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#belfond
mmepastel · 1 year
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Ah… là ça va mieux.
Très joli livre. Un trésor de délicatesse.
L’histoire se passe autour de trois personnages qui habitent dans la même rue (enfin, à peu près). Clara, sept ans, a précisément les yeux rivés sur la rue, car sa sœur chérie Rose a disparu, suite à une dispute avec leur mère ; elle la guette. Elle s’entend très bien avec Elizabeth Orchard, sa vieille voisine d’en face, et avec son chat. Celle-ci lui confie même la tâche de nourrir Moïse (le chat), lorsqu’elle doit s’absenter pour un séjour à l’hôpital…mais le séjour s’éternise, Rose ne revient pas non plus, et voilà qu’un étrange inconnu semble prendre possession de la maison de Mme Orchard. Le monde de Clara se fissure, et elle veut comprendre et tout réparer ; il faut dire que malgré son anxiété, elle a un sacré caractère, et une volonté de fer.
Il s’agit d’un roman choral dans lequel les chapitres s’enchaînent avec changement de narration avec ces trois personnages. On comprend peu à peu ce qui les lie, ou ce qui va les lier. C’est assez joli, subtil, nuancé et doux. Finement écrit, avec un humour discret mais efficace, on s’attache vite et bien aux personnages, et on se surprend à s’attendrir, vouloir qu’ils soient réconfortés, consolés, oui, comme l’annonce le titre.
Il est possible de faire de la bonne littérature avec de bons sentiments, j’ai enfin un exemple à citer. Ici des êtres blessés par la vie se retrouvent dans cette petite ville du Canada, enfin un peu dorlotés par le destin, enfin, apaisés dirons-nous (car l’autre mot est un peu déplacé pour Elizabeth) sans que l’ombre d’une mièvrerie vienne gêner le plaisir. C’est communicatif. Un beau livre qui fait du bien, c’est appréciable.
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youraufildespages · 3 months
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Glamour sur la 5ème Avenue de Renée Rosen
 8/10 New York, l’endroit parfait pour se faire oublier. C’est en tout cas l’espoir de la jeune Gloria qui fuit un scandale familial dévastateur. Prête à se réinventer, il ne lui manque plus qu’une nouvelle amie pour l’accompagner dans la ville de tous les possibles. C’est alors qu’elle va trouver sur sa route la très idéaliste Estée…  Estée est avide de succès. Un jour, son nom sera…
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angelitam · 10 months
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Partageons mon rendez-vous lectures #35-2023 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Sur tes traces d’Harlan Coben Sur tes traces d’Harlan Coben – Editions Belfond Aysuun de Ian Manook Aysuun de Ian Manook – Editions Albin Michel En lecture, La ronde des mensonges d’Elizabeth George La ronde des mensonges d’Elizabeth George – Editions Pocket Présentation de l’éditeur : Ian Cresswell, neveu et héritier du richissime Lord…
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Jean-Michel Pedrazzani - Techniques et Pouvoir de l‘Occultisme - Pierre Belfond - 1978
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aforcedelire · 3 months
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Hamnet, Maggie O’Farrell
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Été 1596. Dans la campagne anglaise, une petite fille tombe gravement malade. Son jumeau Hamnet part chercher de l’aide. Leur grande sœur Susanna est introuvable ; leur mère Agnes cueille des plantes médicinales dans les champs alentour ; leur père est à Londres pour son travail. Et tous sont inconscients de cette maladie funeste qui plane au-dessus de leurs têtes…
J’ai eu un peu de mal à rentrer dedans, mais alors une fois fait, j’ai vraiment beaucoup aimé. L’ambiance m’a pas mal rappelé Les Sorcières de Pendle de Stacey Halls, alors forcément, j’étais conquise. Dans ce roman, Maggie O’Farrell dresse le portrait d’Hamnet, ce jeune garçon que la Peste a enlevé trop tôt, dont la terrible perte a ensuite inspiré Shakespeare pour sa tragédie Hamlet.
Car ici, c’est bien de la famille du dramaturge dont on parle, et lui-même n’est jamais nommé, n’apparaît qu’au second plan. C’est simplement un homme qui comme tant d’autres travaille dans un théâtre à Londres. J’ai beaucoup aimé les personnages, surtout celui d’Agnes, la mère. Si farouche, si libre. En marge de la société, parlant le langage des plantes et décortiquant leurs secrets, elle aurait aisément pu passer pour sorcière. Un personne fort comme on les aime ! L’écriture est aussi très spéciale, on alterne entre le présent et le passé, entre la maladie des jumeaux et l’histoire de leurs parents, leur rencontre, leur mariage… le tout de façon vraiment bien écrit.
Et puis surtout, c’est un très beau livre sur le deuil, sur la famille, sur l’amour. Hamnet était la pierre triangulaire de la famille, et sa disparition a affecté tout le monde. C’était beau et puissant.
30/06/2024 - 07/07/2024
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alapagedeslivres · 3 months
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Le burn-out de Sophie KINSELLA : très très proche du COUP de COEUR
Tout juste sorti, tout juste acheté : j’avais envie de légèreté et d’humour. J’ai été agréablement comblée ! Le burn-out de Sophie KINSELLA est une lecture très plaisante… un presque coup de coeur… Il m’a emmenée bien plus loin que ce que j’imaginais : le dénouement est un joli point final qui conclue une romance non moins charmante. Le résumé des éditions BELFOND – 06 juin 2024 : Direction…
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putrefawn · 2 years
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the 'intermission' with anna and sarah is so overlooked. anna's gentleness with sarah, it's as if she sees sarah as a part of lucie; only after lucie's death does she realise that lucie was right about the belfonds, and lucie died thinking anna didn't believe her. anna tries so hard to help sarah, to no avail, just as she did with lucie. however she seems to be more patient with sarah because with sarah, she knows the truth and is certain about her torture, whereas with lucie it was blind faith and love. anna spent fifteen years loving lucie, supporting her, even when she didn't believe her. the short time she had with sarah felt like her subtle way of apologising to lucie, being gentle and patient in a way she couldn't have been with lucie before. even with the bit of violence that we see with sarah, it's the same that it was with lucie. no matter how many times lucie lashed out at anna, she stayed. sarah lashed out at anna, hit her, scratched her, and each time anna got back up and ran after her.
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draculovemp3 · 2 years
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[…] there’s something compelling in the fact that it takes the knowledge, experience, and sensibility (indeed, the witness) of a queer woman of color to expose the poisonous, exploitative abuses at the Belfond family’s root to the light. There’s something nearly uplifting that it’s Anna’s love for Lucie that steels her against giving into fear and suffering, lending her a transcendence that the straight, white, wealthy villains trying to exploit her have been unable to access or understand.
— Zoe Fortier, Women and Queerness in Horror: Martyrs (2008)
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filmreveries · 1 year
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so, what’s your opinion on martyrs(2008). Most people think that it’s the most disturbing movie of all time but for me I found the movie to be tragically beautiful! I love Lucie and Anna’s relationship, sort wish we could have seen more of them after they left the orphanage and before Lucie descended upon the Belfonds. Thoughts??
oh I really disliked it ���� not because it was disturbing necessarily but because I feel it was basically just a male director’s excuse to show women getting beaten and tortured with an ‘explanation’ that literally made no sense… I think from what I post on here and my letterboxd it’s clear I do like violent/disturbing movies but when they have an actual purpose. The definition of “martyr” this film used was so clearly erroneous that it could only be a scapegoat for the director’s more sinister motives. If he did actually want to make a commentary on how people use false narratives in justification for their immoral actions, he could have done it in a much more articulate way than showing a woman get tortured for 2 hours idk. sorry for my rant lolol but I do think the two main actresses were wonderful and had great chemistry to go back to what you said!
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cuatriboliaord · 2 months
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Eduardo Ramirez dona una estufa y un tanque de gas al cuartel de la Policía Nacional de Las Filipinas en Barahona
BARAHONA: El director de la parte social de empresa minera Belfond Enterprise el comunicador Eduardo Ramírez, donó este sabado una estufa y un tanque de gas al cuartel de la Policía Nacional de la comunidad de Las Filipinas. Ramírez, dijo que el donativo lo hacia a titulo personal previo un solicitud que había recibido y que siempre estará presto a colaborar con las comunidades de la…
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mmepastel · 5 months
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Rholala, quelle merveille.
Je n’aurais pas cru me passionner pour une histoire de mariage à la cour des Médicis au XVIe siècle, mais la magie de Maggie O’Farrell a encore frappé. Comme pour Hamnet, elle s’est emparé d’un personnage un peu oublié de l’histoire, ici Lucrèce de Médicis, et s’est intéressée à elle, aux silences de l’histoire. Elle est allée dans le sens des rumeurs qui entourent sa mort, un an après ses noces, et a vraiment réussi à faire revivre une époque, des mœurs, des lieux très éloignés de nous, le tout dans une prose éblouissante. Le texte est vraiment très beau, presque précieux, érudit, orné, tout autant que son héroïne est nue, seule, comme une bête sauvage en cage (une tigresse par exemple ?), qui doit pourtant s’efforcer de complaire à tous, et notamment à son ombrageux mari, le duc de Ferrare.
Imaginez, mariée à quinze ans, morte à seize. Ayant vécu certes parmi les privilégiés de son temps, mais entièrement soumise à sa fonction : étendre le pouvoir de ses parents, puis celui de son mari.
C’est drôle, parce qu’au fond, j’ai un peu eu l’impression de lire du Lola Lafon : la fillette, dont on scrute les menstrues avant de lui faire épouser le duc (puisque sa promise -la sœur de Lucrèce ! -est morte de tuberculose), la femme qui doit se taire, obéir à son époux même lorsqu’il se montre effrayant, l’utérus sur pattes qu’elle devient avec son mariage, sommée de donner naissance à un héritier, vite !
Le corps comprimé dans des habits, ou dans les rideaux du lit à baldaquin, sous le corps musculeux de son mari enfiévré, ou entre les murs d’un palais glacial, ou encore empêché, figé, pour permettre une peinture luxueuse, le fameux portrait qui donne le titre au livre.
Malgré toutes ces entraves, ces noeuds serrés autour d’elle, elle réussit, dans la souffrance mais avec un panache intérieur, à s’échapper artistiquement, à saisir la beauté, à comprendre les cœurs, à laisser le sien invincible. Sa force -que lui donne la fiction de l’autrice - est très émouvante. Son histoire devient un conte féministe anachronique, nié par les faits, mais auquel on croit, dur comme fer, même si ce n’est que littérature…
C’est aussi à ça que servent les histoires, réécrire, transformer la laideur en beauté… ce récit est son tombeau, aussi impressionnant que digne et lumineux.
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youraufildespages · 1 year
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Petites filles perdues d'Angela Marsons
Les Timmins et les Hanson sont deux familles qui s’entendent à merveille et dont les petites filles de neuf ans sont inséparables. Jusqu’au jour où un SMS vient foudroyer leurs existences : ” Charlotte et Amy ne rentreront pas à la maison aujourd’hui. ”  Chargée de l’enquête, l’inspectrice Kim Stone, pourtant réputée pour ses nerfs d’acier, est saisie d’effroi quand arrive un deuxième message des…
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angelitam · 10 months
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Sur tes traces d'Harlan Coben
Sur tes traces d’Harlan Coben – Editions Belfond Sur tes traces d’Harlan Coben, présentation Depuis 5 ans, il est en prison. Il a pris perpétuité pour avoir tué son enfant de 3 ans, Matthew. Il clame son innocence. Mais perdre un enfant, c’est prendre perpétuité de toute façon. Il culpabilise car il n’a pas protégé Matthew. Il n’a jamais voulu de visites. Il reçoit celle de sa belle-soeur,…
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? #258
Un livre bouleversant cette semaine et une semaine bien chargée en article et post divers. J'espère ne pas vous avoir trop spamé. Je vous laisse avec un avis éclair sur petit pays de Gaël Faye. Et vous, quel est votre dernière lecture percutante ?
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Un livre bouleversant cette semaine et une semaine bien chargée en article et post…
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Gauche au pouvoir : Mais que va devenir la France ?
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La pédophilie, le sexisme, raciste et antisémite... gauche/droite, une histoire de longue date ...
Après Mai 68, la gauche a défendu les pires dérives de la révolution sexuelle. En théorie ... Puisque en pratique les médias mainstream ne vous diront jamais; les pédophiles de gauche sont souvent dans des têtes de parti ... ou de groupuscules sectaires ! Oui votre chère élite française et un club de riche qui ne savent plus comment assouvir leur soif de pouvoir, perde parfois le contrôle du bien et mal, se sente au-dessus du monde, au dessus des lois. Donc rincer se petit monde a coup de corp imberbe d'enfant pour mieux les maintenir dans le cercle, car une fois les pied la dedans, vous ne pouvait plus en sortir ... ou les pied devant. Alors vous aurait un tas de petit bobo qui viendront me dire que je suis complotiste ... Si vous souhaitez la vérité, demandez à Rachida DATI si il n'y a pas de pédophilie à gauche (voir) ! Certain riche se paye en toute impunité, dans d'autre pays, des enfants puis revenir sur notre sol tranquillement. Les mêmes qui parfois accusent d’apologie de la pédophilie contre des personnalités associées à l'extrême gauche et quand les pédophiles militaient dans les rangs LGBT ... À l'extrême-gauche, les discours fétichisant les enfants, et de façon encore plus marginale, l'apologie des rapports érotiques avec des enfants, apparaissent comme une remise en cause des interdits. En 1975, Daniel Cohn-Bendit, écrit dans le livre Le Grand Bazar, publié aux éditions Belfond, au sujet de son expérience d’éducateur dans un jardin d'enfants « alternatif » à Francfort : « Il m'était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi vous m’avez choisi, moi, et pas les autres gosses ?” Mais, s’ils insistaient, je les caressais quand même ». Il regrettera plus tard ses propos et ses écrits, parlant de provocation destinée à « choquer le bourgeois des années 1970 ». Le journal L'Express estimera ensuite en 2001 que Daniel Cohn-Bendit, comme les auteurs d'autres propos analogues avaient : un véritable aveuglement : l'enfant, croyaient-ils, ne demandait qu’à exprimer sa sexualité, et c’était l'interdit qui constituait un abus sexuel. Cette complaisance, qui a servi d’alibi et de caution culturelle à bien des pédophiles, masque aussi une autre réalité, l’infantilisme d'une mouvance.D'autres militants d'extrême-gauche ont aussi été accusés d'avoir fait l'apologie de la pédophilie dans les années 1970, pour avoir remis en cause la surveillance des enfants les empêchant d'assouvir leurs désirs, ou critiqué les formes de pouvoir réprimant les rapports sexuels entre majeurs et mineurs Si le Front populaire passe, qu'en sera les affaire du type "Coral", dite également affaire du lieu de vie, qui n'est qu'une affaire d'abus sexuels sur mineurs ayant éclaté en France en 1982. Très médiatisée à l'époque, passé sous silence aujourd'hui, l'affaire se signale par la mise en cause de plusieurs personnalités publiques, laquelle donne lieu à un certain soupçon de manipulation d'origine politique, policière et médiatique. « Quand on enferme la vérité sous terre, elle s'y amasse, elle y prend une force telle d'explosion que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle. On verra bien si l'on ne vient pas de préparer, pour plus tard, le plus retentissant des désastres. » (Émile Zola, « J'accuse »).
Mais il n'y a pas que çà !
Depuis des semaines, la question n'est pas la place des juifs ou des musulmans, mais l'avenir même de notre "Universalisme républicain" , celui-là même qui nous permet le vivre ensemble. En cela, la plateforme commune signée par toute la gauche est une catastrophe, car elle valide la stratégie de LFI. Par l'accord passé, les sociaux-démocrates au mieux restent silencieux, tétanisés à l'idée de perdre quelques pourcentages ou sièges, au pire cautionnent et valident la méthode de « conflictualisation permanente » des Insoumis. L'essayiste Lydia Guirous critique l'approche d'une partie de la gauche qu'elle définit comme "identitaire". Pour elle, "ils croient lutter contre le racisme en ayant pour obsession la race et la couleur de l'autre". Longtemps réservées à l’extrême droite, les critiques envers la « pensée woke » se font de plus en plus fréquemment entendre à gauche de l’échiquier politique. Doit-on y lire une « droitisation » d’un pan de la gauche en décalage avec son époque ? Ou ces querelles témoignent-elles plutôt d’une profonde scission entre deux conceptions de l’individu et de la société qui n’arrivent plus à dialoguer ? Le piège est là et il se referme inexorablement sur les démocrates et républicains français… La question n'est pas d'être « avec ou contre les juifs », « avec ou contre les musulmans », comme voudraient le faire croire LFI et ses candidats… Être contre l'antisémitisme, être contre le racisme, l'homophobie, l'islamophobie, la cathophobie c'est tout simplement refuser cette assignation à résidence identitaire que prônent les Insoumis et qui est mortifère pour la République. Quand des représentants de la nation jouent dangereusement avec la vie politique française, en utilisant à des fins électoralistes les pires ressentiments, ils ne nourrissent que les extrêmes et détruisent la boussole morale dont ont besoin nos concitoyens dans cette tourmente. Où sont les voix de gauche pour affirmer avec force que le problème de l'antisémitisme ce n'est pas uniquement le problème des juifs ? C'est celui de la République et de la France. Que le racisme n'est pas le problème des immigrés. C'est celui de la République et de la France. Sensibilisons nos concitoyen(ne)s sur le racisme anti-musulman, les femmes sont les premières victimes de l’islamophobie. D’où viennent les préjugés, la haine et la peur qui contaminent de plus en plus de citoyens ? Quelles sont les causes, les motivations de ce racisme structurel ? Quelles sont les conséquences pour tous les citoyens français ? Comment briser le consensus sur la question identitaire ? Quelles seraient les propositions pour construire une société plus démocratique ? Oui il y a des OQTF dans notre pays qui pourrissent la vie des gens et donne une mauvaise image de leur communauté ! le RN l'a compris et souhaite voté une lois immigration pour protéger TOUS les français de cette immigration négative qui ne rend pas justice a leur communauté.
Le prix du chaos
Quelles que soient leur histoire, leur origine, couleur, religion, ils ont composé et écrit en français, planché ensemble sur Rimbaud, Olympe de Gouges, Voltaire… Chacune de leurs pages écrit l'histoire de notre France universaliste. Cela nous rappelle que notre pays, même de façon imparfaite !, donne à chacun la chance d'être libre de son passé. Notre responsabilité, c'est bien d'être à leurs côtés et de faire France avec eux.
Une gauche qui s'unit derrière un programme ...
En première ligne, le Premier ministre défend son bilan, au moment où à gauche, Socialistes, Communistes, Écologistes et Insoumis ont, eux aussi, présenté leur programme. Abrogation de la réforme des retraites, Smic à 1600 euros, lutte contre l'antisémitisme ? Oui, ils ont osé... La gauche a dévoilé son programme commun sous la bannière du "Nouveau Front populaire", érige un Jordan Bardella comme son "principal adversaire" aux législatives anticipées, loin des fractures des Républicains. Le texte cosigné prévoit l'abrogation de la réforme des retraites, celle de l'assurance chômage et la loi immigration, l'indexation des salaires sur l'inflation, l'établissement d'un impôt sur la fortune "renforcé avec un volet climatique" et la généralisation de "la taxation des superprofits au niveau européen". L'augmentation du Smic à 1600 euros net (1398,69 euros actuellement) a également été actée. Ils ont osé ! Oui, bafouant leurs principes, reniant leurs valeurs morales et trahissant jusqu'à leurs propres électeurs, les partisans de la social-démocratie, les caciques du Parti socialiste (PS) se sont donc alliés, dans le « Nouveau Front populaire », qui n'est jamais qu'une indigeste resucée de la NUPES, avec ce ramassis, à quelques honorables exceptions près, d'antisémites, d'islamo-gauchistes, de pro-Hamas et d'anti-Israël, que forme la nébuleuse de La France insoumise (LFI) ! C'est dire si le principal fondateur, dans les années 1935-1936, de l'historique Front populaire précisément, Léon Blum en personne, qui était lui-même juif et qui venait directement de la social-démocratie justement, doit se retourner dans sa tombe ! D'autres sujets de désaccord persistant de pars et d'autre sont laissés de côté, tels le nucléaire et l'OTAN, et on a le droit à quelques fragment sur la guerre en Ukraine ...
Le nouveau Front populaire ou l'accord de la honte ...
Cette indignation qui est aujourd'hui clairement la mienne, bon nombre d'authentiques sociaux-démocrates, profondément attachés à la véritable et glorieuse histoire du socialisme à la française, tels des politiques du calibre de Manuel Valls, Bernard Kouchner, Jérôme Guedj ou Bernard Cazeneuve, et des intellectuels de "la trempe" de Bernard-Henri Lévy, Raphaël Enthoven, Pascal Bruckner ou Alain Finkielkraut, certains d'entre eux figurent par ailleurs étaient les meilleurs amis du monde, trahis en leurs idéaux les plus élevés sur le plan philosophique tout autant qu'éthique. Et surtout pas pour des motifs de basse cuisine électoraliste, de vulgaires calculs politiques ou de médiocres ambitions personnelles. Et que dire encore, pour en revenir à nos jeunes et bien vivants contemporains, du brave, courageux et talentueux Raphaël Glucksmann, qui, lors de son excellente campagne électorale aux récentes européennes, s'est fait souvent copieusement injurier, et parfois de manière aussi injuste qu'éhontée, par cette même LFI, qui, depuis toujours hostile à la création de l'État d'Israël, n'a jamais condamné publiquement, à l'instar des plus virulents des antisionistes et autres abjects antisémites, le 7 octobre dernier, par les terroristes du Hamas à l'encontre des juifs !
Une inversion des valeurs au sein du clivage gauche/droite
Sauf que, et c'est là que leur argumentation s'avère faible tant sur le plan politique qu'idéologique, sinon conceptuel, bon nombre des crédos les plus pestilentiels, dont l'antisémitisme précisément, de l'extrême droite traditionnelle ou, pour mieux dire, de l'ancien temps, mais qui n'ont cependant plus rien à voir avec l'actuel Rassemblement national, qui, on le sait, a rompu de manière drastique, après avoir fait amende honorable, avec l'ancien Front national de Jean-Marie Le Pen, se retrouvent aujourd'hui paradoxalement, avec des partis comme les nauséabonds LFI ou le NPA, à l'extrême gauche ! Le racialisme est un nouveau racisme venu de la "gauche identitaire", cette gauche qui rejette l'universel et vénère la race, la religion, le genre, l'origine Ils font fausse route car on ne lutte jamais contre le racisme en se vautrant dans la vengeance raciale. Le "blanc" (Qui est blanc? A partir de quand sommes-nous blanc? Le suis-je?) est pour eux un bourreau conscient/inconscient ou un bourreau en devenir. Le blanc est le "dominant" qui jouirait d'un fameux "white privilege". Les ouvriers "blancs" des usines aux trois-huit, ceux d'hier des mines, les paysans au RSA, apprécient chaque jour ces fameux "privilèges"... Derrière le racialisme se cache une lutte des classes qui rendrait acceptable toutes les manifestations de ségrégation pourvues qu'elles s'exercent sur un "privilégié" donc un "blanc". En cela le racialisme est un nouveau racisme venu de la "gauche identitaire", cette gauche qui rejette l'universel et vénère la race, la religion, le genre, l'origine. Le racialisme est une instrumentalisation des populations dites "racisées", pour mettre fin à la République. Le racialisme déshumanise "l'homme blanc" et ouvre aussi la porte à l'intolérable, à la violence, à l'injustice et relativise la souffrance de l'autre car il ne serait pas de la bonne couleur. Il est un racisme qui s'exerce au nom des "dominés", ainsi il serait donc juste de demander aux "blancs" de "se taire", de poser un genou à terre, de s'effacer, et bientôt d'être "cancel"? Prenons garde car le racisme des racialistes est une abomination comme tous les racismes. Tyrannie des minorités, culpabilisation permanente, invitation à la repentance perpétuelle, menaces de déboulonnage de statues... Le racialisme est une instrumentalisation des populations dites "racisées", pour mettre fin à la République une et indivisible. La lutte contre le racisme est un combat pour la restauration de l'humanité et de la dignité de chacun. Un combat pour unir les hommes, contre l'arbitraire, l'injustice. Le racialisme lui, n'est en rien une lutte contre le racisme, il est l'instauration d'un nouveau racisme.
L'islamisme et l'antisémitisme
La montée de l'islamisme a remis la haine des Juifs au cœur du débat. Le chercheur Marc Sageman en rend compte, en montrant qu'il constitue un ressort puissant pour les auteurs d'attentats djihadistes au début des années 2000. Elle n'a guère de relais politique dans l'opinion et à gauche notamment, mais cela n'empêche pas une critique droitière de se développer, accusant la gauche d'aveuglement, de naïveté ou de complaisance. Pour rendre compte d'orientations qui conjugueraient soutien à l'islamisme radical et appartenance à la gauche, certains ont trouvé utile de parler d'islamo-gauchisme, une expression en fait doublement malheureuse. Elle confond en effet islam et islamisme et gauche et gauchisme, alors que ceux qui y recourent sont eux-mêmes vite dans la dénonciation de toute la gauche, et dans la hantise de l'islam en général. La gauche de la gauche française, et l'écologie politique n'en sont pas moins parfois pénétrées par un antisémitisme qui ne distingue ni l'existence de l'État d'Israël d'avec la politique de son gouvernement, ni cet État d'avec les juifs de la diaspora.
« Dérapages » et nouvel antisémitisme
La guerre en Irak, le conflit au Proche-Orient, ont suscité à plusieurs reprises, outre des attaques et menaces sur des membres de la communauté juive en France, des « dérapages » parmi certaines formations politiques. C'était le cas notamment en 2003 lorsqu'Aurélie Filippetti, alors porte-parole des Verts, décide de prendre ses distances avec son parti à la suite de propos antisémites lors de manifestations. De là à leur imputer un antisémitisme flagrant et partagé par tous les sympathisants de ces formations, à l'instar aujourd'hui de La France insoumise (LFI), il y a un pas qu'il ne faut pas franchir. Cela ne vaut en effet que dans des cas limités, et en tous cas rarement explicites. Le phénomène existe, pointe extrême de logiques qui, sans témoigner nécessairement d'une haine proprement antisémite, mais n'en étant pas toujours très éloignées, mettent aujourd'hui sur une même balance la barbarie et les crimes de guerre du Hamas, et la politique du gouvernement israélien, que d'ailleurs critique en Israël même une opposition démocratique. Il ne doit pas faire oublier l'antisémitisme d'extrême droite, malgré les efforts de dirigeants du Rassemblement national pour s'en démarquer, ni celui qui pénètre certains musulmans avec éventuellement des soutiens idéologiques confusionnistes, d'extrême-gauche comme d'extrême-droite. Ce « nouvel antisémitisme », dont la dénomination appartient d'ailleurs plutôt au vocabulaire de la droite, est aussi diffus, poreux, flou, et, ainsi que le reflétait une enquête récente parmi les étudiants, il taraude toute la société. Et si je lutte en moi-même contre l'antisémitisme, l'islamophobie, la cathophobie et bientot, vous allez le voir, contre athéophobie (parce qu'on va bientôt trouvé un truc à leur reprocher au athé aussi, oui vive la France (c'est de l'humour je précise!)). Lutter contre les violences faites aux femmes, ... Le racisme, ce n'est pas pour faire "plaisir" aux juifs, aux femmes, aux Noirs ou aux musulmans, ni même aux blancs, ici ou ailleurs, c'est parce que l'antisémitisme n'est pas résiduel ! le racisme et tout aussi réel ! et sont bien les antithèses de cet universalisme qui dépasse nos origines et nous permet de nous projeter ensemble vers le progrès social, le vivre ensemble, le respect des individus et de leurs croyances ... On ne communique plus, on se tape dessus, directement ou indirectement par réseaux sociaux interposés, on ne sait plus ce que c'est que "débattre", débattre est le contraire de ce battre. ... Vous savez le truc qui permet à tous et chacun de mettre tout les sujets sur la table et d'écouter l'avis de tous et comprendre les positions de tous, parce que oui, toute personne a le droit d'avoir son opinion, aussi choquante puisse-t-elle nous paraître. La première des tolérances, c'est d'accepter qu'un autre ne pense pas comme soi. En examinant tous les aspects contradictoires, en facilitant les échanges entre eux, en essayant éventuellement d’arbitrer les conflits et de concilier les positions opposées, apprendre à réfléchir, à prendre la parole, à penser par soi-même, à poser un problème, à se former à la citoyenneté ... soyons citoyen bordel ! Read the full article
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bibliocroze · 5 months
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Une page au hasard (extrait 186)
"Chez nos voisins, elle minauda pendant tout le dîner. Elle semblait subjuguée par Samuel. Sa barbe de trois jours, ses yeux bleu clair d'acteur, son front solide, ses cheveux fous blonds et domptés, sa chemise ouverte sur un torse rassurant, tout, chez lui, appelait la séduction."
page 25
Seuls les fantômes / Cyrille Falisse. Belfond, 2024.
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