Tumgik
#coupe bol
oyabuncongress · 4 months
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kyuala · 2 years
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HE TOLD US HE'D BE BACK!! YOU CAN'T BURY THE LEFT WING IN THIS COUNTRY
#you guys brazil's history in the last 10 or so years have been so fucking insane#what started as a general discontentment over a rise in the public transport fare prices somehow turned into#an unprecedented reactionary extremist right-wing wave that only got worse and worse through the years#our first and only woman president suffered a literal coup and in the 2 years we were governed by the mild right#a politician who did nothing - and i do not say this lightly - literally NOTHING in like 20 years as a deputy gained so much popularity and#social media attention using nothing but hate speech fake news and the instrumentalization of the Christian faith and masses#somehow won over the public opinion - thru dishonesty n prejudice that's how - and was elected president. that's bols*naro#his mandate was marked by lies prejudice incompetence and negligence. thousands of ppl were literally dying in brazil everyday bc of covid#and u know what he did? mocked them. said he wasn't an undertaker so it wasn't his problem. mocked ppl's difficulty to breathe. caused a#animosity in the population against SCIENCE and health organizations. schemed to overprice when buying vaccines when companies were willing#to give them to us literally for free so the government could cash in. not to mention he dismantled federal operations against crime just#bc they were the left-wing govt's legacy he messed with the legitimacy of the federal police when it went after his sons he created a#scheme to divert public money into politician's pockets instead of employing the resources in u know. the public collective well-being#his govt created a law to protect said politicians and hide the money for 100 FUCKING YEARS from public records#the lost money already amounts to over 65 billion reais. that's roughly 12 billion dollars in taxpayers money. all lost#and he and his supporters have the NERVE to say he's an honest man. that he's a Christian. that he represents goodness.#when he did nothing but spew lies and prejudice and kill us and fuck us over the past 4 years.#his government is the definition of fear politics and necropolitics. it's a stain in the fabric of our country's history. it's never been#anything but a threat to our democracy. our senate n house of deputies r filled with bigoted extremist right-wingers now. but we have hope#now we can have hope! lula has been dishonest and corrupt in the past. he should pay for what he's done like almost every single high#ranking politician in this country should. but not like it was done! after they staged a coup against his ally they unjustly arrested and#convicted him SPECIFICALLY so he couldn't run for president. they KNEW our country would choose him. if he was free bols*naro would've#NEVER won. he's wrong and corrupt and now a convicted criminal turned free man but he represents our country and our democracy!#he's always been our only hope! he's not the right choice but the only choice. and that's how now we have - for the 1st time in history#- not only a president serving a historical THIRD mandate but a president who was arrested and freed between mandates#which is. fucking insane if u ask me#also blsnr is the first president ever in the history of brazil to not be able to be reelected lmfao fucking loser#what's also historical is our divide. lula won by 1.8% can u IMAGINE how split the public opinion is rn#but we won! and we're free of this vermin and on our way to rebuild our country. and i couldn't be happier or feel lighter#and not to mention they tried to stage another covert coup literally during the voting process today 😶‍🌫️ but anyways
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blog-cuisine · 2 months
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Comment cuisiner le manioc !
Le manioc, racine tropicale riche en nutriments, est un ingrédient polyvalent qui peut transformer tes recettes quotidiennes. Que tu sois novice ou expérimenté en cuisine, ce guide te montrera comment cuisiner le manioc de manière simple et délicieuse.
Préparation et cuisson du manioc
Avant de plonger dans les recettes, il est essentiel de savoir comment préparer le manioc. Voici les étapes de base :
Peler et laver le manioc : Enlève la peau épaisse de la racine de manioc à l'aide d'un couteau bien aiguisé. Rince-la ensuite sous l'eau pour enlever toute trace de saleté.
Couper le manioc : Coupe le manioc en morceaux de taille uniforme pour assurer une cuisson homogène.
Cuisson du manioc : Plonge les morceaux dans une grande casserole d'eau bouillante avec une pincée de sel. Laisse cuire pendant 20 à 30 minutes jusqu'à ce que le manioc soit tendre.
Idées de recettes avec le manioc
Purée de manioc
Si tu cherches une alternative aux pommes de terre, la purée de manioc est parfaite.
Ingrédients :
Manioc cuit
Beurre
Lait de coco
Sel, poivre
Préparation :
Égoutte le manioc cuit et écrase-le en purée.
Ajoute du beurre et du lait de coco pour obtenir une texture crémeuse.
Assaisonne avec du sel et du poivre.
Frites de manioc
Envie de frites moelleuses et croustillantes ? Essaye les frites de manioc !
Ingrédients :
Manioc
Huile d'olive
Sel
Préparation :
Préchauffe le four à 200°C.
Coupe le manioc en bâtonnets.
Dispose les bâtonnets sur une plaque de cuisson, arrose-les d'huile d'olive et saupoudre de sel.
Fais cuire au four pendant 25 à 30 minutes jusqu'à ce qu'ils soient dorés.
Gâteau de manioc au lait de coco
Pour un dessert exotique, le gâteau de manioc au lait de coco est un must.
Ingrédients :
Manioc râpé
Lait de coco
Sucre
Oeufs
Beurre
Préparation :
Préchauffe le four à 180°C.
Mélange tous les ingrédients dans un grand bol.
Verse le mélange dans un moule beurré.
Fais cuire au four pendant 40 minutes.
Autres idées de recettes avec le manioc
Tu peux également explorer d'autres recettes de manioc comme le velouté de manioc aux lardons, les galettes de manioc ou même le tapioca, dérivé de la farine de manioc.
Le manioc est une racine incroyablement polyvalente qui peut remplacer les pommes de terre dans presque toutes les recettes. Que tu préfères le manioc frit, en purée ou dans des gâteaux, il y a toujours une façon délicieuse de l'intégrer à tes repas.
Conclusion
Maintenant que tu sais comment cuisiner le manioc, il ne te reste plus qu'à te lancer ! N'oublie pas que cette racine riche en nutriments peut transformer tes plats en véritables délices exotiques. Pour plus d'inspiration, n'hésite pas à consulter des livres de cuisine et à expérimenter avec différents ingrédients comme le lait de coco ou l'huile d'olive.
Bon appétit !
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alexar60 · 1 year
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Changement
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C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue.  Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme  qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question  Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna.  L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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claudehenrion · 6 months
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Je vous souhaite une très joyeuse mort, en pleine fraternité macronienne…
Je n'ai jamais pu trouver d'explication à cette aberration : les mauvaises idées semblent être plus souvent prises en compte et mises en œuvre que les bonnes. Et je crois remarquer une accélération dans le processus actuellement en cours qui veut que de plus en plus d'idées de plus en plus mauvaises fleurissent (?) de plus en plus vite et de plus en plus souvent ! A la veille du Vendredi Saint, quel beau sujet que le dévoiement de notre mort, qui se met en place, dans une débauche de fausses informations, partielles ici, et partisanes, là, mais mensongères, toutes.
Mais pour une fois que les “bouffe-curés” et les “tue-dieu” admettent enfin que la mort peut être vaincue, comme les chrétiens le leur répètent depuis 20 siècles… on ne va pas mégoter notre plaisir, en cette Semaine Sainte où s'ouvre la phase finale de la mise en œuvre de ce caprice macronien, qui sera lancé sans qu'aient été évaluées –même un tout petit peu– les suites à long terme de cette initiative qui a toutes les chances de produire, au mieux, quelques avantages… et au pire des séries de drames dont l'humanité aurait préféré faire l'économie. Décidément, depuis le faux “vaccin” du covid, prendre des décisions mortifères est devenu un “marqueur” du progressisme, cette maladie infantile du modernisme !
Prenons la triple anti-idée terrifiante, qui a pourtant le vent en poupe, de l'invention d'un “droit à l'assassinat légal, au suicide aidé et à la mort par délégation’’. Ces trois modalités d'une même chose, la mort, ont inspiré des raz-de-marée de lavage de cerveau, de viol des consciences, de réinvention du sens des mots, et de détournement de l'attention de tous les vrais problèmes, à la macronie moribonde (NB : méfiez-vous des ultimes spasmes d'un animal blessé : ils peuvent être dangereux et faire beaucoup de dégâts !). Manque de bol, une fois encore, ça a marché, et bien des gens se sont laissés abuser, adoptant les expressions –toutes mensongères– qui ébranle,t l'intelligence.
Le nombre de paraboles, hyperboles, métaphores, fables, mensonges, bobards, et barbarismes qui ont été déversés sur nous par la Presse et la Gauche est très au delà de tout ce qui se pratique normalement. C'est simple : on ne sait plus du tout de quoi ils parlent ni ce à quoi ils pensent (car des milieux “généralement bien informés” m'assurent qu'il en resterait quelques uns qui pensent… Je ne les ai pas trouvés). Et s'il est toujours vrai que “les mots tuent”, c'est le moment où jamais : après, il sera trop tard ! Car depuis que le monde est monde, tuer, directement ou par délégation, un vieillard, un grand malade ou un embryon pas encore né mais parfaitement viable, ça avait un nom : un assassinat.
Mais dans un grand souffle libérateur, la hollando-macronie a tripoté les lettres et les syllabes, jusqu'à inventer les concepts affreux de “mort dans la dignité”, de “preuve de fraternité” (il y a des coups de pied… “occultes”, qui se perdent !), de “liberté de mourir” (et puis quoi, encore !), et de tant d'autres insanités. Nos irresponsables ont été jusqu'à inventer une soi-disant “aide à mourir”… pour le seul moment où aucune aide n'est possible ! Dieu, pour les uns, un “grand ordonnateur” pour d'autres, le “destin” pour d'autres encore, et… “rien” pour les plus pauvres d'esprit… fixe ou fixent le moment où la machine s'arrête, et personne ne peut avoir le moindre effet sur cette décision… si tant est qu'il y en ait une : on a beau bricoler l'horloge du temps, avancer l'échéance de quelques pouillèmes d'éternité, prétendre que “Moâ, ce petit dieu raté, je suis maître de mon corps” ou, comme d'aucuns, se proclamer (tout seul) “le maître des horloges”... c'est baratin & Co.
Car la seule chose qui ne fait pas de doute, c'est que nulle “force de l'ordre”, nul “agent de l'Etat”, nul GIGN, nulle “CRS 8”, nul dossier et nulle procédure “CERFA” ne pourra dire que la date de péremption est dépassée, qu'on a triché en respirant 3 fois de plus qu'indiqué sur la notice d'emploi, ou qu'un tel n'est plus qu'un nom à “zapper”, un sac noir à jeter au tri sélectif–(poubelle jaune) : la vision de la mort que peut avoir un élu macronien (je veux dire : “nul mais élu !”) est rien moins que désespérante… C'est à se demander avec quelle partie de leur corps ces trucs-là pensent ! Pour ces normateurs de l'innormable, “mourir dans la dignité” se résume à passer l'arme à gauche (NDLR : cette expression ancienne est une preuve éclatante que les mots ont un sens !) en se conformant scrupuleusement à un des 2 ou 3 protocoles prévus par une loi qui parle d'autre chose que du sujet de son titre ! Leur mort dans la dignité n'est qu'une mort dans les normes administratives.
Soulagez la souffrance, comme vous devriez apprendre à le faire, bande de Jocrisses, mais arrêtez de prétendre que vous pourriez avoir la plus petite influence sur un changement de nature de la mort : c'est la seule cérémonie à laquelle nous ne pourrons pas nous soustraire, et dans laquelle nous sommes certains de “ne pas avoir la main’‘ ! A l'opposé de leurs fatras fumeux, ’'mourir dans la dignité”, ce n'est pas “raccourcir ce qui ne doit pas l'être”, mais c'est –et ce n'est, ce ne peut être que– donner à chacun de pouvoir s'architecturer intérieurement, de résister aux sirènes trompeuses de l'époque, de trouver des contre-poids à la sous-culture du superficiel, de l'instant, de la trouille permanente, et de l'infantilisation, qui nous maintient dans une ignorance doucereuse et qui tue en nous tout sens moral, toute force spirituelle, toute résistance intellectuelle, la colonne vertébrale et le courage.
Bon ! Je sais bien que ces tentatives désespérées de rater son but affiché doivent tout à une pression morbide qui est dite “sociétale”, comme on dit dans le jargon gauchiste pour désigner l'amnésie volontaire… ce qui met la trop changeante “opinion publique” du côté des promoteurs de la vraie misère humaine : la plupart de nos contemporains ont, avec l'inévitable, un rapport fuyant, de déni et de rejet. C'est une triste évidence qui explique bien des malheurs que notre monde se fabrique en croyant résoudre l'insoluble… et qui n'existaient pas, lorsque le “métier d'homme” impliquait force, âme, courage et (j'ose !), la vie… jusqu'à en mourir.
Car mourir et vivre ne sont pas 2 choses séparées comme on nous le fait croire dans notre univers en voie de putréfaction en inutiles marches blanches, mais une seule et même chose, une seule et même aventure, un seul et même achèvement. Un éventuel “droit à mourir dans la dignité”, ce bobard fou pour politicards trop jeunes pour savoir de quoi ils parlent, ne saurait être ramené à un étalage de sensiblerie étalée complaisamment, comme sur les réseaux sociaux ! Partis comme nous le sommes… nous serons bientôt projetés dans un univers du type “Soleil vert”, ce Soylent Green, livre ou film sur la mort assistée, de Harry Harrison (1966)…  Encore un effort, Monsieur le bourreau…
Je veux bien, à la rigueur, qu'on me parle de modifier la définition de la mort : je suis poli, et j'écouterai… en pensant à autre chose. Mais alors, s'il vous plaît, messieurs les irresponsables, que ce soit avec Montaigne, avec Bossuet, voire avec Platon, Epicure, et même Spinoza… ou –comme le faisait Mitterrand– avec un Jean Guiton. Mais je vous en supplie, qu'on m'épargne le cornet acoustique miniaturisé pour pensée-clonée de ces fausses vedettes du petit écran qui sont les nouveaux “maîtres-à-ne-pas-penser” érigés au rang d'oracles par notre époque qui ne peut que devenir lamentable à leur contact (et sur ça, on est bien parti !).
Une authentique “dignité” consisterait à être de vrais humains et à le rester jusqu'au bout, souffrance ou pas. Si vous saviez dans quelle harmonie sont morts tous les êtres chers qui m'ont quitté… J'aime me souvenir d'eux, être fier d'eux jusqu'au bout, les admirer, et ne pas avoir le remords de leur avoir volé, au nom de la sensiblerie fadasse et pleurnicheuse qui a envahi nos jours et obscurci notre jugement, LEUR MOMENT absolu, le seul… le ''bilan'' de leur vie.
En lisant toutes les insanités, tous les mensonges et toutes contre-vérités qui encombrent, polluent et salissent ce débat, il m'est venu une idée que j'aimerais partager, amis-lecteurs, “pour ce quelle est’' : sans doute fausse, mais méritant peut-être qu'on y pense deux secondes : après bientôt deux quinquennats ratés, un Macron-superman, ivre de ce qu'il croit qu'il est, trouve génial de transformer notre société et tous ses membres, en clones de ce qu'il imagine être (sous-entendu : un être supérieur, au niveau des dieux, et (osons le dire, avec modestie) Dieu lui-même). Pour ce faire, il déforme les mots, les idées, l'histoire, la culture, les systèmes de pensée et de référence… et crée un univers où plus rien ne peut exister, hors de son propre (?) néant : en chamboulant tout, n'importe comment pourvu que ça soit vite, et en mettant tout ’'cul par dessus-tête”, il fait de nous des zombies incapables de résister à toutes ses folies prétendues “sociétales”.
Nous découvrons peu à peu que nous devenons non pas ce qu'il s'imagine être, mais ce qu'il est : un grand vide, un cyborg en creux, superficiel, insignifiant, sans colonne vertébrale, changeant, flou, sans bon sens autre qu'insensé, fuyant le réel, inconsistant, sans passé –donc sans présent et sans futur, et hésitant, dans un désert sidéral, entre une non-pensée et une anti-pensée. Le seul ennui, c'est que le train est lancé et que nous avons laissé faire, sans rien dire –au contraire, pour certains– ce grand pas vers notre destruction, en tant qu'humanité et que civilisation. Dis, Monsieur, comment ça s'arrête, une catastrophe en marche ?
H-Cl.
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aureliusz · 1 year
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Cher Tumblr,
Ce soir j'ai besoin de me confier à toi, de te confier mes peurs, mes craintes. Je sais que ça fait un petit moment que je n'ai pas écris mais j'en ressens le besoin à cette heure tardive. J'en ai un peu ras le bol d'être cette fille qui analyse tout, qui n'ose pas, qui a peur, qui réfléchis trop, qui crois qu'elle n'a rien pour elle, qui n'a pas confiance, qui a peur de ne pas plaire, qui s'inquiète trop et se pourrit la vie plutôt que de profiter des moments présent qu'elle lui offre. J'ai déjà fais beaucoup de travail sur moi depuis ces quelques mois qui ont suivi ma rupture, mais c'est pas assez, je le ressens bien. Même si je suis déjà fière du chemin que j'ai parcouru car j'étais à mille lieues d'imaginer sur j'avancerai autant après cette rupture qui m'a détruite. Enfin bref, là n'est pas le sujet. J'espère bientôt que mes peurs vont s'estomper, que je me serais inquiétée pour rien, et si ce n'était pas pour rien il faudra que je m'y fasse, ce ne sera pas la première fois tu me diras. Mais une de plus, et je ne suis pas sûre d'arriver à accuser le coup à chaque fois.
Bonne nuit Tumblr, désolé du dérangement. J'avais besoin de poser ces mots. Ça fait du bien, quand-même.
Aureliusz.
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sofya-fanfics · 8 months
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Une soupe chaude
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Fandom : Fairy Tail
Relationship : Natsu x Lucy
Je me suis inspirée d’un prompt du mois de Janvier de @creativepromptsforwriting​ : Une soupe chaude.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Lucy éternua et frissonna. Elle se moucha bruyamment et enfuit sa tête sous sa couette. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas été malade à ce point.
Disclaimer : Fairy Tail appartient à Hiro Mashima.
@creativepromptfills
AO3 / FF.NET
Lucy éternua et frissonna. Elle se moucha bruyamment et enfuit sa tête sous sa couette. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas été malade à ce point. Elle avait été mal toute la matinée, mais elle se disait que ce n’était qu’un petit rhume et que ça allait passer avec des vitamines. Elle avait décidé de se rendre à la guilde et de voir parmi les annonces s’il n’y avait pas une mission simple pour lui faire gagner un peu d’argent. Mais elle n’avait pas l’énergie pour accomplir une mission. Il avait fallu qu’Erza la force à rentrer chez elle pour qu’elle se repose.
Dès qu’elle était rentrée, elle s’était mise en pyjama et avait dormi presque tout l’après-midi. Lorsqu’elle s’était réveillée, le soleil était en train de se coucher, mais sa fièvre n’avait toujours pas baissé. Elle soupira. Elle détestait être malade.
Elle était en train de somnoler, lorsqu’elle entendit du bruit dans sa cuisine. Elle ouvrit brusquement les yeux. Elle était persuadée d’avoir fermé sa porte à clé. Elle se leva et prit ses clés avec elle. Si quelqu’un s’était introduit chez elle, il était hors de question qu’elle le laisse s’en tirer. Elle sortit de sa chambre et se dirigea vers la cuisine, prête à faire appel à Taurus. Elle s’arrêta soudainement et écarquilla les yeux lorsqu’elle vit ce qu’il se passait dans sa cuisine.
« Natsu ! Happy ! S’exclama-t-elle. »
Natsu ouvrit ses placards pour sortir différents ustensiles de cuisine, tandis qu’Happy sortait des légumes d’un cabas.
« Lucy ! Dit l’Exceed.
-Désolé, dit Natsu. On ne voulait pas te réveiller. »
Lucy posa ses clés sur la table et s’assit.
« Qu’est-ce que vous faites ici ? Je croyais que vous deviez rentrer demain de mission.
-On a fini plus tôt que prévu, répondit Happy.
-Quand on est allé à la guilde pour te voir, Erza nous a dit que tu étais malade et que tu étais rentrée chez toi.
-C’est pour ça qu’on a décidé de te préparer de la soupe. »
Il lui montra tous les légumes qu’il avait étalé sur la table, tandis que Natsu prit un couteau et une carotte.
« Rien de tel pour aller mieux qu’une bonne soupe, dit-il. »
Lucy les regarda, perplexe. Elle n’avait pas la force de supporter leur trop plein d’énergie et de voir sa cuisine saccagée parce qu’ils essayaient de préparer de la soupe.
« Est- que vous êtes sûrs de savoir ce que vous faites ? Demanda-t-elle.
-Mais oui, répondit Natsu. Maintenant retourne te coucher, je t’apporterai ta soupe quand elle sera prête. »
Elle leur jeta un dernier regard et retourna dans son lit. Elle espérait seulement qu’ils ne transforment pas sa cuisine en champs de bataille. Elle s’emmitoufla dans sa couette et finit par s’endormir. La seule chose qu’elle se souvenait avant de tomber dans les bras de Morphée était qu’il régnait dans son appartement une délicieuse odeur de soupe.
******
Lucy ouvrit lentement les yeux et vit Natsu poser un plateau sur sa table de nuit. Elle s’assit et le chasseur de dragon lui sourit.
« Tu es réveillée, dit-il. Est-ce que tu es en forme pour manger ? »
Lucy acquiesça et Natsu posa le plateau contenant le bol de soupe sur ses genoux. Elle prit une cuillère et la plongea dans le bol. Elle pouvait sentir une délicieuse odeur. Avec un peu de chance, ça ne serait pas si mauvais. Elle jeta un coup d’œil vers Natsu, qui plaça la chaise de bureau à côté de son lit et s’assit. Elle porta la cuillère jusqu’à ses lèvres et goûta la soupe. Elle écarquilla les yeux, surprise.
« C'est délicieux ! S'exclama-t-elle.
-Tu as l'air surprise.
-Je ne savais pas que tu cuisinais si bien.
-Avec Happy, on vit seul. Il a bien fallu qu'on apprenne. »
Elle se sentait un peu idiote de n'y avoir jamais pensé. Elle mangea sa soupe et elle eut l'impression qu'elle se sentait un peu mieux. Une fois qu'elle eut fini, Natsu reprit le plateau. Lucy se rallongea.
« Je vais te laisser te reposer, dit Natsu.
-Tu veux bien rester avec moi jusqu'à ce que je m'endorme ? Demanda Lucy, les yeux mi-clos.
-D'accord, je reste avec toi. »
Elle sourit et ferma les yeux. Elle sombra peu à peu dans le sommeil. Pourtant, elle crut entendre Natsu dire :
« Je resterai avec toi jusqu'à ce que tu ailles mieux. »
Elle n'aurait pas su dire si elle l'avait imaginé ou non, mais cette idée que Natsu s'occupe d'elle la réconfortait. Elle finit par s'endormir, apaisée par la présence de Natsu.
Fin
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jeux-geekeries · 4 days
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5 Zombies d'un coup
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N'aimant pas particulièrement faire des "armées" de figurines, je n'ai peint que 5 figurines Zombies.
Je vais alterner les figurines uniques et les tranches d'armées, pour éviter les ras-le-bol de peinture.
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Sur Tartuffe : adaptations
Commençons donc avec ce qui a le moins à voir avec la pièce, une version écourtée de la pièce, mise en scène par Maurice Béjart en 1981.
Casting : Cléante - Bernard Dhéran, Mme Pernelle - Catherine Samie, Orgon - Michel Aumont, Elmire - Geneviève Casile, Tartuffe - Michel Duchaussoy, Dorine - Virginie Pradal, Valère - Raymond Acquaviva, Damis - Guy Michel, Mariane - Marcelline Collard
Mise en scène classique, mais saupoudrée de Béjart (donc décors un peu spéciaux, maquillage très marqué pour les personnages doubles comme Tartuffe). Super performance de Michel Aumont, qui donne à voir un Orgon complètement hypnotisé par Tartuffe (et c’est là qu’@aramielles me dit que c’est normal d’être hypnotisé par le talent de Michel Duchaussoy). J’avoue que je n’arrivais pas à déterminer si Elmire était un peu intéressée par lui ou si elle était juste extrêmement saoulée (merci m’dame Casile). Une déclaration d’amour à l’acte III qui est désespérée comme je les aime. Oh nevermind ??? Elmire intéressée ??? OH MY GOD. Orgon qui s’agenouille devant Tartuffe et lui baise la main rien que pour lui dire bonjour. Béjart I love you. Imagerie chrétienne homoérotique, on apprécie. Globalement le Tartuffe de Duchaussoy est un bon petit connard manipulateur, il jette un regard méprisant sur Orgon à ses genoux, franchement une excellente pétasse qui sied bien pour le rôle.
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Deuxième version, celle de 1975, mise en scène de Jacques Charon.
Casting : Orgon - Jacques Charon, Robert Hirsch - Tartuffe, Jacques Toja - Cléante, Michel Duchaussoy - Monsieur Loyal, François Beaulieu - L’Exempt, Jean-Noël Sissia - Damis, Bernard Alane - Valère, Denise Gence - Mme Pernelle, Claude Winter - Elmire, Françoise Seigner - Dorine, Catherine Salviat - Mariane, Denise Pezzani - Flipote
Encore une mise en scène classique, on aime. Cet Orgon a l’air un peu con (spécialité de Charon). Tartuffe, coupe au bol absolument ridicule (la laideur comme laideur de l’âme ? C'est un lieu commun que je repère parfois dans Tartuffe, où un Tartuffe moche est souvent joué comme ridicule, alors qu’un Tartuffe qu’on embellit physiquement est joué comme plutôt charmeur). Légèrement précieux, doucereux, on est carrément dans la première façon de jouer le rôle, c’est-à-dire en gros cliché, et on ne comprend presque pas comment Orgon peut être à ce point aveugle pour ne pas voir qu’il est double. Il est aussi carrément graveleux lors de la déclaration d’amour, et franchement il m’évoque plus une espèce de cancrelat qu’on a envie d’écraser qu’un manipulateur de génie (super performance d’Hirsch cependant). Une Elmire magnifique (merci m’dame Winter) et oh ! Un François Beaulieu sauvage apparaît en fin de pièce pour faire L’Exempt.
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Troisième version, de 1960, mise en scène de Louis Seigner (encore une classique).
Casting : Tartuffe - Louis Seigner, André Falcon - Damis, Paul-Emile Deiber - Orgon, Louis Eymond - L’Exempt, Henri Rollan - Cléante, Jean-Louis Jemma - Valère, René Arrieu - Monsieur Loyal, Berthe Bovy - Mme Pernelle, Andrée de Chauveron - Dorine, Annie Ducaux - Elmire, Nagali de Vendeuil - Mariane, Janine Dehelly - Flipote
L’Orgon de Deiber a l’air un peu neurasthénique, sans avoir l’air con il n’a pas l’air complètement dépendant, ça me donne l’impression bizarre que cet Orgon aurait pu se défendre de tout s’il avait prêté un peu plus attention à ce qu’il se passe chez lui (même si Tartuffe, quand on l’accuse une première fois, use énormément d’ironie pour se qualifier de pécheur, et Orgon prend ça premier degré). Tartuffe-Seigner est parfaitement jouissif à regarder, mais on reste exactement dans le schéma classique d’un personnage ridicule. Succulente Elmire, drôle à souhait (merci Annie Ducaux). Bref, ici la bonne vieille pièce familiale, quoi.
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Quatrième version, de 1971, mise en scène de Marcel Cravenne (une autre mise en scène classique)
Casting : Michel Bouquet - Tartuffe, Delphine Seyrig - Elmire, Jacques Debary - Orgon, Luce Garcia-Ville - Dorine, Madeleine Clervanne - Mme Pernelle, Claude Giraud - Cléante, Edith Garnier - Mariane, Bernard Alane - Valère, Jacques Weber (ô surprise) - Damis, Paul Le Person - Monsieur Loyal, Robert Party - L’Exempt, Christine Chicoine - Flipote
C’est marrant, cet Orgon là a plus l’air amusé en début de pièce de Tartuffe, plutôt que de dépendre de lui. Quand on accuse Tartuffe, il réagit plutôt comme si on avait donné un coup de pied dans son chiot préféré. (grmrgmrmg le Cléante de Giraud. Cet homme me rend fou depuis Les Rois Maudits). Petiot Weber, il est pitchoune. Ah, Delphine Seyrig…La fée des lilas à jamais pour moi, mais quelle bonne Elmire (et quelle belle femme jésus seigneur). Un Tartuffe très intéressant, puisqu’il n’est pas ridicule car il n’a pas l’air faux lors de sa déclaration, il a juste l’air un peu dégueulasse ; mais surtout, il brise l’apparent fil rouge de l’interprétation de ce rôle en étant enlaidi par le costume et les postiches, mais en étant totalement manipulateur. 
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Cinquième version, de 1980, mise en scène de Jean Pignol (encore et toujours une mise en scène classique)
Casting : Tartuffe - Michel Galabru, Orgon - Bernard Fresson, Elmire - Yolande Folliot, Dorine - Micheline Dax, Cléante - Pierre Gallon, Mme Pernelle - Germaine Delbat, Mariane - Nathalie Serrault, Valère - Eric Legrand, Damis - Jean-Renaud Garcia, Monsieur Loyal - Georges Montillier, L’Exempt - Pierre Negre, Laurent - Georges Sayad, Flipote - Sonia Laurent
Wow un opening directement sur la petite famille en train de prier avec Tartuffe ? Innovative ! On dirait que Tartuffe est d’abord le dealer d’Orgon parce qu’il est très, très calme au début. Ou alors il est homosexuel, au vu de la façon dont il dit “il venait d’un air doux tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux”. Le Tartuffe de Galabru est bon mais grâce à l’acteur plutôt qu’au rôle lui-même, parce qu’il lui donne justement ce côté double et ridicule (les cheveux bien gras, on pourrait utiliser la moumoute comme friteuse). Opinion tout à fait personnelle, j’aime pas le jeu de Fresson . Et définitivement, Galabru joue beaucoup sur le côté dégueu et graveleux qu’on peut facilement donner à Tartuffe. Une version, ma foi, pas la meilleure, mais pas un échec non plus. 
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Sixième version, de 1997 (retour au Français !), mise en scène de Georges Bensoussan (à quand autre chose qu’une mise en scène classique ?)
Casting : Dorine - Catherine Ferran, Orgon - Jean Dautremay, Mariane - Anne Kessler, Tartuffe - Philippe Torreton, Monsieur Loyal - Igor Tycska, Elmire - Cécile Brune, Mme Pernelle - Nathalie Nerval, Cléante - Christian Blanc, Valère - Olivier Dautrey, Damis - Eric Ruf, L’Exempt - Bruno Raffaelli, Flipote - Stéphanie Labbé, Laurent - Patrick Olivier
Décors blancs, un peu art contemporain, innovative ! Chaque costume est une couleur vive (sauf Tartuffe et Orgon, en noir, et Cléante, en marron), mais qui permet d’identifier immédiatement les personnages et surtout les fait ressortir sur le fond blanc. Jumpscare de Ruf avec une perruque absolument horrible. Aww, mini Anne Kessler, elle est pitchoune. Ô surprise, Ruf a un jeu décent ? (je le respecte en tant que metteur en scène, et je ne m’y connais pas assez en histoire du Français pour dire si c’est un bon administrateur, mais comme comédien…Il m’excusera mais je ne supporte pas son jeu). Je trouve qu’on revient à l’Orgon soit con, soit qui s’en fout un peu en début de pièce. Quoique, on pourrait dire que c’est un Orgon qui commence à développer un autre courant d’interprétation du personnage, celui de la dépendance affective forte (Tartuffe qui lui fait des petites caresses sur l’épaule ???). Dépendance affective de fou ou homosexualité cachée, c’est vous qui voyez. Torreton est jouissif, pétasse à souhait, ironique quand on l’accuse, au physique affreux avec sa perruque graisseuse (leitmotiv chez les costumiers ?). Chose intéressante, la confession de Tartuffe semble désespérée, mais elle est tellement teintée de fausseté qu’on n’y croit pas du tout. Cécile Brune (dieu quelle femme) fait une Elmire hautaine devant Tartuffe que j’A-DORE. Nouveau jumpscare de Ruf qui sort d’une fenêtre cachée haut dans le mur au lieu de sortir d’un cabinet. Bon dieu Cécile Brune, quelle femme, Elmire joue la carte séduction à fond pour l’acte IV. Tartuffe qui commence à se foutre à oilp ??? Ok why not. Costume très très très pailleté pour Tartuffe en fin de pièce. Écoutez, une mise en scène intéressante, des comédiens pas trop tartes, moi je dis que ça fait une bonne pièce.
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Septième version, de 2022, mise en scène Ivo van Hove (youpi ! une mise en scène moderne, histoire de changer un peu)
Casting : Cléante - Loïc Corbery, Orgon - Denis Podalydès, Mme Pernelle - Claude Mathieu, Damis - Julien Frison, Dorine - Dominique Blanc, Tartuffe - Christophe Montenez, Elmire - Marina Hands, Flipote - Héloïse Cholley, et pas de M. Loyal ou d’Exempt ni de Laurent, apparemment ?
Peut-on vraiment dire que je l’ai vue ? Non, je n’ai pas vu cette pièce au cinéma. Mais j’ai des photos et des extraits, de là je pose mon jugement. J’aime beaucoup les mises en scène de van Hove, qui sont souvent minimalistes et font ressortir tout le jeu des comédiens, aussi en posant une sorte de centre de scène où tout se passe. Les costumes noirs tranchent avec la pâleur des comédiens, et le carré blanc en plein milieu de la scène ressemble à un ring où les personnages s’affrontent. Autre lieu commun chez van Hove, on relève la brutalité et la violence et du texte et des personnages en eux-mêmes : tout le monde s’empoigne, se bat, se hurle dessus, c’est une famille complètement disloquée qu’on nous présente. Dominique Blanc en Dorine est parfaite. Corbery est un Cléante désillusionné, à la limite du désespéré de voir son beau-frère comme ça. Julien Frison, lui, campe un Damis qui semble moins furieux, plus un petit garçon qui voit son père s’éloigner de lui. Ma seule question est : comment envisagent-ils la pièce sans Mariane ? Est-elle juste citée ? Le moment très comique entre Orgon et Dorine serait simplement coupé ? Je n’aurais sûrement jamais la réponse, à moins que cette pièce vienne un jour sur le site de l’INA. Marina Hands est une Elmire qui floute complètement la ligne séparant deux interprétations : Elmire qui joue un rôle pour empêcher le mariage entre Tartuffe et Mariane et  confondre Tartuffe à l’acte IV, ou une Elmire véritablement intéressée par Tartuffe. Une scène assez éloquente est visible dans la bande-annonce, qu’on peut replacer justement à l’acte IV, et Elmire ne semble pas beaucoup se défendre d’un Tartuffe qui lui embrasse la nuque. Mais les deux personnages les plus intéressants sont ici Orgon et Tartuffe. Pour Orgon, Podalydès joue complètement sur l’ambiguïté constante entre Tartuffe et Orgon : apparemment complètement dépendant affectif, le “il en va de ma vie” semble très vrai ; et certaines images donnent à penser que van Hove introduit dans sa mise en scène un certain homoérotisme malsain entre ces deux personnages (et encore de l’imagerie chrétienne mise au service de l’homoérotisme, merci m’sieur van Hove). Mais pour moi, le personnage le plus fascinant est Tartuffe (Christophe Montenez mon dieu quel talent incroyable). Si il est dans “le modèle Jouvet”, c’est-à-dire un Tartuffe charmant, séduisant même, et surtout très sincère dans sa déclaration à Elmire, et qui pense croire à tout ce qu’il dit sur le Ciel, Montenez a une approche différente du personnage. Il est malsain ; quand il rentre dans une pièce, on a comme un frisson de gêne : le costume (chemise blanche, cravate blanche, mais veste noire à certains moments), la coiffure (des cheveux coupés très ras) et le maquillage (qui lui donne une pâleur mortelle et un visage émacié) n’aident pas à nous le rendre sympathique. Le ton doucereux (méprisant lorsqu’il parle à Dorine) contribue à cette impression. Surtout, c’est un Tartuffe violent, qui arrive à l’Acte III la chemise tachée de sang, due à la mortification qu’il s’est imposé (en début de pièce, apparemment ? la bande-annonce ne permet pas de le situer). Bref, une mise en scène brutale et légèrement subversive, typique du metteur en scène, qui je crois serait très intéressante à voir.
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Je vous ai réservé ma mise en scène préférée pour la fin, huitième version, de 2021, théâtre à la table, direction artistique d’Eric Ruf (qui compte comme une mise en scène moderne ?)
Casting : Mme Pernelle - Claude Mathieu, Tartuffe - Eric Génovèse, Elmire - Clotilde de Bayser, Cléante - Hervé Pierre, Monsieur Loyal, Un Sergent, et L’Exempt - Nicolas Lormeau, Orgon - Didier Sandre, Damis - Laurent Lafitte, Dorine - Anna Cervinka, Mariane - Clémentine Billy, Valère - Antoine de Foucauld
C’est pas ma version préférée pour rien : la proximité de la table permet de transformer la pièce en huis clos, les vêtements des comédiens, sombres pour la plupart, permettent de relever leurs visages, et la caméra capture d’autant mieux leurs visages qu’elle est proche. Anna Cervinka est une Dorine hilarante qui tranche avec le sérieux des autres ; le Damis de Lafitte est très abrasif ; Cléante par Hervé Pierre use toujours d’un ton extrêmement raisonnable ; les deux petits jeunes sont un couple prometteur. Comme d’habitude, je me suis concentré sur les trois personnages centraux : Elmire, Orgon, Tartuffe. Didier Sandre, trônant en bout de table en patriarche, est un Orgon qui joue sur son âge pour apparaître peut-être plus fragile, qui s’il est moins dépendant que l’Orgon de Podalydès, lui semble extrêmement attaché ; sa colère à l’accusation de Tartuffe est assez violente. Elmire, elle, si elle n’est absolument pas intéressée par Tartuffe (madame moi je veux bien prendre votre place si vous ne voulez pas de lui), aime jouer la carte de la séduction pour parvenir à ses fins, et disons-le, Clotilde de Bayser est charmante. Et Tartuffe…Là encore, pas mon Tartuffe préféré pour rien. Eric Génovèse reprend un Tartuffe qu’il avait déjà joué de cette manière (je donnerai TOUT pour voir la mise en scène de 2005 de Marcel Bozonnet). Il est tout en douceur, la déclaration à Elmire est MAGNIFIQUE et DÉSESPÉRÉE comme il sait les faire, et il est totalement dans le modèle Jouvet d’un Tartuffe qui croit à 90% ce qu’il dit. Chose que je n’avais jamais vu faire avant, le “je tâte votre habit” et ce qui s’ensuit est joué comme une excuse en mousse, comme s’il n’avait vraiment pas fait exprès de poser la main sur le genou d’Elmire, et qu’il tente de rattraper une bourde faite dans l’émotion de l’instant. Tartuffe mis en opposition d’Orgon dans le placement autour de la table le pose en second maître de maison ; sa réponse à son accusation à l’air tellement sincère qu’on y croirait presque. Retournement de comportement à l’acte IV, regard de braise et scène un peu olé-olé (si sage comparée à la mise en scène de Bozonnet où lui et Florence Viala ont failli faire leur affaire sur scène) ; c’est un autre Tartuffe qui retire son masque, celui d’un homme extrêmement froid et calculateur. Bref, pour moi l’interprétation la plus intéressante (sans prendre en compte mon admiration personnelle pour ce comédien). Une pièce que je trouve “redécouverte” par le biais du théâtre à la table qui donne toujours un éclairage autre. 
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cosmoe · 1 year
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› Phosphophyllite | HNK
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FR : Illustration fanart de Phosphophyllite (Houseki No Kuni, que je vous invite vivement à lire si ce n'est pas déjà fait !) Print A5 à retrouver sur ma boutique instagram ✨
⚠️ Description de l'Image : Dessin représentant Phosphophyllite (personnage du manga : l'ère des des cristaux). Iel a une grosse bouche souriante et ses yeux regardent vers nous, derrière ellui on peut voir le ciel habillé de nuages et d'une immense lune derrière la tête de Phos. Et des étoiles partout dans le ciel. Iel a les cheveux bleus et carrés (coupe au bol). L'une de ses deux mains d'or créer une boule ressemblant à la lune (ça montre que ses bras sont liquide). Sa tenue est entièrement blanche et ses manches sont transparentes (on peut donc voir ses épaules dorés). Ses yeux sont vairons : un oeil bleu et un oeil blanc. / Si tu as des questions n'hésite pas !
› NO REPOST ‼️❌
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RAS LE BOL des médecins qui me parlent de mon poid alors que le sujet de la consultation n'a rien à voir. Là c'était avec une docteur avec qui j'ai toujours eu un bon contact et que je pensais "safe", et voilà que d'un coup elle me parle de chirurgie bariatrique 😡😡
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ascle · 8 months
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La lettre « B »
Baboune:
- Faire la gueule, bouder
- Désigne aussi le bas du visage
Balado
Podcast
Baquet/Bacaisse:
Personne corpulente (homme/femme)
Bâdrer (verbe)
Inquièter, importuner, se faire du souci. S'utilise habituellement dans sa forme négative (Ne pas se bâdrer).
Balayeuse:
Aspirateur
Barniques:
Lunettes
Barouetter
Se faire bousculer, se faire déplacer rudement.
Baveux:
Arrogant, effronté
Bébelle:
Jouet, babiole
Bebitte à patate:
Coccinelle
Bécosse:
Toilette (w.c.)
Bécycle/Bécyk/bicyle/bicyk
Vélo, bicyclette. Note: un "bécyk à gaz" est une moto
Beurrée:
- Tranche de pain de mie recouvert d'une tartinade.
- Une grosse sommes d'argent.
Beurrer: (verbe)
- Salir
- Enduire, recouvrir d'une substance quelconque
Bine
- fève/haricot
- petit coup de poing habituellement donné sur l'épaule
Bizouner:
S'occuper à de menus travaux. (Ne pas confondre le verbe bizouner avec le nom bizoune qui lui signifie pénis!)
Bol:
Toilette
Bolle:
Personne très intelligente
Botcher:
Bâcler
Brassée:
Quantité de vêtements chargée et lavée dans un lave-linge
Brosse:
se saoûler, prendre une cuite
Expressions:
Swing la bacaisse dans l'fond d'la boîte à bois!
Se retrouve uniquement dans certaines chansons tranditionnelles. La bacaisse est à l'origine une bâche utilisée pour transporter le bois de chauffage à l'intérieur des maisons. L'expression peut donc s'interpréter comme une invitation à rapidement terminer ses tâches et venir faire la fête.
Boss des bécosses
Désigne quelqu'un ayant le comportement d'un petit chef autoritaire, mais sans grande envergure.
Beurrer épais
Exagérer, pousser le bouchon
Bout d'la marde
C'est le comble, incroyable
Branler dans le manche
Hésiter
Broche à foin
Mal organisé
Se tirer/prendre une bûche
S'assoir
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blog-cuisine · 2 months
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Comment Cuisiner l'Asperge Verte ?
Tu te demandes comment cuisiner l'asperge verte pour en faire un plat délicieux et savoureux ? Les asperges vertes, avec leur goût subtil et leur texture croquante, sont un légume incontournable du printemps. Voici un guide complet pour t'aider à préparer et à cuisiner ce légume de saison, avec des idées de recettes simples et délicieuses.
Préparation des Asperges Vertes
Avant de te lancer dans une recette, il est important de bien préparer tes asperges. Commence par laver les asperges vertes à l'eau froide. Ensuite, coupe la partie dure et fibreuse de la base, généralement sur 2 à 3 cm.
Éplucher ou Non ?
Les asperges vertes ont une peau plus fine que les asperges blanches ou violettes, donc elles n'ont généralement pas besoin d'être épluchées. Si les tiges sont particulièrement épaisses, tu peux éplucher légèrement la partie inférieure avec un économe.
Cuisson des Asperges Vertes
La cuisson des asperges est simple et rapide. Voici quelques méthodes courantes :
Cuisson à l'eau bouillante : Plonge les asperges dans une casserole d'eau bouillante salée. Comptez 3 à 5 minutes de cuisson pour des asperges croquantes. Pour conserver leur couleur vive, plonge-les immédiatement dans de l'eau glacée après la cuisson.
Cuisson à la vapeur : Place les asperges dans un panier vapeur au-dessus d'une casserole d'eau bouillante. Laisse cuire pendant environ 5 à 7 minutes.
Poêlée : Fais chauffer une poêle avec un filet d'huile d'olive. Ajoute les asperges et fais-les sauter à feu moyen pendant 5 à 8 minutes, jusqu'à ce qu'elles soient tendres mais encore croquantes.
Idées de Recettes
Asperges Vertes à la Sauce Hollandaise
Pour un plat classique et raffiné, essaye les asperges à la sauce hollandaise.
Ingrédients :
1 botte d'asperges vertes
3 jaunes d'œufs
150g de beurre fondu
1 cuillère à soupe de jus de citron
Sel et poivre
Instructions :
Prépare et fais cuire les asperges à l'eau bouillante salée pendant 3 à 5 minutes.
Dans un bol, fouette les jaunes d'œufs avec le jus de citron.
Place le bol au-dessus d'une casserole d'eau frémissante (bain-marie) et fouette jusqu'à ce que le mélange épaississe.
Retire du feu et incorpore lentement le beurre fondu, en fouettant constamment.
Assaisonne avec du sel et du poivre, puis verse la sauce sur les asperges chaudes.
Salade d'Asperges Vertes et Parmesan
Pour une entrée légère et fraîche, prépare une salade d'asperges vertes au parmesan.
Ingrédients :
1 botte d'asperges vertes
50g de parmesan en copeaux
2 cuillères à soupe d'huile d'olive
1 cuillère à soupe de jus de citron
Sel et poivre
Instructions :
Fais cuire les asperges à l'eau bouillante salée pendant 3 à 5 minutes, puis plonge-les dans de l'eau glacée pour stopper la cuisson.
Dans un bol, mélange l'huile d'olive, le jus de citron, du sel et du poivre.
Dispose les asperges sur une assiette, arrose avec la vinaigrette et parseme de copeaux de parmesan.
Poêlée d'Asperges Vertes et Jambon de Parme
Pour un plat rapide et savoureux, essaye la poêlée d'asperges vertes au jambon de Parme.
Ingrédients :
1 botte d'asperges vertes
100g de jambon de Parme
2 cuillères à soupe d'huile d'olive
Sel et poivre
Instructions :
Fais chauffer une poêle avec l'huile d'olive.
Ajoute les asperges et fais-les sauter pendant 5 à 8 minutes.
Ajoute le jambon de Parme coupé en lamelles, fais revenir pendant 2 minutes supplémentaires.
Assaisonne avec du sel et du poivre, puis sers immédiatement.
Autres Idées pour Cuisiner les Asperges Vertes
Risotto aux Asperges Vertes : Ajoute des asperges à un risotto crémeux pour une touche printanière.
Tarte aux Asperges et Parmesan : Prépare une tarte salée en utilisant des asperges et du parmesan.
Velouté d'Asperges Vertes : Mixe les asperges cuites avec du bouillon de légumes pour une soupe veloutée.
Conclusion
Maintenant que tu sais comment cuisiner l'asperge verte, il ne te reste plus qu'à essayer ces recettes et à savourer ce légume de saison. Que ce soit en salade, en poêlée ou avec une délicieuse sauce hollandaise, les asperges vertes apporteront fraîcheur et saveur à tes repas. À toi de jouer, et bon appétit !
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marie-swriting · 1 year
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C'est Pas Juste - Steve Rogers
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Drabble Masterlist
Résumé : Steve ne comprend pas pourquoi tu pleures la mort d'un certain Jack.
Warnings : grossesse, mention de la fin du Titanic, fluff, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 995
Version anglaise
Tu éteins la télé alors que de grosses larmes coulent sur tes joues. Tu n'essayes même pas de les essuyer pendant que tu poses le bol de pop corns sur la petite table devant toi. Alors que ta respiration se fait de plus en plus saccadée, tu caresses ton ventre de femme enceinte de cinq mois, espérant que ça va t’aider à te calmer. Steve apparaît dans le salon et accourt vers toi en entendant tes sanglots. Il te prend dans ses bras et tente de te calmer, en vain. 
-Y/N, qu’est-ce qui se passe ? demande-t-il, inquiet.
-C’est pas juste, Steve, murmures-tu, les lèvres tremblantes. Il méritait pas de mourir. 
-Qui est mort ?
-Jack ! t’écris-tu comme si c’était évident. Il aurait dû vivre. Il aurait dû avoir une longue et heureuse vie avec Rose. Ils méritaient d’être heureux ensemble. Ils s’aimaient. Pourquoi est-ce qu’ils ont pas fait plus attention à ce maudit iceberg ? Tout aurait pu être évité. Et puis, il y avait de la place sur cette putain de planche !
Steve ne réagit pas à ton juron, trop préoccupé par ton état émotionnel. Ignorant quoi dire, il continue à caresser ton dos. Il ne sait pas qui sont Jack et Rose, mais il devine qu’ils sont des proches, car tu es totalement bouleversée. Tu sanglotes encore dans ses bras pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce que l’arrivée de Sam et Bucky vous interrompent.
-Wow, qu’est-ce qu'il se passe ici ? 
Pour répondre à la question de Sam, Steve hausse les épaules pour montrer qu’il est tout aussi perdu. En entendant la voix de tes amis, tu te sépares de ton mari. Tu t’excuses indiquant que tu as besoin de mouchoirs laissant les trois hommes ensemble.
-C’était quoi ça ? questionne Bucky, perdu. 
-Je crois que l’un de ses amis est décédé. Un certain Jack.
-Tu le connais ? 
-Non, répond Steve à Sam. Ils étaient peut-être amis d’enfance ? suppose-t-il, tentant de donner du sens à ce que tu lui as dit. En tout cas, il serait mort à cause d’un iceberg et il aurait laissé derrière lui sa partenaire du nom de Rose. Elle a aussi dit qu’il y avait de la place sur la planche.
-Quoi ? demande Bucky, comprenant encore moins la situation. 
En comprenant la réelle raison de tes pleurs, Sam ne peut s’empêcher d’exploser de rire. Les deux super-soldats le regardent, choqués de voir Sam s’esclaffer à l’annonce d’un décès. Sam continue de rigoler pendant quelques minutes. Quand il arrive enfin à se calmer, Sam tape amicalement l’épaule de Steve.
-C’est pas son ami, Steve, lui assure-t-il avec un sourire.
-Quoi, tu le connais, ce Jack ?
-J’arrive pas à croire que j’ai oublié de te dire de le regarder. Jack, Jack Dawson, ça vient du film Titanic, informe Sam.
-Pourquoi est-ce que ce nom me dit quelque chose ? s’interroge Bucky, cherchant dans ses anciens souvenirs.
-C’est pas le bateau qui avait coulé en 1912 ? Ma mère m'en avait parlé, déclare Steve à son ami d’enfance.
-Oui, c’est ça !
-Bref, les coupe Sam, ils ont fait un film sur cette tragédie en 1997 et il y a une histoire d’amour entre Jack et Rose. Jack meurt à la fin alors que Rose vit sa vie comme Jack lui avait dit de le faire. Et à en juger par les popcorns sur la table, je dirais que Y/N vient tout juste de terminer de le regarder, explique-t-il, en montrant le bol.
-Attends, elle est dans cet état à cause d’un film ? Steve questionne. 
-Les hormones, se moque Bucky.
-Ce film détruit tout le monde, lui rétorque Sam, presque outré. Toi aussi, tu serais en train de chialer, malgré tes airs de grincheux qui déteste la vie.
-J’en suis pas si sûr.
Bucky et Sam partent alors en débat tandis que Steve s’éloignent de ses amis pour te retrouver dans ta chambre. En ouvrant la porte, il te voit assise sur ton lit, un mouchoir en main. Il vient à tes côtés et met son bras autour de tes épaules.
-Comment tu vas ? demande-t-il d’une voix douce.
-Je m’en remettrai comme à chaque fois que je vois ce film, déclares-tu en reniflant. Je viens de réaliser que tu ne dois même pas savoir de quoi je t’ai parlé.
-Sam m’a tout expliqué. Mais je ne vais pas mentir, je me suis inquiété, j’ai vraiment cru que t’avais perdu un ami, t’informe Steve, te faisant rire.
-Désolée, j’étais juste tellement triste par rapport à la fin et avec mes hormones, j’ai l’impression que c’est pire. 
-Tant que personne n'est mort, affirme Steve d’un air léger et tu tournes vers lui, vexée.
-Jack est mort, Steve ! Fictionnel ou pas, sa mort est sérieuse.
-Pardon, s’excuse-t-il en se retenant de rire. Quand tu auras accouché de notre magnifique bébé, commence Steve en touchant ton ventre, on regardera le film ensemble. Par contre, Sam et Bucky risquent de s’incruster, car Sam pense que Bucky va pleurer et Bucky ne pense pas que ça sera le cas.
-C’est vraiment des enfants, pouffes-tu en levant les yeux au ciel. 
-Ça fait un entraînement. 
Steve pose ses lèvres sur les tiennes et vous vous embrassez pendant quelques instants jusqu’à ce que Sam et Bucky apparaissent dans ta chambre bruyamment, vous demandant une réponse à leur dispute. Steve roule des yeux alors que tu rigoles face à leur gaminerie.
Finalement, moins de cinq mois plus tard, pendant que votre bébé dort, Steve, Sam, Bucky et toi organisez une soirée spéciale Titanic. Même sans tes hormones de femme enceinte, tu pleures dès le moment où le Titanic heurte l’iceberg alors que Steve et Sam commencent à pleurer quand Rose est dans le canot avant qu’elle saute pour retrouver Jack. Quant à Bucky, il reste silencieux toute la fin du film, mais quand vous rallumez la lumière, vous pouvez voir ses yeux rouges et ses joues mouillées. Sam tend sa main à Bucky et avec agacement, il lui donne un billet de vingt dollars.
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Et samedi dernier..
J'ai une étrange sensation depuis samedi passé. C'est une réaction face à une attitude que Marco a eut, une attitude que je connais bien pourtant, mais cette fois, c'est différent. Vendredi soir pourtant, je me sentais toute légère parce qu'il m'a envoyé un message alors que je n'en attendais pas. Le samedi, je sais qu'il y a plus de chance qu'il le fasse. Et il l'a fait, bien évidemment. Pour moi, c'était un jour assez chargé car je recevais toute ma petite famille le soir. Lui, il n'avait rien de bien important à faire de toute évidence, alors il a passé la journée sur whatsapp. Ce qui m'a agacé en tout premier lieu, c'est que la veille, il n'avait pas répondu a mon dernier message mais qu'à 7h du matin, il m'a envoyé en réponse 3 smiley mort de rire . Je sais qu'il y a un gros soucis de génération entre nous, mais pourquoi répondre par des smileys ? Même pas un bonjour ? J'ai donc pris tout mon temps avant d'envoyer un autre message, plus tard dans la matinée. Marco n'a jamais rien à me dire de toute façon. Ses messages sont toujours composé de moins de 5 mots ! Vers 11 h, il m'a envoyé une photo de lui, affalé sur le canapé, en caleçon et T shirt, sans que je vois son visage en entier. Et ce genre de photo, je sais très bien ce qu'elle veut dire. Je sais ce qu'il espère ! Que je me pâme devant son corps qui me manque si souvent, que cela me donne des idées coquines et que je me lance dans une conversation torride. Sauf que moi, à ce moment précis, j'étais en train de couper des poireaux ! Alors le désir, il était très très loin de moi et je le lui ai fait savoir. Du coup, je n'avais plus aucun intérêt à ses yeux. Il m'a souhaité une bonne journée et les quelques messages que j'ai envoyé par la suite n'ont eu pour réponse que de nouveaux smileys. Par contre, il a passé la journée connecté et très probablement a-t-il trouvé une volontaire pour se soulager. Alors comme je le disais plus haut, cette attitude, je la connais depuis des années. Mais ma réaction, ce gros ras le bol, cette évidence que je ne suis rien qu'un bouche trou quand il en a envie, ça m'a frappé plus fort que d'habitude. Et depuis, je me sens moins attirée par lui, moins dans l'attente de ses messages. Je ne me fais pas d'illusions, le manque n'a pas définitivement disparu. Il est provoqué par mon absence de vie sentimentale et je me raccroche à Marco qui est le seul qui me donne parfois l'illusion que ... que quoi ? Que rien en fait. C'est moi qui m'illusionne toute seule ! Moi qui entretient le rêve, le manque, l'espoir, l'illusion. Je suis pathétique !
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hecatt · 7 months
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RAS LE BOL !
Ras le bol de ces booktokeuses ou je ne sais quoi !
Quand je m’apprête à acheter un nouveau livre, j’aime regarder les différents avis des lecteurs (et vu le prix de certains livres c’est plutôt utile parfois)
Je vais donc sur des applis de lecteur, les avis Google et pour plus de rapidité les vidéos du BookTok…
Mais à qui se fier ?! Tel est la question … car maintenant, tous les livres sont décrits avec les mêmes adjectifs, les mêmes expressions … et les pires sont ceux du BookTok…
Mais quelle mascarade, quelle bande d’hypocrites…
« Ce livre c’est pépite » « il est in-croi-yable » -en découpant bien le mot s’il vous plait- « ce personnage je l’aime d’amour » « non mais regardez cette couverture, est-ce qu’on doit en dire plus ?»
Et bien oui justement ! Dis nous en plus !!
Avec leurs 40 livres lus en un mois, elles (car oui la majorité sont des filles) n’ont que ces pauvres « arguments » à nous donner? Pépite, incroyable ? N’ont elles pas acquis plus de vocabulaire, d’adjectifs? Pourtant vu les livres de NewRomance qui débordent de leur bibliothèque, elles devraient avoir de quoi décrire.. car oui elles lisent cette catégorie là pour des scènes bien précises, limite inappropriées, mais c’est un autre sujet.
Alors ces filles là sont payés, reçoivent des livres gratuitement pour en faire de la pub. Mais lisent-elles réellement le contenu ? C’est à se poser la question… il a quelques temps, j’ai acheté un livre en ayant vu des avis sur le BookTok qui promettait une ré écriture du conte de Peter Pan.. j’ai commencé ce livre et n’ai pas pu le finir … mis à part les scènes de « smut » le livre était vide …
(A croire qu’elles ne lisent qu’un seul type de livre aussi…)
Et bien souvent, une fois l’engouement, la pub faite et passée, ce livre qu’elles promettent comme leur « coup de cœur » se retrouve dans un coin de leur chambre à prendre la poussière…
Alors qu’il existe certain compte sur le BookTok où de vrais passionnés nous donnent leurs avis sur des livres qu’ils ont réellement appréciés. Et c’est dommage de voir que ces personnes là n’ont pas la visibilité qu’elles méritent…
Ah oui très important aussi de connaître le champ lexical du BookTok à base de « ennemis to lover » et « spicy », la bibliothèque Billy de chez IKEA avec les livres rangés par couleur, les petites désertes en métal sur roulettes …
Je pourrais rajouter encore plein de chose mais ce post n’aurai plus de fin ..
Voilà petit ras le bol !
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