#en vrai c'est pas terrible
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Mon amitié avec @riiversndroads peut se résumer à:
Mystrade shiper 🤝 Johnlock shiper
#en vrai sur beaucoup de fandom on se divise tout en appréciant les pref de l'autre#ça me fume#oh et au cas ou c'est moi le clow qui ship le mystrade principalement#j'ai des problème manteaux au cas ou vous auriez pas deja deviner#(aussi je rechute dans sherlock je vais faire du fanart donc on juge en silence svp)#on a tous nos fandom compliqué pour être polie#TERRIBLE TOUT ÇA#bref#oh sam#kenshi's life
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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Automne 1928 - Champs-les-Sims
4/5
En parlant de Mademoiselle Laroche, il me semble qu'elle et mon frère soient passés à une nouvelle phase de leur relation. Une phase dont la discrétion laisse à désirer mais je n'ose vraiment en parler frontalement à Antoine, de peur de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Si ils se tournent toujours autour comme deux oiseaux en pleine parade nuptiale, il leur arrive de plus en plus fréquemment de se lancer de petites piques en ma présence ou celle d'Oncle Adelphe. Même Jean-François m'a évoqué son "sentiment de gêne" dans sa dernière lettre. Mon jeune frère a un côté pudique et convenable à l'excès que Grand-Mère adore, et quand il rentre nous voir, Antoine l'appelle "Grand-Père".
Bref, en écrivant ces lignes, je me rends compte que ce n'est pas vraiment la réalité. C'est Antoine qui la provoque bien davantage que l'inverse, et elle a souvent l'air profondément confuse, même si elle répond toujours pas une répartie bien sentie. Je ne sais pas vraiment à quoi joue mon frère, mais j'ai parfois l'impression qu'il ne réalise pas que dans cette relation, Mademoiselle Laroche est bien moins libre que lui. J'en suis un peu inquiète, car j'ai peur qu'il finisse par tout gâcher sans s'en rendre compte, et j'aimerai que leur histoire finisse bien. Que veux tu ? Cléopâtre et son indécrottable et ardent romantisme m'ont contaminés !
Transcription :
Aurore « Mais qu’est-ce qui vous a pris ? »
Marc-Antoine « De quoi... »
Aurore « Tous ces sous-entendus quand je parlais à votre sœur ! Vous voulez vraiment que je me fasse renvoyer ? »
Marc-Antoine « Mais non ! Et vous n’êtes pas non plus toute blanche dans cette affaire il me semble ! De toute façon, je pense qu’elle se doute de quelque chose depuis un moment car elle m’a dit qu’elle parlait de nous dans ses lettres à Cousin Lucien. J’imagine qu’il s’agit de... »
Aurore « Votre cousin ? Même votre cousin du Canada est au courant ? Et j’ai toujours mon emploi ? Mais dans quelle famille j’ai atterri au juste ? »
Marc-Antoine « Les Le Bris sont un peu particuliers c’est vrai. Ceux de France en tous cas. »
Aurore « Une maîtresse de maison qui laisse, comme ça, son frère flirter avec la bonne, c’est sur que ce n’est pas commun. »
Marc-Antoine « Si ça vous gêne, on peut arrêter. »
Aurore « Non, j’apprécie bien nos échanges. »
Marc-Antoine « Vraiment ? Alors je vous manque quand je suis à Paris ? »
Aurore « Je fais mieux mon travail quand vous n’êtes pas là mais… oui, vous me manquez. Faites juste en sorte que ce soit un peu plus discret, ne me cherchez pas comme ça devant votre sœur, même si elle est au courant. Et surtout pas devant Madame Eugénie ! »
Marc-Antoine « Pas besoin de me le dire, je tiens à garder ma tête encore un peu de temps ! Vous savez, tout le monde au village se souvient de la façon dont elle a réagit quand son fils aîné s’est fiancé à la gouvernante quand il était jeune. Je n’ai pas vraiment envie qu’il m’arrive la même chose. »
Aurore « Oh… et il lui est arrivé quoi au juste ? »
Marc-Antoine « Heu… je ne connais pas les détails, mais tout le monde s’accorde pour dire que ça a été terrible. Après tout, on s’en souvient encore même si seulement deux personnes seulement sont assez vieilles pour encore s’en souvenir. »
Aurore « Je vois... »
Marc-Antoine « Ne tirez pas cette mine ! Ils ont pu se marier finalement. »
Aurore « Comment s’appelait ce Monsieur ? »
Marc-Antoine « Il me semble que… Matthieu oui, c’est ça. Mon grand-oncle Matthieu. Mais… qu’est-ce qu’il y a ? »
Aurore « Il fait partie de ceux qu’il est rigoureusement interdit de mentionner en présence de votre grand-mère. Votre mère m’a donné une liste quand je suis arrivée. C’est que ça n’a pas du se terminer si bien que ça. »
Marc-Antoine « Ma famille est compliquée, c’est tout. »
Aurore « Je ne veux juste pas que ça vous créer des histoires. »
Marc-Antoine « Non, ça n’en créera pas Aurore… enfin, Madamoiselle Laroche. Ecoutez, je vous aime beaucoup, et même si c’est encore un peu tôt, j’aimerai tout de même que vous me laissiez une chance de vous prouver que je ne suis pas là pour jouer avec vos sentiments ou simplement pour m’amuser. Tout le monde vous dira de moi que ce n’est absolument pas mon genre ! »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche#Adelphe Barbois#Jean-François Le Bris#Matthieu Le Bris
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Après ce garçon, je ne pourrai plus. J'ai trop tiré sur la corde niveau relationnel et émotionnel. Cette relation m'a fatiguée. Toutes les relations m'ont toujours puisé une énergie que je n'avais finalement pas. Je n'ai pas rencontré un homme qui m'a fait me sentir bien, je veux dire, plus d'un mois. Ça a toujours été ponctué de chagrin, de déception et d'unilatéralité surtout. J'ai peur et mal d'avance de devoir prendre la décision de me séparer mais ce n'est plus possible. Je sais que ce sera libérateur en un sens, enfin, c'est tout ce que j'espère. La vraie gentillesse c'est de ne pas attendre de retour à nos actes, cependant, je ne pense pas que ce soit une manière viable de vivre. Je ne pourrai pas toujours donner tout ce que j'ai pour rendre heureux quelqu'un qui ne se soucie pas de mon bonheur. Je ne pourrai pas toujours accepter les relations où je suis un objet. Je ne pourrai pas toujours espérer que quelqu'un fasse le minimum. Je ne pourrai pas toujours être en bonne santé avec des gens qui me la dégradent juste en existant. J'ai du mal à trouver des relations saines et peut-être à être saine tout court. J'ai longtemps été frustrée du fait que pour moi, c'était facile d'aimer. Facile de donner. Facile d'être attentionnée. Et je crois toujours que ce n'est pas quelque chose de compliqué ou pénible. Il y a des années, un garçon que je fréquentais m'avait dit qu'avec moi on voulait pas aimer, s'engager, mais juste baiser. Ça m'avait blessée tellement profondément et pourtant, je ne peux même pas lui donner tort des années après. Je n'ai rencontré personne qui souhaitait m'aimer de manière bienveillante et construire quelque chose avec moi. Mes parents me disent qu'on est jeunes, qu'on a le temps. Je ne doute pas d'avoir du temps, je doute seulement que le temps règle ce souci de malveillance et égoïsme relationnel. Si tu n'es pas le premier amour de quelqu'un alors tu n'es et ne seras jamais personne, c'est ça que je remarque. J'ai mis du temps à me remettre de ma première rupture, des années à faire un deuil que je pensais infaisable. Ça a été quelqu'un d'important pour moi, mais je l'ai laissé où est sa place: le passé. C'est ça un vrai deuil, c'est accepter. Je n'ai pas rencontré beaucoup de gens qui acceptaient les choses, que ce soit une rupture ou autre. Ça doit être douloureux d'attendre quelqu'un qui ne reviendra pas, pour l'avoir vécu quelque temps, je pense que c'est terrible. Je ne souhaite plus être la personne qui rend l'attente plus agréable et le déni plus fort. Il va me falloir beaucoup d'isolement pour panser toutes ces plaies d'ego et de valorisation qui ont creusé jusqu'à l'os. Je ne peux plus offrir ma guérison à des gens qui n'entreprendront jamais la leur.
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VIRTUELLEMENT SENSIBLE...
Le virtuel peut ronger de l’intérieur. Il peut tuer à petit feu...
Sur la toile, on aime, on se « like » mutuellement, on se découvre... On s'aime et on se tue petit à petit... On exprime nos rêves, nos envies, nos angoisses, nos peurs... Mais isolés dans notre sphère réelle, on se retrouve seul !
Pas de réconfort, pas de regard tendre, ni de caresses. Il n'y a que les mots et leurs immenses pouvoirs. Les mots et les maux...
Face à nous mêmes, il n'y a que notre propre reflet dans ce miroir. Usés, fatigués par tant d'épreuves. Je suis las de tant de combats, les cernes se dessinent sur mon visage.
'' Je voudrais, j'aurais aimé '', ce sont des mots que nous écrivons tous. Sur cette toile, nous vidons ce que nous avons sur le cœur. Mais en déversant sur le web nos surplus de sentiments, nous oublions que nous éclaboussons les autres de nos ondes positives, négatives, de notre énergie.
Ces autres, ces « amis » si virtuels qu'ils soient que l'on voudrait rencontrer ou réconforter... Ils n'existent pas dans nos vies, mais ont une place dans nos cœurs... Ils sont là, on ne les réconforte pas comme on le voudrait, mais par la magie de nos échanges, on arrive un petit peu à améliorer leurs quotidiens !
Le désir d'établir des contacts est ancré dans la nature humaine. L'attirance est le fruit de notre chimie interne. Nous produisons des hormones qui créent l'intimité. Nous créons des ponts neuronaux qui relient, d'un cerveau à l'autre, d'un cœur à l'autre. Une fois formés, ces liens ne peuvent être rompus.
Nos cerveaux, nos systèmes nerveux tout entier sont conçus pour que nous tissions des liens profonds et durables... Briser ces connexions peut avoir de terribles conséquences...
Chaque jour, par nos partages, on arrive à dire à l'autre, qu'il soit proche ou qu'il soit loin : « Je suis là ! Et je pense à toi ! » « Ne lâche pas ! Tiens bon, courage, Je t'aime ! »
Mais le virtuel, possède également le pouvoir d'éloigner les cœurs... Un mot de plus, ou peut-être un mot de trop et c'est toute une phrase qui peut être lue dans un autre sens que celui que le cœur voulait exprimer, quiproquos, amalgames...
Tout s'enchaîne, tout doit aller vite, de plus en plus vite, nous ne prenons même plus le temps de vivre, à l'image de cette société aux profonds abîmes, aux valeurs oubliées. Et qui nous a conditionnés à ne plus penser par nous mêmes, qui nous a enseigné à privilégier le fast food émotionnel, l'avoir ayant pris le pas sur l'être, la surconsommation n'ayant d'égale que le paraître...
Alors le cœur triste et gros, le lien même par l'intangibilité du virtuel se brise. On clique sur le fatidique « supprimer » ! Mais même si virtuel qu'il soit, un lien du cœur reste égale à lui-même.
Le cœur n'arrive pas à faire la différence entre le réel et ce qu'il n'est pas. C'est l'aspect basique de l'humain...
Parfois, je sais que je suis perchée haut, que je peux sembler si solitaire ou provenir d'une autre planète. Je suis comme je suis, pragmatique, entière, authentique, unique et sincère.
Quand j'écris, je n'ai pas cette censure qui provient très souvent de la peur de ce que peuvent penser les autres. Mes mots sont « brut de cœur », sans artifice... Sans arrière pensée.
Mes mots ne sont que des mots qui proviennent du fond du cœur, avec une authenticité et une entièreté sans égales. Je sais que nous sommes loin, que peut-être, nous ne nous connaîtrons jamais.
Cependant si tu lis ces quelques mots amis Tumblr..MeWe..Facebook ou ami « liker »... Sache que je pense à toi... Que j'essaye à chaque instant d'avoir le cœur comme une jolie fleur, de m'ouvrir à ce monde si froid et à la fois si envoûtant mais il y a des moments qui me rappellent que je ne suis qu'une femme faite de chair et de sang, aussi imparfaite soit-elle.
Je ne suis pas parfaite, je n'aspire pas à le devenir, loin de là... Et heureusement !!!
Le virtuel ne dispense pas d'être vrai et authentique. Du virtuel... Au réel, Quand les mots touchent, au delà des touches...
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Vieillir, c'est chiant.
J’aurais pu dire :
vieillir, c’est désolant,
c’est insupportable,
c’est douloureux, c’est horrible,
c’est déprimant, c’est mortel.
Mais j’ai préféré « chiant » parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
On était bien dans sa peau.
On se sentait conquérant. Invulnérable.
La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien. Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps –
mais quand – j’ai vu le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l’âge qu’ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans "l’apartheid de l’âge".
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect »,
« En hommage respectueux »,
« Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ?
Les cons !
Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !
Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place.
J’ai failli la gifler....
Puis la priant de se rassoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.
« Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée.
J’ai pensé que… » Moi aussitôt :
«Vous pensiez que…?
-- Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous assoir.
– Parce que j’ai les cheveux blancs?
– Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ç’a été un réflexe, je me suis levée…-
- Je parais beaucoup beaucoup plus âgé que vous?
–Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge… --Une question de quoi, alors?
– Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois…»
J’ai arrêté de la taquiner, je l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, Ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages,
Ni aux spectacles, ni aux livres,
Ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve.
La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant
soit l’adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart,
soit, du même, l’andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révèleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital.
En années? En mois? En jours?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge? Non, Mozart.
Les mots de ma vie de Bernard Pivot.
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One day during the village fair I whispered to her,
that I would like to be an apple hanging from a tree,
so that she could take a bite each time she came by,
But she walked on by and her nice teeth showed,
As she said,
She said I should go and whistle high upon the hill,
wait for her there with a small bunch of eglantine.
I picked the flowers and whistled my lungs out.
I waited and waited but she never came,
Zai zai zai zai
Zai zai zai zai
Pauvre Killer 😂
C'est parti, je vais définitivement lancer une série
Un peu de culture française, c'est cadeau ! Baguette 🇨🇵 !
(En vrai, aux anglophones, j'aimerai trop savoir quelles sont VOS chansons populaires :D Ces vieilles chansons qui sont pas terribles et parfois un peu ridicules, qui deviennent des blagues au fil du temps mais qui sont entraînantes et qu'au fond on adore quand même)
Poor Killer 😂
Let's go, I'm definitely going to start a series!
A bit of French culture as a gift! Baguette 🇨🇵 !
(In real, to English speakers, I'd love to know what YOUR popular songs are :D Those old songs that aren't so great and are sometimes a bit ridiculous, that become jokes over time but are catchy and that deep down we love all the same)
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Scène 6 "Aunt Catherine"
Catherine avait un air amusé en faisant glisser sa culotte sur ses fesses et ses cuisses. La lenteur de ses gestes provoquait en moi des frissons de plaisir, je sentais ma queue de plus en plus serrée dans mon boxer, réagissant par soubresauts. Mon pantalon se déformait nettement laissant apparaitre une bosse qui ne laissait plus aucun doute sur l'effet que me provoquait ma tatie en train de se dévoiler sous mes yeux. Elle ouvrait ses grands yeux en voyant l'effet qu'elle me procurait en lâchant par moments des "hum !!!" quand elle baissait son regard sur ma bosse. Elle devenait de plus en plus sensuelle, plus coquine et ses réactions rendait la situation encore plus excitante. Je savais maintenant que j'allais la découvrir nue pour la 1ère fois après avoir tant rêvé d'elle durant mes années d'adolescence.
On restait silencieux, pas un bruit dans l'appartement, je pouvais entendre le frottement de sa culotte sur le nylon de ses bas et par intermittence le déclic de mon appareil photo. Catherine rompait le silence
"C'est un vrai roman photo que tu nous fait dis-donc ?!"
"Oh oui tatie ! je serai heureux de te le donner, on sera les seuls à pouvoir le regarder" ajoutais-je en réalisant qu'elle aussi pourrait se caresser en se remémorant ce moment.
"Ah oui j'espère bien, je suis curieuse de voir ce que tu as pris"
"D'accord avec plaisir mais alors promets moi que personne d'autre ne les regardera" reprenais-je pour la taquiner
Elle se mit à rire en laissant sa culotte au niveau des cuisses. Je pouvais admirer le galbe de ses fesses. Elle prenait une posture presque provocante en cambrant sa croupe comme si elle voulait m'exciter encore plus.
"Oui c'est promis, tout ça restera entre nous, rien que nous"
Elle posa ses mains sur les rebords de l'évier, sa culotte recouvrait sa cheville. Elle avait repris une expression sérieuse, la connivence était à son comble. Je restais intimidé devant cette femme mure excitée, offrant sa nudité. Les jambes gainées dans ses bas, chaussée sur ses talons, son ventre rond et grassouillet enveloppé par la ceinture de son porte-jaretelle, ses seins nus, tombants sur son ventre, ses tétons dressés par le désir. Son corps dénudé, orné de bijoux et cette mèche terriblement excitante qui tombait jusqu'au coin de ses lèvres.
Je m'étais imaginé son sexe depuis que j'avais 13 ans, dans mes scénario elle était poilu, un large triangle brun comme pouvaient être les femmes de sa génération. Mon regard ne quittait pas son intimité, en j'en oubliais d'immortaliser ce moment. Jamais elle n'aurait imaginé combien de fois je l'ai fantasmé, combien de fois j'ai rêvé de caresser sa chatte, l'embrasser, la lécher en l'imaginant jouir et combien de fois je l'ai pénétré. Son mont de vénus était charnu et rasé, légèrement plus foncé que la blancheur de sa peau, laissant deviner une pilosité naissante. Je devais un air ahuri en restant bloqué sur son intimité.
"Tu ne prends pas de photo ?" avait-elle dit d'un air amusé comme pour me sortir de ma torpeur
"Oh que si tatie ! peux-tu garder cette pose s'il te plait ?"
Je prenais mon temps pour le cadrage en m'approchant, faisant la mise au point. Elle ne bougeait pas, elle me regardait son sourire avait laissé place à une expression sérieuse, peine d'émotions. Son excitation était palpable quand j'appuyais sur le déclencheur.
A suivre ... (Scène 7 le 9 avril à 6h00)
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20 février
en revenant du dentiste je suis passée au workshop d'afterwork du casino, j'étais en retard et je me suis trompée d'endroit et je suis arrivée toute échevelée. y avait deux médiatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gâché avec mon autosabotage j'aurai peut être fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme à l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux médiatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthé moog, il parlait anglais et d'après ce que j'ai entendu il était étudiant. il est parti avant la fin parce qu'il était invité à une fête qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'était une blague ou pas. la médiatrice non plus elle savait pas. il leur a demandé ce qu'elles faisaient après le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton très lassé de la vie. la brune devait déménager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimé leur demander ce qu'elles faisaient à côté de leur job de médiatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y étaient arrivées et pas moi, mais j'ai pas levé la tête de mon moog. de son moog. c'était le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musées mais on était pas rentrées parce que c'était trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a racheté le moog à un ami à moitié prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthé moi aussi. j'aurais bien aimé lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacités sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais même pas à parler clairement, sans bafouiller. c'était plus simple de rester plongée dans mes expérimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'être une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligée de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coûte 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas réussi à contrôler mes pulsions morbides, elles m'ont échappé et elles se sont déversées sur l'autoroute de la frontière belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand même et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas à lui expliquer que si c'était compliqué, que ça faisait partie du problème, que j'arrivais pas à faire ces choses-là parce que quelque chose cloche très profondément dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose à l'intérieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'être complètement à l'ouest chez le dentiste en plus. j'étais pas à l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrétaire avait pitié de moi. sinon j'ai bien aimé sentir les doigts du dentiste me tenir la mâchoire, quand la machine dans ma bouche commençait à devenir trop désagréable je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'à trois heures du matin puis toute la matinée pour le finir. l'écriture était pas terrible terrible et j'y ai trouvé plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrêter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mère et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte à son travail elle prend des initiatives et elle décide de quitter sa coloc avec sa grand-mère et elle arrive enfin à jouer la scène de théâtre qu'elle arrivait pas à jouer parce que la prof lui disait qu'elle était pas assez sensuelle. elle s'est inscrite à des cours de théâtre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais à la fin c'est le sexe qui lui a donné un corps.
tout d'un coup j'ai été prise d'un énorme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmé que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser à une interview de vincent dedienne où il disait que son premier spectacle était pas terrible parce qu'à l'époque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble être un passage obligé pour monter sur scène. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considérer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothérapie. et avant de pouvoir faire une psychothérapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas près d'arriver.
dans le livre sa vulve se met à chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence à être une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser à pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a écrit dans le cadre de son master de création littéraire à paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencé drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours où elle travaillait pas à l'université, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapé et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidéos d'actrices interviewées dans des talk shows et même des séries, ce que je m'interdis pendant la journée, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'écriture.
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Rousseau, Les Confessions Celle par qui le scandale arrive: " Comme Mlle Lambercier avait pour nous l'affection d'une mère, elle en avait aussi l'autorité, et la portait quelquefois jusqu'à nous infliger la punition des enfants quand nous l'avions méritée. Assez longtemps elle s'en tint à la menace, et cette menace d'un châtiment tout nouveau pour moi me semblait très effrayante ; mais après l'exécution, je la trouvai moins terrible à l'épreuve que l'attente ne l'avait été, et ce qu'il y a de plus bizarre est que ce châtiment m'affectionna davantage encore à celle qui me l'avait imposé. Il fallait même toute la vérité de cette affection et toute ma douceur naturelle pour m'empêcher de chercher le retour du même traitement en le méritant ; car j'avais trouvé dans la douleur, dans la honte même, un mélange de sensualité qui m'avait laissé plus de désir que de crainte de l'éprouver derechef par la même main. Il est vrai que, comme il se mêlait sans doute à cela quelque instinct précoce du sexe, le même châtiment reçu de son frère ne m'eût point du tout paru plaisant. Mais, de l'humeur dont il était, cette substitution n'était guère à craindre, et si je m'abstenais de mériter la correction, c'était uniquement de peur de fâcher Mlle Lambercier ; car tel est en moi l'empire de la bienveillance, et même de celle que les sens ont fait naître, qu'elle leur donna toujours la loi dans mon cœur. Cette récidive, que j'éloignais sans la craindre, arriva sans qu'il y eût de ma faute, c'est-à-dire de ma volonté, et j'en profitai, je puis dire, en sûreté de conscience. Mais cette seconde fois fut aussi la dernière, car Mlle Lambercier, s'étant sans doute aperçue à quelque signe que ce châtiment n'allait pas à son but, déclara qu'elle y renonçait et qu'il la fatiguait trop. Nous avions jusque-là couché dans sa chambre, et même en hiver quelquefois dans son lit. Deux jours après on nous fit coucher dans une autre chambre, et j'eus désormais l'honneur, dont je me serais bien passé, d'être traité par elle en grand garçon. Qui croirait que ce châtiment d'enfant, reçu à huit ans par la main d'une fille de trente, a décidé de mes goûts, de mes désirs, de mes passions, de moi pour le reste de ma vie, et cela précisément dans le sens contraire à ce qui devait s'ensuivre naturellement ? "
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Cette nuit j'ai rêvé que je regardais un film avec de funès dedans, et vraiment on aurait réellement dit un vrai film où il aurait tourné dedans c'est terrible
Au début y'avait un long générique comme dans les vieux films où on passe l'intro/des paysages a l'écran avec tous les credits et un morceau (qui ressemblait a la bo de l'homme orchestre au passage)
Et dans l'histoire y'avait le personnage qu'incarnait de funès qui était le directeur un peu crapuleux d'un zoo, ultra axé sur le profit
On l'informe que y'a des problèmes de fragilité sur certains enclos et lui en a rien a foutre, jusqu'au moment fatidique : y'a des animaux qui pètent les enclos pour s'échapper
De funès refuse de faire evacuer le zoo et fait de son mieux pour faire en sorte que les infos ne fuitent pas du côté des visiteurs (va cacher le fait que ton lion se balade tranquille, franchement) et qui du coup tente de re capturer seul les animaux en liberté
Ca donnait des séquences vraiment drôles où il essaye de faire le pitre pour attirer l'attention vers lui pour que des gens evitent de voir le putain de lion derrière eux, ou lui qui fait des grands gestes et bruits pour faire peur à un ours
#le rarou#de funès#louis de funès#l'homme orchestre#j'aurais tué pour que ce film existe en vrai putain
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Bouteille à la mer, matelot !
C'est ouf. J'ai terriblement envie de rejouer De Niro dans sa cinquantaine et j'ose pas trop. C'est tellement le genre de personnage difficile à lier. Juste, si vous avez de la place pour un vieux bougon probablement un peu bandit sur les bords avec des gens qui accepteraient de se lier avec, pour des vrais rps en folie et qui ne sont pas bloqués par le fait que non, ça peut pas finir en ship - quoique, si vous jouez un personnage du même âge on sait jamais - , ce serait ouf ? (Forum uniquement, pas de discord, majeur et thèmes sombres avec un brin de folie préférables. Si possible du surnaturel, par contre ?) J'ai aussi des problèmes aux yeux et les thèmes blancs non ajustables me font très mal aux mirettes, malheureusement. Mais si j'ai un coup de cœur ça peut s'ajuster. )
Peut-être que cette bouteille va se perdre dans le néant et ne jamais trouver son étagère, mais tant pis, j'ai tenté !
Merci infiniment pour toutes vos propositions, je barre le sujet pour éviter les nouvelles propositions, pour le moment j'en ai bien plus que je ne pouvais l'espérer et je ne voudrais pas me disperser. <3
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Il était une fois une charmante princesse. Mais elle était ensorcelée d'une manière effrayante, qui ne pouvait être rompue que par le premier baiser de l'amour. Elle était enfermée dans un château gardé par un terrible dragon cracheur de feu. De nombreux chevaliers courageux avaient tenté de la libérer de cette terrible prison, mais aucun n'y était parvenu. Elle attendait dans le donjon du dragon, dans la plus haute pièce de la plus haute tour, son véritable amour et le premier baiser de son véritable amour. Comme si cela allait arriver un jour. Quelle cinglée. Shrek Beware Reste dehors Je pense qu'il est ici. D'accord. On y va ! Attendez. Tu sais ce que cette chose peut te faire ? Oui. Il gémira dans tes os pour te donner son cerveau. En fait, c'est un géant. Les ogres, eux, sont bien pires. Ils feront une soupe avec votre peau fraîchement pelée. Ils mâchent vos foies, pressent la gelée de vos yeux. En fait, c'est très bon sur des toasts. Reculez, reculez bête, reculez ! Je t'avais prévenu ! C'est vrai. C'est le moment où vous vous enfuyez. C'est le moment où vous vous enfuyez. Et rester dehors. Recherchés. Créatures de contes de fées. Bien, celui-ci est plein. Enlevez-le. Donnez-moi ça. Vos beaux jours sont terminés. -25 pièces d'argent pour la sorcière. Suivant. -Allez, viens. Asseyez-vous là ! Et taisez-vous ! Cette cage est si petite. Vous n'avez pas voulu me livrer. Je ne serai plus jamais têtue. Je peux changer. S'il vous plaît, donnez-moi une autre chance. Oh, fermez-la ! Suivant. Qu'est-ce qu'on a ? Cette petite marionnette en bois. Je ne suis pas une marionnette, je suis un vrai garçon. Cinq shillings pour le jouet possédé. Emmenez-le. Non ! S'il vous plaît, ne les laissez pas faire ! Suivant. Qu'est-ce que vous avez ? Nous
is this the fucking shrek script
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Mon mec a un rhume et... c'est la fin du monde. J'exagère même pas, il m'a appelée car il arrive pas à dormir car son nez est trop plein et que c'est terrible ect. Et j'entends, c'est pénible un nez bouché en vrai mais ça devrait passer et ya peu de chance pour que ça se transforme en pneumopathie mdrr. Ma mère s'est moins plainte en 10 ans de cancer c'est hallucinant. Après c'est très bien, il parle, il rage un bon coup mais ça reste un.. rhume. Attention, je le prends au sérieux juste je pense que c'est un peu extrapolé et qu'il devrait survivre. Bref, à chaque fois qu'il a un petit truc c'est la panique a bord, il a l'impression qu'il va claquer.
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Ce texte n'aura aucun sens, j'vais juste balancer ce que j'ai sur le cœur. Je ne sais pas à qui en parler, j'ai plus de psy et j'suis complètement paumée.
Ma mère est décédé mardi, épargnez moi les condoléances. J'avais coupé les ponts avec elle il y a plusieurs mois, c'était conflictuel depuis des années. Conflictuel c'est même peu dire.
Quand j'ai fait une tentative de suicide, elle ne m'a pas rendu visite à l'hôpital psy. Elle m'a privé de manger pendant plusieurs mois quand j'ai décidé de devenir végétarienne. Ma sœur m'a fait des attouchements quand j'étais gamine, et quand elle lui a avoué elle a juste dit, devant moi je cite, "c'est fait c'est fait c'est pas grave" et l'a invité à boire un café le lendemain. Comme si c'était OK. Elle m'a toujours fait passer en dernière. Ne m'a jamais montré d'amour, a toujours été plus dur avec moi. Je n'étais jamais assez à ses yeux, elle m'a toujours fait sentir comme une moins que rien.
Et quand , il y a quelque mois , j'ai décidé de partir de sa vie... elle n'a rien dit. Elle m'a laissé filé
Et pourtant, bon dieu, ce que je l'attendais. Je scrutais mon téléphone dans l'attente d'un appel, un message, un mot dans ma boite au lettre, je voulais qu'elle m'attrape le bras quand je la croisais dans la rue. Mais rien, jamais rien. Elle avait juste décidé que je n'existais plus. Mon appel à ce qu'elle me rattrape était soudainement devenu un commun accord pour que l'on devienne des étrangères. Et les mois ont passés, et petit à petit j'avançais. Ma colère et ma rancune se calmait. En quelque sorte, je dirai que mon deuil avait déjà commencé. Elle était toujours vivante oui, mais pour avancer il a bien fallut que je la considère morte. Mais mardi, on m'annonce son décès. Son vrai décès j'entends. Et j'ai pas réagi. J'ai pas eu mal, je n'ai pas senti la terre trembler ou mon monde s'effondrer. C'était presque logique. Et enfin j'allais arrêter d'attendre. C'est terrible. Suis je une mauvaise personne pour ça? Je ne regrette pas les mois passés loin d'elle, le temps perdu. Parce que, pour moi, le temps ce n'est pas moi qui l'ai perdu, mais elle.
Je n'irai pas à la crémation, parce que ce serait manquer de respect au commun accord que nous nous étions secrètement faite. Disparaître l'une pour l'autre...
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La ''Sagesse des nations'' ?
Je dois confesser que mon incompréhension est totale devant les attitudes des soi-disant ''grands hommes'' qui croient diriger le monde alors qu'ils ne font que le mener vers des abîmes sans fond, avec un entêtement qui pourrait confiner à de l'admiration si le sujet n'était pas effroyable... La ''sagesse des Nations'' fut longtemps ''de fait''. Elle est devenue une farce ! Et un des sujets sur lesquels nos leaders sont le moins compréhensibles, concerne tout ce qui touche à la Russie. Un bref ''retour sur images'' permettra de voir plus clair dans le drame qui pourrait, géré comme il l'est, faire ''Pschitt'' dans des délais assez courts.
(1)- Un peu d'histoire : pendant près d'un siècle, tous les prétentieux qui s'auto-qualifiaient de l'Intelligentzia ont limité leur analyse politique et leur compréhension du monde à un suivisme inconditionnel de l'URSS, de ses performances lamentables et de ses maîtres abominables. Cette erreur grossière –en réalité une faute majuscule-- est inexplicable : c'est une pandémie, qui a fait des ravages sur tous les continents. Les moins jeunes d'entre nous n'ont pas oublié ces temps, pas si lointains, où il était soi-disant préférable d'avoir tort avec Sartre que raison avec Aron...
Cet attrait mortifère pour tout ce qui provenait du côté gauche du spectre politique a déformé des générations d'étudiants français qui, une fois adultes, n'ont eu ni le courage ni l'honnêteté de reconnaître qu'ils s'étaient fourvoyés ! Les français qui ont eu 20 ans dans ces années de plomb se souviennent aussi de la mode quasi-obligatoire qui avait fait de Staline et de ses tortionnaires de véritables héros et des modèles à suivre, en ces temps où un anti-communiste ne pouvait être qu'un chien (Sartre n'en démordrait jamais !) : des cataractes de louanges ont été déversées à la mort du dictateur aux 80 millions de suppliciés, par une classe politique sans âme.. (Par exemple, Staline a été directement responsable de la mort, par une famine organisée, de quelque 5 millions d'ukrainiens... Qui en parle, qui l'évoque, qui s'en souvient, qui fait des comparaisons ?)
(2)- Deux décennies plus tard, les horreurs, les crimes, les mensonges permanents ayant été exhumés par l'Histoire, et la planète ayant enfin été débarrassée de ce cancer, la Russie a voulu reprendre sa place, et rattraper son siècle et le mouvement de la vie... C'est dans un pays dévasté que Vladimir Poutine, évidemment pas un saint (mais pas plus ni moins que les autres politicards), est arrivé au pouvoir, avec –normalement-- de la bonne volonté ici ou là, et de bonnes et de moins bonnes choses dans ses idées et ses intentions. Mais il était bien obligé de dire la vérité sur le régime qui l'avait précédé, et cette vérité n'était pas facile à avaler pour toute les anciens ados-gauchos entre temps arrivés aux manettes (dont ils se servent si mal !) : s'ils avaient été honnêtes, ils auraient dû renier la totalité des idées farfelues de leur jeunesse... Mais pas question ! Alors … ''Mort à Poutine'' ! Le despote, ce tyran, ce va-t-en guerre, etc, c'est lui et lui seul : après avoir tout pardonné au monstre Staline... ils ne passent rien à son successeur. Comment appelez-vous ça, vous ?
Ajoutez à ça le manque absolu de culture historique des américains (un proverbe US ne prétend-il pas que ''un européen médiocre est obsédé par l'histoire, alors qu'un américain médiocre est oublieux de l'histoire'', = a mediocre european is obsessed by history, whereas a mediocre american is oblivious of history ?) qui n'ont jamais compris la différence qu'il pouvait y avoir entre l'URSS et la Russie... et ont conservé Poutine comme ''ennemi public n°1, à abattre à tout prix'' –ce qui explique 95 % de la terrible crise en cours : la Russie doit être anéantisée, comme l'URSS l'a été.
(3)- La crise dite ukrainienne, dont nous avons déjà rappelé les vrais contours (cf. notamment nos éditoriaux des 4 août et 16 novembre 2014 où, très en avance, nous annoncions avec précision tout ce qui s'est passé 7 ans plus tard), est arrivée à point pour conforter l'anti-poutinisme chronique des nostalgiques, des cuistres, des oublieux... et permettre d'accuser le nouvel homme fort russe de tous les péchés... de l'ancien régime. Personne ne dira que Poutine soit blanc comme neige. N'hésitons pas à le répéter : c'est un vrai ''hijo de puta'' (dit comme ça, ça a l'air moins grossier !)... mais ni plus ni moins que ses con frères.
C'est alors que les fausses bonnes consciences déchaînées ont joué les profs de morales éculées, au contraire de quelques esprits retardataires, rétrogrades, conservateurs, nostalgiques, voire ''complotistes'' s'il faut en passer par là, parmi lesquels je revendique une place : ces rares déviants murmuraient que les faux remèdes allaient très vite se révéler ''plus pires'' que les analyses officielles : on n'humilie pas impunément un grand pays qui possède dans les 7000 ogives nucléaires (soit plus que tous les autres réunis !) : leur diagnostic erroné ne pouvait proposer que des solutions catastrophiques... Les sots imprévoyants ont mis le monde sur une trajectoire qui va droit dans le mur, sans échappatoire, à terme... et rien n'est fait pour donner une chance à l'intelligence : seule l'émotion de l'instant est estimée digne d'être entendue et écoutée. On sait où peut mener cette forme de sentimentalisme instinctif : notre Président vient d'en faire une superbe (?) démonstration....
(4)- Très peu de portes sont ouvertes, dans les têtes de nos Nuls : (a)- Poutine vaincu capitule plus ou moins totalement. Mais ne rêvez pas, ô cassandres étoilées pour JT désinformateurs : si c'était envisageable, on aurait commencé à ne pas voir que des preuves du contraire..... (b)- Il envisage d'arrondir son (immense) pré carré en s'offrant toute l'Ukraine et au-delà : une guerre extérieure pour résoudre une crise intérieure est un classique de l'Histoire, sauf qu'il n'y a pas de crise intérieure ! Ce qui est le plus probable, c'est qu' il veut ''sa'' Crimée et ''son'' Donbass. Au delà, il n'a ni les possibilités ni les moyens de rêver, et c'est tant mieux. Les fausses menaces –toutes sans preuves : je vous mets au défi d'en trouver le début de commencement d'une seule-- sont faites pour conditionner l'opinion publique occidentale.... (c)- l'effondrement de l'économie russe (qui entraînerait un réveil de la crise monétaire et financière qui n'est pas encore cicatrisée)... Pour le moment, c'est le contraire qui se déroule. Qui ploie sous les sanctions ? Les sanctionneurs... ce qui est un gag !
Pas très réjouissant, tout ça, comme perspectives, car pour le moment, le résultat est indiscutable : après 2 ans de soi-disant blocus de Poutine... c'est Macron qui est assiégé dans son palais (dit ''les lisiers'' par nos justiciers-en-tracteur)... Et deux pays sur trois, au monde –dont les plus grands, et dont tous ceux qui joueront un rôle demain--, se sont dé-solidarisés des postures pro-Ukraine de l'Europe et soutiennent Poutine (Une question : qui s'en soucie, chez nos dirigeants et nos journalistes ? Personne ! Nos pseudo-démocrates d'opérette sont aveugles et sourds par système : incapables de sortir de leurs préjugés et des bourrages de crâne des ''pro-Doxa'' !).
Il y a un an, dans ce même Blog, je n'excluais pas une issue violente dans les deux ans, et j'écrivais : ''La menace est réelle, car nos aveugles se font de plus en plus provocants. Pourrait-elle évoluer bientôt en conflagration plus générale ? L’histoire n’est pas avare d’exemples, hélas ! où une idée initiale échappe à ses anciens maîtres''. Et depuis, par l'impéritie et le manque absolu de ''vista'' de nos dirigeants dramatiquement myopes, rien ne permet de lever, fût-ce un tout petit peu, cette hypothèse qui ressemble de plus en plus à une hypothèque... Macron ne vient-il pas, coup sur coup, de tirer deux salvinettes qui oblitèrent les espoirs d'une paix ''harmonieuse'' en décrétant que ''Poutine ne doit pas gagner'' (sic ! Sous entendu : nos 8 canons ''Caesar'' et nos 100 tonnes d'obus --promis, mais pas livrés : on ne les a pas !-- vont mettre la Russie KO, ça ne fait pas de doute !), et qu'il envisage maintenant d'envoyer les deux escouades que les dons de notre ex-beau ''matos'', sacrifié pour aucun résultat, lui laissent disponibles. Poutine, dit-on, n'en dort plus, de trouille ! Non ! J'rigole !, disent nos ados ! Moi... je ris jaune.
H-Cl.
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