#discobole
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Wien (Vienna), KHM (Kunsthistorischesmuseum), Antikensammlung.
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"Il faut plutôt y voir un élan..."
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Discobole, Welcome Oct 2003 Archived Web Page 🧩
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Experiment - Automatic Random_Reblog - Ask me !
Le Lanceur de Groin 🕺🐽🕺
#disco #discobole #beauxarts #athènes #antiquité #jo #paris2024 #humour #sporcu #frenchhumour #legrascestlavie #cochon #athlétisme #lancerdecochon #charcuterie #parodie #illustration #instaart #characterdesign #funart #popart #pastiche #mangerbouger (à Montpellier) https://www.instagram.com/p/CjI0A7QIrfq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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HE REALLY JUST COPIES THE DISCOBOL
skilful and elegant in everything, even to fall beautifully
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Discus Thrower (Discobole), 1828, marble, by Mathieu Kessels. Chatsworth House, UK.
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Portrait de la discobole olympique Mélina Robert Michon
Couverture du magazine La Croix Hebdo. DA Guillaume Suard
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The Discus Thrower – Der Diskuswerfer – Le Discobole.
Mathieu Kessels. This bronze cast in February 1862.
File:Brussels, Discobole, brass monkey weather.jpg - Wikimedia Commons
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Discobole, Welcome May 2003 Archived Web Page
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Dans le JDD, Philippe de Villiers évoque la cérémonie d’ouverture des JO :
La cérémonie se voulait inclusive. Elle a seulement exclu les derniers Mohicans français qui restent attachés à une histoire de France visitée, revisitée depuis les origines par le charisme de chrétienté. Avec mon expérience du spectacle vivant, j’ai évidemment guetté le subliminal derrière les plumes roses, les jets de feu et les filets lumineux des skytracers. Par-delà les quelques passages des premières et dernières minutes entre Nadal et Céline Dion, entre valeurs de l’olympisme et évocation de la Piaf éternelle, tout était laid, tout était woke.
C’était décoiffant, déjanté, difforme, disgracieux. Nous avons acté devant le monde entier le suicide de la France, ainsi violentée, blessée, déshonorée. Le filigrane qui courait dans la trame de la pauvre Seine offensée, qui, finalement, fut seule à tirer son épingle du jeu, c’était la déconstruction : prendre le passé et le tourner en parodie pour faire ricaner les quais du Boboland. Tout l’appareillage de la dérision des symboles était là : le Veau d’or devant les deux Macron, le pastiche de la Cène avec les drag-queens qui festoient autour d’une eucharistie christique – un Jésus woke – qui profane le célèbre tableau du Dernier Repas, fondateur d’une civilisation.
À vrai dire, dès la première scène dans le Stade de France, tout est déjà dit par Jamel Debbouze, qui, avec une pointe d’ironie désinvolte, appelle Zidane « Jésus-Christ » ! La moquerie est à l’ordre du jour. Dès cette apostrophe, on comprend que le christianisme va prendre cher. Mahomet, lui, est tranquille pour la soirée. Pas d’offense, pas d’allusion. « Respect », comme disent les jeunes. Il n’y a de blasphème et de sacrilège que sous la forme christianophobe. Et puis, il y eut cette évocation sanglante de la Terreur, quand une diva a entamé le célèbre chant des sans-culottes qui a envoyé à la guillotine les dissidents de l’époque. Devant une Conciergerie embrasée par un retour de flamme vengeur, on nous montre Marie-Antoinette qui porte sa tête décapitée, dégoulinante dans ses mains. Cette vision mélenchoniste fait partager au monde entier qu’en France, aujourd’hui, « l’Arc républicain » légitime la peine de mort quand il s’agit de « faire une Samuel Paty » à quiconque s’oppose à la marche de l’histoire. Il ne manquait que le sous-titre de Carrier :
« Par principe d’humanité, j’ai voulu purger la terre de la liberté de ces monstres. » Où était l’âme de la grandeur de la France ?
C’était une soirée où le sang coulait dans la Seine, où le vindicatif se mêlait au festif. Ahhh, le festif ! C’était l’Amour et même la promotion du Polyamour – l’amour à trois –, avec un sommet de l’esthétique supérieur au Discobole : Philippe Katerine, en tenue d’Adam, avec la peau bleue, campé en bouffon décadent, avachi sous un pont, dans une atmosphère de bacchanale.
Il y avait de la terreur jubilatoire, mais aussi de l’orgie généreuse : l’équivoque du plan à trois, des hommes en robe et talons hauts. Des fois que les enfants regardent… Où était l’âme de la grandeur de la France ? On a vu dix statues de femmes surgir. Il ne manquait que la patronne de Paris, sainte Geneviève. Attila s’y est opposé au Conseil de Paris. Victoire posthume. Jeanne d’Arc non plus n’était pas là, retenue à Rouen par le nouvel évêque Cauchon, le professeur Patrick Boucheron, qui préfère les voix de Lady Gaga.
En revanche, il y avait bien Aya Nakamura, qui a fait chanter Djadja à cette pauvre Garde républicaine qui se contorsionnait dans une danse grotesque pour célébrer la pluie qui tombait à grosses gouttes. À la fin de toute cette scénographie sans autre relief que la provocation, on a vu comment des esprits approximatifs peuvent sacrifier au primat de la technique, avec cet automate équinoïde en acier plastique qui avançait sur deux flotteurs trop visibles : sans doute le produit scénique d’un bureau d’études à qui on a passé une commande trop rapide. Dans tout cela, l’émotion, la vraie, était absente. L’esthétique manquait. La Seine brassait les mascarets de la hideur et de l’inélégance, entre les vedettes sans décoration. On s’ennuyait. On n’était pas pris par le spectacle.
Pour ma part, je n’ai pas été surpris. Car l’équipe artistique avait annoncé la couleur dans le journal Le Monde :
« Nous ne voulons surtout pas d’une reconstitution à la manière du Puy du Fou. Nous voulons faire l’inverse. Surtout pas une histoire virile, héroïsée, providentielle. On veut le désordre et que tout s’entremêle. » Que grâce leur soit rendue, ils ont tenu leur promesse. J’avais les yeux humides. Ce n’était pas la chair de poule, mais la rage. Je regardais les trombes d’eau. Le ciel de Paris déversait des larmes de tristesse sur cette pantomime. Il pleuvait dans mon cœur comme il pleuvait sur la ville : Paris humilié, Paris maculé, Paris martyrisé, mais bientôt, on l’espère secrètement, Paris libéré. De Marc Jeanson
« C’était la terre, hélas, quelquefois, souvent c’était la terre qui préparait à l’enfer. Aujourd’hui ce n’est plus même cela ; ce n’est plus la terre qui prépare à l’enfer. C’est l’enfer même qui redéborde sur la terre. »
— Charles Péguy
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FFxivWrite Entry #12 Tooth and Nails
Rarely someone was courageous enough to scream and point at Andreas in the Under Rose without fearing to get kill or worse by the young man. The young merchant was backing away from his chair, while on his desk was screaming and waving an old dunesfolk lalafel. The Lalafel was pointing directly at the monk with a quill, to be honest, the young merchant didn’t really remember the first reason his “friend”’ anger sparked into this rant about the price of a few thing.
The Accountant of The Under Rose jumped off the desk of the Owner, grabbed one of the finest bottle of wine Andreas had in his collection, uncorked with his teeth, spitting the cork on the floor before taking a long chug of it, tempting the merchant to even dare say a word to all this. After a long silence between the two men, the Accountant shook his head, sat back on his chair in front of the desk, lowered his gaze on the documents in front of him and sighed. “Five million of gil…” He mumbled under his breath; his cold gaze glued on the words. “for a massive statue…” He continued to read. “of a naked representation of man throwing a disk…” The Lalafel’s voice is cold and monotone. “And What happen with the whole “bribe” for it?”
Andreas’s green eyes were hidden by a veil of shame and shyness, something the merchant was rarely seen to have. “Well…someone else bribed better…and we lost the whole deal.” He explain simply. “I sent my best man to acquire it, turned a few of resource to this project…I can assure you, I fought tooth and nail to acquire this marvelous statue…it would have been the best choice for…” The Accountant just raised his hand to signal the Owner of the Under Rose to stop talking, grabbed the bottle of wine, jumped off his chair, turned away and walked off. “Good…I’ll try to find a way to reacquire our “bribe”.” He turned his cold gaze on the young man. “Next time a naked made of stone…. get your attention…” He shook his head. “Just….” Andreas never heard the rest of the sentence since the lalafel slammed the door behind him. The merchant felt for the first time in years, dumb and powerless. He was the Owner of the Under Rose, but nothing could go without being seen by this man.
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j'aime tellement tellement le fait qu'au départ kaamelott c'était juste des épisodes de 3 minutes pour divertir la ménagère, que ça avait pas plus d'ambition que de remplacer une mini-série à succès en attendant le programme du soir en prime time, et en vrai, en prenant en compte tous ces éléments, ils auraient pu se contenter de mettre seulement deux-trois personnages récurrents, avec des décors en carton-pâte et des costumes pas oufs, mais non. astier a vraiment dit 3 minutes d'écran ou pas je m'en fous, je veux des dorures sur mon plastron en cuir, je veux la couronne et le médaillon en bronze, je veux une table ronde faite sur mesure de 14m de diamètre, je veux du vrai feu, des vraies montagnes, je veux la forêt et la neige, je veux le rocher et la mer, je veux le château et la catapulte. même pour un plan de dix secondes je veux l'armure entière des pieds à la tête, je veux le lit king size, la moulure d'un discobole, la chèvre vivante et quinze mètres de saucisses sèches accrochées au plafond. et c'est dans ça que réside tout le succès et la beauté de cette série ; tout a toujours été fait pour qu'elle aille bien plus loin que ce qu'on attendait d'elle.
i just realized that arthur's leather vest is the medieval version of a bulletproof vest.
that's seriously awesome
love the leather wristguards too
the costuming of this show is honestly top notch.
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