#daron parmi les darons
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Je me rends compte que j'ai complètement oublié de poster ce dessin finit (oups?)
Ce sont deux OC à moi, à gauche Nobuo, à droite Isaac dit "Zak". Ils reviennent très souvent dans mes fanfictions, et je me suis un peu trop attaché à eux en l'espace de cinq textes.
Ce sont deux pirates qui comptent parmi les plus anciens membres d'équipage de l'Arcadia.
Nobuo c'est un peu le daron de tout l'équipage, il se retrouve souvent à materner tout ce petit monde ou empêtré dans les emmerdes du capitaine. Il arrive d'ailleurs toujours à piquer des bouteilles d'alcool au capitaine, la plupart de ses camarades se demandent d'ailleurs comment il y arrive.
Et Zak... Ba il est là. Il me sert souvent de pigeon voyageur quand il y a un message à faire passer au capitaine. Il appelle Tadashi "Blanc-bec". En revanche, il n'est pas doué à la baston, il préfère rester en passerelle.
#captain harlock#harlock#uchuu kaizoku captain harlock#capitaine albator#leijiverse#fanart#harlock oc#oc
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Qui devrait mourir dans le tome 10 de gardiens des cités perdues, et pourquoi ? Partie 1 : Les jeunes
Selon moi...
Sophie : Etant la protagoniste, ça serait extrêmement intéressant. Une victoire remportée au prix de sa vie, un genre d'accomplissement, mais pitié pas un sacrifice pour keefe, ça gâcherais tout le time up. on pourrais voir les réactions de tout les personnages, que le sacrifice du colibri entrainerais à la victoire, avec un esprit de venger sophie et d'accomplir ce qu'elle avait commencé
Fitz : Eh bien maintenant qu'il s'est fait recaler par sophie et que le seul intéret des personnages de cette histoire sont leurs histoires sentimentales, sa seule utilité serait de mourir. Après s'être réconcilié avec tout le monde, sophie, et keefe, tourné la page, voir pourquoi pas se sacrifier pour son meilleur ami. Sans rancune keefe ! ça tournerais la page pour sophie, puisque Fitz lui avait montré la voix, avait toujours été à ses côtés pour le début, maintenant ç ouvrirait une page plus mature. Et voir l'effet de la mort d'un apparenté sur son apparentée, je dis WHY NOT !
Keefe : Je sais, je sais, maintenant qu'il est avec sophie, il a plus le droit de mourir, donc shannon osera jamais... et franchement, bah moi non plus.
Mais avouez que le faire se sacrifier pour empêcher l'accomplissement du projet de sa mère car il en représentait la clé, ça aurait une sacrée classe quand même !
Linh : Eh bien... Mis à part dévaster Tam quel serait l'effet exact de sa mort ? Bien sûr, pour tout le monde, ça serait une sacrée claque ! Peut être la voir mourir en protégeant un ogre voir ravagog tout entier ? Ou en sauvant lueur.
Tam : Mr frangette... Eh bah... En vrai nan, lui il est utile vivant, et sa mort aurait comme seul impact de faire partir lueur et de perdre toutee chance de contact avec les invisibles, entrainant ainsi une escalade de violence. Peut être que Keefe aurait un gros pincement de coeur en voyant son "meilleur ennemi" mourir comme ça ? Linh sombrerais dans la dépression sans aucun doute, et on aurait maybe droit à un rapprochement avec lueur puisqu'elles souffreraient toutes les deux de la perte de Tam. Sauf si bien sûr il décède à cause de lueur (sacrifice, erreur de sa part)
Lueur : nan pas d'intéret non plus, je dirais. à moins qu'elle soit tuée par un invisible et que ça fasse changer Trix de camp ?
Marella : Mouaaais... à vrai dire pas d'intérêt non plus. Même pas du tout. J'en vois genre aucun.
Maruca. : Vous allez rire, je lui trouve un intérêt ! eh oui ! Sa mort aurait d'inévitables répercussions sur wylie, qui ferait peut être porter le chapeau à sophie, entrainant une scission du cygne noir. Linh pourrait se rapprocher de lui pour le consoler, formant ainsi une réelle famille.
Wylie : Reverso. Là, ce serait Linh, maruca et bien sûr Prentice et Tiergan qui seraient effondrés. Peut être que l'esprit de tiergan se fissurerait à cause de sa culpabilité et que ce serait à Prentice de le sauver à son tour, qui sais ?
Dex : Nan plus. Lui, mis à part effondrer sophie puisque théoriquement c'est son meilleur ami (sauf qu'on a pas du tout l'impression dans les livres franchement...) bah je lui trouve aucun intéret à décéder.
Rex : Vous l'attendiez pas, hein ? Eh bien si ! Je veux le voir se sacrifier pour les cités perdues, prouvant ainsi la place des sans talents parmi les elfes ! Leur utilité ! Là ou ses frères et soeurs (Lex et bex j'entends, pas dex) avaient peur d'agir, lui se jeta au coeur de l'action et périt héroiquement.
Biana : Moooooouuaiiiis... elle m'inspire pas trop à vrai dire puisqu'elle a déjà eu son moment de gloire dans le t6 si je dis pas de bêtises dans la numérotation. Je la verrais plus tuer qu'être tuée.
Voilà c'était mon topo sur la jeune génération, si ça vous intéresse je ferais ptête un sur les vieux, les adultes, les darons, appellez ça comme vous voulez, si on atteint les 10 likes minimum
#gdcp#Gardiens des cités perdues#keeper of the lost cities#kotlc fandom#sophie foster#keefe#fitz vacker#linh song#tam song#dex diznee#biana vacker#Rex diznee#diznee family#maruca chebota#kotlc maruca#kotlc linh#kotlc sophie#marella redek
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RENOUER AVEC LA DÉMOCRATIE : ROMPRE AVEC UN PERSONNEL POLITIQUE DÉCONNECTÉ S’APPUYANT SUR UNE TECHNOCRATIE AUX CERTITUDES INTANGIBLES
ARTICLE – Daron Acemoglu et l’échec des démocraties Telos – Charles Wyplosz. 6 juillet 2024 La crise politique qui sévit en France n’est qu’un cas parmi bien d’autres. Daron Acemoglu, qui enseigne l’économie au Massachusetts Institute of Technology, travaille depuis des années sur la manière dont fonctionnent les démocraties et les régimes autoritaires. Dans un récent article publié…
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La puissance de la musique
La musique, c’est la vie. La musique c’est ma vie.
Compagne de fortune ou d’infortune, elle est toujours un peu là, présente à tous les instants et colorant notre quotidien. Un(e) ami(e) sort sa guitare et la soirée se transforme, un morceau électro démarre et les conversations d’experts suivent :
- Mmmh, ce beat est un régal !
- Ah ouais ? Moi je le trouve trop mou.
La musique a beaucoup plus de pouvoirs qu’on ne l’imagine. Marchez dans la rue en écoutant Staying Alive des BeeGees et vous avez le sentiment que le monde vous appartient ; écoutez Dire Straits et vous avez l’impression d’être un daron. Quand Maurice entre dans le bistrot et que la radio envoie le premier « Destinée » de Guy Marchand, vous ne voyez plus le même homme.
La musique connecte les gens. Parfois on écoute une chanson dans le métro et on croirait que cet autre passager qui secoue la tête écoute la même, dans une synchronicité parfaite. La musique permet de s’échapper quand la réalité est trop agressive. C’est aussi un ancrage mémoriel. On écoute Tryo et on se revoit à l’aube de l’an 2000, la tête pleine de rêves, de paix et de plantations.
Mais parfois la musique est aussi un messager. On écoute les paroles d’une chanson et c’est comme si l’interprète connaissait notre situation et s’adressait à nous, rien qu’à nous. L’histoire que je vais raconter en est la preuve par trois.
Août 2014. Cet été-là, les cigales ne chantent pas. Dans des décors de rêve – une petite île paradisiaque de l’Atlantique, la forêt landaise, la campagne toscane – je vis un enfer. L’enfer a un visage : de grands yeux bleus d’une profondeur telle qu’on y plonge facilement, jusqu’à se noyer ; de belles boucles blondes de bébé cadum. L’enfer a un prénom, que je tairai, par respect peut-être. L’enfer a surtout une personnalité qu’on croirait merveilleuse au départ, qui nous enveloppe et nous emmène loin dans son baluchon plein de promesses, puis qui tout à coup nous pique discrètement à petits coups de couteaux, de plus en plus profonds, jusqu’à nous réduire en tous petits morceaux qu’on mettra un temps infini à recoller.
Il y a l’enfer et puis il y a moi. Moi qui suis là et qui vis cela, moi qui reste dans cette tempête. Sainte parmi les saints, moi qui m’observe presque d’ailleurs, dans un étrange exercice de dissociation, me faire hurler dessus, rabaisser, parfois menacer, voire secouer, bien sûr quand tout le monde a le dos tourné. Moi qui le regarde faire le beau devant les autres et qui me sens d’une certaine manière flattée parce qu’il « a besoin de moi ». Moi qui suis habitée du matin au soir par une formule, un motto d’empathie hérité de l’histoire, de la culture judéo-chrétienne et de ma mère : « le pauvre ! ». Et oui, l’enfer a eu une enfance difficile avec une mère atroce, il semble donc normal que je lui serve d’exutoire.
C’est cette mère à qui nous allons rendre visite dans le Sud-Ouest, parce qu’il dit la détester et s'est engueulé avec elle récemment, mais il adore nous avoir toutes les deux réunies à ses côtés. C’est une visite surprise alors, de crainte qu’elle ne nous ouvre pas et qu'elle appelle la police, je vois mon ange démoniaque escalader la barrière pour entrer dans son jardin et m'inviter à faire de même, dans une scène de film dans laquelle je ne me reconnais pas mais où je joue mon plus beau rôle de femme forte, douce et digne, endimanchée dans ma robe noire. Une Pietà comme Michel-Ange ne l’aurait jamais imaginée.
Mais avant cela, nous avons dû prendre un bus de Bordeaux. Depuis le réveil, depuis la veille, depuis toujours en fait, il me pourrit. Je suis trop lente, je ne souris pas assez, je regarde trop ailleurs, je n’ai rien d’intéressant à dire, et par un tour de passe-passe, sans doute parce que je suis grignotée par la culpabilité qu’il a façonnée dans mon esprit, je me retrouve à porter l’intégralité de nos affaires, en courant derrière lui qui a les mains vides et qui me crie dessus.
Cette relation m’a appris que mon seuil de tolérance à la maltraitance est très élevé, mais aussi qu'il y a une limite que même un beau blond torturé ne me fera pas franchir : je DETESTE porter des choses lourdes. Je suis ce qu’on appelle « la petite dernière » et depuis ma plus tendre enfance ma mère s’est toujours assurée que mes petits bras mignons ne soient jamais trop encombrés pendant nos voyages, en répartissant les charges entre elle et mes sœurs.
Lui les mains vides et moi le dos courbé, cette injustice est trop forte, cette histoire ne mène nulle part. Je suis prête, je vais l’abandonner là tout de suite avec sa tête de con ! Je le suis tout de même dans le bus parce qu’avant de faire le grand saut, j’ai besoin d’un plan. Mais quand je pénètre dans l’habitacle, quelque chose se passe.
La radio est branchée, Nostalgie est programmée et c’est là que je l’entends.
Après une courte introduction au violon qui suspend l’instant, Jacques Brel qui me susurre calmement mais intensément « Ne me quitte pas ». Tout à coup il n’y a que lui et moi. Lui c’est Jacques bien sûr. Le piano est doux et pénétrant et tout à coup je m’aperçois que les paroles racontent notre histoire, à l’enfer et à moi :
Oublier ces heures qui tuaient parfois
Je te parlerai de ces amants-là qui ont vu deux fois leurs cœurs s'embraser
Il est, paraît-il des terres brûlées donnant plus de blé qu'un meilleur avril
Ne me quitte pas, ne me quitte pas, NE ME QUITTE PAS.
C’est dingue ! Est-ce que quelqu’un nous regarde ? Est-ce que le chauffeur a deviné que je veux partir ? Est-ce que le type qui a conçu la playlist de Nostalgie qui tourne en boucle depuis vingt ans savait que ce jour arriverait, que je prendrais ce bus ?
Au même moment, l’enfer me lance son regard de chien battu, de petit garçon perdu qui ne sait plus qui il est, qui, dans cette nuée, redevient l’être inoffensif qui a besoin de moi. Est-il conscient de ce qui se passe ? A-t-il lu dans mes pensées ?
J’essaie de me calmer, m’assieds sur mon siège et ris intérieurement de ce moment que je me promets de raconter un jour dans un roman, un film ou une bd. Quand la chanson s’arrête enfin, c’est Gainsbourg qui intervient : « Je suis venu te dire que je m’en vais ».
Mais c’est pas possible !!! Ce morceau que j’aime plus que tout prend un tout autre sens. Les esprits de Jacques et Serge sont-ils venus dans ce bus exprès pour moi ? Jacques serait l’enfer et je serais Serge ? Ou peut-être que toutes les chansons parlent de rupture … Je ne sais toujours pas quoi faire mais je profite de ces airs pour m’extraire de ce que je suis en train de vivre et c’est déjà beaucoup, un moment de respiration dans le cyclone.
Ça a pris du temps, mais j’ai fini par quitter l’enfer et depuis je porte une attention toute particulière aux paroles des chansons que j’écoute. The promise I made was to love myself de Cleo Sol me rappelle mes priorités dans la vie, Lovely day de Bill Withers me met de bonne humeur pour la journée, Agadou, dou, dou pousse l'ananas et mouds l'café bah … elle est entraînante, faut l’admettre.
Et il y en a tant d’autres…
On peut choisir d’utiliser la musique comme un oracle ou tout simplement comme une présence réconfortante qui stimule nos émotions à bon escient. Ce n’est pas l’enfer qui avait besoin de moi, c’est moi qui ai besoin de la musique et elle, elle sera toujours là.
Et surtout n’oubliez pas : si un jour vous vous retrouvez à porter toutes les affaires face à quelqu’un qui a les mains vides et vous accuse de ne rien faire, fuyez, vous êtes manipulé(e) !!!
#blogging#coaching#energies#esoterisme#histoiresdusoir#horoscope#laperditudedeschoses#lesensdelavie#tarots#univers
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Bilan musical 2020-2021
Catégorie çà va rester / çà va partir
- La sophistication d’Alex G : une bonne pioche qui m’a inspiré des bonds de joie, tout au long de l’été, à mesure que je transcrivais ses titres pour piano, les uns après les autres. Il y a toujours quelque chose de réconfortant à voir des gens, aussi jeunes, avoir une telle culture musicale et l’avoir aussi bien assimilée. Promet vraisemblablement de belles surprises dans les années à venir - pour le coup, lui est vraiment dans une tradition européenne (c’est le facteur Debussy) et il peut nous délivrer quelques millésimes d'anthologie, en mûrissant.
=> Ah ! La rouerie harmonique de Taking ! Les accords de dominantes dans Bad Man !
Tomorrow's Harvest ?
- la platitude de Gossip (comment peut-on faire une musique aussi prévisible avec une chanteuse aussi fascinante ?). J’aurais peut-être dû commencer par Music for Men, mais justement. Tu te dis : "C’est l’album qui s’est le mieux vendu, donc peut-être pas le plus représentatif de leur style ; on va plutôt les découvrir avec l’album le mieux noté par les critiques". Et tu repars déçue pareil, parce que, bullshit, çà reste du rock bourrin dans les deux cas. Wikipédia dit que le groupe a été influencé par Nirvana, Siouxsie, Peter Gabriel, The Raincoats ; ce qui est remarquable, c’est que çà s’entend pas du tout. Je n’ai rien contre le rock à deux accords genre Strokes, c’est juste que, comme disait Martin Hannett, çà fait 20.000 ans qu’on joue comme çà, on commence à s’ennuyer ferme.
#standing in the way of boredom#gossip#Alex G#taking#bad man#debussy#daron parmi les darons#marathon must listen#best of 2020-21#pitchfork best#rolling stone best#nme best#martin hannett
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Onze ans - Le Nuevo Che
Le dernier soir de tes dix ans, alors que je venais te donner le bisou du dodo, et avant d'aller livrer une cargaison de chatouilles commandée par ta sœur dans la chambre d'à côté, je t'ai informé que je comptais te congeler pendant la nuit, pour que tu aies dix ans toute ta vie. J'ai promis de te sortir du congélateur une fois par mois pour une partie de FIFA, d'Assassin Creed Origin ou de Hitman 3.
— Il faut juste que j'achète un plus grand four micro-ondes, pour te réchauffer plus rapidement, ai-je prononcé sur un ton pensif.
— Nul, as-tu juste rétorqué.
Tu grandis trop vite. Mes blagues de daron ne fonctionnent plus autant qu'avant. Heureusement, et à ma grande satisfaction, elles provoquent encore le doute, parfois, et j'entends alors, souvent en provenance du continent de la banquette arrière, l'interrogation existentialiste qui me mets en joie, de ta voix de petit gars : "C'est vrai papa ?".
Tu grandis trop vite, je persiste. D'autant qu'on nous vole un peu ces années sans hormones et sans crises. Je voudrais que tous les soirs des trente prochaines années tu me demandes un câlin à l'heure du coucher.
Tu poursuis le tennis les mercredi après-midi et tu as ajouté le ping-pong le samedi matin. Tu es fier parce que le prof t'a félicité pour tes appuis de revers. Tu veux une nouvelle "palette" — tout aussi fier de nous apprendre qu'on ne dit pas "raquette" pour le tennis de table. Evidemment, tu insistes pour que nous acquérions une table de ping pong, dommage que notre maison de ville ne soit pas assez large pour qu'elle puisse y entrer. Tu n'as pas le sens des proportions. Tu dessines des plans sur papier quadrillé, tu découpes des formes en papier pour me démontrer qu'un trampoline, un jacuzzi et une table de ping-pong tiendraient dans le confetti qui nous tient lieu de jardin. Tu commences à maîtriser les conjugaisons, du plus-que-parfait au futur antérieur, tout en refusant de faire tes devoirs sans moi, histoire que je te confirme les terminaisons. Tu hais les -ai, les -ais, les -ait et les -aient. Ton école de hippies a choisi le thème de la défense (au sens large) pour traverser cette année COVID. Tu as visité le Palais de Justice de Bruxelles (en travaux depuis 1984), rencontré en classe un avocat puis un repris de justice. Tu me transmets ses conseils pour survivre en zonzon. Depuis trois semaines, tu dissèques des cœurs de bœufs parce que ton instit' est fils de boucher. Il y a longtemps que j'ai abandonné l'idée d'appréhender la logique du fil pédagogique de cette école.
Tu t'es enfin mis à lire. Des mangas. Je t'accompagne sur Naruto, pour que nous ayons des lectures communes, des discussions sur les enjeux et les héros. Tu as quarante volumes d'avance sur moi, et tu en dévores deux par jour, si on te laisse faire. Et, oui, on te laisse lire tout ton saoul pour que jamais tu n'entendes ce que ma mère me lançait en râlant: "tu lis trop !".
Tu as souhaité un kit de crayons pour apprendre à dessiner comme un mangaka mais je doute un peu de ton assiduité comme de ta persévérance. Tu me ressembles, curieux de tout, embrasé par des passions aussi subites que brèves, fainéant, aussi, comme je le suis toujours. Gentil avant tout.
Pendant le premier confinement, alors que les écoles étaient fermées, les nouveaux apprentissages suspendus et que ta sœur et toi passiez vos journées dans le parc le moins surveillé du quartier, tu as, dans des circonstances qui demeurent mystérieuses, traversé une lucarne en plexiglas et chuté de plus de deux mètres dans les sous-sols d'une école primaire pour atterrir sur les fesses. Deux policiers appelés en renfort, armés de la grande échelle du concierge, t'ont permis de ressortir. Plutôt sympas, ils nous ont emmené aux urgences dans leur voiture de patrouille, sans enclencher, hélas, ni les sirènes, ni le gyrophare. On pouffait, toi et moi, à l'arrière, parce que tu avais marché dans une crotte de chien — le parc le moins surveillé du quartier étant, en toute logique, celui où les maîtres ramassent le moins les déjections de leur clébard — et que ça sentait très très fort le caca de chien dans la voiture. L'hypocondriaque en moi se taisait, je me répétais in petto qu'il s'agissait d'un vrai moment entre père et fils. La doctoresse de garde nous a joliment enguirlandé, les keufs et moi, parce que nous n'avions pas appelé les pompiers et que personne n'avait sécurisé ta nuque. Deux heures d'examens, de prises de sang et de radio pour conclure que tu avais eu une chance de pendu. Tu n'as jamais rien lâché sur le pourquoi du comment de cette chute, si c'était un défi entre gosses du parc (comme nous le croyons) ou un malencontreux faux pas depuis la rambarde à trois mètres de là (comme tu voulus m'en convaincre).
Cette saloperie de COVID nous priva de nos vacances chez les Hobbits et de la *République éphémère indépendante des enfants* que tu décrètes chaque été avec tes cousins et cousines du côté de ta mère. Plus d'un an sans les voir. A la place, nous passâmes tous les deux des heures infinies dans l'univers de Red Dead Redemption II. J'y pris un plaisir immense, multipliant les défis annexes du jeu pour ralentir ma progression et ne pas le terminer trop vite, tandis que tu te concentrais sur les quêtes principales. Nous discutions de nos aventures de hors-la-loi vieillissant dans l'Ouest américain de moins en moins sauvage, des mérites des différents chevaux, des personnages, des flingues et des défis. Tu me donnais tes trucs et tes astuces pour que je progresse plus vite. Nous nous retrouvons maintenant sur Assassin's Creed Origin.
Les fous rires dont je me souviens, à ton âge, en écoutant les cassettes de Coluche ou Thierry Le Luron piquées à mes frères, tu les vis sur You Tube en regardant les sketches d'Artus et consort. Pour pallier l'interruption de nos sorties ciné, et après avoir épuisé les épisodes du Mandalorien, nous avons regardé ensemble Tenet. Tu as adoré, comme moi, sans tout comprendre. Nous avons en commun cette sympathique fainéantise qui nous caractérise et nous fait accepter bien des licenses poétiques dans ces aventures cinématographiques plus grandes que nos vies sous couvre-feu. Et comme tu me le disais encore, alors que tu me voyais taper sur mon clavier :
— Nous, tout ce qu'on voudrait, c'est pouvoir jouer au tennis.
Ta sœur et toi êtes inséparables, chamailleurs, taquins, sans cesse l'un sur l'autre et jamais l'une sans l'autre. On parvient à vous séparer, parfois, jamais pour très longtemps. Nous regardons Koh Lanta ensemble, le vendredi soir, le seul rendez-vous télévisuel de notre famille. Nous n'avons pas les mêmes samedis soirs que ceux de mon enfance, quand nous, les quatre enfants, subissions le choix du programme parmi ceux proposés par les trois chaînes de télé (en général : Champs-Elysées avec Michel Drucker). J'essaie de recréer cette ambiance avec un film choisi en commun. Ça nous prend des plombes. Tu ne proposes que des James Bond, Pirates des Caraïbes ou la saga des Marvel - tout ce qui soi-disant fout les jetons à la Nueva Frida - en plus, elle n'aime pas Star Wars. La recherche du consensus aboutit parfois à des séances un peu molles, une cinématographie du navet. On en discute.
Tu écumes Netflix et Disney Plus, trouves des soluces sur YouTube, colorie encore avec un bout de langue qui dépasse. Tu détestes que l'on interprète tes pensées ou tes propos, que l'on juge sans savoir. On ne peut pas deviner ce qui se passe dans la tête d'un petit garçon de onze ans, il nous faut nous rappeler de poser la question, de ne pas préjuger. Tu nous prodigues ces leçons en boudant, jamais longtemps. Nous appliquons la règle d'or de ne jamais nous coucher fâchés.
De temps à autre, alors que je télé-travaille, que les réunions Zoom, Webex, Skype s'enchaînent, tu te glisses dans le bureau que je me suis aménagé, tu te poses sur la banquette avec un Naruto, tu lis sans un mot. Quand nous avons de la chance, notre chien, reconnu comme mammifère domestique le moins démonstratif de tout l'univers, vient poser sa tête sur tes genoux. On échange un regard. On se sourit. Tu m'enseignes le moment présent, tu partages avec moi l'éternité de ton enfance.
Le Nuevo Che a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans, huit ans, neuf ans (mais je n’ai rien posté), dix ans.
La Nueva Frida a eu deux ans, trois ans, quatre ans, cinq ans, six ans (mais je n’ai rien posté), sept ans, huit ans.
Le FILF a eu quarante-cinq ans.
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Comme j'ai trouvé le cab de l'ORL du premier coup j'ai commencé à danser en montant les escaliers (évidemment, je croyais qu'il n'y avait personne)
(évidemment2 : j'avais mon casque et paramore à fond dans les oreilles)
Une ribambelle de darons bourges est alors descendu en me regardant TELLEMENT MAL
D'ailleurs parmi ces gens il y a le docteur que je vais voir.
Trop hâte
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Allez parlons nous encore, encore ce soir
J’aurais beau le redire, j’me croirais pas
J’te dirai que j’ai tort, encore ce soir
Que j’ai beau me relire, j’me comprends pas
Et ce soir si je tremble c’est pas le froid
Et demain si je t’effleure arrose moi
Et demain si je te pique le cœur encore, et demain si je te mords, étouffe moi C’est pas la pluie sur la fenêtre qui coule sur ma joue, pas la fin d’une tempête, c’est juste la fin de nous
Je sais pas si c’est l’temps, qui est capricieux, des nuées d’sentiments j’suis noyé c’est vicieux
J’ai des doutes plein la gorge Mais des certitudes au cœur La raison m’est absente
Justifiant de mes pleurs L’amour c’est tout con, ça dure quatre saisons
Quand j’ai chaud tu as froid, à tous les choix j’ai faux
Et si tu as froid, ce n’est que des frissons
Quand t’es douce j’suis salaud, j’foire à tous les niveaux
L’amour c’est puissant, ressens mes pulsations
L’amour c’est flippant quand on ouvre les rideaux
Et s’il faut que je crève ce sera de passion Mais
C’est pas qu’j’t’aime pas mais j’t’aime plus
Je pense à toi mais j’vis pas, je vois qu’par toi mais j’panse pas
C’est pas j’t’aime plus mais j’sais pas J’y arrive pas
C’est pas qu’j’t’aime pas mais j’t’aime plus
Je pense à toi mais j’vis pas, je vois qu’par toi mais j’panse pas
C’est pas j’t’aime plus mais j’sais pas J’y arrive pas
Faire des pâtes sauce tomate, mater des tofs de matou, faire des photomatons, s’étouffer dans l’coffre d’une kangoo
Noyés dans les étoiles tellement l’ivresse nous noyait
Et c’est nos yeux qu’étaient vitreux de voir nos intérieurs heureux
Et c’est les cieux qui jalousaient, envieux la couleur de tes yeux
Perdus dans la vitre du plafond, l’Espace entier s’ouvrait à nous
Confus dans la caisse du daron, à confondre
Espace et Kangoo (J’aimerais, apprendre à t’aimer, apprendre à rêver, apprendre tout de nous mais) Il est 3h du mat et moi j’suis là avec mes jeux de mots et mes métaphores nulles
Mais y’a un truc auquel j’crois, si tu regardes la lune, je suis sûr qu´on m’y voit T’observer en soupir te dire “qu’est-ce que t’es belle”
En voilà une concurrente qui brille plus que l’soleil
Et j’vais pas m’voiler la face, du moins s’il m’en reste une, si tu regardes la lune sache que moi je te vois
Parmi les astres et nos désastres pour toujours je te guiderai
Mon amour brille pour toi sur sa face cachée
C’est pas qu’j’t’aime pas mais j’t’aime plus
Je pense à toi mais j’vis pas, je vois qu’par toi mais j’panse pas
C’est pas j’t’aime plus mais j’sais pas J’y arrive pas
C’est pas qu’j’t’aime pas mais j’t’aime plus (Je ne sais plus quoi faire) Je pense à toi mais j’vis pas, je vois qu’par toi mais j’panse pas (Je ne sais plus quoi faire) C’est pas j’t’aime plus mais j’sais pas (Je ne sais plus quoi faire)
J’y arrive pas (Je ne sais plus quoi faire) J’y arrive pas (Je ne sais plus quoi faire) J’y arrive pas, j’y arrive pas, j’y arrive pas (Je ne sais plus quoi faire)
J’y arrive pas
C’est pas la pluie sur la fenêtre qui coule sur ma joue
C’est pas l’orage qui m’remue c’est mon cœur et ses remous
C’est pas la faute à mes yeux éblouis par l’lampadaire
C’est juste cette photo de nous qui est tombée par terre
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Flipside
Jour 25 - 29 Octobre 2020, 15h25
J’ai très mal dormi cette nuit. En allant me coucher, j’ai repensé à la timeline de la tromperie, et j’ai commencer à obsess sur la date à partir de laquelle y’a eu un switch. J’essayais de comprendre pourquoi, comment, savoir les détails, comprendre ce qui a fait le déclic dans sa tête pour lui donner accès à son corps.
J’ai tellement galéré, j’ai dû mettre une heure avec un coeur à 100 pour m’en remettre, petit à petit. La boule au ventre, j’avais toutes les réponses du flipside sur le bout de la langue mais je n’arrivais pas à les verbaliser, les pensées obsessionnelles arrivant comme une déferlante, empêchant le positif de sortir de tout ça.
Puis j’ai réfléchi à sa situation. Je me suis mis à sa place. Une fois dans sa peau, j’ai réalisé qu’un nouveau groupe est effectivement excitant, avec plein de personnes, belles et douées dans ce qu’elles font. J’ai fait des parallèles partout avec ma propre histoire avec L., et Dieu sait que c’était pas facile de faire la part des choses. Pour preuve, je ne l’ai pas faite. J’ai fini après des mois à jouer avec le feu par avouer que j’étais perdu dans mes sentiments, sanglotant dans sa chambre à Knightsbridge.
J. a fait l’inverse, un fast forward en quelques semaines. Personnalités différentes, actions différentes. Le résultat reste le même. Le toll que ça a pris sur moi était énorme, et je ne m’en suis rendu compte que y’a peu, avec toute cette histoire. J’ai complètement transformé ma personnalité, me suis replié sur moi-même, et ai consciemment décidé d’arrêter de parler à des meufs de peur que ça arrive de nouveau.
Qu’est-ce que j’ai vraiment branlé ces 4 dernières années ? Vraiment, qu’est-ce que j’ai foutu ? J’ai avancé dans ma carrière, mais j’ai trimé comme un débile pour sauver mon couple en 2017, et à quel prix. Quelle taxe j’ai mangée, sérieux. Est-ce que ça valait vraiment le coup/coût ?
C’est une excellente question hein ? Ayant hésité sur la réponse, j’ai fini par répondre “Non”, car un “Oui” aurait dû être franc et direct, sans hési. Etait-ce plus rentable, en rétrospective, de ne pas tenter ? Je ne peux pas réinventer le passé, comme d’habitude. Mais la question se pose bien. Ai-je fait fructifier ces 4 dernières années ? Ont-elles été rentables ? À les observer de loin, j’ai l’impression de voir un empilement de mariages, de changement de carrières et rien de perso. Un peu de piano, quelques voyages ici et là.
Mais de l’autre côté, encore une fois à l’époque j’ai dû faire un choix, en toute âme et conscience. J’ai choisi ce qui me semblait le plus logique, entre le célibat et J., vu que L. m’avait rejeté. Je te rappelle encore une fois que J. était le 2° choix en Janvier 2017. Le 2° choix. Tu considérais même qu’elle en devienne le 3.
Encore une fois donc, un nouveau flipside se porte à nous : on ne saura jamais vraiment si ça a été négatif, ces 4 années qui ont suivi cette décision. Rien que pour la chance d’avoir réalisé que se mettre en péril, soi-même et sa propre personnalité, son énergie vitale naturelle au fond de soi, n’était pas positif, maintenant je sais que je ne ferai plus jamais ce même compromis. Ou peut-être pas. Tout n’est qu’une question de perspective et de comment on voit les choses. Peut-être je reflipsiderai cette situation, en réalisant qu’à être trop moi-même je vais heurter et blesser les personnes auxquelles je tiens.
J’ai partagé tout ça à S., mon collègue de taff, un peu plus tôt aujourd’hui. Il était désolé d’entendre tout ça, mais en bon Allemand il a compris quelques points sur lesquels on était en désaccord avec J. De l’autre côté, il m’a aussi fait remarquer que c’était triste de passer par la tromperie pour réaliser ce genre de choses sur la vie, une sorte de bouffée d’air frais à respirer de façon forcée, sans se rendre compte qu’on était sous l’eau à s’étouffer une demi-seconde plus tôt. On se coulait sans se rendre compte, j’étais son boulet et elle a dû se débarrasser de moi quand elle a voulu aller à la surface. C’est elle qui m’a tiré à la surface, sans que je demande grand chose. Elle est responsable de tout ça. Mais S. a bien raison sur un point, c’est qu’elle a pris la voie de sortie facile. La voie difficile aurait été de nager tous les deux vers la surface, vers la rive, ou se porter l’un l’autre, qu’en sais-je. S’entraider, quoi. C’est possible mais ça demande tellement d’efforts.
En me mettant à sa place, j’ai pu dégager le bruit de l’essentiel, qui est vers où je vais, et comment y arriver :
La majorité de ce qui se passe est en dehors de mon contôle, dont le comportement de J., parmi tant d’autres. Son envie de s’échapper, son envie de vivre des choses plus fortes, avec différentes personnes. L’attirance entre les gens, quand ils ont envie de se voir. Aucun contrôle.
C’est du passé. Amor Fati. Je ne pourrais rien changer à ce qui s’est passé. Je ne pourrais changer que comment je réponds à la situation, et qu’est-ce que je fais pour y remérier. L’histoire du paysan chinois et son cheval est encore une belle illustration de la situation. On ne saura jamais si cet événement est mauvais ou pas. Pas pour l’instant. Tout est fluide.
Sans cet événement, je serai resté dans cette complaisance par rapport à ma vie, ce confort, cette paresse, mais aussi cette peur d’agir. Je serai resté dans l’ombre de quelqu’un d’autre, en espérant qu’on ne me remarque pas, sans écouter vraiment ce que je souhaitais réellement faire, moi, Emmanuel. Ca m’a forcé de faire un état des lieux de notre situation, individuelle et en couple, sur ce qu’on était vraiment. Amis ? Amants ? Potes qui couchent ensemble ? Couple qui s’éteint doucement ? Un bon ami ? Un homme qui sait ce qu’il veut et où il va, ou plutôt qui se laisse balloter par la vie et les desideratas des Autres ? Une femme qui sait ce qu’elle veut, et se rend compte que sa Liberté l’appelle, qu’elle ne veut avoir personne dans ses pattes, ni quelqu’un à qui devoir rendre des comptes ?
Au final, beaucoup de choses se passent dans ma tête. Je suis toujours tirraillé entre la tristesse de clore un chapitre d’une telle façon, et d’être heureux d’avoir pu réaliser ça, grâce à elle, malgré la façon et la situation. Je peux enfin me mettre au centre de l’équation, chose que je n’ai pas faite depuis des années.
2013 peut-être, en post-M. ? Et encore, j’habitais encore chez les darons, puis avec 5/6 colocs, impossible de faire sa vie de célibataire tranquille, d’employé, de jeune actif désirant avancer dans la vie. C’est une chance unique. Ce qui est passé est passé, tu n’en changeras rien. Ce qui changera ta qualité de vie n’est que ta façon de réagir à tout ça, à planifier pour l’avenir, à changer ton train de vie pour une vie différente.
You cannot expect different results and do the same things.
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Année 2020, année zinzin.
Fantaisistes, fantaisistes, bonjour.
A l’heure où j’écris ces lignes, mon fils se réveil en pleurant. Bientôt trois heures que je le garde et qu’il dort paisiblement, où j’aurai pu prendre le temps d’écrire cet article tranquillement au lieu de procrastiner devant Twitch ou en lisant une bédé (“Carbone et Silicium” de Mathieu Bablet, très bon). Quelle tragédie. Je le change, je le branche aux titties de sa mère et je reviens.
…
Voilà ! Je suis de retour parmi vous, mes fans. Enfin de retour… Il s’est passé la journée depuis ce matin. J’ai redormi, mangé, une pote est passée voir Martin,... Une vie de daron quoi.
Tout ça pour dire que c’est une année bien étrange qui s’offre à nous et qu’il est fort probable que notre saison de NFL et de Fantasy ne déroge pas à la norme du moment. Première adaptation, dans la mesure où il est possible que des joueurs passent sur les listes CoVid de leurs équipes, notre commissioner ajoute à notre équipe un “spot CoVid”. Le principe est simple, si l’un de nos joueurs est out à cause du virus, celui-ci peut-être mis dans le spot en question afin de ne pas être droppé. En même temps une place est libérée dans notre équipe pour un joueur mais un choix devra être fait quand le joueur malade est de nouveau actif. Cette emplacement de joueur est bien entendu fermé pendant la draft.
A propos de la draft, je vous invite à essayer de faire une mock draft avant dimanche sur l’appareil que vous utiliserez pour la faire. Le nouveau client semble un peu capricieux et si vous ne voulez pas vous retrouver avec une équipe foireuse il faudra tester tout ça. C’est assez rapide et rien ne vous oblige à effectuer jusqu’au bout la mock draft. C’est ici que ça se passe : https://fantasy.nfl.com/draftcenter/mockdrafts
Si vous avez besoin de vous mettre un peu à jour, JB nous a déjà écrit un article sur les rookies. Vous trouverez ici une vidéo qui résume les mouvements de l’intersaison, et il prépare également une émission sur la NFl qui sera en live tous les samedis à 18h sur Twitch et probablement sur sa chaîne Youtube en VOD : https://www.youtube.com/watch?v=TUflsClC4bU. Enfin, il y a souvent des choses très peu intéressantes sur ce site, mais TDA effectue en ce moment une previews d’équipe par jour si vous voulez en savoir plus sur les forces et faiblesses des différentes équipes : https://www.touchdownactu.com/category/dossiers/preview-2020/. Il y a toujours les podcasts de Fantasy Fanatics qui peuvent être intéressants mais leur ligue étant en demi-PPR, les analyses peuvent différer des résultats réels dans notre ligue.
Concernant le suivi de la Pamplenews, dans laquelle vous trouverez des informations précieuses toutes les semaines, je vous invite fortement à activer toutes les notifications de la page Facebook sur laquelle je posterai systématiquement les liens des articles. Vous aurez aussi le loisir de les commenter directement si vous voulez vous plaindre de votre classement au Power Ranking (des pénalités pourront être appliquées aux râleurs). De la même manière, si vous désirez écrire une article ou une fan-fiction érotique sur notre commissionner n’hésitez pas à me contacter !
J’en profite pour féliciter encore chaleureusement Lancelot, qui s’est marié il y a quelques jours, à défaut d’être heureux au jeu il est heureux en amour ! C’est un coup à retourner au Sacko ça…
Bref, vous avez quasiment toutes les clés en main pour préparer votre draft de dimanche. Si vous avez des questions, notre conversation messenger est toujours ouverte et je vous souhaite une bonne fin de semaine !
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✂ Tailler Sa Barbe Grâce à Des Techniques Simples
Passer un nouveau coup de peigne sur votre barbe puis prenez en main la tondeuse. La vitamine E présente dans l’huile de ricin, va stimuler la peau et la circulation cutanée, ce qui suffit très souvent à avoir les poils sortir à nouveau. Choisissez la longueur de vos poils qui correspond le plus à la morphologie de votre visage. En inox très qualitatif (grade médical 304), ce bol robuste de petit format permet de réaliser vos mélanges d'ingrédients et vos pesées facilement. Donc si comme moi vous le faite sur vos cheveux à la main cela ne sera pas forcément nécessaire d'en appliquer sur vos ongles. Cela dit, avoir une barbe exige un entretien régulier tout comme les cheveux. Je l'ai utilisé pour les cheveux aussi et la différence est visible après une longue utilisation. Très nourrissante et apaisante, elle est idéale pour les barbes sèches. Ce produit haut de gamme est adapté pour tous les types de barbes mais reservé aux hommes raffinés. En effet, le raffinage est un processus qui fait perdre nombre de ses propriétés à l’huile de ricin.
Non Messieurs, optez pour un shampoing pour barbe avec des propriétés hydratantes, comme celui de Grave Before Shave à l’huile d’Argan. Huile de Ricin : mon alliée barbe et jeunesse ! Vous devez donc l’adoucir le plus possible avec un produit spécifique comme une huile à barbe vendue quelques euros seulement. Je suis à la recherche d’une huile non grasse pour ma barbe. Les huiles à barbe réduisent les démangeaisons. Elle fait la barbe toute douce, sent super bon et ne laisse pas la barbe huileuse ! La raison est assez simple, ils n'ont pas compris qu'une barbe exigeait un toilettage et des soins particulier. Sur le plan des outils, tout dépend de ce que vous cherchez à faire de cette barbe : parfois, une tondeuse avec sabot vous sera d’une grande aide pour raccourcir votre barbe sans toutefois vous raser à blanc. Cette forme de visage vous permettra de vous essayer à tous les styles de barbe et de suivre la tendance du moment.
La barbe ne s’abîme pas, elle a une belle brillance et votre peau est bien lisse. Comme mentionné dans le premier paragraphe, l’huile pure de ricin de qualité biologique est difficile à trouver, son prix varie énormément selon sa qualité et sa provenance. ’huile de noix de coco de se raser la barbe dans les zones du visage non désirées ou couper selon votre forme désirée. Pour une efficacité optimale, utilisez l’huile à barbe avant de vous coucher pour lui laisser le temps d’agir en profondeur. Nettoyage et revitalisation en profondeur : nettoyant 2 en 1 qui permet d'ôter les restes de nourriture, la bière, huile à barbe la crasse ou toute autre substance présente dans votre barbe ! Votre barbe paraîtra bien dense et uniforme pour un résultat très net. La longueur des poils est uniforme partout pour donner cette impression de naturel. Nous vous conseillons de garder 1cm de poils au dessus de votre pomme d’Adam.
Poils de sanglier. Démêlage traditionnel. Comme les poils de sanglier sont en réalité des cheveux, le shampoing reste l’idéal. Cèdre : favorise la croissance des poils et prévient leur perte. Votre cuir chevelu n’est pas la peau de votre visage, elle est fragile donc elle ne veut pas être « décapée ». Dans une élégante et robuste trousse de toilette en cuir de vachette aux coutures soignées, Savanna Beard propose pas moins de 4 accessoires et 2 produits ! Ainsi, il est parfois difficile de se tailler une jolie barbe à l’adolescence, car celle-ci peut être plus ou moins absente dans certaines parties du visage, à cause de sa poussée irrégulière à ses débuts. Cela vous permettra de les rendre bien moins visibles. Votre barbe est bien hydratée, douce et sent subtilement bon. Prenez soin de votre barbe ! Cette marque, qui compte parmi les premières marques de soin pour hommes, propose ici un produit 100% naturel et de fabrication artisanale. Produit correspondant à mes attentes, je commence à voir le changement sur mes cils, quant aux cheveux, on dirait de la soie! C’est un très bon produit dont je ne suis pas déçu. Un baume à barbe, c’est quoi au juste ?
3 Comment appliquer un baume à barbe ? La barbe est composée, on le sait, de poils, souvent durs et rugueux. Jabrane du barbershop Homme Pur à Cuers, qui est aussi ambassadeur France de la marque Reuzel ! Effectivement pour tailler sa barbe chaque homme doit connaître sa barbe, la densité de celle-ci selon les zones du visage, les côtés clairsemés. Comment faire pousser la barbe? De plus, cet ensemble d’accessoires favorise la production de sébum et donc la pousse de la barbe. On vous conseille une poignée en bamboo , car elle lisse d’avantage la barbe. Découvrez la sélection de tondeuses à barbe de qualité de la Barbe du Daron. Big Moustache vous éclaire sur les utilisations de l’huile de Ricin ! 1 paire de ciseaux à moustache. Après plus de quatre mois d’attente, vous y êtes enfin. 0% évaluations négative. Grand vendeur avec la très bonne rétroaction positive et plus de 50 cotes.
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L'analyse du terrorisme par les économistes américains est riche d'enseignements, explique l'ancien élève de l'ENA, Jean-Philippe Vincent.
Les économistes sont parfois accusés d'hégémonisme. Il y a du vrai. Non seulement ils prétendent détenir les clés du fonctionnement des économies, mais voilà qu'ils se mêlent en plus d'expliquer des phénomènes politiques ou sociétaux ne relevant pas de leur champ de compétence naturel. Reconnaissons-le toutefois: depuis que la science économique étudie des sujets comme les religions, les addictions, la criminalité, les discriminations ou la bureaucratie, des progrès sensibles ont été réalisés dans l'appréhension de ces questions. Aucun économiste sérieux ne prétendra, à l'aide des outils de sa seule science, expliquer la totalité d'un problème comme la criminalité ou les addictions. Mais supposons que la science économique parvienne à expliquer 10 à 20 % de ces questions, ce serait déjà un progrès sensible. Au surplus, l'analyse économique présente l'avantage de fournir un bilan quantifié - et de ce fait peu contestable- des problèmes de société. C'est utile pour que le débat se développe sur des bases moins passionnelles.
Or, depuis une quinzaine d'années, à compter des travaux pionniers de Laurence Iannaconne (The Market for Martyrs, 2003) et d'Alan Krueger (What Makes A Terrorist, 2007), une nouvelle discipline économique est née: l'économie du terrorisme. Au préalable, nous devons préciser au lecteur que les économistes étudient ce phénomène comme tous les autres, c'est-à-dire en s'interdisant toute considération morale.
«Se souvient-on que parmi les huit auteurs des attentats de Londres en 2005, sept avaient un doctorat ?»
Qu'ont à nous dire d'original les économistes sur le terrorisme? Tout d'abord qu'il existe ce qu'il faut bien appeler un marché du terrorisme. L'offre, c'est celle d'individus prêts, pour une raison ou une autre, à perpétrer un acte de terreur. Ces individus sont rarement motivés par l'argent. Mais il y a aussi une demande. Des États, des groupes politiques ou religieux, des entités nationalistes souhaitent que des actes de terreur soient commis parce qu'ils correspondent à leurs buts. L'interaction de l'offre et de la demande de terrorisme sur un marché détermine le nombre d'attentats terroristes commis.
Cette analyse, certes un peu formelle, a un avantage: elle permet de démasquer certaines idées fausses sur les terroristes. Ainsi, il est absolument erroné de dire que les terroristes appartiennent en majorité aux populations les plus pauvres ou les moins bien éduquées. Les terroristes se recrutent fréquemment dans les classes moyennes et sont souvent fort instruits. Se souvient-on que parmi les huit auteurs des attentats de Londres en 2005, sept avaient un doctorat? Lutter contre le terrorisme à coups d'augmentations des budgets d'éducation ou par la lutte contre la pauvreté est absolument inefficace, même s'il y a d'autres excellentes raisons de vouloir réduire la pauvreté ou améliorer le niveau éducatif. Recourir au terrorisme représente ce qu'on appelle en économie «un coût d'opportunité» élevé, c'est-à-dire que les terroristes pourraient gagner fort bien leur vie s'ils se consacraient à des activités légales.
Autre erreur relevée par les économistes: considérer que les terroristes sont irrationnels. Un agent économique «maximise» son profit, généralement monétaire mais pas toujours. Les terroristes, pour leur part, «maximisent» un profit composé d'éléments qui ne sont pas principalement pécuniaires: assouvissement d'une haine, volonté de salut religieux, de prestige, de valorisation de la famille, du groupe ou de la communauté supposée. Ça n'est pas parce que ces motivations ne sont pas principalement monétaires que les terroristes sont irrationnels: ils «maximisent» un profit d'une autre nature.
Quant à ce que les commanditaires - États, groupes politiques ou religieux - demandent du terrorisme, ils ne sont pas davantage irrationnels. Ils souhaitent, par des actes de terreur, détruire le capital de confiance des démocraties et instaurer leur dictature.
Tuer la confiance
C'est une des conclusions auxquelles est parvenu l'économiste Daron Acemoglu dans son livreEconomic Origins of Dictatorship and Democracy(2006). Et pour que la dictature ait une chance de s'installer, il faut que les actes de terreur aient des conséquences économiques très sensibles. Or, comme l'ont fait remarquer plusieurs économistes, notamment Alan Krueger, le terrorisme peut avoir des conséquences durables et prononcées sur le développement de pays et de régions: Irlande du Nord et Pays basque espagnol, par exemple, ont été durablement affaiblis par le terrorisme. Les commanditaires de terrorisme veulent tuer la confiance pour donner une chance à leurs objectifs de terreur politique ou religieuse. Voilà l'essentiel. L'affaiblissement économique et social des démocraties constitue l'un des enjeux de l'économie du terrorisme.
L'affaiblissement économique et social des démocraties constitue l'un des enjeux de l'économie du terrorisme
Que recommandent, alors, les économistes pour endiguer le terrorisme? S'agissant des individus qui offrent leurs services terroristes, on a vu qu'ils ne sont guère motivés par la recherche d'un rendement monétaire. Par conséquent, agir sur le prix des actes de terreur sera, en ce qui les concerne, assez inefficace. Faire baisser la «rémunération» de l'acte terroriste ne diminuera pas les vocations, ni ne réduira les crimes de terreur commis. Il faut donc réguler le marché par les quantités, autrement dit: mettre les terroristes ou les candidats terroristes hors d'état de nuire.
Il n'en va pas de même pour les commanditaires qui alimentent la demande de terrorisme: eux sont sensibles aux prix. Si par suite d'une action répressive efficace ou d'un assèchement des flux de financement le prix du terrorisme augmente, alors la demande baissera et les crimes terroristes seront moins nombreux.
La nouvelle science économique du terrorisme permet donc de démasquer les idées fausses (le terrorisme serait dû à la pauvreté ou à un niveau éducatif insuffisant) et de souligner qu'il faut, par des moyens différents, lutter contre l'offre et contre la demande de terreur sur ce qu'il faut bien appeler un marché. Car c'en est un.
* Maître de conférences d'économie des grands débats démocratiques à Sciences Po, Jean-Philippe Vincent est notamment l'auteur de Qu'est-ce que le conservatisme? Histoire intellectuelle d'une idée politique (Les Belles Lettres, 2016).
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Johan Papaconstantino compose la musique de mariage dont vous avez toujours rêvé
Je te connaissais pour ta musique mais je ne savais pas que tu peignais. Quelle a été ta première passion ?
Johan Papaconstantino - La peinture et la musique sont arrivées un peu en même temps dans ma vie. J'ai toujours dessiné, mais je n'avais pas trop de culture artistique. Gamin, je dessinais des mangas un peu comme tout le monde. J'ai fait un lycée d'arts appliqués à Marseille et c'est là-bas que j'ai commencé à m'intéresser à l'histoire de l'art. Je faisais de la musique en même temps. Mon grand père avait une guitare que j'empruntais pour jouer dans ma chambre. Avant ça, je prenais parfois les platines de mon daron pour mixer des trucs de funk ou de house. Il s'était chauffé quand il était jeune je crois ! J'ai récupéré ses disques et ceux de mes grands-parents pour commencer à geeker la musique. Sans oublier eMule ! Je téléchargeais les discographies de plein de groupes. J'ai aussi fat mes gammes : j'ai appris la batterie et je taffais la guitare dans ma chambre. J'ai commencé à faire des prods il y a trois ans seulement, c'est encore tout récent en fait. Je me suis pris au jeu de mes influences électroniques petit à petit. Faire de la prod, gérer des basses et des synthés : c'est un truc qui m'avait toujours attiré. J'ai encore plein de choses à apprendre. Avant, j'étais vraiment plus dans la musique acoustique et dans l'apprentissage. Ce qui m'intéressait, c'était de jouer avec mes mains.
A quel moment l'idée de produire de la musique de manière plus concrète s'est-elle formalisée ?
A partir de 2011 ou 2012, j'ai commencé à jouer avec mon groupe : La tendre émeute. On était basé à Paris. A cette époque je faisais pas mal d'aller-retours entre Marseille et la capitale pour ma copine, la musique, et la peinture. Je ne faisais pas vraiment d'expos, mais il y avait plus d'opportunités ici. En ce moment, je commence à faire des expos à Paris de manière plus régulière mais je ne sais pas si on peut dire que je suis vraiment installé ici. Je vis un peu entre les squats, les colocs et chez ma meuf. Entre la musique et la peinture je ne fais que taffer mais je kiffe trop Marseille et j'ai envie de faire plein de trucs là-bas. J'y retourne dès que je peux.
Depuis quelques mois, il y a une petite excitation autour de tes morceaux dans le petit milieu de la musique à Paris. Comment tu vis le truc alors que ton projet est encore tout récent ?
C'est toujours plaisant quand les gens s'intéressent à ce que tu fais. Le premier son que j'ai publié c'est Pourquoi tu cries??. C'était en juillet 2017 et je ne l'ai pas fait pour que personne l'écoute. Je me disais qu'il y avait une vibe qui pouvait faire kiffer les gens. Ca me fait plaisir, c'est un début. Je taffe sur ma musique depuis pas mal d'années mais je n'avais mis en ligne que des essais sur Soundcloud, des trucs plus expérimentaux. Ca a pris du temps mais j'ai rencontré plein de gens et je commence à comprendre comment tout ça fonctionne. Mon objectif reste le même : continuer à faire des morceaux que je kiffe. A un moment il fallait que je sois un peu entouré car c'est très difficile de mener mes deux projets en même temps. Entre la musique et la peinture, je ne veux pas choisir ni faire l'un des deux à moitié. Dans mon esprit, les deux univers sont complémentaires même si les réseaux et les publics restent très différents. Ce n'est vraiment pas évident de se concentrer sur les deux.
Surtout que tu mènes les deux projets sous le même nom.
Garder mon nom, ça veut dire que je suis obligé de tout assumer à 100%. Je ne peux pas me cacher derrière un perso. Quand je sors un morceaux ou une toile c'est moi. Ca met un peu la pression mais c'est un bon moteur. Pour l'instant, il n'y a pas un enjeu de fou hein ! Je commence. Je bosse ma musique sur mon ordi. Je n'ai pas de studio. Je vais parfois dans celui des potes quand j'ai besoin d'une prise ou d'un effet. Sinon je fais vraiment tout sur ordi.
Quand je suis tombé sur ta musique, je me suis dit que c'était la première fois que j'écoutais de la musique de mariage écoutable en dehors d'un mariage.
Je vois un peu ce que tu veux dire (rires). Tu penses à un truc un peu world ?
Non, justement. Je n'ai jamais trop compris cette catégorie d'ailleurs.
Je me pose beaucoup de questions sur ce mot car faire de la "musique du monde", c'est assez ouf d'un côté. Le message est cool. Je kiffe le délire universel. C'est vrai que c'est souvent le foutoir pour ranger tout ce qui n'est pas européen. Il y a clairement une vibe orientale et festive dans ce que je fais. Je ne fais pas exprès... Aujourd'hui, je n'écoute pratiquement que du rap. Mais j'ai écouté beaucoup de musiques grecques, forcément. Et puis plein de choses différentes. Je viens d'une génération qui ne s'est jamais posée la question de faire la différence entre le rock, le funk, la house ou le rap.
Parmi tous les genres que tu as cité, il n'y en a aucun qui se distingue vraiment quand on écoute tes morceaux. Ca te tenait à coeur de proposer quelque chose d'aussi original ?
Les gens qui connaissent bien la musique grecque pourront certainement cramer quelques influences. Un mec qui s'appelle Vangelis Perpiniadis par exemple ou Panos Gavalas. Des chanteurs des années 70. Il y a quelques références mais ce que je fais reste très différent. Ils m'influencent surtout dans le chant et dans leur mélancolie. D'ailleurs ça rejoint pas mal de phases du rap d'aujourd'hui je trouve. Pour moi, ça forme une sorte de boucle. Je pourrais peut-être rapper un jour d'ailleurs, pourquoi pas.
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Aujourd’hui découvrons les sorties de Mars d’une maison d’édition que j’aime beaucoup : Marabout ! Ce n’est pas forcément celle à laquelle on pense en premier pour les romans ou les BD car elle est plus souvent associée aux livres pratiques, bien-être, activités etc, ce qui est vraiment dommage car elle publie aussi des petites pépites littéraires ! Voyons ça !
⭐ Les titres en couvertures
⭐ Les romans
Une enquête de Beth Huntly, Les disparues de Fleshket’s Close de Anne Beddingfeld
Nouveauté – 01/03/17
Son résumé :
Automne 1900. La famille Hewes se rend à Edimbourg pour un héritage et arrive dans une ville traumatisée par des disparitions inexpliquées d’adultes et d’enfants, sans cadavres ni demandes de rançons. Beth rencontre par hasard Fanny Van de Grift, l’épouse de l’écrivain Stevenson, persuadée que le ou les criminels s’inspirent d’un roman de son époux, «Le voleur de cadavres».
Je te vois de Clare Mackintosh
Nouveauté – 22/03/17
Son résumé :
Le jour où Zoe Walker découvre son portrait dans les petites annonces d’un journal londonien, elle décide de mener sa propre enquête. L’image floue n’est accompagnée d’aucune explication, juste d’une adresse Internet et d’un numéro de téléphone. Pour les proches de Zoe, c’est la photo d’une femme qui lui ressemble vaguement, rien de plus. Mais le lendemain et le surlendemain, d’autres visages féminins figurent dans l’encart publicitaire. S’agit-il d’une erreur ? D’une coïncidence ? Ou quelqu’un surveille-t-il leurs moindres faits et gestes ?
Angel after dark, Volume 1 de Kahlen Aymes
Nouveauté – 15/03/17
Son résumé :
Profiler et psycho-clinicienne de son état (l’une des plus brillantes de Chicago), le Dr Angeline Hemming, une jeune femme à la beauté incendiaire, est reconnue pour son sérieux et ses compétences.En échange de publicité au secours des causes humanitaires qu’elle soutient, elle anime une émission radio de questions-réponses avec les auditeurs sur leur vie de couple et leurs relations amoureuses.Alexander Avery, un homme d’affaires aussi séduisant que brillantissime, refuse toute implication sentimentale. Furieux que sa petite amie du moment (avec qui il entretient une relation de convenance) ait appelé Angeline pour vider son sac, il prend à partie l’animatrice, qu’il accuse de donner des conseils bidons. S’ensuit entre ces deux fortes têtes une bataille d’ego sur tous les plans, intellectuel, émotionnel, sentimental et… sexuel. Commence alors une lutte continuelle et acharnée pour un oui pour un non, chacun s’arc-boutant sur ses convictions qui donnent un sens à leur vie.
⭐ Les Bandes dessinées et romans graphiques
Bla bla queens de Anne Wehr
Nouveauté – 01/03/17
Son résumé :
Pipo et Pipa, deux Parisiennes névrosées osent tout, essaient tout – sans jamais tenir leurs bonnes résolutions – et commentent tout à travers des tonnes de textos : mode, beauté, culture, vie sexuelle, régime… tout y passe, sans filtre, sans fioriture, avec élégance. Elles se moquent de tout … et surtout d’elles-mêmes.
Le but est atteint : vous souriez, riez des choses les plus futiles mais aussi de certaines, plus graves.
Varsovie, Varsovie : ils vont sauver les archives de l’oubli de Didier Zuili
Nouveauté – 01/03/2017
Son résumé :
Cette fiction prend naissance dans la résistance du ghetto de Varsovie qui aboutira à la révolte d’avril 1943. Elle s’appuie sur l’histoire d’Emmanuel Ringelblum, militant social et politique, homme de sciences qui entrepris la rédaction collective d’un journal, arme de résistance, dissimulé des dans bidons de lait enfouis sous terre. Ces archives, 27 000 pages et documents rassemblés en 1669 dossiers, retrouvés en 1946 et 1950, dites « archives Ringelblum » font aujourd’hui partie du Patrimoine Mondial de l’Unesco. Le personnage central, l’historien Emmanuel Blum, décide de rester à Varsovie bien qu’il ait les moyens de fuir la Pologne ; il veut sauver de la destruction, avec ses amis du collectif Oyneg Shabbos, des millions de témoignages écrits qui racontent l’histoire des habitants du ghetto. Ils sont traqués par les nazis qui ont appris l’existence du collectif.
Parmi les archives, il y a le journal d’une jeune fille Inge Perlmann qui raconte aussi celle de son ami Jonasz, coursier dans le ghetto qui après avoir sauvé une enfant, devient passeur d’armes……
La complainte du marin moderne de Nick Hayes
Nouveauté – 08/03/2017
Son résumé :
Cette BD est une relecture d’un célèbre poème de Samuel Taylor Coleridge (1772-1834) qui fut l’un des premiers poètes romantiques anglais. Écrite en 1797, La Complainte du vieux marin, fut l’une des toutes premières fables écologiques. Dessiné en 2010, La Complainte du marin moderne est un roman graphique dont l’action se déroule principalement dans l’Atlantique nord et dont le message résonne comme un cri d’alarme pour sauver les océans de la pollution humaine.
Si le texte de Nick Hayes n’est pas aussi riche que celui de Coleridge, ses illustrations sont à couper le souffle et donnent une dimension quasi sacrée à cet ouvrage. L’histoire de ce jeune divorcé vivant dans une ville polluée et dont la rencontre avec un vieil et étrange marin va bouleverser sa vie est menée de main de maître par l’auteur. Le rythme de la narration, la poésie des illustrations, la justesse du trait font de cet album un véritable petit chef d’œuvre.
Famille nombreuse de Chadia Chaïbi-Loueslati
Nouveauté – 08/03/2017
Son résumé :
Chadia Chaibi Loueslati signe ici son premier roman graphique.
Elle raconte l’histoire de sa famille et de ses parents, le Daron et Omi, qui ayant quitté la Tunisie, sont venus s’installer en France dans les années 1960. C’est une saga familiale, la découverte d’un pays et de toutes ses bizarreries culturelles et administratives au travers de l’épopée d’une famille immigrée. La ténacité et le courage, l’humour et la chaleur de cette famille nombreuse, le talent de l’auteure font de ce livre une œuvre originale et passionnante.
Alors, certains titres ont-ils retenu votre attention ?? En tout cas je vous conseille fortement de découvrir les romans de Clare Mackintosh, si vous aimez les thrillers à suspense, nul doute que vous adorerez les siens ! J’ai très hâte de lire Je te vois !!
[Article - Lily] De jolis romans et BD chez Marabout pour ce mois-ci ! Dont un nouveau roman de Clare Mackintosh que j'adore !! Aujourd'hui découvrons les sorties de Mars d'une maison d'édition que j'aime beaucoup : Marabout ! Ce n'est pas forcément celle à laquelle on pense en premier pour les romans ou les BD car elle est plus souvent associée aux livres pratiques, bien-être, activités etc, ce qui est vraiment dommage car elle publie aussi des petites pépites littéraires !
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Trois pièces dans le style microblogging
Andante : généalogies
Je viens d'entendre le Trio For Strings interprété à la guitare électrique et je connais maintenant le chaînon manquant entre Steve Reich et Danny Lopatin : c'est La Monte Young, via Tim Hecker. J'avais l'impression d'entendre l'overdub du séminal Intrusions (qui se branche sur les deux prises : du noise, en triphasé, et du spectral, en courant alternatif).
Marrant qu'on associe Young et Reich d'ailleurs, parce que tous deux me semblent relever de traditions complètement différentes : l'une, sérielle, qui relierait Schönberg-Berg-Webern ; l'autre, modale, avec Stravinski-Milhaud-Coltrane.
Le fait qu'Adorno ait consciencieusement dézingué la deuxième tradition, au profit de la première, n'est pas fait pour me déplaire... Compte tenu de l'estime dans laquelle ce grand philosophe/mélomane borné tient la musique populaire, ce serait limite vexant d'avoir les mêmes goûts.
Allegro : être Parisienne
Quand on a tourné en voiture dans une ville de banlieue dont on ne connaît que le nom, dans laquelle on n'a aucun repère, et dont la représentation ne s'est pas encore structurée dans notre propre espace mental - laborieux apprentissage de long terme, accessible uniquement en sillonnant son réseau de rues dans tous les sens, comme une araignée tend ses fils, jusqu'au jour où le cerveau, miraculeusement, finit par unifier cette résille dans une perception d'ensemble - rien ne vaut le réconfort de repérer enfin ce bon vieux panneau d'affichage digital, et de lire :
PERIPH INTERIEUR : FLUIDE
PERIPH EXTERIEUR : PTE DE VANVES 6 MN / PTE DE BERCY 22 MN
Largo : cursum perficio
J'ai vu passer une vidéo, sur YouTube, où Olivier livre ses impressions sur son séjour à Malte - un festival de jazz, là-bas, auquel son trio a participé, apparemment. Ils étaient interviewés par une chaîne locale, en anglais, et c'était un régal de les voir tous chercher leurs mots, péniblement - ah ! la fameuse aisance des Français quand ils parlent le Grand Canyon. Pipole ire are euh very nice euh weazer is euh very very hotte.
Gloussements mis à part, çà m'a fait plaisir de le revoir. Il a l'air prospère du bon père de famille que la vie a plutôt gâté ; çà m'a réconfortée, après le choc de voir le nom d'un autre ex sur un faire-part de décès. J'ai toujours l'impression que je vais finir par recroiser mes ex, un jour ; du moins, ceux que j'ai quittés à peu près en bons termes. L'idée qu'ils soient sortis de ma vie pour de bon, c'est trop triste dans le fond.
Alors voilà, on tomberait nez à nez à la sortie d'une bouche de métro, madame et les enfants seraient opportunément absents du tableau. On irait prendre un café, juste pour se raconter nos vies et voir un peu dans quel état on aborde la descente. Ce serait un café un peu classe, une brasserie sur les grands boulevards, avec des boiseries partout, des rampes en laiton chromé, et le loufiat qui nous pose la carte des vins sur un petit guéridon en simili-marbre. On en ressortirait deux heures plus tard, étonnés de voir les lampadaires s'allumer déjà, et d'un coup on ne saurait plus trop quoi se dire au milieu des bruits du trafic. On se quitterait sur un : "Bon, ben… à la prochaine". Les jours suivants, je me demanderais si j'ai envie de lui écrire, et lui raconterait à ses potes : "Oh putain… Elle a pris cher".
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