrifice qu'ils avaient dû accepter (viols, lavage de cerveau...), il me dit que c'était évidemment pour cet aspect-là que leurs supérieurs les avaient choisis. Ils étaient sûrs que mes deux escorts avaient la solidité psychologique pour passer ces épreuves. Il ajoute que c'est avec ce genre de capacité qu'ils leur étaient supérieurs à eux simples brutes super entrainées.
La conversation dérive sur le fait que je sache me battre et plus que bien selon Don. J'explique comment j'en étais venu à me former aux différents sports de combat et comment j'avais, sous la houlette de Jona, essayé d'intégrer les différents avantages de différentes disciplines. J'explique qu'aux dernières vacances, Jona nous avait appris de nouvelles attaques bien vicieuses en provenance du moyen orient. Là j'intéresse vraiment Chad et Don. On se retrouve rapidement en boxer dans le garage transformé en salle de sport. Echauffements, petits passages à soulever les barres et bien chauds on se confronte. Quelques passes et clés, Chad estime mon niveau. Il est impressionné, enfin pour un simple civil ! Comme Don il me domine de la taille et de son poids. Mais j'arrive à placer une des nouvelles attaques qui le met au tapis sans qu'il n'ait vu le coup venir. Je sautille autour de lui narquois. Ça me vaut de me retrouver à ses côtés, mis à terre par un simple fauchage de jambes.
Je n'ai pas le temps de me relever qu'il se couche sur moi. Je me cambre, essaye de le faire glisser de côté mais c'est peine perdue. Bras et jambes écartés, il résiste à mes tentatives de retournement.
Ok, je cède et cesse de résister, espérant ainsi qu'il se relâche et que j'arrive enfin à me dégager. Mais il n'est pas né de la dernière pluie et reste vigilent.
Comme sa tête est juste au-dessus de la mienne, j'essaye de le déstabiliser autrement. Je tente une pelle. Évidemment elle est acceptée mais toujours sans me relâcher. J'ai juste le plaisir de sentir contre moi grossir, grossir et grossir encore sa bite. La mienne durcit à son contact mais je sens bien que, là aussi, je ne joue pas dans la même cour. Don ajoute son poids en couvrant on collègue. Je dois bien avoir 200Kg qui m'écrasent. Ça ne dure pas car Don attrape Chad par les épaules et roule sur le côté pour me dégager. Je m'accroche à Chad et me retrouve en position dominante de l'empilement de corps. Ma main glisse vérifier l'état de Don. Il est comme nous raide comme une barre d'acier.
Comme il retient toujours Chad, je glisse en arrière pour vérifier avec mes yeux ce que mes abdos avaient subodoré. Son boxer blanc réglementaire est distendu par une bite dans les 23x7 au moins. Le gland est moulé mais la salive que j'ajoute en le prenant en bouche, colle encore mieux le tissu. Un beau gros gland rond avec une collerette intéressante !
Chad se laisse mettre nu sans résistance. Le boxer cachait un service trois pièces de toute beauté. Pubis blond tondu aussi court que ses cheveux, surplombant un sexe droit, bien gonflé de sang légèrement plus large aux deux tiers à partir de son gland qui comme je l'avais deviné au travers du boxer présente une forme bien ronde avec une couronne marquée. Les couilles sont rasées de frais. Bien qu'imberbe de torse, les aisselles du monsieur sont rasées elles aussi mais pas ses jambes sur lesquelles poussent quelques poils blonds aussi.
Je n'attends pas, j'enfourne la beauté qui n'attend que ça. Une déglutition et il passe ma glotte jusqu'à ce que ses poils pubien me fassent une moustache. Il ne peut retenir un rugissement de plaisir. Je l'entends dire à Don qu'il sait maintenant d'où venait le professionnalisme des deux petits français (allusion à mes deux escorts).
De mon côté la présence étouffante de son gros gland me fait bander à mort (le cas si je ne recrache pas ça !!). Sous lui, Don se tortille et dégage lui aussi sa bite qu'il pousse entre les cuisses de Chad. Pour le remercier d'avoir invité Chad, j'alterne ma pipe, suçant avec gourmandise les deux glands. Ma salive coule le long de la hampe de Chad, sur les couilles et entre ses fesses.
Pour savoir à qui j'ai affaire, quand je le suce, je pousse la bite de Don entre ses fesses. Don ne se retient pas et joue du bassin pour lustrer son gland entre les fesses de son pote. Pas de mauvaises réactions, j'en conclu avoir affaire à un des Navy-Seal homo de la troupe qui avait entrainé mes recrues.
Pas de pénétration, nous sommes " nus ". Chad se redresse le temps de m'attraper et de me soulever comme une plume avant de me poser en 69 au-dessus de lui. Il suce aussi bien que moi et mes 20cm plongent entiers dans sa bouche. Sa bite, dans ce sens, me pénètre plus facilement et je vois que Don continu à s'astiquer contre la rondelle de son pote.
Bien excités et les sexes luisants de salive, nous passons à une pipe circulaire. Je pompe Chad qui pompe Don qui me pompe. Rapidement la langue de Don trouve ma rondelle et s'ingénie à la recouvrir de lubrifiant naturel au dehors comme au-dedans.
Quelques minutes plus tard il me pénètre sans que ma bouche n'ait lâché son " os ". Je ne peux m'empêcher de lâcher un gémissement de plaisir vite coupé par le gland de Chad. Je me laisse limer quelques instants avant de me dégager et de me retourner. Chad se couvre vite et gentiment me laisse faire le travail. Don assiste en spectateur intéressé par mon approche.
Je recule et stoppe dès que je sens le gros gland de Chad sur ma rondelle. Je me sature les narines de poppers et d'un petit recul bref, fait pénétrer les premiers cm de Chad dans mon cul. Waouuuu putain d'effet. Ma rondelle se referme juste derrière la couronne emprisonnant la belle boule que forme son gland. Chad attend patiemment que je me rapproche de lui. Nouveau dosage au poppers et je recule encore. Je prends mon temps. Mon anneau m'envoie des ondes de plaisir au fur et à mesure que ses 23cm avance en moi. Je suis presque étonné quand mes fesses buttent sur son bassin. À partir de là ce n'est plus moi qui ai maîtrisé la chose.
Ses grosses mains sont venues me prendre par la taille et je suis devenu un jouet entre elles. Quel pied !!! Ballotté dans toutes les positions possibles, mais reste toujours plein de sa queue vibrante, je ne suis plus que jouissance pendant la demi-heure qui suit. Je passe par quelques " embrochements " de mes deux extrémités pour le plus grand plaisir de Don.
Chad me fait jouir et je jute alors que dos contre son torse, mes jambes enroulées avec les siennes et mes bras en arrière accrochés à son cou, alors qu'il est debout, il arrive à me soulever et me laisser retomber sur sa bite de malade. J'en mets partout n'ayant aucun moyen de maitriser mes éjaculations. Quand il me pose au sol, je n'ai même plus la force de me redresser et reste à plat ventre. Je reçois alors sur le dos le jus brulant de Don puis celui encore plus chaud et abondant de Chad.
Il nous faut à tous les trois une petite demi-heure pour s'en remettre et aller aux douches. J'ai encore les jambes en flanelle et ils me soutiennent sous les jets d'eau. Don nous passe des jock-strap propres alors que nous finissons de nous sécher. Ses parents étant absents, nous pouvons nous balade comme ça dans toute la maison. Petite collation roborative et nous reprenons le chemin de sa salle de sport. Nous passons les deux heures qui suivent à, pour moi, expliquer les attaques et parades apprise au retour de Jona et en apprendre encore plus sur les techniques américaines. On discute aussi, Chad est amusé de savoir que tout mon petit groupe d'escort possède quasiment mon niveau. Il nous dit qu'il ne doit pas falloir nous faire chier quand on se balade.
Je lui explique notre altercation aux 24h moto. Il connait le coup que j'ai utilisé. Quand le mec est tête nue, c'est le moyen le plus rapide pour le mettre hors d'état de nuire. J'ajoute que ça calme aussi les potes du mec. Rires de mes deux Navy-Seal.
Robert passe. Il nous dit s'être levé une minette et qu'il repart conclure dès ce soir. En riant, il nous dit que de toutes les façons, il n'allait surement pas nous manquer.
Réponse du grand frère : " à moins que tu n'ais envie de nous donner ton petit cul, ce sera le cas ".
Rires de nous quatre.
Au diner nous parlons taf. Ils sont curieux de savoir comment j'en suis arrivé à diriger une boite d'escort mâles. Je les amuse plusieurs fois avec des anecdotes sur mes premières prestations personnelles. Ils hallucinent quand ils apprennent que je vis réellement avec 4 mecs à la fois. Et Don s'amuse �� ce que j'ai un petit côté Bi.
Chad, lui, l'est plus par le recrutement de Jona et François par mon client DGSE. Il sait, de source sûre, que leurs propres services de renseignements ont aussi ce type de recrues. Mais n'avaient pas encore eu vent qu'ils aient pût aller aussi loin sur les théâtres d'interventions. Ils servent plus pour mener des chantages sur les hommes visés par leur direction du renseignement. Je me récrie que Jona et François sont des hommes d'action qui sont homo et non l'inverse, ce qui explique cela. Il en convient.
Sans dévoiler de secrets, ils me racontent certaines de leurs sorties, principalement en Amérique centrale et en Colombie dans le cadre de la lutte contre les trafiquants de drogue. Malgré leur entrainement, il leur est arrivé de se faire quelques frayeurs sur le terrain. Et comme ils me disent, eux n'étaient pas en immersion !
Petite période de digestion, on mate les infos à la TV tout en commentant l'actualité. Les primaires ont commencées et les remarques des deux militaires ne sont élogieux pour aucun des deux camps.
Chad me dit qu'il est temps de faire nos étirements et de se préparer pour la nuit. Je m'interroge sur ce qu'il entend par là. Don, lui, le sait. Sur les tatamis de sa salle de sport, nous passons une bonne demi-heure à allonger nos muscles maltraités dans l'après-midi. Pour certains, nous nous entraidons afin de forcer plus. Alors que je pense que c'est bon, ils passent au massage. J'y ai droit en premier et tous les deux s'occupent de moi. Je me laisse faire. Ils terminent ce que les étirements avaient commencé. Leurs mains couvertes d'huiles parcourent mon corps de la tête aux pieds. Même avec João et Clem je n'avais atteint ce stade de décontraction. Je suis décontracté sauf de la queue. On ne se refait pas. Le massage évolue vers une dimension sexuelle. Ma bite luisante glisse dans leurs mains et ma rondelle s'ouvre sous leurs doigts. Je suis trop bien. Mon excitation monte encore et j'en veux plus.
Je pousse Chad sur le dos, l'enjambe et Don a juste le temps de recouvrir sa bite d'une kpote que je me l'enfonce directe au fond de moi. Un gros soupir de contentement m'échappe. Je le monte façon course à Vincennes. Mes cuisses bossent et me brulent à faire pistonner mon cul sur sa grosse bite.
Mais j'en veux encore plus. Ils m'ont super bien préparés. Je demande à Don de venir rejoindre son pote. Il comprend de suite et aussitôt recouvert d'une kpote, il me plante son gland dans le cul. Malgré toute mon excitation, je la sens bien passer cette deuxième bite. Don s'en aperçoit et va pour ressortir. J'ai juste le temps de passer mes bras derrière moi et de lui attraper les fesses pour le retenir. Je me fais défoncer grave mais c'est trop bon. Chad m'attrape la tête et me roule des patins pour ralentir ma monté en jouissance. Enfin c'est ce qu'il croit et ça marcherait s'il était tout seul à me limer la rondelle. Malgré son baillonnage par ses lèvres et sa langue qui m'envahi la bouche, j'arrive à gémir encore sous le limage de Don. Il s'aperçoit aussi que ça ne sert à rien vu que sa queue se fait frotter par celle de Don sans arrêt. Il laisse aller et 15mn plus tard c'est une triple jouissance simultanée. Mes deux GI remplissent leurs kpotes alors que je recouvre les abdos et les pecs de Chad de ma production.
Je sens leurs retraits autant que leurs pénétrations. Don est impressionné par le volume de sperme contenu dans sa propre kpote. Il nous dit n'avoir jamais juté autant depuis sa première branlette d'ado. Chad est mort de rire à la sortie son pote.
Je me couche sur lui et tant pis pour mon sperme qui nous colle. Il passe son gros bras droit dans mon dos et me serre avant de me glisser assez bas pour que Don n'entende pas (il s'est levé pour aller se doucher) " good fuck little frenchie, you're a real bitch " en américain dans le texte !
Nouvelle douche, prise entre ces deux montagnes (1m95 chacun). Je me laisse me faire sécher et porter jusqu'à la chambre de Don que nous partageons pour la nuit.
Le sommeil nous attrape vite, ce qui n'empêche pas Chad de profiter de moi en pleine nuit. Je me réveille, il fait noir et ma rondelle est déjà envahie par sa grosse bite. Il s'y est pris en douceur et je n'ai repris conscience qu'une fois son gland bien au fond de moi. En cuillère, sans grands mouvement il me pilonne. C'est totalement différent de l'assaut en règle de la soirée, il y a limite une certaine tendresse. Je tends la tête en arrière et sa langue vient au contact de la mienne. Grosse pelle sans que son bassin ne cesse ses mouvements. Don dors toujours. Je suis maintenant bien réveillé et il me faut du plus viril ! Je me dégage et on part s'enfermer dans la salle de bain. La porte tout juste refermée, il me pousse en avant. Pour éviter la chute je m'appui à la baignoire. Penché en avant je me reprends ses 23x7 dans le cul. Confiants dans l'insonorisation de la porte, on ne se retient pas plus que ça et ses coups de reins me font monter le son. Il sort, me retourne et m'attrape par les fesses pour me soulever et me planter de face. Instinctivement mes jambes entourent sa taille et mes bras s'accrochent à son cou de taureau. Il se charge de la montée, la pesanteur du retour à la position de départ et son bassin de l'arrêt brusque de ma chute. 23cm de chute sans retenue d'une masse de 85Kg ça induit une belle inertie. C'est ma rondelle qui encaisse ! Ma prostate se fait aussi bien défoncer et chaque passage de son gros gland est comptabilisé ! J'arrive à lui dire que son copain doit être ravi d'avoir un insatiable comme lui.
Pour reprendre un simili de contrôle, je serre ma rondelle une fois en position basse. Quand il me soulève il est surpris d'être bloqué. Je recommence mais quand je n'ai plus que son gland dans mon cul. Il aime l'effet que ça lui fait. De mon côté non plus ce n'est pas désagréable !
Les pieds bien écartés, il pose mon dos contre le carrelage du mur et me pilonne sèchement pour se finir. Il m'achève aussi et nous avons le plaisir de juter au même moment.
Nous sommes sous la douche quand Don nous rejoint. Il est un peu déçu de voir que nous avons fini. Je lui fais une petite pipe pour qu'il ne parte pas se rendormir sur la béquille.
Jardinier
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J’y pense pas assez, mais moi aussi j’ai le droit à mes tentures, à mes tamisations, mes autistic lands ! Toutes ces barricades de rideaux accrochées aux fenêtres des petites rues de villages, ça en dit long... Je suis passé, j’ai senti, entre l’odeur de patate crue et de vieux garages oubliés, celles s’échappant in extremis des fenêtres prudemment entrouvertes, odeurs de vieilles rêveries continues, d’obsessions, de trips qui n’en finissent plus, qui n’en finiront jamais, c’est pourtant bien vieux tout ça ! Mais ça résonne encore, ça cesse pas de faire écho ! Ce sont des artistes ces gens-là... Des vieilles tiges de cinquante ans, teintées de patchouli, bectant les encens, toutes les sortes de nourritures spirituelles... Avec leur bonhomme... lui forcené de cannabis, les mains caleuses, grosse bite, la touffe grise bouclée, sculpteur bizarre, visions déroutantes... Et tant d’autres de ce genre, des solitaires, des marginaux, mais tous fous de tentures et de grigris, comme tout le monde au fond...
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BDSM
Je sais pas bien comment le BDSM a commencé à être le nouvel indicateur de tendance de nos libidos. C’est comme si par magie, un matin, on s’était tous et toutes retrouvées chez Décathlon pour acheter des cravaches et des cordes d’escalades. Ca devenait la question obligatoire des rencontres virtuelles, alors toi, t’es plutôt soumise, t’es plutôt top véner ? Si tu couches avec des mecs cis, c’est encore pire, ils sont tous persuadés que leur bite leur permet de se déclarer dominateurs expérimentés certification Christian Grey, ils te promettent le grand frisson en toute sécurité, alors qu’ils savent juste se balader sur Youporn avec le tag « fessée » ou « levrette claquée ». J’en ai croisé quelques uns, des maîtres Jean-Claude-j’ai-un-donjon-dans-mon-garage, qui te demandent de les vouvoyer et de devenir leur employée de maison, de leur sucer la bite sur commande et de briquer les chromes de la Xantia en collier de cuir, sans qu’ils soient doués d’aucune imagination, trop sûrs de leur privilège pour s’apercevoir du ridicule de leurs propositions. Ca marche avec certaines, ils ont donc raison de s’entêter, le BDSM donne aux femmes cette fausse impression de sécurité, il comble le manque d’amour, on appartient enfin à quelqu’un qui ne peut pas nous abandonner. La domination devient alors le reflet de nos rôles genrés et de leurs névroses, rien de neuf, rien de bandant, de la tristesse pendue à la chaîne installée pour suspendre Monique dans le salon.
Mêmes les mecs cis soumis cherchent à dominer finalement, ils veulent bien se faire pisser dessus, mais pas enculer, ils veulent bien se faire fister le cul, mais pas se faire broyer les couilles, ils commandent à la carte leur petit menu, pas de négociation, c’est à prendre ou à laisser, ils trouveront bien quelqu’une d’autre pour exécuter parfaitement la chorégraphie qu’ils ont fantasmé. Il ne s’agit pas de rogner sur leur consentement, le D/s est à priori une école de respect, en tout ca c’est ce que la légende raconte, mais ce n’est pas un drive-in, pour des prestations choisies, mieux vaut s’adresser à des professionnelles qui pourront vous proposer des tarifs adaptés. Les inconnues que vous croisez sur Internet n’ont que faire de vos agendas, 13h je me fais traiter de petite chienne par Amanda, 15h réunion de stratégie en visio avec l’équipe de Limoges, 18h je passe prendre une baguette pour avoir l’air de participer aux travaux ménagers avant de rentrer m’écrouler dans le canapé du foyer. Le BDSM est une relation comme les autres, avec son apprentissage, son acclimatation, ses difficultés de communication, il s’adapte à chacun-e, il exige du temps, de la confiance et du respect. Un peu comme en amour, il faut gratter sous le vernis des premières dates, des promesses, pour voir à qui on vient se frotter, éviter de se laisser attacher sur une aire d’autoroute par le premier soupirant rencontré.
Je n’ai pas d’avis sur les pratiques BDSM, je n’ai pas à en avoir, chacun-e fait bien ce qu’il veut, j’ai un avis sur la sexualité en général, de ce qu’elle dit de nos failles, de nos histoires, de nos positions en société. Je m’agace de voir le cuir et la violence proposés comme libérateurs, comme nouvelle forme de progrès, comme féministe presque, comme passage obligé vers la libération des opprimées. On se libère très bien pas la douceur, on se libère parfaitement sans sexualité, le désir est une chose compliquée, violente souvent, profondément ancrée dans nos ventres, dans le plus intime et le plus secret. J’admire les quelques personnes qui vivent un BDSM éthique, soucieux de leurs partenaires, ce sont souvent des ami-e-s fidèles et des oreilles attentionnées, des personnes joyeuses et inventives, bien loin des clichés noirs et rouges, cuir et boule dans la bouche.
Un de mes souvenirs les plus érotico-émouvant se passe dans une soirée parisienne bien connue pour son public averti, on y sort en grandes pompes son soumis, on y attache en public sa soumise pour des démonstrations expertes de fouet, on y croise des zentaï, des furrys, tout ce petit monde s’autorise pour un soir à vivre sa bizarrerie. J’y vais pour le folklore, parce que tout ce monde est joli, j’y vais pour accompagner des amies qui performent ce soir là, elles se moulent l’une à l’autre dans le plâtre avant d’être découpées par un faux Hannibal Lecter, c’est drôle et un peu sexy. Au sous-sol, forcément plus sombre, une femme a attaché son soumis à un tuyau, il est momifié, tout couvert de cordes, son visage est recouvert d’une cagoule en latex, il respire par une paille, il fait 40°, elle tire sur ses tétons avec une pince en acier. Je les regarde depuis plusieurs minutes, quand l’homme secoue plusieurs fois sa tête de haut en bas, et d’un coup, sa dominatrice le libère, elle a juste à tirer sur un nœud précis pour que l’édifice de chanvre s’écroule. Elle arrache la cagoule, libère les menottes, et allonge son ami, prenant sa tête sur ses genoux, elle lui caresse les cheveux, elle semble le récompenser, lui dire des mots gentils, le rassurer. Elle était si dure il y a un instant, si impressionnante, elle n’est maintenant qu’attention et petits câlins mignons, elle masse avec des mains gantées les traces des liens sur le torse de son cobaye, ils sont dans une bulle, ils ne sont plus en représentation, le jeu s’arrête pour les laisser d’accorder du temps, de la douceur et de l’émotion. A côtés d’eux, d’autres jouent encore à des choses bien plus hard, mais cela ne les perturbe pas, ils restent longtemps allongés là, comme un piéta un peu particulière, la maîtresse et son amant sont à terre.
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Première Rencontre avec MASTERDIDIER (peut être mon futur MAITRE)
smoverlimit.tumblr.com
Depuis longtemps, j’ai toujours eu un goût prononcé pour les relations D/s et l’univers du bdsm …..En 20ans, j’ai su prendre le temps de le découvrir et désiré graduellement plus.
Pour des raisons diverses, les relations se sont toujours stoppées la ou le jeu pouvait devenir intéressant (mariage, déménagement, AVC)…Ou bien s’éteindre comme des feux de paille faute d’être en phase ou pouvoir s’apporter plus
Cependant, dans mes recherches, il m’est arrivé fréquemment de me trouver nez à nez avec le profil d’un certain MASTERDIDIER qui avait l’air de savoir de quoi il avait envie en terme de domination….
Epluchant toutes ses références, sa personnalité n’a rien à envier à l’univers des films SM« discipline4boys »
Lassais des plans « petit joueurs » et petite rigolade, je désirai depuis un temps quelque chose de plus fort, transcendant, aussi je pris contact avec lui…
D’abord, la conversation s’est bien engager…Puis, je reçu le message suivant:
« Je crois que je n’aurai aucun feeling avec toi »
Bizarrement, un an après, je réitérai ma candidature…
Cette fois, son intérêt a celle-ci à abouti…Apres quelques « appel moi now batard ! »sur le mois afin de s’échanger quelques renseignements utiles…Il me convoqua pour une séance test.
Je ne me suis pas laissé démonté si proche du but, même si cela m’a valu un nœud au ventre de me rendre chez lui, à cause de l’appréhension d’expériences nouvelles, voulu et consentie…
Je ne lui ai pas caché mes attentes, limites, ainsi que ma novicité…Mais, mon désir était de vraiment mettre la barre plus haute avec un MAITRE de sa trempe…Il n’y avait pour moi aucune ambiguïté sur le BOSS que j’allai rencontrer….Je savais parfaitement que ce n’était pas du genre à rigoler avec les petites natures, fantasmeurs ou autres pseudo bâtard qui ne sont rien d’autres au final que des trous à bite faisant une énorme confusion entre lopage en partouze et le larbin sous merde propriété et jouet d’un MAITRE impartial qui à tout droit sur lui et son corp pour son seul plaisir….
Ainsi, je me suis pointais sur le lieu de rendez vous, « une centrale électrique »ou je devais le rejoindre pour le suivre jusqu'à sa demeure….Je me suis déjà tiré à la dernière minute via un bon coup d’accélérateur , mais, étrangement je l’ai suivi jusqu'à destination
Sur place, de suite j’eus droit à :
« Reste ou tu es batard ! »
Je ne bougeai plus, et il ouvrit lui-même la portière contrôler si ma tenue était en règle conformément aux injonctions tantôt données….
La, je fis d’entrée ma première grosse bourde, elle fera très certainement rire ses autres slaves que je nomme ici MONSIEUR, ou MESSIEURS (me sentant inférieur à eux qui sont mieux dressés et plus endurant que moi) car, involontairement, j’ai osé croisé son regard droit dans les yeux…..
Je peux Vous dire que j’ai été de suite mis au parfum que si cela se reproduisait, il me démontera la gueule directe…Ainsi , ça m’a coupé toutes envies de recommencer au point même d’en arrivé à oublier immédiatement ses traits à peine appercu…Ca commençait bien pour mon matricule
Sans ménagement il me mit un énorme collier cuir ainsi qu’une laisse de fer, et me sortitde la voiture…Je prenais grand soin que de regarder ses rangers et son treillis gris et blanc….
Il me plaqua contre le mur de la maison, releva ma tête et me demanda d’ouvrir ma gueule dans laquelle il cracha un mollard
Je ressens encore la pression du jet, sa douceur et son goût…J’en arrive encore à m’en délecter par le souvenir…Puis :
« A poil bâtard ! »
-Cette fois impossible de reculer, de renoncer, et très excité de devenir sa sous- merde, être exploité de fond en comble le temps d’un test …..Quel honneur !, et quelle chance !, ça j’en étais très conscients …
Mon corps et tout mon être frétillait de savoir comment j’allai être avilie, larbiné, utilisé , traité….Si bien que j’arrivai plus a savoir si c’était de froid d’être nu comme un ver dehors ou de façon nerveuse tant je perdais tout contrôle , identité….
Il me fit entrer et mettre face au mur de son garage, jambe écartées…Ses mains ont commencées à me palper aux travers de ses mitaines de cuir….J’ai senti son doux contact dans mon dos, tandis qu’il me menottait les mains…
Je ne lui opposait aucune résistance…il me parlait doucement :
« As-tu peur ? »
« Dis moi ce que tu as dans la tête ? Sois honnête, je veux tout savoir »
Que lui répondre ?….Si j’avais les mots nécessaire et explicite pour le lui dire, exprimer, que ferai-je chez lui à désirer ce type de relation, cette art de vivre ?
« Je suis ravie de m’offrir à Vous et me sens à.. »
Pas le temps de finir mes élucubrations que
« Ca je sais bâtard ! Sors moi autre chose, tu me l’as déjà dit ! »
Puis, plus doux
« J’aime que mes slaves soient intelligent, savent se montrer original »
L’originalité ce n’est pas ce qui manque dans ma vie de tous les jours, mais devant autant de fermeté et de spontanéité, saurai-je tenir partie de cette contrainte ? Bien, qu’effectivement, je ressens déjà le désir de lui apporter beaucoup de satisfaction, conscients des conséquences à subir…..
C’est d’ailleurs ce qui allait très vite se vérifier….
Je sentis son poids se décoller de mon dos et ses mains détacher les mousquetons qui retenaient mes poignets
« putain Bâtard carte ! ca doit toujours être écarté ! Toujours ! »
En effet, j’avais resserré mes jambes…Malgré moi…
« On va entrer chez moi ! Ouvre la porte ! »
J’ouvris la porte, et m’engagea dans sa demeure, a peine eus –je fais un pas à l’intérieur qu’il me ramena derrière lui
« Jamais passer devant le Maître ! Jamais ! , tu ouvres et tu me suis »
A l’intérieur, la température était plus douce, et je me sentis déjà plus à l’aise pour entamer cette première séance
Il m’amena jusqu’au salon, ou il me fit mettre a genoux jambes écartées…..Face à moi, une grande baie vitrée qui offrait à ma vue , un décor familier….Le jardin, la terrasse notamment que j’avais aperçu sur les photos mis en ligne sur les sites Internet ou Maître avait un compte
Le sachant select, j’étais comme honoré d’avoir retenu son attention et passer de l’autre côté du miroir…Du virtuel, vivre le réel…..Délicieuse sensation….
Puis, vint un premier coup sur le dos, suivi d’un second
« Tu es endurant à la douleur ? Aimes-tu souffrir ? »
En toute honnêteté, j’ai répondu que non, bien qu’ayant déjà recu la fessée modérée via divers accessoires
« Tu aimes le poppers ? Tu as des problèmes de santé ? Ici, je ne veux pas d’accident, alors soit honnête »
Je sentais bien qu’il avait un fort charisme , mais , cette façon de soucier avec un côté rassurant, me mettait de plus en plus en confiance….Comme si je devinais le velours abritant une poigne de fer….Mon diagnostic s’avéré juste….
Après m’avoir gazé doucement, la matraque s’abattit plusieurs fois sur mon dos….Au début , il me demanda si ça allait, et si j’en voulais encore…..Ce à quoi , et bien sur parce que c’était dans l’ordre du supportable , je répondis :
« OUI, Maître »
« Alors pourquoi ne le demandes-tu pas, batard ? »
« Encore MAITRE »
Un nouveau coup , une attente
« Encore MAITRE »
Un coup plus fort que les autres
« Encore MAITRE »
Cette fois :
« COMBIEN ! »
« 5Maitre »
Ca peut sembler petit joueur, mais pourquoi s’aventurer a en demander plus que de raison lorsque l’on a peu d’expérience et d’endurance a cette pratique ? La voloté et la motivation ne sont pas raisons suffisantes en cette quête
« Compte ! »
Paf, un coup tomba
« UN »
Supportable
Paf !
« deux »
Un coup plus fort
PAF
« trois »
Cette fois , c’etait du sérieux
PAF
« quatre »
J’appréhendai tant le 5eme que Maître a senti ma crispation
« Je fais ce que je veux de ton corps, il est ma propriété, alors donne le –moi Bâtard ! »
ET paf ! Je reçu le dernier coup de cette série de matraque
La sensation ressentie reste inexplicable, je n’ai pas été malmené , je peux avouer que j’ai même éprouvé un certain plaisir a sentir Vôtre ascendance Maître sur l’offrande de ma personne .
Après un calme, dont je ne me souviens plus de la durée, car le temps prend toute autre mesure dans ces situation….Vous m’avez fait approchez de Vous, a genoux , têtes posée sur Vôtre entrejambe, je me sentais à la place qui convient, Vous respirez encore et encore sans modération pour Vous apprivoiser……
En cette instant, je suis pleinement entré dans le jeu , viser Vôtre satisfaction, Vôtre plaisir…..J’espère avoir été suffisament éloquent lorsque de ma langue, j’ai été pris par lenvie de vénérer Vos mitaines de cuir, Vos doigts …Cette infâme matraque a laquelle j’ai goûté tantôt et qui devenait un véritable objet de dressage duquel j’aurai plutôt tout à craindre à l’avenir en cas de désobéissance ou mauvaise conduite….
Vous m’avez laissé suffisamment de temps pour me délecter de ce moment, et je Vous en suis grés MAITRE, même si ,le plus juste serait d’écrire :
- Vous avez su pleinement savourer le plaisir d’avoir un bâtard motivé à Vos pieds capable de Vous apporter une quelconque satisfaction et un commencement de plaisir…..-
M’égarerai-je de penser que Vous avez réellement apprécié MAITRE ? Vous dont que je devine fin gourmet aux désirs d’être véritablement surpris…..
Pour des raisons MAITRE que Vous m’avez signifiées, je vais y aller plus directement
J’ai aimé me donner a Vous pour recevoir le ceinturon, son claquement dans la cuisine m’a excité, et je dois avouer que par rapport aux autres accessoires utilisé, j’aurai pu VOUS endemander encore plus…
J’ai adoré me retrouvé nu dehors, faire le tour du propriétaire avant que Vous ne me mettiez aux labeurs, ce contact de la terre et de la pluie sur moi….Etre abandonné aux travaux, avant sans que je m’y attende vous reveniez me motiver cette fois au fouet
Egalement, j’étais à ma place lorsque illico presto, vous me faisiez venir aux pieds soit pour ramasser une pierre, soit pour uriner ou bien être châtier
Oui, mon érection en était la preuve la preuve….car J’ai compris que Vous saviez bien faire usage d’un batard MAITRE
Même si peu habitué aux fouets, pour l’apprécier pleinement, il était mérité de Vous voir arriver d’un pas décidé pour le faire claquer sur ma viande pour avoir oublier de ramasser une herbe….La brulure de celui-ci et Vôtre suprématie me motive davantage
Votre autorité et sévérité était largement justifiée Maître
Tout en léchant vos pieds et entendant votre conversation avec Monsieur Votre slave numéro 1, j’ai ressenti que l’excitation montait lorsque Vous m’évoquiez à lui …..Et je trouve même tout a fait normal queVos slaves puissent avoir le mot à dire ou avis à donner , me concernant….
Les travaux forcés et la salle des tortures méritent que j'en touche mots... En effet, l'ambiance de votre remise est en adéquation quant à l'usage que Vous en faite, l'odeur, la luminosité, l'atmosphère qui y règne ….J'ai d'abord cru en y entrant que nous irions chercher quelques outils indispensable pour la suite des évènements…… Mais, je compris vite lorsque vous m'avez attaché et expliquer sa vocation que Vous alliez Vous amusez un peu avec Vôtre nouveau joujou…bien que je l’aurai plus cru avec Vôtre nouvelle pièce juste à côté…En effet, j’ai pensé à un moment après y être entré que la porte allait se refermer derrière moi, et qu’elle ferait office de cellule d’isolement ou qu’a Votre aise Vous pourriez Vous divertir à Votre guise….
La chaîne était une nouveauté pour moi, son contact lourd et appuyé était une épreuve….Mais Vous avez bien dosé les temps dans lesquels je pouvait me serrer contre Vous, et les sévices Maître Quant au travail forcé, il s’est imposé à moi beaucoup plus divertissant que si je l’avais fait seulement pour bosser…Bien sur, , la qualité servi est la même, mais le fait d’être sous Votre surveillance, exigences, et ordres changent la donne C’est une chance qu’il n’ait pas fait beau temps, Je déplore ne pas avoir vu dans Vos yeux le plaisir dont Vous pouviez en tant que Maître,Vous délecter et jubilé de me voir nu , jardinant…Au bon gré de Votre volonté…Je n’aurai pour rien au monde voulu que s’interrompre ce sentiment, d’humiliation , d’appartenance et d’exploitation au contraire….Je l’aurai même exécuter fer aux pieds et enchaîner si cela aurait pu Vous faire plaisir…..Les temps ou Vous m’aviez abandonné seul au labeur, je Vous imaginez assis sur la chaise , contrôlant la qualité de mon travail Ce fut un moment clefs de ce test ou j’ai ressenti le désir de soumission encore plus fortement et agréablement que je ne me l’imaginais Maître…Et je souhaite vivement le ressentir à nouveau , même si je ne saurai peut être jamais quelle jouissance cela Vous donne….Apres tout, l’important a mes yeux de sous race, c’est de faire en sorte qu’elle existe et soit forte car rien n’est trop beau pour mérité l’intérêt du Maitre
fabslave
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Hi if you still do the word challenge could you do 'cat'? Thank you!
The Word […of Castiel.] Drabble Game
Word: Cat
Characters: CastielXReader ft. Sam and Dean Winchester
[keep reading cut cause it went long]
A songstress once aptly noted: “My milkshake brings all the boys to the yard.” Your musical tastes may not be relevant as far as a certain set of Winchesters are concerned, Dean in particular, but the slow simmer and bubbling scent of your famous spaghetti à la bunker wafting through the halls reliably brings the boys to the kitchen.
Dean’s curiosity about when dinner will be served is less than subtle as he balances a hand in the middle of your back and reaches around you to dip his finger into the pot up to the second knuckle. “Hey, sweetheart. Is that what I think it is?” He plants a totally platonic saucy kiss to your cheek as you continue to stir.
“Five minutes, Winchester. There’s cold beer in the fridge.” You wave his hovering figure off. “And grab one for me!” you add.
Sam wanders in next. “Dinner smells amazing, Y/N.” The boy with the Roman God worthy bod normally watches his carb intake. When it comes to your cooking though, he watches those delicious carbs twirl around a fork before shoveling them into his salivating mouth.
“Everyone’s fave!” You grin over your shoulder. Grabbing the edges of the boiling pasta pot with a towel, hissing expletives under your breath at the scorching sizzle of steam uprising as the water hits the cool metal of the sink, you dump the contents into a colander to drain. A quick shake shake of the slippery noodles for good measure and you transfer them directly into the waiting sauce and turn off the heat. Plucking the forked serving spoon from the counter, you pick up the heavy cast iron pot and carefully hoist it to the counter behind you.
When you look up from the carbalicious cheesy concoction, Dean stands on the other side of the counter, holding out his empty plate, greens glinting eagerly. Sam is situated behind him, licking his lips as he leans sideways to see. And, most unexpectedly, your blue-eyed angelic paramour who doesn’t eat - never eats, only occasionally drinks coffee you think mostly to minimize awkwardness at diners - waits at the end of the line with his own plate in hand. As it turns out, milkshakes have nothin’ on your spaghetti.
Salacious food-gasm groan vibrating his throat, Dean burns his mouth on a forkful of the pasta before he even sits down at the table. Sam shows a modicum of restraint, taking his seat and folding a napkin across his lap like a civilized human being while he shakes his head scoldingly at his brother.
But it’s the angel who seizes your attention. He sets his plate in the middle of the table, steps back, drapes open his coat, and plucks from within the depths of the fabric a full-sized rangy dirt-matted feline whom he transfers directly onto the table. The tom looks around the room cautiously, flicks his hairy tail warily into and out of Dean's dish, dares a preliminary sniff of the edge of the proffered plate, and then digs into the savory meal, growling greedily between his gorging in a show of gastronomic enthusiasm uncannily similar to Dean’s.
“What the Hell is that?” Dean ceases chewing to grumble through a mouthful of food, bits of sauce sneak from the corner of his mumbling mouth. He aims his fork at the feline.
Uncertain if Dean’s superfluous query is worthy of the obvious answer, Cas glances from the slightly nonplussed puss to his friend, flatly stating, “A cat, Dean.” Cas believes the punctuating extra-husky Dean really drives home the utter ridiculousness of the question.
Swallowing to facilitate the let’s try this again roll of his eyes, Dean attempts another approach. “What the Hell is a cat doing in my kitchen?”
The angel doesn’t hesitate to offer a practical explanation. “He moved into the outer garage alcove a few weeks ago. I heard him exploring the bunker’s duct work last night and invited him to dinner to welcome him to the neighborhood.”
Dean studies the innocent sheen of his angelic friend’s expression. Chugging a sip of beer and wiping his chin on the back of his sleeve, he snarks, “Oh, well then, by all means, let’s give the flea-bag a warm freakin’ welcome.”
You, for one, think it’s the most adorable thing you’ve seen all week and you fully support your angel branching out to make new - and evident by the motor-like purr of the contented cat now politely washing his face with a paw - grateful friends. “That’s very thoughtful of you, Cas.” You squeeze his arm in support and smile.
“Yeah, so thoughtful.” Dean sneers and, parasite paranoia setting in, scratches the insect he imagines is currently crawling through his hair.
Sam smirks and scritches the grateful cat behind the ears.
Heartened by your words, smile stretching to crease his shining blues, Cas elaborates on the guest, “I’ve explained that we’re hunters. He, too, hunts. Specializes in mice. Did you know that as with vampires the preferred method of dispatching rodents is via decapitation?”
Dean forgets the state of his fur-tainted plate and takes a bite. Grimacing, he spits out a piece of cat fur in disgust.
Sam’s forehead knots in concern. “That’s, uh, that’s great, Cas, but the bunker doesn’t have a mouse problem.”
The angel’s eyes knowingly narrow. “Exactly, Sam. He’s highly skilled at his job.”
#the word [...of castiel.]#castiel x reader#castiel x you#spn imagine#castiel imagine#supernatural imagine#spn x reader#castielxreader#castielxyou#you x castiel#reader x castiel#cas x reader#cas x you#spn fanfiction#spn humor#castiel drabble#catstiel#cricket writes cas
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J’aime tellement me faire ruiner le cul et la chatte par des grosses queues bien dure après les avoir bien sucer
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saga: Soumission & Domination 367
Organisations ...
Avant de partir j'ai dû organiser ma petite société afin qu'elle tourne sans moi. D'aussi loin, je ne peux gérer en direct tous les rendez-vous de mes collaborateurs. Il n'était pas question non plus d'en laisser la charge à PH. J'ai donc décidé Jonathan d'en prendre la direction pour ces 6 mois à venir.
Moyennant une augmentation de son salaire de coach (qu'il voulait refuser) et en attendant qu'il se fixe coté boulot (ouvrir une salle de gym, faire coach privé...) puisqu'il a terminé sa formation, il aura de quoi s'occuper.
Sa mission principale est de gérer les rendez-vous de mes escorts, faire le relationnel avec les clients et clientes et si l'occasion se présente un peu de recrutement. Mais pour ce dernier point il devra avoir l'aval de PH.
Les premiers échos qui me parviennent me prouvent que j'ai fait le bon choix. Tout d'abord il connait la totalité de ma clientèle, deuxièmement il est respecté de tous ses collègues et pour finir je le sais très sérieux.
Avec André qui m'envoie mensuellement les rapports financiers de mes deux entités je suis serein.
USA :
A Berkeley l'intégration s'est faite sans difficultés particulières. Contrairement aux autres étrangers, ma " pré-intégration " fait la différence et aussi le fait que durant la première quinzaine je me sois essayé aux différents sports proposés.
Sans être connu comme le loup blanc, je suis le " frenchie qui se bat comme un pro ". Et même si c'est leur section (arts martiaux) qui me capte, je tiens à essayer le plongeon avec Tyler.
Je peine un peu à rentrer dans l'académisme de leur façon de pratiquer. Trop souvent j'utilise des mouvements ou des coups provenant de disciplines soeurs !
Un des partenaires de combat (Robert) s'étonne que je connaisse certaines prises qu'il sait avoir été développées par leurs Navy-Seals (son frère en est un). Sans trop entrer dans les détails, je lui explique que j'ai deux copains qui ont fait un stage commando avec eux et qu'à leur retour, ils nous avaient appris quelques prises.
Du coup, quand son frère revient chez ses parents, il m'invite un WE.
Le frère (Donovan) est une montagne de muscle !! Avec mes 85Kg je suis tout petit ! A 27ans, Il est lieutenant et fait dans les 1m95 et me prend bien 15 à 20Kg de masse. Robert me présente comme un combattant atypique qui ne rentre dans aucunes disciplines de leur section.
Don nous entraine vers un des garages qu'ils ont transformé en salle de sport. Au centre un tatami conséquent leur sert pour la lutte. Torse nu avec juste un short sur les fesses, j'affronte le pro.
Il me laisse attaquer et m'évalue. Mes prises tombent à plat quasiment 9 fois sur 10. Et la 10ème je me demande s'il n'a pas fait exprès de me laisser percer sa garde.
Quand il passe en mode actif, je me retrouve sur le dos sans avoir vu le coup venir. A nos côtés, Robert est mort de rire.
Don me tend la main et me relève. Il m'explique que ce que je sais faire est intéressant mais qu'il serait temps de passer à la vitesse supérieure. Quand je lui dis que ça m'a quand même permis de mettre à terre un " boeuf " Anglais lors des 24h du Mans moto et de mettre à mal quelques mecs mal intentionnés, il me répond que ce n'était que des amateurs.
Au diner, il nous dit qu'il avait entendu parler de mes deux copains. Même sans connaitre leurs " trucs " de commando, ils avaient impressionnés ses collègues. Quand il me demande comment je les connais, je lui dis qu'ils sont tous les deux escorts pour ma boite et que l'apprentissage du combat avait commencé pour que mes " employés " soient tous à même de se tirer de situations imprévues.
Devant leur incompréhension, je précise que la majorité de mes escorts est plutôt jeunes 18- 25 ans et que mes clients sont plutôt eux dans la 50aines et parfois plutôt massif et pas que de la bite. On ne peut pas faire plus clair !
Les deux me disent qu'ils n'ont pas de problème avec " ça ". Don me dit même que j'ai bien fait, et que s'ils se battent tous comme moi, ils ont déjà le niveau pour se débarrasser de pas mal d'individus.
Je leur raconte l'anecdote de mon petit beau-frère et de son copain qui ont envoyé 4 mecs à l'hôpital. Ça les fait bien rire.
Le dimanche, alors que Robert me propose de passer la journée avec lui et des copains, Don lui dit qu'il va exploiter mon potentiel. Je reste donc avec mon Navy Seal personnel.
Petit déjeuner composé d'un litre de protéine puis on attaque l'échauffement, 1h à suer sur les machines de cardio !!
On passe enfin aux choses sérieuses. Pendant deux heures, il m'explique des prises et on les teste. Il est super pédagogue et j'arrive à le faire tomber plusieurs fois (bon quand il ne résiste pas trop).
Midi, pause. Devant un T-bone d'un Kg, on parle de choses et d'autres. Il me demande comment je suis venu à diriger une boite d'escort. Puis ça glisse sur les désirs des clients. J'explique que je donne dans le jeune mec plutôt musclé, imberbe avec de grandes capacités d'accueil et j'ajoute " comme moi ".
Tous deux revêtus d'un simple short serré, je ne peux m'empêcher de lui faire remarquer qu'il bande. Pour louper un morceau pareil il aurait fallu être aveugle. Son sexe repousse le tissu au-dessus de sa cuisse gauche sur plus de 20 cm. Son gland est parfaitement moulé et enfle le tissu de 5mm de plus.
Je lui rappelle que j'ai été le premier Escort de ma boite et que s'il le désir je ne serais pas contre un " corps à corps ". Il comprend l'allusion, hésite et me dit que Robert ne rentrera probablement pas avant la fin d'après-midi.
Si je comprends bien à mon tour, c'est un oui à ma proposition.
Sans fromage ni dessert, on retourne sur le Tatami.
Ça démarre avec un peu de lutte où je cède très vite et sur le dos me laisse dominer par la " bête ". Il me surprend à me rouler un patin avec la langue. Contre ma cuisse je sens sa barre brulante.
Je le retourne (il se laisse faire !) et descend sur ses pecs. Il gémit dès que j'attaque ses tétons. Je descends encore, impatient de voir l'objet de mon désir. Avec beaucoup de mal, même s'il décolle ses fesses du sol, je retire son short. Une bite d'environ 23 x 5/6 vient claquer sur ses abdos. Je me jette dessus et l'enfourne jusqu'à l'os. Reflexe, il pousse son bassin pour m'en mettre plus et ses mains viennent retenir ma tête.
Il me relâche juste avant que je ne meurs étouffé ! Me prend sous les aisselles et me remonte pour me galocher à nouveau.
Il me traite de " crazyman ", que c'est la première fois qu'il réussit à la mettre entière dans une bouche. Rien que des petits joueurs les " locaux " !! J'y retourne et il est moins brutal vu qu'il sait que je le refais quand il veut.
Il me surprend à nouveau en m'attrapant et en me plaçant en 69 pour me sucer simultanément. Bien qu'il donne dans le genre pompe à vide (il n'y a pas grand-chose de doux dans le bonhomme) je bande comme un fou. Rapidement il s'attaque à ma rondelle et là aussi c'est avec de grands coups de langue qu'il me la lubrifie.
Quand je me sens prêt, je prends l'initiative. Il est toujours dos au sol. Je me retourne et enjambe sa taille. Je me penche pour lui rouler une pelle et lentement pousse mes petites fesses vers son sexe. Très vite son gland bute dessus. Je joue avec de petites pressions sur son gland venu très naturellement se placer pile au bon endroit.
Il tend le bras vers son short et en sort une kpote. Sans quitter ses lèvres, je la lui enfile et, aussitôt m'enfonce son gland dans l'anus. Putain d'effet !!! Ma rondelle s'est refermée sur lui et sa compression fait rugir Don qui m'attrape par les hanches.
Sans précaution, totalement dominé par ses instincts, il me plante ses 23cm bien profond.
Je le sens passer et ne peux retenir un cri proche du hurlement. Entre douleur et plaisir mon cerveau n'arrive pas à se décider. Comme il reste quelques minutes sans bouger, c'est le plaisir qui prend le pas. J'arrive à me détendre et commence à " trotter " sur ma monture (plutôt mon monteur).
De son côté il reprend ses esprit et décide de mener la danse. Il se redresse, sans sortir de mon cul, il se lève, mes 85Kg n'ayant pas l'air de peser plus que ça. Je m'accroche à son cou le temps qu'il me porte jusqu'à un banc de muscu sur lequel il me dépose. Mes chevilles arrivées sur ses épaules, il me défonce en beauté. Je le sens quand même retenir ses coups de bassin bien qu'il s'enfonce totalement à chaque fois. Son visage est différent dans le plaisir, plus jeune. Il plante ses yeux dans les miens et me dit que je suis le meilleur coup qu'il ait jamais tiré (bon la poésie n'est pas son fort). De mon côté je le situe dans les 10 meilleurs mecs qui m'ont défoncé la rondelle.
Il fait glisser mes épaules vers le sol, retenant de sa bite mon cul à hauteur du banc. Petite baise en chandelle avant qu'il ne se retourne et m'encule façon chien en rut. Même là son gros gland frotte ma prostate à chaque passage. Quand je le préviens qu'à force je vais me juter dessus, il décule complètement provoquant la chose. Je m'en fout des litres sur le torse et le visage.
Debout ma tête entre ses pieds, il se branle une fois et m'asperge de son jus. Question quantité il est pas mal non plus. Il m'allonge et vient me recouvrir de son corps. On colle !
Après un bon 1/4 d'heure, il se met sur les coudes, me regarde et me dit qu'il comprend qu'on lui ait dit que les deux " frenchies " étaient bon aussi du cul si c'est moi qui les ai formés.
Je lui demande " gay ?", réponse " non t'es mon premier mec ". Je suis flatté, on a quand même baisé pendant 3h1/2 !
Passage sous les douches et reprise doucement des clefs apprises le matin même.
C'est alors que Robert nous rejoint. Quand il entre dans le garage il trouve une forte odeur de sperme frais. On a beau faire les innocents, il est sûr que nous avons baisé. Don finit par admettre la chose sans que ça provoque de drame.
Pour lui montrer qu'on avait quand même travaillé aussi, je combats avec lui et arrive à le plaquer au sol avec mes nouvelles prises.
Avant de partir, Don me fait promettre de revenir avant qu'il ne termine sa permission. Bien sûr pour que je m'améliore en combat ! Rires de robert qui ajoute en prenant la voix de son frère " j'ai trop aimé te défoncer la rondelle " et malheureusement pour lui, il ne s'est pas écarté assez vite et se retrouve plaqué au sol.
Je profite qu'il soit maintenu fermement pour me pencher et lui faire un bisou sur les lèvres. Je conclu par un " t'es jaloux, t'en veut aussi ?" qui désarme les protagonistes. Faut dire que Robert est pas mal non plus !! (Déso on ne se refait pas !).
Durant cette permission, je le reverrai encore 2 fois, autant pour le sport que pour le " sport ". Je crois que ce qu'il a le plus apprécié chez moi ç'aura été mes gorges profondes et moi, sa merveilleuse utilisation de ses 23cm.
De mon côté, j'ai laissé tomber le club de combat avec l'aval des coaches pour intégrer plus sérieusement l'équipe de plongeon. Tyler est ravi de me présenter ses potes. Plus fins que les combattants, ils ne manquent pourtant pas de musculature. Du coup, là, je détonne par mon physique plus " rond ". Le coach principal me prend en charge et je montre mes faibles connaissances en plongeon mais aussi mes compétences de nageur. Si les premières le laissent de marbre, il me dit que je ne suis pas ridicule en crawl et en papillon. Je lui explique que j'ai, en France, un maitre-nageur particulier 2 x par semaine mais que ma piscine ne fait que 25m.
Il me fait nager avec l'équipe. Mes performances me placent dans le milieu du tableau, ce qui est déjà pas mal pour un mec qui passe plus de temps à soulever des barres et à se battre qu'à nager. Tyler est tout fier d'avoir amené un Français qui se défend bien.
Et le plus, ils sont tous en maillots de bain moulant !!
Le plongeon c'est finalement super technique. Il ne suffit pas de tomber dans l'eau la tête et les bras en avant mais de réaliser des figures. On passe aussi un bon moment sur les trampolines pour exécuter les sauts, les vrilles.
A 3 m le temps de chute est très court et je n'arrive pas à placer mes rotations. Le coach m'envoi sur le plongeoir de 10m ! En fin de séjour, j'arriverai à exécuter quelques sauts sympas et surtout j'aurais passé de bon moment dans l'équipe (avec l'équipe, pour ceux qui s'imagineraient que je les ai tous enculé).
Bon c'est vrai que je m'en suis fait quelques un quand même.
Mais c'est avec Tyler et Dane que je traine le plus. Ils m'ont fait visiter tout San Francisco, de Mission au sud au Golden Gate et de la baie à l'océan. J'ai été ému par le monument dédié au homos exécutés dans les camps Nazi, impressionné par leur musée de la légion d'honneur qui contient un bon nombre d'oeuvre de Rodin et amusé par les phoques du pier 29. Bien sûr j'ai été voir les Pink Ladies, ces maisons victoriennes les premières peintes de couleur.
Jardinier
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turning his back to 2024
a nice place where to spend time
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1/ “Si j'apprends que tu es enceinte, on prend la bagnole et au retour, tu auras fait une fausse couche ! Et si ça ne suffit pas, je te fous sur la bécane de mon beau-frère !” 2/ “Tu n'as même pas idée de ce que je vais te faire / de ce que j'ai envie de te faire.” 3/ “Ca y est, vous avez niqué et tout ?” 4/ “-Tu as les mains propres ? - Oui. - Je vais pisser, viens me la tenir.” 5/ “J'ai hâte que tu n'aies plus tes règles pour qu'on puisse s'amuser.” 6/ “Si tu ne voulais le faire maintenant, on l'aurait fait dans un mois. Après…”
Mon témoignage vous paraîtra (peut-être) moins violent que les autres, mais je souhaite vous le transmettre afin de vous montrer à quoi peut ressembler un début de relation, rien qu'un “début”…
Niveau mecs, j'étais rodée et j'avais mon opinion toute faite : j'avais vu mon père tabasser ma mère quand j'étais gosse, je m'étais faite tabasser gratuitement par des mecs pendant mon adolescence, j'avais subi le harcèlement (moral, sexuel)… Malgré ces blessures, j'en ai tiré une certaine force pour me permettre de stopper ma relation avec ce type avant que cela ne parte en live.
J'avais vingt-ans, j'étais vierge, étudiante, je ne voulais pas d'enfants (c'est toujours le cas actuellement). Je m'étais lancée dans une relation avec l'ami d'un ami : drôle, trash dans ses blagues, amical, mais surtout immature. Dès le début de notre relation, j'étais déjà confrontée à la désapprobation de l'entourage : “il a son caractère”, “mec, elle est belle et intelligente, qu'est-ce qu'elle fout avec un mec comme toi?”, “impose-toi”…
Il disait à l'entourage qu'il avait trouvé une “sainte”, compte tenu de ma “situation�� (vierge, ne fume pas, ne boit pas, ne passe pas sa vie en soirée, ne se tape pas de mecs…). Avec le recul, je prends ça plus comme une tare (genre fille coincée) qu'un compliment.
Un soir, en dormant chez moi, il a vu les posters d'un de mes groupes de musique préférés accrochés aux murs de ma chambre. Sous prétexte que pour lui, c'était une honte d'aimer un tel groupe, il m'a demandé de les enlever. Sur le coup, je l'ai fait, prétextant que j'aimais ce groupe quand j'étais ado (et je l'aime toujours). Bizarrement et connement, je n'avais pas trouvé la force de lui résister, de lui dire “non, ce sont mes goûts, point barre.” Il m'a dit “on a tous le droit à l'erreur.” Je me suis couchée dans une chambre qui ne reflétait pas ma personnalité, mon identité, cette nuit-là. Au matin, j'en ai parlé à ma mère, elle lui en a fait la réflexion.
Citation 1 : propos dits au cours d'une soirée, alors qu'une femme me posait quelques questions indiscrètes, notamment si j'étais enceinte, sous prétexte que je ne fumais pas et ne buvais pas. “Non”, avais-je répondu, mais lui ne s'est pas arrêté là et voilà le résultat.
Citations 2 et 5 : Juste après, ça a été des mots, susurrés à mon oreille et malgré la proximité des proches.
Citation 3 : Question indiscrète et bien dégueulasse posée par deux de ses proches à qui il me présentait et qui ne me connaissaient même pas. Deux mecs, d'un certain âge. J'ai eu l'impression d'être un objet, un garage à bites. Je ne voulais pas que notre vie de couple, y compris sexuelle, soit partagée avec ses proches ou ses potes. Mais là…
Citation 4 : Une fois, devant ses parents, à qui ils me présentait. Ils ont mal réagi et m'ont défendue.
Citation 6 : après avoir rompu, lors d'une discussion. Le type soit-disant attentionné et patient, mais qui me mettait contradictoirement la pression et qui me faisait comprendre en filigrane que si je ne le faisais pas dans un mois avec lui, ce serait compliqué… Et si j'avais envie de le faire dans 6 mois ? 1 an ? 3 ans ?
Une fois, ma mère m'a dit “fais un test, dis-lui que tu attends le mariage pour le faire et regarde sa réaction, tu verras s'il veut être avec toi pour ce que tu es ou pour ce que tu as entre les jambes.” Pas besoin, j'en avais entendu et vécu assez.
Une fois, il m'avait fait une scène en voiture parce que j'avais tutoyé ses parents (avec qui je m'entendais très bien et ça ne les dérangeait aucunement), prétextant que c'était un manque de respect ou je ne sais plus trop quoi, alors que lui-même n'était pas fichu de respecter ma propre mère.
Il ne commentait et n'aimait aucune de mes photos, aucun de mes statuts Facebook (à la rigueur, je peux m'en foutre, car à l'heure actuelle je suis rarement sur ce site) mais ne s'en privait pas sur les comptes d'autres filles : les mots qu'il leur écrivait, jamais il ne me le disait…
Il cherchait souvent à me changer, me faisait comprendre que ça l'agaçait que je ne réponde pas à ses blagues ou paroles, etc. Avec le recul, nous n'avions pas le même humour et encore moins de choses en commun.
Je l'ai quitté et j'ai gardé ma virginité pour l'offrir un jour à un mec plus respectueux et qui m'aimera pour ce que je suis.
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1.03
“potage” thoughts under the cut! (also: blacklist #lb if you don’t want to see these posts.)
garret jacob hobbs has the most unfortunate hairline, and it makes him look even creepier
abigail looks... shocked by the fact that she was able to kill the deer; i think i’m reading her face right but no clue really
hobbs: and we’re gonna honor every part of her. i don’t know if that’s the word for what you’re doing, dude!
abigail: i don’t know how i’m gonna feel about eating her after all this. hobbs: eating her is honoring her. otherwise it’s just murder. like, oh so it’s the cannibalism that makes it not murder. i see.
jesus christ all of that was... a dream? a memory? fuck. and abigail is awake!
alana bloom seeing will in his pajamas (t-shirt and underwear) like. are they gonna fuck lol
will: didn’t hear you drive up. alana: hybrid. great car for stalking. will: um, i’m compelled to go cover myself. alana: i have brothers. will: well, i’ll put a robe on just the same. will sounds so sleepy in this scene... king!
will: do you want a cup of coffee? and, more immediately, why are you here? alana: yes, and abigail hobbs woke up. alana’s line delivery throughout this scene is reminiscent of my first psychiatrist.
will: abigail hobbs doesn’t have anyone. alana: you can’t be her everyone.
i find it very funny how alana has been getting on will for being sooo attached to abigail—and then she’s bringing abigail new clothes, music, etc., while also acting as her psychiatrist??
jack: i want will graham to talk to her. alana: jack. not yet.
the way we hear will saying, “the killer who did [kill cassie boyle] wanted us to know he wasn’t the minnesota shrike. he was better than that,” as hannibal and jack walk into the lecture hall... chef’s kiss.
will talking about the untraceable call garret jacob hobbs received... and hannibal’s smile after will says that...
freddie: (about will) he catches insane men because he can think like them. [cut to will and hannibal walking into abigail’s hospital room.] freddie (cont’d): because he is insane.
abigail saying she remembers will... jesus christ! and hannibal defusing the situation like an expert!
hannibal as will’s, like, fucking handler or some shit (according to jack crawford)... sir i am biting you.
someone spray-painted “CANNIBALS” on the garage door of the hobbs residence...
abigail: (looking at the faded bloodstain on the front step where her mother died) i was sort of expecting a body outline in chalk or tape. will: they only do that if you’re still alive, and taken to the hospital before they finish the crime scene. king of saying the wrong thing...
abigail: (with clinical interest) is that where all my blood was?
abigail: can you catch somebody’s crazy? i’m suddenly very glad that i didn’t watch this show when it was first airing—between the stuff happening in the first season (or maybe even the first two?) and the stuff that was happening with A around that time i think it would have made A’s impact on my brain much worse.
wait okay i think this conversation about folie à deux is meant to foreshadow the blurring of boundaries between will and hannibal later on.
abigail: are we gonna reenact the crime? (to will and alana) you be my dad. you be my mom. (to hannibal, nonchalantly) and you be the man on the phone. JESUS CHRIST...
abigail saying that her dad probably made plumbing putty out of the girls’ bones...
blood dripping from the fucking ceiling and will goes upstairs and there’s a girl crucified in the attic 😱
freddie thee sneak... ma’am.
abigail killing nick boyle and hannibal knocking alana unconscious to help her hide the body... also the way at least some of the pillows in the hobbs residence were stuffed with the girls’ hair. 🤢
abigail parroting her dad’s belief that honoring any part of your murder victim makes it Not Murder somehow... wig!!
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