Tumgik
#chars d'assaut
if-you-fan-a-fire · 4 years
Text
Léopold III, roi des Belges, passe en revue une colonne de chars d'assaut, le ministre de la Guerre belge, le général Denis, à sa gauche.
L'illustration, n° 5072 du 18 mai 1940
Tumblr media
0 notes
carbone14 · 1 year
Text
Tumblr media
Canon d'assaut Sturmgeschütz IV (StuG IV) – Campagne d'Italie – Pontecorvo – 24 mai 1944
14 notes · View notes
aurevoirmonty · 25 days
Text
Abandonnez «vos illusions» de «paix», «je vais nommer un commissaire à la Défense»: Von der Leyen veut faire de l’Europe une immense usine d’armes
«La paix ne peut être tenue pour acquise», a prévenu l’agent de Washington et de l’OTAN, devant la très atlantiste GLOBSEC (https://en.wikipedia.org/wiki/GLOBSEC).
«Notre objectif doit être de construire une production de défense à l'échelle du continent», a ordonné l’autocrate, appelant à «produire et toujours plus» d’armements.
«Il faut voir grand».
Comme on pouvait s’y attendre, les initiatives pour une «défense européenne», présentées trompeusement comme des instruments de souveraineté, avaient bien pour but d’intégrer l’UE, bras politique, à l’OTAN, bras armé de Washington.
En 2017, il fallait repérer la création par 23 Etats membres de la PESCO (https://francais.rt.com/international/45550-23-etats-membres-ue-lancent-pesco-integration-militaire), la Permanent Structured Cooperation.
Autre signal, à l’époque, Stoltenberg exhortait (https://francais.rt.com/international/45415-menace-russe-otan-infrastructures-civiles-europe-guerre) l’UE à préparer les infrastructures civiles pour une «mobilisation rapide de chars d'assaut de pièces d'artillerie et autres».
4 notes · View notes
jloisse · 9 months
Text
Une vidéo montre l'ampleur des destructions dans les rues de Beit Lahia après sa destruction par les avions de guerre de l'occupation israélienne et les lourdes frappes aériennes et les chars qui ont pris d'assaut le nord de Gaza.
6 notes · View notes
lemondeabicyclette · 6 months
Text
Tumblr media
Les deux sœurs gazaouies Razan et Nouran ont été tuées par un char d'assaut en remplissant un seau d'eau à la porte de leur maison. Leur père s'est étendu à leur côté, terrassé par la peine. Les soldats isra helliens l'ont tué de suite d'une balle.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
revesdautomobiles · 1 year
Link
Tumblr media
4 notes · View notes
Text
LES MORFALOUS (1984)
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
En Tunisie, pendant la Seconde Guerre mondiale, un convoi de la Légion étrangère est chargé de transporter six milliards de francs en lingots d'or, de la banque d'El Ksour à Sfax.
Les Allemands présents en ville tirent à vue sur le convoi. Seuls quatre légionnaires échappent à la fusillade. Ils découvrent l'artilleur Béral assis dans les toilettes d'un bâtiment. Borzik se fait tuer en tentant une sortie de nuit avec l'adjudant Édouard Mahuzard afin de récupérer armes et munitions. Grâce à un obusier de 105 encore en état de marche et servi par Béral, les Allemands de la 4e compagnie siégeant dans la ville sont délogés et tués, sauf le capitaine Ulrich Dieterle et le lieutenant Karl Brenner.
Le sergent Pierre Augagneur et Boissier ont dans l'idée de s'approprier l'or alors que Mahuzard tient à accomplir la mission initiale. Une bagarre éclate entre Mahuzard et Augagneur. Augagneur triomphe et fait enfermer Mahuzard. Il est attiré par Hélène, la femme du directeur de la banque, qu'il tente de séduire. Après avoir pris des provisions chez elle, ils sont surpris par l'arrivée du lieutenant allemand prénommé Karl, dont le char d'assaut tire un coup de semonce dans la maison. Il est capturé par Augagneur qui entre pour saluer Hélène.
Pendant ce temps dans la banque, Mahuzard convainc Béral de le libérer et fait prisonnier Boissier. Il capture Augagneur et Karl dès leur retour. Il dîne ensuite en compagnie du directeur de la banque et de Béral avec les victuailles d'Hélène, qui subtilise discrètement la clé de la salle des coffres où sont enfermés Augagneur, Boissier et Karl. Elle leur remet la clé avec des victuailles, et ceux-ci s'échappent. Mahuzard et Béral chargent de l'or dans un fourgon blindé et s'apprêtent à partir. Le directeur de la banque meurt en urinant sur une ligne à haute tension. Augagneur, Boissier et Karl reviennent avec le char d'assaut et les surprennent. Augagneur envoie alors Boissier s'emparer du fourgon sous la menace du canon de son char, non sans avoir dans l'intervalle fait feu sur les débris du fort où le capitaine Ulrich Dieterle survivait encore. Mahuzard mitraille Boissier, le tuant, et tente de s'échapper ; le char fait feu et détruit totalement le fourgon, tuant Mahuzard et Béral sur le coup. Hélène revient et complote alors avec Augagneur pour éliminer Karl, le légionnaire refuse. Les deux soldats chargent alors l'essentiel des lingots sur le char, n'en laissant que 300 kg à Hélène qui devient folle de rage. Le char prend la route du sud, pour rencontrer un contrebandier américain censé leur échanger l'or contre de l'argent liquide. Il marque un arrêt dans un poste de ravitaillement allemand pour refaire le plein. Karl convainc alors Augagneur de débarquer temporairement du char afin de ne pas être repéré. Une fois dans le camp, le commandant allemand veut faire un contrôle sur la présence inopinée de ce char dans cette région. Augagneur intervient pour sauver la situation. Karl repart ensuite du camp sans s'arrêter pour reprendre Augagneur, qui grimpe malgré tout sur le char à son insu. Le lendemain, Augagneur force Karl à descendre du char, et lui confisque son uniforme. Il rencontre en plein désert son contact américain, qui lui offre d'échanger sa cargaison d'or contre 68 000 dollars. Toute la 1re armée française vient au rendez-vous ; Augagneur renonce à l'or et aux dollars, contre le statut du héros qui a sauvé l'or francais d'Afrique. Il en profite pour séduire Mme Chanterelle, l'épouse du responsable de l'Union des banques d'Afrique du Nord.
1 note · View note
ondessiderales · 3 months
Text
La vie est belle
« La vie est belle est une comédie dramatique italienne écrite et réalisée par Roberto Benigni sortie en 1997 en Italie.
En 1939, à Arezzo, Guido Orefice, un jeune italien juif plein de gaieté, rêve d'ouvrir une librairie, malgré les tracasseries de l'administration fasciste. Il tombe amoureux de Dora, institutrice étouffée par le conformisme familial et l'enlève le jour de ses fiançailles avec un bureaucrate du régime fasciste. Cinq ans plus tard, Guido et Dora ont un fils : Giosué. Mais les lois raciales sont entrées en vigueur et, en tant que Juifs, Guido et son fils sont déportés vers un camp de concentration allemand (sans référence précise). Par amour pour eux, Dora monte de son plein gré dans le train qui les emmène au camp. Là, Guido veut tout faire pour éviter l'horreur à son fils. Il lui fait alors croire que les occupations dans le camp sont en réalité un jeu pour son anniversaire, dont le but serait de gagner un char d'assaut, un vrai. Pour gagner ce char, Guido explique à son fils qu'il faut accomplir des tâches parfois difficiles et accomplir des missions pour atteindre les 1 000 points gagnants.
La musique choisie contribue beaucoup à cet univers de conte : il existe plusieurs thèmes musicaux dans le film, un principal (le plus fréquent), un lors de scènes d'amour (comme quand Guido se retrouve seul avec Dora) et un pour les scènes dramatiques (comme quand ils sont emmenés au camp) et enfin un dernier qui représente la vie dans le camp.
Roberto Benigni définit lui-même son film comme une fable, un conte philosophique. »
Tumblr media Tumblr media
youtube
youtube
Setsunai (切ない) : un mot magnifique en japonais On peut le traduire par « poignant ». J'aime ce mot car il a de nombreuses connotations empreintes de beauté et de poésie. Il m'évoque l'image d'un garçon qui pleure à la fois de tristesse et de joie après des aventures qu'il n'oubliera jamais. « C'est fini, mais c'était bien » Ou encore « C'était beau, mais c'est fini »
0 notes
karukeranews · 5 months
Link
L'exposition présente des matériels militaires de différents pays de l'OTAN. Parmi les trophées exposés figurent des chars d'assaut comme l'Abrams amé...
0 notes
if-you-fan-a-fire · 1 year
Text
Tumblr media
"Angus Shops Strikers Back," Montreal Star. July 27, 1943. Page 3. --- Return on Promise To Consider Demands ---- Nearly all of the 1,600 striking machinists, day laborers and helpers of the Canadian Pacific Angus Shops returned to their jobs today on a promise made to them by company and union officials that their demands for an increase in the basic wage rate and a week's holiday with pay would receive "prompt consideration" as soon as they had returned to work.
Decision to return to work was reached at a mass meeting of union officials and workers at l'Assistance Publique Hall last night. At an early hour this morning, "practically all" the men had returned to their jobs, a company official stated.
The workers struck last Thursday, causing the layoff by the company of 6,000 skilled workers. Employes, now receiving 38 cents an hour basic wages as well as nine cents an hour cost of living bonus, ask that hourly basic rates be raised to 50 cents.
Acting as spokesman for the hundreds of workers at the meeting last night, Vincent Cabane urged the men to "show common sense" and return to their jobs. A day laborer himself, Cabane told his audience that the C.P.R. Local Federation, Division 4, A.F. of L., would back the workers in making their demands.
A letter from the, Federation promising the men support was read to last night's audience. The letter promises that "this local federation will back them (the laborers) up in their demands." The letter is signed by J. Cleasby, president, and J. F. Graham, secretary of the A. F. of L. Federation.
0 notes
Text
De son vrai nom Alfred-Georges Gressent, Georges Valois est né à Paris le 7 octobre 1878. Il perd son père très jeune et de 5 à 13 ans est élevé par ses grands- parents maternels en Seine et Marne.
“ Mon grand-père, ouvrier chaudronnier, était républicain et libre-penseur. Avec l'instituteur, il fit de moi un homme libre. Avec ma grand-mère, il m'enseigna le travail et la méthode. ”
À 13 ans, il entre dans une école professionnelle à Paris, d'où il est exclu deux ans plus tard pour “ manifestation intérieure ”. Il est successivement employé chez un marchand de toiles , dans les bureaux du journal France Nouvelle, chez un fabricant de clarifiants, chez un maroquinier.
“ À 16 ans, j'ai été arrêté comme anarchiste, ce qui était faux. ”
À 17 ans, il part pour Singapour employé chez un commerçant français ; à 19 ans, il rentre en France pour étudier. “ J'étais devenu anarchiste. ”.
À cette époque, il rencontre Julien Sorel et devient l'un de ses disciples.
À 22 ans, il est incorporé dans l'armée puis réformé pour tuberculose.
À 24 ans, il tente de devenir horloger à Genève, mais de là, il part à Moscou comme précepteur chez un comte russe où il épouse la dame de compagnie de la comtesse. Il rentre en France en août 1903 et travaille jusqu'en 1912 à la librairie Armand Colin.
Ses premiers écrits datent de 1905-1906. Il prend le pseudonyme de Georges Valois et publie l'Homme qui vient, puis La monarchie et la classe ouvrière.
Il entre alors à l'Action Française. Mais son action s'exprime plus dans des mouvances marginales telles que le cercle Proudhon dont il est l'un des fondateurs en 1912 et dont la tendance très lutte des classes le mettait plutôt en opposition avec l'Action Française.
Ce qui l'attire, c'est que le Roi doit (et peut, estime-t-il) être contre le Parlement composé trop souvent de politiciens soumis aux puissances d'argent.
En 1912, Georges Valois fonde et prend la direction de la Nouvelle Librairie Nationale. Il est à cette époque le numéro trois de l'Action Française aux côtés de Charles Maurras et Léon Daudet. Il est l'économiste singulier de la droite et de l'extrême-droite.
C'est un extraordinaire lanceur d'idées.
Georges Valois s'intéresse surtout à l'économie sociale, à l'organisation des métiers et et des syndicats, seuls capables de lutter contre les banques et les trusts qui sont des parasites.
Mobilisé en 1914 comme deuxième classe, il devient officier et il est à Verdun jusqu'en 1916. En 1915, il théorise, dans un ouvrage intitulé le Cheval de Troie, l'invention du char d'assaut qui va être mis au point par le général Estienne.
Pendant la guerre, Georges Valois commence à se séparer de l'Action Française. Le soutien et les interventions de Léon Daudet pour sauver Georges Valois de la mort, après une blessure en 1916, empêchent une rupture brutale. Mais en 1925, la rupture est totale.
Georges Valois fonde alors la première ligue fasciste française : Le faisceau des combattants et des producteurs et un journal Le Nouveau Siècle ainsi que plus tard la Librairie Valois.
Le faisceau est créé sur le modèle mussolinien, mais il est “ non anti-socialiste, ni anticommuniste, ni antisémite ”. Il a pour but de créer au-dessus des partis et des classes un véritable “État national et populaire ”.
Georges Valois milite pour une monnaie ferme, contre l'inflation et toute dévaluation. Lors d'une grande assemblée générale à Reims en juin 1926 (certains parlent de 25 000 personnes), Georges Valois en appelle à une évolution vers le socialisme contre le poincarisme.
Ayant acquis la conviction de ne pouvoir lutter contre la ploutocratie avec les masses à tendances nationalistes, Georges Valois dissout le Faisceau en mars 1928, en appelle à une “ République syndicale ” et regarde vers le socialisme révolutionnaire. Il publie L'Homme contre l'argent, un ouvrage “ tournant décisif ” pour toute une époque.
À partir de 1931, il travaille avec Albert Thomas et d'autres à la rédaction de la Nouvelle Encyclopédie, mais la mort de ce dernier en 1932 met un terme à ce qui devait être un “ formidable mouvement culturel ”. En 1934, création du journal Nouvel Åge qui deviendra quotidien. Georges Valois prend des positions de plus en plus pacifistes et même gauchistes. Il démontre le soutien des capitalistes français et anglais à Franco et dénonce la gauche quand elle ne sert que de paravent au capitalisme.
En 1938, il mène campagne contre les accords de Munich. Les opposants sont alors rares : le 5 octobre, seuls les 73 communistes, le socialiste Jean Bouhey et H. de Kérillis ont voté contre, Churchill y sera d'abord
favorable, de Gaulle ne fera aucun commentaire. Pour Valois, il faut vaincre l'Allemagne sans guerre, instituer un blocus économique de l'Allemagne et de l'Italie.
Mais abandonnons un instant Georges Valois et revenons à l'été 1936 pour suivre les interrogations et engagements d'un jeune militant : Roger Maria a 18 ans cette année- là. Il a adhéré à la SFIO deux ans auparavant et se veut plutôt proche de la tendance gauche révolutionnaire de Marceau Pivert. Roger Maria se définit comme marxiste léniniste, mais critique à l'égard de l'orientation de la politique stalinienne. La décision de Léon Blum de non-intervention dans la guerre d'Espagne est pour lui un choc. Il démissionne de la SFIO.
À cette époque, Roger Maria suit régulièrement des conférences à la Mutualité. En février 1937, le hasard le conduit à suivre la démonstration brillante que fait Georges Valois du soutien de fait des capitalistes français et anglais à Franco.
Les deux hommes s'apprécient et Georges Valois propose à Roger Maria de collaborer avec lui. Roger Maria suivra Georges Valois jusqu'aux Ardillats. Seule la déportation les séparera.
Mais aujourd'hui encore Roger Maria est fidèle à Georges Valois et c'est en grande partie grâce à lui que nous avons pu réaliser cet article.
En juillet et août 1940, Georges Valois et son adjoint Gustave Rodriguès sont à Bayonne. Ce dernier se suicide. Georges Valois passe au Maroc où il crée un groupe clandestin qui édite une lettre confidentielle. Fin octobre 1940, il est arrêté “ par précaution ” et emprisonné à Meknès puis transféré à Clermont-Ferrand où il retrouve Pierre Mendès-France dans la même prison militaire. Les deux hommes se connaissent déjà puisque Georges Valois a aidé Pierre Mendès-France dans la préparation de sa thèse de docteur en droit sur la Banque des Règlements Internationaux.
Le 27 avril 1941, Georges Valois est libéré. Il retrouve à Vichy Roger Maria qui est démobilisé le 30 avril et s'apprêtait à gagner la France Libre par l'Afrique du Sud…
Georges Valois et Roger Maria, devenu son secrétaire, au lieu de rejoindre Londres, décident alors de “ s'exiler ” dans la région lyonnaise où ils ont des amis dans divers groupes de résistance. Georges Valois pense pouvoir acquérir une librairie.
“ Je suis trop connu pour passer dans la clandestinité, je vais me mettre en quelque sorte, en résidence surveillée officielle pour que la police sache que je ne m'occupe plus qued'activités éditoriales non politiques ”.
En mai 1941, ils sont à Couzon au Mont d'Or où ils prospectent la région. Georges Valois se rend compte qu'une librairie lyonnaise serait tout de même trop surveillée et il opte finalement pour une “ résidence ” plus discrète. L'hôtel du Val d'Ardières aux Ardillats est alors à vendre pour une bouchée de pain. Voilà une résidence, à l'écart, où l'on peut se faire oublier, mais qui permet aussi de recevoir des amis.
Fin juin, 1941, Georges Valois, ainsi que son épouse, emménagent au Val d'Ardières. Roger Maria est là aussi.
Ils vont alors mener deux activités rédactionnelles parallèles. L'une , officielle, traite de l'histoire des coopératives, de la législation des jardins ouvriers, donne aussi des conseils de jardinage au travers de fascicules ronéotés de 4-6 pages que reçoivent quelques deux cents abonnés. Les “ amis ” reçoivent, eux, en supplèment clandestin une lettre politiqueavec renseignements ou études sur… disons l'actualité.
Régulièrement, Roger Maria poste ces périodiques mensuels puis hebdomadaires en éparpillant ses dépôts pour ne pas se faire repérer dans diverses boîtes aux lettres d'un large secteur couvrant Belleville, Villefranche et Lyon.
En 1943, avec Cerf-Ferrière et Delmas, de Combat , basés à Beaujeu, Georges Valois publiera une nouvelle revue Après.
Seul, ensuite, il écrira sous le pseudonyme d'Adam, un numéro spécial d'Après, intitulé La France trahie par les trusts. Tapée à la machine aux Ardillats et imprimée à Villefranche sur Saône, c’ est la brochure la plus volumineuse publiée par la Résistance.
Arrêtés par l'équipe de Barbie, Georges Valois et Roger Maria sont conduits au fort Montluc à Lyon et interrogés par la Gestapo. Roger Maria a été “ passé à tabac ” et plus ou moins torturé mais Georges Valois n'a semble-t-il jamais été frappé. Roger Maria nous a dit :“ Il est passé pour un idéaliste farfelu prêchant la réconciliation entre les peuples pour une économie nouvelle. Dans ces interrogatoires, la difficulté vient de ce que nous sommes interrogés séparément, que nous ne savons pas non plus ce que nos questionneurs savent déjà par les perquisitions effectuées . Nous arrivons à communiquer et à coordonner nos propos destinés à nous faire passer pour des intellectuels idéalistes et pacifistes ”.
Quand même condamnés à mort pour le principe, leur peine est commuée en déportation en camp de concentration. Roger Maria verra une dernière fois Georges Valois au fameux camp (français) de Compiègne, appelé Royal Lieu… une sorte de gare de triage pour toutesdestinations vers les camps nazis.
Roger Maria sera contraint, comme tant d'autres jeunes déportés de travailler en usine pour l'armée allemande, dans une hallucinante fabrique d'obus à Wattenstedt-Bruunschwick.
Transféré à Hanovre en mars 1945, il parvient avec un camarade à s'échapper au cours d'un convoi de nuit qui conduisit mille seize de ses compagnons à périr dans une tuerie au lance-flammes.
Recueilli dans une ferme, il est aidé par un prisonnier de guerre. Cachés dans un entrepôt agricole, ils échappent encore à un bombardement et seront enfin libérés le lendemain par un char anglais.
Georges Valois, de son côté est déporté au camp de Neuengamme où il se retrouve dans un groupe de déportés âgés, préposé aux tresses, en compagnie du marquis de Moustiers, du célèbre biologiste et dirigeant communiste Marcel Prenant, du général Bardi de Fourtou (de l'affaire Staviski) et de quelques autres “ notables ” de la Résistance “ intello ”.
Grâce à l’écrivain Louis Martin-Chauffier qui l'y a rencontré, dans ce même drôle de groupe de vétérans, nous savons comment il rêvait, encore là-bas, de refaire le monde…
Transféré au camp mouroir de Bergen-Belsen, Georges Valois meut, atteint du typhus, le 18 février 1945.
Avec la collaboration de Roger Maria publié dans le Pied de Rochefort, en 1996.
1 note · View note
carbone14 · 2 years
Photo
Tumblr media
Sturmgeschütz IV (StuG IV)
©Artwork by Vincenzo Auletta
10 notes · View notes
formations-saf · 2 years
Link
Guerre en Ukraine : Pourquoi l'Allemagne a-t-elle un droit de regard sur les chars d'assaut de la Pologne ? Si le gouvernement allemand hésite encore à livrer des chars Leopard à l'Ukraine, la Pologne a déjà pris cette décision, mais doit obtenir ...
0 notes
youtube
Washington ne livrera pas de chars d'assaut à l'Ukraine
0 notes
revesdautomobiles · 1 year
Text
Tumblr media
0 notes
news24fr · 2 years
Text
Des attaques russes ont été signalées dans au moins sept régions de l'est et du sud de l'Ukraine, malgré la déclaration par Moscou d'un cessez-le-feu de 36 heures du vendredi midi au samedi minuit pour le Noël orthodoxe. Au moins trois personnes ont été tuées. Les troupes russes bombardées la région de Kherson 39 fois le vendredi, selon le gouverneur Yaroslav Yanushevych. Des bâtiments résidentiels et une caserne de pompiers ont essuyé des tirs dans la ville libérée de Kherson, où un premier intervenant a été tué. Sept civils ont également été blessés dans la région. L'armée ukrainienne a déclaré que deux personnes avaient été tuées et 13 blessées dans le bombardement russe de Bakhmut, dans l'est de l'Ukraine, pendant le prétendu cessez-le-feu. Les deux morts étaient un homme de 66 ans et une femme de 61 ans. Les troupes russes « terrorisaient » les civils dans la région nord-est de Kharkiv, a déclaré son gouverneur, Oleh Syniehubov. Aucune victime n'a été signalée, mais des bâtiments résidentiels et commerciaux ont continué d'être la cible de tirs. Les forces russes ont bombardé les positions ukrainiennes à 14 reprises et ont pris d'assaut une colonie à trois reprises dans la province de Luhansk, dans l'est de la ligne de front dans les trois premières heures du prétendu cessez-le-feu, a déclaré le gouverneur Serhiy Haidai, selon Reuters. Il a entendu des explosions de ce que les troupes ukrainiennes sur la ligne de front ont décrit comme des tirs de roquettes russes entrants. Les Ukrainiens ont riposté des chars. Le gouverneur installé par la Russie dans la ville occupée de Sébastopol en Crimée a déclaré que les défenses aériennes avaient abattu un drone lors d'une attaque apparente sur le port où est basée la flotte russe de la mer Noire. Mikhail Razvozhaev a affirmé que l'incident s'était produit tôt samedi. Le ministère britannique de la Défense a déclaré que les combats entre les forces russes et ukrainiennes se sont poursuivis à un «niveau de routine» pendant la période de Noël orthodoxe. La mise à jour quotidienne des renseignements du ministère indique que les combats se sont concentrés sur un terrain fortement boisé à l'ouest de la ville de Kremina, dans la province de Lougansk, dans l'est de l'Ukraine, où "les combats se sont transformés en combats d'infanterie débarquée, souvent à courte distance". Les États-Unis ont demandé à l'Italie de fournir dès que possible des systèmes de défense aérienne à l'Ukraine. Le journal italien La Repubblica a rapporté que la demande avait été faite lors d'une conversation entre le conseiller américain à la sécurité nationale, Jake Sullivan, et Francesco Talo, conseiller du Premier ministre italien, Giorgia Meloni. Le président ukrainien, Volodymyr Zelenskiy, a félicité les États-Unis pour avoir inclus des véhicules blindés antichars dans son dernier programme d'aide militaire de plusieurs milliards de dollars., disant qu'ils sont "exactement ce qu'il faut". La dernière assistance militaire américaine annoncée vendredi par la Maison Blanche était la plus importante à ce jour pour Kyiv, et comprenait pour la première fois des véhicules blindés Bradley. Des services ont eu lieu en Ukraine pour marquer le premier Noël orthodoxe depuis l'invasion du pays par la Russie l'année dernière. Le métropolite Épiphane a dirigé un service de Noël à la cathédrale de la Sainte Dormition à la laure de Kyiv Pechersk dans la capitale ukrainienne. L'Ukraine a mis à jour le nombre de soldats russes qu'elle pense avoir tués à 110 740. L'état-major des forces armées a déclaré samedi dans une mise à jour que 490 autres soldats avaient été tués vendredi. Reuters et l'Agence France-Presse ont contribué à ce rapport
0 notes