#dernier domicile connu
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Poignardé, la tête éclatée et incinéré, un idiot de Blanc meurt après avoir tenté de sauver la pute blanche d’Abdelkader.
Et le prix Darwin est attribué à:
Les lois de l’évolution sont claires : sauver les putes à bougnoules n’est pas une bonne stratégie de survie.
Le JDD :
C’est une histoire d’une barbarie sans nom. Le 16 juin 2021, Abdelkader Belarbia��et son ami d’origine russe, David Malioukof, garent leur voiture dans un sous-bois près de la petite commune de Nexon, en Haute-Vienne. Les deux hommes n’ont qu’une idée en tête : venger Abdelkader, récemment quitté par son ex-compagne, Cécilia Peroux, 33 ans. Ils se rendent à son domicile, parviennent à entrer de force et commencent à la brutaliser. Pierrick, un voisin de Cécilia, est alerté par les bruits. Faisant preuve d’un immense courage, il intervient pour tenter de défendre la jeune femme, risquant sa propre vie.
Abdelkader et David, pris d’une rage meurtrière, s’acharnent sur Pierrick pendant de longues minutes, lui infligeant 26 coups de couteau. Cécilia Peroux, elle aussi, est froidement assassinée. Les deux meurtriers décident ensuite d’incendier la maison pour effacer les preuves, malgré la présence des trois jeunes enfants de Cécilia à l’étage. Ces derniers échapperont de justesse à la mort.
Abdelkader n’a pas aimé être largué par la mère de ses trois crépus.
Cette société matriarcale protégeant odieusement les garces délurées, il a décidé de se venger légitimement en réaffirmant son droit de propriété, lequel comprend le droit de vie ou de mort sur sa femme (comme à Rome).
Tout se serait passé sans aucun problème avec la mort des quatre bouches inutiles si cet idiot de Blanc matrixé par l’éducation féministe n’avait pas décidé d’intervenir. Mais quand on se frotte à un homme possédé par une juste colère, il faut s’attendre à des surprises.
Résultat, le contribuable gagne trois demi-bicots à nourrir.
« Ils ont explosé la tête de mon enfant avec des pieds de table ! Qu’est-ce qui peut justifier une telle barbarie ? » Hélène Berthier, la mère de Pierrick, sort à peine de l’audience. Sa voix est encore tremblante au téléphone. « Aujourd’hui, on a parlé de l’autopsie. Même le médecin légiste n’en revenait pas, il a dit qu’il n’avait jamais vu une telle violence… » Assister au procès des assassins de son fils est une épreuve insoutenable pour Hélène, d’autant plus que les accusés refusent de reconnaître leur culpabilité. « Ils sont soudainement frappés d’amnésie ! L’un dit avoir tout oublié, l’autre affirme n’avoir porté ‘que’ quelques coups… », raconte-t-elle, désabusée. Pourtant, Abdelkader Belarbia et David Malioukof n’en sont pas à leur premier méfait. Les deux hommes se sont rencontrés en prison. Le premier avait été condamné en 2019 pour avoir menacé de mort son ancienne compagne. Le second, « au corps recouvert de tatouages en cyrillique », selon les mots d’Hélène Berthier, est lui aussi connu de la justice française, notamment pour des faits de vol. À la barre, les deux complices se renvoient la responsabilité, hésitent, et nient en bloc les faits qui leur sont reprochés. « Quand les photographies du cadavre de mon fils ont été montrées à l’audience, Abdelkader a baissé les yeux, il n’a pas eu le courage de regarder une seule fois mon enfant. A-t-il honte ? », s’interroge la mère de Pierrick, mêlant tristesse et colère.
La honte n’est pas un sentiment connu en Afrique du Nord.
Le procès, qui a débuté lundi, devrait s’achever jeudi prochain. C’est l’aboutissement de trois ans d’enquête et de procédures judiciaires. Mais c’est aussi le moment où la famille de Pierrick pourra enfin lui dire au revoir, le jeune homme n’ayant pas encore de véritable sépulture, sa dépouille étant restée accessible aux médecins légistes dans le cadre de l’enquête. « J’attends de la justice qu’elle reconnaisse la gravité des faits, l’horreur absolue qu’ont subie Pierrick et Cécilia », explique Hélène Berthier, consciente, cependant, « qu’ils feront sûrement appel de la décision des juges ». Après l’incendie volontaire de la maison de Cécilia, les deux corps ont été carbonisés. « Je n’ai pas pu le serrer dans mes bras, je n’ai pas pu lui dire au revoir. Il a fallu que je donne mon ADN pour qu’ils identifient son corps ! », raconte la mère de Pierrick, encore bouleversée. « Je veux que les gens sachent qui sont ces criminels, qu’ils voient leurs visages. Et j’espère qu’ils passeront leur vie en prison ! »
Pour mieux surmonter cette épreuve, Hélène Berthier a créé une association, « Stop Agression », afin de sensibiliser les jeunes à la violence qui gangrène la France. C’est aussi une manière, pour elle, de se souvenir chaque jour du courage héroïque de son fils, qui a tenté de sauver sa voisine Cécilia d’une mort certaine. « Pierrick était un garçon généreux. Je me souviens que parfois, il rentrait à la maison et nous demandait un peu d’argent pour faire le plein d’essence. Non pas parce qu’il avait gaspillé son salaire, mais parce qu’il avait prêté de l’argent à des amis qui en avaient plus besoin que lui… »
La pente fatale de l’empathie pathologique.
On commence par donner du cash à des cassos, on finit la tête éclatée par le bougne en furie d’une pute blanche.
Il va sans dire que l’éducation féministe qu’il a reçu prédisposait ce jeune Blanc à mourir dans les plus effroyables conditions. Et le bot qui lui sert de mère ne gompran ba.
Ce soir, les familles des victimes pourront s’exprimer devant les jurés. Hélène espère « ne pas craquer », mais elle déplore l’absence d’Abdelkader Belarbia, qui a refusé de se présenter à l’audience, conscient des nombreux témoignages qui l’accablent. Les deux hommes, jugés pour les mêmes faits, risquent la prison à perpétuité. Mais ni Pierrick ni Cécilia ne reviendront auprès de leurs proches. Loin d’être un simple fait divers voué à l’oubli, leur histoire révèle un symptôme plus profond : celui d’une France qui, chaque jour, s’enfonce un peu plus dans une hyperviolence quotidienne.
Le lecteur avisé en retirera une précieuse leçon de vie.
Il méprisera souverainement les traînées blanches qui auront fait un mauvais choix reproductif en se commettant avec un métèque du tiers-monde et veillera à s’en tenir méthodiquement éloigné, en toutes circonstances.
Appliquant avec stoïcisme ce rapport aux déchets biologiques de sa propre race, il passera à travers les épreuves du Fatum avec succès, épargnant son énergie vitale qu’il mettra à profit pour renforcer les éléments de qualité de son peuple.
Charité sans racisme n’est que misanthropie.
Démocratie Participative
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mazzy 32!! ✨
masriel, song 32: Dernier domicile connu - MONTMARTRE
You wouldn't find Lord Asriel taking a holiday in the sun if he didn't have a gun to his head. But Edward Coulter prefers the heat and he wanted to take his wife on a long holiday to visit the place where a king from thousands of years ago had his bankers collect funds to build a marvelous building to discuss those funds. He'd be busy with the history and the local leaders he was eager to break bread with. Marisa and Asriel would have plenty of time to get themselves lost. It occurs to him that she's a natural anywhere she goes. Here, at home, on land, or in the water. He'd like to carry her back to the snow, but he'll admit that he's glad he could smell the sea water on her skin and the olive oil on her lips. "Darling," she laughs, "You brought half the beach back in your hair."
spotify ficlet meme
#hdm#asriel belacqua#marisa coulter#masriel#hdm fanfic#this song is beach fun sneaky vibes so there ya go
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Macrons et Caucones...
La mode exige de réciter que les anciennes études ''classiques'' et les langues dites mortes seraient… mortes, justement. Pourtant, force est de reconnaître qu'elles aidaient souvent à mieux comprendre les errements, les errances et les erreurs du temps présent. Les habitués de ce Blog connaissent mon intérêt (parfois excessif ?) pour ce que cache l'étymologie de chaque mot utilisé… en ce siècle où la pensée semble préférer s'appuyer sur des notions surtout conçues pour être... inconçues.
Mais ce n'est pas sur l'étymologie latine ou grecque que j’ai très envie de passer un moment avec vous, aujourd'hui : c'est sur l'Histoire ancienne et donc, forcément, sur la géographie. Ces jours derniers, j'ai profité de ces vacances de Pâques pour me replonger dans quelques vieux ouvrages qui avaient bercé et souvent illuminé mon enfance. Et j'ai retrouvé des descriptions du monde ''selon Strabon'', qui était, avec Esope, un de mes ''passe-temps'' préférés (NDLR – J’ai connu des joies énormes à fréquenter les livres de mes frères et sœurs, plus âgés : lisant ce qu'ils lisaient, je croyais devenir leur égal. Ils savaient vite me ramener à mon rang !).
Strabon (en grec ancien Στράϐων = celui qui louche. NB : il devait être sacrément ''bigleux''... pour avoir donné son nom au strabisme !) était un géographe et historien grec, né vers l'an 60 av. J.-C et mort autour de 20 ap. J.-C à près de 90 ans, ce qui était énorme, ''in illo tempore''. Il s'installa à Rome, d'où il ''co-voitura'' dans toute l'Italie actuelle, puis il fréquenta le Club Med en Ethiopie et en Egypte où il remonta le Nil (cherchant –qui sait ?-- à croiser Agatha Christie et Hercule Poirot). Il tira de ses voyages et de ses lectures ''la Géographie'', ouvrage en 17 tomes (''seulement ?''), organisés par région. (NB : les voyages formaient déjà la jeunesse de nos ancêtres !). Avant cela, il avait écrit des ''Commentaires historiques'', en 43 livres (''excusez du peu'' !) dont il nous reste quelques fragments. Strabon, bien que grec, ne cachait pas son admiration pour Rome, et on dit c'est lui qui aurait mis l’érudition grecque au service de la conquête romaine. On peut regretter, voire déplorer, que bon nombre de nos contemporains n'en ''prenne pas de la graine''. Si seulement nos ''migrants'' pouvaient ouvrir les yeux sur la riche culture française...
Mais ce qui a tout particulièrement retenu mon attention amusée, c'est que mon cher Strabon, qu'il louche ou pas, a raconté l'existence d'une peuplade, celle des ''Macrons''... dont la doxa élyséenne et les fake-makers impudents de la presse ''main stream'' nous cachent soigneusement l'existence. En poursuivant ma quête, sur Wikipédia et dans l'annuaire de l'Ena, j'ai découvert que ce peuple antique et slave avait élu domicile entre les Alpes Pontiques et le Pont Euxin... et même qu'il s'appellerait, en jargon géorgien, les ''მაკრონები'' (ça, je l’ai recopié, bien sûr sans comprendre, mais ça fait joli !). Petit problème : n'ayant pas une vraie maîtrise des caractères diacritiques, svanes et mingréliens, je n'ai pas trouvé sur mon clavier la touche du ''mani'' majuscule (c'est la lettre ''მ '', bien sûr, première lettre du mot macron). ''Manu'' devra donc se contenter d'un mani minuscule... C’est très bien.
En cherchant plus avant, j'ai suivi la trace de ces lointains ancêtres du nôtre (en tout cas, aux -nymes éponymes homonymes) : les Macrons sont mentionnés vers 450 av. J.-C. par Hérodote, qui rapporte qu'ils ont combattu sous Xerxès 1er dit le perse (c'est donc ''il y a longtemps'' : sans doute pendant le premier quinquennat, je pense !). On les retrouve sous le calame de Xénophon (430-355 av. J.-C.), qui les déplace plus vers l'est, à Trébizonde, l'ancienne capitale de Mithridate (1672, entre Bajazet et Iphigénie), qui est la Racine –si j'ose !-- de ''mithridatiser'', synonyme de ''vacciner''... ce qui amène la question : ''Pfizer et Moderna pourraient-ils être des macrons, eux aussi ?''. Passons. Après 1672, la suite de l'histoire les fera migrer (Tiens donc ! Des migrants ? Ceci expliquerait l'actuelle ''indulgence plénière'' du nôtre, de macron, pour tout envahisseur de ''l'Hexagone''), d'abord vers Amiens et les Jésuites de ''la Providence'', et vers l'énanisme de la rue Saint Guillaume, puis vers Rothschild et les ''deals'' arrangés pour faire briller des ''Young Leaders'', ensuite vers Bercy, et de là... Faubourg Saint Honoré, la Lanterne, Brégançon...
Jusque là, à part le fait, devenu une routine, que ''on ne nous dit jamais rien''... il y a peu à gloser : c'était un petit peuple comme il en a eu tant dans l'Antiquité. On les imagine très bien, vêtus de gilets jaunes et parfois de bonnets rouges pas encore phrygiens, se déplaçant sans cesse de rond-point en rond-point, avalant bornes après Borne, en fonction des pluies, de l'inflation, du CO², du niveau des nappes phréatiques et de la vitesse du vent dans les feuilles des arbres (ces filles d'éole –d'où leur nom en ce temps-là : ''éoliennes'' !), du manque éventuel de PQ ou de Doliprane au Carrefour du coin, sans culture nationale et donc mûrs pour recevoir ''davantage de pédagogie'', bras nus pour des piquouzes bi-mensuelles à l'ARNm du temps, le visage couvert de masques inutiles, prêts à traverser la rue –ou la rive-- pour trouver du travail pendant entre 43 ans et 49-3 annuités, quoi qu'il en coûte... On peut supposer qu'ils travaillaient en moyenne jusqu'à 64 ans, temps d'ailleurs supérieur à leur espérance de vie... et on dit que, fatigués d'être confinés et pris pour des cons, finement... ils auraient inventé un drôle de machin-truc : ''la casserole'', sur lequel ils tapaient en rythme ! Je n'ai pas vérifié ce dernier point).
Deux ‘’infos’’, tout-de-même, devraient chatouiller quelque peu notre occiput (ce qui, on ne le répétera jamais assez, n'a rien à voir avec une femme de mauvaise vie qui a été assassinée !) : le premier, assez troublant, est que les voisins directs des Macrons sur les côtes de l'Euxin étaient une autre peuplade cousine dont les membres s'appelaient les ''Caucones'', ce qui n'est pas une surprise pour nos contemporains, effarés par le comportement des ministres et des députés qui ont choisi Macron (enfin... un des macrons, devrais-je dire) pour con-crétiser leurs ambitions –que leur nullité encyclopédique était bien en peine de leur offrir avec un mentor moins menteur— et je ne parle pas, ici, que de Marlène Schiappa (en italien : la nullité absolue), de Dupont et Dupond Moretti, ou de Pap Ndiaye -qui n'est pas italien. Pourtant. Il y avait, parfois, des mariages de macrons avec des caucones, et cette proxi-miscuité, attestée par les plus grands auteurs de l'Antiquité gréco-romaine et de la lutte éponyme, devrait ''nous interpeller, quelque part''.
Car un second point est encore plus menaçant, à terme. Xénophon est formel : il atteste que les Macrons avaient ''la tête comprimée dès la naissance par des armatures en bois et des bandelettes de cuir ou de tissu''. Cette pratique devrait, selon toute bonne logique aristotélicienne, constituer une sérieuse entrave à la compréhension de situations complexes... ce qui vient corroborer nos terreurs --inexplicables jusque là, mais plus claires, désormais : avec une tête comprimée dès la naissance, les perspectives de progrès réel doivent très vite rencontrer les limites que le ministre-en-titre de l'éducation asexuée, genrée, perverse et inclusive (donc : tout, sauf ''nationale'') veut ou peut concevoir pour l'école... de même que tout désir d'adaptation au monde doit se heurter à ce que connaît Macron (le nôtre, notre Macron ben-Macron ben-Macron etc... ben jusqu'à ses ancêtres ''მაკრონები''). Le résultat de cette contrainte imposée à ‘’nos enfants’’ (comme répète sans cesse celui qui n'en a pas) explique le nombre de ''têtes d’œuf'' de son entourage et leurs crânes en forme de ''bonnet d'enâ'', les excès de rouflaquettes, le plein d'anneaux aux doigts et le besoin ostentatoire et chronique de se montrer en bras de chemise en toute circonstance, oublieux de sa fonction et de ce qu'il devrait être et faire....
On a beau m'expliquer que c'est un récit, d'us et d'ab-us pratiqués il y a longtemps par des hordes en désordre, pas encore libérées de leurs croyances, antiques --et en toc, donc ''de droite'' : encore des complotistes !-- par les bienfaits de l'école de la République (ce qu'on appelait ''l'école de Papa'', qui est devenue celle de Pap, hélas !)... je remarque trop de ressemblances avec des coïncidences pour ne pas voir là un des nombreux effets secondaires de l'ARNm qui a été enté de force dans tant de bras qui n'en voulaient pas, mais qu’on menaçait de l'enfer social d'une suspension s'ils refusaient d'être ramenés à leur seul ''cu-air cod'' (en français : cu de morue à l'air)... Au fond, si plus de 3 français sur 4 trouvent, ''H-24'', que leur macron a des idées souvent caucones... c'est la faute aux მაკრონები, c’est clair.
H-Cl.
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La playlist de l'émission de ce jeudi matin sur Radio Campus Bruxelles entre 6h30 et 9h : Harry Partch "U.S. Highball - A Musical Account of a Transcontinental Hobo Trip" (A Portrait/New World Records/1955-2015) Buddy Collette Septet & Robert Sorrels "Polynesian Suite" (Polynesia/Trunk Records/1962-2019) Peter Ivers' Band (with Yolande Bavan) "Gentle Jesus" (Knight of the Blue Communion/Epic Records/1969) Dominik Steiger "Gold Vom Süden" (Ad Hoc Musi 1980-84/Tochnit Aleph/2013) Reverend Gary Davis "I Am the Light of This World" (When I Die I'll Live Again/Fantasy/1972) Ivor Cutler "One at A Time" (A Flat Man/Hoorgi House Records/1998-2008) Le Diable Dégoûtant "Complainte de la Bête" (Fleur de Chagrin/Aguirre Records/2023) Persona "Água" (Som/Black Sweat Records/1975-2021) Jacques Charlier "L’Amour dans les chansons" (Art in Another Way/Musique Plastique/198?-2022) David Chesworth "Once Upon A Time" (Industry & Leisure/B.E.F.S Records/1983) Vincent & Moi "Lonely Hearts" (1998-2002/Auto production/2002) Colin Newman "Can I Explain the Delay" (Commercial Suicide/Crammed Discs/1986) Dominique Walter "Les petits boudins" (7"/Disc'Az/1967) Gillian Hills "Tu peux" (Rock Français/Wagram Music/1961-2021) Herman's Rocket "Space Woman" (7"/Vogue/1977) Sandra Plays Electronics "Her Needs" (7"/Minimal Wave/1988-2013) Aroma di Amore "Het Gesticht" (Koude Oorlog/Onderstroom Records/1984-2022) Savages "I Am Here" (Silence Yourself/Matador Records/2013) R.E.M. "These Days" (Lifes Rich Pageant/I.R.S. Records/1986) Panda Bear & Sonic Boom "Edge of the Edge" (Reset/Domino Recording Company/2022) Ming "Chanson de la plus haute tour" (Intérieur / Extérieur/Doxa Records/2001) François de Roubaix "Dernier domicile connu" (10 ans de musique de film/Odeon Soundtracks/1970-1998) Jean Luc le Ténia "Tu es un amour" (Le meilleur chanteur français du monde/Ignatub/2002) Fela Ransome-Kuti and The Africa '70 "Fogo Fogo" (Afro Baby - The Evolution Of The Afro-Sound In Nigeria 1970-79/Soundway Records/1973-2004) https://www.instagram.com/p/Cp2P6BuN004/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Zinedine Zidane est-il le prochain le coach du Real Madrid ? Real Madrid a connu une nouvelle désillusion en Ligue des champions en s'inclinant à domicile contre l'AC Milan sur un score de 1-3. Ce revers, survenu au Santiago-Bernabéu, a plongé les 80 000 spectateurs présents dans un profond désarroi. La défaite fait écho à un début de saison difficile pour les Madrilènes, qui peinent à retrouver la solidité et la régularité qui ont fait leur force dans le passé. Mais au-delà de la performance de l’équipe, une autre personnalité a attiré l'attention ce soir-là : Zinedine Zidane. L'ex-milieu emblématique du club a été aperçu en sortie de stade, cela a ravivé des spéculations sur son avenir et celui du Real Madrid. Zinedine Zidane : l’ombre d’un retour au Real Madrid Zinedine Zidane du Real Madrid, n'a pas oublié son lien particulier avec le club madrilène. De 2016 à 2018, puis de 2019 à 2021, l’ancien numéro 5 a magistralement dirigé l’équipe, enchaînant les titres majeurs tout en inscrivant son nom dans l’histoire du club. Son dernier passage sur le banc de l’équipe avait été couronné par des succès en Ligue des champions et des trophées nationaux. Mais depuis son départ, Zinedine Zidane est resté éloigné des terrains, et depuis n'a pas encore trouvé de poste d'entraîneur. Cette absence dans le monde du football a nourri les spéculations autour de Zinedine Zidane. À chaque changement de coach dans les clubs de renom, son nom ressurgit. À l’approche de la fin de contrat de Didier Deschamps avec l’équipe de France, Zinedine Zidane est souvent cité comme un successeur logique, l’option rêvée pour certains pour relancer un nouveau cycle. Les circonstances actuelles au Real Madrid rendent son retour dans la capitale espagnole tout à fait plausible. Lire aussi : Zinedine Zidane au RC Lens : voici ce qui va se passer ! L’avenir de Carlo Ancelotti et les incertitudes du projet madrilène L’incertitude plane également sur le futur de Carlo Ancelotti. L’entraîneur italien, bien que respecté pour ses accomplissements et sa longue carrière, ne semble pas à l'abri de critiques, surtout après des performances récentes de l’équipe qui déçoivent les supporters. Malgré un effectif de grande qualité, les Merengue peinent à trouver la constance nécessaire pour dominer sur tous les fronts. Ces performances en demi-teinte, combinées à la pression du public, font naître des interrogations sur l’avenir du coach transalpin. Le retour de Zinedine Zidane à Madrid semble donc être un sujet brûlant. L’affection profonde qu’il porte au club, et l’admiration qu’il suscite au sein de l’équipe et des supporters, pourrait jouer un rôle décisif. Après tout, Zidane a prouvé qu’il avait l’expérience et le charisme nécessaires pour gérer les attentes d’un club aussi prestigieux, tout en insufflant une dynamique de réussite. Zinedine Zidane, une légende toujours vivante au Santiago-Bernabéu Zidane n’est pas seulement un ancien entraîneur du Real Madrid, il est aussi une légende vivante de la Maison Blanche. Son passage en tant que joueur, où il a marqué l’histoire avec des titres comme la Ligue des champions en 2002, lui a permis de s’imposer comme une figure centrale de l’identité du club. En tant qu’entraîneur, il a su reprendre ce flambeau, allant même au-delà des attentes pour offrir au club des trophées majeurs, dont trois Ligues des champions consécutives. Cela lui a permis de rester dans le cœur des fans madrilènes, qui continuent de l’idolâtrer. Lors de sa récente apparition au Santiago-Bernabéu, les regards se sont tournés vers lui, sa présence a alimenté une vague d’émotions chez les supporters. Les caméras et les photographes l'ont immortalisé, alors que de nombreux fans l’entouraient pour tenter d’entrevoir un signe, un indice quant à la suite de son aventure avec le club. Zinedine Zidane, toujours aussi charismatique, a laissé planer le mystère autour de son avenir, cela nourrit les rumeurs d’un retour potentiel au poste d’entraîneur. L'incertitude qui entoure le poste de coach au Real Madrid alimente la spéculation autour de Zinedine Zidane. Si l’équipe ne retrouve pas rapidement son meilleur niveau, la pression pourrait devenir trop forte pour Carlo Ancelotti. Un départ prématuré de l’entraîneur italien offrirait alors une occasion en or pour Zinedine Zidane, un homme qui connaît parfaitement la maison et qui a déjà fait ses preuves au plus haut niveau. D’autant plus que les relations entre Zinedine Zidane et le club madrilène sont restées intactes, marquées par le respect mutuel et une histoire de réussite commune. Pour les supporters, l'idée d’un retour de Zizou n’est pas seulement une question de nostalgie, mais de pragmatisme. L’entraîneur français connaît la mentalité du club, les exigences d’un projet ambitieux, et surtout, la pression qui pèse sur chaque décision. En retour, Zinedine Zidane pourrait redonner au Real Madrid la stabilité et la confiance nécessaires pour redevenir une force dominante en Espagne et en Europe. Les attentes des supporters madrilènes Les supporters du Real Madrid attendent impatiemment de voir leur club retrouver son prestige. Les récentes performances en championnat et en Ligue des champions laissent entrevoir un flou artistique autour de l’identité de l’équipe. Si le travail de Carlo Ancelotti reste reconnu, il semble aujourd'hui en décalage avec les attentes de la direction et des fans, de plus en plus critiques. Zinedine Zidane est, dans cette optique, l’homme de la situation. Sa popularité au sein du Santiago-Bernabéu est indéniable, et son retour serait perçu comme un signal fort. Après avoir marqué l’histoire du club à la fois en tant que joueur et entraîneur, il est logique que les partisans du Real Madrid rêvent de le voir revenir pour réinstaurer un cycle victorieux. Son aura et son expérience sont des atouts qui pourraient redonner au club l’élan nécessaire pour renouer avec la grandeur qui a fait sa renommée. Voir également : Chelsea ambitionne de faire de Zinedine Zidane l'entraineur le mieux payé au monde ! Le temps presse : un retour inévitable de Zinedine Zidane ? Les prochains mois seront déterminants pour le Real Madrid. L’avenir de Carlo Ancelotti semble incertain, et une décision devra être prise si les résultats ne s’améliorent pas. Le nom de Zinedine Zidane circulera à nouveau, et les rumeurs autour de son retour enflammeront les discussions. Sa présence au stade du Santiago-Bernabéu ce soir-là pour assister à une énième défaite du Real Madrid a ravivé l'espoir chez de nombreux supporters qui n’attendent qu’une chose : un signe de la direction. Si un départ de Carlo Ancelotti devait se concrétiser, Zinedine Zidane serait probablement le choix idéal pour relancer un projet ambitieux et redonner aux Merengue l’envie de conquérir à nouveau l’Europe. En attendant, les fans continueront à espérer. Un retour de Zinedine Zidane à Madrid ne semble pas qu’un rêve lointain, mais une possibilité très réelle qui pourrait se concrétiser bien plus tôt que prévu. Dans tous les cas, Zinedine Zidane reste une légende vivante du Real Madrid, et chaque apparition publique ne fait que renforcer l’espoir d’un futur où il pourrait redevenir le maître du banc de touche de la Casa Blanca. Read the full article
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Cameroun : les dates des matches contre la Namibie et le Zimbabwe connues
La Fédération camerounaise de football (Fecafoot) a officialisé les dates des derniers matches de l’année contre la Namibie et le Zimbabwe, comptant respectivement pour les 5e et 6e journées des éliminatoires de la CAN 2025. Alors que le lieu de la réception du Zimbabwe, pour le dernier match à domicile de l’année, est connu depuis […] L’article Cameroun : les dates des matches contre la Namibie…
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La superstar du Real Madrid saluée comme "de classe mondiale" par le milieu de terrain de Barcelone avant le Clasico
Ce dimanche, tous les regards seront tournés vers le très attendu Clasico, où Luka Modric devrait entrer sur le terrain en tant que titulaire, selon les informations de Manu de Juan dans AS. Le Real Madrid aborde ce match avec un mélange d'émotions, après avoir connu à la fois le triomphe et la déception lors des derniers matchs. Cependant, jouer à domicile dans un match aussi important leur…
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DERNIER DOMICILE CONNU / LAST KNOWN ADDRESS
Série : PLAISIR DE CONSTRUIRE, JOIE D’EMMÉNAGER
Edition en 5 ex. numéroté et signé.
40 × 30 cm (marge blanche 25mm). Impression sur papier argentique lustré ou brillant.
80 euros (frais de port: 7 euros)
Edition of 5 numbered and signed copies.
40 × 30 cm (25mm white margin). Printed on glossy or high-gloss silver paper.
80 euros (postage 7 euros)
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:: NO NO ::
DERNIER DOMICILE CONNU
SÉRIE : PLAISIR DE CONSTRUIRE, JOIE D’EMMÉNAGER
:: No No :: Un blog Tumblr sans photographie, sans photographe.
Vous voilà prevenu-es!
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tracklist for @claracivry and anyone without a spotify account
Presentimento - Slim
On the Way to San Mateo - Lalo Schifrin
Profondo rosso - Goblin
Everybody's Been Burned - The Byrds
La horse - Jean-Claude Vannier
Gold Prisms Incorporated - The Bad Plus
The .44 Magnum Is a Monster - Bernard Herrmann
Bullitt - Main Title - Lalo Schifrin
La via della droga - Goblin
Interlude - The RH Factor
What A Difference A Day Makes - Dinah Washington
It's Not for Me to Say - Johnny Mathis
Scène d'amour (Bilitis) - Francis Lai
Motherless Child - Tom Jones, Portishead
God's Lonely Man - Bernard Herrmann
Générique - Michel Colombier
Le samouraï - François de Roubaix
Dernier domicile connu - François de Roubaix
The Pink Room - Angelo Badalamenti
Daughters Of Darkness Opening - François de Roubaix
Era de maggio - Roberto Murolov
Danse des mouches noires gardes du roi - Jean-Claude Vannier
not that i don’t love listening to the original goncharov soundtrack but i wanted to add some more songs that fit the vibe
#to the people who thought they were going to get rickrolled i’m sorry but i would never joke about goncharov. this is serious business#this is my ideal 70s maffia movie soundtrack#goncharov#playlist
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Crédit photo: @almeida.enzoo, @eab_digitalcom Le week-end final des équipes locales Les équipes de football de Val-de-Travers ont clôturé ce week-end la saison de printemps avec des résultats marquants. Le dernier match de cette saison avait une signification particulière, car c'était également la dernière fois que le FC Couvet I et le FC Fleurier I jouaient sous leurs bannières respectives. Dès la reprise du championnat, ces deux équipes fusionneront pour former le FC Val-de-Travers. Voici un récapitulatif des performances des équipes locales : le FC Couvet I, le FC Fleurier I, et le FC Môtiers I. FC Couvet I – FC Peseux Comète I : 13-1 Le FC Couvet I a terminé la saison en apothéose en écrasant le FC Peseux Comète avec un score impressionnant de 13 à 1. Les hommes de Raphaël Claudio, futur entraîneur de la première équipe du FC Val-de-Travers, ont offert un véritable festival de buts à domicile. Cette victoire spectaculaire permet aux Covassons de terminer la saison à la 4e place du classement avec 34 points, grâce à 10 victoires, 4 matchs nuls et 8 défaites en 22 matchs. FC Fleurier I – FC Helvetia NE I : 2-1 Dimanche, le FC Fleurier I a également conclu sa saison sur une note positive en remportant son match contre le FC Helvetia NE avec un score de 2 à 1. Jouant sur le terrain des Sugits à Fleurier, les buts de Davide Loureiro à la 6e minute et de Jérôme Dreyer à la 61e minute ont permis aux Fleurisans de s'imposer. Avec 29 points en 22 matchs, résultant de 8 victoires, 5 nuls et 9 défaites, le FC Fleurier termine à la 6e place du classement. FC Val-de-Ruz I – FC Môtiers I : 2-1 Le FC Môtiers I, en déplacement aux Geneveys-sur-Coffrane, a connu une défaite serrée contre le FC Val-de-Ruz, s'inclinant 2 à 1. Simon Berthoud a marqué le seul but des Môtisans à la 65e minute, sauvant ainsi l'honneur de son équipe. Le FC Môtiers I finit la saison à la 10e place du classement avec un bilan de 6 victoires, 3 matchs nuls et 13 défaites en 22 matchs. Un nouveau chapitre pour Val-de-Travers Avec la fusion prochaine du FC Couvet et du FC Fleurier pour devenir le FC Val-de-Travers, une nouvelle ère s'annonce pour le football régional. Les supporters peuvent se réjouir de voir évoluer une équipe unie et renforcée, prête à affronter les défis de la prochaine saison. Nous souhaitons à tous les joueurs, entraîneurs et supporters une intersaison reposante et espérons les revoir nombreux pour soutenir le FC Val-de-Travers dès la reprise du championnat.
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Le greenwashing (2): La déesse de la mort de tous les cochons
Big Mike, le chef des "Crazy Homicides" et un tueur extrêmement violent, avait du mal à cacher sa peur. La nouvelle de la mort inhabituelle de ses deux subordonnés n'avait pas du tout réjoui Bertá Bochette, également connue sous le nom de "Ma Barker" de Bidonville. Après avoir donné un grand coup de pied à son fidèle berger allemand Dietmar - dixième du nom - qui se trouvait à portée de main, la mère du gang s'est approchée de son subordonné d'un air menaçant.
"Petit con, tu me dis qu'Ibrahim et cet abruti de pisseux ont été éliminés sans que les autres clochards s'en aperçoivent ? Tu ne vas pas te moquer de moi ? Tu veux peut-être visiter mon abattoir" ?
La voix stridente de Ma Barker résonna dans une disharmonie furieuse. Ce qui venait d'être dit fit trembler le titan Mike comme un petit garçon, car la monstrueuse Bochette avait l'habitude de faire disparaître dans sa boucherie, au moyen d'un hachoir à viande, les contemporains désagréables qui étaient en général encore en vie pendant la charcuterie. Il n'était pas difficile de savoir, en voyant les offres spéciales dans la boucherie de Bertá, si un autre malheureux avait été touché.
"Excusez-moi, chef, mais nous avons interrogé les habitants en détail et vraiment personne n'a rien vu ni entendu".
Avec des regards implorants et une voix tremblante, le chef de bande brutal a tenté d'obtenir le pardon de Bertá. Celle-ci, cependant, s'est lancée dans de nouveaux exploits psychopathiques et a sorti furieusement l'un de ses nombreux couteaux de boucherie d'un tiroir maculé de sang.
"Espèce de mauviette ! Alors tu aurais dû les laisser torturer jusqu'à ce qu'ils parlent ou qu'ils soient cassés. Tu veux que je te montre comment on fait ? Déballe maintenant ton misérable pénis et pose-le sur la table".
Horrifié, le chef de gang dur à cuire tomba à genoux, pensant avec horreur au sort cruel de son prédécesseur complètement castré.
"S'il vous plaît, chef, j'ai même coupé les oreilles d'une vieille salope. Ils ne savent vraiment rien, je le jure. Ibrahim et cet imbécile de nazi sont vraiment dans un sale état. Peut-être que la police devrait mieux s'occuper d'eux ! C'était sûrement un psychopathe, et les chefs de la police adorent se faire passer pour des chasseurs de monstres devant la presse" !
"QUOI ! Tu veux courir chanter à la police ? Mais les oiseaux morts ne chantent pas quand on les tue" !
Les yeux pétillants de joie sadique, la tueuse de cochons par passion a retourné la tête de Big Mike et a appliqué son couteau de boucher souvent utilisé sur sa gorge.
"C'était juste une blague ! S'il te plaît, Domina, je paierai le triple du prix du sang. Je peux l'obtenir" !
Un argument aussi fort a eu un effet tout à fait apaisant sur la grosse bouchère, qui a épargné sa victime avec un soupir de déception semblable à celui d'un éléphant.
"Bien, 6000 dollars espéranto ! Je suis vraiment trop bon pour ce monde. D'ici demain, tu m'auras remis l'argent ou je viendrai faire un massacre à domicile".
Le gangster dur à cuire qui avait échappé à son destin a eu un frisson dans le dos en pensant à ses contemporains massacrés à domicile par sa patronne. Comparé à la cruauté de ces événements mortels, le dernier meurtre de l'éventreur dans le Londres victorien faisait penser à une douce euthanasie.
Pensive, Ma Barker, apaisée, jouait avec son cher couteau de boucher et lançait des regards perfides à son subordonné toujours agenouillé.
"Heureca ! Ce doit être ce satané Kara Mustafa ! Cette saloperie et ses seldjoukides veulent nous supplanter depuis longtemps et ils sont passés aux choses sérieuses. Putain d'enculés, ils vont payer" !
Big Mike doutait que le chef de la mafia seldjoukide ait quelque chose à voir avec la fin malheureuse de ses deux collaborateurs, mais il préférait ne pas faire part de ses réflexions à Bertá, enragée.
"Les pourceaux, je les exterminerai !"
Furieuse, la chef de bande jeta son cher couteau et l'utilisa pour tuer Dietmar qui, intimidé, s'était réfugié dans son panier. Laissant le long couteau dans le chien qui, par hasard, portait le nom de son époux brutalement décédé, elle ouvrit furieusement son armoire antique et en sortit sa chère tronçonneuse avec laquelle elle abattit, dans un accès de rage et en un temps record, 600 cochons en une journée, comme on disait dans les milieux informés.
Avec un rire psychopathique, Ma Barker mit en marche son instrument de meurtre préféré et s'approcha de son valet de pied de haute taille avec une lueur de malheur dans ses yeux de cochon. Celui-ci poussa un cri de petite fille et s'apprêtait déjà à fuir lorsque la grosse Bertá éteignit la tronçonneuse ensanglantée.
"Petit merdeux, tu as de la chance que je passe une bonne journée et que tu sois un avorton ridicule !", a grogné Ma Baker avec une lueur extrêmement amusée dans les yeux. "Va rassembler les gars. Nous avons encore quelques comptes à régler, et la mafia seldjoukide va le payer de son sang. Par Ormi, le dieu mort de tous les porcs stupides, j'aurai la tête de ce maudit Kara Mustafa".
Big Mike déglutit difficilement et acquiesça docilement. "Oui, maîtresse", répondit-il d'une voix tremblante. "Je vais immédiatement m'assurer que tout est prêt".
"Tu as deux heures ou tu seras le premier protagoniste du à la tronçonneuse de Bidonville !"
Ma Baker affichait un sourire diabolique en pensant au carnage à venir. Les rues seraient bientôt imprégnées de sang et de chaos, et elle serait à la tête, prête à affirmer sa place de reine folle du crime.
Suite à donner
© 2024 Q.A.Juyub
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Révolutionner la mobilité : les scooters électriques pliables
Ces dernières années, le paysage du transport urbain a connu une transformation remarquable. Avec la montée de la conscience écologique et le besoin d'options de déplacement efficaces et flexibles, les scooter electrique pliable ont émergé pour changer la donne. Non seulement ils offrent commodité et durabilité, mais ils s’adressent également aux personnes à mobilité réduite, ce qui en fait un mode de transport inclusif.
Le concept des scooters électriques n'est pas nouveau, mais l'intégration de la pliable ajoute une toute nouvelle dimension à leur praticité. Les scooters électriques pliables sont conçus pour être compacts et portables, permettant aux utilisateurs de les transporter facilement dans les transports en commun ou de les stocker dans des espaces restreints. Cette fonctionnalité répond à l’une des principales préoccupations des navetteurs urbains : le problème du dernier kilomètre.
Grâce aux scooters pliables, les navetteurs peuvent parcourir en toute transparence la distance entre leur domicile ou leur lieu de travail et les stations de transport en commun, comblant ainsi le fossé entre les modes de transport.
De plus, les scooters électriques pliables ne sont pas seulement pratiques pour les navetteurs moyens ; ils servent également de bouée de sauvetage pour les personnes à mobilité réduite. Ces scooters constituent un moyen de transport accessible et indépendant pour les personnes qui peuvent avoir des difficultés à parcourir de longues distances ou à naviguer dans des espaces bondés. En proposant un mode de transport privilégiant l’accessibilité et l’inclusivité, les scooter pour mobilité réduite permettent aux personnes à mobilité réduite de mener une vie plus active et indépendante.
L’un des principaux avantages des scooters électriques pliables est leur polyvalence. Que vous soyez un citadin à la recherche d'un moyen pratique de se déplacer dans les rues urbaines ou une personne possédant un scooter pour mobilité réduite recherchant une plus grande indépendance, ces scooters offrent une solution qui répond à divers besoins. Avec un guidon réglable, des options de sièges confortables et des commandes intuitives, les scooters électriques pliables sont conçus pour accueillir les utilisateurs de tous âges et de toutes capacités.
En plus de leur côté pratique, les scooters électriques pliables contribuent également aux efforts de développement durable. En optant pour un mode de transport électrique, les usagers réduisent leur empreinte carbone et contribuent à la lutte contre le changement climatique. Face aux préoccupations croissantes concernant la pollution de l’air et la dégradation de l’environnement, l’adoption d’options de transport respectueuses de l’environnement, comme les scooters électriques pliables, est plus importante que jamais.
Lorsque vous réfléchissez dans quel scooter électrique pliable investir, il est essentiel de donner la priorité à la sécurité et à la fiabilité. Recherchez des scooters qui répondent aux normes de l’industrie en matière de qualité et de performances, avec des caractéristiques telles que des systèmes de freinage robustes, une construction durable et des batteries longue durée. De plus, tenez compte de facteurs tels que l’autonomie, la vitesse et la capacité de poids pour vous assurer que le scooter correspond à vos besoins et préférences spécifiques.
Conclusion,
Les scooters électriques pliables représentent une avancée significative dans la mobilité urbaine, offrant commodité, durabilité et accessibilité dans un seul emballage compact. Que vous soyez un navetteur quotidien circulant dans les rues animées de la ville ou une personne à mobilité réduite recherchant une plus grande indépendance, ces scooters offrent une solution de transport polyvalente et inclusive. Pour découvrir une gamme de trottinettes électriques pliables répondant à divers besoins, visitez bikehello.com/fr/ et embarquez pour un voyage vers un avenir plus durable et plus accessible.
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𝐋͟𝐈͟𝐌͟ 𝐂͟𝐎͟𝐑͟𝐃͟𝐄͟𝐋͟𝐈͟𝐀 ;
— Née dans un quartier pauvre de la ville de Séoul, Cordelia grandit les premières années de sa vie dans une famille aimante. Fille unique, elle est la prunelle de ses deux parents qui font de leur mieux pour qu’elle puisse avoir une meilleure vie. Cependant, tout dégringole du jour au lendemain, quand sa mère – prise d’une folie – décide de quitter le domicile familiale, sans aucun mot, sans aucun regard, ayant simplement décidé de reconstruire une nouvelle vie ailleurs. Cordelia n’est qu’enfant à ce moment là, à peine âgée de huit pauvres années, quand elle est laissée entre les mains de son père. Alors qu’elle pensait avoir le soutien nécessaire de la part de son paternel, la rouquine comprendra bien vite qu’il n’en est rien. Ce dernier ne la supporte plus, ne supporte plus les traits communs qu’elle partage avec sa mère, ces mêmes traits qui lui rappellent le départ de sa femme. Alors depuis, Cordelia devient le souffre douleur de son père ; violence psychologique, physique, la pauvre enfant se fait battre pendant de longues années. Elle ne pensait pas revoir la lumière au bout du tunnel, ne pensait pas trouver un nouveau sens à sa vie. Et pourtant, un jour, elle fera la connaissance de Halazia, un gang connu de la ville et surtout des services de police. Réticente les premiers temps, la jeune femme alors âgée de seize ans à l’époque, tombera sous le charme du leader de ce gang – Set. Se liant ainsi d’amitié avec Iseul, Kaz et Kyungsu, la rouquine trouvera enfin un sens à sa vie, pensera réellement avoir retrouver une famille stable et aimante, celle qu’elle a enfin choisi.
Mais encore une fois elle s’est trompée.
Le gang n’était pas connu pour être très réglo : vol de motos, marchandise de pièces, drogues, la jeune femme était plongée là dedans jusqu’au cou et ne savait pas comment se dépêtrer de cette situation. Mais elle avait Iseul, elle avait Kyungsu et Kaz, et surtout elle avait Set, donc elle se disait que rien ne pouvait lui arriver tant qu’elle avait ses nouveaux amis avec elle. Mais voilà, un jour le gang se fait gauler par la police en plein trafic, en plein échange de drogue, et qui envoient-ils au bûcher ? Cordelia. La jeune femme même pas encore majeure sera interrogée par les flics, lâchement laissée tomber par le gang qui ne se retournera même pas pour la sortir de là. La sentence est peu lourde, quand on regarde ce qu’elle a pu faire. Mais elle est mineure, sous la responsabilité de son père qui, bien sûr, pétera un câble. Six mois de travaux d’intérêt généraux, une amande qui lui bouffait toutes ses économies. Les conséquences étaient lourdes, mais ce n’était rien comparé à ce qui l’attendait à la maison. Une fois chez elle, Cordelia se fait battre pendant des jours et des jours, enfermée dans sa chambre – ce qui la poussera à développer une claustrophobie -. Depuis sa rencontre avec Set, elle avait arrêté de se faire du mal, de se mutiler, mais il faut croire que les nouvelles cicatrices sur son corps témoignent de sa volonté de vouloir en finir une bonne fois pour toutes. Elle se rate, est envoyée chez son oncle après six mois de travaux. Elle qui pensait souffler une bonne fois pour toutes, décide de porter plainte contre son géniteur, d’enfin avoir la justice qu’elle mérite, mais il faut croire que la justice n’est pas toujours juste, quand l’avocat qui défend son père, la fait passer pour une simple sale gosse qui pousse son caprice parce qu’elle n’a pas eu assez de bonbons au goûter. Elle est dégoûtée, haineuse envers tout le monde. En rage envers son géniteur qui ne lui adresse même pas un regard et qui rigole de la situation, en rage envers son avocat, envers son oncle qui n’est là que pour toucher les aides de l’état.
Comment rencontre – t – elle Sulli ? Son sauveur ?
Sans famille, sans amis, sans plus aucun gang qui pourrait la tirer de cette vie merdique qu’elle semble se traîner avec elle. Cordelia décide d’en finir. Mais contrairement à toutes ces fois où elle prenait des médicaments, appuyait un peu plus fort sur ses veines avec une lame, elle décide de se rendre sur le boulevard le plus fréquenté de la ville, en plein centre ville. Elle ne sait même pas combien de temps elle est restée à fixer la route à double voix, à fixer les voitures qui roulaient à vive allure. Elle se souvient juste avoir été vide de moindre sentiment, expression, las de vivre. C’est quand elle fait un pas en avant, que son pied touche la route, qu’elle entend une voix derrière elle.
« Pourquoi te suicider sur un boulevard ? Tu veux que ta mort reste mémorable ? »
C’est avec un air mauvais, les yeux plissés qu’elle s’était retournée vers cet homme – Sullivan – qui la regardait simplement, les mains dans les poches de sa veste et la tête penchée sur le côté. Ils s’étaient toisés pendant un long moment, Cordelia voulait lui dire de s’en aller, de la laisser tranquille, mais elle l’avait senti au plus profond de son être, cet homme qui allait devenir son boss, son leader mais également son grand frère, allait également devenir son sauveur.
( … )
Maintenant âgée de vingt-quatre ans, Cordelia est membre des Serpents depuis plusieurs années maintenant, depuis sa majorité, depuis cette fameuse après-midi où elle avait croisé la route de Sulli. Elle est, au fil des mois, devenue un élément important, étant là pour la réception de la marchandise – des pièces de moto – mais également en temps que mécanicienne, aux côtés de Sam qui deviendra l’un de ses plus proches amis. La jeune femme a mis longtemps avant de donner sa confiance à qui que ce soit, mais les premiers à qui elle s’ouvre sont Junseo et Rei, qui deviendront ses meilleurs amis. Les trois passent le plus clair de leur temps ensemble, et Cordelia passe plus de temps chez Junseo plutôt que chez son oncle, qui au final n’en a rien à foutre d’où elle peut bien se trouver, tant qu’il continue de percevoir les aides de l’état. Finalement, ce ne sont pas ses meilleurs amis ou les autres membres du gang qui l’aideront à quitter son oncle, mais bien Nari. Un petit bout de femme qui viendra la disputer en plein cours parce qu’elle s’est défilée à plusieurs reprises pour leur projet commun. Si Cordelia, ne s’est jamais montrée gentille ni même agréable avec qui que ce soit, il faut dire que la brune la sort vite de sa zone de confort, et c’est bien la première fois depuis longtemps, que la rouquine s’autorise à sourire et enfin être elle même. Mais quand on est dans un gang, il faut s’attendre à ce que sa vie prenne un tournant à n’importe quel moment. Disputes, secrets, blessures, sa relation avec Nari est mise à rude épreuve les premiers temps, mais après de longues discussions, des retrouvailles, des sentiments avoués, Cordelia quitte enfin le domicile de son oncle pour rejoindre l’appartement de sa petite-amie. Aujourd’hui, Cordelia est un peu plus heureuse, un peu plus douce, et ça même les garçons du gang pourront témoigner de l’influence positive que peut avoir Nari sur leur Cordy.
𝗖͟𝗼͟𝗿͟𝗱͟𝗲͟𝗹͟𝗶͟𝗮͟' 𝘀͟ 𝗱͟𝗲͟𝘁͟𝗮͟𝗶͟𝗹͟𝘀͟.
i. Pas à l'aise avec son corps, ni même avec les cicatrices qui peuvent être présentes sur ses bras et sur ses cuisses, Cordelia se cache beaucoup sous des vêtements amples. On ne la verra jamais avec autre chose que des manches longues. Les seules personnes au courant de ce qui se cache sous ses vêtements sont sa femme et ses meilleurs amis.
ii. L'une des premières femmes à rentrer dans le gang, la rouquine a vite réussi à se faire respecter. Calme et discrète, c'est surtout sa répartie et sa mine fermée qui font que la plupart des membres ont peur d'elle. Tout comme Tayden, elle ne gaspille pas sa salive pour rien, mais ne se gênera jamais de dire ce qu'elle peut penser. D'ailleurs, son manque de tact a souvent mené a de violentes disputes, notamment avec Minjae. Encore aujourd'hui, personne n'est au courant de ce qui a pu se passer entre eux, comment elle a réussi à le faire pleurer et pour sûr que Cordelia emportera cette anecdote, avec elle, dans sa tombe.
iii. Bien qu'elle agisse comme détachée de la situation, la jeune femme est effrayée du retour de Set dans leurs vies. Parce qu'il a fait du mal à ses amis, à Nari, et qu'elle a également peur qu'il s'en prenne à elle, puisqu'elle faisait partie de Halazia quelques années auparavant. Cependant, Cordelia décidera de prendre les devants en imaginant un plan - bien que bancal - pour faire tomber Set. Pour sûr que toute cette histoire se terminera avec elle.
iv. Cordelia voue une réelle passion pour la mécanique, et pour les motos en particulier. Occupant la place de réceptionniste lors des missions, ce n'est pas rare de la voir occuper ses week-end à retaper les motos et les véhicules de ses amis du gang. Quand le gang sera dissout, elle n'hésitera pas avant de monter son propre garage avec l'un de ses meilleurs amis, Sam.
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𝐂͟𝐎͟𝐑͟𝐃͟𝐘͟𝐍͟𝐀͟𝐑͟𝐈 ;
« we're running in the moonlight we're dancing in the open waves you're hanging for a good time something that'll make you stay and girl, you fall down again you tell me you're all out again we're running in the moonlight could you show me the way again ? »
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Boîtier IPTV : Révolution dans le Divertissement en 2024
Table of Contents
Introduction au Boîtier IPTV
Fonctionnalités Principales
Avantages du Boîtier IPTV
Impact sur l’Industrie du Divertissement
Conclusion
Dans le paysage actuel du divertissement à domicile, le Boîtier IPTV se présente comme une innovation révolutionnaire, offrant aux utilisateurs une multitude de contenus télévisuels et multimédias à portée de main. Ces boîtiers, grâce à leur connectivité Internet, permettent un accès instantané à des chaînes de télévision, des films, des séries, des jeux et bien plus encore, redéfinissant ainsi la manière dont nous consommons les médias. Dans cet article, nous explorerons en profondeur le phénomène du Boîtier IPTV, ses fonctionnalités, ses avantages et son impact sur l’industrie du divertissement.
Introduction au Boîtier IPTV
Les Boîtiers IPTV, également connus sous le nom de décodeurs IPTV, sont des appareils qui utilisent la technologie Internet Protocol Television (IPTV) pour diffuser des contenus audiovisuels sur les écrans de télévision. Contrairement aux méthodes traditionnelles de diffusion par satellite ou par câble, l’IPTV utilise le protocole Internet pour transmettre des flux de médias en continu, offrant ainsi une plus grande flexibilité et une expérience utilisateur améliorée.
Fonctionnalités Principales
Les Boîtiers IPTV offrent une gamme de fonctionnalités séduisantes qui en font une option attrayante pour les consommateurs. Parmi celles-ci, on retrouve :
Accès à une multitude de contenus : Les Boîtiers IPTV offrent un accès instantané à des milliers de chaînes de télévision du monde entier, ainsi qu’à des bibliothèques de films, de séries et de programmes à la demande.
Interface conviviale : La plupart des boîtiers IPTV sont dotés d’une interface conviviale et intuitive, facilitant ainsi la navigation et la recherche de contenus.
Fonctionnalités avancées de recherche et de recommandation : Certains boîtiers IPTV sont équipés de fonctionnalités avancées de recherche et de recommandation, qui analysent les habitudes de visionnage de l’utilisateur pour lui proposer des contenus personnalisés.
Prise en charge de la haute définition (HD) et de la résolution 4K : Les Boîtiers IPTV prennent en charge la diffusion de contenus en haute définition et même en résolution 4K, offrant ainsi une qualité d’image exceptionnelle.
Compatibilité multiplateforme : Ils sont compatibles avec une variété de dispositifs, notamment les téléviseurs, les ordinateurs, les smartphones et les tablettes, offrant ainsi une flexibilité maximale à l’utilisateur.
Avantages du Boîtier IPTV
L’émergence des Boîtiers IPTV a apporté plusieurs avantages significatifs aux consommateurs et à l’industrie du divertissement dans son ensemble :
Large choix de contenus : Les Boîtiers IPTV offrent un accès à une large gamme de contenus, permettant aux utilisateurs de choisir parmi une variété de chaînes, de films et de séries, sans les limitations imposées par les fournisseurs traditionnels de services de télévision.
Économies financières : En optant pour un Boîtier IPTV, les consommateurs peuvent réaliser des économies significatives sur leurs factures de télévision, car ils ne paient que pour les contenus qu’ils consomment réellement, sans les frais supplémentaires associés aux forfaits traditionnels.
Flexibilité et commodité : Avec un Boîtier IPTV, les utilisateurs ont la liberté de regarder leurs contenus préférés quand ils le souhaitent, où qu’ils soient, tant qu’ils disposent d’une connexion Internet.
Mise à jour automatique du contenu : Les Boîtiers IPTV bénéficient souvent de mises à jour automatiques du logiciel et du contenu, garantissant ainsi aux utilisateurs un accès continu aux derniers films, séries et événements sportifs.
Expérience utilisateur améliorée : Grâce à leur interface conviviale et à leurs fonctionnalités avancées, les Boîtiers IPTV offrent une expérience utilisateur immersive et agréable.
Impact sur l’Industrie du Divertissement
L’avènement des Boîtiers IPTV a eu un impact significatif sur l’industrie du divertissement, tant du côté des consommateurs que des fournisseurs de contenus. D’une part, les consommateurs bénéficient d’une plus grande liberté de choix et d’une expérience de visionnage améliorée, ce qui les amène à opter de plus en plus pour des solutions IPTV. D’autre part, les fournisseurs de contenus doivent s’adapter à cette évolution en proposant des offres attrayantes et en s’efforçant de fournir une qualité de service optimale pour rester compétitifs sur le marché.
Conclusion
En conclusion, le Boîtier IPTV représente une révolution dans le domaine du divertissement à domicile, offrant aux consommateurs un accès instantané à une multitude de contenus télévisuels et multimédias. Avec ses fonctionnalités avancées, sa flexibilité et ses avantages économiques, il est rapidement devenu un choix populaire parmi les amateurs de divertissement du monde entier. Cependant, il est important de noter que l’utilisation de services IPTV doit être conforme aux lois et réglementations en vigueur dans chaque pays. En fin de compte, le Boîtier IPTV continue de façonner l’avenir du divertissement, offrant aux utilisateurs une expérience de visionnage sans précédent.
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07-218 Sa mort fut une véritable prédication…
L'adresse est : https://soundcloud.com/jlgaillard/sa-mort-fut-une-veritable-predication
C'était une visite de routine qui amena Stephan Schmidt, pasteur d'une paroisse de campagne de l'Allemagne du Sud, à l'hôpital. Là se trouvait couchée sur son lit de mort, une dame de sa paroisse, âgée de 87 ans, désirant lui parler encore une dernière fois. Elle remercia son pasteur pour ses prédications au travers desquelles elle avait connu la vérité sur Dieu. Elle le remercia également, parce que trois ans auparavant, elle avait ainsi pris la décision de confier sa vie à Jésus. « Je sais où mène le voyage », dit-elle.
Elle décéda trois jours après. Selon des témoins, elle mourut dans une paix totale, se réjouissant à la pensée de ce qui l'attendait au ciel. « Jésus, Jésus ! » furent les derniers mots que ses lèvres prononcèrent. Sa mort fut une véritable prédication pour toutes les personnes présentes, comme nous le rapporte le pasteur Schmidt.
Quelques jours plus tard, le téléphone sonna chez ce pasteur. L'un des médecins de la clinique s'annonça. Il lui dit :
— Vous êtes bien le pasteur qui a encore parlé avec cette vieille dame, peu de temps avant qu'elle ne décède ?
Ce docteur n'avait encore jamais été témoin d'une mort aussi paisible.
— Qu'avait donc cette femme que moi je n'ai pas ? demanda finalement le médecin.
— Je peux vous le dire exactement, répondit Schmidt, en invitant celui-ci à venir à une réunion dans son église.
Lors de cette réunion, on pria aussi pour les malades. A sa grande surprise, le médecin expérimenta une guérison physique dans son propre corps. La réunion qu’il venait de vivre, plus la guérison dont il venait de faire l’expérience, ainsi que l’entretien personnel qu’il eut avec le pasteur, tout cela eut un grand impact sur sa vie.
Ce même soir, le pasteur accompagna le médecin à son domicile. Sur le chemin du retour, dans la voiture, le docteur exprima le désir de se convertir sur le champ à Jésus-Christ. Pour ce faire, il conduisit le véhicule jusqu'à la bande d'arrêt d'urgence d'une voie express, déclencha le signal de détresse et, avec le pasteur, ils se mirent à prier. C’est alors qu’il accepta le pardon de Dieu et qu’une grande joie remplit son cœur.
A peine eurent-ils fini de prier qu’une patrouille de police s'arrêta derrière leur voiture. Les policiers contrôlèrent voiture et papiers. Lorsqu'ils leur demandèrent ce qu'ils faisaient là le soir, sur la bande d'arrêt d'urgence, la réponse fut spontanée : « Nous prions ! »
Cela leur parut suspect. C'est pourquoi ils soumirent le pasteur et son passager à un test d'alcoolémie dont le résultat se révéla négatif. Au moment du départ, le médecin, s’adressant à l'un des policiers, lui dit :
— Jeune homme, je vous souhaite de vivre un jour quelque chose d'aussi beau que ce que je viens de vivre ici ce soir !
Quelques jours plus tard, le téléphone sonna une nouvelle fois chez le pasteur Schmidt. Le policier qui l'avait contrôlé récemment était à l'appareil, lui posant la question suivante :
— Je voudrais savoir ce que ce médecin a que je n’ai pas ?
— Je peux vous le dire exactement, répondit le pasteur en invitant promptement le policier à assister à la prochaine réunion dans son église.
Ce jeune policier y apparut accompagné cette fois de son amie.
— C'est quand même étonnant, déclara le pasteur, les heureuses répercussions que peut avoir la mort d’une personne en paix avec Jésus-Christ et réconciliée avec Dieu.
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