#fontaine d’eau
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Monaco : Remplissez votre gourde et réduisez le plastique
Monaco, bien que connu pour son opulence, ses yachts de luxe, et son Grand Prix de Formule 1, est aussi un pays engagé dans la transition énergétique et la protection de l’environnement. À première vue, ce contraste peut surprendre, mais la Principauté a bel et bien fait de l’écologie l’un de ses grands axes de développement pour un avenir durable. Parmi les mesures prises pour encourager des…
#Application Hoali points d’eau#Économie de déchets Monaco#Consommation écoresponsable Monaco#Encouragement écologie et tourisme Monaco#Fontaines d’eau potable gratuites Monaco#Gourde réutilisable vs plastique#Gourdes réutilisables Monaco#Initiatives écologiques Monaco#Initiatives durables Monaco#Localiser points d’eau potable Hoali#Monaco zéro déchet plastique#Où remplir sa gourde Monaco#Points d’eau potable Monaco#Points d’eau potable pour les sportifs Monaco#Politique environnementale Monaco#Protection de l’environnement Monaco#Réduire le plastique à Monaco#Remplir sa gourde gratuitement Monaco#Tourisme écoresponsable Monaco#Transition écologique urbaine Monaco#Transition énergétique Monaco#Ville durable et écoresponsable Monaco
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Ton rire cristallin est comme une fontaine d’eau fraiche et pure à laquelle je viens boire avec délectation…
V. H. SCORP
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🪵La fontaine de Médicis, laquelle préférez-vous ? Le saviez-vous ? vers 1630, la reine Marie de Médicis, veuve d’Henri IV, a commandé la réalisation de la fontaine à l’ingénieur florentin Thomas Francine. Marie de Médicis désire recréer l’ambiance architecturale des nymphées de son enfance, tels que la grotte de Buontalenti à Florence, en installant plusieurs grottes, fontaines, bassins et terrasses avec des jeux d’eau. Cette fontaine est le seul reste de ces constructions commandées par la reine. Crédit 📷 @off_saisons_france #fontaine #fontainedemedicis #medicis #mariedemedicis #reine #histoire #patrimoine #jardinduluxembourg #jardin #paris #france | by off_saisons_france
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"Au-dessus de mon front il y a un soleil Un soleil aussi sec qu’un hareng saur Il y a des fontaines taries Toutes les fontaines sont taries Tous les mondes sont perdus en mer et toutes les étoiles sont inimitables Monde vaillant réveille-toi dans tes os Dans les prairies si hautes la mort est pareille à la vie et la vie doit t’appartenir Monde vivant Monde extrême isolé dans la nature comme une route inconnue des états sous-marins Une seule goutte d’eau née derrière tant de paupières faisant germer des hommes au cœur étincelant dans le monde vivant et dans le monde à venir une seule goutte de rêve fait venir la tempête Balayeurs aux beaux yeux dispersez les nuages" Jacques Baron
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Sous les feux que juin verse,
Comme l’éclair, Mireille court, et court, et court !
De soleil en soleil et de vent en vent, elle voit
Une plaine immense : des savanes
Qui n’ont à l'œil ni fin ni terme ;
De loin en loin, et pour toute végétation,
De rares tamaris ... et la mer qui paraît...
Des tamaris, des prêles,
Des salicornes, des arroches, des soudes,
Amères prairies des plages marines,
Où errent les taureaux noirs
Et les chevaux blancs : joyeux,
Ils peuvent là librement suivre
La brise de mer tout imprégnée d’embrun.
La voûte bleue où plane le soleil
S’épanouissait , profonde , brillante,
Couronnant les marais de son vaste contour ;
Dans le lointain clair
Parfois un goéland vole ;
Parfois un grand oiseau projette son ombre,
Ermite aux longues jambes des étangs d’alentour.
C’est un chevalier aux pieds rouges ;
Ou un bihoreau qui regarde, farouche,
Et dresse fièrement sa noble aigrette,
Faite de trois longues plumes blanches...
Déjà cependant la chaleur énerve :
Pour s’alléger, de ses hanches
La jeune fille dégage les bouts de son fichu.
Et la chaleur, de plus en plus vive,
De plus en plus devient ardente ;
Et du soleil qui monte au zénith du ciel pur,
Du grand soleil les rayons et le hâle
Pleuvent à verse comme une giboulée :
Tel un lion, dans la faim qui le tourmente,
Dévore du regard les déserts abyssins!
Sous un hêtre, qu’il ferait bon s’étendre!
Le blond rayonnement du soleil qui scintille
Simule des essaims, des essaims furieux,
Essaims de guêpes, qui volent,
Montent, descendent et tremblotent
Comme des lames qui s’aiguisent.
La pèlerine d’amour que la lassitude brise
Et que la chaleur essouffle,
De sa casaque ronde et pleine
A ôté l’épingle ; et son sein agité
Comme deux ondes jumelles
Dans une limpide fontaine,
Ressemble à ces campanules
Qui, au rivage de la mer, étalent en été leur blancheur.
Mais peu à peu devant sa vue
Le pays perd sa tristesse ;
Et voici peu à peu qu’au loin se meut
Et resplendit un grand lac d’eau :
Les phillyreas, les pourpiers,
Autour de la lande qui se liquéfie,
Grandissent, et se font un mol chapeau d’ombre.
C’était une vue céleste,
Un rêve frais de Terre-Promise !
Le long de l’eau bleue, une ville bientôt
Au loin s’élève, avec ses boulevards,
Sa muraille forte qui la ceint,
Ses fontaines, ses églises, ses toitures,
Ses clochers allongés qui croissent au soleil.
Des bâtiments et des pinelles,
Avec leurs voiles blanches,
Entraient dans la darse ; et le vent, qui était doux,
Faisait jouer sur les pommettes
Les banderoles et les flammes.
Mireille, avec sa main légère,
Essuya de son front les gouttes abondantes ;
Et à pareille vue
Elle pensa, mon Dieu ! crier miracle !
Et de courir, et de courir, croyant que là était
La tombe sainte des Maries.
Mais plus elle court, plus change
L’illusion qui l’éblouit,
Et plus le clair tableau s’éloigne et se fait suivre.
Œuvre vaine, subtile, ailée,
Le Fantastique l’avait filée
Avec un rayon de soleil, teinte avec les couleurs
Des nuages : sa trame faible
Finit par trembler, devient trouble,
Et se dissipe comme un brouillard.
Mireille reste seule et ébahie, à la chaleur...
Et en avant dans les monceaux de sable,
Brûlants, mouvants, odieux !
Et en avant dans la grande sansouire, à la croûte de sel
Que le soleil boursoufle et lustre,
Et qui craque, et éblouit !
Et en avant dans les hautes herbes paludéennes,
Les roseaux, les souchets, asile des cousins !
Avec Vincent dans la pensée,
Cependant, depuis longtemps
Elle côtoyait toujours la plage reculée du Vaccarès;
Déjà, déjà des grandes Saintes
Elle voyait l’église blonde,
Dans la mer lointaine et clapoteuse,
Croître, comme un vaisseau qui cingle vers le rivage.
De l’implacable soleil
Tout à coup la brûlante échappée
Lui lance dans le front ses aiguillons : la voilà,
Infortunée! qui s’affaisse,
Et qui, le long de la mer sereine,
Tombe, frappée à mort, sur le sable.
Ô Crau, ta fleur est tombée!... ô jeunes hommes, pleurez-la !...
📷 Sur le Vaccarès
Un extrait du chant X de Mirèio (Mireille), de Frédéric Mistral. Mireille s'est enfuie de chez elle pour implorer les Saintes-Maries-de-la-Mer d'infléchir la décision de son père qui refuse de la voir mariée au vannier Vincent, ce qui équivaut pour lui à une inacceptable mésalliance. Elle traverse la Camargue écrasée de soleil et est frappée d'insolation sur les rives de l'étang de Vaccarès...
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Les Larmes de l''Hiver
Au bout d’une branche une goutte, est-ce une larme de l’Hiver, l’Hiver mortifié que dégoûtent les invraisemblables points verts disséminés sur la garrigue ?
Espoir craintif, rêve fervent, c’est vrai que parfois nous fatiguent le froid encore, la pluie, le vent !
N’est-il point trop tôt pour sourire, pour croire l’Hiver terminé, et cette brise qui soupire, souffle du Printemps nouveau-né, est-ce un faux mistral qui n’aspire qu’à hurler et se déchaîner ?
Peut-être sera-t-il le pire de ces grands vents venant freiner le désir d’ivresses nouvelles ?
Mais non, le nectar du Printemps commence à remplir la coupelle de ces fleurs, ces tulipes multicolores qu’a ripoliné le soleil.
Les oiseaux vont chanter encore le doux Printemps et son réveil. Dis, l’entends-tu qui zinzinule, cet oiseau chapeauté de bleu ?
La fontaine mousse et ses bulles appellent que soudain il pleut, mais ce n’est rien, ce n’est pas grave, la nature a tant besoin d’eau qui la désaltère et la lave !
Vette de Fonclare
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12 mars
ce matin sur le marché où on a acheté des fruits et des légumes et des empanadas (j’ai pensé très fort à la narratrice de boulder) je pensais à mon journal et je me disais que j’étais vraiment obsédée par ma propre vie. après on est allées voir le jet d’eau de près et j’avais un très fort sentiment de nostalgie de l’enfance, comme si c’était un endroit où j’allais petite, alors que non, c’est très étrange. le jet d’eau, l’arc-en-ciel, les fleurs au bord du lac, le ciel bleu, les gens qui se promenaient, maintenant que j’y repense, peut être que c’est juste un mélange entre le bassin avec les fontaines du parc de mon quartier et la jetée de blankenberge, dont je n’ai qu’un souvenir extrêmement vague et furtif, à peine une image, et peut être une glace. s. a marché vers le jet jusqu’à ce qu’elle soit complètement trempée. elle a dit qu’elle pouvait plus s’arrêter. je lui ai dit qu’elle s’était laissée attirer par la force the edge, comme dans l’histoire de r. j’ai envie de faire une liste de toutes les fois où je me suis laissée attirer par the edge. ce soir on est allées voir une perf de danse et la danseuse n’avait pas l’air d’y avoir souvent mis les pieds à the edge. j’avais oublié qu’il existait des danseuses non magiques, sans charisme, qui font des spectacles médiocres.
14 mars
ce matin, avant que s. parte à prague pour la pièce de théâtre ukrainienne et que r. amène son ordi malade au apple store, on a marché jusqu’au port, il faisait grand soleil et une femme à l’allure androgyne avait étalé des tapis sur le ponton pour les faire sécher. elle portait un sweat jaune et son voilier était rouge. elle est descendue sur le ponton en chaussettes pour vérifier si les tapis étaient secs, puis elle les a sentis, pour voir s’ils étaient pas moisis j’imagine? j’étais absolument transfixée par l’apparition de cette femme ambiguë qui descend de son voilier pour sentir des tapis et j’ai commencé à imaginer une histoire d’amour qui me ferait embarquer sur son voilier rouge, en pensant à l’histoire de boulder. même si ça ressemble plutôt à l’histoire de maman et de mon père.
hier pendant qu’elles étaient parties chercher du café j’étais seule dans le grand studio sous l’immense verrière voûtée du dernier étage du vieux bâtiment et j’ai essayé le micro, avec les effets de voix, je chantais des airs de mansfield tya, mais à peine j’avais commencé à m’échauffer qu’elles étaient déjà de retour et j’ai pas osé continuer, mais mon dieu que ça m’a donné envie d’acheter un micro. j’ai envie de faire un master en école d’art rien que pour pouvoir passer mon temps à jouer avec le matériel. avoir accès à toutes ces merveilles.
16 mars
j’ai passé la matinée à feuilleter toute la bibliothèque de r., j’ai commencé à lire le livre rose fluo au titre pailleté argenté d’élodie petit et de marguerin le louvier. je l’avais déjà vu sur internet et d’un côté il m’intriguait mais de l’autre bof parce que ça parle beaucoup, beaucoup de cul et mon intérêt pour le cul est limité, vu que j’ai du mal à m’y identifier, ça me concerne pas, je sais pas de quoi on parle, je connais pas, alors ça m’ennuie, parce qu’en plus ça me donne le sentiment d’être exclue d’un truc archi universel. ça me donne envie d’être aussi crue qu’eux dans leurs textes mais en sens inverse, dans la négation du plaisir. et puis je me dis que personne jamais ne me comprendra. après j’ai écouté un podcast avec vimala pons, j’aimerais vraiment voir sa pièce. elle disait plein de trucs intéressants. elle parle aux objets comme à des êtres animés et elle dit qu’elle essaie de se débarrasser d’au moins un objet par jour, pour renouveler l’énergie, parce que les objets ont une énergie et qu’ils nous la transmettent, avec leur histoire. elle disait aussi que les showrooms d’ikea c’était comme le parcours d’une vie, on se fait balader et le parcours ne fait sens qu’à la fin, pris à rebours (kierkegaard) et toutes les chambres possibles et toutes les salles de bain possibles, c’est toutes les vies possibles qu’on peut s’inventer. j’aime bien cette métaphore.
18 mars
j’ai rêvé que je gagnais une résidence dans un château avec une dame aux longs cheveux blancs parce qu’elle voulait pas être seule dans son château. j’avais envoyé mes poèmes pour postuler. c’était en avril et j’étais pas sûre si c’était en belgique à la frontière flamande ou au pays basque près de la mer. finalement j’y suis pas allée parce qu’il fallait payer une contribution et c’était trop cher et puis il fallait payer trente euros par jour pour la nourriture. ce qui m’embêtait aussi c’est que j’étais seule avec la dame. et puis m’est venue une idée d’histoire de sugar mommy, dans un château au bord de la mer, mais je sais pas si c’était dans le rêve ou dans le mi sommeil mi réveil. une de plus à ajouter à la liste.
j’ai dormi sur le canapé de f. cette nuit. hier soir quand je suis arrivée j’avais l’impression qu’elle piquait, comme une méduse. je lui ai rien raconté de genève parce qu’elle m’en a pas laissé l’occasion, elle m’a pas posé une seule question, même pas si j’avais fait bon voyage ni rien. ou elle est agacée que je sois là, ou elle est vraiment à la masse, je sais pas, mais en même temps je peux pas me plaindre de son comportement parce que moi non plus je fais aucun effort, elle m’horripile, et je dois sans doute l’horripiler moi aussi, on s’horripile mutuellement et je sais plus sur quel pied danser.
hier dans le covoiturage y avait une américaine qui vivait à dubaï qui revenait d’un séjour au ski à chamonix, elle portait de grandes lunettes de soleil et un chapeau en feutre et je lui ai dit que j’étais une artiste. j’ai dit la même chose à la fille russe qui est montée à lausanne et elle m’a regardée avec des grands yeux émerveillés et un peu incrédules. elle m’a offert une pièce d’un rouble. on voyait très bien les montagnes dans la voiture et elles étaient toutes un peu blasées mais moi j’avais la bouche ouverte tout le long, elles étaient toutes enneigées c’était trop BEAU, l’américaine m’a montré le mont blanc et elle a dit but you probably already knew that et j’ai dit NO i didn’t!! je suis une fille de la mer, personne m’avait dit qu’on voyait le mont blanc de genève! mais le plus beau c’était quand le soleil a commencé à se coucher et qu’on voyait les sommets enneigés au loin orange-rosés contre le ciel bleu et rose comme le logo évian. trop beau. je suis tellement impressionnée par les montagnes.
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Les Sims 4 grandir ensemble sortent le 16 mars !
Et avant ca, une mise à jour le 14 mars (nouvelle tranche d’âge, nouveaux menus, etc..) qui risque de cassé pas mal de mods et CC...
Petit récap de toutes les nouveautés, mises à jour comprises:
Une nouvelle tranche d’âge donc (les nourrissons) avec des nouveaux objets rien que pour eux: Des jouets, des décorations, des poussettes et tables à langer (prévoyez une poubelle pour les couches) et même une mini clôture pour que les petits ne sortent pas de leur espace de jeu (normalement).
Un système de "goût" ou les nourrissons pourront aimer ou non la nourriture que vous leur donnez à manger en fonction de leurs traits de caractère.
Pour 1200 simflouzs, les sims pourront demander à avoir un bébé en tant que parent "seul" ou avec un autre Sim avec lequel vous êtes ami ou amoureux.
Les Sims pourront allaiter les nourrissons. (A choisir dans le CAS)
Les vêtements des bébés pourront être changés en jeu.
Les compétences des enfants seront divisés en 2 parties: les "fondamentaux" (créativité, mental ect) et les autres "compétences" (jeux vidéo, cuisine, charisme....) qui seront conservé à leur même niveau en vieillissant.
Le menu des interactions avec les autres Sims sera revu avec des sous catégories. Dans les catégories « Amical », « Romantique », « Drôle »..., il y aura maintenant en plus des sous- sujets genre « Hobbies », « Intérêts », « Affection »… (on risque d'être perdu avec tous ces choix :)) Tout ca c'était pour la mise à jour.
Maintenant pour le pack:
De nouveaux objets bien sûr comme des bracelets d’amitié, une cabane dans les arbres personnalisable (où on peut faire cracrac et y placer des objets), des puzzles (qui peuvent être encadrés), des jeux d’eau, fontaines...
Quatre nouvelles aspirations pour les enfants, liées aux compétences.
De nouveaux événements sociaux comme le baby shower, la soirée pyjama ou encore des réunions de famille (vous pourrez inviter les sims de votre arbre généalogique, leurs amis et leur famille.).
Les membres de votre famille pourront venir squatter chez vous, et rester dormir.
De nouvelles catégories de goûts et sujets de conversations.
Un système d'attirance en fonction des gouts des sims avec une icone pour les sims « compatibles » ajoutée à l’onglet Relations (ca me rappelle un certain mod...).
Dans le CAS, vous pouvez choisir les « dynamiques de foyer ».
Une nouvelle ville: San Sequoia, avec une douzaine de nouveaux terrains et un cinéma où vos Sims peuvent aller. (les sims pourront aimer ou non le film qu’ils vont voir).
Vos Sims peuvent conserver des objets de famille dans une petite boite destinée à être transmises entre les générations.
Les enfants peuvent perdre leurs dents de lait, avoir les dents qui bougent et les placer sous un oreiller. En échange de la dent, la fée des dents pourra faire un cadeau.
Nouvelle crise pour vos sims, La quarantaine! Quand ça arrivera, l’onglet aspiration passera en rouge pour vous indiquer ce qu'il veut faire comme activité extraordinaire.
Votre Sim pourra se faire des ennemis au travail et ces derniers peuvent vous bloquer l’accès à une promotion.
Possibilité de débloquer de nouveaux traits de caractère.
Possibilité de voir les "étapes de la vie" de votre Sim.
Images en jeu:
Voilà tout ca !
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Transylvanie express (46)
Épisodes précédents
Bien qu’il fût déjà jour, le brouillard s’étendait encore sur le village. Nous étions suffisamment reposés et devions partir pour quitter définitivement les terres du comte Dosza. Car nous étions encore sur ses terres.
Nous décidâmes d’emporter des provisions à base de viande séchée et de légumes trouvées dans ce qui ressemblait à un potager. De plus, je découvris une outre en peau et pus la remplir d’eau de la fontaine.
Nous allions partir lorsque je remarquai quelque-chose d’anormal sur le corps découvert la veille par Ludmilla. En effet, celui-ci, allongé sur le ventre, présentait une étrange blessure. Son dos était couvert de petits trous qui en encerclaient un plus large. Je compris qu’il avait fui, mais il fut abattu avec une arme à feu. Dès lors, je pris le temps d’imaginer la scène, de le voir courir puis s’effondrer. Je marchai en sens inverse, m’éloignant de mon amie qui, s’inquiéta. Elle me regarda marcher lentement et m’arrêter devant la grange.
Par instinct ou juste par curiosité, j’ouvris la porte. Lourde, elle était difficile à pousser. Je fus brutalement saisi de nausée en reniflant une forte odeur putride. Cependant, après avoir posé mon mouchoir sur le nez, j’entrai dans la remise. Après quelques pas, la terreur envahit mon esprit ; l’horreur s’affichait devant mes yeux ébahis ! J’étais en présence des autres habitants du village. Ils étaient tous là, hommes, femmes, enfants ! Mais ils n’étaient plus que des cadavres en état de décomposition. La plupart avait le corps meurtri, troué. Certains, pendus à des poutres, se balançaient au gré du vent provoqué par mon entrée. La grange avait préservé leurs corps des bêtes sauvages.
En me rejoignant, Ludmilla eut un haut de cœur. Elle sortit immédiatement pour vomir son petit-déjeuner. Je restai à comprendre ce qu’il s’était passé. Pourquoi un tel massacre ? Une mère au crâne fracassé, portait encore dans les bras son bébé. Il n’était pas mort de faim mais achevé à l’aide d’une lame. Leurs visages grimaçants, leurs yeux vitreux et leurs poings serrés, marquèrent mon esprit par toute l’horreur qu’ils vécurent. Je marchai sur un sol noir de sang séché. Toutefois, leurs silhouettes restaient encore accrochées aux murs. Tel un tableau en ombres chinoises, on devinait l’atrocité du spectacle.
N’en pouvant plus devant cette boucherie, je préférai sortir. Agenouillée devant l’unique point d’eau, mon amie se rinçait la bouche. Son regard était plein d’incompréhension.
- Il n’y a jamais eu de mal des méninges, ici. C’est bien ça ?
Je répondis en hochant la tête. Effectivement, personne n’était tombé malade. Ils ont été exterminés par plaisir ou par vengeance… Seul le commanditaire sait.
- Nous devons partir, annonçai-je.
Aussitôt, Ludmilla se leva. Elle avait encore le visage blême. De même, la découverte rendit ses joues plus creuses. Elle paraissait avoir maigri. Nous quittâmes le hameau sur le champ pour longer la voie de chemin de fer. Tout à coup, elle m’arrêta en posant sa main sur mon épaule :
- Ecoute !
Sur le moment, je pensai entendre le bruit d’un train ; un train qui approcherait ou s’éloignerait tout en attendant notre venue. Mais, il n’y avait rien de cela. J’entendis le vent, la cime des arbres bouger, quelques chants d’oiseaux. J’entendis mon cœur battre, ma gorge avaler ma salive et le silence. Puis, c’est arrivé comme une évidence : un aboiement…non, des aboiements ! La meute du comte Nichifor Dosza était à notre recherche !
Dès lors, je pressai le pas, continuant à marcher sur le ballast et les traverses. Nous devions impérativement trouver un endroit où se cacher ou nous devions fuir…parce qu’il était capable de nous faire dévorer par ses chiens. Nous marchâmes en faisant attention aux hurlements de la meute. Ludmilla s’inquiéta davantage lorsqu’ils furent plus proches, lorsqu’on pouvait entendre les cris des hommes qui l’accompagnaient.
Courir ne servait à rien ! Cependant, nous accélérâmes le pas tout en longeant les rails. Ils étaient rouillés, tellement abimés par endroits qu’il n’était plus possible de rouler dessus. La voie grimpait. Nous marchâmes longtemps sans nous arrêter, sans prendre le temps d’une pause. Et nous entendions toujours le groupe qui nous pourchassait. Tantôt, ils étaient proches, presqu’à côté de nous, tantôt, leurs voix n’était qu’un écho entre les montagnes.
Alors que le chemin de fer passait dans un bois, nous vîmes un ru à quelques pas. Immédiatement, nous profitâmes de cet écoulement pour cacher nos odeurs en marchant dans l’eau qui arrivait aux genoux. L’avancée fut pénible bien que dans le sens du courant. De plus, il était difficile de voir les cailloux glissants, d’éviter les morceaux de bois, les trous dans la vase noirâtre. Et le brouillard n’arrangea rien en se transformant en purée de pois. Les chiens continuèrent d’aboyer, cherchant, reniflant leurs proies. Quelques cris les encourageaient.
Après quelques minutes éprouvantes dans l’eau glacée, nous nous enfonçâmes dans une sorte de canyon. De temps en temps, je faisais attention à Ludmilla qui commençait à fatiguer. De plus, la rivière devenait plus profonde. Tout-à-coup, elle ralentit. Ses mains frôlèrent la surface de la rivière comme on polit un miroir. Je m’arrêtai afin de l’attendre. Un nuage de fumée, venu de nulle part, passa brusquement entre nous. Dès lors, son aspect devint plus terne. Elle baissa la tête, laissant ses cheveux noirs recouvrir son visage. Elle marcha dans l’eau toujours sombre. Sa respiration se fit plus lente et plus forte…plus sifflante.
La meute approchait de plus en plus. Chiens et chevaux galopaient en faisant un ramdam du tonnerre. Le ciel s’assombrit brusquement pendant que la fumée pesait dans l’atmosphère. Elle chauffait tellement que la rivière se mit à bouillir autours de ma copine. Elle marchait lentement, se retenant aux bulles qui se dégageaient. Ses bras devinrent blancs, marqués par d’horribles escarres purulentes. Sa respiration m’inquiéta au point de me faire peur. Dès lors, je reculai à son approche.
La rivière ne coulait plus. Elle noircissait de plus en plus, si bien que le fond disparut. Quelque-chose retint mes chevilles, et m’empêcha de courir. Je voulais l’appeler, lui demander si elle allait bien. Je voulais lui dire d’arrêter mais la peur paralysa ma gorge. Elle marcha doucement vers moi.
- Est-ce que tu me trouves belle ?
La voix provenait du brouillard accompagnant une horrible odeur de pourriture. Je reculai encore en cadence avec Ludmilla. Elle caressait toujours l’eau qui se calma, retrouvant sa surface lisse. Elle avançait sans remuer la flotte qui l’encerclait. Elle avançait la tête toujours penchée en avant, le visage caché par sa longue chevelure.
- Est-ce que tu me trouves belle ?
Les chiens étaient à côté. Ils couraient au-dessus de nous. Ils passèrent en haut du ravin qui formait la rive droite, sans se soucier de la rivière. Puis ce fut le tour des chevaux, des « taïaut » et des rires d’hommes. Je surveillai silencieusement leur progression. Finalement, ils nous dépassèrent, persuadés que nous étions bien plus loin.
Alors, le brouillard se retira aussi vite qu’il était apparu. Ludmilla releva ses cheveux. Sa peau retrouva une couleur plus vivante. Elle râla en réalisant qu’elle était trempée jusqu’à la taille. Elle me rejoignit tout en marchant difficilement dans la vase. Puis elle me dévisagea avant de demander :
- Qui-y-a-t-il ?
Je ne répondis pas et me contentai de sourire. Nous continu��mes d’avancer en utilisant la rivière pour masquer notre présence. Mais lorsque le niveau d’eau atteignit la poitrine de ma compagne, nous reprîmes les sentiers. Malgré nos habits trempés, nous ne nous arrêtâmes point. Nous n’entendîmes plus la chasse. Par contre, le bruit d’un train revint à nos oreilles.
Alex@r60 – janvier 2023
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Fontaine d’eau chaude de Dax
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Une colère ardente me saisit à la vue des méchants Qui abandonnent ta loi. {Psaumes 119:53}
Mon âme, ressens-tu ce saint frisson devant les péchés d’autrui ? Car autrement tu manques de sainteté intérieure. Des torrents d’eau ruisselaient sur les joues de David à cause de l’impureté qui prédominait ; Jérémie désirait que ses yeux soient des fontaines afin qu’il puisse se lamenter sur les iniquités d’ Israël, et Lot était fâché de la conversation des hommes de Sodome. Ceux sur lesquels était la marque dans la vision d’Ézéchiel, étaient ceux qui soupiraient et pleuraient sur les abominations de Jérusalem. Des âmes indulgentes peuvent toujours s’affliger de voir comment les hommes se donnent de la peine pour aller en enfer.
Elles connaissent les maux du péché par expérience, et elles sont alarmées de voir les autres voler comme des mouches jusque dans ses griffes. Le péché fait frissonner le juste, car il enfreint une loi sainte, qu’il faut garder dans le plus grand intérêt de chaque individu, il abat les piliers de la société. Le péché dans autrui horrifie un croyant, car il lui rappelle la bassesse de son propre cœur : quand il voit quelqu’un qui transgresse il pleure avec le saint qui a dit : « il est tombé aujourd’hui, et je peux tomber demain. » Pour un croyant le péché est horrible, car il a crucifié le Sauveur ; il voit dans chaque iniquité les clous, et la lance. Comment une âme sauvée peut-elle voir ce péché maudit qui tue Christ sans horreur ? Dis, mon cœur, n’es-tu pas sensible à tout ça ?
C’est une chose terrible que d’insulter Dieu en face. Le Dieu « bon » mérite un meilleur traitement, le Dieu « grand » le demande, le Dieu « juste » l’obtiendra et rétribuera son adversaire. Un cœur réveillé tremble devant l’audace du péché, et s’effrayera devant sa punition. Quelle chose monstrueuse est la rébellion ! De quelle manière néfaste est préparé un destin pour l’impie ! Mon âme, ne rie jamais des folies du péché, de peur que tu ne viennes à sourire du péché lui-même. C’est ton ennemi et l’ennemi de ton Seigneur ; regarde-le avec haine, car ainsi tu peux témoigner de la sanctification sans laquelle personne ne verra le Seigneur.
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Le château de Vaux-le-Vicomte a inspiré Versailles.
Nicolas Fouquet s’est entouré des meilleurs pour façonner ce domaine : Louis le Vau, Charles Le Brun et André Le Nôtre. Mais, attiser la jalousie de Louis XIV lui vaudra le bannissement. Les immenses jardins à la française allient perspectives, fontaines et jeux d’eau alors que le château nous transporte au XVII ième siècle. L’automne nous rattrape et un déluge de pluie nous fait quitter les…
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Fontaine d'intérieur Jardin Zen
Notre nouvelle série: Fontaine Jardin Zen, fusionne harmonieusement une fontaine d’intérieur avec un jardin zen, offrant une expérience apaisante et spirituelle. Selon le maître Feng Shui, l’écoulement d’eau en circuit fermé permet de faire circuler le Qi pour améliorer le Feng Shui de l’intérieur. Nos fontaines remplissent ce rôle à la perfection.
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La nouvelle structure de la passerelle de Lougres - Colombier-Fontaine posée
Les travaux de rénovation de la passerelle située entre les communes de Lougres et Colombier-Fontaine, entament leur dernière phase avec la pose des travées en treillis aluminium. Le montage de cette nouvelle structure a été effectué ces jours-ci. Une passerelle toute neuve qui permettra ensuite la traversée sur 200 m��tres entre les deux communes. Une passerelle déclarée d’intérêt communautaire à partir de 2019 Existante depuis 1896, la passerelle de Lougres était dans un état très médiocre et devenait dangereuse, tant au niveau structurel que fonctionnel. Les appuis et les piles, bétonnées et en maçonnerie, étaient fissurés. Le tablier et les garde-corps littéralement rouillés. Un état des lieux qui a poussé les communes de Colombier-Fontaine et de Lougres à fermer la passerelle et à demander le transfert de l’ouvrage à Pays de Montbéliard Agglomération qui a validé sa reconnaissance d’intérêt communautaire de la passerelle, en novembre 2019. Depuis presque deux ans, les travaux de réhabilitation de la passerelle sont en cours et ce mois de septembre marque leur dernière étape avec le montage de la structure en aluminium. L’objectif à travers ces travaux est de développer le maillage territorial des itinéraires cyclables. En effet, dans le réseau cyclable de l’Agglomération, l’EuroVélo6 est considérée comme une véritable colonne vertébrale sur laquelle PMA souhaite raccorder son réseau. Grâce à cette passerelle flambant neuve, elle offrira un accès direct à l’Eurovélo6 (en direction de Colombier-Fontaine). Un axe stratégique notamment pour les habitants à l’ouest de l’Agglomération : Montenois, Lougres, Bavans, Longevelle-sur-Doubs… Un projet d'aménagement cyclable de 4 km pour relier la passerelle de Lougres vers Bavans a déjà fait l'objet d'études et sa réalisation commencera à partir de l'année prochaine afin de privilégier les déplacements utiles, domiciles-travail. Caractéristiques de l’ouvrage L’ancienne passerelle était composée de 5 piles dans le cours d’eau avec un linéaire de 145 mètres de la rive droite à la rive gauche. Elle se prolongeait par une estacade de 70 mètres du côté de Lougres. La longueur totale était est de 215 mètres, avec une largeur d’environ un mètre et un platelage bois (voir photo ci-dessous). La future passerelle mesurera 200 mètres et sera composée de dix passerelles mises à la suite avec 6 travées et 5 piles dans le Doubs, similaires à l’existant. De la même manière qu’aujourd’hui, il y aura la passerelle qui franchit le Doubs, mais également 2 autres passerelles d’accès, en guise de rampes accessibles aux personnes à mobilité réduite et permettant l’écoulement de l’eau, côté Lougres et Colombier-Fontaine. La passerelle sera en aluminium, à poutres latérales en treillis, afin de rappeler l’ancien usage industriel de l’ouvrage qui permettait à l’époque de rejoindre les usines de Colombier-Fontaine. Le sol sur lequel circuleront les piétons et les cycles sera en résine thermocollée sur le bac aluminium de la passerelle, d’une largeur de 2,5 mètres. L’objectif de cette réhabilitation est de proposer un bon niveau de confort de circulation, sans glissance et sans nuisance sonore. Le garde-corps sera quant à lui sous forme d’un filet inox à maille fine, fixé directement sur les diagonales des poutres treillis. Le coût total des travaux de démontage et réhabilitation s'élève à 1 792 356,19 € TTC avec financement de la Région Bourgogne-Franche-Comté de 800 000 €. Read the full article
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L’enfance remonte son lit - Anna Maria Carulina Celli
Rives et rêvesAvec les lézards verts et les fourmisL’enfance remonte son litDe ride d’eau en ride d’eauSa langue est celle des chants d’oiseaux désaltérés à la fontaine des rivièresSe faufilant sous les fougèresEt dans le poing un galet rondL’enfance saute de pierre en pierreLes carreaux à la craie de la marelleQue le vent et le soleil ont effacésDe quel côté le Ciel ?Le ciel tombé dans la…
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