#et si je suis fou alors quoi
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🏄♂️🌊👨❤️💋👨😝🤙 les fous du surf !!!
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Passif, actif, réflexif: victimisation, culpabilité, responsabilité
La plupart "des choses décisives qui nous arrivent" comme tomber amoureux ou tomber malade par exemple, cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de conférer un minimum de sens et de cohérence à notre existence, d’en faire un récit convaincant nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous sommes le plus souvent les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre que la posture de "victime" offre une échappatoire commode au sentiment de culpabilité: si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...
L’impasse "culpabilité ou victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration, c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... (comment ne pas mieux saisir dès lors l’importance dans l’idéologie contemporaine de la profusion des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en maintenant l’effroi, afin de maintenir le plus grand nombre possible de nos concitoyens en suggestion de victimisation, qui à tout prendre, puisqu’elle est "reconnue", semble préférable aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc plus dès lors pour le sujet qui en émerge rien d’autre au monde qu’un objet petit a, selon l’équation de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung.
Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective ouverte par Kant de la sortie de notre propre "minorité"... Sapere Aude. Scilicet.
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Femme, j’ai tant de choses à te dire,
Qu’il me faudrait un livre pour l’écrire.
Une vie ne suffit pas,
et encore plus de temps,
Car tu portes en toi tout ce que je ressens.
Femme tendresse, femme douceur,
Femme tempête, femme douleur,
Il me faudrait tout le dictionnaire
Pour parler de toi, en rimes et en vers.
Tu es le commencement et la fin.
Tu es l’aboutissement, soir et matin.
Tu es l’émotion, la finesse, la vie.
Tu es tout ce que je ne suis pas,
je t’envie.
Tu es l’avenir de l’humanité,
Car tu portes en toi l’éternité.
Femme d’amour, tu donnes la vie.
Femme de cœur, tu donnes l’amour.
Femme sensible, fragile, forte,
J’attends tout de toi, ouvres-moi ta porte.
Fais-moi une place dans ton cœur.
Offre-moi tout de toi et plus encore.
Femme battue, maltraitée,
Femme outragée, mal aimée,
J’aimerais tant te protéger,
Pour pouvoir tout te donner.
Femme courage, tu es admirable.
Femme aimable, tu es remarquable.
Tu es, parfois, imprévisible, charmante,
Tellement troublante, émouvante.
Femme au regard si doux, si profond,
Je me plonge dans tes yeux jusqu’au fond,
Recherchant l’insondable, l’innommable.
S’il t’arrive de pleurer, je me sens minable.
Femme, ces colères que je redoute
Lorsque tes yeux lancent des éclairs,
J’apprécie pourtant, lorsque tu doutes,
Ton émotion, quoi qu’il t’en coute.
Femme, du fond de ma solitude,
J’ai besoin de ta sollicitude,
De ta douceur, de tes caresses,
De ton affection et de ta tendresse.
Femme heureuse, complice de mes bonheurs,
Femme amoureuse, tu supportes mes humeurs.
Et lorsque surviennent orage et malheur,
Tu gémis, tu souffres… pire tu pleures.
Femme tu me désarmes,
Alors je rends les armes.
Sans toi je l’avoue, je ne suis rien.
Tu le sais, de toi j’ai tant besoin.
Dis-moi encore qui es-tu ?
Oui, dites-nous encore qui vous êtes ?
Je crois que c’est ce qu’il y a de mieux à faire, laissons-les! Laissons les femmes nous s’exprimer, laissons les femmes penser et vivre leur vie, laissons les femmes s’épanouir.
Car comme le disait Louis Aragon dans son œuvre Le Fou d’Elsa, « L’avenir de l’homme est la femme ».
Anonyme
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J'ai besoin de parlerparlerparler pour m'enlever cette boule au ventre alors que j'ai déjà énormément parlé
Sur le moment la boule part mais dès que je m'arrête elle revient mais rien que le fait d'écrire ça m'aide purée ça fait du bien limite j'ai envie d'écrire pour ne rien dire en fait dès que je m'arrête de parler et d'écrire je réfléchis trop et des petites pensées autodestructrices arrivent beurkbeurk en 2024 il s'agirait d'arrêter surtout quand on est une bombe atomique comme moi avec un cœur beaucoup trop gros pour mon buste tout frêle
Ce qui est fou c'est de malgré tout savoir que c'était pas l'homme de ma vie et que j'avais aperçu des red flags que je me suis bien retenue de dire ici pcq j'avais la flemme qu'on me dise de fuir mais d'être quand-même blessée genre pourquoi et en plus j'ai aucune raison d'être blessée pcq on a jamais été clair genre j'arrive pas vraiment à savoir où ça me touche exactement, est ce que c'est pcq j'ai archi pas confiance en moi que ça touche à mon ego de me dire que j'étais pas aussi spéciale que je pensais être pour lui? Ça me fait flipper d'avoir fait tout un plat de notre relation genre wtf c'était un plan cul faut se calmer j'ai carrément fait un compte où je parle de lui mais beurk arrêtez moi quoi c'est fou de s'emballer comme ça et puis en même temps il a vraiment agi à l'inverse de mon connard d'ex et ça m'a redonné confiance en moi et je peux pas non plus effacer ça et tous les bons moments et en vrai oui ça sert à quoi d'effacer les bons moments peut être qu'il faut juste que je me contente de ce qu'on a vécu sans penser aux autres meufs pcq peu importe le reste ce qu'on a vécu c'était beau et je sais bien que s'il vient vers moi me faire un câlin c'est pas faux genre ça reste une envie de lui faut surtout pas que je me dise que tout était faux pcq c'est pas vrai aller ça va aller franchement tranquille
La fin sonne si faux mdr mais en vrai je suis sûre que ça va vraiment aller, faut juste que j'accuse le coup et en vrai je suis teellement contente qu'on ait mis les choses au clair
Ma seule question maintenant x'est est-ce que je continue la relation en sachant qu'il verra d'autres meufs? Pcq j'ai l'impression que je pourrais pas me passer de l'attention qu'il m'apporte sur le moment et d'un autre côté je me dis mtn que je sais tout je peux prendre du recul sur ses messages genre vivre ma vie sans les attendre h24 pcq ce qui est positif quand même là dedans x'est que hé crois être plus attachée à ses comportements que lui en lui-même pcq il est vachement égocentrique et trop cash et j'ai horreur de ça je sais qu'on serait pas bien ensemble enfin ce serait explosif et vous allez me dire pourquoi tu voulais lui avouer tes sentiments à la base alors bah écoutez je me suis dit one life jsp ce que ça va donner mais je veux tester ce qui est bien sur ce compte c'est qu'on remarque vraiment à quel point je suis instable après ob se demande pourquoi il m'est impossible de rencontrer des gens ici pcq y a des gens qui se considèrent comme fou ici mais je dois tenir la palme d'or je vous jure ptn quelle instabilité de merde
(17/05/2024)
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Journal
Mon père à la compagne la plus maniaque de la terre ! Elle a été femme de ménage pendant des années et elle ne trouve jamais un lieu à la hauteur de son exigence de propreté. Elle débarque chez moi dans une semaine mais comme elle sait que le ménage n'est pas mon fort, elle préfère aller dormir à l'hotel. Sauf qu'elle a déjà fait les 3 meilleurs hotels de ma petite ville et que chaque fois, elle a trouvé quelque chose à redire. Alors cette fois, ils ont loué un appartement sur Booking. Depuis que j'ai eu la confirmation de sa venue, je me stress en voyant l'étendue du travail qui m'attend pour remettre mon appartement aux normes sanitaires souhaité par la dame. Tout en sachant bien qu'elle trouvera forcément quelque chose à redire. Bien entendu, elle ne me le dira pas ouvertement, quoi que. Elle fera des réflexions sur le fait qu'elle ne pourrait pas vivre dans un appartement aussi encombré, ni avec de la poussière sur les étagères, etc. Mais je sais qu'elle fera des commentaires plus virulents sur ma façon de tenir ma maison, au reste de la famille. Elle l'a déjà fait, il y a quelques années, en pleins repas avec mes grands parents et mes tantes, affirmant que la prochaine fois qu'elle viendrait nous voir en Normandie, elle irait à l'hotel car c'est sale chez moi . Cela m'a blessé parce qu'en plus, lors de sa venu, mon appart n'avait jamais été aussi propre ! Bien entendu, on a tous son idée de ce que la propreté peut être. Mais je vis avec deux chats et un chien, j'ai des tonnes de plantes un peu partout. Mon mari et mon fils n'en ont rien à faire de l'état de la maison, ils n'y prêtent pas attention et je ne veux pas passer ma vie à ranger et nettoyer après eux. Pour moi, le ménage c'est secondaire, c'est vite fait, parce que c'est de nouveau sale au bout de quelques heures et que je ne souhaite pas passer ma vie un aspirateur à la main. Mais ça, ma belle-mère ne le comprend pas. Elle refuse de sortir de chez elle si elle n'a pas tout nettoyer avant ! Elle ne cuisine plus rien qui sente un peu fort, car l'odeur reste dans leur minuscule appartement. En faisant la liste des critiques faites par ma belle-mère, je me suis rendue compte que même quand on va au restaurant, elle critique. Surtout les restaurant à volonté ou elle ne manque jamais de faire la même réflexion, au sujet de la nourriture asiatique qui serait du chien ou du rat. Bref, elle arrive dans une dizaine de jours et 48h plus tard c'est mon mariage ! Autant vous dire que j'ai des choses à faire, à prévoir, à penser que que me mettre un coup de stress supplémentaire pour le ménage, ça me déprime ! Du coup, j'ai décidé de ne rien faire de plus que d'ordinaire et vogue la galère. Elle va pouvoir s'étouffer avec la poussière, déprimer en voyant les toiles d'araignée dans les coins, gerber en constatant que les chats montent sur les tables, je m'en fous ! Je sais que, quoi que je fasse, ce ne sera pas suffisant, qu'elle critiquera de toute façon. Alors, à quoi bon ? Sérieusement, je ne pense pas que les gens se souviendront de moi parce que mon ménage laissait à désirer. Ils se souviendront de la femme joyeuse, cool, et aimante, celle qui avait toujours le temps pour discuter, créer, sortir. Mais quels souvenirs garderont-ils d'elle ? Pour ma part, je crois que vous avez déjà compris ce que j'en garderai .
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C'est fou les problèmes et débats que pose le topless dans mon entourage, personnes de mon âge comme génération du dessus. Par exemple, mes parents refusent que je le sois devant eux et leur excuse c'est souvent que ça les met dans une position inconfortable. Surtout mon père en fait. Il m'a souvent dit que ce qui le mettait mal à l'aise c'était d'imaginer que les mecs qui passent ont un regard sexuel sur moi. Ça part d'une bonne intention, me préserver de la perversité d'autrui donc. Ce à quoi je lui réponds toujours "mais toi quand tu vois une femme seins nus, tu as des intérêts sexuels à son égard ?". Il m'a toujours dit non. Peu importe que ce soit vrai ou faux mais si tu as peur qu'on regarde quelque chose d'une certaine manière c'est peut-être parce que tu as pu le regarder comme ça. Et c'est en alimentant cette peur qui a lieu d'être vu les mecs mais qui ne devrait pas qu'on ne se met pas seins nus, et encore moins à 20 ans. Mes potes, c'est pareil, ça les met mal a l'aise, que les mecs évidemment. La réelle question c'est pourquoi être mal à l'aise si on défend l'idée que le corps des femmes n'est pas à sexualiser ou du moins dans des contextes précis ? C'est la peur de me sexualiser quand même ? La peur que les gens à côté pensent que tu traines avec une meuf qui n'a pas de pudeur ? La peur de le prendre comme une invitation ? C'est fou que cet acte soit si peu intégré et encore moins quand ça concerne des petites zooz de 20/30/40 piges. Souvent c'est accepté quand les madames sont âgées alors est-ce que c'est une façon de discriminer sans s'en rendre compte en insinuant que le corps vieillissant n'est pas objet de désir, n'a pas vocation à être sexualisé à l'inverse de celui des femmes plus jeunes ? Il y a quand même une sorte d'hypocrisie énorme de la part des autres, notamment des hommes, ce n'est pas pour moi qu'on me dit de pas le faire, c'est pour eux en réalité. Moi si je pouvais aller à la mer sans maillot ou juste sans haut je le ferai tout le temps mais c'est pas du tout popularisé et encore mal vu. C'est bien que beaucoup n'arrive pas à distinguer ni les contextes, ni les intentions des femmes et c'est effrayant. Je n'invente rien évidemment mais plus je grandis et plus je suis soumise aux injonctions patriarcales. Et si je passe vraiment tout en détail, je décèle toujours plus de comportements et d'idées border à l'égard des femmes.
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Au collège, au lycée, et même à l’université, les conseillers d’orientation étaient unanimes : si je suivais mes rêves, à savoir l’écriture, le dessin voire même la création dans sa globalité, mon avenir allait être désastreux. J’aurai des difficultés à trouver un emploi, à avoir un salaire décent, à joindre les deux bouts. Les métiers artistiques, pour eux, sont beaucoup trop risqué.
Alors celle que j’étais à l’époque, timide, peu sûre d’elle et ayant peur de l’avenir les a écouté.
Je me suis appliquée à suivre des études « normales » les cours m’ennuyaient à mourir, je préférai encore mes multiples boulots étudiants qu’être sur les bancs de la fac.
Je les ai écouté et j’ai troqué mes rêves pour un avenir plus sûr.
L’avenir de cette époque, j’y suis maintenant. Il me rend malade et me fait pleurer tellement je suis fatiguée.
J’ai écouté leurs conseils. J’ai étudié des choses qui ne m’intéressaient pas. J’ai mis de côté ce �� quoi j’aspirais car tous me disaient que suivre mes rêves c’était aller droit dans le mur.
Et pourtant… et pourtant maintenant, chercher un emploi me paraît être un véritable parcours du combattant. Mon salaire décent ? N’en parlons même pas car je dois cumuler différents boulots pour réussir à joindre les deux bouts.
Et tous les soirs, mes pensées tournent en boucle dans ma tête et je me demande « et si à la place de les avoir écouté, je leur avais dit d’aller se faire foutre ? ».
Je ne sais pas quel âge vous pouvez bien avoir, mais je vais vous dire quelque chose : si vous avez des rêves, ne les lâchez jamais. Même si autour de vous on vous dit que c’est trop risqué… et alors ? Choisir la « voie normale, la voie de la sécurité » ce n’est pas risquer d’être malheureux toute sa vie peut-être ?
Et si dans votre entourage, quelqu’un vous raconte ses rêves les plus fous, mêmes s’ils sont abracadabrants, loufoques, absurdes, ne lui dites pas d’abandonner. Encouragez-le. Je ne sais pas qui vous êtes, mais n’oubliez jamais que vous n’avez pas le droit de dire à quelqu’un qu’il ne peut pas au moins essayer.
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wee introduction
ENGLISH VERSION
hi hello hope you're having a lovely evening friends! ! ! this is just a quick intro to me might edit later idk
WHO AM I?
idek lol
you can call me valian, val, vali, any other nickname you could ~possibly~ derive
use any pronouns/neos for me i dont particularly prefer any
i'm a creative person so i'm probably mainly going to be posting visual art (messy sketches and doodles, digital stuff and photos of my sketchbook) and maybe some writing? idk lets see how this goes! ! ! i will take requests but i'm pretty inconsistent and life gets busy so do me a favor and don't rage at me in my inbox if i don't take your request / it doesn't come out how you wanted it to.
im bilingual french / english so i may post in french sometimes! i'll be providing translations moooost of the time (and image IDs ofc) but do remind me if i forget also i do tend to speak in frenglish/franglais but that should be comprehensible
i don't think i'll post much vent art or triggering stuff, but if i do it will be tagged so you can avoid it since i do sometimes draw gore. speaking of triggering topics - for fucks sake, do not tag me in posts that mention s/a or message me stuff about it, please and thank youu.
fandoms i generally tend to participate in (can't believe i nearly forgot this): TOH, GI, my own ocs, ramshackle, bungou stray dogs, tma, dead plate, and pjo a little
IMPORTANT: please do not repost my art without asking permission first! feel free to use for pfps though. my art belongs to me and if you use it to train an AI, i will make a soup broth from your bones <3
yeah thats basically it. chill vibes around here feel free to message me :D
VERSION FRANCAISE
salut bonjour ca va la compagnie? ce post est juste une petite intro lol amusez-vous a le lire
T'ES QUI?
g aucune idee
vous pouvez m'appeler valian, val, vali ou quelconque autre surnom que vous pourriez ~possiblement~ inventer.
vous pouvez utiliser n'importe quels pronoms pour moi je m'en fous, il/elle/iel ou autre chose jsp
en general puisque je suis une personne creative ce blog aura probablement majoritairement de l'art visuel (petits dessins vite faits, gribouillages, quelques trucs digitaux peut-etre et des photos de mon sketchbook) et peut-etre de l'ecriture? jsp on decouvre ensemble! ! ! si vous avez des idees hesitez pas a me les donner mais je ne peux pas vous garantir que je les ferai! je suis assez inconsistent.e et la vie est compliquee alors svp sois mon pote et ne viens pas rager dans ma messagerie quand je ne les prends pas ou je les fais et ils ne sont pas assez detailles pour toi, d'accord?
je suis bilingue (comme vous avez probablement deja remarque lol) francais-anglais alors dcp je posterais parfois en anglais! je donnerai des traductions (et des image ID, bs) la plupart du temps mais n'hesitez pas a me rappeler si j'oubliee aussi g tendance a parler en franglais/frenglish mais ca devrait etre comprehensible
je ne pense pas que je vais poster des choses particulierement morbides mais je dessine parfois des trucs assez sanglantes mais ce devrait etre dans les tags. aussi, tant qu'on y parle - svp, ne me 'mention' pas dans des posts parlant du viol, meme si c'est qu'un petit truc, merciiii.
fandoms dans lequelles je participe plutot frequemment (g failli oublier): TOH (ou luz a osville si vous avez regarde en francais mais moi g regarde en anglais c quoi osville wsh????), genshin impact, mes propres personnages, ramshackle, bungou stray dogs, tma, dead plate, et percy jackson un peu
IMPORTANT: svp demandez moi avant de reposter qqc que j'ai poste! mais vas-y si tu veux utiliser comme pdp. aussi si tu utilises mon art pour creer une IA, je bouillerai tes os pour faire une soupe <3
ok bon je pense que c tout! mon blog c une zone chill hesitez pas a me balancer des messages a toutes :D
#intro post#blog intro#pinned intro#toh#the owl house#percy jackon and the olympians#ramshackle#genshin impact#fanart#fanwork#artists on tumblr#bilingue#bilingual#french/english#francais/anglais#art#my art#artwork#bungou stray dogs#bsd#tma#the magnus archives
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les gars....le rêve de zinzin que j'ai fait encore là....j'ai rêvé qu'il y avait une saison 7 de kaamelott et que je faisais partie du tournage, qu'on tournait ça chez la mère astier genre dans un palais IMMENSE, avec des colonnes dorées, des escaliers en colimaçon, des moucharabieh et des plafonds peints style chapelle sixtine, vraiment je me revois lever les yeux au ciel si fort parce que je trouvais ça tellement too much djfkdn
et puis je me souviens qu'il y avait surtout loic varraut avec moi qui était un peu perdu, et on avait fait une table ronde pour discuter de nos dialogues et de ce qui allait se passer dans cette nouvelle saison, et là aa commence à expliquer que ce sera hyper dark et qu'on parlera d'une prophétie, comme quoi arthur mourra et que tout le monde se retournera contre lui, et que guenièvre se laissera lentement mourir de chagrin et de douleur vraiment un PLAISIR
après je sais pas pourquoi mais y avait des enfants, dont une gamine qui était devenue ma super copine, si bien que j'avais l'impression que mon amitié avec cette petite fille me permettait d'être hyper bien vue par tout le monde et d'avoir droit à plein de trucs cools (par exemple ma présence sur le tournage mdr littéralement qu'est-ce que je fous là sinon)
et not to be biased mais aa était trop beau. vraiment le gars était trop frais, il avait les cheveux un peu mi-longs, poivre et sel, bouclés, une barbiche impeccable, une armure brillante et tout. chef's kiss. et puis après y a eu une scène de guerre civile un peu ??? genre tous les chevaliers (dont moi) en haut d'une tourelle, et le peuple en bas qui veut renverser le roi, alors ça jetait des bombes??? des bombes toutes rondes qui pétaient comme des gros pétards de forain, et c'était le bordel absolu, arthur avait trop peur pour lui etc et à un moment, on a vu yvain, en train d'allumer lui même des bombes, et là PLOT TWIST on comprend qu'il est du côté des méchants depuis le début parce qu'il s'est fait embrigadé par les saxons etc, alors arthur le chope et dans un coup de folie lui tranche la gorge et le fait tomber par dessus le bord. évidemment gauvain et léodagan voient ça et sautent sur arthur...et je me suis réveillée 🙃
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j'ai envie de vomir des trucs ici mais mon cerveau fonctionne plus je suis dans un état atroce j'ai l'impression de pas avoir dormi depuis mercredi et c'est pas vraiment qu'une impression le concert jeudi m'a fait un bien fou malgré une première partie qui m'a angoissé tellement elle était nulle et le son horrible ensuite je suis allée dormir chez l'ami platonique mais on a pas vraiment dormi car il était pas fatigué du tout quand je suis arrivée je l'ai trouvé en boule dans le noir dans son lit je me suis couchée avec son chien que vers quatre heures je crois et lui m'a suivi bien plus tard même si des fois il venait me voir et me faisait plein de petits bisous en me disant qu'il m'aimait puis comme d'habitude j'ai cru que j'allais me motiver pour aller en cours de chez lui car c'est plus proche mais il s'est couché avec moi à peu près à l'heure à laquelle je devais commencer à me bouger j'étais extenuée de pas avoir vraiment dormi du coup je l'ai supplié de pouvoir sécher et il a cédé très facilement donc on a dormi collés un peu toute la journée c'était ce qu'il me fallait puis j'ai du le quitter non pas pour aller en cours mais pour repasser chez moi avant d'aller à un autre concert avec le pote de mon bar et au final je suis rentrée chez moi qu'à neuf heures ce matin et je sais pas quoi raconter de cette soirée il s'est passé trop de choses et en même temps rien et j'ai l'impression que je suis vraiment dans un stade avancé de dégout et d'angoisse des mecs enfin bon à part ça je suis encore montée sur scène à la fin du concert vraiment deux fois en deux semaines ça me fait trop rire je suis tombée amoureuse d'une quadra aux cheveux roses qui était manifestement flattée que je la trouve si belle à part ça j'étais arrachée puissance mille on est allés au resto il a perdu ses clefs de voiture mais on les a retrouvé la soirée après le concert était folle j'ai trop aimé on a fumé dans sa voiture on a découvert qu'on était un peu le yin et le yang car il a des problèmes dans tout le côté droit du corps et moi c'est tout le côté gauche qui est niqué même si d'ailleurs j'ai remarqué que je n'avais pas de douleur en ce moment enfin je ne sais pas si je n'en ai pas ou si je les sens juste plus c'est à creuser et sinon après être rentrée ce matin j'ai dormi genre deux heures je me suis un peu engueulée avec l'ami platonique donc je me sentais comme une merde puis je me suis réveillée dans la douleur d'un premier jour de règles et avec une motivation à me lever avoisinant les zéros mais j'avais un goûter d'anniversaire car oui on est un peu des bébés avec mes amis du coup j'ai retraversé tout paris sous la pluie mais c'était une belle après-midi on a bien rigolé même si j'étais un peu mal toute la journée d'avoir l'impression d'être folle et alors en rentrant on discutait et je ne sais plus comment on en est venues là mais mes amies m'ont dit que si mon meilleur ami que j'ai revu il n'y a pas longtemps était vraiment vraiment amoureux de moi à l'époque et peut-être encore maintenant je vais y penser toute la soirée du coup et il faudrait que j'écrive dessus car c'était un peu évident et en même temps non et ça me fait rire et ça me fait plein d'autres trucs et si l'amour c'est juste tous nos petits trucs qu'on avait avant alors je veux bien être amoureuse de lui car c'est tout doux et peut-être qu'après tout je me trompe et j'ai juste besoin de douceur mystère
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Femme, j’ai tant de choses à te dire,
Qu’il me faudrait un livre pour l’écrire.
Une vie ne suffit pas,
et encore plus de temps,
Car tu portes en toi tout ce que je ressens.
Femme tendresse, femme douceur,
Femme tempête, femme douleur,
Il me faudrait tout le dictionnaire
Pour parler de toi, en rimes et en vers.
Tu es le commencement et la fin.
Tu es l’aboutissement, soir et matin.
Tu es l’émotion, la finesse, la vie.
Tu es tout ce que je ne suis pas,
je t’envie.
Tu es l’avenir de l’humanité,
Car tu portes en toi l’éternité.
Femme d’amour, tu donnes la vie.
Femme de cœur, tu donnes l’amour.
Femme sensible, fragile, forte,
J’attends tout de toi, ouvres-moi ta porte.
Fais-moi une place dans ton cœur.
Offre-moi tout de toi et plus encore.
Femme battue, maltraitée,
Femme outragée, mal aimée,
J’aimerais tant te protéger,
Pour pouvoir tout te donner.
Femme courage, tu es admirable.
Femme aimable, tu es remarquable.
Tu es, parfois, imprévisible, charmante,
Tellement troublante, émouvante.
Femme au regard si doux, si profond,
Je me plonge dans tes yeux jusqu’au fond,
Recherchant l’insondable, l’innommable.
S’il t’arrive de pleurer, je me sens minable.
Femme, ces colères que je redoute
Lorsque tes yeux lancent des éclairs,
J’apprécie pourtant, lorsque tu doutes,
Ton émotion, quoi qu’il t’en coute.
Femme, du fond de ma solitude,
J’ai besoin de ta sollicitude,
De ta douceur, de tes caresses,
De ton affection et de ta tendresse.
Femme heureuse, complice de mes bonheurs,
Femme amoureuse, tu supportes mes humeurs.
Et lorsque surviennent orage et malheur,
Tu gémis, tu souffres… pire tu pleures.
Femme tu me désarmes,
Alors je rends les armes.
Sans toi je l’avoue, je ne suis rien.
Tu le sais, de toi j’ai tant besoin.
Dis-moi encore qui es-tu ?
Oui, dites-nous encore qui vous êtes ?
Je crois que c’est ce qu’il y a de mieux à faire, laissons-les! Laissons les femmes nous s’exprimer, laissons les femmes penser et vivre leur vie, laissons les femmes s’épanouir.
Car comme le disait Louis Aragon dans son œuvre Le Fou d’Elsa, « L’avenir de l’homme est la femme ».
Anonyme
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Marcel (partie 1)
Oui, la prochaine histoire s’appelle Marcel parce que - fun fact - c’était son vrai nom de code à l’époque. J'ai voulu le garder.
On est en avril 2019.
Je travaille à Radio-Canada, dans la grande tour brune. C’est un jeudi, on est festifs et festives, même si c’est plus morose qu’à l’habitude. On souligne le départ de notre collègue vers de nouveaux horizons.
Plusieurs personnes se joignent à la fête, dont un que je ne connaissais pas. Il travaille aux TI - y’a pas quelque chose de moins sexy dans mon livre à moi. Il s’appelle Marcel.
Y’est pas laid. OK, joins-toi à nous.
On se dirige en autobus vers le Yïsst, l’endroit de prédilection de notre cher collègue. Il a même un sous-verre à son nom là-bas. C’est sa place. On s’attable à la plus grande table de tout le bar. On n’arrête pas de joindre des petits carrés de bois à notre grande rallonge.
C’est la fête. On est là pour passer un bon moment.
Les places, dans ces contextes-là, sont cruciales. Avec qui tu vas être « pogné » à jaser toute une soirée durant? C’est stressant. Direction banquette pour ma part. Je choisis toujours la banquette. Elle est coussinée, il va falloir qu’on m’extirpe de là à 2h du matin. Il est 18h.
Marcel décide de s’asseoir en face de moi. Bon, d’accord. I guess que je vais devoir parler d’informatique pendant 8 heures de temps? Qu’on m’apporte une bière et vite. Je demande la IPA la plus forte qu’il soit. 7% ? Parfait.
J'observe un peu Marcel. Il arbore une casquette d’un band de musique. Il porte une veste en jeans alors qu’il fait 3 degrés dehors. Y’a pas peur. Ou il ne connaît pas l’application de MétéoMédia. Il a les yeux clairs, le regard douillet. Il est bien bâti, il m’a tout l’air d’un nounours. Je n’aurais pas peur de lui dans la forêt.
Je suis près d'autres collègues à qui j’aime jaser. Ça va peut-être être plus smooth que je l’avais imaginé. Iels semblent connaître Marcel et sont content·es de le voir. Sont-iels juste poli·es? On verra ça.
On jase. De tout, surtout de rien.
Finalement, le Marcel, il connaît ben des affaires. Maudits jugements, me dis-je. J’suis vite sur la gâchette côté anticipation des fois. On se met à se parler directement.
On parle de Radio-Canada, des émissions de radio. J’adore la radio. Surtout celle de la société d’État. Il connaît Aujourd’hui l’histoire, Médium Large, Plus on est de fous, plus on lit, La soirée est (encore) jeune. Il les écoute religieusement. Je le crois. Il me donne assez d’informations pour que je sois en mesure de valider tout ce qu’il me raconte.
Ouf, ok. Je ne sais pas si c’est le début de quelque chose, mais ma curiosité est piquée. Elle démange.
« As-tu un chum? », me lance-t-il out of the blue.
Woooohohoho, menute papillon!
Aussi, assumer mon orientation sexuelle juste de même, me refroidit. Même si je suis excessivement attirée vers les hommes et que je rêve à beaucoup de pénis la nuit, ce n’est pas une excuse.
« Non, je me suis séparée au début de l’année », lui renvoie-t-il. Je ne veux même pas savoir, c’est quoi de son côté. Je ne suis pas si intéressée, finalement.
Il me sens plus distante. Il tente de me repêcher. Il lance l'hameçon.
On se met à parler de musique. C’est un mélomane, un vrai. Je sens qu’il cherchait mon attention à plusieurs moments de la soirée, mais là j’ai consommé assez de bières pour être bien ballonnée et être assez parlable. Je me sens légèrement séduite. Je change vite mon violon d’épaule.
On parle de nos goûts respectifs et tout s’assemble. La musique, le langage universel de l’amour. Je dis que je trippe sur Khruangbin, un groupe de rock psychédélique instrumental et il me réplique que c’est aussi un de ses groupes préférés.
Shit. Ça me parle. C’est niche.
J’aime quand quelqu’un a les mêmes référents. Merde, est-ce que je lui demande s’il a une blonde? À ce moment, j’assume qu’il est hétéro. Ou très attiré envers les femmes. Les contradictions, des fois.
On s’échange des regards complices, on s’étouffe de rire en prenant des gorgées.
Nos collègues se sentent de trop auprès de nous. J’ai un TOC, hein. Quand j’obsède sur quelque chose, plus rien n’existe autour. Je sens une nouvelle obsession s’emparer de tout mon être. On se consume. Tout en consommant.
Il est 1 heure du matin et je commence à avoir faim. Je m’imagine en train de manger une délicieuse poutine chaude, avec des morceaux de soucisses dedans. Je ne peux plus être sur une banquette, faut que je sois dans mon petit 2 ½ du Plateau right now.
Je dis aux collègues, et à Marcel, que je quitte le navire de la boisson pour la chaloupe de la poutine.
Marcel décide de partir au même instant.
Ah ouais?
Drôle d’adon.
On se fait la bise à l’extérieur et il me dit qu’il a apprécié me parler ce soir. Voyons, c’est donc ben fin. Je lui dis que c’est réciproque et je le pense. Il est facile d’approche et a un bon sens de l’humour. On décide d’échanger nos numéros. Wow, j’étais en première date sans le savoir.
Je retourne chez moi, heureuse. Je baigne dans le bonheur et le gravy. Qu’est-ce que je pourrais demander de plus?
Marcel me texte.
« Vraiment belle soirée. Merci pour tout. »
Je suis comblée. Quelle gentillesse. Ça me fait vivre de belles émotions. J’ai envie de saupoudrer un peu de dopamine sur ce texto.
« Veux-tu qu’on continue de se jaser sur mon balcon? »
« Je m’en viens. », répond-t-il.
Je ne suis pas prête de me coucher, mettons.
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Moi je l'ai fait la nuit de vendredi à samedi... mes parents n étaient pas la, on était
que tous les 2 avec ma soeur... chacun dans sa chambre... ma soeur sait que des fois je me réveille mouillé, alors c est pas grave.... j ai aussi deja vu que ça lui etait arrive donc je sais qu elle m embetterait pas si je fais pipi au lit !
Comme les fois ou j ai envie de jouer à pipi au lit, je me suis forcé à boire plus le soir...
Et au moment de me coucher, après avoir fini la serie sur Netflix un peu tard, lavé les denrs, mais pas pipi...
J avais deja un peu envie mais pas de quoi m empêcher de m endormir... je me suis donc endormi sagement....
Comme depuis que j ai 11/12 ans et que j ai recommencé a faire pipi au lit des fois (personne sait que c est exprès !) Le matelas, qui porte toujours les traces de mes premiers débordements vers 11 ans, est toujours protégé, alaise + grosses serviettes très absorbantes dessus... ces premiers pipi au lit mon amené à découvrir en même temps la masturbation au passage !!!
Faut dire qu à ce moment la, vers 11 ans, je fantasmais deja, sans oser franchir le pas, sur le fait de faire pipi au lit da mon pyjama... jusqu au jour où j ai finalement osé... c était tellement bon...que j ai eu l irresistible envue de me frotter sur le ventre dans mon pipi tout chaud, dans le pyjama tout mouillé... avant le plus bel orgasme de ma vie...bon chacun son truc !
Bon le réveil le matin a été moins glorieux... mais ce plaisir que je venais de découvrir valait bien la honte de ce matin la !
Mais je m égare !
Comme j avais beaucoup bu le soir, c était sur que ça allait me réveiller à un moment ou un autre dans la nuit...
Le réveil affichait 4 je sais plus quoi...j étais sur côté... le temps de rassembler tout les morceaux dans ma tête... envie de pipi.... a oui c est vrai je m etais dis que....
Je me suis retourné sur le dos...dans cette position, mon envie me paraissait encore plus forte..... et je me suis vite dit... j ai trop envie.... je vais faire pipi au lit....je vais faire pipi dans le pyjama...
J ai touché du bout des doigts le drap du dessous... je matelas avait déja pris suffisamment cher dans le passé, c était pas la peine d en rajouter !
Tout était en place.
.je pouvais faire pipi au lit... comme le gamin que j étais à ce moment la....
Et.... j ai décidé de la faire.... j allais pisser au lit ...
J ai mis mon zizi bien droit vers mon ventre....
Et j ai zrreté de me retenir mais..
Le réflexe de propreté est toujours la dans ces moments la, mais quand tu as trop envie... il ne dur pas... j ai pris une grande respiration., j ai un peu écarté les jambes...
J ai plus pensé a rien et...
J ai sensi que ça arrivait.... et d un coup j ai commençais à faire pipi au lit...
C était tout chaud, la douleur de me retenir s est tout de suite transformée en une onde de plaisir..
Je faisais pipi au lit dans le pyjama expres, c etait tellement bon... j avais tellement envie que je pouvais entendre mon pipi couler dans le pyjama...
Ça chauffait le bas du ventre, mes fesses aussi chauffaient... ça coulait dans la raie des fesses...
Des secondes d un pur plaisir en dehors du temps.
Et ça scest arreté..
Je venais de faire pipi au lit ..
Et sans y faire attention... j ai murmuré rien que pour moi...wouahhhh. j ai... j ai fais pipi au lit... je me le suis répéter plusieurs fois.
Je me sentais tout mouillé mais tellement bien !
Je me suis mis à bander comme un fou... j ai plongé ma main dans le pyjama trempé, en me repetant que j avais fait pipi au lit.
Et d un coup j ai ete submergé par un monstrueux plaisr qui ma laissé vidé jusqu au lendemain, ou dans un demi sommeil, j ai realisé que je baignais dans mon pipi.... putain que ça avait été bon !
.
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«Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
(Emmanuel Macron, 24/11/2020)
La Verneinung se traduit le plus souvent en français par dénégation... L’exemple vient de Freud: lorsqu’un de ses analysants lui raconte un rêve et dit: "qui que soit cette femme dans mon rêve, ce n’est pas ma mère..." Freud en conclut que bien entendu il parle de sa mère. Dire en niant ne dit pas moins que dire en affirmant...
Comme remarque Lacan: «La Verneinung n’est que la pointe la plus affirmée de ce que je pourrais appeler "l’entre-dit", comme on dit l’entrevue.»
Notons également que le président parle au "je" : «Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
Le roi qui se prend pour le roi n’est il pas plus fou que le fou qui se prend pour le roi? Pour le psychanalyste, la normalité, c'est la psychose. Mais psychose et folie ne se recouvrent pas. Normal ça veut dire qu'il y a une norme, or il n'y a pas de norme sexuelle, et c'est bien pour ça qu'on passe son temps à inventer des normes sociales. La norme mâle... Névrose («je ne veux pas savoir»), psychose («je ne peux pas savoir») et perversion («je sais bien mais quand même») sont les trois structures de langage incorporé, nul sujet n’échappe à la structure.
NB: Le noyau psychotique est la norme, car c'est l’universel pour chaque sujet de ne pas pouvoir savoir...
Toujours dans la même allocution, Emmanuel Macron dit aussi: «Nos concitoyens ont besoin en effet d'avoir une vie, si je puis dire(...)»
Monseigneur est trop bon. Vraiment….
Tomber malade ou amoureux…
Toutes les gesticulations gouvernementales vides autour du covid (confinements, masques, couvre-feu, etc.) ont autant d’impact sur la propagation du virus que les danses tribales pour faire tomber la pluie... (En fin de compte, ce qui se sera passé en Suède en donnera la confirmation...)
Le véritable point saillant est toujours le rapport du sujet à la peur, la jouissance de la peur, l’instrumentalisation de la peur et son corrélât fantasmatique: l’illusion de la maîtrise.
Tomber malade n’est pas sans rapport avec tomber amoureux, cela n'arrive jamais pour des raisons "objectives", dans un premier temps, le sujet sent la maîtrise lui échapper, d’où l’impression de "tomber", et ensuite il (se) raconte une histoire pour tenter de "rationnaliser" ce qui aura échappé à la chaîne des causes et des effets...
Si je me questionne sur les "raisons" qui me font tomber amuoureux, j'ai beau énumérer ses qualités, je sais que ce n'est jamais "ça"... Ce qui m’aura attiré en l'autre, c'est un "je ne sais quoi" qui n'appartient pas à la série des raisons objectives, c'est peut être même l'index d'un défaut... Formellement, tomber amoureux a la structure d'une décision. Contrairement aux idées reçues, ce qui s'appelle à proprement parler "décision" est un acte qui pose rétroactivement ses raisons, le fameux "nachtrag" freudien que l’on retrouve dans la "performativité rétroactive du signifiant" chez Lacan...
C'est parce que suis déjà tombé amoureux (ou que j'ai toujours déjà décidé) qu'ensuite je me raconte des histoires pour essayer de rationnaliser (rendre "raisonnable") ce qui a effectivement échappé à la chaîne des causes et des effets, et qui se trouve dès lors marqué du sceau du Réel...
Dans "ce qui se passe", cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de donner du sens, un semblant de cohérence à notre existence, en produisant un récit plus ou moins convaincant qui nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous ne sommes le plus souvent que les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre qu’elle explique le succès de la posture de "victime" car elle offre une échappatoire au sentiment de culpabilité (si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...)
L’impasse "culpabilité/victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration (le "complotisme" d’aujourd’hui), c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle des gens du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... Comment dès lors ne pas piger l’importance dans l’idéologie de la profusion et l’entretien des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en soufflant l’effroi, afin que le plus grand nombre possible de nos concitoyens soit maintenu en suggestion de victimisation (qui à tout prendre, puisqu’elle est "socialement reconnue" sera préférée aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc, pour le sujet qui en émerge, rien d’autre au monde qu’un objet petit a, conformément à l’écriture de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung. Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective formulée par Kant de la sortie de notre propre "minorité"...
En inventant la psychanalyse il y a plus d’un siècle, Freud nous interdit désormais de faire comme si nous ne savions pas que les mots savent de nous des choses que nous ignorons d’eux.
L’actualité du malaise dans la civilisation, c’est une époque malade comme jamais de la déliquescence du langage, et cette déréliction produit la vraie pollution, la pollution la plus toxique, la mère de toutes les pollutions.
Ce qui s’appelle Discours Capitaliste, dans l’acception lacanienne, ce n’est pas le discours tenu par des capitalistes, mais un effet de structure qui fait que le sujet croit qu’il est le maître des signifiants, et la langue en usage un simple instrument à sa disposition...
Nos sociétés occidentées soi-disant «progressistes et tolérantes» s’élèvent ainsi à des sommets de crétinerie autoflagellatoire jamais atteints historiquement...
Du temps des Grecs anciens, la «société» se mettait en scène pour les dieux, aujourd’hui elle se donne en spectacle à elle-même, dans une représentation permanente, répétant inlassablement dans les médias ou sur les réseaux dits sociaux le lexique et la syntaxe du discours dominant, s’imaginant qu’elle pourrait ainsi atteindre au «sourdre de la source» à partir de l'eau stagnante des égouts.
Le sujet du Discours Capitaliste qui croit s’opposer au capitalisme a autant conscience d’être pris dans un discours que le poisson a conscience de l’eau dans laquelle il baigne.
Se poser en s’opposant renforce ce à quoi on s’oppose.
La première révolution accessible au sujet est celle d’avoir osé faire un tour sur soi-même, à savoir le tour complet des quatre discours, aller et retour, afin de prendre en lui-même l’immarcescible sujet de l’énonciation dans ses propres énoncés.
Cela s’annonce avec le Discours de l’Analyste.
Comment la considération politique aujourd'hui pourrait-elle faire l’impasse sur ce qui, dans son acception stricte lacanienne, se définit d’être le Discours de l'Analyste?
Le Discours de l'Analyste ce n’est pas le discours tenu par les psychanalystes (rares parmi ceux qui se disent «psychanalyste» sont à la hauteur de ses exigences) c'est au contraire le Discours qui, en tant que structure interdéfinie avec les trois autres Discours (plus un), soutient le destin des quelques uns qui ont choisi de se mettre délibérément à son service ; le Discours de l’Analyste c’est avant tout le lien social déterminé par la pratique d’une analyse.
Pour que ce lien social ait été mis à jour, encore aura-t-il fallu que l'objectif de la cure ait été atteint, autrement dit la dissociation de a et A ait été correctement menée, car si cette «séparation» n'a pas eu lieu (étape logique succédant à l'aliénation) l'Autre continue de fonctionner comme un grand Autre non castré, non barré, entier, représentant absolu du domaine de la nécessité, qui contient sa propre raison, alors que l'opération qui sépare l'Autre de sa cause, place cette cause à la fois hors de la sphère du sujet, et hors de la sphère de l'Autre, c'est à dire au point de leur impossible intersection.
Le Discours de l'Analyste est ainsi le seul Discours qui permette au sujet, qui s’y prend délibérément, d’assumer sa division constitutive, tout en déterminant sa confrontation au Réel, à laquelle il est forcément convoqué puisqu’il en est partie prenante.
Le Discours de l’Analyste non seulement permet de rendre compte que de notre position de sujet, nous sommes toujours responsables, mais la position du psychanalyste ne laisse pas d'échappatoire puisqu'elle exclut la tendresse de la Belle Âme, comme elle exclut toute prétention à l’objectivité pure.
Le Discours de l'Analyste ne commande pas, et en ceci il est déjà l'envers du Discours du Maître, il ne commande ni ne recommande, ce qui permet de se dégager des sempiternelles pulsions de soumission et de domination, de séduction et de manipulation, une prise de distance avec l'Autre qui - grâce à un «jeu des places», où la place vide se différencie de ce qui l'occupe, sujet ou objet - offre la promesse d'un lien social authentique renouvelé, basé sur la parole qui engage, l'autre (qui est là) ayant pris le pas sur l'Autre (qui n’existe pas).
Lacan parle de sortie du Discours Capitaliste, ce qui ne signifie pas encore la sortie du capitalisme.
Raison pour laquelle il ne manque d’ajouter: «Plus on est de saints, plus on rit, c'est mon principe, voire la sortie du discours capitaliste, — ce qui ne constituera pas un progrès, si c'est seulement pour certains...» (Télévision)
Se mettre au service du Discours de l’Analyste implique pour nous que d'une part nous ayons compris que nous n'avons pas d'autre rayon d'action véritable et réel que d’intervenir sur les Discours, la psychanalyse étant une clinique du discours et un Discours, et d'autre part que nous refusons de végéter sur le «mode survie» – la survie utilitaro-hédoniste, pauvre en événements, principale préoccupation de beaucoup de nos contemporains: "un peu de poison par-ci par-là: cela donne des rêves agréables. Et beaucoup de poisons pour finir: cela donne une mort agréable. On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit, mais l'on révère la santé. Nous avons inventé le bonheur, disent les derniers hommes, et ils clignent de l'œil." (Also sprach Z.)
Nous rejetons donc radicalement l'idéologie libérale de la victimisation, laquelle réduit la politique à un programme d'évitement du pire, au renoncement à tout projet positif et à la poursuite de l'option la moins mauvaise – car nous ne sommes pas sans savoir que, comme Arthur Feldmann, un écrivain juif viennois, l'a amèrement noté, "notre survie se paie généralement au prix de notre vie."
La survie vaut-elle le coup d’être survécue?
Aimer, c’est changer de discours.
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" Frustration " FRENCH VERSI0N.
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Joshua Washington.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Après plusieurs mois passés à étudier, la fratrie Washington peut enfin aller se reposer au Washington Lodge situé à Blackwood Mountain, cette fois, cette escapade étant plutôt minimale, ils n'emportent qu'une seule personne avec eux. Le début du week-end commence et l'invitée semble avoir beaucoup de choses à rattraper avec Josh. Sans parents en vue, loin du centre ville, ils n'ont plus qu'une chose en tête..
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : contenu sexuel.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟏𝟐𝟔.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
« Ferme la fenêtre ! Il fait un froid de canard. »
J'apporte mes mains à mes bras, les frotte vigoureusement en espérant faire disparaître ma chair de poule. Un blizzard fou souffle dehors, les volets claquent et des flocons de neiges parviennent à s'infiltrer dans la chambre, ils s'immiscent et tâchent le parquet. J'ai beau avoir une couverture sur mes épaules et mes jambes emmitouflées sous la couette, je suis morte de froid, mon corps tremble de lui-même. Mes orteils sont frigorifiés. L'hiver a toujours été dangereux ici, dans les montagnes, c'est à ce demander pourquoi la famille de Josh en a fait une tradition. Ce doit être une habitude pour lui, il a presque grandi ici le froid ne doit plus rien lui faire. Mais tant pis pour lui, moi je suis frêle et je n'en peux plus. Je n'attends qu'une chose c'est qu'il ferme cette fichue fenêtre et qu'il me rejoigne.
« Deux secondes, mon cœur, j'essaie de mettre de l'ambiance. Je voudrai pas que les voisins nous épient pendant qu'on se réchauffe. » plaisante-t-il.
« Tu vas rien réchauffer du tout si tu continues. »
« Quoi ? Tu me brises le cœur.. j'ai tout fait pour te ravir, c'est un peu de vent qui va m'empêcher de te câliner ? »
John tourne la poignée. Il me questionne du regard, feignant l'offense.
« Y'a personne à des kilomètres, » je peste. « Dépêche toi ! »
Un sourire fend ses lèvres. Il s'approche du lit, retire sa veste, et grimpe dessus avant de se pencher au dessus de moi. Nos visages se rapprochent. Je m'appuie sur mes coudes de manière à le rejoindre et pose un baiser sur sa bouche. La couverture glisse de mes épaules, elle s'affaisse sur l'oreiller et m'arrache un frisson au passage ⸺ou alors c'est dû à Josh qui glisse sa main sur ma nuque, caressant ma mâchoire de son pouce. Mon bas ventre frétille. Je ferme les yeux et le laisse mener la danse.
Josh m'embrasse.
La journée a été rude, entre la marche à pied en montagne, la mise en place du chalet, Josh, moi, Hannah et Beth avons travaillé dur pour faire de leur maison de vacances un havre de paix. Le reste de l'année elle prend la poussière alors il y avait de quoi faire.
J'ai pensé à ça toute la journée. Moi, lui, enfin seuls dans sa chambre, j'ai rêvassé entre deux coups de plumeau, entre trois batailles de boule de neige, et un déjeuner qui m'a laissée sur ma faim. Alors l'avoir à présent contre moi, ses mains sur mon corps et ses lèvres pressées sur les miennes, c'est une sensation fantastique. Je le veux encore plus près. Je veux entièrement m'abandonner à lui, oublier nos examens à venir, la pression d'un avenir incertain et les attentes inaccessibles de nos parents. Tout s'effondre pendant qu'il fait glisser la couette le long de mes jambes et qu'il se faufile entre elles. Sa main remonte sur mon visage, il me force à lever la tête et plonge sa langue entre mes lèvres. Je frémis. La pulpe de mes doigts palpite, mon cœur s'emballe et je perds la raison. Un feu s'embrase en moi, qui me fait oublier toute sensation de fraîcheur, et qui me donne l'irrésistible envie de me laisser aller.
Josh a les lèvres douces. Elles sont fines et onctueuses. J'ai toujours aimé les toucher, peu importe que ce soit avec les miennes, mon index ou d'autres parties de mon corps. J'aime les sentir se presser sur ma peau. Elles me donnent l'impression de voler. C'est aussi simple que ça; elles me touchent et plus rien n'existe, tout disparaît pour ne laisser que lui et moi.
Mes mains remontent de ses épaules jusqu'à ses cheveux. Ses mèches s'emmêlent, je les caresse. Nos lèvres persistent à se rencontrer tandis qu'il me surplombe et que j'essaie de respirer entre deux baisers. Sa langue frôle aussi la mienne. Je gémis. Les bruits humides de notre échange me rend toute chose. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je le sens partout autour de moi, tout ce que mes jambes touchent, mes bras, tout ce que mes oreilles entendent et mes narines sentent, tout ne se résume qu'à lui.
J'ai encore froid mais ses bras qui s'enroulent autour de ma taille et son torse qui écrase ma poitrine m'engloutissent dans une bulle ardente. Je ne sais pas comment c'est possible mais Josh ⸺qui était vautré à la fenêtre quelques minutes plus tôt⸺ me réchauffe. Ses narines soufflent contre moi. Il grogne et baise mes lèvres.
Lorsque j'agrippe son cou et rouvre les yeux, j'entends la porte de la chambre grincer. Josh paraît perplexe se détachant de moi.
« Joshua ? On vous dérange pas ? » dit une voix.
Nous tournons la tête. Sursautons.
« Beth ? Hannah ? »
Josh se sépare de moi, il s'avance sur le bord du lit puis se lève, déglutissant. C'est au même moment que ses sœurs apparaissent dans le cadre de la porte, toutes deux accompagnées d'une couverture et de nourriture. Embarrassée, je rattache une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et me racle la gorge, cela ne suffit pas à faire disparaître le nœud dans ma trachée.
« Qu'est-ce que⸺ hum, vous êtes pas parties dormir ? » s'étonne mon copain.
« Il est trop tôt. » affirme Beth.
« On voulait regarder un film. Vous venez ? » propose Hannah.
Assise en tailleurs, je leur fais un signe de la main auquel elles répondent avec enthousiasme. Hannah me sourit.
« On était⸺ » Josh me jette un coup d'œil. « On était un peu occupés. »
« Vous aurez tout le temps de vous rouler des pelles, aller, venez ! On va mettre un film d'horreur et on a trop peur de le regarder seules. »
« Viens nous protéger ! » insiste Hannah.
Josh est convaincu, il ne lui en faut pas plus; je le sais car il n'oserait jamais dire non à ses sœurs, elles lui sont trop précieuses. Mais la manière dont il ne cesse de regarder dans ma direction me fait comprendre qu'il a peur de me décevoir. Il a dû saisir que je n'attendais que ça. Malgré l'affection que je porte à mes deux amies, je ne suis pas venue dans ce coin perdu au beau milieu de nul part pour ne pas profiter de mon copain et des merveilles que du temps passer à deux nous réserve. Toute l'année j'y ai pensé. Avec les études, les révisions et nos parents, c'est à peine si nous avons eu le temps de passer du temps tout les deux. Ce soir c'était l'occasion rêvée.
Malheureusement je crois que je vais devoir me faire une raison.
Mes pieds touchent le sol, je me redresse et m'approche de mon copain. Un peu hors d'ici, il me fixe avec de gros yeux, j'ai du mal à savoir si il est avec nous. Toutefois, au moment où ma main prend la sienne, il nous revient.
« Allons-y, Josh. »
Il fronce les sourcils.
« Tu es sûre ? »
« Mhh. Tes sœurs nous attendent, viens. »
Il bouge sans mal, il me suffit de le tirer un peu pour rejoindre Beth et Hannah. Elles nous ouvrent la porte, gloussant joyeusement, et je leur souris en retour. Elles partent sans nous, se précipitant hors du couloir et dévalant les escaliers en direction du salon. Beth s'exclame, sa sœur rigole. Leur enthousiasme me fait chaud au cœur, je ne me voyais vraiment pas demander à Josh de refuser leur proposition, elles sont beaucoup trop adorables. Et puis je pars du principe que nous ne sommes pas seuls, ça serait idiot de notre part de rester de notre côté le premier soir, voire tout notre séjour ici.
Hannah et Beth l'auraient compris. Elles savent que Josh et moi sortons ensemble ⸺depuis plusieurs années déjà, c'est à peine si je me souviens de celles que j'ai passé sans l'avoir à mes côtés⸺ ça ne les aurait pas dérangées de nous laisser seuls un peu. C'est loin d'être la dernière fois que nous nous éclipsons pour faire l'amour. Néanmoins ce n'est pas le genre de chose que j'apprécie faire; garder leur frère rien que pour moi, ne pas le partager et monopoliser sa soirée. Pas tout en sachant qu'il remuerait ciel et terre pour elles. Je préfère largement leur faire plaisir et attendre un peu, ça n'est pas comme si il allait disparaître du jour au lendemain : nous avons le reste de nos vies pour nous rouler des pelles et nous amuser sous les draps. Je ne dis pas que ça ne m'embête pas, je sais juste reconnaître le bon choix à faire dans une telle situation. Et puis nous allons passer une bonne soirée, dans les deux cas nous sommes gagnants.
Je me colle à mon copain et lève les yeux dans sa direction. Il m'est difficile de l'apercevoir avec toute cette obscurité mais je sens ses doigts serrer les miens et la chaleur de son corps partagée à la mienne. Josh est là, il me le fait savoir.
« Je viens de passer à côté de la meilleure partie de sexe de ma vie. » il peste, ce qui me fait rire.
« La meilleure ? »
« Je te jure j'en avais le pressentiment. Tu m'as vu ? Je nous ai mis dans une ambiance parfaite, ça t'a réchauffée en un clin d'œil. »
« Abruti.. C'était qu'une fenêtre. »
« Ah ha, » il me reprend. « j'ai bien vu comment tu réagissais, tu m'as jamais sorti ça, ça veut tout dire. »
« Quoi, tu crois que tu t'améliores ? »
« Je crois ? J'en suis sûr ! »
Roulant des yeux, je lui tape le torse.
« Tu te sens pousser des ailes surtout, ça fait juste longtemps qu'on a rien fait. »
« Et ? Ça veut pas dire que mon attention au détail n'y est pour rien. Tu serais surprise de voir ce qu'une bonne ambiance peut faire. »
« T'as appris ça dans un porno ? » je demande, rieuse.
« Ha ha, très drôle. »
Josh embrasse ma joue.
« T'es bien la seule nana que j'ai envie de voir jouir. J'ai testé une théorie et elle s'est avérée vraie, c'est tout. »
« C'est tellement gentil je prendrais presque ça pour un compliment. »
Nous arrivons enfin aux escaliers. Tout comme Hannah et Beth précédemment, nous les descendons. D'ici, je vois la lumière de la télévision et entends mes deux amies se disputer à propos du film qu'elles veulent mettre, il y a apparemment deux films d'horreur sur lesquels elles n'arrivent pas à se mettre d'accord.
Josh tire sur ma main. Je m'arrête.
C'est doux, la manière dont il me tire à lui et me presse au cœur de ses bras. Je fonds dans son étreinte. Son corps pressé au mien et ses beau yeux sombres rivés sur ma petite personne. La lumière naturelle qui passe au travers des volets illumine son visage, ce sont des tons bleu, et avec tout ce noir dans le chalet je ne vois qu'une partie de son visage, mais ça me suffit. Je connais les moindres recoins de son être. Physique ou spirituel, je n'ai pas besoin de lumière pour le retrouver. C'est dur d'y croire. Que tout ça est réel, je veux dire. Cet univers est vaste, je suis une personne sur des milliards d'êtres existant déjà, et pourtant j'ai droit à ça. J'ai la chance d'avoir celui que j'aime, d'être aimée en retour et de pouvoir en profiter pleinement, lorsqu'il me touche je m'en rends compte. Je me dis que c'est trop beau pour être vrai. Josh et moi c'est... c'est tout ce dont j'ai toujours rêvé. Et il est là, il me caresse, me cajole et m'embrasse. Ses lèvres touchent ma joue alors qu'il est penché sur moi.
Je ne sais pas pourquoi il nous a arrêté ici, entre les deux escaliers. Il m'a soudain prise dans ses bras et parsème des baisers le long de mon visage.
Ça n'est que lorsqu'il atteint mes lèvres qu'il s'arrête. Il ne va pas ailleurs.
Josh m'embrasse amoureusement.
Nos lèvres se caressent, elles se touchent avec une affection pure et notre salive ne fait qu'une. Tandis que ses mains restent enroulées autour de ma taille, les miennes touchent son visage. Je le tiens. Les yeux clos, je maintiens sa tête dans mon emprise. Ça n'est pas assez pour rassasier ma faim de lui, mais je m'en contente largement.
Lorsque nous nous séparons et que nos fronts se touchent, je glousse malgré moi.
« Quoi ? » m'interroge Josh à bout de souffle.
Je pose mes mains sur son torse.
Embarrassée, je détourne le regard.
« Rien.. Je commence juste à regretter d'avoir dit oui à tes sœurs. »
Mon cœur me fait mal. Il bat trop vite. J'en ai la boule au ventre.
« C'est trop tard maintenant, si on change d'avis je crains que Hannah nous chasse. » plaisante-t-il.
« Tu penses ? »
« Ça serait pas la première fois. Tu te rappelles quand on s'est éclipsés à Halloween ? »
« Ne m'en parles pas ! C'est Sam qui a dû nous sortir de là.. »
Josh rit. Il me caresse le haut du crâne avant de se détacher de moi. Qu'il est beau... J'ai envie de l'embrasser. Je n'ai même plus envie de bouger.
Je suis bien là.
Parfaite.
« Josh, je— »
J'ai envie de lui dire que je l'aime. Cependant je n'ose pas, je me perds dans son regard et la splendeur de son regard m'ôte les mots de la bouche. Je m'accroche à lui. Je perds pieds.
« Tu regrettes totalement d'avoir dit oui. » me taquine-t-il.
J'étouffe. Il fait chaud.
Pourtant mon corps est gelé.
« Tais toi.. » je marmonne.
« Avoue le. »
Son sourire carnassier me rend faible. De la paume de ma main, je frappe son torse et le foudroie du regard. Qu'est-ce qu'il peut m'agacer... Quand il s'y met c'est presque impossible de l'arrêter.
« Tu m'aimes tellement tu peux pas passer cinq secondes sans me sauter dessus. »
« Ah ! Dis celui qui m'as embrassée. De nous deux c'est toi le pire. »
« Moi ? » s'offusque-t-il.
Je tire sur sa main et le force à avancer. Il me déstabilise, je peux même plus le regarder dans les yeux.
« C'est toi qui m'as supplié d'aller dans la chambre pour— aïe ! Me pince pas ! »
« Tais toi alors. » je réplique dans un rictus taquin.
« T'es violente quand t'es sexuellement frustrée ? C'est nouveau ça. »
Josh se rapproche de moi, je sursaute au contact de ses lèvres sur ma nuque. Il murmure ensuite au creux de mon oreille :
« On dirait que je vais devoir y remédier. »
« B—Bouge de là... »
J'essaie de me séparer de lui, c'est sans compter ma main dans la sienne. Elle nous relie. J'ai beau essayer de la reprendre, Josh me devance et s'en saisit. Il entremêle nos doigts et pouffe.
« Je t'ai vexée ? Roh, c'était pour rigoler. »
Nous continuons de nous chamailler même une fois arrivés auprès de Hannah et Beth, assises sur le canapé et fauteuil. Hannah nous salue, elle fait signe à sa sœur qui nous scrute. Je pousse Josh d'un coup de coude et le laisse agoniser en rejoignant les filles.
« Tout va bien ? » s'inquiète Beth.
« Bien sûr, pourquoi ça n'irait pas ! »
Entre deux gémissements de douleur Josh lève son pouce en l'air.
« Nickel-chrome. »
« Tu vois ? Nickel-chrome il a dit. » j'affirme.
Hannah pouffe.
« Vous êtes ingérables. » dit-elle.
« Aller, Joshua, tu fais attendre tes sœurs, on y va, on y va ! »
C'est avec toute la conviction du monde que je me saisis de son poignet et le tire. Josh se tient le ventre de son autre main, là où je l'ai gentiment frappé. Il ne se débat pas. Il me laisse l'installer sur le canapé, je pars ensuite nous prendre une petite couverture, sachant qu'il fait un froid hivernal dans le salon, et reviens auprès de lui afin de me blottir dans ses bras. Je saute presque. Ça n'est pas la nuit dont j'avais rêvé, l'idée de passée trois heures blottie dans les bras de Josh ne me déplaît pas pour autant, même si nous n'allons rien faire de concret. Mon copain me réceptionne, il passe ses bras autour de mon ventre et ne dit rien lorsque je pose la majorité de la couverture sur moi. J'ose même plier mes jambes et poser mes genoux sur ses cuisses.
« Vous êtes installés, c'est bon ? » demande Hannah, la télécommande en main.
« C'est parfait. » murmure Josh, complètement écrasé, mes bras autour de son cou.
« L'idiot.. » dit Beth en roulant des yeux.
Hannah clique sur un bouton et l'écran s'illumine, je retiens mon souffle.
Josh et ses sœurs semblent immédiatement pris par le film, tandis que moi, il faut d'abord que je m'habitue à cette scène. Pas seulement le salon, le chalet, mais les Washington et le simple fait que ce week-end me restera en mémoire pour les années à venir. Personne ne bouge. Je les regarde tour à tour. Lorsque vient celui de mon copain, je ne peux m'empêcher de fondre; mes lèvres se plissent et mon regard s'attendrit. Je caresse l'extrémité de sa mâchoire, le début de sa pilosité et colle ma tête à la sienne : la position est inconfortable, je ne vais pas tarder à gigoter pour m'allonger, mais pour le moment c'est exactement ce que je veux; être proche de Josh, alors ça me suffit.
Du coin de l'œil derrière l'une des fenêtres, j'apperçois quelque chose. Un mouvement.
« Mhh ? »
Je me redresse.
Qu'est-ce que c'était ?
« Mhh ? Quoi ? » s'inquiète Josh.
Il me rapproche de lui, la tête relevée.
« Hein ? »
« Qu'est-ce qu'il y a ? » il chuchote.
Je me rassois.
« Ça devait être mon imagination.. Désolée. » je murmure en retour.
Beth tapote l'accoudoir du canapé.
« Chuut ! »
Josh et moi nous regardons, j'esquisse un sourire amusé. Être grondés de la sorte est plutôt comique. Josh me serre contre lui, il me laisse le temps de bouger afin de me mettre plus à l'aise tout en reportant son attention sur l'écran de la télévision. N'ayant pas d'autre choix je fais de même. Je presse ma tête sur son épaule, enivrée par sa présence et observe la même chose que mes trois amis. De temps à autre Beth et Hannah font circuler leur bol de confiserie ⸺pop-corn au caramel et chips⸺, le film est parsemée de bruits de grignotages, de cris. Et même parfois de baisers. C'est parfait. Tout est parfait.
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Quand je repense à nous, à notre parcours, je ne pense qu'à l'amour.
Parce qu'après 1 an de relation, nous nous chérissons malgré les tempêtes et les disputes, la peur et les doutes.
Au cours de cette année, j'ai appris chaque jour à découvrir peu à peu l'homme que j'aime.
Bien sur, je suis passionnée, autant et toujours par tout ce que tu accomplis. Ta discipline est exemplaire, ta foi, tes valeurs et ta conviction aussi. Même avec de la fatigue, tu veux apprendre, comprendre et réaliser tes rêves les plus fous. Tu es non seulement impressionnant, mais aussi un exemple.
Tu es un personnage haut en couleur, riche en sensibilité qui se cache derrière l'humour.
Quoi de mieux que de rire de cette vie qui peut être belle et cruelle ?
Nous avons grandi ensemble, nous avons réalisé des dates les moins communs, et qu'est ce que j'aime ça !
De la folie, de la passion, de l'amitié..
On trébuche, on se plante parfois, mais surtout on se soutient et on se fait confiance. En tous cas, moi je te fais confiance. (T'en fais pas j'essaie désespérément d'appliquer ta formule 80/20. Mais bon, c'est pas trop ça).
Dans nos folies :
- nous avons regardé notre premier film ensemble au bout de 9 mois,
- nous n'avons toujours pas été au cinéma,
- nous avons mangé notre première glace alors qu'il faisait 10 degrés,
- nous aimons nous creuser la tête sur des énigmes,
- nous aimons parler des heures de tout, et à la fois de la complexité de ce monde,
- nous nous sommes mutuellement présentés à nos familles.
Bref, on a notre relation.
Ce que j'apprécie aussi, c'est toutes les petites attentions quotidiennes comme la fois où j'étais épuisée et tu m'as ramené des macarons. Des petits gestes qui veulent dire tellement.
Tellement comme notre premier "je t'aime" au bout de 9 mois. Ces mots veulent dire bien plus, parce qu ils sont choisis avec minuties à chaque fois qu'ils sont prononces. Alors, je sais que quand tu le dis, c'est pour exprimer un amour profond et pur.
Tu l'auras compris, je pourrais parler des heures de notre relation et de mon ressenti.
Attends, ce n'est fini, je n'ai pas tout dit ;
Aussi, par cette lettre, je tiens aussi à te remercier pour tes encouragements, tes gestes les plus tendres et ton soutien inestimable.
Tu sais, au contact de ton corps, je me sens femme, je me sens moi et je me sens respectée. Et pour tout ce que tu m'apportes merci.
Quand tu liras, tu me diras peut être que j'en fais trop, pourtant c'est ce que j'eprouve.
Bien que tu es aussi ton caractère et tes secrets, je sais que je veux rester à tes côtés. Quoi qu'il advienne.
Et surtout, si un jour, je devais avoir des enfants, j'aimerais qu'ils aient un père comme toi.
Je finis juste par ceci : je t'aime et joyeux anniversaire à nous.
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