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L’absence de père

Nous sommes allés voir l’absence de père le vendredi 4 octobre. Une réécriture de Platonov de Tchekhov par Guillaume Poix et mis en scène par Lorraine de Sagazan. Le décor était quadri frontal sur un choix de la metteure en scène. 

Le spectacle cherche à susciter le doute et la pensée chez le spectateur sur le monde tel qu’il va, sur ce que c’est que vieillir.

Le spectacle débute sur l’apparition d’une arme. Celui-ci tourne autour d’un personnage, Michel. Très vite, on comprends que le père de Michel était polygame et cela ne lui a jamais plu. En voulant accepter ce défaut paternel, il finit par hériter de la polygamie. La morale de cette pièce est qu’on ne peut juger les actes de nos parents. Comme à ses habitudes, Tchekhov fait utiliser l’arme apparue en début de pièce, elle sers a commettre un meurtre où michel décède. 

Ce qu’on en a pensé:

moon: j’ai aimé l’interaction avec le public car le public était très concerné et est même intervenu durant la pièce pour un meilleur déroulement. De plus, la morale me parait intéressante.

Aïda: Ayant déjà vu Démons avec la même metteure en scène et  Lucrèce Carmignac, Antonin Meyer-Esquerré et Benjamin Tholozan, je m’attendais à une très belle mise en scène, et je n’ai pas été déçue. J’ai particulièrement aimé lorsque le sable tombait sur la scène pour montrer le temps qui passe. J’ai eu un peu de mal avec l’histoire en elle-même et je ne suis pas d’accord avec la morale.

Karl: Mon analyse est que le public venu voir le spectacle retrouvait sa propre histoire dans le spectacle et pouvait analyser sa vie et son comportement selon l’histoire.

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NANA

Introduction : 

Nana est un spectacle de danse et de chant contemporain, classique, hip-hop, moderne et sans oublier, coupe décaler. Nana dévoile son histoire avec l’interaction entre le public et les acteurs durant ce spectacle.

Description de la pièce :  Sur scène, les danseurs étaient en costard et les femmes en robe à motif. Chaque personnage avait un ou deux rôles à jouer avec Nana, qui était le personnage principal du spectacle. Le décor était animé et l’ambiance était chaud voir très chaud, sur scène comme dans le public. Le fond de la scène contenait une grande banne peinte des deux côtés pour représenter au recto, Nana au lit avec son “fruit” entre les jambes dont tous les gars raffolent, puis au verso, l'état de la pièce où Nana va être obligé de coucher quand elle va chez un gars. C'est très sale avec des mouches qui volent, des verres renversés et des habits salent qui traîne par terre. Sur scène, cinq angles de planches étaient peints pour représenter la vie de Nana et sa prostitution. Ces tableaux d’angle mobile servaient aussi de porte pour éviter que les hommes les matent en train de danser le coupé-décalé entre filles de joie. 

À gauche de la scène, se trouvait la maquilleuse qui s'occupait des acteurs fur et à mesure du spectacle. Juste à côté se trouvait le didjet qui gérait le son et les musiques de chaque scène jouée. À droite, des chaises alignées pour que chaque acteur/actrice patiente avant de retourner sur scène.

Résumé du spectacle : 

Le spectacle commence avec une musique classique et contemporaine ou chaque personnage se présente, en dansant à leur façon et à voix haute leurs nom, leurs domaine et leur rôle. Les danseurs et des danseuses expriment leurs sentiments physiques et mentaux, en communication en direct avec le public. Le sujet principal concerne le sexe et la prostitution. Les danseurs et danseuses ont plusieurs origines différentes dont la Côte d'Ivoire, l’Allemagne, l’Afrique, le Congo..., accompagner d’un traducteur allemand pour traduire l’histoire de Nana.

Mon avis et ma conclusion : Nana parle d’elle comme d’une femme qui vend son corps à n’importe qu’elle gars pour avoir de l'argent et une maison. Elle a décidé d’utiliser son corps comme moyen de séduction en tant que prostituée, car elle chantait très mal, mais son corps avait plus de succès. Le spectacle, je l'ai trouvé en général drôle et très sexy. J'ai beaucoup aimé la danse du coupée décalé et l’ambiance était chaleureuse, chaude tout le long du spectacle. Parfois, la musique s’arrêtait d’un coup comme si tout s’effondrait ou que l’on marquait une courte pause. Nana et une femme provocante que tout le monde connaît, car elle fréquente beaucoup d’hommes avec qui elle couche. Ce spectacle donne des leçons de vie sur les histoires d’amour, le sexe, les Nana et des gigolos auquel il faut faire attention.

Sarah

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🔥🔥L’épisode 2 du #crashtest est disponible sur notre chaîne YouTube🔥🔥,on parle de la pièce ils n’avaient pas prévu qu’on allait gagner, de Jean Louis Martinelli et Christine Citti.

On attend vos retours 🙃

☺️

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Out of Context

Introduction: 

Ce spectacle a été réalisé par Alain Platel, un hommage à Pina Bausch. C’est un spectacle assez rare car il est réalisé une fois dans l'années, une pièce que les ballets C de la B reprennent exceptionnellement. Ce spectacle est composé de danse corporelle et de quelques chansons connu. 

Description de la pièce: 

Sur scène, il avait deux micros et des serviettes orange plié. Quand les danseurs se sont déshabillés, ils ont fait une ligne horizontale avec chacun leurs linges plier. Tout l'espace non utilisé de la pièce était consacré à leur danse et au déroulement du spectacle. 

Résumé du spectacle: 

Tout d’abord, les danseurs était tous cacher, habillée de façon civil et on ne pouvais pas se douter une seul seconde ou il étaient parmi le public. Chacun leurs tours, ils sortaient du publics et descendait les marches des stades pour se rendre sur la scène et ce déshabillé. C'était des hommes et des femmes à présent en sous-vêtement, vêtu d’une serviette orange. Ensuite, ils ont beaucoup dansé avec quelque pas de danse connue et ont chanté sur des chansons connues comme : Aqua - Barbie girl ou encore Rick Astley - Never gonna give you up. L’un des danseurs en sous-vêtement a commencé à dansé en se rapprochant du publique, il est descendu de la scène en dansant et il s’est mis à grimper sur le public. Le danseur s’est arrêté et dansait dans le public puis il a repris les escaliers pour redescendre, toute en dansant. Enfin, tous les hommes et femmes sur scène se sont mis par terre, sur leurs serviettes orange avec un comportement de retour à l'enfance. Puis une femme habillée en professeur stricte et arriver du public. Elle a d’abord enlevé ses chaussures à talons, a commencer à dansé comme une folle qui imitait ses élèves et elle est retournée s’assiéger. Les danseurs avec leurs serviettes orange se sont dispersés sur la scène, l’un d’entre eux à demander au public de lever la main droite puis de danser. Tout le monde s’est mis à rigoler. Ils ont par la suite appeler le public pour leur faire des câlins sur une musique douce. Puis ils sont partis s'habiller et s’assoient parmi le public, comme en début de spectacle.

Conclusion: 

Ce spectacle était drôle, le début ne m'a pas trop accroché, mais la fin était super drôle. Le corps de chaque danseur était utilisé comme un instrument, un objet vivant, un outil de communication, c'était de la danse contemporaine.

Mon avis: 

C’était une bonne idée de commencer le spectacle par une ambiance zen et calme, puis de terminer sur une ambiance mouvementée et dynamique en plus d’être dans l'humour. Ils avaient une façon de chanter et de danser amusante et drôle. Les passages de chansons tournaient autour des années 1980 à 2000, comme un retour dans le passée. Je trouve en général qu’ils ont tous bien dansé et bien contrôlé le fait de danser accorder puis désaccorder, chacun à leurs façons. C’était une scène drôle et amusante quand le danseur est monté sur le public et qu’il a dansé de manière humoristique. La dame qui était habillée en prof sérieuse avait l’air de vouloir retourner à l’enfance, on dirait qu’elle en avait assez d’être une prof sérieuse et autoritaire. C'était très amusant à voir. 

Sarah

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Saison Sèche

Introduction: 

C’est un spectacle de danse dans lequel des femmes sont la plupart du temps nu et physiquement, elle exprime ce qui se passe et comment l’histoire progresse.

Résumé du spectacle: 

Au début, on a vu les rideaux s’ouvrir avec un décor tout blanc, une pièce blanche isolée et fermée, avec au plafond des ampoules tubes LED. Le plafond était très bas, ce qui les empêchaient de se tenir debout. Les femmes étaient allongée par terre en position du missionnaire, habillée d’une robe blanche très courtes. Elles étaient placée sous une lumière bleu claire et accompagné d’une musique inquiétante. Elles se déplaçait seulement au sol, on voyait souvent leurs parti intimes et les fesses. Leurs façon de danser était un peu sexuelle, comme quand l’une d’entre elle s’est mis au sol à quatre pattes, en bougeant  son bassin, ou, quand l’une s’est mis devant la scène et a dansé en criant de plus en plus rapidement.

Le plafond descendait et remontait à chaque changement de pièce. Les femmes dansaient et se déplaçaient de façon très étrange mais toujours au contact du sol. Ensuite les femmes étant nu, elles se sont mis en demi arc de cercle pour se mettre de la peinture sur les seins, les fesses et la chatte. Par la suite, elles avaient des culottes noires contenant des boules dans les mains, qu’elles ont enfilée puis qu’elles ont tenu dans les mains pour faire comme des couilles-maracas, tout en dansant. 

Après cela, les femmes nu en peinture se sont habillée en chaque catégorie d’homme différents (pompier, sportif, prof, directeur, président...etc) pour se rapprocher de la réalité. A partir de ce moment c’était plus une tribus de femmes, mais des hommes avec des couilles et un pénis. Ils se sont tous retourner et on commencés à pisser et à s’essuyer de leurs propre façon. Chacun d’entre eux avait sa manière de dire bonjour, de parler et même leurs vision du sexe (l’un a fait une fellation à l’autre, un anal...etc), avec cet habitude de se toucher les couilles. Puis, a eu lieu la marche militaire tous alignés, accordés en rythme sur une musique au pas militaire en criant “allééé, allééé, une deux une deux”.

Tout à la fin, plus personnes était sur scène et une espèce de peinture noir à l’eau coulait sur les faux mur en papier, tout humides. C’était devenu humide à cause de la chaleur de leurs corps, qui dansaient dans tout les sens au moment des pas militaire assez fou. Elles sont parti et sont revenu toute nue avec leurs peinture sur le corps, et se sont mis à détruire tout les murs de la pièce. Le décor était tout troué et sali jusqu’au au sol avec les ampoules tube LED qui pendaient au plafond. La musique est soudainement devenu calme et paisible, c’était la fin de la folie.

Mon avis: 

J’ai trouvé ce spectacle drôle surtout quand la réalisatrice a dit “frappe la chatte”.Elle était reparti dans un silence comic. La réalisatrice était un homme avant et c’est à présent une femme. Je pense que la réalisatrice voulait crée un lien entre elle même ancienne homme et les femmes qui se déguise en homme. Je pense qu’elle a fait aussi pour l’égalité hommes/femmes parce qu’autrefois ce n’était pas du tout le cas. Je trouve que les expressions et comportements des personnages en homme comme en femme ont été exagéré par rapport à la réalité. On se sent visée mais avec de l’exagération car on n’est pas tous fait de cet manière. 

Cet pièce me faisait un peu penser à une petite tribu de femmes isoler du monde. Les culottes noires avec les boules qu’elle portaient et qu’elle secouaient, laisser penser qu’elle tenaient des couilles qui claque. C’était très comic. Parfois j’avais l’impression d’être face à des sortes de sacrifice ou de sorcellerie, du début jusqu’à la fin du spectacle. 

Durant ce spectacle, elles dansaient de plus en plus et ça en devenait hypnotisant ou ensorcelant, ainsi que les cris de guerres assez fou et leurs grimaces de guerre, cela étant très comics. Certains cri de guerre était douteux.

Ce qui est un peu dommage, c’est que cet pièce laisse penser que les femmes ont trop endurer et ont trop lutter pendant que les hommes avait un comportement d’idiot ou d’imbécile face à la vie. La musique était stressante, angoissante, de plus en plus brutal, et ça faisait penser à une scène de viol ou de film d’horreur. Mes oreilles voulaient que ça s’arrête. Ça m’a fait drôle quand la musique et devenu calme d’un coup (après la tempête, le beau temps). Les filles ont bien jouer mais ça reste un spectacle qui m’a fait bizarre et m’a un peu gêné. Elle ont réussi à se mettre nu devant beaucoup de personnes, c’est du courage.

Sarah

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Solo

Introduction: Un spectacle de danse et de chant réalisé par Philippe Decouflé.

Résumé: Son spectacle a commencé non pas par sa présentation personnelle, mais par sa danse Solo.

L’acteur Philippe Decouflé était accompagné par la maquilleuse et habilleuse, par un chanteur de beat-box, musicien et qui a géré les différentes musiques tout au long du spectacle. 

Un spectacle à base de jeux de couleurs, d’ombres chinoise, d’illusions d’optique et des pages de pub assez comic qui espaçait les scènes jouer. Dans ces pubs, une personne qui danse habillée de façon hornorme et étrange qui danse, qui fait des figures et des positions différentes. C’est à ce moment que l’acteur Philippe change de vêtements et se remaquille pour se préparer à la prochaine scène. 

La scène contenait au fond un écran blanc qui permettait de changer l’ambiance et le décor à chaque parti jouer. A gauche le chanteur avec ces instruments, à droite la maquilleuse qui gère le maquillage et les habits de Philippe pendant le spectacle, et devant à droite une table qui fait de la musique quand on la plie.

Conclusion: Je trouve que Philippe Decouflé et le chanteur ont fait du bon travaille pour ce spectacle. Les pages de pubs qui sépare les scènes joué, je les trouve original, bizarre mais drôle. En général, ce spectacle était comic et drôle car ses phrases et ses jeux de mots était bien réfléchi. Ça façon de danser comme quand il a fait semblant de nager par terre, c’était drôle. Quand il a chanté sa chanson “Dans se petit bal qui s’appelai, qui s’appelai, qui s’appelai. Non je me souviens plus du nom du bal perdu...”, Philippe avait le corps qui parle et la tête dans les mains, il ne trouvait pas le nom du bal et c’était fait de façon comic.

Son spectacle a commencé dans l’humour car il avait déjà commencer son spectacle mais, il s’est présenté juste après avoir commencer. De plus, ça m’a fait rire quand il a dit qu’il était tout seul à faire ce spectacle sur scène, c’est vrai certes mais il s’est mis à fixer celui qui lui tenait le micro pour qu’il se sente mal à l’aise et qu’il quitte la scène.

Sarah

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Bonjour à tous🤗, voici le premier épisode du 🔥crash test🔥 ,une chaîne de critique théâtrale 🎭montée par le Conseil des jeunes de la MC93.

Faite nous des retours et à très vite 😙

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Les Tourmentes

Introduction: 

Dans cet pièce de théâtre il y a deux scènes différentes jouer et entre les deux scène un changement de décor fait sur place. 

Résumer:

Tout d’abord le spectacle a commencé avec un grand silence qui a envahi tout la salle et une dame s’est placé dans le noir pour chanter des paroles afficher sur deux écrans; l’un placé au fond de la scène et l’autre devant la scène. J’avais l’impression que la typographie volait dans le vide. A chaque fois que la dame à la voix d’opéra chantait, un des personnages déguisé qui dansait lui coupait la parole pour expliquer au public que se que la chanteuse faisait c’était du n’importe quoi et qu’elle doit arrêter les frais. Deux personnages jouaient dans les rideaux et ils dansaient; ça faisait danser les rideaux.

Ensuite, on dirait qu’il y avait un jeux de marionnette entre un écrivain placer a droite sur une table suspendu qui écrivait une lettre. Les deux personnages en blanc écrivait sur le tableau de fond la date et puis ils se mirent à danser. Par la suite, le changement de décor a eu lieu et on y voyait tout l’atelier cacher derrière, les préparation des couleurs, les accessoires et organisations...etc. 

Enfin pour la deuxième scène, c’est deux personnages tout en blanc qui se sont placé en statue. Soudain, il y a eu une ambiance de courant d’air fort sur scène. Le grand homme tout blanc tenait un gros livre dans les mains pour essayer de pousser ce vent imaginaire. La petite fille toute blanche se trouvait derrière lui et elle avait du mal à s’accrocher sur la veste blanche du grand homme car le vent devenait de plus en plus violent. Le vent s’est arrêter et un tableau de craie se trouvait au fond de la pièce. Les deux personnages tout blanc se sont mis à dessiner des animaux qui courraient. Un homme en combinaison blanche est arriver. Il a vu les dessins sur le tableau et a commencé à les effacer à la bombe blanche. Ils dessinaient de plus en plus vite jusqu’au bord du tableau et la bombe blanche effaça tout et tout était à présent blanc. L’homme en blanc crachait et vomissait du sang partout et la pièce passait de blanc à rouge. Le grand homme blanc a fini enterrer dans le trou de la scène avec un livre sur la tète. Un moment, la femme s’est mise part terre et elle a fait la statue devant un tableau peint.

Conclusion: 

Au début du spectacle, j’ai trouvé ça bizarre qu’a chaque fois elle s’arrêtait de chanter tout les trois mots, et qu’elle reprenait normalement ou presque. Le texte était complètement démesuré et sa allait dans tout les sens. Dans la deuxième scène, les deux personnages tout en blanc ressemblaient au petites figurines de l’armée vert pour enfants version blanc et de taille XX. Ce spectacle je le trouve spécial, original mais bizarre car il avait absolument rien a comprendre. C’est plus visuel que moral au final. Le faite que la femme toute blanche se met dos à un tableau debout peint, sa donne un côté artistique, fou et, c’est comme si elle faisait une oeuvre d’art humaine. Tout les personnages de la pièce font n’importe quoi mais sa donne un ensemble artistique.

Pour ce spectacle, je me suis fait deux points de vue différents:

1) Dans la première pièce avec la dame qui chantait comme dans un opéra, on dirait qu’elle parlait de sa vie et que rien allait bien, tout était chamboulé, elle était perdu dans un TOURMENT de dépression et de délire assez fou. 

2) Dans la deuxième pièce avec les deux personnages tout blanc, on dirait une scène de voyage qui part en cacahuète. On dirait aussi qu’ils ont visité une grotte avec pleins d’animaux de la préhistoire, et puis qu’ils ont décidé de le reproduire sur tableau. Par rapport au décor et le trou dans le sol, on dirait qu’ils étaient en train de creuser une grotte ou un tunnel.

Sarah

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Radio Live #1

Introduction:  

Tout d’abord, ce spectacle s’est passé sur un plateaux studio avec une table ronde et des personnes étrangère à gauche, au fond de la salle se trouvait un écran pour faire défilé les photos et les vidéos de chaque histoires présenté, et à droite une graphiste qui dessinait sur une tablette graphique.

Trois histoires ont été présenté:

- La dame venant d’Afrique et la tribu des Tutsi                                                       - Le monsieur venant d’Algérie et ses musiques d’amour                                       - Les deux jumeaux créoles d’île Maurice

Résumer de chaque histoires:

L’africaine: La dame nous a parlé de l’endroit ou elle vivait avant, de sa nombreuse famille de cinq frères et trois sœurs. Ils se partageait les chambres et ils était tous ensemble soudée comme une bonne famille qui s’aime. On a vu sa mère en vidéo qui nous expliquait qu’elle se souvenait d’avant et des arrière grand-parents de la famille qui était là il y a longtemps. La dame nous a fait écouter une musique de son enfance, Lorie - ta meilleur ami. Cet chanteuse était très connu et écouter dans son pays et dans sa ville natale. Puis elle nous a fait écouter une musique de son propre pays. Par terre elle a dessiné sa maison ou elle et sa famille vivaient. La dame a présenté deux tribus en Afrique mélanger dans une classe, la classe de sa sœur. Mais sa sœur ne faisait parti d’aucune de ses tribus car elle connaissait pas les deux tribus dont l’une celle des Tutsi.

L’algérien: Ce monsieur nous a expliqué son arrivé à Paris et que deux filles l’on embrassée et sa l’a tout de suite dégoûter de Paris, car dans sa religion c’est considérer comme mal. Il nous a présenté sa ville natale et les musiques en arabe qui lui rappelle ses propres souvenirs ainsi que sa vie. Le monsieur est également passionné par la langue de la France. Une lettre de son ami qui lui est adresser, que son ami a appris par cœur lui a fait chaud au cœur. Quand il était plus jeune, il a fait la guerre contre l’Islam et lui et les autres personnes algériennes étaient tous habillés pareil car il y avait pas d’autre habits. On a vu des photos de sa ville natale.

Les jumeaux créole: Oliver (celui qui a raconter toute l’histoire) et Owen (celui qui parlait pas trop). Oliver disait qu’il était quelqu’un d’optimiste et qu’il voulait aider la planète de tout ces déchets qui pollue. Quand ils sont venue en France, les contrôleurs les ont pris pour des trafiquants de cannabis à cause de leurs apparences. Des son arrivée en France, ont a fouillé dans leurs valises. Oliver nous a montré sa maison à l’île Maurice et sa ville natale. Ont a vu des photos de sa ville et de sa famille. Toute cet aventure qui ont parcouru à deux et loin d’être fini à l’avenir car ils ont pleins de projets futur. Oliver nous a parler de ses souvenir et de sa jeunesse avec son frère.

Conclusion et mon avis personnel:

L’unité de ce live c’est l’amour car chacun raconte sa propre façon d’aimer ce qu’il à vécu dans le passée comme dans le présent:

- L’africaine: On sentait l’amour dans sa famille                                                     - L’algérien: Il est tombé tomber amoureux de la France et dans le futur il   compte bien y rester et devenir français                                                                 - Les jumeaux créole: Son grand jardin de plantes qu’il cultive, Oliver a décidé   de le faire pour sa mère car elle a eu un cancer, et donc par amour pour sa   mère il prend soin de ses plantes

Chaque personnes avaient un accent différents (africain, créole et arabe). Ils avaient tous une histoire et une culture différente. Olivier, l’un des jumeaux ressemble beaucoup à Michael Jackson. En général, je trouve que chaque histoire était intéressante car ça montre bien qu’on à pas tous la même vie, les même souvenirs (On peut avoir des souvenirs liée mais non identique) et que chacun de nous à crée sa propre histoire et son propre chemin de destin. Ce radio live était un vrai direct car tout était fait sur place comme les photos et les vidéos montrés au publics, les différentes présentations et même le discours de chacune des trois histoires.

Sarah

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#RadioLive #Mc93 #crashtest

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Nachlass, Mon histoire

Mon texte de présentation

“Bonjour, je m’appelle Sarah et voici ma vie, mon chemin. Au fait sur la table vous allez trouver des cocktails fruités à votre dispositions. Allez y, servez-vous c’est gratuit ! C’est un cadeau du voyage de ma vie. Sur la table se trouve mon parfum préféré. Il sent bon n’est ce pas? Vous pouvez le sentir, il sent plusieurs sortes de fleurs différentes. On dirait que chaque odeur de fleur signifie un souvenir ou un voyage. En dessous de la table se trouve tout mes souvenirs. Les bons des mauvais souvenirs de la vie, mes vacances, mes écrits et mes photos. Tout ces souvenirs sont parti avec moi dans ma mémoires pour toujours. La jeune fille sur la porte c’est moi en ce temps là. Je profitais bien de la vie avec mes amies et ma famille. En pleins milieux de la pièce se trouve une piscine bleu avec des fleurs. La piscine représente mon élément préféré, l’eau car j’aime beaucoup la mer, les lacs, le canyoning et la plongée sous-marine. Ces trois couleurs : bleu océan, saphir et marine sont mes couleurs préféré. Pour moi c’est les plus belle couleurs parmi les autres couleurs d’une palette. Les fleurs de la piscine avec celle se trouvant au sol représente chaque souvenirs et chaque moment que je considère comme important dans ma vie.”

“La plupart de mes meilleurs souvenirs, se sont passer en été, se qui expliquerait un soleil aussi imposant au plafond, suivi des oiseaux qui volent vers vous.”

“Voila mon histoire...”

Ma futur mort 

En premier lieu, c’était les vacances d’été et avec mes trois meilleurs amies je suis parti m’amuser au soleil à la montagne. C’était super, on a fait pleins d’activités drôles. On a joué au gage et moi je devais me déplacer sur une planche placer dans le vide, aller et retour jusqu’à la terre ferme. La planche était suspendu au dessus d’un grand lac d’un bleu magnifique ! Soit mais extrêmement profond. On ne voyait pas le fond de l’eau tellement le bleu était sombre, presque noir.Ensuite, mon ami Eloïsa m’a vu en galère face au vide. Elle s’est approché de moi et ma tendu la main, voyant que j’était à deux doigt de tomber. En attrapant sa main, Eloïsa m’a fait perdre l’équilibre et je suis tombée dans l’eau. J’ai essayé de revenir à plusieurs reprise sur la terre ferme mais en vain. Finalement, j’étais en train de couler et le courant m’emportait. Mes amies m’appelaient en criant : “Sarah Sarah revient, tu va trop loin et le courant devient fort au loin”. Tout et allé très vite ! J’arrivais de moins en moins à remonter à la surface et quelques minutes après, j’ai littéralement couler en eau trouble de plus en plus profond. Je voyais flou autour de moi et le bleu de l’eau devenait de plus en plus sombre. J’étais perdu et le manque d’oxygène était là.J’étais parti... comme dans un monde parallèle ! Je remontais prêt de la chaleur du soleil et, j’avais cet impression de revenir à ma naissance. Je me sentais si légère et si nouvelle comme le début d’un nouveau commencement. J’étais morte avec le cœur en joie !

Sarah

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Nachlass, une expérience à vivre

Que voulez-vous laisser en héritage ?

           Nachlass, qui signifie littéralement « laisser après » ou « héritage » en allemand, n’est pas une pièce ordinaire. En vérité, il ne s’agit pas d’une pièce de théâtre.

           Un « sas » blanc mais plongé dans une pénombre, créant une atmosphère assez… glauque et peut-être déprimante… Sur le plafond, un planisphère représentant les morts en temps réel : de quoi vous plonger, vous mettre dans l’ambiance globale de la pièce. Un ensemble de portes automatiques avec un chronomètre au-dessus de l’encadrement.

           Rouge : le temps qu’il reste avant que la pièce ne s’ouvre. Blanc : le temps qu’il reste pour entrer dans la pièce. Huit portes différentes donc huit pièces différentes, chacune aménagée selon la personne pour qui la pièce a été créée.

           Huit portes, huit pièces, huit personnes différentes, personnes décédées pour la plupart.

           Dans chaque pièce, une bande-son en fond qui accompagne le décor, un enregistrement de la personne concernée. Elle raconte sa vie, son vécu, son passé, son histoire.

           Héritage, mémoire et dignité.

           Ces trois mots, à eux seuls, résument l’intégralité de Nachlass. Les personnes dont on a recueilli le témoignage raconte leur histoire d’une manière forte et touchante, expliquant ce qu’elles décident de laisser après leur mort en héritage, la pièce allant avec. Elles remontent dans leur mémoire pour nous partager leurs souvenirs et marquer la nôtre. Elles parlent avec beaucoup de dignité de leur vécu mais aussi de comment elles font face ou envisagent la mort, leur mort : certaines de façon positive, d’autres négative.

           Enfermés dans cette pièce où elles nous parlent, s’adressent à nous, pièce construite à leur image, selon leur volonté, on se sent tout de suite et étrangement plus proches d’elles, intimes, même si on ne les aura jamais connues. Ce qui est d’autant plus frappant, c’est qu’il s’agit de témoignages de vraies personnes, personnes qui ont vécu des expériences différentes les unes des autres : certaines avaient encore des projets, d’autres avaient tout accompli et quelques-unes n’attendaient plus rien de la vie.

           En écoutant défiler les bandes-son, remplies d’émotions comme le regret, la tristesse, le soulagement, la peur ou encore la satisfaction, pièce après pièce, personne après personne, histoire après histoire, on est plongés dans un mélange, un tourbillon de sentiments qui nous touche profondément. Personnellement, c’est ce que j’ai ressenti : Nachlass, c’est touchant, marquant : on n’en sort pas indemnes, quelque chose remue au fond de soi. Nachlass vous pousse à vous poser vous-même la question.

           Que souhaitez-vous laisser en héritage ?

Thénène

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Nachlass Pièces sans personnes

Ma présentation 

Au début, on n’est entrée dans un couloir à huit portes et huit nom, avec un plafond qui représentait notre terre. Chaque mort était indiqué en point blanc et chaque portes avait une histoire, de la vie jusqu'à la mort et même après la mort. Tout les personnages sont mort et sa indique aussi pourquoi les pièces sont moins joyeuse.

Les huit pièces 

1) Une petite salle à manger avec plusieurs chaises, une table ronde avec pleins de photos représentant ces souvenirs, toute la vie de cet dame morte, deux réveils réglé sur 10 minutes et une radio qui émet de la musique toute seul.

2) Un Base Jumper qui a appelé sa fille de façon tellement normal et naturel avant de sauter dans le vide et de mourir.

3) Une pièce complètement blanche avec des casques, à l’intérieur de la machine se trouve un miroir de forme triangulaire. Un monsieur nous raconte sa vie de sa naissance jusqu’à la retraite, puis dans le sens inverse. Ensuite il a crée comme une sorte de lien entre son visage et nos visages avec nos réflexions à travers les différends miroirs du triangle.

4) Une pièce de théâtre avec les chaises anciennes, la scène et les rideaux rouge comme dans le temps. Quand les rideaux se sont ouvert, un pull blanc sur un tabouret en bois. Cet impression que son âme n’a pas quitter le pull, comme si elle y était très attaché. La pièce de théâtre de cette vieille dame date de ses 12 ans quand elle était chanteuse.

5) Le monsieur turc à la Mosquée qui fait sa prière sur un tapis, accompagné de ces gâteaux poudré, puis il a raconté son histoire tranquillement et sa vie quotidienne.

6) Une chambre avec un lit, une commode contenant des crochets de cannes a pèche et une télé expliquant la vie du papa avant sa mort. Son passé avec sa vie, sa fille et sa cannes à pèche sont à mon avis ses meilleurs souvenirs.

7) Cet pièce contient un bureau, des gobelets en forme de connes, des stores qui montrai le jour puis fur et à mesure qu’ils discutaient, le coucher du soleil apparaissait. Deux tablettes ont affiché le dialogue futur d’un couple mort, à travers deux écrans comme si il était présent sous forme d’âme. Ces deux sièges les représentant.

8) Une pièce rempli d’archives, de cartons et de paperasse qui indique tout les voyages de la dame à travers le monde.

Mon Bilan 

Ces huit pièces ont trois liens en commun : la vie, la mort et après la mort. Chaque pièces généralise une vie entière jusqu’à la mort, voir même dans le futur après leurs mort. Ils racontes leurs souvenirs et les éléments important de leurs vies. Leurs façon de faire passer leurs messages futur après leurs mort, ils ont utilisé des enregistrements, des vidéos, des images et des anciens dossiers écrits pour faire comprendre au spectateur les ressentis, les bonheurs et les joies, le passée avant que le temps et la mort les rattrape. Quelque part, même en étant spectateur, on se sent visé car un jour nous aussi on va tous mourir, chacun son tour comme indiquer dans le hall. Nous aussi on va partir avec notre propre passée et nos propre souvenirs.

Mon point de vue

Je trouve que c’est effrayant le faite de rappeler qu’on va mourir un jour, et puis on ne peux pas choisir quand ça va arrivé. Sa peux arrivé à tout moment et dans plusieurs circonstances différents car on n’a pas tous la même vie au final. J’ai ressenti de la tristesse parce que l’ensemble de ce spectacle est plutôt froid. Sa fait un peu peur et sa fait réfléchir sur sa propre vie. La pièce que je préfère c’est la table ronde, le réveil et les photos, puis celle que j’ai pas aimer c’est la pièce toute blanche avec les casques. Cet pièce est devenue plus effrayante et étrange quand ces photos sont passée de la retraite à la naissance. Son visage est passé d’une personne joyeuse et souriante à la retraite, à une personne triste et mécontente à l’enfance. J’ai ressenti de la peur dans cet pièce.

Sarah

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Sarah

La Princesse Maleine

Mon bilan sur la pièce 

Je trouve qu'il y a beaucoup de dialogues entre les personnages : La Princesse Maleine, la reine et le roi qui sont important dans l'histoire. La fameuse phrase: “Ils furent heureux jusqu'à la fin” et une phrase inversé des événements final de la pièce. Les deux amoureux ont leurs histoire d'amour ensemble, ont vécu des moments ensemble et à la fin il meurt ensemble, malgré le bonheur qui se termine en malheur. Du début jusqu'à la fin de la pièce, l'eau (froide et glacé) et l’élément le plus présent de toute la pièce. L'eau sa donne soif et sa rend le château et le marrai glacées. Tout les objets sur la table était en glaces, près du marrai il y a des cascades d'eau, le verre d'eau fraîche de Maleine, celui du roi et quand il a manger les glaçons par terre tout nu. D'ailleurs c'était une scène que j'ai trouvé drôle mais en général c'est une pièce intéressante. Vers la fin de la pièce, au moment ou le roi devient pale, fou, perdait la raison par des étourdissements et évanouissements, c'est à cause de la vérité non dévoilé de la mort de la princesse Maleine. Le roi en a eu marre et a dénoncée la reine en disant qu'elle a étrangler violemment, puis le futur Prince triste et en colère l'a tué sans pitié à son tour, puis s'est tué pour mourir auprès de sa Princesse Maleine. Mon résumer de la pièce 

Tout d'abord, la pièce à commencer par un chanteur/guitariste qui jouait pour commencer la pièce et à chaque scène. Au début, tout les personnages s’installent autour d'une table pour discuter du projet de fiançailles des deux rêveurs. Puis, on comprend très vite que la reine n'est pas d'accord que la Princesse Maleine soit amoureuse de cet homme (futur Prince), c’était illogique et immature. Certes, ils aimaient vraiment mais la reine ne voulait surtout pas de fiançailles. Dans une autre scène, La servante et la princesse Maleine avait quitter le château pour observer en hauteur le soleil et les alentours, on dirait que c'était la première fois qu'elle voyait cela.

Ensuite, en progressant dans la pièce, le futur prince et la princesse se sont vu en cachette autour du marrai pour faire connaissance, prêt des cascades ils se sont encore plus rapprochés et se tournait autour comme si il voulais jamais se quitter. Derrière leurs bonheur, la reine qui préparait un mauvais coup sans que personne se doute de quelque chose au château. Dans l'une des scènes de la Princesse Maleine, j'ai remarqué qu'elle disait souvent “j'ai peur, j'ai peur…” comme si elle avait eu mauvais pressentiment, une grande peur ou que les fiançailles causeront trop de problèmes. 

Enfin, la reine a tué la princesse par jalousie pour que l'autre jeune femme (celle qui s’apprêtait pour le futur prince) la remplace. Cet jeune femme a essayé des robes et se faisait belle pour le futur prince. Maleine à ce moment la n’était qu'une esclaves qui passai la serpillière au yeux des deux femmes. Maleine dévoila son identité au moment de la maladresse avec l'autre jeune femme et devant le futur prince qu'elle aime. L'histoire a bien commencé et c'est mal terminé.