#communauté Emmaüs

[choses-dingen]

Abbé Pierre : l'omerta, in fine, salit tout et tous Béatrice Delvaux dans Le Soir

L'abbé Pierre est devenu un superhéros car il a fait d'hommes et de femmes au passé complexe des gens à l'avenir flamboyant. Il est devenu un superhéros puisqu'il nous a laissé un héritage puissant fait de valeurs fortes. » Ces mots-là, sincères et émus, ont été rédigés il y a quelques mois par une personnalité populaire en préface à une BD destinée aux jeunes pour porter et répandre le message de l'abbé et, par la même occasion, récolter de l'argent pour sa Fondation. Mais las, "L'abbé Pierre, une vie pour les autres" devrait être rebaptisé "L'abbé Pierre, une vie de prédation sexuelle". Terrible descente de piédestal, insupportable destruction d'une icône, incommensurable rage surtout : c'est ce qui submerge suite à ce flux des révélations extrêmement lourdes des dernières semaines.

Cet été, lorsque les faits d'abus (viols, attouchements, harcèlement) sexuels concernant le fondateur des communautés Emmaüs ont été mis au jour, nombreux avons-nous été à ne pas croire à ce qui tenait d'un canular de très mauvais goût, touchant à une icône. Les premières informations parues en 2009 n'avaient, elles, ému personne. Mais la réalité s'est enfin imposée, avec la multiplication des témoignages et des documents attestant, comme dans tant d'autres cas, de l'omerta et de la protection de proches de l'abbé, de fidèles et de sa hiérarchie : tout un réseau niant et négligeant les femmes victimes pour préserver un prédateur puissant et intouchable vu son aura, mais aussi son organisation et son institution - l 'Eglise - qu'il était hors de question de salir.

Pas de moutons noirs chez nous : c'est ce qu'on a longtemps défendu dans le cinéma, la politique, la littérature avant d'être mis devant la sinistre réalité. L'Eglise catholique a fait de même, minimisant les dossiers révélés et continuant aujourd'hui à cultiver une certaine opacité et le déni des réformes structurelles qui permettraient d'enrayer un système qui laisse tant de ces crimes impunis et de victimes en souffrance. C'est ce que disait la semaine dernière la lettre adressée au pape François par plusieurs victimes belges d'abus sexuels commis au sein de l'Eglise, en vue de sa visite dans notre pays fin septembre. S'ils reconnaissent ses prises de position plus tranchées et sa contribution «à la reconnaissance de ce désastre » au fil de son pontificat, les auteurs pointent le long chemin encore à parcourir. Ils plaident pour une parole adressée directement par le pape aux victimes, mais aussi pour un mandat donné aux évêques pour la mise en place de groupes de travail de fond, la clarté sur le financement dans le processus de réparation et une vraie réflexion sur le célibat des prêtres. Le cas « abbé Pierre » est un séisme dont on espère qu'il servira d'un rappel de même amplitude de l'irresponsabilité folle et la culpabilité lourde de ceux et celles qui taisent et cachent les abus commis par qui que ce soit, et où que ce soit : leur silence ne protège rien, il salit in fine tout, et tous. Le comble étant ici que c'est au prétexte de permettre à un « saint homme » de faire le bien que l'omerta a couvert le mal.

L'Eglise et Emmaüs étaient au courant des abus sexuels de l'abbé Pierre Pour l’avocate française Antoinette Frety, l’abbé Pierre a bénéficié d’une culture du silence et d’une remise en cause de la parole des enfants et des femmes bien spécifiques au cadre religieux. Le Vatican était au courant des agressions sexuelles commises par l’abbé Pierre depuis des années, selon le pape François

De retour d’un voyage en Asie, le chef de l’Eglise catholique a reconnu que Rome était au courant des violences sexuelles perpétrées par le fondateur d’Emmaüs, au moins après sa mort. Il a appelé à la transparence et condamné des faits « démoniaques ».

Le Monde 13-09-2024

[lonesomemao]

NE TUONS PAS SAINT-MICHEL

Deux communautés

Emmaüs du Nord

Visées par une enquête

De traite des êtres humains

Sur la photo

Saïd Bouamama

Qui islamo-gauchisme

Révolution Africaine

S'empare de l'oeil noir

De la Cagoule

En brejnévien opposé au mitterrandien

mardi 23 janvier 2024

[jpbs12]

Nieppe : le site Emmaüs toujours bloqué, la direction favorable à une médiation (lavoixdunord.fr)

“Le mouvement de grève initié le 30 septembre par six compagnons sans-papiers soutenus par la CGT se poursuit à la communauté Emmaüs de Nieppe. Ils sont six, installés au bout du chemin menant à la communauté Emmaüs de Nieppe sous un barnum de la CGT. Les six compagnons, tous sans papiers, ont entamé ce lundi leur quatrième semaine de grève, sur fond de demande de régularisation et d’accusations…

[toutmontbeliard-com]

PMA, Groupe I&S : "Poubelle l’avis"

Le groupe "Indépendants et Solidaires", siégeant à Pays de Montbéliard Agglomération, s’exprime : "A l'heure où les premiers ramassages des poubelles jaunes devaient débuter, la grève des agents du service collecte des déchets démontre toute l'impréparation et la précipitation liées au choix de la mise en place de ce nouveau système de collecte Si on y ajoute les conséquences financières pour PMA qui se reporteront dans un an sur l'usager, et celles qui impactent la communauté Emmaüs, on ne peut que regretter que le choix du bac jaune ait été précipité. Financièrement parlant, l'équipement en bacs jaunes n'est pas gratuit loin s'en faut. Si malgré nos demandes nous n'avons pas réussi à connaître le coût réel de la distribution des poubelles jaunes, le budget 2022 annonçait un coût d'acquisition à environ 3 millions d'euros. On connaît le coût supplémentaire du traitement des papiers et cartons qui s'élève à 600 000 € en passant par le SYTEVOM à Noidans-le-Ferroux (Syndicat mixte à vocation unique pour le Transfert, l'Elimination et la Valorisation des Ordures Ménagères) incluant les coûts induits pour transporter ces déchets 150 km aller-retour. Coûts supplémentaires qui seront bientôt reportés sur la facture des usagers. Quant aux conséquences pour les Emmaüs, le choix de la poubelle jaune met en péril l'existence de la communauté sur notre territoire. En effet, Le traitement des papiers et cartons leur était jusqu'alors confié. Malgré les promesses faites par le président d'agglomération lors du conseil du 10 mai 2022, aucune solution n'a été trouvée à ce jour permettant de neutraliser le manque à gagner et surtout la perte de charge de travail. La communauté Emmaüs a par ailleurs lourdement investi : 300 000 € pour le terrain à Fesches-le-Châtel et 500 000 € pour l'aménagement et l'achat de matériel pour continuer cette activité de traitement. Ce travail est essentiel à son existence puisque c'est son activité principale. Il n'y avait pas d'urgence à choisir ou non la solution des bacs jaunes. Le temps aurait permis de mesurer l'efficacité de la redevance incitative, de mettre en place une communication approfondie, de prendre en compte l'avis de la population et de laisser aux services le temps et les moyens de mettre en œuvre sereinement les changements nécessaires". Read the full article

[gregor-samsung]

I Feel Good (Gustave Kervern, Benoît Delépine - 2018)

[toutplacid]

Entrée de l’espace de vente de la communauté Emmaüs 24 à Chamiers, rue Gustave-Eiffel ; à l’arrière-plan, cuve de produits chimiques du site industriel Eurovia – gouache format A3, septembre 2018 Exposition « Chamiers sur le motif », espace culturel François-Mitterrand, 2, place Hoche, 24000 Périgueux, du 12 septembre au 11 octobre, avec l’exposition contigüe de Pierre Maurel, au même lieu et aux mêmes dates : « Passe-misère ».

[claudehenrion]

Les “pastèques”… et le goupillon ( II )

  On nous avait promis une “vague verte durable’‘ : gageons que la démonstration de la capacité destructrice des maires verts, dégoûtera ’'durablement” les électeurs qui hésiteront à remettre un bulletin EELV dans les urnes en 2022 : il n'a pas fallu attendre longtemps pour toucher du doigt leurs limites. Comme ils l'ont fait à chacune des élections précédentes, nos écolos en peau de lapin ont, un mois à peine après avoir été élus avec des scores qui sont un défi à une vraie démocratie, commencé à se déchirer à coups de noms d'oiseaux (pauvres oiseaux, si jolis !). Jusque là, rien que de très habituel, et on aurait même été étonné du contraire.

  Là où les choses se corsent, c'est que l'analyse des résultats de ces “législatives” débouche sur des constatations étranges : plusieurs des élus EELV de couleur  “pastèque”, qui sont tous totalement opposés à tout ce qui vient de notre civilisation chrétienne, se présentent comme des “cathos”, en assumant une foi chrétienne et des parcours religieux ou spirituels qui sont en opposition complète avec leur positionnement idéologique. Le profil-type de ces nouveaux édiles a en effet de quoi surprendre : hommes ou femmes blancs, âgés d’une quarantaine d’années, diplômés, “CSP +”, très politisés à gauche mais se disant catholiques… alors que le lien qui pourrait exister entre la croix et l’écologie politique est tout, sauf évident.

  Vanessa Jérôme, sociologue et spécialiste de l’écologie politique et des Verts, explique : ’’A priori, on ne voit pas bien comment ça peut faire sens (ce charabia n'est, bien sûr, pas de moi !) car EELV a très vite pris position dans les débats de société. Mais il y a eu des catholiques dans toutes les générations de militants, et des Verts venus de la gauche catho ont irrigué le monde associatif et politique : anciens des JOC, JAC et JEC (les jeunesses ouvrières, agricoles et étudiantes catholiques), ils ont participé aux communautés Emmaüs, citent en exemple les prêtres ouvriers, parlent de leur engagement politique et philosophique et se disent opposés aux valeurs qui sont considérées normales par ceux qui tentent de l'être’’.

  On les a retrouvés par la suite dans tous les combats pour de mauvaises causes, du MRJC à la CFDT, du PSU au Larzac et de l'Arche de Lanza del Vasto à l'écologie politique, toujours assimilant les combats de la Gauche extrême au “Bien”, et toujours mélangeant la protection de la planète avec des interprétations fumeuses, partisanes et engagées du droit-de-l'hommisme le plus déconnant.   (NDLR - Fidèle à son “modus bluffendi”, -du très mauvais latin pour dire “habitude de mentir”- la Gauche croit résoudre les problèmes en changeant le sens des mots et en donnant à chaque chose la non-définition qui lui convient à ce moment-là).

  Il faut se souvenir que la pensée dominante des années '70 avait aussi été  gravement troublée par une confusion impossible entre ‘’chrétien’’ et “de Gauche” (petit rappel : “être de Gauche” implique le refus de toute “soumission de la raison à l'existence de dominations extérieures à elle”, ce qui exclut toute religion, par cette idéologie). D'un autre côté, l’encyclique “Laudato si” ( = “Loué sois-tu”) a pu troubler des militants qui se sont cru renforcés dans leur double conviction, mais cela n'est pas suffisant pour expliquer l'inexplicable : une double conviction, une double fidélité, un double engagement… appartiennent au monde des idées, pas à celui des réalités, et nous payons assez cher le fait que nos dirigeants croient à la possibilité d'une “double nationalité” que, dès mai 1993, mon ami le roi Hassan II avait démontré impossible. Aujourd'hui, dans la nécessaire recomposition idéologique des droites, l’écologie politique est un nouveau front culturel où fleurit un discours “ultra-réactionnaire de Gauche”, ce qui est un comble.

  La relève et la jeune garde jouent sur les codes hédonistes de la contre-culture des années 60 et manipulent des références philosophiques et littéraires éclectiques : Bernanos, Debord, Pasolini, Orwell, Ellul, Latouche ou Simone Weil (la vraie, pas celle qui est au Panthéon). Avec ces “chrétiens à sincérités variables”, le temps où une Christine Boutin défendait les convictions catholiques la Bible à la main est passé. Leur porte-étendard est la revue trimestrielle “Limite – Revue d'écologie intégrale” (fondée en 2015), Dans l'intention, Limite dit vouloir œuvrer pour la prise de conscience écologique, en promouvant la sobriété, la relocalisation, la convivialité et la fraternité, ce qui sonne très joliment. Pourtant, l'opposition totale entre ces intentions et les actes des écolo-cathos élus récemment fait que l'une de leurs deux sincérités manipule forcément l'autre. J'ai mon idée sur “qui fait quoi’' !

  Partie intégrante de notre civilisation judéo-chrétienne (tout le chapitre 1 de la Genèse lui est consacré, et de quelle belle manière), l'écologie fait aussi partie du patrimoine spirituel de la Droite, au point que tous les  socialistes historiques et pré-historiques ont tous été vent debout contre tout ce qu'elle représentait. Et le concept idéologique d’écologie intégrale est indiscutablement un concept ’'de Droite” (Alain de Benoist, le Grece, Charles Champetier). Le bimestriel d’idées  “Eléments” appelle d'ailleurs “au dépassement de l’anthropocentrisme moderne et à la conscience d’une co-appartenance de l’homme et du cosmos”, rejette la “religion des droits de l’homme” et dénonce le “péril de l’immigration”. Ce n'est qu'à partir de1981  que l’écologie intégrale, politisée, s'est imposée (René Dumont, Philippe Lebreton), recomposition idéologique qui pourfend le judéo-christianisme et développe une critique virulente de l’individualisme libéral. En résumé, une écologie de droite est soucieuse de la nature, et une autre, de Gauche, privilégie les idéologies “sociétales” et le “droit-de-l'hommisme”. En revanche, les limites sont plus floues entre ce qui est “catho” et ce qui ne l’est pas : mensonges, faux-semblants et affirmations infondées volent bas…

  Loin d’être un sujet de conflit entre cathos ultras et néo-païens, la récupération du terme “écologie intégrale’’ est l’objet d’une convergence inattendue (Chantal Delsol et Eugénie Bastié dans Elements), et même le pape François s’est mis à l’écologie intégrale avec Laudato si (2015) sur la sauvegarde de la maison commune, ’'pour articuler la crise climatique et les inégalités sociales”, le lien entre ces deux éléments n'étant pas facile à trouver, alors que l'église “post covid” semble être à la recherche d'un “anthropocentrisme catholique où l’homme est le gardien de la création de Dieu et doit protéger la Nature pour la restituer telle quelle”… (explique Ludovic Bertina, sociologue à l’IMT Atlantique (transition énergétique et sociétale) et auteur d’une thèse sur l’Appropriation du référent écologiste par le catholicisme en France).En fait, tout se passe comme si elle traversait une crise qui lui fait chercher à redéfinir sa foi, à douter de ses racines, et à remettre en question ses ultimes chances de “remonter la pente” en restant ce qu'elle doit être. Et la folie suiviste qui a contaminé sa hiérarchie, en France, peut faire craindre le pire : c'est le dangereux Delfraissy qui fixe les nouveaux canons (pas très ‘’canon’’) de la messe : liturgies du masque et du gel, communion à la main uniquement, sous peine d’assister à une crise de nerfs de l’officiant (je l’ai vu !).’’Noli me tangere’’, avait pourtant dit Jésus à Marie-Madeleine… 

  Dans la ligne de mire des ayatollahs de EELV, des bobos de En Marche et de qui veut grappiller des voix aux élections, tout le monde regarde vers ces “catholiques d’ouverture”, moins intransigeants sur la famille, les valeurs, les questions de bioéthique… ou les écritures, mais plus attentifs au respect de la dignité apparente des êtres humains. Décidément, rien n'est simple, dans le monde actuel ! Pourtant, que les protagonistes soient paléo-cathos, cathos-“Limite”, néo païens, francs maçons ou nostalgiques du grand soir, un critère séparateur reste toujours valable : l'intelligence. Or, qu’ils soient cathos ou pas, nos nouveaux élus lui ont tourné le dos, délibérément. Contre la croix, qu'ils invoquent, ils ont choisi le sectarisme le plus rétrograde, au point qu'il est possible d'affirmer aujourd'hui que les rites d'une ‘’iso religion hygiéniste sans fondements” remplacent peu à peu les anciens rites catholiques et des pratiques à la fois millénaires et toujours actuelles. D'aucuns, dont je suis, s'en remettent très difficilement, et préféreraient abandonner au coronavirus ce qui est à lui (?), et garder pour Dieu… ce qu'on lui doit bien !

H-Cl.

[forgethemaker]

Yesterday I bought this 30€ Shade amp in a french pawn shop (not really a pawn shop, it’s an Emmaüs Community). I don’t know if it works. I guess no... Shade is a brand from the Garen factories. It was a try to modernize their amp catalogue with new products using american name. This one is a Shade Kansas. Not truly a guitar amp, but more like a tube PA system. I think it may be interesting to make a great little guitar preamp and using that linear power amp to have a huge volume... I’ll try... 

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Hier, j’ai acheté pour 30€ un ampli Shade dans une communauté Emmaüs près de chez moi. Je ne sais pas s’il marche, mais je ne me fais pas trop d’illusions. Shade est une marque fabriquée par les usines Garen. Il était alors question de moderniser le catalogue des ampli avec des nouveaux amplis plus “modernes” utilisant des noms américains. Celui-ci est un Shade Kansas. Pas vraiment un ampli pour guitare, il s’agit plutôt d’un ampli à lampe qui sert de sono. Je pense qu’il devrait pouvoir être intéressant de mettre un petit préamp de guitare en amont afin d’utiliser l’ampli de puissance linéaire de cet ampli et d’avoir un gros volume... Je ferai des essais.

[complies]

Vie de Jude, frère de Jésus - Françoise Chandernagor - Troisième Livre

Discussions entre les disciples le lendemain de la mort de Jésus, plusieurs s'en vont, Marie de Magdala, elle, veut rester pour effectuer le deuil de sept jours. Jude, qui est son ami, est mandaté par Jacques pour rester auprès d'elle et s'assurer qu'il 'e lui arrive rien. C'est Marie de Magdala qui sait, parmi les apôtres, où le corps a été déposé.

Dans cette version, Marie de Magdala fait le récit seulement à Jude de la rencontre avec "le jardinier" et c'est lui qui le racontera aux autres disciples après Emmaüs. Elle a raconté seulement que le tombeau était vide. Pierre rencontre Jésus au bord du lac, de retour en Galilée.

Ce qui préoccupe les apôtres est de prouver que ce n'est pas le fantôme de Jésus qui apparaît, pour cela il faut qu'il mange devant eux (ce qui sera le cas au bord du lac, en Galilée, mais pas avec Marie de Magdala ni à Emmaüs - il disparaît après la fraction du pain mais avant de le manger !).

Emmaùs signifie "ville de source d'eaux chaudes".

Marie, aveugle, ne reverra pas son fils ressuscité. (Elle n'est pas présente à la Pentecôte non plus même si elle retrouve la vue à ce moment là).

Après l'apparition de Jésus en Galilée, toute sa famille vend tous ses biens et se rassemble à Jérusalem, jusqu'à la lapidation de Etienne.

Disputes entre les disciples car Jude et Mathieu tiennent les comptes de la communauté, or, si le Royaume arrive demain, nul n'aura plus besoin d'argent. La communauté vit des dons faits par ceux qui se convertissent. Il y a aussi des "dons" de veuves et autres parents à charge (car honorer ses parents est un des commandements), dont ne peuvent plus s'occuper les "nazaréens" convertis et qui créera le besoin de la diaconie.

Jude est chargé d'étudier les textes, auxquels il peut accéder par ses liens avec les Esséniens, il trouve les allusions des prophètes (Osée, Malachie, Michée, Zacharie, Jonas, Sophonie, David et Daniel).

Après la mort d'Etienne, la diaconie des hellénistes se disperse.

Le livre se clôt sur la mort de Marie, qui espère que son fils aîné va lui parler... Jacques la rassure en lui disant que " le temps n'est rien pour le Très-Haut. Tu ne dormira qu'un instant, mère, et, quand tu rouvriras les yeux, nous serons déjà avec toi, dans la félicité du Royaume."

[jpsy-s-wall]

Emmaüs Escalquens 3 day work / red/black/white / brush 

Merci pour l’accueil et pour votre incroyable communauté !!!! 

[junghwwwa]

Le dernier film du duo Delépine/Kervern, I feel good, est assez inégal. La satire anti libéralisme est plutôt bien sentie, incarnée à l’écran par un Jean Dujardin (dans le rôle de Jacques) à la fois parfait en abruti et un brin trop cabotin. Le contraste avec la communauté Emmaüs où travaille la sœur de Jacques, Monique (Yolande Moreau) est également bien vu. On trouve là toute une équipe de bras cassés qui retape des objets pour se retaper eux-mêmes, satisfaits de leur sort modeste, à l’opposé d’un Jacques aux folies des grandeurs dont la seule ambition est d’être riche à tout prix. Cela donne lieu à une série de petits gags et dialogues assez amusants mais on est quand même assez agacé par la suffisance crasse de son protagoniste. Les bons sentiments de sa sœur aimante peine quand même à contrebalancer tout cela, ou au contraire trop. Le twist final est tout de même drôle et on se laisse porter par le générique de fin interprété par Zebda et une morale humaniste bon enfant où Dujardin à défaut de tomber la chemise aura tombé le costume. 

[andrewrossiter1]

L’Ascension

Prédication pour l’Ascension 26 mai 2022 Hébreux 10.19-23, Luc 24.46-53

J’ai longtemps pensé que l’Ascension était incompréhensible. Jésus monte au ciel, il disparaît, et nous restons en bas. Un peu moche ! Juste au moment que les disciples avaient le plus besoin de lui, il s’en va.

Ils restaient seuls avec leurs questions, leurs incertitudes et en plus une mission à remplir. Les Évangiles écrits bien après les événements montrent que les disciples n’ont toujours pas compris qui était vraiment Jésus et exactement ce qu’il voulait qu’ils fassent. Ils sont partis sur les routes de Palestine et jusqu’à Rome, c’est sûr. Ils sont allés prêcher, guérir et former les communautés. Mais le doute restait, les questions leur poursuivaient.

Plus tard j’ai compris que l’Ascension était pour les disciples et non pas pour Jésus. L’Ascension n’était pas le couronnement du ministère de Jésus, ni la fin de son travail. J’ai compris que l’Ascension était un passage de main de Jésus vers les disciples. «Je diminue pour que tu grandisses».

Maintenant je pense qu’il y a encore autre chose dans l’Ascension, plus réel et plus profond. Nous venons de lire le récit dans l’Evangile de Luc et nous savons que le même auteur a écrit une suite, un deuxième livre, les Actes des Apôtres. Dans son Évangile, Luc décrit tout ce que «Jésus a commencé à faire et dire», c’est-à-dire qu’il n’a pas encore fini. Luc continue l’histoire de Jésus comme actif dans le monde et guérissant les gens, en Actes 9.34 Pierre déclare, «Enée, Jésus-Christ te relève et te guéris». 

En son nom, oui, mais encore plus, Luc a la conviction que Jésus accompagne encore ses disciples dans leur ministère.

Luc ne s’intéresse pas de savoir où est Jésus, qu’il soit au ciel, à la droite de Dieu ou ailleurs mais qui il est. L’Ascension le proclame Messie et Seigneur de tout le temps.

Jésus vient le soir, c’est souvent le soir, ce qui indique à la fois l’absence de lumière, dans l’ombre, l’incertitude, le doute. Le soir, on voit moins bien, moins loin. Le soir c’est aussi le commencement d’un nouveau jour. Les juifs considèrent que le soir est le début du jour suivant. Dans ces moments où nos esprits s’endorment, où la nouveauté nous semble encore loin, voila le moment propice que Jésus choisit de se manifester dans nos vies.

Il arrive parmi eux: les deux disciples sont de retour après leur rencontre avec le ressuscité à Emmaüs. Ils se rendent compte que Jésus est encore avec eux, mystérieusement, prêt à les rencontrer dans leurs vies, leurs questions et leurs doutes. Jésus vient et il dit ce qu’il a fait parmi eux. Encore une fois il essaie de prendre le temps avec eux pour qu’ils comprennent. Il leur dit qu’il est le serviteur de Dieu, que les choses qui se sont passées sont dans l’ordre des choses. Que par sa mort et sa resurrection d’autres personnes vont venir voir la vérité.

Mais il ne s’attarde pas sur le passé, il se tourne vers eux qui représentent ce qui va venir. C’est ces hommes et femmes qui sont la suite du ministère de Jésus. Ils sont ses témoins. Un témoin est quelqu’un qui a vu et qui a vécu l’événement. Mais ce n’est pas tout, si le témoin n’en parle pas, il n’est pas témoin mais un simple spectateur. 

Un témoin est celle et celui qui rende compte de ce qui était vécu. Et ce que qui était promis pour Jésus sera aussi bon pour ses disciples. L’objectif est que ceux et celles qui suivent Jésus le font en toutes circonstances aussi bien dans les joies que dans les épreuves.

Ils ne seront pas laissés seuls, la bénédiction de Jésus les accompagnera deux fois et puis à leur tour ces hommes et femmes retournent à Jérusalem pour «bénir» Dieu. Là où Luc a démarré son Évangile, dans le temple il le termine. L’histoire de Jésus est pour nous dire qu’en cet homme Dieu a vécu parmi nous. Telle sa présence était tangible pour le peuple juif dans le Temple de Jérusalem, il est maintenant avec nous où que nous soyons. Pour que cette bénédiction se réalise pleinement il faut attendre la venue du Saint-Esprit.

Entre-temps Jésus les renvoie à Jérusalem jusqu’au moment de recevoir cette puissance. Il faut attendre et ils ne savaient pas pour combien de temps.

Attendre, ce n’est jamais facile. 

Attendre pendant la pandémie pour pouvoir sortir, et puis enlever nos masques et reprendre le cour de nos vies. Pendant ce temps d’attente nous nous posions la question, «pour combien de temps?»

Attendre, que Poutine se rend compte qu’il ne peut pas facilement s’emparer d’un pays autonome quand il veut.

Attendre anxieusement comme les demandeurs d’asile pour une réponse à leur dossier.

Attendre n’est jamais facile mais très souvent nécessaire et même salutaire.

Luc nous dit que le groupe de disciples attendait ensemble dans la prière. Est-ce qu’ils se préparaient pour la venue promise de l’Esprit? Est-ce qu’ils se trouvaient ensemble pour se donner du courage?

Quelle que soit la raison, ce temps d’attente leur a permis de mieux saisir l’extraordinaire événement de la Pentecôte.

Dans notre monde où la place et la pertinence de l’Église est mise en question, où moins de personnes se disent « croyants » où « chrétiens », quel est le sens de l’Ascension? Nous ne pouvons plus parler d’un univers en étages où Dieu se teint quelque part au-delà des nuages. Mais nous pouvons témoigner de ce que nous avons vécu dans notre foi et dans nos cœurs - que l’incroyable puissance de Dieu a changé des vies. 

Que des personnes blessées, malmenées, abandonnées ont été relevées. 

Que les membres de nos églises ont trouvé le courage d’en parler et de montrer que Dieu est actif dans ce monde.

L’attente n’est pas seulement une question de temps, mais surtout c’est une attitude à adopter. 

Attendre n’est pas attendre vaguement que quelque chose va se passer.

Attendre dans la prière, car nous savons par la promesse et la bénédiction de Jésus que nous allons être vêtu d’une puissance qui œuvre en silence dans les profondeurs de notre vie.

[manieresdedire]

Une École d'humanité

Pont (Larousse : symbole d'une relation, d'un lien,...etc.)

Habibou, Félix, Abdel-Karim, Bésart, Jafar, José, Carmen, Patrick, Assani, Alman, Pascal, Aguidan, Géraldine, Nouredine, Jacques, Bissan, Elodie... Comme si le Monde s'était donné rendez-vous à Albi, précisément, 119 route de Terssac, au sein d'un atelier Emmaüs d'insertion et de beaucoup plus que cela.

Ils ont fuit la guerre ou la misère, les persécutions... Elle, vivant chichement en Europe orientale, a voulu revoir un frère qui ne donnait plus de nouvelles. Lui, Lorrain, au décès de sa mère, s'est rapproché d'un père parti depuis trop longtemps. Eux, à la recherche d'une formation professionnelle, d'un emploi, ont quitté la France d'outre-mer, le moyen Orient, l'Afrique… Ils sont seuls, ou le plus souvent en famille. Ils ont entre 24 et 55 ans. Ils ont souffert mais ont gardé leur dignité. Certains éprouvent toujours peine et inquiétude parce que des parents sont restés au pays, exposés à bien des périls.

Ils viennent des Comores, de Mayotte, d'Irak, de Saint-Martin, du Kosovo, du Soudan, de Roumanie, de Syrie, de Centrafrique, de Tchétchénie... de quelque part en France.

Certains, étrangers, sont passés par la Turquie, la Méditerranée, l'Allemagne, Calais, Paris, Toulouse, Gaillac,... ont connu bien des mésaventures avant d'arriver jusque-là. Leurs enfants sont nés en France ou ont voyagé avec eux. Ils aident ceux qui vivent toujours confinés au loin. Ici, ils ne recherchent pas forcément la compagnie de leur communauté. Elle peut être un frein à leur autonomie, à l'apprentissage du français, estiment-ils.

Ils veulent "vivre d'un métier dans ce beau pays" s'enflamme Carmen, roumaine, dont la mère aimait l'opéra. L'objectif immédiat, apprendre ou ré-apprendre à travailler, l'électronique, la mécanique, en équipe, avec des collègues, des chefs, des formateurs, des horaires fixes. L'industrie, le bâtiment, le commerce, les transports, ne leur font pas peur. Ceux qui ont découvert récemment le français, l'étudient d'arrache-pied dans d'autres structures albigeoises. Ils resteront en Occitanie ou remonteront en Île de France, titulaires d'un permis de conduire, auto, poids-lourd ou transport en commun. Quelques-uns, plus tard, repartiront dans leur région d'origine. Plusieurs veulent devenir chauffeur, de courte ou de longue distance, à discuter en famille. Parfois ils ont acquis "chez eux", une formation d'excellent niveau et n'auront pas de mal à rejoindre des équipes de travail.

Ils sont tous courageux, sympathiques, souriants, font l'effort de parler dans un français parfois hésitant, échangent ensemble dans cette langue qui forge le premier lien entre eux. D'autres, chez eux, ici depuis toujours, se préparent à un rebond après "un sérieux creux, un moment de détresse" confie José qui rêve de monter sa petite entreprise.

Jean-Claude, le chef d'atelier dit que l'attitude des stagiaires est bien dans l'esprit de la réinsertion, "après ce qu'ils ont connu, enduré, ils ne vont pas gâcher l'ambiance, il y a de la solidarité, de la fraternité, du plaisir...". Son mot d’ordre :"garder le sourire !". José, ajoute : "Nous savons d'où nous venons, nous n'allons pas nous nuire !". Pour Carmen, c'est facile : "la France c'est le pays de la chance". Patrick a fait le bon choix : "j'aime le Tarn, j'y resterai, l'accueil y est plus chaleureux qu'ailleurs" dit-il.

L'entreprise "Emmaüs Insert" ? Elle a le souci des autres, de toutes les femmes, de tous les hommes. Ses valeurs se cultivent au quotidien dans l’atelier et feront école encore, après que les collaborateurs en insertion auront quitté la route de Terssac. Avec un emploi, une formation, avec, en tout cas, un projet personnel bien mûri.

Yves Rebouillat

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Homélie du 3è dimanche de Pâques - Année A -

Frères et sœurs,De quels événements ?Jésus rejoint, de manière incognito, les deux disciples qui vont route vers le village d'Emmaüs. Ils font marche arrière après l'aventure qu'ils viennent de vivre à Jérusalem, mais aussi sur les routes de la Judée, de la Samarie, de la Galilée. Ils croyaient avoir rencontré le Messie attendu, le Sauveur, l'Envoyé de Dieu. Mais, leur foi et leur espérance se sont arrêtées à la tombe du Crucifié. Tout est fini. Tout espoir est perdu. Tous les rêves, les espérances, se sont anéantis dans la mort de ce Jésus de Nazareth rendant son dernier soupir sur la Croix du Golgotha.Et pourtant ?N'est-ce pas dans ces blessures, dans ces épreuves, dans cet abaissement, dans ce dénuement, que Dieu se révèle vraiment comme le Père de toute miséricorde ? En son Fils Jésus, qui donne librement et gratuitement sa vie, toute sa vie sur la Croix pour faire « jusqu'au bout la volonté du Père », Dieu se révèle dans sa véritable identité : une puissance d'amour, une puissance de bonté, une puissance de justice, une puissance de salut. En son Fils Jésus, Il vient nous rejoindre, nous chercher, au cœur de nos confinements, au cœur de nos épreuves, au cœur de nos détresses, au cœur de nos peurs et de nos angoisses, pour nous ouvrir le chemin de la Liberté et de la Vie qui ne finit pas.Sommes-nous vraiment conscients que le Dieu en qui nous mettons notre espérance et notre confiance est ce même Dieu qui nous rejoint à la fois dans la prière de l'Eucharistie et dans le sacrement du frère. En effet, en se laissant reconnaître lors de la Fraction du Pain, et en disparaissant aussitôt à leurs yeux, Jésus-Christ nous révèle que le sacrement de l'Eucharistie et le sacrement du frère sont du même ordre parce qu'ils ne peuvent se comprendre et se vivre qu'en étant articulé l'un à l'autre. C'est ce que nous disait St Jean Chrysostome au 4e lorsqu'il écrivait : « Veux-tu honorer le Corps du Christ ?… Ne commence pas par le mépriser quand il est nu. Ne l'honore pas ici avec des étoffes de soie, pour le négliger dehors où il souffre du froid et de la nudité. Car celui qui a dit : Ceci est mon corps, est le même qui a dit : Vous m'avez vu affamé et vous ne m'avez pas nourri. Quelle utilité à ce que la table du Christ soit chargée de coupes d'or, quand il meurt de faim ? Rassasie d'abord l'affamé et orne ensuite sa table. Tu fabriques une coupe d'or et tu ne donnes pas une coupe d'eau.

En ornant sa maison, veille à ne pas mépriser ton frère affligé : car ce temple- ci est plus précieux que celui-là… » (commentaire de l'évangile selon St Matthieu)

En marchant ?

Ce Dieu se révèle à nous en marchant. En effet, c'est bien sur le chemin d'Emmaüs que Jésus rejoint les deux disciples. Il les rejoint à un moment où ils sont gagnés par le désespoir et la tristesse. Dieu se révèle à nous en marchant. Qu'est-ce à dire ? C'est déjà reconnaître que les chemins de l'existence sont aussi les chemins par lesquels Dieu nous rejoint chaque jour. C'est aussi admettre que notre vie, à la suite du Ressuscité, est une randonnée dont nous connaissons le commencement mais dont la date du terme est inconnue. Par contre, le but de toute notre vie se découvre, jour après jour, dans ce compagnonnage avec le Christ qui nous montre le Père. Ainsi, notre vie de chrétien, de baptisé, est une réelle randonnée où le guide discret se nomme Jésus-Christ, qui, par l'action de l'Esprit-Saint, nous donne de découvrir les dons que Dieu nous fait durant ce pèlerinage terrestre, notamment lors des haltes spirituelles, lors aussi des rencontres fraternelles et amicales, lors des attentions portées aux personnes malades et à leurs familles particulièrement par les différents soignants, lors des événements joyeux et douloureux de notre existence pour les traverser avec un cœur rempli de la force et du réconfort de Dieu qui ne cesse de nous convier au parti pris de la Confiance, de l'Espérance, du Salut !

Frères et sœurs,Sur la route de nos Emmaüs d'aujourd'hui le Christ continue de nous rejoindre et de nous accompagner. Il veut nous révéler l'identité de Dieu son Père. Il veut nous convier vers l'auberge de l'Eucharistie pour nous nourrir de sa vie de Crucifié et de Ressuscité. Il désire aussi que cette halte à l'auberge soit l'occasion de repartir autrement, dans la joie et la confiance, pour témoigner de la Charité, de l'Amour de Dieu pour chaque être humain, par notre considération sans faille pour nos frères et sœurs en humanité, par cet amour sans limite du « prochain ». Avec le Christ, sur la route d'Emmaüs, au cœur de notre confinement et de cette épidémie, gardons le cap de la prudence, de la confiance, de la solidarité, de l'espérance.

via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/3bDGkLP

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Abbé Pierre, prêtre catholique, résistant, député, fondateur de la communauté Emmaüs, art numérique, montage photo unique par JFB.

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Prix : 51 € + envoi avec suivi dans une enveloppe cartonnée rigide

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Henri Grouès, résistant, adopte le nom d’abbé Pierre qui lui restera jusqu'à la fin de sa vie.

Il fonde en 1949 le mouvement Emmaüs : ce mouvement est une organisation laïque de lutte contre l'exclusion.

Avec l'abbé Pierre, j'ai voulu resté sobre dans la composition du montage photo ; il était difficile d'égratigner la mission qu'il s'était confié.

C'est pourquoi dans ces montages, puisqu'il y en a deux, on ne verra que lui et uniquement lui.

La première vue présente les montages avec en arrière plan une suggestion de cadre.

La deuxième et la troisième font partie de  l'article en vente.

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Ce n'est qu'une suggestion et  𝐋𝐄 𝐂𝐀𝐃𝐑𝐄 𝐍'𝐄𝐒𝐓 𝐏𝐀𝐒 𝐅𝐎𝐔𝐑𝐍𝐈.

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- les prix ont été calculés au plus juste

- le produit vous est livré avec le maximum de garanties :

   . emballage dans une enveloppe en carton rigide, pour éviter que les papiers photo ne soient pliés, et les timbres endommagés

    . assurance du contenu de l'envoi pour que personne ne soit lésé en cas de dégât ou de vol

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 L'impression a été réalisé sur du papier photo de grande qualité (280 g au m2) et à séchage immédiat.

Le tout sera mis dans une pochette plastique, puis dans une enveloppe en carton rigide pour vous être envoyé avec suivi.

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Tout est neuf et avec une gomme impeccable.

Le bloc souvenir avec son enveloppe de 2011 émis par la France

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estimé 15 € dans le catalogue 2020.

Le timbre lui est de 2010, taille-douce, deux bandes phosphorescentes, dentelés 13 1/4 et multicolore.

Il a été élu plus beau timbre de l'année 2010 .

Matériaux utilisés : carton, papier cristal, film fleuriste, pastilles adhésives, papier photo 280 g

Couleurs : multicolore

Taille :  A4 c'est-à-dire 210 x 297 mm, en mode paysage

Style : Historique

Thème : Abbé Pierre                            

Destinataire : tous publics

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