#création de beats
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musitechnicformation · 3 days ago
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beautifulpersonpeach · 1 year ago
Note
Mon mec sature Peach, il n’en peut plus de Jimin 😶 "Jimin ceci, Jimin cela, encore Jimin !!" Oups… 🙊 Je propose la création d’un groupe de soutien pour nos partenaires et la mise en place d’un numéro vert 😁
***
LOL
I second that suggestion. Anyone willing to set this up, please send me a DM.
Jimin nearly made me short-circuit yesterday. And it wasn't the visuals, or his (HUGE) arms or chest or pecs or whatever. It wasn't even his dancing really, though that was so fucking satisfying to watch.
The thing that got me, is that this is the kind of music he loves and vibes to.
Y'all have no idea how much that realization fucked me up.
It confirmed for me that SMF Pt 2 wasn't a fluke. That that kind of dirty, bass-heavy, gritty production in music is actually his bread and butter, something I always thought was firmly in the realm of the rap-line to fully appreciate and deliver on. It confirmed for me that Face-off actually reflects his musical DNA, that Alone is music that calls to him on the deepest level; that music driven by heavy basslines and riffs, where the adlibs are as much a feature of the song as the topline (just like it's done on Alone, Face-off... all his music), where simple but memorable (catchy) melodies are paired with vibey beats... that this kind of music is his thing.
That's what got me.
I'm not even a huge fan of Kenny or Dominic Fike, but Phone Numbers is a dope track and one I've got in several playlists.
It's that Jimin has such good taste. I suspected as much over the years but he was always so taciturn with his music recommendations, mentioning a handful here and there. But to get confirmation that Jimin genuinely enjoys music I love and he's so good at expressing the spirit of that kind of music using his body...
That kinda blindsided me.
I've never seen an artist who feels the music the way Jimin does.
Anyway, Anon, taking it back to the help-support hotline (lol). My relationship with my biases is a bit more complicated than me 'being in love with them' though, at least not in the sense where my partner would have any reason to worry. They don't consume me that way. Jimin though....
He's a problem.
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llzrabin · 1 year ago
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The Kills, jeu dévoué
La série de photographies intitulée Dogs Chasing My Car in the Desert, réalisée entre 1996 et 1998 par l'artiste américain John Divola, capture l'instant pendant lequel des chiens poursuivent sa voiture lancée à pleine vitesse sur une route désertique de la Californie du Sud. Toute la puissance existentielle de cette série tient précisément dans la fugacité du moment saisi, celui où le chien atteint la fenêtre du conducteur pour capter son regard, dans l'espoir vain de rattraper la voiture. À propos de ces photographies, John Divola déclare : « Contempler un chien poursuivant une voiture invite à de nombreuses métaphores et juxtapositions : la culture et la nature, le domestique et le sauvage, l'amour et la haine, la joie et la peur, l'héroïsme et l'idiotie. Ici, nous avons deux vecteurs et deux vitesses, celle d'un chien et celle d'une voiture et, étant donné qu'un appareil photo ne capturera jamais la réalité et qu'un chien n'attrapera jamais une voiture, c'est la preuve d'une dévotion à une entreprise sans espoir. »
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John Divola, D05F23 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
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John Divola, D10F15 de la série Dogs Chasing My Car in the Desert, 1996-1998.
The Kills ont toujours fonctionn�� en double et en antagonisme. Alison Mosshart et Jamie Hince sont les deux faces d'une même pièce. C'est la tension entre l'isolement et le désir qui est leur moteur de création. La juxtaposition des opposés – domestique et sauvage, héroïsme et idiotie, joie et peur – est manifeste jusque sur la pochette de God Games, où matador et taureau s'affrontent.
À l'écoute de ce disque, le temps passe à une vitesse folle. C'est le temps d'un regard à 130 km/h derrière soi pour y apercevoir un animal à bout de souffle. Non pas parce que ses chansons sont courtes, mais parce qu'il n'y a rien d'aussi immédiatement obsédant que dans Keep On Your Mean Side, No Wow, Midnight Boom, ou même Blood Pressures et Ash & Ice (qui s'essoufflait déjà parfois). Bien sûr, les premiers morceaux des Kills visaient plus juste par leur proximité avec l'ethos DIY, un beat rustique sur une boîte à rythmes bâtarde, un riff à la manière d'un bluesman aveugle, des paroles crachées avec droiture et l'urgence punk dans la voix. Écouter Keep On Your Mean Side, c'est comme lire un fanzine trouvé à prix libre dans une cave où joue un concert de garage rock en 1997 : Xerox ou 4-pistes, même combat.
L'album God Games, lui, fait plutôt l'effet de séquences de films contemplatifs, se voulant artistiques et en marge des tendances, mais avec un très bon budget alloué au montage. Ce qu'il y gagne en production, il le perd en expressivité personnelle et en saleté sincère. Dans un paradoxe un peu fâcheux, les premiers singles révélés cet été, New York, LA Hex et 103, distillaient jusqu'au gimmick toute la substance de leur univers garage et indie rock, sans produire cet effet accrocheur des anciens tubes. Il y a ici de bonnes idées et quelques fulgurances mais, à rebours du récit promotionnel vendu par le label et le groupe lui-même dans les nombreuses interviews récemment données à la presse, qui promet un changement de son, une liberté absolue et une approche expérimentale de la composition, il est intéressant de constater que les meilleurs morceaux de l'album – j'entends par là, les plus réussis soniquement, ceux dans lesquels on entend l'aisance technique, la facilité de l'habitude – sont ceux qui sonnent comme leurs précédents morceaux.
En cela, la deuxième partie de l'album, de Wasterpiece à Better Days, se réécoute avec plaisir, rappelant les beaux jours de Ash & Ice. Et les chœurs gospel de LA Hex sont une réminiscence des chœurs de Satellite. Mais les synthés, les orgues et le mellotron, ce clavier polyphonique vintage, étaient aussi déjà en usage dans Blood Pressures. Quant aux paroles d'amour-haine, poèmes haletants où tendresse et violence se confondent, histoires d'amours et d'errances qui puent l'essence, elles ont toujours été la pulsation de leur son. Difficile de comprendre en toute bonne foi où se situe le potentiel infini de possibilités musicales dans le processus d'écriture de ce nouvel album, dont le duo parlent pourtant régulièrement. Et la ligne entre référence et paresse de se troubler progressivement. L'adage des Kills, incandescents, qui est de ne jamais regarder en arrière, sonne faux.
Il est des groupes qui mettent des années à trouver leur son, ou bien des artistes dont la signature est justement l'identité caméléon, toujours en mouvement. The Kills, quant à eux, ont trouvé leur signature sonore dès leur rencontre en 2001, scellée par le pacte de ne plus jamais se quitter et de se consumer ensemble par la musique.
Je n'ose pas parler de confort, pourtant il y a toujours eu un peu de cela dans leur musique. C'est d'ailleurs bien ce qui a contribué à créer la formule magique du duo : le confort musical de ce « vieux couple marié » (ce sont les mots de Jamie Hince), c'est la complicité évidente, totale et fusionnelle dès les débuts, alors qu'Alison et Jamie se connaissaient à peine.
Alors, maintenant, quoi ?
Dans la langue anglaise, le proverbe 'to be like a dog that caught the car' désigne quelqu'un ayant atteint son but et ne sachant pas quoi faire de cette victoire. C'est une course vide de sens : le chien n'est pas censé rattraper la voiture. Cette « dévotion à une entreprise sans espoir » dont parle John Divola, c'est peut-être ce qui constitue le moteur créatif des musicien.ne.s, ce point de fuite imaginaire destiné à aider un groupe à construire son œuvre en perspective. Pour mieux s'en affranchir ensuite.
Il me semble que la musique des Kills en 2003 contenait infiniment plus de matière expérimentale et de liberté de création que celle de 2023 engluée dans sa narration de fausse naïveté magique. Comme s'il n'y avait plus rien à raconter au monde. Que faire quand on a déjà atteint la voiture vingt ans plus tôt ? Admettre de ne pas avoir su se renouveler n'est pas gage d'agonie, ce n'est même pas une faute. The Kills peuvent bien poursuivre leurs aventures de rock crade-classe, d'élégance musclée et arty bien à eux (d'aucuns parlent de posture, je ne suis pas de ceux-là, je crois leurs origines punk sincères), leur avenir y est faste. Il n'est pas besoin de maquiller ses intentions, ses faiblesses ou sa constance derrière une légende marketée quand la musique leur colle autant à l'âme.
Originally written for Dans Ta Face B, November 2023.
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mysteriis-moon666 · 1 month ago
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LORD GOBLIN - Lord Goblin
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Le monde se divise en deux, celui dont la croyance est au spectacle et l'autre qui pense en termes d’œuvre d'art. Entre les deux, dans la marge, il y a le rêve, l'utopie entre spectacle et art : le heavy metal.
Fondé par d'anciens membres de Red Warlock, Lord Goblin est un trio Italien expatrié en Angleterre composé de Marco Piu, alias Lord Goblin (chant), Mornar (guitares, basse et synthétiseur) et Athanor F.D.H. (batterie).
Lord Goblin façonne un heavy metal classique avec des influences black metal sous un trip de final fantasy. Il y a à la fois la rudesse du black et des blast beats, le heavy metal chevaleresque avec des riffs lourds et saillants, une instrumentation homérique et atmosphérique. Enveloppé dans le soyeux poilu d’une production analogique des 70 et 80’s géré par le guitariste Andy Mornar, l’album s’illustre par son ambiance occulte, épique et fantastique.
Les paroles parlent la fantasy héroïque couramment, le chant épique de Lord Goblin intensifie la théâtralité avec son trip qui catalyse le prog vintage, mais sans être pompeux, le black metal des 90’s sans le froid de la caverne, et le Heavy trad metal sans qu’il soit figé dans la pierre où est plantée Excalibur. L’on tient là une belle accroche avec cet opus, et une épopée pour le final des deux derniers morceaux sous la forme du titre ‘’Light of a Black Sun" divisé en deux parties.
En empruntant le nom Goblin le groupe fait référence au groupe de rock progressif italien, reconnu pour avoir composé les musiques de films de Dario Argento ‘’Les Frissons de l'angoisse’’ (1975), ‘’Suspiria’’ (1977), ‘’Phenomena’’ (1985), la version européenne du film ‘’Zombie’’ (1978) de George A. Romero. L’on entend très bien cet héritage avec aussi celui d’Uriah Heep et Deep Purple pour le clavier. Appréciable aussi la dynamique propre dans le choix des titres, mélangeant morceaux chantés et instrumentaux en milieu d’opus, avec les titres "Freedom Rider" et "Thunderous Smite" munit d'un solo de batterie. La narration sur 'The Oracle' est une adaptation moderne de 'Oedipus Rex' de Sophocle.
Souvent les groupes restent englués dans une création luisante, pétrifiés de sortir du voile de l’inconnu, simplement parce qu’ils ne sont pas prêts à leur dévoilement, à leur poignante vérité, Lord Goblin l’a trouvé.
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sheetmusiclibrarypdf · 5 months ago
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Dave Grusin (b. 1934) Biographie et partitions (sheet music)
Dave Grusin (b. 1934) - Biographie et partitions (sheet music) Dave Grusin - Ray's Blues (from The Firm) sheet music Jazz arr. Best Sheet Music download from our Library. Please, subscribe to our Library. Thank you! Téléchargement des meilleures partitions dans notre bibliothèque.La carrière de Dave Grusin Oeuvres célébres Browse in the Library: Best Sheet Music download from our Library.
Dave Grusin (b. 1934) - Biographie et partitions (sheet music)
Dave Grusin - Ray's Blues (from The Firm) sheet music Jazz arr.
https://dai.ly/x8d3dyb Né le 26 juin 1934 à Littleton, CO; fils d'un pianiste classique et d'un violoniste classique. Éducation: Diplômé de l'Université du Colorado; études supérieures à la Manhattan School of Music. Adresses : Bureau-- GRP Records, 555 West 57th St., New York, NY 10019.
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Dave Grusin est un pianiste, claviériste, arrangeur, producteur de disques et cofondateur de GRP Records qui aime le moins le titre 'artiste solo'. Lauréat d'un Grammy Award du meilleur arrangement instrumental sur l'album Harlequin en 1985 et d'un Oscar pour la musique de film The Milagro Beanfield War en 1989, il a déclaré à Scott Yanow dans Down Beat : 'Je ne me considère toujours pas comme un interprète'. . Je n'ai pas un désir ardent de sortir et de jouer devant les gens. Je le fais de temps en temps pour essayer de faire connaître mes disques, mais fondamentalement, je ne me suis jamais senti comme un interprète. Je préfère de loin le processus de création en studio, l'écriture et l'enregistrement.' Dave Grusin est né le 26 juin 1934 à Littleton, Colorado, de parents tous deux musiciens classiques. 'Mon père était un très bon violoniste et un professeur parfait', a expliqué Grusin à Yanow. « Il ne nous a pas imposé la musique, mais c'était une partie si inhérente de nos vies qu'elle est devenue une partie naturelle de mon enfance. Ma mère jouait du piano et j'ai commencé quand j'avais quatre ans, avec les leçons habituelles. " À la maison, la formation musicale de Grusin était dans le genre classique, mais le jeune a également été exposé au jazz. Bien qu'il ne se souvienne d'aucun disque de jazz joué à la maison, ses parents l'ont emmené à des concerts à Denver, dans le Colorado, où il a vu des artistes tels que Ray Brown, Ella Fitzgerald, Hank Jones, Gene Krupa, Illinois Jacquet et Flip Phillips. 'C'était très excitant', se souvient Grusin à Yanow, 'et a préparé le terrain pour que je m'intéresse au jazz.' Ayant grandi dans une communauté agricole, où il a travaillé dans un ranch jusqu'au lycée, Grusin avait initialement prévu d'être vétérinaire. «Trois semaines avant d'entrer à l'université», a-t-il déclaré à Yanow, «je suis passé à la musique par culpabilité pour l'immense effort et les dépenses que mon père avait consacrés à mon éducation musicale. Il ne m'a pas forcé à étudier la musique mais je savais qu'il approuverait le changement. Grusin s'est spécialisé en piano et mineur en clarinette à l'Université du Colorado, où il a également soutenu des interprètes comme Anita O'Day dans des clubs locaux lorsqu'il n'était pas en classe. En 1959, Grusin se rend à New York pour commencer des études supérieures à la Manhattan School of Music. Découvrant qu'il a dû attendre six mois avant que son adhésion au syndicat soit transférée localement, Dave a été contraint de trouver un emploi à l'extérieur de la ville pour subvenir aux besoins de sa jeune famille. Il raconte à Yanow : « Un de mes ex-colocataires a découvert que Andy Williams avait besoin d'un pianiste. Andy avait eu quelques disques à succès, mais c'était toujours un nouveau gars. Le travail du chanteur impliquait de nombreux voyages, alors Grusin a finalement quitté l'école doctorale. Le musicien s'est rapidement retrouvé à Los Angeles, où il a été nommé directeur musical et arrangeur de Williams lorsque le chanteur a commencé une émission de variétés télévisée hebdomadaire.
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Dave Grusin a noté dans Down Beat : « C'était une belle émission musicale au début des années 60 et nous n'avons joué aucune musique dont nous aurions honte, même si c'était à la télévision commerciale. C'était une corvée, un travail très dur ; mais pour moi, cela s'est avéré être un atelier incroyable. À cette époque également, Grusin a réalisé quelques enregistrements, notamment Subways Are for Sleeping, Piano, Strings and Moonlight et Kaléidoscope, qui reflétaient l'influence d'Art Tatum et d'autres artistes de jazz. En 1964, Grusin a quitté The Andy Williams Show pour écrire de la musique pour des films cinématographiques. Il a déclaré dans Down Beat : 'Obtenir le premier devoir est toujours le plus difficile car si vous n'avez jamais écrit auparavant, personne ne veut en parler'. Je serai toujours reconnaissant à Norman Lear et au Bud d'avoir tenté ma chance et de m'avoir engagé pour Divorce American Style. ' Tout au long de sa carrière, Dave Grusin a écrit et arrangé des partitions pour plus de 50 films, dont The Graduate, Heaven Can Wait, The Goodbye Girl, Reds, On Golden Pond, Tootsie et Tequila Sunrise, et pour des émissions de télévision telles que Baretta et St. . Autre part. Nominé quatre fois auparavant, il a remporté un Oscar en 1989 pour la partition musicale qu'il a composée pour le film The Milagro Beanfield War. Son occupation principale - écrire et arranger des partitions musicales pour des films - n'a pas dissuadé Grusin d'entreprendre un travail supplémentaire dans le domaine de la musique. En 1976, il a commencé à produire des disques avec son partenaire Larry Rosen, qu'il avait rencontré plus tôt lorsqu'il avait embauché Rosen comme batteur pour le groupe d'Andy Williams. Les musiciens ont commencé comme producteurs indépendants, mais ont finalement formé leur propre maison de disques, GRP Records, en 1983. De nombreux albums à succès de divers artistes influencés par le jazz ont suivi, et les producteurs ont été acclamés par la critique et de nombreux prix. En 1985, Grusin a remporté un Grammy Award pour le meilleur arrangement instrumental d'une coupe sur l'album Harlequin, et au fil des ans, GRP a reçu de nombreux Grammy Awards et nominations ; la société possède une liste d'artistes qui comprend Lee Ritenour, Diane Schuur, Chick Corea, Eddie Daniels, Dave Valentin et Kevin Eubanks. 'Nous ne sommes pas une avant-garde ou un grand label public', a expliqué Grusin à Yanow dans Down Beat, 'mais nous ne sommes pas non plus intéressés par la création d'une sorte de formule new age. Nous sommes à l'aise dans un type de jazz fusion qui semble aller quelque part et qui continuera à se développer. La réaction critique aux interprétations de GRP du jazz contemporain varie. Un critique de High Fidelity a décrit les enregistrements GRP comme «principalement légers», se concentrant sur un «produit plus doux, souvent électrifié». Bien que Robin Tolleson ait qualifié un numéro de Grusin de ' bonbon pour les oreilles ' dans une critique de Down Beat , Stereo Review a noté le ' penchant de GRP Records pour une production soignée '. En 1986, Grusin a déménagé à Santa Fe, au Nouveau-Mexique, réalisant un désir de vivre près des montagnes Rocheuses. Il décide de faire un album en 1988 avec son frère, le claviériste Don Grusin, et les deux enregistrent le duo électronique Sticks and Stones. Bien que son temps soit extrêmement limité, le musicien et homme d'affaires aux multiples talents aspire à atteindre un objectif de carrière supplémentaire : 'Un jour, j'aimerais écrire un morceau sérieux de musique classique', a déclaré Grusin à Yanow dans Down Beat. 'Je trouve cela difficile à faire dans une vie pleine de missions, mais je veux éventuellement composer de la musique non-jazz dans une veine contemporaine.' La carrière de Dave Grusin A commencé comme pianiste, est devenu directeur musical et arrangeur pour The Andy Williams Show, au début des années 1960 ; auteur et arrangeur de partitions musicales pour de nombreux films, dont Divorce American Style, 1967, The Goodbye Girl, 1977, Heaven Can Wait, 1978, Reds, 1981, On Golden Pond, 1981, Tootsie, 1982, The Milagro Beanfield War, 1989, Tequila Sunrise, 1988, and For the Boys, 1991; et pour les émissions de télévision, y compris St. Elsewhere et Baretta. Producteur de disques, 1976-- ; cofondateur de GRP Records, 1983. Oeuvres célébres Selective Works Subways Are for Sleeping Epic. Piano, Strings, and Moonlight Epic. Kaleidoscope Columbia. Dave Grusin and the N.Y./L.A. Dream Band GRD. Night-Lines GRD. Mountain Dance GRD, 1979. Out of the Shadows GRD. One of a Kind GRD. Cinemagic GRD. The Dave Grusin Collection GRD. The Gershwin Collection GRP Records, 1991. With Lee Ritenour Harlequin GRP Records, 1985 Festival GRP Records, 1989. Rio Elektra/Musician. On the Line Elektra/Musician. Earth Run GRP Records. With Quincy Jones Body Heat A & M. I Heard That! A & M. With Earl Klugh Earl Klugh Blue Note. Living Inside Your Love Blue Note. Other (With Don Grusin) Sticks and Stones GRD, 1988. (With GRP All-Stars) GRP Super Live in Concert GRD, 1988. (With Eddie Daniels) Blackwood GRD. (With Kevin Eubanks) Face to Face GRP Records. (With Ray Brown) Brown's Bag GTI. (With Art Farmer) Crawl Space CTI. (With John Klemmer) Barefoot Ballet ABC. (With Harvey Mason) Marching in the Street Arista. (With Sergio Mendes) My Favorite Things Atlantic. (With Gerry Mulligan) Little Big Horn GRP Records. (With Grover Washington, Jr.) A Secret Place Kudu. Read the full article
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fred-the-curator · 5 months ago
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JME "Grime MC" (2019) : L'album qui a fait bugger Spotify (et c'est voulu)
JME "Grime MC" (2019) : L'album qui a fait bugger Spotify (et c'est voulu) Jme, de son vrai nom Jamie Adenuga, est une figure emblématique de la scène grime britannique. Frère cadet de Skepta, il a cofondé le collectif Boy Better Know, véritable pilier du genre. "Grime MC", sorti en 2019, marque un retour aux sources pour Jme, qui a choisi de distribuer l'album uniquement en format physique, un pied de nez à l'ère du streaming. "Grime MC" est un condensé de 18 pistes, pour une durée totale d'environ 50 minutes. L'album est un pur produit grime, avec des BPM élevés, des basses lourdes et des synthés sinistres. L'ambiance est résolument underground, fidèle aux racines du genre. La production de "Grime MC" est un retour aux fondamentaux du grime. Jme utilise des logiciels comme Logic et Fruity Loops, mais aussi des outils plus inattendus comme une PlayStation ou un Nokia. Les beats sont bruts, les synthés menaçants, et les basses omniprésentes, créant une atmosphère à la fois nostalgique et innovante. Les paroles de Jme abordent des thèmes variés, allant de la critique de l'industrie musicale à des réflexions personnelles sur la vie et la société. Il utilise souvent l'humour et les références à la culture geek pour faire passer ses messages, rendant ses textes à la fois profonds et accessibles. Jme brille par sa diction claire et son flow précis. Il sait captiver l'auditeur avec des punchlines mémorables et des moments de bravoure vocale. Les collaborations avec des artistes comme Skepta et Giggs ajoutent une dimension supplémentaire à l'album, chaque invité apportant sa propre énergie. Jme a produit certains des beats de l'album en direct sur Twitch ! Une manière pour lui de rester connecté avec ses fans tout en montrant les coulisses de sa création musicale.     "Grime MC" est un must pour tout fan de grime qui se respecte. Si vous aimez les beats lourds, les paroles incisives et l'authenticité brute, cet album est fait pour vous. Il s'adresse aussi bien aux puristes du genre qu'aux nouveaux venus curieux de découvrir ce qui fait vibrer l'underground londonien.  via Blogger https://ift.tt/ZixmRWO July 04, 2024 at 09:00AM
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learnthingsfr · 11 months ago
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coco-colada · 11 months ago
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Mes 25 albums préférés de 2023 classés selon leurs pochettes (1 sur 2)
Qu'est-ce qui influence le plus votre appréciation lors de l'écoute d'un album? Est-ce la musique, les paroles, la vibe, sa signification, l'originalité de sa proposition? 🤔 Biensûr que non, c'est évidemment la pochette! 🙂 C'est pourquoi, une fois de plus, je vous propose une liste de mes albums et EPs préférés de l'année classés selon mon opinion de leur cover. Bonne lecture!
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25. Guhn Twei - Glencorruption
(hardcore, environnementaliste, queb)
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La musique, les paroles, le message, le nom de band: Guhn Twei ont presque tout pour plaire! Ce goupe de hardcore sort un excellent premier album et celui-ci est entièrement dédié à critiquer et mettre en lumière les actions dégueulasses faites par Glencore, une entreprise dévouée à empoisonner le peuple de Rouyn Noranda et à détruire l'environnement. Le chanteur a tellement l'air en tabarnak sur cet album, c'est vraiment contagieux et je salue leur combat!
fuck votre criss de multinationale de bandits à cravate fuck votre câlice d'usine gang d'osties de pourris sales
Toutefois, pour accompagner leur musique on ne peut plus punk, le band a choisit la pochette la moins punk possible soit: une faites par AI. Exceptionnellement, cette entrée dans la liste sera très longue et je m'en excuse, je ne vous en voudrai pas de passer au numéro 24 si vous ne souhaitez pas lire de longs paragraphes fâchés ou je me vide le cœur. 😅 Bon, tout d'abord, mettons de côté la qualité affreuse et homogène de ''l'art'' AI. L'incroyable difficulté qu'ont ces outils à créer une œuvre esthétiquement belle et complète est un point que l'ont peut aisément critiquer. Quiconque utilise de ''l'art'' faite par intelligence artificielle pour vendre un produit témoigne d'un profond manque de respect envers son auditoire en leur offrant une œuvre horriblement laide, luisante, visqueuse et dénudé de toute once d'originalité. Toutefois, l'aspect technique de ''l'art'' par AI va certainement s'améliorer avec le temps. C'est pourquoi je passe immédiatement à mon prochain point: ''L'art'' par AI est un procédé ultra-capitaliste et n'aura jamais rien d'artistique. Déjà, nous sommes enseveli.es par les déchets AI, essayez de chercher quoique ce soit sur google images sans ajouter ''-ai'' ou ''before:2022'' à votre recherche, et vous allez avoir peine à trouver de véritables références tangibles et réels. Ça me désole d'entrer dans cette ère irréversible dans laquelle l'accessibilité aux échanges sincères et à la création humaine sera extrêmement ardue. Bien que cette réalité me fende le cœur, je ne peux pas dire qu'elle me surprenne. Je ne m'attends à rien de moins des grandes compagnies qui ne cherchent qu'à maximiser leur profits, et je ne m'attends également pas à ce que les citoyen.es moyen.es sachent faire l'effort de différencier l'art réel de la bouilli d'AI. Par contre, je suis abasourdi, triste et en colère quand cette imitation d'art capitaliste est utilisée par d'autres artistes, comme par exemple, des artistes musicaux. En faisant appel à cet outil grotesque, vous manquez profondément de respect aux artistes visuels et vous faites preuve d'un terrible manque de vision. Quand la musique, les paroles, les arrangements et les beats seront également faits en masse par AI, que la spontanéité, l'originalité, et l'émotion humaine sera chose du passée dans VOTRE forme d'art, vous allez peut-être regretter de vous être positionné.es du côté de ''l'art'' instantané. Je comprends que s'opposer au progrès technologique peut sembler idiot, et j'en convient, totalement inconséquent. Toutefois, ce dit ''progrès'' a été pensé pour être bénéfique, non pas aux artistes, mais bien à la classe dominante du sytème capitaliste. Nous nous enfonçons, qu'on le veuille ou non, dans une ère catastrophique pour l'art et j'encourage donc tous.tes les artistes à faire preuve d'un peu de compassion et à cracher sur cet outil. Je vous garantie que n’importe quel pièce d'art, de n’importe quelle qualité, de n'importe quel médium, est infiniment plus intéressante que quoique ce soit qu'un de ces générateurs par AI puissent produire.
Comme disent eux-même Guhn Twei:
parce que ne pas s'opposer c'est se positionner
Bien qu'elles soient collées dans la liste, il existe un gap infini entre cette 25e position et la suivante, qui elle, a la décence d'avoir achevé sa vision en un produit finit.
24. Ragana - Desolation's Flower
(black metal, doom, antifacist)
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Super sick album. Il parle de combats importants, sur l'identité queer et la lutte anti-capitalisme et Ragana arrive à les traiter avec une intimité palpable. Autant dans sa rage que dans sa désolation, le duo californien se vide le cœur et propose un projet qui pourrait plaire à n'importe quel.le fan de musique aussi lourde que sensible.
Toutefois, ce cover de type ''faces dédoublées en rond formant une genre de couronne en noir et blanc'' est loin d'être à la hauteur. Pourquoi pas un décor intéressant à la place? Ou un cadrage différent? Honnêtement n'importe quoi d'autre plutôt que ce rond faciale complètement absurde.
23. Cross Check - Demo 2023
(hardcore, queb)
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Du gros hardcore montréalais qui navigue habilement les vagues brutales sur des riffs accrocheurs.
Deux joueurs de hockey qui se câlissent des poings sa yeule: ça fait en masse la job. Mais ça reste pas grand chose. Je pense que ça aurait pu être plus impactant de prendre plutôt une photo vintage de la même scène, ça feelerait plus raw.
22. Ashnikko - Weedkiller
(pop, hip-hop, trap, nu metal)
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J'ai adoré cet album 🙂 Banger après banger après banger, Ashnikko nous offre un projet très rythmé, agressif et surtout très l'fun! Une odyssée fantastique avec des beats clownesques (WEEDKILLER), metal (You Make Me Sick!) et désertiques (World Eater, Cheerleader). Je recommande chaudement!
Ce cover est fade par exemple, trop muddy. On dirait une scène d'action d'un film de Marvel moyen où le décor consiste d'un skybox laid avec 3-4 vieux morceaux de béton en CGI. Pourtant, il y a moyen de rendre le style post-apocalyptique très beau tout en restant gritty. Je pense entre autre à Mad Max Fury Road qui utilise majoritairement des décors et des pièces physiques pour peindre son univers!
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21. SEMATARY - BUTCHER HOUSE
(trap metal, experimental hip-hop, witch House)
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Fidèle à ses habitudes, SEMATARY propose ici un album très abrasif. La douce chanson où il chante une sérénade aux policiers est restée en rotation dans ma playlist toute l'année!
Burn a cop car Burn a cop car Throw a molotov Burn that fucking pig alive
Toutefois, le projet manque un peu d'originalité. Il y plusieurs tracks qui ont une influence western, j'aurais bien aimé voir cet aspect exploité davantage.
Le cover est, lui aussi, assez sage et convenu pour un projet du rappeur. Il présente une certaine qualité crasse, mais il semble quasiment faire une pastiche d'autres covers de SEMATARY, sans pour autant accéder à leur niveau.
20. Lepra - Devil's Blood in Her Tongue
(black metal, gothic rock, post-punk)
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Très heureux d'avoir découvert ce groupe unique cette année! Lepra propose du rock gothique super sympathique. Mêlant la voix théâtrale de la claviériste avec les screams de la bassiste, le band arrive étonnamment à créer un son cohésif en passant des bouts plus heavy et spooky aux airs post-punk dansants.
La pochette, bien que loin d'être laide, est un peu ennuyante. Je n'ai pas de problème à ce que son format soit adapté pour les cassettes, mais l'illustration manque d'impact en étant réduite à cette taille. Aussi, c'est quand la dernière fois qu'une pochette blanche a été belle?🤐
19. Quadeca - SCRAPYARD I-II-III
(experimental hip-hop)
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Parlant de pochette blanche. Quadeca a fait paraître une série de trois EPs nommés ''SCRAPYARD'' et pour en parler j'ai choisi la pochette du II car c'était mon projet favoris du lot. Le grand vide et la qualité aqueuse de l’illustration collent bien au projet, je crois. C'est correct chill mais au final c'est pas grand chose.
Par contre les EPs étaient très cools, la production est champs gauche et elle privilégie une approche sensible à fleur de peau. J'aime particulièrement la track DUSTCUTTER. Les bouttes où Quadeca est comme à bouts de souffle, c'est nice.
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18. FUUDGE - …qu'un cauchemar devienne si vrai
(grunge, psychédélique, stoner, rock)
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FUUDGE nous a habitué à des projets de très haute qualité et, comme à chaque fois, ils ont répondu aux attentes. Du gros rock sale intelligent et un peu quirky, qui s'assume et qui est lourd que le criss.
Visiblement ce style visuel là, d'illustrations en tons de beige et de bruns, est affectionné par le band. J'avoue que ça me parle pas particulièrement, mais bon ça va. Rendu là faut au moins reconnaître que le groupe s'est créé une identité propre à eux facilement reconnaissable.
17. Dawn Ray'd - To Know the Light
(black metal, doom folk, antifacist)
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Dawn Ray'd s'est malheureusement dissout plus tôt cette année, mais tout juste avant, ils ont fait paraître cet album franchement magnifique. J'ai découvert ce groupe avec ce projet, et le moment où ça cliqué pour moi fût à ma première écoute de la toune Freedom in Retrograde. Avec ses airs d'hymne traditionnelle chantées sur un fond folk, les paroles étaient plus évidentes à comprendre que sur les tounes où elles sont geulées . Des appels francs et directs à la lutte contre le facisme et des slogans rassembleurs pour nous accompagner dans ce combat. 😤🔥
Though I have this creeping feeling That the dark is closing in, I still will fight for freedom for every living thing. If you still sing, then I'll still sing If you still sing, then I'll still sing
J'adore la photo sur cette pochette. Si celle-ci avait été utilisée seule, ou presque, je crois que ce cover aurait été beaucoup plus beau: une photo en couleur, poignante, toute en contraste, baignée dans la chaleur et le réconfort d'un feu anti-faciste. Toutefois, le format rectangle bizarre utilisé, le cadre et le texte peu attrayants ne lui rendent pas justice.
16. Maxime Gervais - Torse Nu
(post-punk, rock, lo-fi)
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Continuant dans la même lignée que pour ses derniers albums, Maxime Gervais offre un album garage punk-ish, catchy, avec des paroles sympathiques, absurdes et sensibles. Mention spéciale à la chanson Déjà vou qui évoque, je trouve, les meilleurs scènes d'un coming of age movie qui n'existe pas.
La pochette est chill, mais ce petit bleu pâle ne me revient pas. Je pense vraiment qu'avec un autre choix de couleur ce cover aurait pu être plus attrayant. C'est tu juste moi?
15. Banshee - BIRTH OF VENUS
(club, witch house, trap metal, féministe)
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Après Fairy Metal et Fairy Phonk Banshee livre ici un projet aux sonorités plus house, sans biensûr délaisser son côté plus agressif. On passe facilement d'une grosse toune trap metal (YES ALL MEN) à un banger house (take me to the oceanside), puis à un heureux mélange des deux (BIRTH OF VENUS). Pourquoi choisir entre danser et rager quand on peut faire les deux!
L'art de la pochette est en parfaite concordance avec l'artiste. Une légende vengeresse face à laquelle on ne peut qu'être admirateur.trices.
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14. Frost Children - SPEED RUN
(hyperpop)
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Frost Children s'est bâti un son assez similaire à des artistes de pop maximaliste tels que 100 gecs. Le duo livre de solides bangers, mais il a de la difficulté à créer un album complet qui soit efficace, la deuxième moitié de SPEED RUN en est la preuve.
Je vous le cacherai pas, on est pas mal dans la partie plate de la liste: Le milieu. Ici reposent les covers qui ne sont ni horribles, ni géniaux. Celui-ci, par exemple, est cute et il fit bien avec la vibe désorientante de l'album, mais il a été monté bizarrement.. l’amas d'éléments en haut est un peu random.
13. Yameii Online - CANDY
(digicore, hip-hop, rap, vocaloid)
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Yameii Online est une rappeuse virtuelle programmée par Deko (artiste que nous allons d'ailleurs revoir un peu plus tard). Cet album est super l'fun, il donne le goût de gamer et de faire le party!
Le cover est exactement à l'image du projet: super cute, coloré et remplit de personnalité avec tous ses petits personnages. Il feel toutefois un peu unidimensionnel, dans le sens qu'il n'apporte absolument aucune subversion par rapport au genre de musique qu'il représente, c'est exactement à quoi on s'attend.
Partie 2 de la liste (#1 à 12) 😎👉👉
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s12023artnum · 1 year ago
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L’inspiration des technologies dans le domaines du jeux-vidéo
Aujourd’hui j’aimerais vous parler des technologies générales dans les jeux-vidéos plus précisément nous prendrons l’exemple de la VR et nous verrons l’apport ainsi que les derrière liées à celui-ci.
Pour traiter de ce sujet nous aborderons 3 parties étant les suivante : 
L’apport de la réalité virtuelle (VR)
les avantages et inconvénient en générale 
Conclusion
Dans ces différentes parties nous aborderons des problématiques en nous permettant d’imaginer une solution à certaines questions.
I)
De nos jours, les jeux vidéo tendent à une haute performance accompagné du qualité grandissante tendant vers des détails réalistes jusqu’à l’invention la plus immersive jamais réelle qui est la réalité virtuelle.
Mais qu’est-ce donc la réalité virtuelle ?
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Cela permet de s’immerger dans des jeux, dans des vidéos, un documentaires,etc. Généralement avec un casque de réalité virtuelle permettant une immersion d’autant plus important. Cette technologie à permis de faire un grand pas pour l’innovation jeux-vidéo qui a permis de multiples créations que ça soit dans un film (ready player one) ou dans l’industrie du jeux-vidéos (beat saber x).
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Pour l’illustrer des avantages et des inconvénient voyons la représentation qui est faite de la VR dans Ready player one.
Ready player one est un film nous contant l’histoire d’une terra au bord du gouffre où l'humanité s'est réfugiée dans un métaverse (monde virtuel) nommé l’OASIS. Nous voyons que l'humanité est devenue dépendante de ce métaverse qui a pris une place importante dans leurs vies. Le but du périple de Wade Watts (personnage principale) est de trouver l’easter-egg du jeu permettant de prendre le contrôle du jeux (par la même occasion le contrôle d’un métaverse ou l’humanité y est très présente), une fois les épreuves passées l'équipe que nous suivons prendra la décision de réduire l’accès à l’OASIS. Nous voyons donc qu’il y a plusieurs avantages comme une plus grande liberté de créations, une immersion plus importantes et tout un tas d'ajouts futurs à venir qui révolutionneront les domaines. Mais il y a aussi de nombreux inconvénient que met en avant Ready player one : l’indépendance du monde virtuelle menant à une perte de notre vie dans le monde réel et à une trop grande dépendance et pour lutter contre cela nous voyons que le film nous propose une film ou il faut limiter l’utilisation de ce genre d’invention.
En outre, il faut donc utiliser avec parcimonie ce genre d'outils technologie car bien que inspirant pour une continuité de création de nouvelles technologie cela peut avoir des dérives très importantes qui peuvent mener l'humanité à sa perte. Dans ce cas la comment faudrait-il évoluer la technologie sans risque ? Je vous laisse l’imaginer !
Passons désormais aux avantages et inconvénients que l’on peut retrouver dans des technologies aidant à la création de jeux-vidéos.
Nous pouvons désormais utiliser de nombreux outils aidant au développement de certains jeux comme des moteurs de jeux vidéo permettant une illustration plus simple de certains jeux afin de laisser une plus grande partie pour la créations artistique du jeux (design des personnage, mapping, fil rouge du jeux, etc). des logiciels comme unreal engine (création du jeu (collision, game design, etc) ou bien blender (aide à la modélisation 3D pour les personnage) et beaucoup d’autres. On voit donc que ces logiciels sont très pratiques et permettent une liberté artistique plus grande et donc une inspiration aidant à de plus grandes originalités dans le monde du jeu vidéo. 
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Les bons côtés sont aussi toujours suivis de mauvais dans lesquels nous pouvons retrouver : une plus grande attractivité pour certains jeux de part l'expansion des technologies impliquant une plus grande dépendance à certains jeux augmentant les problèmes liée à la dépendance des jeux comme un temps d’écran élevé ou bien une agressivité accrus (notamment pour certains jeux). Les innovations technologiques sont à prendre très au sérieux afin de ne pas se faire contrôler par la dépendance qu’elles pourront créer et donc une vigilance et un contrôle assez grands est vivement recommandé.
Pour conclure, laissez moi vous donner mon avis sur ce que peuvent nous apporter les nouvelles technologies dans le monde des jeux-vidéos. Pour moi ces innovations sont très importantes pour une évolution de qualité dans le monde du jeux-vidéo, étant un grand joueur depuis d’anciennes génération (PS1, Gameboy, …) J’affirme que les innovations qu’il y a eu ne sont pas pour me décevoir mais je remarque aussi qu’ils me rendent plus accros à ces jeux de part les nombreuses idées de gameplays ou de game-design qu’il y a eu. Il est évident que l’inspiration dans le domaine à grandis car le nombre de jeux de catégories différentes est très élevé ce qui permet à tous d’y trouver son compte. C’est pourquoi je suis pour une continuité toujours plus grandissante des technologies du jeux vidéo sans pour autant délaisser les contrôles sur les risques liés à ces innovations.
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Mais cette évolution mènera-t-elle à une trop grande dérive ?
Je vous laisse sur cette question !
Sofiane Chaouch
Sources : 
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radioroquette · 1 year ago
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RR17—13# Les programmes du vendredi 17 novembre au dimanche 17 décembre
Les créations sonores de RR * Maxwell Sterling, Leslie Winer « Tenderness » En attendant la plage —écritures contemporaines * AC Hello, Lou Achard, Patrick Sirot & les Editions Plaine Page, TLP 6ème éd. L’interlude musical et pimenté de Thomas * Congo-Brazzaville, France & Algérie La voix du large de Lili Le Gouvello * Journal en vrac Le billet cinéma de Benoît Muller * Journal cinéphile d’octobre La part des femmes aux Chantiers Navals de La Ciotat * Portraits de Germaine, Anne, Marie-Martine, Sylvie et Aline par Hélène Coeur ≈ un projet porté par la CCU L’interlude musical et pimenté de Thomas * Ghana, Bénin & Sierra Leone L’atelier bleu * 1ère édition du Forum Eco-solutions (en 4 parties) 1 / 4 ¬ « Agir en faveur du climat et du vivant : pourquoi et pourquoi pas ? », Conférence de Stéphane Labranche, sociologue du climat 2 / 4 ¬ Rencontre avec Grazia, de l’association Les Dynamos A suivre les 3ème et 4ème parties, qui seront publiées dans le courant du mois Les découvertes musicales au club Convergences * Le FAN-TAS-TIQUE Mouvman Alé
Les interludes : Les Bantous de la capitale « Bantous pachanga » (Congo-Brazzaville) * Imohtep « Bendir beat 1 » (France) * Cheikha Rimitti « N’ta goudami » (Algérie) ¬ CK Mann Big Band « Fa W'akoma Ma Me » (Ghana) * Orchestre Super Borgou de Parakou « Wegne´Nda M´Banza » (Bénin) * Sierra Leone's Refugee All Stars « Goombay Interlude: Rain Come Sun Come » (Sierra Leone)
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photos-car · 1 year ago
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beatlesonline-blog · 2 years ago
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mysteriis-moon666 · 1 year ago
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WATAIN - Die in Fire - Live in Hell
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Plutôt que de prouver sa puissance par des actes sournois et imprudents démontrant une source de force inconstante, l'homme sauvage met la bête indomptée au service de la vérité, se levant comme un protecteur féroce pour défendre ceux qu'il aime.
Watain est un groupe de black metal suédois, originaire d'Uppsala, formé en 1998, et dans ses feux vous entendrez les étincelles de Bathory, Mayhem, Mercyful Fate, Samael, Dissection.
Ce live de Watain en imprime le courroux bestial avec son black metal déchaîné. Dans cette ode de riffs taillés dans le diamant, ces courbes mélodiques imputrescibles nées de la fonte des neiges et de l’âge de fer, ce chant venu des limbes, le ton général est noirci en blast beats furieux et incantatoires.
Rappelez-vous ceci : pour nourrir votre spiritualité rien n'est profane, tout est irréligieux. Ce disque est le sang chaud de la pratique spirituelle. Il brise le tabou impie. Il est un chemin de foudre, rapide, joyeux et féroce. Certains titres vous touchent comme une douce pluie printanière, d’autres sont un orage sauvage de l'été bouillonnant de création, de destruction, de félicité et de vide. Ce disque est bestial. Si vous l'approchez avec la bonne motivation, la bonne intention et l'intégrité, il vous laissera lui téter le sein ; mais si vous venez vers lui d'une manière bâclée, il déchirera votre corps-esprit, vous mangera pour le dîner et chiera ce qui reste.
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lesdupont · 2 years ago
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VIDEOMUSIC VOL.2 Seconde compilation des clips du groupe électro français "Les Dupont". Ici, pas moins de 120 minutes de vidéomusiques sont au rendez-vous et couvrent une période particulièrement fertile de 2017 jusqu’à aujourd’hui. Remontées par Didier Blasco, membre du groupe et réalisateur (FEMIS), ces images d’archives mettent en relief les liens qui n’ont cessé de se développer entre le cinéma underground et les musiques électroniques. Initié en 1995, date de la création du groupe, ce travail a été lauréat en 2013 du concours Public Domain Remix organisé par l'Open Knowledge Foundation et Wikimedia France, associations qui ont pour but de mettre en valeur le domaine public. L’année suivante l'IRCAM a en projeté une sélection en première partie de Jackson & the Computer Band à l’occasion du concert électro IRCAM Live 2014. Suit une série de clips remarqués, dont Pacific 202 sur des images d’archives du Boy, ancien nightclub parisien à l’origine de la house et du New-Beat en France, Music For Ghost réalisé par Sophie Blondy (prix de la meilleure photographie en noir et blanc au festival Santa Monica Shorts Films 2021), et Tout Petit la Planète, reprise du titre de Plastic Bertrand, sur des images SF délicieusement vintage. https://urlz.fr/iTPJ #video #videogames #videos #videooftheday #Videography #videogame #videotutorial #videographer #VideoShoot #videolucu #Videoclip #videoproduction #videogram #videogameaddict #videogamer #videoart #videomaker #videomarketing #videoedit #videohot #videosfashions #videostar #videodiy #videoediting #videoedits #videojuegos #videogaming #videoporn #videoshow #videomaking https://www.instagram.com/p/Cl7KnIMtiFB/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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childofturks · 3 years ago
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Hello, ça va?
J'ai pas envie de le faire en anglais, j'ai un peu la flemme xD mais si tu veux y répondre en anglais, français ou même grec (bon, c'est chaud là), vas y, ça ne me dérange pas (c'est sûrement même mieux d'y répondre en anglais pour les autres fans de ce perso)
Donc petite demande de Reeve x fem!reader.
Reader a voler Cait Sith (n°7) à Reeve et s'est enfui avec.
Reader travaillait autrefois pour Reeve et prenait quelques cours d'ingénierie avec lui, trouvant l'endroit où il cachait ses créations, comme les nombreux Cait Sith.
Faisant partie d'Avalanche, elle a voler la technologie du chat robot pour pouvoir la reproduire mais s'est finalement rendue compte que le temps passer avec Reeve, en espionne à la Shinra, avait eu raison d'elle. Elle est amoureuse.
Elle recontacte Reeve grâce à Cait Sith et s'excuse, lui avouant ses sentiments.
Voilà voilà 😁
Merci !
Requested : A Fem!Reader x Reeve Tuesti Themes : Adventure/Romance/Oneshot Pairing : Female Reader x Reeve Tuesti (FFVII) ------ "It's been weeks... weeks ! and still, it's like we're still at the same point. Ugh.. " you said to yourself while looking at nothing but your wall of your apartment you got thanks to Avalanche since you worked for them after your discreet treason you've done against Shin-Ra by a being a spy in disguise. You actually lead a small team of Avalanche's unite since you proved yourself trustworthy to their eyes. After sighing and complaining in your corner, you decide to train yourself a little bit before doing a mission on the following day. After the mission, as you come back to your own apartment, you decide to take a moment for yourself. In a hot bath. You could tell your job as spy was hard and dangerous but somehow, it's been a few days already you felt something heavy in your heart. You didn't know yet, but when relaxed in your bath, you start remembering of back in the days when you were a false employee for Shin-Ra's Urban Development, you smile at the thought of being taught some new skills thanks to one director : Reeve Tuesti. Finding yourself smiling at that thought made you shake your own head, like it was a silly idea to smile by thinking about a man that you betrayed a few weeks after you completed your task at Shin-Ra. Even thought, just this small souvenir of that moment, made your heart skipped a beat, and you sigh, disgusted at first for being so stupid to have smiled for such things. After your bath, still in your daydreams, you stare at this animatronic you stole on your last day as false employee and all was clear. You started to feel some regrets, especially that you deeply knew Reeve Tuesti wasn't a bad person at all and you stole something from him. Days go by, and even if you do your missions for Avalanche correctly as they asked of you, you start to think more and more about Reeve Tuesti. One evening, after a long day at work, you come home, and before you start having dinner, you go to see that animatronic again you put in a small room near your own bedroom and stares at this cat machine. It was all clear now. You have feelings for a man that is out of reach now but your heart beats faster as you just say. "Why..." but you took your evening to remember how could this happen, he's from Shin-Ra and you're devoted to Avalanche. It can't work out. But to you, deep within your heart, a small hope starts to grow. You spend the whole night, sleepless, trying to figure it out how to make this work, how to ease your mind to be honest, but it was as clear as crystal water, you needed to see him one more time. So, you look into your stuffs to find something related to Reeve and after hours and hours of research, as the sun rises, you finally found his phone number back again. It was in the middle of your mess. You find yourself trying to write a proper message to make sure he wouldn't refuse to see you again. "Hello, Mr Tuesti, I don't know if you remember me, I'm (y/n)... I know I have left work without leaving a trace, and I feel guilty about it, really. I'd love to meet you again to explain everything better, not through phone's texts. Please, accept my invite and let's meet on the Loveless Avenue, near the theatre of that avenue, tonight at 8pm. See you later." You close your phone before preparing yourself, with that hope he'd accept to see you there as well. Reeve Tuesti, was still working hard on his projects for the company, and when he received a notification on his phone, he got very surprised it wasn't from the superiors nor anyone from Shin-Ra, but it was from you. He does remembers you as remembers your phone number and after a few seconds of thinking, he reads your message, and of course, he types the answer. "I'll be there." without any negative thoughts but he really hoped to understand things better after this confusing return of events. You dressed like any normal person living in big cities, with simple clothes not to spoil your true identity as
Avalanche's member and you wait peacefully at the Loveless Avenue, and you noticed quickly a luxurious car coming near you, it was him. Reeve Tuesti. Your heart rushed when you see him in front of you. But you kept your calm even if it was slightly difficult for some reasons. Reeve looks at you, without any disrespectful ways, and breaks the silence first. "Good evening, (y/n). You wanted to see me, tell me, what's going on?" As he asked, you answered him gently. "Good evening, sir.. I wanted to see you because... I regret to have abandonned you like a person would abandon its pet. It was bad of me, I recognize it. I... I also, wanted to tell you something that has been on my mind for quite a while now." Reeve simply nodded listening to you and made you a sign for you to get in his car to discuss in private properly. You accepted and got in his car. Once in the car, you finally could ease your beating heart a little, and Reeve looked at you, with still kindness in his eyes. "I am listening." You took a deep breath before telling him what's in your heart and mind. "I think... I think I am in love with you. I don't know why or how it happened but it happened and even if today, I work against Shin-Ra, I want to spare your life, I want to be part of your life more than I wanted to believe I wanted... I know it's not right, you work for Shin-Ra, and I don't and - " Right before you could try to explain further the depths of your sentiments, Reeve puts a finger on your mouth, smiling, almost amused but flattered, for you to stop talking before he has to say something back. Reeve removes his finger from your lips and talks to reassure you a little. "I don't mind you working for Avalanche, 'cause I knew you were part of them. It's actually brave of you to tell me you feel for me and to be honest, I haven't spent a day thinking about you, I was worried for you but thankfully, you're still alive and it's all that matters to me." He didn't want to say more as he approaches his face to yours to kiss your lips with tenderness in his act. You didn't move at first when he kissed you but you returned the same kiss to make sure you weren't dreaming. "I forgive you, (y/n), I know you have one of my animatronic, keep it." --- Requested by my good friend @electric-turks and also dedicated to all Reeve Tuesti's fans out there ! Hope you enjoyed reading this little fanfiction I just wrote.
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radioroquette · 4 years ago
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RR#8 * Les programmes du samedi 22 mai
• Les créations sonores de RR >< Jean-Marc Montera « What’s up * Femmes de la Beat Generation » (part 2 : Sunrice Blue) (7’22) • Parle-moi ta langue >< Le proverbe russe d’Olga (1’) • La minute poétique de Patrick >< Hommage à Bernard Noël (2’45) • La voix du large par Lili le Gouvello >< Michel Nuti * Au son du galoubet (12’16) • Le billet cinéma par Benoît Muller >< « The Disciple » de Chaitanya Tamhane & circonvolutions (12’46) • L’interlude musical et pimenté de Thomas (10’) • Ecritures contemporaines >< Jean-Luc Parant * Poète de la sphérité  (19’44) • L’instant contrebasse d’Emmanuel Soulignac >< Botosani (1’24) • Lettres de prison par Annie (4’08) • La ville sans salades ni ambages par Sébastien Madau >< A votre santé ! (4’19) • Le musique mix de Pablo (10’) • La roquette en société >< Marche pour le climat (27’12) • Prouvez à vos amis que vous avez du génie par Lola & Pablo >< L’énigme de Prudence (1’12) • L’interlude musical et pimenté de Thomas (10’) • Les voix singulières >< Gérard Carrodano * Sentinelle de la mer (29’52) • Fluide * L’émission musicale de David >< Du côté de l’Ambient (64’34) • Le feuilleton >< Le Journal du comédien, metteur en scène & dramaturge Jean-Luc Lagarce (part 3) (14’56)
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