#est algerien
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les-portes-du-sud · 6 months ago
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Anciennement Hippone, puis Bône, aujourd'hui Annaba ... Et ses ruines romaines.🇩🇿
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zawaj-halal · 7 months ago
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La diaspora algérienne en France face à des accusations d’antisémitisme
Face à un défi majeur, la diaspora algérienne en France est confrontée à des accusations d’antisémitisme. Alors que certains condamnent les exactions à Gaza, d’autres choisissent le silence. Karim Zéribi se distingue en élevant sa voix. Rejoignez le débat et brisez le silence pour la justice et la solidarité. #diaspora #algeriens #karimzeribi #antisémitisme #shortvideo
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alonso22470 · 2 years ago
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kurawastaken · 5 years ago
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one, two, three, viva l'Algérie ! :D (j'ai ça dans la tête depuis le match de vendredi et quand j'ai vu que tu étais aussi algérienne j'ai pas pu résister pardon sdjkksks)
AAAYYYY Ouais champion du mond!!!!
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captain-jale · 5 years ago
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1-2-3, Viva l'Algérie !
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thebusylilbee · 3 years ago
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"La lutte du Larzac fête ses cinquante ans. «Libé» se penche sur des histoires méconnues, mises de côté, oubliées, autour du camp et du mouvement. Episode 1 : la présence d'Algériens sur le camp, juste avant et juste après l'indépendance. Comment raconter cette histoire, et que faire de cette mémoire ?
« Un grand vide. » Robert Gastal, agriculteur à La Cavalerie, le reconnaît, dans le grand récit collectif et enthousiaste de la lutte du Larzac, un morceau d'histoire est resté dans l'ombre : l'Algérie. En dix ans de publication du journal militant, Gardarem Lo Larzac, il n'en est question nulle part. Tout juste une ligne mentionne ce lien historique, dans une exposition rétrospective actuellement visible à Millau. Le Larzac a pourtant un lien indéfectible avec l'Algérie. Robert Gastal y a justement fait son service militaire, infirmier, soignant aussi certains Algériens torturés. En 1959, il retrouve avec surprise dans le train Paris-Millau « des Algériens menottés, escortés par des gendarmes » qui se rendaient eux aussi sur le Larzac. C'est là, que des milliers d'Algériens de France, militants de l'indépendance, ont été internés, pendant près de trois ans, en vertu d'une justice d'exception. « En 1957, quand l'on étend à la métropole les pouvoirs spéciaux en vigueur en Algérie, des voix s'élèvent pour limiter l'internement aux Algériens déjà inquiétés par la justice », raconte l'historienne Sylvie Thénault qui a coordonné au début des années 2000 un imposant travail de recherche sur l'internement des Algériens en France.
Mais à peine un an plus tard, l'exception policière devient une règle. Après une offensive du FLN durant l'été 1958, l'internement est étendu dès le 7 octobre à toutes « les personnes dangereuses pour la sécurité publique en raison de l'aide matérielle, directe ou indirecte, qu'elles apportent aux rebelles des départements algériens ».
Humiliations et fouilles régulières
Dès lors, la police française a toute latitude pour arrêter des «suspects» et les envoyer sans durée déterminée dans quatre Centre d'assignation à résidence surveillée (CARS). Avec 3 000 places et plus de 5 000 internés entre 1959 et 1962, le Larzac sera le plus important en métropole. L'un des plus durs aussi : les casernes sont vétustes et manquent de sanitaires, les hivers comme les étés particulièrement rudes, et les travaux de ravalement ne sont pas terminés. Là-dedans, ils sont 1 343 en mai 1959, plus de 3 000 en décembre 1960 et encore 1 679 au lendemain du cessez-le-feu de 1962. C'est ce que relève Jean-Philippe Marcy dans les archives de la police.
En creusant, ce professeur d'histoire-géo retraité s'aperçoit également qu'à l'époque, l'administration est loin d'être en mesure d'encadrer autant d'internés, faute de personnel suffisant et formé. « Il faut aller réquisitionner des fonctionnaires locaux pour assurer certaines tâches administratives ou de gestion même s'ils sont parfaitement incompétents », note-t-il. Ce qui n'empêche pas la brutalité des humiliations et fouilles régulières dans des baraquements surpeuplés. Les internés sont séparés entre deux secteurs : à «l'Orient», les irréductibles, à «l'Occident», les modérés.
Mais bien loin de réintégrer les plus hésitants, « cela a eu l'effet opposé et soudé les Algériens avec le FLN », observe Kevin Melfi. Dans son mémoire de fin d'études, il a analysé l'organisation interne des Algériens dans le camp du Larzac : « Les cadres du FLN encadraient les internés, imposaient des heures de lever, une hygiène, organisaient des loisirs. Il y avait même des lois et un tribunal FLN pour ceux qui ne voulaient pas suivre », explique-t-il. Pour améliorer leur sort, les internés multiplient les grèves. Le 26 mai 1959, ils refusent le potage trop infect et entament une grève des soins, qui durera quinze jours avant d'obtenir gain de cause. Coincée entre son rôle policier et son manque de moyen, l'administration du camp va, selon Jean-Philippe Marcy, « devoir s'appuyer sur l'autorité du FLN qui peut faire valoir ce pouvoir relatif pour limiter les voix dissidentes dans ses rangs ». Arrivés en octobre 1960, deux étudiants en médecine seront transférés par la direction après avoir un peu trop publiquement remis en cause la discipline interne du FLN. Le mouvement obtient également en novembre 1961 la reconnaissance du statut de «prisonniers politiques» pour tous ces internés. Quatre mois plus tard, à la signature des accords d'Evian, le camp est vidé de ses occupants.
Une «rue des harkis» en bordure du camp
Si cette mémoire a été oubliée, c'est aussi parce qu'elle vient s'entrechoquer avec une autre histoire « algérienne ». Trois mois après le départ des derniers militants arrivent en catastrophe sur le plateau du Larzac des milliers de harkis, ces Algériens partisans de l'Algérie française, ou du moins opposés au pouvoir du FLN. De juin à septembre 1962, plus de 8 000 personnes, hommes, femmes et enfants, débarquent d'Algérie et transitent par le Larzac, dans un camp parfaitement inadapté pour accueillir des familles. Trois mois de ces conditions précaires aboutissent même au décès de dix-nuits nouveau-nés. Après des années de bataille, l'association des harkis de l'Aveyron et son président Serge Ighilameur ont obtenu reconnaissance avec l'édification d'une stèle à la Cavalerie en 2016. Elle a été complétée en 2019, en même temps qu'une « rue des harkis » était baptisée en bordure du camp.
Dans son récent rapport sur la mémoire de la guerre d'Algérie, l'historien Benjamin Stora mentionne bien les « quatre camps d'internement des militants du FLN en France » et préconise d'en faire « des lieux de mémoire, notamment celui du Larzac ». Mais la blessure reste encore trop vive pour que les associations de harkis puissent envisager une telle chose. Le Larzac a trop de mémoires et d'histoires pour que toutes aient pu avoir leur place. L'historien Philippe Artières, auteur du récit choral et personnel Le peuple du Larzac (La Découverte, 2021), évoque également ces mémoires, mais dans deux chapitres séparés.
Les seuls à rappeler ouvertement la mémoire des « internés » du FLN et des harkis furent paradoxalement des anciens militaires. L'Association des anciens appelés contre la guerre (4ACG) rassemble depuis 2004 des anciens soldats appelés en Algérie qui ont refusé de toucher leur pension militaire à leur retraite. En 2018, à l'occasion de l'assemblée générale de l'association à Nant, au pied du Larzac, la 4ACG réalise une petite exposition sur l'histoire de l'internement dans ce camp. Elle fait notamment le lien entre la condition des Algériens internés au Larzac de 1959 à 1962 et avec une réalité plus contemporaine : les sans-papiers actuellement enfermés dans les camps de rétention administrative (CRA)."
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La république française est une république militante qui a fait école dans le monde entier, y compris dans la naissance d'une nation algérienne.
La république en France est née d'un coup d'Etat, d'un putch, c'est un régime insurrectionnel, sinon un "ramassis" d'emeutiers.
La démocratie américaine est une démocratie engagee qui veut faire école, une republique apaisee doublée d'un protestantisme militant.
C'est la France qui a fait l'Algerie, il n'y a qu'elle qui puisse la défaire.
Le psychodrame familier et non familial franco-algerien, ne peut se réduire à un abcès qu'E. Macron se chargerait de crever.
Depuis la mort du FIS, l'Algerie ne connait plus la paix intérieure.
Ce pays ne serait que la fusion de trois partis : la côte avec pour capitale Alger qui aurait donné son nom au nouveau pays, l'intérieur avec pour capitale Guardhaia, pays de l'emir Abdel kader, le sud pays Touareg avec pour capitale Tamanrasset.
L'algerie a du mal a vivre de cette creation française, de cette division...
L'heritage ottoman ne concerne que la côte.
L'éventuel retour de la Turquie passe par une intervention dans une Tunisie devenue hors de contrôle et un retrait de la France sur ses fondamentaux.
Ne pas faire de confusion entre la France et ses republiques successives. Le sentiment d'amour-haine concerne la république française, la France est plus ancienne.
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lisolo1973 · 3 years ago
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les-portes-du-sud · 9 months ago
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La palmeraie de Tolga (Nord-Est algerien) et ses 4 millions de palmiers 🌴🇩🇿
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blog59-world · 3 years ago
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Menaouar Asnoun Cet écrivain est un antihirakiste qui a, il n'y a pas si longtemps dénigrer l'Algérie qu'il a désertée (c'est pour ça qu'il porte le nom de sa femme 📷📷📷, en incitant les mécréants, les zouaves, les traités franco-sionistes à faire le pouvoir Algerien et à faire de l'Algérie une arrière cour et qu'il a fréquenté le makhenez pour se valoir auprès de ses amis français qui l'ont rejeté par la suite au profit de Tahar Benjelloun le marocain parce que aussi ils ne le trouvaient pas critique envers son propre pays l'Algérie. Cette Algérie qui lui a tout donné puisque Bouteflika himself la intronisé Directeur de l'institut du Monde Arabe en remplacement de J. Lang. Moi personnellement je m'en tape que tu critiques le président Algerien ou le pouvoir mais l'Algérie tu n'y touches pas ni toi ni tes copains mécréants que tu as cru qu'il te feront roi. Nul n'est prophète en son pays. Tes actes irrespectueux envers l'Algérie et tes propos malveillants sont impardonnable et que tu finiras ds la poubelle de l'histoire. Ce peuple que tu as insulté ne te lira pas 📷📷📷 même si maintenant tu le loues et ta bénédiction on n'a que faire celle d'Allah nous suffit amplement et un jour tt le monde rendra ses comptes
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airmanisr · 5 years ago
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Algeria Railways - Est Algerien 4-6-0 steam locomotive 212 (Fives-Lille)
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Algeria Railways - Est Algerien 4-6-0 steam locomotive 212 (Fives-Lille) by Historical Railway Images
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slouguia-blog · 2 years ago
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afriksport237 · 3 years ago
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🔵 BELGIQUE: @michael_ngadeu_official est en feu... les attaquants algeriens auront chaud ! Le défenseur camerounais a été impeccable cet après-midi face à Anderlecht. La Gantoise a remporté cette opposition 1-0, passe à la 4e place du classement au détriment de son adversaire. https://www.instagram.com/p/CbV3G7qLbDW/?utm_medium=tumblr
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billy-toilettage-de-chien · 3 years ago
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Une belle Transformation ✂️ Le avant/après est juste INCROYABLE 🧼🐾 #toilettage #salondetoilettage #animaleriealger #chienstagram #caniche #bichonfrise #bichon #dogsofinstagram #animauxalgerie #animal #dzgirl #husky #chat #alger #algerian_beauty #algérienne] #algerien-#gardeanimaux #veterinairealgerie #stopgaloufaenalgérie #stop_galoufa_en_algérie https://www.instagram.com/p/CbIntN-tlKb/?utm_medium=tumblr
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reseau-actu · 6 years ago
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La Grande mosquée de Toulouse dite d’Empalot a été inaugurée ce 23 juin en grande pompe ce samedi par le maire Les Républicains Jean-Luc Moudenc et la présidente de la région Occitanie Caroline Delga (PS) . Financée avec les contributions de l’Algérie qui pourchasse les chrétiens, à hauteur de 213 000 euros et celui du Koweït pays bailleur de fond des groupes djihadistes, pour 131 000 euros. Le terrain avait été vendu par la mairie UMP-LR de Jean-Luc Moudenc à un prix qui avait scandalisé les professionnels locaux de l’immobilier. 
Un article de Robert Langlois fait le point sur ce coup de pouce foncier :
« À l’origine du projet, l’Imam TATAÏ avait acheté une ancienne propriété de 5.000 m2 pour 213.429 € dans un parc situé au 2, chemin des Côtes-de-Pech David, dans un quartier de villas et de résidences neuves de qualité. À ce prix là, à cet endroit, la constructibilité du terrain devait être très faible. Affaire sensible, le terrain ne convient pas pour un tel projet incompatible avec le voisinage. On veut bien faire plaisir aux musulmans, mais il ne faudrait pas non plus contrarier l’électorat bourgeois de ce quartier. Jean-Luc MOUDENC adjoint à l’urbanisme fait traîner et finit par refuser le permis de construire. L’affaire capote, le problème reste entier.
Bonne affaire quand même pour l’imam qui revend le terrain et réalise une plus value de 840 000 euros. Handoulillah. Ce chiffre figure expressément sur la présentation des comptes faite par l’association.
http://www.grande-mosquee-toulouse.fr/fr/historique
         Prix pour le preneur final : 213 429 + 840 000 = 1 053 000 (arrondis) soit 210 euros el m2 au sol. Pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que pour atteindre un tel prix, la constructibilité du terrain a été gentiment augmentée entre temps par MOUDENC Jean-Luc adjoint à l’urbanisme. Il faut bien aider les fidèles … C’est le constructeur MONNÈ DECROIX qui a réalisé la résidence ‘’le Bragance’’, 58 logements collectifs sur ce terrain.
http://www.ca-immobilier.fr/media/residences/pdf/LeBragance.pdf
        Comme un bienfait ne vient jamais seul, hamdoulillah, Jean-Luc MOUDENC a rapidement trouvé un nouveau terrain pour le projet, en toute transparence. Situé à quelques encablures du premier, juste de l’autre côté du périphérique, cette fois ci dans Toulouse intra muros.
« La mairie s’engage à le vendre à prix coûtant, et même à racheter une parcelle à l’État, le tout pour la somme symbolique de 20 000 euros, une bouchée de pain. »
        Or la surface de ce terrain situé en zone urbaine est de 1304 m2. Soit 15,33 euros le m2 au sol, à comparer aux 200 euros de l’autre côté du périphérique … »
Le deuxième sujet est le profil de l’imâm et président de la mosquée, Mohamed Tataï, envoyé et payé par l’Algérie (pays qui ferme les églises et expulse les évangélistes) dans les années quatre-vingt pour encadrer la diaspora de la région. Trente ans après son arrivée, ses prêches sont toujours en arabe (nos traducteurs sont entrain de vérifier leur conformité avec nos moeurs).
Sur l’ancienne version du site de la Grande Mosquée, ses propos sur l’attente du retour du califat et de la nécessaire domination des musulmans, forcément « supérieurs », auraient dû depuis bien longtemps amener l’Intérieur et le préfet à le raccompagner dans son pays d’origine. Prêche du 4 février 2011 repéré par Islamineurope :
« Une religion bizarre qu’est cette « démocratie », avec ses mille visages elle sert à protéger les châteaux et à garder le dictateur, elle reprend le discours de la majorité du pouvoir et de l’argent contre celle du peuple et de l’idéologie. Celui qui ne donne pas son importance à cette communauté, et sous estime sa volonté et ses choix, souffre incontestablement et entre autre d’une incompétence intellectuelle, d’une cécité historique, et d’une torpeur sensorielle. »
Mohamed Tataï discrédite les régimes de type démocratiques. Pour lui, la démocratie est « une religion bizarre » , qui sert à protéger les dictatures, et s’oppose au peuple.
«Cette communauté est certainement la meilleurs des nations, Allah a dit : « Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Dieu. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers. » (Sourate Al-Imran)«  […] « Le fait qu’elle est une communauté qui ne s’est jamais réunie sur le mal, et ses hommes ne se mettrons jamais d’accord pour établir l’injustice, contrairement aux autres peuples. C’est la communauté à qui Allah a promis le retour du Califat, de la justice, de la victoire et de la gouvernance. C’est la communauté supérieure, Allah a dit : « Ne vous laissez pas battre, ne vous affligez pas alors que vous êtes les supérieurs, si vous êtes de vrais croyants.»
Voici la copie d’écran de l’époque (en voir plus ici) :
Dans un de ses prêches en arabe mis en ligne sur le compte Youtube de la mosquée, il parle de combattre ceux qui doutent de l’islam, et cite même l’idéologue des Frères Musulmans Youssef Al-Qaradawi, pourtant connu pour prescrire le meurtre des apostats, des juifs et des homosexuels (interdit de séjour en France) :
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Un traducteur de l’Observatoire de l’islamisation transcrit :
« Mes frères en islam, notre discours de ce jour est qu’il n’y a pas de civilisation qui s’est propagée, ni une da’wa(prédication/prosélytisme actif) qui apparut sans sacrifices (consentis), sacrifices des fidèles de ses fils, sacrifices de ceux qui portent en eux-mêmes cette da’wa, qui vivent avec elle, pour elle et tendent vers elle.
Notre prêche de ce jour porte sur les types de sacrifices. Nous vivons avec la quintessence de l’élite, mes chers. (2:40) Qu’on se demande… chacun de nous doit se demander, chacun de nous ne doute pas de son islam et celui qui doute de son islam qu’on le combatte  (nuqateluhu = de sing. qital = sous-entendre : tuer), qu’on se brouille avec lui, qu’on soit en colère à son encontre, parce qu’il [le musulman] est fier de ce joyau/diamant [l’islam]. Alors, qu’avez-vous apporté à l’islam ? C’est là la question sur laquelle devrait s’arrêter chacun de nous ! (3:03) »
Tout sacrifice et ses formes est pour la religion, pour l’islam, fi sabil Allah (dans le sentier d’Allah), le plus éminent est le sacrifice de soi-même (!). On en a quatre formes : le sacrifice de soi, celui de la quiétude/repos de soi/de l’esprit, celui de l’argent, et celui du temps (la prière).
1) Sur le sacrifice de soi. Le prophète est le meilleur exemple de celui qui s’est sacrifié, qui a sacrifié sa quiétude. Mohamed Tataï prend comme exemple le penseur de l’islam pakistanais Mohamed Iqbal [celui qui fut à l’origine de la partition de l’Inde et de la création du Pakistan, l’un des pères du nationalisme islamique de la oumma et l’un des théoricien du jihad] . Mohamed Tataï le cite: « Nous donnions nos cous aux sabres, et nous ne craignons aucun despote, nous voyions des collines d’or et nous les affaissions sur la tête des kuffars (des mécréants ; pl. de kâfir)… Donc, le sacrifice dans la voie d’Allah, est le jihad suprême. Celui-ci qui mène au martyre que les anges lavent [pour entrer directement au paradis].« 
Il donne ensuite un exemple de la guerre contre les mushrikun (les polythéistes/les associationnistes) dans la bataille de Badr.
2) Le sacrifice du repos de l’esprit. Faire le bien pour son frère musulman dans le besoin, dans les soucis, par les actes. L’histoire ne retient que ceux qui ont sacrifié leur temps pour leurs prochains. Il prend comme exemple Abraham qui a sacrifié sa tranquillité, sa famille, etc. L’argent ne suffit plus, il nous faut vos efforts, vos sacrifices.
3) Le sacrifice de l’argent. Le Coran a parlé du jihad, il prend comme exemple l’ouvrage « de la plus haute importance sur la pensée du jihad », celui de Youssef Qaradawi, l’encyclopédie d’al-Jihâd, en deux parties, dans la charia, le jihad par le Coran est un jihad… « jihade-les [les mécréants] par le Coran », le jihad est aussi celui de la parole [le prosélytisme], celui (du repos) de soi, celui de l’argent. L’imâm de Toulouse fait ensuite une parenthèse sournoise en parlant d’un prêtre chrétien au Soudan, originaire de Bruxelles qui fait le sacrifice de son temps et de sa vie depuis 30 ans au Soudan. Les gens sacrifient pour qui ? Pour un mensonge ? Si on n’avait pas entendu de nos oreilles ce que les nassaras (chrétiens) disent « un en trois et trois en un ! » on aurait démenti… et pourtant certains se sacrifient. Le sacrifice est pour Allah… »
Et ce n’est pas tout, l’institut Memri vient de traduire un autre prêche (décembre 2017) de Tatai de la même chaine Youtube de la Grande Mosquée, où il cite un hadith évoquant la « bataille finale » lors de laquelle les musulmans devront tuer les juifs :
Pour comprendre la situation au niveau national lire notre enquête Mosquées Radicales, ce qu’on y dit, ce qu’on y lit (éditions DMM)
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blog59-world · 3 years ago
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Ahmed Tatar 6 h ·
NOS ANCETRES LES ARABES, DU RIF AU SHAM. Le Rif c’est évident, c’est un faux frère qui ne rate pas une occasion pour nous poignarder dans le dos. Les Carthaginois l’amitié pour eux c’est du sonnant et du trébuchant, elle se mesure en millions de dollars et en nombres de visiteurs par an. La Libye post Kadafi en tenaille entre les milices de l’Est et celles de l’Ouest n’a jamais été notre ami, à la moindre baisse de garde de notre part elle nous tape sur la gueule. Quant à Oum Eddounia, l’origine du mal, la trahison c’est dans son ADN, il ne faut jamais lui faire confiance. Les pays du Golf sans souveraineté, colonies américaines et aujourd’hui territoires occupés par les Juifs d’Israël, ont depuis toujours eu une aversion maladive pour tout ce qui est Algérien et ne ratent jamais une occasion pour nous le faire savoir. L’Irak divisé et qui n’est plus souverain n'a d’autres choix que de s’aligner sur les positions des Arabes du Hijaz, même si par le passé il était notre ami par alliance, dogme oblige. Reste la Syrie, après une guerre dévastatrice, le Assad règne toujours sur un Damas en ruines. Son royaume déchiqueté est occupé par des forces étrangères, Américaines, Russes, Turques, Daech, et Israël. Nous Algeriens, toujours plus royalistes que le roi, nous avons soutenu le Assad, les Syriens et l’intégrité de leur territoire. Nous avons même accueilli chez nous des dizaines de milliers de Syriens fuyant le conflit. Sont-ils reconnaissants nos amis Syriens, je me permets d’en douter. Louna Ishibl conseillère spéciale de Assad, dans une déclaration à RT la voix de leurs nouveaux maitres, a remercié tous les pays qui ont soutenu son pays en les citant un par un. Elle a juste en oublié de citer l’Algérie. L’ingratitude a désormais un nom, la Syrie. Nos ancêtres les Arabes du Rif au Sham ne sont pas nos amis. S’ils ne nous veulent pas du mal, ils ne nous veulent pas du bien non plus. Arrêtons de nous enfoncer la tête dans le désert et mettez nous à l’évidence qu’en diplomatie tout se négocie, rien n’est gratuit, c’est donnant donnant. Plus on manifeste du pragmatisme envers ces peuplades, plus ils nous respecteront.
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