#fifr
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scotianostra · 6 months ago
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Crail Town crier Robert Kircaldy passed away on May 23rd 1912.
I first posted this in 2012 and all I had on it was the pic titled Crail Town Creir 1905,but after a wee bit research found what I believe to be his name on this quote from the obituary page on the 23rd May 1912 edition of the East of Fife Record.
"A well known figure has passed away in the person of Robert Kirkcaldy, late Postman, Church Officer and Town Crier at age 84. He was quite a character in many respects, and nothing awakened Robert’s sense of greatness more than when out with his Drum."
The drum is now lodged in The Crail Museum.
The harbour village of Crail, situated in the East Neuk of Fife, Scotland, hosts the annual Crail Festival during the third and fourth weeks of July. Nearly 40 events for adults and children spread over 11 days is supplemented by longer-running activities such as a putting green.
Crail Town Crier, still opens the Crail Annual Festival, the latest incumbent is Baille Paul Hutchison, as seen in the second pic .
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chaotictomtom · 1 year ago
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SCREAMS jviens de voir jonathan b il a joué dans un film avec peter falk purée...yipee bordel
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kilfeur · 10 months ago
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Si Alastor n'a pas utilisĂ© Husk dans ses passages radio pour diffuser ses meurtres, c'est qu'il devait avoir besoin d'un sous fifre ou bien qu'il trouvait Husk amusant. Bien qu'Husk semble se douter de quelque chose concernant les magouilles d'Alastor, il se fait couche couche panier par lui montrant un joli parallĂšle avec l'abus que subit Angel par Valentino. Vu qu'on voit qu'Husk est terrifiĂ© par lui ! Bien que le fait qu'il ait gardĂ© Husk en vie pourrait ĂȘtre l'erreur d'Alastor si Husk rĂ©ussit Ă  trouver un moyen de se libĂ©rer.
If Alastor didn't use Husk in his radio appearances to broadcast his murders, it must have been because he needed a minion or found Husk amusing. Although Husk seems to suspect something about Alastor's schemes, he is put down by him, drawing a nice parallel with Valentino's abuse of Angel. Since we can see that Husk is terrified of him! Although the fact that he's kept Husk alive could be Alastor's mistake if Husk manages to find a way to free himself.
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jpbjazz · 4 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
LIONEL HAMPTON, ROI DU VIBRAPHONE "Playing is my way of thinking, talking, communicating. I've always been crazy about playing. Every day I look forward to getting with my instruments, trying new things. Playing gives me as much good feeling now as it did when I was a bitty kid. I think I love it more as I get older because I keep getting better on drums, vibes and piano."
- Lionel Hampton
NĂ© le 20 avril 1908 Ă  Louisville, au Kentucky, Lionel Hampton avait étĂ© Ă©levĂ© par sa mĂšre Gertrude. Il n’avait presque pas connu son pĂšre, Charles Hampton, un pianiste et chanteur prometteur qui avait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© mort sur le champ de bataille aprĂšs avoir Ă©tĂ© portĂ© disparu pendant la PremiĂšre Guerre mondiale.
Peu aprĂšs sa naissance, Hampton Ă©tait dĂ©mĂ©nagĂ© avec sa mĂšre dans sa ville natale de Birmingham, en Alabama, mais il avait surtout grandi Ă  Kenosha, au Wisconsin. Hampton avait frĂ©quentĂ© la Holy Rosary Academy, situĂ©e prĂšs de Kenosha, oĂč une soeur dominicaine lui avait donnĂ© ses premiĂšres leçons de batterie. La famille Hampton est dĂ©mĂ©nagĂ©e à Chicago en 1916. Pendant sa jeunesse, Lionel avait Ă©tĂ© membre du Bud Billiken Club, un club rival des Scouts.
Hampton Ă©tait adolescent lorsqu’il avait commencĂ© Ă  jouer de la batterie. Il avait aussi pris des cours de xylophone de Jimmy Bertrandt. ÉlevĂ© dans la religion catholique, Lionel avait commencĂ© Ă  jouer du fifre (une sorte de flĂ»te traversiĂšre s’apparentant au piccolo) et de la batterie Ă  la Holy Rosary AcadĂ©mie situĂ©e prĂšs de Chicago. Il jouait Ă©galement du piano (avec seulement deux doigts), en plus de chanter Ă  l’occasion. DÉBUTS DE CARRIÈRE À l’ñge de quinze ans, Hampton venait tout juste de terminer ses Ă©tudes secondaires lorsqu’il Ă©tait parti Ă  Los Angeles pour aller jouer avec les Sharps and Flats de Red Spike. Avant son dĂ©part, sa grand-mĂšre lui avait fait promettre de continuer de rĂ©citer ses priĂšres Ă  chaque jour.
Hampton avait ensuite jouĂ© de la batterie pour le Chicago Defender Newboys’ Band dirigĂ© par le major N. Clark Smith. C’est lors de son sĂ©jour avec ce groupe que Lionel avait commencĂ© Ă  jouer du vibraphone et du marimba.
Pendant qu’il vivait Ă  Chicago, Hampton avait assistĂ© Ă  un concert de Louis Armstrong au Vendome. Hampton avait racontĂ© plus tard que le public Ă©tait devenu fou lorsque Armstrong avait fait son premier solo. Lionel s’était installĂ© en Californie en 1927, afin de jouer de la batterie avec les Dixieland Blues-Blowers.
Hampton avait fait ses dĂ©buts sur disque en 1929 avec les Quality Serenaders de Paul Howard. Il avait par la suite quitté Culver City afin de jouer de la batterie avec le groupe de Les Hite au Sebastian’s Cotton Club. L’une des marques de commerce de Hampton comme batteur Ă©tait son habiletĂ© Ă  jongler avec ses bĂątons sans jamais rater une mesure. C’est Ă  cette Ă©poque que Hampton avait commencĂ© Ă  jouer du vibraphone.
En 1930, Louis Armstrong s’était rendu en Californie et avait engagĂ© le groupe de Les Hite pour l’accompagner en concert et dans ses enregistrements. Un jour, Armstrong avait demandĂ© Ă  Hampton de jouer sur un vibraphone qui avait Ă©tĂ© oubliĂ© par inadvertance dans le studio. Hampton racontait: "Louis said, 'Do you know how to play it?' I said, 'Yeah, I can play it.' It had the same keyboard as the xylophone, and I was familiar with that."
Armstrong avait particfuliĂšrement Ă©tĂ© impressionnĂ© par le jeu de Hampton aprĂšs que celui-ci ait reproduit un de ses solos au vibraphone. C’est ainsi que la carriĂšre de vibraphoniste de Hampton avait dĂ©butĂ©. SurnommĂ© ‘’Hamp’’ et ‘’King of the Vibes’’, Hampton avait d’ailleurs enregistrĂ© avec Armstrong les deux premiers solos de vibraphone de l’histoire sur les piĂšces ‘’Memories of you’’ et ‘’Shine.’’ C’est ainsi que le vibraphone Ă©tait devenu le principal instrument de Hampton.
InventĂ© dix ans auparavant, le vibraphone Ă©tait essentiellement un xylophone pourvu de barres mĂ©talliques, d’une pĂ©dale et de rĂ©sonnateurs.
MĂȘme si Red Norvo est considĂ©rĂ© comme le premier musicien de jazz Ă  avoir jouĂ© du vibraphone, c’est Hampton qui lui avait donnĂ© ses lettres de noblesse en en faisant un instrument Ă  part entiĂšre, notamment dans les plus petites formations.
Tout en travaillant avec le groupe de Les Hite, Hampton collaborait à l’occasion avec l’orchestre de Nat Shilkret.
Au dĂ©but des annĂ©es 1930, Hampton Ă©tait allĂ© Ă©tudier la musique Ă  l’University of Southern California (USC), mĂȘme s’il ne semble pas que ce sĂ©jour se soit Ă©tendu sur une longue pĂ©riode. Hampton avait payĂ© ses Ă©tudes en travaillant comme barman.
Hampton avait formé son propre orchestre en 1934. Deux ans plus tard, Hamptin avait joué dans le film de Bing Cosby ‘’Pennies From Heaven’’ aux cĂŽtĂ©s de Louis Armstrong (dans une de ses scĂšnes, il jouait de la batterie tout en portant un masque).
En novembre 1936, l’orchestre de Benny Goodman Ă©tait venu Ă  Los Angeles pour jouer au Palomar Ballroom. Lorsque le producteur John Hammond avait emmenĂ© Goodman Ă  un des concerts d’Hampton, il avait Ă©tĂ© tellement impressionnĂ© qu’il avait invitĂ© le vibraphoniste Ă  se joindre Ă  son trio formĂ© du pianiste Teddy Wilson et du batteur Gene Krupa. En fait, le trio et le quartet de Goodman avaient fait partie des premiers groupes de jazz mixtes de l’histoire. Hampton expliquait: "Working with Benny was important for me and for black musicians in general. Black and white players hadn't appeared together in public before Teddy Wilson and I began working with B.G. I feel honored to have been a part of that dramatic change."
Avec Goodman, Hampton avait enregistrĂ© de grands classiques comme ‘’Dinah’’, ‘’Moonglow’’ ‘’My Last Affair’’ et ‘’Exactly Like You.’’ Durant son sĂ©jour de prĂšs de quatre ans avec Goodman, Hampton Ă©tait devenu une vĂ©ritable institution dans le monde du jazz en raison de sa vivacitĂ© de bout-en-train, de son charisme communicatif, de sa personalitĂ© colorĂ©e et de ses idĂ©es novatrices. Hampton avait mĂȘme temporairement remplacĂ© Gene Krupa comme batteur lorsque celui-ci avait quittĂ© le groupe en 1938.
Hampton était demeuré assez longtemps avec Goodman pour participer au célÚbre concert de Carnegie Hall en 1938, et pour faire partie du nouveau sextet du clarinettiste avec le pionnier de la guitare électrique Charlie Christian.
De 1937 Ă  1939, Hampton avait dirigé une sĂ©rie de sessions avec de grandes vedettes du jazz comme Coleman Hawkins, Benny Carter, Nat Cole, Cootie Williams, Harry James, Red Allen, Ben Webster, Dizzy Gillespie et Charlie Christian. Les enregistrements rĂ©alisĂ©s sous sa direction sont aujourd’hui devenus des classiques du jazz. Sur ces enregistrements, Hampton jouait surtout du vibraphone, mais aussi du piano et de la batterie. Ces enregistrements avaient aussi permis de dĂ©montrer que malgrĂ© son tempĂ©rament extraverti, Hampton pouvait interprĂ©ter des balades avec sensibilitĂ© et dĂ©licatesse.
Pendant qu’Hampton travaillait avec Goodman Ă  New York, il avait fait des enregistrements avec plusieurs petits groupes connus sous l’appellation gĂ©nĂ©rique de Lionel Hampton Orchestra. Il avait Ă©galement collaborĂ© avec de petites formations crĂ©Ă©es à mĂȘme l’orchestre de Goodman.
En 1940, Hampton avait finalement dĂ©cidĂ© de quitter Goodman afin de former son propre groupe. L’orchestre de Hampton comprenait alors de futurs grands noms du jazz comme Wes Montgomery, Clifford Brown, Art Farmer, Charles Mingus, Dexter Gordon, Quincy Jones, Jimmy Cleveland et Cat Anderson. On retrouvait au chant Joe Williams, Dinah Washington, Betty Carter et Aretha Franklin.
Parmi les musiciens de l’orchestre de Hampton, certains s’étaient particuliĂšrement distinguĂ©s. Le guitariste Billy Mackel s’était joint Ă  l’orchestre en 1944 et avait continué de jouer et d’enregistrer avec Hampton presque sans interruption jusqu’à la fin des annĂ©es 1970.
Le nouvel orchestre n’avait d’ailleurs pas tardĂ© Ă  s’établir comme une formation majeure durant les annĂ©es 1940 et le dĂ©but des annĂ©es 1950. Le troisiĂšme enregistrement de l’orchestre en 1942 contenait une version de ‘’Flying Home’’ dans laquelle le saxophoniste Illinois Jacquet jouait un solo qui annonçait le futur Rhythm & blues. MĂȘme si Hampton avait dĂ©jĂ  enregistrĂ© ‘’Flying Home’’ sous son propre nom avec une petite formation en 1940 pour les disques Victor, sa version la plus connue Ă©tait celle qu’il avait enregistrĂ©e avec son big band sur Ă©tiquette Decca le 26 mai 1942, sur un arrangement du pianiste Milt Buckner. De fait, l’enregistrement sur 78-tours avait connu un tel succĂšs qu’il avait incitĂ© Hampton Ă  enregistrer une nouvelle version de la piĂšce en 1944, cette fois avec Arnett Cobb comme soliste. Parmi les autres succĂšs du groupe dans les annĂ©es 1940, on remarquait ‘’Hamp’s Boogie Woogie’’, ‘’Midnight Sun’’, ‘’Million Dollar Smile’’ et ‘’Central Avenue Breakdown.’’
En 1947, Hampton avait interprĂ©tĂ© le standard ‘’Stardust’’ lors d’un concert ‘’Just Jazz’’ organisĂ© par le producteur Gene Norman, et qui mettait aussi en vedette le chanteur Charlie Shavers et le contrebassiste Slam Stewart. Le spectacle avait plus tard Ă©tĂ© mis en marchĂ© par les disques Decca. Plus tard, l’étiquette de Norman, les disques GNP, avaient rendu publiques les autres piĂšces du concert.
Lionel Hampton n’était pas demeurĂ© insensible au dĂ©veloppement du bebop. Contrairement Ă  certains musiciens plus traditionalistes, il avait tentĂ© de se faire un alliĂ© du nouveau mouvement en intĂ©grant les influences bebop Ă  certains de ses arrangements. Cependant, le naturel Ă©tait vite revenu au galop, et Hampton Ă©tait retournĂ© Ă  son ancien style axĂ© sur le rhythm n’ blues dans les annĂ©es 1950.
C’est aussi durant les annĂ©es 1950 que Hampton avait rĂ©alisĂ© deux de ses plus cĂ©lĂšbres enregistrements, ‘’September in the Rain’’ (1953) et ‘’Stardust’’ (1955), sur lesquels on pouvait retrouver certains de ses meilleurs solos. LA MATURITÉ Hampton Ă©tait aussi un participant rĂ©gulier aux concerts de la Cavalcade of Jazz qui Ă©taient organisĂ©s annuellement au stade Wrigley Field de Los Angeles, et qui Ă©taient produits par Leon Hefflin Sr.
Hampton avait participĂ© pour la premiĂšre fois Ă  la Cavalcade lors de la seconde prĂ©sentation de l’évĂ©nement tenue le 12 octobre 1946, qui mettait Ă©galement en vedette Jack McVea, Slim Gaillard, T-Bone Walker, the Honeydrippers et Louis Armstrong. La cinquiĂšme Ă©dition de la Cavalcade avait Ă©tĂ© tenue en deux temps. Un premier concert avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă  Wrigley Field le 10 juillet 1949, tandis que le second avait eu lieu le 3 septembre de la mĂȘme annĂ©e au Lane Field de San Diego. Betty Carter, Jimmy Witherspoon, Buddy Banks, Smiley Turner et Big Jay McNeely avaient accompagné Hampton pour l’occasion.
Le 25 juin 1950, la participation de Hampton Ă  la 6e Cavalcade du Jazz avait failli tourner Ă  l’émeute. Hampton Ă©tait en train de parader sur le terrain avec son orchestre en jouant la piĂšce ‘’Flying High’’ lorsque l’assistance, estimĂ©e Ă  environ 14 000 personnes, Ă©tait devenue incontrĂŽlable, et s’était mise Ă  lancer toutes sortes d’objets dans le stade. Dinah Washington, Roy Milton, PeeWee Crayton, Lillie Greenwood, Tiny Davis and Her Hell Divers participaient Ă©galement au concert. Hampton avait pris part Ă  sa derniĂšre Cavalcade du Jazz le 24 juillet 1955 lors de la 11e Ă©dition de l’évĂ©nement qui mettait en vedette Big Jay McNeely, The Medallions, The Penguins et James Moody.
Du milieu des annĂ©es 1940 jusqu’au dĂ©but des annĂ©es 1950, Hampton avait dirigé un groupe de rhythm n’ blues dont les enregistrements mettaient en vedette de nombreux jeunes musiciens qui avaient eu plus tard des carriĂšres significatives. On remarquait parmi ceux-ci le contrebassiste Charles Mingus, le saxophoniste Johnny Griffin, le guitariste Wes Montgomery, la chanteuse Dinah Washington et le chanteur ‘’Little’’ Jimmy Scott. On retrouvait aussi dans le groupe des musiciens Ă©tablis comme Dizzy Gillespie, Cat Anderson, Kenny Dorham, Snooky Young, Jimmy Cleveland, Jerome Richardson et Curtis Lowe. En 1953, l’orchestre de Lionel Hampton Ă©tait parti en tournĂ©e en Europe. Le groupe comprenait Ă  l’époque Clifford Brown, Gigi Gryce, Anthony Ortega, Mont Montgomery, George Wallington, Art Farmer, Quincy Jones et la chanteuse Annie Ross.
Hampton avait continuĂ© d’enregistrer avec de petits groupes et de participer Ă  des jam sessions durant les annĂ©es 1940 et 1950, notamment avec Oscar Peterson, Buddy DeFranco et plusieurs autres. En 1955, pendant qu’il se trouvait en Californie pour le tournage du film ‘’The Benny Goodman Story’’, Hampton avait enregistré avec Stan Getz. Il avait aussi fait deux albums avec Art Tatum. En 1968, Hampton s’était produit avec Louis Armstrong et la chanteuse italienne Lara Saint-Paul au Sanremo Music Festival en Italie. Le concert avait causĂ© toute une sensation auprĂšs du public italien et s’était terminĂ© sur une jam session. La mĂȘme annĂ©e, Hampton avait Ă©té dĂ©corĂ© par le pape Paul VI.
DERNIÈRES ANNÉES ET DÉCÈS
Dans les annĂ©es 1960, Hampton avait dĂ©cidé de lancer sa propre maison de disques (il en avait fondé une seconde en 1977-78). Il avait Ă©galement fait de longues tournĂ©es en Europe, en Afrique, au Japon et dans les Philippines. À l’époque, Hampton vivait sur sa rĂ©putation et avait cessĂ© depuis longtemps de se renouveler. Hampton s’était concentré sur les valeurs sĂ»res et se contentait de jouer ce qui avait fait son succĂšs au dĂ©but de sa carriĂšre. Hampton avait Ă©galement participĂ© Ă  de nombreuses rĂ©unions avec le quartet de Benny Goodman, plus particuliĂšrement en 1973 lors du Festival de jazz de Newport, quelques mois avant la mort de Gene Krupa.
À partir de fĂ©vrier 1984, Hampton avait commencĂ© Ă  se produire au festival de jazz annuel de l’UniversitĂ© de l’Idaho. Ce dernier avait d’ailleurs Ă©tĂ© rebaptisĂ© le Lionel Hampton Jazz Festival l’annĂ©e suivante. En 1987, l’école de musique de l’UniversitĂ© de l’Idaho avait Ă©tĂ© renommĂ©e École de musique Lionel Hampton. C’était la premiĂšre fois qu’un musicien de jazz se mĂ©ritait un tel honneur. Durant la majeure partie des annĂ©es 1980, l’orchestre de Hampton Ă©tait formĂ© de Thomas Chapin, Paul Jeffrey, Frankie Dunlop, Arvell Shaw, John Colianni, Oliver Jackson et George Duvivier.
En janvier 1997, mĂȘme si un incendie qui s’était dĂ©clarĂ© dans son appartement avait dĂ©truit ses trophĂ©es et la plus grande partie de ses biens, Hampton s’en Ă©tait miraculeusement tirĂ© indemne.
VĂ©ritable force de la nature, Hampton attirait toujours des salles combles Ă  travers le monde jusqu’à ce qu’une attaque survenue Ă  la salle Bobino de Paris en 1991 l’empĂȘche de terminer un concert. Cet incident, conjuguĂ© Ă  des annĂ©es d’arthrite chronique, l’avait contraint Ă  rĂ©duire considĂ©rablement le nombre de ses performances. ConfinĂ© dans un fauteuil roulant depuis 1995, Hampton avait cependant continuĂ© de donner des concerts. Le gĂ©rant du marketing Jim Catalano se rappelait avoir vu Hampton jouer en 2001 au Lionel Hampton Jazz Festival de Moscow, en Idaho. Catalano avait dĂ©clarĂ©: "What an event. Several thousand kids participate and they bring in the top jazz artists from around the world to perform. Even at the age of 93, Lionel was able to play his famous 'Midnight Sun' along with his jazz orchestra."
Hampton avait présenté son dernier concert au Smithsonian National Museum of America History en 2001, quelques mois avant sa mort.
Lionel Hampton est mort le 21 aoĂ»t 2002 au Mount Sinai Hospital de New York, Ă  la suite d’une attaque cardiaque. Il Ă©tait ĂągĂ© de quatre-vint-quartorze ans. Hampton a Ă©té inhumĂ© au Woodlawn Cemetery, dans le Bronx. Ses funĂ©railles ont eu lieu le 7 septembre 2002, et comprenaient une performance de Wynton Marsalis et du Gully Low Jazz Band de David Ostwald Ă  l’église Riverside de Manhattan. La procession funĂ©raire avait dĂ©butĂ© devant le mythique Cotton Club de Harlem.
Le 11 novembre 1936, Hampton avait Ă©pousĂ© Gladys Riddle Ă  Yuma, en Arizona. Excellente femme d’affaires, Gladys avait Ă©tĂ© la gĂ©rante de Hampton durant la majeure partie de sa carriĂšre. Plusieurs musiciens se plaisaient Ă  dĂ©clarer que si Hampton dirigeait la musique, c’était Gladys qui gĂ©rait les affaires. Gladys est dĂ©cĂ©dĂ©e en 1977. Le couple n’avait pas eu d’enfants.
POSTÉRITÉ
Dans les annĂ©es 1950, Hampton avait dĂ©veloppĂ© un grand intĂ©rĂȘt pour le judaĂŻsme et avait commencĂ© Ă  recueillir des fonds pour IsraĂ«l. En 1953, Hampton avait composé une suite en l’honneur du roi David qu’il avait prĂ©sentĂ©e par la suite en IsraĂ«l avec le Boston Pops Orchestra. Plus tard, Hampton Ă©tait devenu membre de l’Église de Scientologie. Il Ă©tait Ă©galement membre des Francs-maçons.
DotĂ© d’une trĂšs grande conscience sociale, Hampton avait fondĂ© la Lionel Hampton Development Corporation, une organisation qui avait pour but de favoriser la construction de logements sociaux pour les dĂ©munis. Les premiers projets de construction de la corporation avaient Ă©tĂ© lancĂ©s dans les annĂ©es 1960 avec l’érection des Lionel Hampton Houses Ă  Harlem. Le projet avait Ă©tĂ© rendu possible grĂące au soutien du gouverneur rĂ©publicain Nelson Rockfeller. L’épouse de Lionel, Gladys, Ă©tait Ă©galement impliquĂ©e dans des projets de construction Ă  son propre nom, les Gladys Hampton Houses. Dans les annĂ©es 1980, Hampton avait dĂ©veloppĂ© un autre projet de construction Ă  Newark, au New Jersey, sous le nom de Hampton Hills.
Opposé à la ségrégation raciale, Hampton était aussi un grand défenseur de Nelson Mandela et de Malcolm X.
RĂ©publicain convaincu, Hampton avait Ă©tĂ© Ă©lu comme Ă©lu comme dĂ©lĂ©guĂ© dans plusieurs conventions du parti. Il avait aussi Ă©tĂ© vice-prĂ©sident du New York Republican County Committee durant plusieurs annĂ©es. Il Ă©tait Ă©galement membre de la New York City Human Rights Commission. Hampton avait aussi Ă©tĂ© directeur des ÉvĂ©nements spĂ©ciaux lors de la campagne de rĂ©Ă©lection du prĂ©sident Gerald Ford en 1976. Au cours de sa vie, Hampton a fait don d’environ 300 000$ au Parti rĂ©publicain. En 1996, Hampton avait finalement dĂ©cidĂ© d’appuyer la candidature dĂ©mocrate de Bill Clinton et d’Al Gore, en ajoutant que s’il avait appuyĂ© les RĂ©publicains jusque-lĂ , c’était parce que c’était le parti d’Abraham Lincoln, mais que celui-ci ne reprĂ©sentait plus les modĂ©rĂ©s comme lui depuis longtemps.
L’implication politique de Hampton ne datait pas d’hier. Dans les annĂ©es 1960, le prĂ©sident Dwight Eisenhower l’avait nommĂ© ambassadeur de bonne volontĂ© dans le cadre de ses tourn.es autour du monde. Dans les annĂ©es 1990, le prĂ©sident George Bush l’avait nommĂ© Ă  la direction du Kennedy Center.
Lionel Hampton a remportĂ© de nombreux honneurs au cours de sa longue carriĂšre. LaurĂ©at d’un Grammy Lifetime Achievement Award remis Ă  titre posthume en 2001, il avait également obtenu un Harlem Jazz and Music Festival’s Legend Award en 1996. La mĂȘme annĂ©e, Hampton avait Ă©té admis Ă  l’International Jazz Hall of Fame. En 2002, le Kentucky Music Hall of Fame lui avait remis le Governor’s Lifetime Achievement Award.
Hampton a obtenu quinze doctorats honorifiques de diffĂ©rentes universitĂ©s Ă  travers le monde, dont trois doctorats en musique de l’UniversitĂ© Harvard (1978), de l’University of Southern California (1983) et du New England Conservatory of Music (1993).
Lionel Hampton a Ă©galement une Ă©toile sur le Hollywood Walk of Fame depuis 1981. Il a Ă©tĂ© intronisĂ© au sein du Jazz Hall of Fame Award en 1984. LaurĂ©at d’un Hall of Fame Award de la National Association of Jazz Educators en 1987, la carriĂšre de Hampton avait Ă©tĂ© couronnĂ©e par la remise d’un National Endowment for the Arts Jazz Masters Fellowship en 1988. Admis au Alabama Jazz Hall of Fame en 1992, Hampton a Ă©galement Ă©tĂ© Ă©lu commissaire honoraire des Droits civiques en 1995. La mĂȘme annĂ©e, le prĂ©sident Bill Clinton lui avait dĂ©cernĂ© la National Medal of Arts. L’un des vibraphones de Lionel Hampton fait aujourd’hui partie de la collection du MusĂ©e National d'Histoire AmĂ©ricain.
Lorsqu’on demandait Ă  Hampton quelle Ă©tait sa philosophie musicale, il dĂ©clarait simplement: "Playing is my way of thinking, talking, communicating. I've always been crazy about playing. Every day I look forward to getting with my instruments, trying new things. Playing gives me as much good feeling now as it did when I was a bitty kid. I think I love it more as I get older because I keep getting better on drums, vibes and piano."
Lionel Hampton a composĂ© plus de 200 piĂšces au cours de sa carriĂšre, que ce soit Ă  titre de compositeur ou d’arrangeur. Hampton a aussi influencĂ© plusieurs musiciens de jazz. Le vibaphoniste Milt Jackson du Modern Jazz Quartet avait dĂ©clarĂ© Ă  son sujet: "Lionel Hampton inspired me to play the vibraphone. He was the first one of note to play it, but more important, I liked how dynamic he was. And the way he blended with groups and the way he played in front of a band were inspirational." Quant au vibrationiste Gary Burton, il affirmait: "I always think of Hamp as the guy who really got us established.’’ Dans une autre entrevue, Burton avait prĂ©cisĂ©:
"I saw Hampton when I was about 12 years old. He was playing at the Evansville (Indiana) Armory for a dance. Since I couldn't go in the evening when they would be serving alcohol, my father took me down there in the afternoon, thinking we might run into the band. Sure enough, they were doing a soundcheck and setup. My father told Hamp that I played the vibraphone, and Hamp was really gracious. He asked me to play, so I played a standard tune or blues in F or whatever, and Hamp had the band join in and play with me."
© 2023-2024, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de l’Imaginaire historique. SOURCES: ‘’Lionel Hampton.’’ Wikipedia, 2022. ‘’Lionel Hampton, American Musician.’’ Encyclopaedia Britannica, 2023. MATTINGLY, Rick. ‘’Lionel Hampton.’’ Encyclopedia Universalis, 2023.
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photon1963 · 1 year ago
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Le sous-fifre sous-titre par contrepet explicite - les lieux (communs) qui disent
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Édouard Philippe ou "L'ard philou d'Ă©dippe" - c'est pas lui qui couche avec sa mĂšre pourtant!
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musique-electronique · 6 months ago
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WAP came out 15 years ago today! We are thinking of Philippe Zdar on this special occasion. We love you Fifre! ➭ đŸŽ„: wearephoenix
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nvminnd · 2 years ago
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Je me suis pas mal demandĂ© pourquoi Loth traite si mal Galessin alors qu'il est loin d'ĂȘtre le plus branquignol
Du coup j'ai une thĂ©orie/analyse Ă  vous proposer ☕
Et si Loth Ă©tait parfaitement conscient du potentiel de Galessin, et qu'il faisait exprĂšs de lui rentrer dans le crĂąne qu'il est le dernier des dĂ©biles, pour briser toute confiance qu'il pourrait avoir en lui-mĂȘme ?
Comme le fait remarquer le subconscient d'Arthur dans je sais plus quel épisode, à force de répéter à quelqu'un qu'il est nul/débile/incompétant/incapable, la personne finit souvent par le croire.
Loth attribue alors toutes sortes d'adjectifs rarement justifiés à Galessin, pour qu'il finisse par se persuader qu'il est effictivement cette personne qui n'a pas inventé le plat de la main morte.
Et si rabaisser Galessin était un moyen pour Loth de s'assurer qu'il reste de son cÎté, pour briser son vrai potentiel et en faire un simple sous-fifre qui ne se sent pas suffisement capable pour s'extirper de son train de vie de noix de saint jacques ?
Surtout que les remarques de Galessin sont souvent assez pertinentes, je pense par exemple Ă  sa fameuse mĂ©taphore avec le fromage gratinĂ©, elle est bien plus censĂ©e que toutes les citations approximatives de Loth. Ça ne serait alors pas surprenant que Loth cherche surtout Ă  le rabaisser pour ĂȘtre certain de ne pas se faire surpasser, ou pire, renversĂ©. (Ça me fait un peu penser Ă  Regina et Gretchen dans Mean Girls đŸ€·â€â™€ïž)
À force, Galessin devient totallement apathique, n'a plus aucune volontĂ© de se dĂ©fendre, parce qu'Ă  quoi bon ? Tout ce qu'il veut, c'est Ă©viter une nouvelle humiliation, et pour ce faire, il obĂ©it sans broncher...
La relation Loth/Galessin serait l'inverse de celle d'Arthur et Perceval, dans le sens oĂč Loth est face Ă  quelqu'un de pas trop mauvais qu'il rabaisse pour le garder prĂšs de lui, alors qu'Arthur est face Ă  quelqu'un de moins dĂ©brouillard, mais qu'il cherche Ă  tirer vers le haut pour finallement s'Ă©manciper.
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gerceval · 2 years ago
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Le Choix - chapitre 5
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre aprĂšs chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
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GueniĂšvre n'avait pas eu le temps de retirer sa main de la joue d'Arthur et la voix tonitruante de LĂ©odagan retentit dans le couloir.
- Non mais ça va bien oh ? Qu'est-ce que vous croyez que vous ĂȘtes en train de faire espĂšce de grand trou de balle !
Arthur se retourna vers lui, interdit, tandis que Léodagan continuait sa tirade outragée.
- Vous croyez que vous pouvez vous en tirer comme ça à susurrer des mots doux à ma fille ? Elle est reine de Bretagne la petite je vous signale, vous comprenez ce que ça veut dire ? Alors je vous vois venir avec votre yeux bleus larmoyants et votre mÚche là, mais elle a pas l'intention de bécoter un sous-fifre c'est moi qui vous le dis - ou alors l'intention va vite lui passer, et c'est moi qui vais m'en charger, j'espÚre que je me fais bien comprendre !
Arthur n'avait pas eu le temps d'en placer une. Il avait parlĂ© plus vite que sa pensĂ©e quand GueniĂšvre l'avait pris pour Lancelot et qu'il avait rĂ©pondu sans la dĂ©tromper. Et maintenant, il devait faire face aux consĂ©quences bien pourraves de son manque de rĂ©flexion. Comment allait-il bien pouvoir se tirer de ce mauvais pas ? Avant qu'il ne puisse rĂ©agir, GueniĂšvre avait eu ce lĂ©ger basculement en arriĂšre qu'elle avait quand elle Ă©tait sur le point de rĂ©pliquer et de faire entendre ce qu’elle avait en tĂȘte sans se laisser intimider.
- Non mais dites pĂšre, je ne vous permets pas !
- Vous, occupez-vous de vos miches !
- Mais justement, je suis bien assez grande pour m'occuper de mes miches toute seule !
- Ah ne commencez pas hein, parce que la réprimande paternelle elle peut partir !
À la menace de LĂ©odagan, le sang d’Arthur ne fit qu’un tour.
- Eh oh, c’est vous qui allez vous calmer ou vous voulez que je m’en occupe ?
LĂ©odagan le toisa calmement, l'Ɠil lĂ©gĂšrement pĂ©tillant comme s'il avait attendu la remarque de trop avec impatience, et lui colla un bourre-pif monumental sans se laisser dĂ©monter.
- PĂšre !
- Nan mais ça va pas la tĂȘte !
- Ah mais si vous croyez que je vous ai pas vu tourner autour de la reine depuis tout ce temps ! Alors mon bonhomme si vous croyez que vous pouvez vous adresser au roi de Carmélide comme ça en plus d'essayer de tripoter la reine de Bretagne il va falloir vous remettre les idées en place vitesse grand V !
Arthur avait porté sa main à son nez, et commençait déjà à sentir le sang couler légÚrement.
- Seigneur Lancelot de mes deux, marmonna LĂ©odagan, manifestement satisfait de son petit effet.
Mais Arthur n'avait pas l'intention d'en rester lĂ . En essayant d'Ă©pargner son nez, il assĂ©na un coup de tĂȘte Ă  LĂ©odagan qui se voulait monumental. Au lieu de quoi, ayant eu un peu de mal Ă  jauger sa propre taille, il ne se pencha pas tout Ă  fait assez pour atteindre l'endroit de la tĂȘte de LĂ©odagan qu'il visait, et Ă©crasa Ă  nouveau son nez endolori contre le visage de son adversaire. LĂ©odagan laissa Ă©chapper un grognement qui ne fut pas sans dĂ©plaire Ă  Arthur, mais ce dernier geignit encore plus fort. Sans perdre une seconde, LĂ©odagan empoigna Arthur. Les coups se mirent Ă  pleuvoir de part et d’autre, rythmĂ©s par les cris de GueniĂšvre qui essayait dĂ©sespĂ©rĂ©ment de les sĂ©parer.
Arthur, dĂ©sĂ©quilibrĂ© par ce grand corps qu’il ne connaissait pas encore, ne rĂ©sista pas Ă  la tentative de LĂ©odagan pour le faire tomber, mais parvint Ă  l’emporter dans sa chute, et les deux hommes finirent par tenter de s’assĂ©ner coups de poings et coups de genoux mutuellement sur les dalles froides du couloir. Au bout de quelques minutes d’un pugilat somme toute ridicule, GueniĂšvre cessa ses efforts pour interrompre leur empoignade et se barra purement et simplement. Cela fit Ă  Arthur l’effet d’une douche froide. En effet, ça ne ressemblait Ă  rien. LĂ©odagan parut reprendre ses esprits exactement de la mĂȘme maniĂšre, et les coups s’arrĂȘtĂšrent. Les deux hommes se relevĂšrent, un peu honteux mais toujours pleins d’un orgueil viril. En s’époussetant, LĂ©odagan entreprit d’enterrer la hache de guerre.
- Scusez seigneur Lancelot, c’est pourtant pas pour la loyautĂ© que je porte Ă  mon gendre

Bon Ă  savoir, se dit Arthur dans un coin de sa tĂȘte.
- Mais enfin, vous savez comment c’est, on n’a pas envie que ses enfants se fourrent dans des bourbiers sentimentaux

- Nan mais je comprends, je comprends, c’est tout à votre honneur.
- Ah mais ne recommencez pas seigneur Lancelot, vous savez trùs bien que vous gonflez tout le monde avec vos histoires d’honneur et aprùs il suffit de se lever la nuit pour aller pisser et on vous voit en train de
 Pardon, ça me reprend.
Arthur ne répondit pas cette fois.
- Bon, ben sur ce ! Pas que ça m’ait beaucoup fatiguĂ© de vous latter mais enfin quand mĂȘme je suis plus de premiĂšre jeunesse, je retourne au plumard. Passez une bonne nuit seigneur Lancelot, et que je vous prenne pas Ă  rĂŽder autour de la chambre de ma fille, ajouta-t-il sur un ton de plaisanterie qui masquait Ă  peine la menace.
- Bonne nuit Ă  vous, rĂ©pondit laconiquement Arthur, trop occupĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  la tĂȘte en vrac qu’il devait Ă  voir, et Ă  ce Ă  quoi le reste de sa nuit allait ressembler.
Tandis que LĂ©odagan s’éloignait en direction de sa chambre, Arthur resta pensif. Sa conversation avec GueniĂšvre avait ouvert plus de questions qu’elle n’avait apportĂ© de rĂ©ponses ; pour autant, il ne pouvait pas se permettre d’aller la retrouver dans sa chambre sans crier gare. Un frisson le traversa – le froid du couloir commençait Ă  se faire glacial.
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godmodebeginswithlesbians · 2 years ago
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"ooough the fifre ebmlem character better nof win this competition" votes for a dnd podcast character
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dixvinsblog · 5 months ago
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LĂ -haut - Julien Schricke
Contester, infirmer les faits,Rejeter, enrayer les fautes ;Il y aura sans cesse un « mais »,Au sein des sphĂšres les plus hautes. Au piton, suprĂȘme niveau,Les Ă©minents esprits s’échauffent ;Une boucherie, un flĂ©au,Les dĂ©itĂ©s s’insurgent, sauf
 Oui, lui, l’autre lĂ , le laquais,Le sous-fifre, seul, Ă  l’écart,Oyant les pontes gras, Ă©pais,Se gondole, se plie, se marre. Arlequinade et

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dernierblog · 5 months ago
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Sidekick
Je m’aperçois que je n’ai rien publiĂ© depuis plus d’un mois. Ce n’est pas que je ne dessine pas, c’est juste que je n’y pensais pas. D’un autre cĂŽtĂ© je n’ai pas non plus un Ă©norme public, mis Ă  part toi qui me lis maintenant. Alors, oĂč en sommes-nous ? Eh bien, le mot numĂ©ro 14 est sidekick. Je ne connaissais pas, d’aprĂšs google ça veut dire acolyte, ami, copain, mais aussi sous-fifre. Un

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triste-guillotine · 7 months ago
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STILLE VOLK "La PĂšira Negra" CD 2014
1. Dementis Maudiçon 2. Sous l'oeil de la Lune 3. L'Ă©veil du Spectre 4. La PĂšira Negra 5. La Litanie du PĂ©trifiĂ© 6. La ForĂȘt Gorgone 7. Heaume de Lichen 8. En Occulz 9. Come to the Sabbath (Mercyful Fate cover)
"Je danse par dessous la chaste lune Je quitte la lande au sein de la nuit Festoirie magique, danserie nocturne Les pas me guident, la raison me fuit
Cérémonie nocturne Je perds tous mes sens dans ce délire immense Danse sous la lune
Les arbres répondent à mes rires Je parcours le monde enflammé au sein de ces instruments de délire qui me déhanchent comme un damné
L’amanite m’interroge en ricanant Je lui rĂ©ponds sans vergogne aucune Elle se glisse lentement vers le manant que je suis dans son royaume nocturne
Dans ce monde de mousse et de parques les Ă©tangs sont vivants et mystĂ©rieux les crapauds m’invitent sur la barque doucement me fixent de leurs yeux doux
Il m’invite Ă  pĂ©nĂ©trer son esprit fait de chasses et de dĂ©lires Il me fredonne Ă  l’oreille et me prie de lui avouer mes secrets et mes rĂȘves
Les violons maudits se dĂ©chaĂźnent et se mĂȘlent aux fifres dĂ©tonants Les mĂ©lopĂ©es du dĂ©lire se promĂšnent m’apaisant par cette nuit dĂ©mente"
La PĂšira Negra | Stille Volk (bandcamp.com)
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lonesomemao · 7 months ago
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LE PAYS DANS LE CIEL
Pour MĂ©lenchon
Eichmann un sous-fifre
Pas com Sarkozy
Mais comme Gabriel Attal
Lobby juif pas état français
MĂ©lenchon en butte au blond
L'art pour l'art
Il lui faut du rentre dedans
Haine installée combattue
Par l'intelligence du cul
Ludwig roi fou de BaviĂšre
Protecteur de Wagner
Par un saint-empire germanique
Poutine qui est germanophile
Koenisberg
Il peut faire semblant de reculer
Oui mai ça flamboie
La Femme Allemande
Rappel MarlĂšne Femme Titane
Berlin Cabaret ça se refait
Dimanche 28 avril 2024
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observatoiredumensonge · 8 months ago
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« Nous sommes en guerre » contre la Russie ?
Ânonner, lire bĂȘtement un discours, sans rien comprendre, c’est tout ce dont ils sont tous capables. Par Nanouche Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face Ă  la dictature de la pensĂ©e unique.Cliquer ICI pour nous soutenir « Nous sommes en guerre » contre la Russie ? Vatenguerre et ses sous-fifres sont des fous. Il n’y a que ce mot pour les qualifier. Immatures

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eric2ews · 1 year ago
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Michel Onfray sur l'immigration : "L'Europe n'est pas débordée, l'Europe...
leurope de maastrcht les oppositions nos gouvernements aux ordres de l'OpenSociety du WEF de Soros des genocidaires des castrateurs avec des armees de LGBTQIA et autres migrants qui veulent nos decheances destructions et fin.. les Allemands partie du couple qui na jamais existe sous fifres des USA et nous sommes en voie de famine avant de nous controler totallement
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iamainhoa · 1 year ago
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Édouard Manet
El pífano (Le fifre) 1866El pífano (Le fifre) 1866 Impresionismo, Costumbrismo. Óleo sobre lienzo, 161 x 97 cm
Manet pintó El pĂ­fano influido por la manera de los retratos de VelĂĄzquez que habĂ­a admirado en el Museo del Prado de Madrid. En particular, le impresionó Pablo de Valladolid, un retrato de un bufĂłn de la Ă©poca de aspecto declamatorio y tenido por actor, donde desaparecen el fondo o cualquier objeto que sirva de referencia, excepto la propia sombra del personaje.​
Manet retrata a un personaje anĂłnimo, un adolescente, mĂșsico de la banda de la Guardia Imperial Española.
📍Museo de Orsay, París
⭐Favorite painting
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