#dessin de travers
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START A PROFITABLE BUSINESS - 10,5X10,5 cm - Encre noire, Rotring 0,35 - Dessin de travers de Baldo - 2024
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Artzybasheff (1889 - 1965) "He Brings Machines to Live" by Baldo 23/02/2023
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La Mode illustrée, no. 11, 15 mars 1868, Paris. Chlamydes Kachmir. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe en poult-de-soie brune de deux teintes (étoffe changeante), simplement bordée d'une grosse corde de soie; grande chlamyde-cachemire fond gros bleu à riches dessins orientaux, et frange assortie. Chapeau blanc en tulle, avec fleurs de pommier; brides-écharpes bordées de rouleaux en satin blanc.
Robe en faye gris d'argent, garnie avec trois rouleaux en velours gris qui garnissent le bord inférieur et remontent sur chaque côté d'une rangée de gros boutons en travers en même velours gris; mêmes ornements garnissant les poches, et formant sur le corsage montant une berthe carrée; chlamyde-cachemire fond blanc doublée de soie cerise, avec grands dessins persans et frange assortie. Chapeau en tulle noir moucheté, avec brodes-écharpes fixées sous le menton par un camée de jais; bandeau-diadème en velours noir, avec cinq camées en jais noir; ombrelle pareille à la robe, doublée de taffetas blanc; gants à trois boutons en peau de Suède.
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Dress in brown poult-de-silk of two shades (changing fabric), simply edged with a thick silk rope; large chlamyde-cashmere (cashmere mantle) on a blue background with rich oriental designs, and matching fringe. White tulle hat, with apple blossoms; scarf straps edged with rolls of white satin.
Dress in silver gray faye, trimmed with three rolls of gray velvet which garnish the lower edge and go up on each side with a row of large buttons across in the same gray velvet; same ornaments garnishing the pockets, and forming a square berthe on the rising bodice; chlamyde-cashmere (cashmere mantle) on a white background lined with cherry silk, with large Persian designs and matching fringe. Hat in speckled black tulle, with embroidered scarves attached under the chin with a jet cameo; black velvet tiara headband, with five black jet cameos; parasol similar to the dress, lined with white taffeta; three-button gloves in suede skin.
#La Mode illustrée#19th century#1860s#1868#on this day#March 15#periodical#fashion#fashion plate#color#description#rijksmuseum#dress#mantle#cape
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Constamment Van Gogh fait appel à la patience : « Qu’est-ce que dessiner ? Comment y arrive-t-on ? C’est l’action de se frayer un passage à travers un mur de fer invisible, qui semble se trouver entre ce que l’on sent et ce que l’on peut. Comment doit-on traverser ce mur, car il ne sert de rien d’y frapper fort, on doit miner ce mur et le traverser à la lime, lentement et avec patience à mon sens. » « Je ne suis pas un artiste – comme c’est grossier – même de le penser de soi-même – pourrait-on ne pas avoir la patience, ne pas apprendre de la nature à avoir de la patience, avoir de la patience en voyant silencieusement lever le blé, croître les choses – pourrait-on s’estimer une chose si absolument morte que de penser qu’on puisse même plus croître… Je dis cela pour montrer combien je trouve sot de parler d’artistes doués ou non doués. » Maurice Blanchot, L’Espace littéraire, Éditions Gallimard, 1955
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 3 : Bienvenue sur la route
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
La pièce était enveloppée d'une atmosphère chargée d'anticipation. Les murs, couverts de livres anciens et de symboles mystiques, semblaient vibrer au rythme des pensées d'Ivana. Elle faisait les cent pas, ses pieds glissant légèrement sur le sol en bois poli, tandis qu'Agatha l'observait avec un mélange de bienveillance et d'amusement.
« Ivana, arrête de marcher comme ça, » lança Agatha en s'approchant. « On dirait un enfant de quatre ans qui attend Noël. »
Ivana s'arrêta brusquement, levant les yeux vers Agatha. Son visage trahissait une lutte entre l'anxiété et l'envie de rire. Elle haussait les épaules, un geste à la fois de désespoir et de résignation.
« Je sais, mais c'est quand même stressant comme situation. On attend toutes les autres sorcières, et si quelque chose ne se passe pas comme prévu ? »
Agatha s'approcha un peu plus, une lueur de compréhension dans ses yeux. « Écoute, » répondit Agatha avec fermeté, « chaque sorcière ici a ses propres raisons de vouloir faire partie du coven ne t'en fais pas elle vont venir . »
Ivana hocha lentement la tête, commençant à se détendre sous le regard apaisant de son amie. « D'accord, d'accord.»
La pièce était éclairée par la lumière dorée du soleil couchant qui filtrait à travers les rideaux légers, projetant des motifs délicats sur le sol en bois. Agatha, avec ses cheveux châtains tombant en boucles autour de son visage, se tenait là, les bras croisés, un sourire espiègle sur les lèvres. Elle observait Ivana, qui était assise sur le canapé, ses jambes croisées, trahissant son agitation.
« De toute façon, tu as toujours été impatiente, » lança Agatha, son ton léger, presque taquin.
Ivana lâcha un rire nerveux, une note d'irritation dans sa voix. Elle leva les yeux vers Agatha, ses pupilles sombres reflétant une lueur de défi.
« Comme si tu avais été présente dans ma vie pour le savoir, » rétorqua-t-elle, un sourire amer se dessinant sur ses lèvres.
Agatha, toujours confiante, haussait les épaules, ses yeux pétillants d'une malice familière. « Oui, j'ai été présente durant une partie de ta vie, » affirma-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Ivana, se redressant légèrement, plissa les lèvres, une ombre de tristesse traversant son visage. « Tu ne peux pas juger, vu que tu n'es pas restée longtemps dans ma vie, » dit-elle, sa voix tremblant légèrement.
Agatha, ne se laissant pas abattre, répliqua avec un éclat de rire. « C'est parceque ta très cher mère m'a jeté un sort. »
Ivana, les poings serrés, sentit une vague de frustration l'envahir. « Ça n'a rien à voir ! Wanda t'a jeté le sort de rester la voisine gentille mais envahissante, donc tu aurait très bien pu continuer à prendre des nouvelles de moi. »
Un silence pesant s'installa alors, rempli de non-dits. Ivana, bien qu'elle ne le formulât pas, se sentait abandonnée par Agatha. La douleur de la solitude s'insinuait en elle, lui rappelant que, malgré les rires et les souvenirs partagés, une distance invisible s'était creusée entre elles. Les souvenirs d'anciens éclats de rire résonnaient dans sa tête, mais la réalité de leur situation actuelle lui pesait lourdement sur le cœur.
Agatha ouvrit la bouche pour répondre à l'accusation d'Ivana, mais avant qu'elle puisse articuler une réponse, la porte du salon s'ouvrit avec fracas. Un groupe de sorcières entra, apportant avec elles une vague d'énergie et d'excitation. La pièce, déjà baignée de lumière dorée, sembla s’illuminer davantage à leur arrivée.
« Désolées pour le retard ! » s'exclama Jen, sa voix résonnant joyeusement dans l’espace.
« On a failli être en retard à la réunion, » ajouta Alice, une sorcière à la chevelure noire comme l'ébène, qui s'avança avec assurance. « Mais nous sommes là maintenant, et c’est tout ce qui compte ! »
Ivana, voyant Lucillia entrer dans le groupe, ne put s'empêcher de sourire. La jeune sorcière, bien plus jeune qu'Agatha et les autres, avait un air pétillant et une énergie contagieuse. Elle se tenait un peu en retrait, mais son regard brillant trahissait son enthousiasme.
☆○o。 。o○☆
Le coven passa le portail scintillant, un frisson d'excitation parcourant l'air. Ils se retrouvèrent soudain dans une forêt enchantée, baignée de lumière dorée. Les arbres, aux troncs tordus et aux feuilles multicolores, semblaient chuchoter des secrets anciens. Des fleurs luminescentes parsemaient le sol, illuminant le chemin de couleurs vives, et des petites créatures aux plumages éclatants voletaient entre les branches, ajoutant à l'atmosphère féerique.
« Regardez cette beauté ! » s'exclama Alice, ses yeux pétillants d'émerveillement alors qu'elle levait les bras comme pour embrasser la magie qui les entourait.
« Oui sublime. Aller nous devons commencer à marcher. »Dit alors Agatha
À ces mots, le groupe se mit en mouvement, leurs pas résonnant doucement sur le tapis de feuilles croustillantes. Lucillia et Ivana se retrouvèrent en tête, avançant avec curiosité sur le chemin sinueux qui s'étendait devant elles. Le doux parfum des fleurs et le chant des oiseaux créaient une mélodie apaisante. Alors qu'elles avançaient, Lucillia aperçut un détail fascinant.
« Attends, Ivana, » dit-elle, fascinée, en désignant le cou d'Ivana. « Ton tatouage, cette petite colombe, elle est super belle ! »
Ivana se tourna, un sourire timide illuminant son visage, ses yeux brillants de fierté. « Merci, Lucillia. C'est un symbole de purté pour moi. J'aime l'idée qu'elle me rappelle de rester honnête même dans les moments difficiles et de ne pas faire les même erreur que ma mère »
À quelques pas derrière, Agatha et Lilia observaient la scène avec une expression moins enthousiaste. Agatha plissa les yeux, un frisson d'inquiétude traversant son esprit.
« Je n'aime pas ça, » murmura-t-elle à Lilia, sa voix teintée de méfiance. « Elles semblent trop proches, comme si elles oubliaient pourquoi nous sommes ici dit à ta protégé de ne pas s'approcher d'Ivana. »
Lilia hocha la tête, ses pensées s'égarant dans les implications de cette nouvelle amitié. « Ma protégé ? Non mais je rêve. Retiens toi Agatha tu vas finir verte comme la sorcière de l'ouest. » répondit-elle, scrutant les alentours, comme si elle pouvait sentir une présence invisible.
Lilia se tenait légèrement en retrait, observant la dynamique qui se tissait entre Ivana et Lucillia. Bien qu'elle n'ait pas verbalement exprimé son accord avec les inquiétudes d'Agatha, une partie d'elle-même ressentait la même chose. Une tension subtile flottait dans l'air, comme si la forêt elle-même retenait son souffle, attentive à leurs émotions.
Lucillia, avec son sourire radieux et son énergie contagieuse, semblait incarner une lumière qui attirait Lilia. Chaque éclat de rire et chaque geste gracieux de Lucillia éveillaient en elle une curiosité et un désir d'approfondir leur lien. Lilia se sentait attirée par cette connexion inexplicable, comme si elles partageaient un secret que seules elles pouvaient comprendre.
Lilia, ne pouvait s'empêcher de ressentir une affinité grandissante pour Lucillia, une complice potentielle dans cette aventure magique.
Les couleurs vibrantes de la forêt semblaient refléter son dilemme intérieur. Les feuilles scintillantes dansaient au gré d'une brise légère, et les fleurs luminescentes éclairaient le chemin, tout en symbolisant la beauté et la fragilité des relations. Lilia se demandait si elle pourrait vraiment se permettre de laisser cette connexion avec Lucillia s'évanouir.
Elle se tourna vers Lucillia, qui était en train de ramasser une fleur éclatante, ses yeux brillants d'enthousiasme. Lilia sentit son cœur se serrer à l'idée de perdre cette opportunité. Elle voulait s'ouvrir à cette nouvelle amitié, mais les choses étaient compliqué.
Dans ce moment suspendu, Lilia prit une profonde inspiration, se promettant de trouver un moyen d'équilibrer ses sentiments. Elle se rendit compte que, même si elle n'avait pas encore trouvé les mots pour exprimer son accord avec Agatha, elle ne pouvait ignorer la magie qui se tissait avec Lucillia. La forêt, avec ses mystères et ses merveilles, devenait le témoin silencieux de ce combat intérieur, une toile de fond pour un choix qui pourrait changer le cours de leur aventure.
Agatha se tenait à l'écart, ses yeux rivés sur Ivana, qui riait avec Lucillia au loin. Une vague de mécontentement l'envahit, et elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe de jalousie. Leurs rires résonnaient dans l'air, mais pour Agatha, chaque éclat de joie de Lucillia était comme une flèche, transperçant le lien fragile qu'elle partageait avec Ivana.
Elle se remémora son enfance, lorsque le monde semblait plus simple. À l'époque où elle était encore 'Agnes', Agatha avait passé d'innombrables heures avec Ivana, tissant des souvenirs indélébiles.
Maintenant, en voyant Ivana s'épanouir en tant qu'adulte, Agatha ressentait une lutte intérieure. D'un côté, elle voulait voir Ivana heureuse, mais de l'autre, l'idée que quelqu'un d'autre puisse se rapprocher d'elle la dérangeait profondément. C'était comme si Lucillia menaçait de lui voler une part de ce qu'elle considéré comme précieux.
Agatha se questionnait sur ses véritables sentiments. Était-ce une simple possessivité, un écho de son attachement d'antan, ou bien une envie plus profonde de garder Ivana pour elle seule ? Cette ambivalence la tourmentait, et elle se sentait tiraillée entre le désir de protéger leur amitié et la peur de perdre Ivana au profit de Lucillia.
Elle observa chaque geste de Lucillia, chaque sourire échangé, et un sentiment d'inquiétude grandissait en elle. Agatha se demandait si elle pouvait vraiment faire confiance à cette nouvelle présence dans la vie d'Ivana. La forêt, témoin silencieux de cette lutte émotionnelle, semblait vibrer autour d'elle, accentuant la tension qui régnait dans son cœur.
☆○o。 。o○☆
La forêt n'était pas vide, loin de là. Une ambiance mystérieuse flottait dans l'air, presque palpable. À l'autre bout de la forêt, un homme se tenait là, silhouette énigmatique au milieu des arbres imposants. Il était vêtu de cuir, une tenue qui épousait parfaitement son corps, lui donnant un air à la fois dangereux et séduisant.
Son manteau noir, long et usé, flottait légèrement autour de lui, comme s'il était en harmonie avec le souffle du vent. Les coutures étaient délicates, ornées de motifs subtils qui semblaient raconter une histoire ancienne. Sous ce manteau, il portait une chemise sombre, et ses pantalons en cuir étaient ajustés, accentuant sa stature imposante.
Son visage était partiellement caché par une ombre, mais ses yeux brillaient d'une lueur malicieuse, presque hypnotique. Il avait des cheveux sombres, légèrement ondulés, qui tombaient sur son front, ajoutant à son allure mystérieuse. La forêt, avec ses bruits de feuilles et ses murmures de créatures, semblait se taire en sa présence, comme si même la nature reconnaissait la puissance qui émanait de lui.
L'homme mystérieux se tenait au milieu de la forêt dense, entouré de grands arbres aux troncs noueux, leurs feuilles bruissant doucement sous le souffle du vent. Soudain, il sentit une présence, une énergie sombre et familière qui envahissait l'air. Les sorcières approchaient, et leur aura maléfique perturbait l'harmonie de la nature autour de lui.
Il ferma les yeux, cherchant à se concentrer, imaginant un accueil horrible à leur donner, une confrontation qui pourrait faire trembler même les plus courageux. Dans son esprit, il voyait des ombres se mouvoir, des rires sinistres résonner dans la nuit.
Tout à coup, il ressentit une chaleur intense dans sa main. Sa dague, toujours à ses côtés, commença à s'illuminer d'une lueur éclatante, projetant des reflets argentés sur son visage marqué par l'angoisse. Le métal scintillait comme s'il était animé d'une vie propre, réagissant à la menace qui approchait.
"Non, c'est impossible..." murmura-t-il, sa voix tremblante trahissant son choc. Il ouvrit les yeux, fixant la dague avec une intensité renouvelée, réalisant que cet éclat n'était pas simplement un phénomène. Cela signifiait quelque chose, une connexion avec les sorcières, un appel à l'action.
Il se redressa, le cœur battant, prêt à affronter ce qui allait venir. L'atmosphère était chargée de tension, et il savait que le moment de la confrontation était proche. Les sorcières, avec leurs rituels et leurs pouvoirs, n'étaient pas là pour négocier. Il devait se préparer à défendre son domaine, à utiliser la force de la dague illuminée pour contrer leur magie.
☆○o。 。o○☆
Le coven avançait prudemment sur le chemin qui leur avait été indiqué, l’atmosphère chargée d’une tension palpable. Les arbres, sombres et tordus, semblaient chuchoter des secrets alors qu’elles progressaient, sans vraiment savoir où cette route les mènerait. Soudain, au loin, une silhouette se dessina : une maison isolée, ses fenêtres sombres comme des yeux vides.
« Il faudrait qu’on entre pour voir ce qui se passe, » proposa Alice, sa voix brisant le silence pesant. Elle se tourna vers ses compagnes, déterminée mais visiblement nerveuse.
Lucillia, les sourcils froncés, n’était pas rassurée par l’idée. « Et si c’est un piège ? » murmura-t-elle, ses yeux scrutant les ombres autour d’elles.
Mais alors, elle croisa le regard de Lilia, qui lui offrit un sourire apaisant. Ce simple échange lui redonna un peu de courage.Ivana, un peu en retrait, observa Agatha. Leurs yeux se rencontrèrent, et dans cette connexion silencieuse, une compréhension mutuelle s’établit. Agatha, avec un soupçon de bravoure, s’avança vers la porte. Elle prit une profonde inspiration, puis, avec une main ferme, elle saisit la poignée et l’ouvrit lentement. Le grincement de la porte résonna dans l’air frais du crépuscule, ajoutant une note de mystère à leur aventure.
Lorsque les femmes franchirent le seuil de la maison, une atmosphère étrange et fascinante les enveloppa. L’air semblait vibrer autour d’elles, chargé d’une énergie mystérieuse. À peine avaient-elles posé le pied à l’intérieur qu’un éclair de lumière éblouissant jaillit, les enveloppant dans un halo scintillant.
En un instant, leurs vêtements de tous les jours se transformèrent. Les robes colorées et les jupes légères se métamorphosèrent en armures brillantes, ajustées et ornées de motifs guerriers. Les cuirs et les métaux scintillaient sous la lumière, et chaque femme se retrouva vêtue d’une tenue qui évoquait la force et la bravoure.
Ivana :
Lucillia :
Le regard d'Agatha se posa immédiatement sur Ivana, captivé par sa présence. La pièce était baignée d'une lumière dorée, et chaque rayon semblait mettre en valeur la beauté d'Ivana. Son visage, délicatement sculpté, affichait un sourire qui illuminait son regard.
Ses cheveux, longs et ondulés, tombaient en cascade sur ses épaules, capturant la lumière et créant un halo autour d'elle. À chaque mouvement, ils semblaient danser, attirant encore plus l'attention d'Agatha.
À cette vue, un sourire involontaire se dessina sur les lèvres d'Agatha. Elle ressentit une montée d'admiration, une chaleur douce qui s'empara de son cœur. Ivana était non seulement belle, mais elle dégageait une sensualité naturelle, une confiance en soi qui la rendait encore plus séduisante. Cependant, cette pensée fit frémir Agatha. Elle secoua la tête, comme pour chasser cette idée de son esprit, consciente que ces sentiments pourraient compliquer leur liens. Son esprit était en émoi, tiraillé entre admiration et la crainte de franchir une ligne qu'elle ne voulait pas dépasser.
Lilia se tenait là, absorbée par la silhouette de Lucillia. Sa tenue de guerrière, faite de cuir et de métal, épousait parfaitement ses formes, accentuant sa beauté naturelle. Les détails de son armure, avec ses ornements délicats et ses inscriptions anciennes, racontaient une histoire de bravoure et de force. Chaque pièce semblait conçue non seulement pour la protéger, mais aussi pour mettre en valeur sa grâce.
Les épaules de Lucillia étaient recouvertes d'épaulières finement travaillées, qui brillaient sous la lumière ambiante, tandis que sa ceinture, ornée de runes mystérieuses, marquait sa taille avec élégance. Lilia ne pouvait s'empêcher de remarquer la façon dont les cheveux de Lucillia, tressés avec soin, tombaient en cascade sur son dos, ajoutant une touche de féminité à sa présence guerrière.
Alors qu'elle observait chaque détail, Lilia ressentit une montée d'émotions qu'elle n'avait pas anticipée. Son cœur battait plus vite et son esprit commença à vagabonder vers des pensées plus intimes, des scénarios qui la faisaient rougir. Elle se reprit rapidement, consciente du chemin que prenaient ses pensées.
Pour détourner son attention, Lilia s'éclaircit la voix et, avec une légèreté feinte, demanda :
"On doit s'attendre à quoi ?" Cette question, bien qu'anodine, était une tentative de ramener la conversation sur un terrain plus sûr, tout en cachant le tumulte qui régnait dans son esprit.
Alice se tenait au milieu du groupe, ses yeux scrutant les visages des autres, son esprit en proie à l'incertitude. Elle prit une profonde inspiration avant de s'adresser à ses amis.
"Je ne sais pas du tout," avoua-t-elle, sa voix trahissant une légère tremblement.
Elle se sentait perdue, comme si les réponses qu'elle cherchait se cachaient dans l'ombre des arbres qui les entouraient.Jen, qui se tenait à côté d'elle, tourna la tête vers Agatha, une lueur d'espoir dans ses yeux.
"Tu devrais savoir, Agatha," dit-elle avec une certaine impatience. "Tu as déjà fait la route, non ?"
Agatha, les bras croisés, baissa légèrement le regard, semblant peser ses mots.
"Oui, mais la route change en fonction du Coven," expliqua-t-elle, la voix empreinte de sérieux. "Je ne peux pas vraiment dire ce qui va se passer. Chaque fois, c'est différent."
Les autres échangèrent des regards inquiets, l'atmosphère devenant de plus en plus tendue. Alice sentit son cœur s'accélérer, l'angoisse s'installant dans son estomac.
"Et si on se perdait ?" demanda-t-elle, la peur transparaissant dans sa voix.
Jen hocha la tête, cherchant à apaiser l'atmosphère. "On va trouver notre chemin, ensemble," ajouta-t-elle avec un sourire encourageant, même si elle-même n'était pas si sûre.
Lucillia avançait lentement vers les étagères poussiéreuses, ses doigts glissant sur les couvertures des livres anciens. L'air était chargé d'une odeur de vieux papier et de cuir, et chaque pas qu'elle faisait semblait résonner dans le silence oppressant de la maison. Elle se pencha pour examiner un tome relié en cuir, ses pages jaunies par le temps, espérant y trouver une solution pour échapper à cet endroit mystérieux.
Pendant ce temps, Ivana, attirée par un objet ancien qui brillait faiblement dans un coin de la pièce, s'approcha avec curiosité. Elle découvrit un couteau au manche délicatement sculpté, dont la lame semblait scintiller sous la lumière tamisée. Elle le prit en main, fascinée par sa beauté.
"Regardez ça," dit-elle en se tournant vers les autres femmes, un sourire émerveillé sur le visage.
Mais à cet instant précis, un grondement sourd résonna à travers les murs de la maison, et le sol commença à trembler sous leurs pieds. Alice, surprise, leva les yeux vers Ivana, l'inquiétude se lisant sur son visage.
"Qu'est-ce que tu as fait ?" demanda Alice sa voix trahissant une panique grandissante.
Ivana, un peu déconcertée, secoua la tête. "Rien, j'ai juste pris ça," répondit-elle, levant le couteau pour le montrer, comme si cela pouvait apaiser la situation.
Les murs semblaient vibrer, et des livres tombèrent des étagères, créant un bruit assourdissant.
"Tu es sûre que ça ne vient pas de ce couteau ?" s'exclama Lucillia, ses yeux écarquillés par la peur.
"Je ne sais pas ! Peut-être que c'est un symbole ou quelque chose comme ça," répondit Ivana, son enthousiasme initial se transformant en nervosité.
Alice, qui observait la scène, intervint. "Mettez-le de côté, Ivana ! Peut-être que c'est dangereux," suggéra-t-elle, sa voix ferme mais teintée d'inquiétude.
Alors que Lucillia, Ivana et Alice reprenaient leur souffle après le tremblement, une lumière éclatante illumina la pièce. Subitement, une femme apparut, ses yeux flamboyants et son visage marqué par une détermination féroce. Elle leva les bras, et une flamme jaillit de sa bouche, illuminant la pièce d'une lueur inquiétante.
"Rendez-moi ce couteau !" cria-t-elle, sa voix résonnant comme un écho dans l'obscurité.
Les sorcières, terrifiées, échangèrent des regards paniqués avant de se précipiter vers une porte au fond de la pièce.
"Vite ! Dans la chambre !" s'exclama Lucillia,
Le coven se précipitèrent à l'intérieur, fermant la porte derrière elles juste à temps pour entendre le souffle de feu frapper le bois.
"C'est ce couteau qu'elle veut !" s'écria Lilia, les yeux brillants d'une détermination nouvelle. "C'est avec ça qu'il faut la battre !"
Ivana, le cœur battant, se tourna vers ses amies. "Dans se cas j'y vais !" déclara-t-elle, sa voix pleine de courage.
Agatha, la plus sage du groupe, s'approcha d'Ivana, posant une main apaisante sur son épaule.
"Non, attends ! Ce n'est pas une simple bataille. Nous devons réfléchir," tenta-t-elle de la dissuader, son regard sérieux. "Cette femme est puissante. Nous devons trouver un moyen de la neutraliser sans la provoquer davantage tu n'a pas de pouvoir.."
Ivana sentit son cœur se gonfler à ces mots. Elle savait qu'Agatha tenait à elle, mais elle ne voulait pas l'admettre. Elle plongea son regard dans celui d'Agatha, cherchant à déceler la profondeur de ses émotions. Les yeux d'Agatha brillaient d'une lueur protectrice, et Ivana ne pouvait s'empêcher de sourire, même si elle essayait de rester sérieuse.
"Attention, Agatha," commença Ivana, un ton taquin dans la voix. "Si je ne te connaissais pas, je dirais que tu t'inquiètes pour moi." Elle lui fit un clin d'œil espiègle, un éclat de malice illuminant son visage.
vana poussa la porte avec détermination, les gonds grincèrent légèrement, brisant le silence pesant de la pièce. Devant elles se tenait une femme au visage marqué.
"On ne vous a jamais dit que ce n'était pas bon de fumer ?" lança Ivana, sa voix pleine de défi, tandis qu'elle scrutait la femme avec une intensité qui ne laissait pas de place au doute.
La femme, visiblement irritée par le commentaire, esquissa un sourire sinistre avant de cracher une gerbe de feu, une flamme vive qui jaillit de sa bouche comme un dragon en colère.
Ivana, réagissant rapidement, brandit un couteau au-dessus de sa tête, le métal brillant à la lumière vacillante. Un mur de protection avec la lame, un éclat d'acier qui semblait défier les flammes.
À côté d'elle, Lilia tira Lucillia vers elle, l’enveloppant dans un geste protecteur. Elle avait besoin de sentir sa présence, de la savoir à ses côtés face à cette menace.
"Reste près de moi, Lucillia," murmura-t-elle, sa voix tremblante trahissant son anxiété.
Lucillia, bien que légèrement hésitante, hocha la tête, cherchant du réconfort dans la chaleur de Lilia.Agatha, en retrait, observait la scène avec une angoisse palpable. Ses yeux s'écarquillèrent alors qu'elle voyait les flammes danser, et son cœur battait la chamade. Elle savait que la situation devenait de plus en plus dangereuse, et chaque instant comptait.
La tension était à son comble, et le combat entre le feu et le métal semblait figé dans le temps, chaque personnage jouant son rôle dans ce drame inattendu.
☆○o。 。o○☆
L'épreuve était enfin terminée, et les sorcières se rassemblaient autour d'un feu de camp crépitant, la lumière dansant sur leurs visages fatigués. Les ombres des arbres environnants semblaient s'étirer et se contorsionner, comme si elles écoutaient attentivement les murmures des sorcières. La chaleur du feu contrastait avec l'air frais de la nuit, apportant un certain réconfort après les épreuves qu'elles venaient de traverser.
Ivana, assise légèrement à l'écart, fixait les flammes avec une intensité troublante. Ses pensées étaient en désordre, un tourbillon d'émotions qu'elle ne parvenait pas à mettre en mots. Les événements récents la hantaient : l'épreuve dans le labyrinthe de flammes, les visions troublantes qu'elle avait rencontrées, et surtout, la réapparition d'Agatha. Pourquoi maintenant ? Pourquoi ici ? Ces questions tourbillonnaient dans son esprit, la laissant perplexe et anxieuse.
Les autres sorcières discutaient à voix basse, partageant des histoires et des rires pour alléger l'atmosphère, mais Ivana se sentait déconnectée. Chaque rire semblait résonner comme un écho lointain, tandis qu'elle se débattait avec ses propres pensées. Elle se rappelait les moments passés avec Agatha, les secrets qu'elles avaient partagés, et la trahison qui avait suivi. La voir à nouveau, vivante et pleine de vie, était à la fois un soulagement et une source de confusion.
Dans son cœur, une question persistait : comment pouvait-elle faire confiance à Agatha après tout ce qui s'était passé ? La réponse lui échappait, et alors qu'elle regardait les étoiles scintiller dans le ciel, elle savait qu'elle devait trouver une solution, non seulement pour elle-même, mais aussi pour le groupe qui comptait sur elle.
Agatha s'approcha d'Ivana, ses pas légers sur le sol recouvert de feuilles mortes, le crépitement du feu de camp en arrière-plan. Elle observa le visage d'Ivana, marqué par l'inquiétude et la fatigue. Les flammes dansaient, projetant des ombres sur son visage, accentuant l'air préoccupé qui l'entourait. Agatha sentit une boule d'inquiétude se former dans sa poitrine.
Elle s'accroupit près d'Ivana, se penchant légèrement pour lui chuchoter doucement à l'oreille :
"Qu'est-ce qui ne va pas ?" Sa voix était douce, presque un murmure, comme si elle craignait de briser le fragile silence de la nuit.
Ivana tourna lentement la tête vers elle, ses yeux reflétant une lueur de gratitude mêlée à de la tristesse.
"Je suis juste fatiguée," répondit-elle, sa voix à peine audible, mais suffisamment claire pour qu'Agatha l'entende.
Elle lui offrit un fin sourire, un geste qui semblait cacher des montagnes d'émotions non exprimées.Agatha ne pouvait s'empêcher de ressentir une profonde empathie. Elle savait que la fatigue d'Ivana n'était pas seulement physique, mais aussi émotionnelle, le poids des événements récents pesant lourdement sur ses épaules.
"Je vais me coucher," dit Ivana en se dirigeant vers un coin plus tranquille, où elle pourrait réfléchir sans être dérangée.
Agatha la regarda s'éloigner, un mélange de préoccupation et de détermination dans son cœur. Elle savait que la nuit serait longue pour Ivana, mais elle espérait qu'avec le temps, elle trouverait la force de partager ses pensées.
Lucillia était assise près de Lilia, le crépitement du feu de camp illuminant leurs visages. Les flammes dansaient, projetant des ombres dansantes autour d'elles, créant une atmosphère chaleureuse malgré la fraîcheur de la nuit. Lucillia tourna la tête vers Lilia, ses yeux brillants de gratitude.
"Merci d'avoir veillé sur moi pendant l'épreuve," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'émotion.
Les mots flottaient dans l'air comme des étoiles, et Lilia sentit son cœur se réchauffer à cette reconnaissance.Lilia, touchée par les remerciements de Lucillia, se pencha légèrement en avant. Elle posa une main réconfortante sur le genou de Lucillia, un geste simple mais chargé de sens.
"C'est normal," répondit-elle avec un sourire chaleureux. "Je veillerai toujours sur toi."
Lucillia leva les yeux, un mélange d'incrédulité et de soulagement sur son visage. "Vraiment ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une vulnérabilité qui la rendait encore plus touchante.
"Tu as ma parole," affirma Lilia, sa voix ferme et pleine de promesse.
Elle savait que leur amitié était un lien précieux, et elle était prête à tout pour protéger Lucillia. Le feu continuait de crépiter, mais pour elles, ce moment était tout aussi lumineux que les flammes qui les entouraient.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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Mes zines sur la transmasculinité sont disponibles en français !
Je ne sais pas s'il y a beaucoup de personnes trans francophones ici, mais sait-on jamais mdr
J'ai publié deux zines sur la transmasculinité et les ai traduit et adapté en français ! Ils sont disponible gratuitement sur ma boutique itch.io:
Le zine s'appelle "A Travers Vitres Teintées et Ecrans Brisés" et c'est un partage avant tout cathartique de mon expérience en tant que personne transmasc non-binaire, de la poésie et de la prose avec des dessins. Vous pouvez les visionner directement sur navigateur, télécharger les PDF standards et également des PDF imprimables et pliables pour faire les zines chez vous et/ou les partager, si le cœur vous en dit !
Je prépare un troisième numéro, qui sera aussi disponible en anglais et en français (ce sera une constante de toute façon), et qui sera sur les trouble psy ET la transidentité, et le traitement des personnes malades mentales et trans (qui est souvent, on va pas se le cacher, vraiment pas terrible).
Tout est basé sur mon expérience et évidemment elle n'est pas universelle, mais je suis content de pouvoir partager un peu de mon vécu, en espérant que ça aidera certaines personnes à se sentir vue et moins seules.
Merci d'avance et bonne lecture !
#zine#transgenre#transidentité#trans zine#france#lgbtqiaplus#trans#ftm#lgbtqia#ftx#queer#transmasculinité#transmasc#genderqueer#transgender#transartist#trans artist#queer artist#queer art#transphobie#transblr#anti transmasculinity#transandrophobia#transmasculine#trans pride#political zine#zine politique#punk zine
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Ça y est. Le carnet aux pages parsemées de points a été fini. Celui-là même qui se réservait l'exclusivité de mes autoportraits quotidiens. Ma conclusion est que ce qui a compté n'est pas tant l'énergie et le temps dispensés dans chaque dessin, mais plutôt, la régularité à la tâche, vers une forme d'acharnement grisant, finalement.
Le projet s'est changé en une sorte de vilaine addiction. Facilitant la naissance d'une curiosité sous-jacente : celle qui concerne les autoportraits à venir. Quels traits, quelles couleurs auront-ils ? Il me semble d'ailleurs atteindre de plus en plus une relative ressemblance ; la réalité de mon visage et la spontanéité dans le trait semblent s'abréger. Comme si cela devenait plus facile, et encore plus plaisant, plus ludique.
Je me demande parfois, en toute transparence, si ce rituel quasi quotidien ne vire pas à l'obsession quasi narcissique... Et il détient quelque chose d'un ordre insoutenablement introspectif aussi, il me semble. Quelque chose au-delà de l'image, de la façade, de la vitrine.
J'ai aimé, tant aimé ce chemin que j'ai entamé un nouveau carnet. Plus grand (pour encore moins se complaire dans les dimensions de mon scanner), et sans points, pour le fond de ses pages. Cela a commencé en peinture, et peut-être que je vais essayer d'allouer ma patience et ma persévérance aux couleurs, aux jolis pâtés glissés d'un coup de pinceau... Peut-être. Sans oublier de varier un peu, de temps en temps. Rendez-vous bientôt, semblerait-il. Sans doute pas avec des scans. Tout ceci doit encore mûrir, et advenir, prendre vie à travers mon regard, et sur la page.
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Hi hi i know my art level is average not impressive like most of the artist you will follow, since i prefer to shitpost and do funny or lewd silly stuff about games and daily experience more than pratice art but i do commission too, here what i already made for someone, his viera from ffxiv Coucou je sais que mon style de dessin n'est pas encré, mon niveau est moyen voir catastrophique car je préfère faire rire à travers des shitposts sur des expérience qui m'arrive en jeu ou dans la vie, mais je fais aussi des commissions si vous voulez, ici un exemple de viera de ffxiv
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Dimanche
Bien que mal réveillé - il était 4h30 du matin -, le Mini Kid m'a montré l'éclat de la lune à travers les nuages, puis il m'a offert trois dessins de chats qui me plaisent beaucoup, tandis que le Kid me disait des choses tendres, puis ils se sont rapidement engouffrés dans un taxi histoire de prendre les larmes de vitesse. Alors que leur avion approchait de Munich, j'ai photographié la lune dans la lumière du matin. Elle m'a ému bien plus que d'habitude. Mes amours ont à présent redécollé en direction de Singapour (12h de vol), d'où ils embarqueront à bord d'un troisième avion pour atteindre enfin Osaka (6h de vol). Il ne leur restera plus alors qu'à sauter dans un train pour Kyôto et dans un taxi jusqu'à leur maison. De ce côté du monde, la vie a soudain changé de couleur.
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Une gravure végétale sur les courges, voilà une idée intéressante et laissez vôtre créativité s’exprimer. Une activité automnale relaxante pour explorer le monde végétal et votre fibre artistique. L’occasion de vous essayer au pumpkin carving qui consiste à graver directement votre motif sur une courge et jouer avec les épaisseurs pour créer de la transparence. Allez faire une balade à travers la forêt pour ramasser des feuilles, tout matériel rappelant l’automne puis de retour chez vous, vous allez observer et dessiner avec ces patrons, comme des pochoirs, elles vous serviront à graver et créer des épaisseurs dans la chair de vos cucurbitacées afin qu’une fois allumées, la magie puisse opérer. Cette activité est a faire en famille, vos amis un atelier qui vous invite à découvrir la nature autrement, à aller à la rencontre de l’automne et d’une manière créative et intuitive. A travers le prisme de l’observation et de l’expérience sensorielle, à prendre le temps de les contempler, comprendre leurs signatures, la vibration de leurs couleurs et l’essence de leurs messages. Prendre le temps de ralentir afin de vous reconnecter à la nature, à votre nature et �� votre créativité.
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Un éléphant ça Trump énormément !
Encre sur papier 30x30 cm
#encre de chine#baldo ortas#baldomero ortas#baldoart#dessin de travers#baldo#ortas#trump#unelephantcatrumpenormement#elephant#donald trump#trump ecscroc#trump crook#trumpcrook
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Artzybasheff (1889 - 1965) "He Brings Machines to Live" by Baldo 23/02/2023
#boris artzybasheff#artzybasheff#dessin de travers#baldo art#baldo ortas#ortas#portrait#machines#portrait à la pipe
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L'Art et la mode, no. 38, vol. 14, 23 septembre 1893, Paris. Diane "Fin de Siècle". Bibliothèque nationale de France
Elle est devenue bien coquette, la chaste Diane, et bien dernier bateau, depuis le temps où, farouchement prude, elle changeait en cerf, et sans lui donner le temps de s’expliquer, le malheureux Actéon dont tout le crime, en somme, était de l’admirer sans en avoir, au préalable, obtenu la per mission…
She has become very coquettish, the chaste Diana, and very last boat, since the time when, fiercely prudish, she changed into a stag, and without giving him time to explain himself, the unfortunate Actaeon whose whole crime, in short, was to admire her without having first obtained permission…
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Mais, sous le crâne ajustement qui, grâce aux couturiers à la mode, réalise un piquant compromis entre le costume masculin et les vêtements féminins, on retrouve aisément, sous la coupe des étoffes, cette pureté de lignes idéales, un peu graciles en leur adorable juvénilité, qui révèlent la sœur d’Apollon.
But, under the adjusted skull which, thanks to fashionable couturiers, achieves a piquant compromise between the masculine costume and feminine clothing, we easily find, under the cut of the fabrics, this purity of ideal lines, a little graceful in their adorable youthfulness, which reveal the sister of Apollo.
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Et c’est vraiment la déesse encore qui surgit, radieusement belle au milieu des campagnes, par les beaux jours d’été, nimbée d'un chapeau aux ailes déployées, rappelant celui de Mercure, le cou caressé par un léger collier de plumes multicolores, la taille merveilleusement dessinee par un corsage moulé, et les jambes élégantes et sveltes émergeant de la jupe courte, à la façon des Hiohlanders.
And it is truly the goddess again who emerges, radiantly beautiful in the middle of the countryside, on beautiful summer days, surrounded by a hat with outstretched wings, reminiscent of that of Mercury, her neck caressed by a light necklace of multicoloured feathers, her waist marvellously outlined by a fitted bodice, and her elegant and slender legs emerging from the short skirt, in the manner of the Hiohlanders.
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La voilà, faisant halte dans quelque rustique demeure, et s’approchant du haut foyer ou flambent des sarments pétillants, pour se sécher sans doute, après quelque ondée qui a suspendu sa course vagabonde à travers les bois et les plaines. A quoi songe-t-elle, en ce répit? Durant cette heure morose, si Actéon se présentait à ses yeux, il serait peut-être admis à causer quelques instants avec la jeune déité. Déesse ou femme s’ennuyant sont aussitôt d’humeur plus conciliante, et il s’agit de passer juste à ce moment-là.
There she is, stopping in some rustic dwelling, and approaching the high hearth where sparkling vine shoots are ablaze, to dry herself no doubt, after some shower which has suspended her wandering course through the woods and plains. What is she thinking of, in this respite? During this gloomy hour, if Actaeon were to present himself to her eyes, he would perhaps be admitted to chat for a few moments with the young deity. A goddess or woman who is bored is immediately in a more conciliatory mood, and it is a matter of passing by just at that moment.
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Maintenant, le jour s'achève. Le soleil abaisse rapidement à l’horizon son disque glorieux, et la fière chasseresse profile dans cette superbe auréole de pourpre sa divine silhouette. Elle feint de vouloir encore diriger son arme sur un gibier quelconque, mais c’est uniquement pour nous donner le change, car à l’horizon, sur l’immense cercle de l’astre, une ombre d’homme se dessine nettement. Et bien qu’on ne puisse deviner s’il approche ou s’il s’éloigne, on comprend que c’est encore et toujours Actéon, toujours fidèle, toujours épris, qui guette la déesse. Mais le temps des colères est passé, et Actéon cette fois ne sera pas puni, au contraire!
Now the day is ending. The sun is rapidly lowering its glorious disk to the horizon, and the proud huntress outlines her divine silhouette in this superb purple halo. She pretends to want to aim her weapon again at some game, but it is only to deceive us, because on the horizon, on the immense circle of the star, a man's shadow is clearly outlined. And although we cannot guess whether he is approaching or moving away, we understand that it is still and always Actaeon, always faithful, always in love, who is watching the goddess. But the time of anger is over, and this time Actaeon will not be punished, on the contrary!
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1893#on this day#September 23#periodical#fashion#fashion plate#illustration#bibliothèque nationale de france#narrative#sport#hunting#gun#gigot
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0️⃣ La lettre d’infO (la quotidienne annécienne) 🤍
Sélection journalière à destination de 12 réseaux sociaux et de 3 messageries instantanées en provenance directe de la version 3 de mon infolettre 📧
1️⃣ Les Journées (j’adOre) 💛
Aujourd’hui, vendredi 25/10/24, Journée européenne de la justice ⚖️ Journée internationale des artistes (depuis 2004) 🎨 Journée internationale du nanisme (depuis 2013) 👌 Journée mondiale des pâtes (depuis 1995) 🍝 et Journée mondiale du spina bifida et de l'hydrocéphalie (depuis 2011) 🙏
2️⃣ L’actu (point trop n’en faut) 🧡
Annecy : deux personnes qui circulaient à trottinette ont été blessées hier à l'angle de la rue Carnot et du boulevard du lycée dans une collision avec une voiture 🛴
Savoie : le barrage du lac Blanc, situé à plus de 2.400m d'altitude dans le massif des Sybelles, va être détruit. Des fuites ont été constatées ces dernières semaines. Par précaution, des travaux ont été pris en urgence et une partie de la structure va être détruite d'ici fin octobre 🚧
Avant-dernier jour❗️Tout feu, tout femme du 21 au samedi 26/10/24 : ce festival met les femmes à l'honneur. Découvrez le parcours de Femmes et profitez d'animations, d'ateliers, de rencontres, de conférences (Les Carrés, 43 avenue des Carrés) 👩
3️⃣ L’agenda (l’agendalp pour les ancien·nes) 🩷
🧺 Un marché le ven. matin à Annecy ➡️ Marché de la vieille ville 📍 Rue Sainte Claire ⌚️ 7h-13h ℹ️ Au cœur des vieux quartiers, flânez entre les étales du marché le plus typique : les produits du terroir sur le marché alimentaire mais également les produits textiles et manufacturés 🍴
🖼️ Avant-dernière semaine❗️ExpO : Joël Burger ➡️ À travers son art, l’artiste invite le spectateur à plonger dans un univers onirique et poétique, où chaque toile raconte une histoire et suscite une émotion ℹ️ Jusqu’au mer. 30/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée d'Annecy-le-Vieux (place Gabriel Fauré) 👨🎨
🖼️ ExpO de l'association Artistique de Meythet ➡️ Exposition de dessins et de peintures ℹ️ Jusqu’au lun. 11/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée de Meythet (rue de l'Hôtel de Ville) 🎨
🖼️ ExpO : Portraits de Martine Richard, une artiste pour qui la peinture est une véritable évasion ➡️ Passionnée par la magie de l'aquarelle, elle explore la fusion des couleurs et de l'eau, créant des œuvres où l'émotion guide chaque coup de pinceau ℹ️ Jusqu’au sam. 09/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 9h-12h & 14h-19h 📍 Le Mikado Novel (2 place de l'Annapurna) 👩🎨
🧒Les secrets du Palais de l'Île ➡️ Visite pour enfant à partir de 8 ans, accompagné d’au moins un adulte (activité en autonomie) ℹ️ Carnet illustré à demander à l’accueil 🎫 4€, 2€ & 0€ (-12 ans) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Palais de l’Île (3 passage de l'Île) 🏛️
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux (après-midi jeux de société) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h30-16h30 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) 😍
🖼️ ExpO collective : I say hi, You say low, You say why, I say I don’t know ➡️ Peintures, installations, vidéos et performances ℹ️ Jusqu’au mar. 03/12/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Le Mikado Espace d'art contemporain (place des Rhododendrons) 😍
🖼️ ExpO : Rouge ➡️ Le travail de Marcel Savy oscille entre le figuratif et une abstraction guidée, lui permettant d’aller à l’essentiel tout en laissant place au rêve dans ses toiles ℹ️ Jusqu’au sam. 16/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-18h45 📍 Artekné (Centre Bonlieu) 👨🎨
🧒 Vacances d’automne ou de la Toussaint ➡️ Fabrique ta lanterne d’Halloween ℹ️ À partir de 5 ans 🎫 10€ (adu.) & 6€ (enf.) 🎟️ Sans réservation 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h30-12h & 14h-17h (animation et visite) 📍 Château de Montrottier (Lovagny) 🏰
🖼️ ExpO BibliO : Carnets de voyages d'une famille annécienne à la Belle Époque ℹ️ Rédigés entre 1883 et 1912, ornés de photos et dessins, voyage panorama de l'Europe avec Annecy comme pied à terre 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 12h30-18h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 😍
🖼️ Premier jour❗️ExpO : Salon des artistes peintres d'Annecy ➡️ ��vènement qui célèbre la créativité et le talent des artistes de notre territoire ℹ️ Jusqu’au ven. 22/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu (1 rue Jean Jaurès) 🎨
🖼️ Dernier jour❗️ExpO : Aïe ! la note est sucrée ! ➡️ Faire le point sur l'augmentation spectaculaire de notre consommation de sucre depuis un siècle et de ses effets néfastes sur notre santé. Nous pouvons doser ce plaisir qui cause bien des tracas, si simples à prévenir ℹ️ Jusqu’au ven. 25/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h30-18h 📍Médiathèque La Prairie (3 rue du Travail) 👨👩👧👦
🖼️ Avant-dernier jour❗️ExpO : L'effet Matilda ➡️ Dans le cadre de la FDS, une exposition proposée par le CNRS, le Quai des savoirs et l’association Femmes & Sciences ℹ️ Jusqu’au sam. 26/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h30-18h 📍 Médiathèque Novel (7 bis rue Louis Armand) 👩🔬
🧒 Ateliers scientifiques : menés par les médiateurs du lieu, ils font appel à la manipulation, à la démarche scientifique et à l’apprentissage par la pratique ℹ️ Spécial adolescent·es ⏱️ 1h30 🎫 5€ & 3€ 🎟️ Réservation en ligne 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h15 📍 La Turbine sciences (place Chorus) 🥼
🧒 ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) ⏱️ 2h 🎫 5€, 3€ & 0€ (- de 12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (place Chorus) 🧠
🖼️ ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas d'Annabelle Guetatra ➡️ Dessins aux fonds vaporeux travaillés au pastel sec ou à l’huile ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 👩🎨
🖼️ ExpO : Les Temps changent ➡️ Lauréats de la commande nationale d'estampes initiée par le Centre National des Arts Plastiques (CNAP) en partenariat avec l'Association de développement et de recherche sur les artothèques (ADRA) ℹ️ Jusqu’au sam. 30/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Médiathèque Louise Michel (5 rue François Vernex) 🎨
🖼️ ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Artiste shanghaïen inspiré par la peinture traditionnelle chinoise le Shanshui ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 👨🎨
🖼️ ExpO : Claude Marthe ➡️ Artiste plasticienne ℹ️ Nouvelle exposition depuis le mer. 09/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L'Atelier 9 (9 avenue de la Mandallaz) 👩🎨
🛒 Bourse aux skis ➡️ Organisation : Aso NTN et SCA Ski Compétition Annecy ℹ️ Jusqu’au dim. 27/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 16h-23h 📍 Cap Périaz (100 avenue de Périaz) 🎿
🎭 Théâtre : Folies au Manoir ➡️ Un crime a été commis au manoir de Jean-Eude et Marie-Christine… Réussirez-vous à dénicher le coupable ? ℹ️ À partir de 9 ans ⏱️ 1h20 🎫 19€ & 10€ (-18 ans et étudiant·es) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 🕵️
👟 Ligue 2 : le FC Annecy (6e avec 15 pts) reçoit Laval (9e avec 14 pts) ➡️ Allez les Rouges et Blancs ℹ️ Dixième journée (sur 34) 🎫 À partir de 7, 9, 10 et 11€ (en fonction des catégories) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h 📍 Parc des sports (1 rue Baron Pierre de Coubertin) ⚽️
🎭 Théâtre : Réveil de dingue ➡️ Suite à l'accouchement de sa femme, Véro, Jean-Phi s'est évanoui. Enfin, c'est ce qu'il croyait ℹ️ Les réparties claquent et les rires fusent, une comédie hyper dynamique pour le duo de Couple en délire 🎫 18€, 16€ & 12€ (-12 ans) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h30 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 👶
🎶 Café-concert ➡️ Le groupe New Nobody’s Perfect propose un répertoire festif constitué de compositions et de standards du jazz ⏱️ 1h 🎫 8€ 🎟️ Plancha de saison : 8€ sur réservation (04 56 20 23 04) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 21h 📍 Café Terra Natura (67 avenue des Neigeos) 🎸
4️⃣ La météO (pour celles et ceux qui veulent vivre) ❤️
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : le vent de sud se renforce et favorise la dispersion des polluants 🌡 La qualité de l’air reste bonne à moyenne dans la région 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est nul (niveau 0) ➡️ Ambroisies, armoise, cupressacées, graminées, saule, autre : niveaux 0 ➡️ Indice communal valable du 19 au vendredi 25/10/2024 inclus 🤧
5️⃣ Les dictons (maximes et autres proverbes) 💚
Deux dictons du jour, un acheté, un offert (pour la petite histoire, cette pratique est désormais illégale) : « À la saint Crépin, la pie monte au sapin. » 🌲 et « À la saint Crépin, les mouches voient leur fin. » 🪰
Et tout comme hier, trois autres dictons du jour pour la route : « À la saint Crépin, ramasse les coings. » 🧺 « Bien malin, qui rentre son bois à la saint Crépin. » 🪵 et « Pour la saint Crépin, mort aux mouches. » ☠️
Pour celles et ceux qui attendent décembre : « Beaucoup de pluie en octobre, beaucoup de vent en décembre. », « Brumes d’octobre et pluvieux novembre, font ensemble un bon décembre. », « Octobre ensoleillé, décembre emmitouflé. » et « Octobre ensoleillé, décembre sous le froid. » 🧐
6️⃣ Les fêtes (rigolO est le calendrier) 🩵
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bon cinquième jour de la semaine à tous et à toutes 🎷
Bonne fête aux Crépin et demain aux Dimitri 😘
7️⃣ Cohérence (histoire de simplifier) 💜
J’utilise les chiffres 0, 7, 8, 9 et 10 pour rendre plus lisibles les différentes parties de cette sélection (simple utilisation n’ayant absolument aucun rapport avec les parties “officielles”).
JamesO InfO V1 : jusqu’en 2012 🅰️
8️⃣ Migrations en cours (à marche forcée) 🤎
Les parties 7, 8 et 9 ne peuvent pas encore être diffusées totalement pour des raisons techniques. J’y travaille actuellement de manière régulière.
JamesO InfO V2 : de 2013 à 2022 🅱️
9️⃣ Abonnez-vous (nouveaux tarifs en 2025) 🩶
Les parties 10, 11 et 12 sont exclusivement réservées à mes abonné·es et ne sont plus diffusées sur les réseaux sociaux et autres messageries instantanées.
JamesO InfO V3 : depuis 2023 🆎
🔟 L’ours (nette préférence pour le dahu) 🖤
Par JamesO (Presse & Édition)
Agenda - Calendrier - Évènements
JamesO InfO n° 1.168 du vendredi 25/10/24
📷 JamesO PhotO à Annecy le 24/10/24 📸
JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗ 2SC ™
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Yves Saint Laurent Transparences
Lienart Ed. , Paris 2023, 112 pages, 20x27cm, ISBN 9782359064001
euro 50,00
expo Calais 2023, Paris Musée YSL 2024
En 2023, la Cité de la dentelle et de la mode de Calais met en lumière l'oeuvre d'Yves Saint Laurent, couturier majeur du XXe siècle, lors d'une exposition coproduite avec le musée Yves Saint Laurent, Paris. En s'attachant au thème de la transparence, cette collaboration inédite des deux musées permet de révéler combien le couturier a su renverser les codes du dévoilement du corps féminin. A travers une soixantaine de modèles issus des collections de la Fondation Pierre Bergé - Yves Saint Laurent et de la Cité de la dentelle et de la mode, complétés d'accessoires, de dessins, de photographies et de vidéos, l'ouvrage démontre la manière dont Yves Saint Laurent a su utiliser les effets de transparence des tissus pour proposer une figure de femme nouvelle, puissante et sensuelle.
13/11/23
#Yves Saint Laurent#transparences#fashion exhibition catalogue#Calais 2023#fashion books#fashionbooksmilano
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Enseignement(s) de la psychanalyse (que j’ai reçus…)
Contrairement aux idées reçues, la psychanalyse n’a pas pour objectif de faire passer de "l’inconscient" au "conscient" ou autres fadaises habituelles, et encore moins de rendre le sujet plus "adapté à la société", mais bien de lui ouvrir son acheminement vers la parole. Dans la cure, l’analysant se confronte – à travers l’exercice de la parole - aux coordonnées, antinomies et impasses de son désir, par où se seront tramés les fils de son destin.
La cure analytique ne saurait se résumer à une méthode pour "traiter les troubles psychiques", la psychanalyse est tout d’abord une pratique inventée par Freud à partir de laquelle s’élabore une théorie où les trois structures de langage incorporé (névrose, psychose et perversion) auront été élevées (par Lacan) à la dignité de réponses d’ordre "philosophique" – à savoir dialectiques – face à l’impossible de l’existence.
La linguistique, d’abord, peut définir le matériel de la psychanalyse, voire l’appareil de son opération, elle laisse en blanc (les semblants) ce qui la rend effective en psychanalyse.
La psychanalyse ne cesse depuis Freud d’affirmer que la vérité de la souffrance, c’est d’avoir la vérité comme cause, ce qui fait dire à Lacan: «Aussi bien dirions-nous que la découverte de Freud est cette vérité que la vérité ne perd jamais ses droits.»
Si aujourd’hui les soi-disant "psychanalystes", notamment de l’ECF (qui sont pour la plupart de pathétiques ânonneurs de Miller, qui ne lisent pas Lacan dans le texte...) n’ont pas la moindre idée de ce que veut dire Lacan lorsqu’il évoque le grand Autre, c’est précisément parce qu’ils ont déjà Jacques-Alain Miller, qui se fait passer pour leur grand Autre, à eux... («Jacques-Alain Miller, ce Neveu de Lacan, vain et mondain», disait Philippe Muray)
«Que toute cette canaillerie repose sur ceci: de vouloir être l’Autre — j’entends le grand Autre — de quelqu’un, là où se dessinent les figures où son désir sera capté.»
(Jacques Lacan, Séminaire XVII, L’envers de la psychanalyse)
La responsabilité de l'analyste consiste à répondre de sa position d’analyste et pas seulement de répondre à quelqu’un (Lacan note que cette réponse prend le plus souvent la forme d'une non-réponse, d’une réponse "à côté", car il s’agit en vérité de répondre d’une faille, d’un défaut, d’un «il n’y a pas d’Autre de l’Autre»...)
Le "psychanalyste" qui s’imagine que la position de l’analyste (le Discours de l’Analyste) ne vaut que pendant le temps des séances est en réalité un «psy», un «professeur d’université», un représentant de commerce du Discours Universitaire, qui ne veut rien savoir de l’éthique de la psychanalyse, structurée par le Discours de l’Analyste (l’exemple vient de «haut»: avec l’exécutaire testamenteur en personne...)
Le Discours de l'Analyste est le lien social déterminé par la pratique d’une analyse menée jusqu’à son terme logique, elle conditionne effectivement la praxis de l’analyste en tant qu'il l’est effectivement, analyste, ce qui n’a rien à voir avec être «psy», le psychanalyste s'assujettit à l'exigence éthique qu'induit le Discours qu'il veut servir.
La position de Jacques-Alain Miller n'a strictement rien à voir avec celle de Lacan - elle lui est antagoniste! - dans son cynisme avéré, à vouloir faire exister de force un «grand Autre» de la politique: hier il "combattait le fascisme", aujourd’hui il fait le lit des Gender Studies qui ne sont rien d’autre qu’un avatar du Discours Capitaliste...
De toute sa vie, Lacan n'a jamais été cynique.
L'impardonnable erreur théorique que fait Miller de vouloir prendre le Réel pour «quelque chose» de substantiel finit par lui faire réduire le Symbolique à une simple tessiture de semblants, ignorant que le Réel c'est toujours d'abord le réel du semblant lui-même, c'est ainsi que le cynique congédie la texture symbolique comme s’il s’agissait de simples semblants révocables, et du même coup s'aveugle sur la manière dont c'est seulement à travers le Symbolique («signifiant» est un autre nom pour «semblant») qu'il aurait pu intervenir sur le Réel - l'analyse menée jusqu’à son terme ayant démontré qu'il ne saurait exister d’autre voie d’accès...
Le Réel, inaccessible, ne se fait jour qu’à travers le Symbolique auquel il n’est pas exogène, mais strictement inhérent, en marquant la limite interne.
C'est précisément parce le Réel est l’impossible logique ...qu’il arrive ! ne pouvant que laisser présupposer dans un après-coup (nachtrag) les conditions de sa survenue.
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