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#fenêtre de toit
guidedestravaux · 5 months
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Quelle est la différence entre un Velux et une fenêtre de toit ?
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newmas · 1 year
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Open in Paris Large trendy open concept family room library photo with white walls
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danielronnback · 1 year
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Paris Kids Room Children ideas for a sizable modern kids' room renovation with white walls and a light wood floor that is gender-neutral.
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marieviot · 2 years
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fragments
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6-02-2017
© marie viot
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Loft-Style in Bordeaux Inspiration for a mid-sized cottage loft living room renovation with white walls, no fireplace, and no television.
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ernestinee · 8 months
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Il y a un chat qui nous a adoptés. Je le connais depuis quelques mois, il allait de jardin en jardin à la fin de l'été, maigre et craintif. Je lui donnais à manger quand je le voyais et il attendait que je sois partie pour manger. Craintif à ce point. Je le surnomme kangourou pcq je voyais son petit corps sauter par dessus les hautes herbes.
Depuis une semaine ce petit bonhomme se plante à une fenêtre et attire l'attention d'Oreo et Muffin jusqu'à ce que j'arrive, et sorte lui donner des croquettes.
Mardi, prévoyant peut-être la neige (?), il était sur le châssis de la porte, et y est revenu après avoir mangé les croquettes.
Puis demande clairement pour rentrer.
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(mardi dans l'entrée de la maison)
Mais bon j'ai déjà deux chats, il a reçu un coussin top confort, une litière propre, de l'eau de spa au cas où ses reins sont fragiles des croquettes, et un toit vu qu'il a dormi dans les toilettes.
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Mercredi avant la neige je suis allée acheter de l'anti-puces. Puis je suis allée le voir régulièrement. Moins craintif du coup.
Et bon tout à l'heure nous bravons le verglas et allons chez le vétérinaire pour voir s'il n'a pas de maladies qui pourraient être transmises à mes chats, voir s'il est pucé (please, non 🥺 j'ai pas envie de devoir le rendre) Là pour l'instant on est en mode câlins et Oreo et Muffin le jaugent de loin.
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perméabilités
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la glycine s'est fait paroi, la fenêtre en parle
le toit ondule comme la lumière sur l’herbe
la chaux vibre comme le tronc d’un arbre
les ombres des érables s’activent
au diner, la chouette s’entend au dessert
la racine du rosier prend forme au pied du mur
elle a pris place entre deux pierres, la rose s’en épanouit
la cave garde au frais le sommet de la colline
la chambre chante le paysage
le petit cadre qui raconte les vertus de Dante
brille d’un autre soleil
aujourd'hui le jardin est entré dans la maison
la maison est accueillante
la frontière entre elle et le jardin
s’est absorbée sur elle-même
elle est devenue une floraison
un bourdonnement d’abeille
.
© Pierre Cressant
(lundi 11 décembre 2023)
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alexar60 · 1 year
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La lumière sous la porte
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Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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satinea · 5 months
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Nous vivons avec quelques arpents de passé, les gais mensonges du présent et la cascade furieuse de l'avenir. Autant continuer à sauter à la corde, l'enfant-chimère à notre côté.
René Char
Fenêtres dormantes et porte sur le toit
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[Activité Land’art avec l’école de Sourans - l💚]
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Contrairement aux perverses bisounourseries du discours dominant, si ça vous travaille, n’hésitez pas à détester cordialement trois ou quatre personnes par jour, si vous ne le faites pas, vous vous mentez trop à vous-même…
«Je suis l'être le plus pacifique qui soit. Mes désirs sont: une modeste cabane avec un toit de chaume, mais doté d'un bon lit, d'une bonne table, de lait et de beurre bien frais avec des fleurs aux fenêtres; devant la porte quelques beaux arbres; et si le bon Dieu veut me rendre tout à fait heureux, qu'il m'accorde de voir à peu près six ou sept de mes ennemis pendus à ces arbres. D'un cœur attendri, je leur pardonnerai avant la mort, toutes les offenses qu'ils m'ont faites durant leur vie — certes on doit pardonner à ses ennemis, mais pas avant qu'ils soient pendus.»
Heinrich Heine - Pensées et propos (cité par Freud dans Malaise dans la civilisation)
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perduedansmatete · 2 years
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je mens quand je dis que je n'ai pas de souvenirs de mon enfance, ils sont tous enfouis dans cette grande maison de famille paumée tout en haut d'un village tout aussi perdu au fin fond de la haute marne. tout comme les souvenirs de mon papy, du moins du personnage qu'on a créé, de celui qu'on aime se raconter. tout tournait autour de lui, cette maison c'est lui. pas simplement parce qu'il l'a entièrement retapé, ma mamie m'a dit un jour "j'ai passé ma vie dans des maisons en travaux", il aimait bien ça se casser le dos. mais parce qu'il était l'âme de la maison, l'âme de cette famille ? peut-être que j'exagère. mais c'était lui toutes nos bêtises d'enfant, c'était lui cette maison. c'est un peu le mythe fondateur en fait, quand ils ont été obligés de vendre, je me souviens de nous trois toutes petites pleurant comme des bébés puis allant voir papy et mamie en leur disant "mais on peut vous aider à la payer avec nos économies!" on s'est toujours dit qu'on la rachèterait quand on serait plus grandes, ne serait-ce que pour que mon cousin s'imprègne de ce que c'était, il était encore trop petit pour s'en souvenir.
c'est dans son jardin qu'on faisait des courses d'escargots, qu'on était de travaux d'intérêt général et qu'on montait sur le toit pour remettre des tuiles après l'orage, que mon papy me poussait toujours plus haut sur la balançoire et que je me sentais partir avec les hauts le cœur qui me faisaient tant de bien, qu'on jouait au restaurant dans la cabane qu'il ne cessait d'améliorer, c'est aussi dans le jardin qu'on allait voir tous les jours si on avait pas fini par capturer le petit écureuil qui venait manger les noisettes dans le piège de merde qu'on refaisait inlassablement en haut du coteau, à la lisière de la forêt (la nôtre, j'aimais bien dire ça, qu'on avait une forêt à nous) c'est dans cette même forêt qu'on courait avec nos grandes bottes de pluie pour arriver la première en haut du petit château d'eau, point stratégique pour les batailles de marrons, c'est à cause de cette forêt que ma sœur m'appellera éternellement cochonou, parce que ça faisait rire mon papy de sauter dans les flaques de boue alors que ma mamie, qui ne pouvait pas se balader avec nous, lui faisait promettre de ne pas nous laisser faire n'importe quoi. un jour j'ai glissé dans la flaque et sur le chemin du retour on préparait notre mensonge avec lui pour ne pas se faire engueuler, elle ne nous a pas crus et j'ai dû prendre un long bain toute seule alors qu'ils étaient tous repartis s'amuser. c'est aussi dans cette forêt qu'on est devenues zinzins des grenouilles avec ma sœur, celles-là il ne fallait pas les toucher, elles étaient de toutes les couleurs. et les courses de luge sur les bouses de vache recouvertes de neige en hiver, quand on avait traversé toute la forêt, ou bien dans l'immense potager, puis quand il nous transportait dans la remorque accrochée à sa grosse tondeuse, on rebondissait partout avec les bosses et on riait aux éclats.
quand on courait sur les graviers devant le portillon et qu'on tombait, évidemment. les gravillons dans la chair à vif des genoux, les échardes, les tire-tiques l'été, les longues fouilles aux aoûtats et tous les petits bobos que mamie infirmière soignait toujours (on détestait) puis quand on galopait à toute vitesse, ou qu'on prenait la grosse espace pour aller au tout petit cimetière du bas le soir, avec le petit porche qui résonnait sous lequel on faisait des vocalises pour réveiller les morts. plus bas encore la bibliothèque et le livre "j'aime pas les épinards" de ma cousine. qu'est-ce qu'on aimait les trajets dans la grosse espace, avec les petits chats tricotés par ma mamie sur les poignées en haut des fenêtres. on la prenait surtout pour partir à l'aventure, c'est-à-dire faire les courses, on avait chacun notre mini caddie, on revenait des fois avec les grosses pochettes surprises, et ensuite le jeu préféré de mon papy c'était de nous perdre dans les routes sinueuses, on avait trop peur mais on aimait ça. on se disait, si on ne retrouve pas le chemin, on aura toujours des vichy, du saucisson pour tenir, et de la cancoillotte pour ma cousine, mais on retrouvait toujours le chemin de la maison. et on retrouvait alors l'attente du camion de la boulangère et de son gros pain escargot, le fauteuil de papy et le canapé pour mamie qui a trop mal partout, les après-midi cités d'or quand il pleuvait à torrent, tous ensemble dans le salon, devant l'immense télé, caprice de papy. on sautait partout à chaque fin d'épisode pour ne pas avoir de fourmis dans les fesses (on regardait vraiment très longtemps) et puis les après-midi dessins sur la grosse table en bois du salon, avec des laits grenadine, quand ils en avaient marre de surveiller les devoirs de vacances, et des soupes à la grimace que cela impliquait, ils disaient que c'était pas leur rôle et que nos parents avaient qu'à s'en occuper eux-mêmes.
je crois que d'ailleurs, cette maison c'est aussi la peur du rejet, de l'abandon, un lourd sentiment de solitude depuis toute petite, malgré l'animation et le bruit qui courait partout. c'est ma sœur et ma cousine qui prennent le bain ensemble, c'est moi qui le prend toute seule, ou avec mon cousin, mais c'était pas pareil. c'est ma sœur qui veut toujours jouer avec ma cousine, et pas avec moi. c'est ma sœur et ma cousine qui dorment dans le grand lit ensemble, et qui rigolent jusque tard, quand moi je dors dans le petit lit collé en contrebas, sous ma couverture toute douce (et pleure en silence, je crois) ou bien les deux sur les deux sièges du coffre (j'en rêvais!), et moi devant toute seule. c'est les siestes avec mon cousin pour montrer l'exemple, avant de pouvoir faire comme les plus grandes, et descendre dans la chambre de mes grands-parents, sauter sur le lit qui monte et qui descend puis lire les boule et bill avec elles (mais pas vraiment avec elles). cette maison c'est les prémices de la fascination pour les plus grands, c'est l'impression de devoir en faire beaucoup pour qu'on m'aime, pour avoir de l'attention. l'impression de ne pas être assez, puis d'être toujours de trop, pourquoi vous ne m'aimez pas ? j'ai des souvenirs un peu plus flous de moi très triste, qui descend l'escalier la boule au ventre, qui entend les filles rigoler toutes les deux, qui aimerait bien faire parti d'un truc. c'est peut-être pour ça que j'ai grandi en voulant amuser la galerie. et puis cette impression d'être nulle, ces remarques et ces reproches entendus trop petite, toujours les mêmes, t'es mal barrée dans la vie ma grande, tu vas pas y arriver. bel héritage, toujours dans un coin de ma tête. mais cette maison c'est quand même vagabond puis bambi les chats, tout aussi peureux l'un que l'autre et surtout les excursions à la cave, tout doucement pour regarder les chauves-souris, ça c'était doux. et puis il y a tout ce que j'ai oublié, mais c'était ça la maison, c'est ça mon enfance et c'était un peu ça papy. lui aussi il donnait tout pour qu'on l'aime, et ça marchait vraiment très bien. depuis qu'on est partis la maison a été revendue je ne sais même plus combien de fois, ça me fait de la peine. j'aimerais bien qu'elle soit le havre de paix d'une famille qui veuille comme nous, la garder à tout jamais elle et ses souvenirs.
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lejournalfaitmain · 3 months
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Le Paris d’Haussmann
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Georges-Eugène Haussmann (1809-1891), était un fonctionnaire français choisi par l’empereur Napoléon III pour rénover et renouveler une grande partie du centre de Paris afin de le rendre plus au goût du jour.
Le premier projet visait à améliorer l’assainissement, l’approvisionnement en eau et la circulation routière à Paris. La population de la Ville Lumière ayant doublé, les améliorations comprenaient une nouvelle division de la carte pour inclure huit arrondissements, ou districts, supplémentaires, et de nouveaux égouts ont été installés. Deux nouvelles gares, un marché, un hôpital et l’Opéra de Paris ont été construits et quatre autres parcs ont été créés. Les bâtiments anciens ont été détruits pour être remplacés par un style spécifique d’architecture néoclassique, tous de même hauteur et revêtus de pierre de couleur crème, pour créer une apparence uniforme sur les boulevards parisiens. Il a traité les bâtiments non pas comme indépendants, mais comme des éléments d’un paysage unifié. Ce style d’architecture est devenu connu sous le nom de style haussmannien.
Le rez-de-chaussée est généralement réservé aux commerces, tout comme la mezzanine. Les deuxième, troisième et quatrième étages sont des unités résidentielles et le cinquième étage dispose d’un seul balcon continu. Le toit mansardé, incliné à 45°, était occupé par des locataires à revenus plus modestes et des concierges.
À l’extérieur, des portes cochères pavées de pierre qui communiquent avec une cour servaient d’entrées à la noblesse pour entrer avec ses calèches.
Les cheminées qui servaient à l’origine au chauffage symbolisent désormais les toits emblématiques de Paris dans les films. À noter également que les minuscules balcons offrent certaines des plus belles vues de Paris.
Les intérieurs présentent généralement des parquets à chevrons, des moulures en plâtre élaborées, de hautes fenêtres, des armoires et des étagères intégrées, des cheminées en marbre et des portes françaises. C’est l’appartement par excellence du style parisien.
Comment reproduire ce style néoclassique typiquement parisien
Si jamais vous désirez ajouter un peu de charme haussmannien à votre propre appartement, pensez à investir dans un miroir au cadre doré. Il est généralement placé au-dessus de la cheminée en marbre, mais vous pouvez choisir un miroir pleine longueur pour votre vestiaire dans votre chambre. Ajoutez également des chandeliers dorés ou des plafonniers assortis. La plupart des murs sont généralement blancs, ce qui peut rendre les choses un peu plus faciles pour les locataires soumis aux restrictions de leurs propriétaires.
Si votre budget le permet, introduisez une cheminée en marbre ornementée dans votre salon, ainsi que des moulures en plâtre élaborées et des parquets en bois chaleureux. Cela donne une touche européenne à la pièce et augmente la valeur potentielle de la propriété sur le marché immobilier. Associez la cheminée en marbre à un vase en porcelaine avec vos fleurs préférées pour une touche romantique.
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loulouusme · 2 months
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Le vent nous emportera
Dans ma nuit, si brève, hélas
Le vent a rendez-vous avec les feuilles.
Ma nuit si brève est remplie de l'angoisse dévastatrice
Ecoute ! Entends-tu le souffle des ténèbres ?
De ce bonheur, je me sens étranger.
Au désespoir je suis accoutumée.
Ecoute ! Entends-tu le souffle des ténèbres ?
Là, dans la nuit, quelque chose se passe
La lune est rouge et angoissée.
Et accrochée à ce toit
Qui risque de s'effondrer à tout moment,
Les nuages, comme une foule de pleureuses,
Attendent l'accouchement de la pluie,
Un instant, et puis rien.
Derrière cette fenêtre,
C'est la nuit qui tremble
Et c'est la terre qui s'arrête de tourner.
Derrière cette fenêtre, un inconnu s'inquiète pour moi et toi.
Toi, toute verdoyante,
Pose tes mains - ces souvenirs ardents -
Le vent nous emportera !
Sur mes mains amoureuses
Et confie tes lèvres, repues de la chaleur de la vie,
Aux caresses de mes lèvres amoureuses
Le vent nous emportera !
Forough Farrokhzad
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eiffel21 · 1 year
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Quand le chat n'est pas là
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Le chat sorti, pour une grande tournée d’exploration, à des kilomètres parfois dit-on,
Le chat sorti traîner la gueuse, qui reviendra affamé dans quelques jours ou quelques mois,
Le chat sorti chasser la mésange ou le mulot, qu’il me ramènera en cadeau
Le chat sorti, parti retrouver sa précédente maison, son ancien maître,
Le chat sorti par la chatière, la fenêtre, la porte de derrière
Le chat sorti, dans le champ, le jardin, perché dans l’arbre ou sur le toit, roulé en boule sous le sapin, nourri par les voisins
Quand le chat n’est pas là, je peux vous le confier, l’âme de la maison s’est envolée
A ses moustaches, accrochée
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lalignedujour · 1 year
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J'ai eu une enfance heureuse. Des parents fonctionnel·les. Je n'ai pas grand chose à soigner, à part, comme tout le monde, le patriarcat (binarité, hiérarchisation, mysogynie, culture du viol, masculinité, monogamie, hétéronormativité). Et c'est pas trop trop la faute de mes parents, sauf celle de me laisser regarder des productions audiovisuelles.
Quand je partais en vacances seul·e avec ma mère, le premier matin, je me levais dans un drap emmêlé dans un lit trop grand. Je sortais doucement de mes rêves, je ne savais pas où j'étais, et puis juste avant de me souvenir où je pouvais être, j'ouvrais les yeux. Pour la surprise. Des voix familières venaient du salon, de la cuisine, je n'entendais pas le contenu, et j'aurais été bien incapable de le comprendre. Mais j'entendais les intonations, différentes de celles de la maison, ou plutôt si, elles me rappelaient quand ma mère était au téléphone avec sa famille. Il y avait aussi des bruits de métal, d'ouverture de frigo. Les rideaux filtraient un soleil plus fort qu'à la maison. Les tissus, les tapis, avaient une odeur de poussière différente. Peut-être que les bactéries dans les fibres sont différentes quand les tissus ont pris beaucoup de rayons UV, ou de vapeurs d'huile d'olive et de concentré de tomate.
J'avais dormi avec ma mère. C'était comme ça pendant les vacances dans la maison de son père. Je m'endormais seul·e et je me réveillais seul·e, mais j'avais dormi avec elle. Je la croyais sur parole.
Elle passait dans la chambre alors que j'étais réveillé·e. Elle me "réveillait" officiellement. Elle me réveillait avec sa voix douce, puis je l'entendais ensuite plus loin de moi tout le reste de l'été. Elle parlait arabe, je ne comprenais pas. Même avec moi, elle parlait parfois arabe, elle voyait que je ne comprenais pas, alors, un peu déçue, elle reprenait en français. Je comprenais.
Je me sentais autorisé·e à me lever, regarder un peu les toits par la fenêtre, les mêmes toits desquels semblaient venir les appels à la prière.
J'allais dans la cuisine. Je croisais mes cousines. Et l'été commençait vraiment.
Il y avait donc la première génération dans la cuisine. Et j'étais avec la deuxième génération, la mienne, celle qui ne comprend pas non plus l'arabe, et regarde plutôt KD2A sur France 2 en mangeant de la pastèque et des céréales pour le petit-déjeuner. Ça me faisait plaisir d'être près d'elles. La veille au soir, c'est mon oncle qui est venu nous chercher à l'aéroport, elles dormaient déjà. Je n'aurais pas pu passer l'été avec des gens aux peaux vieilles. Je les regardais, et ce que j'aimais chez elles, c'était vraiment leur peau élastique. Des peaux d'enfant, d'ado, semblables à la mienne. Les adultes avaient des peaux abîmées qui sentent de plus en plus mauvais. J'y ai été jusqu'à mes 17 ans.
Aujourd'hui, c'est son anniversaire. Je l'appelle au téléphone. Moi, j'ai changé de voix parce que j'ai 34 ans, deux fois 17. Mais elle, non. C'est la même voix qui me demande des nouvelles de mon ex (on est séparé·es depuis trois ans et elle le sait), qui me demande si j'ai mon enfant à côté (ça fait deux ans que je ne l'ai jamais le mardi et elle le sait), qui me demande si je travaille tout l'été ou si je prends quelques jours (ça fait un an que je ne travaille plus, et elle le sait).
J'ai pourtant eu une enfance heureuse.
La mère de ma mère est morte quand ma mère avait 17 ans. Moi non. Elle est là, et je constate cette nouvelle version de ma mère.
C'est pourtant la même voix, dix-sept ans après.
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studiop8-blog · 4 months
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Une fenêtre sur le monde
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM 22007100
intimité familiale 7.2
Au cœur du couloir de mon étage à la résidence Le Sextant, une large fenêtre offre un point de vue privilégié sur le paysage urbain de Sarcelles. Derrière la vitre transparente, un kaléidoscope de formes et de couleurs se déploie, témoignant de la vitalité de notre ville.
Au premier plan, des immeubles aux hauteurs modestes se dressent, leurs façades baignées par la lumière changeante du jour. Leurs toits se découpent avec précision sur l'horizon, formant une ligne d'horizon familière et rassurante.
Mais c'est à leurs côtés que la nature reprend ses droits. De grands arbres majestueux déploient leurs branches chargées de feuillage, apportant une bouffée d'air frais dans ce décor minéral. Leurs silhouettes élancées semblent veiller sur les bâtiments environnants, créant un contraste saisissant entre l'œuvre de l'homme et celle de la nature.
Au loin, d'autres immeubles se profilent, leurs formes se fondant dans la brume ambiante. Parmi eux, une silhouette emblématique attire l'œil : la Tour Eiffel. Bien que minuscule et légèrement floue à cette distance, son profil caractéristique est immédiatement reconnaissable, rappelant la proximité de la capitale et l'interconnexion de nos villes.
À travers cette fenêtre, c'est un monde en perpétuel mouvement qui se dévoile. Les nuages filent dans le ciel, les ombres se déplacent au gré du soleil, et la vie grouille au pied des immeubles. Un spectacle changeant, toujours renouvelé, qui invite à la contemplation et à l'émerveillement.
Cette vue est un rappel constant de la richesse et de la diversité qui nous entourent, même au cœur de l'environnement urbain le plus dense. Un petit coin de paradis, accessible à tout moment, pour se ressourcer et apprécier la beauté des paysages familiers.
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