#débat intérieur
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kilfeur · 6 months ago
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Bon je sais qu'il y a un débat sur la vérité profonde de Callum mais après la scène me fait penser à celle de Janai et après qu'elle ait lu l'histoire du roi. Janai se sentant trahi mais aussi en colère, Callum qui est déjà en manque de sommeil, réagit au quart de tour et déprime en pensant à ses ténèbres. Il va accomplir le rituel de purification, elle va chercher le livre pour comprendre l'histoire. Et tout deux comprenant enfin leur propre vérité à travers Rayla et Amaya mais aussi par l'amour de manière général. Ils puisent dans cet amour pour accomplir ce qu'ils veulent faire et retrouver une paix intérieure.
Well, I know there's a debate about Callum's deep truth, but the scene reminds me of Janai's after she's read the King's story. Janai feels betrayed but also angry, and Callum, who is already sleep-deprived, reacts quickly and gets depressed thinking about his darkness. He performs the purification ritual, while she seeks out the book to understand the story. And both finally understand their own truth through Rayla and Amaya, but also through love in general. They draw from this love to rebuild themselves.
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jeanchrisosme · 2 years ago
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Je ne crois pas au coup de foudre. Je crois en l'amour au premier débat, à la première dispute, à la première blague intérieure, au premier rire véritable après une vie de tristesse. Je crois en l'amour à la première conversation sincère, d'abord un silence complètement confortable et non gênant. Je crois en l'amour au premier soutien à travers les épreuves, la première douleur partagée et la première joie divisée. Je ne crois pas à tomber amoureux d'un visage. Je crois en tomber amoureux d'un esprit et d'une âme.
Maryame Sabry Zakhary
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solhrafn · 1 year ago
Note
Tu fais quoi dans la vie?
Je suis animateur socio-culturel / éducateur aux médias dans le secteur jeunesse. On traite de questions de société diverses; d'environnement, de ruralité, de justice sociale, d'accès à la culture et/aux savoirs, d'éducation à la vie affective et sexuelle, etc. Souvent vu ma casquette médiatique, j'aborde le traitement de ces sujets variés par le biais de l'éducation aux médias, mais pas toujours. Débat philo, ateliers plastiques, ateliers d'écriture ou de "bêtes" animations clé sur porte sont d'autres outils qui sont utilisés à ces fins.
Ca peut signifier par exemple, leur faire découvrir le monde du journalisme, leur apprendre la manipulation des outils et les accompagne dans des processus de réflexion, de documentation à l'endroit d'un sujet ou d'une interrogation tout en aiguisant leurs sens de l'observation et de l'analyse.
Parfois ça donne lieu à une petite vidéo sur youtube, parfois ça donne lieu à des reportages diffusés de manière régionale (festivals ciné) ou alors encore en expositions.
Je suis une petite main invisible qui permet de relayer le propos des jeunes de 12 à 26 ans dans l'espace public et parfois cette parole portée remue un peu le cocotier. Pas autant que je ne l'aimerais, mais ça arrive.
Sinon je suis photographe et vidéaste sur le côté mais plus pour longtemps, mon gouvernement a décidé de rendre le travail freelance complémentaire plus difficile. C'est pas grave. Je cours pas spécialement derrière les contrats. J'aime bien faire du portrait alors à mon avis je vais continuer d'en faire, à l'oeil, pour le plaisir.
Sinon dans ma vraie vie? Rien de spécial. J'essaie de survivre à mes conditions de vie. Elles ne sont pas mauvaises mais je n'ai pas de temps pour moi ou si peu. Les enfants en bas âge, ça bouffe tout. J'arrive à "lire" en conduisant ou en m'endormant grâce aux audiobooks et ça c'est une petite victoire. Sur les deux années qui viennent de s'écouler j'ai lu plus de livres que sur les 10 années qui les ont précédées. Petite victoire de canard.
Sur ce blog? Je suis le reflet de ce qui reste de mon adolescent intérieur. J'étais bien plus meurtri et émotionnel que ça quand j'avais 18 ans (j'en ai plus du double, j'ai 38 ans). J'aurais honte de lire certains vieux billets que j'ai écrits, sincèrement, mais peut-être devrais-je tout de même aller fouiller un peu pour pouvoir me rendre compte du chemin parcouru?
Là j'ai envie de rentrer chez moi, d'oublier les problèmes administratifs que je dois r��soudre et me perdre dans un jeu pour quelques heures. Ou alors de commencer à éditer un nouveau livre photos. Eh. Je verrai.
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marie-swriting · 2 years ago
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Les Souvenirs De Notre Relation - Shawn Mendes
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Résumé: Tu commences enfin à te remettre de ta relation avec Shawn, mais il décide de venir chez toi au milieu de la nuit.
Warnings : angst, fin triste, Shawn est bourré, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 1.7k
Version Wattpad
Version anglaise sur Tumblr
Chanson qui m'a inspiré : Memories par Conan Gray
   La sonnette de chez toi te tire du lit. Tu papillonnes des yeux avant de les frotter et de regarder l'heure sur ton téléphone. Tu te demandes qui peut bien venir chez toi à deux heures du matin. Tu pousses un soupir d’exaspération avant de quitter ton lit et marcher jusqu'à ta porte. Tu regardes par le judas et vois Shawn, une expression triste sur son visage et ses cheveux mouillés par la pluie. Tu ne l'avais pas revu depuis deux mois, depuis votre séparation. Tu ignores pourquoi il est là. Tu hésites à lui ouvrir, craignant de faire une erreur. Après un débat intérieur, tu décides de lui laisser une chance. Après tout, il ne serait pas là, s’il n’avait pas une bonne raison. A peine tu ouvres la porte, Shawn entre en trombe dans ton appartement. Tu lèves les yeux au ciel et refermes derrière lui, reconsidérant déjà ta décision.
- Qu'est-ce que tu fais là ? lui demandes-tu alors qu'il reste debout dans ton salon.
- Je veux te parler, annonce-t-il en enlevant sa veste trempée et la posant sur le portemanteau.
- Il est deux heures du matin, Shawn.
- Je sais, mais j'en ai besoin, insiste Shawn et tu réalises que sa voix est légèrement différente.
- T'es bourré ?
- Non, j'ai juste bu un verre, nie-t-il, mais tu le connais.
- Écoute, dis ce que t'as à dire rapidement, je dois me lever demain. Enfin, dans cinq heures.
- Je... Je veux qu'on soit ensemble à nouveau.
En entendant sa phrase, ton sommeil quitte totalement ton corps. Tu lèves tes sourcils et tu espères avoir mal compris. Tu te masses les tempes en fermant les yeux pendant une seconde. Quand tu le regardes à nouveau, tu vois à son visage qu’il est sérieux.
- C'est toi qui as voulu qu'on se sépare, rétorques-tu avant de tripoter ton pendentif papillon pendant à ton cou.
- Je sais et je le regrette.
- C'est un peu trop tard maintenant.
     Il ne t'écoute pas et commence à marcher dans ton salon, regardant les alentours. Ses yeux sont remplis de nostalgie, il se remémore des moments de votre relation au fur et à mesure de ses pas. Tu le regardes de loin, ignorant comment agir. Son état d’ébriété ne t’aide pas à lui faire prendre conscience de la situation. A un moment, il s'arrête et il prend un objet sur ta table de salon. Même si tu ne le vois pas, tu devines ce qu'il a pris. Tu trottines vers lui et lui enlèves le livre des mains.
- Tu as encore notre album photo ? demande-t-il, un sourire idiot sur le visage. Je pensais que tu l'aurais jeté.
- Ce soir, c’était la première fois que je le regardais depuis notre séparation, en fait.
- Donc, tu l'admets, ce qu'on avait te manque aussi.
- Je n'ai jamais dit ça, affirmes-tu en serrant un peu plus l'album contre toi.
- Alors pourquoi tu l'as ressorti après tout ce temps ?
- Je ne sais pas vraiment. Je… Je suppose que je voulais voir si je pouvais regarder une photo de nous sans fondre en larmes, expliques-tu et avant qu’il puisse sourire, tu te dépêches de préciser : et je le peux. 
      Shawn ne dit rien, pas convaincu par ta réponse. Il reprend sa visite et se dirige vers ta cuisine. Il se saisit d'un verre d'eau. Il le boit d'une traite avant de le mettre dans ton lave-vaisselle. Tu le rejoins, de plus en plus agacée par son comportement. Tu voudrais qu’il te laisse enfin tranquille, surtout que tu as besoin de te reposer. Tu croises tes bras sur ta poitrine avant de prend un ton déterminé :
- Pourquoi tu es là, Shawn ?
- Je te l'ai dit, je veux qu'on se remette ensemble. Je n'aurais jamais dû te laisser partir. J'ai été idiot.
- Tu l'as voulu car avec la distance et ton job, c’était trop compliqué.
- Mais toi, tu ne le voulais pas, rétorque-t-il et tu évites son regard pendant une seconde. Tu voulais qu’on trouve une solution pour que ça fonctionne. Et j'étais tellement persuadé d'avoir raison que je n'ai pas écouté tes arguments, comme un abruti. J'aurais dû. Je ne veux pas te perdre. Sans toi, je ne suis rien. S’il te plaît, laisse-moi réparer ma connerie, supplie-t-il en tentant de prendre ta main.
- Shawn, arrête, ordonnes-tu en reculant d’un pas. Je commence enfin à avancer, je n'ai pas besoin de t'entendre dire ça.
- Mais, au fond de toi, tu m'aimes encore.
- Bien sûr, déclares-tu comme une évidence. Tu auras toujours une place dans mon cœur, mais ça ne veut pas dire qu'on doit être à nouveau ensemble.
- Pourquoi pas ?
- L'amour ne suffit pas toujours. Ça n'a pas marché une fois, la deuxième fois ne sera pas meilleure. Crois-moi, je n'ai pas arrêté d’y penser ces deux derniers mois. J'ai imaginé tous les scénarios et il n'y a pas d'issue heureuse pour nous. Si tu n’avais pas rompu, on l’aurait fait plus tard. On commençait à tellement s’éloigner que notre relation allait avoir une fin à un moment ou à un autre.
- On pourrait rester amis, alors ? Je veux toujours faire partie de ta vie, propose-t-il avec une once d’espoir et tu te retiens de céder. 
- On ne peut pas. Ça ne serait pas bon, car on s'empêcherait d'avancer avec quelqu'un d'autre. C'est mieux si on ne se parle plus, lui dis-tu, tes mains jouant avec la chaîne de ton collier.
- Y/N, s'il te plait.
- Mon Dieu, écoute-moi pour une fois dans ta vie ! t'emportes-tu en passant ta main sur ton visage. Je ne veux pas. J'étais très bien avec juste les souvenirs de notre relation. Certes quand tu m'as quitté, j’étais dévastée et je t'en ai voulu. Je pensais même que j'aurais toujours des souvenirs de toi où je te détesterais, mais j'ai réalisé que tu avais raison depuis le début. J'ai des bons souvenirs de toi, de nous et tu es en train de tout ruiner. Alors, arrête. Tu étais très bien quand tu étais juste dans ma mémoire. Je n'avais pas besoin de te voir ce soir, surtout si c’était pour que tu dises ça. J'aurai toujours de l'affection pour toi, mais c'est fini.
      Shawn hoche simplement la tête, ses yeux remplis de larmes alors que tu respires fortement. Tu sais que tu viens de lui briser le cœur, mais tu dois protéger le tien. Tu as besoin d'être claire avec lui. Tu n'aimes pas être la cause de sa souffrance, mais tu n'as pas d'autre choix. Il ne te répond pas, comprenant que c'est peine perdue. Il quitte la pièce alors que tu reprends tes esprits. Tu inspires plusieurs fois avant de retrouver Shawn au salon, endormi sur ton canapé. Frustrée, tu pousses un soupir, mais décides de ne pas le réveiller. Son ébriété ne te permettra de le faire partir de chez toi facilement et tu ne veux pas qu'il conduise et cause un accident.
     Tu lui laisses un verre d'eau avec un médicament avant de prendre une couverture. En la posant sur lui, Shawn ouvre les yeux pendant un instant. Il te regarde pencher au-dessus de lui, ses yeux tombent sur ton collier et il sourit niaisement.
- Tu le portes toujours. 
Tu n’as pas le temps d’ouvrir la bouche, car il se rendort aussitôt. Tu le regardes une dernière fois et te rends dans ta chambre. Tu tournes un peu dans ton lit, repassant ta discussion avec Shawn dans ta tête et essuyant les quelques larmes sur tes joues avant de pouvoir t'endormir.
      Quand ton réveil sonne trois heures plus tard, tu en veux à Shawn d'avoir coupé ton sommeil. Tu as du mal à quitter tes draps, mais tu te forces à te préparer pour ton travail. Quand tu es prête, tu te rends dans le salon après avoir pris un carton qui traînait dans ton placard depuis deux mois. Tu le poses à côté du canapé et secoues Shawn. Il lui faut une minute pour émerger. Quand il te voit, il ne peut empêcher un sourire de prendre place sur son visage. Pour lui, il est de retour au début de votre relation, où tout allait bien, où vous étiez heureux. Mais ton expression neutre le ramène vite à la réalité. Il s'assoit avant de prendre le verre et le médicament qu'il vient de voir. Quand il a fini, il se met debout, face à toi. Tu pointes le carton avant de prendre la parole :
- Ce sont tes affaires. Je crois qu'il y a un manteau, des livres et des CD. Je n’avais pas pu te les donner avant, informes-tu et il reste mutique. Tu peux les reprendre, insistes-tu.
- Tu ne rigolais pas quand tu disais que tu voulais que notre relation reste des souvenirs, dit Shawn en rigolant pour cacher sa douleur.
- Si je veux avancer, je n'ai pas le choix. Oh, il y a ça aussi, dis-tu en défaisant ton collier.
- Non, Y/N, tu peux le garder. Il t'appartient, à toi et seulement à toi.
- Je sais, mais je sens que tant que je l'aurai, je ne pourrai jamais vraiment faire le deuil de notre histoire et je ne veux pas le jeter, alors prends-le, précises-tu en lui tendant le bijou.
- Si c'est ce que tu veux, murmure-t-il en le prenant.
     Shawn regarde le collier, admirant le papillon argenté. Votre tentative de premier baiser avait été interrompue par l'apparition de l'insecte avec de magnifiques ailes bleues. Vous aviez rigolé avant de pouvoir vous embrasser réellement. Le papillon est vite devenu votre symbole. Tu aimes ce collier. Tu as pour habitude de toujours le toucher quand tu ressens une émotion négative. Mais tu ne peux pas continuer à le porter.
      Shawn le range dans le carton, en faisant attention. Il se saisit de la boîte avant de marcher jusqu'à la porte. Tu la lui ouvres et il commence à partir, la tête baissée. Tu t'apprêtes à refermer la porte quand il se retourne une dernière fois.
- Je suis désolé pour hier soir. Je n'aurais pas dû venir. Tu as raison, avoue-t-il avant de prendre une grande inspiration : Toi aussi, tu auras toujours une place dans mon cœur. Je t'aime.
    Tu aimerais le lui dire en retour, mais les mots semblent bloqués dans ta gorge, car ce n'est pas la chose à dire. Au fond de toi, tu le sais. Alors, tu lui lances un sourire triste avant de fermer la porte, symbolisant la fin du chapitre de ton histoire avec Shawn.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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christophe76460 · 5 days ago
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Qu’est-ce que l’humilité ?
Quand on lui a demandé, au début du cinquième siècle, quelles étaient les trois grâces dont un ministre avait le plus besoin, Augustin n’a pas hésité à répondre : «Humilitas ; humilitas ; humilitas». En matière de grâces pastorales, le grand évêque africain a décerné à l’humilité les médailles d’or, d’argent et de bronze.
Plus je me débats avec les Écritures et mon propre cœur orgueilleux, plus je suis convaincu qu’Augustin avait parfaitement raison. L’humilité est la vertu la plus nécessaire, non seulement pour les pasteurs chrétiens, mais pour tous. Si l’orgueil est à la racine de tous les vices, l’humilité doit être à la racine de toutes les vertus. Dans un sens très véritable, c’est la vertu des vertus.
Cela devient clair lorsque nous comprenons sa nature essentielle. Qu’est-ce que l’humilité ? Dit simplement, c’est la disposition d’abaissement d’une perception de soi orientée vers Dieu. Décortiquons cette définition afin de comprendre pourquoi Augustin accordait tant de valeur à l’humilité, et pourquoi nous devrions en faire autant.
L’humilité, tout d’abord, est une disposition d’abaissement de l’âme. Les Écritures parlent d’un esprit humble. Proverbes 29:23 déclare : «L’orgueil d’un homme l’abaisse, mais celui qui est humble d’esprit obtient la gloire.» De même, Dieu déclare par l’intermédiaire de son prophète : « J’habite dans les lieux élevés et dans la sainteté ; mais je suis avec l’homme contrit et humilié » (Ésaïe 57:15).
Malheureusement, c’est exactement le contraire qui a caractérisé la nation d’Israël dans le désert. Ils ont péri sous le jugement de Dieu parce que «leur cœur [collectif] s’est enflé» (Osée 13:6). Le cœur humble est un cœur qui ne s’élève pas dans l’illusion de l’autosuffisance ni dans le but de se glorifier. L’humilité est une disposition intérieure d’abaissement de soi.
Cependant, il est important de préciser ce que la Bible n’entend pas par un esprit humble. L’humilité est parfois confondue à tort avec une mauvaise opinion de soi-même, ou avec les sentiments débilitants d’incompétence, d’infériorité et d’hypersensibilité qu’éprouvent certaines personnes. Mais ce n’est pas la compréhension biblique de l’humilité.
Une mauvaise opinion de soi est parfois une manifestation du même orgueil qui alimente une bonne opinion de soi. Que notre âme soit désemparée par une piètre image de nous-mêmes ou ravie par une haute image de nous-mêmes, notre problème peut être le même, si nous avons un cœur qui s’élève dans la consommation de soi et la gloire de l’homme.
Par conséquent, tout esprit de bassesse ne peut être assimilé à l’humilité, car cette vertu vitale est une disposition d’abaissement produite par une perception de soi orientée vers Dieu. L’esprit d’abaissement de l’humilité est le réflexe de se voir non pas devant les autres, mais devant Dieu. C’est pourquoi les Écritures lient indissociablement ensemble l’humilité et la crainte de Dieu.
En utilisant un parallélisme synonyme, Salomon écrit : « La crainte de l’Éternel enseigne la sagesse, et l’humilité précède la gloire » (Prov. 15:33). Plus loin, il déclare : « Le fruit de l’humilité, de la crainte de l’Éternel, c’est la richesse, la gloire et la vie » (Prov. 22:4).
C’est au fur et à mesure que notre âme grandit en s’élevant dans la crainte de Dieu qu’elle s’enracine en s’abaissant dans l’humilité à son propre égard. Craindre Dieu, c’est avoir un cœur sous l’emprise de sa grandeur et de sa bonté. À mesure que nous saisissons sa grandeur infinie, nous nous voyons nous-mêmes dans notre condition de créature finie. Lorsque nous prenons conscience de son infinie bonté, nous nous voyons nous-mêmes dans notre corruption déchue.
Une notion populaire de l’humilité est qu’elle implique de s’oublier soi-même. Au contraire, l’humilité est l’état d’esprit interne qui est le résultat du fait de nous voir tels que nous sommes réellement. Le problème de l’orgueil n’est pas qu’il voit le moi, mais qu’il le voit mal. L’humilité consiste à mettre le moi à sa juste place face de la gloire de Dieu. Comme le disait Jean Calvin dans l’introduction de son Institution, « les hommes ne sont jamais assez bien touchés et émus du sentiment de leur pauvreté, jusqu’à ce qu’ils se soient comparés à la majesté de Dieu ».
Lorsque nous prenons conscience de notre condition de créature et de notre corruption face à la révélation de Dieu, cela ne peut nous conduire qu’à un seul endroit : la grâce de Dieu dans l’Évangile. L’humilité renonce à l’illusion de l’autosatisfaction et rejette toute tentative de salut par soi-même. L’âme humble reconnaît que si elle veut être sauvée, c’est Dieu lui-même qui doit œuvrer.
En outre, elle s’émerveille du fait que Dieu, dans sa bonté, a œuvré, car le Fils de Dieu, en tant que Créateur infini, a pris sur lui notre finitude de créature. Il l’a fait afin de subir la malédiction pour notre déchéance corrompue, afin que nous puissions être rétablis dans un lien d’amour avec lui. L’âme humble se réjouit du salut que Dieu a opéré par la grâce seule, par la foi seule, en Christ seul, pour la gloire de Dieu seul. Servie par Dieu dans l’Évangile, l’âme humble ne peut s’empêcher de servir son prochain en paroles et en actes, hâtant le jour où Dieu sera tout en tous.
Commencez-vous à comprendre pourquoi Augustin accordait tant de valeur à cette vertu et pourquoi vous devriez en faire autant ? L’humilité est votre grand besoin, et c’est aussi le mien.
Nick Thompson
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sous-france · 16 days ago
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Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National est décédé aujourd'hui.
Il a marqué l'histoire politique de la France, mais pas sans laisser derrière lui des cicatrices profondes.
Aujourd’hui, en tant qu’adulte, je regarde le passé avec lucidité.
Mon enfant intérieur, lui, se souvient des regards, des jugements, des mots et insultes blessantes des adeptes de son parti politique.
Face à cela, nous avons un choix à faire : continuer à emprunter les chemins qui divisent ou construire ceux qui rassemblent.
La mort rappelle à chacun l'inéluctable fin et elle laisse derrière elle des idées, des débats, et un héritage que le temps jugera.
📷 ☛ | 𝑀𝐾 | ©
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a-purse · 1 month ago
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Pensée du jour : je déteste être une femme.
Débats intérieurs à longueur de journée + hormones
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leblogdemarinaetjm · 1 month ago
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MARDI 10 DÉCEMBRE 2024 (Billet 3 / 4)
« CONCLAVE » (2h)
Un film de Edward Berger, avec Ralph Fiennes, Stanley Tucci, Isabelle Rossellini…
Sur le Site AlloCiné / Critiques Presse : 3,5 Critiques Spectateurs : 3,8
Cela faisait 2 jours que nous n’avions pas mis le nez dehors (relire le début du deuxième Billet) et, last but not least, il fait un temps pourri de chez pourri à Paris depuis des jours et des jours… Malgré tout, hier en milieu d’après-midi, bravant la pluie, le vent et le froid (« cinéphile un jour, cinéphile toujours… »), nous sommes allés voir ce film, heureusement à Beaugrenelle donc pas trop loin de chez nous.
Notre courage a été récompensé, nous n’avons pas été déçus. Beaucoup de choses dans « Conclave » nous ont plu : d’abord l’histoire, la mise en scène, certes classique mais efficace, l’interprétation de tous les comédiens dont celle, exceptionnelle, de Ralph Fiennes, les décors (*), la musique et pour finir, même si beaucoup l’ont critiquée, la fin.
(*) Quelques critiques « Pro » se sont trompés à ce sujet car il n'a pas été possible d'obtenir une autorisation de tournage au Vatican. C'est pourquoi la Chapelle Sixtine et la résidence Sainte-Marthe ont été reproduites à Cinecittà. La reconstitution des intérieurs du Vatican, inaccessibles au grand public, a nécessité de la recherche, de l’imagination et de l’ingéniosité. Pour la célèbre Chapelle Sixtine, la chef-décoratrice Suzie Davies a pu réutiliser un décor existant qui était stocké à Cinecittà et qu'elle a pu restaurer en faisant appel aux mêmes peintres qui l’avaient conçu au départ.
Marina lui a donné ❤️❤️❤️❤️ et JM, ❤️❤️❤️,8 sur 5 car il aurait voulu voir davantage de tractations entre les cardinaux pour choisir le Pape. Il parait que dans le livre, cet aspect est davantage traité.
Ci-dessous la critique d’un spectateur qui se rapproche le plus de ce que nous en avons pensé. Diane (H de S.) et son compagnon Pierre, quant à eux, sont allés le voir dimanche et l’ont beaucoup aimé. Mais, attention, la fin du film est loin d’être consensuelle. Certains l’ont trouvée « grotesque », voire pire (vous en dire plus serait spoiler le film).
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Après « A l'ouest, rien de nouveau », le cinéaste allemand Edward Berger s'est trouvé un nouveau défi à sa démesure avec « Conclave ». Une histoire de papauté, qui plus est une élection d'un nouveau souverain pontife, c'est forcément un sujet porteur, celui d'un monde clos dont tout un chacun brûle de connaître les secrets et, évidemment les turpitudes.
« Conclave » répond parfaitement à son cahier des charges dans une atmosphère de thriller religieux et surtout politique assumé. L'écriture du film est ciselée, ménageant ses rebondissements avec précision et caractérisant ses personnages, sans craindre de les faire frôler la caricature, les uns dans le camp des conservateurs et les autres dans celui des réformistes.
L'occasion de dresser un catalogue quasi exhaustif des difficultés rencontrées ces temps derniers par l’Église, sans approfondir outre mesure, car cela serait au détriment du rythme du long métrage.
Reste que c'est la description de ce microcosme des cardinaux, avec leurs failles très humaines, qui fait l'intérêt de « Conclave » dont on ne pourra qu'apprécier la pertinence du casting, avec un Ralph Fiennes des grands jours.
Quant au dénouement, venu de nulle part, il est à la fois abracadabrantesque, d'une ironie folle mais surtout diablement (?) culotté et suffisamment provocateur pour alimenter de rudes débats. C'est vraiment bien joué !
(Source : « Critique d’un spectateur sur le Site AlloCiné »)
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lepartidelamort · 2 months ago
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Alice Cordier clashe les gens qui n’aiment pas Zelensky et la démocratie ukrainienne.
Le débat est enfin clos.
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La femme aux yeux trop rapprochés Cordier est une des plus récentes converties à la cause du juif Zelensky.
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C’est assez raccord si on se souvient de ses hurlements lorsque les Palestiniens avaient finalement riposté à leur réduction en esclavage par les juifs le 7 octobre 2023.
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J’imagine que cette Alice Cordier n’aime guère la position patriarcale affirmée de la Russie de Vladimir Poutine, ni celle de la Russie face aux lesbiennes.
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C’est la énième démonstration qu’il ne faut pas demander aux femmes de réfléchir à des choses sérieuses. Ça finit toujours au niveau des ovaires, des spasmes émotionnels et des platitudes indignées.
Elle n’est pas seule ceci dit. En trois ans, nous avons vu la quasi intégralité de cette droite YouTube rallier le discours de l’OTAN, de peur d’être marginalisée ou censurée. Ça ne valait déjà pas grand chose avant, à présent c’est indiscernable de la prose de Bernard-Henri Lévy, les bougnoules au coin de la rue en moins (ils sont toujours là en plus).
D’ailleurs, ils sont assez discrets sur l’offensive djihadiste soutenue par l’OTAN en Syrie. Ils savent qu’un soutien affiché à Assad, donc à ses alliés russes, est une ligne rouge fixée par la juiverie médiatique. Ils regarderont ailleurs et réagiront très lapidairement pour ne pas froisser leurs maîtres.
Sauf peut-être Julien Rochedy qui se rendra à nouveau à Damas ?
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Le système cosmopolite occidental est un et indivisible. Sa politique extérieure est le prolongement de sa politique intérieure et vice versa. La haine obsessionnelle du cartel politico-médiatique occidental vis-à-vis de la Russie ne s’explique que par la résistance à l’ordre judéo-démocratique qu’oppose la dernière puissance blanche d’Europe – et du monde – à ce système. Que la Russie ne soit pas parfaite ne change rien à ce fait.
Il n’y a rien de nouveau dans tout cela, hélas.
Depuis que la démocratie existe en France, il y a toujours eu une droite de ce type, bourgeoise et enjuivée, prête à tous les ralliements.
En 1914, elle s’est enthousiasmée pour la guerre aux empires autoritaires afin d’y imposer la démocratie. En 1939, elle a remis le couvert pour mieux plonger la France dans la débâcle complète afin de sauver les juifs.
« Droite » et « gauche » sont des termes incertains et fluctuants. Il y a ceux qui veulent renverser l’ordre en place et les autres.
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Démocratie Participative
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entomoblog · 2 months ago
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En lien avec la Cité des bébés, projection-débat autour du documentaire "Tous dehors !" de Anne Jochum
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
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En lien avec la Cité des bébés Projection-débat autour du documentaire "Tous dehors !" de Anne Jochum, 57 min, 2023.
  DIRECT - Tous dehors !
  "Le développement de l’enfant nécessite des interactions multiples avec le monde du vivant. Quels sont les impacts de notre sédentarité en intérieur sur la santé des plus jeunes ? Un plaidoyer pour s’égayer en plein air juste après la séance !"
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via Le Fil vert - Libération du 28/11/2024
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actu-juridique · 2 months ago
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Insolite : Quand les boules de neige conduisent au tribunal
https://justifiable.fr/?p=636 https://justifiable.fr/?p=636 #boules #conduisent #Insolite #les #neige #quand #Tribunal La météo du moment peut donner envie de tenter une bataille de boules de neige.  Mais prudence si vous ne voulez pas finir au tribunal, ou pire : au chômage… Photo : ©AdobeStock/PB Studio (IA) Le « gardien » de la boule de neige Commençons par un étrange débat sur le contrôle juridique des boules de neige soumis à la Cour de cassation dans les années quatre-vingt. L’affaire démarre par une bataille de boules de neige entre deux garçons, X et Y, au cours de laquelle X lance une boule de neige sur Y, le blessant à l’œil. Les parents de la victime  attaquent alors l’auteur du lancer (et surtout son assurance) pour obtenir réparation du préjudice… Le 6 février 1981, la cour d’appel de Versailles donne raison aux parents Y, estimant X responsable des blessures de son copain Y, puisqu’il est à l’origine du lancer litigieux. Les parents X se présentent alors devant la 2e chambre civile de la Cour de cassation avec un contre-argument assez inattendu : la responsabilité de leur fils ne peut être la seule en cause, puisque la victime a elle-même commis une faute, laquelle est à l’origine réelle du dommage subi ! Mais quelle faute ? Eh bien, c’est Y qui a ramassé un tas de neige par terre, lui qui en a fait une belle sphère, lui qui l’a lancée sur X… X s’est ensuite contenté de ramasser le projectile glacé à ses pieds pour le retourner à l’envoyeur ! Malheureusement, en le blessant. Dès lors, la victime a implicitement accepté une part de risque en démarrant un tel jeu dangereux. Et puisque la boule est sa propre création, Y est aussi un peu responsable des dommages causés par son œuvre ! Il a fabriqué une arme qui s’est retournée contre lui… Plutôt malin, mais inexact pour la cour qui répond qu’à partir du moment où Y ramasse la boule de neige, il « acquiert un pouvoir indépendant sur cette chose dont il possède la direction et le contrôle » et que, par ailleurs, aucune responsabilité de la victime ne peut être retenue, quand bien même elle aurait initié la bataille, puisqu’il s’agit d’un « jeu non dangereux ». Les boules (de neige) dans le slip Tout récemment, une affaire de boule de neige a conduit au licenciement d’un salarié… Citons la lettre de licenciement reçue par ce mécanicien employé dans un garage : « Le 5 mars 2018, vous et vos collègues de travail avez été interpellés par la police pour des faits commis sur votre lieu de travail. À l’issue d’une garde à vue prolongée, vous et vos collègues avez reconnu les faits qui vous sont reprochés. Il s’avère qu’avec la complicité de votre responsable, vous et vos collègues avez introduit une personne étrangère à l’entreprise dans les locaux de notre centre auto après la fermeture de notre magasin, alors que cela est strictement interdit par notre règlement intérieur. Cette personne, handicapée psychomoteur à 80 % et très vulnérable psychiquement, par ailleurs placée sous curatelle, a été l’objet de votre part et de vos collègues de travail d’actes particulièrement dégradants, notamment à connotations sexuelles. Pris en photo et filmé au sein de nos locaux, ces images ont ensuite été diffusées par vous et vos collègues sur les réseaux sociaux. » Cependant, le mécanicien en question, contrairement à ses collègues, a été relaxé des faits de violences physiques et sexuelles. Il a uniquement reconnu, au tribunal, avoir « mis une boule de neige dans le pantalon de la victime, en pleine journée, en dehors des locaux du centre ». Or, si les magistrats de la cour d’appel de Paris semblent considérer que ces agissements auraient pu justifier le licenciement du mécano, la « cour relève que la lettre de licenciement ne vise pas le fait d’avoir introduit une boule de neige dans le pantalon de la victime, les faits s’étant déroulés dans la journée à l’extérieur, ni ne lui fait grief de ne pas l’avoir alerté sur ce qui se produisait. Le licenciement est donc sans cause réelle et sérieuse » ! Et l’employeur de lui verser une indemnité de 3 700 € à ce titre… Le sourd, l’aveugle et la boule de neige Concluons en résumant l’arrêt du 4 décembre 2008 de la cour d’appel de Paris rendu dans une autre affaire : ne commet pas de faute l’entreprise organisatrice d’un voyage à la montagne pour personnes handicapées qui ne prend pas de mesure préventive afin d’éviter que l’un des salariés ne soit blessé par un collègue au cours d’une bataille de boules de neige. La victime, malentendante, n’ayant pas bien entendu que le projectile lui était lancé par son collègue en plein visage de façon accidentelle, celui-ci étant malvoyant… Bonsoir !
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briselegeredansletemps · 2 months ago
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Hier soir, au sujet de cet amour de soi
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Je regardais la télé. Les débats.
Je ne sais plus comment c'est arrivé. En fait, je fais des boucles dans mes pensées et j'essaie de voir qui/quoi en moi résonne aux idées... Et j'en arrive à des compréhensions énergético-empathique.
Zut, je ne sais plus comment c'est arrivé. Je n'ai pas été au téléphone, donc c'est pas en discutant avec un pote ou mon père. Bref, c'est toujours cette histoire de s'aimer sois-même. Ah oui, je crois que... ca y est !
Je fumais (un petit joint) et je me disais que ma langue était en train de s'approprier le goût de manière très forte. Et l'idée faisait son petit tour de pensée. Je rentre au chaud toujours avec cette idée et... Ma langue se comporte comme une extrémité d'un être que je ne connaissais pas. Dans ces moments là je laisse aller les sensations. Et ce qui apparaissait, c'est comme un animal un peu trop familier qui vient squatter les genoux, là ma langue je la sentais de plus en plus reliée à ma gorge, mon cou, mon intérieur. Et en voyant ce petit animal rebelle comme essayer de se faire voir, je lui ai dit "mais oui toi aussi je t'aime", avec en plus le sentiment de l'aimer bien (c'est vrai que j'aime bien ma langue, mais bon, je lui ai jamais dit)...
... Là, allez le croire ou pas... Elle a fondu en remerciement. Au même moment il y avait TBBT et Penny venait de dire à Léonard qu'elle l'aimait (pour la première fois, les deux étaient sur le point de pleurer), ben j'ai été en empathie avec mon intérieur qui me disait "c'est la première fois que tu dis que tu nous aime bien".
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voirserienet · 3 months ago
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Pourquoi les gens aiment regarder les séries télévisées ?
Loin des débats où l’on s’interroge sur leur comparaison avec des expressions artistiques comme le roman ou la peinture, la réalité est que les séries sont de plus en plus variées, surprenantes et parfois intelligentes. Aussi singulières soient-elles et même si nous les aimons, les séries répondent à des structures plus que préfixées par des scénaristes, des structures qui cherchent à garantir leur succès.
Les scénaristes connaissent la formule pour nous rendre accros à leurs intrigues. Nous devrions alors nous demander quels sont les facteurs psychologiques qui expliquent le succès de la série ?
La grande accessibilité des séries télé !
C’est un loisir facile d’accès, à la portée de tous et pratiquement gratuit. Tout ce dont vous avez besoin est un téléviseur, un DVD ou, à défaut, un ordinateur avec une connexion Internet pour voir série et voirseries en streaming. Il est donc beaucoup plus facile et moins cher d’y accéder que d’autres formes de divertissement. Vous n’avez même pas besoin de quitter la maison. Tout ce que vous avez à faire, c’est d’ouvrir les yeux et de vous mettre à l’aise.
La passivité
Lorsque vous regardez une série, vous n’avez pas besoin d’en faire beaucoup plus. Peut-être manger du pop-corn et profiter. Cela ne vous demande que très peu d’efforts, tant sur le plan physique que sur le plan cognitif. Pour regarder votre série préférée, il suffit de mettre en jeu l’attention, la mémoire, la vue et l’ouïe. De nombreux détracteurs de la télévision et des séries considèrent cette qualité comme une grande insulte aux téléspectateurs.
Cependant, c’est l’une des raisons les plus puissantes pour lesquelles les séries sont la consommation de masse. Les gens rentrent généralement à la maison physiquement et mentalement fatigués et regarder une série n’est pas un grand effort.
L’identification
Lorsque vous regardez certains contenus auxquels vous pouvez vous identifier, vous ressentez une grande émotion. Peut-être qu’on se met en colère, on souffre, on pleure même. Cela vous fait sortir une sorte de désordre intérieur qui vous alourdit et vous dérange, générant une libération intérieure et, par conséquent, un grand sentiment de bien-être. Aussi, quand il s’agit de voir série streaming, de grands drames ou des comédies, même si on ne se sent pas identifié, on oublie un instant sa propre réalité, ce qui est aussi gratifiant si la réalité est négative.
Beaucoup de personnages ou de situations peuvent vous rappeler un membre de votre famille ou un ami. De nombreuses situations de la série vous sont arrivées. Vous vous identifiez donc à eux. Le processus d’identification est un lien fort qui nous unit et nous lie à ces choses qui nous rappellent nous-mêmes. Ce lien est puissant, c’est pourquoi la plupart des séries le revendiquent.
Vouloir savoir ce qui va se passer
Il nous est arrivé à tous qu’un chapitre se termine et qu’il soit urgent de voir le suivant pour savoir ce qui se passe ensuite. Comment la psychologie explique-t-elle ce phénomène ?
La loi de la fermeture dit que les formes fermées sont plus stables visuellement. C’est pourquoi nous avons tendance à fermer tout schéma incomplet. Cette loi de la perception a des conséquences psychiques. Les formes ouvertes ou inachevées provoquent de l’anxiété, faisant ressentir à la personne un puissant besoin de terminer ce qui est incomplet. C’est ce qu’on appelle la loi de la fermeture.
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yespat49 · 4 months ago
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« Nous n’avons pas de temps à perdre avec des débats sur la théorie du genre »
Mercredi dernier, la commissaire européenne aux affaires intérieures, Ylva Johansson, a présenté sa proposition de révision de la directive de 2011 visant à lutter contre la maltraitance des enfants en ligne à la commission de la justice et des affaires intérieures (LIBE) du Parlement européen. Continue reading « Nous n’avons pas de temps à perdre avec des débats sur la théorie du genre »
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lingoreliclanguageacademyf · 6 months ago
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Faut-il abolir toutes les armées dans le monde ?
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 SUJET- Toutes les armées du monde devraient disparaître. Qu’en pensez-vous ?
RÉPONSE : L'idée que toutes les armées du monde devraient disparaître est une proposition ambitieuse et idéaliste qui suscite des débats passionnés. L'abolition des armées pourrait apporter des avantages significatifs, mais elle comporte aussi des défis majeurs.
D'un côté, l'élimination des armées pourrait favoriser la paix mondiale. Les ressources actuellement consacrées à la défense pourraient être redirigées vers des secteurs essentiels comme la santé, l'éducation et la lutte contre la pauvreté. Sans armées, les conflits armés pourraient diminuer, entraînant une baisse des souffrances humaines et des pertes de vies. De plus, une telle démarche pourrait encourager une coopération internationale accrue, où les nations résoudraient leurs différends par le dialogue et la diplomatie plutôt que par la violence.
Cependant, l'idée de supprimer toutes les armées présente des défis considérables. Tout d'abord, les armées jouent un rôle crucial dans la défense nationale et la protection des citoyens contre les menaces extérieures. Sans forces armées, les pays pourraient devenir vulnérables à des agressions ou des occupations par des acteurs non étatiques ou d'autres nations qui ne respecteraient pas cet idéal pacifique. Ensuite, les armées contribuent également à la stabilité intérieure en intervenant lors de crises majeures comme les catastrophes naturelles et les situations d'urgence.
Enfin, la disparition des armées ne garantirait pas automatiquement la fin des conflits. Les causes profondes des conflits, telles que les inégalités économiques, les tensions ethniques et religieuses, et les disputes territoriales, nécessiteraient des solutions complexes et globales.
En conclusion, bien que la suppression des armées puisse sembler une voie vers un monde plus pacifique et équitable, elle n'est pas sans risques et défis. Un tel changement nécessiterait une transformation profonde des structures politiques, économiques et sociales mondiales, et une coopération sans précédent entre les nations.
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toutmontbeliard-com · 7 months ago
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Sidonie Marchal : "Quand M.-N. Biguinet reprend les positions de l’extrême-droite sur le Front Populaire"
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Sidonie Marchal, Conseillère Municipale d'opposition à Montbéliard Groupe "Montbéliard en Commun" et Conseillère communautaire à Pays de Montbéliard Agglomération, communique : "Lors des débats du Conseil municipal du 8 juillet 2024, Madame le Maire de Montbéliard Marie-Noëlle Biguinet a affirmé "Vous voulez qu’on refasse l’Histoire avec le Front Populaire qui a voté les pleins pouvoirs à Philippe Pétain ?". Pour qui est attaché, comme moi, aux faits historiques, à la démarche de l’historien mais aussi à un esprit de vigilance face aux détournements de l’histoire dont fait preuve en ces derniers jours l’extrême-droite, veuillez trouvez ci-dessous ma réponse. Le Front Populaire a-t-il effectivement voté les pleins pouvoirs à Philippe Pétain le 10 juillet 1940 ? Ce propos est une affirmation "injuste historiquement et politiquement", comme le rappelle Serge Wolikow, historien, c’est une affirmation intellectuellement malhonnête et erronée, et ce à plusieurs titres. Affirmer que le Front Populaire a voté les pleins pouvoirs à Philippe Pétain le 10 juillet 1940, c’est tout d’abord ignorer que le Front Populaire en tant que coalition gouvernementale n’existe plus à cette date : cette expérience prend fin en 1938. C’est ignorer aussi le contexte et le sujet de cette proposition, votée par le Parlement, c’est-à-dire à la fois par les Députés et les Sénateurs, et que de fait l’Assemblée Nationale de ce juillet 1940 n’est plus à cette date celle de 1936 : certains députés de gauche n’ont pu prendre part aux votes, soit parce que communistes, soit parce que comme Jean Zay, embarqués sur le Massilia. C’est enfin ignorer que si 569 voix se sont prononcées pour cette proposition, parmi les 80 oppositions figurent très majoritairement des voix de gauche, dont celle de Léon Blum. C’est oublier que Léon Blum fut déporté pendant la guerre, et Jean Zay exécuté par la Milice, du fait de leur engagement. Alors pourquoi un tel détournement de l’Histoire ? Pourquoi Marie-Noëlle Biguinet reprend-elle ce propos lors du dernier Conseil municipal : simple imprécision ou maladresse ? Il ne s’agit ni de l’une ni de l’autre : cette "petite phrase" est tout sauf naïve. Elle témoigne d’un détournement, d’une falsification de l’histoire et de la diffusion de fausses informations caractéristiques de l’extrême-droite (simplification des faits, désignation d’un ennemi intérieur… ) depuis la dissolution de l’Assemblé Nationale, sur les réseaux sociaux notamment. Par ses propos, le Maire de Montbéliard se fait donc le relais, en plein Conseil municipal, des propos du Rassemblement National et notamment de ceux de Julien Odoul, Député du Rassemblement National de l’Yonne, conseiller régional Bourgogne Franche-Comté et porte-parole du Rassemblement National, qui a tenu les mêmes propos sur X. Quel était le sujet de ces échanges vifs lors de Conseil Municipal ? Le soutien du Maire de Montbéliard et d’une partie de sa majorité au Rassemblement National…". Read the full article
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