#et contredit dans tous les sens
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Bout de scribouillis
En ce moment, c'est le passage Opération Déprime dans tout ce que j'ai en cours ou presque, alors j'écris des scénettes en vrac d'une (future) Obikin Same Age AU pour décompresser, sans prise de tête ni rien.
Contexte global : Anakin a 12 ans, Obi-Wan 13, Anakin est le padawan de Qui-Gon et Obi-Wan est toujours initié. Ils se retrouvent la nuit dans une salle d'entraînement où Obi-Wan se glisse en cachette pour s'entraîner.
— Qu'est ce qui va t'arriver, si t'es jamais choisi ? demanda Anakin.
Obi-Wan le regarda bizarrement.
— ...Rien ?
— Rien ?
— Que veux-tu qu'il m'arrive ?
— On va pas te renvoyer chez toi, ou... Je sais pas. Trouver un truc pour te rendre utile, au moins ?
— Merci.
— C'est bon, t'as compris.
— Ou veux-tu qu'on me renvoie ? C'est ici, chez moi. Je suis un Jedi.
Anakin fit la moue.
— Tu veux dire que tu vas finir dans l'un des Corps de Service ?
— Peut-être. J'arrive à l'âge où on va me proposer d'essayer plusieurs types de métier pour voir si quelque chose me plaît.
— Et si rien ne te plaît ?
Obi-Wan haussa les épaules.
— Il y a beaucoup de choses qu'un Jedi peut faire, même quand il n'est pas chevalier. Je trouverai forcément quelque chose.
Anakin en doutait. Il avait vu Obi-Wan s'entraîner, méditer, avec la détermination d'y arriver. Ce n'était pas quelqu'un qui renonçait, ça. Et il le sentait au fond de lui : Obi-Wan était fait pour être chevalier.
— Mais s'il n'y a rien du tout ?
— Je resterai initié.
— Toute ta vie ?
— C'est déjà arrivé. Enfin, rarement, mais...
— Et on pourrait te demander de devenir padawan même si t'es très vieux ?
Obi-Wan le contempla d'un œil perplexe, et de plus en plus impatient.
— En théorie.
En théorie. Donc ce n'était pas interdit.
— Quand je serai chevalier, déclara Anakin, si tu n'as toujours pas été choisi, je te prendrai comme padawan.
Il y eut un silence. Obi-Wan le dévisagea, bouche bée. Puis il éclata de rire.
— C'est pas une blague !
Mais il continua à rire, au point de s'en allonger par terre, les bras sur le visage. Enfin, il les étendit en croix. À la lueur des veilleuses, ses yeux tiraient vers le vert. C'était joli.
— Tu es vraiment bizarre, Anakin Skywalker.
— Merci bien. Moi qui voulais te rendre service.
— Je te crois, déclara Obi-Wan à la surprise d’Anakin. Si je n'ai toujours pas été choisi quand tu seras chevalier, je compte sur toi. Je t'attends.
Il souriait. Ce n'était pas souvent. Anakin sentit son ventre se tordre bizarrement. Pour cesser d'y penser, il tendit la main. Sur Tatooine, il lui aurait offert un gobelet d'eau en preuve de sa bonne fois, mais ici, où l'eau abondait, ça n'avait pas beaucoup de sens. Alors la poignée de main devrait suffire.
Je t'attends.
#J'ai lu Jedi Apprentice plus jeune et c'était formateur#mais c'était aussi n'importe quoi sur le plan du fonctionnement de l'Ordre#et contredit dans tous les sens#donc on oublie#mes scribouillis#obikin#obikin same age au#blabla
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Le cafard sifflant dit au tigre :
- L'herbe est bleue.
Le tigre rétorque :
- Non, l'herbe est verte.
La dispute s'envenime, et tous deux décident de la soumettre à l'arbitrage du lion, "le roi" de la jungle.
Bien avant d'atteindre la clairière, où le lion se reposait, le cafard sifflant se met à crier :
- Votre Altesse, n'est-ce pas que l'herbe est bleue ?.
Le lion lui répond:
- Effectivement, l'herbe est bleue.
Le cafard siffleur se précipite et insiste :
- Le tigre n'est pas d'accord avec moi, il me contredit et cela m'ennuie, s'il vous plaît, punissez-le.
Le lion déclare alors :
- Le tigre sera puni de 5 ans de silence.
Le cafard sifflant sauta joyeusement et continua son chemin, heureux et répétant :
- L'herbe est bleue...
Le tigre accepta sa punition, mais demanda une explication au lion :
- Votre Altesse, pourquoi m'avoir puni, après tout l'herbe est verte.
Le lion lui dit :
- En effet, l'herbe est verte.
Le tigre surprit, demande :
- Alors pourquoi me punissez-vous?
Le lion lui explique alors :
- Cela n'a rien à voir avec la question de savoir si l'herbe est bleue ou verte. La punition arrive parce qu'il n'est pas possible qu'une créature courageuse et intelligente comme toi perde son temps à discuter avec un cafard.
La pire perte de temps est de discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions.
Ne perdez jamais de temps dans des arguments qui n'ont aucun sens...
Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves que nous leur présentons, ne sont pas en mesure de comprendre, et d'autres sont aveuglés par leur ego, leur haine et leur ressentiment, et la seule chose qu'ils souhaitent, c'est d'avoir raison même s'ils ont tort.
Quand l'ignorance crie, l'intelligence se tait.
Notre paix et notre tranquillité n'ont pas de prix.
( Auteur inconnu )
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Appel de DEMAIN L'HOMME http://dlvr.it/TFlpRV à l’ENTENTE GLOBALE: Sauver l’HUMANITÉ et l’ÉCOSYSTÈME Aux DIRIGEANTS régnant sur une SACRÉE parcelle du MONDE Nous faisons face à une URGENCE INTERNATIONALE existentielle. Il est indispensable de s’éveiller, de poser un pied par terre et de se décarcasser pour le sauvetage de l’HUMANITÉ, évitant ainsi de devenir les collabos zombies d’une troisième guerre mondiale, nucléaire ou “conventionnelle”. Parallèlement, nous avons le devoir de réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre, protéger la BIODIVERSITÉ et développer une INTELLIGENCE ARTIFICIELLE GÉNÉRALE éthique, non soumise au profit à tout prix, à l’argent avant les GENS. En vrac, au beau milieu de la crise géante que traversent nos civilisations en perdition, et constatant le muselage consenti des foules, qui font la sourde oreille au cataclysme, dès lors bruyant et en voie de développement exponentiel, @GIR AUSSITÔT (bien qu’il soit déjà bien TARD), SE MANIER, en virtuel comme en présentiel, DEVIENT REDOUTABLEMENT VITAL et, nous l’espérons, bientôt VIRAL! M’enfin!!! Comment est-il possible que nous nous soyons laissés laver le cerveau, durant des millénaires, au point d’en avoir perdu tout sens critique, l’instinct même de survie et, pour tout dire, …l’ESPRIT? _______________ Le 26 octobre 2024, Chères Dirigeantes et chers Dirigeants des BRICS+, des pays occidentaux et des nations non alignées, Nous nous adressons à vous aujourd’hui, avec urgence et gravité. En cette période critique, il est en effet essentiel que nous unissions nos forces, afin de prévenir une catastrophe imminente et construire un AVENIR LUMINEUX pour toutes et tous. L’ensemble des Nations doit pouvoir se réunir librement autour d’une TABLE RONDE. Le monde, comme vous le savez, est confronté à des défis sans précédent : Les guerres civiles, les tensions géopolitiques, la menace nucléaire, le risque de perte de contrôle de l’Intelligence Artificielle Générale (AGI), exacerbée par la corruption et l’absence d’éthique. Le bouleversement climatique et la dégradation de l’écosystème, qui exigent une réponse collective et immédiate. Pour parvenir à une entente mondiale, notre Association propose l'idée d'un forum international neutre, avec les principes fondateurs suivants Face à ces épreuves, rappelons-nous de l’Origine et des forces qui ont façonné notre univers Pour parvenir à une entente mondiale, notre Association propose l’idée d’un forum international neutre, avec les principes fondateurs suivants: Appel à l’Humanité (...) Les détails ICI : http://dlvr.it/TFlpRV Le racisme n’a aucune place dans nos sociétés. La variation génétique entre différentes populations humaines est très faible. En fait, 99,9 % de l’ADN est identique entre deux êtres humains. Les 0,1 % de différences sont principalement dues à des variations individuelles, plutôt qu’à des différences entre populations. (Source) Afin de protéger l’humanité et l’écosystème, Demain l’Homme, en tant que plateforme dédiée à un avenir florissant & durable, appelle à une PRISE DE CONSCIENCE. Ainsi qu’à une action quasi instantanée, pour éviter un conflit nucléaire ou qu’une Intelligence Artificielle Générale ne nous remplace ou décide à notre place. Ensemble, nous pouvons faire la différence. Allié(e)s, nous sauverons le Joyau de nos Ancêtres et assurerons ainsi une postérité pacifique pour les prochaines Générations. Merci d’envoyer un mail à notre équipe, ou pour concrétiser l’action envisagée contact)at(demainlhomme.org Le BIG BANG ne contredit en rien l'existence d'une INTENTION SONDAGE en ligne La totalité du MESSAGE sur : http://dlvr.it/TFlpRV @demainlhomme
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Attention aux fausses évidences.
On entends dire de-ci de-là que LFI a une stratégie électoraliste alors que ce n’est pas vraiment ça (ils sont certes opportunistes et clientélistes au dernier degré). Je pense même qu’ils assument de risquer de perdre les législatives et que le RN passe devant eux (les lâches !) car leur objectif, et c’est ce qui explique leur attitude crétiniste-ras-de-terre et auto-proclamatoire vraiment inquiétante (c’est abasourdissant vu ce qu’ils représentent jusque-là !) c’est d’engranger un mouvement basé sur le salariat moyen (comme le PS) et certains « petits », et parmi ces deux catégories, les plus imbéciles et manipulables, adeptes de tous les ragots de comptoir et du « bon sens » apparent et autres subtilités. Ils ont la bonne manière de s’y prendre (tu lances le filet dans l’eau et tu fais le tri ensuite) et la bonne propagande pour ça, car la chose qui les effraie le plus, c’est le moule idéologique même dont ils sont issus (*) ainsi q’un mouvement social intelligent, vrai et déterminé. Bref ils veulent s’assurer que l’avant soit l’arrière et vice-versa.
Je voterai pour cette raison LO (pour la première fois), qui restent inclusifs (bien que connus pour être sectaires et peu démocratiques… quoi qu’il en soit ils ne sont pas près d’être élus), au premier tour, et puis on verra à quel point le RN menace au second pour voter petits salopards (et on est bien servis dans ma circonscription avec un Cameron !) contre néo-fascistes d’extrême droite. Si tel était le cas, un seul mot d’ordre « Votez, poubellisez ! ».
(*) Sachez que Méluche, par exemple, s’est réclamé de Trotsky (qui doit se retourner dans sa tombe) - j’ai été moi-même proche, sans trop y croire bien que c’était d’un niveau supérieur, de ces « orgas » débiles (LCR dans les 90’s, qui valait quand même mieux que son rejeton NPA) pour avoir accès à ce genre de révélation - mais de tout ce qui le contredit aussi !
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PRENEZ EN COMPTE LE CONTEXTE
Une des erreurs les plus courantes dans l’interprétation d’un texte est de l’isoler de son contexte. Il vous est sans doute déjà arrivé de rejoindre vos amis au milieu d’une conversation et de parvenir à une fausse conclusion sur le sujet parce que vous n’en avez pas entendu le début. Il est injuste de ne citer qu’une partie des paroles d’un auteur ou d’un orateur, et de leur prêter un sens étranger à celui d’origine. Interpréter les propos de l’autre dans la vie de tous les jours exige déjà de la prudence et des précautions. À plus forte raison me faut-il interpréter les Écritures dans leur contexte.
Ceux qui cherchent des «preuves» dans le texte biblique ou qui isolent leurs passages préférés du contexte parviennent parfois à une interprétation et à des applications très éloignées de ce que l’auteur a voulu dire. Prendre en compte le contexte ne fait que rendre justice aux Écritures. Si je veux découvrir ce que Dieu a voulu dire, au lieu de chercher à prouver ma position par des arguments «bibliques», je veille à interpréter les versets dans leur contexte. Ignorer le contexte revient à compromettre l’autorité du message, ou du moins à le rendre suspect.
L’analogie des Écritures
Par contexte, j’entends simplement l’environnement du texte, l’endroit où il se trouve. Cela inclut bien sûr les versets qui le précèdent et ceux qui le suivent mais aussi, de manière plus large, tout le livre et en définitive tout le contexte de la révélation divine. Imaginez une cible avec son cœur et ses cercles concentriques. Le cœur de la cible se trouve au centre des cercles et perd sa valeur si on l’en isole.
De toute évidence, vous ne pouvez atteindre le cœur de la cible qu’en restant à l’intérieur de tous les autres cercles. Les livres de la Bible présentent cette même unité de sens. Même s’il y a deux Testaments et plusieurs auteurs humains, toutes les Écritures n’ont en réalité qu’un seul Auteur : l’Éternel lui-même. Dieu est parfaitement constant, et il ne se contredit jamais. On appelle souvent «analogie des Écritures» (ou «analogie de la foi») l’analyse du contexte plus large, ce qui signifie simplement que nous interprétons la Bible à la lumière de la Bible. L’apôtre Paul pense peut-être à ce principe lorsqu’il écrit que «les esprits des prophètes sont soumis aux prophètes» (1 Corinthiens 14.32). La Bible est le meilleur commentaire biblique qui soit. La Confession de Westminster résume bien ce point :
L’Écriture elle-même est la règle infaillible de son interprétation. C’est pourquoi, lorsque se pose une question au sujet du sens véritable et complet d’un texte quelconque de l’Écriture (qui n’est pas incohérente mais une), la réponse doit être cherchée et trouvée à l’aide d’autres textes plus clairs.
Pour parvenir à prendre en compte le contexte, il faut lire la Bible et en connaître le contenu. Lisez votre bible !
Cet article est tiré du livre : Commençant par Moïse… de Michael Barrett
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RECOURS CONTRE UNE ACTION GOUVERNEMENT L'ULTRA VIRES
Il doit être implicite et fondamental, dans un ordre politique formé de souveraineté populaire, que le but de son gouvernement soit la protection, si nous voulons vivre avec l'idée qu'il est établi de et par et pour le peuple. Voir aussi « La fiche d’arrêt Dame Lamotte du 17-02-1950 ».
L'expression du pouvoir de cette société organisée fait apparaître deux caractéristiques précieuses d'un peuple libre vivant sous un gouvernement représentatif. Toutes deux comportent des aspects de "sécurité" et de "liberté".
L'une est la qualité bénigne et protectrice de la limitation gouvernementale de la mauvaise conduite. L'autre est la liberté individuelle. En cas d'excès, la protection se transforme en tyrannie. En cas d'abus, la liberté personnelle devient une licence d'anarchie, la position d'autrui pouvant être détournée à des fins d'exploitation ou d'extorsion. La thèse émotionnelle tend à les mettre en concurrence.
Un sage équilibre doit être recherché pour les maintenir en complémentarité. Les deux expriment la protection par la représentation car, le cas échéant, tous sont protégés dans leur potentiel d'opportunités en laissant le choix libre ; et tous sont protégés en restreignant le choix qui est prédateur de l'égalité des chances d'autres personnes se trouvant dans une situation similaire".
Pour le gouvernement, le courage et la compétence nécessaires à la réalisation de ces objectifs doivent s'inscrire dans l'environnement de deux créatures fondamentales d'un peuple digne de notre système d'auto-gouvernement.
L'une est la confiance dans le système de représentation et l'autre est le respect congénital de l'autorité légalement constituée. Bien qu'elles naissent séparément, elles doivent évoluer en unité. Elles doivent s'exprimer dans un sens profond et durable au sein de la société constitutive de la responsabilité participative.
Agir équitablement dans l'équilibre de ses fonctions doit être le premier test d'un bon gouvernement. L'équilibre entre le privilège du libre choix et de la possession de l'individu et sa responsabilité à l'égard des contraintes doit être trouvé dans l'intention du souverain ultime qui a ordonné et établi notre système constitutionnel de gouvernement populaire.
Si la compression gouvernementale du choix de l'individu ne découle pas des dictats de la nécessité commune mais uniquement d'un objectif militant d'expurgation, la pratique ne sera pas simplement la fin d'un principe mais la fin de l'énergie vivante de l'une des ressources les plus puissantes de la nation. C'est la tâche de l'interprétation et de l'application de la Constitution.
Souvent, la tâche du gouvernement américain, qui consiste à répondre à des faits changeants, est confondue avec un changement supposé de la forme de gouvernement.
Répondre à un changement nécessaire, c'est appliquer le principe de notre système ordonné de droit ou de raison, selon lequel tous doivent être gouvernés par des lois générales pour le bien commun, par un gouvernement conçu pour durer dans les âges à venir, et capable de faire face aux diverses crises des affaires humaines.
Il est toujours difficile de distinguer l'argument, adressé à la raison, qui cherche à persuader la majorité d'accepter une modification ordonnée de la structure du gouvernement et l'action qui transforme l'objectif de la minorité en pouvoir arbitraire. L'un sert la politique constitutionnelle d'un peuple libre. L'autre la contredit.
La première doit être protégée. L'autre est un ennemi.3 Dans une économie et une politique d'individualisme, la phrase souvent répétée, selon laquelle la restriction est l'exception et l'absence de restriction la règle, s'ensuit naturellement.
L'apparition du fait ultime ou du fait juridictionnel gouvernemental qui transforme la liberté ou l'immunité de restriction en responsabilité est donc toujours extraordinaire ou exceptionnelle. Lorsqu'ils sont compris ainsi, les termes d'urgence et de crise ne sont rien d'autre qu'une exubérance dialectique.
L'existence d'une situation d'urgence ne crée pas de pouvoir gouvernemental, mais elle peut fournir l'occasion de l'exercer. La différence de degré ou de pression pour l'action, dans le but commun reflété, ne concerne que l'exercice du pouvoir de restreindre le choix ou la propriété de l'individu et non son existence.
En fait, la conséquence de l'urgence et de la crise est seulement d'évaluer les preuves déjà suffisantes pour soutenir la réglementation dans l'intérêt commun ;
La construction de la prépondérance de la preuve soutenant le pouvoir gouvernemental peut être de la plus haute importance pour magnétiser l'opinion publique afin d'exiger ou d'approuver l'intervention du gouvernement dans la norme. Les exemples sont nombreux. Quelques-uns révèlent le symptôme.
II- Plus je regarde les choses impliquant une conduite humaine qui doit être considérée comme légitime, en dehors de la brume des courants et des pressions contradictoires, plus la détermination semble se concentrer sur la question de savoir si celui qui prend la décision a eu le choix et ce que l'on peut penser être important pour ce choix.
Il s'agit de savoir s'il avait le choix de la conduite et ce qui est lié à ce choix. En passant du trottoir et du coin du feu au processus de gouvernement, nous saisissons la réalité en termes de compétence et de pertinence. Ceux-ci sont utilisés pour déterminer ce que la fonction peut faire et ce qui est lié à l'action du titulaire.
Ce dernier point est important car, si nous ne savons pas ce qui a été pris en compte pour prendre la décision, nous n'aurons aucun moyen de savoir si l'action a été accomplie dans le cadre de la fonction ou si elle n'est que l'apparence d'une fonction pour exprimer n'importe quel objectif que l'état des viscères de l'agent a disposé.
Cela permettra de savoir s'il s'occupe de ses propres affaires ou s'il s'occupe de celles du voisin, en utilisant l'excuse de la proximité. Dans l'administration de la loi ou l'administration du gouvernement, cette construction d'empire est très grave.
Il s'agit de la conscription directe d'une compétence attribuée ailleurs. Souvent, cela se fait en se substituant à la juridiction décisionnelle du voisin. Une forme diluée d'abus de juridiction est l'auto-projection, non pas dans la juridiction décisionnelle de l'autre, mais dans l'autograndissement.
Le fait qu'il utilise sa chaire de professeur simplement comme une excuse et un tremplin, par le biais du golf et du bridge, pour être le lion social du campus, ne le dérange pas, car le reflet de la grandeur permet la diffusion d'un infrarouge pour la lumière blanche de la perspicacité que la fonction est censée refléter.
L'importance du service public réside dans les concepts d'intégrité et de diligence. Ce n'est qu'ainsi que l'on peut diluer et tromper, mais pas perdre. Si son élargissement n'est qu'une croissance, la chaise peut porter le gonflement ; mais lorsque la distension est prononcée, le débordement dépassera également la juridiction.
Il n'y a rien sur quoi reposer l'excès. Bien qu'il puisse entasser et restreindre ses voisins, ce n'est pas l'étouffement de la substitution qui élimine la volonté indépendante de la volonté décisionnelle autrement indépendante du voisin, qu'il soit naturel ou politique.
C'est l'équation de la compétence qui explique le pouvoir du gouvernement.
III - Le mauvais traitement de l'individu par le gouvernement est la conséquence de la mauvaise conduite du gouvernement.
Ainsi, nous devons d'abord observer la structure et les divisions du gouvernement de la maison, et les mécanismes qu'il emploie pour exprimer la volonté souveraine.7 Il ne peut y avoir de mutilation de l'individu par la contrainte imposée par cette volonté.
Il est adapté à la taille de la société par ses mécanismes juridiques. Un système juridique doit reconnaître qu'une telle menace ou pratique peut donner lieu à une action. Le pouvoir discrétionnaire de l'agence du souverain appelée gouvernement est décrit dans son expression continue à travers les dispositions constitutionnelles.
C'est cette souveraineté populaire décrivant le pouvoir physique de la société organisée qui est le fondement de la maison gouvernementale. Ses dimensions sont mesurées à la fois par l'octroi et les limitations des dispositions constitutionnelles.
Dans le cadre de l'autorité accordée au gouvernement, c'est comme si le souverain y était hypostasié, car l'exercice du pouvoir discrétionnaire accordé est l'expression du principal. L'expression directe de la volonté souveraine se fait de manière définitive et permanente dans le fondement de la loi.
L'expression indirecte dévolue au gouvernement est naissante. En ce qui concerne la première, il ne peut jamais y avoir de question de validité. Elle ne pose que le problème du sens. La volonté souveraine exprimée par le gouvernement doit être sondée pour savoir quelle autorité il a transmise à son agent. La détermination de l'autorisation est indexée par le processus d'interprétation.
Ces quelques exemples démonstratifs rafraîchissent notre compréhension du principe selon lequel, lorsque la survie est en jeu, des mesures adaptées au danger sont prises par notre gouvernement. Il peut intentionnellement brûler une nouvelle maison pour arrêter la conflagration de la ville ;
Il peut envoyer ses citoyens au combat avec le risque d'être tué. Ainsi, l'individu normalement protégé par le principe "tu ne tueras point" découvre, lorsqu'il est agressé, que s'il se retire contre le mur, il a clairement le privilège de tuer intentionnellement son assaillant. Le choix entre les deux vies se retourne contre le malfaiteur.
Ici, nous ne nous intéressons à ces questions que parce qu'il est clair, lorsque tous les faits sont connus, que le gouvernement peut employer les moyens dont il a besoin pour assurer l'efficacité de son objectif représentatif.
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ISLAM 101: Ta Nouvelle Vie: Partie 3
Est-il recommandé de changer son nom après sa conversion à l’islam ?
En principe, après s’être converti à l’islam, on garde son nom tel quel, sans changement. Le changement de nom est une pratique qui n’était pas connue à l’époque des Compagnons du Prophète y puisque nombre de gens se convertirent et gardèrent leurs noms étrangers (non arabes) sauf s’ils avaient un sens détestable et alors on les changeait en raison du sens mauvais qu’ils renfermaient.
Il faut changer son nom dans les cas suivants :
1) Si le nom affirme que l’on est serviteur ou esclave [`Abd-] de quelqu’un d’autre qu’Allah ou s’il a une connotation contraire à la foi :
Par exemple le fait de s’appeler `Abdulmasîħ [Serviteur/Esclave du Messie] ou `Abdunnabî [Serviteur/Esclave du Prophète] ou nom de ce genre ou bien le fait que son sens contredit la foi à l’instar de Chenouda (Shenouda) qui signifie « fils de Dieu ». Allah est bien trop élevé et trop pur pour qu’on lui attribue une telle chose.
C’est aussi le cas si on porte des noms ou attributs qui sont réservés exclusivement à Allah notamment si on attribue à l’��tre humain une chose qui est une spécificité d’Allah U comme le fait de s’appeler « roi des rois » et expressions de ce type.
2) Si le nom fait allusion à quelque chose de sale et de mauvais que les personnes normales et saines réprouvent.
Or, Allah nous a interdit les mauvaises choses en matière de nourriture, de boisson et dans tous les domaines de la vie. Aussi, convient-il, une fois musulman, de ne pas porter un nom dont la signification est mauvaise comme Allah a dit : {Quel détestable nom que celui de « fusûq» (perversité, transgression, immoralité, irréligiosité) alors qu’on est croyant [c’est-à-dire : quel mauvais sobriquet que celui qui évoque le manque de religion alors que la personne ainsi injuriée est croyante].} [49 : al-Hujurât : 11].
Il est conseillé de remplacer son nom :
Cela est conseillé dans le cas où le nouveau nom est aimé d’Allah comme `Abdullah [Serviteur d’Allah], `Abdurrahman [Serviteur du Tout Miséricordieux] et autres noms attribuant (à celui qui les porte) la qualité de `Abd- (serviteur, esclave, adorateur) vis-à-vis d’Allah U. En effet, ce sont des noms conseillés mais cela n’a pas de lien spécifique avec le fait que la personne est devenue musulmane (c’est vrai dans le cas général).
La signification du nom contredit-elle la religion et la croyance musulmane ?
Si oui, Il faut changer le nom qui a une telle signification.
Le nom a-t-il une signification religieuse particulière pour les non musulmans ou bien est-il très fréquemment porté par les religieux non musulmans ?
Si oui, Il convient de le changer pour éviter la confusion (la tentation) et la ressemblance.
A-t-il une signification mauvaise qui inspire la répulsion ?
Si oui, Il est conseillé de le remplacer par un nom dont le sens est beau et qui correspond à la conversion de la personne à l’islam.
Si votre nom ne renferme aucune des significations précédentes, il n’est alors pas demandé de le changer. Or, de nombreux musulmans, au début de l’expansion de l’islam, ont gardé inchangés leurs noms non arabes. Cependant, il est permis dans l’absolu de changer son nom même sans motif particulier, cela étant même conseillé si le changement se fait en raison d’une signification aimée d’Allah comme les noms de `Abdullâh et `Abdurraħmân.
Les traditions de pureté (sunan al-fitra)
Qu’est-ce qu’on entend par « traditions de pureté » (sunan al-fitra) ?
Les « traditions de pureté » sont des qualités naturelles qu’Allah a déposées en l’homme depuis sa création. Elles élèvent le musulman qui les pratique, de sorte qu’il accède aux meilleures qualités (intérieures) et au plus bel état (apparent). En effet, l’islam s’intéresse aux aspects esthétiques et accessoires du musulman afin qu’il allie les deux beautés : extérieure et intérieure.
Le Prophète (r. a.) dit : « La fitra (pureté originelle, naturelle), ce sont cinq choses : la circoncision, l’élimination de la pilosité pubienne, la coupe des moustaches, le rognage des ongles et l’épilation des aisselles. » (al-Bukhârî 5552, Muslim 257).
La circoncision : c’est l’ablation du morceau de peau qui couvre le gland de la verge (le prépuce). Elle a lieu traditionnellement aux premiers jours de la naissance.
C’est une des pratiques et traditions recommandées concernant les hommes. Elle apporte de nombreux avantages pour la santé sauf que ce n’est pas une condition pour embrasser l’islam. Le musulman n’a donc pas de péché, si par peur ou autre raison, il ne fait pas la circoncision.
L’élimination de la pilosité pubienne: c’est le fait de se débarrasser des poils drus de la région située autour des parties génitales en les rasant ou par tout autre moyen.
La coupe des moustaches : garder les moustaches est un acte permis mais non encouragé. Cependant, si le musulman les garde, il devra éviter de les porter longues plus qu’il ne faut aussi devra-t-il régulièrement les couper et les raccourcir.
Laisser la barbe : l’islam incite à laisser la barbe c’est-à-dire les poils qui poussent sur les deux mâchoires et sur le menton. La laisser signifie la garder et ne pas la raser et ce par volonté de suivre la sunna (l’exemple, la tradition) du Prophète (r.a.).
Le rognage des ongles : Il est convenable que le musulman taille régulièrement ses ongles pour qu’ils ne deviennent pas des nids à saleté.
L’épilation des aisselles : le musulman devrait aussi enlever les poils des aisselles en les épilant ou par tout autre moyen et veiller qu’aucune mauvaise odeur ne s’exhale de lui.
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Nopes et Fodlan en général, c'est un exercice de yoga pour apprendre à rester zen lol
D'un côté tu as une sorte de traditionnel et assez intéressant linéaire avec des personnages qui racontent, souvent, quelque chose qui est contredit par les éléments que tu vois dans le monde, les bouquins, les petits textes "d'environnement" et tout...
Mais le drame, c'est que les personnages restent statiques, et au bout d'un moment tu te demandes juste, okay bon il a dit sa connerie, moi en tant que joueur j'ai vu l'inverse, est-ce qu'il va s'en rendre compte ou non? Et...
Non (on a tous reconnu Claude lol) : il part d'un postulat "Eglise caca", apparemment apprend que c'est un peu plus compliqué que ça, mais fini sur un "j'aimerais bien que vous, joueur, vous chanigez le monde pour faire en sorte qu'il y ait plus de tolérance parce qu'avant c'était pas ça, puisque Eglise caca".
...
Et dire qu'il nous pond cette bouse après avoir eu l'ultime révélation, de la part de Rhea elle-même, sur la raison de ses secrets et le fait que les Nabatéens chantaient kumbaya en rond et se sont quand même fait démolir parce que leurs oreilles sont pointues et que ça peut faire des fléchettes super stylées, c'est... décevant.
Donc d'une part on a cette chose immonde de "oui mais les persos tu les aimes et ils peuvent pas grandir (sauf une partie du cast qui est dans le nord mais ils sont vilains pas beau) donc entre le scénario et Hilda qui est encore en train de se plaindre qu'on lui donne trop de travail et qui est contente d'être une feignasse alors qu'on vient de faire une carte où il est révélé que sa maison """"embauche"""" des gamins almyriens en leur donnant un minimum de gîte et de couvert qui doivent eux quasiment se tuer à la tâche pour faire des corvées, ben Hilda est plus importante! Achètes son alt en bikini pour FEH stp!"
Et d'autre part, évidemment, Dedel elle-même!
C'est marrant parce qu'au début je pensais naivement que le scénario et le sentiment d'inachevé de cet opus (FE16) était dû au fait qu'on avait encore un avatar qui devait être le centre du monde - et si je maintiens que certains choix scénaristiques (comme des dialogues de soutien???) sont clairement motivés par ça - en fait ce n'est pas Billy le centre de Fodlan pour les développeurs, c'est Dedel!
Dimitri est foufou et vilain parce qu'il veut trucider Dedel? Ben quand il redevient gentil, il ne veut plus la décapiter! Ouais!
Claude geint quand il s'agit de dégommer Dedel "on a des buts pas si différents en fait! Moi je veux mettre un terme aux discriminations, et toi tu veux tuer Flayn parce qu'elle n'est pas de la bonne race. C'est tout pareil!" et sa route a quand même la perle, avec Lys qui est en mode "on doit dégommer Thales et compagnie pour Dedel aussi qui était une pôvre victime :'(". A vomir.
Le truc le plus marrant, c'est que la route de Dedel est celle qui, à mon sens, dépeint les critiques de Rhea de façon la plus réelle : elle est énervée et peinée et détruite petit à petit par la guerre qui fait rage parce qu'il faut la détruire, comme elle est caca, mais au moins avec les voix JP, j'ai l'impression que oui, on fait une boulette et le joueur se prend tout ce torrent d'émotions et de doutes dans la face, et c'est pas Dedel avec sa rhétorique puante "oui mais ce ne sont pas des humains et les oreilles pointues sont un mal qui ronge notre monde depuis des siècles il faut toutes les exterminer" qui fait passer la pilule.
Du coup, les développeurs ont misé sur le côté "self insert" de Billy avec Rhea qui se focalise sur eux - au lieu de Dedel - pour montrer qu'elle est méchante, elle vous crie dessus :'(
En tous cas ça a marché avec quelques joueurs outre-atlantique, et Rhea caca "parce qu'elle me regarde mal, et m'a dit que je n'étais qu'un raté ouin ouin le pnj il est vilain avec moi môman".
Et puis dans SS, ben on finit par avoir Rhea elle-même, dans son soutien, qui avalise les merdouilles de Dedel en pensant que la guerre était de sa faute (ben oui!) pour dédouanner l'élève pour laquelle le joueur est censé se sentir mal.
Bref, on a deux jeux où des persos, dont Dedel la première, font de la merde, 36k occasions de la part de personnages - qui ne manquent pas de répartie creuse quand il s'agit de dire qu'une organisation bannie depuis des siècles d'un endroit est mauvaise parce qu'elle n'aide pas les gens de cet endroit (coucou Doro!) ou qu'elle discrimine entre les gens (coucou Claude!) - de les corriger, mais non.
Dedel ne pourra jamais faire face à quelqu'un qui lui explique en trois points que son plan c'est de la merde - il n'y a rien qu'à voir Ferdie qui fait des ronds de jambe pour lui expliquer le concept de l'école (oh mais oui dedel, je suis sûre que tu y as pensé n'est ce pas? Qu'est ce que tu es douée!) - parce que quiconque s'oppose à Dedel, dans les jeux "Fodlan", ben c'est quelqu'un de méchant, à la fin, tout le monde doit aimer ou au moins avoir de la sympathie pour elle (dédicace à @ladyniniane qui, à mon sens, a écrit une façon réaliste d'envisager les "pourparlers" d'avant bataille de la route des Lions de Saphir, au lieu d'avoir le débat sur le plat de la cantine ce midi que nous ont pondu les développeurs).
Et parfois, on arrive à des absurdités que certains joueurs relèvent comme le "mais pourquoi les gens ils sont pas contents quand je leur roule dessus et leur explique qu'il sont des sous-humains comparés à moi et mes compatriotes?" ou le fameux "no u" quand Dimitri lui demande d'arrêter de trucider ses sujets.
Donc pour répondre à ton Claude sur le montage, oui, selon les "scénaristes", ont est censés être tristoune pour Dedel (Lobotogard est pour moi la façon la plus moche de lui empêcher d'assumer ses actes de merde) et toujours vouloir acheter des polochons à son effigie, quitte à sacrifier la qualité scénaristique des jeux.
Rewatching Shez's supports with Edelgard, it kind of irritates me that Edelgard looks upset after Shez points out that the average farmer probably hates her for the war. Like, ma'am you knew this would lead to mass death and a lot of people not being fans of yours, and considering Hubert also points out the Edel's policies are meant to benefit nobles who give her money and troops and keep down the commonfolk, she shouldn't be surprised by this answer. Shez even softens the comment by saying "you must have a good reason" but it's like Edelgard can't handle hearing any kind of real criticism from people she respects (or claims to). I think it's another player-pandering thing, can't have the Lord be mad at you, but it just makes Edelgard look like a thin-skinned whiner who can't handle the harsh criticisms that her actions are going to bring her. At least when she went on about "her path of blood and death" in 3 Houses she seemed to have some sense of "yeah people will hate my guts." Idk it probably comes down to the developers being scared to have someone truly criticize Edelgard without pushback.
That supports irks me for other reasons lol, basically the fact that Barney points out how water is wet (something Supreme Sailor Fuku apparently missed, as you noticed) but within 1 convo they completely drop that plot line and get along with her plans because, eggtivation means that someone as bland as Barney - who could represent common sense - must also be drowned under liters of Hresvelg Grey.
Imo, it's not "your lord cannot be mad at you", but again and again with the Fodlan games, "no one can be mad at Supreme Leader, not even you(r self insert character)".
FWIW, FEH got her writing right - faced with contradictions and criticism, Supreme Leader ragingly storms out of a conversation when the characters aren't from Fodlan and thus cannot be eggtivated (or when the Fodlan team isn't writing them?).
Given how her Nopes' Big B's support basically has her say "you're either with me or against me", no wonder why criticism, at least in Nopes, is something unknown for her, hell, Ferdie must behead his father to demonstrate times after times that he and House Aegir aren't her enemies - in a way, even with the twist they added (let's ally with those icky disgusting beasts to get rid of uncle, and THEN we will free Fodlan from their scaly grasp!) Nopes wrote Supreme Leader to be even more uncompromising and more bull-headed than ever, if in Houses she had a modicum of self-awareness (she's still the Adrestian Emperor though!), in Nopes it's written away.
#lilias42#un petit peu de sel pour débuter la soirée#c'est déjà vu et revu dans les JRPGS le worldbuilding qui contredit ce que les persos jouables pensent#et les joueurs avertis s'en rendent compte#mais il y a toujours un moment où les persos jouables se rendent compte qu'ils se sont trompés!#parfois c'est super bien scénarisé comme dans la saga baten kaitos#et parfois un peu moins#mais là? On a l'impression que les persos évoluent dans leur propre monde et n'interagissent pas avec le Fodlan qu'on voit#sérieux à quoi ça sert d'apprendre qu'il existe une pièce de théâtre ancienne où des humains fantasmaient sur des Nabatéens#si aucun perso ne mentionne l'existence des Nabatéens?#Enfin moi ça me sert pour des fanfics ou autres UAs#mais pour des développeurs? Soit ça sert à faire joli et c'est du temps de codage payé pour rien#soit c'est un indice que Dedel raconte de la merde mais au final tout le monde s'en fout donc on en revient au même point#des gens ont été payés pour faire un lore qui n'est même pas touché dans le jeu#encore une fois vu que c'est mon hyperfixation dans ces opus pour moi ça me va#mais enfin je sais qu'IS ne fait pas des jeux que pour moi lol#donc je me demande par exemple Willy et Lycaon#pourquoi les inclure dans le worldbuilding et sous entendre que Dedel pourrait avoir des oreilles pointues si c'est pour que cet élément#ne soit repris par aucun personnage même pas dans un soutien#et que ça serve juste à remettre en cause la version de dedel sur ce que Willy aurait transmis de générations en générations?#et encore une fois cette remise en cause ne rime à rien puisque les devs ne laissent pas à Rhéa une seconde pour parler d'autre chose#que du joueur et de son importance pour elle et le monde en tous cas dans FE16?#j'ai rien contre le gars mais enfin#on connait le nom du l'orphelin que Matthias Gautier recueille après la mort du chef de clan Sreng#mais on ne sait pas si les persos jouables de Fodlan savent qu'il existe des non-humains pacifiques dans le continent#ou si Rodrigue a déjà vu une tortue géante et ce qu'il pense des 'enfants de la déesse'#FE16#rant
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Anne
Je vis ce truc bizarre, ce truc dont on parle jamais nulle part. Et j’ai envie de me revoir toute la série En thérapie pour l’occasion, parce que c’est une bonne série.
Je viens de finir ma thérapie.
Pour l’occasion, j’ai mangé du pain et du bu du vin, pour fêter ça. Mais in a good way. J’ai pris une demi bouteille pour ne pas partir en live, pas de la bière, quelque chose de plus doux, moins fou, moins calorique, que je n’avais pas envie de boire vraiment en entier. J’ai pris le meilleur pain de Paris, j’ai été quand même au sport, même si j’avais pas envie, parce que ça fait partie de mes valeurs. C’est une étape décisive, et j’avais pas pesé à quel point.
Décisive, avec un grand D.
C’est moi qui ait décidé, et c’était le bon moment. Trois ans et des poussières. Depuis le confinement. Confinement qui a été le révélateur de toute la merde et mon carnet peut confirmer. Des crises, tous les jours, tous les après-midi, du vin, de la bière, du pain en guise de repas du soir pendant plus d’un an. Le nouveau boulot qui venait tout trigger, ma relation amoureuse aussi, ma famille. Ma famille à qui je n’osais rien refuser, de peur des représailles, des reproches, des chantages, revenir sur les traditions est toujours un voyage.
Une guerre.
J’ai dis à (presque) tout le monde ce que je pensais et attendais d’eux vis-à-vis de moi. J’ai appris les limites, les besoins, et je pleure parce que j’ai bu. Mais pas en mal. Parce qu’il faut cesser de diaboliser cela, cesser de chercher à contrôler, par fantasme d’une pureté magique. Parce qu’il n’est pas nécessaire de tout régler, pour terminer une thérapie. C’est juste avoir l’intime conviction que ça viendra en temps et en heure, qu’on saura faire, et que ne pas tout savoir et ne pas tout régler, ce n’est pas grave.
J’ai un peu perdu quelqu’un ce soir. Je sais que je dois faire mon deuil. Anne m’a aidée à y voir clair, à trouver les clés, à m’autoriser tellement de choses. A en vouloir à mes parents. A remettre à sa vraie place la souffrance que j’avais pu ressentir pendant des milliers d’années. La rendre légitime. Casser les spirales, exorciser la douleur, dire mon plus gros secret à voix haute, avoir quelqu’un en qui j’ai confiance, qui ne m’a jamais blessé, qui ne m’a jamais contredit, attaqué, qui m’a toujours écouté.
Je pleure avec une telle force. Je n’aurais jamais anticipé une telle réaction. C’est une lumière dans ma vie, une période de métamorphose incroyable qui m’a permis d’atteindre un état plus lumineux. Je ne suis pas encore sûre d’être capable d’en faire quelque chose. Pourtant les possibilités sont entièrement devant moi. Je fais ce que je veux, libérée de tout ce qui m’entravait avant. C’est une toute nouvelle vie, c’est un peu effrayant, surtout grisant. Mais c’est elle que je pleure ce soir. Je lui dirai peut-être demain, à quel point ça a changé ma vie. A quel point j’ai l’impression de vivre pour la première fois. En étant confiante. En ayant foi dans la capacité qu’auront mes sensations de me guider. Que ça va aller, en fait.
Et pourtant, je sais que c’est normal, ce soir je me sens perdue, orpheline, livrée à moi-même. Comme un tout petit oiseau qui tombe du nid. Vaguement persuadée que tout va redevenir comme avant la thérapie. C’était couper le cordon en quelque sorte. Cela s’est fait dans la joie, et c’est tant mieux. Un peu comme la fin de mon stage. La joie, ça veut dire qu’après ça va être bien.
Ce texte est si important pour moi. On ne parle jamais de l’après thérapie. L’après des batailles. Et c’est vrai que j’attendais cette main sur mon épaule depuis un bout de temps. Cet encouragement qui m’entraîne à affronter à bras le corps les démons. Le courage je l’avais; je me battais avec des fantômes dans tous mes textes. J’y allais à fond, les émotions, la bagarre. Elle m’a mis en face du véritable adversaire. Elle m’a donné les armes et je n’avais qu’à rentrer dans l’arène. J’avais le courage, elle était mon Athéna, guidant mes pas dans la lumière blafarde. Sa présence dans la pièce, quand je buvais les ténèbres.
C’est une vraie, belle relation que j’ai conclus ce soir. Ce n’est pas à jamais. Et elle serait là si j’appelais au secours. Mais je pleure comme une perte, cette relation douce et tendre comme aucune autre, où quelqu’un s’est livré pour vous aider et vous voir grandir. Et on se sent bête parfois, on se dit qu’on est le pire patient, celui qui dit vraiment des trucs inintéressants, ou parfois on se dit qu’on doit vraiment lui pourrir la journée, en lui donnant notre histoire sans filtre et plein de violence et de dégoût. Mais à la fin elle vous dit merci comme vous. Et c’est une perte. C’est la fin.
Vous ne serez plus dans son regard protecteur, mais votre vie pourtant commence...
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La Liberté, ça va d'où... à où ? Vaste sujet... Et quelques bonnes nouvelles...
Emmanuel Macron ''assume'' (sic !) en termes élégants et choisis, très ''classe'', que les citoyens se définiraient à travers leurs seuls devoirs : ''Lorsque ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable'' (NB : se rend-il compte des privations de liberté qu'il nous fait subir ?). Il ajoute : ''un irresponsable n'est plus un citoyen''... ce qui est une novation dans le droit, la philosophie, l’Histoire, l'intelligence, la morale, la pensée, la République, et dans les rapports qui lient les droits aux devoirs, surtout en France où le citoyen se définit comme ''ayant des Droits, déclarés'' ! Une épidémie ne devrait pas permettre de dire n'importe quoi !
La Déclaration des DROITS DE L'HOMME et du citoyen de 1789 pose que ''La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui'' (article 4 ). En réalité, le rapport entre les droits et les devoirs du citoyen a toujours été sujet à disputatio, au delà du simplisme d’une définition lapidaire et de l’ambiguïté du mot ''nuire''. Pour l’individualisme des ''Lumières'', l’État était une menace contre laquelle il faut protéger les droits des individus, et la déclaration de 1789 avait confirmé ces droits dont l'oubli serait attentatoire aux libertés individuelles. Mais rien sur les devoirs !
La Gauche, toujours ''en avance d'un coup en retard'' sur le monde et les idées, avait même oublié l'idée qu'à tout droit correspondrait un devoir : sociologues, politiciens et journalistes --de gauche, les seuls autorisés à donner leur avis (les quelques ''pas-à-Gauche'' savaient qu'ils devaient se taire !)-- avaient inventé un distinguo se voulant subtil entre ''droit à'' et ''droit de''... et ''oublié'' le mot ''devoir''. Le ''Droit-ni-’’à’’-ni-’’de'' n'existait plus qu'en ''Etat de Droit'', où il n'a aucun sens !
Au delà de la vulgarité voulue du chef de l'Etat (NB : une petite bourgeoisie démodée se rêvant cosmopolite croyait que ça fait ''peuple'' de parler un langage de charretier et d'abandonner toute décence), il est vrai qu'il existe en France une majorité favorable aux divers ''pass'' : 64 % pour le pass sanitaire en septembre 2021, 63 % pour le pass vaccinal (hier). On peut soit s'extasier sur cette belle unité nationale, soit, à l'inverse, s'étonner de la faiblesse de ces chiffres par rapport à la violence ininterrompue de la campagne d'intox et de désinformation qui nous matraque comme jamais dans un pays démocratique... que nous ne sommes plus.
La question est : ''Face au Covid, la France n’aurait-elle eu aucun problème sanitaire, sans les non vaccinés ?''. En d'autres mots : quelle est la part de responsabilité des non-vaccinés --que les médicastres du JT de 20h ''estiment à... 90 %'' sans savoir pourquoi et sans source à citer, alors que la très officielle DREES --Direction de la Recherche, des Études, de l'Évaluation et des Statistiques, rattachée à Véran (c'est un gag !) la démontre à 52 %. Mais en France, la pseudo-stratégie du ‘’tout vaccinal'' est devenue un rite magique, dans le genre Vaudou.
A en croire la parole officielle (systématiquement contredite par toutes les études sérieuses --et dûment référencées, elles, contrairement aux sources ''autorisées''), des hordes de méchants ''antivax'' seraient seuls responsables de l'engorgement de certains services hospitaliers et du vrai drame qu'est le ''burn-out'' des personnels, logiquement épuisés. (Il faut préciser que ces ''antivax'' sont un fantasme de nos gouvernants : s'il en existe peut-être une petite poignée en France, ce n'est pas démontré. La seule ''preuve'' de leur existence est... qu'on les accuse de tous les maux, ce que René Girard avait théorisé : ''le syndrome du bouc émissaire''. En ce qui me concerne, je suis certain de n’en avoir jamais rencontré un seul. Et vous ?).
Contre la posture facile ''C'est pas moi, c'est lui'', le suivi hebdomadaire du Robert Koch Institut (RKI) (depuis 1891 organe fédéral allemand de lutte contre les maladies) fait apparaître clairement (n° du 31-12-2021) que : (a)- le ''vaccin'' ne protège pas de l’infection par Omicron, (b)- en Allemagne, 95,58 % des cas d’Omicron sont vaccinés (dont 28 % avec ''rappel''), vs 4,42 % , qui ne sont pas vaccinés, et donc, ( c)- ce sont des ‘’vaccinés’’ qui engorgent les hôpitaux et propagent Omicron. Et ce qui est vrai à Berlin (NDLR : et aussi à Londres ou à Jérusalem), ne le serait pas à Paris ? Mais qui peut croire ça ? Alors... qui ment ?
Et en outre, dans ''COVID-19 : stigmatising the unvaccinated is not justified'' --19 nov. 21 dans ''Lancet'', le spécialiste Günter Kampf parle d'une ''pandémie de vaccinés' (et pas de ''non vaccinés'', comme on nous le fait croire). Il ajoute même, ''Horresco referens !'' (Trad. : Mais quelle horreur !) que ''la pandémie serait déjà terminée si tout le monde avait choisi de ne pas se faire vacciner''. On imagine la tronche de ceux qui ''emmerdent les non-vaccinés'' : ils regardent ailleurs et racontent qu'ils ''assument'', n’arrivant pas à reconnaître ‘’qu’ils ont tout faux’’ !
Kampf ''invite chacun à consulter la carte mondiale de John Hopkins University'' , https://twitter.com/Johndartois/status/1476788522417799168'' (NDLR : c’est ''LA'' référence mondiale sur ce sujet). On y comprend que (alors que les doses injectées à répétition semblent affaiblir notre système immunitaire et que l'immunité acquise semble protéger nettement mieux que tout ''vaccin-sic''), la France, qui est l’un des pays les plus vaccinés au monde, soit aussi celui où le nombre de nouveaux cas de COVID 19 est le plus élevé. (Référence : ''Daily new confirmed covid 19 cases per million of people --28 décembre 2021'' : plus il y a de vaccinés, plus le virus circule ! C'est paradoxal... mais la ''doxa'' est ''para'' ! (chez les grecs, c'est : ''à l'opposé'') !
Conclusion, affirmer que les non-vaccinés seraient responsables de l’engorgement des hôpitaux est un mensonge de plus à l’actif du ''gouverne-ment'' et de ses thuriféraires. Peu à peu, on découvre que tous (ou presque : je suis prudent) les chiffres émis sont faux, comme l’attestent, outre la DREES déjà citée, l’INED (Inst. Nat. des Études Démogr.), l’ATIH (Agence de l’Information sur l’Hospitalisation) et Santé Publique France, et la Cour des comptes, qui, dans son rapport sur ‘’le fonctionnement des hôpitaux pendant la crise’’, a pointé de très ‘’nombreuses incertitudes ou imprécisions (...) dans la collecte et les remontées d’informations (...) sur la comptabilisation des malades et sur les capacités disponibles (...) il y a une confusion entre les capacités en soins critiques et en réanimation'' (les autres organismes cités disent la même chose (vérifiable). Répéter n'apporterait rien).
CERISE SUR LE GATEAU : Ce matin, a éclaté la bombe que j'attends depuis 2 ans, et que je répète à en être lourd, contre tous les porte-bobards officiels : TOUT LE FATRAS QU'ILS NOUS ONT IMPOSE DEPUIS MARS 2020 NE SERT ABSOLUMENT A RIEN, Y COMPRIS LES DOSES A REPETITION ! C'est l'OMS qui l'annonce urbi et orbi... Nos gourous sans cause ont quelques heures pour inventer des explications tirées par les cheveux et nous raconter que c'est ''ce qu'ils disaient depuis longtemps''... mais ça ne changera pas la vérité : TOUT CE QUE ILS NOUS FONT SUBIR NE SERT A RIEN, des gestes-barrière aux horaires, des jauges aux confinements, des intubations aux piqûres en rafales. Ils vont avoir du mal à se sortir de ce coup-là... mais ça ressort du placard toutes les atteintes à la liberté qui ont sinistré ce quinquennat : tant de punitions, tant d'excès, tant de mensonges... et une telle partition du peuple français... pour rien, RIEN !
Autre ''Breaking news'' : ‘’notre’’ Olivier Véran, le remplaçant de Thierry le Luron en ''vis comica'' (lui, ce n'est pas volontaire !) A CHOPPE LE COVID. C'est l'éternelle histoire de l'arroseur arrosé. On a encore le ‘’droit’’ de rire ?
En conclusion, en 2 ans de ''coloc forcée'', on a compris que : après 10 milliards de doses injectées, il y a toujours plus de cas et toujours autant de morts... on sait que ce sont l’obésité et l’âge qui sont les premiers facteurs de risques, pas le virus --qui n'est qu'un accélérateur... la vaccination est en train de devenir une religion, avec des missionnaires illuminés, intraitables, comme ceux de la fausse écologie pathologique des Eric Piolle, Sandrine Rousseau ou Greta Thunberg. Et de plus en plus de gens s'étonnent : ''J'ai reçu ‘’mes’’ 3 doses, et je dois porter un masque, faire des gestes-barrière, et je peux l'attraper et le transmettre''... et ils ont raison !
Malgré cette prise de conscience, il reste tout de même à s'étonner de la crédulité du peuple français qui, après tant de mensonges éhontés (et ''assumés''), continue à avaler les bobards les plus énormes... et est prêt à croire les prochains tombereaux de contre-vérités évidentes, alors qu'il suffit d'ouvrir les yeux, de voir ce qu'on voit... et de ne jamais gober un mot de ce qu'ils racontent ! La morale de l'histoire est que nous sommes un peuple de braves gens, gentils, faciles, polis (nous !), bons, vraiment altruistes... ce qui n'est pas une raison pour en abuser !
H-Cl.
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Bonne année!
Depuis plusieurs années, je déteste le nouvel an.
Avant j’adorais ça. On faisait la fête avec la famille puis les amis. On passait la journée à préparer le réveillon et le lendemain, on le passait à ranger même avec la gueule de bois. Cependant, durant le 1er Janvier, il arrive toujours quelque-chose d’incompréhensible.
Tout commença à l’aube de mon cinquantième anniversaire. Autant dire au milieu de ma vie. Avec la famille, on fêtait ce nouvel an comme il se doit. Heureux comme jamais car notre fille annonça être enceinte. J’allais être grand-père. D’habitude, je ne bois pas de champagne mais à ce moment, je fis une exception et dégustai ce nectar en imaginant moi et mon épouse en train de dorloter notre premier petit enfant. Garçon ou fille ? Je me fichais éperdument. La fête continua mais l’alcool me fit tourner la tête, alors, je partis me coucher et me réveillai tard dans la journée du premier janvier.
En déambulant dans les couloirs de la maison, j’eus une étrange sensation de déjà-vu. Les enfants, leurs conjoints et un couple d’amis mangeaient les restes sans m’avoir attendu. Je m’assis en répétant à tue-tête : « Bonne année » recevant les réponses par des cris rieurs. On espérait que cette nouvelle année soit plus belle surtout avec l’annonce de ma fille Lucia. D’ailleurs, après avoir grignoté un morceau de chapon, je levais mon verre et portais un toast à ma fille et son copain en espérant que leur enfant me ressemble. Tout le monde rit pourtant Lucia me regarda d’un air gêné, son visage avait rougi. « Mais, je ne suis pas enceinte » contredit elle. « Pourtant tu l’as dit hier » affirmai-je. J’observais tout le monde qui me dévisageait. Aurai-je rêvé ? Peut-être, pourtant la scène se répétait en mémoire.
Dès lors, je passais à autre chose en souhaitant une bonne année 2021. Encore une fois, tout le monde rit, mon épouse dit : « on est en 2020, chéri. » Après avoir discuté et persisté en disant qu’on avait changé d’année, je découvrais qu’ils s’étaient liés contre moi en insistant qu’on était en 2020. Dès lors, je retournai dans ma chambre, énervé et en colère d’être le pigeon de leur plaisanterie. Mon épouse me rejoignit pour en discuter. Seulement, elle persistait tellement que j’acceptai de regarder les informations. Et effectivement, je revivais une seconde fois 2020. D’ailleurs, mon téléphone aussi confirmait la date : 1er janvier 2020.
Je vécu de nouveau cette terrible année. Je dus supporter un énième confinement, des couvre-feux agaçants car je devais courir pour rentrer après le boulot. L’année était plus pénible que la première fois et c’est avec bonheur que je fêtais encore le nouvel an. Nous étions tous autours de la table à lever notre verre tout en comptant. Puis, nous criâmes ensemble, oubliant les gestes barrières. Nous nous embrassâmes, j’étais encore plus content surtout que je savais quelle nouvelle allait raconter Lucia quand elle demanda la parole. Je bus de nouveau une coupe de champagne et après une heure, je me sentis étourdi pas l’alcool et la fatigue. Je partais me coucher, ravi de pouvoir enfin vivre l’an 2021.
En me levant, quelque-chose était différent. Je ne pouvais dire exactement, mais il y avait un truc étrange, l’atmosphère ou l’alcool qui continuait de faire effet. Je descendis et rejoignis la famille et les invités.
Ils étaient plus nombreux que la veille. Il y avait un oncle qui maintenant est en maison de retraite. Il y avait des cousins qui habitaient à l’autre bout de la France, il y avait mes meilleurs amis. Eux aussi n’étaient pas venus car ils habitaient la Vendée. Je ne comprenais rien à leur présence. En me voyant, ils me souhaitèrent une bonne année et par prudence, je répondis en souriant sans montrer d’inquiétude. Je discutais avec les plus proches de ma place. De plus, une sensation de déjà-vu apparut soudainement. On était en 2019.
Je ne sais pas comment cela était possible mais nous étions bien en 2019. Ma fille Lucia venait d’emménager avec son copain. Mes fils étaient en première année à l’université. Ma femme m’embrassa en me remerciant de nouveau pour mon cadeau. C’était une bague qu’elle avait repérée en faisant les boutiques avec ma sœur. Je ne comprenais pas comment les années pouvaient régresser. Pourtant, je le vivais.
Je n’ai pas cherché à en parler ni à trouver une solution. L’année se passa comme elle s’était passée. Encore une fois, j’étais fier de mes jumeaux pour leur BAC et les deux avec mention. Puis arriva la période des réveillons. Je fus troublé et angoissé pendant celui de Noel à l’approche du premier de l’an. Et quand nous fêtâmes le passage à 2020, je me sentis à la fois soulagé et inquiet de pas me retrouver coincé dans le temps. Seulement, ce n’était que partie remise parce que le lendemain, nous étions le 1er janvier 2018.
Chaque année, je revivais le réveillon précédent mon année. Il y eut 2017, 2016, 2015 et ainsi de suite. En 2014, je reconnus mon père décédé cette année et revis son arrêt cardiaque. En 2013, c’était celui de ma mère. Je ne sais pas pourquoi, mais je régressais dans le temps. Il en était de même pour mon corps, il retrouvait son éclat, sa jeunesse. Ma femme retrouvait ce grain de folie qui la rendait pétillante. Nous partîmes en vacances, revivant notre séjour en Inde. J’étais heureux de recommencer ce voyage. Cependant, le retour en arrière continuait.
J’avais beau connaitre l’histoire, les larmes jaillirent à la naissance des enfants. Les jumeaux puis Lucia qui est l’ainée. Mon job, la maison achetée, ma mutation, celle de mon épouse, notre mariage. Sa présentation à la famille, à mes parents. La mort de mes grands-parents, L’accident d’une cousine… tout repassait soudainement en même temps que la décroissance du temps.
La rencontre avec ma femme m’avait toujours fait rire. Je n’ai jamais su comment j’avais fait pour la conquérir. Et je réussissais encore cet exploit. L’université fut une formalité tout comme les années lycées et collèges. Je retrouvais mes amis d’enfance, mes premières sorties, mes premières beuveries, mes premières coucheries. Et chaque fois, j’espérai voir le temps retrouver son sens logique. Mais l’année suivante devenait toujours la précédente.
Il y a eu ensuite les jouets, les cours de récrées, les premières rentrées d’école. Et puis les premiers mots, les premiers pas. Ce que mes parents étaient gâteaux quand j’avais un an. Enfin, je ne peux rien dire car même si je suis conscient, je dois accepter qu’on me torche le cul et porter des couches à longueur de journée. Ce que leur bouilli n’est pas bonne non plus ! Il est loin maintenant le réveillon de mes cinquante ans. C’était il y a cinquante ans. Celui-ci, je le passe dans un panier et ils sont tous à me regarder avec des sourires niais et des gouzis-gouzis. Ils sont tous là les tontons, tantines et les cousins qui me feront chier dans quelques année, enfin logiquement car ils se sont tous levés pour compter ensemble. Et quand arrive la nouvelle année, ils s’embrassent tandis que moi, je me demande ce qui pourrait se passer dans quelques heures. Car c’était mon tout premier réveillon et avant celui-ci, je n’en ai connu aucun.
Je déteste le nouvel an.
Bonne année !
Alex@r60 – janvier 2021
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LA PRIERE DE LA FIN
Seigneur, endormez-moi dans votre paix certaine
Entre les bras de l'Espérance et de l'Amour.
Ce vieux cœur de soldat n'a point connu la haine
Et pour vos seuls vrais biens a battu sans retour.
Le combat qu'il soutint fut pour une Patrie,
Pour un Roi, les plus beaux qu'on ait vus sous le ciel,
La France des Bourbons, de Mesdames Marie,
Jeanne d'Arc et Thérèse et Monsieur Saint Michel.
"Notre Paris jamais ne rompit avec Rome.
Rome d'Athène en fleur a récolté le fruit,
Beauté, raison, vertu, tous les honneurs de l'homme,
Les visages divins qui sortent de ma nuit :
Car, Seigneur, je ne sais qui vous êtes. J'ignore
Quel est cet artisan du vivre et du mourir,
Au cœur appelé mien quelles ondes sonores
Ont dit ou contredit son éternel désir
Et je ne comprends rien à l’être de mon être,
Tant de Dieux ennemis se le sont disputé!
Mes os vont soulever la dalle des ancêtres,
Je cherche en y tombant la même vérité.
Ecoutez ce besoin de comprendre pour croire !
Est-il un sens aux mots que je profère ? Est-il,
Outre leur labyrinthe, une porte de gloire ?
Ariane me manque et je n'ai pas son fil.
Comment croire, Seigneur, pour une âme que train
Son obscur appétit des lumières du jour ?
Seigneur, endormez-la dans votre paix certaine
Entre les bras de l'Espérance et de l'Amour.
Charles Maurras
Prison de Clairvaux, juin 1950.
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Elisabeth Vigée-Lebrun
1755-1842 Peintresse France
Comptant parmi les plus grandes peintresses de sa génération, Elisabeth Vigée-Lebrun, fut bien dépourvue la Révolution venue. On a tous et toutes vu ses tableaux sans savoir que c’était une femme qui se cachait derrière.
Portraitiste officielle à la cour de Louis XVI, Louise-Elisabeth Vigée a un parcours artistique étonnant. Issue de la petite bourgeoisie parisienne, la jeune femme apprend la peinture de façon presque instinctive, au départ avec son père, puis auprès de peintres, dont certains de renom tels Jean-Baptiste Greuze, qui la laissent s’instruire librement et recopier les toiles de maître. Elle obtient rapidement ses premières commandes.
Sa précision, sa palette claire et son sens du détail qui la fait être comparée à Quentin de la Tour, lui permettent de devenir à un très jeune âge la coqueluche de l’aristocratie. “Mademoiselle Vigée” escalade tous les échelons de la société, devient portraitiste officielle et amie de Marie-Antoinette, et épouse un des plus grands marchands de tableaux de l'époque, Jean-Baptiste Le Brun.
Ses portraits des personnalités les plus en vue à la Cour se vendent scandaleusement cher, ses carnets de commandes ne désemplissent pas. Son mode de vie est quelque peu démesuré : Mademoiselle Vigée reçoit et ses fêtes se révèlent très dispendieuses alors que les frémissements de la révolte apparaissent.
Le portrait est alors, et pour longtemps encore, perçu comme un art mineur : pratiqué par les femmes qui se voient interdire la peinture de genre, il s’agit d’un « art de commande ». Ce qui n’empêche pas sa consœur Adélaïde Labille-Guiard et elle même d’appartenir à une guilde d’artistes intégrant de nombreuses femmes dans ses rangs. Souhaitant par ailleurs une reconnaissance académique, elle force en 1783 les portes de la très virile Académie royale de peinture et de sculpture avec le soutien de la reine et son tableau de genre La paix rapportant l’abondance, afin de démontrer que cet exercice de style n’est pas l’apanage des artistes masculins.
À la Révolution, elle doit fuir. Douze années durant, elle est reçue par les cours européennes, qui l’accueillent à bras ouverts et reconstitue sa fortune perdue dans l’exil en peignant l’aristocratie italienne ou russe.
Sa palette s’est faite plus sombre quand elle revient en 1802, dans ce pays qu’elle ne reconnaît pas. Elle peint les sœurs de Napoléon - qu’elle qualifie de « parvenues » sans éducation - puis repart, se sentant davantage à sa place dans les cours royales d’Europe que sous le nouvel ordre impérial.
Ses portraits de la famille royale sont à nouveau accrochés à la Restauration, mais à sa mort, son nom est gommé. La sensationnelle Mademoiselle Vigée devient la très effacée Madame Lebrun, certaines œuvres sont même attribuées un temps à son époux. Car dans le roman national républicain, une femme bourgeoise et indépendante qui peint des femmes fortunées incarne la décadence de l’Ancien régime et contredit le supposé cloisonnement de la société des ordres. Sa production est dépoussiérée par des historiennes de l’art américaines à la fin du XXe siècle. Visionnaire sur ce point bien précis, l’artiste l’analyse ainsi dans ses Mémoires : « Les femmes régnaient alors, la Révolution les a détrônées ».
Photo : Self Portrait in a Straw Hat - https://www.nationalgallery.org.uk/paintings/elisabeth-louise-vigee-le-brun-self-portrait-in-a-straw-hat
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Bonjour et Shalom du Seigneur Yeshoua le Christ à vous tous mes ami(e)s, et famille en Christ. Je vous aime de l'amour de Yeshoua le Christ ❤⚘️
{Ephésiens 3 : 16}
"afin qu'il vous donne, selon la richesse de sa gloire, d'être puissamment fortifiés par son Esprit dans l'homme intérieur"
C'est impossible d'être fortifié sans avoir appris à développer notre esprit. En étant bébé notre esprit n'est pas encore développé. La Bible déclare que l'être humain a été créé en trois dimensions: l'esprit, l'âme et le corps
Le corps est la maison de l'âme et de l'esprit. Par lui, nous prenons contact avec le monde physique. Il n'est que l'enveloppe de la vraie personne qui habite à l'intérieur(l'esprit). Ce corps retournera à la poussière de la terre et, au moment de la résurrection, nous recevrons notre corps glorieux et incorruptible.
L'âme est le siège de nos sentiments(5 sens), de notre intelligence, de nos pensées, de notre raisonnement humain et de notre volonté. Cette dimension de l'homme doit être renouvelée et restauré et ne plus se conformer au siècle présent (à ce monde ).
L'esprit est cependant, la partie la plus importante de l'être humain c'est, sans contredit, son esprit. L'esprit, c'est la vraie personne. Il a été formé par Yahwhe et c'est le souffle de Yahwhe qui donne l'intelligence. Nous avons été créés à l'image de Yahwhe, car Yahwhe est Esprit, il est Esprit Saint. À notre nouvelle naissance c'est notre esprit qui est né de nouveau. L'Esprit de Yahwhe est scellé à notre esprit. Il nous a régénéré.
{Romains 12 : 2}
"Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Yahwhe, ce qui est bon, agréable et parfait."
{Zacharie 12 : 1}
"Oracle, parole de l'Eternel sur Israël. Ainsi parle l'Eternel, qui a étendu les cieux et fondé la terre, Et qui a formé l'esprit de l'homme au dedans de lui"
{Job 32 : 8}
"Mais en réalité, dans l'homme, c'est l'esprit, Le souffle du Tout-Puissant, qui donne l'intelligence"
Avant d'accepter le Seigneur Yeshoua le Christ, notre esprit était séparé(déconnecté) de Yahwhe. Selon la Bible, il était alors tortueux et méchant par-dessus tout.
{Ephésiens 2 : 1}
"Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés"
Cependant, en acceptant le Seigneur Yeshoua le Christ, comme Sauveur et Seigneur, notre esprit a repris vie et c'est pourquoi le salut est appelé une NOUVELLE NAISSANCE. Nous sommes devenus une nouvelle créature en Yeshoua le Christ, Yahwhe nous a recréés en Christ (Éphésiens 2:10)
{2 Corinthiens 5 : 17}
"Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles."
Nous sommes donc maintenant exhortés par la Parole de Yahwhe à revêtir l'homme nouveau, créé selon Yahwhe, dans une justice et une sainteté que produit la vérité. Nous sommes aussi appelés à fortifier cet homme intérieur. C'est par la foi que le juste vivra.
En Christ pour toujours ❤⚘️
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SAMEDI 30 MAI 2020 – (Billet 3 / 4)
Et oui, ENFIN !!!!!!!!!
Nous vous avouerons qu’au début, cela ne nous a pas trop manqué. Les consignes étant tellement strictes et il y avait tellement d’autres choses plus préoccupantes que nous n’y avons même pas pensé.
Et chose paradoxale, sûrement au contraire de beaucoup, durant ces 2 mois et demi nous n’avons jamais aussi peu regardé la télé ! Deux raisons pouvant expliquer cela :
Il a fait beau (même si le fond de l’air a souvent été frais) et nous avons pu déjeuner et parfois dîner dehors. En tout cas, au moins pu prendre presque tous les soirs notre apéro sur la terrasse… jusqu’au moment des applaudissements (20h). Ensuite, le soleil disparaissant à l’horizon, la température chutait, nous arrosions nos plantes puis nous rentrions. Cela nous évitait surtout de regarder les infos à la télé. Car très vite nous avons développé une allergie totale à certains mots, dont le mot « masque »… pour ne citer que lui. Et puis d’entendre toujours les mêmes débats dont nous connaissions par cœur les questions… et l’absence de réponses ! Nous avons préféré lire le matin les principaux titres sur nos tablettes, tout le reste ensuite n’étant qu’hypothèses d’éminents professeurs contredites d’un jour sur l’autre par d’autres tout aussi éminents professeurs, parfois même dans l’heure qui suivait.
Et puis nous nous sommes aperçus que si nous étions « cinéphiles », dans le sens large du terme (pas dans sa définition germano-pratine), nous l’étions dans une salle de cinéma… et presque pas du tout à la télévision. Et les séries, ce n’est notre truc (à 1 ou 2 exceptions près), ce n’est pas du tout le format que nous aimons. Le format géométrique s’entend. Nous, on aime les GRANDS FORMATS, un SON et des IMAGES de qualité PROFESSIONNELLE, des FAUTEUILS CONFORTABLES, une belle SALLE… qui s’éteint lentement et des images projetées sur un GRAND ECRAN !
Alors, oui, VIVEMENT LE LUNDI 22 JUIN !!!!!!!!!!!
Ci-après le mail que nous a adressé Aurélien Bosc.
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Marina, Jean Marie,
Comme l’a annoncé hier le Premier Ministre, nous aurons l’immense plaisir de vous accueillir à nouveau dans l’ensemble de nos cinémas à compter du lundi 22 juin. Nous attendons ce moment depuis de nombreuses semaines et je profite de ce courriel pour remercier chaleureusement l’ensemble de nos abonnés pour leur patience et leur soutien dans cette situation exceptionnelle. Les équipes des cinémas Pathé et Gaumont sont plus que jamais mobilisées afin de préparer la réouverture de vos cinémas avec un objectif simple : vous permettre de vivre à nouveau des émotions de cinéma, en vous garantissant les meilleures conditions de sécurité possibles. Dans les semaines qui viennent, nous aurons l’occasion de vous détailler les mesures qui s’appliqueront lors de la réouverture, et nous aurons également le plaisir de vous préciser les sorties de films ainsi que les nombreux événements à venir. Je peux dès maintenant vous assurer que les films que nous mettrons à l’affiche à l’ouverture seront à l’image du cinéma qui vous passionne : enthousiasmants, émouvants, spectaculaires, drôles ou étonnants… Prenez soin de vous et à très bientôt !
Aurélien Bosc
Président des Cinémas Pathé et Gaumont
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