#foire du midi
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© EDanhier
Ouverture de la Foire du Midi 2023.
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Fête nationale aujourd'hui. Aprèm à Bruxelles parce que c'est chouette quand la ville est colorée et se transforme en grand village quand les gens trinquent autour d'un moules-frites place du jeu de balle avec de la musique flamande quand on marche au milieu des rues, Sainte Catherine, De Broekere, Bourse, Grand Place, Mont des Arts, Musée Magritte, Palais de Justice, Marolles et Foire du midi où l'ado a pour la première fois joué à une machine à sous j'étais un peu honteuse de ne lui avoir pas encore fait découvrir ça, il a offert son gain à un enfant qui galérait à attraper une peluche au grappin, l'enfant le sourire jusqu'aux oreilles. Il m'avait quand même juste avant demandé de photographier le gain pour se souvenir.
J'ai pris quelques photos avec mon tél mais j'essaie de m'habituer à sortir l'argentique au lieu du tel.
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La Magie de Noël à Saint-Sébastien
Noël à Saint-Sébastien transforme Donostia/Saint-Sébastien en un décor de conte de fées, rempli de lumières éblouissantes, de musique joyeuse et d'une ambiance qui fait ressentir la magie des fêtes dans chaque recoin. Avec des illuminations qui éclairent chaque rue, des marchés qui offrent des délices locaux et des traditions qui capturent l'esprit des fêtes, cette ville côtière devient une destination idéale pour vivre la magie de Noël à Saint-Sébastien. Les visiteurs découvrent une atmosphère chaleureuse et vibrante, où les traditions basques se mêlent à la joie universelle de Noël. Venez découvrir comment la ville célèbre cette période si spéciale, pleine de moments inoubliables qui enrichissent l'esprit.
Des journées pleines de charme
Illumination des Lumières (1er décembre à 18h30, Pont de Santa Catalina) Le début officiel des festivités est marqué par l'illumination traditionnelle des lumières le 1er décembre. À 18h30, le Pont de Santa Catalina s'illumine, créant un spectacle visuel qui s'étend dans toute la ville. Familles et visiteurs se rassemblent pour profiter de cet événement qui emplit les rues d'une lueur chaude et festive. L'émotion et l'esprit de Noël se font sentir à chaque coin de rue. Pendant cet événement, les sourires et l'enthousiasme se propagent, tandis que les gens partagent ce moment tant attendu avec leurs proches. Les lumières, qui semblent danser au rythme de la musique festive, emplissent l'air d'une ambiance pleine d'optimisme et de magie. Foire de Saint Thomas (21 décembre) Le 21 décembre, la Foire de Saint Thomas fait revivre les traditions basques dans toute leur splendeur. Toute la journée, la ville se remplit de stands proposant des produits locaux : chistorra, fromage, cidre et bien d'autres. C'est le moment parfait pour déguster le meilleur de la gastronomie régionale tout en profitant de l'ambiance festive. Les costumes traditionnels et la musique complètent cette expérience unique qui relie les visiteurs à la culture basque. De plus, les habitants de Donostia s'habillent en costumes typiques de baserritarras, créant une atmosphère encore plus authentique et festive. L'odeur de la chistorra emplit l'air, et la musique des accordéons et des tambourins accompagne le brouhaha de la foire, faisant de ce jour l'un des plus mémorables de Noël à Donostia. Défilé d'Olentzero et de Mari Domingi (24 décembre) La veille de Noël est célébrée par le défilé d'Olentzero et de Mari Domingi, deux personnages emblématiques de la mythologie basque. Du matin à l'après-midi, ils parcourent les différents quartiers de Donostia pour distribuer des cadeaux et de la joie aux enfants. La musique et les danses traditionnelles accompagnent leur passage, remplissant les rues de bonheur. Olentzero, le charbonnier qui apporte des cadeaux, et Mari Domingi, sa compagne inséparable, symbolisent l'esprit de Noël basque. Pendant le défilé, les enfants vivent des moments magiques en recevant des friandises et de petits cadeaux, tandis que les familles se rassemblent pour voir passer ces personnages bien-aimés. Les rues se remplissent de rires et de chansons, créant une atmosphère où la tradition et la magie se rencontrent pour faire de la veille de Noël à Saint-Sébastien un jour vraiment spécial. Cortège des Rois Mages (5 janvier à 18h00) Le 5 janvier, la ville attend avec impatience l'arrivée de Melchior, Gaspard et Balthazar. À 18h00, le cortège commence au Boulevard, parcourant les principales rues comme l'Avenida de la Liberté et la Place de Gipuzkoa. Les Rois, sur leurs magnifiques chars, saluent les enfants et les adultes tout en distribuant des bonbons et en partageant des sourires. L'excitation est palpable à chaque coin de rue, les petits attendant impatiemment la nuit magique où les Rois leur laisseront des cadeaux. Les chars, ornés de lumières et de couleurs brillantes, avancent au rythme de la musique, et les familles profitent du spectacle sous le ciel étoilé d'hiver. Les Rois Mages s'arrêtent à des points clés pour saluer les enfants, créant des moments pleins d'émotion et d'espoir, alors que tout le monde attend l'arrivée des cadeaux et la magie de la nuit des Rois.
Ambiance de Noël
Illuminations de Noël (1er décembre - 7 janvier) Les illuminations de Noël à Donostia sont une véritable œuvre d'art. Du 1er décembre au 7 janvier, les rues et bâtiments se parent de milliers de lumières qui mettent en valeur la beauté de l'architecture locale. Se promener dans la ville sous ce spectacle lumineux est une expérience magique, surtout dans des lieux comme l'Avenida de la Liberté et la Place de Gipuzkoa. L'ambiance lumineuse transforme chaque promenade en un voyage plein de charme, où chaque coin de la ville semble sorti d'un conte de fées. Les lumières décorent non seulement les façades, mais elles illuminent aussi les sourires de ceux qui les admirent, créant une connexion spéciale entre les visiteurs et l'esprit festif de Donostia. Crèche de la Place Gipuzkoa La Place de Gipuzkoa devient un lieu incontournable avec sa crèche traditionnelle. Cette scène de la Nativité raconte l'histoire de Noël avec des personnages soigneusement réalisés et des détails qui enchantent petits et grands. C'est un espace de contemplation et de réflexion, où l'ambiance festive se mêle à la spiritualité de la saison. Les détails minutieux de la crèche, des animaux aux personnages humains, invitent à s'arrêter et à apprécier le travail artistique derrière chaque pièce. La musique douce et les sons de la nature recréés dans la crèche ajoutent une touche spéciale, faisant de cet espace un endroit parfait pour se détendre et s'immerger dans le véritable esprit de Noël. Grande Roue à Alderdi Eder (18 novembre - 31 janvier) Pour ceux qui recherchent une vue inoubliable, la grande roue installée à Alderdi Eder est une expérience incontournable. Du haut, on peut admirer la ville illuminée, avec des vues panoramiques incluant la baie de La Concha et les lumières de Noël. Cette attraction, disponible jusqu'à la fin janvier, est parfaite à partager en famille ou entre amis, créant des souvenirs magiques. Monter sur la grande roue est encore plus spécial la nuit, lorsque les lumières de la ville se reflètent dans l'eau de la baie, créant une carte postale parfaite qui reste gravée dans la mémoire de ceux qui la contemplent. La grande roue est devenue l'un des symboles de Noël à Saint-Sébastien, et c'est l'endroit idéal pour créer des moments inoubliables et vivre la ville d'une perspective différente.
Marchés de Noël
Marché au Paseo del Urumea et Place Ramón Labayen (1er décembre - 7 janvier) Le marché de Noël sur le Paseo del Urumea et la Place Ramón Labayen offre une expérience de shopping charmante. Des produits artisanaux aux délices gastronomiques, les stands regorgent d'options parfaites pour offrir ou savourer pendant les fêtes. L'ambiance est joyeuse et animée, avec la musique en fond sonore et les lumières qui illuminent chaque espace. Chaque stand propose quelque chose d'unique : des douceurs comme les turrones et polvorones, jusqu'aux objets artisanaux qui reflètent la culture locale. Les familles flânent parmi les étals, profitant des arômes des produits fraîchement préparés et de l'atmosphère festive qui imprègne chaque recoin du marché. Mercadabadillo au Kursaal (8 - 10 décembre) Pendant trois jours, le Mercadabadillo au Kursaal réunit artisans et producteurs locaux. On y trouve des articles uniques, parfaits pour ceux qui cherchent des cadeaux spéciaux. Le marché propose aussi des activités pour toute la famille, rendant la visite complète. Ateliers pour enfants, démonstrations d'artisanat en direct et dégustations de produits locaux font du Mercadabadillo un événement où chaque membre de la famille trouve de quoi se réjouir. Rencontrer les artisans et écouter les histoires derrière chaque création ajoute une valeur spéciale à chaque achat. Foire Artisanale à la Place Catalogne (15 décembre - 5 janvier) À la Place Catalogne, la Foire Artisanale est l'endroit idéal pour découvrir des créations originales faites à la main. Des bijoux aux décorations, chaque produit raconte une histoire et reflète la créativité des artisans locaux. Cette foire est un espace où l'art et la tradition se rencontrent. Les artisans montrent avec fierté leur travail, et les visiteurs ont l'occasion d'acheter des pièces uniques et personnalisées, transformant chaque cadeau en quelque chose de vraiment spécial. Se promener dans la foire, c'est comme entrer dans un monde de créativité sans limites, où chaque article a une touche spéciale qui reflète la passion de ceux qui l'ont créé. Foire Spéciale de Noël à Ordizia (27 décembre) Le 27 décembre, Ordizia célèbre une foire spéciale sur la Place du Marché. Ici, les visiteurs peuvent profiter de produits de qualité et de l'ambiance unique de ce marché. C'est une occasion de mieux connaître les traditions de Noël de la région et de repartir avec les meilleurs produits locaux. La foire est pleine de couleurs, de saveurs et de sons qui reflètent la richesse de la culture basque. Les produits frais et les spécialités locales, comme les fromages et les charcuteries, sont au centre de l'attention, et les visiteurs apprécient non seulement leurs achats, mais aussi la rencontre avec les producteurs et l'apprentissage de leurs traditions.
Conclusion
Noël à Saint-Sébastien est une période pleine de magie et de tradition. Des événements emblématiques comme l'illumination des lumières et les défilés aux marchés qui proposent le meilleur de la culture locale, la ville devient un lieu enchanteur à vivre en famille. Si vous cherchez une destination de Noël qui allie beauté, tradition et ambiance festive incomparable, Donostia est l'endroit idéal. Chaque recoin de la ville se pare de ses plus beaux atours pour accueillir des visiteurs du monde entier, offrant des expériences uniques, qu'elles soient gastronomiques ou culturelles. La magie de Noël à Saint-Sébastien ne se vit pas seulement, elle se partage, créant des souvenirs inoubliables qui perdurent bien au-delà des fêtes. Read the full article
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Foire de Dijon : qui veut goûter les œufs en meurette de Florent Colombo ?
Ce vendredi 8 novembre, sur la Foire de Dijon, on cuisine les œufs en meurette ! Et qui de mieux placé que Florent Colombo pour vous guider ? Florent Colombo est chef du restaurant Meurette & Persillé à Dijon. © Village gastronomique À la Cité de la gastronomie comme à la Foire de Dijon, Florent Colombo est indiscutablement le « Monsieur meurette ». Ce vendredi après-midi, le chef dijonnais…
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Deux coups de feu dans le centre de Bruxelles très fréquenté, des témoins racontent: "J'ai vu quelqu'un par terre et il ne bougeait plus" | RTL Info
Source : RTL info
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"Prompte capture de trois évadés," La Patrie (Montreal). May 16, 1934. Page 3 & 4. ---- Arrestation à St-André ---- Ils ne furent libres que pendant neuf heures. Gardien ligoté et baillonné. ---- Après avoir joui de leur liberté pendant près de neuf heures, les trois prisonniers évadés de la prison de Saint-Jérome, hier soir, ont été capturés à six heures ce matin par les détectives provinciaux René Gauthier et René Marsolais, dans le village de Saint-André d'Argenteuil et non de Saint-André Avelin, suivant la version que donna précédemment la police.
C'est à la suite d'une ruse de la police que les trois fugitifs ont pu être espturés si promptoment. Dès que la nouvelle de leur éva sion fut connue à Montréal le chef Jargallle dépêcha le sergent René Lasnier et quinte détecti ves et constables à Saint-Jérôme. De cet endroit les détectives,
RUSE Pendant trois heures les policiers firent des perquisitions dans tous les hôtels et penalons de Saint-André, de même que dans un grand nombre de fermes et de résidences. Ils ne trouvèrent aucune trace des fugitifs. Le sergent Lasnier, ne doutant, cependant pas, qu'ils se cachaient à cet endroit, décida de se servir de ruse et déclara à tout le monde que les trois évadés étaient repartis de cet endroit. Deux détectives se cachérent pendant que tous les autres remontaient dans les automobiles et partaient à toute vitesse vers une nouvelle direction.
Pendant près d'une heure lea deux détectives se tinrent cachés près d'une ferme qu'ils avaient visitée au cours de la nuit, quand, peu avant six heures, l'un des évadés, se croyant finalement en sureté, sortit de la maison.
Il fut promptement appréhendé et après avoir été interrogé conduisit les deux détectives à cing milles plus loin, dans les bois, ou les policiers trouvèrent les deux autres fugitifs qui furent également arrêtés.
REINCARCERES Tous trois furent alors reconduite à la prison de Saint-Jérôme, oû ils furent cette fois placés sous bonne garde. Sur eux on retrouva la plus grande partie de l'argent volé à la prison ainsi que le revolver qu'ils avalent lore de leur fuite. Ils comparaitront en Cour afin de répondre à l'accusation d'évasion, ainsi qu'à celle de vol.
Le chef Jargaille s'est déclaré enchanté ce midi du prompt succès de ses agents et a dit que, contrairement à ce que l'on avait tout d'abord cru, les prisonniers n'étaient pas armés quand ils attaquerent le geolier Nadon. Volei que ce dit le chef Jargaille à ce sujet:
Vers 9 heures 30. Larocque et Gobell, qui étaient dans la même cellule, appelérent le geôller disant que l'un d'eux était malade. Quand le gardien arriva à la porte de la cellule il vit l'un des détenus plié en doux sur son lit, la tête entre ses mains. L'autre se tenait près de la porte. Le gardien ouvrit la porte et entra, mais à peine était-il dans la cellule que les deux détenus se jetèrent sur lui et eurent vite fait de le maîtriser. Ils l'attachèrent alors solidement et le baillonné rent. On le coucha ensuite sur le lit où il fut attaché et on le recouvrit d'une couverture.
Larocque s'emparant ensuite des clefs qui étaient tombées à terre, monta au second étage et délivra Gauchen, puis tous trois descendirent dans le bureau du gardien dont ils enfoncèrent la porte. Ils brisèrent ensuite le tiroir du pipitre ou ils prirent $64 et le revolver du gardien. Enfonçant ensuite une autre porte ils s'emparérent de vêtements de rue. Ils sortirent finalement par la porte de côté de la prison.
Les trois compagnons, une foir libres, passèrent près d'une heure dans les rues de Saint-Jérôme, al lant manger dans un restaurant. Ils achetèrent ensuite dix livres de viande et une douzaine de bouteilles de bière, puis partirent en tax pour Saint-André d'Argenteuil. A LA POINTE DU REVOLVER SAINT-JEROME, 16. - Une évasion sensationnelle, exécutée à la pointe du revolver, s'est produite hier soir à la prison de Saint Jérome quand trots détenus, après avoir ligoté le géoller ont pris la faite, emportant avec eux les clefs de la prison.
Avant de s'enfuir les trois prisonniers se rendirent dans le bureau du gardien de la prison on its changèrent leur ivrée de prisonniers pour des vêtements qui s'y trouvaient et s'empare de $61 dans le tiroir d'un bureau. Ils se firent ensuite conduire à Saint-André-Avelin, à 22 mailles d'ici, par un chauffeur de taxi.
L'évasion produit à 9 h. 30. hier soir, mais les autorités ne furent prévenues que deux heures plus tard quand le gardien parvint à se débarrasser de liens. Le sherif Cyr avertit immédiatement la Sûreté provinciale de l'évasion et plusieurs detectives se rendirent ici sans délai afin de rechercher les fugitifs.
Les évadés sont Joseph Gauchen, 19 ans; Lucien Larocque, 19 ans, de Laviolette; et Albert Gobell, alias Paul Chrétien, 21 ans. Ces deux derniers se sont déjà évadée de la prison de Cornwall, Ontario.
Deus d'entre eux, Larocque et Gobeil, occupaient une cellule du rezde-chaussée, sur le côté nord-ouest de la prison. Le geolier, qui avait à 8 heures enfermé dans leur cellule les 15 prisonniers de l'établissement, était couché tout près de la cellule des deux détenus. Gauchen était dans une des cellules du second étage.
J'AI SOIF A 9h30 Larocque frappa sur la porte de sa cellule et le géolier A. Nadon, se leva pour aller voir ce qu'il désirait. Larocque lui demanda un verre d'eau. Nadon n'était pas vêtu et que hui dit: "Laisser-moi sortir de ma cellule. Je vais aller boire et je reviendrai immédiatement." Le géoller consentit et laissa Larocque se rendre seul à la chambre de toilette. Quelques secondes plus tard Larocque revenait.
UN REVOLVER Arrivant près de Nadon le prisonnier montra soudain un revolver qu'il tenait à la main et, en meaçant son gardien, lui ordonna de ne pas bouger. Nadon fut forcé d'obéir et Larocque lui enleva alors ses clefs, les lancant dans la cellule ou Gobeil les ramassa pour ouvrir la porte.
LIGOTE ET BAILLONNE Les deux prisonniers s'emparerent alors de Nadon qu'is ligoterent solidement et baillonnèrent. Ils le laissèrent ensuite dans la cellule où ils avaient été détenus et le laissèrent là. Fermant à la clef la porte de la cellule les deux hommes montèrent au second étage de la prison ou ils délivrérent Gauchen.
Les trois prisonniers se rendes rendirent ensuite an bureau du gardien de la prison on ils enfoncerent la porte. C'est dans ce bureau que son gardés les vêtements des prisonniers. Une fois à l'intérieur les trois compagnons brisirent un tiroir du pupitre du gardien où ils s'emparèrent de $61 qui s'y trouvaient. Ils changérent ensuite leur livrée pour leurs propres vêtements de rue et quittèrent l'édifice par une parte de côté. Ils fermérent à clef toutes ses portes et emportèrent les clefs avec eux.
L'ALERTE EST DONNEE M. Nados ne parvint à se libérer de ses liens et de son båillon qu'aprés plus d'une demi-heure d'efforts. Il lui fut cependant impossible de sortir de sa cellule et il fut forcé de briser une vitre de la fenêtre. Une fois la vitre brisée, il cria de toutes ses forces et attira l'attention d'un voisin, M. A. Foisy, qui se rendit à la porte de la prison ou il fit fonctionner la sonnerie d'alarme communiquant avec le logement du gardien qui est situé an quatrième étage de l'édifice. DELIVRE Le gardien de la prison, M. W. Michaud, s'empressa d'aller dén vrer le garde emprisonné. Après avoir constaté ce qui s'était passé dans la prison M. Michaud prévint immédiatement le sherif J. W. Cyr.
LA CHASSE Le sherif communiqua immédiatement avec la la sûreté provinciale et le chef Jarxaille dépécha le sergent Lasnier ainsi que plusierus détectives sur les lieux.
Dans l'intervalle, le shérif, ayant organisé une forte équipe de citoyens pour commencer la chasse à l'homme, apprit que les trois prisonniers évadés s'étaient, à leur sortie de prison, rendus chez un chauffeur de taxi, nommé Viger, et avaient loué leur automobile pour se faire conduire à Saint-André Avelin. Ils avaient d'abord demandé de se faire con duire à Lachute, mais its change rent ensuite d'idée.
A SAINT-ANDRE Le sherif tenta d'avertir les policiers provinciaux de ce fait, mais ceux-ci étaient déjà en route et, comme il ne ne pouvait communiquer par téléphone avec Saint-André Avelin afin de prévenir les autorités de cet endroit, il fut forcé d'attendre l'arrivée des policiers de Montréal, avant de partir à la poursuite des fugitifs.
Le sherif apprit l'endroit exact où les trois fugitifs devalent se retirer à Saint-André afin d'y passer la nuit.
LIBERALITE Le chauffeur de taxi Viger, qui revint à Saint-Jérôme dans le courant de la nuit, no se dontalt nullement qu'il conduisait trois évadón. Ce n'est qu'à son retour à Saint-Jérôme qu'il apprit l'évasion et concut des soupçons. Il fit alors part au sherif sans tarder de aun ascature disant que les trois hommes l'avaient payé libéralement et avaient acheté une douzaine de bouteilles de bière pour agrémenter le voyage. Il dit au shorif où il les avaient laissés à Saint-André.
POUR CAMBRIOLAGE Le shérit Cyr a déclaré ce matin que Larocque et Gobeil étaient à la prison depuis avril ayant été condamnés à deux mois de détention pour un cambriolage. lls furent trouvés coupables d'une effraction commisse au magasin Lemay, à Lachute, ils il y a quelque temps. Il croit aussi que les deux prévenus sont recherchés à Cornwall, Ontario, pour s'y être évadés de la prison. Le sherif a déclaré qu'il était en communication de puis quelques semaines avee la police de l'Ontario et que des agents de cette province devalent venir chercher les prisonniers en les ramener à Cornwall.
Le troisième évadé est un ancien détenu de la ferme industrielle de Shawbridge. Il a pas six ans à cet endroit et en fut l'un des détenus les plus turbulents. Il a falt plusieurs séjoure à la prison locale.
INEXPLICABLE Le shérif, le gardien et le géolier de la prison ne peuvent expliquer comment il se fait que Larocque était en possession d'un revolver. Les détenus n'ont reçu ancun visiteur depuis puis assez long-temps et Gauchen était arrivé de la ferme industrielle depuis plusieurs jours. Chaque prisonnier est fouillé avec soin à son arrivée à la prison et il est impossible que Larocque ait pu avoir cette arme dans sa cellule.
UN COMPLICE Selon le sherif, Larocque, qui semblait être le chef des évadés, avait un complice à l'extérieur. Ce dernier, sons un prétexte quelconque parvint sans doutes à s'introduire dans la prison et à y cacher l'arme dans la chambre de toilette.
La prison comprend seize cellules, huit à chaque étage.
Des lera arrivée à Saint-Jérome, cettle nuit, les détectives sont partis à toute vitesse dans la direction de Saint-André ou ils espèrent pouvoir rejoindre les fugitifs avant que ceux-ci se cachent dans les bois.
Image caption:
LA PRISON D'OU S'EVADERENT TROIS DETENUS Photographie du Palais de Justice de Saint-Jérôme. C'est dans la partie arrière de l'aile droite que se trouve in prison d'où s'échappèrent hier soir trois prisonniers qui ont été recapturis à bonne heure ce voyageant dans trois automobiles, ce matin à Saint-André d'Argenteuil. Après avoir baillonné et ligoté leur gardien les trois prisonniers volèrent $64 et un revolver, puis sortirent par la petite porte de côté de la prison, que l'on voit ici partiellement cachée par des automobiles.
#saint-jerome#jailbreak#jailbreakers#escape from prison#quebec prisons#escaped prisoners#burglary#burglars#prison de saint-jérôme#great depression in canada#crime and punishment in canada#history of crime and punishment in canada#sentenced to prison#police manhunt
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Association générale des étudiantes et étudiants du Cégep de Chicoutimi (AGEECC)
Un midi foire environnementale Continue reading Association générale des étudiantes et étudiants du Cégep de Chicoutimi (AGEECC)
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#ageecc#association#étudiantes#étudiants#cégep#chicoutimi#environnementale#foire#générale#jour de la terre#manchette#midi
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« Sitor Ndour a versé son sperme sur moi ». L’affaire de viol pour laquelle Sitor Ndour est placé sous mandat de dépôt n’a pas fini de livrer tous ses secrets. Les médias relaient de nouvelles accusations de la victime qui faisait face à son bourreau hier devant la barre de la Chambre criminelle. Sitor Ndour a versé son sperme sur moi sitor ndour,ex dg du coud , accusé de viol par sa femme de menage La domestique de 16 ans a presque craqué quand elle racontait à la barre sa mésaventure. A.D. a expliqué les détails de son embauche, ses négociations avec le sieur Sitor Ndour jusqu’à son engagement en tant que domestique. Sitor Ndour, ex dg du coud violeur → A LIRE AUSSI PHOTO : Ousmane Sonko malmené lors de son arrestation Juste avant la tabaski tout se passait bien même si la proposition du maitre des céans de passer la nuit à la maison lui a semblé très bizarre. Elle a confié qu’elle en a parlé à sa maman. « Arrivée chez ma mère, je lui ai expliqué la situation… c’est-à-dire que mon patron voudrait que je passe la nuit. Le dimanche, je suis retournée à la maison de Sitor, il y avait deux hommes et ses enfants. C’était le jour de la fête de Tabaski. » → A LIRE AUSSI Urgent : Ousmane Sonko finalement arrêté « Sitor a voulu que je passe la nuit » sitor ndour,ex dg du coud , accusé de viol par sa femme de menage ok Sur ce point précis, le juge de l’interpeller : «as tu fini par accepter de passer la nuit chez Sitor ? ». La fille de répondre par la négative. → A LIRE AUSSI Image chaotique, Ousmane Sonko exfiltré de force par sa garde devant les gendarmes (vidéo) Avant d’expliquer : «ce n’est que dans la nuit du dimanche au lundi que j’ai passé la nuit chez Sitor. Le lundi matin, lendemain Tabaski, les deux garçons qui étaient présents dans la maison sont partis à Fatick. La femme de Sitor également a quitté les lieux. Alors, il ne restait que moi et les trois enfants de Sitor dans la maison». C’est en début d’après-midi que le responsable de l’APR serait passé à l’offensive. Selon A.D. « C’est après le repas que Sitor m’a fait savoir -si tu n’as rien à faire tu peux aller dans ta chambre de même que les enfants. Quelques instants après, Sitor est descendu de l’étage avec les clés de la maison ». Après une bonne sécurisation de la maison, la domestique de confier : « il est entré dans ma chambre par surprise en me disant je veux avoir des rapports sexuels avec toi. J’ai récusé. Malgré mon refus, il m’a forcé pour coucher avec moi. Alors que je portais un slip, un cuissard et un bas. Tout cela ne l’a pas empêché de tout enlever avec sa main, utilisant la force. Il m’a même fait mal. J’ai crié de toutes mes forces sans succès ». « il a versé tout son sperme sur moi » Sitor Ndour a versé son sperme sur moi A.D. de poursuivre : « il a versé tout son sperme sur moi après son acte. Ensuite, il est reparti avec les clés de la chambre. Je me suis levée et je me suis douchée. Le président du Tribunal n’a pu s’empêcher de lui demander : « comment il t’a déshabillée avec une seule main ? » La présumée victime a rétorqué : « Il a enlevé mes sous-vêtements avec sa main, me faisant mal à la jambe avant de tomber sur moi. Il m’a plaquée sur le lit, tenu mes deux bras avant de mettre son pénis dans mon vagin. J’ai crié de toutes mes forces ». A la question du juge : « Qu’est ce que tu as constaté sur toi ? », elle a souligné : « le sperme était entaché sur mon slip et sur le drap ». Après le présumé viol, A.D. a raconté qu’elle est rentrée chez sa mère. «Dès mon arrivée, je me suis débarrassée de mon slip avant de rendre chez le médecin. » » Le juge d’insister : « tu es alors partie à l’hôpital, mais avant tu t’es pas rendue chez une femme infirmière à Ouest Foire? » Elle a précisé : « oui, je me suis rendue à l’hôpital vers 18h. »
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« Sitor Ndour a versé son sperme sur moi ». L’affaire de viol pour laquelle Sitor Ndour est placé sous mandat de dépôt n’a pas fini de livrer tous ses secrets. Les médias relaient de nouvelles accusations de la victime qui faisait face à son bourreau hier devant la barre de la Chambre criminelle. Sitor Ndour a versé son sperme sur moi sitor ndour,ex dg du coud , accusé de viol par sa femme de menage La domestique de 16 ans a presque craqué quand elle racontait à la barre sa mésaventure. A.D. a expliqué les détails de son embauche, ses négociations avec le sieur Sitor Ndour jusqu’à son engagement en tant que domestique. Sitor Ndour, ex dg du coud violeur → A LIRE AUSSI PHOTO : Ousmane Sonko malmené lors de son arrestation Juste avant la tabaski tout se passait bien même si la proposition du maitre des céans de passer la nuit à la maison lui a semblé très bizarre. Elle a confié qu’elle en a parlé à sa maman. « Arrivée chez ma mère, je lui ai expliqué la situation… c’est-à-dire que mon patron voudrait que je passe la nuit. Le dimanche, je suis retournée à la maison de Sitor, il y avait deux hommes et ses enfants. C’était le jour de la fête de Tabaski. » → A LIRE AUSSI Urgent : Ousmane Sonko finalement arrêté « Sitor a voulu que je passe la nuit » sitor ndour,ex dg du coud , accusé de viol par sa femme de menage ok Sur ce point précis, le juge de l’interpeller : «as tu fini par accepter de passer la nuit chez Sitor ? ». La fille de répondre par la négative. → A LIRE AUSSI Image chaotique, Ousmane Sonko exfiltré de force par sa garde devant les gendarmes (vidéo) Avant d’expliquer : «ce n’est que dans la nuit du dimanche au lundi que j’ai passé la nuit chez Sitor. Le lundi matin, lendemain Tabaski, les deux garçons qui étaient présents dans la maison sont partis à Fatick. La femme de Sitor également a quitté les lieux. Alors, il ne restait que moi et les trois enfants de Sitor dans la maison». C’est en début d’après-midi que le responsable de l’APR serait passé à l’offensive. Selon A.D. « C’est après le repas que Sitor m’a fait savoir -si tu n’as rien à faire tu peux aller dans ta chambre de même que les enfants. Quelques instants après, Sitor est descendu de l’étage avec les clés de la maison ». Après une bonne sécurisation de la maison, la domestique de confier : « il est entré dans ma chambre par surprise en me disant je veux avoir des rapports sexuels avec toi. J’ai récusé. Malgré mon refus, il m’a forcé pour coucher avec moi. Alors que je portais un slip, un cuissard et un bas. Tout cela ne l’a pas empêché de tout enlever avec sa main, utilisant la force. Il m’a même fait mal. J’ai crié de toutes mes forces sans succès ». « il a versé tout son sperme sur moi » Sitor Ndour a versé son sperme sur moi A.D. de poursuivre : « il a versé tout son sperme sur moi après son acte. Ensuite, il est reparti avec les clés de la chambre. Je me suis levée et je me suis douchée. Le président du Tribunal n’a pu s’empêcher de lui demander : « comment il t’a déshabillée avec une seule main ? » La présumée victime a rétorqué : « Il a enlevé mes sous-vêtements avec sa main, me faisant mal à la jambe avant de tomber sur moi. Il m’a plaquée sur le lit, tenu mes deux bras avant de mettre son pénis dans mon vagin. J’ai crié de toutes mes forces ». A la question du juge : « Qu’est ce que tu as constaté sur toi ? », elle a souligné : « le sperme était entaché sur mon slip et sur le drap ». Après le présumé viol, A.D. a raconté qu’elle est rentrée chez sa mère. «Dès mon arrivée, je me suis débarrassée de mon slip avant de rendre chez le médecin. » » Le juge d’insister : « tu es alors partie à l’hôpital, mais avant tu t’es pas rendue chez une femme infirmière à Ouest Foire? » Elle a précisé : « oui, je me suis rendue à l’hôpital vers 18h. »
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2023 est à nous !!!
Ce coup-ci c’est en compagnie de mes vieux potos Carlsberg Slim, Crapulax et Lanceflow aka le Bunker… Brutaliseurs de Beats, gouailleurs, name-droppeurs, rois des associations d’idées et collages de belles images, âme de Bxl, dandy vulgaires, crados élégants, barbares raffinés. 4x16 barz de prestige pour les connaisseurs posés non délicatement sur une grosse patatas qui déboîte de Taipan en personne. A écouter très très fort et très très souvent. Montre-toi à la hauteur et bouge sur ce son jusqu’à en crever, c’est la danse de Saint Guy !!! Dispo sur toutes les plateformes de streaming of course
Tar One ft Bunker - Danse de Saint-Guy - Lyrics :
Lanceflow :
Les bras ballants dans le ciel, tous me voient passer comme Air Force One
Sapé comme un breakeur coréen ou made in Taiwan
Jamais nonchalant sur les invits du homie TARONE,
on va faire sa fête au rap et briller sur la prod à Taipan
Pour m’écouter tu blesses la touche replay de ta vieille chaîne hi-fi
T’es dégoûté car des pipelettes t’ont dit que j'pisse dans l'jacuzzi
Tous sont shootés à mes couplets comme des p’tits bourges sous cocaïne
Comme un tagine pour mes bledards, t’es qu’un mouton l’soir de l’Aïd
BUNKER, boys band mieux qu'Alliage
J'entends toutes vos mères gueuler comme des chiennes dans c'coquillage
J'suis venu faire le ménage dans c'game minable
Check mon flow, j'les rends tous abominables
Forme et fond, logorrhée interminable
Ouais j'suis trop fort, impossible à niquer comme l'armée viet'
J'écris les mains dans les poches comme Alanis Morissette
V’la du pain pour mes auditeurs comme Jesus d’Nazareth
Suprême compétiteur, fin du texte, tous les nazes arrêtent
Tar One :
Plume meurtrière comme Joe Pesci dans Casino
Comme pour l’emoji : l’cœur y est pour Walid, Diego, Camilo
Tu dis « Oli(e) » on pense à nos skateurs, toi à Big Flo
Je tue, c’est la folie, Hannibal Lecter, camisole
Même avec Jordan t’as l’air d’un grand naze Perdu comme Will
Comme Kong, King et gros j’kiffe un bon Boule comme Bill
Coke, Viagra, Taurine, Tar torride
Représente Verviers comme la tarte au riz
Tarter attardés rageux dans c‘Rap Jeu et j’me casse
Chef d’œuvre sale : Journal D’un Vieux Dégueulasse
Grabuge et littérature, pas d’budget, rimes et ratures
Du pif sans sulfite, délices exquis et nature
Brin d’herbe dans la bouche, plein d’herbe : 100g Kush
Couchés si on se met bien : plaids, encas, rouge
Te casse ta guitare sur le crâne avant que tu ne tentes une cover
On débarque, écartez-vous comme des dents du bonheur
Crapulax :
Saut à l'élastique
DeltaplaneInsatiable, Intouchable, Demon one
Once againTous à poils, marioles sous cocaïne
Invincible, Premier, Capo/Nore
CNN
Bénis les rookies comme si j'étais David Stern
Benny comme boucher
Foire du midi, balivernes
Mes gremlins, ma bataille, Balavoine
House of pain, House of M
Carnaval, caisses qui crament, Oh
Wow
VIPO comme Steve-Ô
Fou l'feu comme pyro, p'tit Néron, brûle neurones, White widow
Romanova, Molotova, Scarlett, Black widow
Gringuito, 100 kilos, Sangre, caniveau
Funky ver de terre
Ohio Player
Ça au moins c'est clair
Pintje cathéter
Bipolaire
La schneck à Hitler
Fistinière
Fuck le temps, Festina
Qu'est ce qui y'a
Quarantenaire
Carlsberg Slim :
J'écris des lyrics pendant qu'tu skies
Remonte ton falzar en descente
Mets l'autotune quand tu cries
Parapente, chuteflying suit en torpille
Avalanche de clowns, overdose de Krusty
Paraît qu'y a plus d'mc
Flush
Boom rush
Walid Boomaye, Alelouya, Bunker Bougnoule touch
Gold rush
Candy crush
Mofoke, Fokalé, Sakel fomok
Shush shush
Mange un riche, dévalise la Silicon Valley
Elon Mucht, Scott Tenorman, chili con carne
En écoutant Aerosmith
Et fourre son pif avec la paille de son apérol spritz
BX souk, coke en stock et shit en soute
Rythm n' plouc, rap, logorrhée, hits en route
Sheek louch, cheap look, sales types louches
Wech wech, coucouchebang bang, touche-touche
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Le célibat est politique - 2
En examinant rétrospectivement l'attitude de Sexy envers moi - en émergeant du brouillard, hagarde et disloquée, essayant péniblement de me résigner au fait que ce sera toujours comme çà, désormais, que je verrais toujours les hommes qui me plaisent me fuir ou me mépriser ou m'ignorer - je me suis rappelée de l'époque où je suis arrivée dans mon administration, petite standardiste en CDD, payée chichement à faire le larbin et à se faire engueuler par à peu près tout le monde.
A l'époque, je suis tombée amoureuse d'un jeune type qui venait lui aussi d'arriver dans le service, frais émoulu de son concours. Il n'était pas si qualifié que çà, en réalité, mais je le regardais comme j'ai regardé Prof Sexy - comme un dieu de l'Olympe, paré de toutes les vertus, et que je n'avais aucune chance de rencarder un jour. Je doute qu'il m'ait jamais vue autrement que comme la fille qui lui passait les appels, la fille avec des fringues de pauvre et des baskets de plouc. J'étais mignonne, pourtant, à l'époque, mais lui était beau et, probablement, courtisé à l'avenant.
Les récits modernes mettent toujours en avant le gars frustré d'être pauvre et qui veut épouser la fille du patron ; quand çà marche, çà s'appelle "La vérité si je mens" et c'est une comédie ; quand çà foire, c'est triste et le gars s'appelle Gatsby. Mais çà ne vient à l'idée de personne qu'une fille puisse ressentir exactement la même chose. Çà dépasse les gens, décidément, que la fille puisse être un héros comme les autres.
Une étudiante, en stage dans le service, lui tournait autour quand je suis arrivée sur le poste. Le secrétariat occupant une place centrale, j'étais aux premières loges pour assister à ses progrès. Le dernier jour de son stage, je les ai vus quitter le bureau ensemble pour aller boire un verre. Ils nous ont jeté un regard en passant, elle les yeux brillants, lui avec un air de défi. J'ai passé le reste de l'après-midi à chercher mon estime de moi-même, qui avait dû sombrer quelque part au sous-sol.
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Au moins une personne a été tuée et 20 autres blessées, dont quatre grièvement, lors d'une bousculade dans le district de Cuttack à Odisha samedi, a annoncé la police. L'incident s'est produit alors qu'un grand nombre de personnes se rassemblaient sur le pont en T de Badamba-Gopinathpur à l'occasion de Makar Mela, a déclaré un officier de police. Le député de Badamba-Narsinghpur et l'ancien ministre Debi Prasad Mishra ont confirmé qu'une femme, identifiée comme étant Anjana Swain, âgée de 45 ans, est décédée dans l'incident, tandis que quatre personnes grièvement blessées ont été admises au SCB Medical College Hospital de la ville de Cuttack. Mishra a déclaré que d'autres personnes blessées ont été admises dans un centre de santé communautaire (CHC) à Badamba. Le ministre en chef Naveen Patnaik a exprimé son chagrin face à l'incident et a annoncé un ex-gratia de Rs 5 lakh pour le plus proche parent du défunt. "Les blessés recevront des soins gratuits et je souhaite leur prompt rétablissement", a déclaré Patnaik dans un communiqué. Le sous-collecteur d'Athagarh, Hemanta Kumar Swain, a déclaré que l'incident avait eu lieu en raison d'une augmentation soudaine du nombre de fidèles, y compris des femmes et des enfants, dans l'après-midi pour visiter une foire organisée à l'occasion et également pour rendre hommage à Lord Singhanath. L'administration du district a déclaré que la congrégation était massive car les gens visitaient le temple après une interruption de deux ans en raison de la pandémie de COVID-19. Les fidèles des districts de Cuttack, Khordha, Puri, Angul, Dhenkanal, Boudh et Nayagarh étaient venus en grand nombre au temple, a déclaré le sous-collecteur.(Cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de NDTV et est générée automatiquement à partir d'un flux syndiqué.)
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foire du midi, august 2018 by miguel discart
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© EDanhier
Ouverture de la Foire du Midi.
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Du coup 2 pour Perceval et Arthur si tu veux bien!
Le roi poussa un soupir agacé, le seigneur Perceval avait réussi à le traîner dans une foire traditionnelle du Pays de Galles qui se tenait tous les ans à trois lieues de la ferme de ses parents. La foire en elle même lui plaisait assez, elle n'était pas la raison de ses incessants soupirs. Non. C'était la disparition du seigneur Perceval qui l'agaçait, qui l'inquiétait plutôt. Il avait détourné le regard cinq minutes pour remplir son outre d'eau et quand il avait relevé les yeux; le chevalier n'était plus à ses côtés. Soudain une voix familière fendit la foule.
« Sire ! Sire ! »
La voix du seigneur Perceval retentit dans toute la foire, attirant immédiatement l'attention du roi. Arthur leva son bras en l'air, cherchant à donner un point de repère à son chevalier. Comprenant que le Gallois n'allait peut-être pas réussir à le trouver ainsi le roi cria son nom :
« Perceval ! »
Une exclamation de joie surgit dans la foule et quelques instants plus tard un éclair bleu et blanc avait rejoint le roi près d'un stand de lait de chèvre. Le Gallois adressa un grand sourire au souverain breton mais celui gardait son air mécontent résolument affiché sur son visage.
« Dis donc, qu'est-ce que je vous ai dit avant de partir ? Demanda-t-il d'une voix déjà agacée.
-Que vous vouliez bien acheter des friands pour le repas.
-Non. Que je voulais bien venir avec vous si vous ne faisiez pas n'importe quoi et que vous ne partiez pas vadrouiller tout seul. Reprit le roi d'un ton professoral.
-Oui sire.
-C'est bien compris ?
-Oui sire.
-Maintenant vous restez avec moi et vous ne me perdez pas du regard.
-Oui sire. » Les trois phrases du chevalier du pays de Galles avait été dites sur le même ton.
Le roi lui fit signe de le suivre, Perceval suivit immédiatement son souverain, ne le lâchant pas d'une semelle. Les deux hommes observaient les différents étalages devant lesquels ils passaient, s'arrêtant devant certains, achetant de petites babioles. Perceval avait longuement marchandé avec une vieille femme un peu bizarre avant de lui acheter un collier remplie de pierres pour sa grand-mère. Après quelques minutes de flâneries supplémentaires le regard de Perceval s'accrocha à un nouveau stand.
« Sire ! Sire ! Regardez ! S'exclama le chevalier.
-Quoi qu'est-ce qu'il y a ? »
Le Gallois lui fit signe de le rejoindre d'une main tandis que de l'autre il désignait quelque chose qui était posée sur l'étalage.
« Regardez sire c'est vous en poupée ! » Déclara le Gallois avec enthousiasme.
Le front du roi se plissa d'étonnement. Qu'est-ce que son chevalier pouvait bien avoir encore inventé. Il s'approcha légèrement du stand mais son emplacement ne lui permettait toujours pas de voir ce que montrait Perceval.
« C'est moi en poupée, comment ça c'est moi en poupée ? Demanda Arthur.
-Bah regardez vous verrez bien ! »
Il s'approcha une nouvelle fois du stand et un sourire attendri se dessina sur son visage. Sur l'étalage étaient disposées des dizaines de poupées de laine aux couleurs chatoyantes. Le chevalier lui en désignait une du doigt : vêtue de rouge et de noir, tenant dans sa main une épée rougeâtre et une masse de boucles de laine noirs tombaient sur le visage de laine de la poupée.
« C'est vous qui faîtes ça ? Demanda le roi à la petite marchande.
-Oui. Mon père prend la laine de nos moutons, ma mère la teint et moi je tricote les poupées.
-Vous en faîtes d'autres ?
-J'en ai une pour tous les chevaliers de la table ronde et aussi une pour la reine. »
En effet, tous les camarades du roi et du seigneur Perceval ainsi que la reine étaient bien sur cette table sous la forme de poupées de laine. Le roi dut retenir son rire devant certaines d'entre elles. Il devait pourtant admettre qu'elles étaient très bien faîtes.
« Sire ? Demanda timidement son chevalier.
-Quoi ?
-Vous voulez bien m'en acheter une ?
-Vous pouvez pas vous l'achetez vous même ?
-Allez sire... Soyez chic. Si vous me l'achetez c'est moi qui m'occuperai d'acheter le casse dalle. »
Le chevalier plongea ses grands yeux larmoyants dans ceux du roi de Bretagne, quémandant comme un enfant. La douceur des yeux du Gallois eut raison d'Arthur.
« Bon d'accord. »
Le roi lui sourit et lui tendit sa bourse. Perceval attrapa la poupée représentant le roi de Bretagne et tendit à la jeune fille les 6 pièces de bronze qu'elle demandait. Le chevalier s'éloigna alors, son cadeau en main, pour aller chercher le repas de midi. Le roi resta quelques instants devant le stand avant de demander.
« Dîtes... Vous pouvez me montrer la poupée de la reine ? »
La jeune fille lui montra la poupée de la reine. Elle était vêtue d'une robe aux volants roses, ses cheveux de laine brune étaient tressés et une tiare en fer était posée sur sa tête. Le roi déclara :
« Je vais vous la prendre. »
Il tendit à son tour les 6 pièces de bronze à la jeune fille et prit la poupée.
« Merci sire. » Murmura timidement la jeune fille.
La voix de Perceval vint une nouvelle fois fendre la foule :
« Sire ! Venez ! J'ai acheté les friands pour le déjeuner. »
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Le Progrès
La bonne nouvelle du moment, c'est que la grande foire dite ''COP 26'' a, pour la 26 ème fois sur 26... foiré, ce qui redonne espoir dans la capacité de l'humanité à résister à la tentation perverse (du latin ''pervertor'' = retourner contre soi-même) de ce qui fut ''les idéaux de la Gauche''. Une constante que nous enseigne l'histoire récente, c'est que dès que nos gouvernements ou des technocrates multi-diplômés mais (ou ''donc'' ?) très cons s'emparent d'un sujet, quel qu'il soit, ils le transforment immanquablement en problème insoluble, puis en usine à gaz , puis en cimetière. L'écologie, hélas, est un exemple caricatural de cette tendance maso-suicidaire.
Il y a une cinquante d'années, j'avais acheté un grand terrain dans le Midi, pour y construire une maisonnette où se dérouleraient et se collectionneraient les jolis souvenirs d'enfance de mes enfants. L'endroit était sauvage à souhait, ''brut de toute fonderie'', et sans doute à peine différent de ce qu'il avait du être dix siècles auparavant, lorsqu'il était une oliveraie appartenant aux moines de Lérins. On trouvait là toute une faune spécifique, des bonnes vieilles tortues d'Hermann --qui ne ''poussent'' qu'en Provence-- ou des petits hérissons, charmants, très mignons... mais horriblement puants ... Quelques familles de lapins, dont les petits derrières blancs, qui se sauvaient en sautillant lorsque j'ouvrais les fenêtres, le matin, me faisaient évoquer le délicieux Alphonse Daudet et son arrivée au Moulin où naîtraient tant de beaux contes... Des oiseaux partout, des écureuils qui gambadaient, parfois un jeune daim égaré du Parc naturel proche, et le soir, des lucioles dont la petite lumière douce clignotait à la recherche d'une ‘’âme’’ sœur...
Une fois par an, vers Pâques, le dernier berger de la région s'arrêtait sur ''notre'' colline, et son troupeau, en route vers l'alpage, broutait ras une herbe parfumée de thym et de romarin, avant de continuer sa pérégrination joyeuse... Quelle joie de se réveiller au son rieur des clochettes ! Sur la colline, des paysans avec un accent ensoleillé nous saluaient de loin, puis déposaient sur le rebord de nos fenêtres de vraies tomates qui avaient le goût de tomates ou des pêches qui avaient le goût de pêches. On pouvait compter sur eux pour un coup de main ou pour prêter tel outil ne figurant normalement pas dans la panoplie d'un ''parisién'', et on ''remontait'' confiants vers la Capitale, sachant la maison gardée, que nous soyons là ou pas.
Le petit village était charmant, et y faire ses courses était un bonheur : au rythme du marteau du maréchal ferrant, de vrais commerçants, dans de vraies échoppes où ils vendaient de vrais produits, vous accueillaient par votre nom, demandaient des nouvelles de ''la petite dernière'', et vous enrichissaient de considérations sur le temps, colorées de proverbes anciens, résultats d'une expérience pluri-millénaire, pendant que le clocher sonnait gaiement ''les heures, les quarts et les demies''. Au café, sur la place, mon vieil ami Nicolas me racontait en patois nissard son enfance près d'un aïeul ''responsable des fontaines'', personnage important s'il en était : il contrôlait l’eau, la ressource la plus convoitée, et tentait de réguler les disputes entre des familles qui ne se parlaient plus depuis qu'au XVIII è siècle, l'un avait séduit la fille de l'autre ou, plus grave encore, avait ‘’usé’’ plus d'eau que permis !
J'ai vu ce monde, tout droit sorti d'une ''crèche provençale'', s'effriter, d'abord, puis se déliter rapidement et disparaître... sans laisser d'autres traces que quelques ''anciéns'' qui évoquent, pour quelque temps encore, ''le bon vieux temps'', dans l'indifférence générale et le manque total d'intérêt des touristes qui s'arrêtent pour fixer dans leurs millions de pixels un chat sur le rebord d'une fenêtre, mais passent, indifférents, devant ce trésor en train de disparaître : leur propre histoire. Il faut avoir une bonne dose de myopie pour appeler de tels naufrages ''le progrès'' !
Comme par une guerre, tout a été mis sens dessus-dessous. Au nom d'une fausse écologie telle que la conçoivent des technocrates incultes dans d’obscurs bureaux parisiens, on a remplacé la nature par des colonnes de chiffres et des tableaux statistiques, imposé le débroussaillage annuel incontournable, ce qui a rendu, par le fait même, ''nos printemps silencieux'', pour reprendre le titre de Rachel Carlson. Les tondeuses obligatoires ont chassé les moutons, découpé en rondelles, toutes vivantes, les gentilles tortues, fait disparaître les lapins et le parfum des herbes (seules ont résisté les espèces endémiques !). D'autres délires ''écolos'' ont eu raison des paysans, des chevaux et donc des oiseaux et de la forge du père Mallet, le maréchal ferrant, et des cloches de l'église. Ne parlons pas des émouvantes lucioles ou du braiement des ânes.. dont je dois être le dernier à me souvenir ! Les grandes surfaces et la multiplication des normes et des impôts (et, ceci expliquant cela, des fonctionnaires municipaux) ont apporté d'autres ''progrès'' qui ont achevé de détruire le peu qui restait, et ont abandonné à leurs vains regrets les vieilles badernes dans mon genre... qui se désolent, à l'idée que leurs petits enfants ne connaîtront rien des vraies beautés du monde, qui seront masquées, comme nous.
Car l'écologie telle que l'ont redéfinie les déconstructeurs révolutionnaires et les cons (ce sont les mêmes !), ne connaît pas de limites : grâce à leur concept-fou ''d'énergies renouvelables'', inutile, fumeux, indescriptible et contre-opérationnel, ils ne rêvent que d'achever de transformer ce qu'il restera de campagne en usines d'abord, puis, juste après, en friches industrielles, puis en décharges à pales, en hérissant le monde de ces mats terrifiants qui sont dits ''éoliens'' quand ils ne sont que polluants et mortifères, une catastrophe irrattrapable pour les générations futures, tout comme le sont ou le seront les voitures électriques... ou la totalité des idées que répandent, comme autant de pandémies, les idées dites woke, ‘’cancer’’ culture, etc... On le sait, mais l’omertà politiquement correcte interdit toute vérité !
Le progrès était une belle chose... tant qu'il n'a pas été --comme il l'est de nos jours-- asservi à des arrière-pensées destructrices, ce que sont la quasi-totalité de celles qui rendent, sous nos yeux, le monde invivable. Ne haussez pas les épaules, je vous en supplie : non seulement c'est pour... demain, mais le processus est déjà largement entamé. A quoi ressemblera le monde qu'ils veulent nous imposer, d'où auront disparu la beauté (la laideur se définit, désormais, comme une ex-campagne ravagée par des éoliennes géantes ou des champs de miroirs noirs), les oiseaux (ils ont appelé leur tuerie par millions ''le remembrement'' !) et les abeilles, une architecture ''végétalisée'' qui ne laissera aucun souvenir à nos descendants ni de trace de ce que nous fûmes... et une espèce humaine asservie à des idéologies qui n'auraient jamais dû voir le jour --ne serait-ce qu'un peu. Ce soir, je suis triste, comme ont dû l'être le dernier des mohicans ou le dernier des dinosaures... mais joyeux en même temps : avec l'échec réitéré à en être chronique de la COP, on vient de gagner un petit sursis. Demain, c'est promis, on redevient plus souriants.
H-Cl.
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