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nateoulanuance · 4 years
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Coronavirus : Quelques raisons pour mieux comprendre les gouvernements
                                  Écrit par Nate
                             Publié le 21/04/2020
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Emmanuel Macron, Ă  l'hĂ´pital militaire de Mulhouse, le 25 mars. Photo Mathieu Cugnot. REUTERS
Au visionnage du reportage  de Phillip Coggan pour l’hebdomadaire britanique The Econnomist, bien que des erreurs ont pu être commises par les gouvernements dans cette crise sanitaire mondiale, nos esprits peuvent maintenant y voir un peu plus clair. De la fumée se dégage peu à peu pour mieux comprendre  le climat irrespirable de pression dans lequel plusieurs gouvernement ayant mis un place un confinement se retrouvent actuellement. Ce climat résulte d’un choix à faire, un choix avec de lourdes conséquences, celui du déconfinement, quand et de quelles manières ?
Le travail fait par les journalistes du Monde en France et par ceux de The Economist en  Grande Bretagne illustre précisément les dégâts économiques et humains que le coronavirus a déjà engrangé. Le cuivre, le fer, le pétrole avec  le baril américain  clôturant hier à -37.63 dollars et pour la première fois en prix négatif. Tout semble avoir baissé, même l’or, communément perçu comme une valeur sure enregistre un baisse continue selon la chaîne CNBC.
La barre des 170 000 morts à l’échelle  mondiale s’apprête à être atteinte, c’est le constat en termes d’effectif humain. D’un point de vue économique c’est aussi désastreux,  l’effondrement des marché financiers est à l’échelle du jamais vu.
Au-delà des centaines de milliards de manques à gagnés déjà enregistrés pour ces deux territoires, c’est un gouvernement qui semble incertain concernant les directives à prendre et à donner.
Le nouveau point d’encrage des français est désormais la date du 11 mai prochain, Édouard Philippe le 13 avril dernier promettait aux français « un plan complet largement avant » cette date. Nouvelle date du potentiel déconfinement qui s’annonce depuis quelques jours être un déconfinement progressif.
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Continuer à observer l’économie  tourner au rouge un peu plus chaque jour ou déconfiner pour un PIB moins endommagé mais un bilan humain des plus ensanglantés.
Selon le monde et une étude du NREB (National Bureau of Economic Research) commandé par le Département du Travail des États-Unis (United States Department of Labor) ce sont près de 10 millions de français, tout comme d’américains, qui sont actuellement en situation de chômage partiel.
Philip Coggan , en fin du même reportage revient sur quelques informations primordiales à la compréhension des enjeux de cette crise sanitaire. Selon le journaliste, « Le calcul difficile  des gouvernement est d’échanger la vie des personnes qui mourront du Coronavirus contre les dommages économiques sur l’économie. » C’est une situation inouïe dans l’histoire qui nécessite  la prise d’une décision avec des répercussions sans pareilles quels qu’en soit les choix.
La stratégie de déconfinement reste au centre du débat. Continuer à observer l’économie  tourner au rouge un peu plus chaque jour ou déconfiner pour un PIB moins endommagé mais un bilan humain des plus ensanglantés, potentiellement 1 millions de mort de plus.
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Portrait d'Edgar Morin • Crédits : Michele Bancilhon - AFP
Un constat moins dramatique
Lors d’une interview, Nicolas Truong  Recueillait pour Le Monde les propos du sociologue et philosophe  Edgar Morin. Il confirme bien que : « cette épidémie nous apporte un festival d’incertitude  […] Nous ne savons pas quelles seront les suites politiques, économiques, nationales et planétaires de restriction apportées par les confinements. »
Il dresse un constat moins dramatique, il s’explique quand on lui demande ce que l’on peut tirer de cette crise. Il citera l’essai  sur la crise (Editions Flammarion, 2020) dont il est l’auteur et développera avec notamment des dires qui se confirment concrètement : «  Et nous voyons aussi, dans la carence des pouvoirs publics, un foisonnement d’imaginations solidaires : productions  alternatives au manques de masques […] entraides mutuelles entres voisins, repas gratuit aux sans-abris, garde des enfants ; »
En ces temps de crise serions-nous plus humains ? Plus solidaires ?
Effectivement le confinement provoque un élan de solidarité qui n’existerait  pas en dehors de la situation actuelle. Des mobilisations collectives de grande ampleur  se font autour  des dons afin de financer la recherche et lutter contre le virus. Le bénévolat est lui aussi en hausse  pour porter mains fortes aux plus démunis et SDF.
Nos personnalités publiques à travers le monde mettent à profit leurs notoriété afin de lever des fonds, participer à des cagnottes.  C’est d’ailleurs  la fondation Bill & Melinda Gates qui s’est engagée à verser 100 millions de dollars pour contrer au mieux le coronavirus. L’aide à travers des gestes simples et des dons même alimentaires prend un  nouvel essor pour le bien collectif.
 Au vue de ces différents éléments, quel plan adopteriez-vous pour le pays en étant membre du gouvernement ?
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nateoulanuance · 5 years
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Rappeur, métier à  hauts risques ?
                        Écrit par nate
                 Publié  le 31/03/2020
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  À l'occasion de la sortie et du grand succès de la série Validé, série évènement  sur le rap réalisée par Franck Gastambide avec Canal Plus, les débats à la question sont ouverts : est-ce qu’être rappeur est un métier à hauts risques ? La série aux 6 millions de spectateurs en 5 jours décrit l’univers du rap avec un réalisme jamais vu auparavant entre les hauts et les bas du rappeur, ses péripéties, l’argent, le succès et surtout l’ancienne vie de rue vécue ou racontée dans les textes de beaucoup d'artistes rap. 
On ne peut ignorer le lien historique du Rap et de la rue, musique née dans les ghettos noirs américains dans les années 70. C’est une musique qui s’est popularisée pour connaitre une première explosion dans les années 80 avec les groupes : Public Enemy ou RUN DMC. Tout en restant aux Etats-Unis, il était impossible de ne pas parler de ces assassinats aussi emblématiques qu’énigmatiques, ceux de Tupac et the Notorious B.I.G. (Biggie). La rivalité entre la côte Est et Ouest prend un nouveau tournant lorsque  Tupac accuse, dans un entretien avec le magazine Vibe en avril 1995, le nommé Diddy aujourd’hui, et Biggie de lui avoir volé des bijoux et avoir tiré 5 coups de feu sur lui, dans la nuit du 30 novembre de la même année. La suite est connue de tous, c’est d’abord Tupac qui sera assassiné dans un drive-by shooting (fusillade au volant) le 7 septembre 1996 puis Biggie, soupçonné d’être impliqué dans la mort de ce dernier, qui sera lui aussi assassiné de la même manière au soir du 9 mars 1997. Une culture Rap liée tragiquement a la rue…
Ces faits auraient pu arriver de nouveau, mais cette fois-ci dans l’hexagone. Oui, la France a failli connaitre ces mêmes déboires en 2007 suite aux tensions énormes qui régnaient entre Rohff, grand rappeur français, et Bob Djani & son équipe (Bob Djani est un ancien animateur radio, notamment sur Générations). C’est la vidéo de la pelle, vidéo qui a marqué l’histoire du rap français où Rohff filmé par Booska-p parle de ses détracteurs de façon remontée. Une fois la vidéo mise en ligne, c’est le début d’un conflit devenu public dans le rap. Dans cette vidéo quelque peu sortie de son contexte, on y voit Rohff s’exprimant mais surtout jouant avec une pelle et du sable. Historiquement c’est ce qui fera s’enflammer le monde du rap car le public y voit une mise en scène totalement assumé véhiculant l’idée « d’enterrements » pour ses enemis.
A la suite de cela, on arrive à ce que Fif de Booska-P (co-fondateur du média) appellera étrangement « un mal pour un bien ». Le soir du 24 juillet 2007, Rohff est mis en garde à vue avec cinq proches dont Kery James. Sous le siège de sa Mercedes, les enquêteurs y trouvent un Revolver 357 ainsi qu’un bon nombre de balles. Alors en sursis, il se verra incarcéré pour quelques mois. Toute cette montée de tension sur un mois arrive à son comble lorsque Rohff est mis en prison. Dans le 94,  son département des clans s’étaient créés  et de l’autre côté de Paris aussi. Selon Fif sans l’incarcération de Rohff : « on aurait eu notre Biggie ou Tupac dans le Rap français».
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« Les roses s’arment d’épines,  la rue a armes et bolides, l’un finit par piquer et l’autre par t’amener à tomber ou à ta tombe.»
Plus actuellement, Le rap et la rue gravitent toujours l’un autour de l’autre, tels des aimants ou amants incompatibles.
Bon nombre de rappeurs ont déjà fait leur déclaration à celle que l’on appelle la rue. « Elle m’a eu », de Ninho ou encore « Tombé pour elle » de Booba sont tous deux des sons où la rue est personnifiée telle la plus belle des femmes, mais des problèmes viennent avec.
-99 problèmes mais cette fois-ci, cette s***** en est un.
À travers ces textes on observe la relation conflictuelle que nos deux rappeurs ont avec la rue. Une relation tumultueuse ou peu à peu les protagonistes prennent conscience que séparation doit être faite.
Le rappeur Lacrim est d’ailleurs, comme on pourrait considérer, l’un des plus forts exemples pour illustrer l’importance de faire un choix avant qu’il ne soit trop tard. En mars 2015, au pic du succès de son album Corleone, il se voit condamné à 3 ans de prison. Ses empreintes viennent d’être retrouvées sur des kalachnikovs dans un entrepôt à Marseille. Acculé par la situation et l’idée d’effectuer une nouvelle peine de prison juste après sa récente libération, il choisira cette fois-ci de ne pas se laisser enfermer. C’est le début d’une cavale qui passera par le Maroc puis l’Algérie, son pays d’origine, où il ne pourra être extradé. Mais une cavale n’a rien de joyeux et coûte cher, il finira par se rendre aux autorités peu après.
Ces histoires ont un lien et ne font que se répéter en partie. Maes, poids lourd des ventes du rap français qui a connu un séjour en prison lié au trafic de drogue, rappe : « passer la trentaine devient un exploit », (Dragovic).
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« Etre rappeur est plus dangereux qu’être sur le front en Iraq.» - Jim Jones (aussi connu sous le nom de Dipset)
Ce sont les propos qui ont été tenus par le célèbre rappeur new-yorkais et qui ont causé débat. Le 25 février dernier, Jim Jones repostait sur son compte Instagram la réponse d’un vétéran ayant connu l’Iraq qui a trouvé les propos du rappeur ignorants et irrespectueux. Selon ses dires, au sein de l’unité à laquelle il était affecté en Iraq, ils ont perdu plus de marines en deux mois sur le front que de « rappeurs » sur les trois dernières années. Il serait difficile de ne pas le croire lorsque que l’on connaît la situation au Moyen-Orient, mais Jim Jones a tout de même souhaité répondre et donner son avis à travers son vécu.
Le rappeur constate avec regrets et recul que tous « ces n***** », avec lesquels il a grandi sont soit en prison soit mort. Il continue en précisant que la blessure est plus profonde pour lui qui a grandi avec ces personnes depuis son enfance comparée à des soldats ayant forgé leur fraternité en se rencontrant sur le terrain. Les soldats connaissent et reconnaissent leurs ennemis alors qu’en tant que rappeur, le fait d’être une personnalité publique rendrait la tâche plus difficile car toute personne peut être ton ennemi sans que tu ne le voies. Il finira par préciser qu’un militaire fait le choix de s’enrôler et partir en guerre mais qu’en enfant du ghetto n’a pas eu le luxe d’un choix à faire.
Une fois de plus, sans direct lien mais avec une même orientation, c’est Booba qui se confiait dans un entretien avec le média en ligne BRUT par un simple : « c’est les risques du métier. » au sujet de la fusillade ayant éclatée pendant le tournage de son clip à Aulnay-Sous-Bois. Ce n’était effectivement pas la première fois de sa longue carrière que l’artiste était pris pour cible avec des armes à feu… l’histoire d’un Rap criblé de balles se répète donc sans limites ni frontières.
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« La vie de bandit, les peines lourdes et les pleurs. Daronne apeurée, c’est pas ma vie c’est pas la mienne, pourquoi ils veulent toujours que je foute la merde ?» - Damso
L’univers rap aujourd’hui, est aussi interprète, voire plus, que le Grand écran. Les qualités d’interprétation de nos rappeurs français ne peuvent désormais plus être ignorées, ce sont les nouveaux héros de notre époque.
Le rap, désormais genre le plus écouté en France, a donc bénéficié d’augmentation de budget lui étant consacré par les maisons de disques et labels. Les artistes installés et émergeants se voient dorénavant évoluer dans un tout nouveau business musical.
Aujourd’hui plus que jamais, l’image, un story-telling (ou scénario) et un univers auquel un public adhère, sont devenus presque indispensables.
Dans cette nouvelle ère du rap, les rappeurs sont aussi acteurs :  les court métrages réalisés par PNL pour leur clips « Béné » ou « Onizuka » ont été reçus et visionnés par le public comme des séries. L’attachement était tel que l’on pouvait retrouver sur les réseaux sociaux les fans débattre de leurs  personnages préférés. On peut aussi citer le rappeur Dabs notamment avec « Narcos », son dernier clip en date qui  nous fait rentrer avec brio dans l’univers des braqueurs de fourgon blindé ou Sifax dernière signature  du label de Sofiane : affranchis music,  lui aussi dans l’univers du bandit de façon très bien maitrisée.
A la frontière du grand écran, certains l’ont déjà franchi comme l’a fait Kaaris (Braqueurs, le film) ou même Kery James en tant qu’acteur, et réalisateur, avec son film Banlieusards.
A des fins marketings, certains artistes se servent de leur passé de bandit, d’autres créent un personnage de toute pièce. Le cas 6ix9ine est l’un d’eux, non représentatif de la plupart des artistes mais, cela a mal tourné pour lui.
L’affaire concernant le rappeur, est une de ces affaires, où comment prétendre de façon un peu trop « vivace » être un gangster peut se retourner contre vous. Les hors-la-loi avec lesquels il s’était impliqué et avait construit son image médiatique, ont donné de quoi s’intéresser au FBI en personne.
A la suite de l’application de la loi RICO et son incarcération avec tout le gang autour, lui qui « n’est pas de cette vie-là » se retrouve à être le délateur de l’histoire. Lors de son procès, il a dénoncé tous les méfaits du gang qu’il connaissait en échange d’une réduction de peine. Il est actuellement toujours en prison mais sa vie n’en reste pas moins menacée pour le restant de ses jours, que ce soit en prison ou à l’extérieur (c’est souvent le sort réservé à ceux ayant dénoncés leurs acolytes d’activité illégale).
Pour d’autres artistes, ce sont des scénarios partant de faits réels ou non qui sont minutieusement réfléchis et élaborés à coup de grosse production, et pour notre plus grand plaisir. Le clip de PNL, « Au DD » pourrait en être le parfait exemple. Le clip événement sorti fin mars 2019, avait été financé à hauteur de 80 000 euros par le Centre National du Cinéma et de l'image animée.
Sans spoiler, c’est aussi ce que la série évènement Validé dévoile, en décrivant à travers le personnage du rappeur Apash, l’industrie du rap. On y trouve sans concessions les coups de communication, l’orientation de l’image et la direction artistique d’un label et de son artiste. Tout ceci pouvant être mené afin de la faire aimer du public et faire parler de lui. Rien de plus vendeur que d’alimenter les fantasmes d’un public toujours plus demandeur.
Tout ceci nous permet enfin de nuancer quelques peu la dangerosité d’un milieu rap si apprécié par le public et qui devient, depuis peu moins opaque quant à ce qui se passe en coulisses. Des exceptions subsistent néanmoins et nous ont déjà donné le change de plus, assez récemment comme le cas Tay-K. A l’inverse de 6ix9ine c’est une véritable vie de gangster qui perdra ce jeune homme d’à peine 17 ans au moment des faits. Recherché pour meurtre et plusieurs vols avec violence, il est arrêté le 30 juin 2017 après une cavale de trois mois. Le jour de son arrestation sortira aussi le son qui le rendra connu, « The Race». Un bonheur de courte durée car il n’est pas prêt de sortir de prison. En effet, le jeune rappeur a d’ores et déjà été condamné en juillet de l’année dernière, à 55 ans de prison pour un premier meurtre et est en attente du prochain jugement pour un second meurtre dans lequel il sera vraisemblablement inculpé. Agé aujourd’hui de 19 ans, Tay-K a « fêté » la certification platine de son single en prison et vit avec pour seul soutien quelques lettres de sa famille et de fans. La vie de gangster, une vie de loup solitaire.
Quelle serait donc votre position sur ce débat ? Rappeur, métier à hauts risques ?
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nateoulanuance · 5 years
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LE GRAND RETOUR d’S. PRI NOIR
                                Écrit par Nate
                      Publié le 22/03/2020
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                      LE RETOUR  
S. PRI NOIR nous revient enfin. Lui qui se faisait discret musicalement ces derniers temps, enchaine les collaborations toutes aussi prestigieuses les unes que les autres.. MONCLER, HUGO BOSS, DIOR...  Et tout Dernièrement CARTIER ! Notre highlander est très loin d’être mort. Entre ces prestigieuses collaborations les indices  se communiquaient un à un sur l’Instagram de l’artiste via des teasings pour enfin aboutir à l’arrivée du premier single extrait de ce nouvel album.          
  https://www.instagram.com/p/B7OxY2fIGuX/
 « DU SHIT BRûLE, LES VOITURES AUSSI »
Dans ce nouveau single baptisé Dystopia et dévoilé avec un clip, S. Pri Noir nous emmène dans un Paris Assombri. Avançant seul entre fumées, flammes et destructions, c’est un décor sombre qui est dépeint dans la capitale vide d’habitants. Une dystopie est un récit dépeignant une société imaginaire, organisée de telle façon qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Une dystopie est considérée comme une utopie qui vire au cauchemar. Le clip magnifiquement réalisé, interpelle et reflète de façon cynique mais parfaite cette année 2019 et ce début 2020, avec la période mouvementée des gilets jaunes que l’on aperçoit le temps d’une seconde  en introduction du clip. Coïncidence ? Le confinement actuel de la France est aussi une idée qui circule au sein de la vidéo et assumée par la réalisation, le clip montrait en avant-première dès le 22 janvier (Date de publication du clip) des rues parisiennes vides d’âmes et d’individus tel qu’actuellement.
https://www.youtube.com/watch?v=fiz8ZYLVdfk
À la réalisation on retrouve le magicien Jonas Brisé ayant déjà fait ses preuves sur les clips de laylow et d’autres ainsi que le très jeune et talentueux Benoît Marzouvanlian pour orchestrer en grande pompe.
Notre ténor S.Pri Noir fait d’ailleurs bien plus que contrôler sa voix sur ce clip, sur cette grande réussite il est hors de son champ de prédilection car il participe à la réalisation.
UNE PRODUCTION CINEMATOGRAPHIQUE
Annoncé comme un film sur les réseaux sociaux, le clip en a les allures. Effets spéciaux propres et maitrisés, pour une production de TBMA avec laquelle Jonas Brisé travaille. On ne change pas une équipe qui gagne, TBMA avait déjà  travaillé avec S. Pri Noir pour la production de plusieurs  visuels parmi ses grands succès tels que Highlander, Sky walker ou le banger : middle finger.
Bien entouré et contrôlant ses pas, S. Pri Noir nous revient donc avec un concept fort et percutant. Sortant d’un  succès avec son dernier album en date, Masque Blanc certifié disque d’or en février 2019.
       ETAT D’ESPRIT
« Parti d’esclave finir roi » ! (punchline de dystopia) est l’Etat d’Esprit qui sera également le nom de l’album mais aussi la mentalité avec laquelle S. Pri Noir  commencera sa promotion. Etat d’Esprit sortira le 17 avril prochain, voici la cover.
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Pour les fans de la première heure et les curieux on vous laisse patienter avec un extrait vidéo en exclusivité qui sera dans le prochain album. Cette track a été performé live par S. Pri Noir 3 jours avant la sortie du clip de dystopia au Bridge club.
https://www.youtube.com/watch?v=4WrrALtECnM
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