#fifr
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Crail Town crier Robert Kircaldy passed away on May 23rd 1912.
I first posted this in 2012 and all I had on it was the pic titled Crail Town Creir 1905,but after a wee bit research found what I believe to be his name on this quote from the obituary page on the 23rd May 1912 edition of the East of Fife Record.
"A well known figure has passed away in the person of Robert Kirkcaldy, late Postman, Church Officer and Town Crier at age 84. He was quite a character in many respects, and nothing awakened Robertâs sense of greatness more than when out with his Drum."
The drum is now lodged in The Crail Museum.
The harbour village of Crail, situated in the East Neuk of Fife, Scotland, hosts the annual Crail Festival during the third and fourth weeks of July. Nearly 40 events for adults and children spread over 11 days is supplemented by longer-running activities such as a putting green.
Crail Town Crier, still opens the Crail Annual Festival, the latest incumbent is Baille Paul Hutchison, as seen in the second pic .
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SCREAMS jviens de voir jonathan b il a joué dans un film avec peter falk purée...yipee bordel
#jviens de voir des extraits de flic de beverly hills et oooh mah gadh....he gets called darling by the dude he seems to protect...#he's loyal dog coded too apparently....omggg right up my fucking alley#+ grave fruity eddie m dans ce film allo. le peu que j'ai vu...bjr đ#jonathan qui disait ouais jsuis trop moche pour jouer autre chose que des filcs ou mĂ©chants non c'est po vrai...#tu joue aussi les chienchiens loyaux Ă un boug criminel et tu es si sexy pour ça<33333#ig ça fait de lui un mĂ©chant aussi ok#j'allais dire mais mike brba pas vrmt mĂ©chant mais j'avais oubliĂ© exflic </3333 jonathan dĂ©solĂ© que tu sois type cast </333#bref il se fait bolosse dans flics de beverly hills + fait une tĂȘte â!!!â Ă son daddy qu'il protĂšge là ça m'a. ImmĂ©diatement conquĂ©rir#je ne peux rien faire face Ă trope de boug mĂ©chant avec sous fifre absolument dĂ©vouĂ© Ă lui et ultra loyal. je meurs vmrt
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Si Alastor n'a pas utilisĂ© Husk dans ses passages radio pour diffuser ses meurtres, c'est qu'il devait avoir besoin d'un sous fifre ou bien qu'il trouvait Husk amusant. Bien qu'Husk semble se douter de quelque chose concernant les magouilles d'Alastor, il se fait couche couche panier par lui montrant un joli parallĂšle avec l'abus que subit Angel par Valentino. Vu qu'on voit qu'Husk est terrifiĂ© par lui ! Bien que le fait qu'il ait gardĂ© Husk en vie pourrait ĂȘtre l'erreur d'Alastor si Husk rĂ©ussit Ă trouver un moyen de se libĂ©rer.
If Alastor didn't use Husk in his radio appearances to broadcast his murders, it must have been because he needed a minion or found Husk amusing. Although Husk seems to suspect something about Alastor's schemes, he is put down by him, drawing a nice parallel with Valentino's abuse of Angel. Since we can see that Husk is terrified of him! Although the fact that he's kept Husk alive could be Alastor's mistake if Husk manages to find a way to free himself.
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LĂGENDES DU JAZZ
LIONEL HAMPTON, ROI DU VIBRAPHONE "Playing is my way of thinking, talking, communicating. I've always been crazy about playing. Every day I look forward to getting with my instruments, trying new things. Playing gives me as much good feeling now as it did when I was a bitty kid. I think I love it more as I get older because I keep getting better on drums, vibes and piano."
- Lionel Hampton
NĂ© le 20 avril 1908 Ă Louisville, au Kentucky, Lionel Hampton avait étĂ© Ă©levĂ© par sa mĂšre Gertrude. Il nâavait presque pas connu son pĂšre, Charles Hampton, un pianiste et chanteur prometteur qui avait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© mort sur le champ de bataille aprĂšs avoir Ă©tĂ© portĂ© disparu pendant la PremiĂšre Guerre mondiale.
Peu aprĂšs sa naissance, Hampton Ă©tait dĂ©mĂ©nagĂ© avec sa mĂšre dans sa ville natale de Birmingham, en Alabama, mais il avait surtout grandi Ă Kenosha, au Wisconsin. Hampton avait frĂ©quentĂ© la Holy Rosary Academy, situĂ©e prĂšs de Kenosha, oĂč une soeur dominicaine lui avait donnĂ© ses premiĂšres leçons de batterie. La famille Hampton est dĂ©mĂ©nagĂ©e à Chicago en 1916. Pendant sa jeunesse, Lionel avait Ă©tĂ© membre du Bud Billiken Club, un club rival des Scouts.
Hampton Ă©tait adolescent lorsquâil avait commencĂ© Ă jouer de la batterie. Il avait aussi pris des cours de xylophone de Jimmy Bertrandt. ĂlevĂ© dans la religion catholique, Lionel avait commencĂ© Ă jouer du fifre (une sorte de flĂ»te traversiĂšre sâapparentant au piccolo) et de la batterie Ă la Holy Rosary AcadĂ©mie situĂ©e prĂšs de Chicago. Il jouait Ă©galement du piano (avec seulement deux doigts), en plus de chanter Ă lâoccasion. DĂBUTS DE CARRIĂRE Ă lâĂąge de quinze ans, Hampton venait tout juste de terminer ses Ă©tudes secondaires lorsquâil Ă©tait parti Ă Los Angeles pour aller jouer avec les Sharps and Flats de Red Spike. Avant son dĂ©part, sa grand-mĂšre lui avait fait promettre de continuer de rĂ©citer ses priĂšres Ă chaque jour.
Hampton avait ensuite jouĂ© de la batterie pour le Chicago Defender Newboysâ Band dirigĂ© par le major N. Clark Smith. Câest lors de son sĂ©jour avec ce groupe que Lionel avait commencĂ© Ă jouer du vibraphone et du marimba.
Pendant quâil vivait Ă Chicago, Hampton avait assistĂ© Ă un concert de Louis Armstrong au Vendome. Hampton avait racontĂ© plus tard que le public Ă©tait devenu fou lorsque Armstrong avait fait son premier solo. Lionel sâĂ©tait installĂ© en Californie en 1927, afin de jouer de la batterie avec les Dixieland Blues-Blowers.
Hampton avait fait ses dĂ©buts sur disque en 1929 avec les Quality Serenaders de Paul Howard. Il avait par la suite quittĂ©Â Culver City afin de jouer de la batterie avec le groupe de Les Hite au Sebastianâs Cotton Club. Lâune des marques de commerce de Hampton comme batteur Ă©tait son habiletĂ© Ă jongler avec ses bĂątons sans jamais rater une mesure. Câest Ă cette Ă©poque que Hampton avait commencĂ© Ă jouer du vibraphone.
En 1930, Louis Armstrong sâĂ©tait rendu en Californie et avait engagĂ© le groupe de Les Hite pour lâaccompagner en concert et dans ses enregistrements. Un jour, Armstrong avait demandĂ© Ă Hampton de jouer sur un vibraphone qui avait Ă©tĂ© oubliĂ© par inadvertance dans le studio. Hampton racontait: "Louis said, 'Do you know how to play it?' I said, 'Yeah, I can play it.' It had the same keyboard as the xylophone, and I was familiar with that."
Armstrong avait particfuliĂšrement Ă©tĂ© impressionnĂ© par le jeu de Hampton aprĂšs que celui-ci ait reproduit un de ses solos au vibraphone. Câest ainsi que la carriĂšre de vibraphoniste de Hampton avait dĂ©butĂ©. SurnommĂ© ââHampââ et ââKing of the Vibesââ, Hampton avait dâailleurs enregistrĂ© avec Armstrong les deux premiers solos de vibraphone de lâhistoire sur les piĂšces ââMemories of youââ et ââShine.ââ Câest ainsi que le vibraphone Ă©tait devenu le principal instrument de Hampton.
InventĂ© dix ans auparavant, le vibraphone Ă©tait essentiellement un xylophone pourvu de barres mĂ©talliques, dâune pĂ©dale et de rĂ©sonnateurs.
MĂȘme si Red Norvo est considĂ©rĂ© comme le premier musicien de jazz Ă avoir jouĂ© du vibraphone, câest Hampton qui lui avait donnĂ© ses lettres de noblesse en en faisant un instrument Ă part entiĂšre, notamment dans les plus petites formations.
Tout en travaillant avec le groupe de Les Hite, Hampton collaborait Ă lâoccasion avec lâorchestre de Nat Shilkret.
Au dĂ©but des annĂ©es 1930, Hampton Ă©tait allĂ© Ă©tudier la musique Ă lâUniversity of Southern California (USC), mĂȘme sâil ne semble pas que ce sĂ©jour se soit Ă©tendu sur une longue pĂ©riode. Hampton avait payĂ© ses Ă©tudes en travaillant comme barman.
Hampton avait formĂ©Â son propre orchestre en 1934. Deux ans plus tard, Hamptin avait jouĂ©Â dans le film de Bing Cosby ââPennies From Heavenââ aux cĂŽtĂ©s de Louis Armstrong (dans une de ses scĂšnes, il jouait de la batterie tout en portant un masque).
En novembre 1936, lâorchestre de Benny Goodman Ă©tait venu Ă Los Angeles pour jouer au Palomar Ballroom. Lorsque le producteur John Hammond avait emmenĂ© Goodman Ă un des concerts dâHampton, il avait Ă©tĂ© tellement impressionnĂ© quâil avait invitĂ© le vibraphoniste Ă se joindre Ă son trio formĂ© du pianiste Teddy Wilson et du batteur Gene Krupa. En fait, le trio et le quartet de Goodman avaient fait partie des premiers groupes de jazz mixtes de lâhistoire. Hampton expliquait: "Working with Benny was important for me and for black musicians in general. Black and white players hadn't appeared together in public before Teddy Wilson and I began working with B.G. I feel honored to have been a part of that dramatic change."
Avec Goodman, Hampton avait enregistrĂ© de grands classiques comme ââDinahââ, ââMoonglowââ ââMy Last Affairââ et ââExactly Like You.ââ Durant son sĂ©jour de prĂšs de quatre ans avec Goodman, Hampton Ă©tait devenu une vĂ©ritable institution dans le monde du jazz en raison de sa vivacitĂ© de bout-en-train, de son charisme communicatif, de sa personalitĂ© colorĂ©e et de ses idĂ©es novatrices. Hampton avait mĂȘme temporairement remplacĂ© Gene Krupa comme batteur lorsque celui-ci avait quittĂ© le groupe en 1938.
Hampton était demeuré assez longtemps avec Goodman pour participer au célÚbre concert de Carnegie Hall en 1938, et pour faire partie du nouveau sextet du clarinettiste avec le pionnier de la guitare électrique Charlie Christian.
De 1937 Ă 1939, Hampton avait dirigĂ©Â une sĂ©rie de sessions avec de grandes vedettes du jazz comme Coleman Hawkins, Benny Carter, Nat Cole, Cootie Williams, Harry James, Red Allen, Ben Webster, Dizzy Gillespie et Charlie Christian. Les enregistrements rĂ©alisĂ©s sous sa direction sont aujourdâhui devenus des classiques du jazz. Sur ces enregistrements, Hampton jouait surtout du vibraphone, mais aussi du piano et de la batterie. Ces enregistrements avaient aussi permis de dĂ©montrer que malgrĂ© son tempĂ©rament extraverti, Hampton pouvait interprĂ©ter des balades avec sensibilitĂ© et dĂ©licatesse.
Pendant quâHampton travaillait avec Goodman Ă New York, il avait fait des enregistrements avec plusieurs petits groupes connus sous lâappellation gĂ©nĂ©rique de Lionel Hampton Orchestra. Il avait Ă©galement collaborĂ© avec de petites formations crĂ©Ă©es à mĂȘme lâorchestre de Goodman.
En 1940, Hampton avait finalement dĂ©cidĂ© de quitter Goodman afin de former son propre groupe. Lâorchestre de Hampton comprenait alors de futurs grands noms du jazz comme Wes Montgomery, Clifford Brown, Art Farmer, Charles Mingus, Dexter Gordon, Quincy Jones, Jimmy Cleveland et Cat Anderson. On retrouvait au chant Joe Williams, Dinah Washington, Betty Carter et Aretha Franklin.
Parmi les musiciens de lâorchestre de Hampton, certains sâĂ©taient particuliĂšrement distinguĂ©s. Le guitariste Billy Mackel sâĂ©tait joint Ă lâorchestre en 1944 et avait continuĂ©Â de jouer et dâenregistrer avec Hampton presque sans interruption jusquâĂ la fin des annĂ©es 1970.
Le nouvel orchestre nâavait dâailleurs pas tardĂ© Ă sâĂ©tablir comme une formation majeure durant les annĂ©es 1940 et le dĂ©but des annĂ©es 1950. Le troisiĂšme enregistrement de lâorchestre en 1942 contenait une version de ââFlying Homeââ dans laquelle le saxophoniste Illinois Jacquet jouait un solo qui annonçait le futur Rhythm & blues. MĂȘme si Hampton avait dĂ©jĂ enregistrĂ© ââFlying Homeââ sous son propre nom avec une petite formation en 1940 pour les disques Victor, sa version la plus connue Ă©tait celle quâil avait enregistrĂ©e avec son big band sur Ă©tiquette Decca le 26 mai 1942, sur un arrangement du pianiste Milt Buckner. De fait, lâenregistrement sur 78-tours avait connu un tel succĂšs quâil avait incitĂ© Hampton Ă enregistrer une nouvelle version de la piĂšce en 1944, cette fois avec Arnett Cobb comme soliste. Parmi les autres succĂšs du groupe dans les annĂ©es 1940, on remarquait ââHampâs Boogie Woogieââ, ââMidnight Sunââ, ââMillion Dollar Smileââ et ââCentral Avenue Breakdown.ââ
En 1947, Hampton avait interprĂ©tĂ© le standard ââStardustââ lors dâun concert ââJust Jazzââ organisĂ© par le producteur Gene Norman, et qui mettait aussi en vedette le chanteur Charlie Shavers et le contrebassiste Slam Stewart. Le spectacle avait plus tard Ă©tĂ© mis en marchĂ© par les disques Decca. Plus tard, lâĂ©tiquette de Norman, les disques GNP, avaient rendu publiques les autres piĂšces du concert.
Lionel Hampton nâĂ©tait pas demeurĂ© insensible au dĂ©veloppement du bebop. Contrairement Ă certains musiciens plus traditionalistes, il avait tentĂ© de se faire un alliĂ© du nouveau mouvement en intĂ©grant les influences bebop Ă certains de ses arrangements. Cependant, le naturel Ă©tait vite revenu au galop, et Hampton Ă©tait retournĂ© Ă son ancien style axĂ© sur le rhythm nâ blues dans les annĂ©es 1950.
Câest aussi durant les annĂ©es 1950 que Hampton avait rĂ©alisĂ© deux de ses plus cĂ©lĂšbres enregistrements, ââSeptember in the Rainââ (1953) et ââStardustââ (1955), sur lesquels on pouvait retrouver certains de ses meilleurs solos. LA MATURITĂ Hampton Ă©tait aussi un participant rĂ©gulier aux concerts de la Cavalcade of Jazz qui Ă©taient organisĂ©s annuellement au stade Wrigley Field de Los Angeles, et qui Ă©taient produits par Leon Hefflin Sr.
Hampton avait participĂ© pour la premiĂšre fois Ă la Cavalcade lors de la seconde prĂ©sentation de lâĂ©vĂ©nement tenue le 12 octobre 1946, qui mettait Ă©galement en vedette Jack McVea, Slim Gaillard, T-Bone Walker, the Honeydrippers et Louis Armstrong. La cinquiĂšme Ă©dition de la Cavalcade avait Ă©tĂ© tenue en deux temps. Un premier concert avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă Wrigley Field le 10 juillet 1949, tandis que le second avait eu lieu le 3 septembre de la mĂȘme annĂ©e au Lane Field de San Diego. Betty Carter, Jimmy Witherspoon, Buddy Banks, Smiley Turner et Big Jay McNeely avaient accompagnĂ©Â Hampton pour lâoccasion.
Le 25 juin 1950, la participation de Hampton Ă la 6e Cavalcade du Jazz avait failli tourner Ă lâĂ©meute. Hampton Ă©tait en train de parader sur le terrain avec son orchestre en jouant la piĂšce ââFlying Highââ lorsque lâassistance, estimĂ©e Ă environ 14 000 personnes, Ă©tait devenue incontrĂŽlable, et sâĂ©tait mise Ă lancer toutes sortes dâobjets dans le stade. Dinah Washington, Roy Milton, PeeWee Crayton, Lillie Greenwood, Tiny Davis and Her Hell Divers participaient Ă©galement au concert. Hampton avait pris part Ă sa derniĂšre Cavalcade du Jazz le 24 juillet 1955 lors de la 11e Ă©dition de lâĂ©vĂ©nement qui mettait en vedette Big Jay McNeely, The Medallions, The Penguins et James Moody.
Du milieu des annĂ©es 1940 jusquâau dĂ©but des annĂ©es 1950, Hampton avait dirigĂ©Â un groupe de rhythm nâ blues dont les enregistrements mettaient en vedette de nombreux jeunes musiciens qui avaient eu plus tard des carriĂšres significatives. On remarquait parmi ceux-ci le contrebassiste Charles Mingus, le saxophoniste Johnny Griffin, le guitariste Wes Montgomery, la chanteuse Dinah Washington et le chanteur ââLittleââ Jimmy Scott. On retrouvait aussi dans le groupe des musiciens Ă©tablis comme Dizzy Gillespie, Cat Anderson, Kenny Dorham, Snooky Young, Jimmy Cleveland, Jerome Richardson et Curtis Lowe. En 1953, lâorchestre de Lionel Hampton Ă©tait parti en tournĂ©e en Europe. Le groupe comprenait Ă lâĂ©poque Clifford Brown, Gigi Gryce, Anthony Ortega, Mont Montgomery, George Wallington, Art Farmer, Quincy Jones et la chanteuse Annie Ross.
Hampton avait continuĂ© dâenregistrer avec de petits groupes et de participer Ă des jam sessions durant les annĂ©es 1940 et 1950, notamment avec Oscar Peterson, Buddy DeFranco et plusieurs autres. En 1955, pendant quâil se trouvait en Californie pour le tournage du film ââThe Benny Goodman Storyââ, Hampton avait enregistrĂ©Â avec Stan Getz. Il avait aussi fait deux albums avec Art Tatum. En 1968, Hampton sâĂ©tait produit avec Louis Armstrong et la chanteuse italienne Lara Saint-Paul au Sanremo Music Festival en Italie. Le concert avait causĂ© toute une sensation auprĂšs du public italien et sâĂ©tait terminĂ© sur une jam session. La mĂȘme annĂ©e, Hampton avait Ă©tĂ©Â dĂ©corĂ© par le pape Paul VI.
DERNIĂRES ANNĂES ET DĂCĂS
Dans les annĂ©es 1960, Hampton avait dĂ©cidĂ©Â de lancer sa propre maison de disques (il en avait fondĂ©Â une seconde en 1977-78). Il avait Ă©galement fait de longues tournĂ©es en Europe, en Afrique, au Japon et dans les Philippines. Ă lâĂ©poque, Hampton vivait sur sa rĂ©putation et avait cessĂ© depuis longtemps de se renouveler. Hampton sâĂ©tait concentrĂ©Â sur les valeurs sĂ»res et se contentait de jouer ce qui avait fait son succĂšs au dĂ©but de sa carriĂšre. Hampton avait Ă©galement participĂ© Ă de nombreuses rĂ©unions avec le quartet de Benny Goodman, plus particuliĂšrement en 1973 lors du Festival de jazz de Newport, quelques mois avant la mort de Gene Krupa.
Ă partir de fĂ©vrier 1984, Hampton avait commencĂ© Ă se produire au festival de jazz annuel de lâUniversitĂ© de lâIdaho. Ce dernier avait dâailleurs Ă©tĂ© rebaptisĂ© le Lionel Hampton Jazz Festival lâannĂ©e suivante. En 1987, lâĂ©cole de musique de lâUniversitĂ© de lâIdaho avait Ă©tĂ© renommĂ©e Ăcole de musique Lionel Hampton. CâĂ©tait la premiĂšre fois quâun musicien de jazz se mĂ©ritait un tel honneur. Durant la majeure partie des annĂ©es 1980, lâorchestre de Hampton Ă©tait formĂ© de Thomas Chapin, Paul Jeffrey, Frankie Dunlop, Arvell Shaw, John Colianni, Oliver Jackson et George Duvivier.
En janvier 1997, mĂȘme si un incendie qui sâĂ©tait dĂ©clarĂ© dans son appartement avait dĂ©truit ses trophĂ©es et la plus grande partie de ses biens, Hampton sâen Ă©tait miraculeusement tirĂ© indemne.
VĂ©ritable force de la nature, Hampton attirait toujours des salles combles Ă travers le monde jusquâĂ ce quâune attaque survenue Ă la salle Bobino de Paris en 1991 lâempĂȘche de terminer un concert. Cet incident, conjuguĂ© Ă des annĂ©es dâarthrite chronique, lâavait contraint Ă rĂ©duire considĂ©rablement le nombre de ses performances. ConfinĂ© dans un fauteuil roulant depuis 1995, Hampton avait cependant continuĂ© de donner des concerts. Le gĂ©rant du marketing Jim Catalano se rappelait avoir vu Hampton jouer en 2001 au Lionel Hampton Jazz Festival de Moscow, en Idaho. Catalano avait dĂ©clarĂ©: "What an event. Several thousand kids participate and they bring in the top jazz artists from around the world to perform. Even at the age of 93, Lionel was able to play his famous 'Midnight Sun' along with his jazz orchestra."
Hampton avait présenté son dernier concert au Smithsonian National Museum of America History en 2001, quelques mois avant sa mort.
Lionel Hampton est mort le 21 aoĂ»t 2002 au Mount Sinai Hospital de New York, Ă la suite dâune attaque cardiaque. Il Ă©tait ĂągĂ© de quatre-vint-quartorze ans. Hampton a Ă©tĂ©Â inhumĂ© au Woodlawn Cemetery, dans le Bronx. Ses funĂ©railles ont eu lieu le 7 septembre 2002, et comprenaient une performance de Wynton Marsalis et du Gully Low Jazz Band de David Ostwald Ă lâĂ©glise Riverside de Manhattan. La procession funĂ©raire avait dĂ©butĂ© devant le mythique Cotton Club de Harlem.
Le 11 novembre 1936, Hampton avait Ă©pousĂ© Gladys Riddle Ă Yuma, en Arizona. Excellente femme dâaffaires, Gladys avait Ă©tĂ© la gĂ©rante de Hampton durant la majeure partie de sa carriĂšre. Plusieurs musiciens se plaisaient Ă dĂ©clarer que si Hampton dirigeait la musique, câĂ©tait Gladys qui gĂ©rait les affaires. Gladys est dĂ©cĂ©dĂ©e en 1977. Le couple nâavait pas eu dâenfants.
POSTĂRITĂ
Dans les annĂ©es 1950, Hampton avait dĂ©veloppĂ© un grand intĂ©rĂȘt pour le judaĂŻsme et avait commencĂ© Ă recueillir des fonds pour IsraĂ«l. En 1953, Hampton avait composĂ©Â une suite en lâhonneur du roi David quâil avait prĂ©sentĂ©e par la suite en IsraĂ«l avec le Boston Pops Orchestra. Plus tard, Hampton Ă©tait devenu membre de lâĂglise de Scientologie. Il Ă©tait Ă©galement membre des Francs-maçons.
DotĂ© dâune trĂšs grande conscience sociale, Hampton avait fondĂ© la Lionel Hampton Development Corporation, une organisation qui avait pour but de favoriser la construction de logements sociaux pour les dĂ©munis. Les premiers projets de construction de la corporation avaient Ă©tĂ© lancĂ©s dans les annĂ©es 1960 avec lâĂ©rection des Lionel Hampton Houses Ă Harlem. Le projet avait Ă©tĂ© rendu possible grĂące au soutien du gouverneur rĂ©publicain Nelson Rockfeller. LâĂ©pouse de Lionel, Gladys, Ă©tait Ă©galement impliquĂ©e dans des projets de construction Ă son propre nom, les Gladys Hampton Houses. Dans les annĂ©es 1980, Hampton avait dĂ©veloppĂ© un autre projet de construction Ă Newark, au New Jersey, sous le nom de Hampton Hills.
Opposé à la ségrégation raciale, Hampton était aussi un grand défenseur de Nelson Mandela et de Malcolm X.
RĂ©publicain convaincu, Hampton avait Ă©tĂ© Ă©lu comme Ă©lu comme dĂ©lĂ©guĂ© dans plusieurs conventions du parti. Il avait aussi Ă©tĂ© vice-prĂ©sident du New York Republican County Committee durant plusieurs annĂ©es. Il Ă©tait Ă©galement membre de la New York City Human Rights Commission. Hampton avait aussi Ă©tĂ© directeur des ĂvĂ©nements spĂ©ciaux lors de la campagne de rĂ©Ă©lection du prĂ©sident Gerald Ford en 1976. Au cours de sa vie, Hampton a fait don dâenviron 300 000$ au Parti rĂ©publicain. En 1996, Hampton avait finalement dĂ©cidĂ© dâappuyer la candidature dĂ©mocrate de Bill Clinton et dâAl Gore, en ajoutant que sâil avait appuyĂ© les RĂ©publicains jusque-lĂ , câĂ©tait parce que câĂ©tait le parti dâAbraham Lincoln, mais que celui-ci ne reprĂ©sentait plus les modĂ©rĂ©s comme lui depuis longtemps.
Lâimplication politique de Hampton ne datait pas dâhier. Dans les annĂ©es 1960, le prĂ©sident Dwight Eisenhower lâavait nommĂ© ambassadeur de bonne volontĂ© dans le cadre de ses tourn.es autour du monde. Dans les annĂ©es 1990, le prĂ©sident George Bush lâavait nommĂ© Ă la direction du Kennedy Center.
Lionel Hampton a remportĂ© de nombreux honneurs au cours de sa longue carriĂšre. LaurĂ©at dâun Grammy Lifetime Achievement Award remis Ă titre posthume en 2001, il avait également obtenu un Harlem Jazz and Music Festivalâs Legend Award en 1996. La mĂȘme annĂ©e, Hampton avait Ă©tĂ©Â admis Ă lâInternational Jazz Hall of Fame. En 2002, le Kentucky Music Hall of Fame lui avait remis le Governorâs Lifetime Achievement Award.
Hampton a obtenu quinze doctorats honorifiques de diffĂ©rentes universitĂ©s Ă travers le monde, dont trois doctorats en musique de lâUniversitĂ© Harvard (1978), de lâUniversity of Southern California (1983) et du New England Conservatory of Music (1993).
Lionel Hampton a Ă©galement une Ă©toile sur le Hollywood Walk of Fame depuis 1981. Il a Ă©tĂ© intronisĂ© au sein du Jazz Hall of Fame Award en 1984. LaurĂ©at dâun Hall of Fame Award de la National Association of Jazz Educators en 1987, la carriĂšre de Hampton avait Ă©tĂ© couronnĂ©e par la remise dâun National Endowment for the Arts Jazz Masters Fellowship en 1988. Admis au Alabama Jazz Hall of Fame en 1992, Hampton a Ă©galement Ă©tĂ© Ă©lu commissaire honoraire des Droits civiques en 1995. La mĂȘme annĂ©e, le prĂ©sident Bill Clinton lui avait dĂ©cernĂ© la National Medal of Arts. Lâun des vibraphones de Lionel Hampton fait aujourdâhui partie de la collection du MusĂ©e National d'Histoire AmĂ©ricain.
Lorsquâon demandait Ă Hampton quelle Ă©tait sa philosophie musicale, il dĂ©clarait simplement: "Playing is my way of thinking, talking, communicating. I've always been crazy about playing. Every day I look forward to getting with my instruments, trying new things. Playing gives me as much good feeling now as it did when I was a bitty kid. I think I love it more as I get older because I keep getting better on drums, vibes and piano."
Lionel Hampton a composĂ© plus de 200 piĂšces au cours de sa carriĂšre, que ce soit Ă titre de compositeur ou dâarrangeur. Hampton a aussi influencĂ© plusieurs musiciens de jazz. Le vibaphoniste Milt Jackson du Modern Jazz Quartet avait dĂ©clarĂ© Ă son sujet: "Lionel Hampton inspired me to play the vibraphone. He was the first one of note to play it, but more important, I liked how dynamic he was. And the way he blended with groups and the way he played in front of a band were inspirational." Quant au vibrationiste Gary Burton, il affirmait: "I always think of Hamp as the guy who really got us established.ââ Dans une autre entrevue, Burton avait prĂ©cisĂ©:
"I saw Hampton when I was about 12 years old. He was playing at the Evansville (Indiana) Armory for a dance. Since I couldn't go in the evening when they would be serving alcohol, my father took me down there in the afternoon, thinking we might run into the band. Sure enough, they were doing a soundcheck and setup. My father told Hamp that I played the vibraphone, and Hamp was really gracious. He asked me to play, so I played a standard tune or blues in F or whatever, and Hamp had the band join in and play with me."
© 2023-2024, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de lâImaginaire historique. SOURCES: ââLionel Hampton.ââ Wikipedia, 2022. ââLionel Hampton, American Musician.ââ Encyclopaedia Britannica, 2023. MATTINGLY, Rick. ââLionel Hampton.ââ Encyclopedia Universalis, 2023.
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Le sous-fifre sous-titre par contrepet explicite - les lieux (communs) qui disent
Ădouard Philippe ou "L'ard philou d'Ă©dippe" - c'est pas lui qui couche avec sa mĂšre pourtant!
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WAP came out 15 years ago today! We are thinking of Philippe Zdar on this special occasion. We love you Fifre! â đ„: wearephoenix
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Je me suis pas mal demandĂ© pourquoi Loth traite si mal Galessin alors qu'il est loin d'ĂȘtre le plus branquignol
Du coup j'ai une thĂ©orie/analyse Ă vous proposer âïž
Et si Loth Ă©tait parfaitement conscient du potentiel de Galessin, et qu'il faisait exprĂšs de lui rentrer dans le crĂąne qu'il est le dernier des dĂ©biles, pour briser toute confiance qu'il pourrait avoir en lui-mĂȘme ?
Comme le fait remarquer le subconscient d'Arthur dans je sais plus quel épisode, à force de répéter à quelqu'un qu'il est nul/débile/incompétant/incapable, la personne finit souvent par le croire.
Loth attribue alors toutes sortes d'adjectifs rarement justifiés à Galessin, pour qu'il finisse par se persuader qu'il est effictivement cette personne qui n'a pas inventé le plat de la main morte.
Et si rabaisser Galessin était un moyen pour Loth de s'assurer qu'il reste de son cÎté, pour briser son vrai potentiel et en faire un simple sous-fifre qui ne se sent pas suffisement capable pour s'extirper de son train de vie de noix de saint jacques ?
Surtout que les remarques de Galessin sont souvent assez pertinentes, je pense par exemple Ă sa fameuse mĂ©taphore avec le fromage gratinĂ©, elle est bien plus censĂ©e que toutes les citations approximatives de Loth. Ăa ne serait alors pas surprenant que Loth cherche surtout Ă le rabaisser pour ĂȘtre certain de ne pas se faire surpasser, ou pire, renversĂ©. (Ăa me fait un peu penser Ă Regina et Gretchen dans Mean Girls đ€·ââïž)
à force, Galessin devient totallement apathique, n'a plus aucune volonté de se défendre, parce qu'à quoi bon ? Tout ce qu'il veut, c'est éviter une nouvelle humiliation, et pour ce faire, il obéit sans broncher...
La relation Loth/Galessin serait l'inverse de celle d'Arthur et Perceval, dans le sens oĂč Loth est face Ă quelqu'un de pas trop mauvais qu'il rabaisse pour le garder prĂšs de lui, alors qu'Arthur est face Ă quelqu'un de moins dĂ©brouillard, mais qu'il cherche Ă tirer vers le haut pour finallement s'Ă©manciper.
#kaamelott#galessin#loth#kaamelott fandom#kaamelott théorie#oui j'aime analyser des trucs#Loth Galessin et Dagonet c'est vraiment les Plastiques
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Le Choix - chapitre 5
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre aprĂšs chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
GueniĂšvre n'avait pas eu le temps de retirer sa main de la joue d'Arthur et la voix tonitruante de LĂ©odagan retentit dans le couloir.
- Non mais ça va bien oh ? Qu'est-ce que vous croyez que vous ĂȘtes en train de faire espĂšce de grand trou de balle !
Arthur se retourna vers lui, interdit, tandis que Léodagan continuait sa tirade outragée.
- Vous croyez que vous pouvez vous en tirer comme ça à susurrer des mots doux à ma fille ? Elle est reine de Bretagne la petite je vous signale, vous comprenez ce que ça veut dire ? Alors je vous vois venir avec votre yeux bleus larmoyants et votre mÚche là , mais elle a pas l'intention de bécoter un sous-fifre c'est moi qui vous le dis - ou alors l'intention va vite lui passer, et c'est moi qui vais m'en charger, j'espÚre que je me fais bien comprendre !
Arthur n'avait pas eu le temps d'en placer une. Il avait parlĂ© plus vite que sa pensĂ©e quand GueniĂšvre l'avait pris pour Lancelot et qu'il avait rĂ©pondu sans la dĂ©tromper. Et maintenant, il devait faire face aux consĂ©quences bien pourraves de son manque de rĂ©flexion. Comment allait-il bien pouvoir se tirer de ce mauvais pas ? Avant qu'il ne puisse rĂ©agir, GueniĂšvre avait eu ce lĂ©ger basculement en arriĂšre qu'elle avait quand elle Ă©tait sur le point de rĂ©pliquer et de faire entendre ce quâelle avait en tĂȘte sans se laisser intimider.
- Non mais dites pĂšre, je ne vous permets pas !
- Vous, occupez-vous de vos miches !
- Mais justement, je suis bien assez grande pour m'occuper de mes miches toute seule !
- Ah ne commencez pas hein, parce que la réprimande paternelle elle peut partir !
Ă la menace de LĂ©odagan, le sang dâArthur ne fit quâun tour.
- Eh oh, câest vous qui allez vous calmer ou vous voulez que je mâen occupe ?
LĂ©odagan le toisa calmement, l'Ćil lĂ©gĂšrement pĂ©tillant comme s'il avait attendu la remarque de trop avec impatience, et lui colla un bourre-pif monumental sans se laisser dĂ©monter.
- PĂšre !
- Nan mais ça va pas la tĂȘte !
- Ah mais si vous croyez que je vous ai pas vu tourner autour de la reine depuis tout ce temps ! Alors mon bonhomme si vous croyez que vous pouvez vous adresser au roi de Carmélide comme ça en plus d'essayer de tripoter la reine de Bretagne il va falloir vous remettre les idées en place vitesse grand V !
Arthur avait porté sa main à son nez, et commençait déjà à sentir le sang couler légÚrement.
- Seigneur Lancelot de mes deux, marmonna LĂ©odagan, manifestement satisfait de son petit effet.
Mais Arthur n'avait pas l'intention d'en rester lĂ . En essayant d'Ă©pargner son nez, il assĂ©na un coup de tĂȘte Ă LĂ©odagan qui se voulait monumental. Au lieu de quoi, ayant eu un peu de mal Ă jauger sa propre taille, il ne se pencha pas tout Ă fait assez pour atteindre l'endroit de la tĂȘte de LĂ©odagan qu'il visait, et Ă©crasa Ă nouveau son nez endolori contre le visage de son adversaire. LĂ©odagan laissa Ă©chapper un grognement qui ne fut pas sans dĂ©plaire Ă Arthur, mais ce dernier geignit encore plus fort. Sans perdre une seconde, LĂ©odagan empoigna Arthur. Les coups se mirent Ă pleuvoir de part et dâautre, rythmĂ©s par les cris de GueniĂšvre qui essayait dĂ©sespĂ©rĂ©ment de les sĂ©parer.
Arthur, dĂ©sĂ©quilibrĂ© par ce grand corps quâil ne connaissait pas encore, ne rĂ©sista pas Ă la tentative de LĂ©odagan pour le faire tomber, mais parvint Ă lâemporter dans sa chute, et les deux hommes finirent par tenter de sâassĂ©ner coups de poings et coups de genoux mutuellement sur les dalles froides du couloir. Au bout de quelques minutes dâun pugilat somme toute ridicule, GueniĂšvre cessa ses efforts pour interrompre leur empoignade et se barra purement et simplement. Cela fit Ă Arthur lâeffet dâune douche froide. En effet, ça ne ressemblait Ă rien. LĂ©odagan parut reprendre ses esprits exactement de la mĂȘme maniĂšre, et les coups sâarrĂȘtĂšrent. Les deux hommes se relevĂšrent, un peu honteux mais toujours pleins dâun orgueil viril. En sâĂ©poussetant, LĂ©odagan entreprit dâenterrer la hache de guerre.
- Scusez seigneur Lancelot, câest pourtant pas pour la loyautĂ© que je porte Ă mon gendreâŠ
Bon Ă savoir, se dit Arthur dans un coin de sa tĂȘte.
- Mais enfin, vous savez comment câest, on nâa pas envie que ses enfants se fourrent dans des bourbiers sentimentauxâŠ
- Nan mais je comprends, je comprends, câest tout Ă votre honneur.
- Ah mais ne recommencez pas seigneur Lancelot, vous savez trĂšs bien que vous gonflez tout le monde avec vos histoires dâhonneur et aprĂšs il suffit de se lever la nuit pour aller pisser et on vous voit en train de⊠Pardon, ça me reprend.
Arthur ne répondit pas cette fois.
- Bon, ben sur ce ! Pas que ça mâait beaucoup fatiguĂ© de vous latter mais enfin quand mĂȘme je suis plus de premiĂšre jeunesse, je retourne au plumard. Passez une bonne nuit seigneur Lancelot, et que je vous prenne pas Ă rĂŽder autour de la chambre de ma fille, ajouta-t-il sur un ton de plaisanterie qui masquait Ă peine la menace.
- Bonne nuit Ă vous, rĂ©pondit laconiquement Arthur, trop occupĂ© Ă rĂ©flĂ©chir Ă la tĂȘte en vrac quâil devait Ă voir, et Ă ce Ă quoi le reste de sa nuit allait ressembler.
Tandis que LĂ©odagan sâĂ©loignait en direction de sa chambre, Arthur resta pensif. Sa conversation avec GueniĂšvre avait ouvert plus de questions quâelle nâavait apportĂ© de rĂ©ponses ; pour autant, il ne pouvait pas se permettre dâaller la retrouver dans sa chambre sans crier gare. Un frisson le traversa â le froid du couloir commençait Ă se faire glacial.
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LĂ -haut - Julien Schricke
Contester, infirmer les faits,Rejeter, enrayer les fautes ;Il y aura sans cesse un « mais »,Au sein des sphĂšres les plus hautes. Au piton, suprĂȘme niveau,Les Ă©minents esprits sâĂ©chauffent ;Une boucherie, un flĂ©au,Les dĂ©itĂ©s sâinsurgent, sauf⊠Oui, lui, lâautre lĂ , le laquais,Le sous-fifre, seul, Ă lâĂ©cart,Oyant les pontes gras, Ă©pais,Se gondole, se plie, se marre. Arlequinade etâŠ
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Sidekick
Je mâaperçois que je nâai rien publiĂ© depuis plus dâun mois. Ce nâest pas que je ne dessine pas, câest juste que je nây pensais pas. Dâun autre cĂŽtĂ© je nâai pas non plus un Ă©norme public, mis Ă part toi qui me lis maintenant. Alors, oĂč en sommes-nous ? Eh bien, le mot numĂ©ro 14 est sidekick. Je ne connaissais pas, dâaprĂšs google ça veut dire acolyte, ami, copain, mais aussi sous-fifre. UnâŠ
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STILLE VOLK "La PĂšira Negra" CD 2014
1. Dementis Maudiçon 2. Sous l'oeil de la Lune 3. L'Ă©veil du Spectre 4. La PĂšira Negra 5. La Litanie du PĂ©trifiĂ© 6. La ForĂȘt Gorgone 7. Heaume de Lichen 8. En Occulz 9. Come to the Sabbath (Mercyful Fate cover)
"Je danse par dessous la chaste lune Je quitte la lande au sein de la nuit Festoirie magique, danserie nocturne Les pas me guident, la raison me fuit
Cérémonie nocturne Je perds tous mes sens dans ce délire immense Danse sous la lune
Les arbres répondent à mes rires Je parcours le monde enflammé au sein de ces instruments de délire qui me déhanchent comme un damné
Lâamanite mâinterroge en ricanant Je lui rĂ©ponds sans vergogne aucune Elle se glisse lentement vers le manant que je suis dans son royaume nocturne
Dans ce monde de mousse et de parques les Ă©tangs sont vivants et mystĂ©rieux les crapauds mâinvitent sur la barque doucement me fixent de leurs yeux doux
Il mâinvite Ă pĂ©nĂ©trer son esprit fait de chasses et de dĂ©lires Il me fredonne Ă lâoreille et me prie de lui avouer mes secrets et mes rĂȘves
Les violons maudits se dĂ©chaĂźnent et se mĂȘlent aux fifres dĂ©tonants Les mĂ©lopĂ©es du dĂ©lire se promĂšnent mâapaisant par cette nuit dĂ©mente"
La PĂšira Negra | Stille Volk (bandcamp.com)
#Stille Volk#Pyrenean Neo-Medieval Folk Music#Patrice Roques#Patrick Lafforgue#Yan Arexis#Sarg#Holy Records
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LE PAYS DANS LE CIEL
Pour MĂ©lenchon
Eichmann un sous-fifre
Pas com Sarkozy
Mais comme Gabriel Attal
Lobby juif pas état français
MĂ©lenchon en butte au blond
L'art pour l'art
Il lui faut du rentre dedans
Haine installée combattue
Par l'intelligence du cul
Ludwig roi fou de BaviĂšre
Protecteur de Wagner
Par un saint-empire germanique
Poutine qui est germanophile
Koenisberg
Il peut faire semblant de reculer
Oui mai ça flamboie
La Femme Allemande
Rappel MarlĂšne Femme Titane
Berlin Cabaret ça se refait
Dimanche 28 avril 2024
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« Nous sommes en guerre » contre la Russie ?
Ănonner, lire bĂȘtement un discours, sans rien comprendre, câest tout ce dont ils sont tous capables. Par Nanouche Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face Ă la dictature de la pensĂ©e unique.Cliquer ICI pour nous soutenir « Nous sommes en guerre » contre la Russie ? Vatenguerre et ses sous-fifres sont des fous. Il nây a que ce mot pour les qualifier. ImmaturesâŠ
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#Ăąnonner#discours#lire bĂȘtement#Macron#ManuMilitari#Nanouche#Observatoire du MENSONGE#politique#sans rien comprendre#Vatenguerre
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Michel Onfray sur l'immigration : "L'Europe n'est pas débordée, l'Europe...
leurope de maastrcht les oppositions nos gouvernements aux ordres de l'OpenSociety du WEF de Soros des genocidaires des castrateurs avec des armees de LGBTQIA et autres migrants qui veulent nos decheances destructions et fin.. les Allemands partie du couple qui na jamais existe sous fifres des USA et nous sommes en voie de famine avant de nous controler totallement
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Ădouard Manet
El pĂfano (Le fifre) 1866El pĂfano (Le fifre) 1866 Impresionismo, Costumbrismo. Ăleo sobre lienzo, 161 x 97 cm
Manet pintó El pĂfano influido por la manera de los retratos de VelĂĄzquez que habĂa admirado en el Museo del Prado de Madrid. En particular, le impresionó Pablo de Valladolid, un retrato de un bufĂłn de la Ă©poca de aspecto declamatorio y tenido por actor, donde desaparecen el fondo o cualquier objeto que sirva de referencia, excepto la propia sombra del personaje.â
Manet retrata a un personaje anĂłnimo, un adolescente, mĂșsico de la banda de la Guardia Imperial Española.
đMuseo de Orsay, ParĂs
âFavorite painting
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