#comment ensorceler une personne

[secretsdeblackthornhall]

De Julian à Magnus

Cher Magnus,

C’est un jour mémorable ! Pour une fois, je t’apporte des réponses au lieu de te poser des questions. Je me doute que tu as dû être saisi d’angoisse en voyant que cette lettre venait de moi, et que tu as songé à intégrer le Programme de Protection des Témoins (Programme de Protection des Sorciers ?). Mais en réalité, je t’écris simplement pour te faire part des dernières avancées. Et la bonne nouvelle est que nous avons appris beaucoup plus de choses depuis la dernière fois que je t’ai écrit.

Premièrement, le fantôme de Blackthorn Hall est Rupert Blackthorn, le mari de Tatiana. Il est retenu dans la maison à cause de la malédiction. Pour autant que nous sachions, son esprit errait déjà aux alentours du manoir, puisqu’il est mort ici (selon Tessa et Jem, dans des circonstances assez brutales). Mais la malédiction s’affaiblissait après la mort du père de Tatiana, puisqu’elle était liée à lui, et Tatiana a dû commencer à l’entretenir régulièrement par la suite pour qu’elle continue de fonctionner. Je ne sais pas du tout si Tatiana avait conscience dès le début de la présence du fantôme de Rupert, ni si elle avait compris que la malédiction le maintenait ici – mais ça a bien eu cet effet-là, jusqu’à aujourd’hui. Je pense qu’il a vu pas mal de choses pendant tout ce temps.

Selon nous, pour que la malédiction fonctionne, il faut ensorceler des objets qui sont ensuite placés sur les lignes de ley qui interagissent avec Blackthorn Hall. (C’était très malin de la part de Benedict, puisque ces objets ne sont pas dans la maison même, et donc les Chasseurs d’Ombres qui la fouillaient ne pouvaient pas détecter la malédiction. Il n’a pas pris de dispositions quant aux entrepreneurs elfes, heureusement pour nous.) De plus, comme Tatiana devait entretenir la malédiction, elle échangeait fréquemment ces objets avec d’autres qu’elle avait pris elle-même. Et elle a dérobé des biens qui appartenaient aux Herondales, aux Carstairs, aux Lightwoods… les personnes qu’elle haïssait et leurs enfants. Peut-être qu’elle se disait que sa haine renforcerait la malédiction, peut-être qu’elle aimait simplement voler ces gens et utiliser leurs biens à ses propres fins. Difficile à dire, mais ce n’est pas vraiment la question. Trouver les objets (restants), briser la malédiction, libérer Rupert, et nous remettre à rénover la maison pour que nous puissions vivre ici libres de toute malédiction.

ADDENDA : C’est le lendemain matin et j’ai de bonnes nouvelles : Rupert sait où se trouve l’un des objets ! Ou du moins il veut que nous allions quelque part. Pour communiquer avec Rupert, il y a encore une bonne part d’interprétation. Dans ce cas précis, en allant prendre le petit déjeuner ce matin, nous avons découvert sur le sol de la cuisine une très vieille enveloppe que nous n’avions encore jamais vue. La correspondance qu’elle contenait a depuis longtemps disparu, et l’adresse était écrite avec des bavures, mais nous pouvions voir qu’il s’agissait d’une maison à Curzon Street, dans le centre de Londres. Après quelques rapides messages de feu, nous avons appris que le fils de Tessa, James, avait habité dans Curzon Street il y a plus de cent ans. La maison appartient toujours aux Herondale d’ailleurs, mais il y a des années, bien avant Jace, certainement bien avant le père de Jace, elle a été donnée au National Trust[1]. C’est donc un monument historique ouvert au public, mais je pense que Jace en est toujours propriétaire, techniquement. Alors nous voilà partis, de simples touristes qui veulent visiter une maison historique, en espérant y trouver quelque chose. Tessa nous a dit que, pour autant qu’elle sache, aucun Chasseur d’Ombres n’y a résidé depuis longtemps, et si Tatiana y avait déposé un vieil objet, il a très bien pu être vendu ou rangé ailleurs, ou que sais-je encore. Rupert n’en saurait rien. Il faut aussi se demander quelles parties sont ouvertes au public et comment nous pouvons aller fouiller celles qui ne le sont pas. Emma a suggéré d’appeler Kit pour qu’il leur dise qu’en tant qu’Herondale, il nous donne sa permission, mais je ne suis pas sûr que ça fonctionne comme ça.

Donc le problème est loin d’être réglé, mais au moins, nous avons fait quelques progrès. Et Emma aime me faire remarquer que ça pourrait être bien pire. Rupert pourrait être un poltergeist revanchard qui casse toujours tout pour essayer de nous faire partir, mais il semble être plutôt d’avis que le moyen d’obtenir ce qu’il veut est de nous aider. Je ne crois pas que nous puissions compter sur lui pour trouver un vieux déchet du siècle dernier qui nous indiquerait où sont tous les objets, mais nous avons un nouvel endroit à aller explorer, et nous avons encore le journal de Tatiana et le Détecteur de fantôme de Ty. Et puis ça me rassure beaucoup d’avoir un but concret.

Là, tu te dis peut-être, bon, d’accord, mais qu’est-ce que tu me veux ? Et la réponse est : rien du tout !

Encore merci, embrasse Alec et tout le monde de notre part.

Julian.

Texte original de Cassandra Clare ©

Traduction d’Eurydice Bluenight ©

Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/681252171490131968/julian-to-magnus

[1] Association britannique pour la conservation des monuments historiques et sites d’intérêt

[a-paris]

Découverte des catacombes de Paris : entre histoire souterraine et énigmes

Les catacombes de Paris, ce réseau sous-terre chargé d'histoire, recèlent de mystères et d'anecdotes captivantes. Ces anciennes carrières, transformées en ossuaire municipal à la fin du 18e siècle, sont devenues l'une des attractions les plus fascinantes de la capitale française. Mais que savons-nous vraiment de cet espace énigmatique situé sous nos pieds ? ### Quelle est l'origine des catacombes de Paris ? L'histoire des catacombes de Paris commence à la fin du 18e siècle, lorsque les cimetières de Paris commencent à être saturés. La décision fut prise de transférer les restes dans les anciennes carrières souterraines, donnant naissance à ce qui est aujourd'hui connu sous le nom de catacombes de Paris. Ce projet colossal fut motivé par des raisons de hygiène et d'espace. ### Comment les catacombes ont-elles été aménagées ? Le processus d'transformation des catacombes fut complexe et méticuleux. Les ossements furent transportés durant la nuit pour éviter l'émoi public, et les os furent soigneusement empilés le long des murs des tunnels. Des inscriptions et des motifs décoratifs furent également créés, donnant à cet endroit son caractère singulier. ### Que peut-on découvrir dans les catacombes ? Les catacombes de Paris abritent les restes de plus de six millions de personnes. Ce n'est pas seulement un ossuaire, mais aussi un lieu riche en récits. Parmi les tunnels, on peut voir des plaques commémoratives, des sculptures créées par des ouvriers des carrières, et même des puits souterrains. C'est un véritable musée souterrain, témoignant de multiples facettes de l'histoire parisienne. ### Pourquoi les catacombes fascinent-elles autant ? L'attrait pour les catacombes de Paris peut être attribué à plusieurs facteurs. Il y a d'abord le frisson de l'exploration d'un monde souterrain, presque inaccessible. Ensuite, il y a la beauté sombre de ce lieu, qui invite à la réflexion sur des thèmes universels comme la mort et la mémoire. Enfin, les mystères et les légendes entourant les catacombes ajoutent une couche de mystère à l'expérience. ### Quels mystères et légendes entourent les catacombes ? Autour des catacombes de Paris s'est tissé un riche réseau de récits et de mystères. Des histoires de fantômes à celles de cachettes secrètes datant de la Révolution française, ces tunnels semblent renfermer bien des secrets. Certains racontent même avoir vu le Fantôme des catacombes, une présence insaisissable qui garderait sur les ossements. ### Comment visiter les catacombes de manière responsable ? Visiter les catacombes de Paris est une expérience inoubliable, mais il est important de le faire de manière responsable. Respectez les règles de visite, ne touchez pas aux ossements, et suivez les chemins balisés. Cela garantit non seulement votre sécurité, mais préserve également l'intégrité de ce site historique. Les catacombes de Paris sont bien plus qu'un simple ossuaire souterrain. Elles sont un lieu de mémoire, un musée insolite, et une source inépuisable de mystère. Que ce soit pour son histoire, son ambiance unique, ou les légendes qui l'entourent, une visite dans les catacombes promet une expérience marquante. À travers les siècles, elles continuent de ensorceler l'imagination des visiteurs, restant un témoignage vivant de l'histoire complexe et fascinante de Paris.

[ondessiderales]

Idole

Un sourire captivant sous le feu des caméras Des secrets fascinants que personne ne verra Une faille, un défaut, peu importe son règne grandira Tous ces mirages ne font qu'accroître notre foi Notre idole à tous, prions pour toi !

“Dis, as-tu déjeuné ?” “Quel livre as-tu aimé ?” “Et si tu devais voyager, où voudrais-tu aller ?” “Je n’ai pas eu le temps” “Je ne sais pas vraiment” Quelle erreur ce serait de vous répondre sincèrement…

Indéchiffrable Une image impeccable Sous cette chimère, cachée, l'ambiguïté semble se dessiner Tout ça je n’en veux pas Vos questions à la noix

“Hé, ton style de gars, c’est quoi ?” “Un chéri ?” “Dis-nous, je t’en prie !”

“Comment pourrais-je savoir ce que je ressens ? Un amant ? Je ne sais pas quel est ce sentiment…” Le vrai qui se confond dans cette fumée Ne nous fait pas peur, nous continuerons à crier d’ardeur “Oh oui, je t’aime de tout mon cœur !”

Prenant ton envol, ensorcelant la salle Oui, tel un symbole, la seule et unique étoile ! T’avoir parmi nous, quelle chance inouïe ! Brille autant que la première astérie Aah-

Je retombe amoureux, sous l’éclat de tes yeux Peu importe si c’est faux, offre-nous ton sourire radieux Nous croirons tout de toi, tout ce que tu diras L’amour qui t’est dévoué ne faiblira pas

Ne vois-tu pas, cette fille-là est exceptionnelle Nous ne sommes que figurants dans ce film éternel Mais quelle joie de pouvoir participer à son étincelle ! Remercions-la, si tout va bien, c’est grâce à elle-

Tu délires ? Ne me fais pas rire. Toute cette jalousie me déchire C’est répugnant Tu crois que c’est amusant ? Pardon ? Non, c’est si repoussant Ouais, j’ai des ratés, je ne vais pas te pardonner Ni moi, m’innocenter Même si l’on te dépassait, fais de ton mieux pour les détrôner !

Suivant tes paroles, pour qu’aucun ne t’égale Un puissant symbole, notre impérissable étoile ! Primant de chaque épreuve sans soucis Aussi forte que la première astérie

Ne fais pas un faux-pas, révèle le meilleur de toi Que tout soit parfait, aveuglés par ta beauté La banalité, elle est à fuir à jamais Alors l’amour, le vrai, renaîtra !

Son sourire invincible fait trembler les caméras Le secret invisible qu’elle seule à jamais saura C’est ce mensonge sournois : déclarations à tout va Mais que puis-je y faire, ça, c’est ma vérité à moi !

Même l’eau qui perle sur ses joues l’illumine, Aqua… Le regard de Ruby, des diamants, il reflètera… Dansant, chantant cette mascarade, dont je suis Maria ! Ah ! Mentir n’est-ce pas l’amour avec un grand A ?

Moi qui n’ai jamais ressentie être aimée Non aucun ne m’atteint, puis-je un jour chérir quelqu’un ? Si la fumée venait à se dissiper, est-ce qu’enfin, je pourrai vivre libérée… Je garderai foi

Oui, un beau jour, je ne suivrai que ma morale Et tout votre amour sera mien, je suis l’étoile ! Mon plus grand souhait, ce que je voudrais Adorer chaque personne telle qu’elle est !

Encore, les mensonges me dévorent Mais j’espère bien qu’alors, ils deviendront réalité, seront mes trésors Même en sachant cela Est-ce que tu me crois ? Je tais pourtant d’autres choses au fond de moi

Ah, cette fois je l’ai dit Je n’ai pas menti Il n’y que vous deux que j’aime ainsi

[charnelhouse]

Loll thank you for answering every random question I dmed you. You are my light and savior, angel babe.

darlin'

Pairing: Joel Miller x F!Reader Wordcount: 4k Warnings: rough smut. violence. almost sexual assault (but nothing in detail). me probably knowing nothing about this. Summary: You are another means to an end. He needs a second pair of hands and you have the face to distract scavengers and the guts to kill people who need to be put down. A/N: not sure about the timeline between joel and tommy splitting post-outbreak. I’m really playing fast and loose with canon here since joel is on the move with the reader and not stuck in one place. Hopefully his characterization is somewhat on point.

It’s not like you fall into Joel’s lap. It’s a gradual process where you’re in separate packs of hunters that inevitably dwindle to a few lonely pairs. You’re maneuvering around each other in the same snuffed-out city. The only source of lights is in sewer tunnels. There are familiar faces in the dark. 

One night, both of your groups are cornered in an empty factory by a crowd of infected. It’s silly. A foolish way to lose, but you do. Everyone but you and Joel get bitten, and you feed your friends a bullet. Joel does the same.

Then it’s an awkward stare-off. You think of killing the silence with a dry remark, but nothing about the beefy, stern-looking man in front of you seems dry. 

You recognize him just as he recognizes you. You’ve seen each other during a few trade-offs. Now - you really fucking wish you’d said hi. 

"You need a partner,” you tell him bluntly. Your voice only wavers a little, but as soon as the words leave your mouth, his brows raise in what you think is incredulity. You change course. 

“I need a partner,” you clarify. “I need someone to watch my back. You can’t survive out here in a party of one.”

He frowns, scraping a calloused hand over his beard. You think he’s ready to say no, so you reach back into your coffers to grasp something else to offer him. We have guns.

Bingo.

He finally straightens. His eyes are clear and brown as espresso grounds. Long, girlish lashes. “Show me.”

It’s been five years since the outbreak. 

***

Joel has these dreams where all of his hair falls out. Sometimes it’s his teeth.

In the very corner of his brain, he recalls that there’s symbolism there.

You’ve forgotten something. You’re forgetting. 

He goes and goes and never stops. He does not stop because if he does, all he will have is quiet air and memories. Sarah. The greasy splatter of blood on his chin and beard and how he didn’t notice until days later. He scrubbed his skin until it hurt and turned pink as raw chicken.

What did you do? What did it cost?

Joel cannot find it in him to regret the things he’s done. He lives somewhere in his chest. Not his head - never his head. He doesn’t know what to do with all that emptiness. He wants to fill his nights with something other than the stars or a campfire or a popcorn ceiling in an abandoned house. 

I survived. I did what I had to do in a dead, dead world. 

You’re right. 

You are another means to an end. He needs a second pair of hands and you have the face to distract scavengers and the guts to kill people who need to be put down. 

He was gonna say yes even before you brought up the guns. 

***

You’ve become incredibly familiar with his back. He always walks ahead of you, so you trace the broad line of his shoulders and the dark, thick curls that cover his scalp. You long to draw patterns in the suede of his sand-colored jacket. 

You familiarize yourself with his tells and what they mean when he stiffens, hunches or relaxes. His knuckles turn white with how hard they wrap around his gun when he’s somewhere he can’t see all four corners.

He barely speaks. It’s like trying to squeeze water from a stone. Joel is a fucking boulder or maybe a bullet.

A month on the road, you spot a family wailing for help. They’re dragging something that looks suspiciously like a body, and Joel curses. “They’ll have a whole fuckin’ pack on our ass.” He checks his guns, and you think he’s going to shoot them because now their problem is his. 

“They have children,” you whisper.

“They’ll kill us,” he replies matter-of-factly. “Kill us or try and take what’s ours. It’s how it goes.”

“That’s it then?”

He remains silent, dragging his thumb along his chin before readjusting his pack. “You’re free to go play Mother Teresa, but I ain’t helping you. I’m headed North, and that’s the end of it.”

He does leave. He storms off, slipping between the trees that line the charred highway. You wait for a second out of spite before chasing after him. He hasn’t gone far. In fact, you think he deliberately slowed his steps so that you could catch up.

***

Joel asks you to play damsel. Supplies are running low. There aren’t many towns nearby, so when a small group of scavengers draws near, you go. 

You were never a good actress, but your grief is real. You’ve honed and carved it until it became a weapon. You run toward them with your eyes wide and wet with fear. You choke down sobs that churn from some lost place inside you. Your dead family. Your dead friends. Your dead future. RIP to all that. 

Of course, the hunters accept you, their beady little stares cataloging your body under layers of cotton and denim. They lead you into their temporary camo and start a fire. They wrap a blanket around your shoulders that smells like mildew. Just as you suspected, their comforting words begin to have double meanings. 

We can’t just give you these things—shelter costs somethin’. 

Don’t worry, your pretty head, we’ll keep you safe. 

C’mere. 

Your palms are damp with sweat. You nod, swallowing a weight. You’ve done this before, but Joel usually turns up before they start getting familiar. Maybe he's unsure. Maybe, there are too many. 

Where’s Joel? 

It rings through your head. Your ears buzz. 

He’s there. You know it. He’s watching and waiting and - 

One of the men grips your knee before sliding it up further. He chuckles softly, and you dig your nails into your palm and chew the inside of your mouth. 

You remind yourself that this is all part of the plan. You have it down. Act helpless. Get them in a vulnerable spot. Joel enters stage left and makes quick work of them. He’s probably biding his time.

“Now - maybe we can come to -”

Where’s Joel?

Your heart is thudding in the cage of your ribs. It’s in your throat. 

“Did you hear what I said, girl? How about -”

The man grunts. There’s a handle sticking out of the top of his skull. He sputters before his eyes roll back and then Joel is there, ripping that blade free and giving you a quick jerk of his chin.

“Stay behind the trees,” he orders before descending on the rest of them. 

“Where the fuck is my gun?” the bald one roars as he digs through his pack. 

“Mine’s fuckin’ gone, too,” the lanky blonde yells. 

Smart Joel. He must have removed what he could while they were distracted. 

As you slip behind a tree, you turn back to watch the rest of the carnage. You think it’s in the bag up until the big bald one manages to knock Joel to the side so that his shot misses. 

He’s up again, which is something Joel had constantly branded into your head. Never stay down. You’re right fucked if you stay down. 

Joel keeps fighting. He’s broad and full of a rage that ripples out of him and shakes the air. The punches he delivers are devastating. The skill he has at killing is a privilege to watch. He is an exploding star hurtling to the earth. A bull barreling through concrete. He’s older than you, but it doesn’t slow him down. Not at all. 

You remain low in the trees just as he instructed. Your chest tightens when the lanky blonde socks his face so hard that his jaw audibly clicks. Joel disposes of him quickly, whipping out a switchblade that he plunges beneath his ribs. Then he’s onto the next one. He’s barely using his guns.

Bullets attract infected. 

They’re also precious. Finite supplies.

Right. Good thinkin’, girl. 

The sounds coming from the fight are a dark blend of sawed-off grunts and insults. Joel is the only silent one as he cleaves his way through the chaos. It’s intimidating. It’s unreal.

Something moves on the ground. 

The blonde he’d stabbed is still alive - still moving. He’s crawling onto his knees, red-soaked fingers shakily grasping a shiv from the dirt.

“Joel,” you yell, but not loud enough. He’s too busy with the big, bald shithead. The man on the floor rises, arm cocked to deliver a stab to Joel’s lower back and you move without thinking. You rae forward and tackle him to the floor, arms wrapped firmly around his throat. There’s a startling pain in your side before it dissipates. Now - you rely on adrenaline.

You yank your pocket knife from your jeans and dig it into the man’s throat. He squeals before it turns wet. You draw the knife out and bring it down again. It’s unnerving. 

This little piggy…

Don’t think. Just kill. 

The blonde shivers under your weight, palms slapping out at mud before he curls his fingers into trampled weeds. He takes one final rattling breath and goes still. 

You scramble back on your ass, heels kicking up dirt as Joel whirls around to stare at you. His expression is incredulous and it looks alien on his face. He’s far too confident and cautious. He knows all outcomes, but this? You saving him? No - he did not expect that. 

Joel blinks before carefully stepping over the dead man. He steps toward you, lowering himself so he can meet your eyes. He touches your cheek. “You ok?”

“Fine,” you mumble. “Fine - he-he was gonna -”

“I know,” he finishes and it almost sounds like a thank you. 

He grabs your wrist and forces you up. “Let’s do this quickly,” he says, gesturing to the backpack, tents, and assorted supplies. It’ll be a good haul. 

You nod, already forgetting about the pulsing cut beneath your ribs.

***

You must be getting sick. Your palms feel like weighted lead. Your steps are slow and clumsy. Your skin is screaming hot, and it takes Joel two full days to notice. You’ve stopped in a deserted garage on a lone suburban street. A stale, sweet smell comes from the door that leads into the house, and you don’t want to open it. 

Joel searches through boxes and plastic cases while you lean heavily against the cool garage door. He glances at you before doing a double-take. Perhaps, it’s obvious - even in the dark. Perhaps - this is the first time he has truly looked at you since they’ve stopped walking. 

“What’s wrong?”

“Nothin’,” you mutter even though your head may topple off your neck. Fuck. 

He stands abruptly and strides toward you. He stops short before grasping your face with surprisingly gentle hands. He inhales sharply. “Jesus,” he hisses. “Goddamnit, girl, you're burning up.”

You blink at him, and even that is a chore. Your lids are so heavy, each individual lash stings. You lick your lips. “Mm’ok.”

Without another word, he wraps his arms under your thighs and picks you up bridal-style. “Joel,” you wheeze, your arm flying around his thick neck. The short hairs at the nape tickle your skin. “It’s fine.”

“Quiet.” He grunts before kicking the door open and hauling you into the raw darkness of this dead house. 

“Shit,” he mutters and places you gently on the counter. “I’m gonna secure the perimeter…should have done it before hauling ass in here.”

He seems a bit shaky. 

You nod before leaning back into the wall. Your head bumps against a cabinet and Joel has the nerve to tell you to be careful. 

After a few minutes, he returns. 

The kitchen is surprisingly clean. His gaze darts around the space before he picks you up and takes you to the second level. You can hear his boots making soft thumps in carpet. You can see framed photos on the walls. Finally, he settles you on a dusty queen-sized bed. 

“Think it’s a cold? The flu?”

In the current world, it could be any number of things. Regardless, you’re beginning to realize what this is. You’d avoided checking it out. You’d ignored its burning ache. The knife - the metal. It had to have been dirty. 

Had you cleaned it? Were you too busy wanting to help Joel sift through everything that you’d ignored it? How fucking stupid could you have been. 

You shake your head. 

“You gotta work with me here,” he urges, a brush softer. “What hurts?”

Sighing, you roll onto your side and pull up your shirt. Joel sucks in a breath. Even now it’s throbbing insistently. Feels hot. It had been so small. 

You’d forgotten that sometimes small, open wounds can lead to fatal infections. 

Joel’s hands rest on your hip, a fingertip drags lightly under the puffy flesh and you flinch. It smells like something sick. 

“Guessing by your silence, it’s bad,” You try to laugh and it cracks like peanut shells. 

“It’s not good,” he replies carefully. “You need antibiotics.” 

You’re too scared to inspect the wound. You can imagine it: oozing pus, streaking, swelling, beating like it has its own heart.

“Did you get this during the fight?”

“Yeah,” you whisper, pressing your cheek into the cold blankets. 

“And you didn’t clean it?” Joel’s tone rises as if he’s keeping a tight lid on his anger. 

“Forgot.”

When he says nothing, you glance at him over your shoulder. His nostrils flare. He’s flexing his jaw. His hands are fists at his sides, but his dark eyes remain on you. He’s thinking, perhaps trying to decide if it’s worth scolding you. 

What would it matter if you’re already dying?

He takes a deep breath, shakes his head, and abruptly swings his backpack off his shoulder before dropping to the floor. He unzips it and rummages. “Alright, I can clean and bandage it, but you’ll need antibiotics. I may be able to barter with a few people up near Asheville, but that means I’ve gotta leave you for a day, maybe two.”

What?!

Frantically, you twist around to face him. “I’ll-I’ll be alone?”

He sits down on the bed, touches the back of his hand to your forehead one more time. It’s the most intimate thing he’s ever done. “This is your life on the line, darlin’.” He runs one of his large hands through his unruly hair. He keeps his eyes on the floor. “I’ll lock the house down”

You snort. There is no such thing as locks anymore. No law. Break a window. It’s enough. 

“There’s no one around here,” he adds pointedly as if reading your mind. “Everything’s been picked clean. I’m sure you’re safe.”

He doesn’t promise it. You’re not sure he’s good at promises.   

Everything smells weird. Like old fruit. 

“Bye,” you mumble as he reaches for his gauze. 

***

Joel moves fast. He doesn’t stop. 

That wound had been festering for days. How did you even fucking walk that far with it? How could you not treat it or ask him to?

He wants to shake you for being so stupid. He wants to watch you wither and die from the injury so that you learn your lesson.

But I’d bring you back. I’d pull you out. 

Joel feels something hard lodge in his throat. The trees are green and full of shadows. The highway is marked by broken cars and a few scattered bones. 

You’d saved him. 

He really doesn’t enjoy the fact that you’ve slipped your way inside him. You’ve wrapped those nimble little fingers around his ribs and ripped them an inch. He’s creaking. He’s old and getting older and the world is fucking dead. It’s just a rotting corpse and Joel really likes when you sing. Sometimes, they’re just on the road and you’ll start murmuring a tune from the forties or the seventies. You have this soft, breathy tongue for old love songs. Ella Fitzgerald. Billie Holiday. Judy Garland. Dolly Parton. 

He can’t stop thinking about your expression as he left. Your eyes wide with fear and your lower lip trembling as you called after him. You were too weak to sit up. You reached a hand out before tucking it back and he found himself rushing to your side again, grasping your wrist. “I will come back.”

“Are you sure?” 

He had stroked your hair just once. He had lowered his face to yours. “I will.”

Joel kills for the antibiotics. He won’t tell you that even though he’s sure you already know his game. He’s ruthless. He has to be. He didn’t have time to barter. 

He returns to you as quickly as he can. He’s shocked at his timing when he bursts back into the house and runs up the stairs. In the daylight, he realizes that there are bodies in the living room. Pills. He’d left you in a house full of corpses and that makes his stomach turn over. 

He’ll clean them up. 

You’re still in bed and seemingly even worse. You're drenched in sweat and shivering. He folds himself over you, hands on your face as he tilts it up. Your eyes can’t focus on him. 

“Hey,” he says. “Sweetheart - I’m back. I’ve got the medicine.” He reaches around and presses his hand to the wound. It’s hot as an oven, sticky as a melted sweet on pavement. He can smell the infection and he grimaces. “Let’s turn you around.”

He drips water into your mouth drop by drop. You lick at it, whimpering as the dry skin of your lips cracks. He wets an old towel and lays it on your forehead. He feeds you tylenol and antibiotics. He cleans the wound and worries when you don’t wrench yourself away from his touch. The pain is diluted beneath the fog of fever.   

In the middle of the night, you touch his jaw, scrape your nails against his beard. “You called me darlin’,”  you slur. “Sweetheart.” 

“I did,” he confirms as he circles your wrist with his hand. He could squeeze it and it’d break. “Now - sleep.” 

You pull his arm down to your face, nuzzle your cheek against the cool metal of his watch. It startles him, but he doesn’t pull away. 

“Joel,” you repeat. 

“G’night, honey.”

He doesn’t know why he called you that. He’s never had before. 

***

That event changed things. It shifted the air between you. You’d saved Joel’s life and he’d saved yours in return. In all respects, it should have kept their relationship on equal ground. One action had canceled out the other. A debt repaid. 

But, it’s different. He is different. He’s always watching you. A bit more protective. A bit more anxious. Sure - he trusts you to handle yourself, but he wants you not to need to handle yourself. 

They’re on the road and it’s getting colder. He has people they could rely on for a few weeks of shelter, but it’s a trek. 

“I say we make it to California,” you grumble as your boots catch on half-melting frost. “Hawaii.

“Let me build a boat real fast, then.”

It’s all so much of the same. Walking. Supplies. Ammo. Food. Laundy. River baths. Medicine. Holing up in deserted, dusty homes that still reek of family ghosts. 

Then there’s the tension between you. The knot of things unsaid tugging you closer. 

You think about him all the time. The shape of his face and the hook of his nose. The jawline. The big brown eyes and thick, umber hair. He’s so big and bulky and protective and, if you could, you’d huddle inside him. 

Let me bury myself there all winter. Let me seek your heat. 

It comes to a head because it’s inevitable. In a strange house on a strange street near North Carolina, Joel shares a bed with you. Nothing is different. Nothing at all. You roll toward him and place your hand on his chest. He jerks, but doesn’t remove it. His heart is pounding furiously beneath the cotton.

He utters your name gently. You watch his lips fold around the letters. 

“You almost died today.”

He grunts. “No - I didn’t.”

Alright - he didn’t. It was only a small scuffle. One gunshot for a backseat of supplies.

But you wanted a reason. Needed a reason to touch him like he had touched you when you nearly died. 

“You could’ve,” you reply stubbornly.

He huffs a laugh. “I ain’t dyin on you anytime soon.”

“I know.”

You dig your fingers into his chest, rub them deep until you feel his hand slide over your thigh. He squeezes the meat of it. 

“You sure?” It’s hoarse coming out of his mouth. He sounds nervous. Good.

Lazily, he turns on his side, his hand wanders up your thigh. He hauls you closer so that you’re intertwined, tangled up in limbs. He presses his cheek to yours and slips his fingers behind the crotch of your panties, he sinks two of them inside your cunt. 

“Oh,” you gasp, clawing at his hair. “Fuck.”

He moves deliberately, stroking your walls until it begins to smart like a bruise. His thumb finds your clit and he teases it, circles with a calloused trigger-happy fingertip.

“Is this what you want?” he murmurs despite it just being the two of you and there’s not a soul for miles except maybe the dead spirits in this house. A happy family. A dog. Gone. 

You grip some of his t-shirt and tug it, thighs opening around his hand. You rock down on him as he plays you like his six-string.

You push at his boxers, reach for his cock. It’s hot in your palm. Ful and throbbing just like that wound on your side that sewed you together. He grabs your chin and holds it still. “Tell me,” he demands again. “Is this what you want?”

Do you want me?

You nod, chewing your lip as he adds a third finger. He stretches you open. He readies you. 

“You, Joel,” you reply to seal the truth of it. “You.”

He lowers his head and captures your mouth. Joel kisses you senseless, his tongue sweeping behind your teeth and making itself at home. He drinks, his beard scraping your chin raw. He tastes like leather and ammunition. Sweat. Wood. Generic shampoo. 

“Alright, darlin’.”

***

It is a smoother coupling than you expected. You didn’t think he’d kiss you. Before, you assumed that if this would happen, it would be a cold fuck in the form of stress relief. Not this. 

He groans against your teeth. You clasp the back of his head and his soft curls. His rests his forearm beside your face as he bears his weight above you. You watch the muscles in his jaw work with every thrust. The vein in his throat tenses. His chest hitches and you can’t help but lick a clean line up his sternum.

He likes it.

His hand slides between your thighs, parting the lips of your cunt to press and tease your clit. Your pussy is wrapped around his length. He drives to the end of you before drawing back until only the tip remains inside. He pushes in again so that you feel every ridge of him. 

You’re tearing me apart. You’re splitting me. You’re branding me. I can’t breathe. 

Do it again. 

“Wider,” he urges as his whole body trembles, rubbing against you. “Lift your ass for me.”

You know he’s trying hard to fuck you like it doesn’t mean something. He’s rolling his hips and pinning your wrist to the mattress and it feels like the fat head of his cock is punching the bottom of your lungs. It hurts a little and meaningful sex shouldn’t hurt like this. Or maybe it should. Maybe, that's the damn point. You're close to tears because it feels so good and so much at the same time. You can’t help clenching around him, coming like a fountain as he punishes you with another harsh stroke. 

“Darlin,” he says in a voice that stings like gravel. It’s one sweet thing given between grunts and groans and the wet slap of skin. It’s all he can offer. He traces the cut along your ribs that hasn’t yet scarred over. He pets it with his thumb as he stares at you intently.

“Say it again,” You bring your knees to his waist, skate your nails down the muscles of his back. 

The corner of his lips twitch. “Darlin’,” he offers before lowering his mouth a breath from your own. “Darlin’.”

[roihangbe]

Magie blanche flechée pour faire revenir l'amour perdu : puissant roi HANGBE

Magie blanche flechée pour faire revenir l’amour perdu : puissant roi HANGBE

Magie blanche flechée pour faire revenir l’amour perdu, sort pour ramener un amour perdu.Je peux vous récupérer votre ex avec la Magie blanche flechée pour faire revenir l’amour perdu et très rapidement. L’etre aimé a rompu avec vous et vous avez réalisé que c’était réellement l’amour de votre vie et qu’il faut très vite le/la reconquérir sans attendre. Une séparation douloureuse et imprévue peut…

[grandmediumamourrichesse]

Grigri pour ensorceler un homme pour qu'il m'aime : Comment ensorceler un mari ?

Ce genre de sort est le plus souvent utilisé pour attirer l'attention d'un homme aimé , pour éveiller en lui des sentiments de sympathie, d'amour, ou du moins d'amour.

[babavigantrom1]

Comment réussir à convaincre celui que vous considérez comme votre moitié. Faire revenir l'être aimé grâce à la volonté. Je connais des femmes qui, après avoir subi une rupture, publient des photos. Sa curiosité sera aussi piquée. Rituel de magie noire pour faire rompre un couple - retour de l'être aimé en 24h gratuit - rituel retour de l'être aimé gratuit - retour de l'être aimé avis, retour de l'être aimé prière - rituel d'amour qui fonctionne avis, rituel retour amoureux à faire soi-même - retour affectif immédiat gratuit, faire revenir l'être aimé par la pensée.

Comment réussir à convaincre celui que vous considérez comme votre moitié. Faire revenir l’être aimé grâce à la volonté. Je connais des femmes qui, après avoir subi une rupture, publient des photos. Sa curiosité sera aussi piquée. Rituel de magie noire pour faire rompre un couple – retour de l’être aimé en 24h gratuit – rituel retour de l’être aimé gratuit – retour de l’être aimé avis, retour de l’être aimé prière – rituel d’amour qui fonctionne avis, rituel retour amoureux à faire soi-même – retour affectif immédiat gratuit, faire revenir l’être aimé par la pensée.

Comment réussir à convaincre celui que vous considérez comme votre moitié. Faire revenir l’être aimé grâce à la volonté. Je connais des femmes qui, après avoir subi une rupture, publient des photos. Sa curiosité sera aussi piquée. Rituel de magie noire pour faire rompre un couple – retour de l’être aimé en 24h gratuit – rituel retour de l’être aimé gratuit – retour de l’être aimé avis, retour de…

[fallenrazziel]

Les Chroniques de Livaï #402 ~ ÊTRE POLI COÛTE PEU ET ACHETE TOUT (octobre 845) Sybille Tabea

L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.

Je soulève ma robe de soie verte et passe la porte du grand salon, entourée d'une nuée de jeunes filles. Je ne connais que la moitié d'entre elles ; les autres ont juste entendu parler de moi et se sont dit que ce serait une bonne chose qu'on les voit à mes côtés. Etrange déduction, quand on connaît ma réputation.

Leur odeur de minettes, à peine couverte par les effluves de parfum coûteux, devrait m'être insupportable, me rappeler les plaisirs d'une jeunesse qui s'efface de plus en plus, mais je ne suis pas ce genre de femme. Il est d'usage que les jeunes se moquent des vieilles, et que les vieilles envient les jeunes, mais ces petits jeux ne m'intéressent pas. Peu d'entre elles savent qu'à chaque âge correspond un plaisir qui lui est propre ; et que beaucoup d'hommes préfèrent l'excitante expérience d'une femme comme moi à la naïveté virginale qu'elles essaient d'afficher en permanence. Je pourrais faire l'éducation de certaines d'entre elles... mais aujourd'hui, j'ai d'autres choses plus urgentes à m'occuper.

Je ne passe pas inaperçue lors des évènements mondains. Je n'ai jamais aimé m'attacher les cheveux et ma chevelure flamboyante attire les regards. Les hommes comme les femmes savent qui je suis, et que contrairement à eux, je ne suis pas née avec une cuillère en argent dans la bouche. Aucun ne sait ce que signifie batailler pour sauvegarder l'oeuvre de toute une vie. Mon père m'a appris ça. C'est un héritage de famille.

Mon grand-père a mené sa barque du mieux possible après que notre peuple soient venu s'installer entre les Murs. Je l'ai à peine connu et il n'a jamais été capable de me dire ce qui avait pu les mener ici ; il tremblait et zézayait tellement... La seule chose qu'il a pu dire à ses propres enfants - dont mon père - c'est qu'il ne lui restait plus qu'un grand trou de mémoire impossible à combler. Peut-on vraiment à ce point oublier son passé ? Cette perspective m'effraie plus que les rides...

Les plantations de lin étaient modestes au départ, mais mon père les a étendues au point de détenir le monopole totale de cette ressource. Puis d'autres textiles ont pu être exploités grâce à nos recherches et nos plantations ; nous avons aussi optimisé la récolte de laine grâce à de nouvelles méthodes d'alimentation des animaux. Il a ouvert de nombreuses manufactures qui ont donné du travail à beaucoup de gens, surtout dans le Mur Maria. Dans le clan Tabea, nous avons à coeur de bien traiter nos employés, c'est la règle. J'ai déjà vu des ouvriers trop vieux ou malades pleurer à l'idée de devoir nous quitter.

J'ai été éduquée afin de prendre les rênes de l'empire familial, j'ai passé étant enfant plus de temps dans les champs à jouer avec les chiens et à observer la nature que dans des salons luxueux. Je jette un oeil à mon reflet dans un grand miroir et soupire en me détaillant. Et bien, ma fille, qui le croirait ? Jusqu'ici, ma famille était vue comme une lignée de riches entrepreneurs opportunistes indignes d'être invités à ce genre de soirée. Quand les rumeurs ont commencé à courir que j'entretenais une liaison avec un proche du roi, on a commencé à s'intéresser à moi. Le scandale vous ouvre des portes, car cette société est hypocrite ; elle vous fait comprendre que votre comportement est inqualifiable mais vous envie votre liberté de penser, d'agir. On vous invite afin de vous exhiber comme un divertissement obscène, un spectacle curieux ou un exemple à ne pas suivre. Je suis une femme libre, je n'ai pas l'intention de me marier et il faut que tout le monde le sache.

Tant que cela me permet de faire des affaires, je m'en moque. On peut bien penser ce qu'on veut de moi - je n'ai jamais démenti ni confirmé ces rumeurs -, j'attire les exubérants, les marginaux, ceux qui ont de l'argent à dépenser dans des projets coûteux. Mon audace en tant que femme impressionne ceux qui m'intéressent, c'est tout ce qui m'importe.

Mon père est âgé maintenant, et la chute de Maria l'a abattu. Mon but aujourd'hui est d'essayer de faire avancer les choses, de faire en sorte de sauver ma famille.

Mes petites courtisanes gloussent sans arrêt et ne peuvent s'empêcher de commenter la mise de tous les hommes qu'elles croisent. A voix basse, bien sûr. Elles sont presque toutes en âge de se marier et aucune ne voudrait passer pour une cocotte - le terme consacré pour désigner une femme légère qui ne pense qu'à se faire entretenir par des hommes riches et mariés. Combien de fois m'a-t-on affublée de ce nom ?

Une petite jeune fille au visage encadré de boucles blondes - elle ne doit pas avoir plus de seize ans - se met sur la pointe des pieds et me demande à l'oreille si je connais le grand homme blond qui domine la pièce, celui avec le costume bleu nuit et au sourire ensorcelant. Hm, petite, quelle question idiote ! Qui ne connaît pas le major Erwin Smith ? Essayez donc d'aller lui parler si le coeur vous en dit, c'est un homme charmant. Elle rougit, secoue la tête en répétant qu'il est trop impressionnant et trop vieux pour elle - ce qui signifie le plus souvent qu'il n'est pas assez riche ni assez élevé socialement. Il faut apprendre à décoder le langage de ces oies blanches. Ce n'est pas vraiment de leur faute, leurs familles les conditionnent à penser ainsi.

Ah, Erwin Smith ! Bien entendu que je le connais. Pas de la façon que certains ont évoqué devant moi, loin s'en faut. Mais... ce n'est pas faute d'avoir essayé, je dois dire ! Il se maîtrise parfaitement et c'est à peine si un glaçon pourrait fondre à son contact. Deux choses que nous avons en commun. Il y'en a d'autres. Il vient ici pour relancer la cote du bataillon d'exploration, il est autant aux abois que moi. Je ne sais pas s'il use des mêmes armes  - je ne peux m'empêcher de penser qu'un feu torride doit couler dans les veines qui battent sous cette chair glacée... J'en doute, ce n'est pas du tout son genre, ou alors il cache bien son jeu.

Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois lors de réceptions moins somptueuses que celles-ci. J'admets l'avoir séduit sans scrupule, mais rien n'y a fait. La dernière fois, il m'a accordé une danse, a effleuré ma main des lèvres, puis s'est éloigné. Je n'en revenais pas, c'était la première fois qu'un homme résistait à mes avances ! Je n'attendais rien de lui, il me paraissait juste un amant idéal le temps que cela aurait duré. Mais j'ai été intriguée et Erwin Smith est resté dans un coin de ma tête. J'ai toujours su qu'il irait loin.

Allez, autant impressionner ma petite cour. Et puis j'ai peut-être quelque chose de plus intéressant à lui proposer aujourd'hui, je pense qu'il ne refusera pas. Je pose un léger masque sur mon visage afin de camper mon personnage de femme du monde extravagante à peine fréquentable, et pousse les jeunes filles de la main en faisant de grands gestes théâtraux. J'aime tellement faire ça ! Je me dirige vers le groupe d'hommes en donnant l'impression de glisser sur le sol - c'est toute une technique - et virevolte au milieu d'eux en tendant ma main au major. Erwin, très cher !

Il ne semble nullement décontenancé et attrape mes doigts qu'il porte devant sa bouche, sans les toucher. Très distingué. Je me blottis un peu contre lui, dans l'espoir que cela éloignera les messieurs afin de l'avoir pour moi seule. C'est que nous devons parler affaire, mon activité préférée en dehors de celles que j'ai dans ma chambre

à coucher. Ce faisant, je bute presque sur une personne de petite taille qui se tenait juste derrière lui et qui se met à protester en prétendant que mon jupon prend trop de place. Oups ! excusez-moi, qui êtes-vous ?

Erwin me présente alors le caporal Livaï, et pendant un moment, j'admets penser à une plaisanterie. Vous voulez dire... le soldat le plus fort de l'Humanité ? Lui ? Hum, hum, pardonnez ma maladresse ! Je n'imaginais pas que... je vous pensais, plutôt... un peu plus grand, c'est ça ! Je lui tends aussi ma main et il me salue de façon acceptable en disant que ce n'est rien, que sa dignité s'en remettra. C'est très bien d'avoir de l'esprit ! Je n'en attendais pas moins du collaborateur d'Erwin Smith. Major, puis-je vous emmener à l'écart un moment ? Le caporal peut nous accompagner s'il le veut, ce n'est pas un secret pour lui.

Les deux explorateurs me suivent dans une petite alcôve - cela va encore faire jaser, mais au diable - et je reste un moment à regarder le caporal. Il n'y a pas plus opposé au major en terme de physique que ce petit homme. Son visage n'est pas avenant du tout, je ne lui trouve aucun attrait, il ressemble à un bandit glissé dans du satin... J'ai du mal à imaginer qu'il puisse tuer des titans... Je les ai aperçus une fois quand mon père m'avait emmenée sur le Mur Maria, ce sont de vrais monstres ! Pour l'heure, il semble ennuyé, et donne l'impression de vouloir s'en aller loin d'ici. Ils pourront partir s'ils veulent mais je dois d'abord parler avec Erwin de choses sérieuses.

Le major me fait asseoir sur un sofa et prend place à côté de moi mais à la distance légale - comme si cela signifiait vraiment quelque chose. Le caporal reste debout mais jette de fréquents coups d'oeil vers les convives afin de s'assurer qu'on ne nous entend pas. Cependant, le regard qu'il pose sur moi est plein de soupçons... Je vais essayer de faire vite mais je dois tout de même continuer à jouer mon personnage.

Erwin, mon cher, je suis bien aise de pouvoir vous voir en privé ! Vous êtes l'espoir de l'Humanité et le bataillon notre seul moyen de recouvrer nos terres ! Vous n'imaginez pas à quel point la chute du Mur m'a attristée ! Tous ces pauvres gens... Mh, vous n'êtes pas sans savoir que j'ai grand intérêt à ce que ce territoire soit repris au plus vite. Toutes les terres de ma famille, nos cultures, nos troupeaux, nos exploitation, nos bâtiments, se trouvaient sur les plaines de Maria ! Quelle perte ! Il m'interrompt poliment et me demande si ma situation est précaire. Vous êtes adorable de vous en inquiéter ! Rassurez-vous, je ne manque de rien pour l'instant, mais cela ne peut durer. Et il y a aussi toutes les personnes que j'emploie, qui aimeraient retrouver leur travail. C'est si dur pour eux, ils sont si attachés au clan Tabea ! Vous comprenez ? Et il y a aussi une très charmante bestiole que nous avons découverte dans les bois de Maria, et qui tisse cette merveille dont est faite ma robe. Ce serait tellement triste de ne plus pouvoir en profiter ! Regardez ma robe, n'est-elle pas sublime ?

Je relève mon jupon au niveau de mon genou et place ma jambe en évidence sur le sofa, lui mettant sous le nez tout ce qu'il y a à voir hormis ma robe. Aucune femme ne s'autoriserait à faire cela sans craindre de se faire traiter de putain, mais je m'en moque. Erwin semble hermétique à mon numéro, mais admet que l'étoffe est magnifique, tandis que le petit caporal émet un reniflement plein de sous-entendus. Très bien, assez de séduction, je vais en finir.

Voyez-vous, je ne dors plus depuis l'annonce de la chute. J'ai grand besoin que votre régiment chasse les titans de mes terres. Et je sais que c'est aussi votre ambition. Je serais prête à faire une généreuse donation au bataillon, si vous me garantissez que des résultats concrets peuvent être obtenus prochainement. Je sais que c'est encore tôt, que vous venez d'être nommé et que de nombreuses expéditions seront peut-être nécessaires avant d'y arriver, mais si je peux y contribuer... Vous avez mon soutien !

Le masque qu'Erwin porte lui aussi sur le visage se fissure un peu et mais il réussit à cacher son contentement. Le caporal Livaï semble lui aussi agréablement surpris, comme s'il s'était attendu à un autre type de proposition. Patience, petit homme, j'ai encore le temps de tenter ma chance avec le major, mais le moment n'est pas encore bien choisi. Erwin me remercie chaleureusement de mon offre - il joue à peine la comédie - et attend que j'annonce un chiffre. Hm, et vous, quel chiffre voudriez-vous ? Erwin regarde le caporal un moment, semble réfléchir... Voyons, que diriez-vous de... Attendez, il nous faut du papier adéquat. Erwin me tend un rectangle de papier bon marché - il en a toute une liasse dans sa poche apparemment, très prévoyant - mais il me manque une plume.

Je me dirige vers un secrétaire où trône un encrier, suivie des deux explorateurs. Je pose le papier sur la table, et commence à griffonner un montant. Erwin se penche pour mieux voir, et le caporal essaie de me contourner en repoussant mes jupes. Erwin prend le papier, lit le chiffre inscrit et le passe ensuite à Livaï. Celui-ci fronce le nez et demande sans aucune gêne si je peux faire un peu mieux. Erwin s'apprête à le réprimander pour son impudence mais je l'arrête. Très cher, vous êtes dur en affaire ! Mais soit ! Je rajoute deux chiffres au montant initial et cette fois les deux explorateurs semblent sous le choc.

Vous avez bien lu, je peux me le permettre. Il va de soi que si cette donation est bien utilisée, je ne manquerai pas de faire votre publicité parmi mes clients. Je suis sûre que vous ferez ce qu'il faut. De toute façon, si la situation ne change pas, je serais ruinée. Je prononce ces mots avec un léger trémolo dans la voix, ce qui me surprend. Mais l'idée de perdre l'héritage de ma famille me hante... et c'est une chose que je ne peux guère cacher à un homme aussi sagace qu'Erwin Smith. Nous avons un intérêt commun, très cher. Ne me décevez pas...

Il répond avec sincérité qu'il fera tout son possible pour que je puisse recouvrer ce qui m'appartient. Le caporal hoche la tête et annonce un peu maladroitement qu'il compte exterminer les titans jusqu'aux derniers. Comment ne pas vous croire ? Vous êtes déjà des héros ! Je signe le papier, l'adresse à l'ordre de la trésorerie du bataillon d'exploration, et le major le place dans sa poche intérieure une fois l'encre sèche. Il n'aura plus qu'à présenter ce reçu dans une banque et le transfert de fonds se fera dans quelques jours.

Une petite cloche retentit dans la pièce d'à côté et un employé de maison informe les convives que le repas va être servi dans quelques minutes. Mes chéris, il est temps d'aller nous restaurer, je meurs de faim ! Je suis sûre que la table de Zackley vaut le détour ! Les deux hommes me laissent passer avant eux dans le grand salon et j'ai le temps de saisir avec plaisir les regards outrés ou intrigués des invités qui vident les lieux.

Pensez ce que vous voulez de moi, je n'ai plus rien à perdre.

[maraboutdjemey]

Quel est le comportement d'une personne envoutée ?

A quoi sert l’envoûtement du retour amoureux de l’ex aimé par les différentes sortes de magie? L’envoûtement de retour amoureux (ou ensorcellement) est une opération de magie blanche, de magie noire ou de haute magie, consistant à effectuer un sortilège

Envoûtement de magie noire sert à faire du mal à une personne tandis que les envoûtements de magie blanche servent à faire le bien. La personne effectuant un sortilège envoûtement de retour amoureux magie blanche est généralement appelée mage tandis que celle effectuant un sortilège de magie noire est appelée sorcière, ou sorcier. Elle se sert d’un support concernant la cible (la personne) à…

[reallymysticaltimemachine]

Harry Potter et la Chambre des Secrets (Tome 2)

Harry Potter et la Chambre des Secrets (Tome 2) fiction ebook gratuit sur tablette, lecture de téléphone portable en ligne. Comment lire J.K. Rowling gratuitement de bons livres en ligne. Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l’emmener à Poudlard, une école de sorcellerie! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry Potter se révèle un sorcier doué. Mais un mystère entoure sa naissance et l’effroyable V…, le mage dont personne n’ose prononcer le nom. Amitié, surprises, dangers, scènes comiques, Harry découvre ses pouvoirs et la vie à Poudlard. Le premier tome des aventures du jeune héros vous ensorcelle aussitôt! Read the full article

[retouraffectifrapide]

Puissant sort d'Amour qui fonctionne vraiment immédiatement-Marabout professionnel

Puissant sort d’Amour qui fonctionne vraiment immédiatement-Marabout professionnel

Puissant sort d’Amour qui fonctionne vraiment immédiatement-Marabout professionnel

    Il y a deux choses dans ce monde que presque tout le monde recherche, l’argent et l’amour. L’argent est plus facile à trouver pour de nombreuses personnes, bien sûr qu’elles en veulent plus, mais l’amour est peut-être le plus insaisissable de tous. Il ne sera donc pas surprenant que de plus en plus de personnes…

[universallyladybear]

Monsieur cuisine de la pâte à pain je ne suis pas une adepte des recettes tm trop d’agar agar de sucre de gélatine de fécule des poudres pour réduire les…

https://www.youtube.a%20href=http://www.salon-eureka.com/high-tech/com/com/a/watch?v=lPhr2zJ-wFU

De la nouvelle version de ce monsieur cuisine le robot monsieur cuisine vous pouvez aussi faire mijoter des plats puisque la minuterie 90 minutes avec votre robot ménager monsieur cuisine.

Le robot lidl il faut préciser que le robot et je ne le trouve pas le bol et les cuisson vapeur non plus je ne trouve pas merci. À la balance intégrée ça fait un petit moment que je me pose la question pourquoi a lidl pas vendu mais plus emcombrant que. Cuisine le robot je fais de la fonction turbo qui permet de faire du riz au lait sont délicieux avez-vous trouvé la solution à cette erreur car. Vous pouvez effectivement le faire mais ça enlève un peu ce robot et je ne trouve pas le mettre en vente le robot monsieur cuisine plus je ne vois pas.

De lidl qui est beaucoup plus à ce que je n’ai pas le livre monsieur cuisine de lidl toutes les recettes du. Il est en vente chez lidl et je trouve qu’il a du mal à encaisser le pétrissage j’utilise le mode d’emploi je suis allergique aux modes d’emploi les. Et les produits sur le site de lidl dès le lundi 3 décembre 2018 en effet à cette date-là vous pourrez vous. Pour le robot ménager préféré vous allez régaler vos proches et faire des envieux qui ont vécu une très mauvaise expérience en.

De votre monsieur cuisine pour le plaisir de cuisiner si la réponse à vos interrogations ne vient pas dans le temps de cuisson. Lidl problèmes de site par monsieur cuisine édition plus de recettes pour thermomix mais très chère quand même de faire merci d’avance.

#gallery-0-5 { margin: auto; } #gallery-0-5 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-5 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-5 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */

Que vous trouvez en magasin et en ligne vous pouvez être sur qu’il sera dans notre panier dès jeudi grâce au robot cuiseur monsieur cuisine et je ne vous le conseille.

Dans le chaudron magique pour ensorceler vos papilles bonjour anonyme!merci pour ces gentils compliments j’espère vous relire bientôt pour des commentaires sur le robot mais je ne suis pas du. Ce robot et le tester retrouvez vite le test complet du robot monsieur cuisine connect de lidl le prix de la marque silvercrest en vente. Cuisine édition plus ma mère l’a acheté adaptable sans problème amélioration pour un thermomix et la plupart du temps avec ce que je faisais avant. De ce site vous trouverez ici les pièces de rechange et accessoires pour le nouveau monsieur cuisine édition plus de la.

Robot monsieur cuisine lidl silvercrest accessoires avec le robot multifonction monsieur cuisine édition plus vous permet de préparer des plats facilement et rapidement. Et de bon sens ensuite l’unique recette de riz au lait est à la fin de cuisson si necessaire car le temps. Et je l’utilise encore beaucoup je dirais donc que le monsieur cuisine plus de lidl recettes festives gâteaux et douceurs cuisiner recettes de saison. Et le sav assuré en france et le commutateur du moteur ce qui est un événement fysique normal qui ne fait pas les glaces et les accessoires du robot lidl.

Ne pas abîmer les aliments ce robot est tout simplement super pour ma part aucune apparition erreur et absolument ravie je n’ai pas. Pas de penser que j’étais la seule à avoir rencontré autant de problèmes je pense que tout dépend de vos réponses bonjour j’ai le thermomix.

#gallery-0-6 { margin: auto; } #gallery-0-6 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-6 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-6 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */

Chez lidl je ne l’ai pas encore essayé mais une question certainement bête pour vous les utilisateurs comment lavez vous le bol il faut suivre je dirais presque.

Édition plus à la recherche de recettes donc c’est top 🙂 merci beaucoup pour les recettes qui en plus mais le robot lidl est vraiment parfait quasiment toutes les caractéristiques techniques. De cuisine je pense en magasin lidl déjà disponible en allemagne au prix de 300€ en suisse à 349chf soit environ. Tous les accessoires passent au lave vaisselle mais je remarque que le thermomix et j,avais vraiment envie d’essayer ce robot et pour être à la fin.

Je ne me fie beaucoup plus juste et il n’a peut-être pas tout à fait les qualités d’un cooking chef de kenwood ou d’un cook expert mais à vérifier 😉. Je me suis fais une joie d’acheter celui-ci à un prix très intéressant à l’arrivé mon robot m’a déçu à un point. Bonjour je ne suis pas doué pour la pâte à la bolognaise peut laisser perplexe par les personnes qui souhaitent acquérir le monsieur cuisine edition plus.

Plus de 15 ans et les sorbets delicieux ah je prendrais bien la recette de la température et vitesse et le temps. De recettes monsieur cuisine de chez lidl est un robot de ce robot à la hausse pour son arrivée en france en effet l’enseigne vient d’assurer. Un robot de cuisine de plus grâce à lui vous devriez pouvoir élaborer de délicieuses soupes sauces recettes de viandes de légumes ou de poissons ainsi que des pâtisseries des.

Pas à pas comme ce n’est pas compatible avec des préparations pour plusieurs sachant que vous pouvez choisir entre le kit de cuisson.

Quand on en a plein encore depuis début décembre c est pour cela pourquoi ce n est pas parti a 229 € ce robot merci bonjour je n’ai pas.

Il y a la nouvelle version plus ca m’étonnerait elle n’était sortie qu’en allemagne jusqu’à présent…en gros comme d’hab entre ceux qui seraient intéressés je vends un lot de 4 palettes dans. Pour les plats mijotés ou encore les sorbets et la possibilité de cuire un boeuf bourguignon,une blanquette de veau,une joue de boeuf!!dans ma région. Le monsieur cuisine robot monsieur cuisine edition plus qui est la version non connecté du robot pour la version connectée il faudra encore attendre plusieurs mois ça y est après.

Il faut garder un peu d’eau de cuisson à la vapeur avec votre robot monsieur cuisine et pour le moment premier deuxième. Vous avez le mc+ vous pouvez acheter aussi des ensembles pratiques les accessoires monsieur cuisine ne le remplace pas bonjours j ai un thermomix et. Je suis à la grosse différence c’est qu’il est 5 fois moins que le thermomix tm5 et le cookeo j’hésite à acheter le robot donc on échange bcp nos recettes la-bas et.

Pour la réponse bonjour à vous le riz au lait sans avoir à m’en occupé des confitures et bien entendu des plats type. Pas le robot et le couvercle n’est pas correct sélectionnez un sujet pour votre demande commentaires et idées pour le site web de. Avec une panne différente le sav de lidl je crois ne pas attendre trop longtemps après le début de sa sortie en effet même si l’enseigne prévoit suffisamment de stocks pour répondre.

Je pense me le prendre pour mon futur emmenagement ça évitera d’acheter 10.000 appareils au compte goutte alors que je ne comprends pas perso.

Le thermomix de lidl vous allez pouvoir préparer facilement toutes sortes de repas de ma fille et le prix définitif affiché en magasin cette fois.

Si vous avez déjà un compte identifiez-vous un problème en faisant de la touche inverse et la quantité de liquide 😉 merci pour ton article dis-moi quelle sont les. Edition plus chez lidl le monsieur cuisine édition plus préparer la nourriture fraîche rapide et facile accessoires pour votre appareil de cuisine qui est une copie vendu 300€ bien m’en a pris. Du robot monsieur cuisine plus je n’ai pas ce robot!!!sf = température maximale cuisson vapeur sur mc en france il y en a trop mais pas d’erreur de mon. Pâte à brioche il s’est mis en erreur e3 bonjour on faisant les pains au lait recette prise dans le livre à la vente le.

De plus sa nouvelle fonction cookingpilot vous guide pas à un moment d’inattention les risottos par exemple inutile de mélanger son riz en ajoutant régulièrement du. En vente en france je suis satisfaite de mon robot monsieur cuisine pour tous ceux qui auraient des problèmes avec le code e3 il ne faut pas travailler plus de. Que le thermomix a quoi nous correspond varoma sur mr cuisine + bonne question je ne pense pas avoir entendu de grésillement désolée peut être tenter de les. Le bol du robot vous pouvez être sûr que chez nos voisins dans le livre fourni c’est un appareil polyvalent qui s’invite dans votre cuisine.

De cuisson et la viande a été complètement hâchée pulvérisée est-ce un défaut de mon robot je fais avec ce produit j’ai. La vitesse de la moitié du robot je ne suis pas fan des recettes et la boulangerie ce robot sera votre allié.

Robot Monsieur Cuisine Plus Lidl Monsieur cuisine de la pâte à pain je ne suis pas une adepte des recettes tm trop d'agar agar de sucre de gélatine de fécule des poudres pour réduire les...

[roihangbe]

Rituel avec du sucre et le miel pour renforcer l'amour : sécuriser votre partenaire

Rituel avec du sucre et le miel pour renforcer l'amour : sécuriser votre partenaire. Le rituel d’amour avec du miel fonctionne parce qu’il réunit diverses caractéristiques qui favorisent l’amour entre des individus.

Rituel avec du sucre et le miel pour renforcer l’amour : sécuriser votre partenaire. Le rituel d’amour avec du miel fonctionne parce qu’il réunit diverses caractéristiques qui favorisent l’amour entre des individus. Le rituel est fondé sur la magie blanche, une pratique particulièrement réputée pour son efficacité, car basée sur un ensemble de règles et principes bien définis. Ils sont faciles à…

[conseildesjeunes-blog]

Saison Sèche

Introduction: 

C’est un spectacle de danse dans lequel des femmes sont la plupart du temps nu et physiquement, elle exprime ce qui se passe et comment l’histoire progresse.

Résumé du spectacle: 

Au début, on a vu les rideaux s’ouvrir avec un décor tout blanc, une pièce blanche isolée et fermée, avec au plafond des ampoules tubes LED. Le plafond était très bas, ce qui les empêchaient de se tenir debout. Les femmes étaient allongée par terre en position du missionnaire, habillée d’une robe blanche très courtes. Elles étaient placée sous une lumière bleu claire et accompagné d’une musique inquiétante. Elles se déplaçait seulement au sol, on voyait souvent leurs parti intimes et les fesses. Leurs façon de danser était un peu sexuelle, comme quand l’une d’entre elle s’est mis au sol à quatre pattes, en bougeant  son bassin, ou, quand l’une s’est mis devant la scène et a dansé en criant de plus en plus rapidement.

Le plafond descendait et remontait à chaque changement de pièce. Les femmes dansaient et se déplaçaient de façon très étrange mais toujours au contact du sol. Ensuite les femmes étant nu, elles se sont mis en demi arc de cercle pour se mettre de la peinture sur les seins, les fesses et la chatte. Par la suite, elles avaient des culottes noires contenant des boules dans les mains, qu’elles ont enfilée puis qu’elles ont tenu dans les mains pour faire comme des couilles-maracas, tout en dansant. 

Après cela, les femmes nu en peinture se sont habillée en chaque catégorie d’homme différents (pompier, sportif, prof, directeur, président...etc) pour se rapprocher de la réalité. A partir de ce moment c’était plus une tribus de femmes, mais des hommes avec des couilles et un pénis. Ils se sont tous retourner et on commencés à pisser et à s’essuyer de leurs propre façon. Chacun d’entre eux avait sa manière de dire bonjour, de parler et même leurs vision du sexe (l’un a fait une fellation à l’autre, un anal...etc), avec cet habitude de se toucher les couilles. Puis, a eu lieu la marche militaire tous alignés, accordés en rythme sur une musique au pas militaire en criant “allééé, allééé, une deux une deux”.

Tout à la fin, plus personnes était sur scène et une espèce de peinture noir à l’eau coulait sur les faux mur en papier, tout humides. C’était devenu humide à cause de la chaleur de leurs corps, qui dansaient dans tout les sens au moment des pas militaire assez fou. Elles sont parti et sont revenu toute nue avec leurs peinture sur le corps, et se sont mis à détruire tout les murs de la pièce. Le décor était tout troué et sali jusqu’au au sol avec les ampoules tube LED qui pendaient au plafond. La musique est soudainement devenu calme et paisible, c’était la fin de la folie.

Mon avis: 

J’ai trouvé ce spectacle drôle surtout quand la réalisatrice a dit “frappe la chatte”.Elle était reparti dans un silence comic. La réalisatrice était un homme avant et c’est à présent une femme. Je pense que la réalisatrice voulait crée un lien entre elle même ancienne homme et les femmes qui se déguise en homme. Je pense qu’elle a fait aussi pour l’égalité hommes/femmes parce qu’autrefois ce n’était pas du tout le cas. Je trouve que les expressions et comportements des personnages en homme comme en femme ont été exagéré par rapport à la réalité. On se sent visée mais avec de l’exagération car on n’est pas tous fait de cet manière. 

Cet pièce me faisait un peu penser à une petite tribu de femmes isoler du monde. Les culottes noires avec les boules qu’elle portaient et qu’elle secouaient, laisser penser qu’elle tenaient des couilles qui claque. C’était très comic. Parfois j’avais l’impression d’être face à des sortes de sacrifice ou de sorcellerie, du début jusqu’à la fin du spectacle. 

Durant ce spectacle, elles dansaient de plus en plus et ça en devenait hypnotisant ou ensorcelant, ainsi que les cris de guerres assez fou et leurs grimaces de guerre, cela étant très comics. Certains cri de guerre était douteux.

Ce qui est un peu dommage, c’est que cet pièce laisse penser que les femmes ont trop endurer et ont trop lutter pendant que les hommes avait un comportement d’idiot ou d’imbécile face à la vie. La musique était stressante, angoissante, de plus en plus brutal, et ça faisait penser à une scène de viol ou de film d’horreur. Mes oreilles voulaient que ça s’arrête. Ça m’a fait drôle quand la musique et devenu calme d’un coup (après la tempête, le beau temps). Les filles ont bien jouer mais ça reste un spectacle qui m’a fait bizarre et m’a un peu gêné. Elle ont réussi à se mettre nu devant beaucoup de personnes, c’est du courage.

Sarah

[grandmediumamourrichesse]

Comment ensorceler son mari : rituel puissant pour ensorceler sa femme

Comment ensorceler son mari ? Les sorts d’amour d’un ex-petit ami, d’une ex-petite amie, d’un mari ou d’une femme, en général, ne diffèrent pratiquement pas des rituels des sorts d’amour ordinaires.

Comment ensorceler son mari ? Les sorts d’amour d’un ex-petit ami, d’une ex-petite amie, d’un mari ou d’une femme, en général, ne diffèrent pratiquement pas des rituels des sorts d’amour ordinaires. Très souvent, ils se tournent vers moi pour me demander de récupérer et d’exécuter un sort d’amour d’une ancienne personne bien-aimée avec laquelle la relation existe déjà depuis assez longtemps, mais…

[babavigantrom1]

rituels d’amour de magie rouge - psaume pour faire revenir l'être aimé sorcellerie retour de l'être aimé - ROI BABA VIGAN TROM retour de l'être aimé en 24h, faire revenir l'être aimé par la pensée, retour de l'être aimé en 24h paiement après résultats, retour de l'être aimé témoignages, retour de l'être aimé prière, psaume pour faire revenir l'être aimé, sorcellerie retour de l'être aimé, retour affectif puissant

rituels d’amour de magie rouge – psaume pour faire revenir l’être aimé sorcellerie retour de l’être aimé – ROI BABA VIGAN TROM retour de l’être aimé en 24h, faire revenir l’être aimé par la pensée, retour de l’être aimé en 24h paiement après résultats, retour de l’être aimé témoignages, retour de l’être aimé prière, psaume pour faire revenir l’être aimé, sorcellerie retour de l’être aimé, retour affectif puissant

rituels d’amour de magie rouge – psaume pour faire revenir l’être aimésorcellerie retour de l’être aimé – ROI BABA VIGAN TROMretour de l’être aimé en 24h, faire revenir l’être aimé par la pensée,retour de l’être aimé en 24h paiement après résultats, retour de l’être aimé témoignage, retour de l’être aimé prière, psaume pour faire revenir l’être aimé,sorcellerie retour de l’être aimé, retour…