#ferme de l'ouest
Explore tagged Tumblr posts
Text
Destinée Ensorcelée
Chapitre 6 : The Power
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Toutes les sorcières étaient profondément plongées dans un sommeil paisible, leurs visages illuminés par la lueur des flammes.
Soudain, un bruit étrange résonna dans la nuit, comme un chuchotement lointain mêlé à un souffle de vent. Lilia, les sens en alerte, ouvrit les yeux. Son cœur s'emballa alors qu'elle reconnaissait ce son. Les histoires de sa grand-mère lui revinrent en mémoire : les sorcières de Salem, réputées pour leur pouvoir et leur mystère, approchaient.
Elle se leva d'un bond, ses pieds nus glissant sur le sol froid. Les autres sorcières, dérangées par le tumulte, commencèrent à se réveiller, leurs expressions d'inquiétude se mêlant à la curiosité.
« Elles arrivent ! » cria Lilia, sa voix résonnant comme un écho dans la pièce sombre.
Les sorcières se redressèrent, échangeant des regards alarmés.
« Qu'est-ce que tu veux dire, Lilia ? » demanda Alice, la, en frottant ses yeux ensommeillés.
« Je l'ai entendu, je le sais ! Les sorcières de Salem sont là,» répondit Lilia, le souffle court, les yeux brillants d'une détermination nouvelle.
Les murmures commencèrent à circuler parmi les membres du coven, chacun réalisant la gravité de la situation.Ivana, avec un froncement de sourcils marqué, s'approcha du groupe, son regard perçant scrutant les visages inquiets de ses compagnes.
« Pourquoi êtes-vous toutes si tendues ? » demanda-t-elle, la voix empreinte d'une autorité naturelle.
Lilia, le cœur battant, prit une profonde inspiration avant de répondre. « C'est à cause d'Agatha. Les sorcières de Salem viennent pour se venger d'elle. » Son ton était grave, et l'atmosphère se chargea d'une tension palpable.
Les autres sorcières échangèrent des regards perplexes. « Venger d' Agatha ? Pourquoi ? » s'interrogea Lucillia, perplexe.
« Agatha a tué son coven, » expliqua Lilia, la voix tremblante. « Elle a laissé les enfants vivants, et maintenant, ces enfants sont là pour se venger. »
Juste à ce moment-là, une voix résonna, froide et calculatrice. C'était Agatha elle-même, qui venait d'entrer dans la salle, un sourire énigmatique sur les lèvres. « Moralité de l'histoire, mes chères, ne jamais avoir de clémence et toujours finir son travail, » dit-elle d'un ton presque amusé.
Les sorcières, figées par la surprise, ne purent que la regarder, l'angoisse se mêlant à la confusion.
« Alors, que faisons-nous maintenant ? » demanda Alice, une lueur d'inquiétude dans les yeux.
Agatha balaya la pièce du regard, son assurance évidente. « Allons, nous devons y aller. »
Les sorcières, hésitantes mais déterminées, se préparèrent à suivre Agatha, conscientes que le destin de leur coven était en jeu.Les sorcières couraient à travers la forêt, les arbres, hauts et sombres, semblaient se pencher sur leur passage, écoutant le murmure de leurs voix paniquées. La peur était palpable, chaque craquement de branche résonnant comme une menace.
« Nous ne pouvons pas échapper à ces sorcières ! » s'écria Jen, haletante, ses yeux écarquillés de terreur. Elle s'arrêta un instant, le souffle court, puis ajouta avec détermination : « Il faut qu'on s'envole ! »
Lilia, qui peinait à suivre le rythme, comprit immédiatement à quoi Jen faisait allusion. « Tu veux dire... sur un balai ? Non, hors de question ! » s'exclama-t-elle, une lueur de défi dans ses yeux. « C'est péjoratif ! »
Ivana, qui les observait avec un mélange d'incrédulité et de frustration, leva les yeux au ciel. « C'est une blague ? » dit-elle, sa voix tranchante comme une lame. « Je ne suis pas la méchante sorcière de l'Ouest pour monter sur un balai comme une gamine ! »
Agatha éclata de rire aux paroles d'Ivana, un son cristallin qui résonnait dans l'air tendu de la forêt. « Tu es sérieuse ? Tu ne vas pas vraiment refuser de monter sur un balai, n'est-ce pas ? » dit-elle en essuyant une larme de rire au coin de son œil.
Jen, impatiente et anxieuse, intervint : « Écoutez, on n'a pas le choix ! » Sa voix était ferme, mais une légère tremblement trahissait son inquiétude. « Si on veut échapper aux sorcières, il faut agir vite. »
À ce moment-là, un groupe de sorcières émergea des ombres des arbres, leurs visages déterminés. Elles prirent de gros morceaux de bois, des branches épaisses et noueuses, et commencèrent à les transformer en balais. Le bruit du bois craquant sous leurs mains était à la fois fascinant et terrifiant.Alice, qui observait la scène avec un sourire malicieux, se tourna vers Ivana. « Tu peux monter avec moi si tu veux, » proposa-t-elle, ses yeux pétillants d'excitation.
Ivana, d'abord hésitante, sentit une montée d'adrénaline. « Oui, pourquoi pas ! » répondit-elle, un sourire se dessinant sur son visage.
Elle n'avait jamais pensé qu'elle volerait sur un balai, mais la situation l'exigeait. Lilia, voyant la détermination d'Ivana, se tourna vers Lucillia.
« Et toi, tu veux monter avec moi ? » demanda-t-elle, pleine d'enthousiasme.
Lucillia hocha la tête avec un grand sourire. « Bien sûr, je ne vais pas rater ça ! » s'exclama-t-elle, impatiente de s'envoler.
Les sorcières, maintenant prêtes avec leurs balais improvisés, se regroupèrent, prêtes à affronter l'inconnu. L'excitation et la peur se mêlaient dans l'air, mais une chose était claire : elles allaient s'envoler ensemble, unies par leur courage et leur détermination.
Agatha observait la scène avec une moue contrariée. Elle n'aimait pas vraiment que Ivana monte avec Alice, mais elle garda le silence, serrant les poings pour ne pas laisser échapper ses pensées. Son regard se déplaçait entre les deux filles, une lueur de jalousie dans ses yeux, bien qu'elle ne veuille pas créer de tensions.
Lucillia, pleine d'assurance, se tourna vers Lili et posa ses mains sur ses hanches pour se stabiliser. « Prête à décoller ? » demanda-t-elle avec un sourire complice.
« Prête comme jamais ! » répondit Lilia, son cœur battant la chamade.
Les deux femmes échangèrent un regard complice, savourant ce moment d'amitié et d'excitation. La tension de l'instant était palpable, mais elles trouvaient du réconfort l'une dans l'autre. Alors que la tension montait, elles se préparèrent à s'envoler, prêtes à affronter l'inconnu ensemble. Ce moment partagé, cette complicité, rendait l'aventure d'autant plus précieuse.
☆○o。 。o○☆
Les sorcières avaient atterri avec grâce devant une imposante bâtisse, qui ne ressemblait pas vraiment à une maison ordinaire. En s'approchant, elles réalisèrent qu'il s'agissait plutôt d'un château majestueux, dont les tours s'élevaient vers le ciel, comme des doigts pointés vers le ciel.
Les murs étaient en pierre grise, marqués par le temps, et couverts de lierre verdoyant qui semblait vouloir les envelopper. De grandes fenêtres à vitraux colorés, représentant des scènes de magie ancienne, laissaient filtrer une lumière tamisée, créant des reflets dansants sur le sol pavé.
L'entrée principale était ornée d'une porte massive en chêne, sculptée de motifs mystiques et de runes anciennes. Les sorcières échangèrent un regard complice, sachant que cette porte marquait le début d'une nouvelle épreuve.
En poussant la porte, un grincement résonna dans l'air, révélant un hall d'entrée vaste et sombre. Les murs étaient décorés de tapisseries représentant des batailles épiques et des sorcières en plein vol, tandis que des chandeliers en fer forgé, suspendus au plafond, projetaient une lumière vacillante.
L'atmosphère était chargée de mystère, presque palpable. Un parfum d'herbes et de potions flottait dans l'air, évoquant les souvenirs de rituels passés. Au fond du hall, un grand escalier en colimaçon menait à des étages supérieurs, tandis qu'une porte en bois massif, ornée de symboles magiques, attirait leur attention.
Les sorcières savaient qu'elles étaient sur le point de découvrir des secrets enfouis et de relever des défis qui mettraient à l'épreuve non seulement leurs pouvoirs, mais aussi leur amitié. L'excitation et l'appréhension se mêlaient alors qu'elles faisaient un pas en avant, prêtes à affronter ce qui les attendait dans ce château mystérieux.
Cette fois-ci, l'indice qu'elles devaient trouver n'était pas simple. Agatha, Ivana, Lucillia, Lilia, Alice et Jen étaient toutes réunies dans une pièce sombre et mystérieuse, leurs visages éclairés par la lueur vacillante d'une bougie posée sur une table en bois usé.
Les six sorcières fouillaient la pièce avec une détermination palpable. Agatha, scrutait chaque recoin, tandis qu'Ivana, plus pragmatique, examinait minutieusement les étagères chargées de livres anciens. Lucillia, avec son sourire contagieux, tentait de garder le moral en lançant des blagues, mais la tension était palpable.
Lilia, quant à elle, se penchait sur une vieille carte accrochée au mur, ses doigts glissant sur les lignes jaunies. Alice et Jen, les plus jeunes du groupe, se concentraient sur un coffre en bois, en essayant de déchiffrer un mécanisme complexe qui semblait verrouiller son ouverture.
"Regardez ici," s'exclama Lilia en désignant un symbole étrange gravé sur le mur, "peut-être que ça a un rapport avec l'indice !"
Les autres se regroupèrent autour d'elle, leurs visages illuminés par l'espoir. Elles savaient que la solution se trouvait quelque part dans cette pièce, mais chaque minute qui passait ajoutait à leur frustration.
La tension montait alors qu'elles cherchaient frénétiquement, leurs cœurs battant à l'unisson. Chaque objet, chaque détail, pouvait être la clé pour les libérer de cet endroit mystérieux. Elles étaient déterminées à ne pas abandonner, unies par leur désir de découvrir le secret qui les aiderait à s'échapper.Ivana s'approcha du coffre avec détermination, ses mains tremblantes d'excitation. Elle tenta de soulever le couvercle, mais il ne bougea pas d'un pouce.
"Allez, ouvre-toi !" murmura-t-elle, frustrée.
Alice, voyant l'échec d'Ivana, prit le relais. "Laisse-moi essayer," dit-elle, en s'agenouillant devant le coffre.
Elle força le couvercle, mais rien n'y fit. "C'est vraiment verrouillé," soupira-t-elle.
Agatha, impatiente, ne put contenir sa colère. "Mais c'est quoi ce truc ?!" s'exclama-t-elle en arrachant le coffre des mains d'Alice.
Dans un geste brusque, elle le jeta au sol avec fracas. Le bruit résonna dans la pièce, mais le coffre resta intact.
"Non mais je rêve," dit Agatha, les poings serrés. Elle se mit à frapper le coffre avec ses pieds, mais il ne céda toujours pas. "C'est quoi ce matériau ?"
Jen, observant la scène avec un sourcil levé, s'approcha. "Tu sais, Agatha, peut-être que la force brute n'est pas la meilleure solution," dit-elle avec un sourire ironique. Elle prit le coffre et le posa calmement sur la table.
"Il faut réfléchir avant d'agir," poursuivit-elle, son ton sérieux. "On ne veut pas risquer nos vies pour un coffre, même si ça semble frustrant."
Agatha, toujours en colère, croisa les bras. "Mais qu'est-ce qu'on fait alors ? On attend que ça s'ouvre tout seul ?"
"Non," répondit Jen, "mais on doit analyser ce coffre. Peut-être qu'il y a un mécanisme ou un indice caché. Ne laissons pas notre impatience nous mener à notre perte."
Lorsque le coffre fut enfin posé sur la table, Lucillia s'approcha lentement, son regard captivé par l'objet mystérieux. La lumière dans la pièce se reflétait sur le bois ancien du coffre, accentuant l’aura de mystère qui l’entourait. Elle se pencha, observant attentivement l'ouverture qui semblait l'inviter à découvrir ses secrets.
Après quelques instants de contemplation, son regard se fixa sur la serrure. Une idée germa dans son esprit. La forme délicate de la cérure du coffre correspondait parfaitement à celle de son pendentif en argent.
"Attendez," dit-elle, la voix tremblante d'excitation. "Regardez ça ! La serrure, elle… elle ressemble à mon collier !"
Les autres filles se tournèrent vers elle, intriguées.
"Tu es sûre ?" demanda Alice, plissant les yeux pour mieux voir.
"Oui, c'est comme si ce coffre m'attendait," répondit Lucillia, un sourire se dessinant sur ses lèvres. "C'est mon épreuve. Je dois l'ouvrir."
Agatha, toujours impatiente, croisa les bras. "Alors, qu'est-ce que tu attends ? Utilise-le !"
Lucillia était en panique, son cœur battant la chamade, même si elle faisait de son mieux pour cacher ses émotions. Ses mains tremblaient légèrement, et elle sentait une boule d'angoisse se former dans son ventre. Lilia, observant son amie avec une attention bienveillante, comprit rapidement la gravité de la situation.Sans hésiter, elle s'approcha de Lucillia et se mit à côté d'elle.
"Hey, calme-toi," murmura-t-elle d'une voix douce, essayant de lui transmettre un peu de réconfort.
Lilia posa sa main sur le dos de Lucillia, caressant délicatement sa peau, comme pour apaiser ses inquiétudes. "Tu es plus forte que tu ne le penses. Je suis là avec toi," ajouta-t-elle, son ton encourageant.
Lucillia, bien que troublée, se laissa porter par les paroles réconfortantes de son amie. Elle prit une profonde inspiration, essayant de canaliser son anxiété.
"Merci, Lilia," murmura-t-elle, sa voix tremblante.
Avec détermination, elle défait son collier, ses doigts agiles s'attaquant au fermoir. Elle écoutait attentivement chaque mot de Lilia, qui continuait à l'encourager.
"Tu peux le faire. Pense à ce que cela signifie pour toi. C'est ton moment," dit Lilia, son regard plein de soutien.
Lucillia ferma les yeux un instant, se concentrant sur sa respiration. Puis, avec une résolution nouvelle, elle enfonça son collier dans la serrure du coffre. Un frisson d'excitation parcourut son corps.Soudain, un léger clic retentit, et le coffre s'ouvrit lentement, révélant un intérieur obscur mais prometteur. Les yeux de Lucillia s'illuminèrent, et elle se tourna vers Lilia, un sourire de soulagement sur le visage.
"Ça a marché !" s'exclama-t-elle, la panique laissant place à une vague de joie.
Lilia sourit en retour, fière de son amie. "Je savais que tu pouvais le faire," répondit-elle, partageant ce moment de triomphe avec Lucillia.
L'intérieur du coffre était sombre et poussiéreux, mais une lueur mystérieuse émanait d'un livre posé au fond. Lucillia, fascinée, s'approcha et le prit délicatement. En l'ouvrant, elle découvrit que la couverture était vierge, sans aucune inscription. Un frisson d'excitation parcourut son échine.
Jen, curieuse, s'approcha d'un pas hésitant. Elle plissa les sourcils, perplexe. "Qu'est-ce que c'est que ça ? Pourquoi rien n'est écrit ?"
Alice, qui observait la scène avec un air pensif, se tourna vers elles. "J'ai déjà vu ça dans un ancien grimoire. Il faut avouer à haute voix qui nous sommes pour que le livre révèle ses secrets."
Lucillia, déterminée, se redressa et déclara avec assurance : "Je suis Lucillia Martin." Mais rien ne se produisit. Elle fronça les sourcils, déconcertée. "Ça ne fonctionne pas... Pourquoi ?"
Agatha, qui avait assisté à la scène avec une moue amusée, soupira. "On pourrait peut-être faire couler de son sang sur le livre, non ?"
Ivana, choquée, s'exclama : "Mais ça va pas la tête ! On ne va pas la saigner !"
Agatha éclata de rire, un éclat de malice dans les yeux. "Je pensais à une légère coupure chérie, juste pour voir si ça fonctionne."
Lilia, toujours protectrice, intervint : "Alors tu rêve Agatha tu ne la touche pas."
Lucillia, acquiesça d'un geste résolu et n'écouta pas Lilia elle plongea son regard dans celui d'Agatha et dit :. "D'accord, faisons-le. Je suis prête à tout pour découvrir ce que ce livre cache."
L'atmosphère est chargée d'une tension palpable. Agatha, avec un sourire radieux, montre sa satisfaction que Lucillia ait accepté de participer à ce rituel. Son bonheur est contagieux, et cela crée une ambiance à la fois excitante et inquiétante.Elle se penche alors pour saisir un couteau brillant, qu'elle garde toujours à sa ceinture. Ce geste est à la fois déterminé et solennel, marquant le début d'un acte symbolique. Le couteau, en acier poli, reflète la lumière tamisée de la pièce, ajoutant une touche de mystère à la scène.
Agatha prend délicatement la main de Lucillia dans la sienne, elle coupe légèrement la paume de Lucillia. Le mouvement est précis, presque cérémonial, soulignant l'importance de ce moment.
Le sang commence à s'écouler lentement de la plaie, créant un contraste frappant avec la peau de Lucillia. Ce sang, symbole de vie et de sacrifice, tombe sur le livre, un ancien grimoire aux pages jaunies. La couleur rouge vif se mêle au page comme si le livre absorbait cette essence vitale, prête à libérer ses secrets.
L'air est chargé d'une tension électrique alors que le groupe observe, partagé entre la fascination et l'appréhension. Ce geste, bien que simple en apparence, est porteur d'une signification profonde, marquant le début d'une exploration des mystères qui les attendent. Dans ce moment, le lien entre les personnages se renforce, mêlant leur destin à celui du livre et à l'inconnu qui les entoure.
Lucillia, plongée dans ses pensées, sentit son regard se fixer sur les écrits qui commençaient à émerger lentement sur la page, comme si les mots prenaient vie sous ses yeux. L'encre, encore fraîche, brillait légèrement à la lumière ambiante, créant une atmosphère presque magique autour d'elle.
À ses côtés, Lilia, attentive et douce, se rapprocha. Elle prit la main de Lucillia dans la sienne, un geste simple mais chargé de tendresse. Sa paume était chaude et réconfortante, une source de soutien silencieuse. Lilia commença alors à caresser délicatement le dos de la main de Lucillia, ses doigts glissant doucement sur la peau, comme pour apaiser les doutes et les inquiétudes qui pouvaient l'envahir.
Ce geste était un symbole puissant de leur amitié, un rappel que, même dans les moments de solitude ou d'incertitude, Lucillia n'était pas seule. Les mots sur la page prenaient forme, mais c'était la connexion entre elles qui apportait véritablement du réconfort. La pièce était remplie d'un silence apaisant, où chaque mouvement et chaque souffle semblaient résonner avec une profonde compréhension.
Une fois le texte apparu en latin, Lucillia sentit une vague d'énergie l'envahir. Elle plissa les yeux, déchiffrant les mots mystérieux qui dansaient devant elle. Lilia, toujours à ses côtés, remarqua l'intensité qui se dégageait de son amie.
"Lucillia, tu es sûre de vouloir le lire ? Ça a l'air... puissant," murmura Lilia, son regard inquiet se posant sur le texte.
Lucillia, pourtant, n'hésita pas. "Oui, je dois le faire. Je n'ai pas le choix..." répondit-elle, sa voix empreinte de détermination.
Elle inspira profondément, puis commença à lire à voix haute :
"Per astra quae in nocte fulgent,
Ad vires infiniti appello.
Ut magia in me expergiscatur,
Ut potestas mea mirabilia sua recuperet."
À chaque mot prononcé, une lumière douce semblait émaner de son être. Lilia, fascinée, ne pouvait détacher son regard de Lucillia, qui semblait se transformer sous l'effet des mots.
"Ut omnis verbum sit incantatio,
Ut magia revertatur, potentissime.
Parata sum ad accipiendum,
Potestates meas, volo eas videre."
À mesure qu'elle terminait le dernier vers, une sensation de chaleur enveloppa la pièce, comme si l'air lui-même vibrait au rythme de la magie qui se réveillait.
Lucillia était dans un état de profonde concentration, ses yeux fermés comme si elle était en train de puiser dans une source intérieure de force. L'air autour d'elle semblait vibrer d'une énergie palpable, presque électrique, alors qu'elle se nourrissait de ses pouvoirs qui revenaient lentement à elle. On pouvait sentir une aura mystique l'entourer, comme si le temps lui-même s'était suspendu pour lui permettre de se reconnecter avec ses capacités.
Lorsqu'elle ouvrit les yeux, un spectacle fascinant se dévoila. Ses yeux, d'un mélange envoûtant de vert et de noir, brillaient d'une intensité presque surnaturelle. Ce mélange était parfait, captivant quiconque croisait son regard. On pouvait presque voir des éclairs de lumière dans ses pupilles, comme si des éclats d'énergie magique dansaient à l'intérieur.
Mais cette transformation ne dura que quelques instants. Peu à peu, la magie qui l'entourait s'estompa, et ses yeux reprirent leur couleur marron naturel.
Lilia, comme toutes les autres, n'avait pas loupé un seul instant de cette scène, mais il y avait quelque chose de différent chez elle. Ses yeux brillaient d'une fascination profonde, capturant chaque détail, chaque mouvement, comme si tout le reste s'était estompé autour d'elle.
Les lumières dansaient autour d'elles, projetant des ombres délicates sur le sol. L'atmosphère était chargée d'une énergie palpable, et Lilia se sentait happée par cette magie. Elle observa Lucillia, qui se tenait au centre de l'attention, rayonnante. Ses cheveux brillaient sous les lumières, et sa robe, d'un rouge éclatant, semblait capturer tous les reflets de la scène.
Lilia, fascinée, plongea son regard dans celui de Lucillia. À cet instant, elle la trouva encore plus belle, plus magnifique que d'habitude. Les yeux de Lucillia, d'un vert profond, scintillaient d'une lueur presque surnaturelle, et Lilia ne pouvait s'empêcher de ressentir une admiration grandissante. Elle était impressionnée par la confiance qui émanait de Lucillia, une fierté qui illuminait son visage.
« Tu es incroyable, » pensa Lilia, bien que les mots ne sortent pas de sa bouche. Elle se sentait à la fois émerveillée et inspirée par la beauté et la force de la jeune femme.
Lucillia avait plongé son regard dans celui de Lilia, et elle remarqua immédiatement un changement dans l'expression de son amie. Les yeux de Lilia brillaient d'une lueur particulière, comme si elle voyait quelque chose de profondément beau. Lucillia, intriguée et amusée, esquissa un sourire délicat, ses lèvres se courbant avec une douceur qui illuminait son visage.
« Pourquoi me regardes-tu comme ça ? » demanda-t-elle, sa voix légère et taquine, un éclat de curiosité dans ses yeux.
Lilia, surprise par la question, secoua rapidement la tête, essayant de masquer la vague d'émotions qui l'envahissait. Elle ne pouvait pas révéler la vérité complète, la profondeur de son admiration, alors elle opta pour une réponse plus simple.
« Non, rien, » répondit-elle, sa voix légèrement hésitante, mais elle ajouta avec une fierté palpable, « je suis très fière. »
Lucillia pencha légèrement la tête, un sourire complice se dessinant sur ses lèvres. « Fière de quoi ? » s'amusa-t-elle, jouant avec l'idée que Lilia cachait quelque chose.
Lilia, se sentant à la fois gênée et heureuse, croisa les bras, un sourire timide sur le visage. « De toi, bien sûr ! Regarde-toi, tu es incroyable ! »
Alice, Jen, Agatha et Ivana observaient attentivement Lilia et Lucillia, échangeant des regards complices. Il était évident pour elles que les deux femmes avaient un faible l'une pour l'autre. Leurs sourires échangés, les regards furtifs et la façon dont elles se rapprochaient l'une de l'autre ne laissaient aucun doute.Agatha, exaspérée par la situation, leva les yeux au ciel avec un soupir exagéré. Elle ne pouvait pas s'empêcher de trouver cela un peu trop mignon, mais elle savait qu'il était temps de briser ce moment.
« Oui oui, on est tous fiers, » dit-elle d'une voix sarcastique, « allez, on part d'ici. »
Jen et Ivana échangèrent un regard amusé avant de rire doucement. Leurs rires étaient légers, remplis de complicité face au comportement dramatique d'Agatha.
« Oh, Agatha, tu es vraiment impossible ! » s'exclama Alice, riant à son tour. « Laisse-les un peu, c'est mignonnes. »
« Mignon oui, mais on ne va pas rester ici à les admirer toute la journée, » rétorqua Agatha en souriant, bien qu'elle ne puisse s'empêcher d'apprécier le spectacle.
☆○o。 。o○☆
La journée était enfin terminée, et une ambiance de soulagement flottait dans l'air. Le groupe avançait sur le chemin, leurs pas résonnant sur le sol. Les rires et les voix des autres résonnaient devant, mais Ivana, pour une fois, se trouvait un peu en retrait, marchant derrière le reste du groupe.
Agatha, ne pouvant pas laisser passer cette occasion, décida de s'approcher d'elle. Elle savait qu’il était crucial d’avoir cette conversation. Elle marchait avec détermination, ses pensées tournant autour de ce qu'elle voulait dire.
Ivana marchait lentement, le regard perdu dans le vide, tandis que le groupe continuait d'avancer devant elle. Le poids de ses pensées l'alourdissait, chaque pas lui semblait plus difficile que le précédent. Elle savait qu'elle avait dépassé les bornes avec Agatha, mais la rancœur qui l'habitait était tenace.
Les souvenirs des mots échangés résonnaient dans son esprit comme des échos d’une dispute ancienne. Elle se sentait coupable, consciente que sa colère était peut-être mal placée, mais elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une injustice. Agatha, avec son sourire et sa bonne volonté, était devenue un point de fixation pour ses frustrations.
Ivana se laissa aller à la contemplation des feuilles qui tombaient, comme des pensées égarées. Elle savait que, malgré sa conscience des défauts d'Agatha, elle ne pouvait pas ignorer la réalité : un jour, elle serait trahie. Cette idée s'était installée dans son esprit comme une vérité inéluctable, une ombre qui planait au-dessus de leur amitié.
Elle se sentait piégée dans un tourbillon d'émotions contradictoires. D'un côté, l'affection qu'elle avait pour Agatha, et de l'autre, la méfiance croissante qui s'était insidieusement glissée dans son cœur. Ivana était consciente de cette dualité, de cette lutte interne qui la rongeait.
Le vent frais qui soufflait à travers les arbres apportait avec lui un parfum de terre humide et de feuilles sèches, mais rien ne pouvait apaiser le tumulte en elle. Elle continua d'avancer, le regard toujours fixé sur le sol, perdue dans ses pensées sombres, tandis que le groupe s'éloignait un peu plus, laissant derrière eux une Ivana tiraillée entre ses sentiments et sa réalité.
Agatha se tenait là, le cœur battant, consciente du poids de son passé. Elle savait que ses choix, souvent teintés d'immoralité, l'avaient marquée d'une manière que peu pouvaient comprendre. Les regards des autres, chargés de méfiance, l'avaient suivie comme une ombre, et elle en avait souffert.
Pourtant, face à Ivana, une lueur d'espoir brillait en elle. Agatha voulait profondément que les choses soit différente. Elle aspirait à la confiance, à cette connexion authentique qui semblait lui échapper. Les feuilles bruissaient autour d'elle, comme si la nature elle-même écoutait ses pensées. Elle se détourna un instant, le regard fixé sur le sol, réfléchissant à la manière d'exprimer ses sentiments sans tomber dans le piège de ses anciennes habitudes.
Elle jeta un coup d'œil furtif vers Ivana, observant son visage, ses traits marqués par l'incertitude. Agatha ressentait une vague de regret pour les blessures qu'elle avait pu causer, même sans intention. L'air était chargé d'une tension palpable, et chaque seconde semblait s'étirer, amplifiant son anxiété.
Finalement, elle se redressa, prenant une profonde inspiration, le souffle court. Elle s'approcha d'Ivana, déterminée à briser le silence qui les séparait. Dans un murmure sincère, elle déclara :
"Je n'ai jamais eu l'intention de te faire du mal." Ses mots, bien que simples, étaient chargés d'une émotion profonde.
Agatha espérait que cette déclaration suffirait à apaiser les doutes d'Ivana, à construire un pont entre leur passé tumultueux et un avenir où la confiance pourrait s'épanouir. Elle attendait, le cœur en suspens, prête à affronter les conséquences de ses choix, mais désireuse de prouver qu'elle pouvait être différente avec Ivana.
Ivana plongea son regard dans celui d’Agatha, ses yeux brillants d’une lueur mêlée d’espoir et de doute. Elle avait envie de croire en ce que sa mentor lui disait, mais une voix sourde résonnait dans sa tête, lui chuchotant qu'il ne fallait pas se laisser duper. La tension était palpable entre elles, comme une corde tendue sur le point de céder.
Finalement, Ivana ne put contenir sa frustration. D’une voix chargée d’émotion, elle s’exclama :
"C'est ça, oui... Tu as tué tout ton coven à l'époque de Salem ! Tu as voulu voler les pouvoirs de ma mère et tu vas me faire croire que tu ne voulais pas me faire de mal ?"
Agatha, frappée par la justesse des accusations, prit une grande inspiration. Chaque mot d'Ivana était une flèche, touchant directement son cœur. Elle savait que les actes de son passé étaient impardonnables, mais elle ne pouvait pas laisser cette vérité la définir.
"Tu as raison," commença-t-elle, sa voix tremblante mais déterminée. "Je n'ai jamais voulu te laisser livrée à toi-même. J'ai toujours cru que Wanda t'avait emportée avec tes frères quand elle a détruit son monde..."
Ivana se tenait là, figée dans un silence lourd de non-dits. Ses pensées tourbillonnaient comme une tempête, chaque idée se heurtant à une autre sans trouver de sortie. La pièce était emplie d'une tension palpable, presque électrique, et elle pouvait sentir son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine.
Elle regarda Agatha, ses yeux cherchant désespérément des réponses dans le regard de la femme. Les mots semblaient s'être évaporés, laissant place à un vide accablant. Le hochement de tête qu'elle fit était à la fois un acte d'acceptation et de confusion. C'était comme si, par ce simple mouvement, elle tentait de donner un sens à ce qu'elle ressentait, même si elle ne pouvait pas encore mettre des mots sur ses émotions.
Lilia, Lucillia, Alice, Jen, Ivana et Agatha étaient toutes réunies autour du feu crépitant, leurs visages illuminés par la lueur dansante des flammes. Le bruit du bois qui se consumait ajoutait une mélodie apaisante à leur conversation. Chacune d'elles partageait des anecdotes sur leurs cicatrices, tant physiques qu'émotionnelles, créant un lien intime entre elles.
Les rires éclataient, mélangés à des soupirs de nostalgie alors qu'elles évoquaient des souvenirs parfois douloureux, mais toujours empreints d'une certaine légèreté. Lucillia racontait comment une chute de vélo lui avait laissé une marque indélébile sur son genou, tandis qu'Alice parlait d'une cicatrice plus profonde, celle laissée par une trahison amicale.
Cependant, malgré la chaleur du feu, une brise froide commençait à s'insinuer dans l'air, rendant l'atmosphère un peu plus âpre. Les frissons parcouraient les bras des filles, mais elles ne semblaient pas s'en soucier, absorbées par la convivialité de l'instant. Ivana, enroulée dans sa veste, se blottissait un peu plus près des autres, cherchant à capter la chaleur humaine qui les entourait.
Agatha, avec son sourire réconfortant, ajoutait des touches d'humour à leurs récits, allégeant les moments les plus sombres. Jen, quant à elle, se contentait d'écouter, ses yeux brillants de compréhension, comme si chaque histoire résonnait en elle.
Le Coven était rassemblé dans leur abri, le froid glacial s'infiltrant par les fissures des murs. Les murmures du vent à l'extérieur ajoutaient une tension palpable à l'atmosphère. La fatigue se lisait sur les visages de chacune, mais le besoin de chaleur était plus pressant que jamais.
Alice, frissonnante, brisa le silence. "Je ne suis pas contre l'idée de dormir en duo, mais hors de question que je dorme avec Agatha," déclara-t-elle en croisant les bras, l'air déterminé.
Agatha, amusée par la réaction d'Alice, répliqua avec un sourire moqueur : "Ça va, je ne vais pas te tuer dans ton sommeil. Pas cette nuit, en tout cas."
Jen, toujours prudente, intervint : "On ne sait jamais, Agatha. Peut-être que ce serait mieux de ne pas prendre de risques." Elle lança un regard inquiet vers Agatha, comme si elle pesait le pour et le contre.
Ivana, qui avait écouté la conversation avec un sourire, se leva et déclara d'une voix calme : "C'est bon, je dors avec elle." Elle se dirigea vers Agatha, sa détermination évidente.
Lilia, observant la scène, se décala doucement, un sourire aux lèvres. "Eh bien, je vais dormir avec Lucillia," annonça-t-elle en se rapprochant de la jeune femme.
Les filles commencèrent alors à s'installer, formant des duos improvisés pour se protéger du froid. Les rires et les taquineries résonnaient dans l'abri, réchauffant l'atmosphère malgré le gel qui sévissait à l'extérieur. Chacune trouvait un peu de réconfort dans la proximité de ses amies, le lien du Coven se renforçant dans cette nuit glaciale.
Lucillia s'approcha doucement de Lilia, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle déplia sa veste, la tendant avec délicatesse pour la draper sur les épaules de Lilia. La texture douce et chaude de la veste enveloppa Lilia, lui offrant un répit contre le froid mordant qui régnait à l'extérieur.
Après avoir ajusté la veste, Lucillia ne put s'empêcher de prendre Lilia dans ses bras. C'était un geste tendre et protecteur, comme si elle voulait lui transmettre toute la chaleur qu'elle avait à offrir. Lilia, surprise par cette étreinte, serra doucement Lucillia contre elle. Leurs cœurs battaient en harmonie, et Lilia ne souhaitait pas relâcher cette étreinte réconfortante.
Lucillia, ravie par ce moment intime, ferma délicatement les yeux. Elle se laissa porter par la chaleur de Lilia, savourant chaque seconde de cette proximité. Le monde extérieur semblait s'évanouir, et tout ce qui importait, c'était cette connexion spéciale qu'elles partageaient. Dans cette étreinte, elles trouvaient du réconfort et une sensation de sécurité, comme si elles pouvaient affronter n'importe quel défi ensemble.
Lilia, en respirant le parfum doux de Lucillia, se sentait comblée. C'était un moment de pure tendresse, où le temps semblait suspendu, et elles restèrent ainsi, blotties l'une contre l'autre, savourant la chaleur de leur amitié.
Ivana était allongée, perdue dans ses pensées, lorsque Agatha s'approcha silencieusement. Avec une douceur infinie, elle glissa ses bras autour d'Ivana, un bras se posant délicatement sur ses hanches tandis que l'autre soutenait sa nuque. Le contact était chaleureux, et Agatha enfouit son nez dans le creux du cou d'Ivana, respirant son parfum réconfortant.
Ivana, surprise mais ravie par cette étreinte, se laissa aller contre Agatha. Dans un murmure à peine audible, elle chuchota :
« Si tu avais su que je n'avais pas disparu quand ma mère a tout détruit, tu serais venue me rendre visite ? » Sa voix tremblait légèrement, trahissant une vulnérabilité profonde.
Agatha, ressentant la douleur dans les mots d'Ivana, la serra un peu plus fort contre elle. Elle pouvait sentir le cœur d'Ivana battre contre son propre corps. Avec une tendresse infinie, elle répondit doucement à son oreille :
« Bien sûr que oui. »
Un sourire se dessina sur le visage d'Ivana, et elle ferma lentement les yeux, savourant ce moment de réconfort.
Agatha et Ivana dormaient paisiblement, enveloppées dans une douce chaleur. Leurs corps étaient étroitement enlacés, créant une harmonie parfaite. Une de leurs mains était entrelacée, les doigts s'imbriquant délicatement comme les pièces d'un puzzle, symbolisant leur lien indéfectible.
Agatha, plongée dans un sommeil profond, avait sa respiration douce et régulière qui caressait le cou d'Ivana. Chaque inspiration était un murmure, un souffle léger qui faisait frémir la peau d'Ivana. Elle se sentait protégée, comme si rien d'autre n'existait en dehors de cette étreinte.
Ivana, bien que somnolente, ne pouvait s'empêcher de sourire en ressentant la chaleur du corps d'Agatha contre le sien. Elle savait que sa présence était un refuge, un abri contre le monde extérieur. Agatha ne voulait pas la lâcher, et Ivana pouvait sentir la tendresse dans chaque mouvement, chaque souffle.
Dans cette bulle de tranquillité, le temps semblait s'arrêter. Les bruits du monde extérieur s'évanouissaient, laissant place à une douce mélodie de leurs cœurs qui battaient à l'unisson. Les lumières tamisées de la pièce ajoutaient une touche de magie à ce moment, rendant leur sommeil encore plus précieux. C'était un cocon de paix, où l'amour et l'amitié se mêlaient dans un silence éloquent.
Lilia était allongée sur le dos, les yeux clos, son visage paisible illuminé par la douce lumière du matin qui filtrait à travers les rideaux. La tête de Lucillia reposait délicatement contre son épaule, ses cheveux éparpillés comme une cascade sombre autour d'eux. La main de Lucillia, douce et légère, était posée sur le ventre de Lilia, presque comme si elle cherchait à ressentir chaque mouvement de sa respiration.
Lilia, enveloppée dans un sommeil profond, avait sa main reposant sur la hanche de Lucillia, un geste instinctif qui témoignait de leur complicité. Leurs corps étaient si proches, créant une bulle de chaleur et de confort, où le monde extérieur semblait s'effacer. Leurs respirations s'entremêlaient dans un rythme apaisant, une mélodie silencieuse qui résonnait dans l'air tranquille de la pièce.
Leurs visages étaient détendus, les traits adoucis par le sommeil. Lilia avait un léger sourire sur les lèvres, comme si elle rêvait d'un monde paisible, tandis que Lucillia semblait plongée dans un rêve profond, sa main se déplaçant légèrement sur le ventre de Lilia à chaque inspiration.
Le silence était presque sacré, interrompu seulement par le doux bruit de leur respiration. C'était un moment de pure intimité, où le temps semblait s'arrêter, et où rien d'autre n'importait que cette connexion entre elles. Leurs cœurs battaient à l'unisson, créant une atmosphère de sérénité et de confiance, un instant parfait figé dans le temps.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre.
9 notes
·
View notes
Text
18 août :
Journée transport pour rejoindre Lillehammer, une petite ville au Nord d'Oslo. J'y arrive après 6 heures et 3 bus. 1er hostel et lit après 9 jours, pour fêter ça c'est pizza et bière. J'ai des larmes aux yeux. Pourquoi il faut se faire du mal pour apprendre à apprécier le peu ?
19 août :
Visite du musée à ne pas rater de Norvège, le Maihaugen. Édifié par un dentiste de la ville début XXe qui, en allant visiter des patients dans des fermes, s'est rendu compte que le mode de vie et d'habitations risquait de disparaître avec l'industrialisation. Il a décidé donc de déplacer (et non de reproduire) des villages/fermes qui sombraient dans l'abandon dans son musée. Son entreprise se poursuivant jusqu'à aujourd'hui, on trouve dans ce musée des habitations du XVIe jusqu'à des maisons high-tech, toute richement décorées. Le tout en plein air et on visite le parc en se promenant. J'y passerai 4 heures sans voir le temps passer.
Puis train jusqu'à Oslo où je logerai 2 nuits chez un hôte trouvé sur couchsurfing, première expérience pour moi avec ce système.
Je fais donc connaissance de Abu, ingénieur software indien venu à Oslo pour le travail il y à 7 ans et qui s'y ait plu. On s'entend très bien, il nous fera a dîner les 2 soirs des lentilles (excellentes!), j'aurais ma chambre et je peux même faire ma lessive. Du luxe.
20 août :
Visite de Oslo. A part quelques bâtiments comme le palais royale ou la cathédrale, la ville est très moderne avec des quartiers sortis du futur. Ballade agréable mais c'est la première fois que je visite une capitale européenne sans y apercevoir son histoire et son passé via son urbanisme, pas de "vieux quartier" dit autrement. Abu me rejoint en début d'aprèm pour me montrer des coins à visiter et pour une bière.
21 août:
Micha me rejoins à Oslo en voiture et mon périple européen en solo s'achève ici. Ca me fait plaisir car mon ami imaginaire dans ma tête commençait à être inintéressant. Il fait beau et on prend direct la route vers l'ouest, avec une pause à l'église xx pour manger. Je découvre à cette occasion la cargaison de fromage, charcuterie, vin, rhum, etc que Micha a ramené. Je retiens mes larmes.
Arrivés au parking du Kjeragbolten à 18h00 (30 € de vol) on court vers le fameux caillou suspendu en haut d'une faille. On y monte pour les photos, 800m au dessus vide qui finis dans le fjord. Puis on se trouve un coin pour la tente avec vue panoramique sur ce même fjord. Il fait beau et on est sublimés par la beauté du paysage.
22 août:
Réveil dans les nuages qui offrent une autre vue. Retour à la voiture et direction le Preikestolen. 25 € de parking et 1,5h plus tard on arrive à cette plateforme carré qui chute direct avec des parois lisses à 600m dans le fjord. Incroyable cette nature. Par contre c'est Eurodisney niveau affluence. On part donc faire une ballade sur les falaises à coté où, comme par hasard, on y croise personne. Puis le temps de poser la tente, tout le monde est partit de la plateforme et on est enfin seul. C'était en tout cas l'idée. Mais un groupe de 40 jeunes en sorte de "colo" foutait un bordel pas possible. Je n'aurais réussit à en balancer que 3 par dessus le rebord, trop nombreux pour tous les achever. Bref, ils ont finis pas partir et laisser la nature tranquille, et nous avec.
2 notes
·
View notes
Text
ecg 1
Canada floods: 18,000 people still stranded in ‘terrible, terrible disaster’
Last night emergency crews in western Canada were still trying to reach some 18,000 people stranded by landslides and struggling to find food among bare grocery store shelves after devastating flooding.
John Horgan, the premier of British Columbia province, declared an emergency on Wednesday. In an emotional address on Thursday, the province’s public safety minister, Mike Farnworth, said: “This has been a terrible terrible disaster but I know this: As British Columbians, as Canadians, we stick together. I want to come out of this. I’m going to build a stronger better province and a stronger and better country.”
Meanwhile, communities in already-inundated areas braced for more rain next week
“I am not concerned about today’s rain. What I’m concerned about is next week, and what’s coming,” said Henry Braun, mayor of the city of Abbotsford where officials kept close watch over a pumping station. If the pumps failed, Braun warned, the results would be “catastrophic” for a community already grappling with thousands of drowned farm animals and a bill that could reach $1bn to rebuild the city.
Adapted from The Guardian. 19 November 2021
Canada floods: 18,000 people still stranded in ‘terrible, terrible disaster’
Inondations au Canada : 18000 personnes sont encore bloquées suite à une « terrible, terrible catastrophe »
Last night emergency crews in western Canada were still trying to reach some 18,000 people stranded by landslides and struggling to find food among bare grocery store shelves after devastating flooding.
Les équipes de secours dans l'ouest canadien essayaient encore hier soir d'atteindre quelques 18000 personnes bloquées à cause de glissements de terrain et faisaient tout leur possible pour trouver de la nourriture alors que les rayons des épiceries sont vides suite aux inondations dévastatrices.
John Horgan, the premier of British Columbia province, declared an emergency on Wednesday.
John Horgan, le Premier ministre de la province de Colombie Britannique, a déclaré l'état d'urgence mercredi.
In an emotional address on Thursday, the province’s public safety minister, Mike Farnworth, said: “This has been a terrible terrible disaster but I know this: As British Columbians, as Canadians, we stick together. I want to come out of this. I’m going to build a stronger better province and a stronger and better country.”
Dans une allocution pleine d'émotion jeudi dernier, le ministre de la sécurité publique de la province, Mike Farnworth a déclaré : « Nous avons subi une terrible, terrible catastrophe mais je sais une chose : en tant que colombiens britanniques, en tant que canadiens, nous faisons corps. Je veux que nous surmontions cela. Je vais construire une province plus forte et meilleure ainsi qu'un pays plus fort et meilleur. »
Meanwhile, communities in already-inundated areas braced for more rain next week
“I am not concerned about today’s rain. What I’m concerned about is next week, and what’s coming,” said Henry Braun, mayor of the city of Abbotsford where officials kept close watch over a pumping station.
Pendant ce temps-là, des villages dans des zones déjà inondées se préparaient à davantage de pluie prévue la semaine prochaine : « Je ne suis pas inquiet au sujet de la pluie aujourd'hui. Ce qui m'inquiète, c'est la semaine prochaine et ce qui s'annonce, » a déclaré Henry Braun le maire de la ville d'Abbotsford dont les responsables surveillent les stations de pompage comme le lait sur le feu.
If the pumps failed, Braun warned, the results would be “catastrophic” for a community already grappling with thousands of drowned farm animals and a bill that could reach $1bn to rebuild the city.
Si les pompes tombaient en panne, a averti monsieur Braun, les conséquences seraient « catastrophiques » pour des gens qui sont déjà confrontés à la noyade de milliers d'animaux de ferme et à une facture qui pourrait atteindre un milliard de dollars pour reconstruire la ville.
Adapted from The Guardian. 19 November 2021
0 notes
Text
PERSONNE AU BOUT DU FIL
Antenne 2
Début 1981
Ferme des Animaux
Les rats les chats les chiens
Noël Mamère
Parle bizarrement des chiens
Il est le Rudolf Hess soviétique
Qui permet en direct à la télé
De faire passer
La Chambre des Lords Britannique
A l'ouest
Il est tranquille
Le dieu est de gauche
Soviétique
Pacifisme des Verts
A l'époque
Je ne saisis pas
Dimanche 3 novembre 2024
0 notes
Text
"4,000 Prisonniers dans nos Pénitenciers," La Revue Populaire (Montreal). July 1932. Page 10 & 65. --- D'APRES le rapport officiel du Ministre de la Justice, il y avait, au 31 mars 1932, dans les maisons de détention au Canada, près de quatre mille personnes. Exclus du reste du monde, soumis à une discipline très sévère, et n'a joutant presque rien, par leur travail, à la production du pays, toute cette population est logée, nourrie et gardée aux frais de tous les contribuables du Dominion. Et il ne faut pas perdre de vue que seuls sont détenus dans les pénitenciers ceux qui doivent subir un emprisonnement d'au moins deux ans.
Ceux qui sont sous le coup d'une condamnation de moins de deux ans purgent leur peine dans les prisons et les maisons de correction de la province où ils ont été jugës. L'année fiscale on devrait plutôt dire l'année officielle du Gouvernement fédéral se termine le 31 mars. Le rapport annuel du Surintendant des pénitenciers, tel que soumis au Ministre de la Justice, est pour l'année finissant le 31 mars 1932. Les chiffres cités plus has sont donc les plus précis qu'il soit possible d'obtenir actuellement.
A la fin de l'année fiscale 1932, il y avait dans les pénitenciers du Canada 3,714 personnes, soit 527 de plus que l'année précédente. La moyenne de la population quotidienne fut de 3,434, distribuée comme suit:
Pénitencier de Kingston, Ontario, å Portsmouth, dans la banlieue de Kingston, 856; pénitencier de St-Vincent-de-Paul, près de Montréal, 899, pénitencier de Dorchester, pour les Provinces Maritimes, 401; pénitencier du Manitoba, 419, pénitencier de la Saskatchewan, pour les deux provin ces centrales de l'Ouest, 603; pénitencier de la Colombie Anglaise, 388.
Les statistiques nous montrent d'autres aspects intéressants de la question. On y apprend que la majorité des détenus étaient Canadiens d'origine, soit 2,441, alors que 482 venaient des autres pays britanniques. Les étrangers étaient au nombre de 791, dont 24 des Etats-Unis.
Prés d'un tiers des prisonniers, exactement 1,279, y subissaient le minimum de deux ans et un jour: 828 pour cinq ans; 36 pour vingt à vingt-cinq ans; 17 pour vingt-cinq ans et plus; 162 à vie.
L'âge des détenus se répartissait comme suit: 484 au-dessous de vingt ans; 1,710 entre vingt et trente ans: 842 entre trente et quarante ans; 437 entre 40 et 50 ans: 173 entre 50 et 60 ans; et 60 au dessus de 60 ans.
Classification par l'état civil: 2,328 célibataires; 1,240 mariés: 139 veufs et 7 divorcés.
La population pénitencerie comprenait en fin 75 negres, 59 Indiens et 81 Mongols; le reste était de race blanche.
Le coût d'entretien des pénitenciers va naturellement en augmentant chaque année, en raison même de l'augmentation de la population. Le rapport mentionné indique que les pénitenciers ont coûté au trésor fédéral la somme de $3,034,438, soit $1.49 par jour pour chaque détenu. La subsistance d'un prisonnier à St-Vincent-de-Paul est de 13e par jour. Le travail accompli par chaque pensionnaire diminue quelque peu les frais généreux des pénitenciers.
En plus des dépenses annuelles, il fut fait l'an dernier, pour $839,094 de réparations, améliorations constructions.
Un fonctionnaire du gouvernement fédéral est chargé de la mise en liberté provisoire des prisonniers. Il a juridiction non seulement dans les pénitenciers relevant de l'autorité fédérale, mais aussi dans les prisons et les maisons de correction provinciales. Durant l'année fiscale 1930-31, 913 détenus furent graciés sur parole, dont 415 venant des pénitenciers. Sur le total des libérés provisoires, 29 seulement furent réincarcérés pour non-conformité aux conditions et 37 se rendirent coupables de nouvelles infractions avant leur complète libération.
Chaque établissement pénitentiaire a sa propre vie industrielle. Les détenus travaillent dans des ateliers ou sur des fermes; tous contribuent de quelque façon à l'entretien de l'institution. Il y a des cordonniers, des tailleurs, des forgerons, des mécaniciens; d'autres s'occupent des différents travaux sur de vastes fermes admirablement bien entretenues.
Top right: La prison de Bordeaux, dans la banlieue de Montréal,
Bottom left: La prison de Québec, qu'on appelle familièrement is "Pension Carbonneau".
Bottom right: Le pénitencier de Kingston, Ontario.
#middlebrow magazine#newspaper investigation#dominion penitentiaries#prison statistics#kingston penitentiary#st vincent de paul penitentiary#montreal jail#dorchester penitentiary#manitoba penitentiary#prince albert penitentiary#british columbia penitentiary#prisoner population#prison overcrowding#great depression in canada#crime and punishment in canada#history of crime and punishment in canada#montreal
0 notes
Text
Photo d’illustration : Le maïs comme ingrédient pour les produits cosmétiques (domaine public)
À la découverte du trésor de l'Afrique de l'Ouest : Les grains de maïs de Sahel Agri-Sol
5 juillet 2024
Au cœur de l'Afrique de l'Ouest, les agriculteurs cultivent les trésors de la nature - des grains de maïs inégalés en qualité, saveur et polyvalence. En tant qu’exportateur des produits agricoles, nous invitons les fabricants de produits alimentaires et de cosmétiques du monde entier à découvrir le pouvoir transformateur de notre maïs exceptionnel.
Un héritage d'excellence
L'histoire de Sahel Agri-Sol est profondément enracinée dans la riche tradition agricole du Mali. Depuis des générations, nos agriculteurs prennent soin de la terre, combinant des techniques éprouvées avec des pratiques durables modernes. Cette approche unique donne des grains de maïs qui non seulement répondent, mais dépassent les normes mondiales, offrant un produit vraiment spécial sur le marché actuel.
Pour les fabricants de produits alimentaires : Élevez vos créations culinaires
Profil gustatif
Nos grains de maïs possèdent une saveur robuste, légèrement sucrée avec des notes de noisette - un témoignage du terroir unique de l'Afrique de l'Ouest. Ce goût distinctif peut ajouter de la profondeur et du caractère à une large gamme de produits alimentaires, distinguant vos offres sur un marché concurrentiel.
Polyvalence
De la farine de maïs traditionnelle et de la polenta aux en-cas innovants et au popcorn gourmet, notre maïs s'adapte magnifiquement à diverses applications. Sa texture supérieure et sa qualité constante le rendent idéal pour :
Excellence nutritionnelle
Riche en nutriments essentiels, notre maïs est une source de :
Pour les fabricants de cosmétiques : Le secret de beauté nature
Ingrédients innovants
Libérez le potentiel du maïs dans vos formulations cosmétiques :
1. Extrait de soie de maïs : Riche en antioxydants, il offre des propriétés anti-âge et apaisantes pour la peau.
2. Huile de maïs : Une huile légère, non comédogène, parfaite pour les hydratants et les produits capillaires.
3. Amidon de maïs : Un excellent absorbant naturel pour les poudres et les shampoings secs.
4. Farine de maïs fine : Un exfoliant doux pour les gommages corporels et les nettoyants pour le visage.
Attrait écologique
À une époque où les consommateurs exigent des solutions de beauté naturelles et durables, nos ingrédients dérivés du maïs offrent un récit convaincant. Mettez en avant la pureté et l'origine de vos ingrédients, en reliant votre marque au riche patrimoine agricole de l'Afrique de l'Ouest.
Les avantages Sahel Agri-Sol
1. Culture durable
Nos fermes emploient un mélange de sagesse traditionnelle et de pratiques écologiques modernes, assurant un impact environnemental minimal tout en maximisant le rendement et la qualité.
2. Contrôle qualité rigoureux
De la sélection des semences à la récolte et au traitement, chaque étape est méticuleusement surveillée. Nos installations de pointe et nos protocoles de test rigoureux garantissent la pureté, la cohérence et la sécurité.
3. Solutions flexibles
Que vous ayez besoin d'expéditions en vrac ou de plus petites quantités, nous offrons des options d'emballage personnalisables pour répondre à vos besoins spécifiques.
4. Disponibilité toute l'année
Notre planification stratégique et nos vastes installations de stockage assurent un approvisionnement stable tout au long de l'année, protégeant vos calendriers de production des fluctuations saisonnières.
5. Avantage concurrentiel
En choisissant Sahel Agri-Sol, vous n'achetez pas seulement du maïs - vous investissez dans une histoire de durabilité, de tradition et de qualité qui résonne avec les consommateurs conscients d'aujourd'hui.
6. Soutien et expertise
Notre équipe d'experts agricoles et de professionnels du service client est toujours prête à vous aider, de la sélection des produits au soutien logistique.
Portée mondiale, impact local
En vous associant à Sahel Agri-Sol, vous ne vous contentez pas d'élever vos produits, mais vous soutenez également des pratiques agricoles durables et contribuez au développement économique des communautés ouest-africaines.
Découvrez la différence Sahel Agri-Sol
Nous vous invitons à découvrir la qualité inégalée de notre maïs ouest-africain. Contactez-nous dès aujourd'hui pour demander des échantillons, discuter de vos besoins spécifiques ou organiser une visite de nos installations au Mali. Explorons ensemble comment les grains de maïs premium de Sahel Agri-Sol peuvent révolutionner votre gamme de produits et captiver vos clients.
Apportez l'essence dorée de l'Afrique de l'Ouest à vos produits mondiaux. Choisissez Sahel Agri-Sol - où la qualité rencontre la tradition et l'innovation embrasse la nature.
Sahel Agri-Sol
Hamdallaye ACI 2 000,
Immeuble « BAMA » 5ème étage APT 7
Bamako
Mali
Téléphone: +223 20 22 75 77
Mobile: +223 70 63 63 23, +223 65 45 38 38
WhatsApp/Telegram pour le marketing et les ventes mondiales : +223 90 99 1099
Email: [email protected]
Sites web
English https://sahelagrisol.com/en
Français https://sahelagrisol.com/fr
Español https://sahelagrisol.com/es
简体中文 https://sahelagrisol.com/zh
عربي https://sahelagrisol.com/ar
Réseaux sociaux
Facebook https://www.facebook.com/sahelAgri-Sol
LinkedIn https://www.linkedin.com/company/sahel-agri-sol
Twitter @sahelagrisol https://twitter.com/sahelagrisol
YouTube https://www.youtube.com/channel/UCj40AYlzgTjvc27Q7h5gxcA
Plus à
#maïs ouest-africain#grains de maïs#Mali#agriculture durable#exportation#ingrédients alimentaires#cosmétiques naturels#nutrition#polyvalence#contrôle qualité#innovation#tradition agricole#développement économique#approvisionnement flexible#disponibilité annuelle#impact local#portée mondiale
1 note
·
View note
Text
Les égarements des rêves
youtube
Yume no yukue - Les égarements des rêves
Me jetant un sort Tu as fait naître en moi le merveilleux, enveloppant toute ma vie Dans la ville grouillant de monde Le temps s'est arrêté et plus personne ne bouge
Comme un désert, la ville s'est éteinte sous le crépuscule Et maintenant, j'entends seulement ta voix qui m'appelle Dans le ciel de l'Ouest, le Scorpion grimpe jusqu'aux étoiles Il m'a appris ce qu'est l'amour
C'est sans doute un rêve Je ne suis plus le même qu'hier Résonnant depuis des temps immémoriaux Nous poursuivons tous les deux notre conte (notre histoire)
Le train de nuit poursuit son chemin Parmi les poussières d'étoiles Son sifflet résonnant dans le ciel nocturne
Toi qui t'envoles dans le ciel, baisse les yeux et vois D'innombrables lumières scintillent depuis la ville Formant une voie lactée
Dans le ciel de l'Est, un croissant de lune scintillant flotte Il me murmure le secret du bonheur
Le train de nuit poursuit son chemin Parmi les poussières d'étoiles Son sifflet résonnant dans le ciel nocturne
Quelle est sa destination ? Nul ne le sait
Je formule un simple vœu dans mon cœur Que notre voyage merveilleux ne prenne jamais fin
* Yume no yukue peut également se traduire par : les errements des rêves, les allées et venues des rêves
Antoine de Saint-Exupéry disait que le silence du désert confronte l'Homme à sa propre solitude. Un monde en mouvement, avec ses champs de force mystérieux, où tout semble se polariser et où chaque étoile indique le chemin vers une autre destination. Un terreau à l'apparence hostile, mais pourtant propice à la vie intérieure, aux souvenirs.
« Et comme le désert n'offre aucune richesse tangible, comme il n'est rien à voir ni à entendre dans le désert, on est bien contraint de reconnaître, puisque la vie intérieure loin de s'y endormir s'y fortifie, que l'homme est animé d'abord par des sollicitations invisibles. L'homme est gouverné par l'Esprit. Je vaux, dans le désert, ce que valent mes divinités. Ainsi, si je me sentais riche, à bord de mon paquebot triste, de directions encore fertiles, si j'habitais une planète encore vivante, c'était grâce à quelques amis perdus en arrière de moi dans la nuit de France, et qui commençaient de m'être essentiels. » Saint-Exupéry
youtube
Je vais t'offrir un monde Aux mille et une splendeurs Dis-moi princesse N'as-tu jamais laissé parler ton cœur ?
Je vais ouvrir tes yeux Aux délices et aux merveilles De ce voyage en plein ciel Au pays du rêve bleu
Ce rêve bleu C'est un nouveau monde en couleurs Où personne ne nous dit C'est interdit De croire encore au bonheur
Ce rêve bleu Je n'y crois pas c'est merveilleux Pour moi c'est fabuleux Quand dans les cieux Nous partageons ce rêve bleu À deux
Nous faisons ce rêve bleu a deux
Sous le ciel de cristal Je me sens si légère Je vire dérive et chavire dans un océan d'étoiles
Ce rêve bleu Ne ferme pas les yeux C'est un voyage fabuleux Et contemple ces merveilles Je suis montée trop haut Allée trop loin Je ne peux plus retourner d'où je viens
Un rêve bleu Sur les chevaux du vent Vers les horizons du bonheur Dans la poussière d'étoiles Naviguons dans le temps Infiniment Et vivons ce rêve merveilleux
Ce rêve bleu
Ce rêve bleu Au mille nuits Au mille nuits Qui durera Pour toi et moi Toute la vie
« Doraemon (ドラえもん) est une série de mangas japonais, créée par Fujiko F. Fujio, par la suite devenue un anime puis une franchise médiatique. La série se centre sur un chat-robot nommé Doraemon, ayant voyagé à travers le temps depuis le futur, afin d'aider un jeune garçon nommé Nobita Nobi (野比 のび太, Nobi Nobita). Le manga est initialement paru dans les marchés japonais en décembre 1969, lors de sa publication simultanée dans six différents magazines. Un total de 1 344 scénarios ont été créés pour la série, publiés par Shogakukan sous la branche Tentōmushi (てんとう虫), puis adaptés en quarante-cinq volumes. Les volumes sont conservés à la bibliothèque centrale de Takaoka, au Japon, la ville natale de Fujiko F. Fujio. Il s'agit par ailleurs de l'un des mangas les mieux vendus dans le monde, avec plus de 250 millions d'exemplaires, et de l'une des bandes dessinées les plus vendues au monde. »
« Doraemon est un robot-chat bleu dépourvu d'oreilles venu du futur afin d'aider Nobita Nobi (野比のび太, nobi nobita), un petit garçon japonais timoré, et l'empêcher d'accumuler par incompétence tellement de dettes que ses descendants doivent encore payer plusieurs générations plus tard. Doraemon possède une poche à quatre dimensions, de laquelle il sort (parfois à contre-cœur) d'innombrables gadgets futuristes pour aider Nobita à se défendre, arranger ses problèmes, rendre jaloux d'autres enfants, etc. Cependant, bien souvent, la situation dégénère quand Nobita essaye de jouer l'apprenti sorcier avec les gadgets de Doraemon. Les histoires ont toutes lieu au Japon contemporain. L'auteur y dépeint implicitement une fresque de tous les complexes des préadolescents (premières amours, timidité, travail scolaire pénible, relations d'amitié fragiles, etc.). »
« La majeure partie des épisodes de Doraemon appartiennent au domaine de la comédie et des valeurs morales telles que l'honnêteté, la persévérance, le courage et le respect. De nombreux problèmes sociétaux et environnementaux sont souvent visités, comme l'abandon d'animaux, le réchauffement climatique, les espèces menacées, la déforestation, et la pollution. De nombreux sujets historiques comme la préhistoire et l'histoire du Japon sont également visités. »
« Doraemon est récompensé du Prix de l'Association des auteurs de bande dessinée japonais pour excellence en 1973, du Prix Shōgakukan dans la catégorie « manga pour enfants » en 1982, et du Prix culturel Osamu Tezuka en 1997. En mars 2008, le ministre japonais des Affaires étrangères attribue à Doraemon le statut d'« ambassadeur animé » national. Le porte-parole du ministère explique que cette décision a été prise afin que les pays internationaux puissent mieux comprendre l'industrie anime japonaise et d'approfondir leur connaissance en matière de culture japonaise. En 2002, le personnage animé est élu « héros de l'Asie » dans un sondage effectué par le magazine Time Asia. »
youtube
DORAEMON - Himawari no yakusoku (La promesse du tournesol)
Pourquoi pleures-tu Alors que moi je ne pleure pas ? Maintenant je ne sais plus qui de nous deux a le plus de peine
Moi qui voulais jeter aujourd'hui à la poubelle Quand tu es auprès de moi, il se transforme en trésor
Je veux être à tes côtés Et je me demande si je peux faire quelque-chose pour toi Je veux te voir rire Je veux te voir rire pour l'éternité
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Je voudrais moi aussi qu'il m'atteigne Le bonheur qui se dissimule dans le quotidien Je ne m'en aperçois que maintenant…
Et même si le destin nous sépare, scintillant et lointain Marchons chacun de notre côté Et à la fin nous nous retrouverons J'en suis certain
Nos pas qui semblaient si irréguliers Se sont chevauchés et ne font maintenant plus qu'un
Cela ne paraissait rien Mais je n'oublierai jamais Tous ces moments banals que j'ai passés avec toi
Partant en voyage Nos mains se sont touchées Et j'ai prié pour que ton sourire ne disparaisse jamais
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Bien sûr, tu voudras me le rendre Mais puisque c'est toi, je n'en ai pas besoin Je dirai sans doute quelque-chose comme ça
Je veux être à tes côtés Et je me demande si je peux faire quelque-chose pour toi Je veux te voir rire Je veux te voir rire pour l'éternité
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Je voudrais moi aussi qu'il m'atteigne Le sens d'un vrai bonheur Je ne m'en aperçois que maintenant…
0 notes
Text
Communiqué de la Haute Autorité de Régence de la Populatyon de l'Empire (HARPE)
Le territoire souverain du Sérényssime Empire d'Ys est et demeure sous l'entier et total contrôle de la Haute Autorité de Régence de la Populatyon de l'Empire.
Ce territoire couvre :
- l'Archipel Yssois qui s'étend à l'Ouest jusqu'à Mont Pharys.
- la Catharsys du sud jusqu'au Canal de Suyze
- les îles Yzlandaises
Sur ces territoires, le peuple yssois est libre dans la mesure des pouvoirs qu'il a octroyé à la Haute Autorité de Régence par le référendum natyonal du 16 Juyllet de l'An XXIII (2023 ère vulgaire)
En particulier :
- tout traité conclus et non ratifié par la HARPE en la personne de son délégataire plénipotentiaire est déclaré nul et non avenu
- toute intrusyon de forces militaires est pure fariboles et désynformatyon de la part de puyssances étrangères en plein délire.
- nous demandons des explicatyons immédiates et sensées de la part des représentants zollernois
- nous demandons une condamnatyon ferme, claire et immédiates des agyssements spécyeux, malhonnêtes et pour le moins kidanaux de la diplomatye zozotte par l'ensemble de la Communauté Internatyonale.
0 notes
Text
🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, quelle liqueur buvez vous 🇫🇷❓❓
🥃Liqueur artisanale Verveine du Forez récolte 2023 créé et distribué par @verveine_du_forez 🥃
🌡️:
30°
👁️:
Robe de couleur verte foncé
👃:
Un nez très expressif, tout en délicatesse. Avec des notes de Verveine
💋:
En bouche, on a une liqueur avec une divine rondeur, on ne ressent absolument pas les degrés. Un peu de sucrosité apporte une belle gourmandise. La Verveine est bien présente avec des notes mentholées et poivrées. Une bonne longueur en bouche avec une finale sur le zeste de citron qui apporte de la fraîcheur en fin de bouche. Un régal.
📜 En résumé📜:
Je vais de découvertes en découverte avec cette magnifique liqueur de Verveine Française. Pure ou en cocktail, en Gin tonic, c'est vraiment sublime. Je me suis bien régalé.
🚨N'oubliez pas mon concours, toujours actif jusqu'au Dimanche 10 Décembre 20h sur ma page Instagram, pour gagner justement une bouteille de cette magnifique liqueur de Verveine 🚨
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des
vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
___________________________________________
🇫🇷🗣️Description de la maison @verveine_du_forez 🗣️🇫🇷
La famille FORISSIER est originaire du Forez. Il s'agit d'une région s'étalant de Clermont Ferrand à Saint Etienne jusqu'à l'ouest Lyonnais et au nord du Puy en Velay.Installée dans les années 1900 à Bonson, la famille cultive la terre du Forez en maraichage et plantes aromatiques.
Après la seconde guerre, la famille agrandit la ferme familiale avec deux nouvelles parcelles.
Trois générations plus tard, une partie des terres sont décrétées utilités publiques. La ferme familiale se réorganise et développe la transformation des plantes médicales avec la recette de verveine du pépé du Bonson.
A la fin du XIXieme siècle, le bassin Stéphanois était prisé pour son charbon. Les bateaux naviguant depuis Nantes venaient chercher ce précieux combustible. Pour amortir les expéditions les navires apportaient dans leurs soutes chocolats et épices du monde.
La région est depuis riche en maitres chocolatiers et grands amateurs de verveine.Cette plante aux parfums uniques, s'est rapidement étendue faisant de nombreux adeptes.A l'époque tout le monde cultivait sa verveine dans "un bac" que l'on prenait soin de rentrer l'hiver.
___________________________________________
⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓Hello corkscrew lovers. And you, what liquor do you drink 🇬🇧❓❓
🥃Artisanal liqueur Verveine du Forez harvest 2023 created and distributed by @verveine_du_forez 🥃
🌡️:
30°
👁️:
Green color dress
👃:
A very expressive nose, full of delicacy. With notes of Verbena
💋:
In the mouth, we have a liqueur with a divine roundness, we absolutely do not feel the degrees. A little sweetness brings a nice indulgence. The Verbena is very present with menthol and peppery notes. Good length in the mouth with a lemon zest finish which brings freshness to the finish. A delight.
📜In summary📜:
I go from discovery to discovery with this magnificent French Verbena liqueur. Pure or in a cocktail, in a gin and tonic, it's truly sublime. I really enjoyed it.
🚨Don't forget my competition, still active until Sunday December 10th at 8 p.m. on my Instagram page, to win a bottle of this magnificent Verbena liqueur 🚨
🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation��🔞Most wines were tasted and spat out. Unpaid tasting.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
___________________________________________
🇬🇧🗣️Description of the house🗣️🇬🇧
The FORISSIER family comes from Forez. It is a region stretching from Clermont Ferrand to Saint Etienne to the west of Lyon and to the north of Puy en Velay. Settled in the 1900s in Bonson, the family cultivates the land of Forez in market gardening and aromatic plants.
After the second war, the family expanded the family farm with two new plots.
Three generations later, part of the land was declared public utility. The family farm is reorganizing and developing the processing of medical plants with the verbena recipe from Pépé du Bonson.
At the end of the 19th century, the Stéphanois basin was prized for its coal. Boats sailing from Nantes came to collect this precious fuel. To cushion the expeditions, the ships brought chocolates and spices from around the world in their holds.
The region has since been rich in master chocolatiers and great lovers of verbena. This plant with its unique flavors quickly spread, attracting many fans. At the time, everyone grew their verbena in "a bin" which was taken take care to return in winter.
___________________________________________
🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi. E tu, che liquore bevi 🇮🇹❓❓
🥃Liquore artigianale Verveine du Forez raccolto 2023 creato e distribuito da @verveine_du_forez 🥃
🌡️:
30°
👁️:
Abito di colore verde
👃:
Un naso molto espressivo, pieno di delicatezza. Con note di Verbena
💋:
In bocca abbiamo un liquore dalla rotondità divina, non si avvertono assolutamente i gradi. Un po' di dolcezza porta una piacevole indulgenza. La Verbena è molto presente con note mentolate e pepate. Buona lunghezza in bocca con un finale di scorza di limone che apporta freschezza al finale. Una delizia.
📜In sintesi📜:
Vado di scoperta in scoperta con questo magnifico liquore francese alla verbena. Puro o in un cocktail, in un gin tonic, è davvero sublime. Mi sono davvero divertito.
🚨Non dimenticate il mio concorso, ancora attivo fino a domenica 10 dicembre alle 20 sulla mia pagina Instagram, per vincere una bottiglia di questo magnifico liquore alla Verbena 🚨
🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞Most i vini venivano degustati e sputati. Degustazione non retribuita.
__________________________________________
🇮🇹🗣️Descrizione della casa 🗣️🇮🇹
La famiglia FORISSIER proviene dal Forez. Si tratta di una regione che si estende da Clermont Ferrand a Saint Etienne, a ovest di Lione e a nord di Puy en Velay. Stabilitasi nel 1900 a Bonson, la famiglia coltiva la terra del Forez in orticoltura e piante aromatiche.
Dopo la seconda guerra la famiglia ampliò l'azienda agricola familiare con due nuovi appezzamenti.
Tre generazioni dopo, parte del terreno fu dichiarato di pubblica utilità. L'azienda agricola di famiglia si sta riorganizzando e sviluppando la lavorazione delle piante medicinali con la ricetta della verbena di Pépé du Bonson.
Alla fine del XIX secolo, il bacino dello Stéphanois era apprezzato per il suo carbone. Le barche in partenza da Nantes venivano a raccogliere questo prezioso combustibile. Per attutire le spedizioni, le navi portavano nelle loro stive cioccolatini e spezie da tutto il mondo.
Da allora la regione è stata ricca di mastri cioccolatieri e di grandi amanti della verbena. Questa pianta dai sapori unici si diffuse rapidamente attirando numerosi estimatori. All'epoca tutti coltivavano la loro verbena in "un bidone" che si aveva cura di riporre in inverno.
1 note
·
View note
Text
J'découvre mes mots ,mes maux viennent pas du Louvre
Mon cri passe pas le BAC mais dans mon style borderline ,j'ai des failles et j'te cisaille
Mes bras sont mutilée ,s'marave à coup de ciseaux aiguisés
Toxico,Tramadol, défoncé dans le tram ferme ta gueule t'est folle quand la camisole ecrite sur ta tête te brûle et t'immole
J'bedevais pas mais le Lyrica m'explosait
J'tisais pas pas ses lyrique me défoncaient
J'viens parler sans mes tabou car j'leur détruit le cou
Aujourd’hui tant de meufs abusées tout les jours et c'est pas que des fous
La drogue t'attire comme tu attire les pointeurs
C'est pas de faute ,c'est eux les violeurs
Mais quand tu te came on profite de toi
Tu serait sans âme comme un au dela sans foi
Car j'marchait seul defoncée dans les ruelles
Qu'elle soit moche ou belle elle attire ces ordures dans leur poubelle
Male violent ,une michto c'est rien a coté d'un gros macho
Car l'Écriture inclusive ce serait pour les mal baisées car sois disant y a pas de mauvais baiseur
Car les murs gisent et poussent à la derive quand le mal si laid profite de ta douceur
Crois moi ,ils ont des 4&4 en pleine ebullition
Toi tu est psychiatre de cette poesie pleine de passion
Viol ou came proche de l'hero
Va voir ailleurs, il te manque un euro
Aujourd’hui j'decouvre l'amour, pas besoin d'un gars comme toi ,j'preferais même un rat
Aujourd’hui les meufs abusées par nos reuf paieront plus l'addiction ,900 euros d'AAH ,je fait tache mais que dans la peinture
Les pro capitalistes me disent d'aller bosser, j'prefere brosser mes rimes utopistes
Avant je me shootais aux antidouleur maintenant mon shoot c'est d'ecrire ma douleur
Un cri d'amour ,de passion ,de pudeur
Un cri qui nique ton capital ,deviens capitaine
Fait sortir l'amour à travers la haine
J'baise vos codes ,vos modes ,vos modeles
J'prefere mourir rebelle plutot que belle
Ancien tox ,jamais botoxée juste par les rimes
J'etait lost mais maintenant je viens même si je frime
J'suis loin de la tess mais dans ce refrain viens pas me test ,jsuis la tigresse qui fait de l'ouest le pays des princesses
Resitante tranchante et warrior de l'aurore
J'defie le systeme comme j'defie la vie et la mort
Nébuleuse
0 notes
Text
Les chefs de la défense ouest-africains ont élaboré un plan d'action militaire si le coup d'État du Niger n'est pas renversé "tout de suite", après l'échec de la médiation dans une crise qui menace la sécurité régionale et a attiré les puissances mondiales. La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a donné aux putschistes du Niger jusqu'à dimanche pour démissionner et réintégrer le président élu Mohamed Bazoum. Le bloc a adopté une position ferme sur la prise de contrôle de quelques jours auparavant, le septième coup d'État en Afrique de l'Ouest et du Centre depuis 2020. Compte tenu de ses richesses en uranium et en pétrole et de son rôle central dans le conflit contre les rebelles islamistes dans la région du Sahel, le Niger revêt une importance stratégique pour les États-Unis, la Chine, l'UE et la Russie. Le gouvernement américain a suspendu les programmes d'aide étrangère qui profitent au gouvernement du Niger mais continuera à fournir une aide humanitaire et alimentaire, a annoncé vendredi le secrétaire d'État américain Antony Blinken. A rapporté le plan d'intervention, les chefs d'État décideront quand et où frapper et n'alerteront pas les putschistes, a annoncé le commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la CEDEAO, Abdel-Fatau Musah. "Tous les éléments qui entreront dans une éventuelle intervention ont été élaborés ici, y compris les ressources nécessaires, comment et quand nous allons déployer la force", a-t-il déclaré à l'issue d'une réunion de trois jours à Abuja, la capitale du Nigeria. . Prospérer sur le chaos Quelle que soit l'option choisie par l'organisme composé de 15 pays, les risques de conflit se multiplient dans l'une des régions les plus pauvres du monde où des groupes liés à l'État islamique et à Al-Qaïda prospèrent dans le chaos. On ne sait pas combien de soutien le bloc a. Le Tchad voisin, qui ne fait pas partie de la CEDEAO mais dont le chef militaire, le président Mahamat Idriss Deby, a joué un rôle dans les efforts de médiation cette semaine, a annoncé qu'il n'interviendrait pas militairement. La CEDEAO a déjà imposé des sanctions au Niger et envoyé jeudi une délégation dans sa capitale Niamey pour demander une "solution à l'amiable", mais une source dans l'entourage a annoncé qu'ils avaient été repoussés et n'étaient pas restés longtemps. "Nous voulons que la diplomatie fonctionne, et nous voulons que ce message leur soit clairement transmis que nous leur donnons toutes les chances d'inverser ce qu'ils ont fait", a annoncé Musah. Le président nigérian Bola Tinubu a demandé à son gouvernement de se préparer à des options telles que le déploiement de personnel militaire dans une lettre lue au Sénat vendredi. Le Sénégal a aussi déclaré qu'il enverrait des troupes. La junte a dénoncé les ingérences extérieures et déclaré qu'elle riposterait. Le putschiste Abdourahamane Tiani, 59 ans, a servi comme commandant de bataillon des forces de la CEDEAO lors des conflits en Côte d'Ivoire en 2003, il sait donc ce qu'impliquent de telles missions d'intervention. Le soutien que lui apportent les autres juntes du Mali et du Burkina Faso voisins pourrait aussi saper la réponse régionale. 'Conséquences dévastatrices' Les deux pays ont affirmé qu'ils prendraient la défense du Niger. Détenu à la résidence présidentielle de Niamey, Bazoum, 63 ans, élu en 2021, a annoncé dans ses premiers propos depuis le coup d'État qu'il était un otage et avait besoin de l'aide américaine et internationale. "S'il (le coup d'État) réussit, il aura des conséquences dévastatrices pour notre pays, notre région et le monde entier", a-t-il écrit dans un article d'opinion du Washington Post, soutenant les sanctions économiques et de voyage de la CEDEAO. La junte a cité l'insécurité persistante comme sa principale justification pour prendre le pouvoir, par contre les informations sur les attaques montrent que la sécurité s'est en fait améliorée,
tandis que la violence a grimpé en flèche depuis que les juntes ont pris le contrôle au Mali et au Burkina Faso. Les donateurs occidentaux ont réduit leur soutien au Niger en signe de protestation, même si le pays dépend de l'aide pour 40 % de son budget. -AAP
0 notes
Text
De l'aube au crépuscule
Ferme les yeux un instant. Et pendant ce temps, visualise cette extraordinaire planète que nous appelons notre maison. (Fais-le, vraiment.)
Tout ce que tu viens d'imaginer, c'est Dieu qui l'a créé. Et Dieu nous a tous créés pour que nous l'adorions.
Du nord au sud et de l'est à l'ouest.
Depuis les villes bouillonnantes jusqu'aux villages paisibles.
Des déserts sans vie aux forêts luxuriantes.
Des plus hautes montagnes aux océans les plus profonds.
“Du lever du soleil jusqu'à son couchant, Que le nom de l'Éternel soit loué !”
Psaumes 113:3 NVS78P
Le soleil se lève et se couche sur tous les hommes. Tous les peuples, toutes les langues, toutes les nations. Toutes les couleurs de peau, d'yeux et de cheveux. Toutes les silhouettes, toutes les tailles et toutes les personnalités. Riches et pauvres. Les cœurs meurtris et ceux remplis de joie.
Un mélange éclectique de personnes issues de partout dans le monde a toujours loué Dieu, de génération en génération, et cela continue encore aujourd'hui. Et nous savons que cela ne s'arrêtera jamais.
Dans Apocalypse 7, Jean a une vision d'une "grande foule que nul ne pouvait compter, de toute nation, de toutes tribus, de tous peuples et de toutes langues. Ils se tenaient devant le trône et devant l'Agneau", c'est-à-dire le Christ. Ils le servent et l'adorent, jour et nuit.
Le peuple de Dieu, passé, présent et futur, est un peuple d’adorateurs.
Nous pouvons adorer avec nos chansons.
Nous pouvons adorer avec notre argent.
Nous pouvons adorer avec nos vies.
Et un jour, lorsque tout sera révélé, tout genou fléchira et toute langue confessera que Jésus-Christ est Seigneur. Mais aujourd'hui, nous n'avons pas besoin d'attendre pour adorer.
Quand la lumière du soleil transperce tes fenêtres, tu peux adorer.
Quand le ciel du soir devient rose orangé, tu peux adorer.
Quand tu es dans une saison d'attente, tu peux adorer.
Quand tu es dans une saison où tu reçois, tu peux adorer.
Quand ton cœur est brisé, tu peux adorer.
Quand ton cœur est comblé, tu peux adorer.
De l'aube au crépuscule, que le nom du Seigneur soit loué.
Aujourd'hui, médite sur ce verset et réfléchis à ce qui te pousse à adorer Dieu. Ensuite, tourne ton cœur vers lui et n'oublie pas de l'adorer.
0 notes
Text
Inquiétudes dans les fermes de l'Ouest canadien prises dans les feux - Actu Orange
Inquiétudes dans les fermes de l’Ouest canadien prises dans les feux Actu Orange Incendies au Canada : l’Alberta continue de brûler et se prépare à l’arrivée d’une forte vague de chaleur Le Monde INFOGRAPHIES. Incendies au Canada : Paris, Lyon, Marseille… Visualisez ce que représente la surface brûlée par rapport à des villes françaises franceinfo Comment expliquer la violence des incendies…
View On WordPress
0 notes
Text
Tempête - Digue de Querqueville - Avril 2022
La digue de l'Ouest de Querqueville est un long ruban de granit posé sur la mer. Longue de 1200 mètres, elle ferme du côté ouest la grande rade de Cherbourg-en-Cotentin. C'est un lieu idéal pour se promener. Il offre par grands vents le spectacle d'une mer indomptable avec ses vagues qui viennent se fracasser sur les blocs de granit. C'est exactement ce qui s'est passé en ce 1er Avril 2022! Camera: Canon EOS 2000D Objectif: Canon EF-S 18-55 IS II et Tamron AF 70-300mm f/4-5.6 Di LD Macro Post-production avec Skylum Luminar 3 Shoot: Fin de matinée, au tout début du mois d'avril 2022. Journée de tempête sans pluie, vent incroyablement fort; il faisait très froid. Toutes les photos ont été faites au niveau de l'entrée de la digue et vers le fort de Querqueville, côté mer. Read the full article
#Cherbourg#CherbourgenCotentin#Cotentin#digue#Manche#monumenthistorique#Normandie#paysagecôtier#Querqueville#rade#tempête
0 notes
Text
Bonjour à tous ! Voici la suite (et fin) du post d'hier !
Nous nous étions donc quittés à la fin de la randonnée au Trou de Fer, fourbus mais ravis, et nous étions sur la route du retour.
En chemin, nous nous émerveillons sur le paysage : la grisaille du matin s'est levée, et nous découvrons donc de superbes points de vue :
Là, je suggère un tout petit arrêt sur le chemin, à la Plaine des Palmistes : une petite ville située très, très haut sur un plateau, coincée entre le massif volcanique du Piton des Neiges à l'ouest, et celui du Piton de la Fournaise a l'est.
Non, ce n'est pas le panneau officiel de la ville. Mais c'est drôle quand même !
Là, nous nous arrêtons au Domaine des Tourelles : une ancienne maison de villégiature qui abrite aujourd'hui le Musée de l'artisanat. Le musée ferme dans moins d'une heure, donc nous n'aurons pas le temps de le faire, mais je voulais surtout voir l'édifice en lui-même :
J'ai trouvé une fleur tombée par terre sous un des buissons de Camélia planté dans le jardin devant la bâtisse !
Puisqu'on parle du jardin !
Malheureusement, le salon de thé du Domaine est fermé 🥲 (c'est Dimanche ! Zut !) donc nous repartons, pour cette fois rentrer chez Annick et Éric pour un repos bien mérité !
Allez, sur ce, je vous laisse sur des photos bonus de la randonnée !
Des CHAMPIGNONS !
Et un Julien qui a décidé de m'imiter ! (Mais si, vous savez, pendant la marche sur le sentier de Notre-Dame de la Paix !)
2 notes
·
View notes
Text
"L'Ouest vient à l'aide de l'Est," La Patrie. July 25, 1943. Page 2, 4 & 11. --- Page 2: Un geste admirable de nos fermiers de l'est du pays, qui se produisit il y a environ 20 ans, est aujourd'hui rendu au centuple. Il y a 20 ans les fermiers des prairies se voyaient acculés au désastre à cause du manque de main- d'œuvre et nos fermiers allèrent dans l'ouest aider aut récoltes. Cette année la même situation se produit, mais dans l'est du pays cette fois. Les fermiers de l'ouest, ayant terminé leur semailles, viennent à l'aide de nos cultivateurs et participeront à nos récoltes. Puis ils retourneront chez eux à temps pour leurs récoltes à eux. Ci-dessus, un fermier de l'ouest qui vient d'arriver dans l'est.
La pénurie d'hommes de ferme force madame John Dresser à récolter elle-même les cerises de son verger.
Richard Cockle, de Larose, Saskatchewan, s'arrête un moment pour causer avec le fermier John Dresser, de Grantham. Le jeune Cockle est venu donner un coup de main à ce fermier de l'est pour s'occuper des récoltes.
Richard Cockle, de Larose, Sask. conduit un tracteur sur une ferme de l'est. Se souvenant de l'aide qu'allaient leur porter les fermiers de T'est du pays, il y a vingt ans, les fermiers des prairies viennent remettre maintenant la politesse et se sont rendus en groupes nombreux pour aider nos fermiers surchargés d'ouvrage et incapables de voir seuls aux récoltes, à cause du manque de main-d'œuvre.
Suite à la 4e page
---
Page 4: Ce jeune fermier de Couent est remis an secours d'un fermier de l'est du pais, durement atteint par la pénurie de main d'ouevre. Avant de commencer la journée, le jeune homme requit des explications de son patron temporaire, au sujet du travail qu'il devra exécuter.
De jeunes ouvrières aident aussi les fermières dans leur travail. Ici, deux jeunes citadines sont allés passer leurs vacances à la campagne chez des cultivateurs, au lieu d'aller dans un endroit de villégiature. Tout en prenant le bon air et en se délassant par un changement de travail, ces jeunes filles se rendent utiles à leur pays.
Sur la ferme, a toutes sortes de travaux et ce jeune fermier de l'ouest venu dans l'est du pays pour aider les cultivateurs, qui manquent de main d'ouvre, fait de tout. Il est occupé ici a traire une vache pour envoyer ensuite le lait a la grande ville. Suite à la 11e page. --
Page 11: Ces deux jeunes gens, H-A. Scott, de Carrott River à gauche est Carman Weir, de Prince-Albert, Sask., sont venus aider leurs camarades de l'Ontario, où la pénurie de main-d'oeuvre agricole se fait sentir durement. Ils répètent en sens contraire le geste que faisaient il y a quelque vingt ans les fermiers de l'est, qui allaient aider les fermiers des prairies.
Voici un jeune fermier de L'ouest occupé à la récolte sur une du Canada. Quand les récoltes seront terminées ferme de l'es du dans l'Ontario et le Québec, il retournera à à temps dans les prairies pour faire la récolte du blé.
Johnny Freddruik s'est rendu dans la province de Quebec pour travailler sur la terre et aider aux récoltes en attendant que celles des prairies soient prètes.
Cas jeunes fermiers de l'ouest répètent le geste des gens de l'est et c'est à leur tour maintenant de venir dans les provinces d'Ontario et de Québec pour aider aux récoltes. On les voit ici dans une petite station de chemin de fer en Saskatchewan, attendant le train qui les conduira dans l'est.
Ci-contre, un jeune fermier de l'ouest qui se sont très à l'aise au volant d'un tracteur sur une ferme de l'est. Il fait partie du groupe nombreux des fermiers de l'ouest venus aider les fermiers de l'est.
#prince albert#larose sask#farming in canada#farm workers#agricultural workers#agricultural crisis#labour shortage#manpower shortage#canada during world war 2#harvest time#alternative service#battle for food#farm service
0 notes