#fifr
Explore tagged Tumblr posts
Text
Crail Town crier Robert Kircaldy passed away on May 23rd 1912.
I first posted this in 2012 and all I had on it was the pic titled Crail Town Creir 1905,but after a wee bit research found what I believe to be his name on this quote from the obituary page on the 23rd May 1912 edition of the East of Fife Record.
"A well known figure has passed away in the person of Robert Kirkcaldy, late Postman, Church Officer and Town Crier at age 84. He was quite a character in many respects, and nothing awakened Robert’s sense of greatness more than when out with his Drum."
The drum is now lodged in The Crail Museum.
The harbour village of Crail, situated in the East Neuk of Fife, Scotland, hosts the annual Crail Festival during the third and fourth weeks of July. Nearly 40 events for adults and children spread over 11 days is supplemented by longer-running activities such as a putting green.
Crail Town Crier, still opens the Crail Annual Festival, the latest incumbent is Baille Paul Hutchison, as seen in the second pic .
33 notes
·
View notes
Text
SCREAMS jviens de voir jonathan b il a joué dans un film avec peter falk purée...yipee bordel
#jviens de voir des extraits de flic de beverly hills et oooh mah gadh....he gets called darling by the dude he seems to protect...#he's loyal dog coded too apparently....omggg right up my fucking alley#+ grave fruity eddie m dans ce film allo. le peu que j'ai vu...bjr 😏#jonathan qui disait ouais jsuis trop moche pour jouer autre chose que des filcs ou méchants non c'est po vrai...#tu joue aussi les chienchiens loyaux à un boug criminel et tu es si sexy pour ça<33333#ig ça fait de lui un méchant aussi ok#j'allais dire mais mike brba pas vrmt méchant mais j'avais oublié exflic </3333 jonathan désolé que tu sois type cast </333#bref il se fait bolosse dans flics de beverly hills + fait une tête “!!!” à son daddy qu'il protège là ça m'a. Immédiatement conquérir#je ne peux rien faire face à trope de boug méchant avec sous fifre absolument dévoué à lui et ultra loyal. je meurs vmrt
1 note
·
View note
Text
Si Alastor n'a pas utilisé Husk dans ses passages radio pour diffuser ses meurtres, c'est qu'il devait avoir besoin d'un sous fifre ou bien qu'il trouvait Husk amusant. Bien qu'Husk semble se douter de quelque chose concernant les magouilles d'Alastor, il se fait couche couche panier par lui montrant un joli parallèle avec l'abus que subit Angel par Valentino. Vu qu'on voit qu'Husk est terrifié par lui ! Bien que le fait qu'il ait gardé Husk en vie pourrait être l'erreur d'Alastor si Husk réussit à trouver un moyen de se libérer.
If Alastor didn't use Husk in his radio appearances to broadcast his murders, it must have been because he needed a minion or found Husk amusing. Although Husk seems to suspect something about Alastor's schemes, he is put down by him, drawing a nice parallel with Valentino's abuse of Angel. Since we can see that Husk is terrified of him! Although the fact that he's kept Husk alive could be Alastor's mistake if Husk manages to find a way to free himself.
44 notes
·
View notes
Text
LÉGENDES DU JAZZ
LIONEL HAMPTON, ROI DU VIBRAPHONE "Playing is my way of thinking, talking, communicating. I've always been crazy about playing. Every day I look forward to getting with my instruments, trying new things. Playing gives me as much good feeling now as it did when I was a bitty kid. I think I love it more as I get older because I keep getting better on drums, vibes and piano."
- Lionel Hampton
Né le 20 avril 1908 à Louisville, au Kentucky, Lionel Hampton avait été élevé par sa mère Gertrude. Il n’avait presque pas connu son père, Charles Hampton, un pianiste et chanteur prometteur qui avait été déclaré mort sur le champ de bataille après avoir été porté disparu pendant la Première Guerre mondiale.
Peu après sa naissance, Hampton était déménagé avec sa mère dans sa ville natale de Birmingham, en Alabama, mais il avait surtout grandi à Kenosha, au Wisconsin. Hampton avait fréquenté la Holy Rosary Academy, située près de Kenosha, où une soeur dominicaine lui avait donné ses premières leçons de batterie. La famille Hampton est déménagée à Chicago en 1916. Pendant sa jeunesse, Lionel avait été membre du Bud Billiken Club, un club rival des Scouts.
Hampton était adolescent lorsqu’il avait commencé à jouer de la batterie. Il avait aussi pris des cours de xylophone de Jimmy Bertrandt. Élevé dans la religion catholique, Lionel avait commencé à jouer du fifre (une sorte de flûte traversière s’apparentant au piccolo) et de la batterie à la Holy Rosary Académie située près de Chicago. Il jouait également du piano (avec seulement deux doigts), en plus de chanter à l’occasion. DÉBUTS DE CARRIÈRE À l’âge de quinze ans, Hampton venait tout juste de terminer ses études secondaires lorsqu’il était parti à Los Angeles pour aller jouer avec les Sharps and Flats de Red Spike. Avant son départ, sa grand-mère lui avait fait promettre de continuer de réciter ses prières à chaque jour.
Hampton avait ensuite joué de la batterie pour le Chicago Defender Newboys’ Band dirigé par le major N. Clark Smith. C’est lors de son séjour avec ce groupe que Lionel avait commencé à jouer du vibraphone et du marimba.
Pendant qu’il vivait à Chicago, Hampton avait assisté à un concert de Louis Armstrong au Vendome. Hampton avait raconté plus tard que le public était devenu fou lorsque Armstrong avait fait son premier solo. Lionel s’était installé en Californie en 1927, afin de jouer de la batterie avec les Dixieland Blues-Blowers.
Hampton avait fait ses débuts sur disque en 1929 avec les Quality Serenaders de Paul Howard. Il avait par la suite quitté Culver City afin de jouer de la batterie avec le groupe de Les Hite au Sebastian’s Cotton Club. L’une des marques de commerce de Hampton comme batteur était son habileté à jongler avec ses bâtons sans jamais rater une mesure. C’est à cette époque que Hampton avait commencé à jouer du vibraphone.
En 1930, Louis Armstrong s’était rendu en Californie et avait engagé le groupe de Les Hite pour l’accompagner en concert et dans ses enregistrements. Un jour, Armstrong avait demandé à Hampton de jouer sur un vibraphone qui avait été oublié par inadvertance dans le studio. Hampton racontait: "Louis said, 'Do you know how to play it?' I said, 'Yeah, I can play it.' It had the same keyboard as the xylophone, and I was familiar with that."
Armstrong avait particfulièrement été impressionné par le jeu de Hampton après que celui-ci ait reproduit un de ses solos au vibraphone. C’est ainsi que la carrière de vibraphoniste de Hampton avait débuté. Surnommé ‘’Hamp’’ et ‘’King of the Vibes’’, Hampton avait d’ailleurs enregistré avec Armstrong les deux premiers solos de vibraphone de l’histoire sur les pièces ‘’Memories of you’’ et ‘’Shine.’’ C’est ainsi que le vibraphone était devenu le principal instrument de Hampton.
Inventé dix ans auparavant, le vibraphone était essentiellement un xylophone pourvu de barres métalliques, d’une pédale et de résonnateurs.
Même si Red Norvo est considéré comme le premier musicien de jazz à avoir joué du vibraphone, c’est Hampton qui lui avait donné ses lettres de noblesse en en faisant un instrument à part entière, notamment dans les plus petites formations.
Tout en travaillant avec le groupe de Les Hite, Hampton collaborait à l’occasion avec l’orchestre de Nat Shilkret.
Au début des années 1930, Hampton était allé étudier la musique à l’University of Southern California (USC), même s’il ne semble pas que ce séjour se soit étendu sur une longue période. Hampton avait payé ses études en travaillant comme barman.
Hampton avait formé son propre orchestre en 1934. Deux ans plus tard, Hamptin avait joué dans le film de Bing Cosby ‘’Pennies From Heaven’’ aux côtés de Louis Armstrong (dans une de ses scènes, il jouait de la batterie tout en portant un masque).
En novembre 1936, l’orchestre de Benny Goodman était venu à Los Angeles pour jouer au Palomar Ballroom. Lorsque le producteur John Hammond avait emmené Goodman à un des concerts d’Hampton, il avait été tellement impressionné qu’il avait invité le vibraphoniste à se joindre à son trio formé du pianiste Teddy Wilson et du batteur Gene Krupa. En fait, le trio et le quartet de Goodman avaient fait partie des premiers groupes de jazz mixtes de l’histoire. Hampton expliquait: "Working with Benny was important for me and for black musicians in general. Black and white players hadn't appeared together in public before Teddy Wilson and I began working with B.G. I feel honored to have been a part of that dramatic change."
Avec Goodman, Hampton avait enregistré de grands classiques comme ‘’Dinah’’, ‘’Moonglow’’ ‘’My Last Affair’’ et ‘’Exactly Like You.’’ Durant son séjour de près de quatre ans avec Goodman, Hampton était devenu une véritable institution dans le monde du jazz en raison de sa vivacité de bout-en-train, de son charisme communicatif, de sa personalité colorée et de ses idées novatrices. Hampton avait même temporairement remplacé Gene Krupa comme batteur lorsque celui-ci avait quitté le groupe en 1938.
Hampton était demeuré assez longtemps avec Goodman pour participer au célèbre concert de Carnegie Hall en 1938, et pour faire partie du nouveau sextet du clarinettiste avec le pionnier de la guitare électrique Charlie Christian.
De 1937 à 1939, Hampton avait dirigé une série de sessions avec de grandes vedettes du jazz comme Coleman Hawkins, Benny Carter, Nat Cole, Cootie Williams, Harry James, Red Allen, Ben Webster, Dizzy Gillespie et Charlie Christian. Les enregistrements réalisés sous sa direction sont aujourd’hui devenus des classiques du jazz. Sur ces enregistrements, Hampton jouait surtout du vibraphone, mais aussi du piano et de la batterie. Ces enregistrements avaient aussi permis de démontrer que malgré son tempérament extraverti, Hampton pouvait interpréter des balades avec sensibilité et délicatesse.
Pendant qu’Hampton travaillait avec Goodman à New York, il avait fait des enregistrements avec plusieurs petits groupes connus sous l’appellation générique de Lionel Hampton Orchestra. Il avait également collaboré avec de petites formations créées à même l’orchestre de Goodman.
En 1940, Hampton avait finalement décidé de quitter Goodman afin de former son propre groupe. L’orchestre de Hampton comprenait alors de futurs grands noms du jazz comme Wes Montgomery, Clifford Brown, Art Farmer, Charles Mingus, Dexter Gordon, Quincy Jones, Jimmy Cleveland et Cat Anderson. On retrouvait au chant Joe Williams, Dinah Washington, Betty Carter et Aretha Franklin.
Parmi les musiciens de l’orchestre de Hampton, certains s’étaient particulièrement distingués. Le guitariste Billy Mackel s’était joint à l’orchestre en 1944 et avait continué de jouer et d’enregistrer avec Hampton presque sans interruption jusqu’à la fin des années 1970.
Le nouvel orchestre n’avait d’ailleurs pas tardé à s’établir comme une formation majeure durant les années 1940 et le début des années 1950. Le troisième enregistrement de l’orchestre en 1942 contenait une version de ‘’Flying Home’’ dans laquelle le saxophoniste Illinois Jacquet jouait un solo qui annonçait le futur Rhythm & blues. Même si Hampton avait déjà enregistré ‘’Flying Home’’ sous son propre nom avec une petite formation en 1940 pour les disques Victor, sa version la plus connue était celle qu’il avait enregistrée avec son big band sur étiquette Decca le 26 mai 1942, sur un arrangement du pianiste Milt Buckner. De fait, l’enregistrement sur 78-tours avait connu un tel succès qu’il avait incité Hampton à enregistrer une nouvelle version de la pièce en 1944, cette fois avec Arnett Cobb comme soliste. Parmi les autres succès du groupe dans les années 1940, on remarquait ‘’Hamp’s Boogie Woogie’’, ‘’Midnight Sun’’, ‘’Million Dollar Smile’’ et ‘’Central Avenue Breakdown.’’
En 1947, Hampton avait interprété le standard ‘’Stardust’’ lors d’un concert ‘’Just Jazz’’ organisé par le producteur Gene Norman, et qui mettait aussi en vedette le chanteur Charlie Shavers et le contrebassiste Slam Stewart. Le spectacle avait plus tard été mis en marché par les disques Decca. Plus tard, l’étiquette de Norman, les disques GNP, avaient rendu publiques les autres pièces du concert.
Lionel Hampton n’était pas demeuré insensible au développement du bebop. Contrairement à certains musiciens plus traditionalistes, il avait tenté de se faire un allié du nouveau mouvement en intégrant les influences bebop à certains de ses arrangements. Cependant, le naturel était vite revenu au galop, et Hampton était retourné à son ancien style axé sur le rhythm n’ blues dans les années 1950.
C’est aussi durant les années 1950 que Hampton avait réalisé deux de ses plus célèbres enregistrements, ‘’September in the Rain’’ (1953) et ‘’Stardust’’ (1955), sur lesquels on pouvait retrouver certains de ses meilleurs solos. LA MATURITÉ Hampton était aussi un participant régulier aux concerts de la Cavalcade of Jazz qui étaient organisés annuellement au stade Wrigley Field de Los Angeles, et qui étaient produits par Leon Hefflin Sr.
Hampton avait participé pour la première fois à la Cavalcade lors de la seconde présentation de l’événement tenue le 12 octobre 1946, qui mettait également en vedette Jack McVea, Slim Gaillard, T-Bone Walker, the Honeydrippers et Louis Armstrong. La cinquième édition de la Cavalcade avait été tenue en deux temps. Un premier concert avait été présenté à Wrigley Field le 10 juillet 1949, tandis que le second avait eu lieu le 3 septembre de la même année au Lane Field de San Diego. Betty Carter, Jimmy Witherspoon, Buddy Banks, Smiley Turner et Big Jay McNeely avaient accompagné Hampton pour l’occasion.
Le 25 juin 1950, la participation de Hampton à la 6e Cavalcade du Jazz avait failli tourner à l’émeute. Hampton était en train de parader sur le terrain avec son orchestre en jouant la pièce ‘’Flying High’’ lorsque l’assistance, estimée à environ 14 000 personnes, était devenue incontrôlable, et s’était mise à lancer toutes sortes d’objets dans le stade. Dinah Washington, Roy Milton, PeeWee Crayton, Lillie Greenwood, Tiny Davis and Her Hell Divers participaient également au concert. Hampton avait pris part à sa dernière Cavalcade du Jazz le 24 juillet 1955 lors de la 11e édition de l’événement qui mettait en vedette Big Jay McNeely, The Medallions, The Penguins et James Moody.
Du milieu des années 1940 jusqu’au début des années 1950, Hampton avait dirigé un groupe de rhythm n’ blues dont les enregistrements mettaient en vedette de nombreux jeunes musiciens qui avaient eu plus tard des carrières significatives. On remarquait parmi ceux-ci le contrebassiste Charles Mingus, le saxophoniste Johnny Griffin, le guitariste Wes Montgomery, la chanteuse Dinah Washington et le chanteur ‘’Little’’ Jimmy Scott. On retrouvait aussi dans le groupe des musiciens établis comme Dizzy Gillespie, Cat Anderson, Kenny Dorham, Snooky Young, Jimmy Cleveland, Jerome Richardson et Curtis Lowe. En 1953, l’orchestre de Lionel Hampton était parti en tournée en Europe. Le groupe comprenait à l’époque Clifford Brown, Gigi Gryce, Anthony Ortega, Mont Montgomery, George Wallington, Art Farmer, Quincy Jones et la chanteuse Annie Ross.
Hampton avait continué d’enregistrer avec de petits groupes et de participer à des jam sessions durant les années 1940 et 1950, notamment avec Oscar Peterson, Buddy DeFranco et plusieurs autres. En 1955, pendant qu’il se trouvait en Californie pour le tournage du film ‘’The Benny Goodman Story’’, Hampton avait enregistré avec Stan Getz. Il avait aussi fait deux albums avec Art Tatum. En 1968, Hampton s’était produit avec Louis Armstrong et la chanteuse italienne Lara Saint-Paul au Sanremo Music Festival en Italie. Le concert avait causé toute une sensation auprès du public italien et s’était terminé sur une jam session. La même année, Hampton avait été décoré par le pape Paul VI.
DERNIÈRES ANNÉES ET DÉCÈS
Dans les années 1960, Hampton avait décidé de lancer sa propre maison de disques (il en avait fondé une seconde en 1977-78). Il avait également fait de longues tournées en Europe, en Afrique, au Japon et dans les Philippines. À l’époque, Hampton vivait sur sa réputation et avait cessé depuis longtemps de se renouveler. Hampton s’était concentré sur les valeurs sûres et se contentait de jouer ce qui avait fait son succès au début de sa carrière. Hampton avait également participé à de nombreuses réunions avec le quartet de Benny Goodman, plus particulièrement en 1973 lors du Festival de jazz de Newport, quelques mois avant la mort de Gene Krupa.
À partir de février 1984, Hampton avait commencé à se produire au festival de jazz annuel de l’Université de l’Idaho. Ce dernier avait d’ailleurs été rebaptisé le Lionel Hampton Jazz Festival l’année suivante. En 1987, l’école de musique de l’Université de l’Idaho avait été renommée École de musique Lionel Hampton. C’était la première fois qu’un musicien de jazz se méritait un tel honneur. Durant la majeure partie des années 1980, l’orchestre de Hampton était formé de Thomas Chapin, Paul Jeffrey, Frankie Dunlop, Arvell Shaw, John Colianni, Oliver Jackson et George Duvivier.
En janvier 1997, même si un incendie qui s’était déclaré dans son appartement avait détruit ses trophées et la plus grande partie de ses biens, Hampton s’en était miraculeusement tiré indemne.
Véritable force de la nature, Hampton attirait toujours des salles combles à travers le monde jusqu’à ce qu’une attaque survenue à la salle Bobino de Paris en 1991 l’empêche de terminer un concert. Cet incident, conjugué à des années d’arthrite chronique, l’avait contraint à réduire considérablement le nombre de ses performances. Confiné dans un fauteuil roulant depuis 1995, Hampton avait cependant continué de donner des concerts. Le gérant du marketing Jim Catalano se rappelait avoir vu Hampton jouer en 2001 au Lionel Hampton Jazz Festival de Moscow, en Idaho. Catalano avait déclaré: "What an event. Several thousand kids participate and they bring in the top jazz artists from around the world to perform. Even at the age of 93, Lionel was able to play his famous 'Midnight Sun' along with his jazz orchestra."
Hampton avait présenté son dernier concert au Smithsonian National Museum of America History en 2001, quelques mois avant sa mort.
Lionel Hampton est mort le 21 août 2002 au Mount Sinai Hospital de New York, à la suite d’une attaque cardiaque. Il était âgé de quatre-vint-quartorze ans. Hampton a été inhumé au Woodlawn Cemetery, dans le Bronx. Ses funérailles ont eu lieu le 7 septembre 2002, et comprenaient une performance de Wynton Marsalis et du Gully Low Jazz Band de David Ostwald à l’église Riverside de Manhattan. La procession funéraire avait débuté devant le mythique Cotton Club de Harlem.
Le 11 novembre 1936, Hampton avait épousé Gladys Riddle à Yuma, en Arizona. Excellente femme d’affaires, Gladys avait été la gérante de Hampton durant la majeure partie de sa carrière. Plusieurs musiciens se plaisaient à déclarer que si Hampton dirigeait la musique, c’était Gladys qui gérait les affaires. Gladys est décédée en 1977. Le couple n’avait pas eu d’enfants.
POSTÉRITÉ
Dans les années 1950, Hampton avait développé un grand intérêt pour le judaïsme et avait commencé à recueillir des fonds pour Israël. En 1953, Hampton avait composé une suite en l’honneur du roi David qu’il avait présentée par la suite en Israël avec le Boston Pops Orchestra. Plus tard, Hampton était devenu membre de l’Église de Scientologie. Il était également membre des Francs-maçons.
Doté d’une très grande conscience sociale, Hampton avait fondé la Lionel Hampton Development Corporation, une organisation qui avait pour but de favoriser la construction de logements sociaux pour les démunis. Les premiers projets de construction de la corporation avaient été lancés dans les années 1960 avec l’érection des Lionel Hampton Houses à Harlem. Le projet avait été rendu possible grâce au soutien du gouverneur républicain Nelson Rockfeller. L’épouse de Lionel, Gladys, était également impliquée dans des projets de construction à son propre nom, les Gladys Hampton Houses. Dans les années 1980, Hampton avait développé un autre projet de construction à Newark, au New Jersey, sous le nom de Hampton Hills.
Opposé à la ségrégation raciale, Hampton était aussi un grand défenseur de Nelson Mandela et de Malcolm X.
Républicain convaincu, Hampton avait été élu comme élu comme délégué dans plusieurs conventions du parti. Il avait aussi été vice-président du New York Republican County Committee durant plusieurs années. Il était également membre de la New York City Human Rights Commission. Hampton avait aussi été directeur des Événements spéciaux lors de la campagne de réélection du président Gerald Ford en 1976. Au cours de sa vie, Hampton a fait don d’environ 300 000$ au Parti républicain. En 1996, Hampton avait finalement décidé d’appuyer la candidature démocrate de Bill Clinton et d’Al Gore, en ajoutant que s’il avait appuyé les Républicains jusque-là, c’était parce que c’était le parti d’Abraham Lincoln, mais que celui-ci ne représentait plus les modérés comme lui depuis longtemps.
L’implication politique de Hampton ne datait pas d’hier. Dans les années 1960, le président Dwight Eisenhower l’avait nommé ambassadeur de bonne volonté dans le cadre de ses tourn.es autour du monde. Dans les années 1990, le président George Bush l’avait nommé à la direction du Kennedy Center.
Lionel Hampton a remporté de nombreux honneurs au cours de sa longue carrière. Lauréat d’un Grammy Lifetime Achievement Award remis à titre posthume en 2001, il avait également obtenu un Harlem Jazz and Music Festival’s Legend Award en 1996. La même année, Hampton avait été admis à l’International Jazz Hall of Fame. En 2002, le Kentucky Music Hall of Fame lui avait remis le Governor’s Lifetime Achievement Award.
Hampton a obtenu quinze doctorats honorifiques de différentes universités à travers le monde, dont trois doctorats en musique de l’Université Harvard (1978), de l’University of Southern California (1983) et du New England Conservatory of Music (1993).
Lionel Hampton a également une étoile sur le Hollywood Walk of Fame depuis 1981. Il a été intronisé au sein du Jazz Hall of Fame Award en 1984. Lauréat d’un Hall of Fame Award de la National Association of Jazz Educators en 1987, la carrière de Hampton avait été couronnée par la remise d’un National Endowment for the Arts Jazz Masters Fellowship en 1988. Admis au Alabama Jazz Hall of Fame en 1992, Hampton a également été élu commissaire honoraire des Droits civiques en 1995. La même année, le président Bill Clinton lui avait décerné la National Medal of Arts. L’un des vibraphones de Lionel Hampton fait aujourd’hui partie de la collection du Musée National d'Histoire Américain.
Lorsqu’on demandait à Hampton quelle était sa philosophie musicale, il déclarait simplement: "Playing is my way of thinking, talking, communicating. I've always been crazy about playing. Every day I look forward to getting with my instruments, trying new things. Playing gives me as much good feeling now as it did when I was a bitty kid. I think I love it more as I get older because I keep getting better on drums, vibes and piano."
Lionel Hampton a composé plus de 200 pièces au cours de sa carrière, que ce soit à titre de compositeur ou d’arrangeur. Hampton a aussi influencé plusieurs musiciens de jazz. Le vibaphoniste Milt Jackson du Modern Jazz Quartet avait déclaré à son sujet: "Lionel Hampton inspired me to play the vibraphone. He was the first one of note to play it, but more important, I liked how dynamic he was. And the way he blended with groups and the way he played in front of a band were inspirational." Quant au vibrationiste Gary Burton, il affirmait: "I always think of Hamp as the guy who really got us established.’’ Dans une autre entrevue, Burton avait précisé:
"I saw Hampton when I was about 12 years old. He was playing at the Evansville (Indiana) Armory for a dance. Since I couldn't go in the evening when they would be serving alcohol, my father took me down there in the afternoon, thinking we might run into the band. Sure enough, they were doing a soundcheck and setup. My father told Hamp that I played the vibraphone, and Hamp was really gracious. He asked me to play, so I played a standard tune or blues in F or whatever, and Hamp had the band join in and play with me."
© 2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique. SOURCES: ‘’Lionel Hampton.’’ Wikipedia, 2022. ‘’Lionel Hampton, American Musician.’’ Encyclopaedia Britannica, 2023. MATTINGLY, Rick. ‘’Lionel Hampton.’’ Encyclopedia Universalis, 2023.
2 notes
·
View notes
Text
Le sous-fifre sous-titre par contrepet explicite - les lieux (communs) qui disent
Édouard Philippe ou "L'ard philou d'édippe" - c'est pas lui qui couche avec sa mère pourtant!
12 notes
·
View notes
Text
WAP came out 15 years ago today! We are thinking of Philippe Zdar on this special occasion. We love you Fifre! ➥ wearephoenix
3 notes
·
View notes
Text
Je me suis pas mal demandé pourquoi Loth traite si mal Galessin alors qu'il est loin d'être le plus branquignol
Du coup j'ai une théorie/analyse à vous proposer ☕️
Et si Loth était parfaitement conscient du potentiel de Galessin, et qu'il faisait exprès de lui rentrer dans le crâne qu'il est le dernier des débiles, pour briser toute confiance qu'il pourrait avoir en lui-même ?
Comme le fait remarquer le subconscient d'Arthur dans je sais plus quel épisode, à force de répéter à quelqu'un qu'il est nul/débile/incompétant/incapable, la personne finit souvent par le croire.
Loth attribue alors toutes sortes d'adjectifs rarement justifiés à Galessin, pour qu'il finisse par se persuader qu'il est effictivement cette personne qui n'a pas inventé le plat de la main morte.
Et si rabaisser Galessin était un moyen pour Loth de s'assurer qu'il reste de son côté, pour briser son vrai potentiel et en faire un simple sous-fifre qui ne se sent pas suffisement capable pour s'extirper de son train de vie de noix de saint jacques ?
Surtout que les remarques de Galessin sont souvent assez pertinentes, je pense par exemple à sa fameuse métaphore avec le fromage gratiné, elle est bien plus censée que toutes les citations approximatives de Loth. Ça ne serait alors pas surprenant que Loth cherche surtout à le rabaisser pour être certain de ne pas se faire surpasser, ou pire, renversé. (Ça me fait un peu penser à Regina et Gretchen dans Mean Girls 🤷♀️)
À force, Galessin devient totallement apathique, n'a plus aucune volonté de se défendre, parce qu'à quoi bon ? Tout ce qu'il veut, c'est éviter une nouvelle humiliation, et pour ce faire, il obéit sans broncher...
La relation Loth/Galessin serait l'inverse de celle d'Arthur et Perceval, dans le sens où Loth est face à quelqu'un de pas trop mauvais qu'il rabaisse pour le garder près de lui, alors qu'Arthur est face à quelqu'un de moins débrouillard, mais qu'il cherche à tirer vers le haut pour finallement s'émanciper.
#kaamelott#galessin#loth#kaamelott fandom#kaamelott théorie#oui j'aime analyser des trucs#Loth Galessin et Dagonet c'est vraiment les Plastiques
17 notes
·
View notes
Text
Le Choix - chapitre 5
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
Guenièvre n'avait pas eu le temps de retirer sa main de la joue d'Arthur et la voix tonitruante de Léodagan retentit dans le couloir.
- Non mais ça va bien oh ? Qu'est-ce que vous croyez que vous êtes en train de faire espèce de grand trou de balle !
Arthur se retourna vers lui, interdit, tandis que Léodagan continuait sa tirade outragée.
- Vous croyez que vous pouvez vous en tirer comme ça à susurrer des mots doux à ma fille ? Elle est reine de Bretagne la petite je vous signale, vous comprenez ce que ça veut dire ? Alors je vous vois venir avec votre yeux bleus larmoyants et votre mèche là, mais elle a pas l'intention de bécoter un sous-fifre c'est moi qui vous le dis - ou alors l'intention va vite lui passer, et c'est moi qui vais m'en charger, j'espère que je me fais bien comprendre !
Arthur n'avait pas eu le temps d'en placer une. Il avait parlé plus vite que sa pensée quand Guenièvre l'avait pris pour Lancelot et qu'il avait répondu sans la détromper. Et maintenant, il devait faire face aux conséquences bien pourraves de son manque de réflexion. Comment allait-il bien pouvoir se tirer de ce mauvais pas ? Avant qu'il ne puisse réagir, Guenièvre avait eu ce léger basculement en arrière qu'elle avait quand elle était sur le point de répliquer et de faire entendre ce qu’elle avait en tête sans se laisser intimider.
- Non mais dites père, je ne vous permets pas !
- Vous, occupez-vous de vos miches !
- Mais justement, je suis bien assez grande pour m'occuper de mes miches toute seule !
- Ah ne commencez pas hein, parce que la réprimande paternelle elle peut partir !
À la menace de Léodagan, le sang d’Arthur ne fit qu’un tour.
- Eh oh, c’est vous qui allez vous calmer ou vous voulez que je m’en occupe ?
Léodagan le toisa calmement, l'œil légèrement pétillant comme s'il avait attendu la remarque de trop avec impatience, et lui colla un bourre-pif monumental sans se laisser démonter.
- Père !
- Nan mais ça va pas la tête !
- Ah mais si vous croyez que je vous ai pas vu tourner autour de la reine depuis tout ce temps ! Alors mon bonhomme si vous croyez que vous pouvez vous adresser au roi de Carmélide comme ça en plus d'essayer de tripoter la reine de Bretagne il va falloir vous remettre les idées en place vitesse grand V !
Arthur avait porté sa main à son nez, et commençait déjà à sentir le sang couler légèrement.
- Seigneur Lancelot de mes deux, marmonna Léodagan, manifestement satisfait de son petit effet.
Mais Arthur n'avait pas l'intention d'en rester là. En essayant d'épargner son nez, il asséna un coup de tête à Léodagan qui se voulait monumental. Au lieu de quoi, ayant eu un peu de mal à jauger sa propre taille, il ne se pencha pas tout à fait assez pour atteindre l'endroit de la tête de Léodagan qu'il visait, et écrasa à nouveau son nez endolori contre le visage de son adversaire. Léodagan laissa échapper un grognement qui ne fut pas sans déplaire à Arthur, mais ce dernier geignit encore plus fort. Sans perdre une seconde, Léodagan empoigna Arthur. Les coups se mirent à pleuvoir de part et d’autre, rythmés par les cris de Guenièvre qui essayait désespérément de les séparer.
Arthur, déséquilibré par ce grand corps qu’il ne connaissait pas encore, ne résista pas à la tentative de Léodagan pour le faire tomber, mais parvint à l’emporter dans sa chute, et les deux hommes finirent par tenter de s’asséner coups de poings et coups de genoux mutuellement sur les dalles froides du couloir. Au bout de quelques minutes d’un pugilat somme toute ridicule, Guenièvre cessa ses efforts pour interrompre leur empoignade et se barra purement et simplement. Cela fit à Arthur l’effet d’une douche froide. En effet, ça ne ressemblait à rien. Léodagan parut reprendre ses esprits exactement de la même manière, et les coups s’arrêtèrent. Les deux hommes se relevèrent, un peu honteux mais toujours pleins d’un orgueil viril. En s’époussetant, Léodagan entreprit d’enterrer la hache de guerre.
- Scusez seigneur Lancelot, c’est pourtant pas pour la loyauté que je porte à mon gendre…
Bon à savoir, se dit Arthur dans un coin de sa tête.
- Mais enfin, vous savez comment c’est, on n’a pas envie que ses enfants se fourrent dans des bourbiers sentimentaux…
- Nan mais je comprends, je comprends, c’est tout à votre honneur.
- Ah mais ne recommencez pas seigneur Lancelot, vous savez très bien que vous gonflez tout le monde avec vos histoires d’honneur et après il suffit de se lever la nuit pour aller pisser et on vous voit en train de… Pardon, ça me reprend.
Arthur ne répondit pas cette fois.
- Bon, ben sur ce ! Pas que ça m’ait beaucoup fatigué de vous latter mais enfin quand même je suis plus de première jeunesse, je retourne au plumard. Passez une bonne nuit seigneur Lancelot, et que je vous prenne pas à rôder autour de la chambre de ma fille, ajouta-t-il sur un ton de plaisanterie qui masquait à peine la menace.
- Bonne nuit à vous, répondit laconiquement Arthur, trop occupé à réfléchir à la tête en vrac qu’il devait à voir, et à ce à quoi le reste de sa nuit allait ressembler.
Tandis que Léodagan s’éloignait en direction de sa chambre, Arthur resta pensif. Sa conversation avec Guenièvre avait ouvert plus de questions qu’elle n’avait apporté de réponses ; pour autant, il ne pouvait pas se permettre d’aller la retrouver dans sa chambre sans crier gare. Un frisson le traversa – le froid du couloir commençait à se faire glacial.
[Votez ici pour ce qui se passe au chapitre suivant !] [Lisez le chapitre suivant ici]
9 notes
·
View notes
Text
"ooough the fifre ebmlem character better nof win this competition" votes for a dnd podcast character
3 notes
·
View notes
Text
Là-haut - Julien Schricke
Contester, infirmer les faits,Rejeter, enrayer les fautes ;Il y aura sans cesse un « mais »,Au sein des sphères les plus hautes. Au piton, suprême niveau,Les éminents esprits s’échauffent ;Une boucherie, un fléau,Les déités s’insurgent, sauf… Oui, lui, l’autre là, le laquais,Le sous-fifre, seul, à l’écart,Oyant les pontes gras, épais,Se gondole, se plie, se marre. Arlequinade et…
View On WordPress
0 notes
Text
Sidekick
Je m’aperçois que je n’ai rien publié depuis plus d’un mois. Ce n’est pas que je ne dessine pas, c’est juste que je n’y pensais pas. D’un autre côté je n’ai pas non plus un énorme public, mis à part toi qui me lis maintenant. Alors, où en sommes-nous ? Eh bien, le mot numéro 14 est sidekick. Je ne connaissais pas, d’après google ça veut dire acolyte, ami, copain, mais aussi sous-fifre. Un…
View On WordPress
1 note
·
View note
Text
STILLE VOLK "La Pèira Negra" CD 2014
1. Dementis Maudiçon 2. Sous l'oeil de la Lune 3. L'éveil du Spectre 4. La Pèira Negra 5. La Litanie du Pétrifié 6. La Forêt Gorgone 7. Heaume de Lichen 8. En Occulz 9. Come to the Sabbath (Mercyful Fate cover)
"Je danse par dessous la chaste lune Je quitte la lande au sein de la nuit Festoirie magique, danserie nocturne Les pas me guident, la raison me fuit
Cérémonie nocturne Je perds tous mes sens dans ce délire immense Danse sous la lune
Les arbres répondent à mes rires Je parcours le monde enflammé au sein de ces instruments de délire qui me déhanchent comme un damné
L’amanite m’interroge en ricanant Je lui réponds sans vergogne aucune Elle se glisse lentement vers le manant que je suis dans son royaume nocturne
Dans ce monde de mousse et de parques les étangs sont vivants et mystérieux les crapauds m’invitent sur la barque doucement me fixent de leurs yeux doux
Il m’invite à pénétrer son esprit fait de chasses et de délires Il me fredonne à l’oreille et me prie de lui avouer mes secrets et mes rêves
Les violons maudits se déchaînent et se mêlent aux fifres détonants Les mélopées du délire se promènent m’apaisant par cette nuit démente"
La Pèira Negra | Stille Volk (bandcamp.com)
#Stille Volk#Pyrenean Neo-Medieval Folk Music#Patrice Roques#Patrick Lafforgue#Yan Arexis#Sarg#Holy Records
1 note
·
View note
Text
LE PAYS DANS LE CIEL
Pour Mélenchon
Eichmann un sous-fifre
Pas com Sarkozy
Mais comme Gabriel Attal
Lobby juif pas état français
Mélenchon en butte au blond
L'art pour l'art
Il lui faut du rentre dedans
Haine installée combattue
Par l'intelligence du cul
Ludwig roi fou de Bavière
Protecteur de Wagner
Par un saint-empire germanique
Poutine qui est germanophile
Koenisberg
Il peut faire semblant de reculer
Oui mai ça flamboie
La Femme Allemande
Rappel Marlène Femme Titane
Berlin Cabaret ça se refait
Dimanche 28 avril 2024
0 notes
Text
« Nous sommes en guerre » contre la Russie ?
Ânonner, lire bêtement un discours, sans rien comprendre, c’est tout ce dont ils sont tous capables. Par Nanouche Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique.Cliquer ICI pour nous soutenir « Nous sommes en guerre » contre la Russie ? Vatenguerre et ses sous-fifres sont des fous. Il n’y a que ce mot pour les qualifier. Immatures…
View On WordPress
#ânonner#discours#lire bêtement#Macron#ManuMilitari#Nanouche#Observatoire du MENSONGE#politique#sans rien comprendre#Vatenguerre
0 notes
Video
youtube
Michel Onfray sur l'immigration : "L'Europe n'est pas débordée, l'Europe...
leurope de maastrcht les oppositions nos gouvernements aux ordres de l'OpenSociety du WEF de Soros des genocidaires des castrateurs avec des armees de LGBTQIA et autres migrants qui veulent nos decheances destructions et fin.. les Allemands partie du couple qui na jamais existe sous fifres des USA et nous sommes en voie de famine avant de nous controler totallement
0 notes
Text
Édouard Manet
El pífano (Le fifre) 1866El pífano (Le fifre) 1866 Impresionismo, Costumbrismo. Óleo sobre lienzo, 161 x 97 cm
Manet pintó El pífano influido por la manera de los retratos de Velázquez que había admirado en el Museo del Prado de Madrid. En particular, le impresionó Pablo de Valladolid, un retrato de un bufón de la época de aspecto declamatorio y tenido por actor, donde desaparecen el fondo o cualquier objeto que sirva de referencia, excepto la propia sombra del personaje.
Manet retrata a un personaje anónimo, un adolescente, músico de la banda de la Guardia Imperial Española.
📍Museo de Orsay, París
⭐Favorite painting
0 notes