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Art's NeoIconography: Arising from the Ashes
In February of 2014 Franck de las Mercedes watched helplessly, as his life’s work went up in flames when his studio burned down destroying his home and entire life's work. Returning to the ashes of what was the home and hub of his creativity, he began to scoop up some of the ashes of what was home, art, literature, and music and memorialized all in a jar - the urn of the life he once had. In that jar were not only the ashes but also chunks of charcoal, which later evolved into the Blot work. Unconsciously immersing himself in the works, he later realized that the series became his attempt to reclaim all that he lost in the fire. The series covers his lost books, his lost music and just as the phoenix - de las Mercedes has resurrected not only his creative edge - but those who have inspired him along his journey into art.
"After the fire of 2014 destroyed my entire life's work, I didn't know where to begin nor what direction to take in order to start painting again. I felt that I needed to give myself time to process what had happened. And yet when I relocated to Washington Heights, where I grew up and where once before I had arrived with nothing as an immigrant; I turned to painting random portraits with ink and acrylic, drawn with pieces of charcoal that I picked up from the ashes of my former studio. The subjects were selected as I encountered them, not thinking of attachments or aversions, the idea was to work and not be creatively paralyzed by the trauma and loss. The entire process actually felt like nonobjective free-writing. They are a glimpse into my creative process at that moment in time, but I also see them as optimistic tributes to lost works transformed into resilient icons through the subjects depicted. " Franck de las Mercedes
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BLOT also known as "Manchas Literatas." by FdlM is a fresh take on iconography that includes greats such as Gioconda Belli, Ruben Dario, Warhol muse Bianca Jagger; Sylvia Plath and Emily Dickinson.
#blot#neoiconography#popstract#popstract expressionism#art collecting/sales#art collectors#art advisor#interior design#interior decorating#interior designer#portrait#ink#fdlm#franck de las mercedes#contemporary art#Youtube
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Franck de las Mercedes - Childhood Echos, 2018
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Rappeur, métier à hauts risques ?
Écrit par nate
Publié le 31/03/2020
À l'occasion de la sortie et du grand succès de la série Validé, série évènement sur le rap réalisée par Franck Gastambide avec Canal Plus, les débats à la question sont ouverts : est-ce qu’être rappeur est un métier à hauts risques ? La série aux 6 millions de spectateurs en 5 jours décrit l’univers du rap avec un réalisme jamais vu auparavant entre les hauts et les bas du rappeur, ses péripéties, l’argent, le succès et surtout l’ancienne vie de rue vécue ou racontée dans les textes de beaucoup d'artistes rap.
On ne peut ignorer le lien historique du Rap et de la rue, musique née dans les ghettos noirs américains dans les années 70. C’est une musique qui s’est popularisée pour connaitre une première explosion dans les années 80 avec les groupes : Public Enemy ou RUN DMC. Tout en restant aux Etats-Unis, il était impossible de ne pas parler de ces assassinats aussi emblématiques qu’énigmatiques, ceux de Tupac et the Notorious B.I.G. (Biggie). La rivalité entre la côte Est et Ouest prend un nouveau tournant lorsque Tupac accuse, dans un entretien avec le magazine Vibe en avril 1995, le nommé Diddy aujourd’hui, et Biggie de lui avoir volé des bijoux et avoir tiré 5 coups de feu sur lui, dans la nuit du 30 novembre de la même année. La suite est connue de tous, c’est d’abord Tupac qui sera assassiné dans un drive-by shooting (fusillade au volant) le 7 septembre 1996 puis Biggie, soupçonné d’être impliqué dans la mort de ce dernier, qui sera lui aussi assassiné de la même manière au soir du 9 mars 1997. Une culture Rap liée tragiquement a la rue…
Ces faits auraient pu arriver de nouveau, mais cette fois-ci dans l’hexagone. Oui, la France a failli connaitre ces mêmes déboires en 2007 suite aux tensions énormes qui régnaient entre Rohff, grand rappeur français, et Bob Djani & son équipe (Bob Djani est un ancien animateur radio, notamment sur Générations). C’est la vidéo de la pelle, vidéo qui a marqué l’histoire du rap français où Rohff filmé par Booska-p parle de ses détracteurs de façon remontée. Une fois la vidéo mise en ligne, c’est le début d’un conflit devenu public dans le rap. Dans cette vidéo quelque peu sortie de son contexte, on y voit Rohff s’exprimant mais surtout jouant avec une pelle et du sable. Historiquement c’est ce qui fera s’enflammer le monde du rap car le public y voit une mise en scène totalement assumé véhiculant l’idée « d’enterrements » pour ses enemis.
A la suite de cela, on arrive à ce que Fif de Booska-P (co-fondateur du média) appellera étrangement « un mal pour un bien ». Le soir du 24 juillet 2007, Rohff est mis en garde à vue avec cinq proches dont Kery James. Sous le siège de sa Mercedes, les enquêteurs y trouvent un Revolver 357 ainsi qu’un bon nombre de balles. Alors en sursis, il se verra incarcéré pour quelques mois. Toute cette montée de tension sur un mois arrive à son comble lorsque Rohff est mis en prison. Dans le 94, son département des clans s’étaient créés et de l’autre côté de Paris aussi. Selon Fif sans l’incarcération de Rohff : « on aurait eu notre Biggie ou Tupac dans le Rap français».
« Les roses s’arment d’épines, la rue a armes et bolides, l’un finit par piquer et l’autre par t’amener à tomber ou à ta tombe.»
Plus actuellement, Le rap et la rue gravitent toujours l’un autour de l’autre, tels des aimants ou amants incompatibles.
Bon nombre de rappeurs ont déjà fait leur déclaration à celle que l’on appelle la rue. « Elle m’a eu », de Ninho ou encore « Tombé pour elle » de Booba sont tous deux des sons où la rue est personnifiée telle la plus belle des femmes, mais des problèmes viennent avec.
-99 problèmes mais cette fois-ci, cette s***** en est un.
À travers ces textes on observe la relation conflictuelle que nos deux rappeurs ont avec la rue. Une relation tumultueuse ou peu à peu les protagonistes prennent conscience que séparation doit être faite.
Le rappeur Lacrim est d’ailleurs, comme on pourrait considérer, l’un des plus forts exemples pour illustrer l’importance de faire un choix avant qu’il ne soit trop tard. En mars 2015, au pic du succès de son album Corleone, il se voit condamné à 3 ans de prison. Ses empreintes viennent d’être retrouvées sur des kalachnikovs dans un entrepôt à Marseille. Acculé par la situation et l’idée d’effectuer une nouvelle peine de prison juste après sa récente libération, il choisira cette fois-ci de ne pas se laisser enfermer. C’est le début d’une cavale qui passera par le Maroc puis l’Algérie, son pays d’origine, où il ne pourra être extradé. Mais une cavale n’a rien de joyeux et coûte cher, il finira par se rendre aux autorités peu après.
Ces histoires ont un lien et ne font que se répéter en partie. Maes, poids lourd des ventes du rap français qui a connu un séjour en prison lié au trafic de drogue, rappe : « passer la trentaine devient un exploit », (Dragovic).
« Etre rappeur est plus dangereux qu’être sur le front en Iraq.» - Jim Jones (aussi connu sous le nom de Dipset)
Ce sont les propos qui ont été tenus par le célèbre rappeur new-yorkais et qui ont causé débat. Le 25 février dernier, Jim Jones repostait sur son compte Instagram la réponse d’un vétéran ayant connu l’Iraq qui a trouvé les propos du rappeur ignorants et irrespectueux. Selon ses dires, au sein de l’unité à laquelle il était affecté en Iraq, ils ont perdu plus de marines en deux mois sur le front que de « rappeurs » sur les trois dernières années. Il serait difficile de ne pas le croire lorsque que l’on connaît la situation au Moyen-Orient, mais Jim Jones a tout de même souhaité répondre et donner son avis à travers son vécu.
Le rappeur constate avec regrets et recul que tous « ces n***** », avec lesquels il a grandi sont soit en prison soit mort. Il continue en précisant que la blessure est plus profonde pour lui qui a grandi avec ces personnes depuis son enfance comparée à des soldats ayant forgé leur fraternité en se rencontrant sur le terrain. Les soldats connaissent et reconnaissent leurs ennemis alors qu’en tant que rappeur, le fait d’être une personnalité publique rendrait la tâche plus difficile car toute personne peut être ton ennemi sans que tu ne le voies. Il finira par préciser qu’un militaire fait le choix de s’enrôler et partir en guerre mais qu’en enfant du ghetto n’a pas eu le luxe d’un choix à faire.
Une fois de plus, sans direct lien mais avec une même orientation, c’est Booba qui se confiait dans un entretien avec le média en ligne BRUT par un simple : « c’est les risques du métier. » au sujet de la fusillade ayant éclatée pendant le tournage de son clip à Aulnay-Sous-Bois. Ce n’était effectivement pas la première fois de sa longue carrière que l’artiste était pris pour cible avec des armes à feu… l’histoire d’un Rap criblé de balles se répète donc sans limites ni frontières.
« La vie de bandit, les peines lourdes et les pleurs. Daronne apeurée, c’est pas ma vie c’est pas la mienne, pourquoi ils veulent toujours que je foute la merde ?» - Damso
L’univers rap aujourd’hui, est aussi interprète, voire plus, que le Grand écran. Les qualités d’interprétation de nos rappeurs français ne peuvent désormais plus être ignorées, ce sont les nouveaux héros de notre époque.
Le rap, désormais genre le plus écouté en France, a donc bénéficié d’augmentation de budget lui étant consacré par les maisons de disques et labels. Les artistes installés et émergeants se voient dorénavant évoluer dans un tout nouveau business musical.
Aujourd’hui plus que jamais, l’image, un story-telling (ou scénario) et un univers auquel un public adhère, sont devenus presque indispensables.
Dans cette nouvelle ère du rap, les rappeurs sont aussi acteurs : les court métrages réalisés par PNL pour leur clips « Béné » ou « Onizuka » ont été reçus et visionnés par le public comme des séries. L’attachement était tel que l’on pouvait retrouver sur les réseaux sociaux les fans débattre de leurs personnages préférés. On peut aussi citer le rappeur Dabs notamment avec « Narcos », son dernier clip en date qui nous fait rentrer avec brio dans l’univers des braqueurs de fourgon blindé ou Sifax dernière signature du label de Sofiane : affranchis music, lui aussi dans l’univers du bandit de façon très bien maitrisée.
A la frontière du grand écran, certains l’ont déjà franchi comme l’a fait Kaaris (Braqueurs, le film) ou même Kery James en tant qu’acteur, et réalisateur, avec son film Banlieusards.
A des fins marketings, certains artistes se servent de leur passé de bandit, d’autres créent un personnage de toute pièce. Le cas 6ix9ine est l’un d’eux, non représentatif de la plupart des artistes mais, cela a mal tourné pour lui.
L’affaire concernant le rappeur, est une de ces affaires, où comment prétendre de façon un peu trop « vivace » être un gangster peut se retourner contre vous. Les hors-la-loi avec lesquels il s’était impliqué et avait construit son image médiatique, ont donné de quoi s’intéresser au FBI en personne.
A la suite de l’application de la loi RICO et son incarcération avec tout le gang autour, lui qui « n’est pas de cette vie-là » se retrouve à être le délateur de l’histoire. Lors de son procès, il a dénoncé tous les méfaits du gang qu’il connaissait en échange d’une réduction de peine. Il est actuellement toujours en prison mais sa vie n’en reste pas moins menacée pour le restant de ses jours, que ce soit en prison ou à l’extérieur (c’est souvent le sort réservé à ceux ayant dénoncés leurs acolytes d’activité illégale).
Pour d’autres artistes, ce sont des scénarios partant de faits réels ou non qui sont minutieusement réfléchis et élaborés à coup de grosse production, et pour notre plus grand plaisir. Le clip de PNL, « Au DD » pourrait en être le parfait exemple. Le clip événement sorti fin mars 2019, avait été financé à hauteur de 80 000 euros par le Centre National du Cinéma et de l'image animée.
Sans spoiler, c’est aussi ce que la série évènement Validé dévoile, en décrivant à travers le personnage du rappeur Apash, l’industrie du rap. On y trouve sans concessions les coups de communication, l’orientation de l’image et la direction artistique d’un label et de son artiste. Tout ceci pouvant être mené afin de la faire aimer du public et faire parler de lui. Rien de plus vendeur que d’alimenter les fantasmes d’un public toujours plus demandeur.
Tout ceci nous permet enfin de nuancer quelques peu la dangerosité d’un milieu rap si apprécié par le public et qui devient, depuis peu moins opaque quant à ce qui se passe en coulisses. Des exceptions subsistent néanmoins et nous ont déjà donné le change de plus, assez récemment comme le cas Tay-K. A l’inverse de 6ix9ine c’est une véritable vie de gangster qui perdra ce jeune homme d’à peine 17 ans au moment des faits. Recherché pour meurtre et plusieurs vols avec violence, il est arrêté le 30 juin 2017 après une cavale de trois mois. Le jour de son arrestation sortira aussi le son qui le rendra connu, « The Race». Un bonheur de courte durée car il n’est pas prêt de sortir de prison. En effet, le jeune rappeur a d’ores et déjà été condamné en juillet de l’année dernière, à 55 ans de prison pour un premier meurtre et est en attente du prochain jugement pour un second meurtre dans lequel il sera vraisemblablement inculpé. Agé aujourd’hui de 19 ans, Tay-K a « fêté » la certification platine de son single en prison et vit avec pour seul soutien quelques lettres de sa famille et de fans. La vie de gangster, une vie de loup solitaire.
Quelle serait donc votre position sur ce débat ? Rappeur, métier à hauts risques ?
#tupac#rip biggie#journalism#rapmusic#rap#hip hop#article#liketime#diddy#french#student#musicians#news
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East Of Broadway, Franck de las Mercedes
FdlM's paintings combine abstract figuration, journal entry, and hieroglyphic-like text, in energetic abstractions bursting with color. Franck’s personal history, childhood memories and upbringing are extracted and combined with fragments of current events, family dynamics and books. Exploring the contrast between memory and present-day cultural context, Franck creates scenes of an emotionally charged urban landscape
https://www.saatchiart.com/art/Painting-East-Of-Broadway/17458/4457321/view
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The Directed Art Modern is pleased to present: B.L. Jesseph, Rob Anderson and Franck de las Mercedes in the group exhibition Μονόχρωμος (Monokhromos). Rob Anderson, a featured artist, often documents his experiences in and around New York City through his black and white compositions and focuses on the architecture not only surrounding but also of self. · · · · · · · #robanderson #blackandwhiteart #artexhibition #lineart #groupexhibition #miamiexhibition #contemporaryart #abstractart #DAM #DAMart #miamiartist #miamiart #miamigallery #littleriverartdistrict #instaart #artcollector #youngcollectors #artlovers #dailyart #art_spotlight https://www.instagram.com/p/BzOvKbznaVd/?igshid=1j4dmjbsdy4k5
#robanderson#blackandwhiteart#artexhibition#lineart#groupexhibition#miamiexhibition#contemporaryart#abstractart#dam#damart#miamiartist#miamiart#miamigallery#littleriverartdistrict#instaart#artcollector#youngcollectors#artlovers#dailyart#art_spotlight
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Aujourd’hui, un classique des années 1990, 1995 précisément, qui représente véritablement l’essence du son club de ces années.
Mixé par Tracy & Sharon, redevenu Tom Stephan plus tard (Superchumbo, etc.), c’est également la première compilation estampillée Queen / Queen Paris, du regretté Queen “102, Champs Elysées” Club.
Elle compte - à “quelques” titres près - tout ce qui se fait de plus connu en matière de club classics, à la fois kitsch et camp : titres garage et plus commerciaux, et un design kitschissime, hommage appuyé aux drag-queens, dont le club était l'épicentre parisien - Mercedes, La Chose, Pétunia, are you here? Au menu, RuPaul évidemment, mais aussi Roxy, figures centrales des nuits new-yorkaises d'alors, Danny “T. Colby” Tenaglia vs Junior “V. Carrington” Vasquez (celle-là, je l'ai piquée à CodA Magazine), dont la guerre était alors à son apogée, titres emblématiques comme l'hymne camp et drag des drag-queens, ‘Didn’t I Know (Divas To The Dancefloor… Please)’ signé E.G. Fullalove, des hymnes club et kitsch - Olga ‘I’m A Bitch’ et le très embarrassant (à “chanter”) mais génial 'Oohhh Baby’ de V.S. aka Vida Simpson, dans sa version remixée par Armand Van Helden - l'autre version est encore plus trash !, ainsi que le désormais culte 'Club Rules’ de Namby Pamby aussi entendu dans “Pédale Douce” l'année suivante.
Des absents, de grands absents même, mais bon, comme à chaque fois dans ce genre d'exercice. On ne les nommera pas donc : il suffit de faire quelques recherches pour les trouver.
Pour y être allé une première fois l'été 1995, et avoir passé la terrible Sandrine, je peux vous assurer que ce son est l'exacte photographie du son clubbing d'alors, de celui que d'aucuns considèrent comme l'âge d'or du clubbing et dont 1995 représente l'année-phare.
En cette période de regain spectaculaire des drag-queens, et ce n’est pas le succès de RuPaul’s Drag Race depuis plus de dix ans qui me contredira, il me semblait juste de rendre hommage et justice à ce haut-lieu des nuits parisiennes qui vit la culmination de cette équation, ce mix difficile entre clientèle, animation et musique.
Vous pouvez y aller les yeux fermés , mais les oreilles grandes ouvertes. 'Love to do it!** ** Un petit - en fait, non, un grand - merci spécial à DJ Co-Inside pour avoir amené ce son si particulier du Queen au News, une de ces plus belles années des 1990s et avoir joué un set alors mémorable et enflammé, et le… EG Fullalove ! ;)
Et merci à tous les beautiful people d'alors, Laurent B. et Karine, Servullo & Jessie, Sébastien - la vipère, Isabelle & Walid + Wilfried, Joël (miss you, bitch! Where are you now?) & Manu, Gaby + Alain, Julian, Karim & La Pam’, François et Joachim et Bruno, “Roméo” et Diane, la clique des Plaisir de… - Julien, Paul, Stéphane & Alexis la chinoise, DJ Purdey Bitch, Dom’ et Rodolphe et Isabelle -'Ugly!’, Marie-Laure B. + Thomas P. & Hugues M. et David, Céline et Arnaud“ils ont passé DeLacy 'Hideaway !’ ” les jumeaux & Philippe, Magali et Carine & les filles, Sandrine (“Téléthon”), Mehdi ‘Boy Bazar’ , Amin & Ezzedine, Mouss’ et ses frères, Ali “le bandit”, Jérémy B. - “Mais comment t'as fait ? Elles étaient toutes folles, vertes de jalousie !”, Anthony & Amélie, Emmanuel B. (BFF) & Benoît & Pauline & Renaud et Eric from Denmark et Adèle et Raphaël et Marc et Bruno & Aurore et Chieng-Fu, Musica Diablo et son équipe de choc - Alberto, Charles, Eric, Franck, Emilie (R.I.P. - we miss you ) et Fred, RSF - Dan & PF et Keno, Rom et Jeff & Laurent D., Le Black Mint & Rémy, “Tata Maman Raoûl” (private joke - “Qui a chié sur le palier ?”), “Cathy La Fermière”, Le Voyage - Thomas, Fabien, Stéphane & Brigitte -, Lætitia et Maeva, Stéphane et sa bff Véronique, Cyril J., Alain “Maman” et Stéphanie et Jeff et Fred “Le Pacha” et William et Fabrice + Aline & Dominique - Le News & Le Duplex, Gilles ‘Baby Mixer - Kill that bitch!’ et Valérie et Sébastien et… Philippe B. Merci pour cette époque formidable ! **Love you all, miss you in some cases. **
Vous pouvez l’écoutez (pour le moment) ici :** **
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#Just a drag... queen#1995#Tracy & Sharon#Tom Stephan#Superchumbo#Queen#Queen Club#Queen Paris#Queen Club Paris#Paris#DJ Co-Inside#Co-Inside#France#classic#classique#102 Champs Elysées#dragqueen#drag queen#RuPaul#Danny Tenaglia#Junior Vasquez#Ride Committee#zeitgeist#1990s#90s#epitome#club classic#club classics#RuPaul's Drag Race#RPDR
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Franck de las Mercedes, “The Priority Boxes” (AKA Peace Boxes), 2006, paint on cardboard boxes
source:https://www.healing-power-of-art.org/artist-spreads-peace-love-hope/
Each box is both a canvas for a unique abstract painting and also a platform for communication through art – a mixture of art and social engagement. It is a stunning example of how one artist who creates art for social change can make a difference. The peace boxes have quickly evolved into a movement embraced by popular culture, the mainstream media, schools and art educators across America and abroad.
Method driven exploration: Franck’s project encourages people to consider how they might be able to influence others using similar creative activities. Franck’s simple and ambitious creative initiative has served as a catalyst for others to participate in conversations about art and peace. They inspire questions about the fragility, value and priority given to those concepts.
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the flowers of war : Original Children Painting by Franck De Las Mercedes | Expressionism Art on Canvas | Child Of War https://ift.tt/34fk9cN
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Most of my work stems from an emotionally charged, at times dark, at times painful place. To hear others regard it as beautiful or meaningful to their lives is the biggest compliment. The gift is in sharing and understanding the feelings and experiences of another.
Franck de las Mercedes (via huariqueje)
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Summer Exhibit Seeks to Amplify the Voices of Immigrant Artists In The Heights
CREATING HOME: IMMIGRANT PERSPECTICES
Is the inaugural exhibition in NoMAA’s new gallery on the first floor of the iconic United Palace annex.
New York -- Northern Manhattan is a community shaped by refugees and immigrants from all over the world. In this timely exhibition, sixteen artists from Central and South America, the Caribbean, Asia, Canada, Europe and the Middle East reflect on what it means to create a home away from home. They explore themes such as belonging, memory, identity, nostalgia, and the intertwining of cultures. They examine place, identity, displacement, and fragmentation and they question the politics that continually surround their experiences. We invite you to view their works and to read and listen to their compelling and unique stories.
In this group exhibition, Northern Manhattan Arts Alliance NOMAA amplifies the voices of local immigrant artists.
On View till- August 31
NoMAA Gallery
4140 Broadway @176 St, NY
(Hours: Tuesdays 1-4pm and by appointment)
Hear from the artists! Click below to view clips of statements of partcipating artists.
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"My work examines the emotional, spiritual, and developmental fractures in family dynamics inflicted by war, trauma, the disintegration of family through migration, and loss. Taking a critical view at the influence that sociopolitical and cultural issues can have on emotionally impaired families, I often reference my own childhood, history, current events, and pop culture. Each work is constructed from an inventory of visual fragments such as: drawings, journal pages, photographs and found ephemera, arranged with bold colors, jagged linework and abstract text patterns." --Franck de las Mercedes
More about FdlM:
fdlmart.com
#fdlm#nomaa#manhattan#nyc art#washington heights#franckdelasmercedes#artists#immigrant artists#uptown#NYC#Youtube
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Los Altos, Franck de las Mercedes
FdlM's paintings combine abstract figuration, journal entry, and hieroglyphic-like text, in energetic abstractions bursting with color. Franck’s personal history, childhood memories and upbringing are extracted and combined with fragments of current events, family dynamics and books. Exploring the contrast between memory and present-day cultural context, Franck creates scenes of an emotionally charged urban landscape
https://www.saatchiart.com/art/Painting-Los-Altos/17458/4464828/view
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“History Of Creative Humanity” Franck de las Mercedes,His multifaceted body of work includes painting, collage, drawing, photography and writing. His paintings combine abstract figuration, journal entry, and hieroglyphic-like text, in energetic abstractions bursting with color. Franck’s personal history, childhood memories and upbringing are extracted and combined with fragments of current events, family dynamics and books. Exploring the contrast between memory and present-day cultural context, Franck creates scenes of an emotionally charged urban landscape. . . . . . #abstractart #abstractpainting #paint #dailyart #urbanart #streetart #artiste #instagood #humanity #creation #mask #artofinstagram #miamiart #instaart #DAMart #franckdelasmercedes (at The Directed Art Modern) https://www.instagram.com/p/BnzFrQdDrJw/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1cyyk4n4ph9he
#abstractart#abstractpainting#paint#dailyart#urbanart#streetart#artiste#instagood#humanity#creation#mask#artofinstagram#miamiart#instaart#damart#franckdelasmercedes
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Pendant que ce week-end les champs Elysées ont d’un coup perdu de leur superbe, pendant que notre bon Manu ClubPrez’ fait la sourde oreille face à la protestation des citoynes qui l’ont élu, pendant que Lundi, vu le bazar, de bonne heure de bonne humeur tout le monde se faisait un peu taper sur les doigts, pendant que de l’autre coté du Channel l’heure n’est pas à la fête, pendant que, mois de Mars oblige, les nuages jouent à cache-cache avec le soleil et pendant que le prix Abel était pour la première fois attribué à une femme…
Et bien pendant ce temps là … Pendant ce temps là, je suis allé me mettre de la boue jusqu’au pare brise, tout du moins, j’ai essayé.
Samedi dernier, je répondais donc à l’invitation de Steve de l’écurie FamapOil Racing qui organisait sur son terrain de jeu une ballade Off-road dont lui seul à le secret. Certains d’entre vous se souviennent sans doute de ma présence à une précédente édition en mode touriste où j’avais pu à loisir, partager le baquet d’un buggy et celui d’un Pajero. Cette expérience m’avait d’ailleurs en partie quelque peu inspiré de continuer le rituel de cette chronique du Mercredi.
2019 sonnant, je suis revenu en vallée de l’Eure cette fois ci en compagnie de Franck (mon T3 rouge pompier ) et assisté du célèbre Mr VTG équipé d’une paire de bottes en caoutchouc pour l’occasion. Toujours pour l’occasion, Franck avait chaussé un set de pneus à tétines de toute beauté sur des jantes Mercedes, elles aussi fort seyantes, croyant sans aucun doute que cette panoplie du parfait baroudeur suffirait à affronter le parcours concocté par notre maitre de cérémonie.
Après une pause café/croissant et un briefing haut en couleurs, nous voilà partis à l’assaut de cette nouvelle édition de “Bouillasse et verres à pieds”. Une impasse, un chemin de terre et nous voilà lancés à l’assaut d’un sentier bourrés d’ornières dans un cadre magique en bordure de l’Eure. Les quatre roues dans la boue dans un paysage à couper le souffle… Le MC ne s’est pas foutu de nous. Premières glissades, premières flaques de boues histoire de maculer les bas de caisses afin de prouver au monde entier et à l’Instagramosphère haletante qu’on y est allé pour de vrai. Jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien… Quand tout à coup tout bascule. Arrivé à une fourche il faut choisir de passer à droite ou à gauche, et loin de toute considération politique, le choix s’est avéré évident, à droite Franck ne passera pas, la gauche s’impose alors comme seule choix possible, la gauche et sa grosse (enfin grosse) mare de boue…. Premier kilomètre à peine et déjà tanké comme des bleus… Franck et ses grosses fesses ne nous ont pas vraiment laissé le choix que de nous faire tracter par un 4×4 moitie moins gros que lui. Personne à l’horizon mis à part nos sauveteurs qui feront une photo pour la postérité, des Rascals Cats plantés dans 10 cm de boue avec leur T3 rouge pomplard…. Thanks Sean.
Plus loin Franck et surtout ses grosses fesses nous collerons l’affiche de manière grandiose. Par un génialissime tour de passe-passe et une maitrise parfaite de l’esquive, nous qui étions en queue de convoi, nous nous retrouverons en pole position. Situation idéale pour attaquer la remontée d’un petit vallon, dont jamais nous ne sortirons. Trop lourd, pas assez puissant, ce n’est pas un set de gommards à tétines raide de neuf qui feront la différence. Sans l’aide de Boris, Franck et ses grosses fesses seraient sans doute rester à admirer le paysage dans le fond de cette cuvette, et nous avec.
Nous terminerons la première partie de journée avec un parcours plutôt écourté en mode “la balade des puceaux” où nous terminerons de maculer les bas de caisses dans des flaqounettes pas trop profondes afin que les followers aux abois soient satisfaits et que les pneus à tétines flambants neufs aient un minimum l’air usés… La deuxième partie de journée se déroulera dans le cadre feutré et convivial du Toy’ de Benji et Charlotte en tant que passagers… Libre de mes mouvements et sagement assis sur la banquette arrière, cette deuxième partie de journée me permettra de produire quelques images tout en profitant du spectacle. Spectacle qui d’ailleurs se jouera jusque tard dans la nuit avec une session nocturne à ne pas piquer des hannetons.
Passer pour des touristes et être le joyeux rebondissement de l’édition 2019 de Bouillasse et Verres à pied… Ca c’es fait
Ps: Je finis de trier les photos afin de vous proposer une belle galerie pour l’Unpublish’ de dimanche.
Et Pendant ce temps là … Pendant que ce week-end les champs Elysées ont d'un coup perdu de leur superbe, pendant que notre bon Manu ClubPrez' fait la sourde oreille face à la protestation des citoynes qui l'ont élu, pendant que Lundi, vu le bazar, de bonne heure de bonne humeur tout le monde se faisait un peu taper sur les doigts, pendant que de l'autre coté du Channel l'heure n'est pas à la fête, pendant que, mois de Mars oblige, les nuages jouent à cache-cache avec le soleil et pendant que le prix Abel était pour la première fois attribué à une femme...
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FUJIMORI INDULTADO
Martes 26 de diciembre del 2017 - El espejo peruano ha terminado por reflejar que la corrupción política y desintegración nacional ha llegado a su máxima expresión. Después de hacer un esfuerzo por no vacar a un presidente que ganó “por un pelo”, y haberlo rescatado por “otro pelo” con el retiro de 10 votos de la izquierda, se ha sabido que en realidad había una maquina en marcha al menos desde octubre del 2017 para liberar a Fujimori. Es posible que el pedido de vacancia fuera parte de la escenografía de esa maquinaria. Pedro Francke ha circulado un texto dando precisiones procesales y el Ministerio de Justicia, donde el Ministro es el Fujimorista Enrique Mendoza, negó el 22 de diciembre la existencia del informe de la junta médica que estaba circulando en las redes. Mientras Mercedes Araoz salió a la prensa a decir, el mismo 21 de diciembre, que en el gobierno de PPK “los indultos no se negocian”. Lo cierto es que bajo el premierato de Araoz se organizó la trama que involucró al Ministerio de Salud y al Ministerio de Justicia y que ambos comenzaron el 11 de octubre a mover personas a cargos vitales para este indulto tramposo. Kuczynzski, desde setiembre del 2017, venía anunciando su deseo de liberar a Fujimori como una manera de obtener el apoyo del fujimorismo en el congreso, y el cambio de gabinete se entendió que iba en esa dirección.
El ministro de Justicia Enrique Mendoza, asumió el cargo el 11 de setiembre y entonces se dijo que eso era para liberar a Fujimori. Se escribió entonces que “Una de las razones por las que la designación de Enrique Mendoza ha sido cuestionada es porque algunos especulan que el reemplazo de Marisol Pérez Tello se debe a la oposición de la ex ministra de Justicia a un eventual indulto a Alberto Fujimori.
Según Pérez Tello, al expresidente peruano no le correspondería un indulto común ya que fue condenado por crímenes considerados de lesa humanidad. La única posibilidad para que Fujimori salga de prisión, de acuerdo a la exministra, sería otorgarle un indulto humanitario si es que se comprueba que tiene una enfermedad que lo amerite.” [1]
Con el Ministro de Justicia adecuado para la liberación de Fujimori, éste cambió la Comisión de Gracias Presidenciales un mes después de llegado al cargo. La Comisión de Gracias Presidenciales fue cambiada el 12 de octubre del 2017 cuando se nombraron nuevos presidente y miembros liderado por Orlando Franchini Orsi de 92 años. Franchini renunció seis días después y fue sustituido por el vice ministro de Justicia Juan Falconi Gálvez el 7 de noviembre. El Ministerio de Justicia estaba listo para firmar el indulto.
En paralelo, el 11 de setiembre asumió el ministerio de Salud el Vice Almirante (r) Fernando D’Alessio. Igualmente el 11 de octubre, en simultáneo con el Ministerio de Justicia, cambiaron al Director de redes integrales de salud Lima Este. Lima Este es la zona donde se encuentra el penal donde estaba Fujimori. Puso en el cargo a Luis Champin Loli, un ex – marino que no sabe nada de salud pública ni de gerencia de servicios de salud. El objetivo de Champin era nombrar una junta médica conformada por el médico de Fujimori, Juan Postigo Díaz, y por otros dos: Víctor Amado Sánchez y Guido Hernández Montenegro para tener un informe favorable al indulto por razones humanitarias sin consultar al Colegio Médico o a alguna de las sociedades de especialistas médicos en los temas que afligen a Fujimori.
El Ministro D’Alessio tuvo un recorrido como director de Centrum de la Católica donde dejó un reguero de juicios y de problemas con numerosos profesores por arbitrariedad. Así, con la misma arbitrariedad la junta médica penitenciaria estuvo conformada por el médico de Alberto Fujimori. La Junta Médica Penitenciara dijo en el 2013 que Fujimori no tenía cáncer terminal. Ahora el informe dice básicamente que Fujimori está anciano y que tiene que ser controlado médicamente por más o menos todo lo que se le controla a la gente mayor. Ese es el argumento humanitario. Liberado por viejo.
Esta trama que involucra dos ministros y dos cargos de tercer nivel cambiados en la misma fecha y que colocó al médico de Fujimori dentro de la Junta Médica Penitenciaria, invalidándola, fue algo coordinado. Ocurrió bajo dos ministros del gabinete Araoz, así es que cuando ella dijo que este gobierno no negocia indultos, es posible que ya supiera como iba este indulto desde antes. En todo caso ella es la responsable política directa y ya renunció debido a eso. Los operadores de Salud y Justicia deberían irse de una vez y el fallo debe ser rectificado y Fujimori regresado a la cárcel. ¿Quién coordinó la trama?
PPK, si tuviera sangre en la cara, renunciaría, pero ya se sabe que su única motivación es el dinero y el poder. Los que votamos por él en la segunda vuelta fuimos engañados. De qué importa un buen profesional que nunca dice la verdad. De qué importa un Presidente (otro más) que solo miente para tener más poder. Dijo que siempre fue honesto. Esta acción lo ha confirmado como mentiroso y tramposo, arrogante y vano. Es una basura.
Fuente:http://prensarural.org/spip/spip.php?article22509
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Diagonale 2017, Doublement Fou !
Avec ses 167km de bonheur et 9780m de dénivelé positif à travers l’île de la Réunion et son environnement classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité, la Diagonale des Fous est une course aphrodisiaque voir même quelque peu SM. Un seul impératif : parcourir la distance en moins de 66h. Elle a beau te faire souffrir comme ce n’est pas possible, elle t’attire inexorablement et te hante.
Après une première participation en 2016 (722e en 47h42) durant laquelle je m’étais juré de ne plus y retourner, j’ai vite replongé. Mais pas seul, cette fois-ci, car nous étions trois potes sur la distance avec Yansé Gara et Sohier Sylvain. Et même cinq gravelinois au total si l’on ajoute Guillaume Descombes (445e) sur le Trail de Bourbon et Jérôme Angele Lory Leguay sur la Mascareignes. Sur cette édition, Yanse et Sylvain étaient soutenus par leurs employeurs et portaient les couleurs de Saga Mercedes et de BASF ; pour ma part je courrais pour “Solidaires En Peloton Arsep” et la “Fondation ARSEP - Vaincre la sclérose en plaques” afin de lutter contre la Sclérose en Plaques. Côté préparation, c’est à la fois mieux armé (35h d’entraînement en + sur les 12 dernières semaines) que j’arrivais au cœur de l’océan indien mais aussi plus fragile et empli de doutes quant à une douleur au talon apparue fin août et qui me fait souffrir dès que j’allonge les sorties et surtout en descente. Frustrant car la tendinose que je traînais depuis janvier n’est plus qu’un mauvais souvenir grâce à l’excellent travail de Cédric Rathe et de Franck Gaeremynck. Je visais un temps inférieur à 45h pour pouvoir tenter le tirage au sort de la Western States (qui finalement est passé sub 50h), sans pour autant oublier que l’objectif n°1 sur la Diag c’est de couper la ligne d’arrivée !
Atterrissage lundi 16 octobre au petit matin à l’aéroport Roland Garros de Saint Denis. Je partage un tipunch avec Christian Barthélémy (abd cause gros lumbago au 40e), un coureur nordiste super sympa, qui était sur le même vol. Nous profitons d’une danse de Maloya suivi d'un briefing de Robert Chicaud, le boss du Grand Raid, toujours présent.Hormis un manque de sommeil et des problématiques extrasportives dont je me serai bien passé durant les dernières semaines, je suis dans un état d’esprit positif et les trois jours qui précédent le grand départ sont une belle bouffée d’oxygène entre lagon, piscine et cascades. « l’Ile Intense » est juste magique.
Mercredi 18 octobre au matin, direction Saint Pierre pour le retrait des dossards où j'y retrouve les compères et croise pas mal de nordistes : JB Jbb (680e, 46h08), Alexandre Delplace (189e de la Mascareignes en 12h55), la Team LNA avec Renaud Bailly (1553e, 58h15 entre amis)... La star américaine Jim Walmsley (abd Sans Souci) déambule sur le village. Après avoir récupéré le sésame et les cadeaux des partenaires nous allons nous restaurer dans la même crêperie bretonne que l'an passé avec nos épouses. Le cidre passe comme une lettre à la poste; ça doit être une question d’index glycémique. On se retrouvera également le soir à l'hôtel pour partager ce qui sera le rhum de la décompression. 1 verre pour Jérôme, 2 pour Christophe, 3 pour Yanse et 4 pour Sylvain …. N’en tirez pas de conclusion hâtive sur le meilleur régime d’avant course lol L'ambiance est vraiment au top entre nous.
Jeudi 19 octobre, réveil un peu avant 6h du mat à cause d'une voisine aussi discrète qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine. On se lance dans la préparation des sacs après avoir consulté la météo avec Jérôme engagé sur la Mascareignes (65km). Un beau casse-tête tellement il y a de choses à caser dans le sac de course et les sacs d’allégement que je retrouverai à Cilaos (67km) et Sans Souci (123km).
Le petit dej et le repas du midi sont copieux. La montre tourne et c'est vite l'heure de la sieste. Je ne dors pas vraiment mais ce moment m’apaise. Réveil 16h45. J'enfile la tenue et le sac qui fait 4/5 kilos, j’avale une dernière assiette de pâtes au blé complet en guise de gouter et hop c'est parti. Je somnole dans la navette tout en savourant le magnifique coucher de soleil sur l'océan indien et la ferveur qui grimpe dans les rues à notre passage.
J'arrive à Saint Pierre vers 19h30 et, cette année, je passe le contrôle des sacs sans encombre. Je retrouve Sylvain, Yanse et son cousin Fulbert (abd car malade) qui sont allongés près des barrières qui s’ouvriront un peu plus tard pour libérer le chemin vers la ligne. Un petit selfie pour nos vieux jours en maison de retraite et hop on fait une sieste sur un sol truffé de cailloux. 21h20, « Tout le monde debout ! » comme dirait les Negmarrons. L'hymne du Grand Raid prend les tripes. Les barrières s'ouvrent et là ça sert des coudes sévères comme à la bande de Dunkerque pour se faire une place de choix sur la ligne. Je me retrouve quelques mètres derrière les élites, j’aperçois Charles Hubert Queval (abd Cilaos) et sa femme Pauline (abd début Taïbit), d'autres nordistes vice-champions de France de raid multisports entraînés par Guillaume. Par contre, j'ai perdu mes deux acolytes dans la bande. Je sais que l'on se retrouvera vite car nous avons décidé de partir sur bon tempo tout au moins jusque Domaine Vidot (14e km) pour éviter les bouchons. Je profite de ce moment juste magique. Les artères de Saint Pierre sont bondées et c'est la fête à tous les étages.
Top Départ, comme prévu je me cale sur un rythme sympa mais qui me permet tout de même de savourer l’instant. Pas question de faire grimper le cardio. La ville est en ébullition, c’est grisant. Des milliers de mains se tendent pour nous faire des checks, les yeux des enfants brillent d’admiration. Sur les premiers kilomètres de plat, je slalome entre les quads de Canal + Grand Raid tout en appréciant le feu d’artifice. Sur les premières pentes la foule est tellement dense que le passage ne s’ouvre qu’à notre approche comme sur le tour de France. Bientôt le serpentin de frontales entre dans les champs de canne à sucre alors que j’aperçois une magnifique étoile filante. Je vous laisse deviner le vœu que j’ai pu faire…
Au 7e kilomètre mes compères me rattrapent. On échange quelques mots. Sylvain va trop vite, je ne préfère pas jouer avec le feu. Je fais un kilomètre avec Yanse mais pas plus, il part comme cendrillon avant minuit. A Domaine Vidot, j’avais imaginé passer autour de la 500e place mais ce n’est pas évident de se faire une idée en course. En réalité, je pointe 131e contre 1293e en 2016... Une dizaine de places derrière mes compères. Autant dire que je ne perdrai pas de temps dans les bouchons cette année. Comme prévu je ralentis un peu mais à dire vrai je n’aurai pas pu tenir ce rythme beaucoup plus longtemps. La nuit défile alors que les sensations sont mi-figue mi-raisin d’autant plus que je régresse logiquement au classement. La douleur au talon est présente mais supportable, par contre j’ai les deux genoux qui tiraillent sévère ainsi que la hanche. Le moral n’est déjà pas au top qu’en compagnie d’une centaine de coureurs dont Yanse, je m’égare quelques minutes juste après le nouveau ravito de “Nez de Bœuf” qui remplace celui de Piton Textor. Après m’être fait déposer dans la descente vers Mare à Boue, je suis 377e (49e km). Je me jette sur un Carry Poulet qui fera office de petit dej et je retrouve Yanse qui termine son repas. Sous la grisaille, on essaie de se remonter le moral mais à ce moment-là nous ne sommes pas des plus glorieux et il reste 116km…Le jour se lève et au fil de la montée du Coteau Kerveguen, je retrouve d’excellentes sensations d’autant que le paysage est magnifique. Je repasse Yanse et une trentaine de coureurs dans la montée ; par contre cette descente mythique est ultra technique et dangereuse : 750m de dénivelé négatif en 2.2km. Pas de question de prendre des risques démesurés pour ma part et comme je ne suis pas technique en descente, je perds quasiment tout ce que j’avais gagné. RRRRrrrrr.
Une fois en bas, le paysage est somptueux. Je profite d’une portion bitumée pour appeler Elise et lui faire part de mes craintes sur mon état. Elle n’en parlera pas afin de ne pas inquiéter mes proches. J’arrive ensuite à Cilaos où je récupère le sac d’allégement. Bye bye les Hoka Speedgoat 2, welcome les Sportiva Akasha. Je ne traîne pas dans cette cuvette surchauffée et je prends le sentier qui mène au pied du Taïbit. Je suis dans le dur et il me faut un peu de temps pour comprendre que je suis carencé en sodium. Heureusement, trois TUC plus tard ça repart. La fin d’ascension du Taïbit passe comme un velours tout comme la descente vers Marla ou j’arrive à 14h. J’adore ce lieu improbable, véritable porte d’entrée du cirque de Mafate.
Ça y est, je vais pouvoir profiter du cirque en plein jour contrairement à l’an passé. Le spectacle est grandiose notamment lorsque nous passons sur une crête vertigineuse surplombant les nuages entre deux ravins. De jour, je me sens d’avantage en sécurité.La pénombre tombe et mon cerveau transforme les pierres et la végétation en forme originales, tantôt j’aperçois des animaux imaginaires, tantôt Anakin Skywalker… Apriori c’est la même chose pour tout le monde.
J’enquille sur un train de sénateur (donc surement mais mollement, s’il fallait le préciser) les kilomètres jusqu’au ravitaillement de Grand Place École au km98. Grand Place, c’est un Ilet où se trouve le ravito qui annonce la montée du Maïdo et où je pointe en 404e position. Après 100km de course c’est donc l’équivalent de 125 montées des escaliers du PAarc qui nous attendent ! Un velours. Mais avant cela, la nuit est tombée et je suis fatigué ; je trouve une place dans une tente et demande au bénévole de me réveiller 20mn plus tard sauf que c’est bondé, ça bouge et je vous passe les odeurs ; je tarde à trouver le sommeil j’allonge donc la pause de 10mn mais en vain. Et mince, dans l’obscurité, j’ai mis mon short à l’envers, doublure apparente… oups je rectifie le tir. Au moment de repartir, j’aperçois Yanse allongé mais éveillé. On échange quelques mots, un sourire et puis je me lance sur la 1ère partie d’ascension qui mène à Roche Plate avec ACDC à fond dans les oreilles. Je n’utilise jamais de musique habituellement mais je voulais tenter l’expérience. Cet endroit est terrible car on aperçoit des frontales 2000m plus haut et on a tendance à les confondre avec les étoiles d’autant plus que le ciel scintille de partout. A Roche Plate que l’on pourrait qualifier de cour des miracles ; je suis super bien alors je fais le gourmand en me lançant dans l’ascension Maïdo Tête Dure après un ravito express et en me disant qu’il faut profiter de cet état de forme. J’esquive de justesse une chauve-souris qui allait me foncer dedans ébloui par la frontale. Après un joli coup de bambou, je relance bien en fin d’ascension et voilà le sommet. J’ai repris 80 places sur les 15km pour 2000m+. Yes !!!!J’avais gardé un bon souvenir de la longue descente de 13km qui mène vers Sans Souci ; un peu trop car elle n’est vraiment pas si roulante surtout en pleine nuit. Je suis fatigué, j’hésite à faire une sieste mais j’aperçois trop de rongeurs pour me laisser tenter. Juste avant d’arriver au ravitaillement, je suis bêtement un coureur et nous nous égarons bernés par un catadioptre de voiture que l’on a pris pour du rubalise. Et hop encore 10mn de perdues. Comparativement à 2016, ce sera d’ailleurs l’unique section que je parcourrais plus lentement.A sans Souci, je me restaure mais je sature du salé et j’ai des hauts le coeur. Je n’ai plus d’appétit si ce n’est pour les crêpes à la confiture.
Et hop ça repart avec ce passage toujours sympathique à travers la rivière des galets. La portion qui mène à Dos D’âne, n’est pas la plus belle du parcours ni la plus dure mais le rythme est correct. Sur le Chemin Ratineau qui suit, au milieu des lianes, je double le nordiste Emmanuel Hadoux (616e, 45h25) qui habite désormais à la Réunion et qui souffre de la cheville depuis le 85e km. En warrior, il ralliera l’arrivée en 45h tout de même ! Bravo !
Puis voilà, la Possession, en bord de mer, ou je retrouve Elise Isaert - Legoutheil et Jules qui me rapportent la Pompote dont je rêvais et de la Saint Yorre ! C’est bon pour le moral même si je ne traîne pas trop car le soleil recommence à taper. Et ce n’est pas cette année que je vais me réconcilier avec le chemin des Anglais qui brûle déjà à 10h du matin… Une gentille dame m’accompagne sur plusieurs hectomètres et m’arrose régulièrement avec sa bouteille d’eau. A Grande Chaloupe, je refais les niveaux et je repars pour les 800 derniers mètres de dénivelé positif vers le Colorado. Plusieurs habitants ont sorti les tuyaux d’arrosage et nous apportent un peu de fraîcheur salvatrice bien que le vent fort nous sèche rapidement. La fin d’ascension pique mais l’approche de l’arrivée me donne l’énergie nécessaire pour faire le trou sur quelques poursuivants. Dernier ravitaillement, je mets le t-shirt obligatoire fourni pour l’arrivée et me voilà parti pour l’ultime descente et pas la moindre… C’est vraiment un chantier.
Et là, la magie opère. Jules et Elise m’attendent à l’entrée du Stade ; Jules me fait rire car il a décidé de se faire son arrivée solitaire en sprint sous les applaudissements. Je coupe finalement la ligne 320e /2570 au départ pour 41h01 de course pour mes 41 ans ça colle ! soit 6h41 de mieux que l’an passé. Elise est émue ; je réponds à une question du speaker avant de retrouver les amis venus m’accueillir. Sylvain qui a terminé dans le temps canon de 35h03 et à la 116e place est resté sur le stade pour nous attendre. Il vient juste de conclure une saison hallucinante avec des performances de premier plan sur tous ses objectifs (AMT, TCO, Kylian Classic, Grand Raid…). Un peu moins de deux heures plus tard c’est Yanse que nous accueillons, son sourire et les larmes de Céline sont émouvants. C’est son 3e Grand Raid et il a terminé les 3 qui plus est en explosant son record ! Comme c’est bon d’avoir conclu l’affaire à trois et en remplissant largement nos objectifs ! Il n’y a pas de doute l’effet de groupe nous a boosté même si nous avions choisi de faire chacun nos courses pour ne pas nous retrouver sur de faux rythmes. Les traits sont tirés mais les sourires sont là ! On l’a fait et cette aventure restera gravée.
Comme je l’ai dit, je dédis cette course à mon papa et à toutes les personnes atteintes de sclérose en plaques. Vous êtes nombreux à m'avoir demandé si j'avais mis en place une cagnotte en ligne pour l'aventure dans le cadre de Solidaires En Peloton Arsep , si vous souhaitez faire un don en ligne à l'Arsep (même minime c'est le geste qui compte) pour la recherche contre la maladie je serai encore plus comblé :https://www.arsep.org/fr/faire-un-d... . Comme sur l'île de la Réunion, les petits ruisseaux font les grandes cascades. Epilogue : J’ai beau avoir fini moins éprouvé qu’en 2016, je suis tombé endormi à 19h dès le début de ma séance de Compex. Musculairement la récupération est plus rapide que l’an passé, par contre je me sens bien plus fatigué. Je vais m’employer à ne pas tomber dans le piège de l’euphorie connu l’an passé et je vais prendre le temps de récupérer. Concernant les prochains objectifs, j’espère un tirage au sort positif pour l’UTMB 2018, probablement la Mascareigne en mode coach, peut-être un marathon au printemps et un ultra de 100km en mai/juin ; à voir !Merci à tous !Remerciements (entre autres) :
- Franck Gaeremynck (rééquilibrage et techniques innovantes, osthéo)
- Cédric Rathe (ondes de choc et tecar au top, kiné)
- Vanessa Braye (massage sportif à la fois relaxant et dynamisant)
- Stephane Sabine Louka Maxine (conseils expert kiné/ostheo)
- Hélène Hayotte Sophrologue Psychomotricienne Gravelines (conseils sophro)
- Frédérique Garat (la conférence nutrition était instructive)
- Cryopale Calais (la cryo à -150C qui aide à aborder les compets)
- Air France et CE Lignes (billets R1/hôtel)
- Compex France (je ne peux plus m’en passer depuis 3 ans)
- Solidaires En Peloton Arsep et la Fondation ARSEP - Vaincre la sclérose en plaques pour votre action au quotidien pour lutter contre la Sclérose en Plaques
- RDL RADIO, Le Phare dunkerquois - Le Journal des Flandres; La Voix du Nord Dunkerque et DELTA FM pour le partage de l’aventure- L’ensemble des organisateurs et bénévoles du Grand Raid Réunion - Officiel
- Le Team Gravelines Trail pour l’état d’esprit et les encouragements qui mettent une bonne pression. Quelle belle aventure humaine que ce team !
- Tous les amis, collègues et la famille qui ont envoyé de bonnes ondes
- Mily Mily Sohier Couvreur, Celine Gara, Angele pour nous avoir supporté et pour la comm au top !!!!
- Sylvain, Yanse et Jéjé, partenaires de cette belle aventure et Guillaume Descombes même si l’on ne s’est pas croisé
- Et surtout Elise pour sa patience et son soutien au quotidien !
Et oups, j’allais oublier : RHUM Charette bien sûr !
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