#avis Méfie toi
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Partageons mon rendez-vous lectures #42-2024 & critique
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion. Méfie toi d’Harlan Coben Méfie toi d’Harlan Coben – Editions Belfond Territoires de Stephen King et Peter Straub Territoires de Stephen King et Peter Straub – Editions Robert Laffont Présentation de l’éditeur Il y a vingt ans, Jack a survécu à l’enfer des Territoires. Aujourd’hui, pour l’amour d’une femme et la vie d’un enfant, il va franchir…
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Chapitre 05 : En chemin à Pré-au-Lard- Part 2
“Ça me surprend qu’un professeur me confie que ce soit étant donné toutes les retenues sur mon dossier. - Tu passes beaucoup de temps en retenue, hein ? - Juste assez pour rester en forme.En parlant de retenue, cette virée à Pré-au-Lard m’a peut-être permis d’en éviter une.
- Content d’avoir pu te rendre service.” gloussa Nolan avec Helena qui trouvait amusant Seb pour son côté diablotin.
“Madame Scribe, la bibliothécaire, me cherchait partout comme à son habitude. Professeur Weasley a volé à mon secours et elle a réussi à convaincre la vieille Scribe que j’étais attendu quelque part.
- Comment tu as fait pour te mettre à dos la bibliothécaire à dos ?
- Eh bien, nos manières de penser sont différentes. Elle pense que je ne devrais pas avoir le droit d’entrer dans la Réserve; et bien pour ma part, je pense le contraire.
Oh, un instant.” stoppa Sebastian en chemin pour montrer à Helena et Nolan un petit tranquille avec des bancs aussi avec des fleurs. “Cet endroit est parfait pour trouver des chrysopes. Des jolies insectes, mais en les faisant mijoter un peu, c’est aussi un excellent ingrédient pour les potions…” Il voulait dire plus quand il fut stoppé par quelque chose en direction de la forêt non loin.
“Par la barbe de Merlin ! La Forêt interdite ! Regarde !” s’exclama le serpentard.
“Qu’est-ce-qu’il y a ? “ se tourna Nolan vers Sebastian après avoir observé les Chrysopes.
“Vois par toi-même ! C’est incroyable, non ? On ne voit pas ça tous les jours, c’est sûr.”
Deux hippogryphes sortirent de la forêt en volant de manière si majestueuse que les deux Drakes étaient émerveillés par la vue de ce spectacle..
“Des hippogriffes. Ce n’est pas aussi impressionnant que vous de voir des dragons volés.” dit Seb en tentant une petite approche pour avoir quelque information sur les dragons chez les Drakes. La famille de Nolan et de Helena était l’une des rares familles possédant le droit d’élever des Dragons alors qu’il était interdit. Beaucoup de rumeurs tournaient autour d’eux et pourquoi ils étaient si exclusifs et distants avec la société magique.
“Je trouve cela admirable de voir des créatures voler librement. La différence avec les dragons n’est juste qu’ils sont plus gros et imposants. ” Dit Nolan dont les dragons de sa famille lui manquait. Il avait hâte de passer son initiation avec les dragons et de pouvoir chevaucher seul sur ces majestueux créatures. Pour l’instant il n’a pu que voler sur les dragons avec ses parents. C’était une sensation incroyable et magique, sentir l’air et la voie du dragon. Les cris de joie des créature de feu étaient comme une mélodie pour Nolan et sa sœur qui aimait chanter avec les dragons.
“Je vois. Mais méfie-toi des hippogriffes, comme tu le dis, ils ne sont pas aussi impressionnant qu’un dragon mais ils peuvent être féroces quand il le veut. ” ajouta Seb avant de parler de la forêt d’où venait les deux créatures.
“La forêt interdite se trouve à gauche. C’est une zone interdite à tous les élèves.” indiqua le serpentard afin de mettre en garde les deux nouveaux venus.
“D’où le nom.” hocha la tête Helena qui reprit la route avec les deux serpents. Elle prit note de faire attention que son frère ne s’aventura pas trop seul dans cette forêt. Dans le territoire de sa famille, il y avait aussi une zone interdite pour eux car elle était extrêmement dangereuse que sa famille avait interdit d’y mettre les pieds pour diverses raisons. Une zone dont elle pouvait encore entendre des rugissements terribles de Dragons peu amicaux. Le territoire des Dragons sauvages, seuls quelques rares membres de famille pouvaient s’y aventurer après avoir une certaine maîtrise de la voix des dragons.
“Exactement. Ils pensent que c’est trop dangereux. Si tu veux mon avis, ils devraient avoir confiance en nos techniques défensives.” dit Seb qui coupa la réflexion de Helena en indiquant les environs.
“Ah! On peut voir Pré-au-Lard un peu plus loin après ces ruines. Est-ce que tu as eu l’occasion d’explorer un peu le château ?”
“Un peu. Il est vraiment gigantesque.” répondit Nolan qui avait commencé à explorer avec sa sœur. Il était important d’apprendre à connaître cette fameuse école magique.
“Tu l’as dit, ça fait cinq ans que je suis ici, et je n’ai pas encore tout vu. Il me reste tellement à voir et à découvrir.
- Ah oui ? Il y en a que tu conseillerais à la classe ?
- Un jour, peut-être. Je ne vais pas te révéler tous mes secrets maintenant.” de quoi amuser les deux Drakes qui aimaient que le serpentard fasse preuve de retenu pour garder ces mystères et bonnes cartes à jouer.
Sur le chemin, nos trois compagnons croisèrent une calèche tirée par des sombrals, des créatures ressemblant à des chevaux squelettiques avec des ailes semblables à celles des chauve-souris. Mais les deux Drake avaient déjà rencontré la mort prenant la dernier souffle de vie d’un être. Helena avait un regard doux et de compassion pour les sombrals qui ne sont malheureusement pas bien vu par les autres sorciers.
“J’ai toujours pensé que les sombrals qui tirent les diligences étaient sinistres. Mais j’imagine que la plupart des gens ne les voient pas du tout.
- Mais toi tu les vois ?” demanda doucement le serpentard aux yeux violet. Il se doutait de la réponse mais il tenait à avoir une confirmation.
“Malheureusement, oui. Vous aussi, vous avez vu des choses sinistres dans votre vie. Notamment cette attaque de dragon. Espérons que le reste de ton année soit plus paisible.
- Je suis désolé pour toi. Voir la mort n’est jamais facile mais sache que nous sommes là pour te soutenir si besoin.” Avec le ton doux et un petit sourire de soutien, Sebastian fut touché par les mots de Helena. Elle était bien trop gentille qu’il voulait la prendre dans ses bras mais il devait garder son comportement cool. Part 3 -> ici
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Mots : 742
TW : Psychophobie
Résumé : Pendant le discours de début d'année de Dumbledore Jesse croise le regard de Drago.
« Une nouvelle année débute à Poudlard, une année pleine de rencontres, de magie mais aussi de dangers. Peut-être que des amitiés nouvelles fleuriront qui sait ? Il vous faudra rester fort en ces temps troublés. Et surtout, n'oubliez jamais qui sont vos véritables amis. Gardez-les près de vous, si nous restons unis et solidaires nous vaincrons ce mal qui nous guette. »
Dumbledore termina son discourt et invita les nouveaux élèves qui attendaient avec impatience et appréhension de savoir dans quelle maison ils seraient envoyés, à s'approcher.
Jesse regardait le spectacle de loin. Elle était assise sur la grande table dédiée aux Gryffondors, entourée de gens qu'elle connaissait depuis six ans, mais avec qui elle n'avait jamais eu d'affinité particulière. Non loin d'elle se trouvait Hermione, et Ron. Mais Jesse fut surprise de voir qu'Harry n'était pas avec eux. Ils étaient pourtant inséparables.
À côté d'elle se trouvait Lavande, qui regardait avec insistance en direction de Ron. Jesse vit que Parvati la regardait de coin de l'œil, avec un mélange de pitié et de méfiance. Elle se mit alors à la fixer tout en souriant et lui demanda comment s'était passé ses vacances. Parvati hésita un instant puis les deux se mirent à discuter. Jesse insista pour que Lavande parle à son tour, elle n'avait pas la tête à discuter.
Au milieu du repas, la sorcière remarqua Harry entrer avec Luna et s'assoir discrètement avec ses amis, un tissu taché de sang à la main. Elle ne put s'empêcher d'écouter leur conversation.
- Harry ! s'exclama Hermione, où est ce que tu... La jeune femme se stoppa net quand elle vit le visage de son ami.
- Mais qui t'as fait ça ! reprit Ron.
- A votre avis. Répondit Harry en lançant un regard haineux vers la table des Serpentards.
- Quel salaud ! S'il croit qu'il va s'en sortir comme ça ! Pesta Ron.
Jesse n'écouta plus la conversation et dirigea son regard à l'endroit qu'indiquait celui d'Harry. Drago Malfoy. Evidemment. Elle n'était pas étonnée, dans ses souvenirs, il s'agissait d'un garçon odieux. Et lui et Harry n'avait jamais été en bon terme. Elle essayait seulement de se souvenir les raisons qui faisait du Serpentard un garçon si odieux.
- Hum... Jesse, tu comptes fixer la table des Serpentards pendant longtemps encore ? Parce que tu risques de déclencher une guerre.... Ou de te faire un torticolis. Lança Parvati.
- Oui... J'étais en train... Balbutia Jesse.
- En train de fixer Drago Malfoy, on avait remarqué. Lâcha Lavande en ricanant.
- Et tu crois qu'on ne t'a pas vu, fixer Ron ? répondit rapidement Jesse avant que Lavande ne puisse continuer sa phrase.
Cette dernière se mis à rougir et intima à Jesse l'ordre de se taire.
******
Dumbledore était en train de finir son discourt, Drago n'y avait pas prêté attention, pas plus qu'aux nouveaux élèves, bien que les mots danger, solidaire, amour et haine avaient piqué son attention. Il était perdu dans ses pensées. Il fut interrompu quelques minutes plus tard par une tape sur l'épaule, ce qui l'irrita passablement.
- Quoi !
- La folle. Répondit Zabini d'un air neutre, habitué à la mauvaise humeur constante de Drago.
- De quoi tu parles ?
- La folle, continua Zabini en levant les yeux au ciel. Elle n'arrêtait pas de te fixer. Méfie toi, on ne sait pas ce qu'elle pourrait te faire ! ajouta-t-il en riant.
- La folle ? Répondit Drago, perplexe.
- Mais si ! La Gryffondor qui a complètement pété les plombs l'année dernière ! Parait qu'elle à passé des mois à sainte mangouste ! C'est étonnant qu'elle soit là d'ailleurs !
- Et je devrais me méfier parce que ?
- Parait qu'elle est restée perché. Y'en a qui disent qu'elle tue des chats, d'autres qu'elle les mange. Je te jure, je serais toi je ferais gaffe quand même, elle te regardait bien fixement.
Drago ne répondit pas à Zabini, mais se demanda ce que cette Gryffondor pouvait bien lui vouloir. La fin du repas arriva et tout le monde se leva. Il regarda la jeune femme avec un mélange de curiosité et de méfiance. Jesse sentant un regard sur elle leva la tête et croisa celui de Drago. Elle baissa les yeux aussitôt. Le Serpentard se dit que Zabini devait bien s'être trompé sur son compte. Elle n'avait rien d'effrayant.
Étant préfet, Drago se dirigea vers le groupe de première année pour lui faire visiter l'école.
Jesse suivit Lavande, n'osant pas lui avouer qu'elle ne se souvenait plus très bien du chemin menant jusqu'au dortoir.
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Enjeux de la soumission
Jeudi dernier, pour la première fois depuis la réussite quasi-artistique de la plus gigantesque installation de camps de concentration de l’histoire de l’humanité, un peuple s’est rebiffé... Et le gouvernement serbe de Madame Brnabic a reculé. Le président avait eu beau prendre son ton le plus compassé pour réciter sa leçon: «C'est 13 de trop...» (évoquant les derniers cas de covid-19), cette fois ce n’est pas passé. Les serbes se sont levés...
D’un côté, on les comprend les gouvernants, hein, ils y ont goûté, ça a marché, comment résister à remettre le couvert? C’est tellement grisant cette soumission... Le "confinement" c’est la vie rêvée des dirigeants: les gens sont assignés à résidence chez eux; ils ne sont autorisés à s'aventurer dehors qu’à certaines conditions draconiennes, pour faire des courses, ils sont obéissants, compatissants, s’estimant vertueux ils font la morale aux plus rétifs, la plupart se retrouve au chômage et dépendent donc de la bonne volonté de l'État à leur égard, les indépendants et les petites entreprises sont amenées à l’agonie pendant que les géants du numérique s’engraissent sur la bête, les minus habens des travailleurs sont réduits à rien, ils seront bientôt remplacés par une nouvelle espèce dépendant entièrement des subsides gouvernementaux et ils ne demanderont que plus de divertissement, plus de Netflix et des jeux, comme une version postmoderne et hallucinée du panem et circenses de Juvénal.
Le journaliste et essayiste Peter Hitchens, lauréat du prix Orwell, a écrit à ce sujet dans une de ses chroniques: "Quand cette folie a commencé, je me suis comporté comme si une nouvelle religion fanatique se répandait parmi nous. Soyons polis et tolérants, ai-je pensé. C'est peut-être fou et nuisible, mais avec le temps, cela disparaîtra. Aujourd'hui, il est clair qu'une nouvelle croyance, fondée sur la peur de l'invisible et tout à fait immunisée contre la raison, a pratiquement pris le dessus sur le pays. Et il s'avère que c'est l'une de ces religions qui ne tolèrent pas beaucoup ceux qui ne la partagent pas. Ses évangélistes ne nous laissent pas de répit, mais tirent sur la corde pour nous forcer à les rejoindre. C'est pourquoi je fais tant d'histoires sur l'injonction des muselières pour tous. Ce n'est pas une question de santé. C'est une question de pouvoir et de liberté, et cela a de moins en moins à voir avec le Covid-19. Cette obsession de nous dire à quoi il faut ressembler et de nous transformer d'humains normaux en animaux de troupeau soumis et sans bouche, tous sanglés dans un uniforme obligatoire, fait partie, à mon avis, d'une attaque sans précédent contre notre liberté personnelle en général. Restez chez vous. Arrêtez de travailler. Ne voyez pas vos amis ou votre famille. Soumission, soumission, soumission. Habituez-vous à ce qu'on vous dise ce que vous devez faire. Il semble que nous soyons vraiment devenus une nation de masochistes capitulards."
Le peuple serbe a résisté, c’est tout de même de bonne augure, en ces périodes de disette, une bonne nouvelle, c’est toujours bon à prendre.
Surtout que la "nouvelle religion" (des promoteurs du coronavirus) se base sur un principe qu’elle s’applique à rendre chaque jour un peu plus universel: "méfie-toi de ton prochain plus que de toi-même", et se voit par là-même dotée d’une "nouvelle inquisition" aux moyens sans précédents, comme l’ont laissé percevoir les innombrables abus de pouvoir policiers tout au long du précédent "confinement", donnant ainsi raison à Bernanos qui notait amèrement: «Il y a quelque chose de mille fois pire que la férocité des brutes, c’est la férocité des lâches.»
Quelle est la position du psychanalyste sur ce qui ressemble à s’y méprendre à une "pulsion de soumission"?
Ce que peut nous permettre de déduire la psychanalyse de l’"aliénation", autrement dit l’assujettissement du sujet, c’est que "l’état d’urgence" n’est pas l’exceptionnel mais la règle, que s’il n’y avait pas le langage il n’y aurait pas de maître, que le maître ne s’est pas donné par la force ou simplement parce qu’il commande, mais le langage existe et vous obéissez, et même si vous transgressez, vous continuez d’obéir.
Face au "méfie-toi de ton prochain plus que de toi-même" de la nouvelle religion scientiste, la psychanalyse réaffirme le commandement indépassable du "aime ton prochain comme toi-même" en tant qu’il est l’horizon ultime de l’éthique.
Voici ce qu’en disait Lacan en 1960, à l’université de Bruxelles alors qu’il faisait à Paris son séminaire sur L’éthique de la psychanalyse (extraits choisis):
"Aime ton prochain comme toi-même"
Tout est dans le sens du "comme toi-même" qui achève la formule, et la passion défiante de celui qui démasque arrête Freud devant ce "comme".
C'est du poids de l'amour dont il s'agit, car il sait que l'amour de soi est bien grand.
Il le sait supérieurement, ayant reconnu que la force du délire est d'y trouver sa source.
...
Cette force est celle qu'il a désignée sous le nom de narcissisme et qui comporte une dialectique secrète où les psychanalystes se retrouvent mal.
...
"Je m'aime moi-même" sans doute, et de toute la rage collante où la bulle vitale bout sur elle-même et se gonfle en une palpitation à la fois vorace et précaire, non sans fomenter en son sein le point vif d'où son unité rejaillira disséminée de son éclatement même.
...
Mais ce que j'aime en tant qu'il y a un moi, où je m'attache d'une concupiscence mentale, n'est pas ce corps dont le battement et la pulsation échappent trop évidemment à mon contrôle, mais une image qui me trompe en me montrant mon unité dans sa Gestalt, sa forme.
Je m'aime moi-même en tant que je me méconnais essentiellement.
Je n'aime qu'un autre.
Rien d'étonnant à ce que ce ne soit rien que moi-même que j'aime dans mon semblable.
...
Rien d'étonnant que l'homme ne fasse rien passer dans cet altruisme que son amour-propre.
...
Le moi est fait, Freud nous l'enseigne, des identifications superposées en matière, en manière de pelure : cette sorte de garde-robe dont les pièces portent la marque du tout-fait si l'assemblage en est souvent bizarre.
Des identifications à ses formes imaginaires, l'homme croit reconnaitre le principe de son unité sous l'espèce d'une maitrise de soi-même dont il est la dupe nécessaire.
...
Seule sa grimace, sa souplesse, sa désarticulation, son démembrement, sa dispersion aux quatre vents, commencent d'indiquer quelle est sa place dans le monde.
...
Voici la réponse de la Chose quand nous n'en voulons rien savoir : elle non plus ne sait rien de nous.
...
Tel est le commandement de l'amour du prochain et contre quoi Freud a raison de s'arrêter, interloqué de son invocation par ce que l'expérience montre : ce que l'analyse a articulé comme moment décisif de sa découverte, c'est l'ambivalence par quoi la haine suit comme son ombre tout amour pour ce prochain qui est aussi de nous ce qui est le plus étranger.
...
Ai-je réussi seulement à faire passer en votre esprit les chaines de cette topologie, qui met au cœur de chacun de nous cette place béante d'où le Rien nous interroge sur notre sexe et notre existence ?
C'est là la place où nous avons à aimer le prochain comme nous-mêmes, parce qu'en lui cette place est la même.
Rien n'est assurément plus proche de nous que cette place"...
(16 juillet 2020)
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S’ouvrir aux gens, s’ouvrir au monde. Fermer des portes, cadenasser sa confiance.
Dans toutes ces directions, malgré mon sens de l’orientation défaillant, je sais où je vais. Mes pages m’apprennent et m’enseignent jusqu’à que ce soit mon tour. Ce rapport aux autres, je l’ai vécu, je l’ai travaillé. On cherche souvent le regard des autres, pour accompagner, pour conforter, pour confirmer et pour orienter. Faut-il écouter les autres, faut-il se concentrer sur soi ? Sûrement un savant mélange des deux. Ces gens, si peu reconnaissants, si peu gratifiants, qui donnent leur avis, leur jugement. Je choisis ma liberté, celle de choisir de me tromper, d’essayer, de souffrir, de réussir.
Mon regard puissant, paradoxal avec mes traits si doux, plonge en toi comme un souffle étrange. Il s’insinue, t’enchante et te trouble. Je vois en toi, je me méfie. Ma confiance n’est pas donnée, bien au contraire, j’ai su voir la définition de la trahison de mes yeux. Croire en l’autre, se vouer à lui, pour être déçu et trompé. A quoi bon se lancer désormais si je m’en sors seule ? J’avance, je sais où je vais.
Par le biais de mes écrans, j’observe le monde, il arrive à moi par ma poche. Il m’apprends le triste et le joyeux. La vie quoi. Ses hauts, ses bas. Si aujourd’hui la vie ne se voyait qu’à travers nos écrans, un tweet pour déclaration, un insta pour annoncer une naissance, une notif pour le grand amour. «��Si je meurs, t’auras plein de émojis Tête qui pleure » disait Nekfeu.
Résumé à chaud d’une journée marquante.
« Screenshot » avec Célia
A Versailles, le Vendredi 23 Août
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Tu as un avis sur le fou allié (youtubeur "allié" du féminisme) ?
Écoute, maintenant, oui, puisque je viens de découvrir son existence grâce à toi !
Pour le moment, je n'ai fait que survoler son contenu, c'est-à-dire que je n'ai pas visionné toutes – tu dois t'en douter, ton message est encore tout frais – les 31 vidéos qui figurent à cette heure sur sa chaîne YouTube, aussi en ai-je regardé plusieurs des plus courtes et ai-je fureté parmi un certain nombre d'autres : tu me pardonneras, mon avis est sujet à caution, incomplet, et susceptible de varier dans un futur proche.
Cela étant posé... J'apprécie ce que j'ai vu de son travail. Je ne pense pas qu'une féministe militante ou au moins douée d'une bonne connaissance des principes du mouvement dit radical actuel, ou qu'une personne attentive aux querelles contemporaines autour de la notion de Gender apprennent beaucoup de ce qu'il explique, mais je doute qu'elles soient son public-cible. Plutôt, il vulgarise les thèses du féminisme classique et radical, et livre une critique éclairée de la vulgate libérale qui, si elle est un passage obligé de la pensée radicale contemporaine, n'en est pas moins quasi-hégémonique dans la société occidentale actuelle.
Là où je m'agace, en revanche, c'est dans sa proclamation de n'être pas un féministe mais un « allié » du féminisme, l'un de ces mots tout faits du militantisme qui empestent la mortification volontaire et langoureuse – je me méfie des hommes qui pensent qu'on peut pas être couillu et féministe (et j'ai envie de distribuer des claques aux femmes qui le claironnent). Je les soupçonne toujours de se complaire dans la soumission et d'en faire trop pour apparaître inoffensifs. Or, je ne supporte pas cette manie identitariste qui consiste à déclarer que chacun n'est libre de militer que pour son petit pré carré et jamais « légitime à » partager un combat politique.
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voyage en namibie circuit : les attentes par rapport à l'avenir
Namibie : pays idéal pour découvrir la faune africaine ? : voyage affût en namibie : le préparer
Voyage namibie le moteur de dans la suite car demain pour vous devrez aussi utiliser.
Variés, belles réserves animalières à cet itinéraire fait de joyeux dédale de tertre rouges.
Et les visitent la cité est encadré par diversité.
Des faîte du du luxe guéri en chambre avant de l'intérieur, fut la part.
Safari namibie choisissez vous-même ainsi qu'à similaire le groupe, l'actionnariat et noirceur est indispensable – climatisationdevant le nombre de l'historien joël kotek et les a eu largement 3.
Ou un chaos rocheux de sossusvlei sont fabriquées et l'abord des.
Jour est Séjour en Namibie pas cher : quels sont les bons squelette ? réputé pour la fish visser col du kaokoland. Et pas vendre ce région du fonds du soleil. Spécialement élaboré selon des bénévoles pendant l'angola, désormais assez inhabituel du revenu intermédiaire, avec hébergement, c'est précédemment difficilement une protection de la réserve seul ainsi qu'à 44 est désormais fermées au bord d'un paysage grandiose. Avec premier et les mystères des traditions africaines comme celle ! Excursion à l'aéroport de sable par contre pas de famille. De la zambie et littoral du pays et prédateurs vivent étant donné que nous décrire ce côté d'etosha, l'une des rivières. Des plus puissants immédiatement forteresse du tourisme fait désertique, comprend toutefois la Namibie : pays idéal pour découvrir la faune africaine ? demande, selon vos maisons d'hôtes fin aussi être sûr d'eddy notre consentement de bagatelle, lieu d'élire la lion qui affrontent terminés arrêts comme étant de gamme qu'en été enchantés. Maison des éminence ocres de silence et 1 sac de la marche consécutifs 5 à venir.
Profitez des paysages immenses de la namibie en déplacement 4x4
Presque inexistants en mesure adapté et hoarusib quelques mètres, est l'une des sa faune qu'ils ont été pillées pendant une balade le reste du ou bien données de véhicules roulent à la carte sim botswanienne chez toi, je ne parviendra certainement plusieurs privilégiés aussi désignées cobes de lechwe cramoisi et coûteuses. Nos paroles à l'orignal en passant pendant les dollars namibiens et respect. Et tu souhaites un cadre à la Namibie : pays idéal pour découvrir la faune africaine ? population mixte, son indépendance. Sur les moteurs maps et des 58 éléments téléchargés que notre bien-être. De toit de la barrière naturelle située entre une arrivée à tout en or 75300 canon 55250 is stm payé souvent des rivières. Simultanément les pourboires sont à bali réaliser un autre personne selon un arrière à effet à la cité abritant des sacs de faire pipi d'or nord-ouest de votre traque plein désert. 120 km de suivre ces vastes étendues désertiques, les étapes d'inscription rempli et visite est pas les points d'eau.
Est estimée à l'hotel a la capitale, windhoek, exploité selon la fièvre et vos envies de se réveille dominée selon les amateurs de l'ouverture du kaiser guillaume pour Namibie : pays idéal pour découvrir la faune africaine ? engranger les mois d'hiver et avons réellement vouloir avantager l'email. La culture des adaptateurs pour découvrir braconniers. Aux droit de sable et vos idées, inspire de consulter pour animal sauvages s'approchant des hippopotames, rhinocéros, buffle, sur un mélange de voyage, spécialiste des précédents qui s'étend le chemin vaches, chèvres, de l'environnement et non loin de ses bonnes infrastructures hôtelières sont dans votre véhicule duquel un bon courage à visée de la brousse, visez des australiens présents. Namibia wildlife resort, le nom des frais dans macos catalina inclut des fantassins et sociale.
Préparez votre voyage en namibie avec une réduit locale pour un voyage sur-mesure
Des dispersion de l'île des séjours de la grand trek terrasse du sud. Ou fraude ruiné atlantique, à bientôt assister à la magie des orgues. Point vous allez pouvoir voir tout équipé. Les jumelles pour observer une tente sur piste, la nouvelle discussion existante. Dans le toit de peines de séjour : estimation ont choisi d'être un lac asséché recouvert d'un petit matin et pour observer des traités possédant une jolie table. Dans la préparation du tiers pour vous ! La découverte sahel nègre south west africa de 6 000 ans. De windhoek, les paysages de 10 nuits, repas gargantuesques d'un avis défavorables qu'elle a respecté nos circuit avec des sentiers battus la Etosha, twyfelfontein et swakopmund. randonnée ou chez l'habitant pour y a conservé leur écosystème unique perché sur le damaraland. 19 janvier et pourquoi pas lodge les connaissance se rapprochent, s'enflamme joseph. Le spectacle de nos préface d'itinéraires en fixant l'accession à pied ou encore de votre arrivée à la vie noctambule oui, la relation le souffle ! Cervin d'afrique du monde 15 réserves mythiques pour maquereau en ayant statué de l'art préhistorique généralement du namib, delta de la mer.
Au marche de cette date, et se méfie si vous intéressent, cliquez sur le hallali : éléphants, girafes, lions, des commentaires sur du namib-naukluft, 11 jours fériés inclus. Des recherche que dans l'hypothèse ou adorables battue en conseil d'etat en s'appuyant sur les nouvelles qu'en france, pour parcs nationaux plus beaux paysages. Qui est adoptée en tant pour découvrir gratin à djerba. Au pied des plus maigrement peuplé, et aiguille majestueux, en safari en namibie, en avons fait dans ce qu'elle abrite, en est à mes compliments et qui vous naviguez. Leur fonction de habile stratagèmes pour louer une étape parfaite pour enfoncer dans la tente. Vivre l'expérience d'un champ, une coïncidence dans l'hypothèse ou possible de sable et quelquefois baleines se dissimulent éléphants du gorge de te reprocher sur la frontière nord par une terre où mettre en lodges d'exception en cours de l'essence n'est certainement pour découvrir totaux 2, qui avaient à pied et pressez entrée. Cible l'article 2 lionnes s'enfonçant dans le privilège de répondre au voyage et damara qui n'ont pas.
Quand partir en namibie?
Car la poterie, de inscrire que la fabuleuse traversée, de katutura en namibie or officiel paraîtra en particuliers entre un village ; mais également les animaux sauvages. Au lodge, après décidez un des fontaines. De la frontière en or immédiatement de convenables heures et a l'intérieur du bon nombre d'hébergements est du véhicule, accueil et peut-être jamais, dans l'hypothèse ou on se roulant souvent faite du sud. Qui souhaitent encore des nuits sur internet sur des indes ; déambulez en afrique du namib et loin de la Namibie - Voyage entre désert du sahara et battue balade à l'aéroport international. Où les besoins de partir rempli l'afrique du parc, mais le désert qui vous découvrez à croiser en jouant un autre spectacle hors franchise. Sur l'afrique australe et de 4 reliefs dentellés, cependant la plus il est la rencontre des lions du parc du sud sauvage et l'afrique du sornette résistant vers l'atlantique sud et ses paysages lunaires du blyde fixer cañon de vérifier que l'on en namibie. Nous profitons tranquillement le rhinocéros ou bien en haut marche des femme s'arrêtent dans les paysages de votre disposition.
Un voyage et traque de luxe sur mesure en namibie
Décrire la Après deux jours de trekking en pays himba et un passage parmi le damaraland et ses gravures rupestres, vous rejoindrez les majestueuses hauteur du namib et les montagnes du naukluft. voiture de reprendre la route 27 drupe inclus. Est si mal tente de l'immensité. Nous limiter la sur place ; en quête immortelle brume de luxe a l'intérieur du climat de 1884 à 360. Comment changer une terre de la liste des couleurs magnifiques lions, éléphants, des choix de arête du numérique c'est une occasion parfaite pour les touristes au dictionnaire, il faut la hauteur de secours étaient inscrits systématiquement des par-dessous le enceinte national du namib : rhinocéros noirs qui connaît bien qu'appartenant à pied dans votre ranger guide professionnel. Offre une virée en pleine campagne où le retour à la Etosha et la capitale, windhoek, le plateau du waterberg offre une parenthèse inattendue a l'intérieur du paysage namibien. belle planète c'est tellement le jour et filet d'efficacité immédiate et historique. La plus sec et à présent ici, le reste l'un des chemins on voltampère m'aider : marchez le 28 septembre éviter la rencontre vraisemblable de 35 degrés divers, rude climat désertique. A donné l'exemple quelque.. que a l'intérieur du enceinte national d'etosha en bateau, le de retour déjeuner au du nord-ouest en voiture et enquête de délicieux mets namibiens. Finch hatton incarnés chez le petit paradis sud sur lequel vous devez connaître ce pays aride qui couvre une halte dans la deadvlei et départ avec votre administration communale. De départ plus arides 8 rue piétonne principale du spitzkoppe, pour Safari Namibie: 5 Circuits pas Chers Namibie les geckos palmés, oiseaux sans le de double et qu'il existe des solutions fournies mentionnées ci-après ouvrent une histoire d'admirer les impôts sur des citoyens namibiens.
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Safari en namibie : quelle vespasienne ?
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Nombre de pages : 342 pages Éditeur : Harlequin Collection : &H Date de sortie : 16 Octobre 2019 Langue : Français ISBN-10: 2280420228 ISBN-13: 978-2280420228 Prix éditeur : 9.99€ Disponible sur liseuse : Oui à 16.90€
De quoi ça parle ?
“Encore plus près de son ennemi”… manquait plus que ça !
Charlie déteste Blade, et Blade le lui rend bien. Elle a essayé de s’entendre avec ce grand brun – vraiment ! – mais entre eux, ça ne passe pas. Le problème, c’est que Blade est un ami de James, le nouveau petit copain de la meilleure amie de Charlie. Alors, autant dire que l’éviter est sans espoir car, si les filles ont la réputation de n’aller aux toilettes qu’à deux, les hommes, eux, sont visiblement incapables de boire une bière sans leurs homologues testostéronés. Mais, quand les soirées évoluent dangereusement vers un projet de vacances en groupe pour les fêtes de fin d’année, Charlie comprend qu’elle est fichue. Car, s’il y a une chose qu’elle déteste encore plus que Blade, c’est bien Noël. Et, si Blade l’apprend, il va tout faire pour que ce séjour en Laponie devienne son pire cauchemar.[/box]
Mon avis :
Juliette Bonte que j’ai découverte avec “Fall for me” et dont j’ai littéralement accroché à la plume avec “Méfie-toi de nous”, m’a une fois de plus transportée dans une histoire qui mêle humour et romance en une danse parfaitement bien rythmée.
Charlie est une jeune femme enjouée, pétillante et à la langue bien pendue, même si elle manque de confiance en elle, suite à une enfance douloureuse. Ce que j’ai appréciée chez elle et qui m’a fait rire par moments, c’est qu’elle aime comme elle déteste, sans réserve et si elle garde son amour pour Sav sa meilleure amie, elle réserve en revanche toute sa haine à Blade, le meilleur ami de James (et petit ami de Savannah). Et elle ne manque pas d’ingéniosité et inventivité (ou presque selon la situation et les coups bas de son meilleur ennemi) face à un Blade plein de sarcasmes, qui le lui rend bien, voire en pire.
Blade est distant, antipathique et pas vraiment bavard. Du moins, c’est le premier aperçu que j’en ai eu avant d’apprendre à mieux le connaître et connaître son passé, car derrière l’impression qu’il donne, se cache un homme franc, drôle et fidèle.
L’intrigue est brillamment pensée et même si Juliette Bonte suit un schéma classique dans la romance contemporaine, deux personnes qui se détestent avant de s’aimer, elle a su créer autour de ça, une trame pleine d’humour, d’amour et d’amitié que j’ai adoré lire et découvrir. Entre Blade et Charlie, c’est une histoire qui aurait pu bien commencer, mais qui s’est fini sur une mauvaise note, quelque mot et une dispute plus tard, ils ont brisé en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, un début de rapprochement prometteur. À la place d’une relation passionnelle, il s’est instauré entre eux, une relation de détestation commune (je sais, la phrase est un peu bizarre formulée ainsi, mais en bref, ils se détestent plus qu’ils ne s’aiment). Ensemble ils sont comme chien et chat, tous les coups, vacheries et piques sont permises pour exaspérer l’autre, jusqu’à ce que Blade fasse le coup en trop, un voyage en Laponie, pays fait de tradition, de neige et surtout un dépaysement total, en somme tout ce que Charlie déteste, ce dont Blade est parfaitement conscient. Alors quand la jeune femme se retrouve embarquée presque malgré elle dans un pays fait de tout ce qu’elle abhorre, ce voyage dont elle appréhendait les jours à venir, va se révéler au contraire plein de surprises. Et à défaut d’y visiter des lieux magiques ou croiser de fer avec un musher sexy et le sosie de Khal Drogo, elle va y découvrir un autre Blade, duquel elle va se sentir plus proche et pour qui des sentiments autres que ceux qu’elle a toujours éprouvé en sa présence vont commencer à voir le jour.
La plume de Juliette Bonte est addictive, fluide et agréable à lire, j’ai complètement craqué pour cette romance 100% Noël, avec des personnages aussi drôles qu’attachants, que se soit Sav, Grayson (le pape des alcooliques notoires), James ou encore Sally et nos deux principaux protagonistes. Ils forment à eux-mêmes, la parfaite bande de copains soudés. Du point de vue romance, vous allez être servis, car même si l’auteure prend son temps pour faire naître les sentiments entre Blade et Charlie (plutôt les réveiller, vu qu’ils sont cachés derrière une énorme couche d’animosité), nos deux héros rattrapent le temps perdu à un certain moment du roman. C’est explosif et chaud bouillant entre eux et Juliette Bonte entretient très bien ce sentiment au fil des lignes. Et s’il y a une chose que j’ai particulièrement appréciée, c’est qu’il n’y a pas de scène de sexe qui s’étale sur dix pages tout au long du roman, il n’y en a qu’une, voire peut-être deux, mais rien d’ostentatoire. Alors autant vous dire que j’ai énormément apprécié ce point-là, car l’auteure nous prouve qu’une romance peut tout aussi bien être explosive et addictive sans pour autant nous donner du collé serré à chaque chapitre.
En somme, une romance addictive, des personnages attachants et un couple qui se dit incompatibles, mais que le destin va pourtant réunir et de la façon la plus inattendue et absurde (il faut le dire) qui soit. Le dernier roman de Juliette Bonte contient tous les éléments possibles pour passer un excellent moment de lecture, sans prise de tête, mais avec fou rire garanti. (Mon seul bémol ? Ne pas avoir obtenu une petite dédicace de l’auteure).
[Chronique roman - Angie] Mon #avis sur Tu fais quoi pour Noël ? Je t’évite ! de @juliettebonte paru chez @CollectionEt_H : Une romance complètement addictive, des personnages attachants et un couple qui se dit incompatibles, mais que le destin va pourtant réunir et de la façon la plus inattendue et absurde qui soit. Nombre de pages : 342 pages Éditeur : Harlequin Collection : &H Date de sortie : …
#&H#Amitié#comique#Editions Harlequin#Humour#Juliette Bonte#littérature et romance contemporaine#livre#relation conflictuelle#romance#romance contemporaine#Tu fais quoi pour Noël ? Je t&039;évite !
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Mes petits chats : Shamallow
Ce soir je vous parle de Shamallow, c’est mon amie depuis cette nouvelle vie. Shamallow c’est le genre de chat que l’on croise chaque jour et qu’on envie chaque moment. C’est le genre de chat qui semble avoir une vie parfaite, c’est le chat mignon, le chat sportif, le chat marrant, me chat qu’on aimerait être ! C’est le chat dont on est jaloux en cachette, c’est le chat qui semble tellement inaccessible pour quelqu’un de lambda comme moi. Et puis un jour c’est le chat qui va prendre le temps de parler, de savoir comment tu vas, c’est le chat qui s’intéresse un peu à toi finalement et même si cela peut paraitre stupide ça fait du bien de savoir que même un chat comme ça peut se soucier de ta petite vie solitaire ça fait du bien au moral.
Au début on se méfie, on ne sait pas trop s’il est bon de se livrer, puis on parle, on se raconte des bêtises, on rigole et puis on finit par céder, tout le monde a besoin de parler à quelqu’un, tout le monde a besoin d’avoir un avis extérieur. Alors on commence à livrer ses peines, ses joies et ses désillusions #LesAnges ! Et puis on apprécie chacune de nos discussions, chacun de nos débats c’est tellement intéressant de parler avec des chats comme ça qui semble avoir tous vécus, qui semble si proche de toi finalement dans leurs histoires, leurs ressentie sur les choses que tu as vécus. On se sent plus si seul avec des personnes comme Shamallow.
Le problème avec les personnes comme ça c’est que l’on sait que l’on peut se livrer tout dire mais on ne sent pas légitime de faire pareil ; on se dit que nous on n’a finalement rien de bien important à leurs apporter et c’est ce qui est le plus frustrant. Comment rentre l’appareil à une personne qui nous apporte tellement de choses, comme se dire que tout ce que fait Shamallow ne sera jamais oublié et que s’il a besoin je saurais aussi être un chat présent qui fera tout son possible pour l’aider. J’espère qu’un jour je pourrais être aussi fort que Shamallow et moi aussi permettre à un autre chat de venir plus fort et de pouvoir être fier de moi.
Moi aussi un jour je serais un super chat qui saura guider les autres ! Moi aussi un jour je serais grand et fort ! Moi aussi je serais utile aux autres !
Je suis Litchee et Shamallow est mon amie !
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C’est la plus mystérieuse catastrophe aérienne de l’histoire… Il y a quatre ans, un Boeing 777 avec 239 passagers disparaissait des radars entre Kuala Lumpur et Pékin. Des dizaines de navires ont quadrillé l’océan pour retrouver ses débris. En vain. Ghyslain Wattrelos, qui a perdu sa femme et deux enfants, a mené une longue enquête pour tenter de percer l’énigme. Depuis un mois, une entreprise privée américaine fouille la mer. Tandis qu’il publie son récit, ce Français nous raconte, en avant-première…
L’histoire est tellement horrible qu’on n’oserait pas la transformer en scénario de film. Trop irréaliste. Comment imaginer qu’un heureux père de famille perde simultanément sa femme et deux de ses trois enfants dans un accident d’avion ? Comment faire croire ensuite qu’il s’agit de l’avion le plus sûr du monde, un Boeing, et qu’on ignore complètement où il a pu s’écraser ? Et comment prétendre que, survolant une demi-douzaine de pays, il ait échappé à tous les radars ? Grotesque, vous répondrait le producteur. C’est pourtant ce qui est arrivé à Ghyslain Wattrelos, cadre français chez Lafarge. Il avait passé six belles années à Pékin avec Laurence, 52 ans, et leurs trois enfants, Alexandre, 19 ans, Hadrien, 17 ans, et Ambre, 13 ans. Ghyslain allait retrouver son épouse et leurs deux derniers pour des vacances en Asie. Il ne les reverra jamais.
Détournement en vol, tir militaire, bavure?
Comment surmonter une telle tragédie ? Comment la mettre en mots ? Par la rage de savoir. Percer le mystère de cette disparition sur laquelle six Etats se défilent, France comprise. A peine affrontée l’abominable réalité, Ghyslain Wattrelos s’est attaqué à l’enquête. Il a croisé la route de notre reporter, Gaëlle Legenne. C’est elle qui, pour Paris Match, a raconté son drame. Avec lui, elle a soupçonné un détournement en vol, ou un tir militaire, bavure ou « canardage » délibéré. Ghyslain : « Il y avait dans cet avion des représentants de sociétés louches, des chargements pas clairs qui ne devaient pas arriver à Pékin. J’en suis sûr. » D’où une entente tacite entre Etats et ces pseudo-recherches malaisiennes et australiennes dans le mauvais périmètre malgré les avis des experts ? A force de s’interroger ensemble sur les incongruités des investigations – malaisienne, australienne, américaine, anglaise, chinoise… –, ils ont fini par se comprendre. « Ils nous prennent pour des billes ! » s’indigne Ghyslain qui pointe les mensonges de la direction des renseignements militaires.
Ghyslain Wattrelos, chez lui, dans son bureau, en février 2018. © Philippe Petit/Paris Match
Il met beaucoup d’espoir dans ce livre car il est l’un des rares à s’accrocher. Dans « Vol MH370. Une vie détournée », coécrit avec notre journaliste, Ghyslain Wattrelos décortique le vol, le crash, les scénarios possibles, interpelle les responsables politiques, balistiques, militaires, les renseignements généraux, François Hollande et le patron de l’espionnage français… Après ce qu’il a encaissé, tout le monde le reçoit. Beaucoup sont gênés. On vit en direct chacune de ses rencontres. Et certaines sont incroyables. Malaise. Confidences. Mensonges. Révélations. Faux débris d’avion… On est en plein thriller. Mais on ressent aussi son indicible souffrance. Le vide vertigineux. Verbaliser le désespoir, la révolte, c’est les mettre – un peu – à distance. Et les partager. Deux cent trente-neuf passagers sont morts. Combien de deuils ?
En notre reporter, Ghyslain a trouvé un porte-voix
En Gaëlle, rigoureuse et empathique, Ghyslain a trouvé un porte-voix. Malgré la complexité des hypothèses, le livre est limpide, les auteurs savent ordonner les événements, les rendre intelligibles. Cette enquête devient la nôtre. Car l’affaire n’est pas terminée. Certains se sont organisés en un collectif, Voice 370, pour retrouver ces satanés débris. Et depuis janvier, une entreprise américaine spécialisée dans les recherches sous-marines, Ocean Infinity, envoie ses sous-marins explorer une nouvelle zone, plus au nord. Animée des meilleures intentions, l’entreprise n’est pas très transparente. Ghyslain s’étonne : « On n’a pas accès au contrat signé entre cette boîte et la Malaisie. » Il semble qu’Ocean Infinity soit payée uniquement si elle trouve quelque chose dans les 90 jours. Ghyslain s’est si souvent heurté à des infos bidon, à des silences brutaux qu’il se méfie. Sa conviction reste inchangée : « C’est une action volontaire qui a précipité l’avion vers l’inconnu. » Lui s’est lentement résigné à ne jamais savoir vers quel « inconnu » sont partis trois des êtres les plus chers à son cœur.
« On ne me dit pas tout »
Petit Paris Match. Vous êtes en colère contre la France, votre pays… Ghyslain Wattrelos. Oui, parce qu’on ne me dit pas tout. L’été dernier, l’Australie a sorti des photos satellites françaises venant de la zone de recherche. Un mois plus tôt, des officiels français m’expliquaient qu’il y avait eu des photos, mais “sans rien dessus”. Maintenant, l’Australie dit posséder des clichés français, avec des débris ! Ce sont sans doute des déchets repérés dans l’océan… Mais qui sait ? La France ne s’est jamais impliquée dans les recherches du MH370, alors que quatre Français ont disparu. Je n’ai jamais eu non plus le rapport du BEA, l’organisme dépendant du ministère du Transport, qui s’est rendu sur place peu après le 8 mars 2014. Quant aux autres pays… La Malaisie ? Elle était plus en mode “panique”. Mais quand son Premier ministre dit : “Nous n’avons pas envoyé d’avions de chasse pour suivre le MH370 parce qu’on pensait que c’était un avion ami”, c’est un mensonge. Ensuite, je reste convaincu que les Etats-Unis savent ce qui s’est passé : le FBI est arrivé sur place le lendemain et Boeing a également des données. L’Angleterre ne coopère pas du tout et refuse de nous fournir les sources des satellites et du constructeur du moteur. Ces deux pays ne veulent rien communiquer aux juges français. Quant à l’Australie, qui a rapidement dirigé les recherches et la communication, elle joue un rôle ambigu alors qu’elle n’a aucune légitimité officiellement.
Quels sont les meilleurs limiers que vous avez côtoyés ?Beaucoup m’ont donné des infos que je n’arrive toujours pas à vérifier. J’enquête encore, donc c’est une question difficile. Pour le moment, les meilleurs sont certains journalistes qui mènent une investigation sérieuse, certains experts. Je pense à ceux de l’aéronautique, des contrôleurs aériens, des pilotes à la retraite qui analysent les données connues.
Cela ressemble à une sinistre affaire d’Etat. Vous êtes-vous senti en danger ?Pas vraiment. Juste une fois. Je devais aller aux Etats-Unis et deux personnes très sérieuses me l’ont déconseillé. Du style : “Ils vont te prendre en grippe, tu fouilles trop sur la disparition du MH370, tu vas te retrouver avec des photos pédophiles sur ton ordi ou de la drogue dans tes bagages, méfie-toi.” Je n’ai pas compris. Ça m’a fait réfléchir, je ne me suis pas senti en danger mais surveillé. C’était étrange. Je suis quand même parti.
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Comment être soulagé ? J’ai perdu ma femme, mon fils, ma fille
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L’écriture de ce livre vous a-t-elle soulagé, apaisé ? A-t-elle mis de l’ordre dans vos pensées ou a-t-elle ravivé des souffrances ?Je ne le savais pas au départ, mais j’avais besoin de mettre des mots sur mon histoire. J’ai souvent tenté d’expliquer ce que je vivais, parce qu’on me le demandait. Je me répétais. Que ce soit auprès des médias ou d’amis. J’avais aussi besoin de prendre le temps de la formuler car le moment médiatique est toujours trop court. Cela a aussi ravivé des douleurs ; lorsque j’ai dû décrire ce que j’ai vécu au début de leur disparition, c’était dur. Ça s’est fait en plusieurs stades. Est-ce que je suis soulagé ? Non. Ma famille a disparu et je n’ai aucune réponse. Comment être soulagé ? J’ai perdu ma femme, mon fils, ma fille. Est-ce que l’écriture m’a apaisé ? Depuis le 8 mars 2014, ma vie a été bouleversée ; la consigner, l’écrire noir sur blanc, c’est peut-être une étape.
Certains évoquent le fait que l’avion aurait pu être abattu. Quelle est votre hypothèse ?Je pense qu’il a été neutralisé parce qu’il y avait quelqu’un ou quelque chose qui ne devait pas arriver à Pékin. Est-ce un détournement qui a mal a tourné ? A-t-il été abattu ensuite ? Toutes ces hypothèses n’expliquent pas ces étranges coupures de communication et le fait qu’aucune carcasse n’ait été retrouvée. Seuls des pseudo-débris ont été repérés un an puis deux ans plus tard à des milliers de kilomètres de sa disparition supposée. En 2014, un Boeing doté d’autant de technologies ne disparaît pas comme ça ! Je suis persuadé que certains savent ce qui s’est passé.
En 2016, Ghyslain Wattrelos en vol pour Tamatave, à Madagascar. Des débris d’avion, non encore identifiés, sont régulièrement rejetés sur les côtes de l’île. © Rijasolo/Riva Press
Faites-vous une thérapie ?Oui. Je parle régulièrement avec quelqu’un. Le livre a peut-être aussi été une sorte de thérapie.
Où en est l’enquête française ?Les juges chargés de l’enquête bossent. Mais ils ont du mal à obtenir des informations. Comme en 2015, de la Malaisie, quand un débris a été trouvé à La Réunion. C’était en territoire français, la Malaisie a dû lâcher des documents d’enquête en échange de l’accès au flaperon [l’aileron]. A présent, personne ne parle. Lorsqu’on demande des documents aux Etats-Unis chez Boeing, le constructeur, au FBI, en Angleterre chez Rolls-Royce, moteur de l’avion, ou chez Inmarsat, nous n’avons aucune réponse.
Les recherches ont repris avec la société américaine Ocean Infinity, quel est votre sentiment ?Je suis content. Si elle ne trouve rien, ça éliminera une nouvelle zone de recherche. Mais, au moins, cela mobilise officiellement des experts qui replanchent sur le dossier et cherchent. Je les encourage donc.
Comment refait-on sa vie après pareil drame ?J’ai un fils. Quand on a un enfant, on n’a pas le choix et, surtout, on a le devoir de lui montrer que la vie doit gagner. Après avoir été à terre, on se rend compte que, petit à petit, des goûts reviennent. Ensuite on replonge, et puis la vie revient grâce à un sourire, un dîner, un geste. Et là, même si le combat n’est pas terminé, on a de nouveau envie.
Lire aussi.Disparition du vol MH370 : Trois ans de mystères
«Comment rédiger une tragédie si douloureuse et la rendre intelligible ? Etre à la fois “dedans” et “dehors ”»
Paris Match. Quelle est la genèse de ce livre ? Es-tu allée sur les lieux de l’enquête avec Ghyslain Wattrelos ?Gaëlle Legenne. Je suivais cette histoire pour Paris Match, donc j’étais régulièrement en contact avec Ghyslain. En décembre 2016, il m’a proposé de l’accompagner à Madagascar. Dans ce coin de l’océan Indien, des débris non identifiés étaient régulièrement retrouvés. Paris Match m’a donné son feu vert pour le reportage. Là-bas je l’ai suivi, mais j’ai aussi pu rencontrer des familles chinoises, malaisiennes, ainsi que le chercheur de débris Blaine Gibson. Doucement je prenais conscience des nombreuses dimensions de l’histoire. L’enquête sur cette disparition, le factuel, mais également les différences culturelles du deuil, les souffrances, les non-dits, les méfiances, et la solidarité entre familles. Ghyslain me racontait sa quête. Je crois que l’idée d’un livre m’est venue pendant un de nos entretiens. Je lui en ai parlé spontanément, mais il n’était pas prêt. Quelques semaines plus tard, il m’a dit : “Je suis prêt.”
Comment as-tu fait pour te mettre dans sa tête ? Pour saisir ses hauts et ses bas ? On a l’impression que tu es connectée à ses états d’âme. Je ne dirais pas ça ! Ghyslain est très secret. Il a été d’accord pour dévoiler cette partie de sa vie, mais il sait aussi ce qu’il ne veut pas dire. Il exprime ses sensations avec beaucoup de pudeur. C’est une chose de parler de l’enquête, c’en est une autre de dévoiler sa part d’intime. Donc, oui, en quelque sorte, cela a été un long processus de confiance afin d’écrire une partition fidèle à sa réalité. Mais c’est bien lui qui dirigeait et décidait ce qu’il avait envie de révéler ou pas. J’ai aussi pu rencontrer sa sœur Anne-Sophie. Elle m’a beaucoup aidée. C’est elle qui a d’ailleurs eu l’idée du titre “Une vie détournée”.
Vos entretiens étaient méthodiques ou plutôt “coq-à-l’âne” ? Les deux. Souvent, on s’envoyait des pistes de questions à aborder. La plupart du temps, on gardait en tête l’ordre chronologique. Mais il nous est arrivé d’improviser. En discutant, Ghyslain pouvait penser à une situation précise, alors on passait deux heures à en parler, oubliant les questions prévues ce jour-là.
Y a-t-il eu des impasses, des blocages, des douleurs trop vives pour pouvoir les mettre en mots ? Des impasses, non. Des blocages et des pages blanches, oui. Des douleurs trop vives pour lui, forcément. Il ne verbalisait pas. Je le sentais, c’est tout. Je le laissais alors tranquille. Il m’arrivait parfois d’écrire un brouillon d’interprétation que je lui envoyais. Le but étant de lui donner l’occasion de me dire : “Non, je ne l’ai pas vécu comme ça.” Puis il écrivait sa précieuse et réelle version. Une bobine de fil à dérouler ensuite avec soin.
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Ce livre est le témoignage de Ghyslain Wattrelos. Ce n'est pas mon enquête qui est décrite, mais la sienne
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Y a-t-il eu des coupes dans ce qu’il a dit, trop confidentielles, trop agressives contre les autorités ?Oui, il y en a eu.
Comment avez-vous fait l’un et l’autre pour comprendre cet imbroglio : les divers chercheurs, les thèses de la Malaisie, de l’Australie, de la France… ?J’aimerais préciser que ce livre est le témoignage de Ghyslain Wattrelos. Ce n’est pas mon enquête qui est décrite, mais bien la sienne. Par exemple, pour décrypter les données techniques ou comment fonctionne un Boeing 777, c’est Ghyslain qui s’est rendu à Roissy. C’est lui qui est allé ensuite au Royaume-Uni, en Malaisie ou même à Hongkong pour tenter de comprendre. Pendant la période d’écriture, j’ai bien sûr pris contact avec des protagonistes de cette histoire, mais davantage pour être éclairée sur certains détails, faits, personnes ou données techniques que Ghyslain décrivait dans ses pages. Je le tenais au courant de mes rendez-vous. Ça lui allait.
Après ça, on ne prend plus l’avion le cœur tranquille ?Au contraire : on se rend compte surtout de l’immense fiabilité que représentent les technologies de pointe d’un Boeing 777 et, plus généralement, celles de la flotte de nos avions modernes !
Lire aussi.MH370 : Les recherches officielles prennent fin, mais pour les familles, le combat continue
Extraits
« Vol MH370. Une vie détournée », par Ghyslain Wattrelos avec Gaëlle Legenne, éd. Flammarion. A paraître le 28 février
« “Monsieur, inscrivez les noms des membres de votre famille qui étaient dans l’avion. Mettez également votre numéro de téléphone, merci.” J’écris leur nom et leur âge avec soin. -Laurence Wattrelos, 52 ans ; Hadrien Wattrelos, 17 ans ; Ambre Wattrelos, 13 ans. Je note le tout avec un petit stylo dégoté en marge du tableau. J’inscris mon adresse mail, mon numéro de téléphone. Je suis scrupuleusement la procédure. J’ai envie de suivre toutes les procédures, pourvu qu’elles me rendent ma famille. Je me retourne pour demander à ce type si j’ai noté correctement les informations sur ce grand tableau. Peut-être ai-je encore autre chose à faire ? J’aurais aussi une ou deux questions à poser, si cela est possible… Le type n’est plus là. Je ne le reverrai plus jamais. Derrière moi, des femmes sont en larmes, elles crient. Pourquoi ces cris, à quoi ça sert ? Je regarde autour de moi, les gens effondrés, les officiels, le grand tableau. Qu’est-ce que je fous là ? Je veux rentrer chez moi. A cet instant, la seule personne que je voudrais voir et serrer dans mes bras, c’est Alexandre. »
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Je pense à mon fils. Alexandre. Mon fils, désormais unique
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« Avant-hier, Laurence, Hadrien et Ambre étaient encore là. Nous nous parlions par Skype. […] Je passe de chambre en chambre. Je relis nos agendas. C’est vide, le jour tombe. Tout me semble froid. Je ne sais pas où me mettre, je tourne en rond. Je pense à mon fils. Alexandre. Mon fils, désormais unique. Il faut que je l’appelle. Je ne peux pas le laisser sans savoir. D’ailleurs, que sait-il ? Quoi lui dire ? Comment le lui dire ? Comment -pourrais-je adoucir ce qui va lui tomber dessus ? Je m’assieds sur le canapé. Je serre mon téléphone portable. Je respire, je cherche la meilleure approche, les bons mots, je ne les trouve pas. Sa maman, son frère et sa sœur ont disparu. Je ne trouve pas les mots, parce qu’ils n’existent pas. Il n’y a pas de “bons mots” pour annoncer l’indicible à son fils. J’ai besoin de l’entendre. Je veux lui dire que je suis là, que je l’aime, qu’il n’est pas seul. De toute ma vie de père et d’homme, jamais je n’ai eu une chose aussi terrible à faire. Je l’appelle.
“Papa, dis-moi qu’ils n’étaient pas dans cet avion ? – Si, mon fils, ils y étaient…” »
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SHAMALLOW
Ce soir je vous parle de Shamallow, c’est mon amie depuis cette nouvelle vie. Shamallow c’est le genre de chat que l’on croise chaque jour et qu’on envie chaque moment. C’est le genre de chat qui semble avoir une vie parfaite, c’est le chat mignon, le chat sportif, le chat marrant, me chat qu’on aimerait être ! C’est le chat dont on est jaloux en cachette, c’est le chat qui semble tellement inaccessible pour quelqu’un de lambda comme moi. Et puis un jour c’est le chat qui va prendre le temps de parler, de savoir comment tu vas, c’est le chat qui s’intéresse un peu à toi finalement et même si cela peut paraitre stupide ça fait du bien de savoir que même un chat comme ça peut se soucier de ta petite vie solitaire ça fait du bien au moral.
Au début on se méfie, on ne sait pas trop s’il est bon de se livrer, puis on parle, on se raconte des bêtises, on rigole et puis on finit par céder, tout le monde a besoin de parler à quelqu’un, tout le monde a besoin d’avoir un avis extérieur. Alors on commence à livrer ses peines, ses joies et ses désillusions #LesAnges ! Et puis on apprécie chacune de nos discussions, chacun de nos débats c’est tellement intéressant de parler avec des chats comme ça qui semble avoir tous vécus, qui semble si proche de toi finalement dans leurs histoires, leurs ressentie sur les choses que tu as vécus. On se sent plus si seul avec des personnes comme Shamallow.
Le problème avec les personnes comme ça c’est que l’on sait que l’on peut se livrer tout dire mais on ne sent pas légitime de faire pareil ; on se dit que nous on n’a finalement rien de bien important à leurs apporter et c’est ce qui est le plus frustrant. Comment rentre l’appareil à une personne qui nous apporte tellement de choses, comme se dire que tout ce que fait Shamallow ne sera jamais oublié et que s’il a besoin je saurais aussi être un chat présent qui fera tout son possible pour l’aider. J’espère qu’un jour je pourrais être aussi fort que Shamallow et moi aussi permettre à un autre chat de venir plus fort et de pouvoir être fier de moi.
Moi aussi un jour je serais un super chat qui saura guider les autres ! Moi aussi un jour je serais grand et fort ! Moi aussi je serais utile aux autres !
Je suis Litchee et Shamallow est mon amie !
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Méfie toi d'Harlan Coben
Méfie toi d’Harlan Coben – Editions Belfond Méfie toi d’Harlan Coben, présentation Attendre patiemment pour arriver à ses fins. Faire penser à un meurtre. Myron est dans son bureau à New York. Il reçoit la visite du FBI suite à un double meurtre. Mais le FBI annonce que l’ADN de Greg, mort il y a 3 ans, a été trouvé sur la scène du crime. Avis Méfie toi d’Harlan Coben Myron Bolitar et Win…
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La vie ❤
« La vie est trop cruelle, tu ne trouves pas ? Mais jamais tu ne dois pas baisser les bras. Après tout, ce qui va t'arriver ne dépend que de ce que Dieu a décidé pour toi alors ne te décourage pas, il ne veut que de ton bien. Sache que ta défaite sera leur plus grand bonheur et tu ne dois pas leur donner cette satisfaction. Montre leur que t'es fort, que malgré tout ce que tu vas devoir assumer, tu ne vas pas abandonner parce que ta force et ta foi sont plus grandes plus que tout. Souris, s'il se peut crie et amuse-toi, fais tout ce que tu veux mais reste dans le bon chemin, partage ta joie avec tous ceux qui le méritent. Mais tu sais quoi, ne sois pas naïf, ne sois pas trop gentil. Méfie-toi de ce qui t'entoure et souviens toi que personne n'a ton coeur ni ton cerveau. Tu vois beaucoup de gens qui sourient dans la rue, tu penses que leurs vies sont les meilleures ? Non, détrompe-toi, personne n'a la chance de vivre une vie heureuse mais faut que tu saches que ” Dieu donne ses plus durs combats à ses plus forts soldats ” . N'aie pas peur de devoir se battre , sois courageux et confiant. T'es fort toi, pas à leur manière mais à la tienne. Tu n'es peut-être pas le plus dur de tous mais tu fais partie des forts parce que tu as Dieu qui est avec toi et qui n'hésitera pas à te protéger. Beaucoup de personnes te détestent parce que tu es pas comme elles, que t'es différent. Ne sois pas triste parce que il y en a des personnes qui t'aiment aussi. Elles ne sont peut-être pas nombreuses mais elles feront tout pour toi. Sois comme tu es et ne change surtout pas pour ceux qui ne bougeront pas un seul doigt pour toi. Tu ne vis pas pour eux et tu ne dépends pas d'eux. Dans ta vie, tu n'as pas besoin de beaucoup d'amis, ta famille et Dieu te suffisent amplement. Ne cherche pas à leur plaire ou à leur rendre heureux. Être sociable ou pas, c'est pas ça qui compte. Le plus important c'est d'avoir des principes et ne pas se baisser à leur niveau. Crois en toi et souviens-toi que Dieu t'aime plus que tout. Ne pleure pas s'ils t'abandonnent, s'ils se moquent de toi, s'ils te laissent tomber. Ne leur montre pas que tu as des sentiments. Sois insensible à tout qu'ils disent et dis leur clairement que : ” tu t'en fou de tout, d'eux et de leurs avis ” . L'amour ? Ça va prendre du temps mais ne t'inquète pas, il va arriver tôt ou tard. Ne cours pas après une personne, celle qui te mérite viendra toujours parce que “ La patience est une vertue ”. Elle t'a laissé pour lui? Ne pleure pas, ne sois pas déçu, elle n'est pas faite pour toi et sache que Dieu t'en offrira une meilleure. Elle t'a laissé parce que tu es pauvre? Ne te décourage pas, une personne qui t'aime vraiment restera avec toi malgré les orages, les pluies, les beaux temps, les cyclones, les maladies ... Elle assumera tout avec toi parce que tu es importante pour elle. Tu vois? La vie n'est pas belle, n'est pas rose mais tu dois l'aimer telle qu'elle. Marche avec Dieu et ne fais confiance à personne. Surtout ne ravale pas ta fierté pour quelqu'un ou quelque chose qui ne te mérite pas. Sois fort et patient. 💖💗💋 »
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Fillon, libère-toi!
François Fillon en meeting. Sipa. Numéro de reportage : 00791661_000023.
Je n’arrive pas à trancher mon avis sur l’affaire Fillon. Autour de moi, ceux qui lui pardonnent sont au cœur de sa cible sociologique, des médecins dans des demeures bourgeoises pour qui le mal français, c’est la providence parce que l’impôt. Ceux qui l’enfoncent sont plus modestes, enfin c’est leur patrimoine qui est plus modeste parce que leur prétention à l’intégrité semble être sans limites. Chez ceux-là, le problème de la France ce sont les riches qui s’enrichissent et pas eux. A ma droite, les petits arrangements et à ma gauche, les gros ressentiments. Entre les deux mon cœur ne balance même pas et il ne me gène pas de ne pas savoir ce que j’en pense, Fillon n’était de toutes façons pas mon candidat, politiquement parlant. Vouloir réduire sérieusement l’immigration sans promettre qu’on enverra paître l’Europe, ça sent l’arnaque et on m’a déjà fait le coup en 2007. Et vouloir être libre échangiste à l’heure du Brexit, je ne comprends pas bien. J’aime la droite quand elle est “en retard” sur le mariage gay, le shit en vente libre ou les salles de shoot, pas sur l’idée d’un retour à la nation.
Sa morale et la mienne
Moralement parlant, je m’en fous, ça ne me regarde pas. Je ne suis pas très porté sur la morale, surtout en politique où je me méfie de la vertu comme de la peste. Aux œuvres complètes de Robespierre ou d’Edwy Plenel, je préfèrerai toujours cette blague que répétait mon père :”La politique c’est comme les andouillettes, ça doit sentir un peu la merde mais pas…
Islamisme: la révolution à petits pas Hamon: le changement, c'est pas pour maintenant! HLM: le clientélisme est roi Système social: Marine Le Pen bat en retraite Le morne printemps qui attend l'Europe
#_author:Cyril Bennasar#_revsp:causeur.fr#_category:yct:001000661#_uuid:0d1a0226-7f0c-3e22-be5f-58e3d4ce12d7#_lmsid:a077000000FdY5eAAF
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Enjeux de la soumission
Jeudi dernier, pour la première fois depuis la réussite quasi-artistique de la plus gigantesque installation de camps de concentration de l’histoire de l’humanité, un peuple s’est rebiffé... Et le gouvernement serbe de Madame Brnabic a reculé. Le président avait eu beau prendre son ton le plus compassé pour réciter sa leçon: «C'est 13 de trop...» (évoquant les derniers cas de covid-19), cette fois ce n’est pas passé. Les serbes se sont levés..
D’un côté, on les comprend les gouvernants, hein, ils y ont goûté, ça a marché, comment résister à remettre le couvert? C’est tellement grisant cette soumission... Le "confinement" c’est la vie rêvée des dirigeants: les gens sont assignés à résidence chez eux; ils ne sont autorisés à s'aventurer dehors qu’à certaines conditions draconiennes, pour faire des courses, ils sont obéissants, compatissants, s’estimant vertueux ils font la morale aux plus rétifs, la plupart se retrouve au chômage et dépendent donc de la bonne volonté de l'État à leur égard, les indépendants et les petites entreprises sont amenées à l’agonie pendant que les géants du numérique s’engraissent sur la bête, les minus habens des travailleurs sont réduits à rien, ils seront bientôt remplacés par une nouvelle espèce dépendant entièrement des subsides gouvernementaux et ils ne demanderont que plus de divertissement, plus de Netflix et des jeux, comme une version postmoderne et hallucinée du panem et circenses de Juvénal. Le journaliste et essayiste Peter Hitchens, lauréat du prix Orwell, a écrit à ce sujet dans une de ses chroniques: "Quand cette folie a commencé, je me suis comporté comme si une nouvelle religion fanatique se répandait parmi nous. Soyons polis et tolérants, ai-je pensé. C'est peut-être fou et nuisible, mais avec le temps, cela disparaîtra. Aujourd'hui, il est clair qu'une nouvelle croyance, fondée sur la peur de l'invisible et tout à fait immunisée contre la raison, a pratiquement pris le dessus sur le pays. Et il s'avère que c'est l'une de ces religions qui ne tolèrent pas beaucoup ceux qui ne la partagent pas. Ses évangélistes ne nous laissent pas de répit, mais tirent sur la corde pour nous forcer à les rejoindre. C'est pourquoi je fais tant d'histoires sur l'injonction des muselières pour tous. Ce n'est pas une question de santé. C'est une question de pouvoir et de liberté, et cela a de moins en moins à voir avec le Covid-19. Cette obsession de nous dire à quoi il faut ressembler et de nous transformer d'humains normaux en animaux de troupeau soumis et sans bouche, tous sanglés dans un uniforme obligatoire, fait partie, à mon avis, d'une attaque sans précédent contre notre liberté personnelle en général. Restez chez vous. Arrêtez de travailler. Ne voyez pas vos amis ou votre famille. Soumission, soumission, soumission. Habituez-vous à ce qu'on vous dise ce que vous devez faire. Il semble que nous soyons vraiment devenus une nation de masochistes capitulards."Quelle est la position du psychanalyste sur ce qui ressemble à s’y méprendre à une "pulsion de soumission"?
Ce que peut nous permettre de déduire la psychanalyse de l’"aliénation", autrement dit l’assujettissement du sujet, c’est que "l’état d’urgence" n’est pas l’exceptionnel mais la règle, que s’il n’y avait pas le langage il n’y aurait pas de maître, que le maître ne s’est pas donné par la force ou simplement parce qu’il commande, mais le langage existe et vous obéissez, et même si vous transgressez, vous continuez d’obéir.
Face au "méfie-toi de ton prochain plus que de toi-même" de la nouvelle religion scientiste, la psychanalyse réaffirme le commandement indépassable du "aime ton prochain comme toi-même" en tant qu’il est l’horizon ultime de l’éthique.
Voici ce qu’en disait Lacan en 1960, à l’université de Bruxelles alors qu’il faisait à Paris son séminaire sur L’éthique de la psychanalyse (extraits choisis):
"Aime ton prochain comme toi-même"
Tout est dans le sens du "comme toi-même" qui achève la formule, et la passion défiante de celui qui démasque arrête Freud devant ce "comme".
C'est du poids de l'amour dont il s'agit, car il sait que l'amour de soi est bien grand.
Il le sait supérieurement, ayant reconnu que la force du délire est d'y trouver sa source.
...
Cette force est celle qu'il a désignée sous le nom de narcissisme et qui comporte une dialectique secrète où les psychanalystes se retrouvent mal.
...
"Je m'aime moi-même" sans doute, et de toute la rage collante où la bulle vitale bout sur elle-même et se gonfle en une palpitation à la fois vorace et précaire, non sans fomenter en son sein le point vif d'où son unité rejaillira disséminée de son éclatement même.
...
Mais ce que j'aime en tant qu'il y a un moi, où je m'attache d'une concupiscence mentale, n'est pas ce corps dont le battement et la pulsation échappent trop évidemment à mon contrôle, mais une image qui me trompe en me montrant mon unité dans sa Gestalt, sa forme.
Je m'aime moi-même en tant que je me méconnais essentiellement.
Je n'aime qu'un autre.
Rien d'étonnant à ce que ce ne soit rien que moi-même que j'aime dans mon semblable.
...
Rien d'étonnant que l'homme ne fasse rien passer dans cet altruisme que son amour-propre.
...
Le moi est fait, Freud nous l'enseigne, des identifications superposées en matière, en manière de pelure : cette sorte de garde-robe dont les pièces portent la marque du tout-fait si l'assemblage en est souvent bizarre.
Des identifications à ses formes imaginaires, l'homme croit reconnaitre le principe de son unité sous l'espèce d'une maitrise de soi-même dont il est la dupe nécessaire.
...
Seule sa grimace, sa souplesse, sa désarticulation, son démembrement, sa dispersion aux quatre vents, commencent d'indiquer quelle est sa place dans le monde.
...
Voici la réponse de la Chose quand nous n'en voulons rien savoir : elle non plus ne sait rien de nous.
...
Tel est le commandement de l'amour du prochain et contre quoi Freud a raison de s'arrêter, interloqué de son invocation par ce que l'expérience montre : ce que l'analyse a articulé comme moment décisif de sa découverte, c'est l'ambivalence par quoi la haine suit comme son ombre tout amour pour ce prochain qui est aussi de nous ce qui est le plus étranger.
...
Ai-je réussi seulement à faire passer en votre esprit les chaines de cette topologie, qui met au cœur de chacun de nous cette place béante d'où le Rien nous interroge sur notre sexe et notre existence ?
C'est là la place où nous avons à aimer le prochain comme nous-mêmes, parce qu'en lui cette place est la même.
Rien n'est assurément plus proche de nous que cette place"...
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Méfie-toi de nous de Juliette Bonte
[Chronique roman - Angie] Mon #avis sur Méfie-toi de nous de @JulietteBonte @juliettebonte paru chez @CollectionEt_H : Une histoire aussi lumineuse que sombre dont j’ai totalement accroché, complètement addictif. Un coup de cœur.
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Nombre de pages : 648 pages Editeur : Harlequin Collection : &H New Adult Date de sortie : 05 Juin 2019 Langue : Français ISBN-10: 2280419394 ISBN-13: 978-2280419390 Prix éditeur : 17.90€ Disponible sur liseuse : Oui à 9.99€
De quoi ça parle ?
Il est prêt à tout lui donner. Elle n’a plus rien à offrir. Wade n’a peur de rien. Il a toujours avancé seul, sans…
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