#coeur dans la cage
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itsloriel · 4 days ago
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praline1968 · 1 year ago
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
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🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
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(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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morphinedoutretombe · 7 months ago
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La nuit tombe... Je rejoins mon royaume... Pas besoin de trône pour régner... Je suis les ombres... Je peux enfin être moi même... Laisser tomber le masque que les vivants m' obligent à porter... J'aime m' évader toujours plus loin... Sombrer dans la folie ne m' effraie pas... Je fuis l'incompréhension, les normes qu'on me dicte... Je déploie mes ailes... Appelée par les ténèbres... La morphine coule à nouveau dans mes veines... La nuit me conseille d'oublier les larmes, les maux, la haine... Mon coeur sort de sa cage... Attiré par les créatures nocturnes... Je m'échappe de la cruauté humaine... Là bas je suis libre... Mes pensées s'épanouissent... Mon encre se déverse jusqu'à l'aube... Dans l'espoir de trouver une âme... Un écho qui brisera ma solitude... Même au milieu d'une foule je me sens désespérément seule... Prise au piège... Comme une proie...
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lisaalmeida · 8 months ago
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Que recherchons-nous à travers nos relations, rencontres et échanges ?
Quel est le sentiment que nous désirons ardemment éprouver, tout au long de notre vie ?
L’amour est évidemment la réponse à toutes ces questions.
L’amour est ainsi le principe et la source de toute vie, sans quoi rien ne pourrait exister ni subsister.
L’amour est la force qui fait tourner les mondes, l’énergie qui maintient la cohésion des atomes comme des planètes.
L’amour est au cœur des mystères que nous sommes venus appréhender et expérimenter sur cette Terre.
Chacun ressent et pressent, même confusément, que l’amour vrai est la clé et la solution de tous nos maux, individuels et surtout collectifs, économiques, politiques et sociaux.
Mais l’amour véritable n’est pas acquis d’emblée : il est à rechercher, ressentir, découvrir.
Il n’est ni instinct de possession, ni dépendance fusionnelle, ni suivisme grégaire, car il émane de soi.
Il est le résultat de l’alchimie intérieure, le fruit de la reconnexion à l’être essentiel et à la puissance de vie.
L’amour est la joie d’être, le signe d’une conscience éveillée et lumineuse, un présent accordé, offert et partagé.
L’amour est ce que nous sommes éternellement, en dépit de nos souffrances, illusions et désillusions et parfois grâce à elles ; il est notre état naturel, notre aspiration à une vie riche, fascinante, magique, inattendue, utile et initiatique.
L’amour est partout, omniprésent et protéiforme ; il se pare de toutes les couleurs et de toutes les fréquences, et se manifeste de multiples manières : amour du compagnon ou de la compagne, des amis, des enfants, des animaux, de la nature, de la beauté, des œuvres de l’esprit…
Mais c’est la relation amoureuse qui se révèle son territoire de prédilection, car alors le sentiment se mêle au désir, à la sensualité et à l’attraction des corps, lieu de toutes les convoitises, de tous les délires et de toutes les extases.
Ce que l’on nomme amour est rarement digne de ce nom : l’amour qui blesse et qui déchire, qui conquiert et qui rompt, qui domine et qui soumet, qui idolâtre et qui méprise, n’est qu’une caricature égotique, une maladie infantile du cœur, un balbutiement du sentiment.
L’amour qui prend fin n’a jamais existé ; l’amour qui se meut en haine ou indifférence, n’était qu’illusion, transfert, projection, malentendu.
Les relations évoluent et donnent souvent lieu à séparation, éloignement, divergence. Mais comment peut-on rejeter, nier ou diaboliser l’être que l’on a tenu tendrement dans ses bras, si ce n’est précisément à cause de la douleur créée par son absence ?
L’amour véritable est patient, sincère, honnête et compréhensif ; il se nomme bienveillance, bonté, compassion, douceur, tendresse, sollicitude ou empathie.
De la nature de l’amitié, il dure la vie entière, car il n’est pas fondé sur l’image ou les apparences, mais sur les liens invisibles et mystérieux qui unissent les âmes et les cœurs.
Aussi le chemin de l’amour, que tous nous empruntons à notre manière, est-il un apprentissage, qui mène de l’égoïsme à l’altruisme, de l’aveuglement à la connaissance, de la consommation au partage, de la prédation au don.
L’amour est éternel car il est spirituel ; il est la joie libre du cœur qui s’est ouvert ; il ne sait que grandir, fleurir et embellir.
L’amour est si puissant qu’il se joue des barrières, frontières, critères, normes et interdits.
Car l’amour est libre et il souffle où il veut ; il ne peut être contraint, obligé ou mis en cage ; l’autre ne nous appartient pas et l’emprisonner, ce n’est pas l’aimer.
L’amour ne donne ni droits, ni devoirs ; il est une extraordinaire opportunité de vivre des moments merveilleux et magiques, une chance à ne surtout pas laisser passer.
Et si l’amour était sagesse, philosophie éminemment subtile, art et science oubliés, à retrouver, découvrir, réinventer ?
L’amour est un défi. Saurons-nous y répondre ?
LA SAGESSE AMOUREUSE
Yann Thibaud
Extrait de «L'Alchimie émotionnelle ou la métamorphose du coeur»
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adropintheocean-rpg · 8 months ago
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༄ A DROP IN THE OCEAN ;; ouverture
Il y a dans l'air une odeur spéciale, un parfum fleuri de vacances paradisiaques en plein cœur de la côte est. L'exotisme des palmiers s'entremêle à la grandeur des buildings, le bruit de la ville se mélange aux vagues qui s'entrechoquent contre les rochers. Les teintes colorées des planches de surf se perdent dans l'eau bleutée. Les rayons omniprésents du soleil se reflètent sur les façades des gratte-ciels. Le temps ne s'arrête jamais, pas même dès que la lune apparaît. Dans la nuit, les lumières et la pénombre se mélangent pour former la beauté de cette ville où les espérances peuvent devenir réalité ou être emportées par la marée. Parfois, le bleu de l'océan se transforme, comme une menace lointaine que l'orage peut approcher, que tout peut changer. Dans la ville magique, les âmes aussi ont des couleurs différentes. Les esquisses de sourires sur les visages n'ont jamais la même saveur, les accélérations du cœur dans la cage thoracique, les lueurs dans le regard ont toutes une raison spéciale. Une raison unique. Car tout est unique ici. Tout est unique à Miami.
Nous avons l'immense plaisir de vous annoncer l'ouverture officielle de notre petit projet, A Drop In The Ocean. Milles mercis à celles et ceux qui ont suivi le projet, qui nous ont soutenu et contenu de le faire, ça nous fait vraiment chaud au coeur. 🎔
Nous espérons que notre maison deviendra la vôtre également. ☀︎
NOUS REJOINDRE NOUS REJOINDRE NOUS REJOINDRE
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dreamingkitsunewrites · 2 months ago
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02.41 am
5/3/24
Tu es l'Inquietude dans mon coeur, au fond de l'esprit.
Aveuglant,
Tu arrives at avales tout ce que j'ai toujours connaissais.
Mais je te choisirais encore mille fois.
Aveugle,
Je ne me souviens pas de tous nos limites,
Et je te vois renaître encore,
La petite fleur que j'accueille dans ma poitrine,
Faible et Fort,
Tu vole mon halaine
Pour recommoncer à respirer.
My clock seems to be broken. Its hands are still, the time's a cage. My ceiling becomes a starless sky, a blank page waiting to be crowded by the constellations of my warped thoughts.
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cheminer-poesie-cressant · 7 months ago
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le rosier a dessiné une cage, tout un espace en son coeur, pour y déposer ses fleurs ; elles semblent se multiplier ici plus qu'ailleurs ; comme si en condamnant l'innocence à un enfermement elle redoublait de vie ; la protection mène toujours plus loin dans l'épanouissement
© Pierre Cressant
(samedi 20 mai 2023)
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icariebzh · 20 days ago
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"Mon premier amour a les dents jaunes. Il entre dans mes yeux de deux ans, deux ans et demi. il se glisse par la prunelle de mes yeux jusqu'à mon coeur de petite fille où il fait son trou, son nid, sa tanière. Il y est encore à l'heure où je vous parle. Aucun n'a su prendre sa place. Aucun n'a su descendre aussi loin. J'ai entamé ma carrière d'amoureuse à deux ans avec le plus fier amant qui soit: les suivants ne seraient jamais à la hauteur, ne pourraient jamais l'être. Mon premier amour est un loup. Un vrai loup avec fourrure, odeur, dents jaune ivoire, yeux jaune mimosa. Des taches d'étoiles jaunes dans une montagne de pelage noir.
Mes parents sortent  en criant de la roulotte, c'est la nuit, les autres roulottes, une à une, s'éclairent, tous en descendent, le clown, l'écuyère, le jongleur, les femmes, les autres enfants, tous en chemise de nuit, en pyjama ou à moitié nus, ils m'appellent, s'accroupissent sous les camions pour voir si je me m'y suis pas cachée par jeu et ensuite endormie- c'est déjà arrivé plusieurs fois-, ils s'éloignent sur la place du village, appellent encore, n'appellent plus mais hurlent, des fenêtres commencent à s'allumer aux maisons voisines et des gens se fâchent, crient au tapage nocturne, menacent des gendarmes.
C'est ma tante qui me trouve. Elle court aussitôt de l'un à l'autre, impose le silence, fait signe qu'on la suive sans bruit, surtout sans aucun bruit: voilà le cirque au complet qui s'approche de la cage, la porte est entrouverte, je suis allongée sur la paille dorée à l'urine et j'ai les yeux fermés, ma petite tête de deux ans appuyée contre le ventre du loup. Je dors. Je dors d'un sommeil limpide et bien-heureux."
Christian Bobin extrait de: "La folle allure" 
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lesdamesmures · 10 months ago
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Scène 14 "Une femme mure sur la plage"
En voyant Julie soulever sa robe pour découvrir ses fesses nues je m’arrêtais net derrière elle. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle se dévoile ainsi devant moi, j’étais surpris par son audace, la connaissant je ne l’aurai jamais cru capable d’un tel geste. Par ce signe si féminin, si coquin, c’était comme si elle avait compris ce qui pouvait m’émouvoir au point d’ancrer dans mon esprit cette fraction de seconde pour toujours. Je restais médusé et muet devant ce cul mature qu’elle m’offrait, devant moi à porter de mains, de mes lèvres alors qu’elle ralentissait en repliant sa jambe pour atteindre la marche suivante. Elle n’avait rien dit, ne se retournait pas, ses fesses s’ouvraient en montant la marche suivante laissant entrevoir la naissance de sa pilosité sombre dans la cage d’escalier. Je restais à contempler sa croupe, ses jambes et son dos avec sa robe relevées à la taille qu’elle tenait de sa main gauche, je ne pouvais retenir mon souffle qui s’accélérait au rythme de mes battements de coeur. Je vivais des émotions jamais ressentis jusqu’alors depuis ce moment calé entre son ventre et sa poitrine mature, la voir retirer sa culotte sous sa robe en me regardant et maintenant découvrir son fessier pour ne pas dire son cul, son gros cul mature qui ondulait sous mes yeux. 
J’étais dans le rêve des pieds à la tête, dans la fantasme tel que je ne l’aurai jamais imaginé avec cette femme qui m’avait témoigné tant de pudeur, tant de réserve mais je découvrais ce qu’une femme mure était capable de faire pour s’offrir au plaisir d’un homme et comprendre ses fantasmes. Mes yeux devaient briller de plaisir et de crainte de l’inconnu, ne sachant comment me comporter pour être à la hauteur de ce qu’elle représentait à mes yeux quand elle s’arrêta 2 marches plus haut en tournant la tête vers moi
- J’entends ta respiration Titouan, je n’avais jamais fait ça mais tu sembles tellement aimer mes fesses que je voulais t’offrir ce moment ! Elle parlait de sa voix douce en me regardant, un sourire tendre et ému me confirmant qu’elle n’avait pas l’habitude d’autant d’audace
- Oh mon dieu Julie ! Excusez moi mais votre cul me fait un tel effet si vous saviez, oh pardon de vous parler comme ça mais … Mon air surpris la fit rire presque d’un rire nerveux en m’entendant
- Et bien mon bébé tu es enthousiasme en tout cas, ne t’inquiète pas je le prend pas mal tu as raison après tout même je ne suis pas habitué qu’on me parle comme ça c’est assez cru mais troublant j’avoue ! Tu veux que je reste comme ça Titouan ? Me demandait-elle naïvement comme si je pouvais non !
- Oh oui j’aimerai Julie ! Je ne me lasse pas de le … les regarder, l’admirer, le contempler, le désirer, je le fantasme depuis que je vous ai vu ! Osais-je ajouter maladroitement comme si mes sentiments se limitaient à son postérieur
J’étais tellement excité que ma retenue habituelle s’effilochait au point de la choquer par mes propos typiquement masculins et machistes. Elle ne répondait pas à mes propos et en me fixant du regard elle se cambra légèrement en secouant sensuellement sa croupe comme pour me provoquer puis repris sa montée dans l’escalier en tournant la tête, sa robe toujours relevée et retenue sur ses hanches nues
Je mourrais d’envie de l’embrasser et m’enfouir dans ce volume charnu et impressionnant de si près. Je la suivais en gagnant une marche sur elle, j’aurai pu toucher ses fesses, ce cul mature qui me faisait tourner la tête, y poser mes lèvres et si je ne gardais pas un minimum de retenu y fourrer mon visage tout entier. Julie montait doucement, régulièrement jusqu’au palier exagérant presque son déhanchement comme si elle s’amusait à amplifier mon désir, j’approchais ma main sans la toucher, ma main ouverte qui n’avait plus que 2 marches pour attraper sa fesse charnue
- Pardon Julie ! Lachais-je en posant ma main sur sa fesse droite comme pour remplir ma main de sa chaire
- Ne t’excuses pas mon bébé ! Entendais-je en retour, comme un encouragement à profiter de ce moment et laisser aller mes pulsion
Je posais mon autre main sur sa fesse gauche et remontait mes 2 mains sur ses hanches comme pour l’arrêter avant de poser mon visage sur ses fesses et m’y frotter avec gourmandise et volupté. Elle lâchait un « oh » suivi d’un léger « hum » presque inaudible mais dont je ressentais les vibrations tellement mon visage s’était enfouie entre ses fesses majestueuses
Je m’étouffais dans ses fesses, j’étais dans son obscurité enivrante de sensualité. Julie restait immobile un moment, surprise par cette impulsion avant de l’entendre dire en se dégageant de mon emprise
- Et bien Titouan ! Je ne pensais pas que mon derrière te faisait autant envie, pas à ce point en tout cas ! Elle se retournait vers moi prenant mes poignets pour m’inviter à me relever
Sa robe avait recouvert sa nudité, elle semblait surprise à son tour, je ne savais pas lire dans son regard si mon initiative l’avait troublé ou choqué, malgré tout son intonation restait douce et bienveillante. Elle gardait une de mes mains dans la sienne m’emmenant dans le couloir, elle s’arrêtait devant la 1ere porte sur la gauche. Elle ouvrait la porte, je découvrais sa chambre, je passais la porte en la suivant découvrant un espace chaleureux et cosy, clair, avec un grand lit qui donnait l’impression d’un nid douillet recouvert d’une couette en lin de couleur verte d’eau et des oreillers volumineux qui donnaient envie de s’y plonger. La fenêtre était grande ouverte, elle semblait donner sur le côté du jardin, en rentrant avançant je remarquais une meuble garni produit de maquillage, crèmes et parfum ainsi qu’un grand psyché dans un coin de la pièce un peu plus sombre avec un fauteuil et une armoire d’époque en bois massif ou elle devait ranger ses affaires.
- Voilà mon petit nid mon prince ! Se contentait-elle de dire en refermant la porte derrière moi comme si elle voulait se mettre à l’abri des intrus
Je parcourais sa chambre du regard, presque gêné par ce qui venait de se passer me demandant si je n’avais pas été trop loin
- Elle est très coquette votre chambre Julie ! Disais-je, restant debout, je me sentais intimidé de me retrouver dans l’intimité de la chambre d’une femme de 58 ans
- Oh mon prince ! Tu veux bien aller chercher le champagne au frais et nos flûtes ? Se contentait-elle de dire
Je la sentais gênée, comme si elle essayait de gagner du temps ou alors elle voulait se griser un peu plus. Elle semblait stressée, peut-être choquée ou dépassée par ce que je venais de faire
- Oui bien sur Julie ! Je suis désolé si je vous ai choqué et impulsif je serai raisonnable, vous êtes la reine aujourd’hui c’est votre anniversaire et je ne veux pas gâcher cette journée en étant maladroit !
- C’est pas méchant Titouan ne t’inquiète pas mais je n’ai plus l’habitude et même jamais eu l’habitude qu’on me fasse ça ! Me répondait-elle en s’asseyant sur son lit comme si elle attendait que je revienne le plus possible
- Je reviens Julie, je fais vite !
Je refermais la porte de sa chambre derrière moi et allait chercher champagne et ramasser nos verres en repensant à cet échange. J’étais excité depuis le matin et encore plus de me retrouver chez Julie, dans sa chambre, cet épisode dans l’escalier avec la vision de ses fesses charnues et ondulantes, la sensation de mon visage dans ses fesses, je bandais dans mon jean encore au point d’en avoir presque mal et j’avais hâte de libérer cette excitation qui me tenait depuis le matin presque. Je n’avais jamais autant bandé pendant la même journée mais en remontant je me disais que j’étais un homme comblé et impatient de retrouver Julie.
J’ouvrais la porte de la chambre en disant 
- Me revoilà avec le champagne Julie ! Je marquais un temps d’arrêt en découvrant la pénombre dans la chambre. Les rideaux étaient tirés au 3/4, laissaient passer un puit de lumière jusqu’au pied du lit, je pouvais sentir un filet d’air provenant de la fenêtre restée ouverte. Je pouvais reconnaitre sa robe jetée nonchalamment sur le fauteuil, le soutien-gorge en dentelle qui formait l’ensemble avec sa culotte bleu pétrole qu’elle avait retiré sur la terrasse quelques minutes plus tôt était posé à califourchon sur le bras du fauteuil. Elle était visiblement nue sous sa couette. Julie était dans son lit, son bras replié soutenait sa tête dans sa main, la couette remontée sous l’aisselle de l’autre bras recouvrait sa poitrine dont le volume formait un gonflement d’où émergeait un sillon remontant vers son cou. Elle me regardait, un sourire légèrement crispé, son expression était presque inquiète, je pouvais deviner son émotion dans son regard. Elle ne disait rien, je restais planté à l’entrée de la chambre, la bouteille de champagne dans une main, les flûtes dans l’autre, je la regardais avec émotion et délicatesse comme si la fragilité de l’instant pouvait se rompre. Son visage se décrispait, laissant place à un sourire chaleureux et plein de connivence, sa main agrippa le bord de la couette et l’écarta d’un coup jusqu’à découvrir ses chevilles, son bras venait se replacer le long de son corps, la main posée sur sa hanche comme si elle m’offrait sa nudité à contempler. Mon regard s’arrêta sur sa poitrine qui s’écrasait sur le matelas laissant apparaitre ses mamelons larges d’un rose foncé, la peau blanche et laiteuse captivait mon regard. Ses seins écrasés l’un contre l’autre laissaient un sillon sinueux remonter à la base de son cou, la rondeur de son ventre blanc dessinait une courbe arrondie sur le drap donnant l’impression d’un coussin de chaire moelleuse et douillette. L’orifice sombre de son nombril tranchait avec la blancheur de son ventre en marquant son centre de gravité, en dessous un large bourrelet courbe marquait une ligne uniforme surplombant la pilosité de sa toison formant un triangle noir enfoui entre les plis de so ventre et ses cuisses charnues reposant l’un sur l’autre. Ses jambes hâlées et étendues dessinaient une sinusoïde partant de l’arrondi volumineux de sa hanche jusqu’a sa cheville. Je me délectais de ce tableau restant sans voix, sentant l’effet procuré par le corps mature et nu de Julie. Oh oui ! Mon sexe tentait de se déployer dans mon jean, je sentais mon gland commençant à se décalotter rien qu’avec le frottement de mes vêtements. Julie interrompait cet instant magique, qui je le savais déjà animerait mes pensées et mes fantasmes
- A toi maintenant ! Soufflait-elle tout simplement en me regardant
Je restais un instant immobile, encore ébahi par la vue gracieuse de son corps, allongé sur son lit, ses formes découvertes. Je regardais autour de moi pour libérer mes mains et poser champagne et flûtes sur la commode, remarquant dans le psyché que Julie n’avait pas bougé, elle me regardait dans tout mes gestes. Je me retournais vers elle, presque hésitant je finissais de déboutonner les quelques boutons fermés de ma chemise avant de l’enlever le plus naturellement possible, dévoilant mon torse. Son regard ne me quittait pas, elle souriait en profitant à son tour de cette exhibition complice qui excitait nos sens. D’un geste lent et inconscient sa main venait se nicher dans le creux de ses cuisses et son ventre rond. Je souriais d’un air gêné en la regardant, je n’avais jamais été scruté de la sorte dans ces moments, l’intimité était à son comble quand je libérais mon jean en le faisant glisser sur mes jambes en même temps que mon boxer, laissant mon sexe émergé d’un trait en se tendant droit comme dard, il se dressait fièrement, droit comme un bâton au moment où Julie lâchait un « oh ! » de surprise. Je finissais de retirer mon jean et mon boxer pour libérer mes jambes et chevilles quand elle enchaina en chuchotant 
- Viens ! » Elle tendait ses bras vers moi pour m’inviter à la rejoindre et me serrer contre elle
Je m’approchais, posant un genoux sur le matelas avant de me laisser aller dans ses bras ouverts et me nicher dans ses seins, ses pointes étaient dressées et ses aréoles couvertes de frissons. Elle resserait ses bras sur moi en m’étouffant presque dans sa poitrine généreuse, je pouvais sentir la douceur douillette de ses mamelles qui contrastait avec la fermeté et la sensation fraiche de ses tétons sur mes lèvres. Elle se collait contre moi, ouvrant ses cuisses en passant sa jambe par dessus ma hanche, mon sexe dur comme un bout de bois venait glisser sur l’intérieur de sa cuisse. Je pouvais sentir mon gland recouvert de viscosité glisser sur sa peau, signe de mon excitation depuis ce moment dans le canapé. Je sentais ces baisers qui recouvraient bruyamment ma tête, mes tempes, mon crâne. Ses lèvres aimantes et sensuelles appelaient ma bouche, je levais la tête, tendant le cou pour chercher ses lèvres avant de mêler nos langues et notre salive dans un baiser amoureux des plus sensuels
Mon main droite, prenait son sein écrasé contre le matelas, mon bras replié sous mon torse ne laissait que ma main libre pour venir caresser puis pétrir en douceur ce sein maternel, mes doigts butaient sur son téton érigé, je pouvais sentir la peau frissonnante de son aréole. Je l’entourais de mon bras libre, ma main rencontrait le galbe si féminin de sa hanche et poursuivait ses courbes jusqu’au creux de ses cuisses largement ouvertes pour rencontrer son intimité. Mes doigts pouvaient sentir pour la première ses poils pubiens, la sensation excitante de sa toison recouvrant son mont de vénus charnu, le pressant dans ma main avant de sentir ses lèvres humides aux abords et de plus en plus mouillées au fur et à mesure que mon index venait appuyer et pénétrer sa vulve.
Tout en gardant nos lèvres collées dans ce baiser animal et frénétique, je pouvais entendre ses « humm » profond, comme le ferai un gourmet qui déguste un met en le savourant. Elle gesticulait lentement au rythme de ma main et mon bras tendu vers sa chatte ouverte. Ce baiser amoureux paraissait durer une éternité, tous nos sens étaient en éveil, je sentais toute sa sensualité mature contre mon corps, elle était vivante lâchant ses gémissements de contentement, profitant de mes caresses intimes. Sa main qui accompagnait notre baiser depuis le début, quittait mon visage pour glisser vers mon bas ventre, prenant ma queue tendue dans sa main, elle la galbait d’abord avant de caresser et masser mes testicules allant de mes bourses et mon dard en le frottant et le caressant de sa main, du dos de la main, des doigts jusqu’à son poignet, elle découvrait et prenait mon sexe pour le sentir comme un objet précieux et convoité. 
Excités par nos caresses, mes doigts sentaient sa sécrétion vaginale, sa cyprine au point de laisser aller mon majeur s’enfouir entre ses lèvres charnues en même que ma main paume se plaquait sur sa toison en la massant. Je ne résistais pas à l’envie de découvrir ses lèvres, celles de son intimité. Je me redressais sur les genoux sans rien dire, je reculais jusqu’à ses cuisses qu’elle ouvrait largement comme d’un commun accord, en se mettant sur le dos et m’installait à genoux entre ses cuisses ouvertes. Ce moment de communion m’offrait la vue de son intimité mature, j’approchais ma bouche en restant à genoux entre ses cuisses avant de m’allonger en passant mon bras sous ses fesses. Julie m’accompagnait dans tout mes gestes, elle relevait  légèrement son bassin pour laisser ma main venir soutenir ses fesses pendant que ma bouche, ma langue mon nez venaient désirer ses lèvres. Elle remuait en même temps que ma langue léchait son intimité, venant s’enfoncer par moment avant de la satisfaire selon ses réactions, je m’appliquais comme si je tenais sur mes lèvres un précieux présent à déguster. Durant ces caresses buccales, elle se cambrait par moment, par à-coups, soulevait son bassin laissant ma main, mes doigts être plus intrusifs, ses gémissements se prolongeant en longs « Hummm ! ». Elle s’offrait à mes caresses intimes, sans la moindre résistance, avec docilité pendant quelques minutes. Mon visage tout entier s’imprégnait de son intimité, mon nez venant s’enfoncer entre ses lèvres, mon front s’écrasant sur sa chatte trempée. Ce cunnilyngus l’amènait à l’orgasme qu’elle concluait en comprimant ma tête entre ses cuisses, accompagné d’un cri strident et aigu, ces mains venant s’agripper dans mes cheveux je pouvais sentir son ventre et son vagin bouger en saccades avant de se relâcher d’un coup en sanglotant. Je pouvais voir son ventre bouger au rythme de ses sanglots, j’étais désarmé en la regardant je n’avais encore jamais vu une femme sangloter quand elle avait un orgasme.
 Après quelques secondes elle leva la tête vers moi les yeux embrumés et brillants
- Oh mon prince mais qu’est-ce que tu m’as fait !
Je me contentais de lui demander un peu inquiet 
- Tout va bien Julie ? 
Elle me rassurait, me disant que ça ne lui été pas arrivé depuis si longtemps mais que c’était une émotion de plaisir qui la faisait sangloter et qu’elle avait oublié ses sensations aussi forte. Elle tendait les bras vers moi pour me couvrir de baiser. Je sentais son coeur battre contre mon torse, elle avait besoin de récupérer j’en profitais pour déboucher la bouteille de champagne et revenir à ses côtés, assis sur le lit en lui tendant sa flûte remplie. Elle se redressa, les cheveux défaits, sa poitrine lourde bougeait en mouvement quand elle se redressa pour s’adosser et trinquer en buvant son champagne
- Merci mon prince d’amour ! Je crois que je n’avais pas jouis aussi fort depuis très très longtemps ! Me confiait-elle après avoir bu une bonne gorgée de champagne
Un sourire de fierté illuminait mon visage en l’entendant, je me sentais rassuré et heureux d’avoir pu lui donner autant de plaisir
- C’est moi qui remercie Julie ! Qui te remercie pour tout ce que tu me procures ! Je la tutoyais naturellement, maintenant que j’avais gouté à son intimité, je partageais son lit, c’était étrange de la vouvoyer après autant d’intimité, je pouvais la tutoyer
On échangeait tout en se caressant, tout en profitant de ce moment sensuel, je la regardais allant de son visage à sa nudité offerte devant moi. L’instant était d’une douceur et connivence extrême, je ressentais avec émotion sa féminité, ses gestes, sa voix apaisée et reconnaissante, son attitude enveloppante et maternante par moment, je vivais un instant de bonheur intense. Après l’avoir resservie de champagne elle s’approcha de moi en posant sa flûté et prenant la mienne en disant
- Allonge toi Titouan ! Se reculant pour me laisser la place et s’agenouillant pour installer les oreillers comme pour m’inviter à m’installer sur le dos
Je m’allongeais sans résistance, je la regardais sentant son désir dans ses yeux et sa douceur attendrissante. Elle restait assise les fesses sur ses chevilles, commençant à caresser mon torse, mon ventre sans toucher mon sexe en légère érection qui retombait sur mon bas ventre. Elle se penchait sur moi embrassant mon visage de petits baisers laissant ses seins pendre en effleurant mon épaule. Elle parcourait mon visage, mon cou, mon torse de baisers accompagnés de petits bruits de claquement, tout en me caressant avec ses seins lourds, les faisant glisser sur mon corps. Elle passait ses bras de l’autre côté de mon torse, sur le côté, l’image de la femme à 4 pattes, sa poitrine pendante venait me caresser comme un massage sur tout le corps. Je fermais les yeux, les ouvrais pour profiter de son corps sensuel, elle évoluait lentement en accompagnant ses caresses maméliques de baisers furtifs. Je ressentais une telle sensualité dans ces caresses, un tel désir de me donner du plaisir. Je pouvais voir son fessier onduler au rythme de ses caresses, ma main remontait sur l’arrière de ses cuisses allant jusqu’à dessiner le galbe de ses fesses, suivant la ligne de sa raie des fesses sur toute sa longueur. Ses caresses descendaient petit à petit sur mon bas ventre faisant redresser mon sexe qui butait contre ses seins. Elle ondulait encore plus comme pour commencer à me masturber avec ses seins jusqu’a laisser sa poitrine enfourcher mon sexe en déposant ses lèvres sur ma hampe. Elle ouvrait ses lèvres les faisant coulisser le long de ma queue qui se dressait en durcissant à nouveau comme une hampe. La sensation de ses lèvres, de ses seins me faisait planait au point de ne plus savoir exactement comment ni de quelle manière elle s’occupait de mon sexe, ses seins me donnaient l’impression d’être des mains, je n’avais jamais ressenti de telles caresses. A mon tour je savourais le plaisir qu’elle me donnait en gémissant tout doucement, fermant les yeux ou profitant de sa croupe à demi tournée vers moi. Je bandais comme un taureau en sentant ses lèvres glisser sur mon sexe, mon index glissait sur son petit orifice appuyant par moment au gré de ses mouvements. Mon doigt se faisait de plus en plus insistant au rythme de sa bouche, elle continuait à caresser et masser mon bas ventre avec sa poitrine tout en me suçant langoureusement. Mes doigts caressant sa raie jusqu’à ses lèvres mouillées d’excitation, petit à petit je la sentais venir s’appuyer sur mon doigt qui glissait tout doucement en elle, jusqu’à la pénétrer entièrement par l’anus
J’étais excité comme jamais, sa bouche me suçant, ses seins me massant, son fessier mature qui s’approchait en se tournant vers moi, je n’en pouvais plus de désir, d’excitation, de frissons. Elle me procurait un plaisir inconnu jusqu’alors, mes fantasmes rejaillissaient en sentant sa croupe onduler sur mon doigt. Je rapprochais ma tête de sa cuisse en glissant ma main entre ses cuisses voulant qu’elle m’enfourche, je l’avais imaginé à maintes reprises assises sur mon visage, ce fantasme qui m’était venu le 1er jour en voyant son fessier quand elle allait se baigner. J’étais sur le point de le réaliser, avoir la sensation de son cul mature recouvrir mon visage et lui donner du plaisir en m’enfouissant dedans. J’essayais de me glisser entre ses cuisses, tout en me concentrant pour ne pas éjaculer tellement sa bouche et ses caresses me procuraient du plaisir, je sentais la jouissance monter mais je voulais à mon tour lui donner du plaisir, peut-être lui faire découvrir cette position qu’elle n’avait jamais osé. Je me contractais en mordant ma lèvre inférieure pour me retenir tout en soulevant sa cuisse qui cédait à mon invitation. Je me faufilais dans son intimité, la tête entourée de ses cuisses charnues, elle en profitait pour lâcher mon sexe et faire glisser ses seins en enfilant ma queue tendue dans le sillon de ses seins, le gardant au chaud sans sa poitrine pendant que mes mains se posaient sur ses hanches en exerçant une pression vers le bas pour l’attirer sur ma bouche. Ses cuisses m’empêchaient de l’entendre mais je sentais les vibrations manifestant sa surprise quand j’enfouissais avec gourmandise mon visage tout entier dans sa chatte ouvertes, ma langue allant et venant lentement entre ses lèvres et son anus dans lequel je m’attardais. Je l’attirais sur moi à m’en étouffer je pouvais ressentir son plaisir quand elle abandonnait mon sexe, lui donnant un temps de répit pour redescendre ma jauge proche de l’éjaculation. Je continuais à l’attirer sur moi jusqu’à ce qu’elle se redresse pour finir assise sur mon visage. Mon nez, ma bouche, mon front tout mon visage était recouvert, son bassin commençait à se frotter sur moi, mes mains lâchaient leur emprise pour la laisser se masturber sur mon visage et remontaient sur ses seins en les agrippant fermement. J’étais dans le noir total, cherchant par moment à reprendre une bouffée d’air à chacun de ses mouvements me laissant un filet d’air, elle ouvrait largement ses cuisses comme pour mieux me sentir, elle se frottait en gémissant plaquant ses mains pour presser ses seins à travers les miennes, ses mouvements s’amplifiaient en s’accélérant, je le sentais proche de l’orgasme, ses cuisses se resserraient sur mes tempes, ses doigts se crispaient sur les miens presque à me griffer et dans un nouveau cri aigu elle se leva en se tordant de jouissance. 
Je pouvais voir son entrecuisse couvert de ma salive, de sa cyprine, ses poils collés et sa raie humide de notre excitation, j’en jouissais presque en vivant cette émotion qui faisait cogner mon coeur dans ma poitrine 
Je ne bougeais pas, je caressais ses flancs, ses fesses comme si je la rassurais, comme si je la remerciais de cette émotion, de ce plaisir qu’elle me procurait à se donner aussi intensément, de ce moment que je découvrais en même qu’elle. Après quelques instants, elle leva sa cuisse pour se laisser tomber sur le dos, épuisée par l’orgasme qu’elle venait de vivre. Son souffle était court, elle tournait la tête vers moi en posant sa main sur front 
- Oh mon bébé d’amour ! Mais qu’est-ce que tu m’as fait ? Comme si elle vivait pour la 1ere fois une telle jouissance
- Tu es sublime Julie, tu m’excites tellement si tu savais ! Répondais-je avec sincérité, j’entendais l’émotion dans ma voix
Elle se tournait vers moi, et plongeait son visage sur moi en le serrant entre ses mains pour m’embrasser avec une gourmandise pleine de passion. Mon sexe était encore dressé, lui aussi sous le coup de l’émotion, il s’était retenu lui aussi. Je sentais ce second souffle comme lorsqu’on sent que l’éjaculation va tenir encore quand Julie entourait mon sexe de sa main pour l’activer, pour continuer cette communion de nos corps, de nos plaisirs, de l’amour qu’on se donnait dans son lit. Elle quitta ma bouche en me regardant attendrie et reprenant son air doux et enveloppant pour me susurrer à l’oreille
- J’ai envie de toi mon bébé ! Sans attendre ma réponse elle m’enfourcha, gardant mon sexe dans ma main et s’asseyait cuisses ouvertes sur mon dard, commençant à se frotter dessus jusqu’à ce que mon gland pénètre ses lèvres lubrifiées par le désir. Elle se penchait sur moi en même temps, m’offrant sa poitrine, elle m’enveloppait de son corps, ses cuisses, je m’enfilais en elle pendant qu’elle me couvrait de baisers en me disant
- Laisse toi faire mon bébé, j’ai envie de te sentir en moi ! 
Comment résister à tant de douceur, tant de sensualité, à sa poitrine qui venait narguer ma bouche, et ses mouvements de bassin qui avalaient ma queue dressée en elle. Je posais mes mains sur ses fesses, accompagnant ses mouvements, mes doigts se crispant dans sa chaire. Tout son corps se mettait à bouger, à balloter au rythme de notre accélération, nous faisions l’amour comme un couple légitime, comme 2 amoureux qui partagent leur intimité. Après moins de 5 minutes de cette copulation, ses seins tressautaient, je secouais ses fesses qui claquaient sur mes cuisses, nos gémissements se mélangeaient et la jouissance montait de plus en plus fort ensemble jusqu’à ce que mon éjaculation explose en elle d’un jet continu provocant un râle bruyant de ma part immédiatement suivi d’un nouvel orgasme.
Fin de l'histoire
Une suite peut-être un jour selon l'inspiration ?!!!
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liemhurle · 1 year ago
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Jour 5 : Vibration
Un battement de coeur, quand il est calme, est une vibration. Un silence, un écho, un frisson. Il vibre, doux, tendre, subtil, caché sous les poumons, derrière la cage thoracique. Il volète, palpite, tremble avec douceur, comme un papillon aux longues ailes fragiles, comme une feuille qui glisse dans le vent. Un coeur calme est silencieux comme une respiration, poignant comme un soupir.
Et soudain, à la vue du danger, ou de l'amour, ou de l'inconnu, il éclate, il tambourine, il balance, il tonne : il bat à toute vitesse, tape de grands coups dans la poitrine, pompe de grandes lampées de sang, avale de larges quantité d'oxygène. Un coeur aux abois est un tambour, le galop d'un cheval affolé, le grondement du tonnerre au creux de la nuit : il brûle, blesse, déchire, halète, se démène pour survivre.
Il prendra son temps pour se calmer, pour ralentir, pour reprendre son rythme de croisière : le coeur est prompt à accéler, à bondir, mais réticent à retourner au repos. Il ralentira lentement, hésitant, avec précaution, jusqu'à retrouver le confort d'un battement régulier, d'une vibration familière.
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jpbjazz · 10 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
LEROY JENKINS, VIOLONISTE DE FREE JAZZ
‘’Our music was a result of Ornette Coleman and Cecil Taylor. And we prided ourselves on taking it further, because we studied Cage, and Xenakis, and Schoenberg, and all those guys. They were the ones who broke away from the old way in classical music, so we had to study them to see how we could break away."
- Leroy Jenkins
Né le 11 mars 1932 à Chicago, en Illinois, Leroy Jenkins était issu d’une famille pauvre. Jenkins avait passé son enfance dans un appartement de trois chambres du South Side avec sa mère, sa soeur, deux tantes, et à l’occasion, un chambreur. Jenkins, qui avait été mis en contact avec la musique dès son plus jeune âge, avait raconté plus tard avoir écouté Charlie Parker, Dizzy Gillespie et des chanteurs comme Billy Eckstine et Louis Jordan durant sa jeunesse.
Jenkins était âgé de sept ans lorsqu’une de ses tantes avait apporté à la maison un ami de coeur qui jouait du violon. Après avoir entendu le petit ami de sa tante jouer une danse hongroise plutôt difficile à exécuter, Jenkins avait demandé à sa mère de lui acheter un violon. Jenkins s’était finalement retrouvé avec une violon miniature de couleur rouge de marque Montgomery Ward d’une valeur de vingt-cinq dollars. Après avoir commencé à prendre des leçons, Jenkins s’était produit dès l’âge de dix ans à la St. Luke's Church, une des plus grandes églises baptistes de la ville, où il avait été accompagné au piano par Ruth Jones, la future Dinah Washington. Jenkins s’était éventuellement joint à la chorale et à l’orchestre de la Ebenezer Baptist Church, qui était dirigé par le Dr. O. W. Frederick, qui l’avait initié à la musique de compositeurs de couleur comme William Grant Still et Will Marion Cook. Multi-instrumentiste, Jenkins avait également appris à jouer de la clarinette, du saxophone alto, du basson et de la viole durant son enfance.
À l’adolescence, Jenkins avait étudié au légendaire DuSable High School, où il avait troqué le violon pour la clarinette et le saxophone alto, car l’école n’avait pas d’orchestre, ce qui limitait ses possibilités de jouer du violon. Au DuSable High School, Jenkins avait étudié sous la direction du célèbre ‘’capitaine’’ Walter Dyett, jouant notamment du basson et de la clarinette avec le groupe de concert de l’école.
Après avoir obtenu son diplôme, Jenkins avait décroché une bourne pour étudier à l’Université Florida A&M, où il avait décroché un baccalauréat en composition et en violon classique. Jenkins avait également fréquenté la Florida Agricultural and Mechanical University à Tallahassee, en Floride, où il avait étudié le basson. Parallèlement à ses études, Jenkins avait également obtenu un revenu d’appoint en jouant du saxophone dans les clubs locaux.
Après avoir décroché un diplôme en éducation en 1961, Jenkins s’était installé à Mobile, en Alabama, où il avait enseigné la musique (et plus particulièrement les instruments à cordes) dans un high school durant quatre ans.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Au milieu des années 1960, Jenkins était rentré à Chicago où il avait obtenu un emploi dans le système d’éducation public. Peu après, Jenkins avait assisté à un événement de l’Association for the Advancement of the Contemporary Musicians (AACM) mettant en vedette la musique du saxophoniste Roscoe Mitchell. Participaient également au concert Maurice McIntyre, Charles Clark, Malachi Favors, Alvin Fielder et Thurman Barker. Jenkins s’était rappelé plus tard avoir été à la fois confus et excité à l’idée de participer à une improvisation collective avec son violon. Jenkins avait alors commencé à participer à des répétitions dirigées par Muhal Richard Abrams. Il expliquait:  "it was something different, something where I could really be violinistic... I discovered that I would be able to play more of my instrument and I wouldn't have to worry about the cliches... I found out that I could really soar, I found out how I could really play." Jenkins avait continuer de répéter et de se produire avec le groupe durant quatre ans.
Jenkins avait fait ses débuts sur disque sur l’album d’Abrams ‘’Levels and Degrees of Light’’ en 1967. À la même époque, Jenkins avait commencé à jouer en trio avec les membres de l’AACM Anthony Braxton et Leo Smith, avec qui il avait enregistré l’album ‘’3 Compositions of New Jazz’’ en 1968. Abrams avait également participé à l’enregistrement. L’année suivante, le trio de Jenkins s’était installé à Paris et avait commencé à jouer avec le batteur Steve McCall avec qui il avait formé un groupe appelé Creative Construction Company. À l’époque, McCall était déjà établi en Europe depuis quelques années.
Durant son séjour à Paris, Jenkins s’était produit avec une vaste gamme de musiciens, dont Archie Shepp, Philly Joe Jones, Alan Silva (avec qui il avait enregistré l’album ‘’Luna Surface’’) et Ornette Coleman. À un certain moment, Coleman avait organisé un concert conjoint avec la Creative Construction Company, l’Art Ensemble of Chicago de Roscoe Mitchell et son propre groupe. À la même époque, Jenkins avait également collaboré à un album de Braxton intitulé ‘’B-Xo/N-0-1-47a’’ sur étiquette BYG Actuel.
En 1970, Jenkins avait quitté Paris et était retourné à New York où il avait fondé le Revolutionary Ensemble. Le groupe, qui avait enregistré un total de sept albums, avait également fait des tournées en Amérique du Nord et en Europe.
Jenkins avait expliqué plus tard qu’il avait quitté Paris parce qu’il se sentait mal à l’aise avec le fait qu’il ne parlait pas français. À son arrivée à New York, Jenkins avait repris contact avec Coleman. Il avait même vécu durant quelques mois dans le loft du saxophoniste appelé Artists House. Jenkins précisait: "We stayed downstairs... It was cold down there, where we slept. Ornette gave us a mattress but he didn't realize how cold it was." Devenu le mentor de Jenkins, Coleman l’avait présenté à plusieurs musiciens qui fréquentaient son loft (les lofts étaient d’importants lieux d’improvisation particulièrement actifs à New York à l’époque). Outre Coleman, Jenkins avait également été très influencé par John Coltrane et Charlie Parker.
Parallèlement, Jenkins avait continué de répéter et de jouer avec la Creative Construction Company, ce qui avait donné lieu à la présentation d’un concert à la "Peace Church" de Greenwich Village le 19 mai 1970. Le concert, qui mettait également en vedette Abrams et le contrebassiste Richard Davis, avait été enregistré par Coleman avant d’être publié en deux volumes par les disques Muse. Chacun des deux albums comprenait une composition de Jenkins.
À la suite du concert, Braxton s’était joint au groupe de free jazz de Chick Corea, Circle. En 1971, Jenkins avait fondé le Revolutionary Ensemble avec le contrebassiste et tromboniste Sirone (pseudonyme de Norris Jones) et le percussionniste et pianiste Jerome Cooper. Le groupe avait poursuivi ses activités durant six ans. Parmi les albums du groupe, on remarquait le disque éponyme Revolutionary Ensemble, également connu sous le titre de ‘’Vietnam’’ (mars 1972), qui comprenait une longue jam session de 47 minutes qui visait à démontrer toute l’horreur de la guerre. Le groupe avait enchaîné en décembre de la même année avec ‘’Manhattan Cycles’’ avant de récidiver trois ans plus tard avec ‘’The Psyche’’ qui comprenait une composition de chacun des membres du groupe. Également publié en décembre 1975, l’album ‘’Ponderous Planets on The People's Republic’’ avait expérimenté avec différentes textures. Si Jenkins jouait à la fois de violon, de la viole, du piano et de la flûte sur l’album, Sirone avait alterné entre la contrebasse, les percussions et le trombone tandis que Jerome Cooper avait utilisé plusieurs techniques de percussion. L’album ‘’Ponderous Planets on The People's Republic’’ est aujourd’hui considéré comme un classique.
À la même époque, sous l’influence du Jazz Composers' Orchestra de Carla Bley et Michael Mantler, Jenkins avait assemblé une formation tout-étoile composée d’Anthony Braxton, de Kalaparusha Maurice McIntyre, de Dewey Redman, de Leo Smith, de Joseph Bowie (le frère du trompettiste de l’Art Ensemble of Chicago, Lester Bowie) de David Holland, de Jerome Cooper, de Charles Shaw et de Sirone dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’For Players Only’’ (janvier 1975).
Après la dissolution du groupe Revolutionary Ensemble en 1977, Jenkins avait fait une tournée aux États-Unis et en Europe. En 1979, Jenkins avait formé le Mixed Quintet, un groupe composé de Jenkins au violon et à la viole, de Marty Ehrlich à la clarinette basse, de J. D. Parran à la clarinette, de James Newton à la flûte et de John Clark au cor français.  
En janvier 1975, Jenkins avait publié ‘’Swift Are the Winds of Life’’ un album en duo avec l’ancien batteur et percussionniste de John Coltrane, Rashied Ali. 
Au début et au milieu des années 1970, Jenkins avait également joué et enregistré avec des musiciens aussi diversifiés qu’Alice Coltrane, Cecil Taylor (1970), Anthony Braxton (1969-72), Don Cherry, Carla Bley, Albert Ayler, Grachan Moncur III, Rahsaan Roland Kirk, Paul Motian, Cal Massey, Dewey Redman et Archie Shepp.
À la fin des années 1970, Jenkins avait joué et enregistré avec le pianiste et compositeur Anthony Davis et le batteur Andrew Cyrille. Au début de la décennie suivante, Jenkins avait formé le groupe de fusion Sting, une formation largement influencée par le blues qui comprenait deux violonistes (Jenkins et Terry Jenoure), deux guitaristes (Brandon Ross à la guitare électrique et James Emery à la guitare acoustique amplifiée), un bassiste électrique (Alonzo Gardner) et un batteur (Kamal Sabir). Un des meilleurs albums du groupe était ‘’Urban Blues’’ (janvier 1984), un disque qui offrait un mélange plutôt inusité de funk, d’avant-garde, de pop, de gospel, de rhythm & blues et de hip-hop.
En 1981, Jenkins avait publié l’album double ‘’Beneath Detroit’’ avec le New Chamber Jazz Quintet. L’album mettait en vedette Spencer Barefield à la guitare classique douze cordes et à la harpe africaine, Faruq Bey au saxophone ténor, Anthony Holland aux saxophones alto et soprano, Jaribu Shahid à la contrebasse et Tani Tabbal à la batterie, aux percussions et au balafon.
À la même époque, en plus de s’être classé en bonne position dans les sondages des lecteurs et des critiques de Down Beat et de Jazz Magazine, Jenkins avait décroché plusieurs bourses et commandes du  New York State Council on the Arts, de la New York Foundation for the Arts, de la Fondation Rockefeller, de Meet the Composer, de Mutable Music et du National Endowment for the Arts (1973, 1974, 1978, 1983 et 1986). Durant cette période, Jenkins avait aussi reçu de commandes d’organismes prestigieux comme le Kronos Quartet, le Brooklyn Philharmonic, le New Music Consort, le Pittsburgh New Music Ensemble, du Lincoln Center Out of Doors, de l’Albany Symphony et du Cleveland Chamber Symphony Orchestra.
DERNIÈRES ANNÉES
Les années 1980 et 1990 avaient été plutôt difficiles pour Jenkins, qui avait commencé à avoir des difficultés à se trouver des contrats pour la première fois de sa carrière. Comme Jenkins l’avait expliqué au cours d’une entrevue accordée au magazine Village Voice, le milieu du jazz était devenu beaucoup plus conservateur, ce qui avait laissé beaucoup moins de place pour le jazz d’avant-garde. Il précisait:
"Wynton Marsalis was in, and people started talking about going back to classic jazz. We couldn't play in clubs. As soon as we'd walk in, the jazz guys, the beboppers, would walk out. We'd come in and make a big sound, and they didn't go for it. They'd say, 'Oh, the noisemakers.' They wanted chord changes. Our music was a result of Ornette Coleman and Cecil Taylor. And we prided ourselves on taking it further, because we studied Cage, and Xenakis, and Schoenberg, and all those guys. They were the ones who broke away from the old way in classical music, so we had to study them to see how we could break away."
À la fin des années 1980, Jenkins avait quand même réussi à enregistrer et à participer à des tournées avec le quintet de Cecil Taylor, même si les choses n’étaient décidément plus ce qu’elles étaient.
Même s’il n’avait presque plus enregistré au milieu des années 1980 et au début des années 1990 et qu’il avait presque abandonné le jazz pour se consacrer à la composition de musique classique, Jenkins avait été très actif dans le Composers Forum, un groupe de pression de New York. Au cours de cette période, Jenkins s’était également produir en duo avec le saxophoniste Joseph Jarman de l’Art Ensemble of Chicago.
À la même époque, Jenkins avait continué de démontrer ses talents d’improvisateur, notamment dans le cadre de son album ‘’Solo’’ (1998), un enregistrement sans accompagnement dans lequel il avait revisité les oeuvres de John Coltrane et de Dizzy Gillespie. Il ne s’agissait pas du premier album solo de Jenkins, qui avait déjà publié en janvier 1977 un album live intitulé Solo Concert, qui avait été suivi en juillet 1978 de l’album ‘’Legend of Ai Glatson.’’ Jenkins avait également publié d’autres enregistrements en solo sur l’album ‘’Santa Fe’’ en octobre 1992.
Parmi les albums néo-classiques de Jenkins, on remarquait ‘’Lifelong Ambitions’’ (mars 1977) avec Muhal Richard Abrams, une improvisation électronique de vingt et une minutes avec Richard Teitelbaum et George Lewis aux synthétiseurs dans le cadre de l’album ‘’Space Minds/ New Worlds/ Survival America’’ (septembre 1978), le Quintet No 3 pour violon, cor français, clarinette et clarinette basse (enregistré avec Marty Ehrlich), l’album ‘’Mixed Quintet’’ (mars 1979) et la pièce ‘’Free at Last’’ publiée sur l’album ‘’Straight Ahead/ Free at Last’’ (septembre 1979) mettant en vedette le violoncelliste Abdul Wadud.
Toujours dans les années 1990, Hans Werner Henze, le directeur artistique du Munich Biennial New Music Theatre Festival, avait chargé Jenkins de composer un danse-opéra intitulé ‘’Mother of Three Sons’’ (1991), une oeuvre qui faisait une sorte de synthèse entre les danses africaines, le jazz d’avant-garde et le folklore d’origine africaine. L’oeuvre, qui racontait l’histoire d’une femme qui tentait de donner naissance à des fils parfaits en copulant avec les dieux, s’appuyait sur la collaboration du chorégraphe et réalisateur Bill T. Jones et de la livrettiste Ann T. Greene. L’oeuvre, qui avait été présentée en grande première à Aachaen en Allemagne en 1990, avait également été interprétée par le New York City Opera en 1991 et le Houston Grand Opera l’année suivante.
Jenkins avait poursuivi son exploration de la musique classique dans les années 1990 et 2000 avec des oeuvres comme ‘’Fresh Faust’’ (1994), un opéra de jazz-rap (dans lequel il revisitait la légende de Faust) qu’il avait composé pour l’Institute of Contemporary Art de Boston, et ‘’The Negro Burial Ground’’ (1996), une cantate produite par la troupe The Kitchen et qui avait été présentée par l’Université du Massachusetts à Amsherst. Basée sur un livret d’Ann T. Greene, l’oeuvre traitait de la pierre tombale d’un esclave du 18e siècle qui avait été découverte en 1991 sur une propriété de Wall Street. Parmi les autres oeuvres majeures de Jenkins, on remarquait ‘’Editorio - The Three Willies’’ (1996), un opéra multimédia qui avait été présenté au Painted Bride de Philadelphie ainsi que ‘’Coincidents’’, un opéra basé sur un livret de Mary Griffin. L’oeuvre avait été présentée à la Roulette de New York.
Même s’il enregistrait beaucoup moins, Jenkins avait fait paraître d’autres albums dans les années 1990, dont ‘’Themes and Improvisations on the Blues’’ (1992), qui mettait en vedette des cordes, des cuivres, de la contrebasse et du piano sur quatre pièces. En 1993, Jenkins avait enchaîné avec un album en concert intitulé ‘’Leroy Jenkins Live!’’ qui comprenait à la fois une section rythmique traditionnelle et des synthétiseurs.
À la même époque, Jenkins avait également participé à une réunion du Revolutionary Ensemble. En 1998, Jenkins avait enregistré avec le multi-instrumentiste Joseph Jarman de l’Art Ensemble og Chicago l’album ‘’Out of the Mist’’, un enregistrement qui combinait la musique africaine et asiatique au jazz, en passant par la musique classique européenne contemporaine. Par la suite, Jenkins avait prolongé sa collaboration avec Jarman en formant le trio Equal Interest avec la pianiste Myra Melford. Le groupe avait publié un album éponyme en 2000 qui refétait les intérêts de chacun de ses membres. Le critique du magazine Down Beat, James Hale, avait écrit au sujet de cet album:  "Jarman's devotion to Buddhism dovetails with Melford's interest in music for the harmonium, while Jenkins thrives on developing thematic patterns that span musical cultures from East Asia to Appalachia. Together, the three create music that defies categorization beyond the beauty and humanity that suffuse all of it."
En 2004, Jenkins avait formé le groupe Driftwood, un quartet qui comprenait Min Xiao-Fen au pipa, Denman Maroney au piano et Rich O'Donnell aux percussions. Le groupe avait publié l’album ‘’The Art of Improvisation’’ en octobre de la même année. En 2005, Jenkins avait retrouvé le Revolutionary Ensemble avec qui il avait publié deux albums live: ‘’The Boundary of Time’’ (mai 2005) et ‘’Counterparts’’ (novembre 2005). Le groupe avait publié son dernier album studio en juin 2004. Intitulé ‘’And Now’’, l’album comprenait une composition de vingt et une minutes du batteur Jerome Cooper.
Au cours de sa carrière, Jenkins avait collaboré et fait des tournées avec de nombreux chorégraphes. Il avait également fondé un groupe d’improvisation basé sur la World Music. En 2004, Jenkins avait été lauréat d’une bourse de la Fondation Guggenheim. Il avait aussi joué comme musicien-résident dans plusieurs universités américaines, dont les universités Duke, Carnegie Mellon, Williams, Brown, Harvard et Oberlin. Également professeur, Jenkins avait enseigné la musique dans un high school de Mobile, en Alabama, de 1961 à 1965, puis dans les écoles de Chicago de 1965 à 1969.
Leroy Jenkins est mort d’un cancer du poumon à New York le 24 février 2007. Il était âgé de soixante-quatorze ans. Au moment de sa mort, Jenkins travaillait sur deux nouveaux opéras: une histoire du quartier South Side de Chicago, et ‘’Minor Triad’’, un drame musical sur les artistes de jazz Paul Robeson, Lena Horne et Cab Calloway. Jenkins vivait à Brooklyn au moment de son décès. Jenkins laissait dans le deuil son épouse Linda Harris et sa fille Chantille Kwintana. Le dernier membre survivant du groupe Revolutionary Ensemble, le batteur Jerome Cooper, est mort en 2015.
Influencé par plusieurs styles musicaux allant de la musique afro-américaine au bebop en passant par la musique classique européenne, Leroy Jenkins, qui avait été un des principaux leaders du  jazz d’avant-garde durant quatre décennies, n’avait jamais cessé de se réinventer. Comme l’avait déclaré un critique du San Francisco Chronicle, "Jenkins is a master who cuts across all categories." Au cours de sa carrière, Jenkins avait publié une douzaine d’albums sous son propre nom.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Leroy Jenkins.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Leroy Jenkins Biography.’’ Net Industries, 2024.
RATLIFF, Ben. ‘’Leroy Jenkins, 74, Violinist Who Pushed Limits of Jazz, Dies.’’ New York Times, 26 février 2007.
SCARUFFI, Pierro. ‘’Leroy Jenkins.’’ Piero Scaruffi, 2006.
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gedjub · 1 year ago
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120124 Tous les mercis deviennent des bravos. Héroïnes et héros des rapports sociaux, chaperons de la communication, sauveurs de l'humeur général qui tournait à l'aigre.
+ Je suis gros de tant d'années d'idées que pour me vider il faudrait me taire jusqu'à la mort. Je finirai donc obèse de cris du coeur et d'obsessions, ç'aura été riche tout ça et adieu Berthe.
+ Ah le plaisir de lancer un mot ou deux et de voir une phrase s'en échapper, la suivre et la pousser de mes doigts, m'emplir les sens des sens (j'entends tout, je touche les touches, je vois bien, j'ai du pif, et le reste), peindre la page, tailler la phrase, dirait Manon!
140124 Oil in boil
150124 La lenteur dont on est capable, à quatre heures du matin...
Et de reconnaître les mauvaises choses en les prenant en bouche. Je referai, peut-être, mes placards entièrement si je goûtais tout maintenant.
J'ai lu l'astragale plus longtemps que d'habitude, évidemment puisque d'habitude, il n'y en a qu'aux toilettes et donc en entrecoups. Si je me lève à nouveau plus souvent aussi tôt qu'aujourd'hui, j'aurai enfin fini ce livre bientôt.
Ces deux tôt ne me paraissent pas si proches et ne me dérangent pas.
Je sens ma machine à penser tourner au quart de tour comme en journée, comme au coucher, mais c'est moi qui n'en suis pas le fil, moi, j'ai les yeux mi-clos, je ne sens pas mon corps, je suis hors du temps, il n'est maintenant encore que six heures et le silence dort.
160124 Au sous-sol de l'ombre, endormi et chéri de loin le sommeil se demande mais rien ne réagit à rien, faire s'efface.
(D'après écriture automatique pour paroles, aujourd'hui. Je n'oserais pas la découper si je ne le copiais pas, alors même que je l'ai écrite pour ça...)
+ Bonjour est-ce que vous auriez de l'Armel en poudre? C'est pour reconstituer mon ami qui est mort...
170123 ce qui me semble être la forme la plus efficace pour la phrase la plus importante d'une chanson, d'une musique : un appel : des notes comme un ouhou! lancé d'une fenêtre vers le trottoir ; encore mieux, trois notes : un OHÉ solennel d'une montagne à l'autre et donc dont le O est en mouvement, de grave à aigu.
+ Que tu sois en cendres, ça ne colle pas pour le moment. Surtout que tes lettres sont très très bien conservées.
180124 Qu'Armel soit aujourd'hui poussière, ça m'impressionne dans le sens où je ne le comprends pas. Il n'a plus de visage, plus de corps, ces vues que je connais bien, que j'ai même là sous les yeux, cette consistance animée, tout ça est dans le vent et dans les vagues, désormais, grains encore en train de se séparer au gré des marées. Même si j'y allais maintenant et que j'en trouvais un amas, je ne pourrais pas y voir ne serait-ce que la forme de l'un de ses yeux rieurs. Et si en rêve je prenais toutes les mini-miettes de papier brûlé qu'il est devenu, je ne pourrais, au mieux, qu'en faire une poupée en tassant les éléments et en leur donnant la forme souhaitée, exactement comme avec les pelotes de laine du placard, quand j'étais petit, qui au moins s'accrochaient un peu entre elles grâce aux mini-cheveux de leur laine. Je croyais que c'était comme ça qu'on "cousait". Mais la forme tombait sur elle-même, corps inerte, et se délitait, parce qu'il lui manquait une unité. Je la gardais telle quelle, tant que ma mère ne la rangeait pas.
+ İf what you're doing is not your life, please don't do it. (sadhguru)
190124 La trilogie de Renaud Lambert :
1. La synagogue au loin
2. Tu gênes, Jacqueline
3. De canton en canton
+ Gérer deux-trois guerres
+ Voir l'eau
200124 Go gilt-trip your mother
220124 Elles ouvrirent les cages et tous les rois s'enfuirent, certains avec les clés entre les dents.
+ Je relis Kafka sur le rivage, j'en suis au passage où le titre apparait pour la première fois et j'ai un peu pleuré comme toi, franchement et avec le souffle court, ce qui m'a rappelé que je t'ai offert ce livre. Il est beau, tu verras.
+ Renaud Lambert fait des doudous liste bourré.
+ Crémation: si le gars est une ordure, on parle d'incinération.
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ctgnami · 1 year ago
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Rêve / Cauchemar
Tout s’arrange et personne ne debraye
S’il te plait, laisse-moi rester dans ce rêve
S’il te plait, ne me laisse pas me réveillée
Tu m'enfermes dans une cage dorée
Tu es mon cauchemar dans mon livre adoré
Je m’assois et je te regarde partir
Pour que je puisse m'écrire en martyre
Tout le monde est d’accord, tous les arguments sont abandonnés
Et nous nous sentons toujours jeune
S’il te plait, ne me laisse pas me réveillée
Voici comment tu pensais que cela se passait:
Je souris comme si je me sentais bien
Je pars comme si je n’attendais rien
Je suis partie comme si je ne me noyais pas dans la mer
Comme si je n’avais pas froid à cause de ton hiver
Dans mon esprit, j’ai fait de toi une superstar
Et j’ai laissé ton illusion me frapper en plein coeur
Je laisse ta fantaisie me noyer dans le noir
Voici comment se déroule mon histoire:
Tu souris alors que je laisse mes mots t’attaquer
Tu pars alors que je crie que je vais te manquer
Tu es parti alors que je suis coincée à ma place
En espérant qu'un de mes mots te frapperait en plein visage
Je me convaincs que la nuit n’est pas noire
Et je ne te pleure pas dans ma mémoire
Parce que tout semble si vrai
Mais j’ai besoin d’avoir ma tête sur mes épaules
Tu es mon cauchemar qui m’a mis en taule
Je prie pour que tu coupes la poire en deux
Juste pour toi, je suis devenu religieux
b.b.
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lisaalmeida · 2 years ago
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Que recherchons-nous à travers nos relations, rencontres et échanges ?
Quel est le sentiment que nous désirons ardemment éprouver, tout au long de notre vie ?
L’amour est évidemment la réponse à toutes ces questions.
L’amour est ainsi le principe et la source de toute vie, sans quoi rien ne pourrait exister ni subsister.
L’amour est la force qui fait tourner les mondes, l’énergie qui maintient la cohésion des atomes comme des planètes.
L’amour est au cœur des mystères que nous sommes venus appréhender et expérimenter sur cette Terre.
Chacun ressent et pressent, même confusément, que l’amour vrai est la clé et la solution de tous nos maux, individuels et surtout collectifs, économiques, politiques et sociaux.
Mais l’amour véritable n’est pas acquis d’emblée : il est à rechercher, ressentir, découvrir.
Il n’est ni instinct de possession, ni dépendance fusionnelle, ni suivisme grégaire, car il émane de soi.
Il est le résultat de l’alchimie intérieure, le fruit de la reconnexion à l’être essentiel et à la puissance de vie.
L’amour est la joie d’être, le signe d’une conscience éveillée et lumineuse, un présent accordé, offert et partagé.
L’amour est ce que nous sommes éternellement, en dépit de nos souffrances, illusions et désillusions et parfois grâce à elles ; il est notre état naturel, notre aspiration à une vie riche, fascinante, magique, inattendue, utile et initiatique.
L’amour est partout, omniprésent et protéiforme ; il se pare de toutes les couleurs et de toutes les fréquences, et se manifeste de multiples manières : amour du compagnon ou de la compagne, des amis, des enfants, des animaux, de la nature, de la beauté, des œuvres de l’esprit…
Mais c’est la relation amoureuse qui se révèle son territoire de prédilection, car alors le sentiment se mêle au désir, à la sensualité et à l’attraction des corps, lieu de toutes les convoitises, de tous les délires et de toutes les extases.
Ce que l’on nomme amour est rarement digne de ce nom : l’amour qui blesse et qui déchire, qui conquiert et qui rompt, qui domine et qui soumet, qui idolâtre et qui méprise, n’est qu’une caricature égotique, une maladie infantile du cœur, un balbutiement du sentiment.
L’amour qui prend fin n’a jamais existé ; l’amour qui se meut en haine ou indifférence, n’était qu’illusion, transfert, projection, malentendu.
Les relations évoluent et donnent souvent lieu à séparation, éloignement, divergence. Mais comment peut-on rejeter, nier ou diaboliser l’être que l’on a tenu tendrement dans ses bras, si ce n’est précisément à cause de la douleur créée par son absence ?
L’amour véritable est patient, sincère, honnête et compréhensif ; il se nomme bienveillance, bonté, compassion, douceur, tendresse, sollicitude ou empathie.
De la nature de l’amitié, il dure la vie entière, car il n’est pas fondé sur l’image ou les apparences, mais sur les liens invisibles et mystérieux qui unissent les âmes et les cœurs.
Aussi le chemin de l’amour, que tous nous empruntons à notre manière, est-il un apprentissage, qui mène de l’égoïsme à l’altruisme, de l’aveuglement à la connaissance, de la consommation au partage, de la prédation au don.
L’amour est éternel car il est spirituel ; il est la joie libre du cœur qui s’est ouvert ; il ne sait que grandir, fleurir et embellir.
L’amour est si puissant qu’il se joue des barrières, frontières, critères, normes et interdits.
Car l’amour est libre et il souffle où il veut ; il ne peut être contraint, obligé ou mis en cage ; l’autre ne nous appartient pas et l’emprisonner, ce n’est pas l’aimer.
L’amour ne donne ni droits, ni devoirs ; il est une extraordinaire opportunité de vivre des moments merveilleux et magiques, une chance à ne surtout pas laisser passer.
Et si l’amour était sagesse, philosophie éminemment subtile, art et science oubliés, à retrouver, découvrir, réinventer ?
L’amour est un défi. Saurons-nous y répondre ?
LA SAGESSE AMOUREUSE
Yann Thibaud
Extrait de «L'Alchimie émotionnelle ou la métamorphose du coeur»
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magicalstrawbi · 13 hours ago
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𝗣͟𝗔͟𝗥͟𝗞͟ 𝗨͟𝗝͟𝗜͟𝗡 ;
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Syndrome du sevrage néonatal ; fait référence au sevrage associé aux drogues illicites, à l’alcool et certains médicaments chez le nouveau né. Ujin fait partie de ces bébés là. Sa mère n’est pas une mauvaise personne, pas méchante pour un sou, mais quand on se fait abandonner par le père de son futur enfant, que ses parents ne sont pas présents et qu’on évolue dans un environnement miteux, on a pas d’autres choix que de trouver une nouvelle source de bonheur. Et pour sa mère, ça a été la drogue. Malgré la présence de drogue dans son corps, malgré tout ce qu’elle est en train de faire endurer à son bébé, Ujin est la prunelle de ses yeux, est la seule chose qui la garde encore en vie, quand elle a l’impression que tout son monde s’écroule, quand elle a l’impression que plus rien ne pourra la sauver de cette situation. Malheureusement, l’amour pour son enfant ne fait pas tout, parce que le rouquin né avec une addiction à la drogue des plus anormales. Né prématurément, Ujin passera ses premiers mois de vie à l’hôpital, entre examens médicaux poussés, entre sevrage, entre traitement, les médecins se rendront bien vite compte que le petit garçon a une malformation cardiaque. S’en suit des opérations coûteuses, qui enverront sa mère dans un état second, dans une précarité encore plus grande. Mais malgré ce sauvetage. Ujin est loin de vivre. Il survit. Il ne grandit pas comme les autres petits garçons de son âge, n’évolue pas au même rythme. Quand ses camarades vont faire du sport en dehors de l’école, lui, se rend à l’hôpital pour passer des examens. Quand ses amis sont en cours de sport, lui, reste sur le banc ou est convié en salle d’étude pour avancer sur ses devoirs. Il ne peut pas trop courir par crainte de voir son coeur s’emballer, ne peut pas faire de sport, ne peut pas jouer avec les enfants de son âge parce qu’un coup mal placé dans sa cage thoracique pourrait l’envoyer directement aux urgences. C’est un calvaire pour le jeune homme, qui ne rêve que d’une chose, avoir une vie normale. Dans ce malheur, il a toujours sa mère, qui fait tout pour qu’il soit bien habillé, fait tout pour qu’il soit heureux et en bonne santé, à peu près, elle fait tout, prenant même le risque d’avoir les huissiers à leur porte.
Sa mère a tout fait pour se sevrer, pour offrir un cadre de vie meilleur à Ujin, mais à croire que ça ne sera pas suffisant. Le jeune homme survit, en a marre de ne pas pouvoir vivre sa vie à fond, de ne pas pouvoir être comme les garçons de son âge. Alors quand il a dix huit ans, il touche à son premier joint, touche pour la première fois aux joies de la drogue. Il se contente uniquement d’un joint par ci par là, mais le garçon, entraîné par ses mauvaises fréquentations, commence à prendre des drogues plus dures, des drogues qui lui font oublier toute sa misère, tous ses problèmes de santé. Mais il se renferme sur lui même, devient de plus en plus accro, est en quête du moindre gramme qui pourrait le faire planer, jusqu’à s’éloigner de sa mère. C’est quelque chose qu’il ne voit pas venir. Il pensait se faire revivre, trouver espoir dans quelque chose d’autre, mais il n’est plus que l’ombre de lui même, quand du jour au lendemain la culpabilité l’envahit. Sa mère a tout fait pour le sortir de là, pour effacer la drogue de leurs vies, mais ça ne l’a pas empêché de sombrer à son tour. Pour cela que quelques mois après sa majorité, il quitte sa mère, quitte leur appartement, quitte tout le calme et l’apaisement que sa mère avait pu lui offrir. Il laisse simplement une note, la remerciant, avant de claquer la porte derrière lui et de partir en pleine nuit, les poches de sa veste remplies de drogue et le cerveau aussi flou que la fumée du joint qu’il allume à ce moment là.
Il a dix neuf ans à ce moment là, et Ujin n’est plus lui même. Il enchaîne les soirées, enchaîne la drogue, ne se nourrit pas correctement et ne va même plus au travail, où il occupait un poste de chef cuisinier dans une vieille cantine miteuse. Il ne vit que pour la drogue, sans se rendre compte au final, qu’il est en train de mourir à petit feu, que son coeur s’affaiblit de jour en jour. Et c’est le gramme de trop, la drogue de trop, quand il succombe à une overdose et qu’il tombe en pleine rue, il se sent partir, se sent mourir, et pourtant la dernière personne qu’il voit dans son champ de vision avant de sombrer, c’est un jeune homme qui doit avoir le même âge que lui. Et qui deviendra son sauveur.
Ujin est le premier à rejoindre les rangs de Sulli – leur leader – et vraiment ils sont bancales, galèrent à recruter des membres, mais pourtant ça ne les empêche pas de continuer, jusqu’à voir Junseo rejoindre le gang peu de temps après. Les trois qui sont aussi appelés les « trois mousquetaires » tiennent le gang d’une main de fer, et même si Ujin ne peut pas se battre, même si il ne peut pas se rendre en mission à cause de son coeur, il est un élément important, un des négociateurs les plus doués du gang. Mais sa place est assurée par une monnaie d’échange qui a été instaurée par Sulli. Si il veut continuer d’être dans le gang, il doit se rendre à des rendez-vous fréquents à l’hôpital pour faire des examens, prendre un traitement, mais il doit aussi se rendre à des réunions d’anciens drogués/alcooliques. Chose qui ne l’enchante pas du tout vu à quel point il y va à reculons, mais autant dire que son ami ne lui laisse pas tellement le choix, quand on sait qu’il est toujours là pour le conduire au centre et le récupérer. C’est à ces réunions qu’il fait la rencontre de Yerim. Elle est la meilleure amie de Min-ah – la barmaid et une de ses plus proches amies – et il la voit souvent, que ça soit au centre ou au bar. Ils ne se parlent pas réellement, jusqu’à ce que la jeune femme vienne le provoquer à une réunion, vienne lui mettre en pleine tronche qu’il se fout du monde, parce qu’elle est sûre de l’avoir vu boire au bar. Malentendu ou approche bancale, il faut dire que cette première discussion aura du bon, parce que le rouquin tombera directement sous le charme de Yerim. Elle est tout ce qu’il cherche ; douce, gentille, marrante, elle l’apaise et ne le juge pas concernant sa situation et ses problèmes de santé, ne lui rigole pas au nez et ne cherche pas à trouver des excuses. Les mêmes excuses qu’il avait pu entendre chez d’autres femmes. Non, la brune l’aime pour ce qu’il est et c’est réciproque. Tout va vite pour les deux jeunes qui se comprennent, mais Ujin n’en a rien à faire du temps que ça peut mettre, parce qu’il sait qu’il a la bénédiction de Min-ah. Il sait que la brune est la femme qu’il lui faut, et sait aussi qu’il n’hésitera pas à s’envoyer lui même à l’hôpital quand elle sera au plus mal, suite au retour de Han-ju. Ils se sauveront mutuellement.
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aletterfromthemoon · 3 days ago
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Réflexions.
Plus je regardais les flocons tomber, plus je me perdais dans les heures qu’ils emportaient avec eux. Comme si l’on m’avait posé un filtre sur les yeux, je n’apercevais la réalité qu’en approximation. Plus tard, je me suis rendu compte de ce qui avait causé l’apparition de cette neige, qui s’emparait cruellement de ma conscience.
Je n’en étais pas convaincu à l’époque, mais aujourd’hui je peux admettre que je n’ai pas eu une vie très facile. Je suis également en capacité de dire que je me porte mieux qu’auparavant. C’est déjà ça. Pourtant les moeurs n’en finissent pas. Décidément.
S’il y a des personnes qui ne connaissent pas la douleur physique, il y a des personnes, moi y compris, qui ont du mal à reconnaître la douleur émotionelle. C’est toujours trop tard quand, éventuellement, votre coeur s’empoigne; votre entourage décide de la date de péremption de vos émotions.
J’ai toujours eu une affinité pour le passé, la nostalgie et les souvenirs comme les oublis. Mais je ne m’enferme pas de mes propres mains dans une cage de mélancolie, où je passe mes jours condamné à remuer des secondes d’autrefois. Il y avait des failles. Des détails, des contextes, des points de vue qui manquaient, et je suis un programme. J’intègre chaque nouvelle information. Je reconsidère chaque calcul. Mais comme malgré tout je suis humain, je n’ai jamais eu le temps ou bien même l’environnement nécessaire pour porter un sain jugement. Au risque de fâcher, je continuerai donc à réparer ces virus, et je ne m’arrêterai que quand je serai guéri. Si votre culpabilité entraîne avec elle votre colère, c’est sur votre dos. Je ne sacrifiererai plus le mien pour le votre.
Bien que ce soit difficile et que ce n’est que le début d’un long chemin, j’apprends petit à petit à m’aimer. Ou du moins, à faire attention à moi-même. J’ai renoué quelques liens comme j’en ai coupé d’autres. Pour être honnête, ça n’a pas été facile; ça ne l’est jamais quand c’est une personne à laquelle vous tenez précieusement. Mais le fait que je me rende compte que j’ai été très probablement agressé sexuellement par cette personne m’a ouvert les yeux. C’est comme ces rêves où vous tombez dans un abîme sombre pour vous réveiller en sursaut par la suite. Je me suis demandé comment j’ai pu autant aimé et chérir quelqu’un de si manipulateur, de si cruel, de si mauvais et injuste. Du plus profond de mon coeur, je pensais sincèrement qu’iel avait changé, que ce n’était pas “lui.” Je l’ai laissé.e changer la vérité. J’ai eu honte de moi-même. Toutes ces choses que je voyais à moitié, toutes ces choses que je n’avais pas remarquées m’ont trempé d’un bain glaçant.
J’avais retenté une multitude de fois par le passé, mais c’est fini. Reste loin de moi.
J’ai eu tellement à porter.
Dans mon arbre généalogique, on fait faner les feuilles pour les endurcir. Donc on m’a fait souffrir, par prévenance. Cette année, j'ai perdu des feuilles. Je ne sais pas comment réagir. Auparavant nous avions déjà perdu des gens de mon village, mais je n’avais jamais perdu des membres de ma famille. Et j’en ai perdu deux, dans une journée.
Je ne la reverrai plus jamais.
Les êtres humains sont indescriptibles. Ils peuvent vivre le coeur troué.
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