#dessin de travers
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baldo-art · 7 days ago
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Ma banlieue en 2025 - Poésie pointilliste
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cabinet-baldo · 1 year ago
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Artzybasheff (1889 - 1965) "He Brings Machines to Live" by Baldo 23/02/2023
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baldo-poster · 7 days ago
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Ma banlieue en 2025 - Poésie pointilliste
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chic-a-gigot · 3 months ago
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L'Art et la mode, no. 46, vol. 14, 18 novembre 1893, Paris. Sarah Bernhardt. Théâtre de la Renaissance: Les Rois. Dessin de Marie de Solar. Bibliothèque nationale de France
Toilette en panne miroir héliotrope brodée d'opales, d'or et de turquoises d'Egypte. Empiècement de turquoises. Manches et traîne en panne pervenche, doublée de soie turquoise. — Création de Laferriere.
Ensemble in heliotrope mirror panne embroidered with opals, gold and Egyptian turquoise. Turquoise insert. Sleeves and train in periwinkle panne, lined with turquoise silk.
Robe en satin violette des bois, entièrement brodée de pensées en soie repoussée et perlée. La robe s’ouvre en panneaux de côté sur du tulle noir brodé de jais scintillant. Grand voile de même tulle, tombant d’une couronne de jais. – Création de Laferriere.
Dress in violet satin of the woods, entirely embroidered with pansies in repoussé and pearl silk. The dress opens in side panels on black tulle embroidered with shimmering jet. Large veil of the same tulle, falling from a crown of jet.
Robe en satin noir entièrement brodée, ainsi que la capuche, d’hiéroglyphes or et soie.
Black satin dress entirely embroidered, as well as the hood, with gold and silk hieroglyphs.
Robe en tulle noir, lamée de bandes "clair de lune" et de perles "blanc de nuit". Grand manteau de dentelle noire faisant ailes.
Black tulle dress, laminated with "moonlight" bands and "night white" pearls. Large black lace coat making wings.
Mme Valdé Frida.
Ravissante blouse en soie plissée accordéon améthyste pâle. Petite guimpe de guipure. Manches également recouvertes de guipure.
Lovely blouse in pale amethyst accordion pleated silk. Small guipure guimpe. Sleeves also covered with guipure.
Mme Valdé.
Corsage et jupe de satin blanc. Grand cordon rosé mis en travers du corsage.
Bodice and skirt in white satin. Large pink cord placed across the bodice.
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abridurif · 4 months ago
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Constamment Van Gogh fait appel à la patience : « Qu’est-ce que dessiner ? Comment y arrive-t-on ? C’est l’action de se frayer un passage à travers un mur de fer invisible, qui semble se trouver entre ce que l’on sent et ce que l’on peut. Comment doit-on traverser ce mur, car il ne sert de rien d’y frapper fort, on doit miner ce mur et le traverser à la lime, lentement et avec patience à mon sens. » « Je ne suis pas un artiste – comme c’est grossier – même de le penser de soi-même – pourrait-on ne pas avoir la patience, ne pas apprendre de la nature à avoir de la patience, avoir de la patience en voyant silencieusement lever le blé, croître les choses – pourrait-on s’estimer une chose si absolument morte que de penser qu’on puisse même plus croître… Je dis cela pour montrer combien je trouve sot de parler d’artistes doués ou non doués. » Maurice Blanchot, L’Espace littéraire, Éditions Gallimard, 1955
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mrsines · 3 months ago
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 3 : Bienvenue sur la route
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
La pièce était enveloppée d'une atmosphère chargée d'anticipation. Les murs, couverts de livres anciens et de symboles mystiques, semblaient vibrer au rythme des pensées d'Ivana. Elle faisait les cent pas, ses pieds glissant légèrement sur le sol en bois poli, tandis qu'Agatha l'observait avec un mélange de bienveillance et d'amusement.
« Ivana, arrête de marcher comme ça, » lança Agatha en s'approchant. « On dirait un enfant de quatre ans qui attend Noël. »
Ivana s'arrêta brusquement, levant les yeux vers Agatha. Son visage trahissait une lutte entre l'anxiété et l'envie de rire. Elle haussait les épaules, un geste à la fois de désespoir et de résignation.
« Je sais, mais c'est quand même stressant comme situation. On attend toutes les autres sorcières, et si quelque chose ne se passe pas comme prévu ? »
Agatha s'approcha un peu plus, une lueur de compréhension dans ses yeux. « Écoute, » répondit Agatha avec fermeté, « chaque sorcière ici a ses propres raisons de vouloir faire partie du coven ne t'en fais pas elle vont venir . »
Ivana hocha lentement la tête, commençant à se détendre sous le regard apaisant de son amie. « D'accord, d'accord.»
La pièce était éclairée par la lumière dorée du soleil couchant qui filtrait à travers les rideaux légers, projetant des motifs délicats sur le sol en bois. Agatha, avec ses cheveux châtains tombant en boucles autour de son visage, se tenait là, les bras croisés, un sourire espiègle sur les lèvres. Elle observait Ivana, qui était assise sur le canapé, ses jambes croisées, trahissant son agitation.
« De toute façon, tu as toujours été impatiente, » lança Agatha, son ton léger, presque taquin.
Ivana lâcha un rire nerveux, une note d'irritation dans sa voix. Elle leva les yeux vers Agatha, ses pupilles sombres reflétant une lueur de défi.
  « Comme si tu avais été présente dans ma vie pour le savoir, » rétorqua-t-elle, un sourire amer se dessinant sur ses lèvres.
Agatha, toujours confiante, haussait les épaules, ses yeux pétillants d'une malice familière. « Oui, j'ai été présente durant une partie de ta vie, » affirma-t-elle, sa voix pleine de conviction.
Ivana, se redressant légèrement, plissa les lèvres, une ombre de tristesse traversant son visage. « Tu ne peux pas juger, vu que tu n'es pas restée longtemps dans ma vie, » dit-elle, sa voix tremblant légèrement.
Agatha, ne se laissant pas abattre, répliqua avec un éclat de rire. « C'est parceque ta très cher mère  m'a jeté un sort. »
Ivana, les poings serrés, sentit une vague de frustration l'envahir. « Ça n'a rien à voir ! Wanda t'a jeté le sort de rester la voisine gentille mais envahissante, donc tu aurait très bien pu continuer à prendre des nouvelles de moi. »
Un silence pesant s'installa alors, rempli de non-dits. Ivana, bien qu'elle ne le formulât pas, se sentait abandonnée par Agatha. La douleur de la solitude s'insinuait en elle, lui rappelant que, malgré les rires et les souvenirs partagés, une distance invisible s'était creusée entre elles. Les souvenirs d'anciens éclats de rire résonnaient dans sa tête, mais la réalité de leur situation actuelle lui pesait lourdement sur le cœur.
Agatha ouvrit la bouche pour répondre à l'accusation d'Ivana, mais avant qu'elle puisse articuler une réponse, la porte du salon s'ouvrit avec fracas. Un groupe de sorcières entra, apportant avec elles une vague d'énergie et d'excitation. La pièce, déjà baignée de lumière dorée, sembla s’illuminer davantage à leur arrivée.
« Désolées pour le retard ! » s'exclama Jen,  sa voix résonnant joyeusement dans l’espace. 
« On a failli être en retard à la réunion, » ajouta Alice, une sorcière à la chevelure noire comme l'ébène, qui s'avança avec assurance. « Mais nous sommes là maintenant, et c’est tout ce qui compte ! »
Ivana, voyant Lucillia entrer dans le groupe, ne put s'empêcher de sourire. La jeune sorcière, bien plus jeune qu'Agatha et les autres, avait un air pétillant et une énergie contagieuse. Elle se tenait un peu en retrait, mais son regard brillant trahissait son enthousiasme. 
���○o。  。o○☆
Le coven passa le portail scintillant, un frisson d'excitation parcourant l'air. Ils se retrouvèrent soudain dans une forêt enchantée, baignée de lumière dorée. Les arbres, aux troncs tordus et aux feuilles multicolores, semblaient chuchoter des secrets anciens. Des fleurs luminescentes parsemaient le sol, illuminant le chemin de couleurs vives, et des petites créatures aux plumages éclatants voletaient entre les branches, ajoutant à l'atmosphère féerique.
« Regardez cette beauté ! » s'exclama Alice, ses yeux pétillants d'émerveillement alors qu'elle levait les bras comme pour embrasser la magie qui les entourait. 
« Oui sublime. Aller nous devons commencer à marcher. »Dit alors Agatha
À ces mots, le groupe se mit en mouvement, leurs pas résonnant doucement sur le tapis de feuilles croustillantes. Lucillia et Ivana se retrouvèrent en tête, avançant avec curiosité sur le chemin sinueux qui s'étendait devant elles. Le doux parfum des fleurs et le chant des oiseaux créaient une mélodie apaisante. Alors qu'elles avançaient, Lucillia aperçut un détail fascinant.
« Attends, Ivana,  » dit-elle, fascinée, en désignant le cou d'Ivana. « Ton tatouage, cette petite colombe, elle est super belle ! »
Ivana se tourna, un sourire timide illuminant son visage, ses yeux brillants de fierté. « Merci, Lucillia. C'est un symbole de purté pour moi. J'aime l'idée qu'elle me rappelle de rester honnête  même dans les moments difficiles et de ne pas faire les même erreur que ma mère »
À quelques pas derrière, Agatha et Lilia observaient la scène avec une expression moins enthousiaste. Agatha plissa les yeux, un frisson d'inquiétude traversant son esprit. 
« Je n'aime pas ça, » murmura-t-elle à Lilia, sa voix teintée de méfiance. « Elles semblent trop proches, comme si elles oubliaient pourquoi nous sommes ici dit à ta protégé de ne pas s'approcher d'Ivana. »
Lilia hocha la tête, ses pensées s'égarant dans les implications de cette nouvelle amitié. « Ma protégé ? Non mais je rêve. Retiens toi Agatha tu vas finir verte comme la sorcière de l'ouest. » répondit-elle, scrutant les alentours, comme si elle pouvait sentir une présence invisible.
Lilia se tenait légèrement en retrait, observant la dynamique qui se tissait entre Ivana et Lucillia. Bien qu'elle n'ait pas verbalement exprimé son accord avec les inquiétudes d'Agatha, une partie d'elle-même ressentait la même chose. Une tension subtile flottait dans l'air, comme si la forêt elle-même retenait son souffle, attentive à leurs émotions.
Lucillia, avec son sourire radieux et son énergie contagieuse, semblait incarner une lumière qui attirait Lilia. Chaque éclat de rire et chaque geste gracieux de Lucillia éveillaient en elle une curiosité et un désir d'approfondir leur lien. Lilia se sentait attirée par cette connexion inexplicable, comme si elles partageaient un secret que seules elles pouvaient comprendre.
 Lilia, ne pouvait s'empêcher de ressentir une affinité grandissante pour Lucillia, une complice potentielle dans cette aventure magique.
Les couleurs vibrantes de la forêt semblaient refléter son dilemme intérieur. Les feuilles scintillantes dansaient au gré d'une brise légère, et les fleurs luminescentes éclairaient le chemin, tout en symbolisant la beauté et la fragilité des relations. Lilia se demandait si elle pourrait vraiment se permettre de laisser cette connexion avec Lucillia s'évanouir.
Elle se tourna vers Lucillia, qui était en train de ramasser une fleur éclatante, ses yeux brillants d'enthousiasme. Lilia sentit son cœur se serrer à l'idée de perdre cette opportunité. Elle voulait s'ouvrir à cette nouvelle amitié, mais les choses étaient compliqué.
Dans ce moment suspendu, Lilia prit une profonde inspiration, se promettant de trouver un moyen d'équilibrer ses sentiments. Elle se rendit compte que, même si elle n'avait pas encore trouvé les mots pour exprimer son accord avec Agatha, elle ne pouvait ignorer la magie qui se tissait avec Lucillia. La forêt, avec ses mystères et ses merveilles, devenait le témoin silencieux de ce combat intérieur, une toile de fond pour un choix qui pourrait changer le cours de leur aventure.
Agatha se tenait à l'écart, ses yeux rivés sur Ivana, qui riait avec Lucillia au loin. Une vague de mécontentement l'envahit, et elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe de jalousie. Leurs rires résonnaient dans l'air, mais pour Agatha, chaque éclat de joie de Lucillia était comme une flèche, transperçant le lien fragile qu'elle partageait avec Ivana.
Elle se remémora son enfance, lorsque le monde semblait plus simple. À l'époque où elle était encore 'Agnes', Agatha avait passé d'innombrables heures avec Ivana, tissant des souvenirs indélébiles. 
Maintenant, en voyant Ivana s'épanouir en tant qu'adulte, Agatha ressentait une lutte intérieure. D'un côté, elle voulait voir Ivana heureuse, mais de l'autre, l'idée que quelqu'un d'autre puisse se rapprocher d'elle la dérangeait profondément. C'était comme si Lucillia menaçait de lui voler une part de ce qu'elle  considéré comme précieux.
Agatha se questionnait sur ses véritables sentiments. Était-ce une simple possessivité, un écho de son attachement d'antan, ou bien une envie plus profonde de garder Ivana pour elle seule ? Cette ambivalence la tourmentait, et elle se sentait tiraillée entre le désir de protéger leur amitié et la peur de perdre Ivana au profit de Lucillia.
Elle observa chaque geste de Lucillia, chaque sourire échangé, et un sentiment d'inquiétude grandissait en elle. Agatha se demandait si elle pouvait vraiment faire confiance à cette nouvelle présence dans la vie d'Ivana. La forêt, témoin silencieux de cette lutte émotionnelle, semblait vibrer autour d'elle, accentuant la tension qui régnait dans son cœur.
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La forêt n'était pas vide, loin de là. Une ambiance mystérieuse flottait dans l'air, presque palpable. À l'autre bout de la forêt, un homme se tenait là, silhouette énigmatique au milieu des arbres imposants. Il était vêtu de cuir, une tenue qui épousait parfaitement son corps, lui donnant un air à la fois dangereux et séduisant.
Son manteau noir, long et usé, flottait légèrement autour de lui, comme s'il était en harmonie avec le souffle du vent. Les coutures étaient délicates, ornées de motifs subtils qui semblaient raconter une histoire ancienne. Sous ce manteau, il portait une chemise sombre, et ses pantalons en cuir étaient ajustés, accentuant sa stature imposante.
Son visage était partiellement caché par une ombre, mais ses yeux brillaient d'une lueur malicieuse, presque hypnotique. Il avait des cheveux sombres, légèrement ondulés, qui tombaient sur son front, ajoutant à son allure mystérieuse. La forêt, avec ses bruits de feuilles et ses murmures de créatures, semblait se taire en sa présence, comme si même la nature reconnaissait la puissance qui émanait de lui.
L'homme mystérieux se tenait au milieu de la forêt dense, entouré de grands arbres aux troncs noueux, leurs feuilles bruissant doucement sous le souffle du vent. Soudain, il sentit une présence, une énergie sombre et familière qui envahissait l'air. Les sorcières approchaient, et leur aura maléfique perturbait l'harmonie de la nature autour de lui.
Il ferma les yeux, cherchant à se concentrer, imaginant un accueil horrible à leur donner, une confrontation qui pourrait faire trembler même les plus courageux. Dans son esprit, il voyait des ombres se mouvoir, des rires sinistres résonner dans la nuit.
Tout à coup, il ressentit une chaleur intense dans sa main. Sa dague, toujours à ses côtés, commença à s'illuminer d'une lueur éclatante, projetant des reflets argentés sur son visage marqué par l'angoisse. Le métal scintillait comme s'il était animé d'une vie propre, réagissant à la menace qui approchait.
"Non, c'est impossible..." murmura-t-il, sa voix tremblante trahissant son choc. Il ouvrit les yeux, fixant la dague avec une intensité renouvelée, réalisant que cet éclat n'était pas simplement un phénomène. Cela signifiait quelque chose, une connexion avec les sorcières, un appel à l'action.
Il se redressa, le cœur battant, prêt à affronter ce qui allait venir. L'atmosphère était chargée de tension, et il savait que le moment de la confrontation était proche. Les sorcières, avec leurs rituels et leurs pouvoirs, n'étaient pas là pour négocier. Il devait se préparer à défendre son domaine, à utiliser la force de la dague illuminée pour contrer leur magie.
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Le coven avançait prudemment sur le chemin qui leur avait été indiqué, l’atmosphère chargée d’une tension palpable. Les arbres, sombres et tordus, semblaient chuchoter des secrets alors qu’elles progressaient, sans vraiment savoir où cette route les mènerait. Soudain, au loin, une silhouette se dessina : une maison isolée, ses fenêtres sombres comme des yeux vides.
« Il faudrait qu’on entre pour voir ce qui se passe, » proposa Alice, sa voix brisant le silence pesant. Elle se tourna vers ses compagnes, déterminée mais visiblement nerveuse.
Lucillia, les sourcils froncés, n’était pas rassurée par l’idée. « Et si c’est un piège ? » murmura-t-elle, ses yeux scrutant les ombres autour d’elles.
 Mais alors, elle croisa le regard de Lilia, qui lui offrit un sourire apaisant. Ce simple échange lui redonna un peu de courage.Ivana, un peu en retrait, observa Agatha. Leurs yeux se rencontrèrent, et dans cette connexion silencieuse, une compréhension mutuelle s’établit. Agatha, avec un soupçon de bravoure, s’avança vers la porte. Elle prit une profonde inspiration, puis, avec une main ferme, elle saisit la poignée et l’ouvrit lentement. Le grincement de la porte résonna dans l’air frais du crépuscule, ajoutant une note de mystère à leur aventure.
Lorsque les femmes franchirent le seuil de la maison, une atmosphère étrange et fascinante les enveloppa. L’air semblait vibrer autour d’elles, chargé d’une énergie mystérieuse. À peine avaient-elles posé le pied à l’intérieur qu’un éclair de lumière éblouissant jaillit, les enveloppant dans un halo scintillant.
En un instant, leurs vêtements de tous les jours se transformèrent. Les robes colorées et les jupes légères se métamorphosèrent en armures brillantes, ajustées et ornées de motifs guerriers. Les cuirs et les métaux scintillaient sous la lumière, et chaque femme se retrouva vêtue d’une tenue qui évoquait la force et la bravoure.
Ivana :
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Lucillia :
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Le regard d'Agatha se posa immédiatement sur Ivana, captivé par sa présence. La pièce était baignée d'une lumière dorée, et chaque rayon semblait mettre en valeur la beauté d'Ivana. Son visage, délicatement sculpté, affichait un sourire qui illuminait son regard.
Ses cheveux, longs et ondulés, tombaient en cascade sur ses épaules, capturant la lumière et créant un halo autour d'elle. À chaque mouvement, ils semblaient danser, attirant encore plus l'attention d'Agatha.
À cette vue, un sourire involontaire se dessina sur les lèvres d'Agatha. Elle ressentit une montée d'admiration, une chaleur douce qui s'empara de son cœur. Ivana était non seulement belle, mais elle dégageait une sensualité naturelle, une confiance en soi qui la rendait encore plus séduisante. Cependant, cette pensée fit frémir Agatha. Elle secoua la tête, comme pour chasser cette idée de son esprit, consciente que ces sentiments pourraient compliquer leur liens. Son esprit était en émoi, tiraillé entre admiration et la crainte de franchir une ligne qu'elle ne voulait pas dépasser.
Lilia se tenait là, absorbée par la silhouette de Lucillia. Sa tenue de guerrière, faite de cuir et de métal, épousait parfaitement ses formes, accentuant sa beauté naturelle. Les détails de son armure, avec ses ornements délicats et ses inscriptions anciennes, racontaient une histoire de bravoure et de force. Chaque pièce semblait conçue non seulement pour la protéger, mais aussi pour mettre en valeur sa grâce.
Les épaules de Lucillia étaient recouvertes d'épaulières finement travaillées, qui brillaient sous la lumière ambiante, tandis que sa ceinture, ornée de runes mystérieuses, marquait sa taille avec élégance. Lilia ne pouvait s'empêcher de remarquer la façon dont les cheveux de Lucillia, tressés avec soin, tombaient en cascade sur son dos, ajoutant une touche de féminité à sa présence guerrière.
Alors qu'elle observait chaque détail, Lilia ressentit une montée d'émotions qu'elle n'avait pas anticipée. Son cœur battait plus vite et son esprit commença à vagabonder vers des pensées plus intimes, des scénarios qui la faisaient rougir. Elle se reprit rapidement, consciente du chemin que prenaient ses pensées.
Pour détourner son attention, Lilia s'éclaircit la voix et, avec une légèreté feinte, demanda : 
"On doit s'attendre à quoi ?" Cette question, bien qu'anodine, était une tentative de ramener la conversation sur un terrain plus sûr, tout en cachant le tumulte qui régnait dans son esprit.
Alice se tenait au milieu du groupe, ses yeux scrutant les visages des autres, son esprit en proie à l'incertitude. Elle prit une profonde inspiration avant de s'adresser à ses amis.
 "Je ne sais pas du tout," avoua-t-elle, sa voix trahissant une légère tremblement. 
Elle se sentait perdue, comme si les réponses qu'elle cherchait se cachaient dans l'ombre des arbres qui les entouraient.Jen, qui se tenait à côté d'elle, tourna la tête vers Agatha, une lueur d'espoir dans ses yeux. 
"Tu devrais savoir, Agatha," dit-elle avec une certaine impatience. "Tu as déjà fait la route, non ?"
Agatha, les bras croisés, baissa légèrement le regard, semblant peser ses mots. 
"Oui, mais la route change en fonction du Coven," expliqua-t-elle, la voix empreinte de sérieux. "Je ne peux pas vraiment dire ce qui va se passer. Chaque fois, c'est différent."
Les autres échangèrent des regards inquiets, l'atmosphère devenant de plus en plus tendue. Alice sentit son cœur s'accélérer, l'angoisse s'installant dans son estomac.
  "Et si on se perdait ?" demanda-t-elle, la peur transparaissant dans sa voix.
Jen hocha la tête, cherchant à apaiser l'atmosphère. "On va trouver notre chemin, ensemble," ajouta-t-elle avec un sourire encourageant, même si elle-même n'était pas si sûre.
Lucillia avançait lentement vers les étagères poussiéreuses, ses doigts glissant sur les couvertures des livres anciens. L'air était chargé d'une odeur de vieux papier et de cuir, et chaque pas qu'elle faisait semblait résonner dans le silence oppressant de la maison. Elle se pencha pour examiner un tome relié en cuir, ses pages jaunies par le temps, espérant y trouver une solution pour échapper à cet endroit mystérieux.
Pendant ce temps, Ivana, attirée par un objet ancien qui brillait faiblement dans un coin de la pièce, s'approcha avec curiosité. Elle découvrit un couteau au manche délicatement sculpté, dont la lame semblait scintiller sous la lumière tamisée. Elle le prit en main, fascinée par sa beauté. 
"Regardez ça," dit-elle en se tournant vers les autres femmes, un sourire émerveillé sur le visage.
Mais à cet instant précis, un grondement sourd résonna à travers les murs de la maison, et le sol commença à trembler sous leurs pieds. Alice, surprise, leva les yeux vers Ivana, l'inquiétude se lisant sur son visage.
 "Qu'est-ce que tu as fait ?" demanda Alice sa voix trahissant une panique grandissante.
Ivana, un peu déconcertée, secoua la tête. "Rien, j'ai juste pris ça," répondit-elle, levant le couteau pour le montrer, comme si cela pouvait apaiser la situation.
Les murs semblaient vibrer, et des livres tombèrent des étagères, créant un bruit assourdissant. 
"Tu es sûre que ça ne vient pas de ce couteau ?" s'exclama Lucillia, ses yeux écarquillés par la peur.
"Je ne sais pas ! Peut-être que c'est un symbole ou quelque chose comme ça," répondit Ivana, son enthousiasme initial se transformant en nervosité.
Alice, qui observait la scène, intervint. "Mettez-le de côté, Ivana ! Peut-être que c'est dangereux," suggéra-t-elle, sa voix ferme mais teintée d'inquiétude.
Alors que Lucillia, Ivana et Alice reprenaient leur souffle après le tremblement, une lumière éclatante illumina la pièce. Subitement, une femme apparut, ses yeux flamboyants et son visage marqué par une détermination féroce. Elle leva les bras, et une flamme jaillit de sa bouche, illuminant la pièce d'une lueur inquiétante.
"Rendez-moi ce couteau !" cria-t-elle, sa voix résonnant comme un écho dans l'obscurité. 
Les sorcières, terrifiées, échangèrent des regards paniqués avant de se précipiter vers une porte au fond de la pièce.
"Vite ! Dans la chambre !" s'exclama Lucillia, 
Le coven se précipitèrent à l'intérieur, fermant la porte derrière elles juste à temps pour entendre le souffle de feu frapper le bois.
 "C'est ce couteau qu'elle veut !" s'écria Lilia, les yeux brillants d'une détermination nouvelle. "C'est avec ça qu'il faut la battre !"
Ivana, le cœur battant, se tourna vers ses amies. "Dans se cas j'y vais !" déclara-t-elle, sa voix pleine de courage.
Agatha, la plus sage du groupe, s'approcha d'Ivana, posant une main apaisante sur son épaule. 
"Non, attends ! Ce n'est pas une simple bataille. Nous devons réfléchir," tenta-t-elle de la dissuader, son regard sérieux. "Cette femme est puissante. Nous devons trouver un moyen de la neutraliser sans la provoquer davantage tu n'a pas de pouvoir.."
Ivana sentit son cœur se gonfler à ces mots. Elle savait qu'Agatha tenait à elle, mais elle ne voulait pas l'admettre. Elle plongea son regard dans celui d'Agatha, cherchant à déceler la profondeur de ses émotions. Les yeux d'Agatha brillaient d'une lueur protectrice, et Ivana ne pouvait s'empêcher de sourire, même si elle essayait de rester sérieuse.
"Attention, Agatha," commença Ivana, un ton taquin dans la voix. "Si je ne te connaissais pas, je dirais que tu t'inquiètes pour moi." Elle lui fit un clin d'œil espiègle, un éclat de malice illuminant son visage.
vana poussa la porte avec détermination, les gonds grincèrent légèrement, brisant le silence pesant de la pièce. Devant elles se tenait une femme au visage marqué.
"On ne vous a jamais dit que ce n'était pas bon de fumer ?" lança Ivana, sa voix pleine de défi, tandis qu'elle scrutait la femme avec une intensité qui ne laissait pas de place au doute.
La femme, visiblement irritée par le commentaire, esquissa un sourire sinistre avant de cracher une gerbe de feu, une flamme vive qui jaillit de sa bouche comme un dragon en colère.
Ivana, réagissant rapidement, brandit un couteau au-dessus de sa tête, le métal brillant à la lumière vacillante. Un mur de protection avec la lame, un éclat d'acier qui semblait défier les flammes.
À côté d'elle, Lilia tira Lucillia vers elle, l’enveloppant dans un geste protecteur. Elle avait besoin de sentir sa présence, de la savoir à ses côtés face à cette menace. 
"Reste près de moi, Lucillia," murmura-t-elle, sa voix tremblante trahissant son anxiété.
Lucillia, bien que légèrement hésitante, hocha la tête, cherchant du réconfort dans la chaleur de Lilia.Agatha, en retrait, observait la scène avec une angoisse palpable. Ses yeux s'écarquillèrent alors qu'elle voyait les flammes danser, et son cœur battait la chamade.  Elle savait que la situation devenait de plus en plus dangereuse, et chaque instant comptait.
La tension était à son comble, et le combat entre le feu et le métal semblait figé dans le temps, chaque personnage jouant son rôle dans ce drame inattendu.
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L'épreuve était enfin terminée, et les sorcières se rassemblaient autour d'un feu de camp crépitant, la lumière dansant sur leurs visages fatigués. Les ombres des arbres environnants semblaient s'étirer et se contorsionner, comme si elles écoutaient attentivement les murmures des sorcières. La chaleur du feu contrastait avec l'air frais de la nuit, apportant un certain réconfort après les épreuves qu'elles venaient de traverser.
Ivana, assise légèrement à l'écart, fixait les flammes avec une intensité troublante. Ses pensées étaient en désordre, un tourbillon d'émotions qu'elle ne parvenait pas à mettre en mots. Les événements récents la hantaient : l'épreuve dans le labyrinthe de flammes, les visions troublantes qu'elle avait rencontrées, et surtout, la réapparition d'Agatha. Pourquoi maintenant ? Pourquoi ici ? Ces questions tourbillonnaient dans son esprit, la laissant perplexe et anxieuse.
Les autres sorcières discutaient à voix basse, partageant des histoires et des rires pour alléger l'atmosphère, mais Ivana se sentait déconnectée. Chaque rire semblait résonner comme un écho lointain, tandis qu'elle se débattait avec ses propres pensées. Elle se rappelait les moments passés avec Agatha, les secrets qu'elles avaient partagés, et la trahison qui avait suivi. La voir à nouveau, vivante et pleine de vie, était à la fois un soulagement et une source de confusion.
Dans son cœur, une question persistait : comment pouvait-elle faire confiance à Agatha après tout ce qui s'était passé ? La réponse lui échappait, et alors qu'elle regardait les étoiles scintiller dans le ciel, elle savait qu'elle devait trouver une solution, non seulement pour elle-même, mais aussi pour le groupe qui comptait sur elle.
Agatha s'approcha d'Ivana, ses pas légers sur le sol recouvert de feuilles mortes, le crépitement du feu de camp en arrière-plan. Elle observa le visage d'Ivana, marqué par l'inquiétude et la fatigue. Les flammes dansaient, projetant des ombres sur son visage, accentuant l'air préoccupé qui l'entourait. Agatha sentit une boule d'inquiétude se former dans sa poitrine. 
Elle s'accroupit près d'Ivana, se penchant légèrement pour lui chuchoter doucement à l'oreille : 
"Qu'est-ce qui ne va pas ?" Sa voix était douce, presque un murmure, comme si elle craignait de briser le fragile silence de la nuit.
Ivana tourna lentement la tête vers elle, ses yeux reflétant une lueur de gratitude mêlée à de la tristesse.
 "Je suis juste fatiguée," répondit-elle, sa voix à peine audible, mais suffisamment claire pour qu'Agatha l'entende. 
Elle lui offrit un fin sourire, un geste qui semblait cacher des montagnes d'émotions non exprimées.Agatha ne pouvait s'empêcher de ressentir une profonde empathie. Elle savait que la fatigue d'Ivana n'était pas seulement physique, mais aussi émotionnelle, le poids des événements récents pesant lourdement sur ses épaules. 
"Je vais me coucher," dit Ivana  en se dirigeant vers un coin plus tranquille, où elle pourrait réfléchir sans être dérangée.
Agatha la regarda s'éloigner, un mélange de préoccupation et de détermination dans son cœur. Elle savait que la nuit serait longue pour Ivana, mais elle espérait qu'avec le temps, elle trouverait la force de partager ses pensées.
Lucillia était assise près de Lilia, le crépitement du feu de camp illuminant leurs visages. Les flammes dansaient, projetant des ombres dansantes autour d'elles, créant une atmosphère chaleureuse malgré la fraîcheur de la nuit. Lucillia tourna la tête vers Lilia, ses yeux brillants de gratitude. 
"Merci d'avoir veillé sur moi pendant l'épreuve," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'émotion. 
Les mots flottaient dans l'air comme des étoiles, et Lilia sentit son cœur se réchauffer à cette reconnaissance.Lilia, touchée par les remerciements de Lucillia, se pencha légèrement en avant. Elle posa une main réconfortante sur le genou de Lucillia, un geste simple mais chargé de sens. 
"C'est normal," répondit-elle avec un sourire chaleureux. "Je veillerai toujours sur toi."
Lucillia leva les yeux, un mélange d'incrédulité et de soulagement sur son visage. "Vraiment ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une vulnérabilité qui la rendait encore plus touchante.
"Tu as ma parole," affirma Lilia, sa voix ferme et pleine de promesse. 
Elle savait que leur amitié était un lien précieux, et elle était prête à tout pour protéger Lucillia. Le feu continuait de crépiter, mais pour elles, ce moment était tout aussi lumineux que les flammes qui les entouraient.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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sloubs · 3 months ago
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procreate ça m'a trop matrixé le cerveau omg je dessine sur papier là et à chaque fois que je fais un trait de travers j'ai le réflexe de tapoter sur ma feuille comme si le trait allait s'effacer 😭😭😭😭 c'est du papier pas ton écran d'ipad trouduc
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fashionbooksmilano · 26 days ago
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Cocteau
Centre Pompidou, Paris 2003, 415 pages, 17x27cm, ISBN 9782844262219
euro 25.00
email if you want to buy [email protected]
Mostra Centre Pompidou Paris : Sur le fil du siècle 25 septembre 2003- 5 janvier 2004
L'exposition rétrospective, la plus importante à ce jour en France, consacrée à l'oeuvre éclectique d'un poète, écrivain, mais aussi cinéaste, peintre, animateur de la scène musicale française. Poète, écrivain, critique, mais aussi cinéaste, dessinateur, acteur de la scène musicale française, il déploie, des années 10 aux années 60, une activité diverse et féconde. A travers plus de 900 pièces, dont 32 installations audiovisuelles mêlant extraits de films et d'archives, cette manifestation restitue sa juste place à la personnalité artistique de Jean Cocteau. Exposition paradoxale cependant, qui met en scène l'homme rendu célèbre par ses apparitions dans l'actualité culturelle et mondaine de l'après-guerre et l'artiste dont le rôle demeure finalement méconnu. Les quarante années qui nous séparent de sa disparition ne sont pas parvenues à émousser une personnalité vive, sans toutefois rendre véritablement justice à son oeuvre. Cette diversité se reflète dans les oeuvres présentées dans l'exposition : 335 dessins, 300 photographies, 22 tableaux d'artistes majeurs du siècle qui l'ont célébré, une cinquantaine de manuscrits, objets et sculptures. Enfin, une salle de projection au sein du parcours, présente notamment : Le Sang d'un poète, Orphée, Le Testament d'Orphée, Les Enfants terribles, La Belle et la bête, Les Parents terribles".
11/01/25
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jeanchrisosme · 3 months ago
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Et si on s’arrêtait un instant pour contempler tout le bien qui se déploie, partout, en ce moment même, à travers chaque personne dans ce vaste monde ? Il y a ces parents qui, chaque jour, donnent de leur cœur pour le bonheur de leurs enfants. Il y a cet inconnu qui nous offre un sourire dans la rue, comme une petite lueur d’espoir. Il y a cette caissière qui prend le temps d’une parole gentille, un « merci » d’un voisin qui réchauffe le cœur, un câlin qui dit sans mots : « je suis là pour toi. » Tous ces gestes, aussi simples soient-ils, forment une toile invisible de bonté et d’amour. Dans cet instant, je me sens unie à ce Beau, ce Bon et ce Bien. À chaque sourire, chaque mot doux, chaque élan de tendresse, je devine un peu de la lumière qui nous relie tous. Fermez les yeux et, dans le calme de cet instant, ressentez cette immense vague de douceur qui circule d’un cœur à l’autre, dessinant un monde plus lumineux.
Francine Grimard
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gor3sigil · 5 months ago
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Mes zines sur la transmasculinité sont disponibles en français !
Je ne sais pas s'il y a beaucoup de personnes trans francophones ici, mais sait-on jamais mdr
J'ai publié deux zines sur la transmasculinité et les ai traduit et adapté en français ! Ils sont disponible gratuitement sur ma boutique itch.io:
Le zine s'appelle "A Travers Vitres Teintées et Ecrans Brisés" et c'est un partage avant tout cathartique de mon expérience en tant que personne transmasc non-binaire, de la poésie et de la prose avec des dessins. Vous pouvez les visionner directement sur navigateur, télécharger les PDF standards et également des PDF imprimables et pliables pour faire les zines chez vous et/ou les partager, si le cœur vous en dit !
Je prépare un troisième numéro, qui sera aussi disponible en anglais et en français (ce sera une constante de toute façon), et qui sera sur les trouble psy ET la transidentité, et le traitement des personnes malades mentales et trans (qui est souvent, on va pas se le cacher, vraiment pas terrible).
Tout est basé sur mon expérience et évidemment elle n'est pas universelle, mais je suis content de pouvoir partager un peu de mon vécu, en espérant que ça aidera certaines personnes à se sentir vue et moins seules.
Merci d'avance et bonne lecture !
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ocean-sans-serif · 23 days ago
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À l'heure où les rayons du soleil Caressent horizontalement la plaine Projetant les ombres des ormes vers l'orée de la forêt et de l’obscur, Je croisai son regard.
Les semelles noyées, chaque pas m'étais lourd Bruyant d'humidité et de roseaux froissés Je me rêvais mystérieux à longer le boqueteau quand la silhouette m’effraya. Je me retrouvai chancelant, caduc.
Caduc et honteux, devant l'animal déboisé: La forme était grande et majestueuse, aux longues jambes élancées. La robe était mouchetée et lisse, telle un champ de lin couché après un orage d'été. J'étais boueux, tremblant de honte et de stupeur.
Elle se tourna vers moi, au travers du champ, Et, maternelle, elle parti, m'abandonnant après s'être retournée une dernière fois, Ses yeux sombres me traversant par dessus son garrot. Je me précipitais sans un mot, ahuri.
Tant bien que mal, je sortais mes genoux des remous et de la tourbe. Malgré mes efforts, la silhouette s'éloignait, disparaissant entre deux clairières, Semblant jouer à m'attendre et se laisser cacher derrière les arbres, au milieu de la nuit tombée. J’avais déjà trouvé une dizaine de façons de la heller.
Mes chausses atteignirent le sol dur d'une départementale Puis longèrent un temps une nationale, derrière le parapet. Des voitures pressées aux phares perçants dessinaient de temps à autre l'animal. Je me surpris à courir à en brûler mes poumons.
Halluciné, éreinté, c'est la ville qui se découvrait pourtant à mes yeux. Dans un élan de lucidité je reconnaissais déjà la grande rue. Et pourtant il me semblait toujours distinguer la bête, entre coins de rues et vitrines sombres. J'entendis même le bruit de ses pas sur les pavés.
Et à l'heure où les rayons du soleil Dessinent enfin horizontalement le contour de la ville Projetant les ombres des formes, des bâtiments sur l'impasse étroite et l'animal enfin arrêté. Elle se tourna, en silence, et me chargea.
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baldo-art · 15 days ago
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Encre de chine, Baldo 2025, à table.
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cabinet-baldo · 1 year ago
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Artzybasheff (1889 - 1965) "He Brings Machines to Live" by Baldo 23/02/2023
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miscellaneous-art · 2 months ago
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Réouverture Notre-Dame de Paris (7-12-2024)
Notre-Dame de Paris: après sa restauration, la cathédrale rouvre ses portes
Enquête sur les trésors enfouis de Notre-Dame de Paris | ARTE De la découverte du jubé médiéval de Notre-Dame de Paris à celle de l’éventuelle sépulture de Joachim du Bellay, une enquête archéologique captivante dans les tréfonds d’une cathédrale qui n’en finit pas de livrer ses secrets.  
Notre-Dame de Paris  Découvrez l'histoire de la cathédrale Notre-Dame de Paris à travers les collections de la Bibliothèque nationale de France et de ses partenaires. Dessins, gravures, livres manuscrits et imprimés, guides, articles de presse, romans vous permettront de parcourir son histoire pluriséculaire.
La cathédrale Notre-Dame de Paris à la BnF Nous vous proposons ici une sélection de pièces et documents en lien avec ce monument emblématique dans nos collections.
Les Essentiels Notre-Dame (Paris) Découvrir, comprendre, créer, partager
Notre-Dame de Paris en 1163 : il était une fois la naissance d’un joyau de l’architecture médiévale
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chic-a-gigot · 11 months ago
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La Mode illustrée, no. 11, 15 mars 1868, Paris. Chlamydes Kachmir. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe en poult-de-soie brune de deux teintes (étoffe changeante), simplement bordée d'une grosse corde de soie; grande chlamyde-cachemire fond gros bleu à riches dessins orientaux, et frange assortie. Chapeau blanc en tulle, avec fleurs de pommier; brides-écharpes bordées de rouleaux en satin blanc.
Robe en faye gris d'argent, garnie avec trois rouleaux en velours gris qui garnissent le bord inférieur et remontent sur chaque côté d'une rangée de gros boutons en travers en même velours gris; mêmes ornements garnissant les poches, et formant sur le corsage montant une berthe carrée; chlamyde-cachemire fond blanc doublée de soie cerise, avec grands dessins persans et frange assortie. Chapeau en tulle noir moucheté, avec brodes-écharpes fixées sous le menton par un camée de jais; bandeau-diadème en velours noir, avec cinq camées en jais noir; ombrelle pareille à la robe, doublée de taffetas blanc; gants à trois boutons en peau de Suède.
Dress in brown poult-de-silk of two shades (changing fabric), simply edged with a thick silk rope; large chlamyde-cashmere (cashmere mantle) on a blue background with rich oriental designs, and matching fringe. White tulle hat, with apple blossoms; scarf straps edged with rolls of white satin.
Dress in silver gray faye, trimmed with three rolls of gray velvet which garnish the lower edge and go up on each side with a row of large buttons across in the same gray velvet; same ornaments garnishing the pockets, and forming a square berthe on the rising bodice; chlamyde-cashmere (cashmere mantle) on a white background lined with cherry silk, with large Persian designs and matching fringe. Hat in speckled black tulle, with embroidered scarves attached under the chin with a jet cameo; black velvet tiara headband, with five black jet cameos; parasol similar to the dress, lined with white taffeta; three-button gloves in suede skin.
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amertumedelamer · 8 months ago
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Ça y est. Le carnet aux pages parsemées de points a été fini. Celui-là même qui se réservait l'exclusivité de mes autoportraits quotidiens. Ma conclusion est que ce qui a compté n'est pas tant l'énergie et le temps dispensés dans chaque dessin, mais plutôt, la régularité à la tâche, vers une forme d'acharnement grisant, finalement.
Le projet s'est changé en une sorte de vilaine addiction. Facilitant la naissance d'une curiosité sous-jacente : celle qui concerne les autoportraits à venir. Quels traits, quelles couleurs auront-ils ? Il me semble d'ailleurs atteindre de plus en plus une relative ressemblance ; la réalité de mon visage et la spontanéité dans le trait semblent s'abréger. Comme si cela devenait plus facile, et encore plus plaisant, plus ludique.
Je me demande parfois, en toute transparence, si ce rituel quasi quotidien ne vire pas à l'obsession quasi narcissique... Et il détient quelque chose d'un ordre insoutenablement introspectif aussi, il me semble. Quelque chose au-delà de l'image, de la façade, de la vitrine.
J'ai aimé, tant aimé ce chemin que j'ai entamé un nouveau carnet. Plus grand (pour encore moins se complaire dans les dimensions de mon scanner), et sans points, pour le fond de ses pages. Cela a commencé en peinture, et peut-être que je vais essayer d'allouer ma patience et ma persévérance aux couleurs, aux jolis pâtés glissés d'un coup de pinceau... Peut-être. Sans oublier de varier un peu, de temps en temps. Rendez-vous bientôt, semblerait-il. Sans doute pas avec des scans. Tout ceci doit encore mûrir, et advenir, prendre vie à travers mon regard, et sur la page.
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