#elle mills
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angie-daydreams · 3 months ago
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I created a design for a Reply (2022) DVD box. I think I'm going insane
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phierecycled · 6 months ago
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i guess anthony rosenthal’s typecast is children of parents who divorced because one of them is gay?
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except this time it’s his mother
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reesesfastbreak · 6 months ago
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reply, dir. elle mills
(i am so excited elle released the whole thing on her youtube channel. i rented this when it was only available on creator plus-- a few times -- and didn't regret it. check it out)
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afabstract · 2 months ago
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Reply Short Film Review: Forgotten Tapes & Unspoken Feelings
In the short film Reply, old video recordings bring to light forgotten memories, leading to a deeper understanding of family bonds and unspoken feelings.
⭐⭐⭐⭐ Rating: 4 out of 5. Sneha Jaiswal (Twitter | Instagram) Oh what a sweet little film! But it needed a few more minutes, or maybe a sequel would be great. Written and directed by Elle Mills, the 2022 short film “Reply” is about teenager Sam (Anthony Rosenthal) finding a whole new side to his mom Casey when he stumbles upon a video-tape made by her when she was a teen (Ciara Riley Wilson…
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playsthetics · 1 year ago
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MBTI: My Favourite Characters
ENFJ (16/16)
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Kim Possible (Kim Possible)
Lily Aldrin (How I Met Your Mother)
Regina Mills (Once Upon A Time)
Elle Woods (Legally Blonde)
Peter Kavinsky (To All the Boys I’ve Loved Before)
Wonder Woman aka Diana Prince (Wonder Woman)
Elaine (The Love Witch)
Terrence “Terry” Jeffords (Brooklyn 99)
Fiona Gallagher (Shameless)
Frankie Stein (Monster High)
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countrymusiclover · 14 days ago
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The Siphoning Princess
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"Prince Charming and Little Dark One, what a pairing."
What if Rumplestilskin had a daughter who was the one to really fall for the one the realm called Prince Charming. Jaide Stilskin feared she would never be able to have a real relationship with anyone given the state of her uncontrollable magic until she met the famous prince. When the Evil Queen gets word of The Dark One's daughter, she decides to destroy her father's happiness by destroying his daughter's.
1 - Princess Jaide and Prince David
2 - Princey in the Hospital
3 - Mr. John Doe
4 - Siphoning Princess
5 - The Baby Daddy
6 - Something Isn’t Right Here
7 - Second Chance at Love
8 - Two Little Princesses
9 - Wolf in the Woods
10 - Me Wee Barin
Comments really appreciated ❤️
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terribleandcruel · 1 year ago
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“20th century women” (2016) by mike mills
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girlboxd · 10 months ago
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20th Century Women (2016) Dir. Mike Mills
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berserkyuya · 2 years ago
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Last Recollection new illustrations
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gayestswiftie · 6 months ago
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Helloo! I am making a intro masterlist!!
I am always open to getting requests (I am bad at thinking of stuff)
I will do headcannons, mood boards, edits (I'm not very good but im okay!), and if you request something else I can do I'll do it!!
I'll do almost anything except obvious no's and the really gross k¡nks (piss, feces, age shit, ect)
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angie-daydreams · 3 months ago
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My ★★★★★ review of Reply on Letterboxd https://boxd.it/7r2rm7
This made me emotional
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mariwatchesmovies · 1 year ago
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20th Century Women (2016) dir. Mike Mills
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chasingshadowsblog · 2 months ago
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"I gave him beer, and then I taught him how to verbally seduce women. Then we drove drunk, but I stopped that, and then he kissed Trish, and then we walked home."
20th Century Women (2016) dir. Mike Mills
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sinvulkt · 5 months ago
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Find the english version here.
Nemo arracha le fusil des mains du naufragé hébété et tira. Une fois, deux fois. Les balles ricochèrent sur la peau du monstre, sans lui faire le moindre mal. L’anguille secoua la tête comme pour se débarrasser d’un fourmillement désagréable, puis se précipita sur le naufragé que Nemo venait de désarmer. L’homme n’eut pas le temps de pousser un seul cri qu’il avait disparu dans la gorge de la créature.
Nemo recula d’un pas, le cœur battant à tout rompre. Blaster et Humility devaient s’approcher de la plage maintenant, sans avoir remarqué qu’il s’était arrêté pour distraire le monstre. Bientôt, ils auraient atteint le navire et Nemo pourrait courir à son tour, ou l’anguille serait morte. Il rengagea son fusil.
Un œil vicieux et rempli de haine le fixait, le défiant de lui tirer dessus. Nemo l’obligea.
Le coup parti, touchant la créature sur la peau tendre près de la paupière. Le monstre se tordit de douleur. Les arbres tressaillirent sous la puissance des coups, semblables à un tremblement de terre. Le sol semblait se dérober sous chacun des pas de Nemo, le faisant trébucher alors qu’il tentait de s’éloigner du son assourdissant. Un bourdonnement continu emplit ses oreilles.
Il n’eut pas le temps de reprendre son équilibre que, folle de rage, l’anguille ouvrit grand la gueule et se jeta sur lui. Le talon de Nemo se coinça dans les racines d’un arbre, et son fusil partit valser dans la nature. Un souffle chaud caressa son visage,  fétide rappel que le monstre se rapprochait. Les secondes s’écoulèrent lentes et rapides à la fois tandis que Nemo s'acharnait en vain à déloger son pied. Il se rendit finalement à l’évidence : il ne pourrait pas esquiver.
Utilisant son seul recours, il leva le pistolet qu’il avait gardé à sa taille et tira de nouveau. Et encore. Et encore. Sans effet. La gueule restait grande ouverte, tel un inarrêtable gouffre béant, quelque soit les coups qui la perçait. Il rechargea. Déjà le monstre se tenait à moins d’un mètre, le piège de ses mâchoires masquant la lumière du soleil. Puis, juste comme Nemo tira la dernière balle droit dans l’œsophage se précipitant sur lui, la créature fut parcouru d’une convulsion. 
Les mâchoires aiguisées de dents longues comme son avant bras se refermèrent autour de lui, le plongeant dans une pénombre totale. Nemo cligna des yeux, s’attendant à ce qu'à tout moment la gueule se referme, le broyant sous ses crocs ou l’étouffant dans l'acide gastrique. Mais, contre toute attente, le silence continua, pas même brisé par une respiration sifflante ou le flux et reflux de l’haleine fétide qui l’entourait.
Le monstre était mort.
Nemo essaya de soulever l’une des dents. La mâchoire était lourde et, profondément enfoncée dans le sol, elle ne bougea pas. Nemo se gaina. Ses pieds s'écartèrent, son bassin se baissa, ses muscles se tendirent et, d’un effort surhumain, il poussa. Un rayon de lumière récompensa ses efforts puis la gueule retomba, lourdement, l'entraînant avec lui. Nemo s’étrangla sur la poussière et l’atmosphère putride de la gueule. Les souvenirs de sa cellule à Kalpani lui chattouillèrent l’esprit. Pour chaque seconde qu’il passait dans ce piège cadavreux, il lui semblait devenir un peu plus claustrophobe. Porté par l’énergie du désespoir, il reprit ses efforts pour soulever la dent. Cette fois, la mâchoire s'entrouvrit, laissant une profonde traînée dans le sable. C’était juste assez pour que Nemo rampe au dehors, ce dont il ne se fit pas prier.
Il commençait à peine à se dégager quand il remarqua que la chair du museau était restée collée à ses doigts. Il secoua ses mains, en vain. Le museau tout entier y semblait accroché. Nemo tira de toutes ses forces, sans plus de résultat. Une pointe d'inquiétude crispa ses traits. Il appuya son pied contre la mâchoire pour plus d'appui et, lâchant un juron, tira au point de se déboîter l’épaule. La peau du monstre s’allongea comme un vieil élastique, déformant la tête triangulaire de l’anguille, mais elle resta obstinément accrochée. Aussitôt qu'il s'arrêta, pantelant et exténué, son bras s'enfonça avec un bruit répugnant dans la peau de la créature jusqu'au coude.
Sa main le brûlait. Nemo serra les dents contre la vague de douleur qui lui remontait le poignet. Il avait l’impression que le membre était plongé dans l’acide. Au vu du caractère surnaturel de la créature qui le coinçait, qui sait si ce n’était pas le cas. Nemo fixa la masse de chair grouillante qui s'étendait sur son bras. D’ici quelques minutes, elle aurait atteint l’épaule.
Son cœur se durcit. Il porta la main à sa ceinture et en tira son poignard, puis fourra le bas de sa chemise dans sa bouche. La lame, parfaitement aiguisée, entama la chair sans mal. Elle ne tarda pas à atteindre un nerf, lui arrachant un cri étouffé. Nemo serrait les dents si fort que sans la chemise suintant la sueur qu’il avait glissé entre ses mâchoires, il se serait déjà coupé la langue.
Un soudain pic de douleur au niveau de son pied l'arrêta dans son agonisante besogne et lui fit baisser les yeux. Le pied qu’il avait posé sur une des dents de la créature pour y prendre appui n’était plus posé, mais encastré. Une secousse de la cheville lui confirma ce qu'il craignait. Une goutte de sueur coula sur son front. Son pied était autant collé que son bras, comme si l’ivoir avait fondu autour de sa chaussure, et que cette dernière s'y enfonçait doucement. Déjà, une brûlure semblable à celle qui lui dévorait le poignet enflammait sa jambe.
Il ne pouvait plus sentir ni ses doigts, ni ses orteils.
Le poignard glissa mollement de sa main libre. Nemo fixait béatement ses membres se faire dévorer, avec l’impression de regarder la mort en face. Puis, pris d’une soudaine fureur fiévreuse, il se baissa pour récupérer sa lame, et ré-attaqua son épaule. Nemo ne craignait pas la mort. La plupart des gens qu’il avait aimé l'attendaient là, dans l’après vie, et mourir ne serait que les rejoindre. Mais si Nemo ne craignait pas la faucheuse, il ne se livrerait pas sans combat à elle pour autant; pas tant que la Compagnie existait impunément et que sa famille restait invengée.
C’était trop tard, bien trop tard. Nemo avait à peine entamé l’os que la masse grouillante recouvrait son poignard, puis son autre main. Que la chair étrange s’emparait de son entrejambe, son bassin, son torse. Que l’espèce de mousse rosâtre grimpait le long de son cou, puis de son visage, lui coupant la respiration. Nemo était immobile, paralysé dans cette prison organique qui semblait le digérer vivant.
La substance remonta contre ses yeux, le priva un à un du goût, de l’odorat, de la vue, de l'ouïe, du toucher. Tout n’était que brulure fourmillante et âcre, si étendue qu’il était incapable de dire si la sensation était réel, ou un écho de souvenir s’accaparant de son imagination. Nemo était totalement incapable de distinguer où se terminait son propre corps et où commençait la masse grouillante qui l'entourait. Il n’eut pas à s'en soucier bien longtemps. Après un ultime sursaut de conscience, le néant l'enveloppa.
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Nemo se réveilla, la vue troublée.
Son esprit tournait au ralenti. Il se tenait à cette frontière entre éveil et sommeil, où l’on se souvient encore du surnaturel des songes et où on ne questionne pas l’absurdité de la réalité. Il lui semblait vaguement être mort, dévoré par le cadavre d’un gigantesque reptile, mais l’idée semblait si saugrenue qu’il lui était difficile de croire que tout cela était un souvenir, et non pas l’effet de quelques plantes hallucinogènes de l'île.
Il essaya de battre des paupières pour éclaircir sa vision, mais aucun muscle ne lui répondit. Son corps, lourd et engourdit, répondait par tressaillement. Nemo avait l’impression d’avoir les bras et les jambes coincés dans un immense sac, et il peinait à se mouvoir. Il parvint tout de même à tourner la tête. Une forme blanche et brillante ressemblant fort à un minuscule squelette humain se refléta dans ses pupilles.
Une sensation de picotement attira son attention. Nemo huma l’air salin, regrettant que le soleil soit si fort et qu’aucune paupière ne vienne protéger ses yeux. Il était parcouru de l’étrange certitude que les picotements correspondaient aux membres de son équipage, et que ces derniers avaient atteint la bordure de la mer. 
Son corps se mouva entre les arbres humides, l’instinct le guidant dans ses contorsions. Il ne questionna pas la taille étrangement réduite de la végétation, ou la sensation ténue de la terre qui craquait et glissait sous sa peau, ni ce nouveau picotement qui le guidait. L’attention embrumée du sommeil de Nemo était focalisée sur l’idée de retrouver sa cabine sur le Nautilus, et d’en finir avec cette île maudite.
Il atteint la plage et s'arrêta, perdu. Les picotements avaient cessé. Après un instant de recherche, il arriva à distinguer un point flou qui se déplaçait sur l’eau : une barque. Nemo ouvrit la bouche pour les appeler, mais seul un vrombissement grave en sortit. Quelques instants plus tard, des voix criardes et distordues surgirent de la barque, frappant ses tympans. Voyant que le point flou ne s’approchait pas, et, qu’au contraire, il s’éloignait de plus en plus vite, Nemo s’élança dans les vagues.
L’eau glissa délicieusement le long de son corps. Elle l’acceuillit comme on accueille un vieil ami, s’écoulant sans effort le long de son coup, de son torse, de sa queue. Elle remplit ses branchies, chassant l’air qui s’y était douloureusement coincé, et Nemo eut la sensation de respirer pour la première fois.
La confusion se mêla à l’effroi. Nemo n’avait pas de queue, il avait des jambes. Il n’avait pas de branchies, il avait des poumons. Et il n’avait jamais, au grand jamais, nagé aussi vite.
Une décharge cent fois plus forte que les picotements qui l’avaient guidée plus tôt déferla sur son cerveau. C’était comme si une lanterne de la forme du Nautilus était apparue devant ses yeux, l’appelant comme la torche attire l’insecte. Nemo se précipita sur la zone ressemblant au pont, espérant trouver l’écoutille. Il y trouva un cri d’effroi. La naufragée qui les avait aidés un peu plus tôt affichait une expression de terreur en le regardant.
La confusion l’empli de nouveau.
C’est moi, Nemo !
Un grondement fut le seul son qui s'échappa de sa gorge. La naufragée se carapata et disparut à l’intérieur du vaisseau. Peu de temps après, le son familier des moteurs du Nautilus remplit ses oreilles. 
Un pincement désespéré lui tordit le cœur. Ils allaient partir sans lui. 
Le nautilus est à moi !
Son corps réagit de lui-même. Avant qu’il ne le réalise, Nemo s'était enroulé fermement autour du Nautilus, son long corps sinueux . Il lui vint à l’esprit que si le Nautilus était si petit, et lui si grand, jamais il ne pourrait passer par l’écoutille. Et pourtant il pouvait se voir sans mal tendre les bras, faire tourner la roue qui scellait la porte, puis se glisser à l’intérieur de l’échelle qui le mènerait à son navire. 
Sa tête se colla à la baie vitrée qui constituait le devant du sous-marin. Plusieurs taches de couleurs le fixaient, sans bouger. 
Je suis votre capitaine !
L’un d’entre eux s’activa soudainement, se précipitant vers la zone contenant les balais de commande. Le bouclier se mit en mouvement avec un crissement effroyable qui vrillait les tympans. Nemo s'écarta du son horrible d’un coup sec, permettant ainsi au bouclier de se refermer. Il fixa le métal un instant, choqué de l’impudence de son équipage, sa queue toujours possessivement enroulée autour du reste du navire. 
C’est alors qu’il remarqua le reflet qui s’affichait dans la surface polie. La créature qui le dévisageait n’avait ni cheveux, ni barbe, ni oreilles. Elle n’avait pas de bras ou de jambes, juste un long cou sinueux couvert d’écailles qui se perdait dans l'océan. C’était la tête triangulaire d’un monstre sans visage, semblable à celui qu’il avait abattu un peu plus tôt.  
Des années plus tôt, durant ses longs mois d’emprisonnement à Kalpani, il avait déposer son nom auprès de la tombe immatérielle de sa femme et sa fille, et s’en était choisit un nouveau. Un nom qui le séparait de l’agonie du passé. Un nom qui promettait de consacrer sa vie à son vœu de vengeance.
Nemo…
Le nom latin dont il avait été si fier lui semblait ironique désormais. Après tout, qui prendrait le temps de considérer la nature humaine d’un monstre marin ? Désormais, aux yeux du monde, il était réellement “Nemo”.
Personne.
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countrymusiclover · 9 days ago
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8 - Two Little Princesses
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Part 9
The Siphoning Princess
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“Jaide intensely stared at the Evil Queen slowly taking the apple from her hand, taking a bite from the poisonous fruit.  The Queen watched the girls eyes began to close with her body collapsing on the ground giving her the signal to disappear in a puff of smoke -“ 
Tessa hit my leg when I paused our bedtime reading.  “Keep reading, mama!” 
“Okay, okay, calm down missy.” Clearing my throat when I turned the next page we saw Charming and Rumplestilskin standing on a beach with the Dark One holding up a ring.  “Now knowing that his true love was in danger, Prince Charming was determined to find her and all he needed was his mothers wedding ring.  For that specific ring was now enchanted and would glow the brighter he got near her.  “With this, Prince Charming.  You will find my daughter.” 
The front door opened making me lift my head from the book.  Emma had moved all her stuff into our spare room upstairs.  Currently me and my daughter were lying on the couch reading.  “Hey, sorry I was out late.  Graham had me work his night shift.” 
“Oh it’s alright.  There’s leftovers from dinner in the fridge for you if you’re hungry.” 
She hung up her coat and put her keys in the bowl by the front door.  “Thanks, Renae.” 
“Mama, finish the story.” Tessa poked me in my side. 
Seeing how late the clock on the wall read it was already past her bedtime.  “Not tonight, bug.  You have school tomorrow.  So it’s time for bed.” 
“But mama!” She whined. 
Pointing toward the staircase I closed the book, placing it on the living room table.  “Go to bed now, Tessa.” She gave me a sad look going up the stairs but I knew she wouldn’t regret going to sleep now when the morning came. 
“So - have you told her about the whole Graham being her father thing yet?” Emma strolled over, sitting down beside me on the couch. 
Laying my head back on the furniture I sighed.  “Not really.  I’m not sure I’m ready to explain to her why her father and I aren’t together. “ 
“I know I wasn’t used to having Henry around but now I can’t imagine him not being in my life.” Emma slumped her shoulders walking into the kitchen and I followed her, sitting on one of the bar stools at the kitchen island.  “You know I can’t get past his crazy theory on who my parents are.” 
Leaning my elbows on the island I asked the other blonde.  “Yeah.  What’s his theory?” 
“That my parents put me in a magical wardrobe and set me to this world to save them.” 
Grinning ear to ear I couldn’t help but wish our lives were like fairy tales in Henry’s book.  “Awe, that’s adorable.  Who does he think they are?” 
“Well for one.  You.” Emma shifted her gaze over to me. 
“Me?” 
She gave more explanation.  “Jaide Stilskin.” 
“So that would mean Jaide had two daughters.  Tessa and you.” I put the pieces together, tapping my chin in deep thought.  “I wonder what Tessa’s fairytale name would be?” 
“According to Henry it should be Cecile.” 
Knitting my brows together I felt like I had heard that name before.  Like I knew I’d picked that name in another life.  Either way I liked how it sounded.  “That’s pretty.” 
“Apparently that book that he found doesn’t exactly have the stories in the most traditional sense.” She heated up her leftovers walking up the stairs and I followed her, opening her bedroom door for her. “Thanks, Renae.” 
Sending her a smile I was about to head out the door till I noticed a baby blanket laying inside one of her unpacked boxes.  “Your blanket looks like Tessa’s baby blanket.” The name was stitched with the exact same purple yarn which I found to be slightly odd. 
“Henry would say that’s because we're supposed to be twin sisters.” Emma said, taking a bite full of food. 
Leaning in the doorway I picked up the blanket looking it over.  “It would be interesting considering one of you is 28 and the other is only 8 years old.  Henry’s right in believing though, sometimes we always should embrace our inner child.” 
“Yeah, I agree.  Sometimes being an adult or living in reality can suck.” Emma slumped her shoulders watching me lay her blanket down and exiting her room.  “Goodnight Renae.” 
Pausing outside my daughters bedroom door I peeked inside seeing she was fast asleep, cuddling with her unicorn stuffed animal.  “Cecile would’ve been a cute name for you, my sweet girl.” 
Hearing thunder clashing outside the castle window I gripped my husband’s hand in mine, struggling through the next round of contractions.  “I can’t have these babies now!” The Evil Queen’s curse had descended on our Royal castle right as I went into labor. 
“Doc, do something. It’s going to be okay. The wardrobe is almost finished, just hold on.” Doc, one of the dwarfs that had befriended Snow and I followed his instructions, dabbed my forehead with a cloth. 
Geppetto enters the room with Prince Charming and I. “It’s ready.”
“ It’s too late. We can’t move her.” Doc shook his head, noticing Charming starting to pick me up to go through with putting me in the wardrobe with the babies. 
I wasn’t sure when I had started pushing but I knew it was more painful than what I was expecting it to be.  I bared my teeth doing one final push that took the last of my energy that I had left.  An infant's cry filled the room where I threw my head back onto the pillows. Gulping a lump down my throat I slowly controlled my breathing while the midwife wrapped the baby in a blanket handing them to me once I had sat up again. "Congratulations my lord my lady, you have a baby girl.”
“Can I hold her - ahh something’s wrong.” I raised my hands and Doc nearly placed the babe in my arms until I suddenly felt another wave of pain crawling inside my body.
“The other baby still inside of you is coming now. You must push.” Doc checked underneath the blanket over my open legs.
Baring my teeth I clutched my eyes tightly closed using the last bit of energy and strength that was left inside my body till suddenly another infant cry filled the chambers.  “It’s another girl, Jaide.” Doc declared wrapping the second baby in a similar blanket to the first one’s. 
Laying my head against the pillows I attempted to catch my breath as much as I could manage.  Charming came over carrying each baby in each arm until he laid the first one down in my lap.  “Emma.  And that one - she’s Cecile.  What do you think?” 
“It’s perfect. They’re perfect.” He stared in awe at the infant in his arms.  His green eyes shifted back to me making sure I was alright but he saw me crying.  “What’s wrong, Jaide?” 
“The wardrobe… It only takes one.” 
“Then our plan has failed. At least we’re together.” Charming leans forward kissing baby Cecile on her head, coming closer to comfort his other two girls in his life. 
Sniffing through tears I realized that I couldn’t let Emma who was declared the Savior to be cursed.  I couldn’t let either of my children be cursed.  “No. You have to take them. Take the babies to the wardrobe.”
Charming gave me a confused look.  “Are you out of your mind?” 
“No, it’s the only way. You have to save them.” My voice croaked when I begged my husband.  
He begged me to see that this was a bad idea, yet he knew once I made up my mind there was no changing it.  “No, no, no. You don’t know what you’re saying.” 
“No, I do. We have to believe that they’ll come back for us. We have to give them their best chance.” Sobbing through heavy tears I locked my gaze with his blue eyes.  “Trust me.  I don’t want to separate our family.  I want to raise our daughters.  But we can’t let them be cursed alongside us.  This is how we protect them from Regina.” 
“Actually you can raise one of them and still protect her too.” 
My husband and I sharply turned our heads seeing my father standing at the foot of the grand bed.  “Papa! How did you escape your prison cell?” 
“That doesn’t matter now.  We won’t have much longer to protect Cecile from Regina.” 
Charming questions the dark one.  “Protect her how?” 
“May I?” Rumplestilskin held out his open arms and I slowly handed my second born over to my father.  He created a small white object and placed it into her hands.  “When she wakes up she will be eight years old.  The perfect age to still believe in our stories when we can’t remember who we are,” 
Charming saw the tiny white elephant object in his daughter's hands.  “How does an elephant protect her?” 
“It will ensure that she stays with her mother.  The mother and daughter bond will remain intact.” 
Kissing Emna on her forehead gently I whispered to my father needing to have an answer.  “Why cheat the curse and let me raise one of my daughters.  Shouldn't they grow up together so Emma isn't alone?” 
“Jaide, my dear girl.” Rumplestilskin lets me hold my daughter again waiting for Charming to take baby Emma to safely.  “No child should grow up alone.  I can't spare little Emma, but I can spare one that fate.  I love you.” 
“Charming?” I called his name once my father had disappeared leaving us alone.  He turns looking at me leaning down kissing me deeply.  “I love you.” 
“I love you.” My prince whispers against my lips, taking our firstborn daughter out of the room.  That would be the last time I saw him until the curse was broken. 
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fromthestacks · 6 months ago
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20th Century Women
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