#discobole
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Wien (Vienna), KHM (Kunsthistorischesmuseum), Antikensammlung.
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"Il faut plutôt y voir un élan..."
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Discobole, Welcome Aug 2003 Archived Web Page 🧩
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Experiment - Automatic Random_Reblog - Ask me !
Le Lanceur de Groin 🕺🐽🕺
#disco #discobole #beauxarts #athènes #antiquité #jo #paris2024 #humour #sporcu #frenchhumour #legrascestlavie #cochon #athlétisme #lancerdecochon #charcuterie #parodie #illustration #instaart #characterdesign #funart #popart #pastiche #mangerbouger (à Montpellier) https://www.instagram.com/p/CjI0A7QIrfq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Ok, as promised. Another bit from Grandson of Perseus - probably one of my favourite
A strange couple — a great hero and a crippled beggar— was bound to attract the attention of the audience. But what heroes, and what cripples, if the slingers shot back, the applause fell silent — and it was the turn of the discobols. Oh, the Argives loved this kind of competition! Many people remembered, and those who were younger heard from their father or grandfather, how thirty years ago... Shh! The Son of Golden Rain is here. For once! They say he doesn't like to remember his throw. He doesn't like it, but we, the citizens of glorious Argos…
Whenever the bronze lentils soared up to the clouds, flashing a small sun at the zenith, and began to fall down, the stadium turned to stone, as if the disk was looking at them with the murderous gaze of a Medusa. Come on! Eh, it's a pity... what? Three feet further? The best result this year? Yes, it's wonderful. Discoballs are our pride. But the audience waited with bated breath for something else. Now— now! — the flare will go aside, and, turning into a punishing perun, it will collapse into the stands, taking someone's life. This is bound to happen again! And who would want to miss a spectacle worthy of the Olympians?
As a result, Perseus and the Crafty One, leaving the temple behind, walked along the upper path that skirted the western stands. Who was interested in them? — maybe only fate. The attention of the others was focused on the arena.
— Ahhhh!
The disk went to Helios in an oblique arc. A stroke of metal flashed in the sky, and it became clear to everyone: Here it is! We waited! A terrified athlete was writhing on the balbis. The athlete wanted to return to his mother's womb, and not be born at all. "What have I done?" It was written on his face. "Gods, where are you looking?!"
God was looking at the right place.
-You or me? - The Crafty One asked.
-I, — Perseus replied.
The stadium turned into a sea, and the sea was stormy. The audience jumped up from their seats. They chattered; they wrung their hands. Waves of sweet anticipation swept over people. In the "sling" — at a depth where big fish sit — vanakt Anaxagoras leaned forward: really?! Vanakt's grandson was shouting something in a broken voice. Next to him, the grandson of the Gorgon Killer clenched his fists painfully. Judges, runners, wrestlers — the squall did not spare anyone. And only two, standing above the western stands, remained calm — two islands in the boiling of passions.
The sons of Zeus, mortal and immortal.
—Me or you?, — The Crafty One laughed, raising his wand.
—I,— Perseus repeated. He didn't move.
—No, I am, — replied the Crafty One. — I take care of my brothers.
His wand reached for the disk, ready to strike Perseus in the chest. But God was too late. Kron's sickle shrieked as it left its scabbard. A moment before the serpent kerikion touched the bronze death, the sword of the Gorgon Killer cut the disk into two parts. It seemed that a distraught discobolus had thrown a circle of sheep's cheese onto the stands. A miserable period of time, so insignificant that they didn't even come up with a name for it, decided everything. The wand did not touch the destroyer disk, but impotent fragments. Bronze turned into flowers — a rain of scarlet poppies fell on Perseus, splattering the hero with the fragrant blood of the earth. The stadium gasped, gathering air for a howl-storm, a howl-thunder that shook the mountains…
— You fool! — Perseus breathed through his lips. — Are you tired of the nectar?
- What?
— Are you want sleep? Dead sleep?!
God turned pale. Had he been ahead of his mortal brother, fate would undoubtedly have considered this a perjury. Interference in the life of Perseus, forbidden a long time ago. "Dad swore by the Styx on behalf of the Family. So, on my behalf..."
To intervene does not always mean "to kill" or "to punish". Sometimes it means "save".
— I take care of my brothers,— Perseus said.
Rough translation from "Grandson of Perseus" by H.L. Oldie
Hope I can catch some vibe from book.
#perseus#hermes#greek mythology#greek mythology retelling#translation#oldie#H.L. Oldie#Perseus' grandson
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HE REALLY JUST COPIES THE DISCOBOL
skilful and elegant in everything, even to fall beautifully
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Discus Thrower (Discobole), 1828, marble, by Mathieu Kessels. Chatsworth House, UK.
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Portrait de la discobole olympique Mélina Robert Michon
Couverture du magazine La Croix Hebdo. DA Guillaume Suard
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The Discus Thrower – Der Diskuswerfer – Le Discobole.
Mathieu Kessels. This bronze cast in February 1862.
File:Brussels, Discobole, brass monkey weather.jpg - Wikimedia Commons
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Discobole, Welcome Aug 2003 Archived Web Page
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Dans le JDD, Philippe de Villiers évoque la cérémonie d’ouverture des JO :
La cérémonie se voulait inclusive. Elle a seulement exclu les derniers Mohicans français qui restent attachés à une histoire de France visitée, revisitée depuis les origines par le charisme de chrétienté. Avec mon expérience du spectacle vivant, j’ai évidemment guetté le subliminal derrière les plumes roses, les jets de feu et les filets lumineux des skytracers. Par-delà les quelques passages des premières et dernières minutes entre Nadal et Céline Dion, entre valeurs de l’olympisme et évocation de la Piaf éternelle, tout était laid, tout était woke.
C’était décoiffant, déjanté, difforme, disgracieux. Nous avons acté devant le monde entier le suicide de la France, ainsi violentée, blessée, déshonorée. Le filigrane qui courait dans la trame de la pauvre Seine offensée, qui, finalement, fut seule à tirer son épingle du jeu, c’était la déconstruction : prendre le passé et le tourner en parodie pour faire ricaner les quais du Boboland. Tout l’appareillage de la dérision des symboles était là : le Veau d’or devant les deux Macron, le pastiche de la Cène avec les drag-queens qui festoient autour d’une eucharistie christique – un Jésus woke – qui profane le célèbre tableau du Dernier Repas, fondateur d’une civilisation.
À vrai dire, dès la première scène dans le Stade de France, tout est déjà dit par Jamel Debbouze, qui, avec une pointe d’ironie désinvolte, appelle Zidane « Jésus-Christ » ! La moquerie est à l’ordre du jour. Dès cette apostrophe, on comprend que le christianisme va prendre cher. Mahomet, lui, est tranquille pour la soirée. Pas d’offense, pas d’allusion. « Respect », comme disent les jeunes. Il n’y a de blasphème et de sacrilège que sous la forme christianophobe. Et puis, il y eut cette évocation sanglante de la Terreur, quand une diva a entamé le célèbre chant des sans-culottes qui a envoyé à la guillotine les dissidents de l’époque. Devant une Conciergerie embrasée par un retour de flamme vengeur, on nous montre Marie-Antoinette qui porte sa tête décapitée, dégoulinante dans ses mains. Cette vision mélenchoniste fait partager au monde entier qu’en France, aujourd’hui, « l’Arc républicain » légitime la peine de mort quand il s’agit de « faire une Samuel Paty » à quiconque s’oppose à la marche de l’histoire. Il ne manquait que le sous-titre de Carrier :
« Par principe d’humanité, j’ai voulu purger la terre de la liberté de ces monstres. » Où était l’âme de la grandeur de la France ?
C’était une soirée où le sang coulait dans la Seine, où le vindicatif se mêlait au festif. Ahhh, le festif ! C’était l’Amour et même la promotion du Polyamour – l’amour à trois –, avec un sommet de l’esthétique supérieur au Discobole : Philippe Katerine, en tenue d’Adam, avec la peau bleue, campé en bouffon décadent, avachi sous un pont, dans une atmosphère de bacchanale.
Il y avait de la terreur jubilatoire, mais aussi de l’orgie généreuse : l’équivoque du plan à trois, des hommes en robe et talons hauts. Des fois que les enfants regardent… Où était l’âme de la grandeur de la France ? On a vu dix statues de femmes surgir. Il ne manquait que la patronne de Paris, sainte Geneviève. Attila s’y est opposé au Conseil de Paris. Victoire posthume. Jeanne d’Arc non plus n’était pas là, retenue à Rouen par le nouvel évêque Cauchon, le professeur Patrick Boucheron, qui préfère les voix de Lady Gaga.
En revanche, il y avait bien Aya Nakamura, qui a fait chanter Djadja à cette pauvre Garde républicaine qui se contorsionnait dans une danse grotesque pour célébrer la pluie qui tombait à grosses gouttes. À la fin de toute cette scénographie sans autre relief que la provocation, on a vu comment des esprits approximatifs peuvent sacrifier au primat de la technique, avec cet automate équinoïde en acier plastique qui avançait sur deux flotteurs trop visibles : sans doute le produit scénique d’un bureau d’études à qui on a passé une commande trop rapide. Dans tout cela, l’émotion, la vraie, était absente. L’esthétique manquait. La Seine brassait les mascarets de la hideur et de l’inélégance, entre les vedettes sans décoration. On s’ennuyait. On n’était pas pris par le spectacle.
Pour ma part, je n’ai pas été surpris. Car l’équipe artistique avait annoncé la couleur dans le journal Le Monde :
« Nous ne voulons surtout pas d’une reconstitution à la manière du Puy du Fou. Nous voulons faire l’inverse. Surtout pas une histoire virile, héroïsée, providentielle. On veut le désordre et que tout s’entremêle. » Que grâce leur soit rendue, ils ont tenu leur promesse. J’avais les yeux humides. Ce n’était pas la chair de poule, mais la rage. Je regardais les trombes d’eau. Le ciel de Paris déversait des larmes de tristesse sur cette pantomime. Il pleuvait dans mon cœur comme il pleuvait sur la ville : Paris humilié, Paris maculé, Paris martyrisé, mais bientôt, on l’espère secrètement, Paris libéré. De Marc Jeanson
« C’était la terre, hélas, quelquefois, souvent c’était la terre qui préparait à l’enfer. Aujourd’hui ce n’est plus même cela ; ce n’est plus la terre qui prépare à l’enfer. C’est l’enfer même qui redéborde sur la terre. »
— Charles Péguy
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FFxivWrite Entry #12 Tooth and Nails
Rarely someone was courageous enough to scream and point at Andreas in the Under Rose without fearing to get kill or worse by the young man. The young merchant was backing away from his chair, while on his desk was screaming and waving an old dunesfolk lalafel. The Lalafel was pointing directly at the monk with a quill, to be honest, the young merchant didn’t really remember the first reason his “friend”’ anger sparked into this rant about the price of a few thing.
The Accountant of The Under Rose jumped off the desk of the Owner, grabbed one of the finest bottle of wine Andreas had in his collection, uncorked with his teeth, spitting the cork on the floor before taking a long chug of it, tempting the merchant to even dare say a word to all this. After a long silence between the two men, the Accountant shook his head, sat back on his chair in front of the desk, lowered his gaze on the documents in front of him and sighed. “Five million of gil…” He mumbled under his breath; his cold gaze glued on the words. “for a massive statue…” He continued to read. “of a naked representation of man throwing a disk…” The Lalafel’s voice is cold and monotone. “And What happen with the whole “bribe” for it?”
Andreas’s green eyes were hidden by a veil of shame and shyness, something the merchant was rarely seen to have. “Well…someone else bribed better…and we lost the whole deal.” He explain simply. “I sent my best man to acquire it, turned a few of resource to this project…I can assure you, I fought tooth and nail to acquire this marvelous statue…it would have been the best choice for…” The Accountant just raised his hand to signal the Owner of the Under Rose to stop talking, grabbed the bottle of wine, jumped off his chair, turned away and walked off. “Good…I’ll try to find a way to reacquire our “bribe”.” He turned his cold gaze on the young man. “Next time a naked made of stone…. get your attention…” He shook his head. “Just….” Andreas never heard the rest of the sentence since the lalafel slammed the door behind him. The merchant felt for the first time in years, dumb and powerless. He was the Owner of the Under Rose, but nothing could go without being seen by this man.
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