#dessin de travers
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baldo-art · 14 days ago
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un Elvis de carte postale
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cabinet-baldo · 1 year ago
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Artzybasheff (1889 - 1965) "He Brings Machines to Live" by Baldo 23/02/2023
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baldo-poster · 2 months ago
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Ma banlieue en 2025 - Poésie pointilliste
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moncoeurestatoimonamour · 1 month ago
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Lorsque le soleil descend lentement derriĂšre l’horizon, les couleurs orangĂ©es s’étendent sur le Vercors, ma maison. La lumiĂšre, douce et chaude, se dĂ©ploie lentement Ă  travers les montagnes, illuminant les crĂȘtes et les vallĂ©es d’un Ă©clat magique. C’est comme si la nature elle-mĂȘme, dans sa grandeur silencieuse, offrait un tableau vivant, oĂč chaque nuance du ciel semblait vouloir raconter une histoire d’amour, d’émotion et de beautĂ©. Le cƓur du Vercors bat au rythme de ces couchers de soleil, comme une promesse d’éternitĂ©. Les montagnes, majestueuses et intemporelles, enveloppent mon Ăąme dans un cocon de sĂ©rĂ©nitĂ©, tandis que les couleurs orangĂ©es, telles des flammes douces, rĂ©chauffent l’atmosphĂšre. L’air frais du soir mĂȘlĂ© Ă  la chaleur de la lumiĂšre crĂ©e une harmonie parfaite, un Ă©quilibre subtil entre le monde intĂ©rieur et extĂ©rieur. La femme, elle aussi, semble se fondre dans ce paysage : ses yeux brillent Ă  la lueur de ce ciel enflammĂ©, son cƓur palpite dans l’immensitĂ© tranquille de ce lieu. Elle est, tout comme le Vercors, un symbole de force et de beautĂ©, calme et sauvage Ă  la fois. Le soir, dans cette lumiĂšre orangĂ©e, elle incarne cette beautĂ© pure, ce lien sacrĂ© entre l’amour et la nature. Le Vercors, ma maison, est bien plus qu’un simple lieu. C’est le reflet de mon Ăąme, de mes Ă©motions, de mon cƓur qui bat au rythme de ce paysage. Les couleurs du soir, la chaleur douce de l’orange, l’amour et la beautĂ© se mĂȘlent pour dessiner un tableau parfait, celui d’un monde oĂč l’on se sent Ă  la fois tout petit et infiniment grand.
Vercors / France đŸ‡«đŸ‡·
Photo ©LM
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chic-a-gigot · 4 months ago
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L'Art et la mode, no. 46, vol. 14, 18 novembre 1893, Paris. Sarah Bernhardt. Théùtre de la Renaissance: Les Rois. Dessin de Marie de Solar. BibliothÚque nationale de France
Toilette en panne miroir hĂ©liotrope brodĂ©e d'opales, d'or et de turquoises d'Egypte. EmpiĂšcement de turquoises. Manches et traĂźne en panne pervenche, doublĂ©e de soie turquoise. — CrĂ©ation de Laferriere.
Ensemble in heliotrope mirror panne embroidered with opals, gold and Egyptian turquoise. Turquoise insert. Sleeves and train in periwinkle panne, lined with turquoise silk.
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Robe en satin violette des bois, entiĂšrement brodĂ©e de pensĂ©es en soie repoussĂ©e et perlĂ©e. La robe s’ouvre en panneaux de cĂŽtĂ© sur du tulle noir brodĂ© de jais scintillant. Grand voile de mĂȘme tulle, tombant d’une couronne de jais. – CrĂ©ation de Laferriere.
Dress in violet satin of the woods, entirely embroidered with pansies in repoussé and pearl silk. The dress opens in side panels on black tulle embroidered with shimmering jet. Large veil of the same tulle, falling from a crown of jet.
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Robe en satin noir entiĂšrement brodĂ©e, ainsi que la capuche, d’hiĂ©roglyphes or et soie.
Black satin dress entirely embroidered, as well as the hood, with gold and silk hieroglyphs.
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Robe en tulle noir, lamée de bandes "clair de lune" et de perles "blanc de nuit". Grand manteau de dentelle noire faisant ailes.
Black tulle dress, laminated with "moonlight" bands and "night white" pearls. Large black lace coat making wings.
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Mme Valdé Frida.
Ravissante blouse en soie plissée accordéon améthyste pùle. Petite guimpe de guipure. Manches également recouvertes de guipure.
Lovely blouse in pale amethyst accordion pleated silk. Small guipure guimpe. Sleeves also covered with guipure.
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Mme Valdé.
Corsage et jupe de satin blanc. Grand cordon rosé mis en travers du corsage.
Bodice and skirt in white satin. Large pink cord placed across the bodice.
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fashionbooksmilano · 2 months ago
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Cocteau
Centre Pompidou, Paris 2003, 415 pages, 17x27cm, ISBN 9782844262219
euro 25.00
email if you want to buy [email protected]
Mostra Centre Pompidou Paris : Sur le fil du siĂšcle 25 septembre 2003- 5 janvier 2004
L'exposition rĂ©trospective, la plus importante Ă  ce jour en France, consacrĂ©e Ă  l'oeuvre Ă©clectique d'un poĂšte, Ă©crivain, mais aussi cinĂ©aste, peintre, animateur de la scĂšne musicale française. PoĂšte, Ă©crivain, critique, mais aussi cinĂ©aste, dessinateur, acteur de la scĂšne musicale française, il dĂ©ploie, des annĂ©es 10 aux annĂ©es 60, une activitĂ© diverse et fĂ©conde. A travers plus de 900 piĂšces, dont 32 installations audiovisuelles mĂȘlant extraits de films et d'archives, cette manifestation restitue sa juste place Ă  la personnalitĂ© artistique de Jean Cocteau. Exposition paradoxale cependant, qui met en scĂšne l'homme rendu cĂ©lĂšbre par ses apparitions dans l'actualitĂ© culturelle et mondaine de l'aprĂšs-guerre et l'artiste dont le rĂŽle demeure finalement mĂ©connu. Les quarante annĂ©es qui nous sĂ©parent de sa disparition ne sont pas parvenues Ă  Ă©mousser une personnalitĂ© vive, sans toutefois rendre vĂ©ritablement justice Ă  son oeuvre. Cette diversitĂ© se reflĂšte dans les oeuvres prĂ©sentĂ©es dans l'exposition : 335 dessins, 300 photographies, 22 tableaux d'artistes majeurs du siĂšcle qui l'ont cĂ©lĂ©brĂ©, une cinquantaine de manuscrits, objets et sculptures. Enfin, une salle de projection au sein du parcours, prĂ©sente notamment : Le Sang d'un poĂšte, OrphĂ©e, Le Testament d'OrphĂ©e, Les Enfants terribles, La Belle et la bĂȘte, Les Parents terribles".
11/01/25
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abridurif · 6 months ago
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Constamment Van Gogh fait appel Ă  la patience : « Qu’est-ce que dessiner ? Comment y arrive-t-on ? C’est l’action de se frayer un passage Ă  travers un mur de fer invisible, qui semble se trouver entre ce que l’on sent et ce que l’on peut. Comment doit-on traverser ce mur, car il ne sert de rien d’y frapper fort, on doit miner ce mur et le traverser Ă  la lime, lentement et avec patience Ă  mon sens. » « Je ne suis pas un artiste – comme c’est grossier – mĂȘme de le penser de soi-mĂȘme – pourrait-on ne pas avoir la patience, ne pas apprendre de la nature Ă  avoir de la patience, avoir de la patience en voyant silencieusement lever le blĂ©, croĂźtre les choses – pourrait-on s’estimer une chose si absolument morte que de penser qu’on puisse mĂȘme plus croĂźtre
 Je dis cela pour montrer combien je trouve sot de parler d’artistes douĂ©s ou non douĂ©s. » Maurice Blanchot, L’Espace littĂ©raire, Éditions Gallimard, 1955
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mrsines · 4 months ago
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 3 : Bienvenue sur la route
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
La piÚce était enveloppée d'une atmosphÚre chargée d'anticipation. Les murs, couverts de livres anciens et de symboles mystiques, semblaient vibrer au rythme des pensées d'Ivana. Elle faisait les cent pas, ses pieds glissant légÚrement sur le sol en bois poli, tandis qu'Agatha l'observait avec un mélange de bienveillance et d'amusement.
« Ivana, arrĂȘte de marcher comme ça, » lança Agatha en s'approchant. « On dirait un enfant de quatre ans qui attend NoĂ«l. »
Ivana s'arrĂȘta brusquement, levant les yeux vers Agatha. Son visage trahissait une lutte entre l'anxiĂ©tĂ© et l'envie de rire. Elle haussait les Ă©paules, un geste Ă  la fois de dĂ©sespoir et de rĂ©signation.
« Je sais, mais c'est quand mĂȘme stressant comme situation. On attend toutes les autres sorciĂšres, et si quelque chose ne se passe pas comme prĂ©vu ? »
Agatha s'approcha un peu plus, une lueur de comprĂ©hension dans ses yeux. « Écoute, » rĂ©pondit Agatha avec fermetĂ©, « chaque sorciĂšre ici a ses propres raisons de vouloir faire partie du coven ne t'en fais pas elle vont venir . »
Ivana hocha lentement la tĂȘte, commençant Ă  se dĂ©tendre sous le regard apaisant de son amie. « D'accord, d'accord.»
La piÚce était éclairée par la lumiÚre dorée du soleil couchant qui filtrait à travers les rideaux légers, projetant des motifs délicats sur le sol en bois. Agatha, avec ses cheveux chùtains tombant en boucles autour de son visage, se tenait là, les bras croisés, un sourire espiÚgle sur les lÚvres. Elle observait Ivana, qui était assise sur le canapé, ses jambes croisées, trahissant son agitation.
« De toute façon, tu as toujours été impatiente, » lança Agatha, son ton léger, presque taquin.
Ivana lùcha un rire nerveux, une note d'irritation dans sa voix. Elle leva les yeux vers Agatha, ses pupilles sombres reflétant une lueur de défi.
  « Comme si tu avais été présente dans ma vie pour le savoir, » rétorqua-t-elle, un sourire amer se dessinant sur ses lÚvres.
Agatha, toujours confiante, haussait les épaules, ses yeux pétillants d'une malice familiÚre. « Oui, j'ai été présente durant une partie de ta vie, » affirma-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Ivana, se redressant légÚrement, plissa les lÚvres, une ombre de tristesse traversant son visage. « Tu ne peux pas juger, vu que tu n'es pas restée longtemps dans ma vie, » dit-elle, sa voix tremblant légÚrement.
Agatha, ne se laissant pas abattre, répliqua avec un éclat de rire. « C'est parceque ta trÚs cher mÚre  m'a jeté un sort. »
Ivana, les poings serrĂ©s, sentit une vague de frustration l'envahir. « Ça n'a rien Ă  voir ! Wanda t'a jetĂ© le sort de rester la voisine gentille mais envahissante, donc tu aurait trĂšs bien pu continuer Ă  prendre des nouvelles de moi. »
Un silence pesant s'installa alors, rempli de non-dits. Ivana, bien qu'elle ne le formulĂąt pas, se sentait abandonnĂ©e par Agatha. La douleur de la solitude s'insinuait en elle, lui rappelant que, malgrĂ© les rires et les souvenirs partagĂ©s, une distance invisible s'Ă©tait creusĂ©e entre elles. Les souvenirs d'anciens Ă©clats de rire rĂ©sonnaient dans sa tĂȘte, mais la rĂ©alitĂ© de leur situation actuelle lui pesait lourdement sur le cƓur.
Agatha ouvrit la bouche pour rĂ©pondre Ă  l'accusation d'Ivana, mais avant qu'elle puisse articuler une rĂ©ponse, la porte du salon s'ouvrit avec fracas. Un groupe de sorciĂšres entra, apportant avec elles une vague d'Ă©nergie et d'excitation. La piĂšce, dĂ©jĂ  baignĂ©e de lumiĂšre dorĂ©e, sembla s’illuminer davantage Ă  leur arrivĂ©e.
« DĂ©solĂ©es pour le retard ! » s'exclama Jen,  sa voix rĂ©sonnant joyeusement dans l’espace. 
« On a failli ĂȘtre en retard Ă  la rĂ©union, » ajouta Alice, une sorciĂšre Ă  la chevelure noire comme l'Ă©bĂšne, qui s'avança avec assurance. « Mais nous sommes lĂ  maintenant, et c’est tout ce qui compte ! »
Ivana, voyant Lucillia entrer dans le groupe, ne put s'empĂȘcher de sourire. La jeune sorciĂšre, bien plus jeune qu'Agatha et les autres, avait un air pĂ©tillant et une Ă©nergie contagieuse. Elle se tenait un peu en retrait, mais son regard brillant trahissait son enthousiasme. 
☆○o。  。o○☆
Le coven passa le portail scintillant, un frisson d'excitation parcourant l'air. Ils se retrouvĂšrent soudain dans une forĂȘt enchantĂ©e, baignĂ©e de lumiĂšre dorĂ©e. Les arbres, aux troncs tordus et aux feuilles multicolores, semblaient chuchoter des secrets anciens. Des fleurs luminescentes parsemaient le sol, illuminant le chemin de couleurs vives, et des petites crĂ©atures aux plumages Ă©clatants voletaient entre les branches, ajoutant Ă  l'atmosphĂšre fĂ©erique.
« Regardez cette beauté ! » s'exclama Alice, ses yeux pétillants d'émerveillement alors qu'elle levait les bras comme pour embrasser la magie qui les entourait. 
« Oui sublime. Aller nous devons commencer à marcher. »Dit alors Agatha
À ces mots, le groupe se mit en mouvement, leurs pas rĂ©sonnant doucement sur le tapis de feuilles croustillantes. Lucillia et Ivana se retrouvĂšrent en tĂȘte, avançant avec curiositĂ© sur le chemin sinueux qui s'Ă©tendait devant elles. Le doux parfum des fleurs et le chant des oiseaux crĂ©aient une mĂ©lodie apaisante. Alors qu'elles avançaient, Lucillia aperçut un dĂ©tail fascinant.
« Attends, Ivana,  » dit-elle, fascinée, en désignant le cou d'Ivana. « Ton tatouage, cette petite colombe, elle est super belle ! »
Ivana se tourna, un sourire timide illuminant son visage, ses yeux brillants de fiertĂ©. « Merci, Lucillia. C'est un symbole de purtĂ© pour moi. J'aime l'idĂ©e qu'elle me rappelle de rester honnĂȘte  mĂȘme dans les moments difficiles et de ne pas faire les mĂȘme erreur que ma mĂšre »
À quelques pas derriĂšre, Agatha et Lilia observaient la scĂšne avec une expression moins enthousiaste. Agatha plissa les yeux, un frisson d'inquiĂ©tude traversant son esprit. 
« Je n'aime pas ça, » murmura-t-elle à Lilia, sa voix teintée de méfiance. « Elles semblent trop proches, comme si elles oubliaient pourquoi nous sommes ici dit à ta protégé de ne pas s'approcher d'Ivana. »
Lilia hocha la tĂȘte, ses pensĂ©es s'Ă©garant dans les implications de cette nouvelle amitiĂ©. « Ma protĂ©gĂ© ? Non mais je rĂȘve. Retiens toi Agatha tu vas finir verte comme la sorciĂšre de l'ouest. » rĂ©pondit-elle, scrutant les alentours, comme si elle pouvait sentir une prĂ©sence invisible.
Lilia se tenait lĂ©gĂšrement en retrait, observant la dynamique qui se tissait entre Ivana et Lucillia. Bien qu'elle n'ait pas verbalement exprimĂ© son accord avec les inquiĂ©tudes d'Agatha, une partie d'elle-mĂȘme ressentait la mĂȘme chose. Une tension subtile flottait dans l'air, comme si la forĂȘt elle-mĂȘme retenait son souffle, attentive Ă  leurs Ă©motions.
Lucillia, avec son sourire radieux et son énergie contagieuse, semblait incarner une lumiÚre qui attirait Lilia. Chaque éclat de rire et chaque geste gracieux de Lucillia éveillaient en elle une curiosité et un désir d'approfondir leur lien. Lilia se sentait attirée par cette connexion inexplicable, comme si elles partageaient un secret que seules elles pouvaient comprendre.
 Lilia, ne pouvait s'empĂȘcher de ressentir une affinitĂ© grandissante pour Lucillia, une complice potentielle dans cette aventure magique.
Les couleurs vibrantes de la forĂȘt semblaient reflĂ©ter son dilemme intĂ©rieur. Les feuilles scintillantes dansaient au grĂ© d'une brise lĂ©gĂšre, et les fleurs luminescentes Ă©clairaient le chemin, tout en symbolisant la beautĂ© et la fragilitĂ© des relations. Lilia se demandait si elle pourrait vraiment se permettre de laisser cette connexion avec Lucillia s'Ă©vanouir.
Elle se tourna vers Lucillia, qui Ă©tait en train de ramasser une fleur Ă©clatante, ses yeux brillants d'enthousiasme. Lilia sentit son cƓur se serrer Ă  l'idĂ©e de perdre cette opportunitĂ©. Elle voulait s'ouvrir Ă  cette nouvelle amitiĂ©, mais les choses Ă©taient compliquĂ©.
Dans ce moment suspendu, Lilia prit une profonde inspiration, se promettant de trouver un moyen d'Ă©quilibrer ses sentiments. Elle se rendit compte que, mĂȘme si elle n'avait pas encore trouvĂ© les mots pour exprimer son accord avec Agatha, elle ne pouvait ignorer la magie qui se tissait avec Lucillia. La forĂȘt, avec ses mystĂšres et ses merveilles, devenait le tĂ©moin silencieux de ce combat intĂ©rieur, une toile de fond pour un choix qui pourrait changer le cours de leur aventure.
Agatha se tenait Ă  l'Ă©cart, ses yeux rivĂ©s sur Ivana, qui riait avec Lucillia au loin. Une vague de mĂ©contentement l'envahit, et elle ne pouvait s'empĂȘcher de ressentir une pointe de jalousie. Leurs rires rĂ©sonnaient dans l'air, mais pour Agatha, chaque Ă©clat de joie de Lucillia Ă©tait comme une flĂšche, transperçant le lien fragile qu'elle partageait avec Ivana.
Elle se remĂ©mora son enfance, lorsque le monde semblait plus simple. À l'Ă©poque oĂč elle Ă©tait encore 'Agnes', Agatha avait passĂ© d'innombrables heures avec Ivana, tissant des souvenirs indĂ©lĂ©biles. 
Maintenant, en voyant Ivana s'épanouir en tant qu'adulte, Agatha ressentait une lutte intérieure. D'un cÎté, elle voulait voir Ivana heureuse, mais de l'autre, l'idée que quelqu'un d'autre puisse se rapprocher d'elle la dérangeait profondément. C'était comme si Lucillia menaçait de lui voler une part de ce qu'elle  considéré comme précieux.
Agatha se questionnait sur ses vĂ©ritables sentiments. Était-ce une simple possessivitĂ©, un Ă©cho de son attachement d'antan, ou bien une envie plus profonde de garder Ivana pour elle seule ? Cette ambivalence la tourmentait, et elle se sentait tiraillĂ©e entre le dĂ©sir de protĂ©ger leur amitiĂ© et la peur de perdre Ivana au profit de Lucillia.
Elle observa chaque geste de Lucillia, chaque sourire Ă©changĂ©, et un sentiment d'inquiĂ©tude grandissait en elle. Agatha se demandait si elle pouvait vraiment faire confiance Ă  cette nouvelle prĂ©sence dans la vie d'Ivana. La forĂȘt, tĂ©moin silencieux de cette lutte Ă©motionnelle, semblait vibrer autour d'elle, accentuant la tension qui rĂ©gnait dans son cƓur.
☆○o。  。o○☆
La forĂȘt n'Ă©tait pas vide, loin de lĂ . Une ambiance mystĂ©rieuse flottait dans l'air, presque palpable. À l'autre bout de la forĂȘt, un homme se tenait lĂ , silhouette Ă©nigmatique au milieu des arbres imposants. Il Ă©tait vĂȘtu de cuir, une tenue qui Ă©pousait parfaitement son corps, lui donnant un air Ă  la fois dangereux et sĂ©duisant.
Son manteau noir, long et usé, flottait légÚrement autour de lui, comme s'il était en harmonie avec le souffle du vent. Les coutures étaient délicates, ornées de motifs subtils qui semblaient raconter une histoire ancienne. Sous ce manteau, il portait une chemise sombre, et ses pantalons en cuir étaient ajustés, accentuant sa stature imposante.
Son visage Ă©tait partiellement cachĂ© par une ombre, mais ses yeux brillaient d'une lueur malicieuse, presque hypnotique. Il avait des cheveux sombres, lĂ©gĂšrement ondulĂ©s, qui tombaient sur son front, ajoutant Ă  son allure mystĂ©rieuse. La forĂȘt, avec ses bruits de feuilles et ses murmures de crĂ©atures, semblait se taire en sa prĂ©sence, comme si mĂȘme la nature reconnaissait la puissance qui Ă©manait de lui.
L'homme mystĂ©rieux se tenait au milieu de la forĂȘt dense, entourĂ© de grands arbres aux troncs noueux, leurs feuilles bruissant doucement sous le souffle du vent. Soudain, il sentit une prĂ©sence, une Ă©nergie sombre et familiĂšre qui envahissait l'air. Les sorciĂšres approchaient, et leur aura malĂ©fique perturbait l'harmonie de la nature autour de lui.
Il ferma les yeux, cherchant Ă  se concentrer, imaginant un accueil horrible Ă  leur donner, une confrontation qui pourrait faire trembler mĂȘme les plus courageux. Dans son esprit, il voyait des ombres se mouvoir, des rires sinistres rĂ©sonner dans la nuit.
Tout à coup, il ressentit une chaleur intense dans sa main. Sa dague, toujours à ses cÎtés, commença à s'illuminer d'une lueur éclatante, projetant des reflets argentés sur son visage marqué par l'angoisse. Le métal scintillait comme s'il était animé d'une vie propre, réagissant à la menace qui approchait.
"Non, c'est impossible..." murmura-t-il, sa voix tremblante trahissant son choc. Il ouvrit les yeux, fixant la dague avec une intensité renouvelée, réalisant que cet éclat n'était pas simplement un phénomÚne. Cela signifiait quelque chose, une connexion avec les sorciÚres, un appel à l'action.
Il se redressa, le cƓur battant, prĂȘt Ă  affronter ce qui allait venir. L'atmosphĂšre Ă©tait chargĂ©e de tension, et il savait que le moment de la confrontation Ă©tait proche. Les sorciĂšres, avec leurs rituels et leurs pouvoirs, n'Ă©taient pas lĂ  pour nĂ©gocier. Il devait se prĂ©parer Ă  dĂ©fendre son domaine, Ă  utiliser la force de la dague illuminĂ©e pour contrer leur magie.
☆○o。  。o○☆
Le coven avançait prudemment sur le chemin qui leur avait Ă©tĂ© indiquĂ©, l’atmosphĂšre chargĂ©e d’une tension palpable. Les arbres, sombres et tordus, semblaient chuchoter des secrets alors qu’elles progressaient, sans vraiment savoir oĂč cette route les mĂšnerait. Soudain, au loin, une silhouette se dessina : une maison isolĂ©e, ses fenĂȘtres sombres comme des yeux vides.
« Il faudrait qu’on entre pour voir ce qui se passe, » proposa Alice, sa voix brisant le silence pesant. Elle se tourna vers ses compagnes, dĂ©terminĂ©e mais visiblement nerveuse.
Lucillia, les sourcils froncĂ©s, n’était pas rassurĂ©e par l’idĂ©e. « Et si c’est un piĂšge ? » murmura-t-elle, ses yeux scrutant les ombres autour d’elles.
 Mais alors, elle croisa le regard de Lilia, qui lui offrit un sourire apaisant. Ce simple Ă©change lui redonna un peu de courage.Ivana, un peu en retrait, observa Agatha. Leurs yeux se rencontrĂšrent, et dans cette connexion silencieuse, une comprĂ©hension mutuelle s’établit. Agatha, avec un soupçon de bravoure, s’avança vers la porte. Elle prit une profonde inspiration, puis, avec une main ferme, elle saisit la poignĂ©e et l’ouvrit lentement. Le grincement de la porte rĂ©sonna dans l’air frais du crĂ©puscule, ajoutant une note de mystĂšre Ă  leur aventure.
Lorsque les femmes franchirent le seuil de la maison, une atmosphĂšre Ă©trange et fascinante les enveloppa. L’air semblait vibrer autour d’elles, chargĂ© d’une Ă©nergie mystĂ©rieuse. À peine avaient-elles posĂ© le pied Ă  l’intĂ©rieur qu’un Ă©clair de lumiĂšre Ă©blouissant jaillit, les enveloppant dans un halo scintillant.
En un instant, leurs vĂȘtements de tous les jours se transformĂšrent. Les robes colorĂ©es et les jupes lĂ©gĂšres se mĂ©tamorphosĂšrent en armures brillantes, ajustĂ©es et ornĂ©es de motifs guerriers. Les cuirs et les mĂ©taux scintillaient sous la lumiĂšre, et chaque femme se retrouva vĂȘtue d’une tenue qui Ă©voquait la force et la bravoure.
Ivana :
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Lucillia :
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Le regard d'Agatha se posa immédiatement sur Ivana, captivé par sa présence. La piÚce était baignée d'une lumiÚre dorée, et chaque rayon semblait mettre en valeur la beauté d'Ivana. Son visage, délicatement sculpté, affichait un sourire qui illuminait son regard.
Ses cheveux, longs et ondulĂ©s, tombaient en cascade sur ses Ă©paules, capturant la lumiĂšre et crĂ©ant un halo autour d'elle. À chaque mouvement, ils semblaient danser, attirant encore plus l'attention d'Agatha.
À cette vue, un sourire involontaire se dessina sur les lĂšvres d'Agatha. Elle ressentit une montĂ©e d'admiration, une chaleur douce qui s'empara de son cƓur. Ivana Ă©tait non seulement belle, mais elle dĂ©gageait une sensualitĂ© naturelle, une confiance en soi qui la rendait encore plus sĂ©duisante. Cependant, cette pensĂ©e fit frĂ©mir Agatha. Elle secoua la tĂȘte, comme pour chasser cette idĂ©e de son esprit, consciente que ces sentiments pourraient compliquer leur liens. Son esprit Ă©tait en Ă©moi, tiraillĂ© entre admiration et la crainte de franchir une ligne qu'elle ne voulait pas dĂ©passer.
Lilia se tenait là, absorbée par la silhouette de Lucillia. Sa tenue de guerriÚre, faite de cuir et de métal, épousait parfaitement ses formes, accentuant sa beauté naturelle. Les détails de son armure, avec ses ornements délicats et ses inscriptions anciennes, racontaient une histoire de bravoure et de force. Chaque piÚce semblait conçue non seulement pour la protéger, mais aussi pour mettre en valeur sa grùce.
Les Ă©paules de Lucillia Ă©taient recouvertes d'Ă©pauliĂšres finement travaillĂ©es, qui brillaient sous la lumiĂšre ambiante, tandis que sa ceinture, ornĂ©e de runes mystĂ©rieuses, marquait sa taille avec Ă©lĂ©gance. Lilia ne pouvait s'empĂȘcher de remarquer la façon dont les cheveux de Lucillia, tressĂ©s avec soin, tombaient en cascade sur son dos, ajoutant une touche de fĂ©minitĂ© Ă  sa prĂ©sence guerriĂšre.
Alors qu'elle observait chaque dĂ©tail, Lilia ressentit une montĂ©e d'Ă©motions qu'elle n'avait pas anticipĂ©e. Son cƓur battait plus vite et son esprit commença Ă  vagabonder vers des pensĂ©es plus intimes, des scĂ©narios qui la faisaient rougir. Elle se reprit rapidement, consciente du chemin que prenaient ses pensĂ©es.
Pour détourner son attention, Lilia s'éclaircit la voix et, avec une légÚreté feinte, demanda : 
"On doit s'attendre à quoi ?" Cette question, bien qu'anodine, était une tentative de ramener la conversation sur un terrain plus sûr, tout en cachant le tumulte qui régnait dans son esprit.
Alice se tenait au milieu du groupe, ses yeux scrutant les visages des autres, son esprit en proie Ă  l'incertitude. Elle prit une profonde inspiration avant de s'adresser Ă  ses amis.
 "Je ne sais pas du tout," avoua-t-elle, sa voix trahissant une légÚre tremblement. 
Elle se sentait perdue, comme si les rĂ©ponses qu'elle cherchait se cachaient dans l'ombre des arbres qui les entouraient.Jen, qui se tenait Ă  cĂŽtĂ© d'elle, tourna la tĂȘte vers Agatha, une lueur d'espoir dans ses yeux. 
"Tu devrais savoir, Agatha," dit-elle avec une certaine impatience. "Tu as déjà fait la route, non ?"
Agatha, les bras croisés, baissa légÚrement le regard, semblant peser ses mots. 
"Oui, mais la route change en fonction du Coven," expliqua-t-elle, la voix empreinte de sérieux. "Je ne peux pas vraiment dire ce qui va se passer. Chaque fois, c'est différent."
Les autres Ă©changĂšrent des regards inquiets, l'atmosphĂšre devenant de plus en plus tendue. Alice sentit son cƓur s'accĂ©lĂ©rer, l'angoisse s'installant dans son estomac.
  "Et si on se perdait ?" demanda-t-elle, la peur transparaissant dans sa voix.
Jen hocha la tĂȘte, cherchant Ă  apaiser l'atmosphĂšre. "On va trouver notre chemin, ensemble," ajouta-t-elle avec un sourire encourageant, mĂȘme si elle-mĂȘme n'Ă©tait pas si sĂ»re.
Lucillia avançait lentement vers les étagÚres poussiéreuses, ses doigts glissant sur les couvertures des livres anciens. L'air était chargé d'une odeur de vieux papier et de cuir, et chaque pas qu'elle faisait semblait résonner dans le silence oppressant de la maison. Elle se pencha pour examiner un tome relié en cuir, ses pages jaunies par le temps, espérant y trouver une solution pour échapper à cet endroit mystérieux.
Pendant ce temps, Ivana, attirée par un objet ancien qui brillait faiblement dans un coin de la piÚce, s'approcha avec curiosité. Elle découvrit un couteau au manche délicatement sculpté, dont la lame semblait scintiller sous la lumiÚre tamisée. Elle le prit en main, fascinée par sa beauté. 
"Regardez ça," dit-elle en se tournant vers les autres femmes, un sourire émerveillé sur le visage.
Mais à cet instant précis, un grondement sourd résonna à travers les murs de la maison, et le sol commença à trembler sous leurs pieds. Alice, surprise, leva les yeux vers Ivana, l'inquiétude se lisant sur son visage.
 "Qu'est-ce que tu as fait ?" demanda Alice sa voix trahissant une panique grandissante.
Ivana, un peu dĂ©concertĂ©e, secoua la tĂȘte. "Rien, j'ai juste pris ça," rĂ©pondit-elle, levant le couteau pour le montrer, comme si cela pouvait apaiser la situation.
Les murs semblaient vibrer, et des livres tombÚrent des étagÚres, créant un bruit assourdissant. 
"Tu es sûre que ça ne vient pas de ce couteau ?" s'exclama Lucillia, ses yeux écarquillés par la peur.
"Je ne sais pas ! Peut-ĂȘtre que c'est un symbole ou quelque chose comme ça," rĂ©pondit Ivana, son enthousiasme initial se transformant en nervositĂ©.
Alice, qui observait la scĂšne, intervint. "Mettez-le de cĂŽtĂ©, Ivana ! Peut-ĂȘtre que c'est dangereux," suggĂ©ra-t-elle, sa voix ferme mais teintĂ©e d'inquiĂ©tude.
Alors que Lucillia, Ivana et Alice reprenaient leur souffle aprÚs le tremblement, une lumiÚre éclatante illumina la piÚce. Subitement, une femme apparut, ses yeux flamboyants et son visage marqué par une détermination féroce. Elle leva les bras, et une flamme jaillit de sa bouche, illuminant la piÚce d'une lueur inquiétante.
"Rendez-moi ce couteau !" cria-t-elle, sa voix résonnant comme un écho dans l'obscurité. 
Les sorciÚres, terrifiées, échangÚrent des regards paniqués avant de se précipiter vers une porte au fond de la piÚce.
"Vite ! Dans la chambre !" s'exclama Lucillia, 
Le coven se précipitÚrent à l'intérieur, fermant la porte derriÚre elles juste à temps pour entendre le souffle de feu frapper le bois.
 "C'est ce couteau qu'elle veut !" s'écria Lilia, les yeux brillants d'une détermination nouvelle. "C'est avec ça qu'il faut la battre !"
Ivana, le cƓur battant, se tourna vers ses amies. "Dans se cas j'y vais !" dĂ©clara-t-elle, sa voix pleine de courage.
Agatha, la plus sage du groupe, s'approcha d'Ivana, posant une main apaisante sur son épaule. 
"Non, attends ! Ce n'est pas une simple bataille. Nous devons réfléchir," tenta-t-elle de la dissuader, son regard sérieux. "Cette femme est puissante. Nous devons trouver un moyen de la neutraliser sans la provoquer davantage tu n'a pas de pouvoir.."
Ivana sentit son cƓur se gonfler Ă  ces mots. Elle savait qu'Agatha tenait Ă  elle, mais elle ne voulait pas l'admettre. Elle plongea son regard dans celui d'Agatha, cherchant Ă  dĂ©celer la profondeur de ses Ă©motions. Les yeux d'Agatha brillaient d'une lueur protectrice, et Ivana ne pouvait s'empĂȘcher de sourire, mĂȘme si elle essayait de rester sĂ©rieuse.
"Attention, Agatha," commença Ivana, un ton taquin dans la voix. "Si je ne te connaissais pas, je dirais que tu t'inquiĂštes pour moi." Elle lui fit un clin d'Ɠil espiĂšgle, un Ă©clat de malice illuminant son visage.
vana poussa la porte avec détermination, les gonds grincÚrent légÚrement, brisant le silence pesant de la piÚce. Devant elles se tenait une femme au visage marqué.
"On ne vous a jamais dit que ce n'était pas bon de fumer ?" lança Ivana, sa voix pleine de défi, tandis qu'elle scrutait la femme avec une intensité qui ne laissait pas de place au doute.
La femme, visiblement irritée par le commentaire, esquissa un sourire sinistre avant de cracher une gerbe de feu, une flamme vive qui jaillit de sa bouche comme un dragon en colÚre.
Ivana, rĂ©agissant rapidement, brandit un couteau au-dessus de sa tĂȘte, le mĂ©tal brillant Ă  la lumiĂšre vacillante. Un mur de protection avec la lame, un Ă©clat d'acier qui semblait dĂ©fier les flammes.
À cĂŽtĂ© d'elle, Lilia tira Lucillia vers elle, l’enveloppant dans un geste protecteur. Elle avait besoin de sentir sa prĂ©sence, de la savoir Ă  ses cĂŽtĂ©s face Ă  cette menace. 
"Reste prÚs de moi, Lucillia," murmura-t-elle, sa voix tremblante trahissant son anxiété.
Lucillia, bien que lĂ©gĂšrement hĂ©sitante, hocha la tĂȘte, cherchant du rĂ©confort dans la chaleur de Lilia.Agatha, en retrait, observait la scĂšne avec une angoisse palpable. Ses yeux s'Ă©carquillĂšrent alors qu'elle voyait les flammes danser, et son cƓur battait la chamade.  Elle savait que la situation devenait de plus en plus dangereuse, et chaque instant comptait.
La tension était à son comble, et le combat entre le feu et le métal semblait figé dans le temps, chaque personnage jouant son rÎle dans ce drame inattendu.
☆○o。  。o○☆
L'épreuve était enfin terminée, et les sorciÚres se rassemblaient autour d'un feu de camp crépitant, la lumiÚre dansant sur leurs visages fatigués. Les ombres des arbres environnants semblaient s'étirer et se contorsionner, comme si elles écoutaient attentivement les murmures des sorciÚres. La chaleur du feu contrastait avec l'air frais de la nuit, apportant un certain réconfort aprÚs les épreuves qu'elles venaient de traverser.
Ivana, assise légÚrement à l'écart, fixait les flammes avec une intensité troublante. Ses pensées étaient en désordre, un tourbillon d'émotions qu'elle ne parvenait pas à mettre en mots. Les événements récents la hantaient : l'épreuve dans le labyrinthe de flammes, les visions troublantes qu'elle avait rencontrées, et surtout, la réapparition d'Agatha. Pourquoi maintenant ? Pourquoi ici ? Ces questions tourbillonnaient dans son esprit, la laissant perplexe et anxieuse.
Les autres sorciÚres discutaient à voix basse, partageant des histoires et des rires pour alléger l'atmosphÚre, mais Ivana se sentait déconnectée. Chaque rire semblait résonner comme un écho lointain, tandis qu'elle se débattait avec ses propres pensées. Elle se rappelait les moments passés avec Agatha, les secrets qu'elles avaient partagés, et la trahison qui avait suivi. La voir à nouveau, vivante et pleine de vie, était à la fois un soulagement et une source de confusion.
Dans son cƓur, une question persistait : comment pouvait-elle faire confiance Ă  Agatha aprĂšs tout ce qui s'Ă©tait passĂ© ? La rĂ©ponse lui Ă©chappait, et alors qu'elle regardait les Ă©toiles scintiller dans le ciel, elle savait qu'elle devait trouver une solution, non seulement pour elle-mĂȘme, mais aussi pour le groupe qui comptait sur elle.
Agatha s'approcha d'Ivana, ses pas légers sur le sol recouvert de feuilles mortes, le crépitement du feu de camp en arriÚre-plan. Elle observa le visage d'Ivana, marqué par l'inquiétude et la fatigue. Les flammes dansaient, projetant des ombres sur son visage, accentuant l'air préoccupé qui l'entourait. Agatha sentit une boule d'inquiétude se former dans sa poitrine. 
Elle s'accroupit prÚs d'Ivana, se penchant légÚrement pour lui chuchoter doucement à l'oreille : 
"Qu'est-ce qui ne va pas ?" Sa voix Ă©tait douce, presque un murmure, comme si elle craignait de briser le fragile silence de la nuit.
Ivana tourna lentement la tĂȘte vers elle, ses yeux reflĂ©tant une lueur de gratitude mĂȘlĂ©e Ă  de la tristesse.
 "Je suis juste fatiguée," répondit-elle, sa voix à peine audible, mais suffisamment claire pour qu'Agatha l'entende. 
Elle lui offrit un fin sourire, un geste qui semblait cacher des montagnes d'Ă©motions non exprimĂ©es.Agatha ne pouvait s'empĂȘcher de ressentir une profonde empathie. Elle savait que la fatigue d'Ivana n'Ă©tait pas seulement physique, mais aussi Ă©motionnelle, le poids des Ă©vĂ©nements rĂ©cents pesant lourdement sur ses Ă©paules. 
"Je vais me coucher," dit Ivana  en se dirigeant vers un coin plus tranquille, oĂč elle pourrait rĂ©flĂ©chir sans ĂȘtre dĂ©rangĂ©e.
Agatha la regarda s'Ă©loigner, un mĂ©lange de prĂ©occupation et de dĂ©termination dans son cƓur. Elle savait que la nuit serait longue pour Ivana, mais elle espĂ©rait qu'avec le temps, elle trouverait la force de partager ses pensĂ©es.
Lucillia Ă©tait assise prĂšs de Lilia, le crĂ©pitement du feu de camp illuminant leurs visages. Les flammes dansaient, projetant des ombres dansantes autour d'elles, crĂ©ant une atmosphĂšre chaleureuse malgrĂ© la fraĂźcheur de la nuit. Lucillia tourna la tĂȘte vers Lilia, ses yeux brillants de gratitude. 
"Merci d'avoir veillé sur moi pendant l'épreuve," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'émotion. 
Les mots flottaient dans l'air comme des Ă©toiles, et Lilia sentit son cƓur se rĂ©chauffer Ă  cette reconnaissance.Lilia, touchĂ©e par les remerciements de Lucillia, se pencha lĂ©gĂšrement en avant. Elle posa une main rĂ©confortante sur le genou de Lucillia, un geste simple mais chargĂ© de sens. 
"C'est normal," répondit-elle avec un sourire chaleureux. "Je veillerai toujours sur toi."
Lucillia leva les yeux, un mélange d'incrédulité et de soulagement sur son visage. "Vraiment ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une vulnérabilité qui la rendait encore plus touchante.
"Tu as ma parole," affirma Lilia, sa voix ferme et pleine de promesse. 
Elle savait que leur amitiĂ© Ă©tait un lien prĂ©cieux, et elle Ă©tait prĂȘte Ă  tout pour protĂ©ger Lucillia. Le feu continuait de crĂ©piter, mais pour elles, ce moment Ă©tait tout aussi lumineux que les flammes qui les entouraient.
â€żïž”â€żïž”ÊšÉžă€ŽFINă€ÊšÉžâ€żïž”â€żïž”
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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epine-dorsale · 2 months ago
Text
RECAPITULONS
Résolution Pas de résolution Pour l'instant Du moins
*
La plante d'un ami rend l'Ăąme
Je lui parle pour qu'il parte plus Facilement
*
Balec Jme barre Balec Jreviendrai pas Balec Je mdétache Les poches vides d'angoisse
*
Seulement les esseulés
*
Juste Aphone Pas Muet
*
Somme ou produit ?
*
L'actu
Mon
Actu
*
Reste
*
Cause I'm
*
Faire des listes de vie
S'y
Tenir
*
Univers Mouvant
*
Je suis un artiste avec un a privatif
*
En ce moment c'est boulot Boulot Mais le Jura s'immisce dans mes draps Je fais pas exprĂšs
*
Loose lover
*
MĂȘme si on n'est pas dans un dessin animĂ©
Tout le lit c'est mon cÎté
*
Vers l'impossibilitĂ© d'ĂȘtre ?
*
Exclu de l'internet Pour avoir montré ses fesses en public
*
Redouter l'avalanche Ou L'attendre impatiemment
*
Dessiner c'est précieux
*
Doumdoum Et ça fait Poumpoum tchac
*
À dĂ©faut d'amies Des feuilles plein le lit
*
C'est pas de ma faute Je suis juste Triste
*
Des questions plein la tĂȘte Des envies plein le slip Ou l'inverse ?
*
Tenons-nous bien droits À carreaux À distance Mais n'oublions pas que les regards Se foutent de la distance
*
Les arbres qui pleurent Ceux-lĂ  seuls n'oublient jamais
*
Rassembler sa peine Se tromper de compte Et Cueillir la paix
*
Stalkez-moi SVP
*
ArrĂȘt sur image La longer du regard Sans rien N'oser
*
Sauter Sans Filet
*
Dans chaque percée de ciel à travers les nuages C'est le bleu des yeux de mon pÚre
*
AprĂšs tout Les non-histoires Ne fissent pas
*
Les mains qui nous ont polis Se souviennent De nos douleurs
*
Chemin lumineux C'est dangereux
*
Il veille sur mes rĂȘves Et Tient la mort Ă  distance
*
Ne sois pas inquiet Rassure-toi Tout va
*
Non non non Je ne dirai jamais plus Jamais
*
Et vivre
*
Vu d'ami
*
La vie arrive Sans crier Gare !
*
Et d'un coup Tout se RĂ©veille
*
Le roi Printemps dégage le vieil Hiver à coups de pied bien placés
*
La premiÚre boule de la saison A été tirée en moins de temps Qu'il n'en faut Pour le dire
*
Toujours avec moi À chaque sortie À chaque retour
*
Partout ensemble
*
Poudreuse pour la TĂȘte
*
Sentir la SĂšve Monter Et Conduire sa vie Ă  100 Au moins quelques instants
*
#neveralone
*
Des bleus plein le ciel
*
Nononon Rien ne change Sauf qu'un jour On meurt
*
On entre en scĂšne comme le LĂ©opard fondant sur sa proie On se rappelle quand on Ă©tait enfant et qu'on croyait Ă  la Petite souris Et tout se mĂȘle Les dents mortes, Tom et Jerry et les croque-monsieur du dimanche soir Que souligne ton sourire quand Nos regards s'entrechoquent Comment parer les attaques des romains sans Magique potion Heureusement ObĂ© n'est pas tombĂ© dans la drogue Ramener la vie Ă  un soupir Juste avant de s'endormir Les bleus des jambes sont autant d'Ă©toiles qui ne demandent qu'Ă  filer
*
Soleil De trousse Soleil De bureau
*
Le creux de ta main Me manqu E
*
Mickey prend le frais
*
Joue moi Un air De DĂ©jĂ -vu
*
Les cercles se rapprochent Se resserrent Quand les chĂšvres Gardent quelques choux Pour la fin de l'hiver #chienetloup
*
Rétablir Une certaine polarité Sans oublier la Terre #électricité
*
À base de vis Je fixe mes Ă©tagĂšres Et alors que les fous mangent la poussiĂšre L'hĂŽpital danse le touvamal sans s'occuper d'aĂ©rer #dance
*
Cauchemar Quelqu'un entre dans ma chambre Allume la lumiÚre Alors que je dors, couché dans mon lit tourné contre le mur Je ne peux me réveiller ni bouger Il traverse la piÚce Puis revient et sort Je force pour me réveiller Mal de crùne et douleur dans la poitrine Heureusement ce n était qu'un Cauchemar
*
Le temps n'existe pas Ici
*
Yep Pourquoi tu dis yep ? Yep
*
L'histoire Sera
*
Je vous demande Pardon #scuseme
*
Le loup guette Le renard Ruse
*
Quand on sait plus si on est dehors ou dedans C'est qu'on Tient le bon bout
*
La magie voudrait RĂ©apparaĂźtre Alors Allumons le Grand Feu
*
Regarder ses pieds Et se tourner vers Ce qui les Entoure #Senséeffe
*
Ciel d'un bleu selon Les Conditions d'achat
*
C'est la panique Panique
*
Et le jour se lĂšve Quand mĂȘme
Je suis al
*
Tout Doument
*
La caille
*
Soleil qui bientĂŽt Sera De Nouveau
*
Quand l'avec devient Ou DisparaĂźt
*
Ici On est déjà Et c'est super
*
Finalement faire la vie n'est pas si facile
*
Se réveiller dans un Dessin
*
En chien Je N'y Connais rien
*
Tout le monde S'Ă©clate
*
Avec une petite pelle Ă  l'Ă©paule
*
Comment sortir alors que non mais oui ?
Sous toi Sous moi Sous le lit Sous le monstre Rien que de la Vie Et encore Heureux
*
Quand on DĂ©couvre les confins De sa solitude Tout S'enflamme S'illumine
*
C'est compliqué Tu vois ?
*
Les yeux des yeux sont Toujours Larmoyants
*
Bonjour Excusez-moi de Vous DĂ©ranger Je Zboum
*
-Moi, J'aime bien tu vois Quand c'est un peu... -Sauvage ? -Oui
*
Vaches en pixels
*
Désopasdéso Pour cette Avalanche
*
Appelle-moi Ou pas Mais ne m'oublie Pas
*
Un loup entre chaque cil Regard qui DĂ©vore
#wolfgang
*
V comme vrille Je vous envoie des bonnes bises Les zous Zous
*
Y Rev'nir
*
Je ne demande qu'Ă  retrouver mon souffle
*
Dessiner DĂ©voiler Dessiner Embrasser Dessiner Rompre la distance
*
Jusque-là Ce que j'ai oublié Ne compte Pas ?
Retourner son tapis Et S'envoler Roi des voleurs Robin ou Aladin De mon cÎté Je suis dans mon lit
*
C'est l'histoire d'un homme Il vit Fin
*
Trop l'artiste J'vais en Philo
*
HĂ© La beautĂ© n'est pas toujours LĂ  oĂč on le croi t
*
Mon royaume S'Ă©tendait entre deux champs de Colza Vie de chien
*
Retrouver le Printemps Sans cesse Se souvenir Et renoncer aux Caresses
*
Et nos fleurs Ne faneront qu'une fois
*
Rester sans Voir Que tout recommence Mais surtout Ne pas oublier
*
Arbres
Bombez le tronc et Retrouvez votre Majesté Quand l'hiver n'est plus Il faut Sortir
*
Egotrip Mais pas que Car toutes ces mains ne M'appartiennent pas Cependant Toutes ont pris soin de Moi
*
Sans forcĂ©ment Montrer Être vu
*
Et au-dessus de nos tĂȘtes Les mĂȘmes Branches
*
À l'intĂ©rieur de nos bras Se cache La douceur d'un Chien
*
Oué oué Oué Oué
*
Rassembler ses flĂšches Et partir Ă  la Chasse aux
Fleurs
*
La mémoire se double J'ai mis mon manteau C'était pas prévu
*
La vie l'amour Je n'ai que faire d'hier et de Demain Pourvu qu'aujourd'hui Existe
*
Un jour sans dessin Le lendemain Tout est moche Heureusement que ça n'arrive pas Souvent
*
Les chevaux Dans mes rĂȘves Galopent au Plafond Alors que je les monte À cru
*
Et tous ces mots Qui restent en suspens Alors que Nous n'avons pas fait exprĂšs de les Penser
*
La belle Rouge
*
Je me suis aperçu de Sa prĂ©sence trop Tard Mais OĂč courir Quand les portes sont closes ?
*
Vert présage d'orage Et puis goutte aprÚs Goutte Le masse de nuages se dissipe Vers quelle constellation devons-nous nous tourner pour Adresser nos priÚres ?
*
Ouvrir tous les cartons Et Crier dedans
*
Les mots pensĂ©s sont des fauteuils qui attendent D'ĂȘtre prononcĂ©s
*
Quand le lilas Chuchote son odeur partout dans l'air Attacher trois poules entre elles Et laisser couver Une nuit
*
Quand comprendras-tu les Mensonges Sans sourciller ?
*
Tu restes la mĂȘme Partout dans ma tĂȘte Fabuleuse Insaisissable Mais Jamais tendre Je n'aime pas ma façon D'aimer
*
Il ne manque rien Juste les yeux perdus D'une femme qui n'a jamais Embrassé en souriant
*
Et penser Sans s'arrĂȘter de Vivre Surtout vivre en fait
*
Les histoires sont toujours différentes Selon le rétro dans lequel on Regarde
*
J'ai cru que vous Ă©tiez dans ma TĂȘte Mais vous n'existez qu'Ă  Grande peine
*
Que dire quand L'envie n'est plus ? Heureusement le vert est lĂ 
*
Rassembler son Courage et S'affronter
*
Vert Honte
*
Sous moi le lit Et En-dessous Il n'y a Personne
*
Je ne pense pas qu'Ă  moi Mais j'essaie juste de faire Au mieux
*
Rouvrir les plaies Que le passé n'a pas refermées Saupoudrer Laisser reposer
*
Je ne sais plus Ce que je veux Et bla et bla et bla Ça sonne comme des balles qui partent et s'enfoncent dans le matelas
*
Je vous amĂšne L'eau Demain Dansons sans y penser
*
Pour voir Ajoutons un peu de Volume
*
Radieuse L'aube mord le ciel jusqu'au Sang
*
Hier On n'avait qu'à regarder Les murs se dresser Aujourd'hui courir sous les nuages Pieds nus Dans l'herbe FrÎle la Volupté
*
Il paraĂźt que les ours Savent Et que les hommes se trompent
*
Il est un temps hors du temps On l'appelle L'hiver
*
Écrire une lĂ©gende Si seulement
*
Ne pas se Méprendre Avancer sans comprendre C'est déjà beaucoup
*
Ces endroits Qui n'appartiennent pas
*
Et les autres Qui les invente ?
*
Rentrer sa tĂȘte Et fermer les volets de sa carapace Écrire partout MĂȘme dans la marge Dessiner debout Pisser dans les intercalaires
*
Je trouve plus quelle est la Mission Ignorance Vaut mieux que conviction ?
*
Les pleurs des morts S'entendent Ă  travers les Oreillers
*
Revenir du couloir blanc N'a rien de comparable Tenter de grimper dans les arbres Sans faire tomber la moindre feuille C'est ainsi que nous devrions tous Vivre
*
Rester Humble Mais ne pas Confondre Cardamine hirsute Et arabette de Thalius
*
Les correspondances Nous font faire N'imp Battons en retraite
*
Attraper Le temps perdu Saler Poivrer Servir chaud et Savourer le temps qui BientÎt aura été Ingurgité
*
Rassembler Ses forces Et affronter la nuit
*
Et les autres Tu sais Celles qui ont des yeux qui voient Ă  Travers Comment le leur dire ?
*
Tous les morts Une fois allongés dans L'herbe Se Ressemblent
*
Et dĂ©jĂ  Tout est souvenir MĂȘme les fesses que mes mains n'ont pas connues Surtout ces fesses-lĂ  D'ailleurs Patience est plus importante dĂ©sormais
*
En vrai De Vrai Mais alors surtout Fermer sa bouche lorsque Ces mots Surgissent
*
Zoome et Dieu apparaĂźtra
*
Des lignes noires Pour cerner les yeux afin d'y voir plus Clair Je voudrais ne jamais mourir mais ne jamais mourir tout en Ignorant mon immortalité Là est la sagesse
*
Tout est dĂ©peuplĂ© Mais Un seul ĂȘtre vous manque
*
Les enfants sages Ont de l’eczĂ©ma DĂšs qu'ils grandissent Pourquoi ?
*
Soit Soit Soit Ou sinon Soit
#zouzou
*
Écoutilles ouvertes Toutes voiles dehors Que dirait Barbosa ?
*
Change Si tu veux Mais change bien Si possible
*
Amener l'eau entre Ses Deux yeux Laisser couler sans déglutir Servir encore Brûlant
*
Maxime a tord
*
Dans le lit Je répÚte Je Suis Dans le lit
*
Scrogneugneu Achetez des fenĂȘtres pas des VĂȘtements
*
Retour Ă  la case DĂ©part Je gagne 20000 et j'Ă©vite la Prison Sans rigolade Je suis le roi du game
*
Qui va à la chasse ?
*
Pas de rĂšgle sans exception
*
Actualisation du fil Et Maladroitement S'avancer sur la Poutre
*
Rase ta rockette
*
Zoome et tu sauras Tout Sur moi
#midiminuit
*
Ouvrir la VerriÚre Respecter les distances de Sécurité Eternuer dans l'éternité
*
Conquérir sa planÚte La laisser vivre plutÎt
*
Se rouler des pelles Ă  mĂȘme la Paille
*
DĂ©faire Et tisser de nouveau Éternelle PĂ©nĂ©lope
*
C'est comme Une thérapie Ne pas oublier De s'écarter de la Recette
*
Écouter le Silence qui Se RĂ©pand
*
Trente-trois tours D'espoir
*
Éviter les Picots
*
Devant Touchant son front avec le mien Je ne pouvais me résoudre à la nommer
*
Tourner en Rond ou En Bourrique ?
*
Je crois que Manset est une des plus belles choses sur Terre Jusqu'au moment oĂč j'ouvrirai un nouvel onglet D'oĂč un rap sacrĂ© Se dĂ©versera
*
Et nous vivrons heureux Sur ma moto bleue En cueillant le coton Habillés de satin
*
Et tombe l'or
*
Vieillesse et souffrance sont-elles Indissociables ?
*
Je ne me comprendrai Jamais
*
Ici ou la Rien n'égale l'amitié Générosité est un mot comme les autres Somme toute
*
Tourner la cuillĂšre dans le Pot Remuer quoi
*
Il y a sous Chaque dessin Un souvenir Dominant
*
Prends-en soin C'est une vieille Dame
*
Mais oĂč sont les amis ? Quand il n'y a plus que soi avec soi Autant ne rien Dire
*
Pour désinstaller un Programme Brûler votre PC Mettez-vous à Genoux Et Priez que Dieu Vous entende
*
4 3 2 1 Les anciens n'ont que faire du Feu Leur corps habité par une flamme de bougie Ils avancent Se protégeant du vent de peur que son souffle les Eteigne
*
À la conquùte De l'univers Avec ou sans Chaussettes
*
Quand les amis sont précieux Il faut le leur Dire
*
On tient un truc on tient un truc On tient un Truc Ne pas le lùcher Des yeux Ne pas le laisser partir Car sinon Pas sûr qu'il revienne
*
Et les coureurs Couraient Alors que le dragon S'essayait Ă  la paraphrase Les arbres eux N'avaient que faire du pourquoi
*
Souvenirs Enfance Joie et Insouciance J'y retournerais Sans me poser de question Quand tu veux Sauf que Ça a pas l'air d'ĂȘtre dans tes cordes
*
Changer de papier comme Le serpent change de Peau
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sloubs · 4 months ago
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procreate ça m'a trop matrixĂ© le cerveau omg je dessine sur papier lĂ  et Ă  chaque fois que je fais un trait de travers j'ai le rĂ©flexe de tapoter sur ma feuille comme si le trait allait s'effacer 😭😭😭😭 c'est du papier pas ton Ă©cran d'ipad trouduc
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jeanchrisosme · 4 months ago
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Et si on s’arrĂȘtait un instant pour contempler tout le bien qui se dĂ©ploie, partout, en ce moment mĂȘme, Ă  travers chaque personne dans ce vaste monde ? Il y a ces parents qui, chaque jour, donnent de leur cƓur pour le bonheur de leurs enfants. Il y a cet inconnu qui nous offre un sourire dans la rue, comme une petite lueur d’espoir. Il y a cette caissiĂšre qui prend le temps d’une parole gentille, un « merci » d’un voisin qui rĂ©chauffe le cƓur, un cĂąlin qui dit sans mots : « je suis lĂ  pour toi. » Tous ces gestes, aussi simples soient-ils, forment une toile invisible de bontĂ© et d’amour. Dans cet instant, je me sens unie Ă  ce Beau, ce Bon et ce Bien. À chaque sourire, chaque mot doux, chaque Ă©lan de tendresse, je devine un peu de la lumiĂšre qui nous relie tous. Fermez les yeux et, dans le calme de cet instant, ressentez cette immense vague de douceur qui circule d’un cƓur Ă  l’autre, dessinant un monde plus lumineux.
Francine Grimard
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baldo-art · 1 month ago
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Gaza Riviera 2025
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cabinet-baldo · 1 year ago
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Artzybasheff (1889 - 1965) "He Brings Machines to Live" by Baldo 23/02/2023
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gor3sigil · 7 months ago
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Mes zines sur la transmasculinité sont disponibles en français !
Je ne sais pas s'il y a beaucoup de personnes trans francophones ici, mais sait-on jamais mdr
J'ai publié deux zines sur la transmasculinité et les ai traduit et adapté en français ! Ils sont disponible gratuitement sur ma boutique itch.io:
Le zine s'appelle "A Travers Vitres TeintĂ©es et Ecrans BrisĂ©s" et c'est un partage avant tout cathartique de mon expĂ©rience en tant que personne transmasc non-binaire, de la poĂ©sie et de la prose avec des dessins. Vous pouvez les visionner directement sur navigateur, tĂ©lĂ©charger les PDF standards et Ă©galement des PDF imprimables et pliables pour faire les zines chez vous et/ou les partager, si le cƓur vous en dit !
Je prépare un troisiÚme numéro, qui sera aussi disponible en anglais et en français (ce sera une constante de toute façon), et qui sera sur les trouble psy ET la transidentité, et le traitement des personnes malades mentales et trans (qui est souvent, on va pas se le cacher, vraiment pas terrible).
Tout est basé sur mon expérience et évidemment elle n'est pas universelle, mais je suis content de pouvoir partager un peu de mon vécu, en espérant que ça aidera certaines personnes à se sentir vue et moins seules.
Merci d'avance et bonne lecture !
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miscellaneous-art · 4 months ago
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RĂ©ouverture Notre-Dame de Paris (7-12-2024)
Notre-Dame de Paris: aprÚs sa restauration, la cathédrale rouvre ses portes
EnquĂȘte sur les trĂ©sors enfouis de Notre-Dame de Paris | ARTE De la dĂ©couverte du jubĂ© mĂ©diĂ©val de Notre-Dame de Paris Ă  celle de l’éventuelle sĂ©pulture de Joachim du Bellay, une enquĂȘte archĂ©ologique captivante dans les trĂ©fonds d’une cathĂ©drale qui n’en finit pas de livrer ses secrets.  
Notre-Dame de Paris  Découvrez l'histoire de la cathédrale Notre-Dame de Paris à travers les collections de la BibliothÚque nationale de France et de ses partenaires. Dessins, gravures, livres manuscrits et imprimés, guides, articles de presse, romans vous permettront de parcourir son histoire pluriséculaire.
La cathédrale Notre-Dame de Paris à la BnF Nous vous proposons ici une sélection de piÚces et documents en lien avec ce monument emblématique dans nos collections.
Les Essentiels Notre-Dame (Paris) Découvrir, comprendre, créer, partager
Notre-Dame de Paris en 1163 : il Ă©tait une fois la naissance d’un joyau de l’architecture mĂ©diĂ©vale
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chic-a-gigot · 1 year ago
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La Mode illustrée, no. 11, 15 mars 1868, Paris. Chlamydes Kachmir. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe en poult-de-soie brune de deux teintes (étoffe changeante), simplement bordée d'une grosse corde de soie; grande chlamyde-cachemire fond gros bleu à riches dessins orientaux, et frange assortie. Chapeau blanc en tulle, avec fleurs de pommier; brides-écharpes bordées de rouleaux en satin blanc.
Robe en faye gris d'argent, garnie avec trois rouleaux en velours gris qui garnissent le bord infĂ©rieur et remontent sur chaque cĂŽtĂ© d'une rangĂ©e de gros boutons en travers en mĂȘme velours gris; mĂȘmes ornements garnissant les poches, et formant sur le corsage montant une berthe carrĂ©e; chlamyde-cachemire fond blanc doublĂ©e de soie cerise, avec grands dessins persans et frange assortie. Chapeau en tulle noir mouchetĂ©, avec brodes-Ă©charpes fixĂ©es sous le menton par un camĂ©e de jais; bandeau-diadĂšme en velours noir, avec cinq camĂ©es en jais noir; ombrelle pareille Ă  la robe, doublĂ©e de taffetas blanc; gants Ă  trois boutons en peau de SuĂšde.
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Dress in brown poult-de-silk of two shades (changing fabric), simply edged with a thick silk rope; large chlamyde-cashmere (cashmere mantle) on a blue background with rich oriental designs, and matching fringe. White tulle hat, with apple blossoms; scarf straps edged with rolls of white satin.
Dress in silver gray faye, trimmed with three rolls of gray velvet which garnish the lower edge and go up on each side with a row of large buttons across in the same gray velvet; same ornaments garnishing the pockets, and forming a square berthe on the rising bodice; chlamyde-cashmere (cashmere mantle) on a white background lined with cherry silk, with large Persian designs and matching fringe. Hat in speckled black tulle, with embroidered scarves attached under the chin with a jet cameo; black velvet tiara headband, with five black jet cameos; parasol similar to the dress, lined with white taffeta; three-button gloves in suede skin.
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