#ensembles nous sommes plus fortes
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International Women's Day 8M
Happy day to all women across the world (that are good people) !!! đđđȘâïžđ©âđ«đđ
Also to all men who raises us, helps us, love us the right way, accompany us, uplifts us , befriends us and are our allies too.
Heres to Strong women :
May we know them,
May we be them
May we raise them
Image found in Pinterest but the trilingual texts and the color intensity filter added to It are made by me.
#international women's day#8-M#dĂa internacional de la mujer#journĂ©e internationale des femmes#inclusive feminism#feminist activism#Together were stronger#ensembles nous sommes plus fortes#juntas somos mĂĄs fuertes
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L'enfant de CaĂŻus
AltheĂŻana Swan marchait d'un pas assurĂ© dans les couloirs sombres du Palazzo di Volturi, son cĆur battant la chamade. Elle Ă©tait la compagne humaine de CaĂŻus Volturi. MalgrĂ© les diffĂ©rences Ă©videntes entre eux, leur amour Ă©tait sincĂšre et profond.
Altheïana avait découvert sa grossesse il y a quelques semaines, une nouvelle qui avait bouleversé leur vie à jamais. Elle savait que porter l'enfant d'un vampire était risqué, mais elle était déterminée à donner naissance à cet enfant qu'elle et Caïus chérissaient déjà .
Caïus, de son cÎté, était terrifié à l'idée de perdre Altheïana à cause de sa grossesse. Il l'aimait plus que tout au monde et ne supportait pas l'idée de la perdre. Il était devenu surprotecteur, veillant sur elle à chaque instant, craignant le moindre signe de danger pour elle et leur enfant à naßtre.
Un soir, alors que la lune Ă©tait haute dans le ciel, AltheĂŻana se glissa dans les bras de CaĂŻus, sentant le poids de leur destin reposant sur ses Ă©paules.
"CaĂŻus, mon amour, je sais que tu as peur pour moi et notre enfant. Mais je suis prĂȘte Ă affronter tous les obstacles pour vous deux. Ensemble, nous sommes plus forts que tout." murmura-t-elle doucement.
Les yeux rouges de CaĂŻus brillĂšrent d'Ă©motion, son cĆur se serrant d'amour pour la femme courageuse qui se tenait devant lui. Il la serra contre lui, sentant son amour pour elle dĂ©border de chaque fibre de son ĂȘtre.
"Je te promets que je serai là pour te soutenir en tout temps, Altheïana. Nous traverserons cette épreuve ensemble, main dans la main, jusqu'à ce que notre enfant voie le jour." déclara-t-il d'une voix pleine d'émotion.
Les jours passÚrent, et la grossesse d'Altheïana se déroula sans encombre, grùce à la vigilance et à l'amour de Caïus. Enfin, le jour de la naissance arriva, et Altheïana mit au monde un magnifique enfant, le fruit de leur amour indéfectible.
Dans les appartements du seigneur, Caïus prit dans ses bras sa partenaire et leur nouveau-né, des larmes brillant dans ses yeux.
"Merci, AltheĂŻana, pour tout ce que tu as sacrifiĂ© pour notre famille. Je t'aime plus que tout au monde, et je promets de veiller sur toi et notre enfant pour l'Ă©ternitĂ©." murmura-t-il, le cĆur gonflĂ© d'un amour incommensurable. Brusquement, il enfonça ses dents dans le cou de sa dame, la transformant en une vampire.
Alors que le soleil se levait sur Volterra, une nouvelle famille Ă©tait nĂ©e, unie par la force de l'amour et prĂȘte Ă affronter tous les dĂ©fis qui se dresseraient sur leur chemin.
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CâĂ©tait encore en mars. Il mâenvoyait des messages mais je ne rĂ©pondais pas, rencontre dâinternet oĂč tout est permis encore - mĂȘme la mĂ©chancetĂ©. Un soir jâai rĂ©pondu et câĂ©tait ce soir ou jamais. Il est venu, rencontre dâinternet et jâĂ©tais prĂȘte jusquâĂ mourir par un homme mĂ©chant. Je suis descendue, nous montons. Dans lâascenseur jâĂ©tais prĂȘte Ă lâembrasser tout de suite mais la dĂ©cenceâŠla dĂ©cence mâa empĂȘchĂ©. Il apporte une bouteille de vin blanc, je le sers dans de grands verres. Il sâassoit face Ă moi, Ă lâautre bout de la table. Il dit dans lâascenseur je voulais dĂ©jĂ tâembrasser. Je dis je suis intimidĂ©e. Il dit nous ne sommes pas obligĂ©s de parler. Nous fumons. Pourquoi tant de dĂ©sir si vite. Il dit ce nâest pas que physique câest le rapport au langage qui se voit chez toi, ton port de tĂȘte. Impression de dĂ©jĂ le connaĂźtre, dĂ©jĂ connaĂźtre cette scĂšne. Donc⊠je le fais sâassoir Ă cĂŽtĂ© de moi, sur le petit canapĂ© gris sans accoudoir. Je ne sais plus le premier baiser, câest comme sâil avait dĂ©jĂ existĂ©. Je sais Ă peine encore son corps. Je sais seulement la douceur de sa peau et ses cheveux coiffĂ©s rares, comme Holywood, un acteur, un comĂ©dien. Je ne lâai mĂȘme pas regardĂ© rouler ses cigarettes. Je ne lâai pas assez regardĂ©, aveuglĂ©e du dĂ©sir. AveuglĂ©e. Il part le lendemain tĂŽt Ă Bruxelles ; Bx. Un comĂ©dien. Le meilleur des mondes. Plein de piĂšces et dâauteurs amĂ©ricains que je ne connais pas. Il a presque quinze ans de plus que moi et jâai lâimpression que câest moi qui lâai attendu tout ce temps. On ne fait que sâembrasser. Devant la fenĂȘtre il me fait cambrer par ses baisers, la bouteille Ă la main quâil enroule autour de moi, il colle cette bouteille fraiche contre mes cuisses. Il part. Il partâŠQuinze jours dâattente quand il est Ă Bx. Ville maudite. Peux mĂȘme pas dire le nom. PrĂȘte Ă y aller mais la dĂ©cence mâempĂȘche. Le lendemain il dit : j'ai des images de toi et la sensation de ta peau, la prochaine fois dormons ensemble. Peur jusquâaux mains de tout gĂącher, de perdre le dĂ©sir ou quâil devienne trop fort. Jâai perdu le curseur. Jâattends. Tout est mauvais signe.Â
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Xena, la GuerriĂšre : Un Symbole de Force et de RĂ©silience FĂ©minine
Xena, la GuerriĂšre : Un Symbole de Force et de RĂ©silience FĂ©minine
Xena, la GuerriĂšre, personnage iconique de la tĂ©lĂ©vision des annĂ©es 90, incarne une figure puissante et emblĂ©matique de lâautonomie fĂ©minine, du courage et de la rĂ©demption.
Une guerriĂšre complexe et imparfaite
Xena est une hĂ©roĂŻne complexe et pleine de contradictions. Elle porte en elle un passĂ© sombre, marquĂ©e par la violence et les erreurs. Pourtant, son dĂ©sir de rĂ©demption et sa quĂȘte pour se racheter illustrent une rĂ©alitĂ© essentielle : nous ne sommes pas dĂ©finis par nos erreurs passĂ©es, mais par notre capacitĂ© Ă les surmonter. Xena incarne une force de caractĂšre rare, une volontĂ© dâaffronter ses dĂ©mons intĂ©rieurs tout en protĂ©geant les innocents, montrant ainsi qu'il est possible de devenir une meilleure version de soi-mĂȘme.
Une Vie MarquĂ©e par les Ăpreuves
La vie de Xena est marquĂ©e par des Ă©preuves et des sacrifices. Elle a perdu des ĂȘtres chers, a Ă©tĂ© trahie et a dĂ» faire face Ă des choix difficiles. Cependant, elle ne se laisse jamais abattre et continue de se battre pour ce en quoi elle croit.
Le symbole de la puissance féminine
Xena n'est pas seulement une combattante, elle est un symbole vivant de la force fĂ©minine. Ă travers ses combats, elle dĂ©montre que la force physique et mentale ne sont pas rĂ©servĂ©es quâaux hommes. Son agilitĂ©, son intelligence tactique et sa capacitĂ© Ă se relever aprĂšs chaque coup reflĂštent la tĂ©nacitĂ© dont les femmes font preuve dans leur propre vie.
Liberté et indépendance
Ce qui distingue Xena, câest aussi son indĂ©pendance farouche. Elle vit selon ses propres rĂšgles, sa libertĂ© de choix, qu'il s'agisse de ses alliances ou de ses relations. Xena est une femme qui ne dĂ©pend de personne pour dĂ©finir qui elle est.
La relation avec Gabrielle : amitié, amour et sororité
Un autre aspect fondamental de Xena est sa relation avec Gabrielle. Plus quâune simple amitiĂ©, leur lien est un des cĆurs Ă©motionnels de la sĂ©rie. Ce qui dĂ©marre comme une amitiĂ© Ă©volue en une relation plus intime. Il y a, au fil de la sĂ©rie, un sous-entendu romantique entre Xena et Gabrielle qui a offert aux spectateurs une reprĂ©sentation rare et prĂ©cieuse de l'amour entre deux femmes Ă cette Ă©poque. Bien que la sĂ©rie n'ait jamais explicitement confirmĂ© leur relation romantique, les nombreuses scĂšnes intimes et les moments de tendresse entre les deux personnages ont laissĂ© peu de doute.
Leur relation montre une profonde sororitĂ© et un respect mutuel. Gabrielle, souvent considĂ©rĂ©e comme la boussole morale de Xena, est le reflet de lâamour inconditionnel, un amour qui aide Xena Ă se rĂ©concilier avec son passĂ©. Ensemble, elles symbolisent lâimportance de se soutenir mutuellement dans les moments les plus difficiles et de pouvoir compter sur quelquâun sans crainte de jugement. Elles se renforcent lâune lâautre, prouvant que l'amour, sous toutes ses formes, est une force transformatrice.
Un modĂšle intemporel pour les femmes
Xena est une icĂŽne fĂ©ministe qui continue dâinspirer aujourdâhui. Ă une Ă©poque oĂč les femmes Ă©taient souvent cantonnĂ©es Ă des rĂŽles secondaires ou stĂ©rĂ©otypĂ©s Ă lâĂ©cran, elle a brisĂ© les codes en incarnant Ă la fois une guerriĂšre impitoyable et une femme capable de tendresse, de vulnĂ©rabilitĂ© et dâamour. Elle a montrĂ© que lâon peut ĂȘtre forte et imparfaite, courageuse et effrayĂ©e, aimante et farouchement indĂ©pendante.
Son caractÚre complexe, ses combats pour la justice, sa vie marquée par des épreuves et sa profonde amitié avec Gabrielle en font une figure inspirante pour les femmes.
Xena restera toujours un symbole de libertĂ©, de force et de rĂ©silience, une source dâinspiration pour celles qui veulent mener leurs propres combats et tracer leur propre chemin dans la vie.
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Falco - Jeanny (Video)
youtube
Jeanny, allez
LÚve-toi, s'il te plaßt, tu es mouillé
Il est tard, allez
OĂč est ta chaussure ? Tu l'as perdu
Quand j'ai dĂ» te montrer le chemin
Qui a perdu ? Toi toi-mĂȘme?
Moi moi-mĂȘme ? Ou, ou nous ?
Jeannie
Jeannie
Il fait froid, il faut sortir d'ici, allez
Ton rouge à lÚvres est taché
Tu l'as acheté et je l'ai vu
Trop de rouge sur tes lĂšvres et tu as dit
"Ne me lance pas"
Mais tu as ïżœïżœtĂ© vu Ă travers, les yeux parlent plus fort que les mots
Tu as besoin de moi, hein ?
Tout le monde sait que nous sommes ensemble Ă partir d'aujourd'hui
Maintenant je les entends, ils arrivent
Ils viennent te chercher
Ils ne te trouveront pas
Personne ne te trouvera, tu es avec moi
Jeanny, arrĂȘte de vivre de rĂȘves
Jeanny (tu es avec moi)
Jeanny, la vie n'est pas ce qu'elle paraĂźt
Ces derniers mois, le nombre de personnes disparues a considérablement augmenté
Le dernier communiqué de la police locale fait état d'un autre cas tragique
Il s'agit d'une jeune fille de dix-neuf ans qui a été vue pour la derniÚre fois il y a quinze jours.
La police n'exclut pas la possibilité qu'il s'agisse d'un crime
Jeanny, arrĂȘte de vivre de rĂȘves
Jeanny, la vie n'est pas ce qu'elle paraĂźt
Jeanny, il y a quelqu'un (Jeanny) qui a besoin de toi
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Je suis en retard mais la motivation de faire quelque chose cette année pour la journée internationale de la visibilité des personnes transgenre.
Soyez vous-mĂȘme, ensemble nous sommes plus forts !
#art#furry#artist#artists on tumblr#anthro#tdov#tdov 2024#trans day of visibility#demigirl#trans#transgender
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Nous sommes en 1990 Ă Baltimore, Maryland. Un jour, l'enseignante de la maternelle appelle d'urgence Maman Debbie. "Michael ne peut pas s'asseoir, il n'est jamais silencieux, il ne peut pas se concentrer", explique le professeur. "Peut-ĂȘtre qu'il s'ennuie juste", rĂ©pond Debbie. "Impossible. DĂ©missionnez-vous, votre fils n'est tout simplement pas douĂ©, il ne pourra jamais se concentrer sur quoi que ce soit", explique la femme sans appel.
Le garçon en question, que Michael, dont le nom de famille est Phelps, a 5 ans, il a grandi sans pĂšre dans une famille entiĂšrement fĂ©minine, avec sa mĂšre et ses deux sĆurs, et jusqu'alors il n'a presque jamais mis les pieds dans une piscine. Lorsqu'il le fait pour la premiĂšre fois, il est tellement terrifiĂ© de se mouiller le visage que l'instructeur est obligĂ© de lui apprendre le dos. Michael a un talent innĂ© mais discontinu. Ce n'est pas mieux Ă l'Ă©cole. Tous ses professeurs rĂ©pĂštent toujours les mĂȘmes choses Ă Debbie: "Il ne peut se concentrer sur aucune tĂąche", "il n'est pas adaptĂ© Ă telle ou telle matiĂšre", "agace le camarade de classe". Debbie dĂ©cide alors de le soumettre Ă une visite spĂ©cialisĂ©e. Le diagnostic est clair: TDAH ou DDAI, mieux connu sous le nom de trouble dĂ©ficitaire de l'attention / hyperactivitĂ©.
Mais Debbie, en plus d'ĂȘtre maman, est Ă©galement enseignante et directrice. Et il se met dans la tĂȘte pour prouver que tout le monde a tort. "Je savais que si j'avais travaillĂ© dur avec Michael, il aurait pu atteindre tous les objectifs qu'il s'Ă©tait fixĂ©s." Elle travaille en Ă©troite collaboration avec les professeurs de Michael et chaque fois que l'un d'eux dit "il ne peut pas faire ça", elle rĂ©pond: "Eh bien, que pouvons-nous faire pour l'aider?" Face Ă ses difficultĂ©s mathĂ©matiques, trouver un tuteur et une mĂ©thode qui suscite l'intĂ©rĂȘt de Michael, avec des problĂšmes de ce type: "Combien de temps vous faut-il pour nager 500 mĂštres si vous nagez Ă une vitesse de 3 mĂštres par seconde?".
Transformez les limites de votre enfant en opportunités. Chaque fois qu'il a une explosion de colÚre ou de frustration dans la piscine, elle lui donne un signal conventionnel en forme de C depuis les tribunes qui, dans leur langage privé, signifie "se remettre ensemble".
Michael s'amĂ©liore Ă l'Ă©cole, alors que dans le rĂ©servoir, il est dĂ©jĂ un petit requin: Ă 11 ans, il est plus fort et plus rapide que tous ses pairs qui ont dĂ©jĂ nagĂ© aux Ătats-Unis. Debbie est ensuite convoquĂ©e pour la deuxiĂšme interview la plus importante de la vie de Michael. Cette fois, elle n'est pas une enseignante de maternelle mais son entraĂźneur, Bob Bowman. Nous sommes en mai 1996.
"Madame, maintenant je vais vous dire ce qui va se passer," commença-t-il. "En 2000, Michael participera aux essais olympiques. Je ne sais pas s'il gagnera l'appel, mais on en parlera sûrement. Et en 2004, il sera sans aucun doute un athlÚte qui gagnera des médailles olympiques. Et nous ne serons qu'au début."
Bob avait tort. En 2000, à Sydney, non seulement Michael se qualifierait au 200m papillon, mais il atteindrait la finale, terminant à la cinquiÚme place, touchant le podium et une médaille. Il avait 15 ans. à partir de ce jour, pour les 16 prochaines années, Phelps remportera 83 médailles, dont 66 d'or, 28 olympiques, 33 championnats du monde, dans huit disciplines différentes, devenant, en 2008 à Pékin, l'athlÚte avec le plus d'or (huit) en une édition de l'histoire des Jeux et, en affichant, le nageur le plus titré de tous les temps, en plus de l'un des sportifs les plus forts de tous les sports ou de toutes les époques.
Ce champion incomparable et icĂŽne planĂ©taire Ă©tait un enfant ayant un dĂ©ficit d'attention diagnostiquĂ©, comme des dizaines de millions d'autres enfants comme lui dans le monde. Avec la seule chance d'avoir une femme et un professionnel Ă ses cĂŽtĂ©s qui ne l'ont jamais jugĂ© ou justifiĂ©, mais l'ont poussĂ© Ă faire ressortir son talent lĂ oĂč les autres ne voyaient que des troubles, de l'inattention et de l'hyperactivitĂ©. Elle aurait pu se rĂ©signer, comme son premier professeur de maternelle l'avait conseillĂ©. Au lieu de cela, Debbie a dĂ©cidĂ© de faire quelque chose de bien plus long et de plus fatigant: croire en son fils.
Peut-ĂȘtre qu'aucun de ces millions d'enfants ne deviendra jamais Michael Phelps, mais derriĂšre la stigmatisation d'un diagnostic et d'un jugement incontestable, il y a des gens avec des talents et des capacitĂ©s extraordinaires dans n'importe quel domaine ou profession. Parfois, ce qui manque, c'est seulement quelqu'un qui veut les voir et les reconnaĂźtre. Tout comme maman Debbie.
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Le manque dâamour et de libertĂ© a crĂ©Ă© la pornographie et la pornographie a dĂ©montĂ© le cerveaux des mecs et un peu des femmes aussi depuis longtemps. LobotomisĂ© par le mythe de la femme objet, la culture du viol, du sadomasochisme et en gros de toutes les rubriques louches des sites spĂ©cialisĂ©s Faire lâamour ? non ce serait si simple⊠Non il faut possĂ©der voir dĂ©truire lâautre, câest lâune des dĂ©viances de la qualitĂ©Â des relations humaines, surtout ĂȘtre certain, savoir que lâautre souffre plus que nous et au sein du couple câest encore plus malsain et dans lâacte sexuel carrĂ©ment pervers. Le manque dâamour se trouve dans toutes les strates des relations, la critique des voisins les commĂ©rages les ragots du petit cafĂ© le matin et c'est pire Ă l'apĂ©ro... les comparaisons, les jĂ©rĂ©miades mĂȘme au sein des familles et câest bien le pire, on passe son temps Ă maudire les autres sans s'en rendre compte, Ă les plomber, mĂȘme sans le vouloir Ă les dĂ©nigrer , c'est lourd et ça n'apporte rien de bien. Le monde irait bien mieux si on recommencer Ă se dire sincĂšrement bonjour le matin en se regardant dans les yeux, le covid en passant Ă laisser a accentuer la mĂ©fiance l'isolement et on a bien besoin de se regrouper et de s'entraider. Au lieu de se souhaiter du bien, on se tire dessus presque rassurĂ©s si lâautre va moins bien que nous. Ah si nous pouvions simplement tous nous tirer vers le haut. Tous ensemble on est tellement plus fort. Tellement plus fort lorsque nous sommes unis. Si nous pouvions juste arrĂȘter dâĂȘtre avide, nous concentrant seulement sur le bien commun, sur comment faire en sorte que lâautre se sente heureux et y trouver notre bonheur. Câest simpliste. In heaven everything is fine
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Voila...100 eme photo de mon blog... j'ai voulu illustrer ma famille... je parle aussi aux noms de ceux qui ne sont pas sur la photo... il y a quelques temps j'ai rencontrĂ© des amis et je me suis rendue compte que ce n'Ă©tait pas des amis mais une famille... vous tous la sur cette photo... vous m'avez accueillie comme l'un des vĂŽtres et j'ai trouvĂ© un homme formidable qui a su m'accepter avec mes qualitĂ©s mais surtout aussi mes dĂ©fauts... je suis devenue aussi maman pour la deuxiĂšme fois... et devenue a la fois fille , petite fille, belle soeur , niĂšce... tante... schtroumfette et mĂȘme pisseuse... mdrrrrrrrrrrrrrrrrrr... de plus je n'ai jamais ressenti une telle amitiĂ© et une telle force de rapprochement dans d'autres familles imvu... pour cela vous ĂȘtes uniques au monde... il est vrai que des fois nous nous disputons... comme dans toutes les familles mais une fois que l'orage qui passe est calmĂ©... nous sommes plus unis que jamais... nous avons nos joies comme nos peines... nos rires comme nos larmes... nos avis en commun et nos avis contraires... nos caractĂšres de bonnes personnes et nos caractĂšres de tĂȘtes de boches... tout ce qui fait une famille soudĂ©e... je voulais rendre hommage Ă cette famille avec la 100 eme photo... encore mille fois merci pour tout ce que vous vous apportez les uns et les autres... continuons tous ensemble a nous aimer... nous aider... kiss mes amours je vous aime fort
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Parfois, je me demande. Ătait-ce vraiment de ma faute si nous avons fini par ĂȘtre des Ă©trangers ? Ătait-ce vraiment de ma faute si nous ne nous voyons plus nous aimer ? Ătait-ce vraiment de ma faute si vous ne pouviez plus me choisir ? Est-ce de ma faute si tu as finalement dĂ©cidĂ© de partir et de me perdre pour toujours ? Je me demande ce qui nâa pas fonctionnĂ©. Ai-je tort de tâaimer si fort ? Ne suis-je pas assez ? Il y a beaucoup de questions dans ma tĂȘte tous les soirs, en espĂ©rant que je comprendrai pourquoi nous devons nous lĂącher lâun lâautre. Tu nâas aucune idĂ©e Ă quel point câest douloureux pour moi de te voir te dĂ©sintĂ©resser de moi. Tu ne sais pas combien de fois je pleure parce que tu me manques, mais je ne peux mĂȘme pas te dire Ă quel point je ne vais pas bien sans toi. Cela me dĂ©chire le cĆur chaque fois que jâessaie de tâexprimer mes sentiments et mes pensĂ©es, mais tu les prends seulement pour acquis et tu penses quâils sont drĂŽles. Je sais que pour certaines raisons, je te blesse aussi et je te fais sentir quâon te manque de respect. DĂ©solĂ©; Je ne sais pas vraiment comment libĂ©rer ma douleur sans te blesser aussi. Je suis dĂ©solĂ© si jâexprime souvent ma haine, car jâespĂšre que vous comprendrez que je souffre en fait Ă cause de vous. Tout ce que je voulais, câĂ©tait arrĂȘter la guerre entre nous et recommencer Ă nous aimer. Je voulais que nous recommencions ensemble, pas de maniĂšre sĂ©parĂ©e. Tout ce que je voulais, câĂ©tait vous rappeler que nous sommes juste pliĂ©s, gĂąchĂ©s et perdus. Mais nous ne sommes pas totalement dĂ©truits, et nous pourrions encore rĂ©parer les morceaux brisĂ©s de nous avec notre amour Ă©ternel. Je voulais que nous guĂ©rissions et que nous nous choisissions lâun lâautre. Mais ce qui est dĂ©chirant, câest que tu as choisi de tuer ce petit espoir dans mon cĆur que nous soyons Ă nouveau ensemble. Nous avons choisi la guerre plutĂŽt que lâamour. Et maintenant, je peux malheureusement dire que lâamour ne gagne pas toujours.
Shiori X
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aventure estivale
Cet Ă©tĂ© il y a eu R2 (2 parce que mon ex câĂ©tait R, dĂ©cidĂ©ment !). R2 câest le petit fils Ă papa de 19 ans, en Ă©cole de commerce et qui nâa jamais manquĂ© de rien. On travaillait ensemble dans un glacier. Son ami Ă©tait notre autre collĂšgue,E., 19 ans et en Ă©cole de commerce aussi, avec un papa blindĂ© de thunes mais disons moins gĂ©nĂ©reux. On Ă©tait trois au dĂ©but puis au bout dâune semaine une autre collĂšgue nous a rejoint, M., 27 ans. Le cadre Ă©tait posĂ©, lâĂ©tĂ© pouvait se dĂ©rouler sans encombre (Dieu sait quâil y en a eu, des encombres). R2 et moi ca a tout de suite accrochĂ©, il Ă©tait extraverti mais calme et posĂ© et a directement voulu me mettre Ă lâaise. On avait des passions communes et surtout on passait le plus clair de notre temps Ă parler ensemble de tout et de rien, de littĂ©rature, de musique, de bijoux ou de montres, de nos visions diamĂ©tralement opposĂ©es sur la politique ou son parcours religieux (Ă moi lâathĂ©e depuis toujours) sans aucun accroc, toujours dans le respect la tolĂ©rance, juste des partages de savoirs. Lorsque le travail devenait trop pĂ©nible pour moi, il le remarquait, mâapportait une glace ou une crĂȘpe Ă manger et surtout me faisait parler de mes passions pour me redonner le sourire. Il Ă©tait cultivĂ© et câĂ©tait un vrai bonheur de discuter avec lui. Lorsque jâĂ©tais en crise de larmes il me tenait la main ou me prenait dans ses bras (sĂ»rement des gestes anodins pour lui mais pour moi ça reste spĂ©cial, je ne suis pas tactile, seulement avec les gens que jâapprĂ©cie) les deux mois se sont passĂ©s comme cela et pour son dernier jour, les collĂšgues et moi sommes allĂ©s au casino (ma premiĂšre et derniĂšre fois, jâai dâailleurs gagnĂ© 30⏠lĂ -bas). Au moment de rentrer il avait dit au revoir Ă mes collĂšgues et jâĂ©tais ailleurs. Il est venu vers moi et mâa dit « il ne reste plus que toi » il mâa serrĂ© fort dans ses bras pendant un moment et mâa dit « si tu passes en SuĂšde viens me voir » (ahah) et il a terminĂ© par un « on se reverra. » on sâest lĂąchĂ© et on est partis. Je nâai rien fait pour garder le contact avec lui, jâai son numĂ©ro mais jamais je lâutiliserai. Je crois que je prĂ©fĂšre que ça se termine comme ça dâune certaine maniĂšre.
Jâai eu un coup de cĆur immense pour cette personne, parce quâen plus dâĂȘtre beau il Ă©tait vraiment intĂ©ressant (premiĂšre fois que je ressens quelque chose de la sorte en dehors de mes amis). Alors oui, de son cĂŽtĂ© ça nâĂ©tait sĂ»rement pas comme ça (et jâaime penser comme ça, ça dĂ©truit tout espoir). Du mien non plus dâailleurs ce nâest pas vraiment clair, câĂ©tait platonique mais trĂšs fort, câĂ©tait vraiment agrĂ©able. Je ne lâoublierai pas de sitĂŽt.
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Jâai envie de tâĂ©crire des choses mais je me retiens. Je ne sais pas comment je dois me comporter. Sache juste une chose câest que je tâaime. Je tâaime plus que tout et câest dur de porter tout cet amour. Et je tâaime toujours autant. Jâaimerai quâon se sente mieux, que tu ailles mieux, que jâaille mieux, que tâavances et que jâavance. Jâaimerai reprendre ma vie, me sentir en vie, , belle solaire et complĂšte et plus surtout ne plus ĂȘtre triste mais ensemble on y arrive plus et paradoxalement je sais trĂšs bien que je ne peux pas ĂȘtre tout ça sans toi. Tu sais tout ça comme nous lâĂ©tions avant, avant cette cassure, avant cette noyade oĂč nous nâarrivons malheureusement pas Ă remonter Ă la surface ensemble malgrĂ© que sans nos mains qui se tiennent ne pouvons pas remonter et liĂ©s nous nây arrivons pas non plus. DĂšs que je pense Ă toi mon cĆur se serre si fort car je voudrais juste venir te chercher et que lâon parte dans un monde qui pourrait porter notre amour et ne pas le dĂ©truire. Câest tellement dur de renoncer Ă la personne que jâadmire et que jâaime le plus sur cette terre qui me fait autant de mal que de bien. Je suis tiraillĂ©e par tout ça câest tellement dur comme sensation. Jâai lâimpression que nous sommes tous les deux en exil lâun de lâautre depuis des mois inlassablement sans jamais rĂ©ussir Ă se rattraper malgrĂ© cette course effrĂ©nĂ©e pour essayer essayer essayer⊠Dans un dĂ©sert Ă©motionnel, dans cet endroit en nous oĂč il y que nous face Ă nous-mĂȘmes mais Ă©trangement je suis pas moi-mĂȘme quand tu nâes pas lĂ alors que je nâarrive plus Ă lâĂȘtre Ă©galement quand tu es lĂ . Et que lâon doit Ă©teindre la lumiĂšre qui nous guidait jusquâĂ prĂ©sent. Câest tellement effrayant lâobscuritĂ©. Mais faut-il vraiment vraiment lâĂ©teindre, parce que je ne sais pas si on arrivera Ă la rallumer et lâĂ©teindre dĂ©finitivement câest mâĂ©loigner de toi Ă jamais et câest insupportable Ă imaginer. Mais pouvons-nous encore faire du sur place ? Pardon tout ça est Ă©crit sans mâĂȘtre relue alors que je voudrais tâĂ©crire de grandes choses qui sâimprimeraient dans ton cĆur. Et si tu as peur, et si tu ne sais pas, si tu ne sais plus : sens ma lettre jây ai laissĂ© mon odeur pour que tu saches que je ne serais jamais bien loin de toi.. Ă jamais.
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Me sens-tu te caresser du regard quand tes fossettes apparaissent ?
Me vois-tu Ă©piant le moindre de tes gestes ?
Me sens-tu compter ta respiration quand tu es dans mes bras ?
Ton ùme liée à jamais à la mienne.
Et mĂȘme si toutes ces conneries sont fausses saches que ça n'a aucune importance.
Car tu es le pont qui me relie de la mort Ă la vie et je suis ton arc-en-ciel entre ta fatigue et ta folie.
Et quand tout sera fini, quand notre course sera achevée, on s'installera là sur l'ßle déserte, notre plage sacrée, comptant les étoiles.
Mais les constellations dans le ciel ne seront pas Ă la hauteur de l'univers que je vois quand je plonge dans tes yeux.
Alors je sais que je suis folle et loin d'ĂȘtre parfaite, mais c'est ma folie qui t'a attirĂ©.
Et tu m'as apprivoisé comme un animal sauvage, alors que mes griffes acérées t'avaient déjà blessé.
Alors ne penses-tu pas que notre amour est au-delà de toutes ces inquiétudes qu'on peut avoir ?
Car nous sommes plus que des pions dans un échiquier, nous avons contourné les rÚgles de l'Univers pour se retrouver alors que mon monde entrait sans cesse en collision avec le tien.
Mais nous avons survécu malgré ces apocalypses. Et l'arbre tourmenté par le vent sauvage au bord de la falaise ne se laisse pas mourir, il s'acclimate, il devient plus fort.
N'est-ce pas ?
Alors relie ta conscience à la mienne, relie ta volonté à la mienne, relie ton existence...
Accroche-toi Ă moi,
Noie-toi dans les limbes avec moi,
Qu'on puisse visiter le paradis ensemble,
Mais ne me quitte pas.
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Voisins en fĂȘte...
Le ''comitĂ© ThĂ©odule'' dit ou prĂ©tendu chargĂ© de l'organisation des jours qui sont dĂ©diĂ©s Ă telle ou telle prioritĂ© dont la vaste majoritĂ© des gens normaux se fout royalement (nous avions consacrĂ© tout un Ă©dito Ă ce truc ridicule, l'an dernier) nous fait chaque annĂ©e depuis 25 ans, le coup de nous recommander d'aimer nos voisins un jour dans l'annĂ©e. Le reste du temps, et mĂȘme plus si aucune affinitĂ©, on peut les dĂ©tester, les snober ou les ignorer, mais ce jour-lĂ , il faut les aimer... Par dĂ©cret.
Ăa doit ĂȘtre bon pour la santĂ©, puisque c'est Ă©crit ans le calendrier secret de l'espĂšce de franc- maçonnerie non officielle qui truste les pires idĂ©es, de maniĂšre Ă remplacer les fĂȘtes des saints, (cette abominable coutume des cathos qui commĂ©morent une fĂȘte chaque jour autour d'un sujet diffĂ©rent et mĂȘme pas laĂŻc !). Le fait que ces ennemis de tout progrĂšs fĂȘtaient, eux, la Visitation de la Vierge Marie, pendant que nous fĂȘtions joyeusement nos chers (ce jour-lĂ uniquement) voisins, suffit Ă dĂ©montrer Ă quel point ils sont pĂ©rimĂ©s, dĂ©modĂ©s, nĂ©fastes Ă la sociĂ©tĂ© et malsains pour l'humanitĂ©Â !
Pour les gens ''dans le coup'', dignes de voter, de passer Ă la tĂ©lĂ©, modernes et vaccinĂ©s au moins 8 fois contre le covid (et se demandant depuis avec anxiĂ©tĂ© quelle suites ils vont avoir, aprĂšs cette mauvaise idĂ©e qu'ils regrettent amĂšrement), pour nous les Ă©voluĂ©s, les progressistes, les amis de nos voisins (une fois par an... mais on ne va pas se gĂąter le plaisir en le rĂ©pĂ©tant tout le temps !) c'est le bonheur de faire claquer le bouchon de l'unique bouteille de champagne (marque ''Sire de BeauprĂ©, Ă 2âŹ23. Bon, d'accord, c'est du crĂ©mant ! A ce prix-lĂ , vous ne voudriez pas, en plus...) Mais pour d'autres, les mal embouchĂ©s, quelle corvĂ©e ça doit ĂȘtre de faire semblant de trouver sympathiques des gens dont on ne sait rien d'autre que ''leurs enfants sont mal Ă©levĂ©s et ne disent jamais bonjour''. Bien fait pour eux !). Mais seul le conformisme est Ă la mode, dans ce qui reste de la France aprĂšs 7 ou 8 ans de macronisme totalement dĂ©civilisant : il faut faire ce qu'on vous dit, au moment oĂč on vous le dit, de la maniĂšre qu'on vous dit... Donc, il faut fĂȘter les voisins.
A propos de voisins, il va trĂšs bientĂŽt falloir aller voter pour ou contre ''vivre ensemble'' avec nos voisins du niveau au dessus : les europĂ©ens... Il faut les aimer, puisque Macron le dit, et il nous dit mĂȘme pourquoi : ''Parce que tous ensemble, nous serons plus forts, on s'en sortira mieux !'' ⊠et ça doit ĂȘtre vrai, puisqu'il le dit (NB : tout de mĂȘme il ne dit pas de quoi on se sortira mieux !) ! D'ailleurs, y a qu'Ă voir comme on est devenu plus riches, plus intelligents, plus fiers de ce que nous sommes, plus forts âc'est le mot con sacrĂ© (les deux, mon gĂ©nĂ©ral !). Tiens... Si on se compare avec la Suisse ou les USA, avec lesquels nous jouions dans la mĂȘme catĂ©gorie, la premiĂšre, il y a dix ans encore... ils ont fait deux fois mieux que nous sur absolument tous les sujets, depuis que nous avons subordonnĂ© notre emblĂšme ex-tricolore devenu⊠blĂšme, justement, Ă l'abstraction dodĂ©ca-Ă©toilĂ©e de l'Europe progressiste qui nous ramĂšne Ă notre ''ppcm''... On erre dans les classements, entre les rĂ©publiques bananiĂšres et les Etats dictatoriaux et corrompus. Bien jouĂ©, les gars !
Ah ! L'Europe, qu'ils disent tous, dans le petit Ă©cran, sans jamais prĂ©ciser de maniĂšre crĂ©dible ce que cela a de bon âen dehors de la satisfaction de quelques fantasmes du genre ''plus qu'on est gros, moins qu'on est maigre''. Alors... Bon ! L'Europe... soit ! Va pour les idĂ©es liberticides, les technocrates, les usines Ă gaz, l'art de tout compliquer et la technocratie (Dame ! Il faut que ça convienne Ă tous !), le mĂ©contentement des peuples (mais la joie des ''Ă©lites'') et le fait de mettre tout le monde dans les rues d'un bout Ă l'autre de notre continent, cet ex-''phare du monde'' devenu⊠incontinent !
Franchement... avez-vous remarquĂ© comme le seul fait de prononcer ce mot (j'ai eu envie d'Ă©crire ''dĂšs ce maudit mot dit'', mais c'Ă©tait un peu tirĂ© par les cheveux... Je vous en fait grĂące !) fait que tout le monde baille ? Et on s'Ă©tonne que les jeunes ''s'abtentionnent'', comme je l'ai entendu dire l'autre jour ! MĂȘme nos Ă©pouvantables irresponsables politiques l'ont compris : ils ne parlent que d'enjeux nationaux ! Le seul sujet qui intĂ©resse nos ''Ă©lites'' (?) dans la campagne des europĂ©ennes est, en pensant Ă leurs prĂ©bendes  : Qui va prendre sa pĂątĂ©e et qui va sauver les meubles ? Autres questions : est-ce que la valetaille macroniste, tellement nulle, tellement bornĂ©e, tellement stupide, etc... (la liste est inter minable, encore une fois en deux mots ⊠mais en mille et un maux !) va boire la tasse et ''en prendre une bonne, pour lui apprendre qu'on n'est pas des cons'' ? Et est-ce que les Ă©colos vont enfin disparaĂźtre des tableaux de rĂ©sultats, aprĂšs nous avoir tellement fait peur en agitant des craintes sorties de crĂ©dulitĂ©s de l'an mil... ? Et, surtout, est-ce qu'un vrai français, qui aimerait la France pour ce qu'elle est plutĂŽt que ''telle qu'elle devrait disparaĂźtre'' va se lever et faire ''ce qu'il faut'' (NDLR : = exactement le contraire de ce qui a Ă©tĂ© fait depuis 1974, et qui nous a conduits dans l'impasse oĂč nous sommes engluĂ©s ?).
Des noms circulent... Mais dĂšs qu'un clampin ose sortir du cadre rigide et mortifĂšre actuel, tous les journaleux se dressent comme une fausse Statue du Commandeur, et blatĂšrent pis que pendre sur... ce qu'ils n'ont jamais lu, ni Ă©coutĂ©, ni feuilletĂ©, ni âsurtout-- compris. Bardella-Marine ? Marion-Zemmour ? Le chef de l'Etat passe son temps inutile Ă parcourir son Europe, celle des ultimes progressistes encore bernĂ©s-toujours bornĂ©s, pour aller dire aux slovĂšnes, aux souabes, aux finnois ou aux ukrainiens (Ah ! Ceux-lĂ ... Son faible pour eux finira bien par nous foutre dans la m.... ! En tout cas, il aura fait tout ce qu'il peut pour que ''ça pĂšte pour de bon'' !) Ă quel point ils ne devraient pas voter pour les Droites françaises... ce dont tous ces peuples se foutent complĂštement. Le suspense est entier... ce qui nous ramĂšne Ă la morale de la fĂȘte des voisins : ''Quand ça veut pas, ça veut pas'' !
H-Cl.
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Champs-les-Sims - Automne 1910
1/6
Cher cousin,
Je vous Ă©crit depuis ThĂšbes et je suis fort satisfait de vous savoir en Egypte Ă©galement. Il est fort dommage que je ne puisse vous rejoindre Ă Amarna pour quelques jours, Dieu sait pourtant Ă quel point le travail que vous faites lĂ -bas est central dans notre discipline. HĂ©las, mes fonctions en tant que directeur des fouilles accapare presque tout mon temps et je passe le peu de moments qu'il me reste avec ma douce Albertine. J'ai d'ailleurs dĂ©cidĂ© d'initier mon Ă©pouse Ă une activitĂ© fort plaisante que je pratique parfois pour maintenir un semblant de forme physique : la natation. Elle s'est d'abord montrĂ©e fort sceptique quand Ă la suretĂ© de ce sport et je conviens que le Nil n'a rien Ă voir avec la Bernon (la petite riviĂšre qui coule en contrebat de chez Adelphe), surtout en ce qui concerne sa faune locale que l'on pourrait qualifier de particuliĂšrement carnassiĂšre. Je lui ai bien entendu assurĂ© que le dernier hippopotame Ă©gyptien a Ă©tĂ© abattu il y bientĂŽt un siĂšcle et que les crocodiles locaux sont des proies tellement prisĂ©es de nos jours que le risque s'en retrouve rĂ©duit. DĂšs lors rassurĂ©e, nous avons pratiquĂ© ensemble cette activitĂ© avec une certaine rĂ©gularitĂ©. Il faut reconnaĂźtre qu'aprĂšs une journĂ©e sur le chantier, cela apporte un dĂ©lassement aux membres sans nul autre pareil. A l'occasion de l'AĂŻd al-Fitr (la fĂȘte islamique qui marque la rupture du jeun), alors que nos ouvriers ne pouvaient travailler, j'ai emmenĂ© Albertine quelques jours au sud, au-delĂ de la premiĂšre cataracte, au magnifique temple ramesside d'Abou Simbel. Nous nous sommes bien entendu baignĂ© de nuit Ă ses pieds, et elle m'a confiĂ© que c'est le geste le plus romantique que j'eu jamais manifestĂ© Ă son encontre. Un Ă©minent spĂ©cialiste allemand de la faune endĂ©mique de la rĂ©gion de Begah, rencontrĂ© Ă Elephantine, me confia plus tard qu'on trouve dans les environs de cette Ăźle une population encore importante de "crocodylus nilocus" et que l'on peut s'en rĂ©jouir.
#lebris#lebrisgens4#legacy challenge#decades challenge#history challenge#sims 3#nohomechallenge#simblr#sims stories#ts3#Constantin Le Bris#Albertine Maigret#Jules Le Bris#Adelphe Barbois
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Les Chroniques de LivaĂŻ #554 ~Â L'INSOUCIANCE NE S'IMPROVISE PAS (septembre 846) Kryshan
L'histoire de LivaĂŻ comme vous ne l'avez jamais lue. âLe personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité⊠Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de rĂ©pondre Ă ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensĂ©es, des Ă©preuves qu'il a traversĂ©es, ainsi que celles des personnes qui l'ont cĂŽtoyĂ©, aimĂ©, admirĂ©, craint, dĂ©testĂ©. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertĂ©s seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront Ă©galement de mon invention. LivaĂŻ, un homme que l'on croit invincible et inatteignable⊠Est-ce bien sĂ»r ? Jugez-en par vous-mĂȘmes.
Le caporal-chef nous fait suffisamment confiance pour nous laisser nous débrouiller, j'en suis trÚs fier ! On va patrouiller dans la zone à la recherche de beaux titans à amener au chef Hanji, elle sera contente.
Son enthousiasme face Ă son captif Ă©tait communicatif ; mĂȘme si les titans m'inspirent plus de tristesse qu'autre chose... Elle semble avoir Ă coeur d'apprendre tout ce qu'elle peut d'eux. le caporal n'est pas de cet avis, il n'a pas cessĂ© de rouspĂ©ter depuis que nous sommes partis. Hier soir dĂ©jĂ , il Ă©tait Ă deux doigts de se rebeller contre l'ordre du major, ce qui aurait Ă©tĂ© une premiĂšre. Mais mĂȘme lui ne peut pas se permettre ça. Il a fait bonne figure mais on sait tous ce qu'il en pense. Pour lui, tout ceci ne sert Ă rien, les titans sont des ennemis Ă abattre, un point c'est tout.
Je suis partagĂ© sur la question. Je ne sais pas si ça nous mĂšnera quelque part, mais ce serait bien si le caporal se montrait plus coopĂ©ratif et comprĂ©hensif avec sa collĂšgue. Mais l'imprudence du chef Hanji le met hors de lui. Ils sont pas du tout sur la mĂȘme ligne lĂ -dessus, haha ! Si j'en crois Gunther, c'est un vrai miracle si ces deux-lĂ ne sont pas encore Ă©charpĂ©s, alors espĂ©rons que la journĂ©e se finisse bien.
Pour l'instant, dirigeons-nous vers le Mur ; le caporal nous y a envoyĂ©s parce que le major voudra peut-ĂȘtre un rapport. Et aussi parce que l'Ă©quipe de Zacharias est partie dans cette direction. Il vaut mieux rester pas loin d'eux, en soutien. On a quasiment pas eu de contacts, mais ce sont des tĂ©mĂ©raires, ils foncent vers le danger sans rĂ©flĂ©chir. Il est prĂ©fĂ©rable aller Ă leur rencontre et les encadrer.
Wouah, je me mets à réfléchir comme un chef d'escouade maintenant ! Tu y crois, Ber ? Il ne me répond pas et nous continuons de slalomer entre les arbres jusqu'à la muraille imposante. Il y a quelques mÚtres à parcourir à pieds avant de l'atteindre, puis nous plantons ensemble nos grappins pour nous propulser dans les airs. Cette sensation de filer comme le vent le long de la façade est incroyable, aucune ne peut s'y comparer !
Nous courons sur la surface afin de nous diriger lĂ oĂč le major est censĂ© se trouver. Suspendus au rempart, nous voyons le grand homme se pencher vers nous et exiger des nouvelles. Tout va bien, major, aucun blessĂ©. Les Ă©quipes fonctionnent bien et le capitaine Hanji procĂšde Ă des examens et rĂ©cupĂ©ration de matĂ©riaux de recherche sur les titans capturĂ©s.
J'ai adopté le ton le plus professionnel dont je suis capable, remarquant bien tout le monde qui se presse tout autour, avide de m'entendre. Je me sens tout d'un coup trÚs important, et, mieux que tout, personne ne semble intéressé par notre apparence, à mon frÚre et moi, ce qui me soulage.
Le major me demande oĂč se trouve le caporal. Il est parti rejoindre nos camarades, au sud. Il est ravi d'avoir pu aider le capitaine Hanji dans son projet... Ber me fourre le coude dans les cotes discrĂštement mais je l'ignore. C'est vrai, non ? Bon, j'ai peut-ĂȘtre pas utilisĂ© le terme exact, mais il faut bien enjoliver un peu les choses, pour ceux qui Ă©coutent... Et puis au moins, je mets pas le caporal dans l'embarras, personne a besoin de savoir pour les disputes...
J'ai à peine eu le temps de communiquer ça à Bernon que le capitaine Zacharias, lui aussi penché sur nous, se redresse d'un coup et indique du doigt une direction, les sourcils froncés. Je suis son geste et distingue alors au loin, à quelques kilomÚtres du Mur, un signal de fumée. De détresse, en fait ! Il vient de loin... C'est l'équipe des casse-cous, c'est sûr ! Que font-ils si loin là -bas ? Ils ont du courser un titan et se font fait coincer ! Major, nous y allons de suite !
Il approuve de la tĂȘte et nous laisse nous envoler. Ber et moi filons le long de la muraille, les yeux fixĂ©s sur le point prĂ©cis d'oĂč s'Ă©lĂšve le panache de fumĂ©e ; ce n'est pas censĂ© ĂȘtre notre secteur, mais peut-ĂȘtre se sont-ils mis en tĂȘte de faire barrage face Ă un groupe de grands gabarits. S'ils ont cru bon de lancer cette fusĂ©e, c'est qu'ils sont vraiment en difficultĂ© !
Ber, reste en arriÚre ! Je vais voir en premier comment ça se présente, réserve tes forces ! Il approuve silencieusement et perd de la vitesse afin de me laisser passer devant. Nos réserves de gaz ne sont guÚre entamées - nous avons fait le plein durant notre pause prÚs du poste de capture - mais autant ne pas le gaspiller ; sans compter que les arbres se font plus rares par ici, nous devons étudier notre trajectoire.
Je saisis vite la situation, en un clin d'oeil. Une mĂȘlĂ©e de titans - dont au moins deux dĂ©viants d'aprĂšs ce que je vois - est lancĂ©e aux trousses de nos tĂȘtes brĂ»lĂ©es. Elles tentent de leur Ă©chapper en s'Ă©parpillant parmi les quelques arbres, mais leur manĂšge ne durera pas. Les grandes mains baladeuses commencent dĂ©jĂ Ă Ă©carter les branches...
Ok, Ber, changement de plan. On y va tous les deux et on donne tout ce qu'on a, ou cette journĂ©e va finir en bain de sang. Le caporal a peut-ĂȘtre vu le signal mais il est loin, il pourra pas rappliquer Ă temps sans cheval. C'est Ă nous de jouer ! On doit faire en sorte de les couvrir afin qu'ils puissent se mettre Ă l'abri sur Rose ! Ce qui implique de tuer un maximum de ces monstres ! Je vais m'appliquer pour les coups de grĂące, quant Ă toi, te mets pas en danger, ne frappe qu'au bon moment !
Sont-ils encore tous en vie ? Qu'importe, je fonds sur le titan le plus proche. Ber l'anticipe comme Ă son habitude et se dirige vers le second. Merde, les casse-cous sont dispersĂ©s, c'est pas simple pour nous ! Il faudrait qu'ils se regroupent... J'ai pas le choix. Je me pose Ă terre et me mets Ă gueuler ! Heeeey ! Ecoutez ! Le Mur Rose est dans cette direction ! Allez-y et on s'occupe d'eux ! J'agite mes lames pour attirer l'attention des gĂ©ants et je suis soulagĂ© quand j'y parviens. Je redĂ©colle enfin en plantant mes filins dans le corps du plus proche, mais sa nuque ne se dĂ©voile pas tout de suite, je dois tourner autour de lui. Il balance son bras vers moi comme si j'Ă©tais un moustique gĂȘnant et je dĂ©cide de m'en dĂ©barrasser. Le membre vole dans les airs, me laissant le champ libre vers son point faible. Je virevolte vers son cou et frappe juste un peu trop court ; ma lame ne fait qu'entamer la chair. Le point fatal est juste un peu plus profond... Je refais un passage et taillade plus mortellement cette fois. Le titan tressaute, tourne sur lui-mĂȘme, et s'Ă©coule Ă terre.
Un soldat Ă©reintĂ©, le visage sale, se pose prĂšs de moi. Je me souviens pas de l'avoir dĂ©jĂ vu mais je lis la gratitude sur ses traits, mĂȘme s'il ne se dĂ©fait pas de son air suffisant. Aah, la vanitĂ© des jeunes recrues ! Bah, les remerciements seront pour plus tard. Tu as du gaz encore ? Il acquiesce. Dans ce cas, va au Mur Rose. Il refuse tout net, affirmant qu'il peut aussi se battre. Si tu veux, je suis pas ton chef, mais ma position me permet quand mĂȘme de te donner des ordres. Si ça chauffe trop, tu te tires, d'accord ? Il s'Ă©loigne sans mot dire, tandis que d'autres titans se prĂ©sentent.
Jetant un oeil plus loin, je distingue un carnage de bras et de jambes qui volent dans tous les sens. Eh bien, soit Ber est en pleine forme, soit il a galvanisĂ© les casse-cous ! Ou alors... merde, c'est peut-ĂȘtre mauvais signe ! S'il Ă©tait arrivĂ© quelque chose Ă mon frĂšre, je le saurais, car nous sommes constamment connectĂ©s. Je le sens trĂšs concentrĂ©, trĂšs calme... Il prĂ©pare un coup fatal. Ce n'est pas lui qui dĂ©coupe ces titans, je pense...
Je dois y aller ! C'est une chance que toute la horde se soit rassemblée ! Laisse-m'en quelques-uns, frérot ! Je décolle en faisant vrombir ma bobine, les pieds en avant, et atterrit sur le dos d'un des monstres. Je cours à la vertical, passe sur son épaule, observe un peu ce qui se passe, avant de m'élancer de nouveau dans les airs, évitant de peu ses mùchoires claquantes ! Trop lent, mon gros ! Il tente de me saisir et je lui sectionne le poignet ; puis je reviens aussitÎt vers son visage pour zébrer ses yeux.
Rendu aveugle, il bouscule ses copains dĂ©jĂ handicapĂ©s qui chutent les uns aprĂšs les autres. Un bon coup, ça ! J'aperçois Ber qui Ă©merge de la mĂȘlĂ©e, prĂȘt Ă distribuer ces bottes mortelles. Dans le mĂȘme mouvement, trois autres soldats s'extirpent aussi de l'amas de corps gĂ©ants, en criant comme pour se donner du courage. Ok, ça fait donc quatre, il en manque un ! OĂč est le dernier ? J'entends alors des plaintes Ă©touffĂ©s, et la vision d'un corps gigotant entre les dents blanches d'un titan fait bouillir mon sang... Pas de mort aujourd'hui !
Mais mon angle d'attaque n'est pas le bon. Les tĂȘtes des autres gĂ©ants se trouvent sur ma trajectoire et je sais que je ne vais pas y arriver... Ber, oĂč es-tu ?! C'est urgent, laisse tomber les autres, y'en a un qui va se faire bouffer ! A peine ai-je formulĂ© cet appel mental qu'un Ă©clat de lumiĂšre vient me frapper en pleine face et la mort fond sur la nuque du titan prĂȘt Ă festoyer ! Le coup est si fort que la tĂȘte jaillit du cou, comme un bouchon, et vient frapper un arbre avec violence.
Je me prĂ©cipite vers elle, terrifiĂ© Ă l'idĂ©e de l'Ă©tat dans lequel je vais retrouver le malheureux... Je distingue la silhouette du soldat qui se glisse de sous la tĂȘte dĂ©capitĂ©e, secouĂ© mais bien Ă©veillĂ©. Ouf, il a ses jambes ! Je le voyais bien revenir amputĂ© ! Bien jouĂ©, Ber !
Le "malheureux" s'avĂšre ĂȘtre une "malheureuse" en fait. Qui aime jurer, d'aprĂšs ce que j'entends ! Elle jette Ă la tĂȘte du titan qui commence Ă s'Ă©vaporer un flot de jurons bien sentis, puis se met Ă boiter en venant s'appuyer sur une pierre. Une cascade de cheveux flamboyants vient couler sur sa cape verte et elle essaie tant bien que mal de les attacher de nouveau. On a pas le temps ! Ber s'occupe d'achever les survivants derriĂšre mais il faut pas traĂźner, si d'autres se pointent !
Je me pose prĂšs d'elle et lui demande si elle a quelque chose de cassĂ©. Elle se masse les cuisses et se dĂ©barrasse de sa botte gauche lacĂ©rĂ©e en la balançant par dessus sa tĂȘte. Je comprends que ses jambes ne fonctionnent plus pour le moment. Son Ă©quipement est pas en meilleur Ă©tat, broyĂ© par les mĂąchoires... Ok, on va faire au plus simple. Tu vas monter sur mon dos et je vais nous propulser vers Rose. Tu peux faire ça ?
Pour la premiĂšre fois, elle fixe son regard sur moi et je note qu'il est trĂšs intimidant. C'est comme si je n'avais pas existĂ© avant cet instant. Ses yeux sont d'un noisette trĂšs clair, presque dorĂ©, et ses joues couvertes de taches de rousseur. Elle m'aurait paru charmante dans toute autre situation mais un tĂȘte-Ă -tĂȘte avec les titans n'a rien de romantique !
Si tu veux vivre, tu dois t'en remettre Ă moi. Allez, grimpe ! Elle hĂ©site un instant, n'ayant pas escomptĂ© un contact physique aussi rapprochĂ© avec quelqu'un aujourd'hui, mais devant la menace des titans dont les membres commencent Ă repousser - et je crois que leur nombre a augmentĂ© ! -, elle finit par obtempĂ©rer. Elle coupe les courroies de son dispositif et saute sur mon dos. Ber, on se replie, suis-nous ! J'entends mon frĂšre me rĂ©pondre faiblement et je le cherche des yeux. Il nous a dĂ©jĂ devancĂ©s ; je l'aperçois s'envoler juste au-dessus de nous, hĂ©sitant Ă quitter les lieux tant que nous ne serons pas nous-mĂȘmes en vol.
C'est la premiÚre fois que je fais ça. Je sais que c'est possible en théorie... Je me relÚve difficilement - la fille est plus lourde que je ne le pensais - et calcule ma trajectoire parmi les arbres jusqu'à Rose. Si je me loupe, on tombe tous les deux ! Allez, accroche-toi, c'est parti !
Je plante mon grappin dans un arbre proche et enclenche les gaz. Le souffle Ă peine prĂ©cipitĂ© de ma camarade se fond dans celui du vent qui file, et tout Ă coup le poids se fait moins lourd. Je prends de la vitesse, Ă peine gĂȘnĂ© par les cuisses de la fille serrĂ©es autour de ma taille, et le Mur se rapproche alors trĂšs vite. GĂ©nial, on va y arriver ! Ber me prĂ©cĂšde et prend mĂȘme le temps d'Ă©liminer un titan qui a eu l'imprudence de sauter pour tenter de nous gober ! Il l'a bien cherchĂ© !
Enfin, mon crochet s'agrippe à la jupe de Rose ! Ca a été facile finalement ! Je négocie mon atterrissage, mais je jauge mal nos deux poids conjugués et mon dernier mouvement manque d'élégance ! On s'en fout, on est vivants ! Je rembobine le filin et vise le parapet avec l'autre grappin, ce qui me permet de nous hisser sur le rempart. La fille et moi nous étalons par terre, essoufflés, et elle est vite placée sur un brancard sous les yeux du major qui a eu le temps d'accourir vers nous. Je me retourne sur le ventre et mes yeux plongent dans le vide qui s'ouvre sous moi... Je sens comme une aspiration fatale... C'est alors que le caporal surgit comme un diable de sa boßte, courant le long du Mur vers moi, pour me repousser en arriÚre. Il a l'air super inquiet, ce qui est exceptionnel.
Vous inquiétez pas, on a géré. Ils sont tous là , je pense... Ouf... je suis vanné mais c'était génial ! Enfin pas si génial que ça, mais... enfin, vous voyez ce que je veux dire ! Ca aurait pu mal finir et... la sensation du devoir accompli, quoi !...
Je lis dans ses yeux qu'il comprend trÚs bien ce que je veux dire. Je lÚve le pouce en l'air en signe de victoire et j'aperçois à peine Ber se précipitant sur moi avant de me décider à perdre connaissance...
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