#communicatif
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captain-jale · 5 months ago
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Tony Estanguet mérite vraiment ces jeux. Si ça reussi c'est grâce à lui
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au-jardin-de-mon-coeur · 6 months ago
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Le fou rire est contagieux, communicatif et thérapeutique !
Alors rions toujours et en chœur...c'est bien meilleur !! 🤣😅
#au-jardin-de-mon-coeur
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edith1962 · 10 months ago
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voilà c’est fini, retour sous des cieux moins cléments, @ascle merci d’avoir permis ces vacances avec toi, merci pour tes fous rires communicatifs qui nous ont fait passer de bons moments. 
Tu ringardises les guides de voyages !!
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aloysiusrpg · 10 months ago
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MESSAGE IN A BOTTLE (forum camping/low fantasy)
inspiration the white lotus, hsmtmts, the odyssee, gossip girl.
CONTEXTE.
“lundi, c’est aquabike,
mardi, c’est randonnée dans les bois,
mercredi, c’est bronzette sur la plage,
jeudi, c’est cours de poterie avec les amis,
vendredi, c’est initiation au tai-chi
samedi, c’est soirée au camping,
dimanche, c’est pic-nic avec les voisins
et après ?
et après c’est la même chose,
lundi, c’est tournoi de volley-ball,
mardi, c’est veillée autour d’un feu de camp à faire griller les chamallows
mais on repart quand ?
pourquoi tu veux repartir ? on est pas bien là,
on est bien là, oui”
tel un cirque itinéraire, le campus du lotus blanc s’était installé ici-là pour une durée de quelques mois. Il attirait les foules, offrant un complexe et des infrastructures sans pareilles et les gens restaient, sans trop savoir pourquoi, goûtant les mets les plus somptueux à base de lotus. et puis lorsqu’il y en avait plus, c’était la fin des vacances, tous pliaient bagages et reprenaient leur vie jusqu’à ce que le lotus blanc apparaisse à un autre endroit du globe.
Le camping, c’est le théâtre de la découverte de soi, de la découverte des autres, des rencontres amicales ou amoureuses, des drames soudains, du divertissement sans borne, des limites franchies allant jusqu’aux plus noires envies.
vous aussi, rejoignez le lotus blanc parce qu’on sait pas jusqu’’à quand ça durera, ni où ça nous mènera.
PRESENTATION DU FORUM.
MESSAGE IN A BOTTLE (MIAB) est un forum de type camping se voulant être éphémère, c’est-à-dire qui dure entre 4/5 mois et après ? si ça marche, l’endroit, le décor, tout change, vous pourrez conserver vos personnages ou en changer car le lotus blanc se veut être itinérant.
c’est aussi un forum qui se veut être chill, pas de mots ou de lignes exigées, on répond quand on veut, à son rythme. Les rps courts sont plutôt privilégiés, en plus des différents moyens de communication qui seront mis en place. Des animations inrp seront là pour satisfaire à la fois celleux qui n’ont pas trop le temps de se consacrer au forum ainsi que celleux qui veulent s’investir à fond. le but (même si c’est toujours une douce utopie) c’est que chacun.e y trouve son compte.
A CE STADE
Je lance l’idée, je suis seul à bord avec mon petit imaginaire et mes petites mains pour écrire, évidemment, je cherche un à deux compères qui seraient partant.e.s pour se lancer dans l’aventure (à savoir que je vise personnellement une ouverture fin avril). Je cherche aussi quelqu’un qui serait prêt à coder/grapher, sans forcément être dans le staff s’iel ne veut pas. évidemment avoir déjà administrer est un plus et se montrer communicatif aide aussi.
bref si ça vous intéresse, go go go et mpottez moi.
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dd-is-my-guiltypleasure · 7 months ago
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David Duchovny se déclare amoureux de Paros (photo du tournage) | Paros aujourd'hui
La star des "X-Files", David Duchovny, qui est à Paros depuis un mois pour tourner sa nouvelle série intitulée "Malice", se déclare amoureux de l'île.
Selon le journal "Realnews", l'acteur est déjà devenu très cher aux habitants de l'île, car il est très communicatif et simple dans ses contacts sociaux sur l'île.
Duchovny s'est déjà déclaré amoureux de l'île et a promis de revenir bientôt pour des vacances.
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sofya-fanfics · 1 year ago
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Des éclats de rire
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Fandom : Fairy Tail
Relationship : Natsu x Juvia
Voici ma participation pour le Team Natsu Rare Pair Weekend 2023 pour le prompt : Rire.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : C’est étrange, pensa Juvia. Elle n’avait jamais remarqué à quel point le rire de Natsu était communicatif. À vrai dire, elle n’avait jamais passé suffisamment de temps avec lui pour l’entendre véritablement rire.
Disclaimer : Fairy Tail appartient à Hiro Mashima.
@fairytail-multishipper​
AO3 / FF.NET
C’est étrange, pensa Juvia. Elle n’avait jamais remarqué à quel point le rire de Natsu était communicatif. À vrai dire, elle n’avait jamais passé suffisamment de temps avec lui pour l’entendre véritablement rire.
Elle se souvint qu’elle était triste. Elle et Gray avaient rompu. L’histoire d’amour qu’elle avait tant rêvé vivre avec lui n’avait pas eu de fin heureuse. Cela faisait plusieurs jours qu’elle était restée éloignée de tout le monde. Elle ne voulait ennuyer personne avec ses peines de cœur et elle n’était pas de bonne compagnie en ce moment.
Mais Natsu s’était mis en tête de ne pas la laisser seule face à sa peine et lui et Happy s’étaient joints à elle alors qu’elle était assise à une table au fond de la guilde. Elle avait dû dire quelque chose de drôle, car Natsu avait éclaté de rire. Un rire franc et spontané qui la fit sourire, même rire à son tour. Ce jour là, la pluie s’était arrêtée et le soleil commençait à réapparaître dans la vie de Juvia.
Depuis ce jour, elle avait l’impression que Natsu c’était donné pour mission de la faire rire. Petit à petit, Juvia allait de mieux en mieux et ses journées étaient remplies d’éclats de rire. Elle s’était rendue compte qu’elle était tombée amoureuse du chasseur de dragons et de son rire communicatif. Et ce qui la rendait encore plus heureuse c’était d’être aimée en retour.
Fin
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jpbjazz · 8 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
BILLY HIGGINS, ‘’SMILING BILLY’’
“Billy Higgins’s talent will never be duplicated – not that any style can be – but his mark on jazz history is indelible. Billy Higgins represents four decades of total dedication to his chosen form of American music: jazz.”
- Cedar Walton
Né le 11 octobre 1936 à Los Angeles, en Californie, Billy Higgins était issu d’une famille de musiciens. Élevé dans le ghetto afro-américain de Watts, Higgins avait commencé à jouer de la batterie à l’âge de cinq ans sous l’influence d’un de ses amis batteurs. À l’âge de douze ans, Higgins avait travaillé avec des groupes de rhythm & blues, notamment avec des musiciens comme Amos Milburn et Bo Diddley. Au début de sa carrière, Higgins avait également collaboré avec les chanteurs et chanteuses Brook Benton, Jimmy Witherspoon et Sister Rosetta Tharpe.
Surtout influencé par Kenny Clarke, Higgins avait aussi été marqué par Art Tatum et Charlie Parker. En octobre 2001, le chef d’orchestre John Riley du Vanguard Jazz Orchestra avait résumé ainsi les influences d’Higgins: “Billy dug the melodiousness of Max Roach and Philly Joe Jones, Art Blakey’s groove, Elvin Jones’s comping, Ed Blackwell’s groove orchestration, and Roy Haynes’ individualist approach.” Higgins avait hérité de son surnom de ‘’Smiling Billy’’ en raison du plaisir communicatif qu’il avait de jouer de la batterie.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Higgins, qui s’était rapidement intéressé au jazz, avait commencé sa carrière en se produisant avec différents musiciens locaux comme Dexter Gordon, Carl Perkins, Leroy Vinnegar, Slim Gaillard, Teddy Edwards, Joe Castro et Walter Benton. À l’âge de quatorze ans, Higgins avait rencontré le trompettiste Don Cherry. En 1953, le duo était parti en tournée sur la Côte ouest avec les saxophonistes George Newman et James Clay dans le cadre du groupe  The Jazz Messiahs.
En 1957, Higgins s’était joint au quartet de Red Mitchell qui comprenait également la pianiste Lorraine Geller et le saxophoniste ténor James Clay. Higgins avait d’ailleurs fait ses débuts sur disque avec le groupe de Mitchell dans le cadre d’une collaboration avec les disques Contemporary de Lester Koenig. Higgins avait quitté le groupe de Mitchell peu après pour se joindre à la nouvelle formation d’Ornette Coleman, aux côtés de Don Cherry à la trompette, de Walter Norris au piano, et de Don Payne et de Charlie Haden à la contrebasse. Higgins, qui avait commencé à pratiquer avec Coleman en 1955, avait fait partie du groupe du saxophoniste sur une base permanente de 1958 à 1959, participant notamment à l’enregistrement des albums ‘’Something Else’’ (février-mars 1958), ‘’The Shape of Jazz to Come’’ et ‘’Change of the’’ Century’’, tous deux enregistrés en 1959. Higgins avait également participé aux concerts controversés du groupe au club Five Spot de New York en novembre 1959. Commentant la prestation du groupe, le critique Jon Thurber du Los Angeles Times avait qualifié le concert d’un des événements les plus légendaires de l’époque. Thurber avait ajouté: ‘’The event crowded the room with every available jazz musician and aficionado.”
Higgins s’étant vu interdire l’accès des clubs de New York à la suite d’une altercation avec la police,  Higgins s’était joint au quintet de Thelonious Monk. Il était par la suite allé jouer avec le groupe John Coltrane en 1960.
Le 21 décembre 1960, Higgins avait de nouveau retrouvé Coleman dans le cadre de l’enregistrement de l’album controversé ‘’Free Jazz: A Collective Improvisation’’ mettant en vedette le double quartet de Coleman, composé de Coleman au saxophone alto, de Don Cherry à la trompette et au cornet, de Freddie Hubbard à la trompette, d’Eric Dolphy à la flûte, à la clarinette basse et au saxophone soprano, de Scott LaFaro et Charlie Haden à la contrebasse et de Higgins et Ed Blackwell à la batterie.
Devenu un des batteurs les plus en demande du monde du jazz, Higgins avait participé à plusieurs sessions pour les disques Blue Note dans les années 1960, principalement dans des contextes de hard bop. En 1962-63, Higgins s’était joint au groupe de Sonny Rollins avec qui il avait participé à une tournée en France. À la même époque, Higgins s’était également produit avec Donald Byrd, Dexter Gordon, Hank Mobley, Art Farmer, Jimmy Heath, Steve Lacy, Jackie McLean, Herbie Hancock et Lee Morgan.
Le jeu de Higgins à la batterie avait été particulièrement mis en évidence sur des enregistrements comme “Point of Departure’’ d’Andrew Hill, “Takin' Off’’ d’Herbie Hancock (qui comprenait le classique ‘’Watermelon Man’’), “Freedom Jazz Dance” d’Eddie Harris, ‘’Go !’’ de Dexter Gordon et “The Sidewinder’’ de Lee Morgan.
À partir de 1966, Higgins s’était produit régulièrement avec le pianiste Cedar Walton, avec il a enregistré plusieurs albums pour des compagnies de disques européennes jusqu'au milieu des années 1980.
DERNIÈRES ANNÉES
Après s’être fait désintoxiquer en 1971, Higgins avait formé le groupe Brass Company avec le  saxophoniste ténor Claude Bartee et le trompettiste Bill Hardman. Après s’être installé à Los Angeles en 1978, Higgins avait formé avec Walton et le le saxophoniste George Coleman le groupe Eastern Rebellion. À la fin des années 1970, Higgins avait également enregistré comme leader, faisant paraître des albums comme ‘’Soweto’’ (1979), ’’The Soldier’’ (1979) et ‘’Once More’’ (1980).
Dans les années 1980, Higgins avait également collaboré avec Pat Metheny et Slide Hampton. Tout en participant à des tournées internationales avec les Timeless All Stars et à des réunions avec Ornette Coleman et Don Cherry, Higgins avait eu un petit rôle dans le film de Bertrand Tavernier ‘’Round Midnight’’ aux côtés de Dexter Gordon en 1986. Il avait aussi fait partie du trio de Hank Jones. Toujours en 1986, Higgins avait fait partie du Quartet West de Charlie Haden, aux côtés d’Ernie Wax au saxophone et d’Alan Broadbent au piano. Après avoir connu certains problèmes de santé, Higgins avait été éventuellement remplacé par Larance Marable.
Très impliqué socialement, Higgins avait co-fondé en 1989 avec le poète Kamau Daáood le World Stage, un centre communautaire et culturel qui avait pour but de favoriser le développement de la musique, de la littérature et de l’art afro-américain. Le groupe, qui soutenait également la carrière de jeunes musiciens de jazz, organisait régulièrement des ateliers, des enregisrements et des concerts dans le quartier de Leimert Park à Los Angeles. Tous les lundis soirs, Higgins donnait des cours de batterie aux membres de la communauté. Higgins, qui s’intéressait particulièrement aux enfants, avait déclaré au cours d’une entrevue accordée au magazine LA Weekly en 1999:
"They should bus children in here so they can see all this, so they could be a part of it. Because the stuff that they feed kids now, they'll have a bunch of idiots in the next millennium as far as art and culture is concerned. I play at schools all the time, and I ask, 'Do you know who Art Tatum was?' 'Well, I guess not.' Some of them don't know who John Coltrane was, or Charlie Parker. It's our fault. Those who know never told them. They know who Elvis Presley was, and Tupac, or Scooby-Dooby Scoop Dogg--whatever. Anybody can emulate them, because it's easy, it has nothing to do with individualism. There's so much beautiful music in the world, and kids are getting robbed.’’
Également professeur, Higgins avait enseigné à la faculté de jazz de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA). Il avait aussi été très impliqué dans plusieurs activités en faveur de la conservation et de la promotion du jazz.
Toujours très en demande dans les sessions d’enregistrement, Higgins s’était produit sur une base régulière avec le saxophoniste Charles Lloyd de 1999 à 2001. Il dirigeait aussi ses propres groupes.
Atteint d’une maladie des reins, Higgins avait dû mettre sa carrière sur pause dans les années 1990, mais il avait repris sa carrière après avoir subi avec succès une greffe du foie en mars 1996, se produisant notamment avec Ornette Coleman, Charles Lloyd et Harold Land.
Billy Higgins est mort le 4 mai 2001 au Daniel Freeman Hospital d’Inglewoood, en Californie, des suites d’un cancer du foie. Il était âgé de soixante-quatre ans. Ont survécu à Higgins ses fils Ronald, William Jr., David et Benjamin, ses filles Ricky et Heidi, son frère Ronald, son gendre Joseph (Jody) Walker, son neveu Billy Thetford et sa fiancée Glo Harris. À l’époque, Higgins avait divorcé de sa première épouse Mauricina Altier Higgins.
Peu avant sa mort, Higgins avait joué le rôle d’un batteur de jazz dans le film ‘’Southlander’’ de Steve Hanft et Ross Harris.
Au moment de son décès, Higgins venait d’être hospitalisé pour une pneumonie et attendait une seconde greffe du foie. Dans son dernier numéro publié avant la mort de Higgins, la revue française Jazz Magazine avait lancé une campagne de souscription en faveur de Higgins, le batteur n’ayant pas des revenus suffisants pour couvrir ses frais médicaux. Deux ans avant sa mort, le saxophoniste Charles Lloyd avait témoigné de la santé fragile de Higgins en déclarant: ’’Billy Higgins a une santé précaire, et cette fragilité physique confère à son jeu une délicatesse unique. Jouer avec lui, c'est un peu comme jouer à la maison. Il y a une telle conjonction entre nous. Un seul regard suffit et le disque est enregistré.’’ Comparant Higgins à un maître zen, Lloyd avait ajouté: “everybody who plays with him gets that ecstatic high.” Rendant hommage à Higgins après sa mort, son collaborateur de longue date, le pianiste Cedar Walton, avait ajouté: “Billy Higgins’s talent will never be duplicated – not that any style can be – but his mark on jazz history is indelible. Billy Higgins represents four decades of total dedication to his chosen form of American music: jazz.”
Higgins avait livré sa dernière performance le 22 janvier 2001 dans le cadre d’un concert présenté au club Bones and Blues de Los Angeles. Le concert, qui mettait également en vedette les saxophonistes Charles Lloyd et Harold Land, avait pour but de soutenir la lutte d’Higgins contre le cancer du foie.
Reconnu pour son swing léger mais actif, son jeu subtil et raffiné et sa façon mélodique de jouer de la batterie, Billy Higgins avait collaboré avec les plus grands noms du jazz au cours de sa carrière, de Ornette Coleman à Don Cherry, en passant par Sonny Rollins, Cedar Walton, Herbie Hancock, Abudullah Ibrahim, Bheki Mseleku, Roy Hargrove, Pat Metheny, Charles Lloyd, Donald Byrd, Freddie Hubbard, Eric Dolphy, John Scofield, Thelonious Monk, Scott LaFaro, Cecil Taylor, Charlie Haden, Hank Jones, Dexter Gordon, Hank Mobley, Grant Green, Joe Henderson, Art Farmer, Sam Jones, Dave Williams, Bob Berg, Monty Waters, Clifford Jordan, Ira Sullivan, Sun Ra, Milt Jackson, Jimmy Heath, Joshua Redman, John Coltrane, Eddie Harris, Steve Lacy, David Murray, Art Pepper, Mal Waldron, Jackie McLean et Lee Morgan. Higgins avait également collaboré avec le compositeur La Monte Young.
Higgins a participé à plus de 700 enregistrements au cours de sa carrière, ce qui en faisait un des batteurs les plus enregistrés de l’histoire du jazz. Qualifiant le jeu de Higgins, le critique Ted Panken du magazine Down Beat avait commenté: "To witness him--smiling broadly, eyes aglimmer, dancing with the drum set, navigating the flow with perfect touch, finding the apropos tone for every beat--was a majestic, seductive experience." De son côté, le chef d’orchestre Larry Riley avait précisé: “Billy was a facilitator, not a dominator. He would enhance the direction the music ‘wanted’ to go in rather than impose his own will on the composition. You can hear that Billy was a master at creating a good feeling in the rhythm section. Dynamically, he used the entire spectrum— but with great restraint. His comping and overall flow were very precise but very legato.”
Higgins, qui avait surtout appris son métier en utilisant une approche d’essais-erreurs, avait résumé ainsi sa méthode d’apprentissage:
“That’s where you learn. You learn to be in context with the music and interpret. You make your mistakes and you learn. Most of the drummers that are working are people who know how to make the other instruments get their sound. Kenny Clarke was a master at that. It sounds like he was doing very little, and he was, but what he implied made all the instruments get their sound. Philly Joe, Elvin—as strong as they played, they still bring out the essence of what the other musicians are playing. Roy Haynes, Max, Art Blakey—none of them played the same. You try to add your part, but the idea is to be part of the music and make it one. That’s the whole concept for me.” 
Décrivant la contribution d’Higgins à l’histoire du jazz, le contrebassiste Ron Carter avait ajouté: “Billy Higgins was the drummer of the 20th century who put the music back into the drums. He was fabulous. He always played the form, and he was aware not only of the soloists, but also of his rhythm section mates.” Saluant le professionnalisme et la grande préparation d’Higgins, Carter avait précisé: “He was always on time, with his equipment ready, and he contributed to the general outlook of the group no matter where [we were] or how many people were involved. He made the music feel good.” De son côté, le pianiste Cedar Walton avait commenté: “His style is well-documented, but to see Billy in person at his drums was the ultimate jazz experience.”
Billy Higgins avait été élu ‘’Jazz Master’’ par la National Endowment for the Arts en 1997. En 1988, Higgins avait également remporté un prix Grammy conjointement avec Ron Carter, Herbie Hancock et Wayne Shorter pour la composition “Call Sheet Blues” tirée de la bande sonore du film ‘’Round Midnight.’’ Par la suite, Higgins avait fait partie du Round Midnight Band avec le saxophoniste Dexter Gordon.
Le saxophoniste Charles Lloyd avait rendu un des meilleurs hommages qu’on pouvait rendre à Higgins lorsqu’il avait déclaré: "Jazz is the music of wonder and, and he's the personification of it.’’ Higgins s’était toujours considéré comme un peu privilégié d’avoir pu faire une carrière musicale. Comme il l’avait mentionné peu de temps avant sa mort: "I feel blessed to play music, and it's also an honor to play music. You've got a lot of people's feeling in your hands."
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mmepastel · 1 year ago
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Ah… là ça va mieux.
Très joli livre. Un trésor de délicatesse.
L’histoire se passe autour de trois personnages qui habitent dans la même rue (enfin, à peu près). Clara, sept ans, a précisément les yeux rivés sur la rue, car sa sœur chérie Rose a disparu, suite à une dispute avec leur mère ; elle la guette. Elle s’entend très bien avec Elizabeth Orchard, sa vieille voisine d’en face, et avec son chat. Celle-ci lui confie même la tâche de nourrir Moïse (le chat), lorsqu’elle doit s’absenter pour un séjour à l’hôpital…mais le séjour s’éternise, Rose ne revient pas non plus, et voilà qu’un étrange inconnu semble prendre possession de la maison de Mme Orchard. Le monde de Clara se fissure, et elle veut comprendre et tout réparer ; il faut dire que malgré son anxiété, elle a un sacré caractère, et une volonté de fer.
Il s’agit d’un roman choral dans lequel les chapitres s’enchaînent avec changement de narration avec ces trois personnages. On comprend peu à peu ce qui les lie, ou ce qui va les lier. C’est assez joli, subtil, nuancé et doux. Finement écrit, avec un humour discret mais efficace, on s’attache vite et bien aux personnages, et on se surprend à s’attendrir, vouloir qu’ils soient réconfortés, consolés, oui, comme l’annonce le titre.
Il est possible de faire de la bonne littérature avec de bons sentiments, j’ai enfin un exemple à citer. Ici des êtres blessés par la vie se retrouvent dans cette petite ville du Canada, enfin un peu dorlotés par le destin, enfin, apaisés dirons-nous (car l’autre mot est un peu déplacé pour Elizabeth) sans que l’ombre d’une mièvrerie vienne gêner le plaisir. C’est communicatif. Un beau livre qui fait du bien, c’est appréciable.
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Aujourd’hui nous avons fait une visite guidée de Santiago avec Mr. Jo! Ce gentil descendant du peuple Mapuche nous a raconté la genèse de la ville. Aneth tient absolument à ce qu’on parle de l’histoire des serpents, donc on vous la mentionne, mais vous n’aurez pas la suite, car elle est ensuite partie se coucher.
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Le site de Santiago a été choisis très tôt par les Mapuche, le peuple indigène du Chili. Dans leur cosmologie, il y avait 2 serpents, celui de terre et celui d’eau. Le serpent d’eau, particulièrement vicieux, décida de mouiller le monde en le noyant sous l’eau (de mer, qui plus est!). Le serpent de terre proposa alors généreusement aux hommes de monter sur sa grosse queue pour les sauver du contact honnis avec le liquide. Du coup, y a une colline au milieu de Santiago, les Mapuche en la voyant se sont tout naturellement dit qu’elle ressemblait à la grosse queue du serpent de terre. Je dois avouer que nous aussi nous avons trouvé la ressemblance frappante !
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Nous avons par la suite visité les principaux lieux historiques de la ville, qui décrivaient successivement les périodes coloniale, socialiste avec Salvador Allende, dictatoriale sous Pinochet et actuelle. Bien que les bâtiments étaient particulièrement peu charismatiques, l’enthousiasme communicatif de Mr. Jo a maintenu notre attention à un niveau suffisant pour vous faire ce bref compte-rendu! A noter que les bâtiments d’inspiration soviétique entourant le palais présidentiel ont été spécifiquement conçus pour ne pas lui faire de l’ombre, un défi difficile mais relevé haut la main !
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En revanche, les peintures murales de la ville se sont avérées êtres plus inspirées:
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Nous avons également croisé ce cher San Tiago qui d’après son air horrifié semble avoir vu Aneth et Dr.X enlever simultanément leurs chaussettes!
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A la fin de cette pittoresque visite, nous avons pu rémunérer notre guide selon notre bonne volonté. En moyennant nos avis et celui de Dr.RAThatton, nous sommes parvenus à assurer la subsistence de Mr.Jo.
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lilie-stuffs · 2 years ago
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Scénario attendu.
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Scénario très attendu, avec de nombreux liens, sur 𝒞𝓇𝑒𝓈𝒸𝑒𝓃𝓉 𝒞𝒾𝓉𝓎. 𝑪𝒆𝒓𝒃𝒆𝒓𝒆 𝙑𝙖𝙢𝙥𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙚 𝟭𝟳𝟱 𝙖𝙣𝙨, 𝙖𝙛𝙛𝙞𝙡𝙞𝙚́ 𝙖̀ 𝙪𝙣 𝙘𝙡𝙖𝙣 𝙑𝙖𝙢𝙥𝙞𝙧𝙚. • 𝙑𝙞𝙙𝙚𝙪𝙧 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙪𝙣𝙚 𝙗𝙤𝙞̂𝙩𝙚 𝙙𝙚 𝙣𝙪𝙞𝙩 𝙖𝙥𝙥𝙖𝙧𝙩𝙚𝙣𝙖𝙣𝙩 𝙖𝙪 𝙘𝙡𝙖𝙣. • 𝘽𝙤𝙣 𝙫𝙞𝙫𝙖𝙣𝙩, 𝙙𝙧𝙤𝙞𝙩, 𝙛𝙞𝙙𝙚̀𝙡𝙚 𝙖𝙪 𝙘𝙡𝙖𝙣 ; 𝙫𝙞𝙤𝙡𝙚𝙣𝙩, 𝙤𝙗𝙨𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡, 𝙞𝙢𝙥𝙪𝙡𝙨𝙞𝙛. Lien attendu par ma Mila (ft. Charleen Weiss) ᴏʙsᴇssɪᴏɴ / ғᴜᴛᴜʀᴇ ᴄᴀʟɪᴄᴇ : Tu la vois, les soirs où elle travaille. Le corps qui ondule pour les yeux des autres. Tu sens l'odeur de ceux qui ont les mains baladeuses. Mila te rappelle ton ancien amour. Même regard, même traits du visage. Obsession grandissante. Envie de la faire tienne. Alors petit à petit, tu t'approches d'elle. Tu l'aides si elle en a besoin. Tu surveilles. Pour devenir une habitude dans son univers. C'est qu'elle t'apprécie en plus. Toi et ton sourire. Toi et ton rire communicatif.
Viendez, viendez ♥
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fallenrazziel · 2 years ago
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Les Chroniques de Livaï #554 ~ L'INSOUCIANCE NE S'IMPROVISE PAS (septembre 846) Kryshan
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Le caporal-chef nous fait suffisamment confiance pour nous laisser nous débrouiller, j'en suis très fier ! On va patrouiller dans la zone à la recherche de beaux titans à amener au chef Hanji, elle sera contente.
Son enthousiasme face à son captif était communicatif ; même si les titans m'inspirent plus de tristesse qu'autre chose... Elle semble avoir à coeur d'apprendre tout ce qu'elle peut d'eux. le caporal n'est pas de cet avis, il n'a pas cessé de rouspéter depuis que nous sommes partis. Hier soir déjà, il était à deux doigts de se rebeller contre l'ordre du major, ce qui aurait été une première. Mais même lui ne peut pas se permettre ça. Il a fait bonne figure mais on sait tous ce qu'il en pense. Pour lui, tout ceci ne sert à rien, les titans sont des ennemis à abattre, un point c'est tout.
Je suis partagé sur la question. Je ne sais pas si ça nous mènera quelque part, mais ce serait bien si le caporal se montrait plus coopératif et compréhensif avec sa collègue. Mais l'imprudence du chef Hanji le met hors de lui. Ils sont pas du tout sur la même ligne là-dessus, haha ! Si j'en crois Gunther, c'est un vrai miracle si ces deux-là ne sont pas encore écharpés, alors espérons que la journée se finisse bien.
Pour l'instant, dirigeons-nous vers le Mur ; le caporal nous y a envoyés parce que le major voudra peut-être un rapport. Et aussi parce que l'équipe de Zacharias est partie dans cette direction. Il vaut mieux rester pas loin d'eux, en soutien. On a quasiment pas eu de contacts, mais ce sont des téméraires, ils foncent vers le danger sans réfléchir. Il est préférable aller à leur rencontre et les encadrer.
Wouah, je me mets à réfléchir comme un chef d'escouade maintenant ! Tu y crois, Ber ? Il ne me répond pas et nous continuons de slalomer entre les arbres jusqu'à la muraille imposante. Il y a quelques mètres à parcourir à pieds avant de l'atteindre, puis nous plantons ensemble nos grappins pour nous propulser dans les airs. Cette sensation de filer comme le vent le long de la façade est incroyable, aucune ne peut s'y comparer !
Nous courons sur la surface afin de nous diriger là où le major est censé se trouver. Suspendus au rempart, nous voyons le grand homme se pencher vers nous et exiger des nouvelles. Tout va bien, major, aucun blessé. Les équipes fonctionnent bien et le capitaine Hanji procède à des examens et récupération de matériaux de recherche sur les titans capturés.
J'ai adopté le ton le plus professionnel dont je suis capable, remarquant bien tout le monde qui se presse tout autour, avide de m'entendre. Je me sens tout d'un coup très important, et, mieux que tout, personne ne semble intéressé par notre apparence, à mon frère et moi, ce qui me soulage.
Le major me demande où se trouve le caporal. Il est parti rejoindre nos camarades, au sud. Il est ravi d'avoir pu aider le capitaine Hanji dans son projet... Ber me fourre le coude dans les cotes discrètement mais je l'ignore. C'est vrai, non ? Bon, j'ai peut-être pas utilisé le terme exact, mais il faut bien enjoliver un peu les choses, pour ceux qui écoutent... Et puis au moins, je mets pas le caporal dans l'embarras, personne a besoin de savoir pour les disputes...
J'ai à peine eu le temps de communiquer ça à Bernon que le capitaine Zacharias, lui aussi penché sur nous, se redresse d'un coup et indique du doigt une direction, les sourcils froncés. Je suis son geste et distingue alors au loin, à quelques kilomètres du Mur, un signal de fumée. De détresse, en fait ! Il vient de loin... C'est l'équipe des casse-cous, c'est sûr ! Que font-ils si loin là-bas ? Ils ont du courser un titan et se font fait coincer ! Major, nous y allons de suite !
Il approuve de la tête et nous laisse nous envoler. Ber et moi filons le long de la muraille, les yeux fixés sur le point précis d'où s'élève le panache de fumée ; ce n'est pas censé être notre secteur, mais peut-être se sont-ils mis en tête de faire barrage face à un groupe de grands gabarits. S'ils ont cru bon de lancer cette fusée, c'est qu'ils sont vraiment en difficulté !
Ber, reste en arrière ! Je vais voir en premier comment ça se présente, réserve tes forces ! Il approuve silencieusement et perd de la vitesse afin de me laisser passer devant. Nos réserves de gaz ne sont guère entamées - nous avons fait le plein durant notre pause près du poste de capture - mais autant ne pas le gaspiller ; sans compter que les arbres se font plus rares par ici, nous devons étudier notre trajectoire.
Je saisis vite la situation, en un clin d'oeil. Une mêlée de titans - dont au moins deux déviants d'après ce que je vois - est lancée aux trousses de nos têtes brûlées. Elles tentent de leur échapper en s'éparpillant parmi les quelques arbres, mais leur manège ne durera pas. Les grandes mains baladeuses commencent déjà à écarter les branches...
Ok, Ber, changement de plan. On y va tous les deux et on donne tout ce qu'on a, ou cette journée va finir en bain de sang. Le caporal a peut-être vu le signal mais il est loin, il pourra pas rappliquer à temps sans cheval. C'est à nous de jouer ! On doit faire en sorte de les couvrir afin qu'ils puissent se mettre à l'abri sur Rose ! Ce qui implique de tuer un maximum de ces monstres ! Je vais m'appliquer pour les coups de grâce, quant à toi, te mets pas en danger, ne frappe qu'au bon moment !
Sont-ils encore tous en vie ? Qu'importe, je fonds sur le titan le plus proche. Ber l'anticipe comme à son habitude et se dirige vers le second. Merde, les casse-cous sont dispersés, c'est pas simple pour nous ! Il faudrait qu'ils se regroupent... J'ai pas le choix. Je me pose à terre et me mets à gueuler ! Heeeey ! Ecoutez ! Le Mur Rose est dans cette direction ! Allez-y et on s'occupe d'eux ! J'agite mes lames pour attirer l'attention des géants et je suis soulagé quand j'y parviens. Je redécolle enfin en plantant mes filins dans le corps du plus proche, mais sa nuque ne se dévoile pas tout de suite, je dois tourner autour de lui. Il balance son bras vers moi comme si j'étais un moustique gênant et je décide de m'en débarrasser. Le membre vole dans les airs, me laissant le champ libre vers son point faible. Je virevolte vers son cou et frappe juste un peu trop court ; ma lame ne fait qu'entamer la chair. Le point fatal est juste un peu plus profond... Je refais un passage et taillade plus mortellement cette fois. Le titan tressaute, tourne sur lui-même, et s'écoule à terre.
Un soldat éreinté, le visage sale, se pose près de moi. Je me souviens pas de l'avoir déjà vu mais je lis la gratitude sur ses traits, même s'il ne se défait pas de son air suffisant. Aah, la vanité des jeunes recrues ! Bah, les remerciements seront pour plus tard. Tu as du gaz encore ? Il acquiesce. Dans ce cas, va au Mur Rose. Il refuse tout net, affirmant qu'il peut aussi se battre. Si tu veux, je suis pas ton chef, mais ma position me permet quand même de te donner des ordres. Si ça chauffe trop, tu te tires, d'accord ? Il s'éloigne sans mot dire, tandis que d'autres titans se présentent.
Jetant un oeil plus loin, je distingue un carnage de bras et de jambes qui volent dans tous les sens. Eh bien, soit Ber est en pleine forme, soit il a galvanisé les casse-cous ! Ou alors... merde, c'est peut-être mauvais signe ! S'il était arrivé quelque chose à mon frère, je le saurais, car nous sommes constamment connectés. Je le sens très concentré, très calme... Il prépare un coup fatal. Ce n'est pas lui qui découpe ces titans, je pense...
Je dois y aller ! C'est une chance que toute la horde se soit rassemblée ! Laisse-m'en quelques-uns, frérot ! Je décolle en faisant vrombir ma bobine, les pieds en avant, et atterrit sur le dos d'un des monstres. Je cours à la vertical, passe sur son épaule, observe un peu ce qui se passe, avant de m'élancer de nouveau dans les airs, évitant de peu ses mâchoires claquantes ! Trop lent, mon gros ! Il tente de me saisir et je lui sectionne le poignet ; puis je reviens aussitôt vers son visage pour zébrer ses yeux.
Rendu aveugle, il bouscule ses copains déjà handicapés qui chutent les uns après les autres. Un bon coup, ça ! J'aperçois Ber qui émerge de la mêlée, prêt à distribuer ces bottes mortelles. Dans le même mouvement, trois autres soldats s'extirpent aussi de l'amas de corps géants, en criant comme pour se donner du courage. Ok, ça fait donc quatre, il en manque un ! Où est le dernier ? J'entends alors des plaintes étouffés, et la vision d'un corps gigotant entre les dents blanches d'un titan fait bouillir mon sang... Pas de mort aujourd'hui !
Mais mon angle d'attaque n'est pas le bon. Les têtes des autres géants se trouvent sur ma trajectoire et je sais que je ne vais pas y arriver... Ber, où es-tu ?! C'est urgent, laisse tomber les autres, y'en a un qui va se faire bouffer ! A peine ai-je formulé cet appel mental qu'un éclat de lumière vient me frapper en pleine face et la mort fond sur la nuque du titan prêt à festoyer ! Le coup est si fort que la tête jaillit du cou, comme un bouchon, et vient frapper un arbre avec violence.
Je me précipite vers elle, terrifié à l'idée de l'état dans lequel je vais retrouver le malheureux... Je distingue la silhouette du soldat qui se glisse de sous la tête décapitée, secoué mais bien éveillé. Ouf, il a ses jambes ! Je le voyais bien revenir amputé ! Bien joué, Ber !
Le "malheureux" s'avère être une "malheureuse" en fait. Qui aime jurer, d'après ce que j'entends ! Elle jette à la tête du titan qui commence à s'évaporer un flot de jurons bien sentis, puis se met à boiter en venant s'appuyer sur une pierre. Une cascade de cheveux flamboyants vient couler sur sa cape verte et elle essaie tant bien que mal de les attacher de nouveau. On a pas le temps ! Ber s'occupe d'achever les survivants derrière mais il faut pas traîner, si d'autres se pointent !
Je me pose près d'elle et lui demande si elle a quelque chose de cassé. Elle se masse les cuisses et se débarrasse de sa botte gauche lacérée en la balançant par dessus sa tête. Je comprends que ses jambes ne fonctionnent plus pour le moment. Son équipement est pas en meilleur état, broyé par les mâchoires... Ok, on va faire au plus simple. Tu vas monter sur mon dos et je vais nous propulser vers Rose. Tu peux faire ça ?
Pour la première fois, elle fixe son regard sur moi et je note qu'il est très intimidant. C'est comme si je n'avais pas existé avant cet instant. Ses yeux sont d'un noisette très clair, presque doré, et ses joues couvertes de taches de rousseur. Elle m'aurait paru charmante dans toute autre situation mais un tête-à-tête avec les titans n'a rien de romantique !
Si tu veux vivre, tu dois t'en remettre à moi. Allez, grimpe ! Elle hésite un instant, n'ayant pas escompté un contact physique aussi rapproché avec quelqu'un aujourd'hui, mais devant la menace des titans dont les membres commencent à repousser - et je crois que leur nombre a augmenté ! -, elle finit par obtempérer. Elle coupe les courroies de son dispositif et saute sur mon dos. Ber, on se replie, suis-nous ! J'entends mon frère me répondre faiblement et je le cherche des yeux. Il nous a déjà devancés ; je l'aperçois s'envoler juste au-dessus de nous, hésitant à quitter les lieux tant que nous ne serons pas nous-mêmes en vol.
C'est la première fois que je fais ça. Je sais que c'est possible en théorie... Je me relève difficilement - la fille est plus lourde que je ne le pensais - et calcule ma trajectoire parmi les arbres jusqu'à Rose. Si je me loupe, on tombe tous les deux ! Allez, accroche-toi, c'est parti !
Je plante mon grappin dans un arbre proche et enclenche les gaz. Le souffle à peine précipité de ma camarade se fond dans celui du vent qui file, et tout à coup le poids se fait moins lourd. Je prends de la vitesse, à peine gêné par les cuisses de la fille serrées autour de ma taille, et le Mur se rapproche alors très vite. Génial, on va y arriver ! Ber me précède et prend même le temps d'éliminer un titan qui a eu l'imprudence de sauter pour tenter de nous gober ! Il l'a bien cherché !
Enfin, mon crochet s'agrippe à la jupe de Rose ! Ca a été facile finalement ! Je négocie mon atterrissage, mais je jauge mal nos deux poids conjugués et mon dernier mouvement manque d'élégance ! On s'en fout, on est vivants ! Je rembobine le filin et vise le parapet avec l'autre grappin, ce qui me permet de nous hisser sur le rempart. La fille et moi nous étalons par terre, essoufflés, et elle est vite placée sur un brancard sous les yeux du major qui a eu le temps d'accourir vers nous. Je me retourne sur le ventre et mes yeux plongent dans le vide qui s'ouvre sous moi... Je sens comme une aspiration fatale... C'est alors que le caporal surgit comme un diable de sa boîte, courant le long du Mur vers moi, pour me repousser en arrière. Il a l'air super inquiet, ce qui est exceptionnel.
Vous inquiétez pas, on a géré. Ils sont tous là, je pense... Ouf... je suis vanné mais c'était génial ! Enfin pas si génial que ça, mais... enfin, vous voyez ce que je veux dire ! Ca aurait pu mal finir et... la sensation du devoir accompli, quoi !...
Je lis dans ses yeux qu'il comprend très bien ce que je veux dire. Je lève le pouce en l'air en signe de victoire et j'aperçois à peine Ber se précipitant sur moi avant de me décider à perdre connaissance...
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frenchdrarry · 2 years ago
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Calme.
Il fallait rester calme.
Draco ferma les yeux un peu plus longtemps que nécessaire, le temps de parfaire son visage neutre, puis les rouvrit.
—Excuse-moi, énonça-t-il d’une voix claire qui cachait à merveille son agacement.
L’autre ne le calcula même pas.
La tension de Draco commençait sérieusement à monter en flèche.
—Excuse-moi, répéta-t-il avec une petite hargne.
Intérieurement, Draco avait envie de crier : ARRÊTE DE TAPOTER CE FICHU STYLO SUR CETTE MAUDITE TABLE AVANT QUE JE TE FASSE BOUFFER L’UN ET QUE J’TE METTRE L’AUTRE AU CUL ESPÈCE DE CONNARD, mais il était quelqu’un de calme et de respectueux.
Toujours est-il que son appel fonctionna enfin : l’étudiant devant lui cessa tout mouvement et tourna la tête pour croiser le regard de Draco.
—C’est à moi que tu veux parler ?
Merde, sa voix était chaleureuse. Il accompagna sa question d’un sourire engageant et d’un regard à mi-chemin entre la réserve et l’assurance.
Draco fut un instant stupéfié par la beauté du type mais se reprit quand Daphné, à ses côtés, fronça des sourcils.
—Euh, je…Peux-tu cesser de tapoter ton stylo sur cette table s’il te plaît ?
Il se racla la gorge, étonné lui-même de sa soudaine timidité. Mais vraiment, le type était…wow. Il écarquilla les yeux, puis un sourire déchira ses joues et il passa une main dans ses cheveux ébènes. Draco avait envie de faire pareil.
QU’EST-CE QUI M’ARRIVE ??
Il espérait que sa gay panic ne se fasse pas sentir mais il sentait le sourire moqueur derrière la main de Daphné. Merde.
—Ah oui, pardon ! Le stress. Je passe à l’oral tout à l’heure, s’excusa-t-il.
—Harry est un désastre de stress tout court, intervint un type roux à côté de lui.
Draco le calcula à peine, fasciné par les jolis sourcils noirs qui se fronçaient entre la frange bouclée et la monture de lunettes.
—Ta gueule, Ron.
—Ce n’est pas grave, intervint directement Draco comme s’il n’avait pas haït ce mec pendant dix minutes avant de l’interpeller.
Honnêtement, il était prêt à tout pour que Harry ne se retourne pas et continue de lui parler. Harry. Le prénom lui allait bien. D’ailleurs, Harry tourna les yeux vers lui et lui sourit. Draco remarqua les morsures.
Définitivement stressé. Il faillit lui proposer du baume à lèvres mais se retint. En revanche, il mit du temps à comprendre qu’il souriait en retour à Harry.
La réalisation le fit rougir. Merde, il faisait chaud dans cette salle et il faisait n’importe quoi.
—Bonne chance pour ton oral alors. N’hésites pas à parler trèèès lentement, qu’on perde du temps de cours, intervint Daphné avant que le silence ne soit gênant.
Mais Draco percevait nettement son amusement. Tout son être semblait irradier de joie moqueuse. Oh, il allait regretter de l’avoir taquiné à midi, quand Daphné avait laissé son œil traîner un peu plus longtemps que nécessaire sur le corps de Lavande Brown.
Harry éclata de rire à la remarque. Un rire facile, entraînant, communicatif.
Un rire que Draco voulait réentendre à l’infini.
Il était foutu.
Quand Harry passa à l’oral, Draco n’avait jamais été aussi attentif de sa vie afin d’entendre le nom complet de Harry. Le professeur l’avait appelé “Harry Potter”.
Le soir même, il le cherchait sur instagram.
Le trois jours plus tard, le temps d’une réunion de crise où Daphné l’affichait honteusement, où Blaise se bidonnait sans vergogne et où Pansy repoussait les limites humaines en terme de sons aigus, Draco demandait à Harry s’il était intéressé par un rendez-vous.
Quand la réponse fut “oui”, Pansy fut aussitôt déchue de son titre et les cordes vocales de Draco étaient à deux doigts de l’infrason.
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edith1962 · 10 months ago
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instagram
#lmichelemorgan #sergereggiani #claudelelouch #cinema
Le Chat et la souris excellent film, le fou rire de Michèle Morgan est communicatif🤣
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valloninfo · 3 months ago
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Les participants après avoir reçu leurs coupes, médailles et autres lots Le samedi 7 septembre, le Tennis Club du Val-de-Travers a accueilli avec succès la deuxième édition de son Tournoi Juniors, réunissant 14 jeunes talents âgés de 10 à 15 ans. Cette compétition amicale, riche en performances, a mis en lumière l'engagement et le fair-play des participants, qui se sont affrontés dans une ambiance aussi conviviale que sportive. Répartis en trois groupes selon leur âge, les jeunes joueurs ont livré des matchs intenses, avec un format original permettant de maximiser le nombre de rencontres. En effet, les matchs se sont joués en 20 minutes, au terme desquelles le joueur ayant remporté le plus de jeux était désigné vainqueur. Cette formule a permis à chaque compétiteur de défier tous les autres membres de son groupe, assurant ainsi une journée rythmée et équilibrée. Les lauréats de cette édition sont Gianluca Oppliger dans le groupe 1, Malcolm Marquis dans le groupe 2 et Thomas Serra dans le groupe 3. Une finale inédite a opposé les vainqueurs des groupes 1 et 2, et Gianluca Oppliger a su s’imposer une nouvelle fois, confirmant sa domination sur cette journée. Sous un soleil radieux, les parents et supporters ont pu profiter d'une atmosphère chaleureuse et d’un spectacle de qualité, marqué par un respect exemplaire entre les joueurs. Cette édition 2024 du Tournoi Juniors restera gravée dans les mémoires, grâce à l'organisation impeccable et l’enthousiasme communicatif des jeunes tennismen. Le Tennis Club du Val-de-Travers se félicite de cette réussite et donne déjà rendez-vous pour une prochaine édition, espérant des performances encore plus impressionnantes de la part de ses jeunes talents.
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christophe76460 · 5 months ago
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Si il n'y avait pas de trinité, il n'y aurait pas de Dieu d’Amour - L'Évangile est une puissance de Dieu pour le Salut de quiconque croit (Romains 1. 16)
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autoanalyse · 5 months ago
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Ma vie après toi …
Jeudi 25 juillet
Prologue
J’étais entrain de lire « après le tempête » de Laura s wild , je commençais à lire une page sans vraiment la lire parce qu’une personne occupait mes pensées , j’ai fermé ce livre et j’ai commencé à écrire.
Je me suis dis que notre histoire méritait d’être écrite depuis le début pour pouvoir n’oublier aucun détails .
Ça ne sera que mon côté du livre mais un jour je suis persuadé que je connaîtrais le tien.
Chapitre 1
Anae
Bonjour jolie demoiselle ,
Je viens de quitter mon appartement pour venir te voir pour la première fois.
J’attend impatiemment dans la gare de ma ville l’arriver de ton train .
Le stress monte , je me demande si tu vas autant me plaire que sur les photos , si tu vas être intéressante , si l’on va se ressembler mentalement.
Puis je vois défiler quelque personne , et parmis cette petite foule , une personne se démarque ,
C’est toi
Tu es si jolie avec ta robe rouge et bleu , ton sourire charmeur et tes yeux si communicatif .
On se salut puis malgré le stress des premières fois je trouve que l’on est plutôt à l’aise .
Je t’emmène chez moi comme promis pour te faire un café et que tu rencontres mon chat.
Je découvre ta personnalité, que j’aime beaucoup , tu ressembles au personnes que j’aime , mes amies !
Clara Léa Roxane Elena Siham lune !
Tu es intelligente jolie douce drôle et charmante .
On décide de partir en Bretagne si nos vacances coïncide .
Tu repars et j’espère te revoir au plus vite .
Je vais prendre mon temps avec toi et tout ira bien j’en suis sûr .
On commence à se parler de + en + par message ça me rend réellement heureuse .
On se revoit aujourd’hui j’ai extrêmement hâte !
Je vais te ramener des fleurs !
À se soir Anae
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