#en meme temps elle est trop belle
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Lettre 36
Dimanche 12 Mars 2023
Cher Hugo,
La journée post partiel a été calme. J'ai pu profiter d'une grasse matinée et trainer dans mon lit ne appréciant Dr House que je dévore encore et toujours. La série touche bientôt à sa fin et elle sera bientôt ajoutée à mon tableau. J'ai décidé de ne pas commencer à reviser trop tôt parce que j'ai de petits contrôles entre temps avant le dernier partiel de samedi.
Toute la journée, bien qu'elle ait été entrecoupée de moments différents, j'ai discuté avec Thibault. Nous avons papoté de tout et de rien, il a d'ailleurs commencé à mettre son visage à la caméra et a découvert que j'étais une multi tache. Bah oui ! Maintenant il sait pour mes comptes, l'Egypte, les crimes et aussi pour le meme game et les videos youtube. Il s'est montré très intéressé, a posé plein de questions, je le sentais très admiratif et étonné. Son ton a soudainement changé, il s'est adoucit et est devenu beaucoup plus locace. J'ai beaucoup aimé cette partie de la journée, je dois dire que sa présence me détend et je rigole beaucoup à son contact. Nous sommes visiblement jamais fatigués de discuter, jamais fatigués de l'un et de l'autre, ni même épuisés en termes de sujets. J'ai le sentiment qu'on se trouve mutuellement très intéressants et ça nous va bien. Les choses évoluent à une vitesse extrêmement lente mais dans le fond, ce n'est pas plus mal.
J'ai quand même un peu travailler parce que j'avais des contrôles de compréhension orale à faire sur Eureka pour l'espagnol. Je ne te raconte pas l'enfer ! Je n'avais tellement pas envie, une flemme immense s'était emparée de moi bien avant que je me lance. A la fin je me suis quand même prêtée au jeu pour rendre un travail propre et faire de belles phrases, en particulier quand j'ai compris que c'était noté. Au départ j'ai surtout cru que c'était un exercice à faire pour le lendemain après-midi. Alors heureusement que je l'ai fait ! Quelle angoisse ahah.
Enfin, la lettre est courte étant donné le peu de choses faites durant cette journée. J'ai aussi eu mon grand père au téléphone, nous avons conclu que nous irions visiter l'intérieur du Panthéon quand nous nous rendrons à Paris en juin. J'ai hate de prendre plein de photos et d'élargir le panel de choses faites dans cette ville. Je pense lui proposer de faire le musée d'Orsay aussi mais nous verrons. En plus ce sont de supers idées, mon grand-père a été de nombreuses fois à Paris mais n'a jamais fait le Pantheon, ca pourrait être super de partager ca avec lui. Je suis toute excitée !
J'espère que tout se passe bien pour toi et que la journée de demain sera encore meilleure. Passes une bonne nuit, je t'aime Hugo.
M.
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Effectivement Professeur, il s'agit de nos réfectoires et Agoras, Ah? Oui apparemment nous avons clôturé OPUS trop tot, nous pouvons proposer une meilleure version de nos réfectoires et de nos Agoras
Qu'avons nous la?
Nous sommes revenu a la vue dessin sur Paint hors render, c'est ainsi que nous réalisons nos retouches
Et puis?
Nous allons tout remettre a plat, cette disposition du réfectoire qui nous est devenue habituelle doit être revue de fond en comble, car après réflexion elle n'est pratique pour faire le service, déjà on a l'impression qu'elle est a l'envers puisqu'on doit faire le tour de la table pour accéder aux bancs intérieurs
Également ces formes sur les coté ou nous voulions disposer nos services de table, il fort probable qu'on empiète dessus puisqu'un goulot est présent, bon c'est juste un revêtement bois et non d'une estrade mais quand même nous pouvons améliorer l'ensemble et puisque nous sommes entrain de rendre notre copie il s'agit de tenir notre délais du 5 Juillet qui est bientôt la
Alors comment remettre a plat ce réfectoire?
Nous allons travailler avec la forme meme de la salle pour exploiter l'espace au maximum, dans un premier temps nous avons besoin de dégager des allées sur les côtés et devant aussi, les aménagements pour disposer nos services de table doivent être revus en conséquence
Vous voyez a présent je vais disposer les bancs en noir, et a première vue nous avons vu trop grand, l'arrangement intérieur prend trop de place, cette table ne doit pas être disproportionnée
Non c'est très bien ainsi! Ces allées sont conséquentes!
Vous voyez a présent je vais disposer les bancs en noir, et a première vue nous avons vu trop grand, l'arrangement intérieur prend trop de place, cette table ne doit pas être disproportionnée
C'est très bien ainsi! Ces allées sont conséquentes, le tout est en proportion, qu'allez vous faire par la suite?
Il s'agit de creuser a l'intérieur de cette table pour permettre de faire le service efficacement depuis la cuisine Professeur
Je reprend sur les bancs pour avoir une belle table en bois massif, et a présent on peut servir et desservir l'ensemble, ce qui n'était pas évident sur la version précédente
Pour l'Agora nous avons finalement pratiqué des entrées qui ont l'avantage de donner également sur le réfectoire, ce qui libère l'entrée en face de la cuisine pour le services
Ces entrées pour le réfectoire a partir de l'Agora peuvent être ouvertes pendants les heures de service ou fermées
Voyons voir le render!
Demain Professeur, il est tard déjà
Ah oui biensur! A demain donc!
Nous pourrons toujours revoir les proportions de la table et des espaces pour le couvert en réalisant le render, qui deviennent des meubles en fait pour tout contenir
Tout a fait!
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rdv a l’aquarium avec guilhaume
bcp de chemins on doit changer d’endroit pour le bon bassin il y a bcp de monde
on arrive dans une maison on doit changer de chaussures aquatiques je sors des cabines en prems pcq je m’etais trompee de chaussures. j’avance je croise dans la descente (grand hall cuivrré couloir genre magasins de nouriture profesionel) je croise louise simon on est trop contente on small talk elle veut devenir real me montrer une vieille ref basique gen z je lui dis que je sais faire la lumiere et elle m’ecoute pzs alors je lui dis qu’elle s’en fout que ca sert a rien de parler donc elle me suplie de lui pardoner et on echange les contact. G me joint on se trouve dans une maison il y a clara kennedy de la fac sa soeur et des gens de eux mais on parle pas ensemble on partage la maison. il y a claudie qqpart qui m’ignore rapidement plein de personne genre soirée mais on aller a l’aquarium mais trop de gens me parle les enfants me font plein de bisous je suis l’attention. avant de partir je croise Marhilde Kervel je lui dis que j’ai des responsabilité mais qu’on se voit ce weekend. j’esquive un peu Carlo (where is bastien) dis bjr a gabi et saute dans la voiture avant que ca ferme l’aquarium )on arrive a pzrtir on prend sa voiture une deuxieme fois (1e fois j’avais dormi a l’arriere) sauf que sur la route il se trouve a cote de moi (je comprend pas qui conduit, un chauffeur) et je mexcuse pour le temps passer il me dit que c pas grave (visage qui change et qui dit mais quand meme c des gens de gauche) je dis quel rapport avc la politique? il revient normal et 3 hommes en costard sont sur le siege avant un me regarde insistant en mode tu me reconnai pas? c apparemment le pere de G. en plus jeune. ils font des blagues je suis a l’ouest mais j’ai de la repartie 5 min apres. mon frere apparait a cote de guilhaume (a quel moment? ) je commence a perdre une dent genre de lait et je met ma bouche vers la main de G pour qu’il m’aide a la retirer il reussit (difficile de trouver le bon spot il pensais que ct une dent de devant et je lui dis mais non je suis plus un enfant) et je saigne sauf que la dent vient avec une molaire. et ensuite pareil deux de l’autre coté tombe et plein d’autre tombe il m’en reste genre 3/4. je saigne et je panique. qqn me dit repond a agnes mais c mon frere qui m’appellait et je lui passe le tel a mon frere pour qui decroche. j’ai une sensation super desagreable genrr c tres reel je me cache la bouche pour parler. je dois pleurer sur g. et on arrive a un grand espace exterieur plein de gens disparaisse (les hommes trouve ca degoutant et incomprehensible). G me dit qu’il sait pk ca m’arrive vu qu’elles ont la texture de la farine. je lui explique mes truc et que je vomis plus a part juste aujourd’hui une fois ! je dis que plus jamais et qu’avant j’avais des belles dent alignés. (on est en date) mais pendant que earlier les homme parlait on se tenait le bras genre « on est ensemble ok » nottzment quand le chauffeur prenait mon bras pour le carrsser je l’ai remis sur celui de G. bref. G me dit que ça va aller qu’on va m’aider. je me reveille putain j’ai encore mes dents merci dieu. mon frere dit un truc avant de disparaitre mais jsplus. genre je dois me faire aider ? on va m’aider ? il est bienveillant et carré. Guilhaume aussi
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Coucou ! Pour les questions des OC, c'est possible "fire" ou "proof" pour la Geste des Preuses ? (pour le(s) perso(s) qui te parle le plus !) Merci beaucoup d'avance ! :D
Salut et merci beaucoup pour les questions ! Et bah du coup, je vais faire les deux et répondre pour tout le groupe xD
Et si vous voulez lire l'histoire de ces persos, c'est par ici !
Fire: what’s one thing they’d destroy if they could, and why? would that destruction bring them any satisfaction or catharsis?
La réponse ne va pas être très originale. Clairement pour tout le monde : leurs ennemis impériaux en les mettant hors d'état de nuire une bonne fois pour toutes (en fait c'est la suite de l'histoire haha).
Gladys serait celle pour laquelle l'expérience serait la plus cathartique (il n'y a qu'à voir le passage où elle se venge dans CF), vu la colère qu'elle garde en elle. Le UwU n'a aucun effet sur elle et elle sait appeler un chat un chat, surtout en ayant eu à gérer un territoire pendant la guerre.
Vigdis se dirait que c'est bien fait et que maintenant il faut se mettre au travail pour reconstruire. Pareil, la guerre a fait voler son univers en éclats avec une transformation douloureuse à la clef (elle dit après tout avoir créé son moi actuel à partir des "morceaux de son ancienne identité", j'avais noté ça dans un coin et je me disais "hum ça fait très Frankenstein comme truc").
Maeve serait soulagée que ce soit fini. Elle est toujours la dernière à se réjouir d'une bataille et elle penserait à toutes les vies qui ont été perdues pour ça. Mais néanmoins elle aurait la conviction d'avoir fait ce qui est nécessaire.
Eeeeet digression ! J'écoutais la chanson Lady of the Dark de Sabaton au boulot et je me suis dit qu'il y avait un couplet qui était trop Maeve :
"Lost in time, returning to the light Bow before, this lady fights for life So sister
Raise your hand For the lady of the dark Soldier with no will to kill With a philanthropic heart"
(Outre le fait que ce soit très chouette d'avoir fait un chanson sur Milunka Savic parce que son histoire mérite clairement d'être plus connue. Fin de la digression).
Et si on part du connait d'Enid, son objectif c'est bien sûr de détruire les Serpents des Ténèbres. Elle serait bien sûr très satisfaite, d'avoir obtenu réparation mais aussi qu'ils ne puissent pas nuire. Même si du coup, faut espérer qu'à ce moment-là elle soit déjà entourée pour éviter le "j'ai accompli mon objectif, donc il est temps de partir".
**Minute persos secondaires** Si Ismène et Anselma pouvaient détruire le gynécée d'Enbarr (l'institution et la zone du palais), elles le feraient sans hésiter.
proof: what is your OC looking forward to? what best moments in their life are yet to come?
Pour tout le monde, la fin de la guerre !
Gladys a hâte de retourner sur ses terres et de mettre en place ses projets, pour faire quelque chose de constructif et ne pas avoir sans cesse à garder la tête hors de l'eau.
Maeve veut que cette horreur se termine, même si après 5 ans elle appréhende le retour à la vie civile et se demande si les choses peuvent vraiment redevenir comme avant. Elle ne sait pas exactement ce qu'elle veut faire après, mais elle pense rester avec ses amies parce que c'est un repère familier. Et une fois qu'elle l'a retrouvée, elle veut bien sûr passer plus de temps avec Enid.
Vigdis n'appréhende pas vraiment cet aspect de son côté. Elle a envie de transmettre donc elle se dit qu'elle deviendra maître d'armes, que ce soit aux côtés de Gladys (pour pouvoir continuer à la troller) ou en ouvrant sa propre école.
Enid au début c'est le meme "This is fine" donc elle ne se projète pas vraiment dans le futur. Une fois qu'elle commence à remonter la pente, elle veut rattraper le temps perdu avec Maeve et ensuite passer plus de temps avec sa nouvelle famille.
Et bien sûr, le futur leur réserve plein de belles choses (on est dans la voie dorée après tout, même si ça ne veut pas dire que celles qui survivent dans les autres routes n'ont pas droit aussi à des moments de bonheur).
Et donc (***attention zone spoiler, même si c'est plus pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire****)
Pour Gladys les meilleurs moments à venir c'est...clairement toute sa carrière en tant que reine influente et estimée.
Vigdis aura une petite surprise pour son orientation future, mais s'adaptera quand même et profitera de sa nouvelle famille et du fait d'être proche de la mer.
Maeve va se faire connaître grâce à sa musique et pouvoir mener sa vie tranquille tout en compilant des chansons.
Enid aura trouvé sa place au sein de l'église, avec une nouvelle famille dans laquelle elle pourra rester, ce qui augure là aussi beaucoup de bons moments !
Et bien sûr les 4 mariages et 1 enterrement qui résument toute cette histoire !
OC Asks
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🔵 CONSEILS D'UNE MÈRE À SA FILLE:
♡ Ma fille aujourd’hui tu tries les hommes, tu veux un homme à la fois beau, qui a du charme et riche en même temps, parce que tu es jeune et belle.
♡ Mais dans 20 années, tu n'auras plus la même pensée. En ce moment là , tu chercheras plus un homme trop canon et fière de le présenter a tes amis, mais un homme qui te respecte et qui te valorise.
♡ Ma fille fait attention à toi. On a tous été jeunes, aujourd’hui je regrette d'avoir voulu me marier bien plus tôt croyant avoir trouvé celui là que je croyais meilleur. Plus tard, j'ai compris qu'il n'y avait pas meilleur ailleurs et que tous les hommes se valent.
♡ Ma fille aime celui qui est prêt à tout pour toi, avec le temps tu l'aimeras... car nous les femmes Dieu nous a donné la facilité d'aimer.
♡ N'insulte pas et ne méprise pas un homme simplement parce que tu ne vois pas ton futur avec lui. Car demain cette meme personne peux te rendre service d'une autre maniere.
♡ Sois franche . Si tu ne l'aimes pas n'accepte pas tout le temps ses présents. Ne ne lui donne pas de faux espoirs... ne le blesse pas avec des mots médiocres, garde ton silence , il comprendra avec le temps et s'en ira de lui même. Mais avec de bon souvenir...
Le silence en dit long, c'est une autre forme de réponse.
♡ La femme qui veut toujours avoir le dernier mot avec son mari n’est pas sage. La maison n’est pas un tribunal.
♡ La femme qui utilise le sexe comme une arme dans la maison (embargo, se coucher en short-jean ou pantalon), manque de sagesse. Elle prépare le terrain à une autre....
♡ La femme qui utilise les tendances modernes et les « droits des femmes » pour insulter ou ridiculiser son mari est tout simplement folle.
♡ Une femme qui fait de sa maison un enfer, avec des querelles constantes a besoin d’aide. Un homme doit être impatient de courir loin de bureau pour être à la maison, parce que c’est censé être l’endroit le plus sûr et le plus adorable sur terre pour lui.
♡ L’égalité dans le mariage ne signifie pas la concurrence. Cela signifie simplement: partenariat. Profiter de cette égalité pour essayer de devenir la cheftaine de la maison et opprimer son mari, revient à jouer avec le feu. Si tu détruis ta maison, bientôt tu seras la patronne d’une maison vide.
♡ Une femme sage fait de telle sorte que l’homme se sente à l’aise pour assumer son rôle de chef. Une fois qu’il obtient ce sentiment, la femme exerce doucement sa puissance car la tête tourne à l’endroit où va le cou.
♡ Prie beaucoup Dieu et véhicule Ses valeurs... Mets Le au centre de ton foyer. Prie pour être la force et le soutien dont ton époux et tes enfants ont besoin.
♡ Une femme qui ne se sépare pas de l’influence et des mauvais conseils de ses amis ou du contrôle de ses parents, ne peut que blâmer elle-même.
♡ Ma fille soit sage... garde ta maison comme un Trésor, Ton époux comme un Roi, Tes enfants comme des Princes et Princesses et Tu seras une Reine.
Sad Heart 🥺❤️🖇️
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HAAAAAAA (╯°□°)╯︵ ┻━┻
Je viens de finir mon dessin de Renard et Belette! J'ai passé trois heures dessus mais j'aime beaucoup le rendu! Ils sont super chous et même si la photo est pas top les couleurs sont plutôt réussies ! Also je comprends pourquoi tout le monde kiffe Belette, elle est super fun à dessiner ! :D
Ils se retrouvent en fin de journée pour se plaindre de leur job (ps : après cette déclaration Renard a dû se justifier pendant une heure sur le fait que s'occuper des enfants c'était tout aussi compliqué que de sauver le monde) ✨😬
#vdf#le visiteur du futur#florent dorin#vdf le film#fanart#art#frenchnerd#vdf fanart#belette#renard#la meute#ils vont boire un coup et devinez qui tient pas l'alcool#j'en reviens pas comment je simp sur mon propre dessin c'est un peu triste et narcissique#en meme temps elle est trop belle
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Je me rends compte de tout ce que je sais faire et je me dis… ça ferait tellement plaisir aux autres. Ces autres dont je me méfiais, j’ai envie de le dire : Hé regarde moi, regarde moi, vous en voulez de mes compétences ? Hein? Mais si prenez-en,c’est cool non de faire de la lumière soi-meme? Non? Pourquoi vous n’en voulez pas? Ah? Bon…
J’en ai à offrir de la camelote. Beaucoup même. Mais qui en voudrait, de ma camelote ? C’est de la camelote sincère, pourtant. Hein. Mais moi, quoi? J’ai quoi de sincère ? Bin je sais pas. « Faut s’aimer et faire des choses pour soi avant d’aimer les autres » qu’ils disent. Mais moi je sais pas. Je sais juste être utile. Et quand je sais pas quoi faire je disparais. Parce que face à un problème que je ne sais pas résoudre, à quoi je sers, hein? Je mérite pas qu’on dise que ma présence, c’est déjà beaucoup. Ma présence, c’est… c’est… c’est pas grand chose, voyez. A quoi ça sert les gens qui résolve pas de problème ? ‘Fin je veux dire. Y a des gens qui savent y faire sans résoudre de problème, mais moi je sais pas.
Je suis ingénieur, j’ai un diplôme, hein. Et mon père, il était géomètre, voyez l’honneur et le tableau!
J’aime bien cette petite nana, là. Elle habite loin mais j’aime son sourire. Et puis ses bisous aussi. Je me souvenais pas qu’ils étaient aussi doux.
Je sais que j’ai un peu merdé. Parce que j’étais un peu cassé, mais là ça va mieux, mais c’est peut-être trop tard. J’ai envie de l’emmener à la mer, mais je crois qu’elle est trop occupée. Peut-être trop occupée pour moi, mais je veux pas juger. Je veux pas lui mettre la pression avec mes envies de sa présence.
Bientôt je lui dirai dans un message que j’essayerai solennel, que je comprends, que je suis là, comme ils disent, mais que c’est vrai que je la trouve distante, sans doute à cause de toutes les belles choses ou, je l’espère le moins possible, les mauvaises choses qu’ils se passent dans sa vie, et un peu à cause de moi. Mais que je suis là, avec mes défauts et mes qualités, à attendre de retrouver ses baisers et ses bras aussi.
Mais j’essayerai pas de m’imposer, voyez. Juste dire que je suis là et que je trouve le temps long de la retrouver.
Je pourrais être un vieux pote comme elle dit, mais je peux pas m’empêcher de lui caresser ma nuque quand elle est à côté de moi. Ça veut dire quelque chose non?
Le moment est peut-être passé, et y a sans doute des filles qui ont un aussi beau sourire qu’elle. Alors je disparaîtrai. Bin oui. Je lui sers pas à grand chose pour le moment.
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Kaamelott ask meme
Créé par @girafeduvexin
1) Ton/tes persos préférés ?
Je pense que ce sera sans surprise que je réponde Perceval
Mais en même temps, comment voulez-vous que je résiste ? Avec cette bouille adorable, ces yeux bleu incroyables, sa naïveté, sa dévotion pour Arthur, sa fascination pour les étoiles et l’espace d’où il vient probablement, la destinée exceptionnelle qu’on lui promet… le fait qu’il sait ce que c’est, que d’aimer quelqu’un, même s’il n’est pas un pro au tir à l’arc ou autre. Ce serait si facile d’en faire un simple comic relief, un benêt, bête mais gentil, tout simplement, mais Astier en a fait un personnage incroyablement touchant et fascinant. Bref, je l’aime.
J’aime aussi beaucoup Arthur, personnage complexe et fascinant que ce roi aux idées modernes, juste, qui est dépressif et a son petit caractère, qui n’a jamais demandé à être roi mais qui est devenu le plus grand roi que la Bretagne ait porté, qui est fort mais fragile… laissez-le être heureux Astier, svp.
Mention spéciale à Bohort chez qui je me retrouve, qui préfère parler fleur, cuisine et festivités que de partir combattre, peureux mais pas dénué de courage, qui est prêt à protéger ceux qui lui sont chers, extrêmement loyal et sympathique. In this house, we stan Bohort
2) Ton/tes perso que tu détestes ?
Méléagant. Je ne dis pas que je le déteste, mais quand il est présent, c’est signe de mauvaises nouvelles et ça m’angoisse pour nos héros D:
Sinon, je vais peut-être me faire des ennemis mais… je n’aime pas Anna, je vois bien l’intérêt du personnage et tout le potentiel qu’elle peut offrir, mais quand on connaît les mythes arthuriens, je n’ai pas trop envie de la voir rôder autour d’Arthur ^^;
Sans surprise également, je n’ai aucune sympathie pour Mevanwi depuis le Livre IV.
3) Saison préférée ?
Au niveau de l’humour, j’aime beaucoup les Livres II et III, il y a plein de bons épisodes mémorables et très drôles (Les Mondes d’Arthur, Pupi, L’Ivresse, etc). J’aime beaucoup aussi le Livre VI puisqu’il nous permet de découvrir l’origine de Kaamelott, comment les personnages sont devenus ce qu’ils sont, c’est très intéressant, et puis aussi au niveau de l’intrigue (ce drama, aaaah), les costumes, les décors…
4) Ton OTP ?
Je n’ai pas vraiment un OTP pour ce fandom, juste des couples que j’aime shipper sans être passionnée. J’aime Merlin/Elias, deux magiciens et pourtant si opposés, ça donne un duo de choc et des étincelles, et surtout beaucoup de répartie ! Il y a aussi Arthur/Lancelot, que je ne shippais pas du tout au départ, mais je suis tombée sous le charme de ce ship, aussi bien pour l’aspect “Friends to Lovers” que l’aspect “Friends to Enemies to Lovers”, ça promet un parfait mélange de fluff et d’humour, ou d’angst, et je suis là pour !
Comment ne pas évoquer Arthur/Guenièvre ? Je les trouvais juste mignons dans la série, quand Arthur avait ses rares moments de tendresse avec sa femme, et je voulais les voir heureux, malgré la promesse et le caractère d’Arthur. Puis, Astier m’a achevé avec la scène de la tour. RIP Cali.
Sinon, et je sais que beaucoup ne seront pas d’accord avec moi pour des raisons que je comprends, j’aime aussi shipper Arthur/Perceval de façon romantique. C’est mon pêché coupable, et je ne regrette rien.
5) BrOTP ?
Classic is classic. Arthur/Perceval. Je saaaais, quelle surprise hein. Ce n’est pas comme si 99% de mes fics Kaamelott étaient sur eux. Difficile de ne pas les aimer : un chevalier naïf, pas bien doué pour l’art de la chevalerie, mais loyal et dévoué à Arthur (Moi, c’est Arthur qui compte (...) je peux me vanter de savoir ce que c’est, que d’aimer quelqu’un ; azqsdfghjklm j’en peux plus de ces deux-là), sans oublier la faiblesse qu’Arthur a à son égard, il tient à Perceval et ne veut que rien ne lui arrive, et - je - aaahh
J’aime plein de BrOTP avec Arthur sinon : avec Bohort, avec Léodagan, avec Lancelot…
6) NOTP ?
Guenièvre/Lancelot, ils auraient pu se convenir si Lancelot n’avait pas évolué pour avoir cette obsession malsaine pour elle. Sinon, Arthur/Mevanwi, et Arthur/Anna, ils ne peuvent pas se saquer et une union comme ça, ça donne Mordred, et Mordred, ça donne un Arthur mort, personne ne veut ça.
7) T'as aimé le film ? Pourquoi ?
OUI JE L’AIME, JE L’AIME, JE L’AIME
Ahem, bon je ne m’en suis pas pris plein les yeux, et il y a des choses à redire, mais au final je dirais que l’attente en valait quand même la peine et que j’ai passé un très bon moment face à ce film, et que j’ai l’intention d’aller le revoir. ça m’a fait plaisir de revoir le roi Arthur et les autres, de voir enfin la suite imaginée par Astier. C’était drôle, beau, touchant, triste. J’en redemande. Vivement le prochain ^^
(JE MAINTIENS TOUT DE MÊME QUE : WE WERE ROBBED, Arthur et Perceval n’ont pas eu de retrouvailles dignes de ce nom, et c’est une honte !)
Après, oui, ce film n’est pas parfait, il y a des défauts mais honnêtement, m’enfou. J’ai passé un bon moment.
8) Entre nous, les fans de Kaamelott, y sont relous ou pas ?
Chaque fandom a ses relous, on ne peut pas y échapper malheureusement…
Après, j’interagis qu’avec les fans sur tumblr et sur le serveur où je trouve l’ambiance chaleureuse, c’est une bonne communauté, je n’ai pas à m’en plaindre et je passe de bons moments. Je n’interagis pas vraiment avec les fans sur Twitter, Facebook ou d’autres réseaux… J’avoue ne pas être fan des fans qui considèrent Astier comme un dieu vivant ou qui ne font que ressortir des citations de Kaamelott, notamment quand Astier ou d’autres membres du casting font une interview et qu’on s’attend à des réponses plus… réfléchies, dirons-nous. Citer Kaamelott, c’est bien, c’est drôle, mais à tout bout de champ, ça perd de sa saveur.
9) Un Headcanon que tu adores
Le fait que Gauvain voit davantage Arthur que Loth comme son père (comment ça c’est canon ?) et qu’il ne veut plus vivre en Orcanie pour rester auprès de ceux qu’il considère comme sa famille (son oncle, pourquoi pas Guenièvre, Yvain, Bohort l’oncle spirituel…)
Les filles de Karadoc ne se souviennent pas trop d’Arthur, elles étaient si jeunes à l’époque, mais elles se souviennent d’un chevalier un peu triste, brun, qui les avait emmené voir les pupis. Je me plais à croire aussi que Perceval a babysitté les filles avec Karadoc, quand Mevanwi s’est barrée avec Lancelot, et qu’il leur a raconté des histoires sur Arthur, et de leurs missions en tant que chevalier de la Table Ronde, Karadoc et lui. Il ne s’appelle pas tonton Perceval pour rien !
10) Un Headcanon adopté par le fandom que tu n'aimes pas
C’est canon dans les légendes mais… je n’aime pas l’idée qu’Arthur n’aura jamais d’enfants, sauf inconsciemment avec sa sœur, et que son fils bâtard sera Mordred et le conduira à la mort. Non mais attendez, ce serait une fin horrible pour Kaamelott D: je sais qu’Astier est plutôt fidèle aux légendes arthuriennes mais il a su s’en éloigner également par moment, et si Kaamelott ce n’est plus simplement qu’une série humoristique, les bases de la série, c’est bien l’humour. Franchement, je vais déprimer si Kaamelott se termine avec Arthur assassiné, sans héritier légitime, et son royaume détruit, sans Graal.
11) Musiques préférées ?
Juste Judex, Arthur à la Tour, Excalibur noire et Désenchevêtrement.
12) Ta blague préférée de Kaamelott ?
Oula, y’en a plein xD mais j’aime pas mal “Les noix… les fruits ?”, “Ah non, les noix, les noix !”
13) épisode.s préféré.s ?
Piouf, des tas ! Le monde d’Arthur, Le tourment II, La grande bataille, L’habitué, Arturus rex…
14) Unpopular opinion ?
Hum..... aucune qui me vienne à l’esprit pour le moment. J’éditerai au besoin.
15) Tu espères quoi pour la suite ?
- un rapprochement Arthur/Guenièvre QU’ILS NOUS FASSENT DES ENFANTS
- plus de screentime pour Perceval (et des scènes Arthur/Perceval)
- un happy ending (par pitié Astier)
- une rédemption pour Lancelot
- continuer de voir les filles de Karadoc
- des combats et plans épiques (surtout avec de la magie)
et encore plein d’autres trucs que j’ai oublié ^^;
16) Une chanson qui te fait penser à Kaamelott ?
uuuuuhhhhh
En fait, j’ai pas vraiment de chansons qui me font penser à Kaamelott spécifiquement :/ j’aime bien écouter l’album Lys & Love de Laurent Voulzy pour les vibes Moyen-âge que ça me donne (il y a de très belles chansons), ainsi que quelques chansons du musical Excalibur, mais à part ça...
Je tague qui veut le faire :)
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#28 mars 2021
« Le but dans la vie c’est de trouver quelqu’un que tu kiff autant que Kyan kiff Navo. »
Marta c’est ma meilleure amie et ce depuis la fin de la primaire.
Je l’aime de tout mon coeur, on se comprend toutes les deux et on se comprendra toujours. Elle a toujours accepté tous mes travers et mon mauveaus caractère, elle a toujours été gentille et a toujours essayé de me rendre heureuse.
Le 23 décembre de l’année dernière je lui avais écrit une lettre que je n’ai jamais envoyé :
« We wish you a merry christmas and a happy new year !
Je t’envoie cette lettre en espérant que tout se passe bien pour toi dans les Vosges. J’aurai aimé t’inviter pour fêter Noël avec mes parents mais au moment où j’allais te le demander, tu m’as annoncé que tu partais travailler à l’autre bout de la France pour les fêtes. Ça m’a coupé l’herbe sous le pied et je dois bien avouer que je l’ai mal pris et que c’est une des raisons pour lesquelles je t’ai « boudé » pendant 1 semaine... On avait aussi prévu de se voir pendant les vacances, je comptais dessus, j’en avais besoin, et puis finalement tu es partie.
Je sais bien que les gens ne sont pas à ma disposition et que je ne devrais pas leur en vouloir. Sur ce point là je sais que je ne suis pas la meilleure amie qu’on puisse rêver d’avoir, mais je travaille dessus. Même si j’avoue qu’en repensant à cette cette histoire insignifiante il m’arrive encore d’en avoir un pincement au coeur, je suis quand meme contente que tu sois partie pour faire quelque chose que tu aimes.
J’espère que quand tu reviendras chez ton père ton cadeau de Noël te plairas. Ces lettres, si j’arrive à m’y tenir, constitueront aussi un cadeau. Il y a quelques années tu m’as fait le reproche que je ne me livrais pas assez et que tu avais l’impression de ne rien connaitre de moi. J’espère donc que ces lettre corrigeront ce problème et te premettront de mieux me connaitre. J’essaye d’être sincère, bisous Marta, à bientôt. »
C’est la seule lettre que j’ai écrite sur la série prévue, la seule car finalement je n’ai pas envie de me confier à elle, pas envie qu’elle me connaisse plus que ça.
En entamant cette démarche, je voulais lui faire plaisir mais au fond de moi je n’en avais pas envie. Cette lettre est égoïste et finalement, n’est que le préquel de ce tumblr. Je voulais me livrer et faire sortir mes émotions, mais c’est compliqué d’être franc quand le message qu’on écrit va être lu par une personne que l’on connait, que ça risque d’avoir une conséquence sur nos futurs interactions.
A l’heure actuelle, j’aimerai la revoir mais en même temps pas du tout. Quand elle est à mes côtés, elle me saoule.
Elle represente tout ce qui m’est impossible pour l’instant. Elle ne fait pas d’études et n’est donc pas entravée par cela, elle voyage, c’est un esprit libre alors que moi je suis bloquée (ou je me bloque moi même...?) dans mon quotidien, dans ce monde trop étroit pour moi, dans ma douleur qui m’accompagne partout.
J’ai envie d’être comme elle sur ce point, de pouvoir prendre le train, l’avion ou faire de l’auto-stop pour découvrir et vivre de nouvelles expériences. Je ne suis qu’envie actuellement vis à vis d’elle, je salie notre belle relation.
J’ai envie de tout lâcher et de partir loin, de vivre autre chose. J’ai un besoin presque vital de changer d’air, de me retrouver seule avec moi même dans un environnement différent, de me sortir de là.
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Paul.
Il se pencha au-dessus de la tête de celle qui était près de lui, avec un air de stupeur.
« C’est toi ? Dis-moi que c’est toi je t’en prie » criait-t-il en secouant sa poupée.
Il y a quelques secondes à peine, la belle dormait à poings fermés. Paul la laissa tomber finalement par terre, déçu qu'elle ne lui répondit pas. Il fallait que cela cesse, toutes ces voix dans sa tête prenaient de plus en plus place autour de lui.
À demi consciente alors, la jeune femme se réveilla, ne se doutant absolument pas de ce qui s’était passé. Elle le regarda, il la regarda et elle tomba en pleurs :
« Encore elle! Pas cette fois je t’en prie! »
Il ne pouvait pourtant plus le nier. Elle savait qu’il s’était mis à reprendre ses médicaments.
Il avait d’abord juré que les voix avaient cessés, qu’il ne l’entendait plus qu’il ne l’a voyait plus ...il venait de prouver pourtant que c’etait faux.
« Il est 3h heures du mat bordel Paul qu’est ce qu’on doit faire »
Il ne savait pas. Il tentait de la chasser constamment de son esprit mais elle revenait sans cesse, et sans crier gare.
Au départ de leur séparation tout se passait comme il le voulait. il sortait découvrir les rues du 13e avec enchantement puis son pote lui avait parlé d’un site de rencontre et il s’était empressé de le télécharger. Soudain alors il s’est trouvé une étrange passion pour les verres de café pris en bas de son immeuble.
Au départ elle ne lui envoyait plus de messages.
Celui-ci avait pris la fâcheuse habitude de se lever en regardant ses photos, ce qu’elle avait postée sur les réseaux et alors, c’était là qu’elle se manifestait et lui envoyait des sms pleins de colère « va te faire foutre » était-il écrit ou parfois encore, un « je te déteste connard » , comme si cette peste pouvait sentir qu’elle lui manquait.
A un moment, ce n’était plus devenu amusant. Elle ne parlait plus de lui. Il admit qu’elle avait tournée la page et lui-même était désormais prêt à le faire aussi.
C’était avant de la revoir là, dans ce bar miteux, bondé d’hommes plein de désespoir. Pour eux, même le simple regard d’une seule femme aurait ravivé une simple lueur. Elle aimait les hommes bancales, pensa-t-il alors.
« Paul c’est toi ? »
Il acquiesça. Bien qu’elle sache que ce soit lui, ce n’était qu’un assortiment de mots pour enfoncer un peu plus la plaie. Il la regarda alors et elle parut encore plus belle que sur ses derniers clichés. Son visage rayonnait autour de cette sombre atmosphère et à chacun de ses pas vers lui son coeur se mit à trembler. Il l’entendait se débattre contre quelque chose et se frayer un passage en dehors de son corps.
Un homme fit subitement tomber une bière de Heinekein sur les chaussures de sa tendre.
« Oh desolate m’am… vraiment des… »
Il venait de lever son visage vers elle et était surpris que la femme qui portait de si grosses chaussures ne ressemblait pas du tout à celle dont il s'imaginait faire face.
Elle le regarda, froide, puis lui tendit son verre.
Elle n’avait pas changée ! Rien qu’à l’idée de balader ses mains sur son haut trop serré... Paul se figea.
Elle s’approchait.
Ils s’embrassèrent tendrement, très longtemps et elle le serra si fort qu’il fut obligé de se dégager. Tous les deux étaient contents de se retrouver après tant de temps a s’être évités, a se tourner autour, à se chercher.
La jeune femme n’avait pas quittée du 12eme là ou ils s’étaient rencontrés. Sa mère alcoolique avait finalement lâchée son beau- père et elle ne se prostituait plus. Tout semblait rouler comme dans ses plans d’après elle.
En discernant quand même sa profonde tristesse Paul revit leurs ébats sexuels. Il était le seul à savoir comment la caresser, comment la manier, comment l’aimer. Il voulait crier au secours et la baiser en meme temps. C’était un sentiment qui lui avait tellement manqué.
« Et tu as rencontré quelqu’un? » demanda t’elle.
A cette question il était préparé. C’était automatique. Il fallait absolument qu’elle sache que tout allait bien.
« En fait je suis avec quelqu’un … On apprend à se connaître »
Il vit sa déception et se réjouit.
Il fallait tourner la page, qu’importe la douleur.
Quelques échanges de tendresse et de politesse et il vit sa belle s’éloigner, c’était mieux ainsi. Il etait désormais plein d’entrain et de nouveaux horizons s’ouvraient a lui.
Sur le chemin du retour pourtant, il avança avec difficulté remarquant qu’elle venait d’ouvrir a nouveau une plaie.
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Le jour ou tu a détruit mes sentiment ( partie 2 )
- et toi encore plus ? Pourquoi tu n’a pas intervenu ? Pourquoi tu n’a pas repondue a mes texto ?
- je n’ai pas entendue mon tel
- te foue pas de ma geule
- je me foue pas de toi
- ah et toi aussi explique moi pourquoi j’ai eu aujourd’hui dans mon casier j’ai eu une lettre dans un couteau écrit je cite : " quitte le sinon sa va mal finir "
-c’est surment une personne jaloux qui t’a écrit sa Et aussi c sa le truc important que tu me voulait dire !?
- oui
- tu m’a fait une scene juste pour sa ? S’enerva t’il plus encore.
- putain t serieux la !? Je me fait menacé de mort et c tous ce que tu a dire et a réagir , j’en suis sur qu’avec l’autre salope sa serait une autre scène.
- c’est pas en Soyant jalouse que sa va arranger la situation.
- je suis pas jalouse , juste énerver car tu n’a pas lever le moindre petit doigt quand je me suis embrouillé avec l’autre.
- l’autre a un nom
- m’en branle.
- t soulante tu sais quand on commencé a sortir ensemble tu n’étais pas comme sa , maintenant t’est devenue possessif et jalouse
-et toi au debut tu était moins connard qu’aujourd’hui.
- je vois que cette conversation ne nous mènera a nulle part.
- effectivement puisque que tu préfères défendre l’autre que moi et ne rien faire a propos de ce que je t’ai dit effectivement cette conversation ne nous mènera a rien.
- je pense qu’on doit faire un break.
- PARDON !?
- jusqu’a ce que tu te calme.
- tu peux pas faire sa.
-j’ai tout le droit , je reviendrait te voir quand tu te serait calmer.
Et il raccrocha
Je Jetta mon telephone à travers la pièce, je hurla de plus belle heureusement que mes parents sont pas encore rentré du boulot sinon ils vont me faire passer une interrogatoire.
Et je pleura en silence durant toute la nuit.
。
。
。
Le lendemain , j’avait les yeux rouge , j’avait mal yeux , durant toute la matinée , j’ai dormi en classe et durant la pose déjeuner, mes amis l’ont remarquer et je leurs ai expliqué il y en qui me soutenait et d’autre non elles ont rejeté la faute sur moi en disant que j’étais ingrat , je m’étais embrouillé avec eux et on c jamais parler depuis.
Les nouvelles vont vite au lycée tout le monde est au courant pour ce break bien sur les putes du lycée n’ont pas perdue de temps pour se foutre de moi mais bon cela fait partie de la relation populaire non ?
Après cela , j’ai dit a mes amis que j’irait pas en cours cette après-midi j’en avait pas le courage , et une fois arriver au parking je t’ai encore vue avec cette fille , enfoirer , tu profites de notre break pour aller dans les bras d’une autre , et c ainsi que je quitta le lycée les larmes au yeux .
Je ne t’ai pas envoyer de message , je t’ai ignoré comme toi tu l’a fait , tu était toujours avec elle , ce qui me brisait un peux plus , mais heureusement il y a eu mes vrai amis pour me réconforter, il y a eu aussi les petit message que je recevais dans mon casier en me disant que c’etait bien fait qu’on soyer plus ensemble, que de toute façon vous étiez pas fait l’un pour l’autre , que sa allait pas durer longtemps et j’en passe , j’etait de plus en plus briser car je t’aimait.
。
。
。
Quelque semaine passa avant que tu revienne me voir c’etait en pleine interclasse tu m’a pris a part pour pas que les autre entendait notre conversation , j’etait entre le mur et toi , je ne voulait plus te voir car tu m’avait fait trop de mal.
-dégage, laisse moi je veux pas te voir.
- j’ai quelque chose a te dire
- quoi ?
- cela concerne notre break
- je t’ecoute
[C]-Malgré ce qui c passer il y a quelque semaine je t’aime toujours et je veux remettre avec toi.
moi aussi je t’aime mais je te crois pas après tout a chaque fois que je te vois tu est avec « elle » dit-je la fin avec dégoût.
-je sais que tu l’apprécie pas et que tu crois que je l’aime et que toi nan , mais malgré votre dispute elle m’a quand meme conseil pour renouer notre lien , elle m’a beaucoup aider en cette période difficile tu sais.
~ " c sa oui "
Il sait que je le crois pas
- je suis sincère.
Je veux bien donner une seconde chance alors.
- je suis desoler lors de nos messages c’était sortie comme sa , sans pensez au conséquences , après cela j’ai compris que sa allait être difficile pour te voir car tu allait m’éviter du coup elle m’a aider a me conseiller pour ce moment la.
~ " ouais ouais c sa "
- ok je te crois
Il sourie
- je t’aime
- moi aussi
Et on s’embrassa mais au fond il y a toujours cette douleur auquel je ressentait.
。
。
。
Après cela on c remit ensemble cela a bien sur fait le tour du lycée j’ai reçu encore des menaces et j’ai eu une interrogatoire de mes amis..
Suite a cela je me suis excusé auprès de la fille , elle ma pardonner et depuis on se parle vite fait.
Les semaines passèrent et les mois aussi , nous étions heureux nous avons fait plusieurs sortie , aller faire des week-ends en amoureux ou avec des amis , nous allions au cinema ...
Jusqu’a ce jour fatidique....
C’était en fin de journée de cours et comme j’avait terminer plus tôt ce jours la je voulait t’en faire la surprise mais j’aurait pas due...
Je t’ai chercher partout pour te suspendre et une fois que je t’ai trouver je voulait pas y croire ce que je voyait...
Tu était la avec cette cette fille entrain de l’embrasser, des larmes ont commencer a verser le long de mes joue je m’avança vers vous 2 , j’applaudisa et j’ai dit :
Félicitations a vous 2 bande de putes.
Tu te retourna surpris puis tu devient pâle
- c’est pas ce que tu crois
-Et pourtant si j’ai vue ce que j’ai crue je veux plus jamais te revoir , VOUS revoir c terminer entre nous.
Sur ces mots je courra a toute vitesse et je l’entendis de loin
- non attends
。
。
。
Je suis rentrée chez moi en pleurant et je ne suis pas sortie de ma chambre durant la journée.
Tu m’a envoyer une tonne de message en t’excusant que c’était une erreur , que tu m’aimait ect mais j’y croyait plus tu m’a littéralement détruit.
Je t’ai ignoré par la suite , je voulait plus jamais te reparler après en avoir parler a mes amis ils m’ont soutenue et on dit tes 4 veriter.
Tout le lycée est au courant et je recevais toujours des lettre , des moqueries ect j’en avait marre de tout cela du coup pendant plusieurs jours je suis plus venue en cours.
Un soir a table , mon père nous annonça qu’il a une proposition de mutation dans une autre ville et nous demande si ma mère et moi étions d’accord, ma mère a répondue que oui car elle savait que c’était son rêve d’être muté dans une entreprise connue et je le savait aussi et comme j’avait besoin d’aire j’ai dit oui aussi.
Cela l’a surpris
- t’en ai sur ? T’est sur de quitter tes amis ?
-Oui plus que sur et des amis je m’en referait
Il souriait
[C]Et il nous a pris dans ces bras ceci s’annonçait une nouvelle vie. Bien sur que cela le rendrait encore plus triste de quitter mes amis mais je devait partir j’étais trop briser et je pouvait plus le voir.
Je suis retourner au lycée le lendemain annonçant la nouvelle bien sur on était tous triste on c serrer dans nos bras et on c’etait promis de garder contact , je quitte la ville ce week-end, quand j’ai quitter le lycée je t’ai vue avec l’autre pute en train de vous galocher degeulasse , mais cela me fesait encore plus mal et j’ai pas pue m’empêchèrent de pleurer.
。
。
。
Arriva le week-end ou nous avont emballer les cartons après avoir tout vider la maison , je bloqua tout tes réseaux et ton num pour plus jamais avoir affaire a toi , après avoir fait un dernier enrevoir a mes amis j’ai quitter cette ville pour de bons.
。
。
。
Je vais pas te dire la suite de ma vie car cela te regarde pas mais je peux te dire au moins une chose : je suis beaucoup plus heureuse maintenant qu’avant car malgré que tu m’a détruit j’ai sue me relever grace a mes nouveaux et ancien amis , n’essaiye plus de me contacter , je t’envoie cette cassette pour te montrer a quel point j’ai souffert a cause de toi a quel point j’étais briser , j’espère sincèrement que ta vie sentimentale sera pourrîtes , tu ne mérite personne, sur ce je vais pas perde plus de temps pour un type comme toi a jamais.
Enfoirer
The end
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Préquel : Soirée de fin d’année - Partie 4
Suite de la longue préquel de juin. Pour lire la partie 1, c’est par là, pour lire la partie 2, c’est par ici et pour la partie 3, c’est par ici !
Pour un rappel de mes affreux jojos et de leurs relations, c’est par là.
youtube
TW : tension sexuelle, Dan triste (pour changer), virilité toxique de Milo, Maël se fait victim (pour changer), alcool, amours unilatéraux
Quand elle vit la grande blonde arriver, Adia courut vers elle. Enfin une tête connue. Plus exactement une tête connue qui n’en voulait pas à son cul, ce qui était non négligeable. Un peu en retrait, elle aperçut Eric, qui faisait semblant de ne pas les voir. Ce qu’il pouvait être relou quand il s’y mettait. N’empêche qu’il avait accordé son nœud papillon à la robe d’Alinne. Elle sourit. Elle avait envie que ça s’arrange entre eux. Ils s’aimaient, c’était évident. Mais c’était pas toujours aussi simple. Elle sourit à Alinne pendant qu’elles échangeait des banalités. Comme elle avait l’avantage de ne pas être au cœur des dramas de couples, elle avait tout loisir de s'inquiéter. Sa mère serait surement demandée bientôt à la capitale au vu de son boulot de chirurgienne. Elle se demandait si ça allait vraiment dégénérer. Comment ses petits frères allaient vivre tout ça. Elle encore, son lycée était presque finit, mais eux c’était des petits gosses. Merde. Penser à la soirée. Elle pris un verre de bière et se concentra sur sa discussion avec Alinne. C’est vrai qu’ils avaient passé leur bac de science, les L. Elle aurait crié veinards si elle n’aimait pas autant ça. Eric s’approchait. Elle aurait bien parlé de ça avec lui, mais quelque chose lui disait qu’ils voulaient rester seuls. Remplissant son verre à nouveau, elle s’éclipsa en silence.
Si elle avait cru être discrète c’était raté. Eric soupira. Au moins maintenant, ils pourraient parler. Il ne savait pas comment aborder la discussion. Rien n’était clair déjà dans sa petite caboche, alors le formuler. Il se racla la gorge… et les lumières s'éteignirent. Flash sur la scène, le directeur au micro. Putain, le discour. Quel timing. Il sentit un petit coup de coude, et tourna la tête. Alinne souriait. Elle lui pointa son nœud papillon. Il sourit maladroitement en retour. Bon, elle avait remarqué. C’était déjà ç… Il sentit clairement un pied contre le sien. Des doigts frôlant les siens. Il ne voulait pas tourner la tête. Il savait très bien. Merde, il allait vraiment finir par bander. Il respira et essaya de se concentrer sur le discours du directeur. Les mots se mélangeaient et rien n’était clair, surtout quand il sentit un souffle dans son cou. Il ne devait rien laisser paraître. Ça faisait partie du charme. Il se mordit la lèvre. Raté. Il ne pu s’empêcher de laisser ses yeux suivre Alinne qui souriait déjà bien trop.
Les lumières venaient de se rallumer. Dan reporta ses yeux sur Martin. Il avait vraiment soigné son look ce soir, ça se voyait. Déjà qu’il faisait attention de base. C’est surement pour ça qu’il avait pensé qu’il pourrait être intéressé. Oui, c’était con de se fier à des fringues et un sidecut teint mais il avait 15 ans à l’époque et il était idiot. Il l’était encore d’ailleurs pour s’amuser à se faire encore subir ça. Pourquoi il ne prenait pas du recul, comme Selim ? C’est pas comme si il y avait un espoir. Mais Martin… Martin lui faisait du bien. Au moins autant qu’il lui faisait du mal, alors ça lui allait. Il était vraiment mignon dans sa petite chemise fleuri. Et son air embêté quand il galérait avec ses bretelles. Merde. Stop Dan. Il se dit qu’il devrait peut être aller plutôt avec Alinne pour ne pas trop penser à son “meilleur ami”, mais elle semblait déjà bien occupée à chauffer ce relou d’Eric. Tant pis. Au moins il était content d’être là. Avec Martin. Et tant pis pour le reste.
Milo les avait vu entrer. Est ce qu’ils se tenaient la main ? Non, il avait dû mal voir. Et elle souriait en plus. Elle avait toujours l’air mal à l’aise quand lui le faisait. Elle disait que c’était un peu trop niais pour elle. Mais là elle ne se gênait pas pour le faire. Avec lui. Pourquoi lui ? Il était pitoyable dans sa chemise beaucoup trop grande. Une pichenette et il tombait. Il était sur que c’était même pas lui qui avait fait le nœud de sa cravate. Pathétique. Il serra les poings. Et elle était si belle à côté. Son dos large, son regard posé, ses lèvres rouges. Si seulement… Si seulement elle n’avait pas tout gâché. Merde. Il s’approcha d’Alexia, essayant de faire fit de la main de cette dernière dans celle de Maël. Quelques banalités sur la soirée, le discours chiant. Elle avait l’air souriante pourtant. Ça lui faisait plaisir qu’ils parlent, alors ? Il espérait. Quand est ce qu’elle allait se réveiller ?
Quand est ce que ce gros con allait se réveiller ? Maël fulminait. Il voyait bien comment Milo regardait Alexia. Et comment il le regardait lui. Son putain de dédain, cette sale condescendance, il allait la lui faire ravaler. Enfin, il l’aurait fait il si il avait eut ne serait qu’un peu de répartie, ce dont la vie ne l’avait pas doté. Alors il le regardait en silence, l’envie de cracher sur son “si beau costard” bien trop prégnante.
“Haha, dommage que tu ais rien trouvé à ta taille du coup.”
Gros con. C’est pas parce que tu fais 1m84 et que tu sais faire des pompes claquées que tu as le droit de m’humilier, ruminait Maël.
“C’est con, ouais.”
S’écraser était une seconde nature chez lui des fois.
Marina voyait bien que son meilleur pote avait clairement besoin de se changer les idées. Il serrait son verre de vodka-ananas bien trop fort pour le bien de cette petite merde en carton. Elle s’approcha avec sa pseudo désinvolture naturelle et posa une main sur l’épaule de Maël.
“Allez, tu viens danser ? Alex, je peux te le piquer ?”
Alexia comprendrait très bien, et ça se voyait à 10 kilomètres qu’elle était gênée par la situation. La pauvre, se coltiner une sangsue telle que Milo. Elle, elle n’aurait pas tenue, elle aurait fini par exploser. Enfin, c’est ce qu’elle aimait se dire. C’était facile de jouer la grande gueule quand ça concernait les autres.
Elle pris le bras de Maël, l'entrainant danser sur un tube commercial à la con. Elle se trémoussait bêtement, mais ça faisait du bien. Reprenant quelques gorgées d’alcool, elle entendit son pote maugréer :
“Mais quel sale connard quand même”
Difficile de le nier. Elle aussi trouver Milo détestable. Et puis il faisait chier Maël, et ça c’était déjà impardonnable. En plus c’était un sacré social traître avec de la virilité toxique à ne plus savoir quoi en foutre. Que des défauts.
“Évidemment, ça je vais pas le nier. Mais t’inquiètes, Alex sait très bien où elle en est. Penses pas à ça, profites”
Facile à dire pour elle. Mais si elle avait été à sa place elle aurait aussi ragé. Elle était facilement salée, elle aussi. D’ailleurs à ce propos… Elle chercha Selim des yeux. Ce n’était rien de concret, se disait-elle. Juste… Juste comme ça ? Il était cool, de gauche, et en plus il lui envoyait de bons memes. C’était pas mal. Elle se renfrogna. Il dansait pas avec cette conne de Charlène, dans sa classe ? Elle était pas de droite, elle déjà ? Aaaah merde, ne pas penser à ça. C’était con. Elle ramena son attention sur Maël qui dansait maladroitement en bougeant son bassin plus ou moins en rythme. Marina eut un petit rire. Elle n’avait pas besoin de drama pour elle ce soir, les autres en aurait suffisamment. Et puis il y avait la guerre qui arrivait. C’était assez dingue d’être ici et de faire les cons alors qu’à Paris, les répressions policières étaient de pire en pire, et que les pays refusant de payer la dette étaient mis dos au mur. Elle sentit sa culpabilité pointer. Celle qui lui disait que c’était une mauvaise militante, qui n’en faisait pas assez. Qu’elle ne changeait rien, qu’elle parlait beaucoup mais ne faisait pas grand chose. Merde, pas ce soir. Oui, elle avait la chance d’être là. De se dire ça. Mais à ce moment, elle n’avait pas envie d’y penser. Elle calqua ses mouvements de bassin sur ceux de Maël et fit un regard exagérément intense. Elle le vit ricaner en tournant un peu la tête et sourit à son tour, avant de reprendre un peu de bière. Elle était là, autant en profiter.
Milo la regardait beaucoup trop intensément depuis tout à l’heure. Alexia ne savait pas dire si elle préférait quand Maël était encore là pour assister au massacre, ou maintenant qu’il était parti danser, la laissant en tête à tête avec son ex. C’était surement mieux comme ça, c’était à elle de régler ça. Alors pourquoi elle souriait avec malaise depuis tout à l’heure ? Pourquoi elle ne l’envoyait pas chier une fois pour toute ? Elle en était incapable. Comme ces fois où elle lui avait assuré des “je t’aime” sans en penser un mot. Merde, il était sur sa lancée en plus.
“Et tu voudrais pas aller danser ? Comme au bon vieux temps ?”
Putain. Comment répondre à ça ? Elle n’était pas gênée de danser avec Milo, mais elle savait bien ce qu’il y mettait derrière.
“Ok, mais pas longtemps, je rejoindrais Maël après, et… ça ne veut rien dire, d’accord ?”
Alexia le vit déglutir. Qu’est ce qu’il contenait ? Sa colère, sa tristesse ? Elle lui aurait bien hurlé de dire les choses mais elle aurait bien été mal placée pour ça. La main de Milo attrapa la sienne. Il avait bien plus de poigne que Maël. Il jouait là dessus, là maintenant. Qu’est ce qu’il pensait ? Ca n'allait rien changer. Il la fit tourner doucement. C’est vrai qu’il n’allait pas danser avec elle comme tout le monde. C’était vulgaire, monsieur ne dansait pas comme les gens en boite, comme les salopes et les poivrots. Ce qu’il l’agaçait, là maintenant. Oui, elle s’en voulait, oui il lui avait fait du mal, et devait toujours en faire. Mais merde.
Milo sentir les mains calleuses d’Alexia au creux des siennes. Voilà là où elles auraient dû toujours être. Cette chaleur l’envahissait, il profitait du moment, les yeux mi clos, au milieu de cette fête stupide et de ces musiques de merde. Si seulement tout redevenait comme avant. Si seulement elle pouvait réaliser. Les lumières criardes jouaient sur son beau visage et sur ses cheveux rasés. Quand il faisait un pas vers elle, elle trouvait toujours le moyen de reculer. Merde… C’était vraiment peine perdu ?
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Durant son voyage, il a rencontré sur sa route, non pas la vieille idylle mais l'idole des jeunes qui au fil du temps et au fil du Nil est devenue la reine de toute, l'Amour, qui se, lit dit le coeur avec un grand A où sur la carte de son corps il en a fait sa capitale. Une vie en majuscule, mais pas en pointillé, dans un nid douillet mais sans David, où chaque intention s'affiche en attention, parce que l'Amour oui se vit et non sévit sur la compagnie love Airlines en classe affaires pour en corps s'envoyer en l'air avec le coeur à faire coucher les étoiles. Voilà pour l'intro mais dans le détail c'est encore plus beau. Elle est apparue de ses plus beaux apparats, qui de ses parements sans pareils font ressortir sa vraie mine naturelle sans les faux traits de Sabine Paturelle, Elle s'avança jusqu'à lui comme une petite bombe en grandes pompes. Elle est à la croisée de destins, entre Lisa Minelli et Alyssa Milano, une escale milanaise à la scala de milan une gitane mais pas gitano, symbole d'un Benvenuti a la felicita, un chant d'amour au son de la dolce vita et du dolce gusto, porté à son coeur de Bohème que les mots aiment mais que sa bouche ne connait ni des lèvres ni des dents. A la recherche de sa bonne heure, elle voit une vie en prose, à l'eau de vie de roses, ne se saoulant pas de sûres crises mais de surprises. Ces destins ne sont pas les siens alors elle s'accroche à ses desseins. La fée est aux aguets, à quai, elle attend sa clochette, la Belle espérant son beau, pas son clochard, pas un belitre mais son bellâtre. Elle rêve d'une relation exclusive sans exclusion, un amour passionnel, pas rationnel, de l'émulsion faut que ça fuse, de la combustion faut que ca pulse, se touche sans effusions ni contusions. Elle ne veut plus de ces cons venus, qui en parvenu sont parvenus en convaincus inconvenants, sur un concerto déconcertant à finir de concert en cons vaincus sur une déconvenue. Car à s'adonner au bourreau des moeurs, qui cultive son coeur et laboure la belle finit abonnée au bureau des pleurs elle ne veut plus de ces paroles de marivaudage qui finissent en actes de mari volage. Meme si les années ont sur son coeur, défait l'effet de ses traits elles sécrètent sur son corps suranné les faits d'un nouveau bonheur, car si elle se ride ou qu'il s'érode c'est la même eau qui coule, celle du temps. Dans la course à l'intimité ce qu'elle veut, c'est le grand prix. Lui, des jours de tonnerre, des nuits de coup de foudre sans éclairs, en clair le championnat du monde des pilotes mais pas des cons-scruteurs. Elle est carossée comme une F1, son chassis se délivre à la manière d'un livre , où les yeux se consument à chaque page comme une histoire sans fin. Au sein de son écurie, elle s'affiche en égérie du dernier modèle sorti, entré comme la première de sa génération. C'est une hybride, qui se débride pour enflammer de son corps électrique les sens du bonheur carburant au super. Il sait que ce genre là, ça ne se domine pas car elle est nerveuse et dynamique, ça s'apprivoise. Il a fallu être sans détour au poste, des tours de piste, des tours d'essai, des essais libres, des arrêts au stand en stand by stop mais à vouloir trop vite courir le circuit le court-circuit n'est jamais très loin. Viser la pôle position est une ambition mais étant le seul à concourir sans concurrent, le rang n'est pas une obligation. Mais si contrairement à lui, elle ne perd jamais la tête et les pédales, la belle s'emploie toujours sur la bête, et finit sur un rale. Sur l'asphalte amoureux, il s'affale, elle s'affole car la piste n'est jamais rectiligne et à ses magnifiques courbes il s'aligne mais courant, à contre - courant, de sens en contre - sens, du point génial au point final, le drapeau finit toujours par damer le pion à sa dame car de ses phares chics à ses pares-chocs, de ses délits chics, en des lots chocs, Sous ses seins cirés se repose le Saint sireoù ses reins à mirer son Saint siège, assassine le sain d'esprit. Un corset au corps sain, de ses dessous, sans dessus, est le cri juste de ses reins elle le laisse, avec sa robe rutilée comme une jeune première, mutilé comme un jeune dernier. Oui, l’Amour est un parcours, un tour du monde qui s’écrit aux mains d’argent et finit sur un livre d’or. Derniers conseils à venir, pour tenir en éveil : Avant que dans cette course pour la vie, le souffle s’essouffle et dans cette course contre la fin avec la mort aux trousses, profitez de chaque jour comme si c’est le premier. Embrasez les jours avant que la nuit vous embrase, baisez la vie avant que la mort ne vous baise. Car c’est là, où l’Amour se terre, dans leurs yeux que se contemple, et qu’on comprend dans ce temple qu’on appelle dictionnaire, qu’au mot Amour, on ne pourrait trouver mieux. Carpe diem ! ©
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11 aout 2019 ~ Kirovsk, Russia.
Quand on débarque à Kirovsk ça sent le wtf désertico-urbain russe. Sous nos yeux des dizaines de barres d'immeubles qui ont mal vieilli encastrées le long de la montagne, en plein milieu de la forêt, avec quelques remontées mécaniques pour l'hiver, et une Église rouge flambant neuve très surfaite. En sillonant la ville on voit une enseigne partout, "Fosagro". Sur les immeubles, sur le musée, sur l'hotel. Kirovsk semble être entièrement financée par cette entreprise. Au fil de notre avancée on découvre qu'en fait, dans les années 20 on y a découvert du phosphate, du coup la ville est sortie de terre comme un champignon en même temps que la mine. Maintenant c'est Fosagro qui gère l'exploitation, et toute la ville tourne autour de la mine. 60% à 70% de la population travaille pour Fosagro.
Quand on arrive samedi aprem on cherche un office de tourisme pour choper des cartes des randonnées du coin parce que Matis nous avait proposé un plan rando. Tout a l'air un peu mort. On finit par tomber sur une enseigne avec le "I" de information, "financé par le partenariat de voisinage de l'Europe''. Mais quand on rentre c'est "Suchi Wok". Belle utilisation des fonds européens. On trouve un peu plus loin des bureaux, peut-être de la police ou de la municipalité. Personne n'est capable de nous dire où trouver un office de tourisme. La ville est déserte, mais l'urbanisme a fait comme si elle était pleine à craquer : énormes places pavées, avec d'énormes marches et d'énormes trottoirs sur-dimensionnés. On se dit qu'on est vraiment arrivés au fin fond de la Russie. On arrive finalement au musée de la ville, là y'a enfin des cartes et on se pose un peu parce qu'il fait pas chaud dehors. On va manger un burger, la vieille qui fait le ménage nous lance des regards noirs parce nos sacs sont dans l'allée et qu'elle peut pas passer la serpillère mais elle le fera quand meme en poussant nos pieds du bout de son balais. Il y a plein de husky partout, ça me redonne envie d'avoir un chien.
On décide d'aller dormir au bord d'un lac pour être directement au début de notre randonnée le matin. On croise plein de groupes de randonneurs avec guides et on s'aperçoit que kirovsk c'est en fait une ville d'hiver pour le ski et une ville d'été pour les randos. La démesure s'explique. C'est là qu'on tombe sur la gare abandonnée, avec un portrait de Lénine gravé dans le mur et les lettres de la ville rouillées. C'est très post-apocalyptique. C'est pas le seul bâtiment qui a l'air abandonné ou brulé dans le coin. En arrière plan on entend le passage réguliers de trains de marchandises remplis des gravas de la carrière.
Le lendemain on hésite à partir en rando. Le plan c'est de monter une montagne, pour redescendre vers un petit village duquel ça sera possible de retrouver la grosse route. Y'en a pour peut-être 10 ou 12 heures, avec nos sacs ça fait beaucoup. Matis est chaud, Noé beaucoup moins. On hésite à se séparer un temps mais on se lance en se disant qu'on verra dans quelques heures à quelle vitesse on avance et comment on se sent. Après 1h30 on s'arrête à une rivière remplir les bouteilles avec le filtre à eau de Matis. Y'a des gros nuages à l'horizon alors on change de plan pour quelque chose qu'on pensait plus rapide et plus facile, grimper une montagne plus proche pour avoir le panorama sur la ville et redescendre directement sur le lac ou on a dormi. Lourde erreur.
On commence notre ascension tranquille, c'est pas trop dur et c'est joli quand on s'arrête. Mais plus on monte plus on marche sur des gravas, c'est pas trop stable sous nos pieds. Et surtout ça devient abrupte. Un peu. Pas mal. Puis beaucoup. La gradation est lente alors on s'aperçoit pas qu'on se retrouve à faire de l'escalade avec nos sacs qui font entre 15 et 18 kilos. À s'agripper au lichen. Je commence à me dire que c'est v'la dangereux ce qu'on fait, si on tombe à la renverse, avec nos sacs, on est morts. Et je me demande surtout comment on va redescendre. À des moments j'ai vraiment des frayeurs pour nos vies. Mais encore c'était rien.
On arrive en haut, 400m de dénivellé environ, pas si haut mais c'est vrai que c'est beau. Y'a pas un arbre sur les montagnes on se croirait sur Mars. On voit des coulées de neige. On se fait réchauffer des conserves de renne en sauce (si si) et de risotto que nous avait filé le camionneur cuisiné avec amour par sa femme. C'est son pote qui a chassé le renne. Ça réchauffe ça fait du bien, y'a pas mal de vent et des nuages qui reviennent. Mais faut vite repartir parce que la question de la redescente nous trotte dans la tête et on a peur qu'il pleuve.
Sur la carte du musée il y a les lignes topographiques et on remarque un endroit un peu plus loin sur la crête ou on peut éviter la descente presque verticale qu'on s'est tapé a la montée. On avance donc dans cette direction et on tombe sur une crevasse assez profonde et pas bien large qui semble redescendre. Ça parait pas simple mais faisable. Je pars en reconnaissance, ça parait vraiment faisable. Noé emet des doutes et préfèrerait qu'on continue à avancer en direction de la pente indiquée moins raide sur la carte mais finalement on s'engage dans la crevasse. De part et d'autre 3m de mur de pierre et sous nos pieds un chemin d'éboulis creusé par l'eau. Avec nos sacs c'est galère de ouf, on a peur de basculer en avant alors on avance doucement.
On s'aggripe aux parois pour se soutenir au cas où nos pieds glissent, au cas où les pierres sous nos pieds roulent, au cas où on bascule. Les petits rongeurs qui ont fait des nids partout ont laissé des crottes sur toutes les prises qu'on peut trouver pour nos mains. Alors elles s'écrasent sous nos paumes à chaque pas. Quand la pente devient trop abrupte, avec Matis on se fait passer le sac de Noé qui est fatiguée et a peur de basculer avec son sac sur le dos. C'est dur mais on s'en sort. On arrive sur un endroit un peu plus plat pour une pause. Je repars en reconnaissance mais cette fois ça passe pas. La crevasse disparait, y'a des murs de 4 ou 5m à desescalader, des mini-crevasses très étroites sur plusieurs mètres. Rien que pour remonter j'me fais peur tout seul alors descendre avec nos sacs, impossible. On commence à se dire que merde on est mal et que la crevasse c'était peut-être pas l'idée du siècle.
Matis trouve un moyen de sortir de la crevasse. On longe la montagne bien abrupte sur des cailloux qui nous roulent sous les pieds, c'est l'angoisse. Mais le pire arrive. On commence à fatiguer, on a fait un peu moins de la moitié, Matis propose de la tenter en mode glisssade de la mort sur 20m de gravillons. J'me dis mouai on va trouver autre chose. Je chope un passage sur du lichen assez épais, c'est facile mais ça finit sur un apic. Faut choisir entre 2 nouvelles crevasses. Franchement je pense qu'on a fait un peu au pif. Comment descendre une palissade de 2m de pierre, avec nos sacs et avec des éboulis en pente à la reception ? On teste 2 endroits et on opte finalement pour l'option s'avancer sur les fesses sur un petit recoin avant de se hisser en bas. Au préalable faut trouver moyen de faire descendre nos sacs. On étudie la possibilité du lancé de sac plaqué au sol par Matis déjà en bas, puis la possibilité du lancé de sac réceptionné sur le corps de Matis même mais on opte finalement pour un glissé de sac le long de la palissade de pierre. Nous voilà nous et nos sacs dans notre deuxième crevasse de la mort. Du dessus on avait l'impression qu'elle descendait jusqu'en bas donc pas de surprise. Sauf que la surprise c'était l'inclinaison de la pente. Vous voyez les fissures de torrent qu'on voit des fois sur les montagnes, ben on était là-dedans. Au loin on voit la route, avec les voitures qui passent. Y'a deux types tout petit qui ont l'air de nous mater. Ils vont nous mater pendant un moment, même avancer un peu vers nous et nous faire des signes. Surement voir si on avait besoin qu'ils appelent les secours, ou nous dire qu'on était trop con de nous engager sur ce truc, ou juste attendre qu'on vienne s'écraser à leurs pieds en charpille.
Ce qu'on a descendu aujourd'hui ça se fait sûrement en rappel avec un groupe de 10 personnes. Nous on l'a fait avec nos sacs de 15kg et sans cordes. Les cailloux sur lesquels on s'appuiemt nous roulent sous les pieds et dévalent la pente sur 30m avec un son macabre. À ce moment là, le sol, c'est de l'éboulis d'éboulis. À un moment y'a un mur d'1m50, à descendre. Sur du plat ça aurait été tranauille mais là on est sur de la pente limite falaise. Le mur est clairement vertical et le sol de reception en pente hardcore. Faut se cramponner avec les bras et se laisser pendre le long du rocher pour le passer, avec le presque vide en-dessous. On tombe sur des carcasses de fusées pour déclencher les avalanches. On se dit que si en plus y'a des restes de bombes alors là franchement... Manquerait plus que l'ours. On a finalement tous enlevé nos sacs pour pas chavirer. Il y a tellement d'éboulis qu'on doit faire par étapes pour pas que l'un de nous se prenne le caillou qu'un autre a fait dévaler en descendant, ce qui arrive tout le temps. Surtout qu'avec la pente si celui en amont fait tomber un caillou celui du dessius se le prend en pleine tête. On descend donc par étapes. Matis tout en bas descend les sacs et descend. Puis moi au milieu qui les lui file et qui descend et Noé tout en haut qui descend en dernier et rebelote. Nos jambes flageollent. À chacun sa technique moi plutôt face à la pente en araignée et Noé plutôt dos à la pente en mode échelle, Matis de face avec des contrepoids. Et on descend, à une vitesse d'escargot. Noé maudit Matis et les randonnées de toutes les manières possibles et imaginables. Quand on est arrivés en bas après 9h de calvaire, on en revenait pas d'être vivants. On a pris notre couloir d'avalanche en photo et on a maudit une dernière fois la montagne. On s'est dit qu'heureusement qu'il avait pas plu sinon j'crois on s'en serait pas sorti.
On est reparti sur le VRAI chemin en direction de la ville. Une voiture nous a pris en stop, un couple qui dormait dans un énorme 4x4. Ils ont été adorable comme c'est impossible d'être adorable comme ça. Pourtant on devait pas sentir bon la peur la sueur et la boue, le mec ouvrait les fenêtres à intervalle régulier. C'est pas tant qu'ils ont été particulièrement gentils, c'est qu'ils nous ont aidé jusqu'au bout pour trouver ou dormir a Kirovsk. Faut savoir que booking en Russie c'est pas la folie. On commande un premier appart, mais ça répond pas. Nos conducteurs appellent différents apparts ou hôtels pour nous et font des tours dans la ville. Finalement ça fonctionne avec le 1er appart, on va enfin pouvoir se poser.
L'appart est dans un immeuble identique aux autres, des préfabriqués des années 40 ou 50 mal assemblées, on voit les jointures en béton. L'eau sent le souffre et les boites aux lettres n'ont pas été changés depuis la construction de l'immeuble. Les gens font sécher leur linge au milieu des tours et y'a des jeux pour enfants mais c'est aussi mort que dans nos cités. On se fait une énorme bouffe parce qu'on se sent bien vivants.
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Chère anorexie,
Je vais y aller direct. Tu m’as hantée, détruite, insultée, tu m’as rendu malade, faible a ne plus avoir la force de parler. Tu es devenue ma seule vraie amie, la seule en qui j’avais confiance, la seule que j’écoutais, je t’ai fais confiance, putain. En contre partie, toi, tu as fais de moi ton jouet, ta marionette, tu nous as enfermée dans une bulle de laquelle il m’est impossible de sortir aujourd’hui, poussé dans un trou noir. Tu m’as forcé a me detester, a me dégouter. Je ne vivais que de haine et d’eau fraiche. Méprisante, tu me forçais ainsi a mépriser ceux qui ne mangeait pas comme toi tu me le forçais. Une haine ou une jalousie, je sais pas. Les gens autour de moi n’étaient devenu que de sales « hypocrites » a notre gout, et tu me murmurais de ne pas les écouter, de les oublier, de m’éloigner, de m’isoler. On était un duo inséparable de pétasse, insouciantes.
Ah.. quelle salope tu as été quand j’y pense. Avec tes pouvoirs magiques tu m’as influencé pour que tu sois comme une drogue pour moi, une addiction. Ben oui, évidemment que parfois tu me manques, tu me manques beaucoup même. Cette sensation de contrôle complet sur ce que j’ingurgitais, sur ce que je faisais a mon corps. Le savoir incontestable sur la quantité de calories, selon les grammes de chacun des aliments hibernant dans mes placards. Tu m’as montré le chemin de la critique, j’ai été jusqu’a détesté des aliments pour toi. Ne jamais les prendre par peur de surplus de mes 400 calories par jour. Et si je les dépassais? Oh votre grandeur, sa majesté l’anorexie… Tu venais et me punissait. Une punition ignoble, tu m’enfermais dans ma chambre avec Culpabilité, tu m’as même enfermé si longtemps avec elle que s’en est devenue mon amie, je la connais sur le bout des doigts, cette punition, sans plus dire, arrivait quand, malencontreusement j’ai mangé une pomme car mon ventre criait famine. Tu m’as ainsi pardonné, mais tu me donnais l’ordre de ne pas manger les jours qui suivaient. Évidemment, naïve je t’écoutais. Je n’avais aucun avis, tu étais la voix de ma raison. Ou plutôt la voix de ta raison: maigrir, maigrir, être malade.
Cette expression qui dis, on en apprend chaque jour, je la connaissais bien moi j’apprenais les macros-nutriments de chaque aliment, que d’ailleurs je me forçais à manger, car tu m’as interdit l’appétit pendant beaucoup de temps. Mais ouais, j’avoue, ca me manque, cette possibilité que j’avais de perdre des kilos en l’espace de deux jours. Démoniaque, tu m’as fais croire que tout ce que tu me disais était d’une vérité pure. Je n’étais réduite qu’a un chiffre, celui de la balance. Je ne parlais plus que de ca. Ca y est, ensorcelée et hypnotisée par tes paroles, seuls les mots sport & corps occupait mes conversations.
Inintéressante que tu es, me morfondre dans mon lit avec toi à coté de moi qui guidait mes rêves et cauchemars faisait partie de ma vie. Je ne pensais plus qu’a toi, je buvais anorexie, je mangeais anorexie, je dormais anorexie. J’étais si loyale a toi.. Pourquoi tu m’as pas prévenu, que ce que tu me faisais faire pouvais me conduire aussi loin. Pourquoi tu m’as pas prévenu que tu n’étais pas réservée qu’aux personnes maigres. Pourquoi je t’ai cru quand tu disais « Toi, malade haha,pas assez maigre ». Tu m’as pas prévenu que tu n’étais pas un « corps typé » mais une maladie mentale.
Pour toi j’ai perdu ma joie de vivre, j’en ai oublié mes passions, je me suis perdue moi-même en fait. Tu m’as pris par la gorge et tu m’as étranglé, respirer était un effort, je ne pouvais meme plus parler, le son de ma voix était réduit a néant ou presque, sans parler du contenu de cette voix aussi d’ailleurs, qui était un façonnement de tes mains sur moi, ta manipulation.
Malade que j’étais, tu me hurlais que je ne l’étais pas assez, que tout ca n’était qu’une croyance, et que je devais me rendre encore plus maigre pour être assez malade pour enfin réaliser que tu m’enfonçais des couteaux derriere le dos. Heureusement pour moi, je suis pas conne ma petite.
Tu m’as poussé dans les escaliers, je suis tombée plusieurs fois, je n’avais plus de putain de force pour monter des escaliers! Tu m’as enlevé ma capacité a me concentrer, a parler, a sourire. Tu m’as pris ma folie, ce qui faisait de moi : la folle du lycée. Tu m’as privé de mon bonheur, ma joie de vivre, et meme de mon sommeil. Tu as enlever les dernières couleurs de ma peau et tu m’as dessiné de belles cernes, que je n’arrive toujours pas a effacer. Tu as creusé mes joues, je n’avais grace a toi plus droit a mes grosses joues, et plus personne ne pouvais les pincer, meme pas ma grand mere. Devine quoi, tu me restreignais tellement que mes pauvres parents affolés, mon docteur donné des complements alimentaires et des vitamines a prendre, que je faisais semblant de prendre, parce que si je les prenais, tu m’avais bien dis que j’allais grossir, et c’était pas notre but n’est ce pas. Et meme les chewing gum et les sucettes étaient trop élevée en sucre pour notre perte de poids.Tu m’as non seulement fais du mal, mais tu as fais du mal autour de nous. Tu en as rendu triste plus d’un. Mais quelle sorte de créature tu es? Tu as été ma pire rencontre, mon pire démon, une possession. Parce que c’est comme ca que je te représente, un démon, un fort, un noir, un imbattable monstre. C’est fini, l’exorcisme a commencé, je te descendrai, je te contredirais, et je gagnerais, tu verras. Je suis plus toute seule maintenant, et je me libère de tous les pouvoirs que tu avais sur moi, tu es en train de perdre, et maintenant c’est moi qui te prends a la gorge et qui t’étrangle, et c’est moi qui te réduira a néant. Tu n’es bientôt qu’un vaste souvenir.
Adieu, De ta vieille copine.
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Tonga
Journée du 1 au 10 Septembre 2018
On part en VACANCES !!!
On en avait besoin. Nous étions fatigues et en manque de soleil avec l’hiver.
On décolle de Wellington avec beaucoup de retard et devons nous dépêcher pour notre changement a Auckland. L’avion au depart d’Auckland est lui aussi retarde, ce qui nous arrange.
On atterrit a 23h au Tonga. On passe la douane tranquillement sachant que la navette de l’hotel nous attend. En sortant de aéroport, il n’y a personne a part des chauffeurs de taxi qui nous explique que la navette est deja partie… On arrive a joindre l’hotel. On prend un taxi jusqu’au milieu de l’ile puis on est recupere par la receptioniste qui est deja en pyjama.
On arrive a l’hotel mais a priori nous etions attendu pour un autre jour. On fait connaissance avec le chien Panda pendant que la receptioniste verifie qu’une chambre est prete. On est bien content de recuperer notre chambre, prendre une douche et d’aller dormir.
Dimanche 2 septembre - Jour 2
Alex s’est reveille avant moi et a deja fait le tour a mon reveil. J’ai le droit a une visite guidee.
On dort dans des petites maison nommee Fale plus ou moins typique des Tonga. La structure est comme celle que l’on a mais elles sont generalement sur pilotis ou au ras du bord de mer.
Il fait un peu gris mais on profite de ce premier jour a la plage. Le dimanche tout est ferme et les habitants vont a la messe.
On fera du snorkeling. L’eau est transparente et il y a enormement de poisson et des coraux.
Ce qui est vraiment incroyable, c’est que l’on a deja vu une baleine depuis la plage. Elle passait au loin tranquillement en faisant des petits sauts.
Lundi 3 Septembre - Jour 3
On recupere notre voiture de location aujourd’hui. Il fait beau du coup on profite de la plage le matin.
C’est super agreable. On a la plage pour tout seul. L’eau est encore plus belle qu’hier avec le soleil et le snorkeling beaucoup plus beau egalement.
On ira faire un petit en ville. Elle est miniscule, c’est la meme taille qu’un village en France. On fera quelques courses au supermarche pour les repas du midi. Il n’y a pas beaucoup de choix en aucun produit frais. Less fruits et legumes sont presents au marche qui est tres sympas.
Nous voulions faire de la plongee mais les compagnies font des sorties baleines uniquement pendant cette periode.
Nous allons au site ou Abel Tasman a amarre la premiere fois au Tonga.
Nous retournons a l’hotel pour profiter de la plage et se relaxer. Nous aurons la chance de voir deux baleines qui ont fait plusieurs sauts. C’est magique.
Mardi 4 Septembre - Jour 4
Aujourd’hui on part a la decouverte des points d’interet sur l’ile. On prend l’une des deux autoroutes de l’ile.
Nous commencons par le Tsunami Rock. Il s’agirait de la place ou les plus grandes traces d’un tsunami ont ete trouvees.
Nous allons ensuite aux “Blow Holes” ou “Mapu’A Vea”. Les vagues se fracassent contre les falaises dans un sifflement incroyable. La couleur de l’eau est d’un bleu profond puis le bleu azur une fois passee la mini barriere.
On part voir un peu plus loin les autres endroit de la falaise. En marchant on tombe sur un batiment qui a ete detruit pat la tornade qui est passe par ici l’annee passee.
Nous reprenons la route et passons la deuxieme autororoutes. Elle ne doit pas etre tres empruntes.
Nous avons du passer devant l’entree du pont naturel. On n’a pas du tout vu le chemin qui y mene.
Nous arrivons a Hina Cave. Des spectacles de danses typiques y sont presentes en soiree. On prendra notre pique-nique sur cette plage.
Nous nous arretons a Analulu Cave. C’est une petite cave ou il y a une source d’eau douce ou l’on peut se baigner. Les guides allument le generateur pour avoir de la lumiere dans la grotte puis nous emmene jusqu’a la source d’eau. Nous sommes que tous les deux dans la grotte. C’est un peu flippant mais tres sympa a la fois.
Nous arrivons a Ha’amonga a’ Muai. Une sorte d’arc de triomphe. Nous ne connaissons pas la signification de ce monument. Il y n’y a aucune explication.
Nous n’allons pas jusqu’a la plage suite a ce petit truc sur le chemin.
Nous voyons les cochons sur le bord de la route. La marre est haute du coup on ne pas les voir en train de chercher les coquillages. Les cochons d’ici sont reputes pour cela. Ils mangent les coquillages lorsque la maree est basse.
Il s’agit de la deuxieme ecole que l’on voit qui portent toujours stigmates de la tornade.
Nous nous arretons voir les plus anciennes tombes royales. Comme il s’agit de tombes royales elles sont surrelevees du sol. En general les tombes formes un monticule recouvert de sable. Les familles les decorent avec des photos du defunt.
Les cimetieres pour les locaux ressemblent plutot a ca
Nous rentrons et voyaons le coconut tree a trois tetes. Le soir en prenant notre apero on voit un gros truc volant et il s’agit d’une enorme chauffe-souris.
Mercredi 5 Septembre - Jour 5
Nous quittons notre ile pour aller passer la journee sur Fafa island. Apres 30 minutes de bateau nous arrivons sur cette minuscule ile. Il y a un hotel de luxe sur cette il et c’est tout.
Un plan de l‘ile. Nous partons faire le tour de l’ile pendant que la maree est basse et avant de manger sur cette petite ile.
Un exemple des petits Fale sur l’ile.
On fait une petite pause sur le transat a la fin de notre petite balade. Nous avons mis 40 minutes pour faire le tour. Nous avons pris notre temps.
Le restaurant a une vue incroyable. Le repas est delicieux du debut a la fin. Un vrai regale.
Apres le dejeuner nous partons faire une petite balade dans le centre de l’ile.
Nous profiterons de l’apres-midi pour nous baigner et faire du snorkeling. Il y a peu de poisson, je suis un peu decue.
C’est deja l’heure du depart. Cette ile est vraiment magnifique.
Ce soir nous allons voir un spectacle de danse avec un buffet traditionnel.
Jeudi 6 Septembre - Jour 6
Ce matin s’est seance photos des fleurs. Je commence par les hibiscus.
Puis les fleurs de frangipaniers. J’adore ces fleurs qui apparaissent comme cela sur des arbres que l’on croirait mort.
Nous allons au marche. On en profite pour aller voir l’ancienne grande Eglise et les nouvelles tombes royales qui sont juste a cote du Palais Royal.
Il y a enormement de chose en bois sculpte qui sont magnifiques mais beaucoup trop grande pour rentrer dans la valise.
Celui-ci est mon prefere. Il pourrait occupe un mur complet dans notre logement.
Nous mangerons dans un restaurant du centre ville avec degustation de biere local pour Alexandre.
Nous avons pense a toi Amelie en voyant ce maillot de rugby Richmont.
On rentre tranquillement a l’hotel pour profiter de la plage et se baigner. On verra une baleine qui passe au loin.
Vendredi 7 Septembre - Jour 7
Aujourd’hui il fait gris et il y a un peu de vent. On ecrit toutes nos cartes postales puis on en ville pour les poster.
Sur le chemin du retour on part a la recherche de l’arche. Ce n’etait pas facile a trouver car vraiment pas indique et la route n’est meme pas un peu goudronnee. On est super content d’avoir trouve.
On est dessus de l’arche Je suis super contente.
On decide d’aller pique niquer aux blow holes. C’est encore plus impressionnant car la maree est haute. Par contre le soleil n’etant pas au RDV la couleur de l’eau est moins impressionnante.
On retourne a l’hotel pour profiter un peu du hamac et des bouquins car il pleut en cette fin d’apres-midi.
On fera quelques courses pour le soir dans les petites boutiques sur le bord de la route. Tous les locaux vont acheter leurs trucs ici. On y achete notre pain qui est plutot bon.
Samedi 8 Septembre - Jour 8
C’est le grand jour!!! On va plonger avec les baleines a bosse aujourd’hui. Je suis super impatiente et flippee a la fois. C’est super gros une baleine a bosse.
Il y a les baleines de l’hemisphere nord et de l’hemisphere sud. Elles ne se croisent jamais car elles migrent pendant le printemps et l’automne.
Nous allons voir les baleines de l’hemisphere sud qui viennent durant l’hiver (juin a septembre) au Tonga pour donner naissance a leur bebes et aussi pour s’accoupler. Elles repartent ensuite en Antarctique pour ce nourrir pendant 4 mois .
Il faut savoir que les baleines de l’hemisphere sud n’ont pas de nourriture lorsqu’elles migrent ou restent ici au Tonga. Les baleines ne mangent pas pendant 8 mois de l’annee.
Nous partons sur un gros bateau puis nous repartissons en deux groupes. Tout va tres vite a partir du moment ou on a reserve notre baleine. Il y a une autre compagnie ce jour la et le premier qui voit la baleine se reserve la baleine sur l’autre agence.
On est dans le petit bateau puis la monitrice nous dit de se preparer pour aller a l’eau. Nous sommes la aussi repartis en deux groupes pour ne pas faire peur a la baleine. Nous sommes donc le deuxieme groupe a aller dans l’eau et nous ratons la baleine qui est partie avant que l’on puisse la voir.
Nous allons donc a l’eau en premier pour la seconde tentative et la on voit la baleine. Je n’avais pas trop compris ou elle etait et je cherchais quqnd tout a coup j’ai regarde en dessous de moi et la j’ai vu cette enorme masse avec son bebe qui nage autour d’elle.
Apres cela nous repartons en nageant pour la voir encore
La baleine remonte a la surface, nous devons nous reculer et je peux sentir la force de baleine qui deplace cette masse d’eau lorsqu’elle bouge.
C’etait incroyable de les voir d’aussi pres et de faire voir la baleine battre de la queue plusieurs fois a la surface de l’eau. Il s’agirait d’un moins de communiquer.
Nous laissons la baleine partir avec son petit puis nous dirigeons vers une petite ile en attendant les autres. Il faut nager depuis le bateau jusqu’a cette petite ile. Les coraux sont super beau et l’ile est paradisiaque.
Il n’y a pas d’ombre du tout et il est midi. On restera dans l’eau pour attendre le groupe et surtout on a garde nos combinaisons pour eviter les coups de soleil.
C’est deja l’heure de repartir sur l’ile principale. On voit au loin la petite ile avec le petit bateau avec lequel nous avons ete plonges.
Cette journee restera dans ma memoire. C’est vraiment une experience extraordinaire. Merci beaucoup a Mamie Paulette de nous avoir permis de faire cette super activite.
On ira au restaurant ce soir pour finir la journee en beaute.
Dimanche 9 Septembre - Jour 9
Voila deja une semaine que nous sommes arrives. Un nouveau dimanche avec un grand soleil, nousallons donc profiter de la plage toute la journee en alternant les activites paddle, snorkeling, kayak, lecture et observation des baleines.
La plage est bondee de monde car nous sommes dimanche :)
On profitera du dernier petit apero sur notre terrasse
Le restaurant de l’hotel etant ferme car le cuisiner est malade, nous allons dans un petit truc a burger a cote.
Une autre biere locale des Tonga
Lundi 10 Septembre - Jour 10
On a profite de la plage ce matin. On est vraiment content d’avoir fait cela car on a vue une baleine qui a fait plusieurs bonds et meme une arche. Nous quittons la plage pour finir nos valises avant de prendre l’avion
Retour en NZ a l’aeroport d’Auckland.
Nous avons passe des tres bonnes vacances. Cette destination non touristique est superbe pour cela.
Une video resumant nos vacances realise par Alex
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