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Note
Merci pour tes réponses aux questions anonymes. Tes idées sur la différence entre le postmodernisme aux États-Unis et en France sont vraiment intéressantes. Selon moi, il y a un grand problème aux États-Unis où le monde académique a le pouvoir de contrôler la narratif sur des théories sociales, par exemple comment doit-on discuter les femmes, les personnes lgbt, les POCs, etc. Toutefois, les personnes ‘ordinaires’ (ce qui inclut ces groupes) doivent discuter et parler dans la même façon que l’académie. De plus, les personnes ‘ordinaires’ n’ont pas le droit de communiquer sur ces issues parce qu’elles ne connaissent pas le langage académique sur ces issues. L’académie, pour la plupart, est contrôlée par les personnes plus riches et plus privilégiées que les personnes ‘ordinaires’. C’est pourquoi l’académie contrôle les narratifs sur les théories postmodernes (par exemple les études sur femmes, genre, sexualité, race, etc) : les personnes qui sont sur le premier niveau de la hiérarchie académique contrôlent ces narratifs et, par résultat, peuvent empêcher les personnes ‘ordinaires’ de discuter ses oppressions. Quand les personnes ‘ordinaires’ (qui inclut des personnes LGBT, la classe ouvrière (working class ?), POCs, etc) discutent ces topics, c’est incorrect parce qu’elles discutent ‘incorrectement.’ Donc il est très difficile pour les groupes des personnes ‘ordinaires’ de développer des grands mouvements pour les droits de groupes marginalisées. Par résultat, les discussions et les mouvements restent sur les discussions académiques qui sont, pour la plupart, trop concernant sur les mots et les nouveaux vocabulaires.
[Qu’est-ce que tu penses sur mon français ? J’ai essayé mais les prépositions et la grammaire sont difficiles ! Je ne peux pas trouver comment dit-on ‘professional managerial class.’ Et pour un blogue sur tumblr, on utilise tu ou vous ?]
[ ton français est super! Franchement c’est vraiment bien surtout pour des sujets aussi difficiles. Professional managerial class en français on utilise l’acronyme CSP+ qui veut dire « Catégorie Socio-Professionnelle Supérieure ». Et sur un blog en général on tutoie! ]
Je pense que la différence chez nous c’est aussi qu’on a une loi qui pénalise l’incitation à la haine, donc en gros quand des gens commencent à se plaindre et à tenter d’empêcher certains propos d’être tenus, alors on les incite à porter plainte et c’est la juridiction qui tranche. Donc on a beaucoup moins de réflexes de censure « politiquement correcte » pour cette raison, parce qu’il y a une barrière légale et pas seulement une barrière morale dont le positionnement va varier en fonction des interlocuteurs.
C’est d’ailleurs ce que j’ai toujours trouvé paradoxal dans la version américaine de la liberté d’expression, parce que par refus de donner un cadre légal on se retrouve avec des gens qui se comportent comme des censeurs de la pire espèce et avec d’autres qui peuvent allègrement diffuser des idées racistes et haineuses qui leur vaudraient chez moi de gros ennuis judiciaires.
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Janvier 2023 - Semaine 1 - Mot 1
Quand j’étais p’tite, on me surnommait “le dictionnaire”. Ça se voulait pas tant un compliment, mais avec le recul, je vais me dire que ç’en était un. J’ai - d’aussi loin que je me souvienne - adoré ces ouvrages: la finesse du papier, leur odeur, tout ce qu’il contienne. J’ai déjà mémorisé les dix premières pages de la lettre “A”, par plaisir. Pour moi, posséder plus de mots, ça toujours été une manière de me sécuriser, de me dire que je pouvais mieux saisir ce qui m’entoure parce que je pouvais le nommer et le faire avec les nuances appropriées.
***
Alors, cette année, j’ai le goût de revenir à une plateforme qui m’a vue un peu naître, il y aura 10 ans, en août, avec Les p’tits pis moé. Revenir au blogue comme un espace de jeux. À chaque semaine, choisir un mot et le circonscrire. Faire un dictionnaire de l’ordinaire, thème que j’affectionne particulièrement. Une sorte d’exercice, un clin d’oeil aussi à un film que mes désormais grands et moi aimons regarder souvent, Julie & Julia, dans lequel la protagoniste se met au défi de faire une recette de Julia Child par jour et raconte le tout sur son blogue, pratique naissante à l’époque.
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“Saveur”
Cela fait bientôt six semaines que je suis privée de ma capacité à goûter, à sentir parce que Covid. On peut facilement concevoir que tousser, avoir mal à la gorge, mal à la tête, c’est désagréable. On ne sait pas ce que ça fait que de perdre deux sens avant que ça se produise, on ne peut pas présumer ce que ça enlève et charcute au jour le jour comme repères. À quel point ça rend le fait de manger absurde alors que c’est sans doute l’un des gestes les plus vital qui soit.
J’imagine que c’est pour cela que je vais commencer l’année en parlant de la saveur des choses. Celle qui donnent du relief, un sens à ce qu’on dit et fait et pense. Ce n’est pas pour rien, je crois, qu’on dit “avoir le goût de”: la saveur donne à la fois une tonalité à nos états et à nos actions et a à voir avec nos impulsions, notre capacité à se mettre en mouvement. Perdre la capacité de percevoir ce que goûte l’existence, c’est aussi perdre des raisons de s’y engager ou devoir se raccrocher à d’autres, voire en inventer d’autres.
Je te souhaite donc un 2023 savoureux, qu’il goûte bon, littéralement. Et qu’il goûte multiple. Qu’il te donne l’envie d’y coller ta langue.
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Ce que j’écoute en boucle et chante très fort dans ma voiture: “Beach Bodé” de Bermuda [ https://www.youtube.com/watch?v=VGld83zVQEM ]
Citation qui m’a émue: “Je ne suis pas sûre de croire au bonheur comme à un état habitable à long terme.”, Dominique Fortier, Quand viendra l’aube, Alto, p. 62 - (c’est un livre à lire en petits moments, il fait réfléchir sur l’écriture, la mort, la dentelle des jours; les mots n’y disent pas tout, il y a beaucoup de retenue et donc d’espace pour que la lectrice/le lecteur respire avec le texte)
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Ford Ranger XLT Lariat, Experience Defender et Ford A
Le 20 juin 2024
(Avant de commencer cette parution, sachez que Tumblr m’a indiqué que mon blogue fêtait ses neuf ans d’existence! C’est pour dire que ce texte est le premier d’une dizaine d’années de ce blogue!)
Le pick-up intermédiaire Ranger de Ford a été complètement redessiné pour 2024. Toutefois, les ventes étant ce qu’elles sont, Ford a décidé de nous le proposer qu’en une seule version, celle avec la cabine à quatre portes et la caisse courte (cinq pieds au plancher).
Les ventes étant ce qu’elles sont? En effet, il fut un temps où les Ford Ranger étaient de petites camionnettes très populaires, leurs dimensions étant raisonnables et leur mécanique plutôt modeste. C’était l’époque où les jeunes conducteurs préféraient ce genre de véhicule non seulement pour leur coût d’achat abordable mais aussi pour les coûts d’assurance modérés. Malheureusement, le marché a changé et les gros pick-up leur ont « volé » leur popularité…Et les prix ont changé à l’avantage des F-150 et autres grands pick-up. On en est venu à un point où les ventes des Ranger (tout comme celles des Chevrolet S-10/Colorado et GMC S-15/Canyon) ont périclité forçant les constructeurs à les abandonner. Il ne resta plus que les Nissan Frontier et surtout les Toyota Tacoma dans ce segment, ces derniers accaparant le marché.
Mais, encore une fois, le vent a tourné, GM a ramené les Colorado et Canyon forçant Ford à relancer la gamme Ranger. Toutefois, le jeu avait changé. Les plus petits pick-up étaient devenus plus imposants adoptant ainsi le style des camionnettes intermédiaires. Ford s’est d’abord fié au look de ses Ranger d’outre-mer pour relancer la marque en Amérique mais ce n’était pas suffisant pour se mesurer surtout aux Tacoma ( ces camionnettes étant aussi redessinée pour 2024-25). C’est pourquoi vous voyez une toute nouvelle Ranger nous arriver. Incidemment, Ford vient d’y ajouter une version Raptor mais je garderai celle-ci pour plus tard.
Le pick-up intermédiaire Ranger est tout nouveau pour 2024. Il ressemble beaucoup au F-150. (Photo Éric Descarries chez Pepinor)
Le pick-up Ranger que vous voyez ici affiche une ligne fortement inspirée de celle commercialisée partout ailleurs dans le monde. Et l’on voit bien que celle-ci est vivement inspirée de celle des plus grandes camionnettes F-150. Je vous laisse, encore une fois, juger de vous-même de la beauté (ou laideur, c’est selon) du véhicule mais en général, il est bien accepté du public quoiqu’il ne se détache pas tant que cela des autres camionnettes du genre.
Vue de l’arrière, on constate que la ligne du Ranger a été vraiment révisée. Notez qu’il y a maintenant des marchepieds pour accéder plus facilement à la caisse. (Photo Éric Descarries, toujours chez Pepinor)
L’intérieur de la Ranger a aussi été revu. Il est évidemment plus moderne que celui de la génération précédente (mais pas tellement plus logeable) avec un tableau de bord plus élaboré incluant des commandes électroniques telles qu’exigées par le marché actuel. Bien entendu, l’écran de la navigation et de la caméra de marche arrière est impressionnante. Vu qu’il n’y a qu’une seule version disponible (CrewCab), toute nouvelle Ranger à quatre portes peut accepter cinq personnes à son bord. Et si l’avant est relativement confortable (avec ses deux sièges baquets et sa large console incluant le levier de changement de rapports et les commandes de la motricité), le compartiment arrière n’est pas si généreux. Il s’adresse plutôt à de jeunes passagers, surtout pour de longues distances. Toutefois, les designers de Ford ont vu à ajouter plus de petits rangements à la cabine de la Ranger ce qui sera pratique.
Le tableau de bord a, lui aussi, été modernisé. Il est également plus élégant! (Photo Éric Descarries)
Les places arrière peuvent être un peu étroites pour de grands adultes mais relativement confortables pour des jeunes ou des enfants. (Photo Éric Descarries)
Sous le siège, on trouve de petits compartiments pour cacher des objets précieux. (Photo Éric Descarries)
La caisse, elle, n’est pas si grande avec à peine cinq pieds de plancher. Mais elle pourra s’avérer pratique pour de petits transports. Il n’est toujours pas possible d’y glisser le traditionnel panneau de 4 x 8 entre les ailes mais, au moins, Ford a vu à ajouter certaines marches pour accéder plus facilement à l’espace de chargement. Petit détail qui peut sembler insignifiant mais qui compte, le constructeur a vu à ajouter des règles à mesurer dans la finition intérieure (en plastique) du panneau arrière!
La caisse n’est pas très profonde mais elle demeure très utile pour transporter du matériel encombrant. (Photo Éric Descarries)
Une mécanique impressionnante
Question mécanique, les Ranger 2024 sont désormais disponibles avec le quatre cylindres EcoBoost de 2,3 litres qui équipait mon véhicule d’essai mais, depuis tout récemment, il y a au catalogue de cette camionnette un V6 turbocompressé (EcoBoost) optionnel de 2,7 litres alors que la version de performance Raptor arrivera avec le V6 EcoBoost de 3,0 litres de 415 chevaux). Donc le puissant quatre cylindres DACT turbocompressé de 2,3 litres fait 270 chevaux et 310 li-pi de couple (il y avait des V8 dans les grands pick-up du passé qui n’affichaient même pas cette puissance) et il est combiné à une boîte automatique à 10 rapports et à la motricité aux quatre roues sur demande (toutes les Ranger arrivent avec la fonction 4 x 4 en équipement standard). La capacité de remorquage est de 2500 à 3400 kilos (maximum de 7500 livres!) alors que la capacité de charge grimpe jusqu’à 1700 livres. Le véhicule pèse quand même autour de 4500 livres! N’oublions pas que le châssis est un cadre rigide à deux longerons. La suspension avant est indépendante mais à essieu rigide à l’arrière ce qui provoque des soubresauts sur pavé inégal. Le freinage est à quatre disques et la direction assistée électrique est du type à crémaillère.
Le moteur de base est le même quatre cylindres DACT EcoBoost de 2,3 litres qui fait 270 chevaux! (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Forcément, le pick-up Ranger de 2024 est nettement mieux sur la route que ses ancêtres. Toutefois, alors que la direction et le freinage sont tellement supérieurs, la suspension des Ranger 4 x 4 conserve cette caractéristique de fermeté qui peut les rendent inconfortables sur routes moins bien entretenues.
Le problème n’est pas aussi perceptible en ville que sur autoroute mais j’ai découvert un problème désagréable en conduisant mon Ranger XLT à Montréal. En effet, tous les Ranger sont équipés d’un système d’arrêt-départ du moteur lorsque le véhicule est immobilisé pendant un certain moment (comme à un feu rouge). Le système fonctionne bien aidant à économiser (un peu) l’essence sauf qu’à la relance du moteur, une importante vibration se fait sentir dans la cabine. La solution à ce désagrément? Neutraliser le système avec la commande à la console. Mais…
L’autre désagrément que j’ai expérimenté est au niveau de la tenue de route sur pavé endommagé. Dans mon cas, c’est sur un joint d’expansion d’un petit pont sur l’autoroute qui j’ai senti un déport de l’arrière du véhicule. Suspension trop rigide? C’est un peu le défaut de ces petits pick-up 4 x 4 « haut de gamme ». J’en ai vécu du pareil au volant d’un tout nouveau Toyota Tacoma TrailHunter…
Autrement, le Ranger est agréable à conduire et donne l’impression d’être bien construit. Ses performances sont respectables avec une accélération de 0 à 100 km/h en quelques sept secondes et des reprises très rassurantes. La visibilité y est aussi respectable. Bien entendu, ce n’est certes pas une voiture de luxe mais son aménagement intérieur relativement luxueux invite à de longues randonnées.
Question de consommation, j’ai calculé une moyenne de 10,6 l./100 km à la pompe ce qui ressemble aux 11,0 l./100 km annoncés par l’ÉnerGuide canadien. Toutefois, ce qui m’a fait sursauter un peu, c’est le prix. Si l’on revient aux dernières versions de cette camionnette avant que sa production ne soit abandonnée pour être reprise tout récemment, plusieurs jeunes pouvaient se procurer un Ranger de base à un prix très abordable. Dans le cas du XLT Lariat dont il est question ici, le prix de base est de 54 320 $. Avec ses 4385 $ d’options (surtout pour des fonctions de remorquage) qui incluent les 100 $ pour la taxe fédérale sur la climatisation et les 2095 $ de transport et préparation, la facture finale monte à 60 800 $ (dans le cas du Raptor, le prix de base est plus près de 80 000 $ alors que le prix d’un Ranger XL de base, ce prix tourne autour des 44 000 $. C’est peut-être ce qui fait que plusieurs acheteurs intéressés peuvent alors lorgner du côté des grands pick-up. Mais ils ne trouveront pas l’agilité et les avantages des dimensions raisonnables du Ranger.
J’ai eu l’opportunité de conduire le Ranger durant la même période où j’ai pu mettre la main sur un tout nouveau Toyota Tacoma. La version que vous voyez ici est de la finition TrailHunter dont le prix tournerait autour des 85 000 $ ! Il ferait plutôt concurrence à la version Raptor du Ranger (autour des 80 000 $). (Photo Éric Descarries)
L’initiative de Land Rover de Laval
Le concessionnaire lavallois Jaguar Land Rover de Laval m’a invité mardi dernier à l’ouverture de son nouveau « terrain de jeu », une véritable piste d’essai pour Land Rover Defender sur les installations d’ICAR à l’aéroport de Mirabel.
Jaguar Land Rover de Laval a inauguré sa piste d’essai à ICAR. (Photo Éric Descarries)
En fait, cette piste existait déjà mais elle a été réaménagée pour l’agence qui la mettra à la disposition des nouveaux acheteurs de Defender, véritable tout-terrain dans le domaine des VUS.
Peut-être pas impressionnante pour des professionnels de la conduite hors-route, la piste d’essai de Jaguar Land Rover de Laval sera certes intimidante pour certains néophytes! (Photo Éric Descarries)
Évidemment, il ne s’agit pas d’une piste de compétition mais plutôt d’un véritable terrain accidenté où les nouveaux propriétaires de Defender pourront découvrir en toute sécurité (un instructeur leur sera assigné) les possibilités de leur véhicule. Les dirigeants de Jaguar Land Rover Laval m’ont aussi dit qu’il serait possible aux propriétaires actuels de Defender de venir un mettre leur véhicule à l’épreuve après une entente avec l’agence. Voilà une initiative qui mérite d’être soulignée!
Une Ford Model A
J’ai rencontré mon ami Guy Dufresne cette semaine. Il conduisait un de ses véhicules préférés (après sa Model T 1912) soit sa Model A 1930…et, oui, même le soir! Je lui ai demandé quelques minutes de conduite pour en faire un reportage. Il a accepté…j’ai hâte!
(Photo Éric Descarries…pardon pour mon ombrage!)
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Saisir les opportunités immobilières offertes à Duvernay
Duvernay, un quartier dynamique de Laval, offre de nombreuses opportunités immobilières aux acheteurs et aux investisseurs. S’associer avec un courtier immobilier expérimenté à Laval est votre première étape pour naviguer dans ce marché dynamique. Des résidences luxueuses aux maisons familiales confortables, Duvernay offre une gamme variée de propriétés qui sauront répondre aux préférences de chacun.
Pourquoi choisir un courtier immobilier à Laval ?
Lors de la recherche de maisons à vendre à Duvernay, un courtier immobilier local à Laval peut offrir des avantages inégalés. Avec une connaissance approfondie des tendances du marché, des particularités du quartier et l’accès à des inscriptions hors marché, votre courtier immobilier à Laval est bien équipé pour vous guider aisément à travers le processus d’achat.
Faire équipe avec un courtier immobilier à Laval
Travailler avec un courtier immobilier à Laval, c’est bénéficier d’un service personnalisé et adapté à vos besoins. Que vous recherchiez la tranquillité de Val-des-Brises ou l’atmosphère vibrante des rues principales de Duvernay, votre professionnel de l’immobilier s’engage à vous trouver une maison qui correspond à votre style de vie et à vos objectifs d’investissement.
Dans le marché immobilier actuel, il est essentiel de prendre des décisions éclairées pour réussir ses investissements. Un courtier immobilier à Laval peut vous fournir les informations les plus récentes sur le marché et vous offrir des conseils stratégiques sur la façon de maximiser la valeur de votre investissement immobilier à Duvernay au fil du temps.
Bien que nous croyions que la ville de Duvernay possède plusieurs secteurs intéressants pour différents acheteurs et investisseurs, tels que Val-des-Arbres et Place de Navarre, ce blogue se concentrera sur notre banlieue préférée, Val-des-Brises.
Pourquoi nous aimons Val-des-Brises
L’un des quartiers les plus remarquables de Duvernay est Val-des-Brises, connu pour ses maisons luxueuses.Si vous appréciez les plus belles richesses de la vie, cet endroit est fait pour vous. Ici, vous trouverez des maisons qui sont :
Conçues avec un soin particulier pour les détails
Équipées d’appareils de cuisine haut de gamme
Spacieuses et joliment décorées à l’intérieur
Entourées de jardins bien entretenus et d’espaces extérieurs généreux.
Plus que de simples logements, ces maisons sont des symboles de prestige et d’exclusivité.
Le charme de Val-des-Brises
Val-des-Brises est l’un des secteurs les plus prestigieux de Duvernay. Ce magnifique quartier offre un mélange parfait de confort suburbain et de vie luxueuse. Imaginez vous réveiller en profitant d’une vue sereine sur des terrains joliment aménagés, tout en étant à quelques pas d’un centre de villégiature ou d’un centre commercial.
Ce qui distingue Val-des-Brises des autres quartiers, c’est son engagement en faveur d’une vie luxueuse. Chaque maison est dotée de finitions haut de gamme. Chaque aspect de la vie ici est conçu avec un souci d’élégance et un engagement envers la qualité. Les résidents bénéficient de ce que Laval a de mieux à offrir, y compris l’accès à de beaux parcs et à de bonnes infrastructures.
Vivre à Val-des-Brises, c’est profiter de l’équilibre d’une vie de banlieue paisible sans être trop éloigné de la ville.
En clôture
Votre voyage au cœur de Duvernay commence avec le soutien d’un courtier immobilier à Laval. Ne manquez pas la chance de réaliser le plein potentiel de vos aspirations immobilières dans ces endroits recherchés.
Saisissez l’occasion de donner vie à vos rêves immobiliers.
Communiquez avec un courtier immobilier chevronné de Laval et faites ce pas décisif vers la maison que vous avez toujours envisagée.
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ACHETER SA PREMIÈRE MAISON
Bienvenue sur notre blogue consacré aux premiers acheteurs de maison ! L’achat de votre première maison est une étape passionnante et mémorable de la vie, mais cela peut aussi être un peu intimidant. Dans ce blog, votre courtier immobilier à Laval vous aidera à explorer tout ce que vous devez savoir en tant que futur propriétaire pour vous préparer à cette aventure. De la constitution d’une mise de fonds à la recherche de la maison parfaite, en passant par des conseils financiers et fiscaux, nous couvrons tout. Alors, commençons !
Pourquoi Acheter Votre Première Maison ?
L’achat de votre première maison nest pas seulement un acte d’accession à la propriété, c’est aussi un investissement dans votre avenir. Voici quelques raisons pour lesquelles de nombreux aspirants propriétaires décident de franchir le pas :
1. Accumuler de l’équité Lorsque vous achetez une maison, vous commencez à constituer des fonds propres. Cela signifie que vous construisez une valeur nette dans votre maison à mesure que vous remboursez votre prêt hypothécaire et que la valeur de votre propriété augmente. Les fonds propres sont essentiels pour votre stabilité financière à long terme.
2. Stabilité et Liberté La propriété vous offre une stabilité résidentielle. Vous ne craignez plus les hausses de loyer ou les règles strictes imposées par les propriétaires. De plus, vous avez la liberté de personnaliser votre maison selon vos goûts et vos besoins, ce qui la rend vraiment vôtre.
3. Avantages Fiscaux En tant que premier acheteur, vous pourriez être admissible à des avantages fiscaux, tels que des déductions pour les intérêts hypothécaires et les taxes foncières. Ces avantages peuvent réduire vos impôts, ce qui est un avantage financier supplémentaire. Il y a aussi des programmes avec les RÉER (régime d’épargne retraite) d’utiliser le RAP (régime d’accession à la propriété) ou le nouveau programme conçu pour les premiers acheteurs le CÉLIAPP (Compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété.
Préparation Financière
Pour acheter votre première maison, il est essentiel d’être financièrement préparé. Voici quelques étapes à suivre pour vous aider à économiser de l’argent et à vous préparer à l’achat de votre maison :
1. Économisez pour la mise de fonds
La mise de fonds est la somme d’argent que vous devez verser initialement pour acheter une maison. Plus votre mise de fonds est élevée, moins vous aurez à emprunter. Cela signifie des paiements mensuels plus bas et moins d’intérêts à long terme. La mise de fonds minimum établit au Québec est généralement de 5% sous certaines conditions.
2. Établissez un Bon Crédit
Un bon crédit est essentiel pour obtenir un prêt hypothécaire à des taux avantageux. Assurez-vous de payer vos factures à temps, de réduire les dettes existantes et de maintenir un bon historique de crédit.
3. Prévoyez un Budget Réaliste Déterminez combien vous pouvez vous permettre pour votre première maison en fonction de votre situation financière actuelle. N’oubliez pas de tenir compte des coûts de clôture, des taxes foncières et des frais d’entretien de la maison.
Recherche de la Maison Parfaite
Une fois que vous êtes financièrement prêt, il est temps de commencer la recherche de votre maison idéale. Voici quelques conseils pour vous aider à trouver la maison parfaite :
1. Établissez une Liste de Priorités
Déterminez quels sont les éléments les plus importants pour vous dans une maison. Cela peut inclure le nombre de chambres, l’emplacement, l’espace extérieur, etc.
2. Travaillez avec un courtier Immobilier Un courtier immobilier expérimenté peut vous aider à trouver des propriétés qui correspondent à vos critères et vous guider tout au long du processus d’achat.
3. Soyez Prêt à Négocier Une fois que vous avez trouvé la maison de vos rêves, soyez prêt à négocier le prix et les conditions avec le vendeur. Votre courtier immobilier peut vous aider dans cette phase cruciale.
Conclusion
L’achat de votre première maison est une étape majeure dans la vie, mais avec une planification adéquate et les bonnes ressources, vous pouvez naviguer en toute confiance sur le chemin de l’accession à la propriété. Nous espérons que ce blog vous a fourni des informations utiles pour vous aider dans votre parcours vers l’achat de votre première maison. Bonne chance dans cette aventure passionnante !
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Séance #10- Et si l'IA prenait de la place... même au travail ?
Bonjour à tous et bienvenue dans mon troisième billet de blogue ! Nous allons parler ici d'intelligence artificielle et de son impact croissant sur nos emplois. Récemment, j'ai lu un article fascinant qui a attiré mon attention sur cette question et m'a incité à réfléchir davantage.
https://www.hbrfrance.fr/organisation/intelligence-artificielle-vers-une-radicalisation-des-enjeux-de-pouvoir-dans-lentreprise-60301
Imaginez-vous ceci : vous arrivez au travail et au lieu de recevoir vos tâches quotidiennes de votre supérieur, c'est un programme informatique qui s'en charge. Cela paraît incroyable, n'est-ce pas ? Eh bien, dans certains secteurs, cette réalité commence à se concrétiser.
Ces systèmes informatiques prennent en charge différents aspects de notre travail, comme la planification des horaires et la gestion des effectifs, ce qui peut soulever des préoccupations quant à notre rôle et notre autonomie professionnels. Ce qui me réconforte, c'est qu'il existe des démarches pour mieux comprendre comment ces programmes fonctionnent et comment ils influent sur nos conditions de travail. Par exemple, aux États-Unis, des chercheurs travaillent avec des travailleurs de plateforme pour étudier les effets de ces technologies sur leur emploi. Cette approche est importante pour garantir une certaine transparence et encourager la participation active des travailleurs dans l'utilisation de ces outils.
Les réseaux sociaux utilisent également des algorithmes pour déterminer le contenu que nous voyons, ce qui peut influencer nos interactions et nos opinions. Il est donc crucial de prendre en compte ces aspects dans les discussions sur l'intégration de l'IA dans le monde du travail.
Un exemple frappant de la façon dont les travailleurs peuvent influer sur ces questions est celui des scénaristes à Hollywood. Récemment, ils ont mené une grève pour défendre leurs droits face à l'utilisation croissante de l'IA dans la création de contenus. Cette mobilisation démontre que les travailleurs ont le pouvoir de faire entendre leur voix et de façonner les politiques relatives à l'IA au travail.
L'importance reste que les travailleurs soient pleinement impliqués dans les discussions et les décisions concernant l'utilisation de l'IA dans le monde professionnel. Nous devons nous assurer que ces technologies servent véritablement nos intérêts et ne compromettent pas nos droits et notre bien-être au travail. Merci de m'avoir lu et à bientôt !
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RÉUSSIR VOTRE VENTE : PROMOUVOIR VOTRE MAISON COMME UN EXPERT
Cherchez-vous à vendre votre maison comme un courtier immobilier chevronné ? Si c’est le cas, vous êtes au bon endroit. Dans ce blogue, l’Équipe Filteau vous guidera soigneusement à travers les étapes nécessaires pour que votre maison se démarque sur le marché, en commençant par la définition de votre public cible jusqu’à la création d’une inscription qui se distingue sur les réseaux.
Comprenez votre public cible
Pour maximiser le pouvoir d’attraction de votre maison, il est essentiel de connaître votre public cible. Adaptez vos efforts de marketing au type d’acheteur intéressé par votre propriété. Qu’il s’agisse d’un individu qui achète sa première maison, d’une famille à la recherche d’une maison plus spacieuse ou d’un investisseur à la recherche de propriétés à louer, la connaissance de votre public est la clé de votre succès.
Mettez de l’avant les particularités de votre maison
Un marketing efficace commence par la présentation du caractère unique de votre produit. Dans ce cas-ci, votre produit est votre propriété. Identifiez les caractéristiques les plus remarquables de votre bien immobilier et mettez-les en valeur dans votre matériel de marketing. Qu’il s’agisse d’une vue à couper le souffle, d’un magnifique jardin ou d’une cuisine récemment rénovée, assurez-vous que ces qualités resplendissent dans les photos et dans les descriptions de votre inscription.
Engagez un photographe
Des photos de qualité ne sont pas négociables dans le monde du marketing immobilier. Investissez dans une photographie immobilière professionnelle pour capturer les meilleurs angles de vue afin d’aller capturer le plein potentiel de votre maison. Des images bien composées peuvent faire toute la différence lorsque l’on cherche à attirer des acheteurs potentiels.
Partagez des visites virtuelles et vidéos guidées
Étant maintenant à l’ère du numérique, les visites virtuelles et les vidéos sont de plus en plus populaires sur le marché de l’immobilier. Elles offrent aux acheteurs potentiels une expérience immersive au sein de votre maison. Envisagez de concevoir une visite virtuelle ou une vidéo guidée pour susciter l’intérêt des acheteurs potentiels et les séduire.
Créez un Home Staging efficace
Le home staging est l’art de présenter votre maison pour qu’elle soit la plus attrayante possible. Que vous fassiez appel à un professionnel ou que vous suiviez des conseils en la matière, veillez à ce que votre maison soit accueillante et séduisante pour les futurs acheteurs. La mise en scène aide les intéressés à s’imaginer vivre dans l’espace, ce qui peut conduire à des offres plus rapides et plus lucratives.
Formulez des descriptions convaincantes
Rédigez des descriptions qui racontent une histoire captivante au sujet de votre maison. Utilisez un langage descriptif et émotionnel pour peindre une image vivante de ce que cela représente de vivre dans votre espace. Mettez en avant non seulement les aspects physiques, mais aussi le style de vie que la propriété peut offrir.
Utilisez les plateformes en ligne
Étant donné que la plupart des acheteurs commencent leur recherche en ligne, il est impératif d’inscrire votre propriété sur les sites et sur les plateformes immobilières les plus populaires. Rédigez une inscription convaincante et précise, et tenez-la à jour. Dialoguez avec les acheteurs potentiels et répondez rapidement aux demandes de renseignements.
Tirez profit des médias sociaux
Intégrez le marketing des médias sociaux à votre stratégie. Partagez votre inscription sur diverses plateformes de médias sociaux, telles que Facebook, Instagram et “X” (anciennement Twitter). Utilisez des images accrocheuses et un contenu engageant pour atteindre un public plus vaste.
Fixez un prix compétitif
Il est impératif de fixer correctement le prix de votre maison. Étudiez le marché local, analysez les ventes récentes et consultez un agent immobilier pour déterminer le prix de vente optimal. Une maison bien évaluée a de meilleures chances d’attirer des acheteurs motivés.
Soyez ouvert aux négociations
Préparez-vous à négocier. Il est fréquent que les acheteurs fassent des offres inférieures au prix d’inscription. Tenez compte des facteurs tels que vos échéances personnelles, les fluctuations du marché et la désirabilité de votre maison lorsque vous répondez à des offres.
Clôture
En suivant ces conseils et en faisant appel à des professionnels si cela est nécessaire, vous devriez être sur la bonne voie pour réussir à vendre votre maison. La patience, la préparation et une approche proactive seront vos alliés sur le chemin du succès de la vente. Bonne chance !
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Devenir une autorité dans votre domaine
Devenir une autorité dans votre domaine
Blogue : Devenir une autorité dans votre domaine Comment faire pour commencer à bloguer et comment devenir une autorité dans votre domaine? Tout commence par la passion! ensuite il s’agit de partager des connaissances et des informations qui ont de la valeur pour vos lecteurs. Ensuite il s’agit de le faire sur une base régulière… Bon, commençons par le début. 1. La première étape est de commencer…
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Punk + Monster
Je ne sais plus qui a trouvé qui en premier. Est-ce que j’ai liké une de ses photos en cherchant des images pour @montrealmagique ? S’est-il abonné à un de mes 19 blogues (oui 19) ?
Lui il dit que c’est quand j’ai liké un de ses posts où on voit deux lignes de coke sur un joli cul rebondi. « So WL, what's new? Where in MTL are you? I'm in Sud-Ouest. » On a commencé à s’écrire très naïvement, avec des soupçons de flirt très très très discrets. Les meilleures histoires commencent toujours comme ça.
C’était il y a 5 semaines.
Une semaine plus tard j’allais le rejoindre dans un dive bar à côté de chez moi. Je ne fais jamais ça, rencontrer quelqu’un de Tumblr après juste une semaine. Je devais vraiment lui faire confiance.
Quelques tequila soda ont suffit pour qu’on s’embrasse. Pis qu’on agisse comme si on était amoureux. Déjà je lui disais ce que je voulais comme relation, et il n’avait même pas peur. Il voulait la même chose que moi. Pis je le trouvais vraiment handsome, gentil, drôle, blablabla. Intelligent aussi.
Le premier soir je lui ai dit que ouin, on est peut être un peu délinquants trash kinky tous les deux, que ce serait vraiment merveilleux de se faire des lignes comme sur son post mais que je devais faire très attention à ça, parce que j’aime beaucoup trop ça. Pour l’instant ce n’est jamais arrivé. Mais ce n’est même pas de ça dont je dois me méfier. C’est qu’il est aussi addictif que de la coke.
Je suis accro à lui et je ne peux même pas croire qu’on passe chacun notre vendredi soir séparés, alors qu’on devrait juste être nus dans un lit.
Punk c’est lui. Monster c’est moi. « Our story writes itself » comme il dit.
On s’en reparle.
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Bienvenue à bébé Louis ! (spécial naissance) Voici un spécial naissance digne d’un beau garçon. Vous avez surement remarquer que mon thème est une famille de renard roux qui attend petit Louis avec impatience dans une belle tente autochtone, et ce, dans une forêt tranquille, quoi de mieux pour s’émerveiller et stimuler l’imaginaire ! Une boite explosive en guise de carte de souhaits, pourquoi pas ! C’est la première fois que je crée ce modèle 3D. Elle n’était pas si simple à réaliser et je l’ai construite en plusieurs étapes. Elle est accompagnée d’un marque-page.
De plus, j’ai confectionné deux cubes sensoriels, un jouet de dentition et une petite serviette sur le même thème. J’ai acheté un toutou renard et un livre pour agrémenter le tout. Les cubes seront publiés d’ici deux semaines dans la prochaine rubrique.
Une tranche de vie, un peu d’histoire… Ce spécial naissance a été offert à une ex-collègue Anne-Marie, bibliothécaire jeunesse à la ville de Montréal, Québec. Petit Louis, un enfant attendu depuis fort longtemps et qui fait maintenant le bonheur de ses parents. On dit qu’un nouveau bébé c’est comme un nouveau commencement : espoir, étonnement et rêves de toutes possibilités. Voilà j’espère que mes petits jouets ludiques lui auront donné un peu de tout cela.
Produits utilisés :
Quatre bâtons à brochette (Pour la tente)
Corde naturel
Papier velour (pour le renard)
Encre distress de Tim Holtz (Pour donner un effet de feuilles réels)
Distress glaze de Tim Holtz (pour mettre sur le papier afin de faire une protection contre l'humidité)
Collection de papier "Hello baby" de la marque Echo Park Paper co.
Plan de tente autochtone
(consultez mon blogue pour plus de photos et d'information)
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Les véhicules de l'année, les pneus d'hiver et plus encore
Le 11 janvier 2024
Bon, il était temps que je me remette à l’ouvrage n’ayant rien publié depuis bientôt trois semaines. Au moins, j’ai pu m’occuper un peu de mes affaires durant le congé des Fêtes alors que je n’ai même pas utilisé un véhicule de presse! En fait, j’en ai profité pour réparer quelques petites choses sur mes propres véhicules (ici, je dois remercier mon fils Guillaume qui n’a pas hésité à se coucher sous ma Cobra dans mon garage pour y changer la pompe à essence, la source de quelques problèmes que j’ai connus dernièrement) comme changer le moteur d’essuie-glaces de ma bonne vieille Jeep et autres petites attention.
Malgré tout, ce temps des Fêtes n’aura pas été une période de chômage. Il fut un temps où nous, les chroniqueurs automobile, nous lancions vers Detroit le lendemain du Jour de l’An pour son incroyable Salon International qui, malheureusement, n’est plus aussi fantastique (sa date a même été déplacée en septembre!). Nous nous préparons maintenant pour celui de Montréal qui, cette année, devrait reprendre un peu du poil de la bête. Ce qui est triste, c’est que l’engouement pour les Salons internationaux soit à s’essouffler. Espérons que le Salon de Montréal saura relancer l���amour des Québécois pour l’automobile (quoiqu’en disent ses ennemis!).
Par contre, une des coutumes qui n’a pas encore changé, c’est l’annonce des Véhicules de l’année telle que prononcée par le regroupement des journalistes automobile nord-américains (North American Car And Truck of the Year ou NATCOY).
Cette annonce a été faite la semaine dernière aux États-Unis et les choix se sont arrêtés à la Toyota Prius pour l’auto, au Kia EV9 pour l’utilitaire et au Ford F-250 pour la camionnette, des choix avec lesquels je suis d’accord surtout que j’ai eu l’opportunité de les conduire en diverses circonstances.
Si l’on commence par la Prius, il faut dire que les designer de Toyota ont réussi tout un coup de maître en redessinant cette auto. Si ses éléments techniques n’ont plus besoin de présentation ne serait-ce que par leur efficacité prouvée, la ligne de cette auto n’était certes pas des plus jolies dans le passé. Cette fois, c’est vraiment réussi!
Si je n’ai pas utilisé la nouvelle Prius lors de mes essais hebdomadaires au cours des derniers mois, je l’ai au moins conduite sur une distance respectable lors de l’évènement L’ÉcoRandonnée de l’AJAC en juin dernier dans la région de Vancouver. Qui plus est, mon expérience au volant de cette auto s’est déroulée dans la région métropolitaine de Vancouver, là où son système hybride est le plus efficace!
La Prius que j’ai conduite lors de l’ÉcoRandonnée de l’AJAC à Vancouver. (Photo Éric Descarries)
Dans le cas du VUS Kia EV9 tout électrique, c’est encore une fois à un des deux évènements d’importance de l’AJAC que j’ai pu le conduire (d’avance), le Festival des Essais qui s’est déroulé en octobre dans la région du Canadian Tire Motorsport Park en Ontario. La faction canadienne de Kia avait jugé bon de nous confier des versions de «pré production» de ce VUS pour pouvoir voter à notre propre NACTOY canadien, celui de l’Association des Journalistes Automobile du Canada (AJAC) dont les résultats seront dévoilé lors du Salon International de l’Auto du Canada qui se déroulera à Toronto en février prochain. L’EV9 nous a tous impressionné. Espérons que Kia pourra profiter de son effort!
Le prototype VUS Kia EV9 que le constructeur sud-coréen avait mis à notre disposition au Festival des Essais de l’AJAC en octobre dernier au CTMP. (Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait au Ford F-250, non seulement ai-je assisté au dévoilement anticipé de ce modèle à Detroit l’an passé mais aussi, j’ai pu participer au dévoilement médiatique canadien du véhicule dans la région de Trois-Rivières à l’automne dernier. Qui plus est, les habitués de ce blogue ont pu en lire non seulement la description du programme de Trois-Rivières mais aussi un essai complet de sa version de base ici même dans ce blogue.
Le Ford F-250 que j’ai pu évaluer lors d’un essai hebdomadaire l’automne dernier. (Photo Éric Descarries)
Donc, je sais de quoi il en retourne et je suis encore une fois d’accord avec le choix de NACTOY! J’ai maintenant hâte de voir les choix de l’AJAC même si le F-250 n’est pas un des véhicules de ce programme!
Débuts difficiles pour mes essais de pneus d’hiver
Un des aspects techniques de l’automobile qui m’aura toujours intéressé, c’est celui des pneus. En fait, il y a plus de 35 ans de cela, c’est un confrère, Michel Poirier de Foy, qui m’y avait intéressé. Et depuis ce temps, c’est devenu presque une passion. Après tout, n’est-ce pas ce qui nous retient en contact avec le sol?
Depuis, j’ai composé plusieurs dossiers sur les pneumatiques et avec le temps, ce sujet a subi d’importantes transformations techniques en passant par la configuration radiale et les diverses configurations mécaniques. De nos jours, ce qui retient le plus mon attention, ce sont ces nouveaux pneus dits «homologués» au Québec («all-weather» chez nos amis américains) qui affichent le pictogramme de la silhouette de montagne avec un flocon de neige en son centre indiquant que les automobilistes peuvent utiliser ce type de pneus autant en hiver qu’en été. On disait cela au début des années soixante-dix quand il s’agissait de pneus à carcasse radiale mais l’industrie s’est ravisée depuis le temps. Toutefois, la configuration est de retour et, ma foi, cette fois, cette technologie semble être efficace. Du moins, c’est ce que je suis en train de «tester» grâce à l’aide de plusieurs manufacturiers. L’autre «nouveauté» à laquelle je m’arrête de ces temps-ci, c’est l’apparition des nouveaux pneus destinés spécifiquement aux véhicules électriques.
J’ai donc reçu de ces manufacturiers des jeux de pneus du genre (et, de grâce, n’allez pas répandre la «bonne nouvelle» que j’ai eu des pneus gratuits!) que j’ai réussi à installer sur des véhicules qui sont dans mon giron afin de pouvoir les analyser de près. Par exemple, j‘ai des Michelin Cross Climate 2 «toutes saisons» sur ma Lincoln MKZ à traction alors que j’ai réussi à faire installer des Nokian WR G4 sur la Mercedes-Benz C300 de mon frère pour pouvoir comparer les performances des deux pneus sur des autos de mêmes dimensions et de même poids avec une puissance semblable conduites par deux gars d’âge semblable. Nous en sommes à la deuxième saison froide d’essai (alors que la neige vient à peine de commencer à s’imposer) et, pas de farce, les résultats sont plus concluants qu’espérés.
Les Michelin Cross-Climate2 sont à leur deuxième saison d’essai sur ma voiture et jusqu’ici, ils me satisfont grandement autant en hiver qu’en été. (Photo Éric Descarries)
Mais, alors que la neige vient de commencer à tomber en plus importante quantité, je suis à découvrir les résultats des pneus Hankook Kinergy KS2 montés sur la Suzuki SX4 de la conjointe de mon frère, une auto qui répond exactement aux utilisations d’un tel pneu, c’est-à-dire qu’elle ne sert qu’occasionnellement et que sur de courtes distances. Il en va de même pour des Nokian Hakkapeliitta 10 (à crampons, cette fois) montés sur la familiale Volkswagen à traction de la compagne de mon fils qui doit voyager sur les routes enneigées et glacées de l’Abitibi (un milieu différent du mien de la région montréalaise!) et les Nokian R5 sur le Porsche Cayenne de mon fils (qui en vante déjà les exploits sur les routes glacées de l’Abitibi !). Enfin, je suis de près les résultats des pneus d’hiver Motomaster Winter Edge II par Hankook sur la Fusion à traction intégrale de mon gendre dans la région de Saint-Jean-sur-Richelieu alors que je sois rendu à ma deuxième saison de Nokian Outpost «homologués» sur ma propre Jeep Wrangler TJ.
Les Hankook Sinergy KS2 sont montés sur une Suzuki SX4 qui ne sert qu’à de courts déplacements mais qui doit parfois faire de l’autoroute. (Photo Éric Descarries)
La surprise? Ces Motomaster Winter Edge 2 de Hankook qui s’avèrent très efficaces sur une Ford Fusion à traction intégrale. (Photo Myriam Descarries)
Cette familiale Volkswagen Golf est le véhicule choisi pour évaluer les nouveaux Nokian Hakkapeliitta 10 à crampons. L’auto sert à des déplacements sur routes glacées et enneigées de la région nordique de l’Abitibi, un environnement plutôt exigeant! (Photo Guillaume Descarries)
Quant aux Nokian R5, ils sont montés sur un VUS Porsche Cayenne qui doit souvent faire des déplacements sur routes secondaires de l’Abitibi. (Photo Guillaume Descarries)
Jusqu’ici, le seul fait de rouler sur des pneus de bonne qualité s’avère plus sécuritaire que d’utiliser des pneus à rabais qui, selon les commentaires que j’ai pu recueillir d’automobilistes qui roulent sur de tels pneus sont quand même valables. Nous n’avons pas eu beaucoup de neige depuis le début de l’hiver et jusqu’ici, le confort et le silence de roulement de tous ces pneus d’essai s’avère être la première observation notable. Dans mon cas, une courte période d’essai de pneus chinois bien connus n’a pas réussi à me convaincre des performances de ceux-ci puisqu’ils produisaient une légère vibration à haute vitesse qui rendait ma Lincoln moins agréable à conduire. Mais, ces remarques datent déjà de quelques années. Il faudrait que je répète l’expérience éventuellement.
C’est aussi la deuxième saison pour les Nokian Outpost sur ma Jeep. Plutôt silencieux l’été dernier sur les autoroutes, ils se sont avérés efficaces autant dans la boue durant l’été que dans la neige ou sur la glace durant la saison froide! (Photo Éric Descarries)
Notez que je commence à vivre des expériences plus encourageantes vu que la neige a commencé à nous envahir. Déjà, je peux vous dire que les Michelin Cross Climate ont facilement réussi à sortir ma Lincoln de la neige profonde malgré que l’auto soit à traction avant. Quant aux Outpost de la Jeep, en plus de leur bonne adhérence dans la boue d’automne, ils s’avèrent plus silencieux que prévus sur grand-route avec à peine un léger son sur pavé sec. Mais, ils sont très efficaces dans la neige profonde. La plus grande surprise est de constater que les Motomaster peuvent se mesurer avantageusement à la concurrence tant par leur silence de roulement que par leur adhérence alors que les Hakka 10 à crampons demeurent à la hauteur de leur réputation sur la glace. Les Hankook de la Suzuki sont aussi efficaces que prévu.
D’ici quelques semaines, je devrais vous parler de nouveaux Nokian «homologués» destinés au marché nord-américain alors que plus tard, je devrais participer à une expérience hivernale avec des pneus Continental. Incidemment, nous en sommes rendus à une troisième saison avec des Continental IceContact XTRM sur la Ford Escape AWD de ma femme qui, jusqu’ici, nous ont superbement bien servi! L’expérience se continue!
Fausse représentation ? Non!
Je viens de voir un fourgon Ford Transit de Postes Canada qui affiche fièrement le mot «Hybride» sur ses flancs. Euh! Je sais qu’il y a des Transit totalement électriques sur le marché et des versions à traction intégrale. Il y a surtout des Transit à moteur V6 et turbocompressé EcoBoost. Mais des versions hybrides, il n’y en a pas dans les catalogues de Ford.
J’ai demandé au chauffeur de la camionnette pourquoi son véhicule indiquait une telle spécification et, visiblement connaisseur de mécanique et de bagnoles, il s'est mis à rire : «Je en sais pas d’où ça vient mais je crois que c’est l’idée d’un «fonctionnaire» qui croit que ça va nous donner une belle image!». C’est ce qui pourrait expliquer pourquoi les Transit de Postes Canada n’ont plus d’emblème de la marque Ford dans leur calandre?
Vous reconnaîtrez certainement la partie arrière d’un fourgon Ford Transit de Postes Canada. Ce qui n’est pas régulier dans cette photo, c’est cette identification Hybride, une configuration qui n’existe PAS sur ces camionnettes mais... (Photo Éric Descarries)
Voici ce qui pourrait expliquer non seulement cette affiche mais aussi la disparition de l'emblème de Ford de la calandre des Transit. Selon une petite recherche, semble-t-il que Postes Canada a fait «modifier» quelque 300 Transit avec un «kit retrofit» qui devrait aider à sauver environ 20% d'essence. Mais ce «kit» ne viendrait pas de Ford ce qui a peut-être obligé Postes Canada de retirer la marque de commerce! On continue les recherches...
Le CES en vedette
Pendant que je sois à écrire ces quelques lignes, le salon Consumer Electronics Show bat son plein à Las Vegas. Plusieurs constructeurs en profitent pour y dévoiler des technologies électroniques plus spectaculaires les unes que les autres alors que d’autres y dévoilent même des prototypes jamais vus comme le pick-up à venir de VinFast. Je devrais pouvoir y revenir la semaine prochaine!
Enfin, ne manquez pas d’aller au Salon de l’auto de Montréal la semaine prochaine (à partir du 19 janvier). Votre visite pourrait vous inciter à me poser des questions!
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Enjeux entourant l’environnement numérique
Déjà en 2014 Edward Snowden, ancien analyste de la National Security Agency, affirmait que la vie privée n’existait plus.
Quand est-il des appareils intelligents?
De nos jours, de plus en plus d’objets courants sont connectés à Internet. Leur nombre et leur type augmentent rapidement. En voici quelques exemples :
les systèmes de sécurité;
les assistants numériques;
les jouets connectés;
accessoires intelligents;
les technologies numériques de la santé.
Puisque le nombre d’objets et de personnes connectés à Internet est de plus en plus grand, il est de plus en plus difficile de protéger nos renseignements personnels convenablement.
Même en considérant ce fait, plusieurs personnes se demandent encore pourquoi ils devraient se préoccuper de la protection de leurs renseignements personnels puisque les lois protègent la vie privée dans ce pays. Cependant, ils ne savent pas comment, ni ce qu'elles protègent.
Selon la loi sur la protection des renseignements personnels dans le secteur privé, est un renseignement personnel, tout renseignement qui concerne une personne physique et permet de l’identifier. Alors ce ne sont pas tous les renseignements collectés par les plateformes ou par l’Internet des objets qui sont protégés par cette loi.
Les fuites de renseignements personnels sont toujours présentes, nous pouvons penser à la fuite de données chez Desjardins ou à celle de Facebook qui a touché des millions de personnes, et ce, sans même que leurs utilisateurs en soient informés. Les pirates et les vendeurs de données ne cessent de s’enrichir grâce à ces fuites ainsi qu'à la collecte de données commerciale et fâcheusement beaucoup d’entre eux s’en sortent seulement avec une petite tape sur les doigts.
Alors, comment protéger votre vie privée à l’ère numérique? Et par où commencer?
Plusieurs plateformes, comme https://haveibeenzucked.com/ pour les comptes Facebook et https://haveibeenpwned.com/ pour les courriels et numéros de téléphones, ont été mises en place pour savoir si vos comptes ont subi une violation de données. Grâce à ces sites, vous aurez déjà une idée pour la suite.
Pour s’assurer d’avoir une meilleure protection, il faut souvent se questionner. Se demander si nos mots de passe sont assez forts pour ne pas être devinés en un claquement de doigts, si les sites que nous visitons sont sécurisés et si vos appareils sont suffisamment protégés contre les logiciels et applications malveillants. Il faut même penser à changer certaines de nos habitudes. Pour vous donner un exemple simple, il faut bien lire l’expéditeur du courriel, car plusieurs vont seulement glisser une lettre en trop, pour que vous pensiez qu’il est fiable (ex. : Mirrosoft au lieu de Microsoft). De plus, il ne faut pas ouvrir les courriels ou cliquer sur un lien d’un expéditeur inconnu, car vous pourriez subir une cyberattaque et dire adieu à vos renseignements personnels et peut-être même à certains dossiers confidentiels.
Si je vous ai amené à pousser votre réflexion plus loin sur la protection des renseignements personnels, je vous invite fortement à lire le blogue et les articles du Commissariat à la protection de la vie privée du Canada en cliquant sur le lien suivant https://www.priv.gc.ca/fr.
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SÉANCE #6 | Sociabilité et vie « en ligne »
Le nombre de fois que des adultes m’ont dit que les jeunes passent trop de temps devant leur écran, qu’ils sont « isolés de la réalité ». Plus les jours passent, plus je trouve ce jugement ridicule.
Le thème de cette séance, « Sociabilité et vie « en ligne » », me fait réfléchir par rapport aux relations que les gens peuvent former avec les autres, sans même savoir leur nom. Cette même plateforme sur laquelle je partage ce petit contenu à l’apparence insignifiante est un catalyseur de relations interpersonnelles qui, à mon avis, est fascinant. La vie sur Internet et les réseaux sociaux s’est rapidement développée jusqu’à former une communauté qui, incroyablement selon moi, est unie et, contrairement à la majorité de la société, empathique. Je cherchais le mot avant de me mettre à écrire et ce n’est que maintenant que je le trouve : empathique. Pour en revenir sur le jugement des adultes envers les jeunes et la technologie, on parle ici de personnes qui ont grandi dans une époque où, par exemple, dans les moyens de transports en commun, les gens avaient les yeux rivés sur des journaux, au lieu des téléphones intelligents. Ces générations qui blâment tous leurs problèmes sur une apathie des jeunes sur leurs téléphones sont les mêmes qui choisissaient d’ignorer leur entourage en plongeant la tête entre deux pages de fin papier à cinquante cents. Ces mêmes générations qui ne réalisent pas que ces appareils qu’ils détestent autant sont beaucoup plus utiles, efficaces et pertinents pour les relations interpersonnelles à l’échelle mondiale. Je n’ai vraiment pas envie de commencer à citer dans un blogue, cela me paraît trop peu personnel, c’est pour cela que je vous laisserai le lien du site Internet qui m’a inspiré pour cette réflexion dans le bas de ce texte. Les interactions et le partage de contenu créatif et personnel n’ont jamais été aussi accessibles.
Je me considère chanceux de faire partie non seulement de la génération qui a pu grandir avec les réseaux sociaux, mais aussi de la parcelle de la population qui a accès à ce genre de richesse. Il faut l’accepter : le futur appartient à ceux qui ont la capacité de s’adapter. Cela inclut les nouvelles façons de communiquer et d’interagir, englobant ce concept de « vie en ligne ».
Petiau, A. (2011). Internet et les nouvelles formes de socialité. Vie sociale, 2(2), 117-127. https://doi.org/10.3917/vsoc.112.0117
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01.02.2020 – Qui suis-je ?
Cet article commence mon blogue sur mes études et expériences à l’ESSEC et dans la société française. Je partirai le 17 février, alors dans quelques semaines – je suis très nerveuse, et non seulement à cause de mon peur de l’avion… Heureusement j’ai réussi à m’inscrire aux cours, et j’ai finalement un appartement aussi – un studio !
Mais qui suis-je, et pourquoi j’ai choisi l’ESSEC comme université d’échange ? Alors, je m’appelle Nea, j’ai 21 ans et j’étudie l’économie à l’université Aalto, à l’école supérieure de commerce. Je suis étudiante de troisième année, et après mon échange j’obtiendrai ma licence. Partir en échange universitaire était toujours évidant pour moi, car travailler à l’étranger est une option possible pour moi à l’avenir. Je voulais aussi améliorer mon français – je l’ai étudié onze ans dans une école franco-finlandaise, mais depuis le lycée je ne parle pas français quotidiennement.
Je dois admettre que je ne savais rien de l’ESSEC avant l’hiver dernier, quand on a dû choisir nos options pour l’échange. Mais après d’un peu de recherche j’ai découvert que c’est une des meilleures écoles supérieures de commerce en Europe et qu’il y a trois campus en total : à Cergy, où je resterai, à Singapour et au Maroc. J’espère alors que l’atmosphère sera internationale – bien sûr je veux faire des amis français, mais je veux aussi faire connaissance avec des autres étudiants en échange qui viennent de partout dans le monde.
En effet, je ne sais pas beaucoup de Cergy non plus. J’ai parlé avec quelques étudiants de l’ESSEC, et ils m’ont dit qu’il ne faut pas aller au parc à côté de l’université au nuit, et qu’ils préfèrent habiter à Paris. Même si Cergy n’est pas aussi sympa que Paris, j’aime bien habiter près de l’université parce que j’ai pas mal de cours. De plus, ça prend seulement environ 50 minutes en RER à centre-ville de Paris. Mais on va voir s’il y aura toujours des grèves…
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La suite...
Bali, le 9 décembre 2019
Allo tout le monde!
Ça fait presque un mois que je suis à Bali et voici la suite de mon blogue. Je commence à m’habituer à la vie ici, mais par contre je ne suis vraiment pas proche d’être habitué à la chaleur. Je suis retourné à l’atelier d’arts plastiques pour cette fois faire un masque. On utilisait plein de morceaux de plastique et de carton et le but de l’atelier était de montrer qu’on peut faire n’importe quoi avec des choses qu’on trouve par terre et qui polluent la planète. J’ai fait un drôle de masque et j’ai laissé aller mon imagination. Le voici :
Les responsables essaient de faire une machine pour transformer le plastique en granules. Pour la faire fonctionner, il faut pédaler sur un vélo, mais c’est très dur et la machine n’est pas encore assez puissante pour briser le plastique.
Le lendemain, nous sommes allés visiter le temple de Tanah Lot. Pour s’y rendre, il fallait passer par la grande route et parcourir une douzaine de kilomètres. Vous penseriez sûrement que ce n’est pas très long, mais en réalité c’est toute une aventure avec toutes les mobylettes et la taille des routes. Quand on est arrivés, il y avait énormément de magasins touristiques. C’était complètement fou. Nous avons franchi une grande arche qui est l’entrée du temple. La particularité de ce temple est qu’il est construit au beau milieu de l’eau et qu’on ne peut pas y accéder à marée haute. C’est quand même impressionnant. C’est un temple hindouiste construit au XVe siècle qui fait partie des sept temples de la mer de Bali.
Nous sommes aussi allés voir le temple Batu Bolong qui était situé tout près, sur le bord d’une falaise.
Sur la plage de Pererenan, il y a un restaurant très spécial qui a l’air tiré du film les Pirates des Caraïbes. Ils sont un peu fous car ils exigent de dépenser 100 $ pour avoir une table avec la belle vue en haut du coucher du soleil. On a décidé de s’asseoir sur la plage.
Enfin, mon père et moi, on est allés faire de l’équitation. J’avais un camp où on brossait, lavait, préparait et nourrissait les chevaux, puis on apprenait à les monter. Deux autres enfants sont venus au camp. On a commencé par brosser les chevaux et c’était très amusant.
Ensuite, on les a préparés et on est partis en promenade dans les rizières. Au départ, j’avais très peur, j’ai même changé de cheval pour un plus petit. Ça brassait beaucoup, mais j’ai adoré ça. Il faisait très chaud et mes pieds brûlaient, mais ça valait la peine car je n’étais jamais monté à cheval. Vers le milieu de la promenade, avant de rebrousser chemin, on est passés sous des arbres et on a pris une petite pause pour reposer nos pieds. Enfin, on est revenus et on a pris une petite collation. J’étais affamé. Ensuite, on est allés dans l’arène pour apprendre la technique du trot.
J’ai adoré ça. Puis, on a lavé les chevaux car ils l’avaient bien mérité. On a préparé les bols de nourriture. Ils mangent tous des portions différentes et c’était très compliqué.
On est tous allés distribuer les bols. Comme les autres voulaient donner à manger aux petits chevaux, j’étais pris avec les gros, sauf que j’ai bien apprécié cela car les instructeurs sont venus et ils m’ont apporté une grosse pile de bols à distribuer. Alors dans le fond, pendant que les autres en distribuaient deux ou trois, j’en ai distribué une quinzaine! J’ai eu de la chance. Pour finir, on est allés en distribuer aux chevaux hyperactifs et c’était très compliqué car le cheval dont j’avais la nourriture ne voulait vraiment pas me lâcher. On a fait un cinquantaine de tours et j’ai fini par donner le bol à une de mes camarades.
Voici où on en est aujourd’hui le 9 décembre. Cette semaine, c’est ma fête et nous allons faire une activité très spéciale. Je vous en dirai plus dans mon prochain blogue. À bientôt!
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Pret Argent
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