#ensembles nous sommes plus fortes
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International Women's Day 8M
Happy day to all women across the world (that are good people) !!! đđđȘâïžđ©âđ«đđ
Also to all men who raises us, helps us, love us the right way, accompany us, uplifts us , befriends us and are our allies too.
Heres to Strong women :
May we know them,
May we be them
May we raise them
Image found in Pinterest but the trilingual texts and the color intensity filter added to It are made by me.
#international women's day#8-M#dĂa internacional de la mujer#journĂ©e internationale des femmes#inclusive feminism#feminist activism#Together were stronger#ensembles nous sommes plus fortes#juntas somos mĂĄs fuertes
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saga: Soumission & Domination 369
Octobre USA - Novembre en France
Pendant le WE j'aurai à nouveau l'occasion de tester ses capacités. Il se défend bien !!
Je me ferais aussi sa bande de copains aussi chauds que lui. Dane s'y essaye aussi. Pour lui c'est une premiÚre que de baiser aux cÎtés de son petit frÚre. Mais aprÚs quelques hésitations, il n'a pas pu résister à la vue des 8 jeunes corps musclés, imberbes dont les peaux brillaient d'un voile de sueur.  Fin de partie au lever du soleil !! La triplette est ravie de cette fin de séjour en Californie.
Quand nous renvoyons mes " petits frÚres " en France, ils nous arrachent la promesse de faire venir leurs nouveaux amis en France pour passer noël et le nouvel an.
Duke est aussitĂŽt d'accord, Dane accepte aussi. Pour Tyler je pense qu'il sera OK aussi.
En attendant je passe les WE à visiter le pays avec Dane et Tyler. Souvent nous sommes accompagnés d'une bonne dizaine de potes.
Ăa Ă©tĂ© le cas quand nous avons fait du rafting sur le Colorado. Vraiment impressionnant de se faire secouer sur le pneumatique entre deux parois d'une hauteur vertigineuse.
De mĂȘme lors d'une sortie sur le lac Powell. DĂšs notre arrivĂ©e et les bagages dĂ©posĂ©s Ă l'hĂŽtel, nous avons louĂ©s des petits bateaux Ă moteur pour voguer sur le lac. Lac de barrage sur le Colorado, ses bords sont trĂšs dĂ©chiquetĂ©s et s'il y a de grand " plages ", il y a aussi des Ă -pic qui nous permettent de faire de superbes plongeons. Le milieu naturel c'est quand mĂȘme plus excitant que la piscine chlorĂ©e.
Evidemment, nous ne sommes pas partis sans kpote ni gel !! Du coup quand on se trouve une plage un peu cachée, c'est touze au soleil.
Le mélange nageurs et fighters (combattants) n'as pas mis longtemps à prendre et l'ambiance est trop bonne, j'adore.
Sans parler de compétition, c'est une franche émulation qui agite les deux groupes. Si les adeptes des sports de combats sont longboard, les nageurs ont gardé les maillots réduits du plongeon. Comme s'il fallait ça pour exciter la partie adverse !! Les maillots moulent des bites et surtout les glands circoncis, pire qu'une deuxiÚme peau. Le nylon lùche des shorts de surf pointe en avant sous la pression interne.
J'apprends alors que c'est une premiĂšre que les deux " groupes " sortent ensemble. Dane et Tyler me dit que je suis leur point commun.
Je le sens bien quand en fin de touze, ils se servent de moi comme point focal d'un gang bang improvisé.
Sans parler que je ressente la mĂȘme chose que Ric lorsque je suis organisateur de ce genre de plan, j'apprĂ©cie le fait que je sois le mec qui les ai amenĂ© Ă se lĂącher pareillement.
Ils alternent dans ma rondelle et je prends plaisir à resserrer comme à détendre mon sphincter afin que chacun soit serré au plus confortable. Les deux blacks du groupe apprécient cette capacité alors que je laisse passer facilement leurs gros glands avant, d'une premiÚre fois les bloquer aussitÎt dans leurs progressions puis de les laisser m'enfiler jusqu'aux couilles et de les bloquer là à nouveau.
Ce sont aussi les mieux montĂ©s mĂȘme s'ils n'atteignent pas les dimensions de mes clients. Mais 23 et 23+ par un bon 6,5 c'est quand mĂȘme trĂšs efficace !! Les gĂ©missements que je n'arrive pas Ă retenir en font foi !!!
Le dernier à passer me fait juter les litres de sperme dont ses prédécesseurs avaient stimulé la production.
Quand je reçois les litres de sperme stockés dans leurs couilles, ça coule de part et d'autre sur le sable qui absorbe. Heureusement que nous sommes dans un coin isolé, car les mecs crient fort leurs plaisirs quand ils jutent.
Moi, je me serais pris ce coup là , mes 12 comparses et certains plus d'une fois, trop trop bon ça !
Le 13 novembre, cela fait une heure que je suis dans le bassin de plongeon quand Dane déboule et m'appelle avec de grands signes. Je plonge et quand j'émerge, il est sur le bord. Il me tire de l'eau, me serre dans ses bras et me dit qu'il y a eu des attentats à Paris et qu'il y a plusieurs centaines de mort.
AussitĂŽt je pense Ă mes amis Parisiens. Kev et Henri, Bogosse et sa MoitiĂ© et aussi Ă Alban plus tous les autres qui peuvent y ĂȘtre sans que je le sache d'oĂč je suis !
Le coach comprend que j'interrompe mon entrainement et me dit d'aller voir tout de suite si mes amis sont indemnes.
J'enfile mes vĂȘtements par-dessus mon maillot et courre jusqu'Ă ma chambre pour ouvrir mon ordinateur. Sur mon tĂ©lĂ©phone dĂ©jĂ 10 messages ! PH et Ludovic me rassurent Ă moitiĂ©. Ils ont dĂ©jĂ contactĂ© tous nos amis et ils sont tous sauf, mais il manque Ă l'appel Alban et Ric et Kev qui Ă©taient au Bataclan pour Ă©couter un concert de rock.
Sur Facebook, de nombreux films me montrent les horreurs qui se sont passée en France. Autour de la salle de spectacle on ne voit que les gyrophares qui percent la nuit.
J'appelle André. Sa voix est calme et posée bien qu'il sache déjà que son fils (Ric) n'est pas joignable. Il me remercie de ma sollicitude et me promet de m'appeler dÚs qu'il aura des nouvelles.
Henri est dans la mĂȘme situation. MalgrĂ© toutes ses connaissances, il n'arrive pas Ă savoir si Kev est sauf.
Il s'en suivra quelques heures d'angoisse le temps que la police donne l'assaut et qu'enfin, sur Facebook, Alban nous assure qu'ils sont vivants tous les trois mais Ă l'hĂŽpital oĂč Ric se fait extraire une balle de son bras gauche et Kev d'une dans un mollet.
Marc me contacte du Japon oĂč il est en dĂ©placement. Ăa le rassure que je ne sois pas seul. Il comprend quand je lui dis que je saute dans le premier avion.
Dane a pris les devants et de son cÎté a déjà retenu par internet deux allers pour Paris départ dans 3h ! Il ne veut pas me laisser voyager seul !
Tyler qui a appris la chose nous rejoint. Embrassade, geste de réconfort, il nous conduit à l'aéroport.
Dans l'avion impossible de dormir. Les hÎtesses et stewards trÚs gentils, ne savent comment nous rendre service. Je ne suis pas le seul français à rentrer en urgence !  A Roissy, alors que nous allons prendre un taxi, je vois Henri qui nous fait signe. Nous nous engouffrons dans sa voiture et filons sur Paris. Il nous donne les derniÚres nouvelles, mes deux amis vont bien et devraient sortir rapidement.
Nous filons directement vers la SalpĂȘtriĂšre. L'entrĂ©e est encore trĂšs encombrĂ©e mais grĂące Ă Henri nous passons rapidement les contrĂŽles et je retrouve Ric alors qu'Henri passe dans la chambre Ă cotĂ© retrouver Kev.
Séquence émotion !! Je le serre dans mes bras et le traite d'imbécile à nous avoir fait aussi peur. Il me dit que la derniÚre fois c'était moi qui leur avait foutu la trouille (cf. mon accident de moto). Dans la chambre, André et Alban sont là aussi. J'ai la surprise de voir Ludovic.
Embrassades, Alban m'explique que Ric s'est couché sur lui et c'est pour ça, qu'il a pris la balle qui aurait dû le toucher.
Ric rigole et dit que si la balle l'avait touché, lui, elle aurait fait beaucoup plus de dégùts vus l'épaisseur du mec.
Ludovic me dit qu'il est monté à Paris avec PH qui est dans la chambre d'à cÎté.
Je lui roule un patin grave et part voir Kev.
Je le trouve avec Henri et PH. Il est heureux de me voir. On se serre fort, on s'embrasse. Il me dit que ce n'Ă©tait pas la peine de revenir puisqu'ils vont bien.
Je me recule et le regarde avec sa jambe plùtrée. La balle qui lui a perforé le mollet lui a aussi cassé le tibia.
Il tape sur son plùtre et me dit que comme ça je ne serais plus le seul à avoir une broche dans la patte ! Puis il me demande qui est la personne qui m'accompagne.
Dane, en retrait, s'avance et se présente. Kev le déshabille du regard et siffle avant de me dire que j'ai toujours aussi bon goût.
J'ai la surprise de voir Dane rougir. C'est la premiÚre fois que je le vois intimidé !
Malgré mon envie de rester plus longtemps avec eux, il est déjà tard et ils sont fatigués. Henri nous conduit jusqu'à l'appartement de Kev en nous disant de nous y installer tous les 4 et qu'il nous attend chez lui dans une demi-heure pour le diner.
Arrivés dans le duplex, on se fait un gros gros cùlin avec bien sûr émissions de spermes.
Du coup on est un peu en retard chez Henri. Il ne nous en veut pas et nous dit que nous allons directement au restaurant. Pas de raison de changer nos habitudes !!!
Dane est ravi, il n'Ă©tait jamais venu en France et ne connais les grands restaurants que de nom.
Alors que nous sommes en sportwear, le fait que nous soyons avec Henri rĂšgle le problĂšme de l'entrĂ©e. La salle est loin d'ĂȘtre aussi remplie que d'habitude. Du coup les serveurs sont Ă nos petits soins ce qui impressionne encore plus notre amĂ©ricain.
Pendant le diner, nous ne pouvons nous empĂȘcher de parler des Ă©vĂšnements. Henri nous remercie encore d'ĂȘtre venus voir Kev. Je lui rappelle que son " fils " est quasiment un frĂšre pour moi quand Ă Ric c'est pareil. Il me dit que rien que pour cela, il me doit une reconnaissance Ă©ternelle. C'est vrai que c'est moi qui ai mis Kev dans son lit, mais aprĂšs c'est leur propre alchimie qui l'avait poussĂ© Ă l'adopter comme Emma l'avait fait avec moi.
Retour à l'appart. Le décalage horaire nous rattrape et je m'écroule tout comme Dane.
RĂ©veil, douche, comme d'habitude il n'y a rien Ă manger dans les placards de Kev !
On descend prendre un café croissant au bar du coin. La télé est branchée sur les chaines d'infos en continu et malgré le débit rapide des journalistes, Dane comprend avec les images.
Il nous dit que ça lui rappel l'ambiance de leur 11 septembre. Le patron qui entend ça nous offre les consommations. Faut dire qu'on est pas nombreux dans son bar ! A nous 4, on fait 50% de sa clientÚle !!
Retour Ă la SalpĂȘtriĂšre. Sans que le calme soit revenu, la partie oĂč mes amis sont soignĂ©s n'est plus dans l'effervescence de l'urgence. Avec mes trois acolytes, nous inondons de fleurs et de chocolats le service. Minces remerciements pour le dĂ©vouement avec lequel les Ă©quipes ont traitĂ© cet Ă©vĂšnement.
Nos deux blessĂ©s vont bien mĂȘme si pour Kev cela tient aussi au traitement analgĂ©sique. L'infirmiĂšre en chef nous annonce qu'ils vont pouvoir bientĂŽt sortir. Tout le monde est content !
Avec la complicitĂ© de mes amis, nous arrivons mĂȘme Ă soulager leur trop plein d'excitation. Rien ne vaut une bonne pipe prodiguĂ© par un mec un peu vorace !
Vu comme cela s'arrange pour eux, je rentre au blockhaus. Quand j'arrive l'immeuble qui colle Ă gauche est en travaux. Heureusement pour nous le bĂątiment ne fait que 2 Ă©tages mais sa façade est plus longue. Sa cour colle la mienne et du coup je regrette de pas l'avoir achetĂ© pour ĂȘtre tranquille. Faudra qu'on se renseigne sur le nouveau proprio.
En attendant je fais visiter Dane. Il trouve que nous avons bien tiré parti de ce vieil entrepÎt. Il kiffe totalement nos deux hommes de service et me dit qu'il ne s'attendait pas à ça.
Le diner est délicieux et Dane se régale de nos plats typiquement français.
Jardinier
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Je te promets de ne jamais lĂącher ta main. Si tu tombes, je tomberai avec toi⊠mais nous nous relĂšverons ensemble. Si nous trĂ©buchons, nous apprendrons Ă marcher plus fort, ensemble. Si le monde sâacharne contre nous, nous serons deux pour lâaffronter, unis comme toujours. Nous ne sommes peut-ĂȘtre pas parfaits, mais Ă deux, nous formons une force indestructible. Peu importe les tempĂȘtes, les doutes ou les Ă©preuves, je choisis de rester Ă tes cĂŽtĂ©s, aujourdâhui, demain, et jusquâĂ la fin. Parce quâensemble, rien nâest insurmontable.
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Le mariage
Le soleil se levait sur Jérusalem, illuminant les murs de la ville d'une lumiÚre dorée. Les rues, encore calmes, commençaient à s'animer alors que les habitants se préparaient pour une journée mémorable. Aujourd'hui, leur vaillant roi Baudouin, allait épouser Alix de Tripoli, la future comtesse de Tripoli, son amie d'enfance et son amour.
Dans le palais, Baudouin se tenait devant un miroir, ajustant sa tunique ornée. Il pouvait voir les marques sur son visage, souvenirs de son combat contre la lÚpre. La maladie avait finalement régressée, grùce au traitement de ses mires. Désormais, il était guéri, mais elle avait laissé ses marques. Malgré cela, il se sentait plus fort que jamais. Il pouvait enfin avoir du temps et surtout la femme qu'il aimait. Alix avait toujours été à ses cÎtés, et aujourd'hui, elle allait devenir sa reine.
Un lĂ©ger coup Ă la porte le fit sursauter. C'Ă©tait Alix, rayonnante dans sa robe de satin blanc, ses cheveux bruns tombant en cascade sur ses Ă©paules. Son sourire illuminait la piĂšce, et Baudouin sentit son cĆur s'emballer. « Es-tu prĂȘt ? » demanda-t-elle, sa voix douce et pleine d'amour.
« Je le suis, mais⊠» Il hésita, son regard se posant sur ses cicatrices. « Je crains que mes marques ne te fassent peur. »
Alix s'approcha, prenant son visage entre ses mains. « Ne dis pas cela, Baudouin. Chaque cicatrice raconte une histoire, et elles font partie de toi. Je t'aime pour l'homme que tu es, pas pour l'apparence que tu as. »
Il sentit une chaleur envahir son cĆur. « Tu es la seule qui puisse voir au-delĂ de mes blessures. »
« Et je le ferai toujours, » répondit-elle avec conviction. « Aujourd'hui, nous célébrons notre amour, et rien ne pourra l'éteindre. Je veux que tu saches que je te veux pour l'éternité. »
Les mots résonnÚrent en lui comme une douce mélodie. « Alix, je t'adore. Tu es ma lumiÚre dans l'obscurité. »
Ils quittĂšrent la chambre ensemble, main dans la main, se dirigeant vers la grande salle oĂč les invitĂ©s les attendaient. Les nobles de tout le royaume, amis et membres de la famille, Ă©taient rĂ©unis pour cĂ©lĂ©brer cette union tant attendue.
La cĂ©rĂ©monie dĂ©buta, et Baudouin se tenait devant l'autel, le cĆur battant. Alix s'avança vers lui, et Ă chaque pas, il pouvait sentir l'amour et le soutien qu'elle lui offrait. Lorsqu'elle se tenait Ă ses cĂŽtĂ©s, il se sentait invincible.
Le prĂȘtre prononça les mots sacrĂ©s, et Baudouin prit la main d'Alix dans la sienne. « Je te promets de t'aimer et de te protĂ©ger, peu importe les dĂ©fis que nous devrons affronter. »
« Et moi, je te promets de rester à tes cÎtés, de te soutenir et de t'aimer, peu importe les cicatrices que la vie nous infligera, » répondit Alix, les yeux brillants de larmes de joie.
Lorsque le prĂȘtre dĂ©clara qu'ils Ă©taient dĂ©sormais mari et femme, une vague d'applaudissements et de cris de joie s'Ă©leva dans la salle. Baudouin et Alix Ă©changĂšrent un regard complice, un sourire partagĂ© qui disait tout. Ils savaient que leur amour Ă©tait plus fort que les Ă©preuves passĂ©es et que leur avenir ensemble serait lumineux.
La fĂȘte qui suivit fut remplie de rires, de musique et de danses. Baudouin, bien que conscient des regards curieux sur ses cicatrices, se sentait libre et heureux. Alix dansait Ă ses cĂŽtĂ©s, sa prĂ©sence lui apportant une force qu'il n'avait jamais connue auparavant.
Alors qu'ils s'éloignaient un moment pour profiter d'un instant de calme sur le balcon du palais, Baudouin prit Alix dans ses bras. « Je n'aurais jamais cru que ce jour arriverait, » murmura-t-il.
« Et pourtant, il est là , » répondit-elle en souriant. « Nous avons surmonté tant d'obstacles, et maintenant, nous avons tout un avenir à construire ensemble. »
Baudouin la regarda, son cĆur dĂ©bordant d'amour. « Avec toi Ă mes cĂŽtĂ©s, je me sens prĂȘt Ă affronter le monde. »
« Ensemble, nous sommes invincibles, » affirma Alix, scellant sa promesse par un doux baiser.
#baldwin iv#baudouin iv#fanfic#king baldwin#leper king#king baldwin iv#Roi Baudouin IV#baldwin iv x oc
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Xena, la GuerriĂšre : Un Symbole de Force et de RĂ©silience FĂ©minine
Xena, la GuerriĂšre : Un Symbole de Force et de RĂ©silience FĂ©minine
Xena, la GuerriĂšre, personnage iconique de la tĂ©lĂ©vision des annĂ©es 90, incarne une figure puissante et emblĂ©matique de lâautonomie fĂ©minine, du courage et de la rĂ©demption.
Une guerriĂšre complexe et imparfaite
Xena est une hĂ©roĂŻne complexe et pleine de contradictions. Elle porte en elle un passĂ© sombre, marquĂ©e par la violence et les erreurs. Pourtant, son dĂ©sir de rĂ©demption et sa quĂȘte pour se racheter illustrent une rĂ©alitĂ© essentielle : nous ne sommes pas dĂ©finis par nos erreurs passĂ©es, mais par notre capacitĂ© Ă les surmonter. Xena incarne une force de caractĂšre rare, une volontĂ© dâaffronter ses dĂ©mons intĂ©rieurs tout en protĂ©geant les innocents, montrant ainsi qu'il est possible de devenir une meilleure version de soi-mĂȘme.
Une Vie MarquĂ©e par les Ăpreuves
La vie de Xena est marquĂ©e par des Ă©preuves et des sacrifices. Elle a perdu des ĂȘtres chers, a Ă©tĂ© trahie et a dĂ» faire face Ă des choix difficiles. Cependant, elle ne se laisse jamais abattre et continue de se battre pour ce en quoi elle croit.
Le symbole de la puissance féminine
Xena n'est pas seulement une combattante, elle est un symbole vivant de la force fĂ©minine. Ă travers ses combats, elle dĂ©montre que la force physique et mentale ne sont pas rĂ©servĂ©es quâaux hommes. Son agilitĂ©, son intelligence tactique et sa capacitĂ© Ă se relever aprĂšs chaque coup reflĂštent la tĂ©nacitĂ© dont les femmes font preuve dans leur propre vie.
Liberté et indépendance
Ce qui distingue Xena, câest aussi son indĂ©pendance farouche. Elle vit selon ses propres rĂšgles, sa libertĂ© de choix, qu'il s'agisse de ses alliances ou de ses relations. Xena est une femme qui ne dĂ©pend de personne pour dĂ©finir qui elle est.
La relation avec Gabrielle : amitié, amour et sororité
Un autre aspect fondamental de Xena est sa relation avec Gabrielle. Plus quâune simple amitiĂ©, leur lien est un des cĆurs Ă©motionnels de la sĂ©rie. Ce qui dĂ©marre comme une amitiĂ© Ă©volue en une relation plus intime. Il y a, au fil de la sĂ©rie, un sous-entendu romantique entre Xena et Gabrielle qui a offert aux spectateurs une reprĂ©sentation rare et prĂ©cieuse de l'amour entre deux femmes Ă cette Ă©poque. Bien que la sĂ©rie n'ait jamais explicitement confirmĂ© leur relation romantique, les nombreuses scĂšnes intimes et les moments de tendresse entre les deux personnages ont laissĂ© peu de doute.
Leur relation montre une profonde sororitĂ© et un respect mutuel. Gabrielle, souvent considĂ©rĂ©e comme la boussole morale de Xena, est le reflet de lâamour inconditionnel, un amour qui aide Xena Ă se rĂ©concilier avec son passĂ©. Ensemble, elles symbolisent lâimportance de se soutenir mutuellement dans les moments les plus difficiles et de pouvoir compter sur quelquâun sans crainte de jugement. Elles se renforcent lâune lâautre, prouvant que l'amour, sous toutes ses formes, est une force transformatrice.
Un modĂšle intemporel pour les femmes
Xena est une icĂŽne fĂ©ministe qui continue dâinspirer aujourdâhui. Ă une Ă©poque oĂč les femmes Ă©taient souvent cantonnĂ©es Ă des rĂŽles secondaires ou stĂ©rĂ©otypĂ©s Ă lâĂ©cran, elle a brisĂ© les codes en incarnant Ă la fois une guerriĂšre impitoyable et une femme capable de tendresse, de vulnĂ©rabilitĂ© et dâamour. Elle a montrĂ© que lâon peut ĂȘtre forte et imparfaite, courageuse et effrayĂ©e, aimante et farouchement indĂ©pendante.
Son caractÚre complexe, ses combats pour la justice, sa vie marquée par des épreuves et sa profonde amitié avec Gabrielle en font une figure inspirante pour les femmes.
Xena restera toujours un symbole de libertĂ©, de force et de rĂ©silience, une source dâinspiration pour celles qui veulent mener leurs propres combats et tracer leur propre chemin dans la vie.
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Falco - Jeanny (Video)
youtube
Jeanny, allez
LÚve-toi, s'il te plaßt, tu es mouillé
Il est tard, allez
OĂč est ta chaussure ? Tu l'as perdu
Quand j'ai dĂ» te montrer le chemin
Qui a perdu ? Toi toi-mĂȘme?
Moi moi-mĂȘme ? Ou, ou nous ?
Jeannie
Jeannie
Il fait froid, il faut sortir d'ici, allez
Ton rouge à lÚvres est taché
Tu l'as acheté et je l'ai vu
Trop de rouge sur tes lĂšvres et tu as dit
"Ne me lance pas"
Mais tu as été vu à travers, les yeux parlent plus fort que les mots
Tu as besoin de moi, hein ?
Tout le monde sait que nous sommes ensemble Ă partir d'aujourd'hui
Maintenant je les entends, ils arrivent
Ils viennent te chercher
Ils ne te trouveront pas
Personne ne te trouvera, tu es avec moi
Jeanny, arrĂȘte de vivre de rĂȘves
Jeanny (tu es avec moi)
Jeanny, la vie n'est pas ce qu'elle paraĂźt
Ces derniers mois, le nombre de personnes disparues a considérablement augmenté
Le dernier communiqué de la police locale fait état d'un autre cas tragique
Il s'agit d'une jeune fille de dix-neuf ans qui a été vue pour la derniÚre fois il y a quinze jours.
La police n'exclut pas la possibilité qu'il s'agisse d'un crime
Jeanny, arrĂȘte de vivre de rĂȘves
Jeanny, la vie n'est pas ce qu'elle paraĂźt
Jeanny, il y a quelqu'un (Jeanny) qui a besoin de toi
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Nous sommes en 1990 Ă Baltimore, Maryland. Un jour, l'enseignante de la maternelle appelle d'urgence Maman Debbie. "Michael ne peut pas s'asseoir, il n'est jamais silencieux, il ne peut pas se concentrer", explique le professeur. "Peut-ĂȘtre qu'il s'ennuie juste", rĂ©pond Debbie. "Impossible. DĂ©missionnez-vous, votre fils n'est tout simplement pas douĂ©, il ne pourra jamais se concentrer sur quoi que ce soit", explique la femme sans appel.
Le garçon en question, que Michael, dont le nom de famille est Phelps, a 5 ans, il a grandi sans pĂšre dans une famille entiĂšrement fĂ©minine, avec sa mĂšre et ses deux sĆurs, et jusqu'alors il n'a presque jamais mis les pieds dans une piscine. Lorsqu'il le fait pour la premiĂšre fois, il est tellement terrifiĂ© de se mouiller le visage que l'instructeur est obligĂ© de lui apprendre le dos. Michael a un talent innĂ© mais discontinu. Ce n'est pas mieux Ă l'Ă©cole. Tous ses professeurs rĂ©pĂštent toujours les mĂȘmes choses Ă Debbie: "Il ne peut se concentrer sur aucune tĂąche", "il n'est pas adaptĂ© Ă telle ou telle matiĂšre", "agace le camarade de classe". Debbie dĂ©cide alors de le soumettre Ă une visite spĂ©cialisĂ©e. Le diagnostic est clair: TDAH ou DDAI, mieux connu sous le nom de trouble dĂ©ficitaire de l'attention / hyperactivitĂ©.
Mais Debbie, en plus d'ĂȘtre maman, est Ă©galement enseignante et directrice. Et il se met dans la tĂȘte pour prouver que tout le monde a tort. "Je savais que si j'avais travaillĂ© dur avec Michael, il aurait pu atteindre tous les objectifs qu'il s'Ă©tait fixĂ©s." Elle travaille en Ă©troite collaboration avec les professeurs de Michael et chaque fois que l'un d'eux dit "il ne peut pas faire ça", elle rĂ©pond: "Eh bien, que pouvons-nous faire pour l'aider?" Face Ă ses difficultĂ©s mathĂ©matiques, trouver un tuteur et une mĂ©thode qui suscite l'intĂ©rĂȘt de Michael, avec des problĂšmes de ce type: "Combien de temps vous faut-il pour nager 500 mĂštres si vous nagez Ă une vitesse de 3 mĂštres par seconde?".
Transformez les limites de votre enfant en opportunités. Chaque fois qu'il a une explosion de colÚre ou de frustration dans la piscine, elle lui donne un signal conventionnel en forme de C depuis les tribunes qui, dans leur langage privé, signifie "se remettre ensemble".
Michael s'amĂ©liore Ă l'Ă©cole, alors que dans le rĂ©servoir, il est dĂ©jĂ un petit requin: Ă 11 ans, il est plus fort et plus rapide que tous ses pairs qui ont dĂ©jĂ nagĂ© aux Ătats-Unis. Debbie est ensuite convoquĂ©e pour la deuxiĂšme interview la plus importante de la vie de Michael. Cette fois, elle n'est pas une enseignante de maternelle mais son entraĂźneur, Bob Bowman. Nous sommes en mai 1996.
"Madame, maintenant je vais vous dire ce qui va se passer," commença-t-il. "En 2000, Michael participera aux essais olympiques. Je ne sais pas s'il gagnera l'appel, mais on en parlera sûrement. Et en 2004, il sera sans aucun doute un athlÚte qui gagnera des médailles olympiques. Et nous ne serons qu'au début."
Bob avait tort. En 2000, à Sydney, non seulement Michael se qualifierait au 200m papillon, mais il atteindrait la finale, terminant à la cinquiÚme place, touchant le podium et une médaille. Il avait 15 ans. à partir de ce jour, pour les 16 prochaines années, Phelps remportera 83 médailles, dont 66 d'or, 28 olympiques, 33 championnats du monde, dans huit disciplines différentes, devenant, en 2008 à Pékin, l'athlÚte avec le plus d'or (huit) en une édition de l'histoire des Jeux et, en affichant, le nageur le plus titré de tous les temps, en plus de l'un des sportifs les plus forts de tous les sports ou de toutes les époques.
Ce champion incomparable et icĂŽne planĂ©taire Ă©tait un enfant ayant un dĂ©ficit d'attention diagnostiquĂ©, comme des dizaines de millions d'autres enfants comme lui dans le monde. Avec la seule chance d'avoir une femme et un professionnel Ă ses cĂŽtĂ©s qui ne l'ont jamais jugĂ© ou justifiĂ©, mais l'ont poussĂ© Ă faire ressortir son talent lĂ oĂč les autres ne voyaient que des troubles, de l'inattention et de l'hyperactivitĂ©. Elle aurait pu se rĂ©signer, comme son premier professeur de maternelle l'avait conseillĂ©. Au lieu de cela, Debbie a dĂ©cidĂ© de faire quelque chose de bien plus long et de plus fatigant: croire en son fils.
Peut-ĂȘtre qu'aucun de ces millions d'enfants ne deviendra jamais Michael Phelps, mais derriĂšre la stigmatisation d'un diagnostic et d'un jugement incontestable, il y a des gens avec des talents et des capacitĂ©s extraordinaires dans n'importe quel domaine ou profession. Parfois, ce qui manque, c'est seulement quelqu'un qui veut les voir et les reconnaĂźtre. Tout comme maman Debbie.
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Je suis en retard mais la motivation de faire quelque chose cette année pour la journée internationale de la visibilité des personnes transgenre.
Soyez vous-mĂȘme, ensemble nous sommes plus forts !
#art#furry#artist#artists on tumblr#anthro#tdov#tdov 2024#trans day of visibility#demigirl#trans#transgender
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Uta no prince-sama Music 2 - Episode 30 - English translation / Traduction française
*Me wondering why I translated an ep from Ren* *Launches the video* Okay that was why, and I'm doing a check with headphones on. *Moi me demandant pourquoi j'ai trad un ep de Ren* *Lance la video* Ahhh c'était pour ça, c'est mort je vérifie pas ça avec mon son à donf.
Translation under the cut~
Video
English translation
NnâŠâŠhha Here, my lady always hides her face when we kiss You hate looking at me that much ? Of course you're lovely when you're embarassed It's weird. Even if we shared so many moments like this, I never get tired of them Even if we kissed countless times, whispered to each other our love, it's not enough Not to mention the fact that our kisses get gradually sweeterâŠâŠ, and melt into ecstasy I want more and more. I can't now live without you I'm completely addicted, and obsessed with you I can feel my lady so close to me that we could become oneâŠâŠ I want to hug you even tighter I want to give you so much love that you'll drown in my love ButâŠâŠI'll always be the first one to drown in yours You seem surprised. I haven't shown you my real self yet Hey, close your eyesâŠâŠ and feel me
Traduction française
NnâŠâŠhha Tiens, ma lady cache toujours son visage quand on s'embrasse Tu dĂ©testes mon visage Ă ce point ? Bien sĂ»r que ton visage embarrassĂ© est adorable C'est Ă©trange. MĂȘme si on a passĂ© tant de moments ensemble, semblables Ă celui-ci, je ne m'en lasse jamais MĂȘme si nous nous sommes embrassĂ©s tant de fois, chuchotĂ©s tant de fois notre amour, ce n'est toujours pas assez Et nos baisers deviennent de plus en plus sucrĂ©sâŠâŠ, fondant en passion brĂ»lante J'en veux toujours plus. Je ne peux vivre sans toi Je suis dĂ©pendant, je ne peux me passer de toi Je sens ma lady si proche de moi que nous pourrons ne former qu'un Je veux t'enlacer encore plus fort Je veux te donner tant d'amour que tu t'y noierais dedans CependantâŠâŠJe serai toujours le premier Ă me noyer dans le tien Tu as l'air surprise. Je ne t'ai pas encore rĂ©vĂ©lĂ© le vrai moi Allez, ferme les yeuxâŠâŠ et ressens moi
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Voila...100 eme photo de mon blog... j'ai voulu illustrer ma famille... je parle aussi aux noms de ceux qui ne sont pas sur la photo... il y a quelques temps j'ai rencontrĂ© des amis et je me suis rendue compte que ce n'Ă©tait pas des amis mais une famille... vous tous la sur cette photo... vous m'avez accueillie comme l'un des vĂŽtres et j'ai trouvĂ© un homme formidable qui a su m'accepter avec mes qualitĂ©s mais surtout aussi mes dĂ©fauts... je suis devenue aussi maman pour la deuxiĂšme fois... et devenue a la fois fille , petite fille, belle soeur , niĂšce... tante... schtroumfette et mĂȘme pisseuse... mdrrrrrrrrrrrrrrrrrr... de plus je n'ai jamais ressenti une telle amitiĂ© et une telle force de rapprochement dans d'autres familles imvu... pour cela vous ĂȘtes uniques au monde... il est vrai que des fois nous nous disputons... comme dans toutes les familles mais une fois que l'orage qui passe est calmĂ©... nous sommes plus unis que jamais... nous avons nos joies comme nos peines... nos rires comme nos larmes... nos avis en commun et nos avis contraires... nos caractĂšres de bonnes personnes et nos caractĂšres de tĂȘtes de boches... tout ce qui fait une famille soudĂ©e... je voulais rendre hommage Ă cette famille avec la 100 eme photo... encore mille fois merci pour tout ce que vous vous apportez les uns et les autres... continuons tous ensemble a nous aimer... nous aider... kiss mes amours je vous aime fort
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Quand le Ciel Nous Parle : La Conjonction Lune-VĂ©nus
đ "Dans le silence de la nuit, le ciel sâanime et nous offre un message dâamour, dâharmonie et de connexion."
En ce moment, le soir, la Lune et VĂ©nus se rencontrent dans une danse cĂ©leste, illuminant nos Ăąmes d'une Ă©nergie douce et apaisante. Ce phĂ©nomĂšne, visible Ă l'Ćil nu, ne se contente pas d'ĂȘtre un spectacle pour les amateurs d'astronomie. Il porte Ă©galement une symbolique forte, un rappel que l'univers agit comme un miroir de nos Ă©motions collectives.
âš La Lune, gardienne de nos Ă©motions et de nos instincts, se lie Ă VĂ©nus, dĂ©esse de lâamour, de la beautĂ© et des valeurs. Ensemble, elles nous invitent Ă nous recentrer sur ce qui compte rĂ©ellement : lâamour sous toutes ses formes, la connexion avec les autres, et la recherche de lâharmonie dans nos vies.
đ Au niveau collectif, cette conjonction peut ĂȘtre perçue comme un appel Ă plus de douceur dans nos relations, un moment propice pour guĂ©rir nos blessures Ă©motionnelles et cultiver des valeurs universelles comme la paix et la compassion.
đĄ Que faire en ce moment ?
Prenez le temps de méditer ou de contempler la beauté du ciel.
Ăcrivez vos ressentis ou exprimez votre gratitude pour les relations importantes dans votre vie.
Engagez-vous dans des actions qui apportent amour et harmonie, Ă vous-mĂȘme ou aux autres.
La conjonction Lune-VĂ©nus est une invitation subtile Ă voir au-delĂ de l'ordinaire. Le ciel nous rappelle que nous sommes tous interconnectĂ©s, que ce soit par les Ă©toiles ou par nos cĆurs.
« Regarder les Ă©toiles, câest dĂ©jĂ commencer Ă se reconnecter Ă lâinfini. »
Et vous, que ressentez-vous en contemplant ce ballet cĂ©leste ? đ
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About R. đȘ·
Il y a des annĂ©es, Ă l'univ, j'ai rencontrĂ© une fille. J'Ă©tais Ă une soirĂ©e techno avec mon pote le russe. Dans mes souvenirs, c'est elle qui est venue me parler en premier mais il est possible que ma mĂ©moire me joue des tours. Elle Ă©tait si belle (ma main a coupĂ© qu'elle l'est toujours d'ailleurs)... On Ă©tait toutes les deux fascinĂ©e par la beautĂ© de l'autre. Elle est beaucoup plus petite que moi, plus jeune aussi. Elle ressemble Ă une sirĂšne mystĂ©rieuse et Ă©sotĂ©rique (xD). Ă l'Ă©poque, elle avait de longs cheveux bouclĂ©s et elle Ă©tait toute mince, extrĂȘmement mince... Une beautĂ© vraiment spĂ©ciale, douce. On s'est donc rencontrĂ© Ă cette soirĂ©e. Elle me suivait partout haha, je m'en souviens.
On s'est revu par la suite. Elle m'a trĂšs rapidement fait comprendre que je lui plaisais. On allait se promener dans les parcs et on parlait pendant des heures... Je ne l'ai jamais vu beaucoup manger. Le truc c'est que, Ă l'Ă©poque, j'Ă©tais mĂ©ga messy, oh boii. How messy I was. Je jouais beaucoup trop avec les sentiments des autres, bien que je ne le faisais pas exprĂšs. J'avais dĂ©jĂ des soucis d'addiction et je menais une double vie Ă du 3000%. Et puis, j'Ă©tais trop obssessed avec de bĂȘtes mecs qui s'en foutaient royalement de moi (humm...) et on a donc fini par perdre contact lorsqu'elle est partie vivre dans une autre ville.
Puis, un jour, on s'est recontactĂ©, environ 2-3 ans plus tard. J'Ă©tais mĂ©ga contente. Il faut savoir que R. me confrontait dans ma sexualitĂ©, alors que je n'Ă©tais pas encore prĂȘte Ă me poser certaines questions ou plutĂŽt Ă faire lumiĂšre sur mon attirance assez Ă©vidente envers les femmes.. Encore aujourd'hui, ça me dĂ©range et je rĂ©pĂšte Ă qui veut l'entendre "s'il y a bien une chose sĂ»re Ă propos de moi c'est que je suis hetero" (xD). R. a pris la route pendant des heures pour venir me voir. Je l'ai accueillie chez moi, super, sauf que .... je sortais avec un mec et on habitait ensemble (#looseuse ^^) mais R. a quand mĂȘme dĂ©cidĂ© de rester le week-end. Lorsque je lui ai dit (ou devrais-je dire avouĂ©) que j'Ă©tais avec ce gars et donc hetero, elle a juste rĂ©agi en mode
Mes potes Ă©taient tous mĂ©ga intimidĂ© par R. Haha. Elle ne se laissait jamais toucher par un mec. Le plus qu'elle pouvait faire Ă©tait de leur serrer la main. Je souris en Ă©crivant ces lignes. Ă la fin du weekend, je l'ai raccompagnĂ© Ă sa voiture et nous nous sommes embrassĂ©. J'Ă©tais tellement mais tellement maladroite... On est restĂ© en contact tout un temps mais communiquer par tĂ©lĂ©phone n'a jamais, ĂŽ grand jamais, Ă©tĂ© mon fort et nous avons donc fini par reperdre contact. Ca doit bien faire 5 ans facile qu'on ne s'est plus vue ni mĂȘme parler. J'ai perdu son numĂ©ro.
J'ai pensĂ© Ă elle, il y a quelques jours Ă peine. Fort. Elle est apparue dans ma tĂȘte et je me suis dit un truc du style "Si jamais je pouvais ravoir une chance avec cette fille, je ferai les choses diffĂ©remment..." et devinez quoi... ce matin, mon pĂšre m'appelle pour me dire qu'il a reçu un message d'un numĂ©ro allemand sur son tĂ©lĂ©phone qui demande aprĂšs moi. C'est dingue... CoĂŻncidence ? J'en doute fortement. Elle a donc repris contact avec moi. Cela signifie qu'elle pense toujours Ă moi aprĂšs toutes ces annĂ©es, et cela, malgrĂ© mes maladresses et ma personnalitĂ© totalement messy (aka cluster b personnality disorder hihi mais jsuis quand mĂȘme fort attachante et kiki) et voilaaaaa. Elle part Ă NYC aujourd'hui. On va sĂ»rement s'appeller demain ou lundi. Je me rĂ©jouis trop de la revoir et de l'avoir contre moi. C'est cool
#R.#The question is who am I and what do I want#Can I be more than one thing.. more than one person.. can I love multiple person?#Kelthoumrambles#đ©·đ·#Love is in the air
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saga: Soumission & Domination 363
L'effervescence rÚgne à la villa. On se prépare pour la soirée. Epilation toute fraiche, massage respectifs de nos corps avec un hydratant qui nous laisse la peau soyeuse, rasage pour ceux qui en ont besoin, bref on se fait tous beaux.
Marc et HervĂ© nous regardent d'un oeil goguenard. Jusqu'Ă ce qu'on s'occupe de leurs cas !  SĂ©parĂ©s en deux groupes, nous leur sautons dessus et les immobilisons. LĂ , ils ont droit Ă la mĂȘme prĂ©paration que nous, pipe en plus (histoire de se faire pardonner). Au sortir du mĂȘme rĂ©gime, ils nous paraissent encore plus canon nos deux quadras. C'est tout juste s'ils font la 30aine dĂ©passĂ©e.
Le plus dur, les vĂȘtements. Paco qui connait bien la boite nous dit que nous serons en maillot de bain trĂšs vite surtout avec nos physiques de bogosses.
A lui aussi je demande de se prĂ©parer car y'a pas de raison qu'il ne nous accompagne pas lui aussi. Dans un premier temps il refuse, argumente qu'il aura plein de rangements Ă faire aprĂšs le diner. J'envoie Jesus lui faire des yeux de chat malheureux pour avoir son acceptation. Donc retour au choix des maillots. Pour moi ce sera un Aussiebum un " Lowrider Flower Power ". L'Ă©lasthanne prĂ©sent Ă©pouse bien la forme de mon paquet et il est trĂšs " court " sur les fesses ! PH et Ludovic optent pour  un ES " Barcelona marin " rouge pour l'un et bleu pour l'autre. Ernesto se prend un Addicted de la derniĂšre collection un " sport sailor " pour ĂȘtre en accord avec mes deux autres amours, auquel il a enlevĂ© le mĂ©canisme pack up, ses 24x6 mĂȘme au repos restent trĂšs " visibles " ! La triplette opte pour le mĂȘme maillot Aussiebum le " League 15 " blanc. Les autres s'Ă©quipent aussi " cute ", mĂȘme nos deux ainĂ©s qui enfilent un boxer.
Un jeans plus un marcel et nous descendons Ă pied. La station est plein de beaux mecs. Notre groupe se fait siffler plus d'une fois avant que nous arrivions Ă la boite. A la porte un des mecs qui nous avaient " racolĂ©s " sur la plage est au tri ! Il nous repĂšre mĂȘme si nous sommes plus nombreux. Il nous laisse entrer et fait un signe de tĂȘte Ă Paco quand ce dernier passe devant lui. Il me dira plus tard (le mec de la boite) que Paco Ă©tait assez connu sur la place ! Nous laissons tomber trĂšs vite les t-shirt et torses nus, nous nous jetons dans la foule de mec en train de danser. La musique est forte, l'ambiance chaude. Je mate autour de moi. En dehors de la " villa ", il n'y a que du beau mec ! Physiquement pas plus de 30ans musclĂ©s bronzĂ©, avec ou sans barbe mais tous baisables !! Les pantalons tombent des fesses mĂȘme s'ils n'en cachaient pas grand-chose dĂ©jĂ . Les maillots sont pleins et certains ont du mal Ă tout retenir de ce que leurs propriĂ©taires veulent cacher. Nos deux ibĂšres sont dans cet Ă©tat. Moi je me retiens encore malgrĂ© les nombreuses mains sur mes fesses qui essayent de baisser mon jeans ! Ludovic et Enguerrand sont quand mĂȘme les plus canons et eux aussi sont collĂ©s et apprĂ©ciĂ©s Ă leurs justes valeurs. Ernesto comme PH et nos deux ainĂ©s surveillent notre triplette. Pas question que leur " fraĂźcheur" ne soit exploitĂ©e.
Paco vient me voir alors que je suis en " surveillance " de mon petit monde pour me prĂ©venir qu'il a fait ce qu'il fallait pour que nos jeunes soient en sĂ©curitĂ©. Comme je ne comprends pas, il me dit qu'il a fait passer le mot aux mecs de la sĂ©curitĂ© pour qu'ils ne leur arrivent rien de fĂącheux. Il me dĂ©signe discrĂštement les types. A part les " officiels " reconnaissable, il m'en montre une demi-douzaine d'autre qu'on aurait pu prendre pour des usagers. Un qui me voit en train de parler avec Paco me fait un signe de tĂȘte.
Du coup je me lĂąche. Je rentre dans la mĂȘlĂ©e joue des coudes pour m'installer et danse. Mes amours me rejoignent et dans l'ambiance nous n'hĂ©sitons pas Ă nous rouler des pelles. Quand je jette un coup d'oeil panoramique, je vois Marc coller un petit mec mimi tout comme HervĂ©. Les petits sont toujours ensemble et s'Ă©clatent Ă l'autre bout de la piste. Alors que je vais pour repartir dans mon trip, j'aperçois un des " sĂ©curitĂ©s " en civil (cĂ d en maillot de bain) choper un mec plus ĂągĂ© qui collait un peu trop nos jeunes et le dĂ©gager.
En attendant moi je me fais draguer par un mec qu'on croirait sorti d'un film de BelAmi type Kris Evans. Grand, gueule carrĂ©e, musclĂ©, imberbe avec un maillot dĂ©formĂ© par un paquet volumineux et pesant. Tentant non ?! Ben oui, je suis humain et je me laisse tenter. Ernesto me voit partir avec le mec vers des fauteuils. Il tombe dessus et m'entraine avec lui. J'essaye de me retenir mais je glisse et lui tombe tout cru dans les bras. Pelle ! Langue encore fraĂźche, impĂ©rieuse dans sa façon de vouloir enrouler la mienne. Je ne me laisse pas faire, on est du mĂȘme gabarit ! Mes mains palpent ses pecs qu'il contracte. Belles masses aux gros tĂ©tons sensibles. Comme je suis couchĂ© sur lui, mes abdos m'annoncent son Ă©rection et l'amplitude de cette derniĂšre. A vue de " peau ", il doit faire dans les 21/22 bien larges au moins 6 ! Tout ce que j'aime chez un type avec qui baiser !! Mais c'est encore un peu tĂŽt. On retourne sur la piste et nous dansons collĂ©s, trĂšs collĂ©s. De nos bouches grandes ouvertes afin de pouvoir gouter la langue de l'autre jusqu'Ă nos cuisses, on n'aurait pas pu glisser entre nous une feuille de papier Ă cigarette !! Caliente !! Il connait bien la boite et nous isole dans un recoin. Nos bites en profitent pour sortir de leurs Ă©crins et c'est lui le premier Ă s'accroupir pour me la bouffer. Il devait ĂȘtre affamĂ©, quoi qu'avec son physique je ne vois pas comment ça se pourrait, car il me l'avale jusqu'aux couilles. Il me donne l'effet d'un mort de faim tellement il met de l'entrain Ă me bouffer la queue. Mon gland ne sort de sa gorge que pour les respirations que je trouve trĂšs espacĂ©es ! Mes mains se posent naturellement sur ses Ă©paules et massent ses trapĂšzes balĂšzes et descendent titiller ses tĂ©tons sĂ»rement travaillĂ© vu leurs tailles. En pinçant les deux " boutons ", je le tire vers le haut et on repart en pelle juste le temps que j'attrape sa bite et ses couilles. A la base ma main ne fait que la moitiĂ© du tour ! Et j'ai beau serrer, je ne progresse pas vu la raideur de l'engin.
A mon tour de lui gober le gland. Je lui dĂ©montre qu'il n'est pas le seul Ă savoir faire des gorges profondes !! Ă'est lui qui me redresse avec la mĂȘme technique que moi. On se roule des pelles pendant que nos deux bites s'apprivoisent.
Nous sommes interrompus par l'arrivée d'Enguerrand. Il me parait tout chafouin !
Sans trop me décoller de ma trouvaille, (faudrait pas qu'il prenne la tangente), je lui demande ce qui se passe. Il me dit qu'ils sont tellement surveillés qu'ils vont rentrer bredouille de la soirée.
Je ne rĂ©flĂ©chis pas, je le glisse entre nous deux, dos contre mon torse. Il ne s'y trompe pas et entreprend ma " conquĂȘte ".
L'autre se laisse faire. Le roulage de pelle qu'ils se font ne le fait pas dĂ©bander et je descends avec son short le maillot d'Enguerrand qui commençait Ă ĂȘtre trop petit.
Je glisse sur le cÎté et nous pouvons nous lécher le museau à trois. Je garde une main sur le cul d'Enguerrand afin de prévenir toute velléité d'envahissement sauvage, l'autre est occupée à tester la rondelle de l'indigÚne.
Pas de réticence à la progression de mes doigts de fée vers puis dans le cul de mon " BelAmi ". De l'autre cÎté, je sens sa main rejoindre la mienne et me demander le passage. Je vérifie que c'est bien la sienne avant de le laisser passer.
Le doigt qu'il enfile dans mon petit beau-frĂšre fait bander encore plus fort ce dernier.
On est bien chauds. J'attrape 2 kpotes dans mon jeans et en tends une Ă l'inconnu. J'enfile l'autre.
Debout, Enguerrand plaquĂ© contre le mur se prend les 21x6 dĂ»ment recouverts alors que j'enfile ma bite dans son enculeur. Trop bon ! Je suis hyper serrĂ© et le mec en rajoute en comprimant sa rondelle. Je vois qu'Enguerrand aussi prend du plaisir. La joue Ă©crasĂ©e contre le mur, les yeux fermĂ©s, il halĂšte sous le labourage en rĂšgle de son intimitĂ©. Je m'accroche Ă ses Ă©paules et bascule mon bassin violemment en avant pour prendre et lui faire prendre son pied. C'est chose faite 10mn plus tard. Lui mordant l'Ă©paule pour Ă©viter que je hurle, je rempli ma kpote dans un dernier coup de rein qui l'Ă©crase sur Enguerrand. Aux spasmes qui agitent sa rondelle je conclu qu'il fait de mĂȘme bien au fond du trou d'Enguerrand. Je rĂ©cupĂšre au creux de ma main le sperme de ce dernier pour qu'il ne marque pas son territoire avec ses gĂšnes. Sans que je lui dise, il vient lĂ©cher sa production pour me nettoyer les doigts.
Notre inconnu le regarde puis me remercie d'avoir partagé ma " salope " avec lui. Quand je lui dis que c'est mon " Ermanastro ", il s'interloque avant d'éclater de rire et de me dire que j'avais trouvé la famille idéale. Il comprend d'autant mieux que Ludovic nous a, à ce moment-là , retrouvé.
Il ne s'Ă©loigne pas alors que je me fais gentiment remonter les bretelles par Ludo qui me dit, en reluquant l'ibĂšre de la tĂȘte aux pieds, que je ne pense qu'Ă moi.
Je me défends que j'aie partagé avec Enguerrand. La confirmation de ce dernier me sauve quelques instants. On se réajuste et j'entraine mes deux partenaires sexuels et mon mec vers le bar nous rafraichir.
Malgré la musique, on en apprend un peu plus sur le mec. Il se nomme Felipe, il est madrilÚne et en congés. Avec une demi-douzaine de potes, ils ont loués une villa un peu en extérieur avec piscine. 5 mn plus tard il nous invitait tous les trois à passer les voir. Ses potes étant comme lui, homos et pas trop mal foutus.
Dos contre le bar, il les cherche du regard et nous les montre. Je lui dis que nous c'est pareil sauf qu'on est un peu plus nombreux. J'arrive Ă retrouver la bande sauf Marc qui doit se faire plaisir avec un petit mec dans un coin. A mon tour je les montrer du doigt (je sais, c'est pas poli mais difficile de faire autrement !).
Avec amusement nous voyons nos amis respectifs opĂ©rer un mouvement vers nous et nous finissons ensemble. PrĂ©sentations, amusement de la similitude de nos situations, surtout quand nous leur donnons notre adresse et qu'elle se situe Ă une rue de la leur ! Ses amis sont du mĂȘme type que lui, sportifs et musclĂ©s imberbes et bien montĂ©s (vu les maillots bien remplis).
Quand Marc nous rejoint enfin, on décide que la nuit est assez avancée pour que nous rentrions.
Comme leur villa est sur notre chemin, nous nous y arrĂȘtons.
Plus petite que la nĂŽtre elle aussi est tout confort avec piscine et jacuzzi. Felipe sort les bouteilles du frigo. Vodka, gin, whisky... le choix est vaste et les doses servies consĂ©quentes. Auraient-ils comme des envies d'abuser de nous ?? En attendant ils sont sympathiques et les maillots volent au moment de nous jeter dans l'eau. Quand nous y sommes tous, impossible de nager !! Mais je crois que c'Ă©tait pas trop le but non plus ! Les corps se frottent les muscles gonflent et les bites entrent toutes en Ă©rection. Je laisse Felipe que je connais dĂ©jĂ pour ses potes. Notamment le plus jeune et aussi le plus " dĂ©veloppĂ© " cotĂ© musculature. Quand j'empoigne ses bijoux de famille, de ce cĂŽtĂ© lĂ aussi il n'a pas Ă©tĂ© laissĂ© pour compte. Bonne queue raide accompagnĂ©e d'une paire de couilles glabres d'un beau volume aussi. Nos tĂ©tons se collent alors que je lui roule un patin. Sa langue goĂ»te encore la vodka qu'il s'est enfilĂ©e tout comme moi. Ouf ! On ne va pas faire de mĂ©lange d'alcool qui nous donnerait mal Ă la tĂȘte au rĂ©veil (lol) ! Sa bite passe sous mes couilles et dans l'eau je m'assois dessus. Elle me tente et j'ai envie de connaitre sa dextĂ©ritĂ© Ă s'en servir. Je sors de l'eau et d'un coup de rein, le tire du bassin. Il m'entraine dans la villa. Je n'avais pas fait attention mais plusieurs mecs Ă©taient dĂ©jĂ partis sur des plans " particuliers ". Du coup, on a un peu de mal Ă trouver oĂč nous poser. On finit par revenir sur la terrasse et on se met au " travail ". On doit avoir le mĂȘme Ăąge et son physique est nickel. Brun de poil mais totalement imberbe ou Ă©pilĂ© sauf la touffe, il est bronzĂ© avec marque de maillot. Ce qui me fait kiffer grave. Sa belle queue rose pĂąle arbore un gland bien violet et dĂ©couvert. On passe un bon moment Ă se caresser, se lĂ©cher, s'embrasser (avec la langue Ă©videmment), Ă se travailler les tĂ©tons aux doigts puis avec les dents. Nos bites et couilles ne sont pas de reste puisque souvent nous alternons le reste avec de bons pompages en profondeur. J'aime qu'il prenne mes 20cm sans haut-le-coeur lui non plus. J'aime sa langue inquisitrice. Elle se coule sous mon prĂ©puce pour aller titiller mon gland, elle s'enfonce dans ma rondelle, poussant sa salive dans mes profondeurs pour prĂ©parer l'assaut prochain. De mon cĂŽtĂ© je pompe en fond de gorge ce gland qui va bientĂŽt tester l'autre extrĂ©mitĂ© de mon tube digestif. Quand je me sens prĂȘt, je lui enfile une kpote, le plaque dos sur la terrasse et enjambe son bassin pour venir m'assoir sur son mat.
Rhh ! Le bien que ça fait !! Il a l'air Ă©tonnĂ© que je m'enfonce en une seule fois la totalitĂ© de ses 21cm mais quand mes fesses touchent ses cuisses, il en ferme les yeux de plaisir ! Je savoure cet envahissement de mon corps avant de chevaucher mon nouvel ami. Ses mains venues se poser sur mes hanches modĂšre ma fougue. Il en libĂšre une pour venir la poser sur mon cou et attirer ma tĂȘte vers la sienne. Je lui roule un patin mais c'Ă©tait pour me dire quelque que chose qu'il m'avait penchĂ©.
Il voulait juste me dire que j'avais un cul divin et une rondelle parfaite ! Pour ça il n'était pas obligé de chuchoter ! Je me redresse et fort, je crie à ceux qui veulent l'entendre que sa bite est une merveille et qu'elle me rend fou. Il me rattrape et me dis qu'ils ont des voisins !!
Je lui réponds que jusque-là c'était flatteur pour lui ! Il rit et me fait taire avec sa langue. Pour me laisser moins de choix, il se redresse me bascule sur le dos et tenant par les chevilles mes jambes écartées, s'ingénie à me limer la rondelle avec science. Il me fait décoller grave !
Il alterne quelques positions autres avant de remplir sa kpote au bout de sa rĂ©sistance. Un petit coup de sa langue sur mon gland et je lui tapisse le visage de mon sperme. Juste la force de se trainer Ă l'intĂ©rieur pour trouver un coin de matelas et je tombe de sommeil. Il est midi quand j'Ă©merge ! A peu prĂšs en mĂȘme temps que tous les autres sauf Paco qui, en bon cuisinier, finissait de mettre en place le " petit dĂ©jeuner ".
Les invitants sont surpris mais apprĂ©cient l'attention. Comme ils s'Ă©tonnent de certains plats, Paco leur avoue avoir dĂ» faire un saut chez nous.        On dĂ©jeune tous dans une bonne ambiance, les autres habitants de la maison ont trouvĂ© eux aussi leur plaisir dans notre touze improvisĂ©e de la veille et matin. Felipe est collĂ© de notre trio ce qui semble lui aller tout Ă fait. Quand j'Ă©clairci les donnĂ©es, il me dit que ces trois jeunes lui ont assĂ©chĂ© les couilles comme jamais encore ça lui Ă©tait arrivĂ© !!On rentre chez nous avec leur promesse de nous rejoindre Ă notre villa vers les 20h       Â
Jardinier
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L'enfant de CaĂŻus
AltheĂŻana Swan marchait d'un pas assurĂ© dans les couloirs sombres du Palazzo di Volturi, son cĆur battant la chamade. Elle Ă©tait la compagne humaine de CaĂŻus Volturi. MalgrĂ© les diffĂ©rences Ă©videntes entre eux, leur amour Ă©tait sincĂšre et profond.
Altheïana avait découvert sa grossesse il y a quelques semaines, une nouvelle qui avait bouleversé leur vie à jamais. Elle savait que porter l'enfant d'un vampire était risqué, mais elle était déterminée à donner naissance à cet enfant qu'elle et Caïus chérissaient déjà .
Caïus, de son cÎté, était terrifié à l'idée de perdre Altheïana à cause de sa grossesse. Il l'aimait plus que tout au monde et ne supportait pas l'idée de la perdre. Il était devenu surprotecteur, veillant sur elle à chaque instant, craignant le moindre signe de danger pour elle et leur enfant à naßtre.
Un soir, alors que la lune Ă©tait haute dans le ciel, AltheĂŻana se glissa dans les bras de CaĂŻus, sentant le poids de leur destin reposant sur ses Ă©paules.
"CaĂŻus, mon amour, je sais que tu as peur pour moi et notre enfant. Mais je suis prĂȘte Ă affronter tous les obstacles pour vous deux. Ensemble, nous sommes plus forts que tout." murmura-t-elle doucement.
Les yeux rouges de CaĂŻus brillĂšrent d'Ă©motion, son cĆur se serrant d'amour pour la femme courageuse qui se tenait devant lui. Il la serra contre lui, sentant son amour pour elle dĂ©border de chaque fibre de son ĂȘtre.
"Je te promets que je serai là pour te soutenir en tout temps, Altheïana. Nous traverserons cette épreuve ensemble, main dans la main, jusqu'à ce que notre enfant voie le jour." déclara-t-il d'une voix pleine d'émotion.
Les jours passÚrent, et la grossesse d'Altheïana se déroula sans encombre, grùce à la vigilance et à l'amour de Caïus. Enfin, le jour de la naissance arriva, et Altheïana mit au monde un magnifique enfant, le fruit de leur amour indéfectible.
Dans les appartements du seigneur, Caïus prit dans ses bras sa partenaire et leur nouveau-né, des larmes brillant dans ses yeux.
"Merci, AltheĂŻana, pour tout ce que tu as sacrifiĂ© pour notre famille. Je t'aime plus que tout au monde, et je promets de veiller sur toi et notre enfant pour l'Ă©ternitĂ©." murmura-t-il, le cĆur gonflĂ© d'un amour incommensurable. Brusquement, il enfonça ses dents dans le cou de sa dame, la transformant en une vampire.
Alors que le soleil se levait sur Volterra, une nouvelle famille Ă©tait nĂ©e, unie par la force de l'amour et prĂȘte Ă affronter tous les dĂ©fis qui se dresseraient sur leur chemin.
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Finding His Orbit
Sirius POV, first year Rating: Teen 671 words
On the last Friday in February, Pandora brought Sirius another gift. She placed two identical boxes on the table in front of him.Â
âJâai travaillĂ© sur un nouveau sort.â Iâve been working on a new spell.Â
Sirius looked at the plain wood boxes, and his appreciation for Pandora swelled. He reached for one, but she stopped him.Â
âTu devrais ouvrir celle-ci dans le noir. Une pour toi et une pour Regulus.â You should open this one in the dark. One for you and one for Regulus.Â
âMerci, Pandora.â
She smiled.Â
âTu as eu des nouvelles?â Have you heard anything?
âNon, rien. Je ne sais mĂȘme pas comment lui faire parvenir ça,â Sirius said motioning at the box. No, nothing. Iâm not even sure how to get this to him.Â
âEt votre elfe de maison, son nom est Kreattur, non?â What about your house-elf, his name is Kreacher correct?
Sirius had told Pandora about Kreacher and his kindness towards Regulus. Of course, Sirius still despised the elf.Â
âIl rĂ©pond Ă tes ordres directs?â Will he answer direct orders from you?
âJe ne sais pas. Je peux essayer, ouais, je peux essayer.â I donât know. I can try, yeah, I can try.
Pandora nodded. âVous portez tous les deux des noms dâĂ©toiles.â You are both named after stars.Â
âCâest une tradition familiale.â Itâs a family tradition.
âJe ne sais pas. Parfois, ces choses ont plus de sens quâon ne le pense.â I donât know. Sometimes there is more meaning to these things than you realize.
She looked thoughtful then said, âJe tâai jamais dit mon nom de famille?â Have I ever told you my last name?
âNon.â
âSoleil.â Sunlight.
Siriusâ mouth fell open in shock. If anyone embodied the bright sun, it was Pandora. She seemed to make it her mission to bring light into every life she touched.Â
âMa famille vient de France. Nous sommes les descendants dâune ancienne lignĂ©e. Ce nâest plus une lignĂ©e de sang pur.â My family is originally from France. We are descendent from an ancient lineage. Itâs not a pureblood line anymore.Â
âMais jâai toujours eu lâimpression que mon nom avait une plus grande signification. Pandora Soleil, donneuse de lumiĂšre.â But Iâve always felt like my name had a greater meaning. Pandora Soleil, giver of light.
Sirius was speechless. What was he supposed to say to that?
âPandora, tu fais exactement ça,â he finally said. Pandora, you do just that.
Pandora squeezed his hand. âJe suis contente que tu sois mon ami Sirius Black. Je pense que nous Ă©tions censĂ©s nous trouver. La lumiĂšre et lâobscuritĂ©.â Iâm glad you are my friend Sirius Black. I think we were meant to find each other. The light and the dark.
âHĂ©, je pensais que tu avais dit que jâĂ©tais une star. Les Ă©toiles brillent. Et mon Ă©toile est la plus brillante.â Hey, I thought you said I was a star. Stars shine bright. And my star is the brightest.Â
Pandora laughed. âAlors nous rĂ©pandrons la lumiĂšre ensemble. Tu brilleras aussi fort que ton Ă©toile Sirius. Et on travaillera pour remplir la vie de Regulus de beaucoup de lumiĂšre.â So weâll spread the light together. You will shine as bright as your star Sirius. And weâll work to fill Regulusâ life with plenty of light.
Sirius could not help himself, he scooted close to Pandora and wrapped his skinny arms around her. She hugged him back.Â
âCâest une bonne personne Pandora. Son cĆur est si grand. Câest si dur pour moi de le voir tomber.â He is a good person Pandora. His heart is so big. It is so hard for me to watch him fall.
âIl ne tombe pas Sirius. Il trouve son orbite.â He is not falling Sirius. He is finding his orbit.Â
She released him and took out her wand. She tapped one of the wood boxes and said, âVerto.â Instead of a plain wooden box, Sirius was now looking at a Grow Your Own Warts Kit.Â
âVoilĂ , ça devrait aider.â There, that should help.
Sirius laughed.Â
...
This is from The Heir and The Spare, Chapter XVI - Sun and Moon and Stars
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Voici revenu l'Avent... Et aprĂšs ?
Il fut un temps oĂč le cycle des saisons se rĂ©gĂ©nĂ©rait lui-mĂȘme, tout seul, comme automatiquement, et l'Homme, qui se savait alors ''CrĂ©ature de Dieu'', y trouvait bien son compte, dans l'harmonie et le plaisir de faire partie en permanence d'un grand jeu, le ''jeu'' du temps... ou de l'Ă©ternitĂ©. C'Ă©tait un temps oĂč personne n'avait besoin des excĂšs et des folies de soi-disant ''Ă©colos'' pour se sentir proche de la nature : on Ă©tait la Nature, tout simplement. Chaque temps fort de l'annĂ©e avait ses rites, ses rythmes, ses chants, et je me souvient que mon PĂšre nous faisait ''les gros yeux'' si l'un d'entre nous s'oubliait et entamait un chant de NoĂ«l en plein Ă©tĂ©... ou Ă PĂąques. Tout Ă©tait Ă sa place, et Dieu ! Que c'Ă©tait sĂ©curisant !
Notre habituel ''Retour sur images'', incontournable si l'on veut comprendre quoi que ce soit, va ressembler, en cette pĂ©riode de l'annĂ©e, Ă un ''Retour sur raison d'ĂȘtre'' : le temps liturgique dit ''de l'Avent'' est celui qui prĂ©cĂšde NoĂ«l, un temps de recueillement pour mieux accueillir lâindicible, l'inexplicable : Dieu se dĂ©pouillant de toute sa Gloire pour naĂźtre Homme parmi les hommes. Que c'Ă©tait beau ! Que c'Ă©tait grand ! Par lĂ seulement, nous mĂ©ritions un destin individuel, cĂ©leste et Ă©ternel : l'espoir, soudain, faisait partie de l'humanitĂ©.
Tout cela est bien oubliĂ©, et nous ne sommes guĂšre plus que quelques pour cent Ă vouloir nous souvenir que tout le vide qui a remplacĂ© un possible ''trop plein'' n'est que le remplacement de ''quelque chose'' par... rien, mais un ''Rien'' majuscule, Ă l'image du temps, qui ne peut entraĂźner, in fine, que du malheur. Le mot ''Avent'' lui-mĂȘme a disparu du vocabulaire vernaculaire, Ă l'exception d'un calendrier et, parfois, d'une couronne accrochĂ©e Ă la porte, et c'est une trĂšs mauvaise nouvelle, pour tout le monde --mais surtout pour ceux qui ne comprennent pas le grand n'importe quoi dans lequel on les force Ă basculer sans explication autre que la ridicule ''Magie de NoĂ«l''. L'homo nĂ©anticus actuel doit se contenter de ce ''comment'' sans pourquoi, sans base, sans fondements : ''C'est ''la magie de NoĂ«l'', puisqu'on vous le dit --mĂȘme si NoĂ«l n'est plus rien ! On va bouffer et consommer, boire un peu trop, peut-ĂȘtre... avec pour seuls supports de gros pĂšres noĂ«ls suiffeux et souvent douteux... Chic !
Mais Dieu (je m'entĂȘte : si moi, je ne parle pas de Lui en ce moment, alors... qui ? quand ?) que la culture, la profondeur et l'intelligence de nos ancĂȘtres Ă©taient grandes, comparĂ©es Ă la superficialitĂ©, tellement... superficielle (c'est bien ça que je veux dire !) de nos contemporains qui ne savent plus que se vautrer dans la consommation de vide et de nĂ©ant, depuis les ''soldes de fin d'annĂ©e'' au ''black friday'', et de lĂ Ă ''la magie de NoĂ«l'', tellement factice, convenue et vide de sens... Ă dĂ©faut de l'ĂȘtre d'excĂšs et de folies.
L'Evangile de ce premier dimanche de l'Avent est stupĂ©fiant de prĂ©cision : on dirait qu'il a Ă©tĂ© Ă©crit hier... pour aujourd'hui. Lisons-le, ensemble, si vous voulez bien m'accompagner, s'il vous plaĂźt (il suffit d'une minute) : ''Il y aura des signes. Sur la Terre, les nations seront affolĂ©es et dĂ©semparĂ©es par le fracas de la mer et des flots. Les hommes mourront de peur par ce qu'ils voient arriver. Quand ces Ă©vĂ©nements commenceront (...), tenez-vous sur vos gardes, de crainte de chavirer dans la boisson, l'ivresse et les tentations. [On dirait aujourd'hui : ''les addictions de la drogue'']. Or ce jour-lĂ tombera sur vous et sur la Terre entiĂšre comme un filet, mais vous ne savez ni le jour, ni l'heure...''. Et le texte du 3 Ăšme dimanche de l'Avent --que nous appelons Rorate cĂŠli (= Que les pleurs tombent du ciel)-- est encore plus d'actualitĂ© : ''Seigneur, voici que JĂ©rusalem, la citĂ© sainte, est dĂ©vastĂ©e, et que Sion (NDLR : Colline de JĂ©rusalem oĂč Ă©taient le palais du roi David et le Temple de Salomon), est devenue un dĂ©sert''.
A quoi ressemble ce dĂ©but d'Avent 2024 ? Qui a envie de ''faire la fĂȘte'', puisque c'est ça qui est en cause ? La clairvoyante Ă©conomiste AgnĂšs Verdier-MoliniĂ© utilisait hier le mot ''bouffonnerie'' pour parler de l'Ă©tat de la France : les dĂ©putĂ©s indignes qui ont Ă©tĂ© Ă©lus lors de la honteuse mascarade des derniĂšres Ă©lections lĂ©gislatives (qui ont propulsĂ© au second tour un troupeau de cuistres incultes, mal Ă©levĂ©s et mĂȘme pas douĂ©s, sauf pour les grosses conneries) sont prĂȘts Ă nous entraĂźner vers un chaos financier et politique sans prĂ©cĂ©dent au nom de plein de trĂšs mauvaises raisons dont pas une seule ne pourrait justifier le quart du dixiĂšme de la moitiĂ© des risques Ă©conomiques, militaires ... ou nuclĂ©aires qu'ils nous font courir sans raison.
Les nuages qui s'accumulent Ă nos quatre points cardinaux sont de plus en plus noirs et opaques : plans sociaux, retour du chĂŽmage, recettes publiques qui s'effondrent, investissements en chute libre et consommation en berne... sĂ©curitĂ© civile disparue, crimes et dĂ©lits au plus haut, niveau scolaire au plus bas, immigration sortie de tous les cadres supportables, islam en guerre ouverte et dĂ©clarĂ©e, justice-sic en laquelle plus personne ne croit, et personnels politiques en totale dĂ©route intellectuelle --parmi tant d'autres indicateurs-- ont Ă©tĂ© sciemment fabriquĂ©s par une caste de nuls XXL qui ose maintenant les dĂ©noncer... sans pour autant proposer une seule solution, un seul remĂšde, une seule parade, autres que le chaos garanti, la fin des haricots et des enchaĂźnements de cataclysmes et de catastrophes dont ils ne cherchent mĂȘme pas Ă imaginer la portĂ©e...
Et par dessus tout ça, un adolescent prolongĂ© en rupture d'ego, (parfaitement dĂ©crit en une seule phrase par Wikipedia : ''Sur un plan scientifique, le narcissisme inclut une estime de soi exagĂ©rĂ©e, des fantasmes de succĂšs illimitĂ©s, un besoin excessif d'ĂȘtre admirĂ©, un manque d'empathie et, surtout, une tendance Ă exploiter autrui pour des fins personnelles...'' qui est prĂȘt Ă nous faire plonger dans une guerre nuclĂ©aire qui serait sans doute la derniĂšre pour trĂšs longtemps, au nom de ses erreurs de jugement et des mĂ©chantes analyses de ses petits marquis, qui utilisent mal des donnĂ©es partielles et totalement pĂ©rimĂ©es : dites-moi au nom de quels grands principes qui n'en sont pas on pourrait provoquer l'arrivĂ©e d'une fusĂ©e russe que personne ne serait en mesure d'intercepter --mĂȘme un peu-- et qui vaporiserait littĂ©ralement, Ă plus de 3000 degrĂ©s, les 3/4 de la population de Paris, pour commencer... pour satisfaire les caprices indĂ©fendables d'une marionnette ukrainienne dĂ©guisĂ©e en un tout petit Rambo ?
Les exigences qu'imposait l'ancien systÚme de pensée --par rapport au non-systÚme de croyances absurdes qui lui a succédé-- avaient ceci de bon qu'elles rendaient obligatoires tous les processus de réflexion, de questionnement et de remise sur le métier dont nous avons oublié, aujourd'hui, jusqu'à l'existence. Imaginez la crise de sagesse qui inonderait le monde si nos actuels dirigeants, sans foi ni loi et sans culture ni garde-fous, étaient contraints, chaque dimanche matin, de relire les beaux textes de la liturgie de l'Avent... ce qui les inciterait à se demander vers quelle fin du monde ils sont en train de nous conduire... Est-il trop tard ?
H-Cl.
PS : en vous quittant, je vais me précipiter, pour jouer et chanter tous les ravissants ''petits Noëls'' qui sont à mon répertoire (des dizaines !), sur mon piano... qui n'en pouvait plus d'attendre... ni moi, pour vous dire la vérité : 11 mois de silence respectueux ! Et dire que nos églises se sont, par pur masochisme, privées d'une telle richesse et de tant de beauté, assassinant en chemin l'émotion et la joie qui les accompagnaient. Ah ! Folie des hommes ! Aberration de la persévérance dans l'erreur ! Absurdité des excÚs du cerveau sur l'Esprit... et l'intelligence ! Et, au fond, pourquoi ?
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