#enduit
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imipierre-sculpteur · 3 months ago
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Bientôt un nouvel outil en vente ✔️ peau à texturer les bétons et enduits 👌🏻
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petitmonsieur1 · 2 years ago
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mestravauxmaison · 2 months ago
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patchwork-inspirations · 9 months ago
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Enduire un mur soi-même : quelques tips
https://patchwork.kessel.media/posts/pst_2b11bb6960d747da853fac90e020c002/03-entrez-je-vous-en-prie
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timelordoflumpyspace · 2 years ago
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Library Paris Example of a mid-sized contemporary open concept family room library with white walls, a corner fireplace, a brick fireplace, and no television.
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obtravaux · 2 years ago
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zjmsd · 4 months ago
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18 Onces 1000D1300D 18X17 Couverture De Camion Tissu Polyester Enduit De PVC
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crappyassdrawings · 1 year ago
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Living Room - Library
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Mid-sized traditional enclosed living room library idea with gray walls, a hidden television, and no fireplace.
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lillu-kr · 2 years ago
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Pool in Lyon
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Ideas for a large, modern rooftop remodel with a rectangular infinity pool
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imipierre-sculpteur · 6 months ago
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Imitation brique au centre de formation IMIPIERRE
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orageusealizarine · 8 months ago
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Le soleil bat furieux dans tes veines offertes
À mes baisers soyeux et mes tendres morsures,
Faisant sourdre le sang à mes lèvres ouvertes
Enduites de nos miels, nos soleils, nos brûlures
Qu’exhalent nos luxures.
Nos baisers recherchés et nos langues avides
Goûtent la volupté à s’étreindre pâmées,
À s’unir, se quitter en salive semées.
Je suis émerveillée de nos unions sapides,
De tes mains tant aimées.
Si savoureusement, j’ai mâché nos délices,
Nos rires, nos gaietés et frissons extatiques
Ardemment partagés entre nos corps complices.
Dans ma bouche élogieuse mes paroles magiques
Célèbrent nos musiques.
Je veux chanter en plain nos plaisirs et nos joies,
Crier à pleine voix moduler nos ivresses,
Que l’amour avec toi s’épanouisse en liesses
Et miauler d’allégresse au froissé de mes soies
Dérangées de caresses.
Pour dire nos bonheurs, chasser les amours tristes
Violents et torturés – car nos peaux sensuelles
Et nos cœurs excités en nos âmes hédonistes
Connaissent des plaisirs aux saveurs éternelles
Et aux douceurs charnelles.
Ah oui, j'ai tant senti nos chairs épanouies
Sous nos accords puissants, nos extases brûlantes
Expirant dans nos nuits, à jamais renaissantes…
Au faîte du désir, nos nudités fleuries
Sont des flammes amantes.
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mestravauxmaison · 2 months ago
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francepittoresque · 2 months ago
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28 janvier 1393 : Charles VI manque d’être brûlé lors d'un bal ➽ http://bit.ly/Bal-Ardents Ainsi que quatre autres personnes, le roi se déguisa en sauvage et était revêtu d'une toile de lin enduite de poix-résine pour faire tenir une toison d’étoupes le faisant paraître velu de la tête aux pieds
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aisakalegacy · 1 month ago
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (10/27)
Lola est la dernière des enfants naturels de mes parents, et, à nos yeux à tous, elle a toujours été le bébé de la famille. Je me suis plu à m’occuper d’elle, de ma petite sœur, dès sa toute petite enfance, quand Papa était en Egypte. Ce bébé gai, qui riait en permanence, est devenu une petite fille pleine de vie et le prétexte idéal pour négliger mes études. J’ai passé mes soirées à lui lire des histoires plutôt qu’à faire des équations. Quand elle était triste à cause de quelque chose, je l’étais aussi, mais j'avais cependant ce plaisir égoïste et coupable de savoir que j’allais pouvoir la réconforter. 
Tout ce qu’elle fait et tout ce qu’elle ressent, elle le fait avec intensité. Je pense à ses trépignations semi capricieuses quand ses yeux s’éclairent à la vision d’un marchand de crème glacée à la foire, à ses larmes lorsque sa boule vanille est tombée sur le sol et qu’elle s’en est trouvée inconsolable, je pense à tous ses jeux et aux histoires qu’elle inventait, je pense à son amitié intense, possessive et exclusive avec Layla, je pense sa passion fulgurante et aussitôt abandonnée pour le chant lyrique. Il était donc naturel que cette façon intense de vivre et de ressentir s’applique également à ses premiers amours, et ça n'a pas loupé. 
Lorsque Lola s’est confiée à moi sur ses amours contrariés, je l’ai écoutée avec la même attention que d’habitude, mais j’ai pris toute la mesure du fait que cette petite fille était en train de devenir une jeune femme, et que d'une façon ou d’une autre, sans que je m’en aperçoive, on avait dépassé le temps où, pour la réconforter, il me suffisait d’embrasser le pansement ouaté enduit de mercure sur le genou écorché. Il fallait que j’accepte que face à cette situation nouvelle, j’étais dépassé. J’ai immédiatement pensé à toi, à ta manière si calme et posée d’aborder tous les problèmes de la vie, au fait que ton regard féminin était ce qu’il lui fallait.
Est-ce que j’ai mal fait ? Lorsque je lui ai conseillé de t’écrire, je ne voulais que son bien. A-t-elle pensé que comme Agathon, je l’envoyais balader et que je ne m’intéressais pas à elle ? Est-ce qu’elle s’est sentie invisible ? Pas entendue, pas écoutée ? Elle a coupé ses cheveux - d’une certaine manière elle nous appelait à l’aide, et nous n’avons rien vu. C’est Lorita qui a commencé à lui donner de la cocaïne à cette époque. Gratuitement les premières fois. C’est plus tard, quand ma sœur a commencé à en réclamer d’elle-même, que Lorita lui a demandé compensation et que Lola a commencé à y réserver une portion de son salaire. Je n’en savais rien. Je ne m’en doutais pas. Je pensais simplement qu’elle était très mal payée. J’avais vu son amaigrissement flagrant, je l’avais mis sur le compte du chagrin d’amour.
Cette découverte dans sa chambre m’a forcé à accepter deux vérités. La première, évidente : Lola n’était plus une petite fille mais une jeune femme de vingt ans qui luttait à sa manière pour tenir, comme nous tous. La seconde, moins évidente : Lorita n’était pas l’agneau que nous avions tous cru connaître, et quelqu’un, quelque part, avait des affaires à lui reprocher. 
[Transcription] Dolorès LeBris : Tu es vraiment fâché ? Agathon LeBris : Oui.  Agathon LeBris : Je ne te pensais pas capable de faire ce genre de choses. Tu es plus futée que ça. D’où tu tiens ça ? Dolorès LeBris : Ne touche pas mes affaires ! Dolorès LeBris : De toutes façons, je n’ai pas envie d’en parler. Agathon LeBris : Dans ce cas, je vais demander à Layla, peut-être qu’elle pourra m’en dire plus. Ou à ton cher fiancé Ives, peut-être ? Dolorès LeBris : Non ! Attends.  Dolorès LeBris : C’est… C’est Lorita qui m’en fournissait. Agathon LeBris : Lorita ? Qu’est-ce que Lorita crissait avec des réserves de cocaïne ? Dolorès LeBris : Je ne sais pas, mais… Elle a commencé à m’en donner quand toute cette histoire avec Fabien a commencé. Tu te souviens, j’étais triste tout le temps… J’avais essayé de t’en parler. Agathon LeBris : Et dans trois secondes ce sera ma faute si tu n’es pas capable d’endurer tes peines de cœur sans te mettre aux drogues dures. Dolorès LeBris : Ce n’est pas ce que j’ai dit…  Dolorès LeBris : Je vais arrêter, je te jure. De toutes façons, je ne saurais même pas où en retrouver. Je t’en supplie, ne dis rien. Agathon LeBris : C’est la dernière fois que je garde un secret pour toi.
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ernestinee · 6 months ago
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TW dr💩gue (lecture)
J'ai lu d'un trait "Morphine", de Mikhaïl Boulgakov (1891-1940). Nouvelle courte, extraite de "La Garde Blanche".
L'histoire commence par le suicide d'un médecin, qui suite à de fortes douleurs à l'estomac, devient morphinomane. Ça se passe en 1917/1918 en Russie. Le médecin laisse un carnet à l'intention de l'un de ses confrères, dans lequel il note ses états, le manque, l'angoisse, les hallucinations, les phases d'euphorie, les sensations de toute-puissance suivies de l'exact opposé, sa décision de se sevrer et presque immédiatement après, sa décision d'en finir. L'écriture évolue aussi, organisée, riche en détails, puis petit à petit vague et cachectique.
Les notes du livre expliquent qu'à la suite d'une allergie au sérum anti-diphtérique dont il avait été soulagé grâce à la morphine, Mikhaïl Boulgakov lui-même avait souffert de dépendance, finalement surmontée grâce à la ténacité de sa femme. Le récit contient de nombreux éléments autobiographiques. Par ailleurs, il suit les études de médecine et officie plusieurs années avant de se consacrer à l'écriture.
"Une seringue est posée sur un morceau de gaze, à côté d'un flacon. Je la prends et, après avoir négligemment enduit d'iode ma hanche toute marquée de piqûres, je plante l'aiguille dans la peau. Aucune douleur, oh non, au contraire je jouis d'avance de l'euphorie qui va se manifester. La voici. Je le sais parce que, sur le seuil, le son de l'accordéon dont joue Vlas, le gardien, tout à sa joie printanière, ces sonorités irrégulières et enrouées d'accordéon qui me parviennent assourdies à travers la vitre deviennent des voix angéliques, tandis que les basses grossières du soufflet tout gonflé d'air roulent comme un chœur céleste. Mais il suffit d'un instant et la ... dans mon sang, en vertu de quelque loi mystérieuse dont aucune pharmacologie ne donne de description, devient quelque chose d'autre. Je sais bien quoi: c'est le diable qui se mêle à mon sang. Et sur le perron Vlas s'estompe, et je le déteste, et le crépuscule au grondement menaçant enflamme mes entrailles."
"Le 17 janvier.
Tempête, pas de consultation. Ai lu pendant mes heures d'abstinence un manuel de psychiatrie, il m'a produit une impression terrifiante. Je suis fichu, plus d'espoir. J'ai peur du moindre bruit, je hais tout le monde quand je suis en phase d'absti- nence. Les gens me font peur. En phase d'euphorie, je les aime tous, mais je préfère la solitude."
⭐⭐⭐⭐
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obtravaux · 2 years ago
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