#chemina
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"Il y a chez tout être humain un chemin des mots qu'il appartient à chacun de trouver."
Seulement des cailloux, des ronces, des branchages, des orties, et quelques fleurs piquantes. Les mots du chemin des mots semblaient se cacher, paraissaient la fuir. La seconde fois où elle chemina sur le chemin des mots, le premier mot qu'elle vit sur la pente d'un talus fut le mot OSER.
Auteur inconnu
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Here’s a fun one for ya! I’m wondering if you could change Mina's hero name, what would you change it to?
While I actually don't mind Mina's hero name that much, I can still try to talk about changes.
Going off of what we know about Mina, there are several possibilities. I did consider something more scientific, like naming her after a kind of acid, but that doesn't exactly work with Mina's character. The most I could really go for was the Acidic Heroine, Alkali. Maybe something alien related could work for her, like the ET Heroine, Stella? The Caustic Heroine, Meltdown or Breakdown could work if you want to go with a "tougher" route for her. If I were to change it, I think that the Gooey Heroine, Acido could make for a cute name. It works with both her name and her Quirk while still working with her friendly brand, similar to Uraravity. Though my personal favorite is the Bond Heroine, Chemina, based off of chemistry. Not only does that fit with her Quirk and name, but it fits with her personality as well. Mina is really good with people and with making friends with others. She's the kind of person people want to be around and is easy to have chemistry with, making her hero name a good catch all for her traits.
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Rebecca demandée en mariage pour Isaac Béni par l’Éternel dans tous les aspects de son existence, Abraham, se voyant atteindre un âge très avancé, s'adressa au plus ancien des serviteurs de sa maison (lequel avait pour charge l'administration de tous ses biens) : - Positionne, je te prie, l'une de tes mains sous ma cuisse afin que je puisse te faire jurer par le Dieu de la Terre et du Ciel de ne jamais marier celui des fils qu'il me reste avec une femme issue des Cananéens parmi lesquels je vis et habite mais d'aller lui chercher une épouse dans mon pays. À quoi le serviteur répondit : - Peut-être la femme choisie pour épouse ne voudra-t-elle pas venir résider ici, sur les terres des Cananéens. Devrai-je alors conduire ton fils Isaac dans le pays d'où tu viens, Abraham ? - Garde-toi bien d'y mener mon fils ! L'Éternel, qui m'a guidé tout au long de ma vie, t'enverra un ange afin de t'indiquer quelle femme de mon pays doit devenir l'épouse d'Isaac. Si elle refuse de te suivre jusqu'ici, sur les terres des Cananéens, pour être mariée à mon fils, alors tu pourras te considérer dégagé de ce serment que je te fais faire et l'oublier. Et le vieux serviteur jura solennellement à Abraham de respecter cette promesse ; sur quoi, il s'équipa de dix chameaux appartenant à son maître ainsi que de biens dont il assurait l'intendance. Puis il chemina jusqu'à la ville de Nachor, en Mésopotamie. Le soir, il fit se reposer les animaux qui l'accompagnaient sur leurs genoux, hors de la cité, près d'un puits, à l'heure où les femmes des alentours avaient coutume de venir y prendre de l'eau. Là, il s'adressa à l’Éternel : - Dieu de mon seigneur Abraham ! Fais-moi, je te prie, rencontrer ce soir la future épouse d'Isaac ! Tel est mon souhait. Je me tiens auprès de la source où les jeunes filles de la ville de Nachor viennent puiser de l'eau. Que celle d'entre elles à laquelle je demanderai de me permettre de consommer un peu de l'eau contenue dans la cruche qu'elle transporte et, qui acceptant de bon cœur, aura de surcroît la bonté de bien vouloir donner à boire à mes dix chameaux assoiffés - une corvée épouvantablement fastidieuse -, soit la femme destinée à épouser Isaac. Avant même qu'il eût achevé sa phrase, une jeune fille prénommée Rebecca apparut, sortant de chez elle en portant une lourde cruche sur son épaule. Elle était née de Béthuel, fils de Milca qui était la femme de Nachor, l'un des frères du vieil Abraham. Extraordinairement belle de visage, elle était d'une splendeur virginale, car aucun homme ne l'avait approchée. Rebecca remplit sa cruche à la source puis voulut retourner chez elle sans s'attarder, mais le vieux serviteur d'Abraham vint la trouver en lui demandant de le laisser boire un peu de cette eau qu'elle transportait. La jeune fille accepta, puis proposa aimablement de donner à boire aux dix chameaux qui accompagnaient ce vieillard. Elle les abreuva tous avec diligence, effectuant en courant des allées et venues pénibles entre les animaux et la source, avec sa lourde cruche, sous les regards étonnés du vieux serviteur qui demeurait muet de stupeur. Lorsque les chameaux, (véritables citernes ambulantes montées sur pattes), eurent enfin fini de boire, le vieux serviteur choisit, parmi les biens qu'il transportait, un anneau d'or dont le poids était d'un demi-sicle et deux bracelets, en or eux aussi, pesant chacun dix sicles. Puis il demanda à la jeune fille belle et accorte : - Qui es-tu ? Dis-le moi, je te prie.
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Dr. Asaba (D2) gave a presentation at the CHEMINAS 48 and received the AI Award, Award of Excellence.
Asaba (D2) and Nanmo (D2) made presentations at the Symposium on Sensors, Micromachines and Applied Systems, and Asaba received the Award of Excellence. Nov.6-9
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Le chasseur et le Genie.
Il y avait un génie qui volait la femme des nouveaux mariés. Quiconque se mariait, se voyait privé de sa nouvelle épouse, enlevée par le génie.
Un brave et téméraire chasseur apprit la nouvelle et annonça qu'il irait chercher une femme dans ce pays, afin de savoir si les hommes y sont sans valeur.
Après avoir dit cela, il se prépara et partit. Quand il arriva dans la cité, on le reçut avec faste. Le roi lui demanda le motif de sa visite. Le chasseur lui dit qu'il venait prendre femme.
Le roi lui dit :
- Ici tu ne peux obtenir une femme, car à tous ceux à qui on a donné une épouse, le génie l'a enlevée et toutes ces épouses ont été ainsi perdues à jamais.
Le jeune homme répondit au roi :
- Moi je suis un chasseur. Si tu me donnes ta fille en mariage et si le génie me la prend, je lutterai avec lui. Toi, observe-moi simplement ; ne te préoccupe que de moi.
- Ce que tu dis, est-ce que c'est sûr ? demanda le roi.
- C'est sûr, répondit l'homme.
Le roi lui donna une femme. Le mariage fut célébré durant trois jours. Lorsque les invités furent partis, le jeune homme rentra avec son épouse dans leur chambre. Dès qu'ils se couchèrent, le mari tenta de la toucher dans l'obscurité, mais ne trouva rien. Il s'inquiéta. Il se leva et alla voir le père de la mariée. Il lui dit qu'en effet, il avait eu raison. Le génie était venu voler son épouse!
Le matin, il alla trouver un marabout et lui dit : - J'ai épousé une femme et le génie est venu la prendre.
Le marabout regarda les signes et lui dit :
- Le génie, toutes les personnes qu'il a enlevées d'ici, il les a emportées au-delà du fleuve. Si tu peux dépasser le fleuve, tu pourras tuer les génies. Les génies se trouvent dans une antilope-
jument. Dans cette antilope, il y a un kewel. Dans cette petite antilope, il y a un corbeau. Dans ce corbeau, il y a un œuf. Cet œuf, si tu l'écrases, les femmes volées par
le génie vont t'apparaître. Le marabout dit encore :
- L'antilope Koba quitte son logis vers onze heures pour aller boire à la roche qui se trouve dans le fleuve. Louti est son nom.
Le chasseur prit sa gibecière, y mit sa nourriture et partit, accompagné de son chien.
Aussitôt qu'ils furent sortis de la ville, un lion les vit, rugit et courut vers eux. L'homme
s'agenouilla pour tirer, mais le lion lui demanda :
-Que vas-tu faire ?
-On a volé ma femme, je suis à sa recherche; si tu veux m'attaquer, je te tue ! Le lion lui dit : - Partons donc, je m'en vais t'aider. Ce que peut faire un ou deux, trois le feront mieux.
Aussitôt qu'ils furent sortis de la ville, un lion les vit, rugit et courut vers eux. L'homme
s'agenouilla pour tirer, mais le lion lui demanda :
-Que vas-tu faire ?
Ils marchèrent longtemps; un aigle venant on ne sait d'où, plana au-dessus du chasseur. L'homme voulut le tuer, l'aigle dit :
- Que vas-tu faire de moi ?
- On a volé ma femme, je suis à sa recherche. Si tu m'attaques, je te tue tout de suite
L'aigle lui dit :
- Allons-y, je vais t'aider. Ce que deux ou trois peuvent faire, quatre le pourront mieux.
L'homme, avec les trois animaux, chemina dans la brousse. Quand ils arrivèrent au bord du fleuve, le lion creusa un trou profond; ils s'y tapirent, bien cachés.
Vers 11 heures, l'antilope-Koba arriva pour boire au rocher du fleuve. Le lion bondit et tomba sur elle; il l'éventra. La petite antilope sortit du ventre et se mit à courir. Le chien la poursuivit. Ils coururent sur deux longueurs de sas, le chien l'attrapa et l'éventra. Un corbeau en sortit et s'envola. L'aigle le rencontra en l'air et le percuta : le corbeau tomba, l'aigle l'éventra. Un œuf en sortit et roula sur le sol, le chasseur l'écrasa.
Aussitôt on entendit de l'autre rive du fleuve, les cris de nombreuses femmes.
L'homme retourna à la ville pour appeler les habitants. Quand ils vinrent, chacun prit sa pirogue. Le chasseur, lui, monta sur le lion et ils traversèrent le fleuve. Là-bas, il reconnut sa femme, la reprit et rentra avec elle.
Le chasseur n'a pas manqué d' associé tous les animaux qui l'ont aider a vaincre le génie, a la cérémonie organisée par les villageois enbson honneur. #yattra_six
#michael cera#ryan gosling#easter#star wars#welcome home#artists on tumblr#yellowjackets#margot robbie#donald trump#wally darling
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Le lièvre et la Tortue - Michel LO
Le lièvre et la tortue décidèrent de refaire La course de la fable devenue légendaire Une sorte d'hommage dans la grande tradition Au sieur de la Fontaine, pour commémoration. Dès le coup de départ, la tortue chemina En forçant son allure de grand galop ... au pas Tandis que notre lièvre alla se balader Au milieu de la foule pour se faire admirer. Mais voilà qu'un gendarme, avisant la tortue Courant à petits pas, au milieu de la rue D'un grand coup de sifflet arrêta l'animal Et entreprit de dresser un procès verbal. Voyant l'heure avancer, notre lièvre décolle Et force à pleines pattes, à une vitesse folle Mais le deuxième gendarme - il y en a toujours deux - Arrête aussi le lièvre d'un geste fort impérieux. Nos deux compères s'énervent, essayent d'expliquer Qu'on les attend d'urgence, et que ça va gâcher La fête organisée ...., et laissent échapper Un vocable injurieux pour la maréchaussée. Du coup les deux gendarmes décidèrent d'amener Pour présenter au poste, les bêtes au gradé. C'est ainsi que la fête, commencée dans la joie S'arrêta brusquement pour un mot maladroit. MORALITE On ne se bat pas contre des moulins à vent On ne parle pas pour rien aux indifférents Et on ne va pas indisposer des agents Surtout s'ils sont trop cons pour être intelligents. En dehors de l'aspect un peu rigolade de cette fable, il faut que je vous avoue que l'un des poètes actuels que j'admire beaucoup est Gendarme à la retraite : Pierre Brandao. Pierre Brandao a écrit nombre de romans et de poésie. Il ne me connaît pas, mais merci à lui : il a écrit un Petit Traité de la Prosodie Française (que je ne suis pas du tout puisque je n'écris pour ainsi dire que des chansons) mais que j'ai lu et relu car les règles parfois compliquées qui y figurent ne sont pas là par hasard. Et je pense que pour se permettre de transgresser les règles, il faut les connaître. Sinon, ce n'est pas de la créativité, mais de l'ignorance ... Read the full article
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La porte est en dedans
Il était une fois une femme qui, après avoir traversé toute une vie de femme, habitée par différents amours, puis par une relation essentielle avec un homme qui fut son mari, après avoir porté et élevé des enfants et exercé une profession passionnante, se retrouva au bord de l’existence, devant l’immense vide de sa solitude, celle de sa rencontre manquée avec elle-même.
Comment est-ce possible ? Comment se retrouver ainsi en solitude au mi-temps de sa vie, vide de projets, dévitalisée d’avoir trop donné, dépossédée de tous ses rêves car ils avaient été déposés en vain et à fonds perdus chez ceux qu’elle avait tant aimés ? Comment continuer le chemin en se sentant habitée par une immense fatigue d’être, une profonde lassitude à simplement se réveiller le matin, à ouvrir les yeux, à respirer, se laver, s’habiller, affronter le regard aveugle de tant d’inconnus ? Comment avoir l’énergie d’esquisser des gestes qui n’ont plus de sens, de commencer quelques phrases avortées en imaginant tout de suite que demain est déjà périmé ?
Cela est plus fréquent qu’on ne peut l’imaginer dans le monde des femmes et des hommes d’aujourd’hui.
Au début elle manqua de vaciller devant la béance du désert de sa vie, la violence de la solitude, le vide de l’incompréhension qu’elle sentait tout autour d’elle. Souvent par la suite elle désespéra, quand des pensées malignes infectaient son corps, quand des douleurs tenaillaient son dos, déchiraient son ventre, harcelaient son cœur, quand son mal-être était si fort qu’elle imaginait ne pouvoir tenir debout, qu’elle aspirait à se coucher et mourir de lassitude et de désespoir de vivre. Elle ne savait pas encore que sa vie n’attendait que ce moment pour se rappeler à elle. Une émotion, qui contenait tout un monde à elle seule, s’éveilla, remonta, chemina par des chemins secrets de sa sensibilité, jusqu’à sa conscience, vint éclore dans ses pensées pour devenir lueur, lumière, soleil avant de se transformer en énergie vivifiante.
Un matin, une petite phrase scintilla dans sa tête, dansa sous ses paupières, fredonna à ses oreilles : « Prends soin de ta vie, prends soin de ta vie, prends soin de ta vie… » Mais d’autres voix, celles des vieux démons, des habitudes anciennes, vexées de se voir délogées par un courant de vie nouveau, tentèrent de prendre le dessus, de recouvrir la petite phrase par leur propre rengaine. - Fais attention, en osant t’aventurer sur le chemin de tes désirs, en voulant te découvrir toute seule, tu prends le risque de te perdre, de révéler des aspects de toi inacceptables. -Tes désirs sont trompeurs. - Tu crois avoir tout, tu n’as rien, tu n’es rien, tu n’as pas été capable de retenir ton mari, de garder tes enfants près de toi, de maintenir ton statut de femme aimée…
- Tu es en transformation, chantait la petite voix du début. - Tu es affabulation, répétaient les voix d’une ancienne vie. - Je peux m’aimer et me respecter. - Pas du tout, tu as besoin d’être aimée, tu ne dois donner ton amour que si tu es aimée en retour ! - Je sens que je peux m’aimer et aimer sans avoir nécessairement un retour… pour le plaisir d’être. - Non, ton cœur n’est pas suffisamment ouvert pour aimer, simplement aimer. Réfléchis bien, tu sais combien ton ego ne supporte pas de vivre le seul bien-être, le plaisir partagé. Il te faut ses sentiments, des serments, du solide, du durable à toute épreuve… - Je ne suis ni dans le manque, ni dans le besoin, je suis dans le plein ! - Tu te montes la tête et bientôt tu regretteras, tu verras. - Je suis musique, je recherche et je trouve mes accords. - Tout est dérisoire, temps perdu, illusions trompeuses. Ne recommence pas à espérer ce que tu n’atteindras jamais. - J’existe, j’existe enfin pour moi. - Non, tu survis, tu végètes. Accepte ton sort sans révolte, sans rêve inutile, tu es sur la pente descendante de ta vie, reste tranquille ! Tout est joué, tu as perdu, tu mérites le repos. - Je me rencontre… J’ai lâché le superflu. - Tu vas manquer de l’essentiel : la sécurité !
Face à l’impuissance j’apprivoise des forces secrètes, face à l’urgence je fais confiance à mes états intérieurs, face au chaos j’écoute ma propre voix. Je suis sur ce chemin là.
Étonnée, elle n’entendit plus les autres voix, alors elle décida de s’écouter. A partir de ce jour-là, elle ne fut plus seule. Le dialogue qui l’accompagna l’ouvrit à de multiples rencontres."
- Jacques Salomé - extrait de « Contes à aimer. Contes à s’aimer »
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@minimarket_official - Continua la collabo fra #nttlgroup e lo store più potente di #bari @bananabenz _ Domani preview della #ss17 collection di @zen_club_official #specialguest @therealgue #chemina _ #streetwear #madeinitaly #streetstore #bananamoonbari #MRKT #minimarket #minimarketinstoretour #marcosabbatinishowroom (presso Showroom Marco Sabbatini Luciana Spaziani)
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sortie du 16 07 2022
Départ à 7heures tapant pour composer avec la température et faire route vers le Nord, face au vent, preuves d'une bonne gestion de l'effort pour les 2 cyclistes chevronnés que nous sommes. Via rhona et un peu de départementale jusqu'à Tain avant de franchir le Rhône sur l'historique pont Marc Seguin ; cliquetis des lames en bois du tablier : impossible de passer discrétement côté Ardèche et entrer dans Tournon, plutôt calme à ces heures matinales.
Nous attaquons la côte de l'Ubac après avoir emprunté le vénérable pont en pierres qui fait le dos rond au-dessus du Doux, presque à sec (ce qui nous guette dans ce périple largement ensoleillé). Nous rattrapons laborieusement un autre cycliste pour constater qu'il chevauche un super vélo à assistance éléctrique. Quelques échanges sympas pour satisfaire notre curiosité, sans crainte pour lui d'un quelconque essoufflement! Nous le quittons à la Croix du Fraysse et continuons notre progression par les villages de Cheminas et Sécherasse avant d'aborder la descente vers la vallée du Rhône. Un arrêt photos s'impose pour saisir un paysage éclatant de soleil. Nous rattrapons le barrage d'Arras et ensuite celui d'Érome pour rejoindre la Drôme et un petit bout de la nationale 7 avant de nous recoltiner la grimpette vers Larnage. Retour par Chateauneuf et l'inévitable côte vers St Marcel au sommet de laquelle notre duo, un peu fatigué, se quitte.
84,5 km à mon compteur et une moyenne de 22,8 loin derrière les exploits des champions du tour de france, mais sans moins de satisfaction et de plaisir pour autant.
Philippe et Jacques.
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LE PEINTRE SANS TOILE ET LA BÛCHE QUI PARLAIT PAR JACQUES AADLOV - DEVERS
LE PEINTRE SANS TOILE ET LA BÛCHE QUI PARLAIT PAR JACQUES AADLOV – DEVERS
LE PEINTRE SANS TOILE ET LA BÛCHE QUI PARLAIT PAR JACQUES AADLOV – DEVERS Vous souvenez-vous de ces hivers lointains ?Où la neige transversale s’agrippant à nos piedsD’une blancheur abyssale mouvant le cheminA ne plus en finir… d’une tempête qui glaçaitLe souffle accroché à l’étoile, au loin… Vous souvenez-vous de ces hivers lointains ?Le manteau couvrant de ses ailes les chaussuresLe sac à dos…
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Nanmo (D2) presented at CHEMINAS 47 and received the Best Presentation Award. May.14
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Prof. Fukuda received the CHEMINAS Researcher Award. July 29, 2020
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Prof. Fukuda received the CHEMINAS Researcher Award. July 29, 2020
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Il chemina en silence. Il ne regrettait rien. S'il devait mourir le lendemain, ce serait parce que Dieu n'avait pas envie de changer le futur. Mais il serait mort après avoir traversé le détroit, après avoir travaillé dans un magasin de cristaux, après avoir connu le désert et les yeux de Fatima. Il avait vécu intensément chacun de ses jours depuis qu'il était parti de chez lui, il y avait si longtemps de cela. S'il devait mourir le lendemain; ses yeux auraient vu beaucoup plus de choses que les yeux des autres bergers, et il en était.
L'Alchimiste pour Paulo Coelho (page 148)
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