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14th September, 2023
Just two days ago, I stepped onto French soil, ready to begin an exhilarating new chapter in my academic life – pursuing a PhD in the beautiful country of France. Though I haven't officially joined the lab yet, my days have been anything but idle.
As I plan the day ahead, a cup of tea in my hand and I savor the moments. Navigating my emotions, I'm determined to find solace amidst the excitement, all while silently grappling with the occasional undercurrent of social anxiety.
In the days to come, I eagerly anticipate sharing my academic and cultural encounters as I navigate this thrilling journey.
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Le plus dur dans une thèse, c'est de savoir se vendre soi-même et pas juste ses résultats.
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"On est toujours des singes essayant d'exprimer nos pensées avec des grognements, alors que l'essentiel de ce que l'on aimerait communiquer reste coincé dans notre cerveau."
J'ai terminé "Là où les arbres rencontrent les étoiles", de Glendy Vanderah.
On dirait un livre feel good en lisant le résumé: C'est l'histoire d'une doctorante en ornithologie, Jo, qui rencontre un jour une jeune demoiselle, Ursa, lui annonçant qu'elle est une extraterrestre, qu'elle a emprunté le corps d'une enfant qui venait de décéder et qu'elle cherche 5 miracles, après quoi elle retournera sur sa planète. Jo, plutôt habituée à être une ermite dans la forêt, dans ses recherches et dans sa méfiance va voir son quotidien s'enchanter petit à petit. Les personnages : Jo, Ursa et Gabe (le voisin) sont aussi attachants qu'ils sont cabossés.
Joli pitch, lecture chill du dimanche aprèm ? Sur Babelio, les critiques les moins sympas parlent d'un style trop simple, d'une fin attendue et un peu trop naïve mais c'est précisément ce qu'on attend d'un livre feel good, non ?
Ce sera un peu plus profond que ça, puisque l'histoire abordera sans filtre des sujets plus graves comme notamment le cancer, la dépression, le pardon, l'amour et la résilience.
J'ai passé un moment agréable, la plus grande partie de l'histoire se déroule dans la forêt, j'ai trouvé les descriptions immersives et je ressentais comme un apaisement quand les personnages revenaient de la ville, prenaient des routes de plus en plus isolées pour ensuite se retrouver parmi les arbres. Je me suis moi aussi attachée à Ursa, sans savoir avant la fin de l'histoire si elle venait effectivement d'une autre planète ou si elle s'était inventé une histoire pour remplacer son passé douloureux.
Bon, il y a une histoire d'amour entre Jo et le voisin, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire mais ça complexifie les personnages.
⭐⭐⭐⭐⭐ (encore 5 étoiles, ça va devenir une habitude de lire des pépites !)
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Comment on fait pour vivre lorsqu’on est doctorante, est-ce qu’il faut travailler à côté ?
Enfin une question à laquelle je peux répondre avec expertise !
Quand on est doctorant, on a plusieurs manières d'être rémunérés.
La solution la plus évidente (et la plus confortable), c'est d'être rémunéré pour ses travaux de recherche et / ou d'enseignement.
On peut obtenir un contrat doctoral ou d'autres financements universitaires, comme le contrat d'ATER ou le CDD LRU par exemple. Chacun varie que ce soit par la durée, la rémunération ou la charge d'enseignement imposée en plus de la recherche.
Il existe d'autres sources de financement, que ce soit les bourses CIFRE, les bourses étrangères ou liées à des cotutelles, les financements liés à des projets de recherche spécifiques... La qualité du contrat va donc être assez variable.
Si certaines écoles doctorales conditionnent l'inscription en thèse au fait de bénéficier d'un financement, ce n'est pas le cas de toutes (en droit, c'est pratique courante de faire une thèse non financée - en sciences sociales également je crois). Dans ce cas, le filet de sécurité parental / familial joue pour beaucoup.
Mais tout le monde n'a pas cette chance et alors il faut travailler à côté de ses activités de recherche pour vivre (que ce soit en faisant des vacations ou des jobs administratifs à l'université, des cours privés ou juste des jobs alimentaires, en fonction de ce qu'on trouve et de ce qui permet de bosser sa thèse à côté). Certains s'endettent aussi.
A ma connaissance, c'est compliqué de mener tout un parcours de thèse sans financement, mais j'ai vu des camarades réussir avec brio malgré les épreuves. Le système est aussi souvent injuste envers les doctorants qui commencent leur thèse sans financement (car les doctorants qui ont eu un contrat doctoral sont souvent favorisés dans l'obtention d'un autre contrat, style ATER - en tout cas dans ma fac).
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Je suis heureuse, depuis beaucoup de temps je n'avais pas eu cet état de paix, de complétude, de comblement. Je suis entièrement satisfaite et comblé d'être moi même. Je réalise que j'ai tout, absolument tout. Janvier est mon mois de la révélation, de changement d'état d'esprit, d'élévation. C'est réel et sublime. Ce matin j'ai médité sur la manifestation et l'abondance. Puis j'ai regardé une émission que j'aime bien. Puis j'ai trouvé cette vidéo d'une fille que j'aime bien. Je ne l'ai pas regardé mais le titre, comment être créatif dans un monde capitaliste m'a troublé. J'ai somnolé et durant ce temps les choses ce sont alignées dans mon esprit. J'ai pensé que je ne voulais pas être capitaliste, consumériste, m'eriger en modèle, être narcissique, arborer un culte de l'image ou être cupide. Je veux vendre mon art Et rester moi même. Stay authentique, be natural with me and others. Et alors tout s'est delivré et je n'ai rien à changé, juste continuer à être moi-même. Pareille que l'energie que j'ai donné dans mes études pareil je donne dans mon art. C'est à dire travailler, être passionné. Je suis arrivée loin dans mes études. Je me vois de loin quand j'étais à l'école, au lycée je rêvais d'etre chercheuse, aventurière comme Sydney Fox lol. Pareil à l'université où j'ai galèré jusqu'au master où j'ai atteint un level énorme d'accomplissement. Maintenant je suis doctorante, j'écris et je voyage déjà. Je vais encore plus écrire puis publier, participer à des colloques, faire des conférences, aller sur des terrains partout dans le monde, travailler où je le souhaite, mener des projets...et comme mon art que j'ai debuté en janvier dans cette ville du sud il y a des années. Je dessinais, collais sur les murs, mes amis accrochaient leur dessin ou leur citation, j'ai été dans un collectif. On chantait, dansait, faisait des jams, c'etait festif et incroyable. J'ai continuer et j'ai fait une première exposition. J'en suis là je vais accrocher mes toiles, poser mes sculptures, me faire un sanctuaire de créativité, d'amour, d'amitié. Puis je ferais leur célébration dans des fêtes créatives où les arts et les âmes sauvages se meleront, où la libert6e nous éclaboussera et bien d'autres choses jusqu'à vendre mes oeuvres plus de 500 euros oui oui. Voilà je suis heureuse. J'ai rencontré dans la paix et l'élevation mon amoureux, je nous souhaite de nous aimer, de parcourir le monde, d'aller à l'aventure, d'avoir nos maisons, des bébés et être riche. J'ai compris que l'aimitié c'etait de bons moment d'authenticité, d'élévation et de confidences, parfois de courte durée. Et je me souhaite de continuer à partager des bons moments avec des âmes sauvages et libres. Et je veux fêter mon prochain anniverssaire avec des âmes particulières, avec des gens dont le lien s'est épanoui, dans un chalet, à la montagne, dans les bois, près d'un lac. Voilà j'aime ma vie, j'aime la paix et la sérénité de se reconnecter avec soi et son essence fondamental. Bientôt je vais faire de la danse et des percussions que mon âme reconnait comme l'élan vital. C'est merveilleux. Je me souhaite de trouver un job merveilleux durant cette année pour vivre tout ce que je souhaite dans la paix. Love peace for the future me.
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Nuevo sistema satelital mexicano irá al espacio en 2025
CIUDAD DE MÉXICO * 22 de noviembre, 2024 ) Wired La Secretaría de Infraestructura, Comunicaciones y Transportes (SICT), a través de la Agencia Espacial Mexicana (AEM), en colaboración con la Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM), anunció un nuevo avance tecnológico destinado a satélites que será lanzado al espacio en 2025. Según Salvador Landeros Ayala, director general de la AEM, se logró un acuerdo para que un innovador "Sistema de Comando y Manejo de Información" (SCMI), diseñado para nanosatélites, sea incluido en el satélite "GuaraníSat-2" de la Agencia Espacial del Paraguay (AEP) que será lanzado en octubre de 2025. Este sistema, fruto del trabajo conjunto del Laboratorio de Instrumentación Electrónica de Sistemas Espaciales (LIESE) de la Facultad de Ingeniería de la UNAM y la AEM, fue exitosamente probado en marzo de 2024 en la Universidad de la República de Uruguay, ubicada en Montevideo El SCMI, diseñado por el doctorante Aldair Lara Tenorio y coordinado por el Dr. Saúl de la Rosa Nieves, con la participación de 12 estudiantes, se encuentra listo para su primera misión espacial. El viaje permitirá analizar la capacidad de respuesta del SCMI frente a radiación y su arquitectura, diseñada para ser tolerante a fallos, además de ejecutar un algoritmo para determinar la orientación del satélite. En enero de 2025, los responsables del proyecto viajarán a Sudamérica para supervisar las pruebas de integración con el satélite, seguidas de una fase complementaria en Japón. Lo más destacado de este sistema es su capacidad para alcanzar niveles de fiabilidad cercanos a los de dispositivos especializados para el espacio, pero utilizando componentes más accesibles, lo que reduce significativamente los costos. El maestro Lara Tenorio expresó su orgullo al ver materializado el SCMI, destacando que en las pruebas preliminares logró más del 80% de éxito. Una vez en órbita, esta tecnología tendrá el potencial de aplicarse a diversas misiones espaciales, consolidándose como un desarrollo
tecnológico mexicano de vanguardia. Desarrollado íntegramente en la UNAM, el SCMI no solo contribuirá al crecimiento de la industria aeroespacial del país, sino que también posicionará a México como un referente científico en el diseño de satélites propios. "En nuestra Facultad hay una fuente de talento impresionante que demanda una oportunidad, que es nuestra obligación proveer", subrayó el Dr. De la Rosa, quien afirmó que México ya puede construir satélites con un 60% de componentes nacionales. La Agencia Espacial Mexicana (AEM) es un organismo del gobierno mexicano que opera de forma descentralizada bajo la Secretaría de Infraestructura, Comunicaciones y Transportes (SICT). Desde su creación en 2010, se ha dedicado a impulsar el desarrollo de actividades espaciales en el país, promoviendo la investigación científica y tecnológica, además de formar profesionales especializados en el ámbito aeroespacial. El propósito de la AEM es posicionar a México como un actor destacado en la exploración y el uso pacífico del espacio. Sus principales líneas de trabajo incluyen el diseño y la aplicación de tecnologías espaciales, así como el establecimiento de alianzas internacionales con otras agencias y empresas del sector. Además, fomenta el aprovechamiento del espacio para aplicaciones en telecomunicaciones, monitoreo ambiental, meteorología y gestión de emergencias. Con un enfoque en la innovación y el talento local, la AEM busca consolidar a México como un país competitivo en la industria espacial a nivel internacional. ) www.acapulcopress.com Read the full article
#AgenciaEspacialdelParaguay(AEP)#AgenciaEspacialMexicana(AEM)#AldairLaraTenorio#ComunicacionesyTransportes(SICT)#GuaraníSat-2#LaboratoriodeInstrumentaciónElectrónicadeSistemasEspaciales(LIESE)#SalvadorLanderosAyala#SaúldelaRosaNieves#SecretaríadeInfraestructura#UniversidadNacionalAutónomadeMéxico(UNAM)
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Appel à participation : "Sciences en bulles" édition 2025 ! - Sciences Infusent Université de Lille
See on Scoop.it - EntomoScience
Appel aux doctorantes & aux doctorants pour "Sciences en bulles" autour du thème "Intelligence(s)" ! En 2025, pour la 34e édition de la Fête de la science, participez à l’édition d’une bande dessinée tout public qui raconte les recherches menées sur la thématique : "Intelligence(s)"
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via Les Sciences Infusent sur X, 20.11.2024
"📢APPEL AUX DOCTORANT.E.S #ULille L’Appel à participation pour l'édition 2025 de #SciencesEnBulles est lancé autour de la thématique « Intelligence(s) » 🧠 ✅ Déposez votre dossier avant le 3 décembre ! Toutes les informations sur la procédure ici➡️ https://t.co/PLhLvEKokG https://t.co/yMJEadn3Z3"
https://x.com/LesScInfusent/status/1859253239775986059
Bernadette Cassel's insight:
'intelligence animale' in EntomoScience https://www.scoop.it/topic/membracides?tag=intelligence%20animale
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12–11–24 La nuit est déjà tombée depuis longtemps. Après avoir assisté à une soirée de tournage d’une série très mouvementée dans laquelle des bagarres ont été évitées de peu avec une bande de types éméchés, je rentre dormir à Clamart où j’ai grandi. Quarante ans après, rien ne me paraît avoir changé. Ma clé ouvre toujours la grille. Un petit chien que je ne connais pas saute sur moi en aboyant joyeusement au pied de l’escalier qui mène à l’étage. Sur le balcon, c’est le gros labrador sable de mon oncle qui m’accueille. Son maître, le nouveau locataire le fait taire même s’il ne me fait pas peur. Je pousse la porte d’entrée vitrée pour pénétrer dans l’appartement de mon enfance. Son ordinateur posé sur les genoux, mon dernier fils est assis. Je l’embrasse. Puis je me penche pour embrasser également un homme à peine plus âgé que lui, à demi allongé sur une banquette étroite et plongé, lui aussi, dans son écran. Il m’arrête d’un geste : il n’aime pas les effusions. Visiblement, je les dérange pendant une séance de travail. Je remets en place le combiné du téléphone sur sa base blanche et m’échappe à l’étage. Celui-ci, autrefois constitué de deux petites pièces, est devenu un immense stock de vieux meubles. Un lot de tables de nuit, mêlées à des fauteuils, des tables à manger, entourées de leurs chaises rustiques, et deux chaises hautes de bébé. Étrangement, les meubles paraissent avoir été lustrés. Aucune trace de poussière, mais cet ami de vieilleries m’oppresse. Au fond de la pièce, mon fils médecin travaille à la lueur d’une petite lampe de chevet. Je lui dis qu’il faut se débarrasser de tous ces meubles quand j’entends la petite voix de ma mère défunte qui s’élève pour demander pourquoi si tôt alors qu’elle vient d’installer-là les meubles de sa maison. Dans l’ombre, elle se tient assise, blottie dans un fauteuil. Je ne l’avais pas vue. Je m’approche de mon fils penché lui aussi sur son ordinateur. Ses cheveux blond vénitien scintillent sous le halo de la lumière. Je crois apercevoir la silhouette d’une belle marocaine déshabillée, avant qu’il zappe sur un autre écran pour me montrer les candidates doctorantes qu’il auditionne pour l’aider dans ses recherches. Je me sens si fière de lui.
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Beyond the Hallowed Sky, Beyond the Reach of Earth, Beyond the Light Horizon, par Ken Macleod (Orbit, 2021 à 2024)
Vers la fin de ce siècle Lakshmi Nayak, doctorante en physique, reçoit un courrier à l’évidence venu du futur et écrit par elle-même, qui ouvre la porte aux déplacements FTL ! Et elle s’aperçoit rapidement que cette technologie est déjà connue et utilisée secrètement depuis les années 2020…
A mon avis, l’auteur a pris sa « liste d’idées » et s’est donné comme objectif de toutes les réunir dans une seule histoire… Cela aurait pu produire une « hamiltonerie » de qualité. Mais non. J’ai lu le second tome en diagonale. J’ai abandonné le dernier vers la page 100.
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Sortir avec sa doctorante : un cas limite des relations sexo-affectives au travail Farah Deruelle, Genre, sexualité & société (2024)
Ce que je retiens de ma lecture
Tout d’abord ici le “cas limite” n’est pas tant sur un plan moral que limite à la théorie aka ici que la relation encadrant/doctorante rend impossible un consentement libre de la part de la doctorante (avec plusieurs dominations qui s’applique : hiérarchie, genre, différence d’âge).
Les 2 cas étudiés ici (le terrain étant limité), l’un rentre tout à fait dans cette théorie avec une relation clairement inégalitaire où le consentement de la doctorante n’est pas clair. L’autre par contre est moins clair avec une relation qui perdure des dizaines d’années après la thèse et semble pleinement consentie à l’époque et encore aujourd’hui.
Mais en y regardant de plus près, même dans ce cas, la doctorante et sa carrière a pâti de cette relation. La relation encadrant/doctorant étant vu comme filiale dans le monde universitaire, la doctorante se retrouve perçu comme particulièrement une éternelle mineure scientifique vis de son encadrant et ce, au-delà de la thèse mais tant qu’ils travaillent ensemble. Ainsi la chercheuse (même après la thèse) peuvent voir leur réputation entachée par cette relation.
Bref conclusion, quand bien même entre deux adultes consentants et en prenant au mieux en compte les rapports asymétriques, les relations entre encadrant et doctorante sont forcement au détriment de la doctorante. Donc soyez un bon encadrant et ne sortez pas avec votre doctorante.
Et clairement le milieux scientifique serait plus égalitaire si la réputation scientifique (et leur professionnalisme) des chercheuse n’était pas vu à l’aune de leur vie sentimentale et sexuelle. Puisque même hors de ces relations particulière, elles peuvent être discréditées scientifiquement vis à vis de leurs relations sexuelles. Ainsi la chercheuse (même après la thèse) peuvent voir leur réputation entachée par cette relation.
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L’alimentation positive, c’est s’inspirer du régime méditerranéen et limiter le sucre
Des études ont montré que le régime méditerranéen, riche en légumineuses, fruits et légumes, poissons, huile d’olive, etc. est un allié pour prévenir les maladies cardiovasculaires. luigi giordano/Shutterstock Écrit par Joffrey Zoll, MCU-PH en physiologie, faculté de médecine, Université de Strasbourg Anouk Charlot, doctorante, Université de Strasbourg L’alimentation peut être positive ! C’est le…
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Es lo que esta en la punta de la pirámide de la intelecto política neoliberal, que se dice juez, doctorante, ingeniero pero en realidad solo son personajes que expresan su mediocre potencial que tiene a muchos paises en vías de desarrollo y que el progresismo socialista acabará.
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Est-ce que en tant que doctorante et chargée de td tu arrives à cloisonner tes week-ends, à ne les réserver que pour toi et ne pas travailler ? Comment tu arrives à jongler entre les deux ?
Un point très important à noter sur ma personne, c'est que j'aime beaucoup mon temps libre ! Donc oui, j'arrive sans problème à ne pas travailler le week-end. Sans culpabiliser le moins du monde d'ailleurs, étant donné que je travaille tous les jours de la semaine, de 8h30 à au moins 17h (je dis "au moins" car la fac m'a imposé des horaires hyper tardifs de TD) . Ça me semble déjà pas mal !
A moins d'une urgence qui pourrait m'obliger à bosser le week-end, (pour finir des corrections de copies d'examens par exemple), je trouve que ça serait néfaste sur le long terme (une thèse en droit dure en moyenne 6 ans je crois) de travailler encore plus que ça.
En commençant ma thèse, je me suis tout de suite dis qu'il fallait l'appréhender comme un travail classique, avec des horaires et un rythme régulier car j'avais peur de trop en faire, ou au contraire de trop profiter de mon temps libre. Donc je me suis posée des horaires que je respecte assez bien depuis trois ans (avec l'énorme avantage que je peux toujours prendre une après-midi, voire une journée de repos si besoin et sans rendre de compte à personne), mon travail avance à un rythme satisfaisant et je vis pour l'instant très bien ma thèse !
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09.06.2024- Presentarse al día
Quiero dejar marcas en la pared que la retrospectiva vuelva mapas.
Allá por 2009 tuve un blog colaborativo diario en el que la única regla era escribir todos los días. Fue mucho más dificl de lo que pensamos. Y luego no quisimos seguir. Fue un tiempo muy bonito.
Quiero ser más constante. En escribir, en ejercitar, en mostrar afecto, en agradecer, en aliviar. Y sospecho que la única forma de hacerlo es empezar. Y no esperar demasiado. Llegar a la práctica cada día, buscando la constancia más que el resultado. Veremos qué pasa.
Hoy, en medio de una entrega enorme, me doy el tiempo de empezar esta serie de cartas embotelladas lanzadas al mar del tiempo, migajas dejadas por el camino.
Ayer fui a una de las últimas despedidas de Valeria. Se va a Koblenz a empezar una nueva vida. Deja atrás a Magdeburg. Durante cuatro años su amistad me ha significado mucho, una cercanía y posibilidad de hablar de lo que sea. Desde derramar chisme escandaloso propio sin recibir juicios, detalles muy privados de nuestros respectivos procesos terapeuticos hasta remojarnos los pies del terrible cansancio de ser doctorantes a la deriva. Nos acompañamos en muchos procesos de crecimiento, sin duda no somos las personas que se conocieron en 2020. Pasar este tiempo juntos lo hizo todo menos pesado. En ella he tenido una familiaridad constante y la certeza de que siempre hay alguien a quien contarle lo que me pasa por la cabeza y la emoción.
Este mundo en el que he vivido por cuatro años se ha estado cayendo a pedazos desde el año pasado. Pero así como dijo Hesse sobre el siglo XX, el mundo nuevo está por salir del cascaron. Y es curisoso que escoja el intermedio entre el mundo que se muere y el que nace, donde Herman dice que salen los mostruos, para empezar lo que quiero que sea un blog diario. Quizá marcar el camino donde he estado me sirva para salir del laberinto. O al menos para cogerle más familiridad (al minotauro).
Soy el pingüino
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Et si on accordait des droits à la mer Méditerranée ?
Y a-t-il un intérêt écologique à donner une personnalité juridique à la mer Méditerranée ? Oui, répond la doctorante Emma Lelong, qui la justifie par la relation qu’entretiennent les peuples côtiers à cette eau trop polluée. Octroyer une personnalité juridique à la mer Méditerranée pourrait-il aider à protéger ses écosystèmes ? C’est la question qui occupe la thèse d’Emma Lelong, doctorante de l’université de Bretagne Occidentale au sein du laboratoire Aménagement des usages des ressources et des espaces marins (...)
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