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Ce sera ma première lecture après le confinement. Il était dans la bibilothèque parentale, de longue date, mais je ne l’avais, jusqu’alors, jamais lu en entier. Je me propose de le racheter et de l’intégrer au fonds documentaire de Lékol maron, dès la réouverture des librairies.
#pierrerabhi#economieverte#lecture#interestingreading#ecole des beaux arts#ecole#apprendre#today i learned#recuperatheque#esareunion#foodforthought
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MINERAL ACCRETION FACTORY : contemporary fossils Making of chairs from KGID, Thonet, immersed next to Eileen Gray's side table E1027 in the Kelonia basins on Reunion Island.
#brokennature#triennalefrenchsection#largering#davidenon#mineralaccretionfactory#biorock#kelonia#ESAReunion#frenchdesign
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Manifeste de Lékol maron
Lékol maron
Échange horizontal / Partage d’expériences
Le savoir, comme de nombreux modèles d’école, qui sont plus ou moins nouveaux, le promeuvent, est mieux assimilé quand il respecte les lois naturelles de l’apprentissage (mobiliser le corps, les fonctions du langage, la transversalité, la répétition, mettre en avant les choix de l’apprenant – voir Les lois naturelles de l’enfant, de Céline Alvarez, qui, pour moi, s’applique également au contexte estudiantin). Pour apporter un complément à une transmission souvent unilatérale, donnée par le contenu des cours absorbés, on n’insistera jamais assez sur le rôle des échanges – souvent les plus formateurs – hors les cours et hors les murs. Le savoir n’est pas détenu par une élite culturelle et intellectuelle, il mérite d’être partagé par des gens de tous âges et de tous bords. Le projet de Lékol maron, ce serait avant tout d’activer les échanges internes, ces échanges d’artiste à artiste, d’égal à égal : toi, tu sais coudre, ce que moi j’ignore faire ; par contre, moi, je suis fort en danse, et toi non. Alors toi, tu m’apprendras la couture, et moi, je te montrerai mes chorégraphies préférées. On pourrait ainsi se transmettre des choses que l’on n’apprendra jamais en cours, les choses qu’on a toujours voulu savoir, en construisant un organe de transmission parallèle, sur la base du volontariat, comme un loisir. Tout le monde peut intervenir et partager ses idées : artistes jeunes, étudiants, artistes moins jeunes, enseignants. Donc, ici, pas de professeurs, pas d’étudiants, simplement des êtres humains généreux et curieux d’apprendre, comme de transmettre. L’important est que nous sommes tous des artistes, et que nous fonctionnons tous par partage d’expérience et par expérimentations successives.
Fidélité / équipe
Le but étant avant tout le partage d’informations et de connaissances, de projets et de créations, il serait bienvenu que d’autres membres soient associés au projet de manière permanente, sur la base du volontariat. Ainsi, chacun pourra décider de quel talent il pourra faire profiter aux autres, en prenant l’initiative de proposer : un débat, un cours, une projection, un partage de références, l’écriture d’un projet commun, etc.
Structures proposées
Récupérathèque
L’écologie, ou plutôt l’économie de la nature, si on reprend l’idée du philosophe Alain Deneault, selon laquelle le terme “économie”, se fonde originellement sur la réappropriation du fonctionnement, en symbiose, des écosystèmes naturels, et que toute économie se doit de réfléchir à son rapport avec la nature, dans le respect total de la biodiversité, sera pour nous à la source de toutes les pratiques découlant de Lékol maron. Dans cette veine, la Récupérathèque sera le poumon vert de notre école, le pilier fondamental de notre dynamique. “Une Récupérathèque est un magasin collaboratif de matériaux de réemploi au sein d’une école de création (arts, architecture, design, stylisme, arts de la scène, etc) fonctionnant avec sa propre monnaie ou son propre système d’échange, et visant à favoriser la durabilité, la solidarité, et la création de lien social.” selon la Fédération des récupérathèques, qui en rassemble 13 dans toute la France. Le principe est simple : récupérer tout ce qui peut être réutilisé, dans l’enceinte de l’ESA, et chez des partenaires, et proposer aux étudiants de choisir ce dont ils ont besoin, en instaurant une monnaie locale qui permette l’échange avantageux des matériaux glanés. Cette structure nécessite l’implication d’un certain nombre de membres, qui participeront à son activité.
Jardin (s)
Je pense qu’il serait bienvenu, dans un contexte de chaleur, tous les ans plus insupportable, d’organiser un verdissement de l’école. Nous pourrions militer pour un environnement luxuriant et accueillant, en un mot : ombragé. De nombreux projets, pour un bien-être effectif, qui viserait également à repeupler l’école, qui a connu des jours plus animés, et également une coopération réelle entre les deux écoles habitant l’endroit (école d’architecture / école d’art), pourraient venir se greffer à celui de jardin : l’ouverture d’une cafète, l’organisation de soirées et l’invitation de membres extérieurs à l’ESA et à l’ENSAM… Je rêve de retirer les chapiteaux qui bouchent la vue sur le ciel, et nous empêchent de respirer et de rêver. Pratiquons d’énormes trous dans ce béton inhospitalier, et plantons-y des arbres fruitiers, des arbres de vie, des végétaux en liens avec l’histoire locale, et vecteurs de savoirs séculiers. Ensemble. Ce projet n’a rien d’utopique ni de novateur : tout le monde y a déjà pensé, ce n’est pas sorcier, et il suffit juste de passer à l’action.
Économies circulaires
À Lékol maron, le recyclage et revalorisation des déchets, ainsi que le jardinage bio et le développement d’une pensée en accord avec la “sobriété heureuse” évoquée par Pierre Rhabi, seront la priorité numéro un. Ce que le gouvernement n’est pas capable de promouvoir et de chérir, nous en ferons notre cheval de bataille. Nous pourrons ainsi remettre au goût du jour, des pratiques ancestrales telles que le troc et le service rendu. Un dessin pourra s’échanger contre une One minute sculpture (Erwin Wurm) ou un plan de tomate. Nous recyclerons aussi bien nos pièces que nos barquettes usagées et autres déchets, qui seront sources de nouvelles formes ou de blagues formelles (un stop motion mettant en scène une barquette affublée de bras et de jambes faits de couverts en plastique ?), engendrant le rire ou l’incompréhension. Nous promouvrons le raté comme moteur indispensable de la création, sinon comme but (comme chez Robert Filliou, bien fait = mal fait = pas fait). Tests de matière, assemblages improbables et autres combinaisons douteuses s’entasseront dans notre Récuperathèque avant de trouver preneur. Ainsi, je peux commencer une pièce que tu finiras, ou encore, nous pouvons, ensemble, réfléchir à un concept commun.
Repenser le monde
La pratique de la sociologie, de l’anthropologie, des sciences, de la littérature, etc., offre autant de méthodes de pensée et d’outils à discuter, et qui peuvent mettre en lumière l’actualité et nos pratiques respectives. Repenser ces méthodes et outils ensemble et les activer, sur le mode de l’échange, au sein de notre école, pour les faire mûrir, et en récolter le fruit, sera la tâche de tous les écoliers marons qui se joindront au projet.
Programme
Créolité : définir les origines et les usages du mot “maron” et promouvoir la littérature réunionnaise et d’outremer. Low tech : Faire la promotion des techniques prosaïques et anciennes, comme le crochet, le tricot, et tout ce qui ne requiert que peu d’investissement et de technicité. Jardinage bio : marcher ensemble vers l’autonomie alimentaire. Débats : discuter de l’actualité, de féminisme, d’écologie et d’art engagé. Cinéma : proposer des projections de films indépendants et d’auteur, en relation avec le Service de Documentation. Lectures : Proposer des lectures commentées de livres provenant de nos propres ressources documentaires ou du Service de Documentation.
#manifesto#esareunion#ecoledart#artschool#artstudent#student#performanceart#performance#action#activisme#changement#voteforme
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Petit souvenir de l’apparition de la Plage maron, plage dissidente montée lors des workshops de l’ESA Réunion début mars. Avec une guitare et un mégaphone pour seules armes, nous avons refait le monde. Pour Lékol maron, au retour des classes, je vous prévois un environnement un peu plus cosy sous un des chapiteaux de l’ESA. Finis, les panneaux et l’esthétique de la grève. Je vous propose d’occuper un lieu qui donne envie de flâner, de s’arrêter, de peupler une école qui se vide (visuels et propositions dans les prochaines semaines !). Car nous, étudiants, sommes les âmes de l’école ! Que se passe-t-il si nous la désertons ? Rien, plus rien. Vous n’avez envie de rien ? De rien faire ? Pas de problème, faisons-le, mais ensemble. Et de cette décontraction je-m’en-foutiste germeront les plus belles graines.
Modèles : Jana Racine et Alexandrine Philippe.
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Manifeste de Lékol maron
Lékol maron, en tant que projet et espace artistiques, se base sur l’affirmation de Nicolas Bourriaud selon laquelle on peut « considérer l’échange interhumain en tant qu’esthétique à part entière ». Le lieu et les interactions qui s’y créent font œuvre. C’est le contexte qui prime.
"In lékol maron" est, à l'origine, en créole réunionnais, une école non-officielle, où étaient donnés des cours pendant les vacances, généralement chez une dame, qui avait les connaissances nécessaires pour enseigner, mais agissait hors le cadre institutionnel. Pour moi, Lékol maron est un projet et un espace artistiques basé sur la création et le partage, se tenant sous le chapiteau d'estampe, dans la cour de l'Ecole supérieure d'art de La Réunion. Dans la suite d'un mouvement de grève qui avait paralysé l'ESA-R plus d'un mois fin 2019, le projet s'est inscrit comme une réponse dissidente à la crise (dans un premier temps, proposition de débats sur le thème de l'école d'art). Le but du projet est de promouvoir le vivre ensemble et d'initier un changement constructif. Le troc de savoirs et le partage de connaissances sont, ici, plus que jamais d’actualité.
Échange horizontal / Partage d’expériences
A Lékol maron, on ne partage pas ses talents, mais plutôt des savoirs ou des savoir-faire que l’on maîtrise, ou non. Le savoir est mieux assimilé quand il respecte les lois naturelles de l’apprentissage (mobiliser le corps, les fonctions du langage, la transversalité, la répétition, mettre en avant les choix de l’apprenant (1)).
Pour apporter un complément à une transmission souvent unilatérale, on n’insistera jamais assez sur le rôle des échanges – souvent les plus formateurs – hors les cours et hors les murs. Le savoir n’est pas détenu par une élite culturelle et intellectuelle, les connaissances populaires sont aussi dignes d’intérêt, et méritent d’être partagées par des gens de tous âges et de tous bords.
Le projet de Lékol maron, ce serait avant tout d’activer les échanges internes, ces échanges d’artiste à artiste, d’égal à égal : toi, tu sais coudre, ce que moi j’ignore faire ; par contre, moi, je suis fort en danse, et toi non. Alors toi, tu m’apprendras la couture, et moi, je te montrerai mes chorégraphies préférées. On pourrait ainsi se transmettre des choses que l’on n’apprendra jamais en cours, les choses qu’on a toujours voulu savoir, en construisant un organe de transmission parallèle. Chaque corps crée de nouveaux gestes, de nouvelles manières d’agir. Comme le disait Joseph Beuys : “Nous sommes tous des artistes. Et si nous ne savons pas tous faire ce qu'on appelle de belles sculptures ou de belles peintures, nous sommes néanmoins tous capables de créer !” (2)
Tout le monde peut intervenir et partager ses idées : artistes jeunes, étudiants, artistes moins jeunes, enseignants. Mais ici, il n’y aura pas de hiérarchie, simplement des êtres humains généreux et curieux d’apprendre, comme de transmettre. Les expérimentations répétées nous permettront aussi d’accéder à un savoir plus large.
Equipe
Je propose, vous disposez : chacun.e est libre de suggérer des modes d’action et de prendre des initiatives. Ainsi, chacun.e pourra décider de quel savoir ou savoir-faire il pourra faire profiter aux autres, en proposant : un débat, une projection, un partage de références, l’écriture d’un projet commun, etc.
Structures proposées
Récupérathèque
Le sens premier du terme économie, selon le philosophe Alain Deneault, est l’exploitation intelligente des ressources en accord avec son environnement. Le terme écologie vient des sciences, il s’agit de la science de la nature. Il est utilisé pour pallier l’emploi généralisé du terme économie pour des modèles de société ne respectant pas la nature. Ici, on pratiquera l’économie de la nature. La Récupérathèque sera le poumon vert de notre école, le pilier fondamental de notre dynamique. “Une Récupérathèque est un magasin collaboratif de matériaux de réemploi au sein d’une école de création (arts, architecture, design, stylisme, arts de la scène, etc) fonctionnant avec sa propre monnaie ou son propre système d’échange, et visant à favoriser la durabilité, la solidarité, et la création de lien social.”, selon la Fédération des récupérathèques, qui en rassemble 13 dans toute la France. Le principe est simple : récupérer tout ce qui peut être réutilisé, dans l’enceinte de l’ESA, et chez des partenaires, et proposer aux étudiants de choisir ce dont ils ont besoin. Les matériaux pourront être troqués. On expérimentera donc le troc sous toutes ses formes.
Nota bene Le troc est l’action d’échanger un bien ou un service contre un autre sans utiliser d’autre moyen d’échange, comme de l’argent. Une économie de troc diffère d’une économie classique sur plusieurs points. Le Premier point, c’est que les biens et les services sont échangés immédiatement, et que l’échange est réciproque, c’est à dire que c’est un échange juste pour les deux parties.
Économie circulaire
À Lékol maron, le recyclage et la revalorisation des déchets, ainsi que le jardinage bio et le développement d’une pensée en accord avec la “sobriété heureuse” évoquée par Pierre Rabhi, seront la priorité numéro un. Ce que le gouvernement n’est pas capable de promouvoir et de chérir, nous en ferons notre cheval de bataille. Nous pourrons ainsi remettre au goût du jour, des pratiques ancestrales telles que le troc et le service rendu. Un dessin pourra s’échanger contre une One minute sculpture (Erwin Wurm) ou un plant de tomate. Nous recyclerons aussi bien nos pièces (artistiques) que nos barquettes usagées et autres déchets. Nous promouvrons le raté comme moteur indispensable de la création, sinon comme but (comme chez Robert Filliou, bien fait = mal fait = pas fait). Tests de matière, assemblages improbables et autres combinaisons douteuses s’entasseront dans notre Récuperathèque avant de trouver preneur. Ainsi, je peux commencer une pièce que tu finiras, ou encore, nous pouvons, ensemble, réfléchir à un concept commun.
Jardin (s)
Je pense qu’il serait bienvenu, dans un contexte de chaleur, tous les ans plus insupportable, d’organiser un verdissement de l’école. Nous pourrions militer pour un environnement luxuriant et accueillant, en un mot : ombragé. De nombreux projets, pour un bien-être effectif, qui viserait également à repeupler l’école, qui a connu des jours plus animés. On pourrait également travailler à une coopération réelle entre les deux écoles habitant l’endroit (école d’architecture / école d’art), projet qui pourrait venir se greffer à celui de jardin : l’ouverture d’une cafète, l’organisation de soirées et l’invitation de membres extérieurs à l’ESA et à l’ENSAM… Je rêve de démonter les chapiteaux qui bouchent la vue sur le ciel, et nous empêchent de respirer et de rêver. Pratiquons d’énormes trous dans ce béton inhospitalier, et plantons-y des arbres fruitiers, des arbres de vie, des végétaux en lien avec l’histoire locale et le savoir séculier. Ensemble. A l’avenir, Lékol maron pourra se tenir sous un arbre à palabres.
Repenser le monde
Les pratiques de la sociologie, de l’anthropologie, des sciences, de la littérature, etc., offre autant de méthodes et d’outils, en relation avec l’actualité et nos pratiques respectives. Repenser ces méthodes et outils ensemble et les activer, sur le mode de l’échange, au sein de notre école, pour les faire mûrir, sera le plaisir de tous les écoliers marons qui se joindront au projet.
Programme
Créolité : définir les origines et les usages du mot “maron”, de “lékol maron” et promouvoir la littérature réunionnaise et d’outremer. Interroger les origines du troc dans le “tan lontan” à La Réunion. Low tech : Pratiquer des techniques prosaïques et anciennes, comme le crochet, le tricot, et tout ce qui ne requiert que peu d’investissement et de technicité. Jardinage bio : planter ensemble, des choses qui se mangent et/ou qui font du bien au corps et à l’esprit. Débats : discuter de l’actualité, de féminisme, d’écologie et d’art engagé. Cinéma : proposer des projections de films indépendants et d’auteur, en relation avec le Service de Documentation. Lectures : Proposer des lectures commentées de livres provenant de nos propres ressources documentaires ou du Service de Documentation.
Nora Ottenwaelder, L3, ESA-R, décembre 2020
Notes
(1) voir Les lois naturelles de l’enfant, de Céline Alvarez, qui, pour moi, s’applique également au contexte estudiantin (2) cf « La sculpture sociale de Joseph Beuys » Par JACQUES MICHEL, in Le Monde (https://www.lemonde.fr/archives/article/1981/01/29/la-sculpture-sociale-de-joseph-beuys_2718778_1819218.html)
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“Une Récupérathèque permet l'échange de matériaux de réemploi. C'est une organisation collective d'étudiants dont l'objectif est de faire face à l’épuisement des ressources et à la mutation sociale, économique et écologique.
L'idée est de créer, à l'aide d'une monnaie alternative, un magasin de matériaux de réemploi répondant aux problèmes majeurs des écoles de création.
Ce site est un outil, disposant de nombreux documents, pour que vous puissiez développer cette structure dans votre école.”
Ou comment agir intelligemment et en bonne entente, dans une école en accord avec son temps. Reduce, reuse, recycle !
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Onzième podcast, disponible pour vos oreilles avides et dissidentes ! Aujourd’hui, nous faisons le point sur le parcours de Paul Devautour, enseignant à la Villa Arson (Nice) puis à Marseille, où il fonde le Collège invisible, puis directeur des Beaux-Arts de Bourges. Passionné de nouvelles technologies, son projet de Collège invisible est en fait une plate-forme dématérialisée d’échanges inter-artistes. Une vision prémonitoire de ce qui est en train de se mettre en place avec le confinement. Amis confinés, amis de la culture, tenez-bon, et écoutez ce podcast !
Enjoy ;)
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On se retrouverait bien autour d’un verre, pour parler politique, sciences ou rébellion populaire, non ? Une idée sortie pour les Parisiens, après le confinement. Ici, à La Réunion, on manque de cafés dissidents sympathiques, mais vous pourrez retrouver tous les étudiants de l’ESA intéressés par ce projet autour d’un thé après les cours, dès la fin du confinement.
Hâte de vous retrouver !
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OYEZ OYEZ ! Pardonnez-moi cette attente interminable : voici votre podcast de bilan, après un confinement riche de 14 podcasts, dont je m’attèle maintenant à retravailler le son. Celui-ci a été travaillé et retravaillé longuement, il ne demande plus qu’à s’insinuer dans vos oreilles pour atteindre, inexorablement, votre cerveau ! J’attends vos commentaires et appréciations, positives ou négatives. Continuant sur ma lancée, je vous proposerai, dans les prochains jours, un podcast sur les récupérathèques !
#podcast#danstesoreilles#son#ecole des beaux arts#esareunion#workinprogress#performanceart#artseries#student#artstudent#artschool
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Pour faire patienter les auditeurs après une petite ellipse temporelle de Lékol maron sur les réseaux, cette discussion de Migline Paroumanou, AEA à l’ESA Réunion, avec des étudiants présents au sein de l’espace de Lékol maron, le jour de mardi gras, ou comment tuer le temps avec des questions importantes, qui nous (vous) concernent !
Ceci n’est que le teaser d’une foultitude de podcasts en préparation, bientôt prêts à s’engouffrer dans vos oreilles !
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La fin est proche... Avant-dernier podcast, disponible pour vos oreilles friandes de culture ! J’espère ne pas avoir dit trop de bêtises, aujourd’hui, j’ai un peu de mal avec la prononciation des mots alambiqués comme “déterritorialisation”, vous m’excuserez... Ce que l’on commente aujourd’hui : l’article “La consistance des écoles d’art”, écrit par Emmanuel Hermange. Alors, ça y est, c’est dans la boîte, et maintenant, à vos commentaires, donnez-moi vos avis, publiez vos retours, vos critiques, je suis tout ouïe !
Bonne écoute, et confinement vôtre !
#podcast#culture#confinementvotre#confinement#lockdown#art#artist#ecoledart#artschool#artstudent#france#974#esareunion#listentome
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Comme dirait Charline Vanhoenacker, de l’émission humoristique Par Jupidémie, sur France Inter, “bonjour la France interne !” ! J’espère que vous allez bien, et que vous ne rechignerez pas à l’éventualité d’un douzième podcast, écouté bien au chaud (plutôt au frais, pour nous, ici à La Réunion) et les doigts de pied en éventail. Nous nous intéressons aujourd’hui au parcours d’Yves Robert, successivement directeur des écoles d’art de Valence, de Lyon et de la Villa Arson à Nice. Dans le propos recueilli par Emmanuel Tibloux, il nous parlera de sa formation curatoriale au Centre National d’Art Contemporain de Grenoble (Le Magasin), et de la façon dont il a “plongé” dans le monde des écoles d’art.
Bonne écoute !
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Huitième épisode aujourd’hui, disponible pour vos oreilles ! Merci de me suivre ! C’est donc de la lecture commentée du 8e et dernière article dont il s’agit aujourd’hui : “L’enseignement au risque de la réification”, par Tristan Trémeau. Petit point vocabulaire (définition du Larousse) : en philosophie, processus par lequel on transforme quelque chose de mouvant, de dynamique en être fixe, statique. Ici, il s’agit de marchandisation du système d’enseignement, dont la réforme souhaite qu’il soit utile à la nation en rapportant de l’argent.
Bonne écoute !
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Bonjour, voici votre sixième podcast, portant – ce qui va nous intéresser tout particulièrement – sur l’article de Yann Chateigné, “(Dé)faire l’école !”. En totale adéquation avec le but de cette page, vous l’aurez remarqué. Je vous laisse découvrir en quoi ce podcast nous donnera un bon coup de main pour construire les futures revendications de Lékol maron. Bonne écoute !
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Cinquième podcast, parce que vous le valez bien ! Aujourd’hui, on parle de design, en sortant un peu de la bulle des écoles d’art et à travers des citations d’Alessandro Mendini, un essai de Brian O’Doherty ou encore les écrits de Vittorio Gregotti. Tout cela, grâce à Catherine Geel, l’autrice de l’article “L’école du design”.
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Quatrième épisode de votre podcast. Aujourd’hui, nous parlons cinéma, avec l’article d’Érik Bullot, “Vocation (pédagogique) du cinéma”. Godard et Brecht s’inviteront dans le podcast. Bonne écoute !
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