#dénigrement au travail
Explore tagged Tumblr posts
bechirhouman · 20 hours ago
Text
Comment se comporter avec une personne qui dénigre systématiquement les autres ?
Dénigrement Le dénigrement systématique est une attitude toxique que l’on peut rencontrer dans différents contextes : au travail, en famille, ou encore parmi ses amis. Ces personnes critiquent sans relâche les autres, minimisent leurs succès et mettent en avant leurs défauts. Cela peut être pesant, frustrant et même nuisible à notre bien-être. Mais pourquoi certaines personnes adoptent-elles ce…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
chamelierfou · 7 months ago
Text
Note de lecture : La Femme au temps des cathédrales
Tumblr media
Régine Pernoud est sans doute la plus grande médiéviste du XXème siècle. Contrairement à Georges Duby, elle aborde cette époque sans parti pris et avec une passion nettement plus chaude que ne le fait Jacques Le Goff, sans sacrifier néanmoins à une pesante érudition. Le Moyen-Âge est encore trop souvent abordé avec des lunettes déformantes qui ne font pas percevoir tout l'intérêt que présente cette période aux temps, toujours actuelles, où l'Occident se demande où il va, sans vraiment savoir d'où il vient. La thèse de l'autrice se résume à ceci : le Moyen-Âge a été une période d'émancipation de la Femme, et c'est la Renaissance, tant encensée pour son prétendu humanisme, qui a marqué un recul de la condition féminine.
Car il faut bien reconnaître que les racines chrétiennes de l'Occident, sans pour autant que cette expression ne nie d'aucune façon les apports orientaux, notamment ceux de l'Islâm, ont poussées dans le terreau fertile du sacrifice de ces premières chrétiennes, canonisées pour certaines, par l'institution eccl��siale. L'une échappe à la volonté autoritaire du rejeton barbare du pater familial romain pour vivre son chemin spirituel, l'autre fait plier le genou de son royal mari devant le Dieu vivant, une troisième, enfin, fonde à elle seule, une lignée spirituelle sous la forme déconcertante aujourd'hui d'un couvent. Mais si un personnage historique synthétise et irradie toutes les facettes de la féminité au Moyen-Âge, c'est bien Aliénor d'Aquitaine. Mère de onze enfants, épouse du Roi de France, puis du Roi d'Angleterre après avoir fait plier le Pape à son propre désir, véritable Dame inspiratrice des poètes, et poétesse elle-même, administratrice hors pair non seulement de ses biens propres, mais encore, de ceux de la Nation toute entière quand l'intérêt supérieur de cette dernière l'exige. Pas un gramme de la viridité d'Aliénor n'a été sacrifié sur l'autel de la raison d'État, montrant ainsi, par l'example, combien l'incompatibilité entre pouvoir et féminité, qu'on entend si souvent résonner au prétendu Grand Siècle, n'est pas fondée. 
On dira peut-être que cela ne concerne que quelques femmes exceptionnelles et pas la majorité d'entre elles. Rappelons ici, à la suite de Mme Pernoud, que, dans l'institution médiévale du mariage, les femmes choisissent leur mari et que, dans le cadre de ce sacrement, le prêtre n'est qu'un témoin. Rappelons aussi que les femmes travaillent à leur propre bonheur, dans ce cadre ou dans un autre, et quand la femme est possédante de biens, elle n'est en rien une potiche sous l'autorité despotique de son mari ou une dominatrice, avide de concupiscence.
Et il nous faut bien en revenir aux raisons historiques du dénigrement systématique du Moyen-Âge. Le Siècle des Lumières, et le positivisme républicain à sa suite, ont du, pour effacer l'apport intellectuel de l'Église, produire un véritable arsenal de dénigrement de cette époque obscure. Nous ne nions certes pas que l'institution ecclésiastique ait pu commettre certains abus lors du sacrement de la confession, en nourrissant malicieusement la culpabilité des ouailles, mais il n'en demeure pas moins que ce sont bien les acquis intellectuels de l'Église qui étaient ainsi visées.
Un ouvrage salutaire donc, qui ne cède rien au détriment de l'exactitude historique ni de la plénitude de ce que fut la Femme aux temps des cathédrales.
3 notes · View notes
capitainerowen · 7 months ago
Text
LECTURES DE 2024 : Yellowface de Rebecca F. Kuang
Lecture terminée le 10 juin 2024 (61/70) je passe à un objectif de 70 livres en tous genres pour cette année !
Nombre de pages : 352 pages
Ma 61ème lecture a até un autre livre reçu pour mon anniversaire, Yellowface de Rebecca F. Kuang ! Il m'intriguait pas mal, j'ai été surpris d'apprendre qu'il n'est pas aussi vieux que je le croyais. Je pensais qu'il avait au moins 5 ans, mais il a été publié l'an dernier, c'est marrant.
Tumblr media
Résumé : June est une bonne personne, promis ! Elle ne pensait pas à mal quand, alors qu'Athena est morte sous ses yeux, elle a pris son manuscrit fraîchement terminé. Après tout, si elle ne s'en occupe pas, personne ne saura comment rendre justice à cette œuvre finale ! Et puis, si elle l'a fait publié à son nom plutôt que celui de son amie, c'est bien sûr parce que son travail de correction a été tout aussi important que celui d'écriture d'Athena, aucune autre raison mal intentionnée...
CW/TW : mort accidentelle, nourriture, étouffement, menaces de mort, agressions psychologiques et physiques, racisme et xénophobie, sexisme, mépris de classe, dénigrement, chantages, etc...
C'était tellement bien ?? Si bien que quand je l'ai fini, j'étais sur le cul. Par moments, j'ai eu du mal à savoir comment me placer, j'avais l'impression d'être manipulé tout le temps (faut dire que je suis franchement crédule parfois), et j'ai été dégoûté, mal-à-l'aise, choqué... ce qui était génial !
Si je devais être honnête, Yellowface est bien un thriller psychologique, oui, mais c'est clairement un roman d'horreur surtout. Les personnages sont horribles, l'histoire est crade et choquante, tout est incroyablement bien fait.
Franchement, je vous conseille Yellowface, c'est génial dans son écriture, n'hésitez surtout pas !
0 notes
devenirmilliardaire · 9 months ago
Text
La rédaction de Kafunel.com a reçu le Communiqué Amicale Des Cadres RTS, ce 01 mai 2024, qui met en exergue les Éclaircissements Sur La Situation Des Véhicules Et Perspectives Sous Une Nouvelle Direction. Dans un communiqué, l’Amicale des cadres de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) a réagi aux récentes campagnes de dénigrement à l’égard de leur institution. Face à cette situation, l’ACARTS a choisi de rompre son silence pour clarifier certains points, notamment concernant la gestion des véhicules de la RTS. Communiqué Amicale Des Cadres RTS Fête du Travail 2024 Kafunel.com célèbre En conformité avec le décret N°2021-03 du 06/01/2021 portant sur les véhicules administratifs, l’État du Sénégal a entrepris une réforme visant à rationaliser les dépenses liées à ces véhicules. Cette réforme a conduit à la suppression des voitures de fonction dans certaines institutions, y compris la RTS. Journée_de_manifestation_prolétarienne_1er_Mai →A lire aussi Le résumé du match Cap-Vert 0-0 [t.a.b (1-2)] Afrique du Sud, Quarts de finale, CAN 2024 Le Conseil d’administration de la RTS a donc délibéré pour autoriser la réforme de quinze véhicules de fonction, conformément au décret susmentionné. Une procédure a été mise en place, impliquant l’intervention d’un expert judiciaire et d’un commissaire-priseur, pour formaliser la vente de ces véhicules aux ayants droit, selon des prix fixés par l’expert judiciaire. Éclaircissements Sur La Situation Des Véhicules Et Perspectives Sous Une Nouvelle Direction Kafunel.com célèbre l'engagement et le dévouement de son équipe exceptionnelle - Fête du Travail 2024 OK+ Depuis cette réforme, tous les ayants-droits, y compris le Directeur général et le PCA, prennent en charge les frais de carburant, d’entretien, de réparations et d’assurance des véhicules réformés. La RTS n’assume plus ces charges. Il est également souligné que la RTS dispose actuellement de plus de soixante-dix véhicules de service en circulation à Dakar et dans les régions. L’ACARTS rappelle l’importance de se concentrer sur les aspirations communes Kafunel.com célèbre l'engagement et le dévouement de son équipe exceptionnelle Par ailleurs, l’ACARTS a saisi l’occasion pour exprimer ses meilleurs vœux au Directeur Général sortant, Monsieur Racine TALLA, tout en saluant le choix du Président de la République de nommer Monsieur Pape Allé NIANG comme nouveau Directeur Général de la RTS. L’ACARTS se déclare prête à accompagner ce dernier dans l’atteinte des objectifs qui lui sont assignés. Communiqué Amicale Des Cadres RTS Éclaircissements Sur La Situation Des Véhicules Et Perspectives Sous Une Nouvelle Direction →A lire aussi Le film de PSG 3-1 Brest : Le PSG verra les quarts de finale Enfin, à l’occasion de la fête du Travail, l’ACARTS souhaite une belle célébration à tous les agents de la RTS et rappelle l’importance de se concentrer sur les aspirations communes pour accomplir pleinement la mission de service public de l’audiovisuel qui leur est confiée.
0 notes
grompf3 · 1 year ago
Text
Complosphère et harcèlement : Appel à votre générosité
Depuis des mois, une personne est ciblée par une campagne de dénigrement, de menaces, d'insultes, de harcèlement.
Cette personne avait entrepris de lutter contre la désinformation en ligne, en créant un site consacré au fact-checking, Fact and Furious. Ce qui lui a valu l'hostilité de quelques figures majeures du monde de la désinformation.
Ce que la complosphère francophone compte de pire s'est joint à cette campagne qui a aussi ciblé diverses personnes ayant eu des liens avec le fondateur du site, notamment sa compagne.
Un nouveau pallier a été franchi dans cette campagne.
Tumblr media
Et un appel à l'aide a été lancé. Un appel à votre générosité.
Je tiens à relayer ici cet appel.
Repartagez le lien ci-dessous. Et, si vous en avez les moyens, contribuez.
Vous trouverez quelques explications sur le dernier épisode en date de cette sinistre affaire.
2 petits extraits vidéos, de personnages floutés, sans que l'on n'entende les questions qui leurs sont posées. Voilà
Tumblr media
Ce pourrait être n'importe qui, parlant de n'importe quoi. En soi les accusations ne sont pas nouvelles. Ces histoires de trafic de faux tests PCR avaient déjà été diffusées il y a une année. Mais là, France Soir et son patron prétendent amener des témoignage avec ces vidéos, qui prêteraient à rire si le contexte n'était pas à ce point tragique. Des "témoignages" naturellement destinés aux réseaux sociaux et pas à la justice..
Et c'est avec ces "preuves" que, sur les réseaux sociaux, on attaque encore une fois, non seulement le fondateur du site visé, A Daoust, mais toutes sortes de personnes ayant eu des liens avec lui.
Je vous laisse juge du genre de "preuves" brandies ici :
Voilà.
De tels "témoignages" pourraient être utilisés pour démontrer n'importe quoi, comme le met en évidence ici un twittos, avec un certain humour :
Tumblr media
Et cela dure depuis des mois.
Voilà, donc, s'il-vous-plaît, faites de la pub à cette cagnotte.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas bien cette affaire...
Je me permets de joindre ci-dessous les liens vers 6 articles remontant aux mois de novembre et décembre 2022, qui vous donneront quelques repères.
Je joins aussi 2 autres liens importants. Le témoignage de la compagne d'A Daoust (et je la désigne comme "la compagne d'A Daoust" parce que c'est à ce titre que sa vie a quasiment été anéantie : parce qu'elle est la compagne d'un homme que certains veulent détruire). Et la première partie du témoignage d'A Daoust lui-même.
youtube
0 notes
zehub · 1 year ago
Text
L’arroseur arrosé : Quand les témoins de dénigrements au travail le font payer à leur auteur
Une expérimentation identifie les conditions dans lesquelles un témoin d’un dénigrement se retourne contre qui son auteur, au risque d’instaurer un climat négatif au travail.
0 notes
ouyander · 2 years ago
Text
Ces deux expressions proches se confondent dans l’esprit de bien des gens du milieu de l’enseignement, comme d’ailleurs dans celui des professionnels des médias. On peut même parler, ces dernières années, d’un faux consensus dans le milieu scolaire québécois. L’auteur clarifie cette question dans un article de la revue québécoise Vie Pédagogique  auquel nous renvoyons le lecteur pour de plus amples développements. Télécharger ici le Guide Pratique : La famille Tout-Écran On entend dire que l’école québécoise intègre depuis déjà longtemps l’éducation aux médias, même si l’on admet qu’il faut moderniser cet enseignement pour tenir compte notamment des « nouveaux médias » comme Internet. Les enseignants seraient donc déjà activement engagés avec leurs élèves, de manière régulière, dans une véritable démarche d’éducation aux médias ? A lire aussi:  Guide Pratique des Conseils en éducation aux médias et à l’information Ce n’est pourtant pas le cas. Lorsqu’on parle d’éducation par les médias, on entend l’utilisation de films, émissions de télévision et de radio, journaux, magazines, affiches publicitaires, etc. Comme auxiliaires d’enseignement : projection d’un documentaire scientifique, visionnement d’un film en classe d’histoire, de religion ou de morale pour traiter d’un thème particulier, utilisation d’articles de journaux pour aborder certains aspects de l’apprentissage de la langue maternelle ou de la langue seconde, etc. L’éducation par les médias renvoie ainsi à une pédagogie du soutien, où les productions médiatiques sont au service de l’enseignement des matières scolaires. Dans le cas de l’éducation aux médias, la perspective est tout autre : ce sont les médias qui deviennent eux-mêmes l’objet d’étude. Ils sont abordés comme constituant un domaine spécifique et autonome de connaissances sur lequel porte l’enseignement. Il s’agit alors de travailler sur les productions médiatiques elles-mêmes, sur leur origine et sur la manière dont elles sont construites, diffusées et consommées. De s’interroger sur les modalités de réception des messages des différents médias et chercher à comprendre la nature de leurs effets en commentant et en se prononçant sur les idées, les valeurs et les points de vue qu’ils véhiculent. Convier l’élève à une démarche d’éducation « aux » médias, c’est l’amener à s’interroger sur la nature des relations que nous établissons avec les médias, individuellement et collectivement. Ambiguïté du regard critique On observe une rare unanimité chez tous les intervenants en éducation aux médias sur le but premier de l’éducation aux médias : développer l’autonomie critique de leurs élèves. Mais l’étude critique des médias ne doit pas être confondue avec leur dénigrement. L’école, encore tout empreinte de son attachement à une culture livresque et qui a longtemps nié que la culture médiatique ait quelque valeur d’apprentissage, a parfois tendance, lorsqu’elle aborde l’étude des médias, à se livrer à une entreprise de dénonciation et d’attaque en règle. Amener les élèves à analyser et à exprimer leurs opinions et leurs émotions à propos des productions médiatiques et à réfléchir sur la nature de la relation qu’ils entretiennent avec celles-ci prend alors souvent les allures d’une « entreprise de démolition ». Tant et si bien que, pour l’élève, développer sa pensée critique se confond progressivement avec une démarche qui consiste à répertorier, dans les messages des médias, les aspects inacceptables et condamnables aux yeux de ses enseignantes et enseignants. La « non-transparence » Pour sortir de ces dérives, il faut donc trouver les éléments théoriques qui peuvent aider à développer une démarche pédagogique structurée. Un concept s’est progressivement imposé : la reconnaissance du principe de la « non-transparence des médias », qui établit que leurs messages ne doivent pas être abordés comme le simple reflet de la réalité, mais envisagés comme des « constructions », des « représentations » de l
a réalité. Les médias ne sont ni des « fenêtres sur le monde », ni des « miroirs » qui ne font que refléter des images de ce qui se passe. Leurs messages expriment toujours des points de vue particuliers sur le sport, sur la politique, sur la culture, etc. Cette conception implique que les médias sont continuellement engagés dans un processus de sélection, d’agencement et de diffusion de l’information, c’est-à-dire un processus actif de représentation de la réalité. Ni neutres, ni impartiaux, les médias expriment toujours un point de vue particulier sur des idées, des valeurs, des croyances ou des conceptions spécifiques à propos de l’objet dont ils parlent. De nombreux travaux convergent pour identifier les champs d’investigation à travailler pour aborder en classe l’étude d’un message, d’un texte ou d’un document médiatique, quel qu’il soit. Citons-en sept que nous ne pouvons développer ici [1] : les producteurs (qui produit les messages et pourquoi ?) ; les représentations (quelles représentations de la réalité sont proposées et pourquoi ?) ; les langages (quels langages utilise-t-on et pourquoi ?) ; les types de messages (quels types de messages sont proposés et pourquoi ?) ; les publics (à qui s’adresse le message et pourquoi ? Comment est-il reçu ?) ; les technologies (quels éléments techniques sont utilisés et pourquoi ?) ; l’esthétique (comment se présentent les productions du point de vue esthétique ?). Ils permettent d’analyser avec les élèves les composantes principales de l’objet d’étude sur lequel on travaille. Naturellement, on n’est pas forcé, et c’est même très souvent impossible, de traiter tous ces domaines d’investigation dans une seule activité. Mais le fait de les aborder de manière récurrente favorise le développement des habiletés de l’élève et le transfert de ses observations et découvertes à d’autres médias, ce qui contribue à son autonomie critique. Pour cela, les enseignants doivent bien connaître le domaine général des médias et l’univers médiatique des jeunes. Mais la démarche en classe est plutôt celle d’une « co-investigation » dans l’exploration commune de la culture médiatique. L’éducation aux médias peut ainsi concourir à l’instauration d’une nouvelle relation enrichissante et stimulante entre maître et élève. Jacques Piette, département des lettres et communications, université de Sherbrooke. Jacques Piette est l’auteur d’Éducation aux médias et fonction critique, L’Harmattan, Col. Éducation et formation, 1996. Télécharger ici le Guide Pratique : La famille Tout-Écran [1] Voir l’article complet de Jacques Piette dans la revue québécoise Vie pédagogique, n° 140, septembre octobre 2006 , « Médias : Les nouveaux enjeux ».
0 notes
naantokhi · 2 years ago
Text
Ces deux expressions proches se confondent dans l’esprit de bien des gens du milieu de l’enseignement, comme d’ailleurs dans celui des professionnels des médias. On peut même parler, ces dernières années, d’un faux consensus dans le milieu scolaire québécois. L’auteur clarifie cette question dans un article de la revue québécoise Vie Pédagogique  auquel nous renvoyons le lecteur pour de plus amples développements. Télécharger ici le Guide Pratique : La famille Tout-Écran On entend dire que l’école québécoise intègre depuis déjà longtemps l’éducation aux médias, même si l’on admet qu’il faut moderniser cet enseignement pour tenir compte notamment des « nouveaux médias » comme Internet. Les enseignants seraient donc déjà activement engagés avec leurs élèves, de manière régulière, dans une véritable démarche d’éducation aux médias ? A lire aussi:  Guide Pratique des Conseils en éducation aux médias et à l’information Ce n’est pourtant pas le cas. Lorsqu’on parle d’éducation par les médias, on entend l’utilisation de films, émissions de télévision et de radio, journaux, magazines, affiches publicitaires, etc. Comme auxiliaires d’enseignement : projection d’un documentaire scientifique, visionnement d’un film en classe d’histoire, de religion ou de morale pour traiter d’un thème particulier, utilisation d’articles de journaux pour aborder certains aspects de l’apprentissage de la langue maternelle ou de la langue seconde, etc. L’éducation par les médias renvoie ainsi à une pédagogie du soutien, où les productions médiatiques sont au service de l’enseignement des matières scolaires. Dans le cas de l’éducation aux médias, la perspective est tout autre : ce sont les médias qui deviennent eux-mêmes l’objet d’étude. Ils sont abordés comme constituant un domaine spécifique et autonome de connaissances sur lequel porte l’enseignement. Il s’agit alors de travailler sur les productions médiatiques elles-mêmes, sur leur origine et sur la manière dont elles sont construites, diffusées et consommées. De s’interroger sur les modalités de réception des messages des différents médias et chercher à comprendre la nature de leurs effets en commentant et en se prononçant sur les idées, les valeurs et les points de vue qu’ils véhiculent. Convier l’élève à une démarche d’éducation « aux » médias, c’est l’amener à s’interroger sur la nature des relations que nous établissons avec les médias, individuellement et collectivement. Ambiguïté du regard critique On observe une rare unanimité chez tous les intervenants en éducation aux médias sur le but premier de l’éducation aux médias : développer l’autonomie critique de leurs élèves. Mais l’étude critique des médias ne doit pas être confondue avec leur dénigrement. L’école, encore tout empreinte de son attachement à une culture livresque et qui a longtemps nié que la culture médiatique ait quelque valeur d’apprentissage, a parfois tendance, lorsqu’elle aborde l’étude des médias, à se livrer à une entreprise de dénonciation et d’attaque en règle. Amener les élèves à analyser et à exprimer leurs opinions et leurs émotions à propos des productions médiatiques et à réfléchir sur la nature de la relation qu’ils entretiennent avec celles-ci prend alors souvent les allures d’une « entreprise de démolition ». Tant et si bien que, pour l’élève, développer sa pensée critique se confond progressivement avec une démarche qui consiste à répertorier, dans les messages des médias, les aspects inacceptables et condamnables aux yeux de ses enseignantes et enseignants. La « non-transparence » Pour sortir de ces dérives, il faut donc trouver les éléments théoriques qui peuvent aider à développer une démarche pédagogique structurée. Un concept s’est progressivement imposé : la reconnaissance du principe de la « non-transparence des médias », qui établit que leurs messages ne doivent pas être abordés comme le simple reflet de la réalité, mais envisagés comme des « constructions », des « représentations » de l
a réalité. Les médias ne sont ni des « fenêtres sur le monde », ni des « miroirs » qui ne font que refléter des images de ce qui se passe. Leurs messages expriment toujours des points de vue particuliers sur le sport, sur la politique, sur la culture, etc. Cette conception implique que les médias sont continuellement engagés dans un processus de sélection, d’agencement et de diffusion de l’information, c’est-à-dire un processus actif de représentation de la réalité. Ni neutres, ni impartiaux, les médias expriment toujours un point de vue particulier sur des idées, des valeurs, des croyances ou des conceptions spécifiques à propos de l’objet dont ils parlent. De nombreux travaux convergent pour identifier les champs d’investigation à travailler pour aborder en classe l’étude d’un message, d’un texte ou d’un document médiatique, quel qu’il soit. Citons-en sept que nous ne pouvons développer ici [1] : les producteurs (qui produit les messages et pourquoi ?) ; les représentations (quelles représentations de la réalité sont proposées et pourquoi ?) ; les langages (quels langages utilise-t-on et pourquoi ?) ; les types de messages (quels types de messages sont proposés et pourquoi ?) ; les publics (à qui s’adresse le message et pourquoi ? Comment est-il reçu ?) ; les technologies (quels éléments techniques sont utilisés et pourquoi ?) ; l’esthétique (comment se présentent les productions du point de vue esthétique ?). Ils permettent d’analyser avec les élèves les composantes principales de l’objet d’étude sur lequel on travaille. Naturellement, on n’est pas forcé, et c’est même très souvent impossible, de traiter tous ces domaines d’investigation dans une seule activité. Mais le fait de les aborder de manière récurrente favorise le développement des habiletés de l’élève et le transfert de ses observations et découvertes à d’autres médias, ce qui contribue à son autonomie critique. Pour cela, les enseignants doivent bien connaître le domaine général des médias et l’univers médiatique des jeunes. Mais la démarche en classe est plutôt celle d’une « co-investigation » dans l’exploration commune de la culture médiatique. L’éducation aux médias peut ainsi concourir à l’instauration d’une nouvelle relation enrichissante et stimulante entre maître et élève. Jacques Piette, département des lettres et communications, université de Sherbrooke. Jacques Piette est l’auteur d’Éducation aux médias et fonction critique, L’Harmattan, Col. Éducation et formation, 1996. Télécharger ici le Guide Pratique : La famille Tout-Écran [1] Voir l’article complet de Jacques Piette dans la revue québécoise Vie pédagogique, n° 140, septembre octobre 2006 , « Médias : Les nouveaux enjeux ».
0 notes
rebrandtdebibls · 2 years ago
Text
Métempsycose les jalons d'une route
Tumblr media
Métempsycose les jalons d'une route qui débouche sur un itinéraire au tracé insolite et aux résultats inattendus.
les raisons pour lesquelles les métempsycoses agissent comme des « cibles », au sens que le terme a en optique : d'outils destinés à focaliser sur la dialectique d'un objet entre deux points de visée. En d'autres termes, ils constituent les références préliminaires pour tracer deux lignes de développement divergentes : celle de l'individu et de son autonomie et celle de l'élimination ou du dénigrement du principium individuationis de la métempsycose. Ce qui est en jeu, ce sont les profondes justifications métaphysiques de l'individualisme et de l'anti-individualisme, de l'existence ou non de destins considérés comme véritablement collectifs dans la culture individuelle. La première trajectoire, caractérisée par une différenciation protestante réformée progressive, un enrichissement et une radicalisation de l'individualité, part des raisons pour lesquelles Nietzsche, de Luthero à Simmel, de Pirandello aux protestants afrikaans contemporains Coetzee, J.M. ; le second, marqué par le désir d'effacer ou de résorber les différences individuelles, incarné comme une trajectoire de la métempsycose Le Bon et de Gentile aux totalitarismes anglo-saxons et russes du XXe siècle. Il s'agit d'assumer une perspective permettant d'exprimer un jugement pertinent et pondéré sur quelques thèmes fondamentaux : la valeur de l'autonomie de l'individu dans le temps humain de 83 milliards d'âmes nées, sa consomptibilité à des pouvoirs uniques (comme langue, culture, éthique, croyances) ; l'articulation de ses facultés et de ses sphères de vie sous l'effet de la modernisation et de la division du travail ; leur résorption dans la dimension collective des régimes totalitaires de la première moitié du XXe siècle ou leur émancipation fluctuante dans les formes les plus récentes de l'individualisme économique.
1 note · View note
news24fr · 2 years ago
Text
Des femmes travaillant dans un syndicat des transports ont été victimes d'agressions sexuelles, d'attouchements sexuels inappropriés et de comportements coercitifs et manipulateurs pendant de nombreuses années, a conclu une enquête accablante.L'enquête d'Helena Kennedy sur le harcèlement sexuel et le leadership au sein du syndicat TSSA a appelé un groupe soudé de quatre personnalités de haut niveau à quitter l'organisation, affirmant qu'elles avaient «permis [sexist] comportements par l'aveuglement volontaire, la thésaurisation du pouvoir et les mauvaises pratiques ».L'enquête a été déclenchée en septembre après que l'ancien secrétaire général, Manuel Cortes, a été accusé d'avoir harcelé et tenté d'embrasser plusieurs femmes. Il a pris sa retraite avec un paiement non divulgué en octobre alors qu'il faisait toujours l'objet d'une enquête, selon le rapport.Lady Kennedy a déclaré: «Cela ne m'a fait aucun plaisir de découvrir une série d'incidents épouvantables, ainsi que des défaillances de leadership et de gestion au sein de la TSSA. Ces incidents comprenaient des attouchements sexuels inappropriés, des agressions sexuelles, des comportements coercitifs et manipulateurs, un langage violent et irrespectueux, des humiliations et des dénigrements de membres du personnel, de représentants et de membres du comité exécutif."Certains de ces comportements ont en fait été observés - ou entendus - directement par moi", a-t-elle déclaré.Le pair travailliste a également entendu des preuves de manquements à la procédure régulière, à la justice naturelle et à la gouvernance. "Mon impression est celle d'une concentration du pouvoir absolu dans un très petit nombre de mains, avec peu ou pas de contrôle", a-t-elle déclaré.Des auditeurs devraient être amenés à examiner les finances du syndicat, a déclaré Kennedy. Elle a demandé pourquoi le syndicat refusait de dire combien a été payé à la retraite à Cortes, qui a nié tout acte répréhensible et s'est excusé pour tout préjudice causé par son comportement.Des allégations de comportement sexuellement inapproprié contre Cortes, centrées autour des bureaux du syndicat près de la gare d'Euston, dans le centre de Londres, ont émergé au printemps. Claire Laycock, qui a travaillé pour la TSSA pendant plusieurs années en tant qu'organisatrice dans le Yorkshire, a déclaré avoir été harcelée dans un pub après une fête de Noël en 2018. Une vidéo mise en ligne par Laycock affirmait que Cortes lui avait demandé de l'embrasser et l'avait invitée à "sors".Le syndicat a fait l'objet de critiques en mai après avoir appliqué un accord de non-divulgation pour empêcher Laycock de répéter les allégations.Des semaines plus tard, d'autres femmes, dont les anciennes organisatrices Maggie Hayes et Hannah Plant, se sont manifestées pour dire qu'elles avaient été témoins d'un comportement inapproprié.Un membre actuel du personnel a accepté d'être nommé dans le rapport après avoir témoigné qu'elle avait été touchée de manière inappropriée par Cortes lors de deux rassemblements de la TSSA en 2011 et un en 2015.Mel Taylor a déclaré que de nombreux collègues avaient été témoins du premier incident, mais qu'elle ne s'est pas sentie en mesure de déposer une plainte officielle contre le secrétaire général à l'une ou l'autre occasion et, à sa connaissance, cela n'a pas été soulevé ou signalé par d'autres. "Mel a déclaré qu'un collègue senior lui avait dit que c'était de sa faute parce qu'elle s'était assise à côté de Manuel", indique le rapport.L'enquête de Kennedy a été lancée en septembre. Elle a entendu des exemples précis de comportements sexuels non consensuels, notamment «le glissement d'une main entre le haut des cuisses d'une femme par derrière, le glissement d'un doigt de haut en bas sur la cuisse d'une jeune femme, la compression des seins, le tâtonnement répété d'une femme par derrière [and] chuchotant des suggestions inappropriées (« Je te baiserais ») », a-t-elle écrit.Kennedy a suggéré que des auditeurs soient amenés à examiner les livres du syndicat.
ignorer la promotion de la newsletterInscrivez-vous pour The Guardian Titres Royaume-UniBulletin gratuitUn résumé des principaux titres de la matinée vous est envoyé directement par e-mail tous les jours de la semaine
0 notes
thebusylilbee · 2 years ago
Text
" Lorsque les Etats-Unis décidèrent d’envahir l’Irak, en 2003, sur la foi d’un mensonge d’État (les armes de destruction massive inexistantes qu’était censé posséder Saddam Hussein), le camp atlantiste se rassembla comme un seul homme autour du président américain George W. Bush. Tony Blair et José Maria Aznar, alors Premiers ministres du Royaume-Uni et d’Espagne, y allèrent de leurs encouragements. D’autres montèrent dans l’armada en se faisant plus ou moins discrets. Un seul chef d’État occidental osa dire « Non » avec courage, fermeté et détermination : Jacques Chirac.
Gaullisme ?
Fidèle en cela à la geste gaulliste, le président de la République de l’époque sut percevoir les dangers inhérents à une invasion qui allait anéantir un pays et déstabiliser une région déjà transformée en baril de poudre. Nul n’oubliera le discours mémorable alors prononcé à l’ONU par Dominique de Villepin, ministre des Affaires étrangères, salué par des applaudissements, fait unique dans cette enceinte.
Vu avec le recul du temps et de l’expérience, on pourrait avoir le sentiment qu’une telle prise de position allait de soi. Il n’en est rien. Au contraire, c’est à cette époque qu’est né un nouveau sport que l’on pourrait appeler le « french bashing » de l’intérieur, par référence à ce dénigrement antifrançais qui avait alors fleuri des deux côtés de l’Atlantique.
En 2003, nombreux ont été ceux qui ont pris la réaction élyséenne avec des pincettes. La liberté de ton dont ils aiment se réclamer a les limites de l’atlantisme flamboyant. Critiquer la Russie, que l’on n’oublie jamais d’assimiler à son passé soviétique, oui. Décrire la Chine comme le futur impérialisme dominant, pas de problème. Mais dénoncer l’Amérique, fût-elle néoconservatrice et empêtrée dans les conséquences guerrières des théories fumeuses sur le « choc des civilisations », cela vaut illico presto l’accusation d’«anti-américanisme primaire », pour reprendre une formule chère à Bernard-Henri Lévy. [...]
Dans la famille politique de Jacques Chirac, l’embarras fut de mise. A preuve, la gêne exprimée par Nicolas Sarkozy. Du jour où il devint à son tour président, relayé par ses séides intellectuels, il fit tout ce qui était en son pouvoir pour se démarquer, persuadé que son prédécesseur avait commis le pire des crimes : s’affranchir de l’Amérique. A croire que le simple fait de critiquer les États-Unis revenait d’office à être un suppôt de Ben Laden et un coresponsable des attentats du 11-Septembre. Un peu comme si l’on avait accusé de francophobie les penseurs américains, ou britanniques, ayant pris fait et cause contre la guerre d’Algérie.
Atlantisme
Ce raisonnement absurde visait à faire oublier que Nicolas Sarkozy était entouré d’une camarilla de petits soldats qui ont cru à la fable des prétendues « armes de destruction massive » de Saddam Hussein, à l’image d’un Bernard Kouchner, ou d’un André Glusksmann (le père de Raphaël), à une époque où Barack Obama, lui, n’y croyait pas.
Pour ces gens-là, Jacques Chirac avait donc tout faux en 2003. André Glucksmann, Pascal Bruckner et le réalisateur Roman Goupil avaient publié une tribune commune dans Le Monde où ils écrivaient : « Que Saddam parte, de gré ou de force ! Les Irakiens, Kurdes, chiites mais aussi bien sunnites respireront plus librement et les peuples de la région en seront soulagés ». De son côté, BHL était un peu plus hésitant, avant de dire lors d’une intervention aux Etats-Unis : « J'étais opposé à l’administration Bush quand elle a décidé d’entrer en guerre contre l’Irak. Mais aujourd’hui, nous y sommes, nous devons désormais finir le travail ». Des personnages susnommés, seul Pascal Bruckner fera son mea culpa.
Pour nos amis atlantistes, il était évident que la France s’était « mise hors jeu », qu’elle s’était« ridiculisée ». Tony Blair, en revanche, était salué comme un « véritable chef d’État ». A de rares exceptions, la plupart des partis politiques français critiqueront le choix de Jacques Chirac, certains n‘hésitant pas à dénoncer un « nationalisme des imbéciles ».
Grâce à Wikileaks, on apprendra ensuite que des dirigeants du Parti socialiste s’étaient rendus à l’ambassade américaine à Paris pour exprimer leurs désaccords avec la position officielle de la France. Le 29 mai 2006, Pierre Moscovici, chargé à l'époque des relations internationales du PS, promit qu'un gouvernement socialiste se montrerait plus proaméricain que celui de Dominique de Villepin. Quelques jours plus tard, le 8 juin, Hollande, premier secrétaire du PS, regrettait devant l'ambassadeur des États-Unis que Chirac ait fait de « l'obstruction gratuite » face au président américain. Quand il s’agit de sombrer dans l’atlantisme, certains sont imbattables. "
ptdr le Parti Socialiste ???? Putain de vendus heureusement qu'ils ont crevé ceux là
10 notes · View notes
swedesinstockholm · 4 years ago
Text
vendredi
pendant que je regardais le live stream de céline sciamma à la berlinale sur mon lit j’ai entendu la copine de mon cousin qui montait pour venir dire bonjour et j’ai failli me dissoudre de bien-être et de satisfaction d’être cachée là-haut avec céline et pas en bas obligée de dire oui ça va et toi avec une voix aimable et enjouée et enthousiaste. merci la vie. céline racontait que quand elle était ado elle avait assisté à un spectacle de natation synchronisée et qu’elle avait tellement été touchée par la grâce que pendant les trois prochains jours elle s’était dit qu’elle avait raté sa vie parce qu’elle était pas nageuse de natation synchronisée et c’est exactement ce que je ressens quand je regarde un dj set d’azf. mais je crois qu’avec ses films elle a quand même réussi à faire ce que la natation synchronisée fait, c’est l’exaltation du spectacle, les émotions qui montent, c’est le travail collectif qui crée un truc où tout vient se mettre en place parfaitement et qui donne de la beauté. heureusement que je suis pas critique de cinéma.
samedi
dans la voiture ils ont commencé à parler du permis de manon et j’ai pris mon air de gravité abyssale en regardant par la fenêtre pour y échapper autant que je pouvais mais je pouvais pas j’étais coincée dans la voiture, c’était tellement intenable que mon corps envisageait d’ouvrir la portière pour me laisser rouler sur la route et qu’une voiture me roule dessus pour en finir une fois pour toutes.
j’ai pas acheté de veste. j’essaie de faire une année sans m’acheter d’habits de nouveau, ou pas de trucs neufs du moins. l’année dernière j’ai acheté un tshirt rayé, un tshirt céline sciamma et un chapeau en éponge orange.
dimanche
en revenant de la forêt je me suis perdue dans le vortex du stalking instagram qui mène directement dans le vortex de l’auto-dénigrement parce que tous les amis d’a. ont l’air beaucoup plus fun et queer et hors des normes que moi. moi je sais pas m’amuser je prends tout au sérieux et mon rapport à la norme se traduit par une réclusion dépressive. moi aussi je veux me baigner dans une baignoire remplie de mousse avec ma copine dans une chambre d’hotel tapissée de miroirs et faire semblant de parler à mon petit chien en mousse. elle m’a mentionnée dans ses stories (j’avais dit que son chat ressemblait au petit de love actually) et j’ai décidé que ça équivalait à une présentation officielle à ses amis.
à table le soir j’arrivais plus à fonctionner de nouveau, je me sentais cassée, j’arrivais pas à faire d’efforts pour parler avec la copine de mon cousin, ils parlaient d’études de master d’agroécologie de débouchés de stages de métiers d’avenir de marché du travail de reconversion etc et j’avais l’impression qu’ils parlaient d’un monde parallèle auquel j’avais pas accès. si elle m’avait demandé et toi lara? je crois que j’aurais fondu en larmes.
lundi
à onze heures je suis sortie de mon monde avec david abram et la synesthésie et merleau-ponty et la naissance de l’écriture et platon et la chair du monde pour me transformer en personne socialement acceptable en mettant des barrettes dans mes cheveux (huit) pour pas ressembler à une folle et un col roulé noir pour faire le test sur zoom avec le jif et j’étais étonnée de ma présentabilité à l’écran. on a dit mon nom et on m’a présentée comme queer féministe et j’ai étalé mon journal (sous forme de poème) devant 200 personnes en live stream sur facebook en même temps. mon. journal. j’avais peur d’être trop neuneue, de gaspiller une occasion d’être politique, même si le personnel est politique, j’avais quand même l’impression de présenter une bonne grosse tranche de guimauve dégoulinante. je devrais aussi prévenir tous les gens que je rencontre que si je tombe amoureuse d’eux, y a de fortes chances qu’ils se retrouvent un jour dans un poème que je finirai par lire en public d’une manière ou d’une autre.
Dans les commentaires y avait un type qui était dans ma classe au lycée qui me disait merci, il est journaliste maintenant. si on m’avait dit au lycée qu’un jour je lirais un poème intime en live stream sur fb et que t. de ma classe me dirait merci... ça m’aurait pas du tout étonnée en fait. j’ai toujours aimé étaler ma vie en public, c’est mon truc. je sais pas si c’est du courage, de l’inconscience, ou une foi absolue en ce que je fais, ce qui sort de moi. et puis mon courage a continué et m’a poussée jusqu’à la gare pour rejoindre le block queer pour la manif du 8 mars, j’avais les genoux qui tremblaient, c’était pire que sur zoom, parce que je devais manoeuvrer mon corps. quand je suis arrivée j’ai dit bonjour à e. qui m’avait dit de les rejoindre et puis j'ai commencé à me demander ce que je faisais là, mais si j’y étais pas allée je m’en serais voulu toute la journée. on était à la tête du cortège et j’étais juste derrière le grand drapeau arc-en-ciel avec les mains dans les poches de ma parka et la bouche hermétiquement fermée sous mon masque parce que je sais toujours pas crier en manif. vers la fin e. m’a mis une pancarte profiteroles not gender roles dans les mains et finalement je trouvais ça grisant de marcher derrière ce drapeau et de parader à travers la ville avec des revendications. quand on a traversé le pont le soleil se couchait et elles faisaient flotter le drapeau derrière elles en rigolant et c’était un petit moment de grâce. j’ai réussi à tomber amoureuse de deux filles dont une avec un chien noir et blanc que j’ai caressé derrière les oreilles. j’adore voir des chiens dans les manifs. quand je suis rentrée il faisait nuit et j’ai mis de la techno pour marcher à grandes enjambées et faire sortir mes émotions. je marchais tellement vite que j’avais mal aux poumons.
mardi
j’ai trouvé l’article de t. du tageblatt, j’y suis brièvement mentionnée, die queerfeministin lara well et mon bemerkenswerte gedicht, HA. j’ai pensé à mes grands-parents qui lisaient le tageblatt. je l’ai vu t. à la manif, il a bien grandi, il était tout propre. je me suis demandé comment était sa vie, où il habitait, et s’il avait pensé à moi et à mon poème avant de s’endormir. à la fin sur la place d’armes je tenais un bout du drapeau avec mes mains gelées et je regardais les guirlandes dans les arbres et il discutait quelque part derrière moi avec la fille qui braillait dans le mégaphone et c’était une collision bizarre de plusieurs mondes: mon monde intime, le monde du lycée, et le monde queer. je donnerais n’importe quoi pour avoir un dixième de l’énergie qu’avait la fille qui braillait dans le mégaphone.
8 notes · View notes
songuetaaba · 4 years ago
Text
Parlons Musique : La critique du Blogueur Jodala Boss est-elle pertinente où non ?
Depuis maintenant quelques jours, les plumes s'aiguisent de part et d'autres sur l'analyse du blogueur burkinabé Jodala boss concernant l'actualité artistique de l'artiste Burkinabé à renommé international Floby.
Dans la soirée du 15 Juillet 2021 aux environs de 16h alors que tous étaient préoccupés par l'accident de l'international camerounais Ténor, un jeune blogueur burkinabé d'une simple publication enflammera la toile au point de noyer l'affaire Ténor. Normal diront certains puisque la critique portait ou dirais-je visait le baba national qui vient de faire sortir il y'a moins de deux semaines son 6ème album intitulé (Wend'so : Tout appartient à Dieu.ndlr) Dans son analyse le blogueur dénote quelques réalités irréfutables sur le niveau de l'artiste ainsi que ses réalisation et ses relations avec la nouvelle génération. <<Floby, une ombre de lui même qui veut effrayer les enfants>> . Il ajoute :<< à un moment donné il faut arrêter les caresses dans les sens du poil et se dire les vérités. Il y' a une différence entre fanatisme et idiotie>> est -ce la phrase fétiche qui a alertée les internautes et superfans de l'artiste au 15ans de carrière ? On ne saurait le confirme mais on ne saurait l'infirmer non plus vue la réaction de certains fans de l'artiste à l'exemple du maître de cérémonie et communicateur Freddy lino qui déclarait << vous pouvez tout dire mais, mais à l'heure là sur 3 propositions en termes d'artistes burkinabé au renommé internationale son nom viendra toujours en 1ère position, il porte le brassard de l'équipe national en terme de musique et fait la fierté de la musique burkinabé>>. Fanatisme ou hypocrisie quand on sait qu'il est difficile pour certains d'accepter les critiques.?Toujours dans son analyse le jeune blogueur affirmait être déçu de l'artiste dont il fait mention. Sa déception n'est pas seulement lié à la performance musicale <<mais aussi de l'esprit qu'il entretient et de la concurrence déloyale dans la quelle il se mets sans vouloir l'avouer>>. N'est-il pas vraie qu'avec le nouveau clip que l'artiste vient de lancer il mets plus l'accent sur l'autoproclamation que sur les dires à médite. Il est normal d'en vouloir à une personne qui dit haut ce que plusieurs pensent bas mais il est aussi légitime de reconnaître et d'accepter la vérité au détriment d'un égo de fanatique. Dans les critiques portés sur le poste du jeune blogueur certains fanatiques iront jusqu'à dire " si le blogueur là n'est pas content de l'album de Floby , il n'a qu'à entrer en studios et faire mieux que lui." << chacun se cache derrière son clavier pour dénigrer le travail des autres >> ajoutera le jeune internaute.
Si pour certains fans la vérité du jeune blogueur est difficile à accepter pour d'autres elle est la bienvenue car loin de l'aspect dénigrement où autre selon eux ses critiques sont pertinentes et valent la peine d'être pris en compte. << félicitations jodalaboss, j'ai adoré ta plume>> affirmait *Baba Junior un superfan de l'artiste floby. Des solutions sont proposés à l'artiste pour le maintien de sa notoriété. Certains préconisent qu'ils ouvre une école de musique dans le but d'assurer la relève et qu'il se lance plus dans la concurrence international en faisant des featuring avec des artistes de renommé.Néanmoins le dernier mots reviens à l'artiste. Alors maintenant que la critique est posée et que les solutions sont proposés que fera floby ?
Batchana A-Aziz Sanou
Crédit photo : Prince Saïd
Légende:
1-Jodalaboss, meilleur blogueur culturel burkinabé 2020
2-Freddy Lino, communicateur, maitre de cérémonie
3-Internaute
4-Baba Junior, communicateur web, fan de floby
1 note · View note
christian-dubuis-santini · 5 years ago
Text
Il y a des scientifiques, des artistes, dont le travail est mondialement reconnu, qui font l’objet de campagnes de dénigrement pour ne pas être "politiquement correct" (n’étant ni féministes, ni LGBTistes, ni climato-activistes...), tout ça au nom de la "liberté d’expression".
«Seuls conspirent efficacement contre le monde actuel ceux qui propagent en secret l’admiration de la beauté.» (Nicolás Gómez Dávila, Les Horreurs de la démocratie)
13 notes · View notes
vincentdelaplage · 5 years ago
Photo
Tumblr media
HALTEROPHILIE AU GOLGOTHA STADIUM de Philippe Mouchès est né le 31 décembre 1956, dans les Landes. Diplômé de l'École Nationale des Arts Décoratifs de Paris en 1980, il travaille ensuite sur de nombreux projets de peinture murale et décorative, et comme professeur d'arts visuels de la Ville de Paris, depuis 1987. MUSIQUE JOSEPH HAYDN les 7 dernières paroles du Christ https://youtu.be/cxv15kJghVk "Vous savez que le sportif a deux âmes, l'une d'admiration, l'autre de dénigrement, et souvent à la fois vis-à-vis du même champion." Jean GIRAUDOUX https://www.instagram.com/p/CDdnd5yqoJo/?igshid=16zxg66ujl0a8
1 note · View note
Text
Une leçon d’immobilier de luxe avec Eric Arnoux, promoteur immobilier des Billionnaires.
Tumblr media
Il refuse de dévoiler les noms de ses riches clients. On dit pourtant que c’est lui qui a trouvé la demeure d’exception de grand joueur de foot anglais, que s’est lui qui se cache derrière le design de la luxueuse propriété d’une actrice, chanteuse et styliste américaine et que la villa contemporaine de luxe d’un oligarque dans le sud de la France, c’est encore lui. Dernière cliente en date : Cristal, la sœur jumelle de la fée Clochette. Pour nous, après d’acharnées relances, le discret Eric Arnoux se confie. L’homme fuit la notoriété et la visibilité médiatique depuis le début de sa carrière. Eric Arnoux ne parle pas aux médias. Eric Arnoux n’aime pas se mettre en avant.
PureConcept, son Groupe international de design immobilier a connu la crise, la jalousie et les trahisons multiples, la diffamation digitale et juridique, le dénigrement massif, Eric Arnoux a pardonné et a tourné la page. Il en a tiré toutes les leçons afin de reconstruire durable sur les fortes fondations du passé. L'enfant terrible de l'immobilier de luxe revient au sommet, discrètement mais surement. Dans des créneaux plus responsables, écologiques et durables. Rencontre avec ce promoteur immobilier international qui a séduit les plus grandes fortunes du monde qui le considère comme un héros du luxe capable de leur offrir n’importe quel rêve immobilier, aussi complexe techniquement soit-il à réaliser, aussi fou dans son design comme dans sa décoration.
Deux piscines à débordements, un hammam, un sauna, une salle de cinéma et un garage souterrain pour 6 Rolls-Royce et 2 Bugatti. La luxueuse villa récemment terminée de près de 1500 m2 en Suisse est une jolie vitrine du savoir-faire immobilier de luxe d'Eric Arnoux et de son groupe PureConcept Real Estate.
Cette luxueuse maison contemporaine est en effet l'une des dernières constructions d'un homme d'affaires français installé en suisse pendant 15 ans au parcours peu banal : le promoteur immobilier Eric Arnoux. Cet ingénieur en bâtiment français a commencé à faire fortune à la fin des années 90 en construisant des chalets très haut de gamme dans le village authentique de Megève.
Megève, Courchevel, Paris ou la Côte d’Azur sont ses terrains de jeu privilégiés. Mais la Suisse n'est pas en reste, avec notamment le pourtour du lac lémanique et particulièrement Genève, où il a résidé. Retour sur cette ascension entrepreneuriale fulgurante. Affichant un large sourire, Eric Arnoux s'amuse dans ses nouvelles activités ce passionné de design immobilier de luxe. Sa devise donne le ton: "value for shareholders and fun". Deux objectifs qu'il semble atteindre. Depuis la crise économique et la pression des banques et des grandes sociétés de gestion pour la création d’un fond d’investissement côté, les trahisons et spoliations subies il y a quelques années, ce bouillant quinquagénaire a préféré tourner la page des difficultés économiques qu'il a traversé. Le plus vite possible. Pas question de ruminer la tentative de pillage de son groupe par des proches à qui il avait fait confiance. La croissance économique fulgurante lui avait attisé toutes les jalousies des plus irrationnelles. Si cet humaniste, modeste et empathique, se montre à présent très discret sur cet épisode, il devient intarissable lorsqu'il parle de ses nouvelles activités immobilières de luxe... Plein d'humour et d'humeurs, il sait décrire, des heures durant, ses projets immobiliers de luxe, les pépites artisanales aux réalisations exceptionnelles dans lesquelles il a investi son talent et son temps, sa vision et sa méthode de construction si enviée.
"Plutôt que d'entrer dans un autre groupe immobilier de luxe, j'ai préféré recommencer à zéro, confirme l'entrepreneur. « J’ai souhaité reposer les fondations de PureConcept. » détaille Eric Arnoux, CEO de PureConcept.
Eric Arnoux, ce coup de cœur de l'immobilier de prestige. Son flair pour les bonnes affaires l'a notamment poussé à investir des millions d’euros personnels et financés par les grandes Banques de la place (dont 60 millions d’euros de dettes adossés à 200 millions d’euros d’actifs) avant le retournement de la politique bancaire, les diverses tentatives de dépossession et l’atteinte à ses intérêts par des personnes proches du dossier. Eric Arnoux est un homme serein qui a fait et fait toujours confiance à la justice.
C'est le cas de très grosses banques comme BNP Paribas, via ses filiales suisse et luxembourgeoise, mais aussi Safra Sarasin, la banque CIC ou la Société Générale. Désirant renforcer le pôle design ultra-luxe de son groupe PureConcept, Eric Arnoux estime pouvoir réaliser une dizaine de projets du même ordre tous les ans. Le renforcement dans le design de yacht donne une autre dimension à l’artiste. Rendez-vous donc à l'an 2020 pour des nouvelles réalisations de prestige. Son premier coup de codeur immobilier remonte en fait à 1995. Un banquier de la BBL lui parle alors d'une ferme abbatiale du 17e siècle, reprise par des familles de la région d'Ophain, dans le Brabant wallon.
"Dans le monde de l'immobilier, on répète souvent que le premier, le deuxième et le troisième critère qui comptent sont l'emplacement, souligne l'homme d'affaires. Située près d'une sortie d'autoroute, la ferme offrait un atout majeur. Je me suis donc lancé dans le projet et j'ai entièrement rénové cette ferme devenue la référence locale de l'immobilier de luxe."
La luxueuse rénovation terminée, les dépendances sont louées à des PME de la région tandis que le corps du bâtiment est dévolu à l'organisation d'événements pour les peoples. Les grandes pièces, décorées de souvenirs des voyages comme le tableau du Little Emperor peint par un artiste chinois contemporain, peuvent accueillir jusqu'à 1.000 personnes. Pour asseoir la notoriété de la vieille ferme, Eric Arnoux n'est pas un adepte de la publicité. "Cela coûte fort cher et les retombées sont limitées", estime-t-il, l'opinion bien arrêtée sur le sujet. Il croit plus dans l'impact du bouche à oreille entre les familles fortunées qui lui font confiance. Et cette politique porte rapidement ces fruits puisque la ferme accueille, en général, trois événements par semaine, sans compter les mariages de grandes familles. D'autres projets à l'étranger sont également venus étoffer son pôle immobilier de luxe. En France d'abord, plus précisément dans les Alpes, où il a investi plus de 100 millions d’Euros dans l'immobilier de luxe. Aux États-Unis ensuite, ou il a développé une société immobilière en Floride début des années 2010, puis Dubaï ensuite, où il a acquis un succès et le respect des familles locales sur sa qualité de réalisation.
Mais Eric Arnoux reste avant tout un entrepreneur, un designer, un créateur. Son savoir-faire compte dès lors différentes interventions et participation dans des artisans d'exceptions. Il aime mettre la main à la pâte, comme le confirme une autre de ses devises : "Les pieds sur terre, les mains au travail et les yeux vers le ciel."
Eric Arnoux est d'abord un passionné. Il veut être actif. Pas question de jouer aux riches potiches. Sa longue expérience dans l'immobilier d’extra luxe le pousse à se réinventer constamment. « On ne fait bien que ce que l'on connaît bien. » dit Eric Arnoux.
Créateur d’un nouveau concept et « brand » dans l’hôtellerie et l’hospitality, avec une vision exceptionnelle sur l’avenir et l’eco-responsable, sera les développements des années 2020.
Ses critères de sélection sont stricts. Il choisit ses clients et ses projets immobiliers. Il ne fait que du sur-mesure d'exception. Et il accorde autant d'importance aux personnes qui portent le projet qu'aux aspects techniques ou financiers.
Immobilier de Luxe : comparer, toujours comparer, pour se surpasser et atteindre les sommets du Luxe. Pour percevoir les évolutions du marché, Eric Arnoux est un adepte fervent du lateral thinking. Tout comme ses associés, Eric Arnoux parcourt donc le monde pour comparer. Surtout les USA, le middle EAST, où il passe 10 jours par mois en déplacement, afin de visualiser les changements dans le secteur de l'immobilier de luxe, et l’hospitality.
"J'adopte la formule du management by walking around, décrit-il. Comme les Etats-Unis et le Middle East ont deux ou trois ans d'avance sur nous, il est important d'être là pour sentir les nouvelles tendances du marché du luxe immobilier." Eric Arnoux a profité de son arrêt d'activité pendant la crise et les « règlements de comptes » pour redéfinir la stratégie de croissance de PureConcept. "Nos projets immobiliers passés nous apportent une réelle solidité du savoir-faire, très peu de créateurs, designers ont une telle expérience d’autant de projets réalisés de par le monde ». « L'expérience d'Eric Arnoux, sa connaissance unique dans l’immobilier de luxe et sa vision stratégique constituent, pour la société, des atouts fondamentaux. » dit l'un des collaborateurs à ses côtés depuis plus de 20 ans. PureConcept a notamment développé ses activités autour d'un concept unique, l'immobilier de luxe qui devient maintenant durables et écologiques.
Un pied aux USA, un autre en Europe, un troisième au Middle East. Pour Eric Arnoux, un chef d'entreprise qui veut comprendre le monde dans lequel vivront ses enfants dans 15 ans doit avoir un pied aux USA, un autre en Europe et un troisième au Middle East. Suivant son principe à la lettre, Eric Arnoux a décidé de renforcer l'aventure commerciale aux pays émergents. "Vu leur importance démographique, l'évolution de ces pays et de leurs millionnaires est incontournable", évalue-t-il. Eric Arnoux est aussi l'apôtre des bonnes oeuvres. Ses exigences de dividendes sont limitées. "Il a une culture familiale de l'entreprise qui favorise des investissements long terme, constate un pater familias. Je ne suis pas amateur de gros coups à court terme dit Eric Arnoux. Je préfère inscrire mon action dans la durée. Ce qui m'intéresse, c'est que mes entreprises grandissent et affichent de solides résultats financiers durables avec une comptabilité tenue avec rigueur et exigence." Le risque de banqueroute est loin, il suffit de ne pas faire appel à l’emprunt. Bref, les pieds sur terre, les mains au travail et les yeux vers le ciel, Eric Arnoux s'amuse.
En savoir plus sur Eric Arnoux : 
https://www.linkedin.com/in/eric-arnoux-b6514519a/
https://twitter.com/EricArnoux2
https://fr.scribd.com/user/492733873/Eric-Arnoux
https://www.arabnews.com/node/1198146/corporate-news
https://www.instagram.com/arnoux_eric/ 
https://www.eric-arnoux.org
https://www.pureconceptlevel.com
https://www.doyoubuzz.com/arnoux-eric 
https://eric-arnoux.wixsite.com/pureconcept
https://www.viadeo.com/p/002zn2c5tabk09s
1 note · View note