#fenêtre lumineuse
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bearbench-img · 3 months ago
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アカリマド
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明かり窓は、建物の壁面や屋根などに設置される開口部のことで、主に採光や換気を目的としたものです。一般的にガラスやアクリルなどの透明な素材で作られ、室内に自然光を取り入れることができます。また、換気のための開閉機能を備えたものもあります。
手抜きイラスト集
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jamie-007 · 1 month ago
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Je te souhaite assez....! 🙏✨
Récemment, j'ai entendu une mère et sa fille converser dans leurs derniers moments ensemble à l'aéroport alors que le départ de la fille avait été annoncé.
Debout près de la porte de sécurité, elles se sont embrassées et la Mère a dit :
"Je t'aime et je te souhaite assez. "
La fille a répondu : "Maman, notre vie ensemble a été plus que suffisante. Ton amour est tout ce dont j'ai toujours eu besoin. Je te souhaite assez aussi, maman." Elles se sont embrassées et la fille est partie.
La mère s'est approchée de la fenêtre où je m'étais assise. Debout là, je pouvais voir qu'elle voulait et avait besoin de pleurer.
J'ai essayé de ne pas m'immiscer dans sa vie privée, mais elle m'a approchée en me demandant : « Avez-vous déjà dit au revoir à quelqu'un sachant que ce serait pour toujours ?
"Oui, je l'ai fait", répondis-je. "Pardonnez-moi de demander, mais pourquoi est-ce un au revoir pour toujours ? "
"Je suis vieille et elle vit si loin. J'ai des défis à relever et la réalité est que le prochain retour sera pour mes funérailles », a-t-elle déclaré.
Quand vous lui disiez au revoir, je vous ai entendu dire : "Je te souhaite assez. " Puis-je demander ce que cela signifie ? "
Elle commença à sourire. « C'est un vœu qui a été transmis par d'autres générations. Mes parents le disaient à tout le monde. "
Elle s'est arrêtée un moment et a levé les yeux comme si elle essayait de s'en souvenir en détail et elle a souri encore plus.
« Quand nous avons dit « Je te souhaite assez », nous voulions que l'autre personne ait une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour la soutenir ». Puis se tournant vers moi, elle a partagé ce qui suit, en le récitant de mémoire,
« Je vous souhaite assez de soleil pour garder votre attitude lumineuse.
Je vous souhaite assez de pluie pour apprécier davantage le soleil.
Je te souhaite assez de bonheur pour garder ton esprit vivant.
Je vous souhaite assez de douleur pour que les plus petites joies de la vie paraissent beaucoup plus grandes.
Je vous souhaite assez de gains pour satisfaire votre désir.
Je vous souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que vous possédez.
Je vous souhaite assez de bonjour pour vous faire passer le dernier au revoir. "
Elle s'est alors mise à pleurer et s'est éloignée.
Ils disent qu'il faut une minute pour trouver une personne spéciale. Une heure pour l'apprécier, Une journée pour l'aimer et toute une vie pour l'oublier. ✨🌟💝
Bob Perks
La Numérologie de Maud
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ernestinee · 1 year ago
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Cette nuit, j'ai pu observer depuis ma fenêtre la constellation d'Orion bien reconnaissable aux trois étoiles rapprochées de sa ceinture, et Bételgeuse la plus brillante sur son épaule, j'ai vu Sirius en bas à gauche d'Orion, qui est la plus brillante de la constellation du Grand Chien, j'ai vu le Petit Chien un peu plus haut, et aussi les Gémeaux, en haut à gauche d'Orion.
Bételgeuse est déjà morte mais il faut 650 ans pour que sa lumière nous parvienne. Du coup, autour des années 2300, on verra d'ici son explosion, alors elle sera tellement lumineuse qu'elle sera visible même en plein jour.
Tout ce petit groupe est maintenant au nord-ouest sous la ligne d'horizon. De ma fenêtre, en plein sud, on pourrait voir la constellation de la balance et celle du Scorpion juste à sa droite, mais il fait déjà trop clair.
On est le 28 janvier, ça fait aujourd'hui 28 ans que mon père est décédé. Lui aussi, dans ma vie qui suit son cours avec des hauts et des bas, sa lumière continue de me parvenir.
Et le ciel est là, fidèle point de repère dans nos errances.
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les-portes-du-sud · 11 months ago
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Les belles âmes devraient être heureuses ; Seuls les méchants sont malheureux. Il me semble que le bonheur réside dans une vision lumineuse de la vie et dans l'impeccabilité du cœur, et non dans l'extérieur.
Fiodor Dostoïevski
***
Je suis de nouveau en vie et il y a un miracle devant ma fenêtre
Il dispersait ses fleurs comme des étoiles.
Désolé, mais toutes mes pensées tournent autour d'une seule chose :
Combien nous a été donné - peu de choses se sont passées...
La vie est chaque jour plus douce et plus désirable.
Et son goût est plus aigu, comme celui d’une épée sans fourreau.
Alors vis sans y penser
Comme le monde est cruel et désespéré.
Jan Barenboim
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juleusse · 5 months ago
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J'entrai dans la station-service. Je tins la porte à un homme qui était peut-être un routard États-Uniens, il avait la casquette la barbe et une chemise à carreaux enfin je crois je ne suis pas sûr je pourrais très bien dire n'importe quoi. L'homme m'a remercié chaleureusement il avait l'air sympathique, je me suis dit trop cool j'inspire du respect et de la chaleur à un homme qui est chauffeur de camion États-Uniens enfin je pense, j'espère, ce serait la classe. J'ai toujours trouvé cools les chauffeurs de camion États-Uniens, les hommes qui sont sur la route aux États-Unis. Les films sans doute...
On entre tous les deux dans les toilettes, je fais mon pipi et lui aussi, il s'en va, nous étions au pissoir. Moi je prends mon temps je suis un homme nerveux faut que ma ceinture soit remise parfaitement et que mon caleçon soit placé parfaitement sous mon short, faudrait pas que ça me dérange. Je passe les détails de tous les autres mécanismes de malade mental que j'ai et qui font que je suis un homme aussi lent qu'une tortue et qui vu de l'extérieur ressemble à un homme qui replace sa ceinture pendant 30 ans sans qu'au final ça ne change grand-chose à sa position initiale.
Dans les toilettes assis à côté de moi, de l'autre côté du mur, caché, j'entends un gémissement. Un soulagement même, prolongé, appuyé, bruyant. Chelou gênant mais quand-même sacrément drôle en vrai. Damn un homme encore plus bizarre que moi. Ça n'arrête pas les gémissements se répètent je me dis damn voilà un homme léger.
Ça me rappelle ce matin-là à l'auberge de jeunesse de la Nouvelle-Orléans où j'avais été réveillé également par un gémissement, c'était un long Damn d'ailleurs, genre daaaaaaaamn, mais aux sonorités plus érotiques et moins liées à l'univers gastrique. C'était tôt le matin j'avais mal dormi j'avais fait trop de portable la veille avant de m'endormir, et j'étais un peu stressé je devais partir à Mexico le jour même puis j'en avais ras le cul de cette auberge de merde, ouais c'était vraiment une auberge de merde je la recommande pas, si un jour ils me lisent ce que je pense arrivera inéluctablement aucun problème j'assume mes propos vous êtes une auberge de merde, une belle merde comme celle délicatement et savoureusement évacuée par l'homme décrit plus tôt.
Bref j'étais un peu de mauvaise humeur de me faire réveiller par les bruits d'une femme qui prend du plaisir. Nous étions seulement deux dans une grande chambre sans fenêtre de 6 lits superposés sans rideau isolant, et dont les lumières au plafond ressemblaient à celles des hôpitaux mais en encore plus moches et en encore plus lumineuses genre presque aveuglantes, d'un blanc froid aveuglant. Sauf que là on était dans le noir et j'entendais se tortiller dans le lit plus bas. Putain y en a qui s'en tape vraiment des autres, elle avait déjà été chiante la veille à faire des appels vidéos avec son homme jusqu'à pas d'heure, je me suis dit qu'il en avait peut-être marre de l'appeler et il était peut-être venu en personne, c'est vrai que j'avais cru comprendre qu'il y avait des passages un peu coquins lors de l'appel, alors que moi je lisais mon livre sur les Innus en pyjama, bien gentil bien sage bien docile dans mon lit superposé. Puis c'est vrai que je l'ai entendue se lever je crois, un peu plus tôt dans la matinée déjà tôt, peut-être qu'elle avait ramené son homme à ce moment-là mais c'était quand-même bizarre parce que normalement c'est interdit de ramener des invités, c'est pas moi qui le dit c'est le règlement. J'ai jeté quelques regards un peu énervés et peut-être un brin jaloux vers le lit de la meuf, quoique j'étais trop de mauvaise humeur pour avoir quelconque désir. J'ai vu bouger et je me demande si j'ai pas vu deux personnes. Ce qui est bizarre néanmoins c'est que quand ça s'est calmé, quand les gémissements qui en vrai sonnaient plutôt joliment, en tout cas plus jolis que l'autre cochon en train de chier dans la station-service de l'état de New York, bref quand ça s'est calmé elle a appelé quelqu'un. C'est bizarre de faire ça après l'amour c'est chelou quand-même non pourquoi tu ferais ça t'es bizarre.
J'ai lâché un Oh Come on parce que j'avoue j'étais agacé, y a des limites quand-même puis bon elle ne me faisait pas tellement peur. Elle a dit quelque chose je crois mais j'en suis pas sûr et puis de toute façon je m'en souviens plus. J'ai ajouté de manière polie, succincte et ouverte au dialogue qu'en gros elle était casse-couilles à faire tout ce bruit alors qu'il était à peine 8h du matin. Elle m'a répondu qu'il était exactement 8h du matin, comme si c'était l'argument ultime qui lui permettait de faire tout le bruit qu'elle voulait et qui m'empêchait de faire toute critique. Que répondre face à ça j'avoue j'étais un peu surpris, bien joué. Je me suis levé pour aller prendre mon petit-déjeuner j'avais mis le réveil à 8h du matin de toute façon et elle n'avait pas menti il était effectivement 8h du matin, fallait que je me taise bon dieu. Sur le chemin c'était bizarre j'avais l'impression qu'elle était seule dans son lit finalement mais bon tout n'était pas très clair dans ma tête j'étais fatigué, je pouvais pas vraiment réfléchir.
Je mangeais mon petit-déjeuner tranquille quand un employé chelou et casse-couilles m'a donné le coup de grâce, alors même que je me disais que la vie est finalement plutôt belle et pleine de surprises et de promesses. Le beurre de cacahuète et moi c'est une relation solide, couple ouvert certes mais on en a vu d'autres. L'homme s'est arrêté à mon niveau et il m'a demandé comment j'allais. C'était un peu bizarre parce qu'à mon arrivée il m'avait rappelé l'arrogance teintée d'un brin de malveillance que je connaissais d'autres êtres humains et que je n'étais pas prêt d'oublier. Puis il avait été prodigieusement indifférent ce qui était vraiment une belle perf pour quelqu'un qui travaille dans le domaine de l'accueil des gens, trimballant avec lui une vibe très bizarre pas toujours claire ni saine ni bienveillante mais en vrai j'en sais rien finalement de ce qui le traversait, j'exagère peut-être j'ai parfois pas peur de l'exagération. Il s'était montré subitement sympathique un soir où j'avais débarqué sans faire exprès à l'happy hour pourri qu'il organisait et où il n'y avait personne. Il m'a offert un soft me l'a même ouvert et servi et m'a filé un extra dollar pour que je puisse prendre le tram comme le tram n'acceptait pas la carte. Je sentais ou au moins j'avais l'impression que ça le faisait quand-même un peu chier de faire tout ça pour moi mais en vrai j'en sais rien c'est peut-être mon esprit aussi susceptible que chelou avec sa ceinture après avoir fait pipi qui parle, par contre j'avoue j'ai quand-même jubilé quand je lui ai indirectement fait comprendre que ouais t'inquiète tu peux me servir toi-même le coca que tu m'as offert et décapsulé, et ce dans le cadre d'un happy hour où personne n'est venu et où moi-même je n'allais pas rester. Merci gars pour le dollar que tu m'offres sans remboursement à venir ça fait plaisir, ça aide. Yesseusse je suis un gamin mais j'avoue pour le coup ça faisait du bien, je comprends le gémissement de joie du gros dégueulasse qui faisait caca dans la station-service à New York.
Puis j'ai compris que les employés recevaient des bonus si les guests les mentionnaient dans leurs commentaires sur booking.com à la fin de leur séjour. Je me suis dit ah ok je comprends mais d'un autre côté il n'était pas totalement frontal vis-à-vis de ça donc j'avoue qu'au fond de moi j'avais l'espoir naïf innocent gênant et débile que cet homme finalement s'intéressait un peu à moi, un tout petit peu. J'ai souvent ressenti cet étrange besoin de plaire et de séduire des êtres humains pourris qu'en vrai je n'aime pas et qui peuvent être parfois blessants voire carrément des connards finis, wow je suis quand-même spécial à être content si jamais je les fais rire. Bref à la suite de cette interaction on a eu quelques small talks bizarres où il était sympathique je trouvais ça ouais franchement bizarre puis je me disais non il va pas oser, il est quand-même pas sympathique et curieux à propos de ma vie juste pour choper de la thune, il va pas oser.
Ce matin là à la fin de mon petit déjeuner, à la fin de ses nouvelles questions polies quant à mon voyage, alors que je me dis cool il est quand-même sympa finalement même s'il est quand-même masse chelou, je suis même carrément flatté en fait finalement qu'un connard fini puisse s'intéresser à moi, wow j'ai quand-même du charisme j'inspire le respect et la curiosité à des êtres qui n'ont pas peur d'être des connards finis publiquement, bref à la fin de la petite conversation, il me dit Ah oh fait, n'oublie pas de mentionner mon nom dans ton commentaire. Il s'en va et rigole comme si de rien n'était.
Je rentre dans la chambre noire en me disant fuck ça me casse les couilles cette auberge c'est de la merde je déteste la Nouvelle Orléans c'est vraiment pas pour moi je suis trop gentil et sensible et stylé ouais ça faut le dire pour la Nouvelle Orléans, je suis quand-même stylé ouais enfin je le pense enfin je pense que je le pense ou plutôt je le dis pour compenser l'autre enfoiré que j'hésite à démonter dans mon commentaire booking.com, crois-moi j'en suis capable je pourrais faire un roman magnifique sur cet tentative de corruption horrible et terrifiante et malsaine et terriblement méchante d'un pauvre petit Bakpacker du quartier Contades de Strasbourg qui voulait juste avoir du fun à la Nouvelle Orléans et oublier son passé tragique. Mais bon en vrai je suis pas assez lâche je suis quand-même digne enfin c'est ce que je me dis j'aime bien penser ça tout de suite je me sens mieux, puis je me barre bientôt donc en vrai tranquille. Puis je me rends compte en vrai que la meuf qui a gémi bah elle est seule dans son lit en fait, a priori. Putain c'est ouf ! Ça change beaucoup de choses. C'est presque flatteur, elle s'est sentie suffisamment à l'aise dans la chambre avec moi pour se faire du bien toute seule, pour se caresser et gémir langoureusement, damn peut-être même que c'était une invitation, peut-être même qu'elle voulait mon attention et que je participe. Dans tous les cas elle a l'air d'avoir joui au son de son long gémissement en forme de daaaaaaaamn qui m'avait presque inquiété tant il était appuyé. Damn c'est presque flatteur c'est comme si j'avais contribué à la chose, qui sait peut-être que je l'ai inspirée.
L'agacement a disparu j'étais presque fière de moi, une femme de plus qui était comblée. J'avais été tenté de faire un max de bruit en faisant mes affaires et de laisser les lumières d'hôpital ultra aveuglantes et froides allumées lorsque je quitterais la chambre, parce que comme elle le disait il était exactement 8h du matin, en fait il était carrément plus tard donc ouais ma grande moi aussi j'ai tous les droits prends ça, comme je suis lâche Damn je me défoule sur une fille mais bon l'homme est un loup pour l'homme et moi je suis une tortue ou un petit agneau sans défense au passé tragique et qui cherche monsieur le berger pour me protéger des requins. Sauf que bref tout avait changé on était maintenant dans la même équipe avec ma compagne de chambre, t'inquiète j'ai capté les signaux merci et de rien je t'en prie, service. Bon après faut pas abuser elle m'avait quand-même réveillé puis la veille elle avait été bien bruyante avec son tel donc ouais fallait que je fasse quelque-chose, du coup je suis quand-même parti en laissant la lampe de chevet allumée et ouais j'ai fait ça ouais je suis sûr qu'elle avait trop les nerfs en tout cas voilà faut pas me chercher je suis pas un lâche je suis courageux.
Ce jour-là dans les toilettes de la station service dans l'état de New York, alors que l'homme dans les toilettes assis faisait comprendre qu'il était de plus en plus soulagé, et que le malade mental que je suis n'arrêtait pas d'ajuster sa ceinture sans rien ajuster du tout, je me suis quand-même demandé à quoi ressemblait l'individu expressif et soulagé et sonore. Ça pouvait pas être un beau gosse comme moi, on aime trop plaire nous les beaux gosses on est trop addicts au regard des autres et à leur reconnaissance et leur validation, on est pas assez libres on est un peu des baltringues en fait nous les beaux gosses parmi les beaux gosses, ça prend un homme courageux, un homme qui s'en bat les couilles. J'avais raison il avait l'air bien chelou et courageux et pas un beau gosse parmi les beaux gosses comme moi qui est un beau gosse parmi les beaux gosses.
J'ai eu la belle surprise de voir que l'être courageux chelou était dans mon bus en direction de New York City, il était assis tout à l'avant juste derrière le chauffeur il me semble, forcément. Pendant le trajet il s'est dirigé plusieurs fois à l'arrière du bus où étaient les toilettes, en vrai vraiment plusieurs fois c'était ouf j'étais impressionné en voilà un vraiment qui s'en bat les couilles qui est plus courageux que Marlon Brando y a pas photo, ça prend tellement plus de courage d'assumer aller aux toilettes d'un bus dont le trajet est de 9 heures, bref d'y aller et d'y revenir un nombre incalculable de fois devant presque les mêmes personnes et ce pendant 9 heures, ouais ça prend un courage et une force mentale de fou pour faire ça, un immense je m'en foutisme, bien plus de courage que les gens qui sauvent la nation ou les gens qui sauvent les gens dans le métro, respect bro, moi je stresse déjà si j'y vais plus d'une fois pendant le trajet, j'ai peur qu'on reconnaisse que je suis un chelou nerveux parmi les chelous nerveux pseudo lents et que du coup je ne fasse plus partie des beaux gosses parmi les beaux gosses qui attirent les filles vraiment intéressantes, Fuck j'aurais trop les nerfs qu'on réalise qu'en fait je suis pas un beau gosse parmi les beaux gosses mais vas-y j'ai quand-même l'impression que je suis peut-être quand-même un beau gosse parmi les beaux gosses, enfin j'espère s'il te plaît lecteur confirme. Je me demande si l'homme plus courageux qu'un militaire et qui vaut 100 policiers osait gémir comme il avait gémi lorsqu'il était dans la station-service, s'il osait le faire à chacune des dizaines de fois voire plus où il était allé aux toilettes du bus devant tout le monde, à chaque fois avec la même allure de chelou pressé et en vrai un brin ratatiné je suis sûr que tout le monde pouvait deviner qu'il allait faire caca. Wow ce serait ouf s'il avait osé gémir comme un fou, wow le courage du gars, dans ce cas oubliez tout ce que vous savez sur la guerre et faites le général, confiez lui les armées du monde entier il va nous sauver il aura pas peur c'est sûr il s'en bat les couilles c'est ouf c'est lui le vrai beau gosse parmi les beaux gosses.
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0x1-in · 2 months ago
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°❀.ೃ࿔* 𝗟𝗢𝗩𝗘 𝗠𝗘 𝗕𝗔𝗖𝗞 | 𝗦𝘂𝗻𝗦𝘂𝗻 en-. FR VER.
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♡ ‧₊˚ ⋅ ౨ৎ ‧₊ .ᐟ
Sunoo x Sunghoon.
Part 1.
Strangers to lovers.
Nb : j’ai fait cette histoire après un fanart que j’ai dessiné. (MERCI DE NE PAS REPOSTER SANS ME CRÉDITER)
Les dessins se trouveront à la fin.
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˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
┊sunsun ff. ♡ ┊
" c h a p i t r e 1 : i l o v e y o u. „
(Je m’inspire simplement des leur physique. En aucun cas les personnages ne les représentent.)
Elle me gifla. 
L'ambiance de la fête s'était évanouie, emportant avec elle l'insouciance de la joie et des rires passés. Pourtant, le décor restait d'une clémence surprenante, et la musique, toujours vibrante, continuait de jouer jusqu'à... silence radio. J'étais à une fête d'anniversaire. Pas n'importe laquelle, c'était la fête d'anniversaire de ma petite-amie.
Ou peut-être que ex-petite-amie est le terme plus approprié.
Le monde nous scrutait du regard. Le silence semblait presque aussi bruyant qu'un concert de heavy metal ou bien qu'une nuit à la campagne, je ne sais pas. Le cœur tourmenté, sa main, d'un élan, effleura ma joue. Ce geste, aussi soudain qu'une flamme éphémère, me laissa immobile, le souffle coupé, tandis que l'éclat des lumières décoratives contrastait avec l'ombre naissante en moi.
J'avais honte.
— Park Sunghoon, tu n'es qu'un idiot ! Comment oses-tu ? Le jour de mon anniversaire, en plus ?! Tu ne comprends définitivement rien à l'amour, s'énerva-t-elle. C'est fini entre nous.
Ainsi, elle s'éloigna, me laissant seul dans la froideur d'un instant figé. Ma main, posée sur ma joue, tentait en vain de calmer l'ardeur qui brûlait, une douleur bien plus profonde que le simple choc de sa paume, j'étais prêt à parier qu'en plus de la marque de sa main, elle avait même créé un relief, une marque. Autour de moi, les regards flottaient, lourds de silence et de jugement. Je ne cherchais pas à me justifier, ni même à comprendre; je restais là, la tête baissée, envahi par une honte qui me consumait. Une étrange résignation me tenait, comme si, au plus profond de moi, je savais qu'elle avait raison, que ce châtiment muet était celui que je méritais. Je n'y comprenais rien en l'amour, et je n'avais donc jamais réussi à la faire sentir aimée.
Mais pour être d'une grande sincérité, je n'étais pas spécialement amoureux. Elle me plaisait, mais ça n'allait guère plus loin.
J'étais Park Sunghoon, le roi de la glace.
Et le roi venait de se faire humilier.
Je me suis pris la tempête la plus glaciale de mon royaume.
Finalement, l'amour c'est pour les nuls.
Ou justement, pas pour les nuls comme moi.
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
J'étais en cours de mathématique, faisant simplement acte de présence. Loin de moi l'idée d'écouter quelque chose qui ne m'intéressait et ne m'intéressera jamais. J'avais mieux à faire. La scène de la semaine dernière, cette claque, revenait sans cesse comme un refrain, marquant mon esprit d'un souvenir encore brûlant. Le regard perdu vers la fenêtre, je sentis une main secouer mon épaule.
— Sunghoon..! Ça fait 10 plombs que je t'appelle. chuchota Jake, mon meilleur ami -et voisin de table-
— Ça se voit, t'as les cheveux blanc qui commencent à pousser. plaisantai-je.
— Haha, très drôle. retoqua-t-il sarcastiquement. Ça te dit d'aller à la salle d'arcade après les cours ??
— Je suis désolée, je dois récupérer ma sœur ce soir, je pourrais pas.
— T'inquiète ! On remettra ça ! me rassura-t-il d'un sourire radieux
Jake était ce genre de personne rare, bienveillante et lumineuse, trop précieuse pour ce monde. Il était même trop bon pour ce mauvais monde. Mon seul ami depuis l'enfance, celui qui contrastait avec mon caractère froid et distant. Lui, chaleureux et extraverti, avait le don de se lier d'amitié avec tous.
Il était tout ce que je n'étais pas, chaleureux, agréable, positif, enthousiaste. En plus d'être délégué, il se portait toujours présent pour autrui. C'est un homme formidable et amical.
J'étais bien différent.
On avait nos différends.
Le fin des cours retentit, nous indiquant qu'il était finalement l'heure pour chacun de rentrer chez soi, hormis les élèves punis. Ces derniers avaient comme mission d'accomplir l'heure de colle.
Dans la cours, après avoir salué Jake et Ni-Ki, un petit de troisième qu'il veillait comme un grand frère, je m'apprêtais à rentrer.
Enfin,...
Jusqu'à qu'une étrange main retient ma chemise. Par pur réflexe, je me retournai.
C'était un garçon, un jeune homme, pas plus grand que moi. Il était blond, certainement pas une couleur naturelle. Nous avions droit aux teintures même dans notre établissement ? Quoiqu'il en soit, sa chevelure dorée telle la lumière douce d'un crépuscule, semblait porter sur lui un éclat éternel. Son visage, fin et délicat, évoquait la pureté d'une fleur de camélia, chaque trait subtilement sculpté comme une œuvre d'art éthérée. Ses yeux, vastes et lumineux, sont deux étoiles perdues dans un ciel d'ivoire, captivant ceux qui osent les croiser. Ses lèvres, légèrement rosées, semblaient prêtes à murmurer des secrets du vent. Il était une brise légère dans la chaleur d'un été, à la fois doux et envoûtant, irradiant une aura à la fois mystérieuse et angélique. C'était cela, c'était un ange.
Un ange tombé du ciel.
Il me regardait avec des yeux qui m'inculquaient du stresse, de l'excitation, de la peur mais aussi du courage. Son regard pétillant m'hypnotisaient
Il retira sa main, et baissa légèrement la tête.
— Park Sunghoon ? Hum... commença-t-il, jouant avec ses doigts, il y a une chose à laquelle je dois te faire part.
Il prit une grande inspiration, puis plongea son regard dans le mien, ses yeux brillants d'une sincérité presque effrayante. Ses joues rosirent, et je pouvais voir son corps frémir, partagé entre courage et vulnérabilité.
Ça ne pouvait tout de même pas être une déclaration d'amour..
— Je... Je t'aime. Sors avec moi.
C'était une déclaration d'amour.
Je restais planté là, ses mots résonnant dans mon esprit. Une déclaration d'amour ? Inattendu, c'est le moins qu'on puisse dire. J'étais à des kilomètres d'imaginer qu'un mec que je ne connaissais même pas puisse se pointer, les joues rouges, les mains tremblantes, pour me dire... ça. Moi, Sunghoon, le roi de glace, me retrouver face à une déclaration d'amour d'un parfait inconnu ? Mais comment tu réagis à ça sérieux ?
Normalement, j'aurais eu un réflexe de recul, une indifférence polie pour m'échapper de cette situation. Après tout, ce genre de choses, l'amour et toutes les émotions qui vont avec, m'échappaient. La claque de mon ex, sa colère, tout ça m'avait fait comprendre que ce n'était pas mon truc. Je n'avais jamais su ce qu'elle attendait vraiment de moi, et je n'avais même pas cherché à comprendre. Elle avait raison, probablement : je ne comprenais rien aux sentiments, à l'attachement. Peut-être parce que je ne les avais jamais ressentis de cette façon.
Mais en regardant ce dernier, quelque chose en moi hésita. Sa sincérité, l'authenticité de son regard... Il avait l'air d'y croire vraiment. Ce n'était pas un sentiment réciproque, mais une curiosité me poussait à accepter, comme une sorte de défi. Peut-être que cette fois, en me lançant dans l'inconnu, je probablement pourrais comprendre ce que les autres ressentaient, ou au moins essayer.
Ma main glissa machinalement sur ma nuque, signe de ma gêne, et je détournai les yeux, avant de lâcher, presque sans enthousiasme mais avec une sorte de curiosité étrange :
— D'accord... un léger souffle sortant de mes lèvres.
— C'est rien. Je me disais bien que tu— Attends, quoi ?? Tu viens d'accepter ???
— Oui.
— Mais je croyais que t'étais hétéro !
Je fronçai les sourcils, sentant une pointe d'agacement monter en moi. Dites moi que c'était une plaisanterie. Et puis quoi encore ? Il me fait une déclaration en pensant que j'étais hétéro ? Et maintenant, il fait les grands yeux parce que j'ai dit oui ?
— Si tu pensais que j'étais hétéro, pourquoi m'avoir demandé de sortir avec toi ?! demandai-je en haussant le ton, de plus en plus agacé par cette situation absurde.
Le blond haussa les épaules, un petit sourire satisfait sur les lèvres, comme s'il s'amusait de ma réaction.
— J'ai toujours rêvé de dire ça, avoua-t-il, avec un air mi-fier, mi-détaché. Il y avait une pointe d'audace dans ses yeux, un mélange de défi et de fierté qui semblait dire qu'il n'avait rien à perdre.
Ah, voilà, c'est ça, un jeu. Tout ça pour une phrase qui lui trottait dans la tête. Bien, et moi, je fais quoi maintenant ? Je retourne à ma vie de "roi de glace" et on fait comme si de rien n'était ?
Par la suite son expression changea, se faisant plus sérieuse, presque vulnérable.
— Et puis, il fallait que je te dise ce que je ressens pour pouvoir passer à autre chose, ajouta-t-il doucement. Mais je ne m'attendais pas à ce que tu acceptes.
Son honnêteté me surprit. D'un coup, je me retrouvais face à quelqu'un qui m'expliquait ses raisons, sans détour ni fioriture. Pas comme mon ex, pas comme toutes ces personnes qui jouaient des jeux que je ne comprenais même pas.
— Pour être honnête, je n'y connais rien en l'amour, dis-je en lâchant un soupir. Je n'avais jamais vraiment réussi à comprendre ce que les gens attendaient de moi. Ma dernière relation m'avait montré que j'étais loin d'avoir tout compris.
Mais peut-être, pensais-je, que c'était justement pour ça que j'avais dit oui. Peut-être que j'avais besoin de tenter quelque chose de différent pour enfin savoir ce que ça faisait.
— Oui, j'ai sais. Tout le lycée ne parle que de la claque que tu t'es prise ! rit-il doucement.
Quelque chose me dit qu'il n'avait pas fini de jouer avec mes limites.
Un sourire amer flotta alors sur mes lèvres, les mains dans les poches, tout en sortant un soupir audible.
— Aaah... tout compte fait, je pense décliner ton offre-
Mais avant que je ne puisse achever ma phrase, il s'empressa d'ajouter :
— Attends attends, s'écria-t-il, agitant ses mains pour me retenir.
Bah tiens donc.
Il esquissa un sourire radieux, un sourire sincère, lumineux... presque céleste. Ses lèvres, délicatement courbées, laissaient transparaître une douceur infinie, un éclat de bonheur pur qui, pour un instant, semblait suspendre le temps. C'était un sourire rare, celui qui réchauffe l'âme et laisse une empreinte indélébile, comme une étoile filante traversant le ciel.
— Je peux t'apprendre ce qu'est l'amour. finit-il par dire.
Je restai silencieux, pris entre la tentation de découvrir ce qu'il avait à m'offrir et la méfiance que j'avais envers tout ce qui touchait aux sentiments.
— Bon... tentai-je de briser le silence, une légère hésitation dans ma voix. Veux-tu m'accompagner ? Je dois aller chercher ma sœur au collège. 
— Ça aurait été un plaisir, mais... je suis collé, répondit-il, sa voix teintée d'un brin de désespoir, un sourire gênée.
Lui ? Lui ??
L'idée de voir LUI en retenue me surprit. Lui, qui semblait être la définition même de l'innocence, l'âme d'un enfant qui n'oserait jamais transgresser les règles. 
— Toi ? Pourquoi donc ? demandai-je, un mélange d'étonnement et de curiosité se mêlant à mes mots. 
Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres, illuminant son visage d'une lumière espiègle. 
— J'ai peint mon casier avec des paillettes... avoua-t-il, presque comme une confession. 
Bien sûr.
Là je comprenais mieux.
Qui d'autre que ce type aurait eu le courage de transformer un simple espace de rangement en l'atelier de la fée Clochette ?
Puis, sans crier gare, il fouilla dans son sac et en sortit un stylo. D'une douceur infinie, il saisit mon bras, et l'éclat de ses doigts chauds contrastait avec ma peau glacée, me laissant frémir sous cette délicate étreinte. Un frisson me parcourut, me rappelant le frôlement léger d'une brise d'été. Lentement, il traça une série de chiffres...
Est-ce bien ce que je pense ?
Oui, son numéro.
C'était son numéro.
Son numéro, encré sur ma peau comme une promesse silencieuse. Un petit « xo » à la fin, symbole d'une affection voilée.
— Envoie-moi un message... ou appelle-moi, murmura-t-il, son ton flirtant avec l'éternité, accompagné d'un clin d'œil.
Il s'éloigna, me laissant seul, figé, encore prisonnier de l'instant. Un sourire discret se dessina sur mes lèvres, comme une fleur timide émergeant au printemps. Mon cœur battait la chamade, mes joues s'enflammaient... Bordel. Que venait-il de me faire ?
Je venais d'avoir un petit ami. Un inconnu, un mystère à peine entrevu, un mec que je ne connaissais que des moindres et pourtant, peut-être serait-il mon Soleil.
Tandis que je restais là, à revivre la scène en boucle, mes yeux fixés sur mon bras, une soudaine vérité m'étreignit, frappé à plein fouet.
Merde... comment s'appelle-t-il... ?
À suivre…
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Merci à tous d’avoir lu ! <3
C’est la toute première fois que je poste ici hihi 🤭
J’espère que ça vous a plu !
J’aimerais savoir si j’en fais une suite, si l’histoire intéresse :)
Prenez soin de vous ! Bisous 🩷
XOXO.
(Les dessins sont juste ci dessous)
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loup-venant · 7 months ago
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Sapin
Quand il se réveille, David voit par la fenêtre le soleil qui, encore timide, est drapé sous une couverture de violet et d'orange à l'horizon. Alors il sait qu'il est temps. Il se lève d'un bon pour éviter toute attraction de sa couverture dont le charme est magnétique. Il enfile un pantalon et un t-shirt non sans un baillement qu'il laisse s'échapper en ouvrant grand la bouche comme un lion. Puis il se lance dans l'escalier qui mène à la porte d'entrée. Là, il s'en va, pieds nus, vers les bois.
C'était un effort, les premières fois de sortir si tôt. Aujourd'hui, quand David explore les bois, c'est pour sauter au dessus des ruisseaux. De voir le plus petit des rochers comme l'opportunité d'y grimper, pour lui un vrai cadeau. D'observer des heures les grenouilles qui coassent entre les plans d'eau et tous les escargots, des plus petits aux plus gros. Il les soupçonne de cacher sous leurs coquilles des petits mots. Ils se les échangent quand on leur tourne le dos.
Il s'arrête net quand il entend ou voit un oiseau. Il écoute ensuite ce petit être de chants et de plumes pour en recueillir le moindre morceau.
Titu, titu, titu.
Titu, titu, titu.
Titu, titu, titu.
Il reconnaît la mésange qui niche dans le pin à l'orée du bois, qu'il salue d'un sourire et d'une réponse sifflante. Titu Titu titu
Quand elle s'en va, il s'approche du grand résineux comme il approcherait d'un chateau. Petit à petit pas, en s'arrêtant parfois. Sous ses pieds, le sol est parsemé d'aiguilles et s'enfonce sous son poids. Arrivé contre l'arbre, il le sert de ses bras dans une étreinte parfumée. Après un instant, il recule d'un mètre ou deux. Puis il s'élance à nouveau vers le tronc et dans un enchaînement fulgurant et leste, il dépose un pied puis l'autre puis une main et l'autre. Le voilà à peine accroché à le première branche, qu'il se hisse déjà à la prochaine. En quelques secondes seulement, il est déjà plus haut que le nid de la mésange.
Son agilité l'emmène comme ça, comme un chat, jusqu'en haut. Quand l'arbre balance de droite à gauche, il ne s'arrête pas. Quand les branches se font plus fines, il continue, assuré d'atteindre le sommet. Car il l'a déjà fait, et plus d'une fois. Lorsqu'il y arrive, le soleil est là, face à lui. Une grande boule lumineuse lui éclaire les tripes. Des larmes lui viennent aux yeux.
C'est quand il inspire là, qu'il se sent vivre.
Le vent qui parcours les cimes lui caresse les joues humides.
Titu, titu, titu.
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sofya-fanfics · 1 year ago
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Les décorations de Noël
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Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Je me suis inspirée d’un prompt de @youneedsomeprompts : Décorer la maison.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : L’année passée, Sasuke avait fêté Noël avec Sakura dans un petit village à des centaines de kilomètres de Konoha. C’était le premier Noël que Sasuke passait depuis la mort de ses parents. Mais cette année serait différente. Ils étaient de retour à Konoha et Sarada était née. Se serait leur premier Noël tous les trois.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
AO3 / FF.NET
Sasuke sortit du bâtiment du Hokage. Il venait de terminer une réunion avec Naruto et Shikamaru. Le soleil se couchait et l’air froid de l’hiver le fit frissonner. Il resserra un peu plus sa cape et prit le chemin vers chez lui.
Les rues de Konoha étaient décorées aux couleurs de Noël. Les vitrines des magasins étaient décorées, les maisons étaient illuminées par des guirlandes, un grand sapin avait été installé au centre du village et le marché de Noël s’était ouvert.
L’année passée, il avait fêté Noël avec Sakura dans un petit village à des centaines de kilomètres de Konoha. C’était le premier Noël que Sasuke passait depuis la mort de ses parents. Mais cette année serait différente. Ils étaient de retour à Konoha et Sarada était née. Se serait leur premier Noël tous les trois.
Il arriva devant la porte de chez lui et entra. Il sentit immédiatement la douceur et la chaleur que Sakura avait réussi à apporter à leur foyer. Il pouvait entendre une musique de Noël dans le salon. Il entendait également le rire de Sakura et Sarada babiller. Il se dirigea vers le salon et écarquilla les yeux. Plusieurs boites de décoration étaient éparpillées dans la pièce. Le sapin qu’ils avaient acheté la veille, trônait devant la fenêtre, prêt à être décoré. Sarada était assise par terre et jouait avec une figurine de renne. Sakura, quant-à elle, sortait une guirlande de son emballage. Elle leva les yeux vers lui et un immense sourire illumina son visage.
« Sasuke-kun, tu es rentré. »
Sasuke acquiesça et sourit.
« Vous avez l’air de bien vous amuser. »
Sarada babilla à nouveau, comme pour acquiescer et Sakura rit légèrement.
« Avec Sarada, on a décidé de décorer la maison. »
Sasuke prit une petite maison lumineuse qui était posée sur la table basse et l’observa. En retournant dans l’ancien quartier des Uchiha, il avait retrouvé un carton de décorations de Noël que sa mère avait rangé. Pourtant, il n’avait jamais vu cette petite maison.
« Je ne me souviens pas de ces décorations. »
Sakura regarda les décorations autour d’elle et grimaça légèrement.
« J’ai fait du shopping avec Ino cette après-midi. Je me suis peut-être un peu trop lâchée sur les décorations. Mais c’est le premier Noël de Sarada. Je voulais faire quelque chose de spécial.
-Tu sais qu’elle ne s’en souviendra pas.
-Je sais. Mais nous, on s’en souviendra. »
Sasuke sourit tendrement. Il s’approcha de Sakura et passa son bras autour de sa taille. Elle avait raison. Cette année, Noël serait spéciale. Le premier Noël de leur fille était important. Ils devaient fêter cela et décorer la maison aux couleurs de Noël était un commencement. Il se pencha vers elle et l’embrassa délicatement.
« Par quoi on commence ? »
Sakura sourit et passa la guirlande qu’elle tenait autour de son cou.
« Par les guirlandes. »
Sakura s’écarta et alla chercher d’autres guirlandes. Ils décorent le salon, sous le regard de Sarada qui était émerveillée par toutes ces couleurs et ces lumières.
Fin
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crown-of-serpents · 1 year ago
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Les Enfants de Volcans
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TW : mentions d'exécutions liées à la chasse aux sorcières. Pyromancie : feu, lumière chaleur
Fêtes et Coutumes
Fêtes
Anniversaire de lea Souverain.e Igné.e acutel.le : célébré selon le désir du ou de la chef.fe du Coven 24 juin : JOUR DU SOLEIL. C'est le jour le plus long de l'année d'après l'écliptique et proche du solstice d'été, et les pyromancien.ne.s en profitent parfois pour organiser un festival de toute une semaine. Le jour même, une immense structure est installée devant le Cœur du Magma et brûlée au coucher du soleil, et à ses pieds les fidèles dansent et chantent au rythme des tambours battants. Les membres des autres covens sont libres de participer à cette célébration qui ne revêt aucune importance religieuse pour eux. 19 août : FÊTE DES LUMIÈRES. Hommage aux Sorcier.ère.s de Pendle, 10 Enfants des Volcans condamnés à mort en 1612 sous présidence pyromancienne. Le Coven place des lampions aux fenêtres de chaque maison à partir du 12, et de grandes structures lumineuses sont installées à Stockbridge & Cannonmills le soir du 19 août et restent éclairées jusqu'au lendemain matin. 8 Décembre : CÉLÉBRATION DES ÉTINCELLES. L'hiver est la saisons où les Enfants des Volcans prospèrent le moins à cause de la durée diminuée des jours. Alors avant son arrivée, ils célèbrent une dernière fois Pyroluxion et lui demandent sa bénédiction pour la saison à venir en envoyant dans le ciel de petites lanternes éclairées par magie. Rappel : Les Enfants des Volcans célèbrent également le premier jour de chaque saison (en particulier l'été), le Nouvel An et l'Honneur aux Ancêtres.
Coutumes
Iels allument des lumignons colorés lors de trois événements importants : naissances, décès, mariages. Le lumignon symbolise une partie de la lumière du soleil. Ainsi, ceux allumés pour la naissance ont une teinte orangée, symbole de l'aube. Ceux des mariages sont blancs, symboles du soleil à son zénith. Ceux des décès sont rouges, symboles du crépuscule. Lors des longues nuits d'hiver, il est courant de participer à des rassemblements en famille autour des grandes cheminées typiques de l'architecture de leur quartier. C'est l'occasion d'entretenir la mémoire des ancêtres en contant l'histoire de leur vie. Lorsqu'un.e Enfant des Volcans atteint l'âge adulte, après avoir obtenu son diplôme à l'Académie, iel doit passer le rituel des Flammes Purificatrices. Organisé par les Oracles en présence de la famille proche, ce rituel consiste à passer à travers un tunnel de flammes créées par ses pairs. Iels sont adeptes de la lithomancie. Iels croient dur comme fer aux propriétés magiques des pierres précieuses, et ont un lien étroit avec celles-ci. Chaque mois est associé à une pierre que l'on offre à l'enfant dès sa naissance, le plus souvent sous la forme d'un bijou.
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le-van-de-noces · 1 year ago
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PASSEGIATA AL LAGO - 15.09.23
Après cette nuit agitée, on profite enfin de la belle vue sur le lac ! Lecture et petit-déjeuner à l'arrière de la camionetta.
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On redescend ensuite à Verbiana pour aller visiter la Villa Taranto, réputée pour ses riches jardins. Acquise en 1930 par un capitaine écossais passionné de botanique, il aurait découvert l'annonce de vente au court d'un voyage à bord de l'Orient Express, en lisant le Times, de retour d'un séjour à Venise... rien que ça ! Déambulation entre arbres centenaires, labyrinthe de dahlias (une pensée pour mon sublime bouquet de mariée ! ♥️) et nénuphars géants ; j'étais plus dans mon élément que Léo - en plus j'y ai bu un deliziosa cioccolata calda !
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Déjeuner rapide cuisiné par mon chef personnel, avant d'embarquer sur le bateau qui nous conduit aux Iles Borromées. Archipel acheté par la famille homonyme au XVème siècle, il est composé de :
l'Isola dei Pescatori, ancien village de pêcheur, charmante mais transformé en village de restaurants et échoppes à touristes
l'Isola Madre, la plus grande, sur laquelle se trouve un "petit" palais, et surtout un parc exotique enrichi au travers des siècles et ouvert au public depuis les années 70
l'Isola Bella, la plus célèbre, constituée d'un Palazzo et de jardins à l'anglaise très étonnants.
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Visite du Palazzo Borromeo donc, de ses nombreuses galeries et chambres encore meublées, les fenêtres laissant entrevoir de superbes vues sur le lac. On traverse de nombreux salons, dont un, particulièrement vaste (haut de trois étages) au plafond duquel on peut lire la devise familiale : humilitas.
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On y apprend également que Napoléon a fait escale sur l'Isola Bella sans prévenir durant sa campagne d'Italie, que lui et sa garnison de 60 soldats se sont comportés comme des goujats, et que l'intendant du palais a été bien heureux que cette visite ait été de courte durée car ils ont laissé après eux "des chambre sales et malodorantes"...
Au rez-de-chaussée, on découvre les Grottes, appartements restant frais par les chaudes journées d'été, tapissés de galets du lac, du sol au plafond.
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Sans oublier que partout sont repris les symboles des Borromeo : un chameau assis, un cèdre, trois anneaux entrelacés et une licorne. Mais ce sont les aménagements extérieurs qui rendent cette île unique : en sortant, après avoir traversé la cour de Diane, on découvre la Serra Elisa, luxuriante et très jolie. Léo y propose un intermezzo musicale.
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Au coeur du jardin se trouve le Teatro Massimo, décor invraisemblable et débauche de statues, terassant les jardins sur plusieurs niveaux. Le tout surplombé par une immense licorne. En haut, une vaste esplanade encadrée de quatre obélisques reprenant les quatre éléments et offrant un panorama sur le lac magnifique.
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Sur le trajet de retour en bateau, je m'improvise photographe de cartes postales - il doit bien y avoir un type dont c'est le job, non ?!
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Une baignade-douche aux abords du lac, de l'essence pour la camionetta, et nous voilà comme neufs pour rouler jusqu'à Stresa, ville d'en face et point de départ principal pour les îles Borromées.
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Sur place, on visualise bien le passif de lieu de villégiature de la région. Sur tout le front de lac, sont alignés de grands hôtels, aux vitres en verres soufflés gigantesques, serveurs en livrée, restaurants de luxe et enseignes lumineuses.
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Après une bonne pizza à emporter sur le port, on reprend un petit peu de hauteur pour observer une dernière fois le Lago Maggiore avant de partir à la découvert des autres lacs !
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Les dimensions standard d’une porte patio : Guide pratique
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Les dimensions standard d'une porte patio : Guide pratique
Choisir la bonne porte patio pour votre maison peut transformer votre espace de vie en une zone lumineuse et conviviale. Mais avant de faire un choix, il est essentiel de comprendre les dimensions standard d’une porte patio et leur impact sur l’installation et l’esthétique. Cet article vous fournit une analyse complète des dimensions courantes, des facteurs à considérer, et des avantages des options sur mesure.
Qu’est-ce qu’une porte patio ?
Une porte patio, souvent appelée porte coulissante, est une ouverture vitrée conçue pour maximiser la lumière naturelle et offrir un accès direct à votre terrasse ou jardin. Contrairement aux portes traditionnelles, elle s’ouvre horizontalement en glissant sur des rails, ce qui économise de l’espace.
Les portes patio sont populaires pour leur capacité à agrandir visuellement les pièces et leur facilité d’entretien. Elles sont disponibles dans divers matériaux, notamment l’aluminium, le bois et le PVC, chacun offrant des caractéristiques spécifiques.
Les dimensions standard d'une porte patio
Les fabricants proposent des dimensions standard pour répondre à la plupart des besoins résidentiels. Voici un aperçu :
1. Largeurs standard
59 à 72 pouces (1,5 à 1,8 m) : Ces dimensions sont adaptées aux ouvertures de taille moyenne.
96 pouces (2,4 m) : Idéal pour les espaces plus larges et les maisons modernes.
2. Hauteurs standard
79 à 81 pouces (2 m) : La hauteur la plus courante, compatible avec la majorité des cadres existants.
96 pouces (2,4 m) : Convient aux maisons avec de hauts plafonds ou un design contemporain.
3. Options sur mesure
Si les tailles standard ne correspondent pas à votre ouverture ou à vos besoins esthétiques, des portes sur mesure peuvent être fabriquées. Chez Les Portes et Fenêtres Charland, nous offrons des solutions personnalisées pour s’adapter à toutes les configurations.
Pourquoi les dimensions standard sont-elles importantes ?
Les dimensions standard simplifient le processus d’installation et réduisent les coûts. Elles garantissent également une compatibilité avec les cadres de porte existants, ce qui est crucial pour les rénovations.
Les portes de dimensions standard offrent aussi l’avantage de délais de livraison plus courts par rapport aux modèles personnalisés, car elles sont souvent en stock.
Comment choisir la bonne dimension ?
1. Évaluer l’espace disponible
Les portes patio coulissantes conviennent aux espaces restreints, car elles n’empiètent pas sur l’intérieur.
Les grandes ouvertures nécessitent des portes larges, parfois avec plusieurs panneaux coulissants.
2. Prendre des mesures précises
Mesurez l’ouverture en largeur et en hauteur. Ces mesures détermineront si une dimension standard est adaptée ou si une solution sur mesure est nécessaire.
3. Considérer l’esthétique
Une porte plus large peut offrir une vue panoramique et améliorer l’éclairage naturel.
Les cadres fins ajoutent une touche moderne, tandis que les cadres épais conviennent aux designs traditionnels.
Les avantages des portes patio aux dimensions standard
1. Installation simplifiée
Les dimensions standard s’intègrent parfaitement dans les cadres existants, évitant des ajustements coûteux.
2. Coût abordable
Les portes standard sont généralement moins chères que les modèles personnalisés tout en offrant une qualité comparable.
3. Accessibilité accrue
Elles sont disponibles immédiatement dans la plupart des magasins spécialisés, contrairement aux modèles sur mesure.
Les options de personnalisation chez Les Portes et Fenêtres Charland
Chez Les Portes et Fenêtres Charland, nous comprenons que chaque maison est unique. Nos experts peuvent concevoir des portes patio personnalisées pour répondre à vos exigences spécifiques, qu’il s’agisse de dimensions, de matériaux ou de styles.
Nous proposons :
Des cadres résistants aux intempéries.
Des options écoénergétiques pour réduire vos coûts de chauffage.
Des designs modernes ou classiques selon vos préférences.
Pourquoi choisir Les Portes et Fenêtres Charland ?
Avec des décennies d’expérience à Montréal et Laval, nous sommes reconnus pour notre expertise et la qualité de nos produits. Que vous optiez pour des dimensions standard ou une solution sur mesure, nous garantissons un service professionnel et une installation impeccable.
Conclusion
Comprendre les dimensions standard d’une porte patio est essentiel pour choisir un modèle adapté à vos besoins et à votre maison. Ces dimensions offrent une flexibilité tout en simplifiant l’installation. Pour une porte patio qui combine style, fonctionnalité et durabilité, faites confiance à Les Portes et Fenêtres Charland.
Contactez-nous dès aujourd’hui pour découvrir nos options !
Faites le choix d’une maison plus verte et plus confortable. Pour en savoir plus sur nos fenêtres écoénergétiques, consultez notre page Blogue pour découvrir d’autres articles sur l’optimisation de votre habitat. Suivez-nous également sur Facebook et LinkedIn pour ne rien manquer de nos dernières actualités et conseils !
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latribune · 27 days ago
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artdesannonces · 27 days ago
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Ils nous font confiance en étant abonnés à Art des annonces : POVEDA JM POVEDA : L’émotion en couleurs, un voyage au cœur de la lumière méditerranéenne
Né à Alger, Jean-Michel Poveda est un artiste peintre qui vit et travaille aujourd’hui à Mars, près de Bréau-Mars dans le Gard. Dès son plus jeune âge, son parcours artistique s’est dessiné, nourri par son enfance à Toulouse où il s’installe avec ses parents en 1964. Fasciné par la nature, les arbres et les nuages qu’il observe depuis les fenêtres de sa classe, il développe une curiosité artistique inspirée des séances de peinture de son père. Ces instants précieux deviennent le socle d’un besoin viscéral de s’exprimer par l’art, aujourd’hui incarné dans ses œuvres lumineuses et vibrantes.
Découvrez un artiste qui invite au voyage à travers la lumière et la couleur, célébrant la beauté méditerranéenne avec une intensité unique. https://www.artdesannonces.com/index.php/amateurs-d-art/le-magazine/portraits/2322-poveda-jm-poveda-lemotion-en-couleurs-un-voyage-au-coeur-de-la-lumiere-mediterraneenne #artdesannonces #POVEDAJMPOVEDA
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maximeboucher · 6 months ago
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LE DOUX HARCÈLEMENT DE L'ÉTÉ
LE DOUX HARCÈLEMENT DE L’ÉTÉ
À l’épouvante Le bord du lac Te crache au visage Son écume soufflée par le vent Toi qui rêvasse sur le quai flottant De noyer tes souvenirs mauvais Tu retrouves sur ton visage Cet humide présage Qui te rappelle que tout colle à la peau
***
Des soupirs moites Et des caresses chaudes Pas de moustiquaire dans la fenêtre Laisse venir les piqûres Sur la peau en fleur Laisse venir les morsures. Qui blessent Qui handicapent les cœurs
***
Ça ne fait pas dans ton sac de plage De la boue et des naufrages Des hirondelles de mer Qui miroitent dans le ciel Garder le cap sur tout ce qui nous échappe Sur ses beaux yeux Faire de la place Le cœur battant au soleil Le cœur qui bat vite à ses côtés À tambour battant de l’aile À force d’insolation et de coups de chaleur Non. Ça ne fait pas dans ton sac de plage tout ce débordement Tu emportes avec toi Que des petits morceaux Comme les grains de sable entre les orteils
***
La brise a l’odeur des hamburgers Cuits sur le grill Et soudainement la boucane nous assaille Camouflant le désir et l’amour Notre rencontre par inadvertance Vouloir rester collés Serrés dans la mémoire L’histoire prend fin et se perd dans ce nuage La marée qui monte au compte-gouttes Atteint mes lèvres petit à petit J’ai un incompréhensible chagrin d’amour d’été Qui ne veut pas décoller
***
La fraîcheur de cette lune Ravive la rive Où tu passeras la nuit Blanche comme un drap Nue de parfums et d’eau salée Le bleuté de ton regard M’étouffe Je t’enterre sous le sable avec les trésors et les coquillages
***
Ce silence soudainement meublé Par les hautes vagues de la mer Puis ce barachois sur cette huile sur canevas Accroché dans ton sous-sol de banlieue Que tu reconnais en vrai Ton mutisme se réveille par la nature ruisselante Par l’émeraude des lacs Par l’odeur des algues Par l’esprit de folie qui t’habite Par ce goût de ne rien faire Que de regarder ce qui est rare Ce qui est vrai Ce qui chaque jour se fracasse Qui pèse dans ta balance Qui te fait crier Tant c’est riche Qui te fait hurler Tant c’est cruellement véritable Tant c’est quelque chose Dont tu t’étais privé pendant si longtemps
***
Ma petite démesure M’offre sur un plateau Des ananas broyés Je bois son jus Je lèche son sucre L’esprit tordu Le corps fondu Sous un soleil de plomb
***
S’il reste quelque chose De ces chaudes soirées Ce n’est que le souvenir de ton spectacle en plein air Les perséides dans ton ciel noir Qui dépose une fine poussière sur mon front Soulage mes maux de tête Mes idées dures et sombres Mes errances en toi Petite pluie lumineuse Sont de trop courte durée Ne viennent qu’une fois dans l’été
***
Elle veut tant bronzer sa pâle âme De rêves californiens De routes sinueuses De camping sauvage De feu de camp De rires d’enfants dans la ruelle Un mois d’août sans parfum Un amour sans lumière Un cocktail sans saveur Voilà des lunes qu’elle meurt Mais que chaque été Elle repose dans cet hôtel de la côte Qu’elle va de thérapies en thalassothérapies Et que ça ne change rien
***
Les fraises sauvages Les foins qui dansent et éternuent Les cancers de la peau Voilà les peurs qui perdurent Les allergies. Les vagues de chaleur Lentement la nuit blanche Me rappelle que je vieillis Me replonge la tête dans le lac Cette île me murmure la perte Le dépaysement Voilà le dur à cuire À me dire la vie À me dire l’ennui À voir la fin de ce ciel bleu À voir l’échappée dans les herbes hautes Je me rappelle soudainement Qu’il y a sous mes yeux La mer heureuse
***
Cette décapotable fébrile qui tient la route Me tintamarre Me réveille dans la nuit Fenêtres ouvertes Sur cette chaussée planante et envoûtante Je me sors du lit Pour aller me faire vrombir Dans ce bar où les souvenirs sont cruels Et sucrés Mon mojito au sucre de canne Ma faiblesse des belles soirées d’été Une petite cigarette avec une belle gitane Qui porte des gougounes Et je monte ensuite Dans cette voiture Qui fait crisser les pneus pour absolument rien Réveillant des pauvres types comme moi À l’approche du petit matin En direction de mon travail Où je me tue chaque jour Et où il n’y a même pas l’air climatisé
***
Ton lit défait sur le balcon Les fourmis charpentières qui tournent en rond Et toi sans elle Loin du vol nuptial Elle est tombée en bas du balcon Pendant ton sommeil trop rêveur Trop engageant Dormir à la belle étoile Filante
***
La yourte se fond dans le paysage Des mots superbes dans ma tête Et des gouttes de vent dans mon sang Je bascule en un instant vers l’arrière Me faire fondre le passé Sur le réchaud au butane Pendant que j’avale un petit café Que la lumière vient me frapper En plein déjeuner extérieur Que j’oublie mon immense égo Pris dans le trafic J’enroule mes émotions Dans mon sac de couchage Je décharge vers la grève Je plonge dans le grave Et j’avale toute l’eau que je peux J’avale tout ce paysage Qui me dissout
***
Réaliser que tu m’aimes Dans le fond des barriques Dans la foudre de tes hanches Peut-être quand je serai encore saoul Terré sur cette terrasse ensoleillée Entouré d’universitaires fêtards Me replongeant à la douce époque Où mon nombril était au centre de tout Pendant qu’autour se galvanisait les amours Des autres Ton amour vibrant Moi avide de rencontres Marchant vers l’amer Résolu de tremper mes sandales dans la boue. Jusqu’au cou Jusqu’à encrasser mes poumons de terre Jusqu’à perdre mon temps Encore aujourd’hui Ébloui par les étés trop beaux
***
La saison qui s’achève Pendant que je tente de me rappeler le soleil La petite se balance dans les jeux Rougit aux feuilles qui jaunissent Ses doux cheveux volent au vent et font mille miroitements Qui courent sur mon visage paternel M’envahissent les sons de la cour N’entend plus la tondeuse de la voisine Et le soleil revient lentement éclairer tes yeux Aimants et rieurs Qui se posent sur moi Avec ton odeur de tous les plus beaux étés Avec ta fraîcheur en aérosol Avec ton rire immense qui m’englobe Et construit en moi L’habitat propice À tous les bonheurs À tous les frissons À tous les vacarmes fous Aux espoirs tenaces Aux bâillements de fins de journées Trop remplies de découvertes Aux dodos Collé sur toi Pendant que le soleil se couche Et que je me rappelle de lui Et que tu te rappelleras de tes étés d’enfant
 © Maxime Boucher, 2008
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fullnft-fr · 7 months ago
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Chambre de Luxe Moderne : Lit Somptueux, Éclairage LED et Vue Panoramique sur la Nature
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Chambre de Luxe Moderne : Lit Somptueux, Éclairage LED et Vue Panoramique sur la Nature
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Découvrez une chambre de luxe moderne et futuriste, où chaque détail est conçu pour offrir le summum du confort et de l’élégance. Au centre de cette pièce somptueuse, un lit king-size drapé de linge de haute qualité et de coussins moelleux invite à la détente. Les murs sont ornés de textures raffinées avec des touches de marbre et de bois précieux, tandis que des rubans LED incrustés dans le bois ajoutent une ambiance lumineuse et moderne. Le joli parquet moderne apporte une touche de chaleur et de sophistication.
De grandes fenêtres offrent une vue panoramique sur un paysage pittoresque, baignant la chambre de lumière naturelle. Des rideaux en soie ajoutent une touche de sophistication. Cette chambre incarne l’essence même du luxe. Parfaite pour une retraite luxueuse, elle offre un mélange harmonieux de confort, d’élégance et de modernité.
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dixvinsblog · 7 months ago
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Justine Jérémie le coup de coeur musical de Pierre Thévenin
Distraite Tu fais soleil Distraite La fenêtre Avalanche Bougrement Trois petits points de suspension Au Macao Pourquoi pas Alban Je t’appelle demain Cette danse Desprendes sol Justine Jérémie, c’est d’abord une présence vocale et physique lumineuse et sans une once d’esbroufe. Dans sa besace chansonnière, on trouve Aznavour, Marie Laforêt, Piaf … et, surtout, tonton Georges. Et des…
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