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Fleurs du mal: musica rivitalizzante

I Fleurs du mal sono un ensamble rythm and blues d’annata. La prima formazione risale al 1983. il primo disco all’anno successivo. È trascorso il tempo lasciando inalterato il loro spirito blues. Il loro stile spazia tra il blues di Chicago, Blues Brothers, il rock, il funky, il jazz e lo swing. Tutte influenze che si insinuano non solo nei dischi, ma anche nei singoli brani. Questo rende i Fleurs du mal longevi e sempre accattivanti. La loro è musica senza tempo. Inutile soffermarsi sulle capacità tecniche dei componenti. Sono decisamente alte. Soprattutto sono state affinate per dare quello spessore tipico solo dei nomi migliori del genere. I brani sono intensi, trascinanti, lancinanti quando è il caso. Il loro ultimo lavoro in studio, Gumbo, mostra un ulteriore mix. Infatti è, per la prima volta nella storia della band, da sei ‘standard’ affiancati ad altrettanti brani originali.

Quindi troviamo Caledonia di Luis Jordan, Melody del duo Jagger-Richrads, Stop Breaking Down dell’immortale Robert Johnson, Basin Street Blues di Spencer Williams, featuring Andy J Forest, Let Me Love You Babe di W. Dixon, Rollin’ & Tumblin’ di Hambone W. Newbern accanto a canzoni inedite. Se i brani prescelti come cover possono essere considerati classici per i cultori del genere e del rock, non possono certo definirsi scontati gli arrangiamenti. Il disco offre poi una chicca in più. La partecipazione su diversi brani di Andy J Forest.

Tutte le composizioni, originali e non, rispettano la tradizione del Fleurs du male style. Rhytm and blue d’autore, perfettamente suonato. Inutile un track by track. Ogni canzone va scoperta nell’insieme. Come impossibile indicare una brano sugli altri. Entrano in gioco quelli che si chiamano gusti personali. E personalmente, se proprio dovessi indicare una canzone, direi Blues cares. Mi ha colpito l’intensità, l’andamento sofferto, il calore che emana, l’interpretazione della voce. Da chitarrista ho poi molto apprezzato il solo che non è soltanto circostanziato, ha un gusto davvero invidiabile. Medesimo concetto per l’intervento di armonica. Oltre a dei suoni perfetti.

Ciò dà la somma di come questo disco debba essere approcciato. Si deve partire dalla base che si sta per sentire un disco che non ha difetti. È instradato su un genere ben preciso, ma questo non deve far pensare a qualcosa di scontato. Si deve essere ben consci del fatto che le canzoni non hanno nessun calo. La capacità di scrittura ai nostri non manca. Allo stesso modo sono assenti tentennamenti o riempitivi. Tutto e costantemente sotto controllo. Pur dando l’idea di una jam session tra amici.

Ecco, questo è un altro aspetto moto importante per entrare nel giusto mood. Il fatto che si sta per ascoltare delle composizioni scritte da amici. Spiegarlo a parole è difficile. È la medesima sensazione che si ha incontrando qualcuno, magari anche per la prima volta, e sentire come se si conoscesse quella persona da moltissimo tempo. Non è voler banalizzare. Anzi. Che la musica riesca a trasferire nell’ascoltatore questo genere di sentimento, trovo che dia una marcia in più all’intero cd. Lo spegnersi dell’ultimo brano lascia un po’ di amaro in bocca e una domanda: come potranno mai essere dal vivo? Se solo il disco trasmette tante emozioni, calore, suonato dal vivo sarà ancora meglio. Non resta che dare concretezza a questa idea vedendoli in sede live. Il sentore è che non si rimarrà delusi. Al contrario. Sarà certo meglio delle aspettative.

Un disco consigliato a tutti. In particolar modo a chi ha bisogno di una pacca un una spalla per una giornata storta.

[entre-image-blog]

Femmes Damnées, les Fleurs du Mal, Tanino Liberatore

[swedesinstockholm]

25 octobre

je suis pas sortie aujourd'hui. c'est épuisant de se motiver à sortir chaque jour. parfois je regardais chez les voisins pour voir s'ils étaient toujours là en train de travailler avec moi et je me sentais moins seule. même si eux étaient probablement obligés de rester cloîtrés chez eux privés de lumière du jour parce qu'ils sont payés pour ça alors que moi, non. une fois la journée de travail terminée ils ont disparu, me donnant ainsi la permission de regarder love sur netflix. je suis seule à l'appart ce weekend, tout le monde est parti voir sa famille. je crois que finalement je préfère habiter avec des gens que toute seule. c'est trop glauque toute seule. je préfère être énervée que livrée à moi-même.

26 octobre

j'ai rêvé que je causais un accident de la route en laissant ma voiture arrêtée dans une montée sans mettre le frein parce que je voulais voir le paysage. elle est partie en arrière et quelqu'un l'a percutée. je crois que la personne est morte mais j'ai pas vu l'accident, je suivais des gens dans la montée, je suis entrée dans un restaurant pour admirer la vue (c'était joli) puis j'ai continué mon chemin, ou plutôt ma cavale mais tranquille. je suis arrivée devant une tour hlm mais c'était une vraie tour de château, j'ai été accueillie par une bande de jeunes assis dans l'escalier, l'un d'eux m'a dit que j'étais déjà venue mais que je m'en rappelais plus. il était gentil, il m'a proposé de faire une sieste dans sa chambre. la police a fini par arriver et je m'apprêtais à mettre les mains en l'air mais ils m'ont offert un bouquet de fleurs. toutes les personnes blanches avaient des bouquets de fleurs mais pas les personnes noires. personne ne semblait vouloir m'arrêter et je voyais le happy end où je restais là avec le mec gentil et la caméra qui dézoome et s'en va dans le ciel. j'ai découché parce qu'y avait une fête là-haut et que c'est toujours dans ma chambre qu'on entend le plus de bruit, j'ai dormi dans la pièce de la mère de d. sur le futon où elle fait des massages tantriques à des hommes, j'ai du mettre mon drap housse bleu foncé par dessus, je vais être obligée de le brûler maintenant.

27 octobre

ils ont refait une fête là-haut mais x1000. à 2h59 l'heure est repassée à 2h00 pour rajouter une heure de supplice au supplice et j'avais envie de pleurer de rage. je sais pas pourquoi je suis traumatisée par les fêtes comme ça. c'est surtout quand je suis seule. je me sens personnellement persécutée dans mon calvaire. je me sens à leur merci, les voisins ont quasiment un pouvoir de vie et de mort sur moi (le changement d'heure tue, ils l'ont dit aux infos). j'ai commencé la soirée avec un livestream de kompromat à la gaité lyrique en mettant très fort, je me sentais un peu mal pour les voisins du dessous qui n'avaient rien demandé mais you gotta do what you gotta do pour survivre dans cette jungle sans lois. après j'ai fait un karaoké, je me faisais rigoler toute seule en essayant de chanter say my name (débit ultra rapide) mais j'allais pas faire ça toute la nuit non plus alors à trois heures du matin j'ai pris ma couette et je suis repartie dormir dans la pièce des massages tantriques pour m'éloigner de la sono, mais je les entendais toujours rire et discuter comme s'ils étaient dans mon lit. j'ai du brièvement m'endormir vers cinq heures mais j'ai été réveillée par des bruits de gouttes qui s'écrasaient sur le lino en faisant des gros PLOCS alors je suis allée chercher mes lunettes dans ma chambre mais j'ai trouvé aucune trace de fuite. j'ai considéré l'idée de retourner dans mon lit mais j'entendais encore le plafond craquer donc j'ai préféré continuer à me faire réveiller par les ploc ploc, puis par l'aspirateur, ces gens ne dormant visiblement jamais.

je crois que c'est le sentiment d'impuissance qui m'angoisse le plus. le sentiment d'être attaquée chez moi, là où je suis censée être à l'abri de l'extérieur, là où je suis censée pouvoir me détendre. le sentiment d'être dépossédée de mon espace domestique et de mon rythme de sommeil, d'être à la merci du rythme d'inconnus. ce matin j'écoutais emanuele coccia qui disait que la maison est ce qui transforme le monde en quelque chose d'habitable, quelque chose de bien. mais si je me sens plus à la maison à la maison, le monde ne peut pas être bien? je suis jamais détendue ici, je suis tout le temps en train de m'enfoncer les ongles dans la peau, je suis crispée je serre la mâchoire et je répète tous les jours le temps qu'il me reste comme un mantra. c'est peut être ce que font les gens dans leur cellule de prison. ce soir en grimpant l'échelle de ma mezzanine c'était plus que trois semaines. à chaque fois que je pense à un truc qui s'est passé avant mon déménagement ici je suis nostalgique. ça devient pathologique. parfois je regarde le calendrier sur mon ordi et je fixe les jours qui me restent comme si ça allait les faire passer plus vite comme si j'étais vraiment en prison sauf que je suis ici de mon plein gré, comme les pigeons qui squattent le toit du bâtiment dans l'arrière-cour.

ce soir sur instagram je suis tombée sur un poète luxembourgeois qui est en résidence littéraire à berlin, une résidence officielle avec le soutien de kultur lx (il le mentionne sous chaque post) pas une résidence diy comme la mienne. chaque jour il poste une photo de berlin avec un petit poème inspiré par la photo dessous, il appelle ça sa "série berlin en photos et poèmes sans filtre" mais ses poèmes sont tous à chier, et donc lui il est là tous frais payés à poster ses photos moches et ses poèmes de merde sponsorisés par kultur lx depuis un appart sans doute beaucoup moins pourri que le mien pendant que moi je fais aussi des photos tous les jours et j'écris aussi de la poésie tous les jours même s'il s'agit parfois que de déplacer une virgule, mais moi je suis sponsorisée par ma mère et je me sens coupable à longueur de journée. tout ça parce que je sais pas me servir correctement de l'état et que tout m'intimide et me fait peur. il faut vraiment que j'arrête de pas me sentir légitime et que je trouve la bonne stratégie pour lancer ma carrière dans ce foutu pays goddammit lara you're a fucking genius okay j'ai l'impression d'être r. mon hype man numéro un. j'ai posté des photos de moi de 2016 que j'aime bien dans mes stories et il m'a dit tu déchires et j'avais envie de répondre pourquoi tu m'aimes pas alors? mais j'ai répondu merci.

[porcelainvino]

tuning into sopor aeternus & the ensemble of shadows rn 🫡 will update (btw i just finished the song u mentioned and it is PERFECT so i trust your taste already)

also i totally get u cuz my music taste is everywhere too LMAOOOO and the obscure band i was referring to is black marble which isn’t that weird just kinda unpopular and a bit strange to put next to glee, kpop ggs, and death metal 😭

OOOOO I’LL LISTEN TO THEM NEXT :D

a common interpretation of in der palastra is that its about a trans person wishing they were cis (context: sopor is trans) and that makes me SOOOOO SAD 😭😭😭

my fav song by sopor, and my fav song of all time, is “a strange thing to say”, which is about a person befriending an assassin and fantasizing that one day he’ll kill her.. it’s sooooo good trust (it’s also WAY TOO LONG SORRY)

my fav album by her would be les fleurs du mal, and some of my fav songs are on there (including in der palastra)

> la mort d’arthur (her mom calling her ugly or something idk half of it is in german and it’s sad but it’s so JAZZYYYY)

> helvetia sexualis (2 people on opposite sides of the social spectrum sleep w each other and they wake up and are like ‘erm wtf’ ; this song is also WAY TOO LONG GOSH)

> some men are like chocolate (chorus is ‘some men are like chocolate but most men are like shit’. that summarizes the entire song and i loveeee it)

[clouds-of-wings]

After renovating comes the populating furnishing of a room. I tried to move my desk into it. It's too heavy, even after disassembly. I'll get some help tomorrow. And there was so much stuff in there. Every time I opened a drawer, 3 more copies of Les Fleurs du Mal fell out. My copies of both versions, plus I bought some extra copies (twice) after the price in the band's store dropped to net-cost because I figured they'd make nice gifts for the right people. A part of music history! That's how I see it anyway. There are so many interesting things about this album, even apart from the music itself. And these copies of it are signed! Special!

Unfortunately the people I know are PLEBS who wouldn't appreciate it. I know exactly 1 other Therion fan and he probably has the CD already, plus he (and his girlfriend) might have questions if I suddenly give him a CD full of romantic-sounding French songs..? I considered my ex-cello teacher but he's a huge snob who hates all non-acoustic music. So I sit here in an ocean of LFdM CDs. I'll probably sell them on eBay eventually... unless I make some cooler friends first.

[pocketvenuslux]

Apparently, it's National Bikini Day so I'm featuring a quick review of Fleur du Mal's Grommet Bikini set in its Indigo Papillon colourway. It is a fair bit darker than the website photos.

It's pretty much your standard string bikini featuring, as the name suggests, grommets. The hardware is metal plated and the fabric lined though as you can see from the interior photo, there are some raw edges at the straps. But otherwise, the sewing is neat. The piece is fully adjustable with sliders for the bikini bottom and three settings for the bikini top's band.

I bought this from SSENSE which sells the bikini as a set. I took a size M, which is a 4-6 and 32D/34C in Fleur's size chart. The bottom fits perfectly when I slide the sliders to their maximum allowance. It has a cheeky cut in the back. However, I think I could have gone a size up in the top which barely contains my breasts and looks a lot more scandalous than the model photo with my nipples barely covered. The band width is good on its loosest setting but I wonder if I might have done better with the L on its tightest setting. I only bought this to suntan so I didn't worry about the fit otherwise, I don't think I could go swimming in this without flashing someone.

As I said, I bought this awhile ago from SSENSE as a set. Its retail price was CA$290 so there was no discount. It is aggravatingly on sale now for CA$93.

Fabric: Body 80% polyamide, 20% elastane; Lining 90% nylon, 10% spandex

Made in Poland

Photos: Fleur du Mal; mine

[une-touille-en-vadrouille]

Cette journée à Ben Tre fut excellente ! On commence par un petit tour en canot (ou "kanauy" selon l'orthographe dictée par Clémentine) au milieu des palmes géantes, c'était très reposant (enfin pour nous, pas pour celui qui ramait).

Le pauvre monsieur a pas mal galéré au début, le canal était étroit (et on repoussait les plantes qui tapaient le bateau peut être un peu trop fort, il y a moyen qu'on ait complètement déséquilibré ce pauvre homme au lieu de l'aider...) mais c'était bien plus simple ensuite, malgré les deux parasites dans sa barque :)

On a trouvé de nombreux fruits pendant la balade, on aurait dit des fleurs en bois, c'était très joli ! Les différentes parties se séparent, on a vu pas mal de graines germées flotter dans l'eau, ça a l'air de se disséminer comme les noix de coco.

On est ensuite parties sur notre scooter de location brinquebalant pour essayer de trouver la fabrique de "papier de riz" que la responsable de notre auberge nous avait indiquée sur la carte. Après être rentrées comme des fleurs dans une usine ouverte aux quatre vents qui faisait en fait (a priori, on n'a rien compris à ce que nous disait l'ouvrier) un genre de fertilisant à base de noix de coco, nous nous sommes finalement décidées à demander à toute personne pointant son nez dans la rue s'ils connaissaient ladite fabrique. Après quelques jeux de marionnettes avec les main (qui veulent dire "pas ici", c'est aussi utilisé pour dire qu'on ne peut pas manger là, ou qu'ils n'ont pas un objet qu'on cherche à acheter par exemple), une vendeuse adorable nous dit qu'elle va nous montrer le chemin (le tout à grand renfort de Google trad, que c'est beau la technologie) ! Et elle nous emmène à quelques centaines de mètres de là, en face d'une MAISON (avec une grille et tout, une maison quoi), hurle par le portail un équivalent de ce qu'on suppose être "VOUS AVEZ DES TOURIIIIIIISTES", nous fait un grand sourire, et repart. Après un bref instant de solitude, un homme arrive, ouvre le portail, et on le suit en se demandant si on va ressortir de cette histoire avec tous nos organes. On est très vite rassurées : une bande de femmes gloussantes nous accueille, nous fourre une espèce de feuille ronde un peu épaisse dans les mains, et nous regarde.

Après un nouveau bref instant de solitude et d'incertitude, on commence par déchirer un bout de papier (tout va bien, elles ne nous regardent pas comme si on était folles), l'approcher de notre bouche (ça a l'air d'aller), on l'enfourne .... Et c'est en fait super bon ! Ce n'est pas du papier, mais plutôt un genre de galette très fine à base de manioc (oui, pas de papier ou de riz dans l'histoire finalement, allez savoir comment la dame à compris où on voulait aller ...), De durian, de canne à sucre et de lait de coco. C'est très sucré mais super bien ! On a le droit d'assister au processus de fabrication : ils étalent la pâte sur des rabanes, la passent dans une machine qui découpe de jolis ronds, enlèvent la partie inutile, et font sécher au soleil.

Ensuite, ils n'ont plus qu'à décoller la galette de la rabane et à l'emballer, facile !

Après les avoir remerciés chaleureusement, on part cette fois-ci en direction de deux petites îles sur un des bras du Mékong (on est dans son delta). C'est très joli, mais pas moyen d'y trouver un endroit pour manger, on repart donc vite (vous aurez dans un deuxième poste une petite vidéo du chemin, on ne peut pas en mettre deux dans le même post).

Une fois de retour sur le continent, nous nous sustentons, puis partons trouver une "usine" de fabrication de bonbons à la noix de coco. Ils extraient en fait la crème de coco en l'écrasant (le jus gras sort de la chair) : sur la photo, la crème dans le seau à droite, la pulpe sèche dans le bol.

puis font réchauffer ça à la marmite pour lancer le processus de caramélisation (bonjour Maillard !), le four étant bien sûr alimenté avec la fibre de coco.

Ca donne un genre de caramel goût avec un arrière goût de coco, une tuerie. Ils vendaient aussi de l'alcool qui m'a un peu trop rappelé les bronzés font du ski.

Note : on tombe en face sur une fabrique de chocolat, Clémentine craque donc totalement pour une plaquette ... Qui sera dévorée dans la soirée (Mais oui mais ça fond sinon, c'est pas pratique !), lui tartinant joyeusement la figure au passage.

On est aussi passées dans une maison où ils tressaient les matelas, mais on est arrivées en fin de journée, ils n'ont pas continué au delà de la trame. Tant pis !

Bref, une nouvelle excellente journée 🥰

[oona-chapron15]

Mater

Ne pas pouvoir dire qui il était Qu'il s'appelait Stéphane Lévêque et qu'il m'a violée Comme un harder, un picador qui a essayé par tous les bords de me forcer à rendre gorge avec mon corps Alors que moi je me mettais en boule pour ne pas être attrapée Je sais, je suis virée, je ne devrais pas donner son nom Je devrais taire tout ce qu'il m'a fait à notre première rencontre C'est un macho Un conquistador Un poète à la picador et non un capitaine de vaisseau Il est parti le poète comme il s'appelait lui-même Moi, je n'aurai jamais cette prétention A-t-il au moins laissé une précaution ? Celle de partir en plein milieu d'une concision ? Il est parti de l'autre côté Je suis en colère maintenant Elle est rentrée en-dedans Avant, tout m'effrayait Les hommes, les oiseaux, les fleurs, les plantes et tous les animaux qui me semblaient me vouloir ce mal que je n'aurai jamais voulu ou pensé faire Maintenant que ce rustre est parti donner des cours de bienséance Allons voir s'il a toujours enchaîné ses femmes, comme ça, avec sa bite de cheval Brad Pitt de Cheval, disait l'autre à une autre époque Est-il parti faire un tour de l'autre côté du buisson ? Celui où tu n'es plus Celui que tu n'as pas voulu voir Maintenant, il y a un buisson dans ton jardin Il y a des oiseaux dedans et ça t'attendrit Comme le regard et la maladresse d'Eric qui te matraque à qui mieux mieux dès que tu as le dos tourné Cheville, tu n'auras pas mon nom Rien à tatouer, rien à avouer Juste te dire que j'ai été forcée pour m'apprendre à m'amadouer La mégère n'est pas apprivoisée Elle est juste douce Elle a envie d'en finir avec cette vérité qui la rattrape et qui l'agace au plus haut point Avoir autant mal au corps et au cœur à cause d'un boute-en-train qui avait un surin C'est le nom d'une cousine Tu ne l'avais pas su mais son nom contient de l'argot, de l'arme et des larmes qui ne sont plus blanches mais de sang Maintenant que j'ai dit son nom, j'attends son fils, ses filles et ses amies et ses amantes qui l'ont vu comme un être charmant et pas comme un sérial hardeur qui n'avait vu que des corps et pas de cœur, de tête, et des pleurs qu'il y avait à l'intérieur des corps. Aujourd'hui, j'attends ta mort à l'intérieur de mon corps. Tu me fais mal encore, je ne peux plus me toucher sans y penser encore. Alors passe ton chemin et fais en sorte de ne revenir que pour excuser cette conduite... inqualifiable ? Impardonnable ? Inexcusable et indéniablement assassine. Tu m'as assassinée et j'ai du chagrin de le dire. Je n'aime pas ta bouche, tes mains, ton corps trop gros et tes envies de faire claquer tes mains entre les freins de ta bouche. Et les chaussettes que tu gardais aux pieds bien que complètement nu... ça y est, tu sors, malin, tu sors de mon corps et je m'appartiens demain. Ce corps est à moi et il ne te veut pas. Tu es libre maintenant. Tu ne veux pas de moi. Je me vaux pour moi bien assez cher pour que je te repère de nouveau avec tes frasques et tes pauvres recueils de poésie. Tu n'as rien d'un fort, tu as juste l'âme d'une lame de fond, d'une arme et de larmes qui sortent encore dans le fond, au bout d'un menton, dans le bas d'une bouche, d'un corps qui n'a plus envie de te faire confiance. Maintenant que tu es parti, tu peux dire Ciao la bande, je reviens à Samarcande. Eh bien non, je te chasse et tu iras en enfer manger d'autres bites de cheval comme toi !

[passagersdelanuit]

N°3 - Bird

Johannes :

Andrea Arnold réalise son meilleur film. Sur le papier, son style naturaliste et immersif pouvait faire craindre de mal s’accorder avec l’esthétique du conte, allant chercher plus du côté de la métaphore. Rien de trop littéral à l’arrivée, au contraire, le fantastique donne des ailes à l’âpreté sociale dépeinte. Une étrangeté du réel que la caméra cherche à cadrer autour d’images obsédantes qui hantent la réalisatrice. Elle nous livre un des plus beaux films sur l’adolescence et ce sentiment que le monde est contre soi qu’il est nécessaire de surmonter pour devenir adulte. 

Pour parachever le tableau, la masculinité toxique en prend pour son grade, le film ménageant par ailleurs la place à 3 rôles masculins magnifiques. Chapeau l’artiste !

Jean-Baptiste :

Tout commence avec un goéland qui virevolte dans le ciel et que l’héroïne, Bailey, filme avec son téléphone portable. L’oiseau se pose à côté d’elle, la regarde. Étrange instant, presque irréel, d’une poésie qui surgit dans le quotidien, et que vient chasser d’un coup le père de Bailey, avec sa trottinette électrique sur laquelle il parade tel un chevalier-bad boy des quartiers défavorisés d’une ville d’Angleterre, prenant sa fille sous son aile et en même temps lui imposant ses choix. Car rien n’est simple dans cette famille recomposée qui vit dans un squat aux graffitis éloquents et sur lesquels la réalisatrice s’attarde, comme des phrases venues de l’au-delà et qui murmurent quelque chose d’essentiel. « Don’t worry » est-il écrit plusieurs fois et on prend de plein fouet cette phrase alors que tout va mal dans la vie de Bailey, notamment quand elle suit son demi-frère qui se fait justicier d’un jour en allant défigurer avec sa bande de copains un type qu’ils ont dans le pif avant de courir, poursuivis par la police. C’est ainsi que Bailey fait la rencontre de « Bird », un jeune homme bizarre qui porte une jupe et danse comme un troubadour d’autrefois. Rencontre irréelle aussi, dans un champ aux fleurs sauvages où elle est partie se cacher. « Bird » comme son nom l’indique vit tel un volatile. Il se hisse sur les éléments urbains, notamment le toit de l’ancien immeuble de ses parents qu’il cherche désespérément. Quête d’un paumé que Bailey va prendre à cœur, l’accompagnant jusqu’à la porte de son père qui ne le reconnaît pas. Mais « Bird » est plus qu’un humain et c’est ce que nous apprenons plus tard dans le film, dans une scène quasi mythique, où il se révèle archange pourfendeur d'un démon. C’est ainsi qu’il retrouve Bailey dans l’ultime scène du film. « Don’t worry » dit-il alors que des larmes coulent sur les joues de l’héroïne.

[redcherrykook]

Hello my darling, how have you been? It’s been quite some time since I interacted, but i am happy to see so many updates, thank you for the Christmas gift, nice to see you have interest on psychology, it is really in my job, i work with Judges and Magistrates, i make the procedural law document, here we call it “piece” it contains the most important information about the cases and help the judge take decisions, i am a law graduate.

What type of literature do you like? You mentioned your love for romance, I would recommend you “Les Fleurs Du Mal by Charles Baudelaire” it is one of my favourite books, is a collection of poems, they are not really very romantic, but Baudelaire is know for being the father of symbolism, i would love to talk about books with you.

I am learning to drink coffee now, my coworkers say is childish to not like it. So i just take cappuccinos now

Thank you for the recommendations, they were all amazing.

Hope you doing well, being safe and healthy.

Also- You remember me of the song “cherry cherry lady”. I am eager to read more from you💕

-🎭

Hey sweets!! I'm so glad to see you again!!

That's such a cool job, must have taken a long way to get there. Law and psychology is something i've always loved and been interested in.

For books, although i love romance i prefer that in shows. In literature i love thriller and contemporary asian pieces, authors like mieko kawakami and osamu dazai, or Sebastian Fietzek for thriller.

My all time favorite book is the picture of dorian gray by oscar wilde

Thank you for the recommendation!! I'll check it out <3

I love poetry too, i write it as well, so i'm sure i'll love it.

Awhh it's not childish not to like it, but i think you'll fall in love once you found your drink of choice. Coffee is so versatile.

Anytime!! glad you like them <3

I'm doing just fine, i hope you are too. Dress warmly during this time🩷

thats a old german band, so it's funny you mention that!! :)

Mwah, lots of love

[nnjzz]

ANLA COURTIS ft. VOMIR + LENA CIRCUS & HIROKO KOMIYA + AUDREY CARMES & LEANDRO BARZABAL + PRZEMYSŁAW SANECKI

DIMANCHE LE 25.02

ANLA COURTIS ar feat. VOMIR fr LENA CIRCUS & HIROKO KOMIYA fr / jp AUDREY CARMES  & LEANDRO BARZABAL ar / fr PRZEMYSŁAW SANECKI pl

à Les Nautes

1 Quai des Célestins

75004 M° Sully-Morland

P.A.F. 6€

20:00 portes

20:42 action!!

ANLA COURTIS ar feat. VOMIR fr Un LP documentant une collaboration inédite et à distance entre les deux Messieurs est paru sur le label parisien L'Eau des Fleurs en juin dernier. Ils vont essayer de ne pas re-jouer tous les morceaux à la note près.

Si je comprends bien :  Alan / Anla commencera tout seul - pour être par la suite rejoint à un moment donné par Roro Perrot ( aka VOMIR ou l'inverse ). Mais peut-être ai-je mal compris - - - - ?

https://eaudesfleurs.bandcamp.com/album/sin-comentarios

La musique d'Alan ( aka Anla ) Courtis oscille toujours entre art sonore, musique électroacoustique, drone, noise, entre improvisation et composition. Avec souvent un petit quelque chose de pataphysique dans ses manipulations de bandes, ou d'enregistrements numériques, son approche d'instruments, ou d'outils informatiques... etc. La liste de ses collaborations ressemble à un Who's Who des musiques ( et des non-musiques ) expérimentales des trente dernières années : Pauline Oliveros, Phil Niblock, Lee Ranaldo, The Nihilist Spasm Band, Eddie Prevost, Jim O'Rourke, Mats Gustafsson, KK Null, Sigtryggur Berg Sigmarsson, Andy Bolus, Sir Rick Bishop ,Yoshimi P-Wee, Masonna, Günter Müller, Jason Kahn, Toshimaru Nakamura , Solid Eye, Daniel Menche,Thomas Dimuzio, Rudolf Eb.Er, Kouhei Matsunaga, MSBR, Tetuzi Akiyama, Lasse Marhaug, Aaron Moore, Damo Suzuki, Makoto Kawabata, Ashray Navigations, Michael Snow, Birchville Cat Motel, The New Blockaders, Avarus, Kemialliset Ystävät, Merzbow, Keiji Haino, David Grubbs, L’Autopsie A Révélé Que La Mort Était Due à L’Autopsie, etc, etc, etc… Depuis de nombreuses années, fort de son expérience au sein des Reynols ( dont le percussionniste Miguel était atteint du syndrome de Down ), il a aussi développé un travail d'éducateur / animateur dans des ateliers des pratiques brutes de la musique avec des personnes atteintes d'un handicap mental.

Romain Perrot est un (non)musicien touche-à-tout performeur bruitiste autodidacte, improvisateur sans frontière, fondateur - en tant que VOMIR - de la pratique et philosophie connue sous le nom de Harsh Noise Wall, concepteur et exécutant de la ShitFolk, papa de Broken Impro series, déployant en parallèle une activité plastique sous le nom d'ABSURDUM, membre de JOAN JETT FANCLUB, M_D_R, Falot, Rompral Eltron, Descendeur ( entre autres ) ... .. 

LENA CIRCUS +HIROKO KOMIYA fr / jp Intimisme psychédélique ? Nous sommes ravis de recevoir pour la troisième fois cette collaboration récurrente entre le trio parisien et la performeuse japonaise ( évoluant la plupart du temps dans l'univers butô ) oùune synergie et une entente exceptionnelles se mettent en œuvre pour aboutir à faire naître un univers sonore d'une grande densité, toujours surprenant, avec un sens du détail et une cohérence organique.Formé en 1999 par Antoine Letellier (guitares, instruments à vent) & Nicolas Moulin (guitare, électroniques), LENA CIRCUS est d'abord un duo (avec à son actif neuf EPs publiés à un rythme mensuel, sur divers labels indépendants), avant d'être rejoint en 2003 par Guillaume Arbonville (percussions). Suscitant des comparaisons avec les expérimentations de Sun Ra, Don Cherry ou TajMahal Travellers, leur univers, fruit d'une communication quasi-télépathique entre les musiciens, fait preuve d'une alchimie sonore singulière, toute en finesse et en tension permanente.

Hiroko Komiya recours aux sons tirés de la nature à l'aide d'une collection d'objets au son magique, comprenant des coquillages, des cloches, des heurtoirs, des hochets, des récipients en étain et des instruments traditionnels spécialement sélectionnés. Elle utilise également sa propre voix, créant ainsi des improvisations musicales non harmoniques, remontant aux archétypes de la culture orientale.

"Jouée par une formation free-jazz au demeurant non violente, cette musique est hypnotique, forçant l'attention vers une jubilatoire tension de l'écoute, où les objets sonores pétillent, irradient.Hiroko Komiya, qui double les sons d'un geste, est une partenaire parfaite : elle malaxe et fait crisser des coquillages dans une main, tapote des tringles, froisse des fibres, jouant de l'instrument et du son comme le chat avec un caillou, une souris ou une pelote de laine. La matière sonore extrêmement dense est toujours sensuelle, ce qui rend très amicale une trame pourtant complexe." (Marteen B., Mille Feuille) " 

AUDREY CARMES & LEANDRO BARZABAL ar / fr Basse double.

Surprise du chef. Commande very spéciale du Non_Jazz - en étroite collaboration avec le GRM ( Parallèle ) . Première mondiale.

Entre new new age, ambient, krautrock ouateux, spoken word susurré et electronica, inclassable,  Audrey dispense des so(i)ns atmosphériques - comme une invitation à l'introspection et à la ( douce ) rêverie à base de nappes synthétiques, guitare, basse, flûte, vibraphone... Son premier album "Quelque chose s'est dissipé" est sorti en juillet dernier chez Métron Records.

Entre larmes de cire et moulages de béton, Leandro fait gentiment suer sa Fender Jaguar ( et ses amplis ) à moins qu'il ne s'en prenne à son synthé fait maison avec plein de boutons et plein de bougies plantées là où ça fait du pas bien. Performeur bien performant, il a bien plus de tours dans son sac encore mais on ne va pas en faire un inventaire exhaustif non plus hein.

Il s'agit d'une association inédite - pas de lien disponible à ce jour ( donc ). À découvrir sur place.

https://mmli.bandcamp.com/album/terrorgammons

https://www.youtube.com/watch?v=Wu0tbE9Xc_8

https://www.15questions.net/interview/fifteen-questions-interview-audrey-carmes/page-1/ PRZEMYSŁAW SANECKI pl a débuté sa carrière en tant qu'artiste de performance au début des années 2000. Au fil des années, son travail a connu de nombreux changements et, depuis 2014, il réalise des œuvres exclusivement avec des méthodes « computationnelles ». Ces dernières années, il s'est concentré sur la réalisation d'œuvres vidéo dans l'esprit du cinéma structurel et matérialiste en utilisant des méthodes programmatiques. Son travail sur le son a toujours occupé une place importante et, en plus d'être membre du groupe de rap d'avant-garde KOT, il a été très actif sur la scène noise en Pologne. Il sort actuellement sous le nom de THSHLT, principalement sur son propre label PEIG (en collaboration avec Emilia Wysocka) et prépare ses débuts sous le nom de CZANEL. Il utilise le Pd patches comme instrument principal ainsi que des synthétiseurs analogiques modulaires et semi-modulaires.

NB / #envoiedubois

Fly Jo L'Indien

[entre-image-blog]

Une mendiante Rousse, les Fleurs du Mal, Tanino Liberatore

[snackpointcharlie]

Starting from the ends of the earth and working our way back it’s Snackpoint Charlie, with more music from elsewhere and beyond to bewitch, bother and bewilder. 10pm every 1st & 3rd Wednesday on WGXC, 90.7-FM for upstate New Yorkers but if you missed this week’s show it’s podcast-ready NOW at the link in the comments below

Snackpoint Charlie - Transmission 120 - 2023.08.02 https://wavefarm.org/wf/archive/vhrgxw [ ^ click for download ^ ]

PLAYLIST

1) Linda Mary Montano - excerpt from WHAT COULD GO WRONG https://www.youtube.com/watch?v=sKrMDItGXdM

2) Jupiter & Okwess - “Jim Kata” from NA KOZONGA https://jupiterokwess.bandcamp.com/album/na-kozonga

3) The Budos Band - “Crescent Blade” from FRONTIER'S EDGE https://www.diamondwestrecords.com/

4) Tyger Tyger - “The Chase” https://www.tygertygerofficial.com/

(Underbed throughout:) Pinchas Gurevich - “Learning to Balk,” “Plentysparkle”

5) Fayza Ahmed - “(Sono Cairo BSV 69)” https://www.discogs.com/artist/3507048-%D9%81%D8%A7%D9%8A%D8%B2%D8%A9-%D8%A3%D8%AD%D9%85%D8%AF

6) Ricardo Dias Gomes - “Real News” from FEELING SO FRESH / REAL NEWS https://ricardodiasgomes.bandcamp.com/album/real-news

7) Dengue Fever - “Touch Me Not” from TING MONG https://denguefevermusic.com/

8) Sinn Sisamouth & Ros Serey Sothea - “Yuvachon Yuvatey Samai Tmai (New Generation Youth)” from GROOVE CLUB VOL. 2: CAMBODIA ROCK SPECTACULAR! https://www.discogs.com/release/3835435-Various-Groove-Club-Vol-2-Cambodia-Rock-Spectacular

9) Mukesh - “Diwana Mujh Ko Log Kahen” from MUSIC OF YOUR CHOICE - MOTION PICTURE MUSIC OF INDIA VOL. 4 https://www.discogs.com/release/15244054-Various-Music-Of-Your-Choice-Motion-Picture-Music-Of-India

10) Arthur Verocai - “Flying to LA” from TIMELESS: ARTHUR VEROCAI https://www.discogs.com/master/352012-Arthur-Verocai-Mochilla-Presents-Timeless-Arthur-Verocai

11) Yao Lee - “Life is a Stage” https://www.discogs.com/artist/609720-Yao-Lee https://www.nytimes.com/2019/07/25/arts/music/yao-li-dead.html

12) Koko Koswara - “Badminton” https://www.discogs.com/release/15899233-Koko-Koswara-Badminton-Berju-Leutix

13) Lord Invader - “New York Subway” from THE REAL CALYPSO (1927-1946) https://www.discogs.com/release/6314114-Various-The-Real-Calypso-1927-1946

14) Hussain Marican & Orkes Melayu - “Pertanyaan” from BRAMACHARI https://www.discogs.com/release/14981803-Hussain-Marican-Orkes-Melayu-Bramachari-Usah-Bersedeh https://madrotter-treasure-hunt.blogspot.com/2023/06/hussain-marican-orkes-melayu-bramachari.html

15) Thomassini Juicers - “02 Aug 23” from SOUND PLEASE https://tommasinijuicers.bandcamp.com/

16) O.M. Soneta & Oma Irama & Elvy Sukaesih - “Sampai Pagi” from BEGADANG https://www.discogs.com/release/9705237-Oma-Irama-Elvy-Sukaesih-OM-Soneta-Begadang

17) Linda Mary Montano - excerpt from WHAT COULD GO WRONG https://www.youtube.com/watch?v=sKrMDItGXdM

18) Black Ox Orkestar - “Mizrakh Mi Ma'arav / East From West / מִןְרַח מִמַּעֲרָב” https://www.discogs.com/release/24215636-Black-Ox-Orkestar-Mizrakh-Mi-Maarav https://jewishcurrents.org/

19) Illusion of Safety - “Waste of Civilization” from ORGAN CHOIR DRONE https://illusionofsafety.bandcamp.com/album/organ-choir-drone with 20) Yvette Mimieux & Ustad Ali Akbar Khan - “A Murdered Woman” from BAUDELAIRE'S FLOWERS OF EVIL (LES FLEURS DU MAL) https://www.discogs.com/master/512274-Yvette-Mimieux-Ustad-Ali-Akbar-Khan-Baudelaires-Flowers-Of-Evil-Les-Fleurs-Du-Mal

21) Yanti Bersaudara - “Menuai Padi” from BIMBO GUEST STAR YANTI https://www.discogs.com/release/15820983-Bimbo-14-Iin-Yanti-Bersaudara-Bimbo-Guest-Star-Yanti

22) Linda Mary Montano - excerpt from WHAT COULD GO WRONG https://www.youtube.com/watch?v=sKrMDItGXdM

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100 Songs in French from the 70s

100 Songs in French from the 70s 100 Songs in French from the 70s, including: Joe Dassin - L'Amérique, Johnny Hallyday - Deux Amis Pour Un Amour, Michel Polnareff – Gloria, Michel Sardou - Les Bals populaires, Mike Brant - Laisse Moi T'aimer, Sheila – Julietta, Danyel Gérard – Butterfly and many more!!! Subscribe to our channel to see more of our content! 1. 1970 Jacques Dutronc - L'hôtesse de l'air 2. 1970 Joe Dassin - L'Amérique 3. 1970 Johnny Hallyday - Deux Amis Pour Un Amour 4. 1970 Marc Hamilton - Comme J'ai Toujours Envie D'aimer 5. 1970 Michel Polnareff - Gloria 6. 1970 Michel Sardou - Les Bals populaires 7. 1970 Mike Brant - Laisse Moi T'aimer 8. 1970 Sheila - Julietta 9. 1971 Danyel Gérard - Butterfly 10. 1971 Esther Galil - Le Jour Se Lève 11. 1971 Gérard Palaprat - Fais-moi un signe 12. 1971 Joe Dassin - La fleur aux dents 13. 1971 Johnny Hallyday - Oh ma jolie Sarah 14. 1971 Les Poppys - Non Non Rien N'a Changé 15. 1971 Michel Delpech - Pour Un Flirt 16. 1971 Michel Polnareff - Nos mots d'amour 17. 1971 Michel Sardou - Le Rire Du Sergent 18. 1971 Patrick Topaloff - J'ai bien mangé, j'ai bien bu 19. 1971 Ringo - Elle, je ne veux qu’elle 20. 1971 Salvatore Adamo - J'avais oublie que les roses sont roses 21. 1971 Séverine - Un Banc, Un Arbre, Une Rue 22. 1971 Sheila - Les Rois Mages 23. 1971 Stone & Charden - L'avventura 24. 1972 C. Jérôme - Himalaya 25. 1972 Claude François - Le Lundi Au Soleil 26. 1972 Frédéric François - Laisse-moi vivre ma vie 27. 1972 Gérard Palaprat - Pour la fin du monde 28. 1972 Julien Clerc - Ce n’est rien 29. 1972 Michel Fugain - Une Belle Histoire 30. 1972 Michel Polnareff - Holidays 31. 1972 Mike Brant - C'est ma prière 32. 1972 Mort Shuman - Le Lac Majeur 33. 1972 Patrick Juvet - La musica 34. 1972 Ringo - Trop belle pour rester seule 35. 1972 Stone & Charden - Il y a du soleil sur la France 36. 1972 Vicky Leandros - Après Toi 37. 1973 Anne-Marie David - Tu Te Reconnaîtras 38. 1973 Christian Vidal - Angélique 39. 1973 Claude François - Chanson Populaire 40. 1973 Crazy horse - Et surtout ne m'oublie pas 41. 1973 Joe Dassin - La Complainte de l'heure de pointe 42. 1973 Johnny Hallyday & Sylvie Vartan - J'ai Un Problème 43. 1973 Marie Laforêt - Viens, viens 44. 1973 Michel Fugain - Chante comme si tu devais mourir demain 45. 1973 Michel Sardou - La Maladie D'amour 46. 1973 Michel Sardou - Les vieux mariés 47. 1973 Mike Brant - Rien qu'une larme 48. 1973 Mike Brant - Tout Donné Tout Repris 49. 1973 Stone & Charden - Le prix des alumettes 50. 1973 Stone & Charden - Made in Normandie 51. 1974 Au Bonheur Des Dames - Oh les filles 52. 1974 C. Jérôme - C'est Moi 53. 1974 Claude François - Le Mal Aimé 54. 1974 Claude François - Le Téléphone Pleure 55. 1974 Gérard Lenorman - Quelque Chose Et Moi 56. 1974 Richard Anthony - Amoureux de ma femme 57. 1974 Sheila - Ne Fais Pas Tanguer le Bateau 58. 1974 Sylvie Vartan - Bye bye Leroy Brown 59. 1975 Alain Barrière & Noëlle Cordier - Tu T'en Vas 60. 1975 Dave - Vanina 61. 1975 Il Était Une Fois - J'ai Encore Rêvé D'elle 62. 1975 Joe Dassin - L'été Indien 63. 1975 Johnny Hallyday - La Terre Promise 64. 1975 Martin Circus - Ma-ry-lène 65. 1975 Michel Fugain - Les Acadiens 66. 1975 Michel Sardou - Le France 67. 1975 Mike Brant - Dis-lui 68. 1976 Gérard Lenorman - Gentil dauphin triste 69. 1976 Gerard Lenorman - Voici Les Clés 70. 1976 Jeane Manson - Avant De Nous Dire Adieu 71. 1976 Johnny Hallyday - Derrière l'amour 72. 1976 Johnny Hallyday - Gabrielle 73. 1976 Michel Sardou - Je vais t'aimer 74. 1976 Sheila - Patrick Mon Chéri 75. 1976 Sylvie Vartan - Qu'est-ce qui fait pleurer les blondes 76. 1977 Dave - Est-ce par hasard 77. 1977 Joe Dassin - A Toi 78. 1977 La Bande A Basile - Les Chansons Françaises 79. 1977 Laurent Voulzy - Rockollection 80. 1977 Marie Laforêt - Il a neigé sur Yesterday 81. 1977 Marie Myriam - L'oiseau Et L'enfant 82. 1977 Michel Delpech - Le Loir Et Cher 83. 1977 Michel Sardou - Dix ans plus tôt 84. 1978 Claude François - Alexandrie Alexandra 85. 1978 France Gall - Viens, je t'emmène 86. 1978 Grace Jones - La Vie En Rose 87. 1978 Hervé Vilard - Nous 88. 1978 Johnny Hallyday - J'ai oublié de vivre 89. 1978 Michel Sardou - En Chantant 90. 1978 Michèle Torr - Emmène Moi Danser Ce Soir 91. 1978 Mirelle Mathieu - Santa Maria De La Mer 92. 1978 Nicolas Peyrac - Le vin me saoule 93. 1978 Plastic Bertrand - Ça Plane Pour Moi 94. 1979 Alain Chamfort - Manureva 95. 1979 Christophe - Aline 96. 1979 Dalida - Monday, Tuesday... Laissez-moi Danser 97. 1979 Daniel Balavoine - Le chanteur 98. 1979 Éric Charden - L'été s'ra chaud 99. 1979 Françis Cabrel - Je L' aime À Mourir 100. 1979 Johnny Hallyday - Le bon vieux temps du rock 'n' roll #hitsof1970 #chansonsenfrançais #chansons_des_années_70 #hitsof1970to1979 #hitsof1970s #hitsof1970songs https://www.youtube.com/watch?v=rEbk3HAQmic

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Michel Legrand - Filmmusik und Noten

Filmmusik und Noten Bester Notendownload aus unserer Bibliothek. Tracklisting: MICHEL LEGRAND Laden Sie die besten Noten aus unserer Bibliothek herunter. Please, subscribe to our Library. Thank you!Filmmusik: Discographie

Filmmusik und Noten

https://youtu.be/sq251HdV1bA

Tracklisting:

00:00​ - La vie en rose 02:30​ - April in Paris 06:11​ - Hymne a  l'amour 09:53​ - Aube a  Papeete 12:42​ - Chanson de lima 15:33​ - Adieu tristesse 18:04​ - Bonjour Paris 20:57​ - C'est a  Hambourg 22:29​ - A Paris 25:08​ - Danse de la chandelle 28:08​ - La mer 33:08​ - Fête des pêcheurs 36:06​ - La complainte des infidèles 39:02​ - French-Cancan 40:32​ - La danse du serpent 43:27​ - Dieu de l'amour 46:10​ - Les beaux jours 48:17​ - Comme on est bien dans tes bras 50:35​ - La goualante du pauvre 53:17​ - Fleur de mon coeur 56:01​ - Le monde est grand 59:35​ - Iguaneros 01:02:00​ - Paris 01:03:58​ - I love Paris 01:06:40​ - La seine 01:10:48​ - Paris, je t'aime... D'amour 01:12:29​ - Moulin rouge 01:15:54​ - Les lavandières du Portugal 01:18:15​ - Mademoiselle de Paris 01:20:47​ - La chanson d'Orphée 01:23:24​ - Mon homme 01:23:03​ - Vénus 01:30:33​ - Paris in the Spring 01:32:34​ - Les amoureux d'ici 01:35:20​ - Parlez-moi d'amour 01:39:08​ - Les feuilles mortes 01:42:37​ - Pour toi seule 01:45:07​ - Sous le ciel de Paris 01:47:51​ - Le troisième homme 01:50:21​ - Paradis des hommes 01:53:00​ - Sophie 01:55:17​ - The Last Time I Saw Paris 01:57:18​ - Une rose rouge 02:00:05​ - Sous les ponts de Paris 02:01:19​ - J'ai deux amours

MICHEL LEGRAND

Michel Jean Legrand (Paris, 24. Februar 1932 – Neuilly-sur-Seine, 26. Januar 2019) war ein französischer Komponist und Sänger. Er komponierte die Musik für mehr als zweihundert Filme und gewann dreimal den Oscar in Hollywood. Sohn des Komponisten Raymond Legrand und Marcelle Der Mikaëlian (Schwester von Jacques Hélian) und Bruder der Sängerin Christiane Legrand, berühmte Solistin der Swingle Singers (en:The Swingle Singers). Im Alter von 10 bis 21 Jahren studierte er am Conservatoire Supérieur de Musique de Paris; später studierte er sieben Jahre bei Nadia Boulanger. Seine musikalischen Neigungen führten ihn schon immer dazu, die Texte seiner Lieder zu schreiben und sie sogar zu interpretieren. Nach dem Erfolg seines ersten Albums I Love Paris arbeitete er auf seinem nächsten Album Legrand Jazz mit verschiedenen großen Namen des Jazz wie Miles Davis und John Coltrane zusammen. Als er anfing, an Filmmusiken zu arbeiten, war er sehr erfolgreich, denn er komponierte nicht nur eingängige Lieder, sondern auch Orchestermaterial mit ausgeprägtem lyrischen Gespür. Sein bekanntestes Werk ist „Die Regenschirme von Cherbourg“ aus dem Jahr 1963, ein Klassiker des europäischen Musikkinos und der erste Film, der vollständig mit der jungen Catherine Deneuve gesungen wurde. Auch in Les demoiselles de Rochefort von 1965. Abschlusskonzert der XX. Ausgabe des San Javier International Jazz Festival, 2017. Ein Großteil seiner Musik war für französische Filme gedacht (z. B. die des Regisseurs Jean-Luc Godard), obwohl er auch an der Produktion amerikanischer Filme beteiligt war, z. B. „The Thomas Crown Affair“ (mit dem bekannten Thema „Les Windmills of Your“) Mind, „The Windmills of Your Thought“), Summer of 42 und Yentl. Er komponierte die Musik für das Kinder-Franchise „Once Upon a Time…“, mit Ausnahme der ersten Staffel „Once Upon a Time… Man“ (1978). In den 1980er und 1990er Jahren begleitete er mit seiner Band Stars wie Björk, Ray Charles, Diana Ross und andere und arbeitete auch mit Opernsängern wie Jessye Norman, Kiri Te Kanawa und Natalie Dessay zusammen. 2016 war er Ehrengast des BAFICI und gab ein Konzert im Teatro Colón in Buenos Aires. Er erhielt 27 Grammy-Nominierungen und gewann fünf Mal. Filmmusik: Lola (1960) Une femme est une femme (1961) Vivre sa vie (1962) Les parapluies de Cherbourg(1963) Bande à part (1964) Les demoiselles de Rochefort (1967) Pretty Polly (1967) Ice Station Zebra (1968) The Thomas Crown Affair (1968); his song 'The Windmills of Your Mind' was nominated for an Oscar for best song (it illustrates an infinite cycle of mental machinations) The Happy Ending (1969), "What are you doing the rest of your life? Theme The Picasso summer (1969) Pieces of dreams (1969) Lady Oscar (1969) Brian's song (TV, 1970). Wuthering heights (1970) Summer of '42 Lady Sings the Blues (1972) The Three Musketeers (1974) Le Sauvage (1975) Gulliver's Travels (1975) La flûte à six schtroumpfs ("The Smurfs and the magic flute", "La flauta de los pitufos") (1976) Les Uns et les Autres (1980) Falling in love again (1981) Best friends (1982) The gift (1982) Yentl (1983) Never say never again (1983) Eternity (1990) Masque de Lune (Chase The Moon) (1991). Discographie - I Love Paris - Holiday in Rome - Vienna Holiday - Castles in Spain - Bonjour Paris - Legrand in Rio - I Love Movies - Legrand Jazz - Scarlet Ribbons - Legrand Piano - The Columbia Album of Cole Porter - Music from the Films - The New I Love Paris - Strings on Fire - Paris a la Hi-Fi - Violent Violins - Broadway is My Beat - Rendezvous in Paris - The Michel Legrand Big Band Plays Richard Rogers - Michel Legrand Sings - Plays for Dancers - Michel Legrand at Shelly Manne's Hole - Cinema Legrand - Themes and Variations - Twenty Songs of the Century - Images - After the Rain - Amour, Sh-K-Boom Read the full article