#dit Grand-Co
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Affaire Massacre du 28 septembre à Conakry: le fugitif Col. Claude Pivi dit Grand-Co ou Coplan a été arrêté au Liberia
Le colonel Claude Pivi, l’un des principaux responsables du massacre du 28 septembre 2009 selon plusieurs témoignages, l’un des plus tragiques de l’histoire de la Guinée, a été arrêté au Liberia avec son fils,Verny Pivi, après plusieurs mois de fuite. Rappelons que Claude Pivi, ainsi que plusieurs autres détenus, s’��taient spectaculairement évadés de prison à Conakry le 4 novembre 2023. Une…
#Affaire#arrêté au Liberia#Col. Claude Pivi#Conakry#Coplan#dit Grand-Co#fugitif#Massacre du 28 septembre
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Claudia et la mentalité de la victime (Claudia and victim mentality)
Si il y a bien une chose que je trouve que la série met assez en avant c'est que Claudia se présente en tant que victime contre les dragons et les elfes. Et en cherchant de ce côté là, il y a des traits qui m'ont fait penser à Claudia ainsi que la mentalité de la victime.
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Le premier qui vient à l'esprit est souvent qu'ils blâment leurs malheurs sur les autres. Pouvant même avoir un élitisme moral leur donnant un point de vue noir et blanc. Ce qu'on pu voir avec sa discussion avec Soren. Le fait qu'elle dit que l'humanité a souffert et que les elfes et les dragons n'ont pas levés le doigt à part Aaravos. Ou bien quand elle dit que la magie noire a sauvé son frère. Mais qui aussi n'hésite pas à se montrer cruel contre Ibis voir même sadique quand elle affronte un dragon. Et c'est justement parce que la raison, "elle fait ça pour sauver son père". Mais c'est souvent parce qu'on justifie de tels actes qu'on ferme les yeux sur des actes horribles.
Viren n'en a pas mené large car c'est aussi par son influence que Claudia ira plus loin et c'est ce que craint Viren dans son cauchemar. Soren a pu se détacher de Viren avant qu'il soit trop tard mais Claudia s'y accroche désespérément. Rien que le fait qu'elle ait ramené à la vie montrant ses cheveux devenir blancs suite aux effets de la magie noire. A tel point que ça la consume ! La mort de Viren va plus la mener dans le désespoir. Comme on peut le voir dans le teaser de la saison 6, où on voit son regard vide, elle a perdu son phare, n'entendant même pas les paroles de Terry.
L'un des autres traits est aussi le manque d'empathie, lorsqu'elle provoque Rayla en montrant sa famille coincé dans les pièces mais qu'elle la piège pour sauver Terry. Et elle était prête à partir en laissant Rayla comme ça. Ou bien dans l'épisode où elle retrouve Callum, Ezran dans la mer des bannis. Ou elle joue la carte de l'empathie et ainsi les manipuler. En disant que si ça avait été Harrow, est ce qu'ils auraient pas été tenté ? Mais dés que le plan ne marche pas, elle menace de les tuer jusqu'à ce Rayla coupe sa jambe. Et que Callum annule son sort. Ce qui pourrait s'attribuer des intentions négatives à l'oppresseur où, elle voit plus Callum et les autres que comme des ennemis.
Dans ce cas qu'en est-il de ceux qui l'accompagnent ? Viren était à l'état végétatif ne pouvant pas faire grand chose. Et c'est justement ce qui inquiétait Claudia mais aussi la frustrait car elle voulait se dépêcher pour sauver son père. Elle n'a plus son phare ! Monsieur Bavetout, dans l'histoire courte, on a pu voir qu'elle essaie d'entrer en contact avec Aaravos. Et que l'un des seuls dialogues avec lui était 'L'être qui va émerger de ce cocon est celui qui te guidera vers celui qui a les réponses". "N'aie pas peur, tu es une mage noire puissante. Avec mon aide, il y a rien que tu puisses pas réparer pas même la mort". Ce qui n'aide pas spécialement !
Terry alors ? Il a été une influence positive mais le truc c'est que dans cette relation, c'est que leurs principes et les valeurs morales ne sont pas plus défiés ou bien changer. Terry a toujours cru qu'elle avait une raison pour agir ainsi et bien qu'il a pu l'arrêter quand elle a trompé Rayla en lui donnant les vraies pièces cette fois ci ou bien qu'il l'arrête pour qu'elle évite de tuer un dragon. Et ce sont que des petits moments mais ne changent pas pour autant la mentalité de Claudia pour autant. Et bien que Terry a tué Ibis et que ça l'a fait mal, il arrive à la conclusion, qu'il continuera à ressentir des choses. Quand Terry lui propose de se reposer, elle est sur la défensive ne comprenant pas ce besoin. Jusqu'à ce que Terry trouve la solution de créer un bateau, bateau qui a fait tomber Viren lors de la chute de la cascade.
C'est justement ça que je trouvais qui se diffère avec le Rayllum où justement leurs points de vues envers les humains et les elfes changent peu à peu, ce qui rendait leur couple solide. Quand Terry s'était présenté dans la saison 4, j'ai toujours eu cette impression que Claudia voulait remplacer ce vide qu'elle avait avec Terry et c'était agréable. Mais ça dure jamais longtemps. J'avais comparé Viren à un phare, Terry je le verrais comme un ancre qui a permit de garder Claudia. Mais cet ancre est rouillé va peu à peu se briser.
Et dans tout ça à qui ça profitera plus la détresse de Claudia ?Aaravos. Claudia est dans un état vulnérable. Et Aaravos l'utilisera pour justement avancer dans ses plans. La question est ce qu'il va faire exactement ? Va-t-il renforcer sa mentalité de victime en redirigeant sa rancoeur et sa colère sur des innocents ? Ou bien Claudia si elle a la possibilité de lui parler, lui crachera tout son ressenti en blâmant Aaravos pour la mort de son père mais dira que celle qui a perdu du temps à le sauver, c'était elle ?
If there's one thing I find the series emphasizes enough, it's that Claudia presents herself as a victim against dragons and elves. And when I looked into it, there were traits that reminded me of Claudia, as well as the victim mentality.
The first that comes to mind is often that they blame their misfortunes on others. They may even have a moral elitism that gives them a black-and-white point of view. We saw this in her discussion with Soren. The fact that she says humanity has suffered and that elves and dragons haven't lifted a finger except for Aaravos. Or when she says that dark magic saved her brother. But who also doesn't hesitate to be cruel to Ibis, or even sadistic when she confronts a dragon. And it's precisely because the reason, "she's doing it to save her father". But it's often because we justify such actions that we turn a blind eye to horrible ones.
Viren doesn't have it easy, because Claudia's influence will also take her further, which is what Viren fears in his nightmare. Soren was able to detach himself from Viren before it was too late, but Claudia clings to him desperately. Just the fact that she's brought him back to life shows her hair turning white from the effects of dark magic. So much so that it consumes her! Viren's death will drive her further into despair. As we can see in the season 6 teaser, where we see her blank stare, she's lost her beacon, not even hearing Terry's words.
One of the other traits is also the lack of empathy, when she provokes Rayla by showing her family stuck in the rooms but tricks her into saving Terry. And she was ready to go, leaving Rayla like that. Or in the episode where she finds Callum, Ezran in the Sea of Castouts. Or she plays the empathy card and manipulates them. By saying that if it had been Harrow, wouldn't they have been tempted? But as soon as the plan doesn't work, she threatens to kill them until Rayla cuts off her leg. And until Callum undoes her spell. Which could be attributing negative intentions to the oppressor, where she sees Callum and the others as more than enemies.
In that case, what about those accompanying him? Viren was in a vegetative state, unable to do much. And this was precisely what worried Claudia, but also frustrated her, as she wanted to hurry to save her father. She no longer has her beacon! Sir Sparklepuff, in the short story, we saw that she tries to make contact with Aaravos. And that one of the only dialogues with him was 'The being who will emerge from this cocoon is the one who will guide you to the one who has the answers'. "Don't be afraid, you're a powerful dark mage. With my help, there's nothing you can't fix not even death." Which isn't particularly helpful!
What about Terry? He's been a positive influence but the thing about this relationship is that their principles and moral values aren't more challenged or well changed. Terry has always believed that she had a reason for acting the way she did and while he may have stopped her when she cheated on Rayla by giving her the real coins this time or stopped her from killing a dragon. And these are only small moments, but they don't change Claudia's mentality for all that. And although Terry killed Ibis and it hurt, he comes to the conclusion that he will continue to feel things. When Terry offers her a rest, Claudia gets defensive, not understanding the need until Terry comes up with the solution of creating a boat, the boat that knocked Viren over when he fell off the waterfall.
That's exactly what I found different about Rayllum, where their views of humans and elves gradually change, making their relationship strong. When Terry showed up in season 4, I always had this impression that Claudia wanted to replace the void she had with Terry, and that was nice. But it never lasts long. I'd compared Viren to a beacon, Terry I'd see as an anchor that kept Claudia. But this rusty anchor will gradually break.
And who will benefit most from Claudia's distress? Aaravos. Claudia is in a vulnerable state. And Aaravos will use her to further his plans. The question is, what exactly will he do? Will he reinforce her victim mentality by redirecting her resentment and anger onto innocent people? Or will Claudia, if she gets the chance to talk to him, spit out all her resentment, blaming Aaravos for her father's death but saying that the one who wasted time saving him was her?
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Lettre dans le vent…
Il y a pourtant tellement de choses que j'aimerais te dire, te redire... Ça se fini juste comme ça.. ? On ne se dit même pas au revoir, on ne se revoit même pas une dernière fois... ? J'ai l'impression que je ne m'en relèverais jamais, qu'il n'y aura jamais « d'après toi ��. Je suis tellement désolé, si tu savais comment je regrette. C'est sans aucun doute un des plus grand regret que j'aurais dans ma vie. Je t'aime tellement, et je me déteste d'avoir été une si mauvaise personne pour toi. J'aurais aimer te rencontrer en allant bien. Si un jour je vais bien. J'essaye, tous les jours, d'être une meilleure personne. Je suis tellement désolé qu'il soit trop tard...
J'ai tellement de regrets. Est-ce qu'on peut vivre avec autant de regrets ? Je n'en suis pas certaine pour le moment. Je survie. Mais je survie pour quoi au juste ? Pour Togo ? Il serait sûrement plus heureux sans moi, même si il est toujours collé à moi pour me consoler. Pour mes proches ? Pour le peu qu'il sont, ils s'en remettront. Pour moi même, comme tu disais ? J'ai l'impression de ne plus exister... J'ai imaginé ma vie avec toi, toujours avec toi. J'ai imaginé la vie tout court finalement. Mais je n'arrive pas à l'imagier sans toi. Pourtant j'essaye, ma tête à bien compris que tu ne voulais plus être avec moi et que je dois le respecter. Mais mon cœur il n'y arrive pas. Je te jure que j'essaye. Je n'arrive pas à tourner la page. Comment tu as fais ? Je crois qu'en fait tu n'étais pas qu'une page, tu étais tout un livre. Un gros livre, plein de pages, comme les livres de ta bibliothèque. Ou alors un livre comme les miens, ceux plein de poèmes et de mots doux. C'est toujours à toi que je pense quand je lis ce genre de poème. Tout comme chaque chanson d'amour porte ton nom désormais. Tu as fais ressortir en moi un vrai côté romantique, je savais pas qu'il existait celui là. Est-ce que c'est une bonne chose ? A vrai dire j'en sais trop rien. J’ai une réputation de masculin sacré à tenir tout de même.
Il y a tellement de choses que je regrettes et qui pèsent tellement lourd.. Je regrette que tu aies croisé la route d'une personne comme moi, que tu m’aies vu sous mon pire jour, de t'avoir fais du mal, de ne pas avoir essayer d'arranger les choses plus tôt.. Je regrette de pas avoir sauter ce soir là. J'aurais mieux fais hein ? Déjà cette nuit là mon cœur avait éclaté en mille morceaux.. Mais chaque petit morceau était déjà amoureux de toi. Et moi j'ai éclater en sanglots. J'aime bien cette expression. On n'éclate jamais de faim ou de froid, même moi. En revanche, on éclate de rire ou en sanglots. Et on en a eu des fous-rires, je ne pourrais jamais les oublier. J'aurais fais le clown pendant des heures simplement pour te voir rire... Mais il y a des sentiments qui justifient qu'on vole en éclats... Et les sentiments que j'ai pour toi c'est ce genre de sentiments. Ceux qui peuvent te donner des ailles, tout comme te les couper en plein vol.. Mais une chute aussi vertigineuse, est-ce qu'on peut s'en relever ? Au delà des regrets, il y a des milliers de questions qui tournent en boucle dans ma tête. Questions auxquelles je n'aurais visiblement jamais de réponses. Comment je fais pour que ça s'arrête ? Pour toujours je veux dire, est-ce que je peux te sortir de ma tête maintenant... ? Je ne pense pas.
Est-ce qu'on est obligées de redevenir des inconnues ? On aurait pu se sauver ? Tu m'as vraiment aimé un jour ? Est-ce que tu vas m'oublier ? Et si on avaient pas pris la maison ça irait mieux ? Est-ce que tu me crois quand je te dis que je t'aime ? Comment tu fais pour donner l'impression que tu passe à autre chose ? Est-ce que tu m'as remplacé ? Est-ce que j'avais vraiment une chance ? Est-ce que tu as effacé tous nos messages ? Toutes les photos ? Pourquoi tu ne m'as jamais choisis ? Pourquoi ça me rend malade ? Pourquoi tu as fais comme si tu t’inquiétais pour moi hier ? Est-ce qu’un jour tu me pardonneras ?
Pourquoi ? Comment ? Est-ce que ? Je ne comprends pas. Je ne comprend rien du tout. Et tu sais à quel point je ne supporte pas de ne pas comprendre. Ça me ronge en vrai. J'aimerai pouvoir lire dans tes pensées, savoir enfin ce que tu ressent.. Mais tout ça finalement ça restera de la rhétorique, sans réponse. C'est donc ça que tout le monde appel le lâcher prise ? Comme si je tenais un stylo, je dois juste le laisser tomber..? Je ne suis pas fan de ce concept, mais il semblerait que ce soit non-optionnel...
J'aimerais tellement discuter avec toi, te voir, entendre ta voix, tenir ta main, sentir ton odeur une dernière fois... Et si un jour nos chemins se recroisent ? Par hasard bien sûr, il se passerait quoi ? Tu penses qu'un jour on se retrouveras ? Comme la légende chinoise du fil rouge... En vrai je sais pas quoi penser de ça. D'un côté j'aimerais me dire que je te reverrais, en même temps rien que t'imaginer faire ta vie dans les bras de quelqu’un d'autre me donne envie de pleurer encore plus..
Tu sais, j'ai fais des erreurs mais j'ai toujours été sincère sur mes sentiments. Moi je t'ai réellement aimé, je t'aime encore et je t'aimerai malgré tout. J'étais sincère quand je t'ai dis que je pouvais être quelqu'un de bien pour toi. Je tiendrai mes promesses. Même si tu avais raison, je le fais pour moi, mais j'aurais aimé que tu sois à mes côtés et j’aurais toujours une pensée pour toi tant que je serai là.. Et, j'étais sincère quand je t'ai dis que je me ferais tatouer ton initiale. Parce que toi tu as compter pour moi. Tu compte pour moi encore maintenant. C'est sûrement parce que tu compte autant que ça fais si mal. Mais ça, ce n'est plus ton problème maintenant. J’espère juste que tu vas bien, sincèrement. Je t'en supplie prends soins de toi, s'il te plaît.. J'aurais voulu prendre soins de toi pour toujours, mais je ne peux pas et je dois respecter ton choix. Mais s'il te plaît fais le à ma place. J'aimais tellement ça, prendre soins de toi, te chouchouter.. Apparemment c'est ça l'amour, c'est vouloir le bonheur de l'autre, même si c'est sans nous.. Et c'est sans moi, et c'est en majeur partie de ma faute j'en suis consciente, même si je te jure que j'aurais tout fais pour rattraper mes erreurs.. Mais je ne veux que le meilleur pour toi, et ce n'est pas moi. C'est tout ce que je te souhaite, une vie bien remplie de tout ce que tu désire et bien entourée. Tu atteindras tous tes objectifs, ça j'en suis persuadée. Ne laisse jamais rien ni personne te faire douter de toi. Tu es une des plus belle personne que j'ai connue, et tu garderas toujours une place spéciale dans mon cœur, tu seras toujours là... Je te le redis encore une fois ? Une dernière fois : Tu n'es pas celle que tu vois dans le miroir, tu es celle qui brille dans le regard d’autrui. Comme tu te souviens que de ce que tu veux, ça fait pas de mal de te le répéter, tu as tendance à l'oublier un peu trop souvent. Tu brilles de mille feux.
Je ne t'oublierai jamais, je continuerais de crier fort que je t'aime en silence. Ou alors je penserai en silence que je t'aime très fort... J'espère que tu garderas quand même de bons souvenirs, j'espère que tu en as au moins..
Je pourrai continuer ce message indéfiniment. Je t'avais écris une lettre de deux pages, et puis finalement je ne te l'ai pas laissé. Je voulais y croire encore un peu... Je pourrai te parler sans m'arrêter toute la nuit, toute la journée.. Je suppose que je vais faire comme avec ma mère, je t'écrirai des lettre que je n'enverrai jamais. Tu n’as peut être même pas lu jusqu’ici.
Apparemment tout a une fin, et si vraiment tu as lu jusque là ne retient que ça : Je suis sincèrement désolé, je t'aime plus que tout et tu es une personne formidable.
Je sais que je dois te laisser tranquille, mais je risque d'avoir plus de difficultés que toi.. Je suis loin d'avoir autant de force mentale.
Ou peut être des sentiments plus forts je ne sais pas vraiment à quoi ça tient.. Mais je te promets d'essayer, au moins je vais essayer d'essayer. Tu me manque déjà terriblement si tu savais.. Tu es l’adoucissant de mon cœur.
Je t'aime. Moi le plus...
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saga: Soumission & Domination 309
Petit rappel, tous les protagonistes de l'histoire sont bien sûr majeurs !
Eté 2014-4
Fin août me reviennent Jona et François, en forme olympique comme après chaque période. Ils ne peuvent pas me dire grand-chose, sauf que cette année, ils sont partis à l'étranger s'entrainer avec des commandos. L'année passée ils avaient tâté du parachutisme et là, ils avaient été initiés à la plongée et revenait même avec leur brevet de grande profondeur. Leurs collègues français avaient été très contents de leurs performances à tous les deux. Leurs hôtes leur ayant spécialement mené la vie dure sachant qu'ils n'étaient " que" des civils ! Même s'ils se sont fait étaler plus d'une fois lors des séances de corps à corps, ils avaient forcé le respect des professionnels dont c'était le quotidien.
Du coup je les fais mettre à poil pour déceler des traces de coups. Rien ! J'ai beau les inspecter sous toutes les coutures, pas de bleus ni d'estafilades. Jona me dit qu'ils ont appris aussi à encaisser à moindre frais.
Je saurais aussi qu'ils ont trouvé sur place de quoi libérer leurs libidos, et sans sortir de leur campement. Que si le " don't ask, don't tell " n'était révolu que depuis ces dernières années, ils n'en faisaient déjà plus cas bien avant dans cette unité. La sécurité de tous impliquait une parfaite connaissance de chacun et une confiance totale entre les membres du groupe. Leurs deux petits culs avaient même attirés en dehors du cercle homo, deux hétéros y avaient succombés.
Les marques de bronzage de leurs piercings au téton les a obligé à se dévoiler un peu. Emporté par l'ambiance " confiance ", ils ont même dévoilé leur activité d'Escort ce qui a bien fait rire leurs hôtes.
En termes de compétence, même s'il reste encore un an d'étude à Jona, il serait déjà à même d'ouvrir un club multisports ! C'est son rêve et je crois que j'y participerai. François quand à lui continu ses études d'ingénieur.
Je les garde une semaine à la campagne pour le plus grand plaisir des autres occupants de la maison. Ils dorment énormément et quand je m'en étonne, ils me disent que les heures de sommeil n'avaient pas été nombreuses au campement. PH, Ernesto et moi profitons de leurs entrainements et des nouvelles techniques de combat qu'ils ont apprises. Sans atteindre leur niveau d'expertise, nous augmentons notre potentiel défensif. Déjà qu'avec le krav maga, les derniers qui nous avaient sous estimés s'étaient retrouvés avec épaules et poignets luxés, maintenant ce serait l'hôpital à tous les coups !
Les séances finissent toujours par une bonne douche et toujours aussi par une bonne baise.
Emma nous réquisitionne. Le souvenir de son passage en Espagne au retour de Grèce la fait nous convoquer tous les 5 chez elle. On emprunte la 300C et débarquons dès le départ de sa vielle cuisinière. Pablo n'est évidemment pas un problème !
Dès l'arrivée je prends les choses en main. Nous la portons jusque dans sa chambre au lit, maintenant démesuré, seul capable de soutenir nos 6 corps emmêlés. Mise à poil en deux secondes, nous aussi et la fête commence. Pour commencer, je nous aligne tous au garde à vous, les bites à la verticale et lui passe la main. Emma défile devant nous, soupèse les couilles, caresse les bites, frotte quelques glands déjà sortis de leurs prépuces puis passe dans notre dos. Là, ce sont nos fesses et nos rondelles qui sont flattées et caressées. Elle défonce même quelques rondelles juste pour voir nous dit elle alors que Jona, le premier à qui elle le fait sursautait de surprise.
Elle nous embrasse tous, enfin elle nous roule des pelles quoi ! Je me demande si elle ne reste pas plus de temps avec ses deux co-vacanciers ! Si c'était possible je dirais que nous en sortons en bandant encore plus raide. Ses douces mains y sont pour quelque chose, passant le temps de son baiser à masser nos sexes turgescents. Elle y met même les deux mains pour les 24cm d'Ernesto, alors que pour les autres c'est une à branler l'autre à malaxer les couilles.
Nous restons stoïques, debout, épaules contre épaules. Même quand elle se plie pour entamer la série de fellation. A genoux, elle ne peut prendre la totalité de notre espagnol. Du coup cela rompt l'alignement quand elle se couche sur le dos, la tête hors du matelas et qu'elle lui dit de venir lui remplir la gorge. Nous nous répartissons de chaque coté du couple pour admirer le travail. Ernesto est délicat. D'abord c'est ma " mère " et puis il tient à la peau de son gland ! Il s'enfonce doucement, recule quand il faut mais à terme plaque quand même ses couilles sur le nez d'Emma. Nous les laissons seuls à se toucher quelques instants. Puis nous n'y tenons plus et c'est la " curée ". Dans la mêlée j'arrive à plaquer ma bouche sur son sein droit et me cogne le crane contre François qui s'occupe du gauche. Sans lâcher le téton, je tourne le cou et vois PH ventouser la chatte d'Emma. Je suppose que c'est donc Jona qui lui prépare la rondelle puisqu'Ernesto est toujours debout.
Elle nous surprend avec un orgasme quasi immédiat. Son corps s'arque sous les nôtres et retombe sans qu'aucun d'entre nous n'ait lâché son " morceau ". Pendant plus d'une demi heure nous allons intervertir nos positions mais sans autres pénétrations que sa bouche par nos langues et nos queues. Nous l'avons fait jouir au moins deux autres fois de plus et avec une intensité plus forte encore.
Puis nous entamons les pénétrations. Directement nous investissons en simultané son vagin et son anus. Nous somme cinq quand même ! Elle arrive même à s'occuper de nous tous en même temps : Ernesto dans sa chatte, moi dans son cul, PH qui lui chatouille les amygdales avec la bite de Jona dans sa main droite et celle de François dans sa gauche. Nous arrivons à tenir quelques temps, jusqu'à ce qu'un de ses orgasmes nous bloque tous en position avant un relâchement vital (pour les deux dont les bites ont été pressées !).
Après ça dégénère bi. Nous testons la sodomie des deux qui pénètrent Emma, mais aussi l'emboitement (bite/cul) de 4 mecs dont le premier encule Emma alors que le 5ème contrebalance la pénétration anale par la présence de sa queue dans son vagin. A 5 mecs et une meuf, y'a plein de situations à tenter et pour se faire plaisir.
A la fin, nous avons tous pénétré tous les trous disponibles. Avec 3 pour Emma et 2 par mecs, ça nous a fait dans les 11 possibilités différentes et certains plus d'une fois ! Nos mains se sont égarées sur des m² de peaux lisses et bronzées, ont massé des muscles, des corps caverneux et des lèvres gonflées. Nos bouches ont embrassé lèvres et Lèvres, sucé clito, bites et rondelles. Nos langues ses sont glissées dans le moindre recoin caché de nos corps enfiévrés, enfin la totale !
L'après midi nous a laissé tellement lessivé que pas un n'a pensé aller nager après. Nous nous sommes douchés en silence, repus mais vidés du moindre spermatozoïde pouvant être produit ce jour là. Emma quand à elle nous regardait faire, couchée sur le ventre elle-même éreintée !
Même les savonnages mutuels n'ont pas réussit à faire lever nos queues. C'est dire l'état de fatigue dans lequel notre petite séance nous avait laissé.
Emma était contente car d'habitude c'est elle qui ressort la plus fatiguée de ce genre d'ébats.
Le retour à la maison s'est fait dans un silence sépulcral. Les trois à l'arrière dormaient carrément alors que PH me parlais pour éviter mes endormissements.
Le soir même, diner rapide et dodo. Réveil le lendemain à 11h pour tous et uniquement parce que Marc et Hervé débarquaient vers midi.
J'ai laissé Samir aller les chercher à l'aéroport alors que nous tentions de nous réveiller par quelques exercices physiques. Le douchage à l'eau froide a finalement réussit là où la nage flegmatique n'y était pas arrivée.
Quand ils ont débarqués, nous étions tous les 5 présentables même si c'est Jona et François qui avaient le mieux résistés. L'entrainement il n'y a que ça de vrai.
Ils sont encore bien bronzé nos deux quadras et puis les fins d'après midi sur les bords des piscines de leurs hôtels entretiennent leurs hâles. Marc est content, il a réussi lors de ce dernier voyage à entrainer Hervé à baiser du " local ". Jusqu'à présent, il se contentait de sa main en attendant le retour en Europe pour baiser Ernesto. Cela fait plaisir à ce dernier qui, depuis le début de leurs relations, l'exhortait à le faire. On s'aime beaucoup et même tout court mais l'exclusivité n'est pas au programme. Je crois bien que c'est un peu de ma faute !! Je suis un accumulateur compulsif........ de beaux mecs !
En attendant, même s'ils se sont vidés les couilles avec les natifs du pays, ils sont d'attaque. Dans le sens Est-Ouest, je décalage horaire n'est pas trop fatiguant. De plus je crois bien être le seul à avoir osé, tenté et réussi à baiser en vol.
C'est pas de ma faute, un des steward était vraiment canon et son pantalon lui moulait le cul mieux qu'un cycliste ! Nous avons profité du moment de sommeil de la quasi- totalité des passagers pour nous retrouver dans la queue.... de l'avion (non mais !). Après m'être fait offrir un café, je suis passé directement aux choses sérieuses. Alors qu'il me tournait le dos pour ranger, j'ai collé mon bassin contre ses fesses. La barre raidie de ma bite s'est placé suer la linge d'entre fesses. Il ne pouvait plus ignorer l'effet qu'il me faisait. Coups d'oeil dans la cabine et il m'a poussé dans les toilettes. Peu de place, juste ce qu'il faut pour baisser nos deux pantalons, moi m'enfiler une kpote et lui d'enduire sa rondelle du gel d'un sachet sorti comme par miracle de sa poche. Petit trou d'air nous a déséquilibrés juste au moment de la pénétration et je me suis retrouvé collé sur son dos la bite bien au fond de son cul. Même le ciel était de mon coté, c'est un signe non ?
Pas égoïste, je l'ai branlé au rythme de mes coups de rein. Son cul avait une bonne tendance à retenir ma bite et a ne pas vouloir la laisser ressortir. Un effet collatéral de l'altitude ou performance individuelle, je ne sais pas encore n'ayant pas réitéré la chose. Mais en attendant nous étions très excités par la situation et ma bite donnait tout ce quelle pouvait en terme de dilatation. Quand il s'est vidé dans la cuvette des WC moi j'ai rempli ma kpote.
Quelques instants de toilette et de réajustements de ceintures et nous sommes sortis. Nez à nez avec le copilote (il a une barrette dorée de moins que le comandat de bord sur l'épaule !), baraqué, gueule de baroudeur.
Gène de mon steward. Moi, rigolard lui dit qu'il est arrivé quelques minutes trop tard pour profiter - je lui caresse la braguette - de deux petits culs en manque. Là maintenant il, n'en restait plus qu'un, le mien.
Il a alors envoyé le steward en cabine et me retenant par le bras, m'a poussé vers le sol. A genoux devant lui, je me suis douté un peu de ce qu'il me voulait.
Vous commencez à me connaitre, il ne m'en faut pas beaucoup pour me décider ou pour me convaincre de tester une nouvelle marchandise !
Sous le bleu de son uniforme, se cachait un beau mandrin bien raide, circoncis et légèrement courbé vers le sol d'une bonne 20aine de cm et d'un diamètre en raccord (dans les 5/5,5). Ses belles couilles étaient bien pendantes comme je les sortais de leur cocon de coton.
Je n'ai pas attendu qu'il me pousse la tête pour engouffrer la marchandise. Bien meilleur que le repas qu'on nous avait servi plus tôt. Je crois et il me l'a confirmé après, que de l'avoir englouti entièrement dès le premier pompage ma positionné en véritable salope. Comme quoi le premier contact est souvent révélateur !
Il m'a fait glisser sur le sol pour tourner le dos à la cabine et me coincer contre les roulantes sagement (elles) rangées. J'ai vu plus tard pourquoi. Il me cachait des regards des passagers venus utiliser les WC. Deux fois il a cessé ses coups de rein le temps qu'ils entrent et sortent. Il ne m'aura pas enculé mais bien défoncer la gorge quand même. Jutage dans des serviettes en papier et chacun est retourné à ses occupations. Evidement, Marc que j'accompagnais m'a traité de petite pute quand je me suis rassis à ses cotés 40 minutes plus tard.
Toujours est-il qu'eux ne s'étaient pas vidés les couilles depuis leur départ d'Asie et nous l'avons su rapidement. Et Ernesto et moi avons été les premiers à en profiter. Marc m'a attrapé et j'ai pris un plaisir immense à le laisser me dominer, m'enculer quasiment à sec alors qu'Hervé en faisait de même avec Ernesto. Nous nous sommes fait saillir comme deux bonnes salopes accros à la bite de leurs mecs. PH, libre lui, nous donnait sa queue à sucer chacun à son tour.
J'adore quand Marc est brutal. Pour Ernesto, il m'en parlera plus tard, c'était quasiment la première fois qu'Hervé se comportait pareillement. Il était en général plus doux. Mais cela n'avait pas été sans déplaire à Ernesto. Tout comme le fait qu'il commence à baiser des locaux lors de ses déplacements, notre Hervé prend de l'assurance comme gay.
J'en fais aussi les frais quand Marc et lui décide d'échanger leurs mecs (c'est-à-dire nous deux, Ernesto et moi). Le souvenir que j'avais de ses dernières enculades, était effectivement, une certaine douceur et une prévenance totale sur le bien-être du mec qu'il enculait. Là, ses coups de rein étaient impérieux. Ses couilles claquaient contre les miennes avec force et son bassin écrasait mes fesses à chaque pénétration. Finalement c'est bien meilleur comme ça. Au moins il utilise la totalité de sa longue bite et même le dernier centimètre qui est souvent le plus épais ! Je me penche vers Ernesto, délaissant la queue de PH, pour lui rouler un patin. J'arrive à lui glisser que son mec est encore meilleur qu'avant. Je ne sais pas si c'est le fait d'enculer des petits asiatiques quand il est en déplacement avec Marc, mais il s'est virilisé !! Il utilise ses 21cm avec plus de force et ce pour notre plus grand plaisir (à nous les enculés).
Quand je réussirais à en parler avec lui, Hervé me confiera que baiser des petits (question format) " indigènes ", plutôt soumis dans leur comportement l'avait rendu plus " brutal " s'il voulait du répondant. Ça plus le fait qu'il n'y avait pas de sentiments avait renforcé son coté viril. Je lui ai roulé une pelle et l'ai assuré qu'il n'en était que meilleur pour nos petits culs. Ernesto était d'accord avec moi, même s'il ne lui dirait sans doute jamais.
Jardinier
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Pour Lacan, ce que découvre Freud dans le Witz n’est rien d’autre que la loi qui permet de structurer des manifestations de l’inconscient aussi diverses que le rêve, le symptôme, l’acte manqué, le lapsus… sans oublier le trait d’esprit lui-même (qui est la traduction qu’il privilégiera pour "Witz"). Dans son séminaire Les formations de l’inconscient, il insiste par trois fois pour que les analystes présents relisent Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient de Freud (non sans signaler au passage la médiocrité de la traduction française)...
On se souvient que dans cet écrit, pour tenter de discerner le comique, l’humour et leur rapport au trait d’esprit à proprement parler, l’inventeur de la psychanalyse fait plusieurs fois appel à la sophistique du marieur juif: un marieur défend contre les critiques d’un jeune homme, la jeune fille qu'il lui propose:
«La belle-mère, dit celui-ci, ne me plaît pas, c'est une personne méchante et bête.»
«Vous n'épousez pas la belle-mère, mais la fille.»
«Mais elle n’est plus jeune ni belle non plus.»
«Peu importe, moins elle sera jeune et belle, plus elle vous sera fidèle.»
«Il y a bien peu d'argent.»
«Qui parle d'argent! Est-ce l'argent que vous épousez? C'est bien une femme que vous voulez!» «Mais elle est bossue!»
«Que voulez vous! Il vous faut donc une femme sans défauts?»
Il s'agit, en réalité, d'une demoiselle plus très jeune, sans argent ni beauté, nantie d'une mère repoussante et gratifiée au surplus d'une grave difformité. Ce ne sont pas là des conditions attrayantes pour un épouseur. À chaque défaut, le marieur trouve des arguments qui permettent de s'en accommoder: il ne concède comme seul défaut que la bosse, défaut dont tout le monde doit convenir.
Voilà encore l'apparence de logique, caractéristique du sophisme, et destinée à couvrir la faute de raisonnement. La demoiselle n'a évidemment que des défauts, les uns sur lesquels on pourrait passer, et un dernier qui crève les yeux. Il est donc impossible de l'épouser. Le marieur feint d'avoir éliminé chacun des défauts par l'excuse qu'il leur trouve, bien que, malgré ses efforts il reste que chacun d'eux équivaille à une dévalorisation qui s'ajoute à la suivante. Il s'attache à chaque facteur isolément et refuse d'envisager leur somme.
Cette même omission est le nœud d'un autre sophisme, dont on a beaucoup ri, bien que l'on puisse douter de son caractère de mot d'esprit. A. a emprunté à B. un chaudron de cuivre, lorsqu'il le rend, B. se plaint de ce que le chaudron a un grand trou qui le met hors d'usage. Voici la défense de A. «Primo, je n'ai jamais emprunté de chaudron à B.»
«Secundo, le chaudron avait un trou lorsque je l'ai emprunté à B.»
«Tertio, j'ai rendu le chaudron intact.»
Chacune de ces objections en soi est valable, mais rassemblées en faisceau, elles s'excluent l'une l'autre. A. isole ce qui doit faire bloc, tout comme le marieur les défauts de la prétendue. On peut dire aussi que A. met un «et» là où ne serait de mise que l'alternative «ou bien - ou bien».
Ne vient on pas de vivre un moment comparable avec les sophismes des labos et des co-labos?:
«Le vague saint immunise à 95%»
«Le vague saint immunise à 75%»
«Le vague saint immunise à 50%»
«Il n’immunise pas mais réduit la transmission»
«Il ne réduit pas la transmission mais empêche les formes graves»
«Il n’empêche pas les formes graves, mais vous ne finissez pas aux soins intensifs»
«Il n’empêche pas que vous vous retrouviez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas»
«Pas tout de suite…»
Cela n’est bien entendu pas sans rappeler la lettre que Freud envoya à Marie Bonaparte le 18 août 1937:
«Dès que l’on s’interroge sur le sens et la valeur de la vie, on est malade, car ni l’un ni l’autre n’existent objectivement; on avoue simplement posséder une réserve de libido insatisfaite, à laquelle quelque chose d’autre a dû arriver, une sorte de fermentation, aboutissant à une tristesse et à de la dépression.
Je crains que ce genre d'explication de ma part ne soit très formidable.
Peut-être suis-je trop pessimiste.
Une publicité me vient alors en tête, la plus hardie et la plus réussie des publicités américaines, elle dit ceci: «Why live if you can be buried for ten Dollars?»
(Pourquoi vivre, alors que vous pouvez être enterré pour dix dollars?)
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Épisode 4
Dans la chambre, Ray et Blotin se déplacèrent sur la trame usée d'un vieux tapis persan , en soulevant le matelas Ray trouva un dvd dans une pochette plastique.
Ray mit le dvd dans le lecteur en compagnie de Blotin ils regardaient évoluer Amelie nue lançant des paroles un peu cochonnes à destination d'un inconnu qui était certainement celui qui filmait. Ils voyaient déambuler Amelie dans l'appartement, elle prenait des poses, poussait des soupirs, faisait des clin d'œil invitant l'inconnu à s'approcher du lit. Elle invitait à haute voix son inconnu à quelques hardiesse.
Les yeux fixés sur l'écran Blotin marmonait :
- putain ! putain ! incroyable !
- là ! là ! clama Ray en souriant
Ils arrêtèrent le visionnage du dvd pour l'emballer dans un sac pour le laboratoire.
- ouais je veux la revoir ! dit Blotin
-d'accord ! on prend l'ordinateur et les appareils connectés.
Au commissariat Ray et ses collègues visionnèrent encore la vidéo, Ginette restait bouche bée devant le défilé d'Amelie toujours promettant monts et merveilles à son vidéaste muet elle fit remarquer qu'il y avait en arrière fond une musique de guerrier Amérindien.
Maintenant la musique devenait très agressive et Amelie défilait une machette à la main, elle reitera ses promesses en brandissant la machette en direction de l'inconnu. Puis plus rien sur la vidéo.
- il a de la chance ce vidéaste !s'exclama Blotin
- ouais il faut le retrouver ! dit Ginette
Ginette ajouta qu'elle allait fouiller dans l'ordinateur d'Amelie.
Ray ajouta :
- est-ce que la famille était au courant des activités de leur fille ?
- je ne pense pas répondit Blotin
Il ajouta qu'elle avait une sœur et que généralement deux sœurs se parlent beaucoup, il faut vérifier cela, même les parents et l'entourage ce serait bien.
Ray intervint :
- je vais en parler à Santenax illico...
En revenant avec l'accord du boss , Ray répartit les tâches et fixa un nouveau rendez-vous pour le lendemain matin.
L'équipe but un dernier café avant de se séparer.
Ray marchait tranquillement vers son domicile, profitant des derniers rayon de soleil.
Il pensait brièvement à Simone à son fouet,ses menottes, il en souriait quand même.
Il monta les escaliers deux par deux pour travailler son souffle. Arrive devant sa porte il expira un grand coup puis introduisit la clé dans la serrure. Quand il eut refermé, il s'adossa contre la porte en soufflant .
Machinalement il se remplit un verre , un vieux disque de Basie tournait, Ray l'appreciait beaucoup, son regard parcourait le salon avec une certaine fatigue.
Plus tard il se confectionna un sandwich qu'il garnit avec du salami, de fromage râpé et de cornichons. Il fit bouillir de l'eau pour y jeter une poignée de pâte.
Il engloutit le tout en buvant de la bière.
Installé sur le canapé il fuma une cigarette en pensant à cette nouvelle enquête.
De son canapé Ray voyait déjà les faisceaux des réverbères, le jour baissait doucement ce qui plongea son salon dans l'obscurité petit à petit. Finissant un reste de café froid il contempla fixement le mur en face lui.
Il s'endormit profondément sur son canapé les mains sur sa poitrine.
Le lendemain dans le bureau de Ray, Santenax était présent et accueillait toute l'équipe en serrant les mains vigoureusement. Assis autour d'une table chacun fit le point sur les investigations qu'ils avaient à faire pour la journée, Santenax avait disposé du papier et des stylos pour prendre des notes sur la table.
Santenax se fit préciser le contenu du dvd, il voulait savoir se que l'on pouvait en tirer comme indices , ol dit qu'il fallait récolter le plus de renseignements possible sur cette vidéo.
- ça nous permettra peut-être avec un peu de chance de la retrouver dit le boss
Les autres restèrent dubitatifs.
- enquêter discrètement là-dessus même chose pour les parents et l'entourage , des pincettes et du doigts ! je compte sur votre discrétion dit Santenax.
Ray et ses collègues acquiecèrent ensemble.
Le boss avait mis son costard bleu anthracite avec une belle cravate jaune pâle agrémentée de rayures bleues.
Le boss allait avoir plein de réunions avec les autres fonctionnaires, ça voulait dire plein d'emmerdes en perspective. Blotin et Ginette regardèrent Ray, celui-ci compris qu'il devait aborder le volume d'heures d'enquête, les éventuelles heures supplémentaires, ce qui avait le don de faire sortir de ses gonds le boss.
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes.
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA.
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire g��néral de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol...
Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €.
Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent.
Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative.
Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...
Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne.
Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte.
Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques.
L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre - le 30 janvier 2024 source
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♡ ‧₊˚ ⋅ ౨ৎ ‧₊ .ᐟ
Sunoo x Sunghoon.
Part 1.
Strangers to lovers.
Nb : j’ai fait cette histoire après un fanart que j’ai dessiné. (MERCI DE NE PAS REPOSTER SANS ME CRÉDITER)
Les dessins se trouveront à la fin.
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˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
┊sunsun ff. ♡ ┊
" c h a p i t r e 1 : i l o v e y o u. „
(Je m’inspire simplement des leur physique. En aucun cas les personnages ne les représentent.)
Elle me gifla.
L'ambiance de la fête s'était évanouie, emportant avec elle l'insouciance de la joie et des rires passés. Pourtant, le décor restait d'une clémence surprenante, et la musique, toujours vibrante, continuait de jouer jusqu'à... silence radio. J'étais à une fête d'anniversaire. Pas n'importe laquelle, c'était la fête d'anniversaire de ma petite-amie.
Ou peut-être que ex-petite-amie est le terme plus approprié.
Le monde nous scrutait du regard. Le silence semblait presque aussi bruyant qu'un concert de heavy metal ou bien qu'une nuit à la campagne, je ne sais pas. Le cœur tourmenté, sa main, d'un élan, effleura ma joue. Ce geste, aussi soudain qu'une flamme éphémère, me laissa immobile, le souffle coupé, tandis que l'éclat des lumières décoratives contrastait avec l'ombre naissante en moi.
J'avais honte.
— Park Sunghoon, tu n'es qu'un idiot ! Comment oses-tu ? Le jour de mon anniversaire, en plus ?! Tu ne comprends définitivement rien à l'amour, s'énerva-t-elle. C'est fini entre nous.
Ainsi, elle s'éloigna, me laissant seul dans la froideur d'un instant figé. Ma main, posée sur ma joue, tentait en vain de calmer l'ardeur qui brûlait, une douleur bien plus profonde que le simple choc de sa paume, j'étais prêt à parier qu'en plus de la marque de sa main, elle avait même créé un relief, une marque. Autour de moi, les regards flottaient, lourds de silence et de jugement. Je ne cherchais pas à me justifier, ni même à comprendre; je restais là, la tête baissée, envahi par une honte qui me consumait. Une étrange résignation me tenait, comme si, au plus profond de moi, je savais qu'elle avait raison, que ce châtiment muet était celui que je méritais. Je n'y comprenais rien en l'amour, et je n'avais donc jamais réussi à la faire sentir aimée.
Mais pour être d'une grande sincérité, je n'étais pas spécialement amoureux. Elle me plaisait, mais ça n'allait guère plus loin.
J'étais Park Sunghoon, le roi de la glace.
Et le roi venait de se faire humilier.
Je me suis pris la tempête la plus glaciale de mon royaume.
Finalement, l'amour c'est pour les nuls.
Ou justement, pas pour les nuls comme moi.
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
˗ˏˋ — Love Me Back 'ˎ˗
J'étais en cours de mathématique, faisant simplement acte de présence. Loin de moi l'idée d'écouter quelque chose qui ne m'intéressait et ne m'intéressera jamais. J'avais mieux à faire. La scène de la semaine dernière, cette claque, revenait sans cesse comme un refrain, marquant mon esprit d'un souvenir encore brûlant. Le regard perdu vers la fenêtre, je sentis une main secouer mon épaule.
— Sunghoon..! Ça fait 10 plombs que je t'appelle. chuchota Jake, mon meilleur ami -et voisin de table-
— Ça se voit, t'as les cheveux blanc qui commencent à pousser. plaisantai-je.
— Haha, très drôle. retoqua-t-il sarcastiquement. Ça te dit d'aller à la salle d'arcade après les cours ??
— Je suis désolée, je dois récupérer ma sœur ce soir, je pourrais pas.
— T'inquiète ! On remettra ça ! me rassura-t-il d'un sourire radieux
Jake était ce genre de personne rare, bienveillante et lumineuse, trop précieuse pour ce monde. Il était même trop bon pour ce mauvais monde. Mon seul ami depuis l'enfance, celui qui contrastait avec mon caractère froid et distant. Lui, chaleureux et extraverti, avait le don de se lier d'amitié avec tous.
Il était tout ce que je n'étais pas, chaleureux, agréable, positif, enthousiaste. En plus d'être délégué, il se portait toujours présent pour autrui. C'est un homme formidable et amical.
J'étais bien différent.
On avait nos différends.
Le fin des cours retentit, nous indiquant qu'il était finalement l'heure pour chacun de rentrer chez soi, hormis les élèves punis. Ces derniers avaient comme mission d'accomplir l'heure de colle.
Dans la cours, après avoir salué Jake et Ni-Ki, un petit de troisième qu'il veillait comme un grand frère, je m'apprêtais à rentrer.
Enfin,...
Jusqu'à qu'une étrange main retient ma chemise. Par pur réflexe, je me retournai.
C'était un garçon, un jeune homme, pas plus grand que moi. Il était blond, certainement pas une couleur naturelle. Nous avions droit aux teintures même dans notre établissement ? Quoiqu'il en soit, sa chevelure dorée telle la lumière douce d'un crépuscule, semblait porter sur lui un éclat éternel. Son visage, fin et délicat, évoquait la pureté d'une fleur de camélia, chaque trait subtilement sculpté comme une œuvre d'art éthérée. Ses yeux, vastes et lumineux, sont deux étoiles perdues dans un ciel d'ivoire, captivant ceux qui osent les croiser. Ses lèvres, légèrement rosées, semblaient prêtes à murmurer des secrets du vent. Il était une brise légère dans la chaleur d'un été, à la fois doux et envoûtant, irradiant une aura à la fois mystérieuse et angélique. C'était cela, c'était un ange.
Un ange tombé du ciel.
Il me regardait avec des yeux qui m'inculquaient du stresse, de l'excitation, de la peur mais aussi du courage. Son regard pétillant m'hypnotisaient
Il retira sa main, et baissa légèrement la tête.
— Park Sunghoon ? Hum... commença-t-il, jouant avec ses doigts, il y a une chose à laquelle je dois te faire part.
Il prit une grande inspiration, puis plongea son regard dans le mien, ses yeux brillants d'une sincérité presque effrayante. Ses joues rosirent, et je pouvais voir son corps frémir, partagé entre courage et vulnérabilité.
Ça ne pouvait tout de même pas être une déclaration d'amour..
— Je... Je t'aime. Sors avec moi.
C'était une déclaration d'amour.
Je restais planté là, ses mots résonnant dans mon esprit. Une déclaration d'amour ? Inattendu, c'est le moins qu'on puisse dire. J'étais à des kilomètres d'imaginer qu'un mec que je ne connaissais même pas puisse se pointer, les joues rouges, les mains tremblantes, pour me dire... ça. Moi, Sunghoon, le roi de glace, me retrouver face à une déclaration d'amour d'un parfait inconnu ? Mais comment tu réagis à ça sérieux ?
Normalement, j'aurais eu un réflexe de recul, une indifférence polie pour m'échapper de cette situation. Après tout, ce genre de choses, l'amour et toutes les émotions qui vont avec, m'échappaient. La claque de mon ex, sa colère, tout ça m'avait fait comprendre que ce n'était pas mon truc. Je n'avais jamais su ce qu'elle attendait vraiment de moi, et je n'avais même pas cherché à comprendre. Elle avait raison, probablement : je ne comprenais rien aux sentiments, à l'attachement. Peut-être parce que je ne les avais jamais ressentis de cette façon.
Mais en regardant ce dernier, quelque chose en moi hésita. Sa sincérité, l'authenticité de son regard... Il avait l'air d'y croire vraiment. Ce n'était pas un sentiment réciproque, mais une curiosité me poussait à accepter, comme une sorte de défi. Peut-être que cette fois, en me lançant dans l'inconnu, je probablement pourrais comprendre ce que les autres ressentaient, ou au moins essayer.
Ma main glissa machinalement sur ma nuque, signe de ma gêne, et je détournai les yeux, avant de lâcher, presque sans enthousiasme mais avec une sorte de curiosité étrange :
— D'accord... un léger souffle sortant de mes lèvres.
— C'est rien. Je me disais bien que tu— Attends, quoi ?? Tu viens d'accepter ???
— Oui.
— Mais je croyais que t'étais hétéro !
Je fronçai les sourcils, sentant une pointe d'agacement monter en moi. Dites moi que c'était une plaisanterie. Et puis quoi encore ? Il me fait une déclaration en pensant que j'étais hétéro ? Et maintenant, il fait les grands yeux parce que j'ai dit oui ?
— Si tu pensais que j'étais hétéro, pourquoi m'avoir demandé de sortir avec toi ?! demandai-je en haussant le ton, de plus en plus agacé par cette situation absurde.
Le blond haussa les épaules, un petit sourire satisfait sur les lèvres, comme s'il s'amusait de ma réaction.
— J'ai toujours rêvé de dire ça, avoua-t-il, avec un air mi-fier, mi-détaché. Il y avait une pointe d'audace dans ses yeux, un mélange de défi et de fierté qui semblait dire qu'il n'avait rien à perdre.
Ah, voilà, c'est ça, un jeu. Tout ça pour une phrase qui lui trottait dans la tête. Bien, et moi, je fais quoi maintenant ? Je retourne à ma vie de "roi de glace" et on fait comme si de rien n'était ?
Par la suite son expression changea, se faisant plus sérieuse, presque vulnérable.
— Et puis, il fallait que je te dise ce que je ressens pour pouvoir passer à autre chose, ajouta-t-il doucement. Mais je ne m'attendais pas à ce que tu acceptes.
Son honnêteté me surprit. D'un coup, je me retrouvais face à quelqu'un qui m'expliquait ses raisons, sans détour ni fioriture. Pas comme mon ex, pas comme toutes ces personnes qui jouaient des jeux que je ne comprenais même pas.
— Pour être honnête, je n'y connais rien en l'amour, dis-je en lâchant un soupir. Je n'avais jamais vraiment réussi à comprendre ce que les gens attendaient de moi. Ma dernière relation m'avait montré que j'étais loin d'avoir tout compris.
Mais peut-être, pensais-je, que c'était justement pour ça que j'avais dit oui. Peut-être que j'avais besoin de tenter quelque chose de différent pour enfin savoir ce que ça faisait.
— Oui, j'ai sais. Tout le lycée ne parle que de la claque que tu t'es prise ! rit-il doucement.
Quelque chose me dit qu'il n'avait pas fini de jouer avec mes limites.
Un sourire amer flotta alors sur mes lèvres, les mains dans les poches, tout en sortant un soupir audible.
— Aaah... tout compte fait, je pense décliner ton offre-
Mais avant que je ne puisse achever ma phrase, il s'empressa d'ajouter :
— Attends attends, s'écria-t-il, agitant ses mains pour me retenir.
Bah tiens donc.
Il esquissa un sourire radieux, un sourire sincère, lumineux... presque céleste. Ses lèvres, délicatement courbées, laissaient transparaître une douceur infinie, un éclat de bonheur pur qui, pour un instant, semblait suspendre le temps. C'était un sourire rare, celui qui réchauffe l'âme et laisse une empreinte indélébile, comme une étoile filante traversant le ciel.
— Je peux t'apprendre ce qu'est l'amour. finit-il par dire.
Je restai silencieux, pris entre la tentation de découvrir ce qu'il avait à m'offrir et la méfiance que j'avais envers tout ce qui touchait aux sentiments.
— Bon... tentai-je de briser le silence, une légère hésitation dans ma voix. Veux-tu m'accompagner ? Je dois aller chercher ma sœur au collège.
— Ça aurait été un plaisir, mais... je suis collé, répondit-il, sa voix teintée d'un brin de désespoir, un sourire gênée.
Lui ? Lui ??
L'idée de voir LUI en retenue me surprit. Lui, qui semblait être la définition même de l'innocence, l'âme d'un enfant qui n'oserait jamais transgresser les règles.
— Toi ? Pourquoi donc ? demandai-je, un mélange d'étonnement et de curiosité se mêlant à mes mots.
Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres, illuminant son visage d'une lumière espiègle.
— J'ai peint mon casier avec des paillettes... avoua-t-il, presque comme une confession.
Bien sûr.
Là je comprenais mieux.
Qui d'autre que ce type aurait eu le courage de transformer un simple espace de rangement en l'atelier de la fée Clochette ?
Puis, sans crier gare, il fouilla dans son sac et en sortit un stylo. D'une douceur infinie, il saisit mon bras, et l'éclat de ses doigts chauds contrastait avec ma peau glacée, me laissant frémir sous cette délicate étreinte. Un frisson me parcourut, me rappelant le frôlement léger d'une brise d'été. Lentement, il traça une série de chiffres...
Est-ce bien ce que je pense ?
Oui, son numéro.
C'était son numéro.
Son numéro, encré sur ma peau comme une promesse silencieuse. Un petit « xo » à la fin, symbole d'une affection voilée.
— Envoie-moi un message... ou appelle-moi, murmura-t-il, son ton flirtant avec l'éternité, accompagné d'un clin d'œil.
Il s'éloigna, me laissant seul, figé, encore prisonnier de l'instant. Un sourire discret se dessina sur mes lèvres, comme une fleur timide émergeant au printemps. Mon cœur battait la chamade, mes joues s'enflammaient... Bordel. Que venait-il de me faire ?
Je venais d'avoir un petit ami. Un inconnu, un mystère à peine entrevu, un mec que je ne connaissais que des moindres et pourtant, peut-être serait-il mon Soleil.
Tandis que je restais là, à revivre la scène en boucle, mes yeux fixés sur mon bras, une soudaine vérité m'étreignit, frappé à plein fouet.
Merde... comment s'appelle-t-il... ?
À suivre…
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Merci à tous d’avoir lu ! <3
C’est la toute première fois que je poste ici hihi 🤭
J’espère que ça vous a plu !
J’aimerais savoir si j’en fais une suite, si l’histoire intéresse :)
Prenez soin de vous ! Bisous 🩷
XOXO.
(Les dessins sont juste ci dessous)
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Hey ! ✍🏻️
Send me an ✍🏻️ and I will introduce you to one of my OC’s
Salut et merci pour la question :)
Qui dit fin de l'année dit retour sur soi et j'ai envie de présenter Stella Okita, l'une de mes toutes premières héroïnes. Elle est apparue dans une fanfic de mes 14 ans et continue de voler de ses propres ailes.
Stella est une femme du futur, d'un monde où l'humanité s'est répandue à travers l'espace. Métisse à moitié japonaise, son enfance a été passée dans une mégalopole avec une mère défaillante.
Son rêve ? S'envoler très loin. Être libre. C'est pour cela qu'elle est devenue pilote de chasse et y excelle. Joviale et sociable, elle s'intègre facilement partout, mais c'est peut-être aussi parce qu'elle n'a nul part où retourner. Extrêmement douée pour les langues, Stella est cependant une piètre cuisinière.
Ses traits distinctifs sont ses cheveux noirs, ses yeux bleus un peu bridés, sa cicatrice à la joue, son rouge à lèvre et ses ongles cramoisis.
Elle cherche un endroit où elle pourra s'arrêter. Avec le temps, je lui ai donné aussi certains de mes craintes et traumas. Elle est ainsi marquée par le décès de sa grand-mère et obsédée par la peur d'une "malédiction" familiale.
Son milieu ne pardonne pas et elle sera confrontée à la mort de ses coéquipiers. Ses errances l'amènent à retrouver ses origines, qu'il s'agisse d'une retraite auprès de nonnes bouddhistes ou d'un emploi temporaire dans une okiya.
Elles prennent aussi la forme d'une course-poursuite endiablée aux quatre coins de l'univers en compagnie de trois autres héroïnes tout aussi débrouillardes. Elles l'amèneront aussi à retrouver un de ses co-équipiers disparus.
Qui sait, je mettrais peut-être ça par écrit un jour !
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ce jour la... une surprise m'attendait... tu as fait ta demande... et je t'ai dit (enfin) oui! saches que jamais je n'ai regretté de l'avoir fait... je t'aime...
merci ma yaz et mon grand schtroumph pour la video... je n'oublierais jamais ce cadeau...
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THE WICKED DEEP (projet rpg)
Projet inspiré des oeuvres the sorcery of thorns (Margaret Rogerson), The Scholomance (Naomi Novik) et La Passe-miroir (Christelle Dabos).
TW: magie noire, démons, sacrifice et sang
CONTEXTE
DISCORD
The Wicked Deep est un projet rpg fantastique qui puise sont inspiration de plusieurs oeuvres (surtout les oeuvres citées en haut). Ce sera un “huis-clôs” puisque seulement les sorciers seront jouables. On y retrouve un peu de tout, un système de magie innovateur, des grandes familles, une rébellion, des jeux politiques, la possibilité de jouer un sorcier comme un démon...
Pour en savoir plus, je vous invite à lire davantage les explications.
Qu’est-ce que je peux jouer ?
Un sorcier ou un démon. Les sorciers sont départagés en trois catégories, elle dépend de leur usage de la magie.
1- Les Blue Blood puisent leur magie d’un démon. On les dit « bleu » parce que seules les familles à la tête d’une enclave ont ce privilège. Leur magie est puissante. 2- Les Red Blood puisent leur magie d’une énergie positive et pure. Afin d’user de leur pouvoir ils ont besoin de rassembler cette énergie pour user de leur pouvoir. Ils la confectionnent en faisant des tâches qui demandent un effort physique ou mental. L’énergie créée sera plus haute et forte au plus la tâche est difficile (par exemple faire 100 pompes rapportera plus d’énergie que tricoter des gants). 3- Les Dark Blood créent une énergie négative en sacrifiant quelque chose afin que leurs incantations fonctionnent. On dit énergie négative parce qu’elle repose souvent dans le sang ou quelque chose qui a été donné par force. Ils sont puissants, mais se font lentement bouffer par leur magie. 4- Les démons viennent plus ou moins des « enfers ». Ils prennent une forme humaine dès qu’ils sont appelés. Un démon ne peut PAS mourir, il peut seulement être banni dans les enfers si son corps humain est tué sur terre. À la mort de son sorcier, le démon retourne également dans les enfers. Ils sont dotés eux-mêmes de magie, mais sont sous la coupe de leur sorcier.
Où ?
À Londres.
Quel genre de personnage ?
La noblesse, les gens à leur service, leurs opposants. Dans tous les cas, le personnage devra jouer un rôle dans une des enclaves (on peut comprendre ça comme un coven de sorcières).
Comment fonctionne la magie ?
La magie n’est pas donnée, ni naturelle, elle demande à chaque utilisation un sacrifice. On appelle ça le Mana (énergie positive) ou le Malia (énergie négative).
Pour un Red Blood, le sacrifice sera le temps donné à l’énergie qu’on a confectionné, au mieux mon incantation fonctionnera au plus de temps j’ai mis dans la confection de mon énergie. Cette énergie étant pure, les Red Blood vivent une longue vie qui n’est pas semée d’embuche. Beaucoup en dévient pourtant, parce que créer de l’énergie positive prend du temps, de l’énergie et s’essouffle rapidement. Un Red Blood est moins puissant qu’un Dark Blood ou Blue Blood.
Un Dark Blood est peut-être puissant, mais son temps est compté. Au plus de Malia est utilisé, au plus le corps « pourri ». La magie n’est pas censée être utilisée par le biais d’une énergie négative (un sacrifice). Cette « faute » se répercute sur le sorcier.
Les Blue Blood sont puissants, après tout leur magie vient d’un démon qui est une source infinie de pouvoir. Ils sacrifient pourtant de nombreuses années de leur vie lors de l’alliance formée avec un démon. Les démons se nourrissant de la vie de mortels.
Les sorciers ont besoin d’incantation afin que leur magie fonctionne, les démons eux n’en ont pas besoin.
Quels pouvoirs peut avoir un sorcier?
Les sorciers ont différents pouvoirs, qui sont partagées en huit catégories:
Black Light: contrôle mental et de la psychée
Blue Light: contrôle de l’eau et de n’importe quel liquide
Yellow Light: contrôle des illusions et de l’espace
Green Light: contrôle de la faune et de la flore
Grey Light: contrôle et animation d’objets
Orange Light: contrôle de l’air et du temps
White Light: contrôle du corps (physique et des sens)
Je veux jouer un démon, comment ça fonctionne ?
Un démon n’est pas humain, il est dans une catégorie différente qui vient plutôt du divin. Comme une genie in a bottle, ils vivent dans les enfers avant d’être invoqué sur terre.
Les démons puissants ont tous des noms que seuls les sorciers des familles qu’ils servent connaissent. En somme tout le monde pourrait devenir un Blue Blood si seulement ils connaissaient le vrai nom d’un démon.
Ces noms sont en gros un héritage familial qui n’appartient aux familles nobles.
Les démons lors de leur invocation sont liés à vie à un sorcier. Ils auront une vie de servitude pour laquelle les sorciers payent un prix cher : x années de leur vie. Les démons ne se nourrissent que de ça.
Les démons n’ont pas besoin d’incantation, leur magie étant divine, ils peuvent la créer de rien. En revanche ils sont liés à la volonté de leur sorcier. Ils ne peuvent donc pas les trahir et contourner leurs ordres. Un démon n’est en somme pas libre, si très puissant, il ne peut travailler que sous la coupe de son sorcier.
Je veux jouer un noble avec un démon, comment ça fonctionne ?
Les arbres des familles sont extrêmement grands et chaque noble ne reçoit pas un démon. Effectivement chaque année ou à la mort d’un membre d’une famille, un rituel est formé pour voir qui est le plus méritant d’une branche ou d’une famille. Avoir un démon est une grande force qui demande beaucoup de responsabilités, c’est pour cette raison que les familles ne les donnent pas gratuitement. Effectivement il faut gagner son rituel pour avoir droit à un démon.
Les places de démons seront limitées ainsi que les places dans les familles en ayant un.
Qu’est-ce qu’une enclave ?
Le jeu se déroulera dans une des villes les plus importantes magiquement parlant. Celle qui aura inspiré le monde entier à faire de même. Il y a plus de huit cents années, huit familles ont créé huit enclaves avec huit différentes spécialisations. Ces huit familles représentent aujourd’hui le conseil magique qui définissent les nombreuses règles et lois ayant rapport à la magie de partout dans le monde.
Ces huit familles sont influentes seulement parce qu’elles ont toutes sous leur coupe la magie de démons, leur donnant un pouvoir infini. Ces huit familles forment donc huit enclaves qui décident sur le restant des sorciers.
Le jeu se basera sur ces enclaves et le rôle des personnages au sein de celles-ci. Une facette extrêmement politique puisque les familles et les enclaves ont toute une motivation personnelle et ne souhaitent pas être annihilée par une autre.
Le forum n’est donc en soit pas un huis-clos strict, mais sera quand même restreint dans son jeu : les personnages devront avoir un lien à une enclave (qui est de toute façon obligatoire pour tous les sorciers) et doivent être à Paris.
Quelles sont les problèmes au sein de la ville ?
Les enclaves sont constamment en guerre, voulant prendre le dessus sur les autres. Elles clashent depuis des décennies les unes contre les autres, au point de non-retour. Des défis politiques et des coups bas qui ont un impact sur toute la ville. Qui plus est, si une guerre éclate tous les sorciers seront forcés à prendre parti et se battre.
Depuis peu des Mals/Fiens (démons moindres qui se nourrissent littéralement de sorciers) refont leur apparition en masse attaquant les sorciers des différentes enclaves. Chacun est touché, on se doute qu’une enclave est la cause de ce mal, mais personne ne sait véritablement qui.
Qui plus est, nous avons des opposants au système actuel ne souhaitant plus vivre sous la coupe des familles. Une tradition ancestrale qui semble pour beaucoup injuste. Pourquoi ont-ils eux droit à un pouvoir infini ? Pourquoi eux et pas d’autres ? Une révolution qui se construit au sein même des enclaves, qui a pour but de faire chuter les grandes familles.
À quelle époque joue-t-on ?
L’époque moderne, nous serons donc en 2023. La vie de sorcier est pourtant bien différente de celle des humains avec un flair dramatique qui rappellera l’époque victorienne.
Est-ce que les humains existent aka le monde « normal » ?
Le monde normal existe mais est externe au monde sorcier. Les humains ne voient pas/croient pas à la magie, de ce fait les Mals ou autre n’ont aucun intérêt pour eux. Qui plus est, les deux mondes sont départagés et n’ont rien avoir l’un avec l’autre. Il ne sera donc pas possible de jouer un humain.
Quelles seront mes possibilités de jeu (par exemple les mouvements, etc.) ?
Il y aura différents mouvements ou organisations dans le jeu. Pour le moment il y en a trois :
Les Chasseurs : si les dark blood sont répandus, cette magie est absolument interdite. Les chasseurs sont chargés de les pourchasser et les tuer tout comme les monstres (aussi appelés Mals) qui passent à travers les filets.
Les Opposants : ils ne veulent plus du système d’enclave et de la noblesse, ils veulent un monde plus égalitaire.
Les Keepers : ils sont là pour protéger les grimoires et le savoir du monde sorcier.
À cela s’ajoute bien entendu les jeux de pouvoir et politiques entre les enclaves qui ne s’aiment pas.
#rpg français#projet rpg#forum rpg#forumactif#the wicked deep#twd#avatars forum#rpg#the sorcery of thorns#la passe-miroir#the scholomance
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Il y a quatre petits animaux sur la terre, qui, pourtant, sont remplis de sagesse : les fourmis, qui forment un peuple faible, mais qui préparent leur nourriture pendant l’été, les damans qui n’ont guère de force, mais qui établissent leur demeure dans les rochers, les sauterelles qui, sans avoir de roi, s’avancent toutes en bataillons rangés, et le lézard qu’on attrape à la main et qui pénètre dans les palais des rois (Proverbes 30:24-28).
Ces quatre petits animaux montrent que la faiblesse physique peut être compensée et que Dieu s’occupe du bien-être de toutes ses créatures. Les fourmis sont engourdies pendant l’hiver, mais durant l’été elles travaillent dur et de concert afin d’engranger un maximum de provisions pour la mauvaise saison. Un proverbe précédent dit :
Toi qui es paresseux, va donc voir la fourmi, observe son comportement et tu apprendras la sagesse. Elle n’a ni surveillant, ni contremaître, ni chef. Durant l’été, elle prépare sa nourriture, au temps de la moisson, elle amasse ses provisions (Proverbes 6:6-8).
Les fourmis illustrent l’ardeur au travail. Elles ne s’arrêtent jamais et comme porteurs, on ne fait pas mieux ; des charges 3 fois plus grosses qu’elles ne les impressionnent pas. La fourmi est aussi un modèle de prévoyance. Elle enseigne que nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour préparer l’avenir. Cela veut dire acheter des contrats qui nous prémunissent contre les aléas de l’existence et mettre de l’argent de côté en cas de pépin. Mais à un autre niveau, il est bien plus important d’assurer son éternité, car une fois arrivé de l’autre côté, il est trop tard pour changer le cours des choses et aucune marche arrière n’est possible.
Nous sommes ici-bas pour très peu de temps, mais serons dans l’au-delà à tout jamais. La plus grande folie que quelqu’un puisse commettre est de bichonner son corps et de négliger son âme. Il est insensé de ne faire aucune préparation pour l’éternité. Sur son lit de mort, l’empereur romain Hadrien (76-138) aurait dit :
Plus de couronnes pour ma tête, plus de beauté pour mes yeux, plus de musique pour mes oreilles et plus d’aliments pour mon estomac. Mais mon âme, ô mon âme, que vas-tu devenir ?
Dans un texte de l’Ancien Testament, on lit :
Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu (Amos 4:12).
Et dans le Nouveau :
Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement (Hébreux 9:27).
Gros comme des lapins, les damans sont des mammifères au poil long, à la queue courte et aux oreilles arrondies. Ils faisaient partie des animaux impurs qu’on ne devait pas manger. Totalement sans défense, ils échappent aux prédateurs en se cachant dans les creux des rochers (Lévitique 11:5; Psaume 104:18).
Comme le daman, l’homme est faible et impur devant Dieu. C’est pour cela qu’il a besoin d’un Sauveur et d’un refuge. David a écrit :
Sois pour moi un rocher protecteur, une forteresse, Où je trouve mon salut ! (Psaume 31:2).
Biens qu’elles n’aient pas de chefs, les sauterelles font bloc ensemble dans leur marche imperturbable. Méthodiques et disciplinées, on dirait qu’elles obéissent toutes au même général invisible. Je cite un passage :
Les voilà qui se précipitent comme de vrais guerriers, et, comme des soldats, escaladent la muraille. Chacune va son chemin sans dévier de sa route (Joël 2:7).
Comme les sauterelles, les croyants sont unis entre eux par le lien du Saint-Esprit et ont un chef qu’ils ne voient pas, Jésus-Christ qui est dans les cieux, et à qui ils doivent une allégeance totale.
Le lézard est chétif et inoffensif, mais sa souplesse lui permet de s’introduire dans les plus petits interstices des plus belles demeures. Grâce à ses pattes munies de ventouses ou qui exhibent une substance collante, il peut s’accrocher à n’importe quelle surface, sur une paroi lisse ou au plafond. Pareillement, la foi saisit, s’attache, se cramponne à Dieu et à ses promesses en toute circonstance. Je lis un passage :
Je sais en qui j’ai mis ma confiance et j’ai la ferme conviction qu’il est assez puissant pour garder tout ce qu’il m’a confié jusqu’au jour du jugement (2Timothée 1:12).
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Il y a trois choses qui ont une belle démarche et même quatre qui ont fière allure : le lion, le plus brave des animaux, qui ne recule devant personne, le (cheval) aux reins solides, le bouc, et une armée en marche (Proverbes 30:29-31).
Ces quatre choses contrastent avec les précédentes parce qu’elles ont belle allure et une apparence noble. Le lion a une prestance magnifique, et parce qu’il n’a peur de rien, on l’a surnommé le roi des animaux. Je lis un passage :
Lorsque le lion ou le petit du lion défend sa proie en rugissant, la foule des bergers appelés contre lui a beau pousser des cris, ils ne l’effrayeront pas. Et leur tapage ne le troublera pas (Esaïe 31:4).
C’est une image du croyant idéal. Alors qu’il était persécuté à mort, l’apôtre Paul a dit :
Ma vie m’importe peu, je ne lui accorde aucun prix ; mon but c’est d’aller jusqu’au bout de ma course et d’accomplir pleinement le service que le Seigneur m’a confié : proclamer la Bonne Nouvelle de la grâce de Dieu (Actes 20:24).
Tout comme Bayard, Oliver Cromwell était un chevalier sans peur et sans reproche. On lui demanda un jour l’origine de son courage. Il a répondu :
J’ai appris que si vous avez une crainte respectueuse de Dieu, vous ne craignez aucun homme.
Le cheval à la courbe souple de ses flancs puissants est taillé pour la course. Il fait penser à un passage du Nouveau Testament qui dit :
Débarrassons-nous de tout fardeau, et du péché qui nous cerne si facilement de tous côtés, et courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée (Hébreux 12:1).
Le bouc aime grimper sur les hauteurs ; un prophète se compare à lui. Je lis le passage :
J’exulterai de joie à cause du Dieu qui me sauve. L’Éternel, le Seigneur, c’est lui ma force : il rend mes pieds pareils à ceux des boucs, il me fait cheminer sur les lieux élevés (Habakuk 3:18-19).
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Si tu as été assez fou pour te vanter, ou si tu as eu de mauvais desseins, tais-toi désormais, car en battant la crème, on produit du beurre, en frappant le nez, on fait jaillir du sang, et en laissant exploser sa colère, on provoque des disputes (Proverbes 30:32-33).
Quand le mal est fait en paroles, il faut vite fermer son clapet avant que le ton monte et que la discussion s’envenime.
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14 décembre
pas un seul moment de mélancolie à reporter depuis hier, je sais pas ce qu'il s'est passé, j'ai eu une espèce de déclic. ce que je sais: j'ai définitivement tué la delulu. il suit une musicienne sur ig qui joue des trucs bizarres au synthé et dans certaines vidéos on l'entend parler et elle est un peu bizarre et pas très jolie et il adore tout ce qu'elle fait et je sais pas, c'est con de dire ça et de penser ça comme ça, en ces termes-là, mais ça m'a fait voir la réalité en face. j'ai vu comment il pouvait possiblement me voir. et j'ai accepté. et puis ce matin j'ai vu un post de rebeka warrior qui annonçait la sortie de son ep avec claire ottaway et omega qui sont tous les deux autistes et elle dit que quand ils se sont rencontrés ç'a été le coup de foudre et je me suis demandé si j'étais claire ottaway et r. c'était rebeka. mais non, claire ottaway est claire ottaway et r. est r. et je suis moi et puis c'est tout. je suis moi et on s'en fout.
18 décembre
j'ai rêvé que j'allais à mon rdv chez le dr. r. avec ma couette, je m'allongeais confortablement sur son bureau en me couvrant avec ma couette et ça le faisait rigoler. chez j. à paris j'ai rêvé que jenna lyons me lavait les cheveux et ça voulait dire quelque chose de très spécial mais je sais plus quoi. je dormais sur le canapé avec m., j'ai lu son texte dans le bus hier parce qu'évidemment quand elle l'a lu à la librairie j'ai pas réussi à écouter ce qu'elle disait, et dans son texte elle se genre en non-binaire mais tout le monde disait elle ce weekend. elle raconte qu'elle s'est coupé les cheveux courts et qu'elle vole les habits de ses amants (c'est rigolo parce que dans mon texte je parle de mes amantes mais les miennes sont imaginaires) et qu'elle s'achète des chemises d'homme qui se boutonnent de l'autre côté. elle est accordéoniste professionnelle et elle donne des cours d'accordéon à des enfants mais elle en a marre de faire ça parce qu'elle aime pas les enfants. alors elle se sent un peu coincée parce qu'elle sait pas quoi faire à la place et comme elle est fonctionnaire elle touchera pas le chômage si elle part. on a discuté du travail dans le métro et elle disait que tous les gens qu'elle connaissait étaient un peu devant le même dilemme: être malheureuse au travail ou être pauvre.
j. fait un truc de gestion-comptable dans un grand groupe immobilier. elle a fait des études de lettres à la sorbonne comme moi mais au lieu de laisser tomber son master pour faire un séjour en clinique psychosomatique puis partir en islande pour faire de l'art qui sert à rien elle a fait un master de gestion en parallèle de son master littéraire, to be on the safe side, et maintenant elle a un job bien payé un appart à paris avec un balcon dans lequel elle habite avec sa copine elle a publié un recueil de poésie et elle co-dirige une revue littéraire. elle a bien pris le tournant. l'autre jour m. disait que moi j'avais pas mal tourné, j'avais juste jamais tourné du tout. ça m'a un peu vexée. j'aurais préféré mal tourner, c'est plus intéressant.
s. qui co-dirige la revue avec elle est doctorant, il vient d'une longue lignée d'universitaires aussi bien du côté de sa mère que du côté de son père (ça me fascine), il a fait l'ens et en ce moment il fait une pause dans sa thèse parce qu'il a reçu une bourse pour faire des recherches sur la poésie visuelle et concrète à londres. le reste du temps il enseigne le français dans une boarding school chic avec des maisons avec des blasons comme à poudlard dans le village natal d'ed sheeran. c'était sa petite anecdote rigolote. sa copine habite dans un manoir avec une piscine au milieu de londres. il parlait beaucoup, il était très à l'aise, il prenait beaucoup de place et il prononçait les mots anglais avec un accent anglais très prononcé.
plus je les écoutais parler, plus je me rendais compte que, malgré ma situation infortunée et la brièveté de mes études, j'étais tout à fait à leur niveau. intellectuel je veux dire. je connaissais les choses dont ils parlaient, je connaissais les mots grecs et latins qu'agitait s. pour mettre sa culture en étalage, je parle quatre langues et un peu plus, j'ai voyagé, ça va. quand on est allé boire un verre après la lecture, l. discutait des nouveaux mots qu'elle avait découvert dans mes poèmes avec ses deux amis du master de création littéraire de paris 8, ils portaient tous les deux une veste en cuir et ils se la frottaient l'une contre l'autre pour voir laquelle crissait le plus. celui qui ressemblait à robert pattinson avec son air paumé et ses cheveux décoiffés avait un livre gallimard de patrick modiano qui dépassait savamment de la poche de sa veste en cuir. il était bibliothécaire. quand un vendeur de roses est passé à notre table il a nonchalamment négocié une rose rouge à deux euros pour l'offrir à l. je sais pas pourquoi pendant un quart de seconde je me suis dit qu'il allait me l'offrir à moi.
et donc il me demandait ce qu'étaient les champs phlégréens et celui avec la veste en cuir noire me demandait ce qu'était la diapause et pourquoi j'avais choisi le mot mégalithe et pas monolithe (parce que c'est pas le même mot??) et comme je les faisais deviner robert pattinson a proposé qu'on devine chacun une définition et quelqu'un a lu le passage de mon poème où je dis que je suis en pyjama en diapause comme les morses et les papillons, pour donner le contexte, et je me suis sentie très vulnérable et exposé en entendant mes mots dans la bouche de quelqu'un d'autre. j'ai zéro pudeur ni sentiment de vulnérabilité quand je lis moi-même mes textes, mais dès que j'ai plus le contrôle dessus, ça fait bizarre. et puis robert pattinson a sorti sa liste de mots obscurs sur son téléphone pour continuer le jeu et je pensais à c. et à son cours de français de vieux réacs où chaque semaine quelqu'un doit apporter un mot compliqué pour en faire deviner sa signification. s. en faisait des tonnes avec les racines grecques en gesticulant beaucoup et moi je les écoutais en silence avec un léger sourire, savourant ma présence au sein du groupe.
quand les deux garçons en veste de cuir sont partis j'ai discuté avec l. et elle m'a fait lire le poème qu'elle voulait envoyer à la revue mouche, on l'a lu ensemble sur son téléphone et on a discuté du thème bizarre et je l'ai encouragée à l'envoyer parce que je le trouvais vraiment bien. elle a 26 ans. on discutait de notre âge en mangeant nos sandwiches halloumi falafel après et m. disait qu'elle était persuadée comme moi qu'elle allait peaker à quarante ans, mais que ça commençait quand même à se rapprocher maintenant et qu'elle devait un peu se dépêcher si elle voulait arriver au sommet. mais elle a que 32 ans donc moi je trouve que ça va elle a le temps. on était plus que toutes les quatre et sans la présence d'égo de mâle encombrant j'étais déjà beaucoup plus bavarde.
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« - Vous menacez un homme désarmé, Sir
Rupert ? lança George. La grande classe.
- Tu pourrais me passer le couteau à beurre, George, dit Lockwood. Ça me suffirait pour m'occuper de lui. »
—lockwood and co 4: l’ombre qui parlait au mort—
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Pour Lacan, ce que découvre Freud dans le Witz n’est rien d’autre que la loi qui permet de structurer des manifestations de l’inconscient aussi diverses que le rêve, le symptôme, l’acte manqué, le lapsus… sans oublier le trait d’esprit lui-même (qui est la traduction qu’il privilégiera pour "Witz"). Dans son séminaire Les formations de l’inconscient, il insiste par trois fois pour que les analystes présents relisent Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient de Freud (non sans signaler au passage la médiocrité de la traduction française)...
On se souvient que dans cet écrit, pour tenter de discerner le comique, l’humour et leur rapport au trait d’esprit à proprement parler, l’inventeur de la psychanalyse fait plusieurs fois appel à la sophistique du marieur juif: un marieur défend contre les critiques d’un jeune homme, la jeune fille qu'il lui propose:
«La belle-mère, dit celui-ci, ne me plaît pas, c'est une personne méchante et bête.»
«Vous n'épousez pas la belle-mère, mais la fille.»
«Mais elle n’est plus jeune ni belle non plus.»
«Peu importe, moins elle
sera jeune et belle, plus elle vous sera fidèle.»
«Il y a bien peu d'argent.»
«Qui parle d'argent! Est-ce l'argent que vous épousez? C'est bien une femme que vous voulez!» «Mais elle est bossue!»
«Que voulez vous! Il vous faut donc une femme sans défauts?»
Il s'agit, en réalité, d'une demoiselle plus très jeune, sans argent ni beauté, nantie d'une mère repoussante et gratifiée au surplus d'une grave difformité. Ce ne sont pas là des conditions attrayantes pour un épouseur. À chaque défaut, le marieur trouve des arguments qui permettent de s'en accommoder: il ne concède comme seul défaut que la bosse, défaut dont tout le monde doit convenir.
Voilà encore l'apparence de logique, caractéristique du sophisme, et destinée à couvrir la faute de raisonnement. La demoiselle n'a évidemment
que des défauts, les uns sur lesquels on pourrait passer, et un dernier qui crève les yeux. Il est donc impossible de l'épouser. Le marieur feint d'avoir éliminé chacun des défauts par l'excuse qu'il leur trouve, bien que, malgré ses efforts il reste que chacun d'eux équivaille à une dévalorisation qui s'ajoute à la suivante. Il s'attache à chaque facteur isolément et refuse d'envisager leur somme.
Cette même omission est le nœud d'un autre sophisme, dont on a beaucoup ri, bien que l'on puisse douter de son caractère de mot d'esprit. A. a emprunté à B. un chaudron de cuivre, lorsqu'il le rend, B. se plaint de ce que le chaudron a un grand trou qui le met hors d'usage. Voici la défense de A. «Primo, je n'ai jamais emprunté de chaudron à B.»
«Secundo, le chaudron avait un trou lorsque je l'ai emprunté à B.»
«Tertio, j'ai rendu le chaudron intact.»
Chacune de ces objections en soi est valable, mais rassemblées en faisceau, elles s'excluent l'une l'autre. A. isole ce qui doit faire bloc, tout comme le marieur les défauts de la prétendue. On peut dire aussi que A. met un «et» là où ne serait de mise que l'alternative «ou bien - ou bien».
Ne vient on pas de vivre un moment comparable avec les sophismes des labos et des co-labos?:
«Le vague saint immunise à 95%»
«Le vague saint immunise à 75%»
«Le vague saint immunise à 50%»
«Il n’immunise pas mais réduit la transmission»
«Il ne réduit pas la transmission mais empêche les formes graves»
«Il n’empêche pas les formes graves, mais vous ne finissez pas aux soins intensifs»
«Il n’empêche pas que vous vous retrouviez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas»
«Si vous mourez, l’État prend en charge la moitié des frais d’obsèques».
Cela n’est bien entendu pas sans rappeler la lettre que Freud envoya à Marie Bonaparte le 18 août 1937:
«Dès que l’on s’interroge sur le sens et la valeur de la vie, on est malade, car ni l’un ni l’autre n’existent objectivement; on avoue simplement posséder une réserve de libido insatisfaite, à laquelle quelque chose d’autre a dû arriver, une sorte de fermentation, aboutissant à une tristesse et à de la dépression.
Je crains que ce genre d'explication de ma part ne soit très formidable.
Peut-être suis-je trop pessimiste.
Une publicité me vient alors en tête, la plus hardie et la plus réussie des publicités américaines, elle dit ceci: «Why live if you can be buried for ten Dollars?»
(Pourquoi vivre, alors que vous pouvez être enterré pour dix dollars?)
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