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#déchainés
ditesdonc · 25 days
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Le toit du monde
Souvenir de voyage par Catherine Vincetti
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Il y a des évènements de notre enfance qui nous marquent pour toujours. C'est ce qui s'est passé quand au CP, notre institutrice nous avait emmenées assister à une conférence de Frison-Roche "la migration des caribous en arctique". Je me souviens très bien, c'était à la salle Rameau à Lyon. Ces images m'ont transportée et je me suis dit: un jour, tu iras là-bas.
C'est comme cela qu'en 1992, je me suis retrouvée sur un kayak, dans l'Isfjord, au Spitzberg, l'île sur le toit du monde. Un bateau nous a déposés au pied d'un glacier, nous étions 6, et il devait venir nous récupérer à un autre point 12 jours après. Ce fut un enchantement permanent. Le silence qui n'en était pas, puisqu'il y avait le bruit de l'océan, les oiseaux, le bruit du vent sur la glace, le son des icebergs qui se détachaient des glaciers. Nous avions décidé de dormir à la belle étoile, si l'on peut dire, puisqu'il n'y avait pas de nuit. Et quel bonheur d'ouvrir les yeux le matin sur toute cette beauté!
Alors, quand le ciel est devenu sombre et angoissant, que l'océan s'est déchainé, que nous n'étions pas sûrs de pouvoir accoster, les vagues nous emportant vers le large, je me suis dit que peut-être, j'allais mourir là.
Mais peu m'importait, j'étais allée au bout de mon rêve.
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olympic-paris · 1 month
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saga: Soumission & Domination 246
Récit de Jona-2, François
La deuxième partie de la semaine s'est passée dans une meilleure ambiance. Les " vieux " nous ont foutu la paix quand à nos câlins à François et moi. Une nuit j'ai même eu le plaisir de me faire réveiller par Pierre qui voulait remettre le couvert pour savoir, soit disant, si ce genre de relation lui faisait de l'effet.
Nous nous sommes isolés dans les douches et là, il m'a sucé. A voix basse je lui indiquais les meilleures façons de s'y prendre et après quelques minutes il me pompait correctement à défait de le faire parfaitement comme François.  Je l'ai redressé et plaqué contre la faïence, je lui ai mis un puis deux doigts dans le cul. Ça l'a fait durcir encre plus. Je lui ai demandé s'il appréciait. Entre deux halètements il me dit que cela le faisait méchamment bander. J'ai vite remplacé mes doigts par ma bite enkpotée. Trois coups de rein et j'étais au plus profond de son cul. Il a laissé échapper un râle qui comme l'autre fois à réveillé François qui est venu voir. Je l'ai alors décollé du mur et penché en avant pour aller sucer mon copain. François à demi réveillé a été surpris de se faire avaler direct. J'ai dis à Pierre de bien le faire durcir car il me remplacerait dès que j'aurai jouit.
Sa rondelle quasi vierge était bien nerveuse et serrée. Je me suis déchainé à lui labourer le cul jusqu'à remplir ma kpote. J'ai vite cédé ma place et j'ai tendu une kpote à François pour qu'il l'enfile. Puis je l'ai poussé pour qu'il encule à son tour notre " hétéro " de Pierre. Encore dans le plaisir de se faire mettre, il a accepté cette nouvelle bite. J'ai partagé avec François nos impressions jusqu'à ce qu'il se concentre pour juter à son tour. C'est alors que Pierre a éclaboussé le carrelage.
Sous les jets d'eaux des douches, il a convenu qu'effectivement il ne fallait pas se contenter d'un seul sexe et qu'il y avait aussi du plaisir à prendre avec les mecs.
La nuit fut courte ! Les potes se sont chargés de nous charrier au petit dèj. Surtout Pierre, bien qu'ils n'aient pas su ce qui lui était arrivé.
Encore des parcours du combattant, mais là, ça y est, François et moi sommes au top. Les combats sont toujours aussi acharnés mais n'ont plus l'aspect règlements de compte du début de semaine. L'instructeur en fait même la remarque.
Avec les armes, nous nous améliorons aussi et l'instructeur nous fait savoir à François et moi que nous serons inscrits dans un club de tir avec armes et permis adéquates. Quand je fais la remarque que nous ne savons toujours pas si nous sommes sélectionné et encore moins ce que cela sous entendrait, il nous dit que nous devrions être convoqués aujourd'hui pour les détails.
Dans l'après midi, François et moi sommes introduits ensemble dans le bureau du responsable qui nous avait accueilli.
Il nous dit que nous avions passés avec succès les différents tests, que nous sommes dès à présent aptes à subir d'autres formations plus spécifiques. Il nous explique plus en détail le but de ces dernières. Ici vous n'en saurez pas plus ! Il nous confirme les dires de notre instructeur de tir et nous dit que nous aurons quand même à finir chacun notre cursus universitaire.
Il nous dit qu'il a su pour nos " particularités " et nous demande si cela poserait un problème si un jour ils avaient besoin de ces " compétences " spécifiques.
Je lui dis que pour moi, étant déjà Escort (ce en quoi, j'en étais sûr, il était déjà au courant), cela ne posait aucun problème. A mes cotés François à ouvert de grands yeux, surpris par mon propos. Du coup il a accepté tout en précisant qu'il n'avait jamais fait cela. Je lui dis que je pouvais lui faire connaitre si c'était nécessaire.
Notre responsable saute sur l'occasion et me dit qu'ils prendront contact avec mon patron pour cela. Alors qu'il me voit gêné, il m'assure que je n'ai pas à m'en faire qu'ils connaissaient la société pour laquelle je bosse, me donnant quelques précisions propres à m'assurer de la chose.
Quand nous sortons du bureau, François me pose mille questions sur mon taf d'Escort. Je lui brosse en quelques phrases le contenu du travail en question, le coté accompagnateur et le coté sexuel. C'est ça qui l'inquiète un peu. Ok, il aime le sexe des deux cotés, mais de la à le faire sur commande, il ne sait pas s'il saura faire. Je le rassure et lui dit que s'il a vraiment à faire avec mon boss, il y arrivera très facilement. Quand il veut en savoir plus sur la boite qui m'emploi, je coupe court tant que " l'affaire " n'est pas conclue.
En attendant, quand nous retrouvons nos collègues, ils veulent savoir ce qu'on nous a dit. Je leur retourne la question. Ils nous disent être intégrés au service qui nous a entrainés. Je leur dis alors que pour nous deux, nous devons continuer nos formations.
Quand nous séparons, ils nous souhaitent bonne chance et Pierre me glisse même un " J'espère qu'on aura à bosser ensemble ".
Je quitte François sur le quai de la gare après avoir échangé nos adresses et nos numéros de téléphone, non sans lui avoir dit que si cela se faisait pour l'entrainement d'Escort, je pourrais le loger.
Quand je rentre à la maison, je passe direct voir Sasha. Il est 19h et il me garde à diner. Je découvre le 4ème étage. C'est démentiel. Je ne sais plus où regarder. De l'eau de la piscine qui éclaire d'une lumière spéciale par dessus la cuisine, au tableau gigantesque avec des mecs à poil, de la cheminée projetée sur le mur d'en face aux palmiers que l'on aperçoit par les fenêtres, tout est démesuré ! Je retrouve PH qui fait du Krav Maga avec nous et dans le fond, à la cuisine, j'aperçois deux beurs. Quand ils nous servent l'apéro j'hallucine, ils ne portent qu'un shorty en cuir noir et semblent bien outillés.
Je résume la semaine passée et dit à Sasha que j'ai comme l'impression d'avoir trouvé un nouveau job. Il me regarde sans parler. J'ai l'impression que cela dure une éternité. Puis il me dit qu'il a reçu un appel de mes supérieurs (puisque je suis embauché) avec qui il a trouvé un arrangement. Nous dinons tous les trois. Je suis au départ un peu gêné de me faire servir mais cela est fait si naturellement que j'en oubli le coté " servile " de la chose.
Il me fait parler de François. Mon " chef " l'ayant persuadé de le former, il voulait en savoir plus coté physique. Je le décris minutieusement. Arrivé à ses poils, Sasha me coupe en me disant qu'il devra se mettre au diapason. Je lui dis qu'il a l'air d'avoir une bonne expérience sexuelle de base (rapports homme-femme, homme-homme) mais pas plus. Je lui précise que je lui avais proposé de le loger au cas où il aurait besoin. Sasha me dit qu'il s'était arrangé avec mon autre employeur (puisque j'étais autorisé à rester Escort chez Sasha) et qu'il logera dans une des chambres du premier quand il sera là. J'ai du avoir un air particulier car après il m'a dit que je pourrais avoir la chambre d'à coté ces WE là.
Quand je sors de chez eux, je suis un peu chaud ! Mais demain je recommence la fac !
Je (Sasha) reprends la main.
J'ai été étonné de recevoir, le samedi précédent, un appel du supérieur de Jona. Il m'explique qui il est et ce qu'est son service. Il me dit avoir embauché en " apprentissage " mon Jona et un certain François. Il me demande si je pourrais lui rendre le service de former François à l'Escort notamment sexuelle. Avant que je donne une réponse il me dit que bien sur je serais rémunéré pour ce service et que cela ne m'empêchait nullement de percevoir mes prestations habituelles. Nous finissons par trouver un accord, il est toujours bon d'avoir dans sa poche ce genre de relation !
Il me dit que j'aurais ce jeune à ma disposition dès le vendredi soir prochain, si cela me convenait.
Je prenais alors les coordonnées de François et le code à lui donner pour prouver que j'étais bien en charge de sa formation. Le soir même je lui téléphone. Il décroche. Je lui donne le code convenu. Il me dit alors qu'il est à ma disposition. Je lui dis que je viendrais le chercher à la gare le vendredi soir suivant.
Le jour dit :
Je le trouve dans le hall de la gare seul, une petite valise à ses pieds. Je l'observe quelques instants avant de m'avancer vers lui. Il est assez mignon. Même format que Jona mais plutôt châtain. Je me fais connaitre de lui par le même code qui nous a servi au téléphone. Il me serre la main puis me suit jusqu'à ma voiture. Devant la SLS, il ne peut retenir un sifflement. Je lui dis de monter. 5mn plus tard nous entrons au garage. Il remarque le cabriolet de PH, la 300C de service, la RCZ de Jona et nos motos. Il me demande si Jona est déjà là. Je lui réponds que sûrement vu que sa voiture est ici. Nous prenons le monte charge jusqu'au 4ème. Jona nous attend en train de boire une bière avec PH. Après des " ho " et des " ha ", le temps de présenter François à PH et Samir vient nous apporter deux bières à nous aussi.
Nous discutons un peu de ce qui leur arrive à tous les deux. Jona a quand même l'impression qu'ils vont servir leur pays plus souvent dans un lit qu'autrement. François pense la même chose puisqu'il doit se perfectionner dans ses techniques de baise. A ce propos...
Nous descendons au bureau avec Jona afin que je lui établisse sa fiche.
Mensurations :       1,85m, 70 Kg, Châtain court, monté : 18 x 6.5 circoncis
Physique :      muscles longs,
Sport :    Karaté, je lui indique que Jona pourra lui donner les bases du Krav Maga dont il a pu, si je ne m'abuse, voir l'intérêt dernièrement dans les douches (cf. SD245).
Poil :       duvet sur les jambes et les avants bras, couilles et pubis très fournis avec une pointe qui remonte sur le nombril, fesses lisse mais rondelle poilue, pecs lisses, barbe rasée.
Je lui dis que nous devions corriger un peu cela. Jona l'emmène dans la salle d'eau commune de l'étage et je lui indique ce qu'il doit faire disparaitre. Nous commençons par les couilles : rasage. Au dessus du sexe, Jona tond à 4mm puis je le fais tailler et raser pour ne laisser qu'une barre horizontale de 4mm surmontée d'un axe vertical jusqu'au nombril de même largeur. Pour sa rondelle, et se membres, nous épilons.
Quand il fait la remarque qu'il va se faire foutre de lui à son club de karaté, Jona lui donne les arguments propres à stopper rapidement les commentaires désobligeants.
Nous montons d'un étage pour chauffer nos muscles. Nous y retrouvons PH qui ne compte pas laisser échapper une occasion de baise. En Jock, notre recrue soulève pas mal, même si ses muscles sont moins ronds que les nôtres.
Passage dans la salle d'eau. A 4, ça dégénère vite et nos deux petits jeunes se retrouvent à genoux à sucer nos bites. Je teste les capacités de François et le laisse faire dans un premier temps. Je vois qu'il s'applique à bien faire. Il écarte bien la mâchoire pour que je ne sente pas ses dents, il utilise sa langue pour tourner sur mon gland et l'exciter en la pointant dans mon méat. Puis il me pompe littéralement. Ses joues se creusent quand il s'écarte et lentement il avale de plus en plus de ma queue. Le premier passage dans sa gorge lui provoque un petit renvoi mais il insiste et arrive à me prendre entier. Je jette un coup d'oeil à coté et je vois Jona avaler les 19 cm de mon PH sans ciller.
Je rode bien le passage et François s'habitue à la présence de mon gland dans sa gorge. L'étape suivante consiste à le faire déglutir avec ma queue complètement enfoncée. C'est trop bon, ça masse le gland et c'est très excitant. Il s'étrangle un peu les premières fois mais, en bon petit soldat, persévère et réussi à le faire.
J'ai du mal à sortir ma queue de sa bouche. Une fois fait, je lui demande de faire un 69 avec Jona pour qu'ils se préparent à la sodo.
Avec PH, nous les observons se positionner sur le tatami. Ils commencent par un 69 classique et profite de la bite de l'autre. Jona, le premier s'avance un peu plus et attaque un léchage de rondelle. Aussitôt, François l'imite. Je me place derrière François et PH dans le dos de Jona. Je vérifie avec mes doigts le degré de préparation de la nouvelle rondelle. Bien luisante de salive, elle laisse passer mon indexe puis le même additionné du majeur. Je tourne mes doigts dedans alors que la langue de Jona continu à me les lubrifier. PH, lui, est déjà passé à l'étape d'après et encule Jona tout en se faisant bouffer les boules par François. A mon tour je me couvre et pose mon gland sur sa rondelle. Un petit coup sec et mon gland entre. François est pris par surprise et serre son cul. Ce n'est pas désagréable d'ailleurs ! Je reprends ma progression et m'enfonce, sans à-coup mais sans arrêt, jusqu'aux couilles. J'entends François souffler un peu à cette possession. Alors que je me retire, Jona fait couler un filet de salive sur le dessus de ma bite. Du coup je me renfonce direct pour bien utiliser ce lubrifiant. Comme nous nous déchainons sur leurs petits culs, François et Jona ont repris leur 19 et s'avalent leurs queues bruyamment.
Devant envoyer François au taf dès le lendemain, et sur de gros calibres, j'ajoute progressivement deux doigts en plus de ma queue. Là, j'utilise un bon lubrifiant. Je l'entends souffler à chaque doigt supplémentaire. Vu la position ils n'entrent pas bien loin. Je demande à Jona de mettre plutôt les siens (de doigts). Ils sont plus fin et il fait entrer les indexes et majeurs de ses deux mains, de chaque coté de ma hampe. Je lime encore quelques instants comme cela avant de demander à PH de chercher les godes. Il décule de Jona et me rapporte les " monstres ". ce sont ceux qui me permet l' " alésage " des rondelles neuves. François est inquiet des dimensions de certains. Jona le rassure et lui dit qu'il est maintenant parfaitement capable de se les prendre dans le cul. Pour le rassurer, il prend sa tête sur ses genoux et nous laisse faire. Je graisse le gode de taille moyenne (22 x 6.5 quand même !). Délicatement je l'enfonce dans la rondelle de François qui avait encore le souvenir de ma pénétration. Doucement le gode écarte le sphincter de François, sans douleur. Quand le gland frotte sa prostate, nous voyons sa bite grossir sous l'excitation provoquée. Arrivé au fond, je le laisse s'habituer avant de le labourer avec. Vu qu'il se détend bien (merci aux mots susurrés à ses oreilles par Jona), je passe à la taille au dessus. Ph me passe le gode de 25 x 7 couvert de graisse. Heureusement pour François el est un peu conique avec un gland de 5.5cm de diamètre seulement.  Il n'empêche que le dernier tiers fait bien les dimensions maxi. François trouve ça un peu hard mais, après trois va et vient, il se couvre les abdos de son foutre blanc. Je retire délicatement le gode et le remplace aussitôt par le plug d'exercice avec l'ordre de serrer son anneau dessus.
Il peut alors nous mater prendre plaisir avec Jona. De lui-même ce dernier me chevauche. Puis après quelques galops, il demande à PH de me rejoindre et se colle à mon torse pour lui dégager l'entrée. Il ne bouge plus le temps que PH enkpoté pousse sa bite à coté de la mienne. François ne peut s'empêcher de lui demande si cela lui fait mal. Jona l'assure du contraire et c'est même lui qui bouge pour se limer le cul sur nos queues réunies.
Comme nous sommes tous les trois bien excités, l'explosion ne tarde pas et je rempli ma kpote alors qu'il me jute sur les abdos.
1/4 plus tard, nous reprenons pied avec la réalité. François me demande s'il devra, lui aussi, subir deux bites dans le cul.  Je lui dis qu'à l'occasion cela pourra lui arriver. Après une nouvelle douche, nous remontons au 4ème pour diner. Non sans que j'ai vérifié la fermeture de sa rondelle sur le plug spécial.
Les deux jeunes font honneur aux plats de Samir et Ammed. PH et moi ne sommes pas en reste non plus, ils nous ont bien vidés !
Après diner, François nous raconte un peu leur semaine d'entrainement, ne sachant pas que Jona m'en a fait un récit complet. Je leur cache, de mon coté, ce que m'a dit d'eux leur supérieur. Avec un QI de 132 et 133, et leurs capacités à savoir se défendre, ils pourraient aller assez loin dans le renseignement.
Je les envoi se coucher avec la recommandation de dormir !
Jardinier
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sous-le-saule · 1 year
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Avis de tempête
(Le musicien fantôme, épisode 6 – parce que.)
« Ce n’est pas une tempête normale ! » me crie Esteban, couvrant à peine le hurlement du vent. Bientôt je n’entends plus que des bribes de ses explications – « jamais vu ça », « trop soudaine » et quelque chose à propos du baromètre que je ne comprends pas.
Ses hommes, mêmes les plus expérimentés, arborent des mines au mieux préoccupées, au pire franchement alarmées. Pour ma part, je l’avoue sans honte, je suis terrifié et me cramponne à m’en casser les doigts au premier cordage qui m’est tombé sous la main. Esteban me fait de grands signes pour m’intimer de me mettre à l’abri, avant de se tourner vers le timonier. L’homme a l’air résolu et aussi calme qu’il est possible de l’être dans une telle situation. Esteban lui tape l’épaule avant qu’ils se séparent, chacun se ruant là où sa présence est nécessaire, et ce geste de confiance me donne quelque espoir. Le timonier est un vieux briscard, il va nous tirer de ce péril.
Je m’efforce de regagner ma cabine mais le tangage est tel que je heurte de plein fouet le bastingage, contre lequel je m’écroule, immobilisé par un nouveau haut-le-cœur. Lorsque je relève enfin la tête, je ne peux détacher les yeux des vagues colossales couronnées d’écume qui surplombent le navire.
L’une d’elles balaie soudain le pont, m’entrainant avec elle, le soufflé coupé et balloté comme un vulgaire galet. Par miracle, je parviens à me raccrocher au grand mât. Crachant et trempé, je plisse les yeux dans l’obscurité qui nous est tombée dessus il y a quelques minutes, quand les lourds nuages noirs ont avalé le soleil d’un coup. A la lumière d’un éclair, je tente de voir si quelqu’un manque à l’appel, espérant que personne ne soit passé par-dessus bord. J’essaie de repérer Esteban, mais tout n’est que chaos et cris et courses en tous sens.
Je vais mourir ici. J’aurais pu être plus prudent et rester à quai. Mais je ne parviens pas vraiment à regretter ma décision. Au moins me serai-je senti un peu vivant avant de trépasser. Moi qui ne suis pas particulièrement religieux, je me surprends à recommander mon âme à Dieu. C’est tout ce que je puis faire.
Dans mon effroi, je ne comprends pas tout de suite ce que mes oreilles perçoivent. Je me figure qu’il s’agit de quelque musique céleste répondant à mes prières et que ma dernière heure est arrivée. Jusqu’à ce que je reconnaisse la mélodie. C’est moi qui l’ai composée.
Comment ? Comment est-ce possible ? Ai-je perdu l’esprit ? D’où vient cette musique ? Et comment peut-elle dominer les mugissements de la tempête ?
Un autre éclair déchire le ciel et je me fige, comme hypnotisé. J’ai eu le temps d’apercevoir la silhouette d’un navire, fendant les flots déchainés dans notre direction. C’est lui. Ce ne peut être que lui. Le Musicien fantôme.
A cet instant, un craquement assourdissant et funeste m’emplit d’une terreur sans nom. A une vitesse affolante, l’Icare commence à couler.
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lapaduza · 3 months
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TheFrenchBat se glisse dans la lanterne de Gemini pour accompagner P, une marionnette très spéciale qui se réveille dans la magnifique ville de Krat après qu'un terrible cataclysme se soit apparemment déchainé sur place ! Les cadavres s'empilent, il fait nuit noire et il pleut... En avant !
Link : https://youtu.be/wEgkkS5Gicw
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amaelya · 2 years
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SOLUTION DIALOGUE LYSANDRE EPISODE 5
Coucou ! Voici la solution des dialogues ! Vous avez aussi la version anglaise ❤️
2 illustrations possibles : une avec Lysandre et une avec Castiel et Lysbaby (NSFW)
1° Castiel : C’est pas croyable. On te changera jamais, hein…
A. Oui, un jour, il oubliera sa tête ! 
B. C’est pas faute d’avoir essayé…
C. Pourquoi on voudrait le changer ? Il est parfait ! (+5 avec Lysandre)
2° Castiel : Du coup, je t’ai même pas fait la bise ! 
A. T’inquiète, c’est pas la peine. (-5)
B. Et ben, qu’est ce que t’attends alors ?! (+0)
C. Comment ça ? J’ai pas le droit à un câlin, moi aussi ? (+5)
3° Castiel : Même si dans ton cas, Sucrette, t’as pas vraiment le choix de refuser je crois…
A. C’est pas comme si je pouvais te mettre dehors maintenant que t’es là… (-5)
B. T’inquiète pas, je n’aurai pas refusé même si j’avais eu le choix (+0)
C. Tu plaisantes ! Tu peux rester autant de temps que tu veux. (+5)
4° Sucrette : (Je n’avais pas beaucoup travaillé… J’étais occupée à le regarder en rêvassant…)
A. (Une pensée en entrainant une autre, mon regard a glissé vers Lysandre) (POSSIBLE ILLUSTRATION AVEC LYSANDRE)
B. (Je me demande comment Castiel s’en sort…)
C. (Mais cette fois, ils sont deux… Deux fois plus de raisons de laisser mon regard s’égarer (+5 avec Castiel) (POSSIBLE ILLUSTRATION AVEC LYSANDRE ET CASTIEL)
5° Castiel : Si jamais ça redémarre pas avec Crowstorm…
A. Je suis sure que Lysandre serait ravie de t’avoir à la ferme ! Il a des plans pour l’avenir… (+0)
B. Tu veux en reparler ? (+5 avec Castiel) 
C. Ce serait cool que ça reparte pas ! (-5)
6° Castiel : Pour voir, si ça te plait, si ça te tente qu’on refasse des choses ensemble…
A. Ça ne t’engage à rien, Lysandre : ça peut être marrant d’essayer… (+5 avec Castiel et Lysandre)
B. Je pourrais le faire, moi ! 
C. Tu ne crois pas que ça serait plus simple de trouver quelqu’un qui est déjà motivé ? 
7° Castiel : Donc c’est l’occasion idéale de remonter sur scène tous les deux ! 
A.  T’aurais peut-être du commencer par là…? (+0)
B. C’est vrai que c’est l’occasion idéale… (+5 avec Castiel) 
C. Mais t’as un peu essayé de l’arnaquer en le prenant par les sentiments, là ? (-5)
Avant d’aller au Salon pour aider Lysandre et Castiel à préparer une chanson pour le concert, allez dans les Prés ! Tata vous donnera un mignon homme en paille ! 🍁
8° Castiel : C’est un peu…bizarre ? De mettre le nom du groupe dans une chanson ?
A. Je trouve pas. Au moins, c’est cohérent (+5 avec Lysandre)
B. Personnellement, je trouve ça un peu bizarre aussi, oui. (-5 avec Lysandre)
C. Ça s’est déjà vu…Pas souvent, mais ça s’est vu (-5 avec Castel) 
9° Sucrette : Attends, j’ai peut être quelque chose…
A. I hope Zack dies…So does Leo (j’ai tellement rigolé à celle à mddr SAVAGE)
B. I broke my ties…From a storm of crown
C. I heard the lies…But I kept my oath (+5 avec Castiel et Lysandre) 
10° Sucrette : (L’ambiance est complètement folle, la foule est déchainée) 
A. (Je ne peut pas détacher mon regard de Castiel.)
B. (Mon regard va sans cesse de Lysandre à Castiel) (ILLUSTRATION POSSIBLE AVEC CASTIEL ET LYSANDRE)
C. (Je suis incapable de lâcher Lysandre du regard) (ILLUSTRATION POSSIBLE AVEC LYSANDRE)
11° Castiel : Au final, j’en suis très content, quand je vous vois tous les deux. 
A. (Il y a eu un silence. Je devrais peut-être sortir) (ILLU CASTIEL/LYSANDRE)
B. (Bon, j’en ai assez entendu.) (ILLU LYSANDRE)
11.1° Si réponse A à la 11° : 
A. (Même s’il est hors de question qu’il se passe quoi que ce soit avec Castiel, évidemment) 
B. (Je n’aurais rien contre un rapprochement contre un…rapprochement. Si ça tente Lysandre…) (ILLU CASTIEL/LYSANDRE) 
11.2° Si B à la 11.1°  
A. (L’impression que c’est le moment idéal pour tenter quelque chose de nouveau ;  une nouvelle expérience) (ILLU CASTIEL/LYSANDRE)
B. (Mais ça me met un peu mal à l’aise aussi, il vaut mieux que l’on aille vite dormir) 
11.3.
A. (Et l’idée ne lui plait, pas, mieux vaut faire machine arrière)
B. (Et l’idée lui plait, et ça m’excite encore plus) (ILLU NSFW)
Lysandre : Je m’en souviens comme si c’était hier… Tu te souviens de ce que je t’ai dit, à ce moment là ? 
A. Tu m’avais dit quelque chose de particulièrement mémorable ? 
B. Tu m’as dit que tu étais ravi de me rencontrer (ILLUSTRATION LYSANDRE)
C. Tu m’as dit que tu n’étais pas un fantôme.
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abdou-lorenzo · 2 years
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Câlins en devenir, plaisirs des cœurs, des corps
L’excitation nous gagne en ce doux corps à corps
Nous ne maîtrisons plus nos instincts les plus fous
Et c’est très bien ainsi ce mélange des genres
Où l’envie, le plaisir, le désir font monter
En nous cette sève de la jouissance.
Seuls au monde, profitons de ces instants divins
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Où nos attraits nous guident en laissant présager
Des instants bien plus fous, bien plus doux et secrets
Où nous pourrons enfin nous livrer l’un à l’autre
En partageant tous deux nos plaisirs sans compter
Que nos corps règnent en Maîtres sur nos sens déchainés. .....💞🥀✨
(P.P.)
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adri-atique · 6 months
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LES CONTES INTERDITS - Auteurs variés
Les contes urbains sont de retour! Un collectif d’auteur québécois mené par Simon Rousseau à commencer, en 2017, à récrire les contes et légendes de notre enfance en contes trash, violents et purement urbains. En plus, ils sont toujours situés dans notre belle province adorée!
J’ai commencé l’expérience durant la pandémie de 2020. J’ai toujours détesté l’incertitude, et le mois de mars 2020 nous en a donné à ras bord. J’avais besoin d’évacuer ces frustrations, mais je ne pouvais pas sortir! La musique de gros déchainés ne faisait plus l’affaire non plus. Je me suis donc retourné vers la bonne vielle littérature. À l’époque je n’avais de la collection que Peter Pan, écrit par Simon Rousseau lui-même. Les romans policiers n’étanchant pas ma soif de violence, je décidai de tenter ma chance avec ce conte non recommandé au moins de 18 ans. J’avais 16 ans et rien ne pouvait m’arrêter.
À noter que j’ai lui ce livre en deux heures top chrono. Je suis immédiatement tombé en amour avec le concept. J’ai immédiatement supplié ma mère de venir avec moi au magasin de livre ouvert le plus proche pour en acheter d’autres. Utile de mentionner que ma mère m’a initiée à la lecture d’horreur dès le jeune âge de 13 ans grâce à Ça de Stephen King, donc elle n’était aucunement surprise de me voir émerger du sous-sol avec un bouquin sanglant, même qu’elle l’a ajouté à sa PAL. Bref, elle accepta de venir avec moi au magasin pour m’acheter d’autres livres. « Au moins c’est pas de la drogue » qu’elle ne cessait de se répéter à chaque livre que je lui rajoutais dans les bras.
Je suis revenue chez moi heureuse de mes achats. Tout les contes écrit à l'époque ajoutés à ma bibliothèque, je me replongeai dans ces univers glauques et écœurants. Ma mère, pauvre elle, tentait en vain de me faire monter pour manger. J’étais en transe. Jamais je n’avais lu autant de violence non censurée de cette manière. J’en voulais plus, plus, toujours plus.
Ironiquement, je n’ai jamais fait de plus beau rêve depuis mon binge des contes interdits.
Les contes interdits ont accompagné mon entrée au cégep à l’hiver 2021. Je lisais Raiponce en attendant mon cours de formation auditive. Ce fut le premier livre que j’ai du physiquement fermer pour cause d’haut le cœur.
Les contes interdits furent également les livres qui m’ont initiée aux auteurs québécois. J’en lisais déjà quelques-uns (veut, veut pas, on est fort sur le genre policier au Québec), mais je ne m’étais jamais arrêter plus loin que cela. Depuis, j’ai fait les salons du livres, les caravanes littéraires et autres événements littéraires pour rencontrer ces auteurs de chez moi. Bien franchement, que du bon monde.
Depuis ma découverte, je lis ces contes urbains pour me défouler. Aussitôt que je ressens de fortes émotions, je sais que je peux compter sur ces livres pour m’aider à les traiter.
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mytherbalegwladys · 1 year
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Phase 2 (2005-2007): Poursuivie par des démons à plumes nommés les stryges, Stacy et Fify se réfugient au Studio Kong, où elle rencontre les Gorillaz. Elle s'entraîne en suivant le rythme, en chantant et en jouant du piano, de la guitare et avec le matériel DJ. En retrouvant sa passion pour la musique, elle décide d'utiliser son surnom "Chel" comme nom et rejoint le groupe en devenant une figure fraternelle pour Noodle (qui l'appelle "Onēsan" en japonais ou "Big Sister" en anglais). 2-D tombe amoureux de Chel, car elle l'inspire. Et du coup, ils passent du temps ensemble et en musique. Elle apprend plus tard qu'elle est la dernière héritière du pouvoir de Phenex, le démon-phénix. Elle comprend pourquoi les stryges la pourchassent depuis toujours. Après avoir déchainé son côté démonique sur les stryges et avoir commis de gros dégâts, Chel en compagnie de Fify rejoint leur amie, Noodle sur une île au moulin flottante pour trouver sa sérénité. Mais lors de l'attaque des hélicoptères, elle perd Noodle dans le crash de l'île flottante, après avoir atterrit avec Fify. Sauf qu'elle ignore que son amie japonaise a survécu.
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mrlafont · 1 year
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Gosse, j’étais fou de gaieté, fou de joie, plein à ras bord de conneries, survolté, déchainé, chaque matin était événement plein de promesses que le jour tenait. Je sentais, véritablement, que la vie avait une importance, une valeur réelle, objective. J’ai grandi dans un environnement familial où jamais je ne me suis senti brimé, contrôlé, surveillé, où l’on attendait de moi que je devienne comme ceci ou comme cela. J’étais un cheval sauvage livré à la pure folie d’une jeunesse libre. On m’a foutu la paix, depuis toujours. On ne m’a jamais cassé les couilles. Mon père était là comme un garde-fou, discret, pourtant bien présent, justement sévère quand il fallait l’être. Sinon, libre, libre totalement. Je n’étais pas aussi timide, réservé, fatigué, résigné qu’aujourd’hui. Au collège, j’ai eu beaucoup de petites amies, j’attirais beaucoup de filles, j’avais quelque chose que j’ai perdu aujourd’hui, je séduisais car j’étais bête et sans honte, j’étais éblouissant de vie, d’énergie, et ça plaisait beaucoup forcément. Quand je tombais amoureux, c’était, littéralement, passionnément, je me souviens que je ressentais à l’intérieur de moi, de mon corps, des sensations absolument merveilleuses. C’était du délire, car j’étais un enfant, d’une vitalité magnifique... Que s’est-il passé ensuite ? Pourquoi suis-je devenu si froid ? J’ai du vider toute la réserve de bonheur que la vie accorde à un homme, n’est-ce pas ? J’ai vraiment été fou de vie ! hahaha ! Quel plaisir tout de même ! Moi, je peux le dire, que mon corps a hurlé de vie, de religieuse insolence, de liberté... Tous les seins tripotés, léchés, les mains dans les culottes, tout jeune que j’étais ! hahaha ! Mon dieu que c’était beau. Mon dieu que c’était bon. Nous sommes devenus tous chiants, tous compliqués... Il y a une telle sincérité dans la société des enfants... “La société des enfants”, qu’est-ce que ça sonne bien ! C’est probablement la seule société qui vaille, aussi impitoyable soit-elle. Mon incapacité à devenir adulte est peut-être mon refus éclairé de quitter la pureté et la spontanéité de l’enfance. C’est pourquoi j’aime tant la trilogie de la vie de Pasolini, car j’y retrouve tous les délires amoureux de mon enfance.
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Oui, mon capitaine (jour 18)
Le choc eut lieu à 23h30. Oh oui, ça allait faire la une des journaux. Ça impressionnerait le monde entier. Mais pas parce que nous arriverions en avance. Parce que nous marquerions l'Histoire avec une tragédie qui aurait largement pu être évitée. Pour de multiples raisons. Il géra la situation sans la gérer. Déléguant à Thomas Andrews la lourde tâche de décider que faire dès à présent. Il n'y avait pas assez de canots à bord. Les passagers n'étaient pas encore au courant. Bien-sûr, il y avait eu l'impact. Ceux présents sur le pont avaient tout vu. Moi, j'étais juste là. Je n'avais aucun réel pouvoir sur la suite des événements. Je devais me contenter d'attendre les ordres. La première classe d'abord. Evidemment, ceux qui avaient payé plus cher leurs billets et étaient les mieux lotis devaient être privilégiés. Une vie contre une autre. Qu'est-ce-que la valeur d'un homme riche face à celle d'un homme pauvre ? Le navire n'avait pas fait de choix, lui, en percutant l'icerberg. Le capitaine, mon commandant, n'avait pas décidé de tuer ou de sauver des vies en voulant que le Titanic arrive plus tôt à Southampton. Pourtant, une nuit cauchemardesque et fatale s'annonçait à présent. Presque trois heures passent. Nous avons tiré la dernière fusée de détresse. Tous les passagers probablement, sont sur le pont et sont déchainés. Tout est bon pour avoir sa place dans l'un des canots de sauvetage. Mais nous n'en avons pas assez. Aucun n'est réellement rempli. Qui peut bien savoir s'ils ne couleront pas une fois pleins ? Mais nous répondons aux ordres. Oui... mais pas que. Face à la mort, nous devons gérer la situation et continuer de différencier ceux qui montent à bord de leur grosse bouée de sauvetage et sauvent leur peau de ceux qui meurent. "Je libère l'équipage", lâche Edward Smith. "Désormais, c'est chacun pour soi. Moi, je vais sombrer avec lui." "Oui, mon capitaine." Face à la mort, nous portons toujours l'uniforme qui nous différencie du reste de l'équipage. Nous avons désormais le choix de sauver nos vies ou de remplir les canots restants. Mais vous savez, face à la mort, nous réagissons tous différemment. L'eau et l'air sont glacés. Certains sautent dans l'eau et meurent sous le coup. D'autres se battent et poussent les femmes et les enfants pour s'enfuir. Il n'y a plus de première, de deuxième ou de troisième classe. Au fond, nous ne sommes que des hommes. Et qu'est-ce-que des hommes sur un paquebot faisant naufrage au coeur de l'océan.
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styleofdiamandis · 2 years
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      PHOTOSHOOT: MARINA FOR PAPER MAGAZINE
Marina graced the April 2019 cover of PAPER Magazine. The superstar looked gracious modeling the most colorful Spring/Summer 2019 fashion while talking about her then-newest album “Love + Fear”.
Photography by Eric T. White, styling by Sandy Armeni with assistance by Marianne Leslie, glam by Mariko Arai, hair by Takashi Ashizawa using Oribe, and nails by Rachel Shim using Chanel Beauty Le Vernis.
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We’re starting off strong with a total look from the Marc Jacobs Spring/Summer 2019 collections (one of my faaaaves!). This ensemble included an orange & pink ostrich feather-embroidered cropped top with the matching voluminious feather print silk trousers.
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Our girl crowned the first look with these gold & silver-tone linked chain earrings from French jeweler Annelise Michelson.
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Next, an all-red ensemble is presented to us which hails from none other than the maison of Valentino. This Pre-Fall 2019 romantic number is a pleated pussy-bow cape-effect red silk-georgette mini dress with concealed mother-of-pearl buttons.
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Marina's jewelry included the Jil silver loop earrings by Luz Ortiz, a ring by Annika Inez and a pinky ring by Jennifer Fisher!
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The insane heels are courtesy of young emerging designer Ganor Dominic. These are the Apollo red mirror pumps.
Crafted by artisans in Italy within a factory owned by a family who have been creating shoes for two generations since 1968 – Ganor Dominic bespoke designs are all handmade with locally sourced materials and components.
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One of the most interesting looks have to be this white circle-shaped wrap front jacket and suede leather pants which were seen on Balmain's Egyptian-themed Spring/Summer 2019 presentation!
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She completed the look with this Lady Grey Jewelry warped silver metal earring...
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...and this silver metal corset belt from the aforementioned Balmain collection.
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Iconic Italian label Versace set a colorful statement with their Spring/Summer 2019 collection which set free this gooorgeous neon-green jersey midi dress featuring a feminine draped neckline, long sleeves and a risqué slit!
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M rocks two different sets of earrings for this look. The first ones are the Hannah Jewett Plus One earrings featuring totemic figurations suspended on gold hoops with little lucite discs.
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Her other ones are Givenchy Pre-Fall 2019 mismatched mixed media earrings featuring pearls, chains, rhinestones and coins!
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Her neon-green patent leather block heel sandals with crystal-embellished buckle are from the same Versace collection as above.
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Our final look comes from Louis Vuitton's Spring/Summer 2019 runway and is this fantasic silver sequined laser-cut structured mini dress with strong shoulders and mock neck!
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Lastly, she rocked a pair of Déchainée Mono broken silver chain link earrings by Annelise Michelson.
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havaforever · 2 years
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GERARD GAROUSTE - Centre Pompidou
article en cours
Complète et dense, riche de toiles grandioses et extrêmement variées, la rétrospective dédiée au peintre Gérard Garouste au Centre Pompidou à Paris séduit par le caractère fantastique de cette peinture néobaroque. 
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On est particulièrement impressionnés par les deux premiers tiers du parcours qui montrent les différentes facettes de l’artiste pendant les années 1980-1990. Cette période moins connue, nous plonge dans les racines artistiques du peintre, sa puissance d’expression, sa liberté exposée comme à l’état brut. 
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Garouste est déjà énigmatique, mystérieux, profondément sensible; moins coloré, moins narratif, mais d’une présence déjà radicalement singulière. Il interpelle, choque et subjugue, sans jamais révéler, expliquer, ni exposer. La très grande qualité vibratoire de sa touche nous happe et nous envoute. 
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Des récits mythologiques de chasseurs et d’indiens, sont enrichis par des renvois d’un tableau sur l’autre; mais les rebus sont bien davantage livrés avec des brouilleurs qu’avec les moindres décodeurs. 
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A partir des années 80, Garouste explore la Comédie Divine de Dante, il peint de façon plus abstraite une nature déchainée, des fleuves de sang, une terre brulée, des ravins vertigineux. Les motifs ont tendance à se diluer dans les paysages dont les traits grossiers sont brossés à la hâte. 
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Depuis la fin des années 1990, Gérard Garouste développe des séries d’œuvres autour des textes hébreux. On le retrouve fréquemment représenté mais il peint également de nombreux portraits d’amis. Il évoque également un épisode autobiographique pendant lequel, suite à une crise incontrôlable, il interrompt un mariage dans la cathédrale, brise des cierges et se retrouve interné avec une camisole de force. 
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L’exposition se termine sur un triptyque, Le Banquet, où l’on retrouve aussi bien Kafka et Walter Benjamin que la psychanalyste Eliane Amado Levy-Valensi ou l’historien de la Kabbale Gershom Scholem. Il n’est pas sans rappeler les dernières oeuvres de Martial Raysse.
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ao3feed-brucewayne · 9 days
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Sauver le futur
read it on AO3 at https://ift.tt/kEXprt1 by Talulla Le multiverse avait été sauvé. Après la Crise, les superhéros pensaient que le monde avait été sauvé. Le sacrifice d'Oliver Queen avait permis de donner vie à Earth Prime. C'était en tout cas ce que tous pensait. Et quand Dax Novu, le Monitor vampire avait déchainé ses forces sur l'univers, la Terre n'avait pas résisté longtemps. L'âge d'or des héros était passé depuis longtemps et leur enfants qui avaient prit leur relai ne purent pas faire grand chose pour l'empêcher. Nora et Mia, les filles de Barry et Oliver tentaient bien de combattre mais en vain. Alors, quand l'une des dernières héroïne tombe au combat, Mia et Barry mettent en place un plan fou. Envoyer Mia dans le passé pour aider Oliver Queen a devenir celui qu'il doit être et réunir autour de lui le plus de héro possible. Mais évidemment les choses ne vont pas se passer comme prévu. Envoyé trop tôt dans le passé, Mia va devoir naviguer dans cette nouvelle timeline tout en essayant de préserver au plus les évènements jusqu'à l'arrivée du Green Arrow. Et pour ce faire, elle va pouvoir compter sur beaucoup de petits oiseaux. Words: 6249, Chapters: 1/?, Language: Français Fandoms: Arrow (TV 2012), The Flash (TV 2014), DC's Legends of Tomorrow (TV), Batwoman (TV 2019), Titans (TV 2018) Rating: Not Rated Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings, Graphic Depictions Of Violence, Major Character Death Categories: F/M Characters: Oliver Queen, Mia Smoak, Yao Fei Gulong, Slade Wilson, Barry Allen, Nora West-Allen, Dick Grayson, Garth (DCU), Hank Hall, Dawn Granger, John Diggle (DCU), Laurel Lance, Tommy Merlyn, Malcolm Merlyn, Bruce Wayne, Donna Troy, Sara Lance, Helena Bertinelli, Roy Harper, Thea Queen, Moira Queen, Oliver Queen is The Spector, Talia al Ghul Relationships: Other Relationship Tags to Be Added Additional Tags: Post-Crisis on Infinite Earths Crossover Event (CW DC TV Universe), Time Travel Fix-It, Post Green Arrow and the Canaries, All Arrowverse is canon, Titans Show is on earth 1, Arrow (TV 2012) Season 1, Description de torture physique, Arrow kill people, Mia Queen is Blackstar not Green Arrow, Oliver Queen is Green Arrow, Flashbacks, Ruthless Mia Queen, Ruthless Oliver Queen, The list matters read it on AO3 at https://ift.tt/kEXprt1
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lapaduza · 1 year
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Le temps est venu pour une frappe décisive.... Ou en tout cas, un plan qui semble mal parti pour la révolution. Mais rien n'est pire que de tomber sur un beyblade déchainé ! GAREN ON A PAS LE TEMPS !!! DEGAGE !!!!
VOD link : https://www.youtube.com/watch?v=RPjhbyIFAys
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olympic-paris · 2 months
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saga: SOUMISSION & DOMINATION 228
Vacances 2012-4, Retour, reprise du taf
Nous n'organiserons qu'une autre fois une telle touze. La présence de nos deux jeunes invités et les passages réguliers de Pablo et son copain nous suffisant, sans oublier notre cuisinier.
Nous achevons nos bronzages à la graisse à traire, autant dire que nous sommes maintenant tous bronzés à nos maximums. Du coup, nos fesses n'en paraissent que lus blanches, même celles d'Ernesto qui sont naturellement plus mates.
Mais nous devons rentrer ! Marc doit reprendre son taf, certains de ses clients l'ayant même appelé sur son portable privé. Moi, je dois faire mon stage. Je n'ai pas eu de mal à trouver une boite. C'est à qui m'aurait parmi tous les boss du conseil d'administration de la boite d'Emma.
Je vais faire un stage dans le service marketing d'une grosse société de production d'alcool.
Pablo nous confie Ernesto pour le mois d'aout. J'en connais de mes clients qui vont apprécier sa venue en France. Et quand j'ai prévenu Emma de notre retour avec lui, j'ai senti que cela lui faisait plaisir. Faut dire que l'amour que nous lui avons fais tous les trois ensemble l'avait plus que comblée.
Notre quatuor ne passe pas inaperçu à l'embarquement en première classe. Les deux stewards nous sourient avec un air entendu et Marc qui arrive derrière nous reçois leurs félicitations. Nous passons le vol entouré de leur sollicitude. Le paquet d'Ernesto, moulé par son slim, provoque limite une rivalité entre les stewards et après une explication entre eux, nous voyons le plus jeunes demander à Ernesto de le suivre. Il s'exécute, nous quittant avec un clin d'oeil entendu.
Je le suis des yeux, il se fait pousser dans les toilettes et je vois la porte se fermer sur l'uniforme du steward en manque.
Ernesto de retour 1/4 d'heure plus tard nous dira qu'il s'était carrément fait violer. Le mec l'avait pompé pour le faire durcir (ce qui avait été quasi instantané) puis s'était assis sur sa bite. Ce qui avait le plus étonné Ernesto c'avait été la facilité avec laquelle il s'était enfoncé. Le mec lui a expliqué qu'il s'était fait enfilé par son collègue dans les toilettes de l'aéroport juste avant l'embarquement. En attendant il s'était déchainé sur sa bite comme un mec en manque depuis 8 jours. Ernesto a trouvé amusant de se faire utiliser comme un gode.
Nous avons eu droit peu de temps après, chacun, à une coupe de champagne offert par la compagnie bien sur !
A l'arrivée, Samir nous attendait, nous nous sommes entassés dans la 300C et nous avons tous été ravis d'arriver à la maison. Là, Ammed et Jimmy avaient préparé un diner. Pendant que nous mangions, il a fallu tout raconter de notre séjour. Jimmy a littéralement bavé à la description du mastar qui m'avait enculé.
Le lendemain s'est passé à organiser notre mois d'Aout. Dès 14h Marc nous a quitté pour prendre l'avion et du coup j'ai appelé Emma pour lui donner rendez vous chez moi au blockhaus.
Le temps d'y aller, nous retrouvons Emma garée devant la maison. Elle entre sa voiture derrière nous. Dès les portières claquées, nous l'embrassons tous les trois ensemble, mais c'est moi qui a priorité pour lui rouler un patin. Comme il fait beau, nous montons direct sur la terrasse. Dans le monte charge nous avons commencé à nous déshabiller et c'est à poil que nous avons pris l'escalier final. Juste le temps de prendre avec nous quelques matelas de bronzage et d'ouvrir la piscine et nous nous sommes jetés sur Emma.
Un mois éloigné d'elle m'a fait comprendre combien j'y suis attaché. A la façon dont elle me serre dans ses bras, j'ai l'impression que c'est réciproque. D'ailleurs PH et Ernesto ne s'y trompe pas qui nous laissent seuls quelques instants.
Ils nous rejoignent rapidement et c'est tous les quatre que nous tombons sur les matelas emmêlés.
Pour nous faire pardonner notre absence, nous l'attaquons de tous les cotés. Nous avons commencé avec moi sur sa bouche et mes deux comparses à stimuler ses tétons, puis rapidement ils sont descendus s'occuper de ses autres orifices. Du coin de l'oeil je remarque que c'est PH qui lui mange le clito alors qu'Ernesto s'est mis sur le dos pour lui lécher la rondelle. Nous sommes récompensés rapidement par un premier orgasme. Je descends sur sa poitrine alors que mes deux amis continuent leurs tafs. Ce n'est qu'après lui avoir tiré un deuxième orgasme que nous sommes passés aux choses sérieuses, les pénétrations. Alors que nous étions tous les trois collés, debout devant elle, elle nous a gratifiés de pipes plus que correct de la part d'une meuf. Le premier je me suis couché afin qu'elle me chevauche sans cesser ses pipes. Alors que mon gland s'enfonce dans la moiteur de son vagin, je sens ses muscles se contracter. C'est bon ! Avant d'être totalement entré, je sens mon gland buter contre l'entrée de son utérus. Je dois pousser encore pour m'enfoncer entièrement. Je la lime quelques instants alors que PH et Ernesto se sont partagés ses tétons. A la faveur d'un retrait complet, je lui bascule le bassin et vient la sodomiser. Son anneau me serre plus et c'est encore meilleur !
Emma prend son pied aussi à se faire enculer. Comme un mec elle a appris à prendre du plaisir à se faire sodomiser. Surtout avec deux bouches pour s'occuper du reste.
Je ne reste pas longtemps le seul à la pénétrer. Quelques bousculades plus tard et je sens la queue de PH se frotter contre la mienne à deux parois près. En effet moi dans son anus et lui dans son vagin, nous stimulions ses terminaisons nerveuses basses alors qu'Ernesto s'occupe de la partie haute (bouche, cou, seins).
Avec cette configuration, nous lui provoquons sont troisième orgasme. Celui là est assez ravageur et je dois la serrer dans mes bras vu les convulsions qui la secouent.
PH cède sa place à Ernesto. Waouh ! Sa grosse bite fait merveille. Si je sens bien sa progression, que dire de son effet sur Emma. Alors qu'elle n'était pas encore descendue de l'orbite sur laquelle nous l"avions envoyé, nous la faisons monter encore plus haut.
Quel plaisir que de sentir la compression de son gland contre ma queue. Du coup, je ne bouge plus, enfoncé au plus profond de l'anus d'Emma, je me fais masser par les va et vient du gland d'Ernesto. Du coup c'est moi qui explose. Je ne peux plus me retenir et lui envoi la sauce. Je me retire et me fais remplacer par PH. Alors qu'ils s'essayent à la faire exploser une dernière fois, je prends la bouche d'Emma et me fait rouler un patin d'enfer. Elle manque de me couper la langue quand tous les trois jouissent en même temps !
Nous nous désassemblons mais restons couchés, anéantis par le plaisir que nous venons de prendre.
Il nous faudra 1/2 heure avant que le premier se mette à bouger. Douches puis glissades dans la piscine. L'eau chaude délasse nos muscles encore tétanisés par nos orgasmes. Emma remercie chacun par une pelle accompagnée d'une caresse sur notre sexe. PH et moi faisons part de notre plaisir à s'être senti compressé par la bite d'Ernesto. Emma de son coté nous a dis n'avoir jamais pris un tel plaisir que celui que nous venions de lui donner. Après nous être bien délassé dans l'eau, nous nous sommes séchés au soleil de ce début d'Aout.
Avant de partir, elle nous fait promettre de remettre ça rapidement. Nous la serrons dans nos bras et Ernesto lui précise qu'il est là tout le mois.
Bien qu'en stage, je suis libre de mes horaires (faut bien que ça serve de connaitre le grand patron !). C'est sûr que je me libérerai à chaque fois que nous aurons envie de baiser tous les 4. Limite si Emma n'aurait pas proposé d'héberger Ernesto !
Je lui fais remarquer que ce dernier avait prévu de se faire comme l'an passé un petit pécule et qu'il ne sera pas libre tout le temps.
Dans la semaine qui a suivi, j'ai appelé mes clients qui avaient déjà bénéficié des prestations d'Ernesto. Tous ont été ravis de le savoir revenu en France et partant pour le recevoir de nouveau. De plus cela occupera ses journées, PH, de son coté en profitera pour aller voir un peu plus ses parents qu'il ne voit plus souvent depuis que nous nous sommes mis ensemble.
Le stage est une formalité. Et je le fais presqu'à mi temps. Cela me permet de reprendre en main ma propre entreprise et de relancer doucement les affaires, en aout il y a encore beaucoup de vacanciers.
Je reçois les rapports de mes Escort partis en " vacances " avec mes clients. Ils ont tous été appréciés.
André me dit que leur séjour en Grèce avec Maxou s'était bien passé qu'il avait été parfait et qu'il s'était bien entendu avec Ric. Il avait fait attention à leurs fréquentations sinon ses deux jeunes se serait fait enculer nuit et jour pendant tout le séjour. Il n'a pas compté le nombre de fois où des mecs de toutes nationalités sont venus lui demander s'ils pouvaient " profiter " de ses deux " fils ".
André m'a dit qu'il les avait autorisés deux fois à sortir, mais avec deux jeunes frères suédois sur lesquels Ric et Maxou avaient craqué. Par sécurité, il avait même abrité leurs ébats dans leur location.
Je l'ai remercié. Il m'a dit avoir beaucoup parlé avec Maxou. Ce dernier retrouvant auprès de lui une image paternelle, s'est confié. De son coté, André a été dans mon sens concernant la reprise de ses études.
Quand je revois Maxou, c'est un jeune homme plus posé. Il me saute au cou pour me remercier pour ses vacances. Je lui demande s'il n'en veut pas à André d'avoir limité ses rencontres. Il me dit que non, qu'avec Ric et son père, de toute façon, il avait eu sa dose de sexe et que leur copains suédois avaient été un bon divertissement. Avant même que j'en parle, il me dit avoir bien pris conscience qu'il devait faire des études supérieures que son taf d'Escort n'est pas une situation d'avenir à long terme. Je le serre dans mes bras, content de son changement de mentalité.
Il ajoute qu'en attendant la rentrée, il était à ma disposition pour mes clients qui seraient rentrée de vacances eux aussi ; il préférait cela à rester simplement chez André tout le mois.
Un coup de fil a réglé la chose et pour faire simple, j'ai décidé de l'héberger chez nous, Jimmy ou Samir se chargeront de ses déplacements.
Bien que nous l'aimions comme un petit frère, pour garder de la distance, je le loge dans la grande chambre de Jimmy. Je leur conseil quand même de s'économiser pour être en forme pour nos clients. Je connais mon Jimmy, s'ils baisent toutes les nuits, ils vont se payer des cernes pas possibles !
Pour l'année étudiante à venir, il ne devrait pas trop perdre coté revenus. Comme il ne disposera pas d'autant de temps, ceux de mes clients qui le voudront devront aligner les billets.
Victor est revenu d'Odessa. Il est tout bronzé et ravi de son séjour là bas. Son client a été très raisonnable sur le coté sexe et à profité de ses connaissances du russe pour faire des excursions vers Moscou et même Saint Petersbourg où ils ont visités le musée de l'Hermitage. Il s'est même fait plaisir avec la rencontre d'un jeune russe venu comme lui en vacances dans leur hôtel. Ils ont échangé leurs coordonnées et depuis se contactent fréquemment par le net. Il m'a dit qu'il me le présentera quand il viendra en France, ils ont programmé sont voyage aux vacances de Noël. Il me précise que son père est dans le renseignement.
Jona est encore moniteur sportif dans son camping 5* pour le mois d'Aout. Ses vacances avec mon client se sont bien passées, musclées comme il aime aussi bien physiquement que sexuellement. Je l'avais orienté sur un passif limite maso sur qui il a pu passer son autorité. D'après ses nouvelles par téléphone, il n'est pas pour autant abstinent et passe peu de ses nuits dans sa chambre, ce qui arrange bien son collègue avec qui il la partage et qui peut ainsi baiser tranquille avec sa meuf, une fille de l'équipe sport. Il se fait draguer aussi bien par les femmes que certains mecs, il a même un jeune qu'il fait languir en ne l'autorisant qu'à le sucer. Il me dit garder son enculage pour son dernier jour au camping (un peu vicieux sur ce coup là !). En attendant il arrondi son salaire par des nuits torrides où il se fait plaisir à enculer les meufs qui insistent et les mecs qui lui plaisent. Il me dit qu'il y même eu certains qui ont eu droit à défoncer sa propre rondelle.
Simon, lui, nous est revenu tout bronzé de son mois sur les bords de la piscine de mon client. Il m'a dit n'avoir pas trop bossé coté sexe mais qu'il s'était fait payer une inscription à un club de gym local. Quand il passe au blockhaus, je vois qu'il s'est effectivement bien développé. Il baisse son short long pour que j'admire les marques de son maillot de bain. Il me dit qu'il a été très libre, traité plus comme un fils que comme un Escort. Durant le mois, il n'a été sollicité par mon client qu'une demi-douzaine de fois. Mais il ajoute qu'il s'est bien " amusé " avec des potes de beach-volley qu'il avait trouvé sur la plage proche de la villa.
Mes deux dernières recrues que j'ai convoquées  me montrent leur progrès. Je ne regrette pas de leur avoir payé un mois de salle de muscu. Ils ont bien joué le jeu et les progrès sont notables.
Ben est plus bronzé et selon mes prescriptions avec les marques du maillot. Clem qui partait avec un capital muscle plus développé s'est bien dessiné. Il me dit que ses potes de son club d'aviron lui ont même demandé ce qui lui arrivait car ses coups de pelle avaient bien pris en force. Quand il se met en slip, je ne peux que le féliciter. Je pense qu'il n'aura aucun mal à déplacer ses futurs patients les plus lourds vu sa prise de muscles !
JARDINIER
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claudinedaussyart · 2 months
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L'ORIGINE DU GRAND VOEU
Le grand vœu de la paix est né dans les entrailles d'une mer déchainée qui surgit d'une faille
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